Keynote 3
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ni une approbation, ni une recommandation. Apple
n’assume aucune responsabilité quant aux performances ou à l’utilisation de ces produits.
F019-0529
01/20063
Table des matières
7 Préface : Bienvenue dans Keynote
7 Vue d’ensemble des fonctionnalités de Keynote
16 Nouveautés de Keynote 3
19 Utilisation des menus
19 Pour en savoir plus
21 Chapitre 1 : Vue d’ensemble de Keynote
21 La fenêtre de Keynote
22 Le canevas
23 Différents modes d’affichage
29 Le champ de notes
29 Commentaires
31 Outils Keynote
35 Chapitre 2 : Création d’une présentation
35 Étape 1 : Sélectionnez un thème
37 Étape 2 : Créez vos diapositives
44 Étape 3 : Classez vos diapositives
45 Étape 4 : Enregistrez votre diaporama
47 Étape 5 : Lecture de votre diaporama
49 Chapitre 3 : Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données
49 Modification de texte et de propriétés de texte
58 Utilisation de graphismes
68 Redimensionnement, déplacement et superposition d’objets
74 Ajout d’audio et d’autres médias
80 Ajout de pages Web et de liens4 Table des matières
84 Modification des dispositions
85 Modification de l’arrière-plan de la diapositive
87 Maintien ou annulation des modifications apportées au style
89 Chapitre 4 : Modification des propriétés des objets
89 Utilisation de remplissages couleurs et image
94 Modification du style et de la couleur des bordures
95 Position des lignes
95 Ajout d’ombres
97 Ajustage de l’opacité
98 Réglage des images
99 Modification de l’orientation d’un objet
101 Modification de la taille et de l’emplacement d’un objet
103 Chapitre 5 : Création de tableaux
103 Ajout d’un tableau
105 Utilisation des cellules et des bordures d’un tableau
108 Saisie et modification de contenu dans les cellules d’un tableau
109 Mise en forme de tableaux
116 Ajout d’images ou de couleurs d’arrière-plan
117 Mise en forme des nombres
119 Classement de cellules
121 Remplissage automatique
122 Utilisation des formules
137 Chapitre 6 : Création de graphiques
137 À propos des graphiques
141 Ajout d’un graphique
143 Modification de données dans un graphique
145 Mise en forme de graphiques
159 Chapitre 7 : Transitions de diapositive et compositions d’objet
159 Ajout de transitions entre les diapositivesTable des matières 5
161 Création de compositions d’objet
163 Utilisation des compositions d’objets
169 Création de compositions sur des modèles de diapositives
171 Chapitre 8 : Affichage, impression et exportation de votre diaporama
171 Personnalisation d’une présentation pour votre public
174 Affichage des présentations plein écran
178 Recherche de présentations avec des mots-clés
178 Réglage des options de présentation
183 Impression de vos diapositives
185 Exportation dans d’autres formats de visualisation
193 Chapitre 9 : Conception de vos propres thèmes et modèles de diapo
194 Modification de la disposition et de l’arrière-plan des modèles de diapositive
200 Modification des styles par défaut du texte et des objets
202 Enregistrement des thèmes personnalisés
203 Création d’un thème personnalisé
205 Index7
Préface
Bienvenue dans Keynote
Avec Keynote, les présentations impressionnantes
ne sont qu’un début. Cette préface présente les
fonctionnalités de Keynote et répertorie les sources
d’informations qui permettent d’en savoir plus.
Keynote est un programme performant de création de présentations de qualité professionnelle. Des outils puissants et simples vous permettent de réaliser facilement
des présentations irréprochables, de créer des story-boards et des portefeuilles de
qualité professionnelle, et de composer des diaporamas interactifs. Vous pouvez incorporer des photos, des films ou de la musique issus de vos bibliothèques iLife, ainsi que
des clichés obtenus sur le Web via Safari.
Exposez vos données à l’aide des graphiques et tableaux intégrés à Keynote. Utilisez
les thèmes séduisants et variés livrés avec Keynote ou personnalisez des thèmes pour
qu’ils s’adaptent à vos besoins spécifiques. Ajoutez des animations attrayantes au texte
et aux tableaux, et enregistrez vos idées grâce aux commentaires.
Votre présentation Keynote peut être visionnée de multiples façons. Vous pouvez la
regarder sur un ordinateur, la projeter sur un grand écran depuis l’ordinateur ou l’imprimer. Vous pouvez également exporter votre présentation comme un ensemble de
fichiers d’images ou au format Flash, QuickTime, PowerPoint, HTML ou PDF afin qu’elle
puisse être visionnée sur d’autres plateformes. Pour en savoir plus sur les options d’affichage, consultez le chapitre 8, “Affichage, impression et exportation de votre diaporama”.
Vue d’ensemble des fonctionnalités de Keynote
Les pages suivantes vous proposent une rapide vue d’ensemble des fonctionnalités
de Keynote. Le reste du manuel indique les instructions étape par étape qui permettent d’utiliser Keynote pour créer, revoir et partager vos diaporamas.8 Préface Bienvenue dans Keynote
Présentations de qualité professionnelle
Keynote comprend une grande diversité de thèmes (y compris HD) que vous pouvez
utiliser pour créer rapidement des présentations étonnantes. Chaque thème comprend
des couleurs, du texte, des graphismes et des tableaux coordonnés. A tout moment,
vous pouvez facilement modifier le thème d’un diaporama et adapter les thèmes pour
qu’ils répondent à vos besoins. Vous pouvez même mettre en valeur des parties de
votre diaporama en utilisant plusieurs thèmes dans la même présentation.Préface Bienvenue dans Keynote 9
Animations de texte et transitions de diapositives
Rendez votre texte plus vivant grâce à des animations de qualité studio. Choisissez
parmi une série d’animations de mots et de texte. Animez le texte de façon que les
lignes entrent dans la diapositive l’une après l’autre ou en groupes. Ajoutez de l’inté-
rêt en utilisant une ou plusieurs colonnes de texte sur une diapositive ou en utilisant
des styles spéciaux de puces pour le texte ou les images. Passez d’une diapositive à
l’autre avec des effets de transition étonnants tels que le glissement, la goutte d’eau
et le reflet.10 Préface Bienvenue dans Keynote
Outils d’animation performants
Créez rapidement et facilement des animations de diapositives complexes (n’importe
quel élément peut être déplacé et animé). Mélangez des graphiques, des tableaux et
des graphismes sur la même diapositive. Affinez vos animations en changeant l’ordre
d’apparition des éléments ou la façon dont ils entrent ou sortent de la diapositive.
Créez des animations sophistiquées
(“compositions d’objets”) et des transitions de diapositives. Synchronisez
l’entrée et la sortie de divers objets
sur une diapositive.Préface Bienvenue dans Keynote 11
Des outils multimédia simples d’emploi
Recherchez les éléments que vous avez stockés dans votre bibliothèque iPhoto
ou iTunes, ou dans votre dossier Séquences et faites glisser des photos ou des morceaux de musique directement sur une diapositive. Ajoutez des images et ajustez
leurs niveaux de luminosité, de contraste, d’exposition, de saturation, de nuances,
de netteté et de lumière directement dans Keynote.
Sélectionnez l’album
où se trouve l’image.
Choisissez iPhoto, iTunes
ou Séquences.
Faites glisser une vignette
vers la diapositive ou un
cadre d’image dans l’un
des inspecteurs.
Recherchez un fichier par nom.12 Préface Bienvenue dans Keynote
Courbes, figures et masques en format libre
Créez n’importe quelle figure à l’aide des courbes de Bézier. Rognez des images grâce
à des masques élaborés à partir de diverses figures. Choisissez parmi les figures pré-
dessinées ou créez vos propres figures personnalisées pour les utiliser en tant que
masques. Un masque vous permet de ne révéler que la partie d’une image que vous
souhaitez afficher sur une diapositive, sans pour autant altérer le fichier d’origine de
l’image.
Créez un masque personnalisé pour
encadrer une partie d’une photo.
Placez le masque sur l’image ;
vous pouvez ensuite, si vous le
souhaitez, modifier le masque.
Sur cette image, le masque a
pivoté et a été redimensionné.
L’image d’origine est
encadrée par le masque.Préface Bienvenue dans Keynote 13
Graphiques 3D réalistes
Mettez en valeur vos données 2D en utilisant des graphiques 3D à barres, linéaires
ou à couches. Choisissez des textures réalistes (bois, métal ou autres). Appliquez une
multitude de styles d’éclairage différents afin de créer de jolis reflets.
Tableaux avec calculs et classement
Automatisez le calcul de n’importe quelle cellule d’un tableau en utilisant des formules
arithmétiques et des valeurs d’autres cellules. Classez les données par rang ou par
colonne, par ordre croissant, décroissant, numérique ou alphabétique. Formatez les
nombres avec la mise en forme des devises et les dates avec les formats internationaux.14 Préface Bienvenue dans Keynote
Inspecteurs simples à utiliser
Les inspecteurs de Keynote vous permettent de mettre en forme facilement vos
diapositives au cours de votre travail. Servez-vous des dix inspecteurs pour mettre
en forme la plupart des éléments d’un diaporama.Préface Bienvenue dans Keynote 15
Outils pour intervenants avancés
Configurez l’écran d’un projecteur pour l’auditoire et celui de votre ordinateur portable pour les données de l’intervenant, ou répétez votre présentation en visionnant le
diaporama sur un seul écran. Pendant votre présentation, vous pouvez visualiser des
informations comme la diapositive actuelle et la suivante, le temps écoulé ou restant,
une horloge ou encore des notes sur les diapositives. Contrôlez la lecture de la séquence
au cours d’une présentation en utilisant les raccourcis clavier. Accédez directement à
n’importe quelle diapositive en saisissant son numéro.16 Préface Bienvenue dans Keynote
Nouveautés de Keynote 3
Keynote 3 met à votre disposition de nouvelles fonctionnalités, qui vous permettent
de créer des diaporamas attrayants et captivants.
 De nouveaux thèmes
Utilisez les thèmes conçus par Apple pour les présentations, les story-boards et les
présentations à déroulement automatique. Appliquez les nouveaux thèmes HD de
format 16 x 9 et avec des résolutions de 1920 x 1080.
 Graphiques rendus en 3D avec des animations
Faites valoir les résultats au sein de magnifiques graphiques 3D réalistes, appliquez
de nombreux styles de lumière différents pour donner lieu à divers reflets, et créez
des graphiques de données 2D à barres, linéaires et à couches rendus somptueusement en 3D. Affichez les graphiques dans des textures de bois, de métal ou autres.
Utilisez la roue Angle de rotation 3D pour contrôler entièrement l’angle d’affichage
du graphique.
 Animations cinématographiques avec des compositions intercalées
Captivez votre auditoire à l’aide de transitions cinématographiques de diapositives,
de compositions graphiques intercalées et d’animations de texte. Créez une réelle
présentation cinématographique grâce aux nouvelles transitions de diapositives animées. Attirez l’attention sur les tableaux, les graphiques, les images et le texte à l’aide
de nouveaux effets de composition : stores, glissement et rapidité. Intercalez des
compositions de texte à puces, de tableaux et même de graphiques dans n’importe
quel ordre et par groupes d’éléments, tels que des puces ou des groupes de puces,
des rangs, des colonnes ou des cellules de tableaux, des images et plus encore.Préface Bienvenue dans Keynote 17
 Ajustage d’image comme iPhoto
Obtenez des images parfaites en affinant leur apparence. Ajustez leurs niveaux
de luminosité, de contraste, d’exposition, de saturation, de nuances, de netteté
et de lumière, séparément sur n’importe quelle image et directement dans Keynote.
Visualisez immédiatement les modifications apportées aux réglages d’image et revenez facilement à l’image d’origine.
 Nouvelles figures et dessin de Bézier avec des courbes lisses
Ajoutez des figures comme des polygones ou des étoiles, ou dessinez des figures
personnalisées à l’aide de courbes, directement dans Keynote. Dessinez des figures
entièrement personnalisées avec des contours arrondis en utilisant des courbes de
Bézier, et affinez les figures de Bézier en modifiant les angles des courbes ou même
en ajoutant de nouveaux points de courbes. Ajoutez des figures prédessinées telles
que des étoiles et des polygones modifiables.
 Masquage d’image avec n’importe quelle figure
Concentrez-vous sur un endroit d’une image en utilisant une figure quelconque
ou des courbes de Bézier personnalisées. Masquez des images à l’aide de n’importe
quelle figure afin de supprimer un arrière-plan ou tout autre objet non voulu. Créez
votre propre masque à l’aide des courbes de Bézier dans n’importe quelle figure.
 Intégration iLife améliorée
Partagez votre présentation avec iDVD et iPhoto. Exportez-la dans iDVD avec des
sauts de chapitre entre les diapositives et des liens actifs. Exportez vos diapositives
directement dans iPhoto avec une compression variable et dans HTML pour ajouter
du contenu de diapositive sur le Web. Visualisez toutes vos options d’exportation
dans une nouvelle fenêtre d’exportation facile d’utilisation.18 Préface Bienvenue dans Keynote
 Tableaux pour organiser les informations
Organisez les informations et les graphiques dans des tableaux dotés de fonctions
de calcul et de classement automatique. Ajoutez facilement des tableaux munis d’un
aspect et d’une convivialité coordonnés pour chaque thème. Automatisez le calcul
dans n’importe quelle cellule d’un tableau à l’aide de formules arithmétiques et de
valeurs d’autres cellules ; créez un rang récapitulatif et des colonnes avec des sommes
de valeurs, des moyennes, un total et plus encore. Classez par rang ou par colonne, par
ordre ascendant ou descendant, par ordre numérique ou alphabétique, mettez les
nombres au format monétaire et formatez les dates selon les normes internationales.
 Outils pour intervenants avancés
Bénéficiez d’un plus grand contrôle de vos présentations. Servez-vous d’un affichage
d’entraînement pour répéter votre présentation à l’aide d’un seul écran, pour afficher
les diapositives en cours et les suivantes, les notes, le temps écoulé et une horloge.
Utilisez l’affichage en mode table lumineuse pour afficher les diapositives sur plusieurs
rangs et plusieurs colonnes afin d’obtenir un aperçu global de votre présentation en
un seul coup d’œil et de classer les éléments. Contrôlez la lecture de la séquence au
cours d’une présentation en utilisant un défileur vidéo. Verrouillez une présentation
en mode kiosque avec un mot de passe pour la lecture d’un diaporama dans Keynote.
Ajoutez des commentaires directement sur le canevas de la diapositive en tant que
pense-bêtes, qui ne sont ni imprimés, ni projetés.
 Texte dans plusieurs colonnes et puces dans différentes zones de texte
Utilisez plusieurs colonnes pour le texte d’une diapositive, et ajoutez des zones
de texte là où vous en avez besoin.Préface Bienvenue dans Keynote 19
Utilisation des menus
Vous réaliserez la plupart des tâches décrites dans ce manuel (et dans l’Aide Keynote)
via des commandes de menu. Les instructions se présentent ainsi :
m Choisissez Aide > Visite guidée d’iWork.
Le terme qui suit Choisissez est le menu sur lequel vous cliquez ; le terme suivant est
l’élément que vous choisissez dans ce menu.
Pour en savoir plus
Pour tirer le meilleur parti de Keynote, consultez les sources d’informations suivantes :
Visite guidée
Pour obtenir une démonstration à l’écran de ce que vous pouvez faire avec Keynote,
visualisez la visite guidée. Choisissez Aide > Visite guidée d’iWork.
Guide de l’utilisateur de Keynote 3
Ce document PDF en couleur fournit des informations détaillées sur les fonctionnalités
de Keynote, ainsi que des instructions concernant l’utilisation des diapositives.
Le chapitre 1, “Vue d’ensemble de Keynote”, décrit les outils destinés à la création de
présentations. Le chapitre 2, “Création d’une présentation”, présente le processus de
création d’une présentation étape par étape. Pour plus de détails sur chaque étape,
consultez les chapitres 3 à 8. Pour apprendre à créer vos thèmes, consultez le
chapitre 9, “Conception de vos propres thèmes et modèles de diapo”.20 Préface Bienvenue dans Keynote
Aide à l’écran
Pour visualiser l’aide, ouvrez Keynote et choisissez Aide > Aide Keynote. Vous pouvez
parcourir la table des matières afin de rechercher une rubrique spécifique, ou saisir
une question dans le champ de recherche afin de trouver une réponse concernant
la façon d’effectuer une tâche.
Les balises d’aide sont également disponibles pour de nombreux éléments à l’écran.
Pour afficher une balise d’aide, positionnez le pointeur sur un élément pendant quelques secondes. Les balises d’aide de la fenêtre Inspecteur sont utiles pour en savoir
plus sur les effets de diverses options.
Ressources Web
Allez sur www.apple.com/fr/keynote pour obtenir les dernières mises à jour et informations à propos du logiciel. Vous pouvez également acheter les produits Keynote
sur le Web.
Assistance technique
Différentes options d’assistance sont disponibles pour les utilisateurs de Keynote. Pour
en savoir plus, consultez le guide d’assistance et de service logiciel AppleCare fourni
avec la documentation de Keynote ou choisissez Aide > Service et assistance.
Pour afficher une balise d’aide, positionnez le pointeur sur un élément.21
1
1 Vue d’ensemble de Keynote
Ce chapitre présente les fenêtres et les outils
que vous utilisez pour créer des présentations
avec Keynote.
Lorsque vous créez des diapositives dans Keynote, vous créez un document Keynote.
Le diaporama entier (avec tous les graphismes, fichiers multimédia et données de graphique) est enregistré dans ce document. Cela signifie que vous pouvez facilement
déplacer la présentation d’un ordinateur à l’autre. Vous pouvez ajouter des séquences
et du son à votre document puis les enregistrer dans votre document Keynote, ce qui
vous évite d’avoir à transférer ces fichiers séparément.
La fenêtre de Keynote
La fenêtre Keynote est divisée en trois sections :
 Le canevas.
 Le classeur de diapositives.
 Le champ de notes.
Ces sections permettent d’afficher des vues détaillées de vos diapositives et de votre
diaporama pendant que vous travaillez. Vous pouvez ainsi facilement classer vos diapositives et les parcourir, même avec de longs diaporamas.22 Chapitre 1 Vue d’ensemble de Keynote
Le canevas
C’est dans le canevas que vous créez chaque diapositive. Vous pouvez facilement ajouter des fichiers de graphismes, de séquences et de son au canevas en les faisant glisser.
Vous pouvez créer un diaporama à partir d’un thème (une famille de modèles de diapositives) afin de garantir une présentation cohésive et de grande qualité visuelle.
Les modèles de diapositives proposent des dispositions prédéfinies adaptées à divers
types de diapositives ainsi que des polices, des textures, des propriétés de graphique
et bien d’autres choses encore. Chaque thème présente plusieurs exemples de modè-
les de diapositives, ce qui facilite l’ajout de titres, de texte à puces et de graphismes.
Le canevas : créez vos diapositives
en tapant du texte et en ajoutant
des fichiers multimédia.
La barre d’outils : personnalisez-la en y incorporant les outils
que vous utilisez le plus souvent.
Le champ de notes : ajoutez des
commentaires à vos diapositives.
Vous pourrez consulter ces commentaires au cours de votre présentation ;
vous seul pourrez les voir.
Le classeur de diapositives : affichez une
structure visuelle de votre présentation.
Vous pouvez afficher les diapositives de
votre présentation sous forme de vignettes
ou uniquement le plan de la présentation.Chapitre 1 Vue d’ensemble de Keynote 23
Il est possible que vous souhaitiez effectuer un zoom avant ou arrière pendant que
vous travaillez sur vos diapositives afin d’en avoir une vision plus nette.
Pour effectuer un zoom avant ou arrière sur le canevas :
m Choisissez un niveau d’agrandissement dans le menu local situé dans le coin inférieur
gauche du canevas. Ou choisissez Présentation > Zoom > [niveau de zoom].
Différents modes d’affichage
Keynote vous permet de choisir entre quatre modes d’affichage destinés à rendre
votre travail plus efficace.
 Navigateur : en mode navigateur, utilisez le classeur de diapositives situé à gauche
de la fenêtre Keynote pour classer les diapositives de votre présentation. Cet affichage
présente une vignette de chaque diapositive. Vous pouvez réorganiser les diapositives
en les faisant glisser, et mettre des diapositives en retrait pour les regrouper. Le mode
navigateur convient bien aux présentations contenant de nombreux graphismes.
 Structure : utilisez le mode structure pour afficher une version texte de vos diapositives dans le classeur. Ce mode d’affichage est utile pour les présentations contenant
surtout du texte. Comme pour le mode navigateur, vous pouvez réorganiser et mettre
en retrait les diapositives.
 Diapositive : passez en mode diapositive lorsque vous voulez masquer les classeurs
de diapositives et vous concentrer uniquement sur ces dernières.
 Table lumineuse : ce mode d’affichage permet de présenter vos diapositives comme
si elles étaient placées sur la table lumineuse d’un photographe. Vous pouvez déplacer les diapositives jusqu’à ce que leur ordre vous convienne.
Pour passer d’un mode d’affichage à l’autre :
m Cliquez sur Afficher dans la barre d’outils et sélectionnez une option (ou choisissez
Présentation > Navigateur, Structure, Table lumineuse ou Diapositive).
Pour masquer le classeur de diapositives :
m Cliquez sur le bouton Afficher et choisissez Diapositive ou Table lumineuse
(ou choisissez Présentation > Diapositive).24 Chapitre 1 Vue d’ensemble de Keynote
Affichage en mode navigateur
En mode navigateur, le classeur de diapositives affiche une vignette de chaque diapositive de votre présentation, ce qui rend plus facile la visualisation de l’ensemble des
présentations contenant de nombreux graphismes.
Pour vous aider à agencer votre présentation, vous pouvez regrouper les diapositives
en les mettant en retrait et créer ainsi une “structure visuelle” de l’ensemble de la pré-
sentation. Vous pouvez afficher ou masquer des groupes de diapositives en cliquant
sur les triangles d’affichage. Il est également possible d’ignorer des diapositives de
manière à ce qu’elles n’apparaissent pas lors de la présentation à un public.
Pour activer le mode navigateur :
m Cliquez sur Afficher dans la barre d’outils et choisissez Navigateur (ou choisissez
Présentation > Navigateur).
Vous pouvez visualiser vos modèles de diapositives dans l’affichage en mode navigateur en faisant glisser la barre vers le haut (ou en cliquant sur Afficher dans la barre
d’outils et en choisissant “Afficher les modèles de diapositive”). Utilisez les modèles de
diapositives pour créer vos propres thèmes et vos propres modèles. (Pour savoir comment créer vous-même vos thèmes et modèles de diapositives, consultez le chapitre 9,
“Conception de vos propres thèmes et modèles de diapo”.)
Faites glisser la barre du haut du
navigateur pour que les modèles
de diapositives s’affichent.
Visualisez en un seul coup d’œil les graphismes de chacune de vos diapositives.
Organisez vos diapositives en les mettant
en retrait. Pour mettre en retrait une diapositive, faites-la glisser ou sélectionnez-la
et appuyez sur la touche Tab.
Cliquez sur les triangles d’ouverture
pour afficher ou masquer les groupes
de diapositives mis en retrait.Chapitre 1 Vue d’ensemble de Keynote 25
Utilisation des diapositives
Lorsque vous créez un nouveau diaporama, Keynote crée automatiquement une diapositive de titre pour vous. Lorsque vous ajoutez la première diapositive après celle-ci,
Keynote passe automatiquement à la présentation de diapositive “Titre et puces”, à
moins que vous ne choisissiez un autre modèle pour la première diapositive. Vous
pouvez changer le modèle utilisé pour cette diapositive ou n’importe quelle autre
en cliquant sur Modèle dans la barre d’outils et en choisissant une autre disposition.
Si vous choisissez un autre modèle pour la première diapositive, la prochaine que vous
insérerez utilisera le modèle que vous avez choisi. Lorsque vous ajoutez une nouvelle
diapositive, celle-ci utilise le même modèle que la diapositive sélectionnée (sauf dans
le cas mentionné ci-dessus).
Pour ajouter une diapositive, procédez de l’une des manières suivantes :
 Sélectionnez une diapositive puis appuyez sur la touche Retour.
 Cliquez sur le bouton Nouveau (+) dans la barre d’outils (ou choisissez Diapositive >
Nouvelle diapositive).
Pour créer un double d’une diapositive :
m Appuyez sur Option et faites glisser une diapositive dans le navigateur jusqu’à ce
que vous voyiez apparaître un triangle bleu (ou choisissez Édition > Dupliquer).
Pour copier une diapositive :
m Sélectionnez une diapositive, choisissez Édition > Copier, sélectionnez une autre
diapositive et choisissez Édition > Coller.
Pour mettre une diapositive en retrait :
1 En mode navigateur, sélectionnez la diapositive que vous désirez mettre en retrait.
Pour sélectionner plusieurs diapositives, maintenez la touche Maj enfoncée et sélectionnez la première et la dernière diapositive de la plage en question.
2 Appuyez sur Tabulation (ou faites glisser la diapositive sélectionnée vers la droite
jusqu’à ce qu’un triangle bleu apparaisse).
Vous pouvez ajouter des mises en retrait en appuyant à nouveau sur la touche Tab.
Vous pouvez mettre en retrait une diapositive seulement d’un niveau par rapport à
la diapositive précédente (diapositive “parent”).26 Chapitre 1 Vue d’ensemble de Keynote
Pour déplacer une diapositive à un niveau de retrait supérieur :
m Sélectionnez la diapositive et appuyez sur Maj + Tab (ou faites glisser la diapositive
vers la gauche).
Pour afficher ou masquer un groupe de diapositives :
m Cliquez sur le triangle d’ouverture à gauche de la première diapositive du groupe.
Pour ignorer une diapositive lors de votre présentation :
m Sélectionnez la diapositive et choisissez Diapositive > Ignorer la diapositive.
Pour afficher une diapositive ignorée :
m Sélectionnez la diapositive (celle-ci apparaît sous forme de ligne dans le classeur
de diapositives) et choisissez Diapositive > Ne pas ignorer la diapositive.
Pour supprimer une diapositive :
m Sélectionnez la diapositive dans le classeur de diapositives et appuyez sur la touche
Suppr.
Si la diapositive avait des diapositives subordonnées regroupées sous elle (diapositives
“enfants”), celles-ci auraient remonté d’un niveau.
Pour supprimer une diapositive et toutes les diapositives regroupées en dessous :
m Réduisez le groupe de diapositives (cliquez sur la flèche à gauche de la diapositive
du niveau supérieur) et appuyez sur la touche Suppr.
Si vous effacez involontairement des diapositives, vous pouvez les récupérer immédiatement en choisissant Édition > Annuler Supprimer.
Pour déplacer un groupe de diapositives :
m Sélectionnez la première diapositive du groupe et faites glisser ce dernier vers un autre
emplacement dans le classeur de diapositives.
Affichage en mode structure
L’affichage en mode structure montre le texte des titres et des puces de chaque diapositive de votre diaporama. Cette structure s’avère particulièrement utile quand il
s’agit de visionner des présentations contenant beaucoup de texte. Tous les titres et
toutes les puces apparaissent lisiblement dans le classeur de diapositives.Chapitre 1 Vue d’ensemble de Keynote 27
Le mode Structure est une solution simple pour ordonner et réorganiser les puces
dans une présentation. Vous pouvez ajouter des puces à un texte directement dans le
classeur de diapositives. Vous pouvez également glisser des puces d’une diapositive à
l’autre ou les glisser vers un niveau supérieur ou inférieur dans une même diapositive.
Pour faire apparaître l’affichage en mode structure :
m Cliquez sur Afficher dans la barre d’outils et choisissez Structure
(ou choisissez Présentation > Structure).
Pour modifier la police de l’affichage en mode structure :
1 Choisissez Keynote > Préférences et cliquez sur Général.
2 Choisissez une police et une taille de police dans le menu local Police du mode plan.
Pour sélectionner une puce et le texte correspondant dans l’affichage en mode
structure :
m Cliquez sur la puce.
Pour sélectionner une puce (ou des puces) et ses puces subordonnées :
m Cliquez sur l’espace situé entre la puce et le texte correspondant et faites-le glisser
vers le bas.
Comme en mode navigateur, vous pouvez ignorer des diapositives afin qu’elles
n’apparaissent pas lors de la lecture de
votre diaporama.
Double-cliquez sur l’icône d’une diapositive pour masquer son texte à puces dans
le classeur de diapositives.
Faites glisser les puces vers la gauche ou
vers la droite pour les placer à un niveau
de retrait inférieur ou supérieur.
Faites glisser les puces dans une autre
diapositive ou faites-les glisser pour
créer une nouvelle diapositive.
En mode structure, le texte apparaît
sous forme de titres et de puces. Vous
pouvez ajouter ou modifier du texte
directement en mode structure.28 Chapitre 1 Vue d’ensemble de Keynote
Pour déplacer une puce vers un niveau de retrait inférieur dans une même
diapositive :
m Cliquez n’importe où sur le texte et appuyez sur la touche Tab ou faites glisser la puce
vers la droite jusqu’à ce qu’un triangle bleu apparaisse.
Vous pouvez également sélectionner (mettre en surbrillance) n’importe quel nombre
de puces et appuyer sur la touche Tab.
Pour déplacer une puce vers un niveau de retrait supérieur dans une même
diapositive :
m Cliquez n’importe où sur le texte et appuyez sur les touches Maj + Tab ou faites glisser
la puce vers la gauche jusqu’à ce qu’un triangle bleu apparaisse.
Pour transférer des puces dans une autre diapositive :
m Faites glisser les puces sélectionnées de la diapositive actuelle à l’autre diapositive.
Pour déplacer des puces d’une seule diapositive et créer une nouvelle diapositive :
m Faites glisser les puces à gauche des autres puces de la diapositive jusqu’à ce qu’un
triangle bleu apparaisse au-dessus d’elle.
Pour placer toutes les puces de diapositive subordonnées aux puces dans la
diapositive précédente :
m Faites glisser l’icône de la diapositive vers la droite.
Toutes les puces de la diapositive sont déplacées vers la diapositive précédente ; la
première puce est au même niveau que la dernière puce de la diapositive précédente.
Pour imprimer le mode structure :
1 Choisissez Fichier > Imprimer
2 Dans la zone de dialogue Imprimer, choisissez Keynote dans le menu local
Copies et pages.
3 Sélectionnez Structure.Chapitre 1 Vue d’ensemble de Keynote 29
Le champ de notes
Utilisez le champ de notes pour saisir ou afficher les notes de chaque diapositive.
Vous pouvez imprimer ces notes ou les afficher sur un autre écran que vous seul
pouvez voir pendant que vous effectuez votre présentation.
Pour que le champ de notes s’affiche :
m Cliquez sur Afficher dans la barre d’outils et choisissez Afficher les notes de l’intervenant
(ou choisissez Présentation > Afficher les notes de l’intervenant).
Pour en savoir plus sur l’affichage de vos notes au cours de la lecture du diaporama,
consultez le chapitre 8, “Affichage, impression et exportation de votre diaporama”.
Commentaires
Les commentaires vous offrent un moyen simple d’enregistrer vos idées et de les placer sur des diapositives en tant que pense-bêtes. Vous pouvez déplacer les commentaires n’importe où sur le canevas. Vos commentaires apparaissent à l’écran pendant la
phase de modification, et ils apparaissent sur l’écran de l’intervenant, mais votre auditoire ne les voit pas lorsque vous lisez la présentation.
Si vous utilisez fréquemment des commentaires, il peut être judicieux d’ajouter le bouton
Commentaires à la barre d’outils. Pour ce faire, choisissez Présentation > Personnaliser la
barre d’outils et faites glisser le bouton Commentaires sur la barre d’outils.
Le champ de notes est
donc une zone que vous
pouvez utiliser comme
aide-mémoire.30 Chapitre 1 Vue d’ensemble de Keynote
Pour ajouter un commentaire :
1 Choisissez Insertion > Commentaire.
2 Tapez une note, une idée ou un pense-bête.
3 Faites glisser le commentaire pour le placer à l’endroit voulu sur le canevas.
Remarque : étant donné que les commentaires sont toujours placés sur le canevas,
ils peuvent masquer une partie du contenu de votre diapositive. Dans ce cas, il vous
suffit de faire glisser les commentaires pour les déplacer ou de les masquer pour faire
apparaître le contenu qui se trouve en dessous.
Pour masquer ou afficher des commentaires :
1 Cliquez sur le bouton Afficher dans la barre d’outils et choisissez Masquer les commentaires (ou choisissez Présentation > Masquer les commentaires).
2 Pour réafficher les commentaires, cliquez sur le bouton Afficher et choisissez
Afficher les commentaires.
Pour redimensionner un commentaire :
m Faites glisser le coin inférieur droit.
Pour fermer un commentaire :
m Cliquez sur la croix x dans le coin supérieur droit.
Pour modifier les styles de texte et les couleurs de fond :
 Texte : reportez-vous à la section “Modification de texte et de propriétés de texte” à
la page 49 pour en savoir plus sur la modification du style de texte et du format.
 Couleur et remplissage : reportez-vous à la section “Utilisation de remplissages
couleurs et image” à la page 89 pour en savoir plus sur la modification de la couleur
de fond dans les commentaires.
Pour imprimer en faisant apparaître les commentaires :
1 Assurez-vous que les commentaires apparaissent sur le canevas, comme décrit
précédemment.
2 Imprimez le document.
Vos commentaires, ainsi que le contenu standard des diapositives, sont imprimés
tels qu’ils apparaissent à l’écran.Chapitre 1 Vue d’ensemble de Keynote 31
Outils Keynote
Les outils de Keynote vous donnent accès, en un seul clic, à la plupart des tâches
que vous devez effectuer lors de la création de présentations.
La barre d’outils
À force d’utiliser Keynote, vous connaîtrez les commandes que vous utilisez le plus
souvent et pourrez alors personnaliser la barre d’outils en ajoutant, supprimant et
réorganisant les boutons qui la composent.
Pour personnaliser la barre d’outils :
 Appuyez sur Contrôle tout en cliquant sur la barre d’outils, puis choisissez
Personnaliser la barre d’outils. Vous pouvez également choisir Présentation >
Personnaliser la barre d’outils.
 Pour ajouter un élément à la barre d’outils, faites glisser son icône vers la barre
d’outils en haut.
 Pour supprimer un élément de la barre d’outils, faites-le glisser à l’extérieur de la
barre d’outils.
 Pour réorganiser les éléments dans la barre d’outils, faites-les glisser à un autre
endroit sur la barre.
 Pour réduire les icônes sur la barre d’outils, sélectionnez Petites icônes.
 Pour n’afficher que les icônes ou le texte, choisissez une option dans le menu local
Afficher.
Cliquez pour choisir
un nouvel affichage,
un nouveau thème ou
un nouveau modèle
de diapositives.
Cliquez sur ces boutons
pour ajouter ou supprimer des diapositives ou
pour lire le diaporama.
Ajoutez une zone de texte libre, une figure,
un tableau, un graphique ou un commentaire.
Transformez un groupe d’objets
en un seul objet (ou décomposez
celui-ci en autant d’objets qui le
constituent) ; déplacez un objet
par-dessus ou par-dessous
d’autres objets.
Ajustez
les images.
Ouvrez la fenêtre
Couleurs ; cliquez
sur la flèche pour
ouvrir la fenêtre
Polices.
Ouvrez la fenêtre Inspecteur
et le Navigateur de média.32 Chapitre 1 Vue d’ensemble de Keynote
Vous pouvez restaurer le jeu par défaut de boutons de barre d’outils en faisant glisser
celui-ci vers la barre d’outils. Cela permet de restaurer le groupe d’icônes d’origine qui
apparaissaient lors de la première ouverture de Keynote.
Si vous ne savez pas très bien à quoi sert un bouton, faites-le glisser dans la barre
d’outils (dans la zone de dialogue Personnaliser) et cliquez sur Terminé. Vous pouvez
à présent placer le pointeur au-dessus de l’icône dans la barre d’outils pour afficher la
description du bouton.
Inspecteurs de Keynote
Grâce aux inspecteurs de Keynote, vous pouvez facilement mettre en forme vos diapositives au cours de votre travail. La plupart des éléments de votre diaporama peuvent être mis en forme à l’aide des dix inspecteurs. Chaque inspecteur contrôle un
aspect de la mise en forme des diapositives. Par exemple, vous utilisez l’Inspecteur
des documents pour sélectionner les réglages du diaporama.
Pour ouvrir la fenêtre Inspecteur :
m Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils (ou sélectionnez Présentation >
Afficher l’Inspecteur).
Cliquez sur l’un des boutons du haut afin d’afficher un inspecteur. Par exemple, si vous
cliquez sur le deuxième bouton à partir de la gauche, l’Inspecteur des diapositives
s’affiche. Plusieurs fenêtres de l’Inspecteur peuvent être ouvertes simultanément.
Cliquez sur l’un de ces
boutons pour afficher
un autre inspecteur.Chapitre 1 Vue d’ensemble de Keynote 33
Pour ouvrir plusieurs fenêtres Inspecteur simultanément :
m Choisissez Présentation > Nouvel Inspecteur.
Navigateur de média
Le Navigateur de média vous permet d’accéder rapidement aux fichiers de musique,
de photos et de séquences que vous pouvez utiliser dans une présentation.
Pour ouvrir le Navigateur de média :
m Cliquez sur Multimédia dans la barre d’outils (ou sélectionnez Présentation >
Afficher le Navigateur de média).
Pour afficher vos fichiers multimédia :
m Choisissez iTunes, iPhoto ou Séquences dans le menu local situé en haut de la fenêtre
du Navigateur de média.
Pour ajouter un fichier multimédia à votre présentation :
m Sélectionnez un fichier de musique, de photos ou de séquences, puis faites-le glisser
sur une diapositive.
Pour rechercher un fichier multimédia :
m Tapez le titre ou le nom du fichier dans le champ de recherche situé en bas de la fenê-
tre du Navigateur de média.
Si vous avez ajouté un titre à une image, Keynote ne trouvera pas cette dernière.
Keynote recherche parmi tous les noms visibles dans le Navigateur de média. Pour
en savoir plus sur le Navigateur de média, reportez-vous à la section “Utilisation du
Navigateur de média” à la page 75.
La fenêtre Couleurs
Utilisez la fenêtre Couleurs de Mac OS X pour choisir les couleurs du texte, des figures
et des ombres.
Pour ouvrir la fenêtre Couleurs :
m Cliquez sur Couleurs dans la barre d’outils (ou sélectionnez Présentation >
Afficher les couleurs).34 Chapitre 1 Vue d’ensemble de Keynote
Le panneau des polices
Keynote utilisant le panneau des polices de Mac OS X, vous pouvez utiliser n’importe
quelle police de votre ordinateur pour vos présentations.
Pour ouvrir le panneau des polices :
m Cliquez sur Polices dans la barre d’outils (ou choisissez Format > Police >
Afficher les polices).
Remarque : si vous utilisez des polices spéciales dans un document Keynote et que
vous souhaitez envoyer celui-ci à quelqu’un, assurez-vous que les polices concernées
sont également installées sur l’ordinateur du destinataire.
Raccourcis
Vous pouvez utiliser le clavier pour exécuter nombre des commandes et tâches des
menus de Keynote. Une liste complète de raccourcis clavier est disponible dans l’aide
en ligne.
Pour visualiser la liste des raccourcis clavier :
m Dans Keynote, choisissez Aide > Raccourcis clavier.
De nombreuses commandes sont également disponibles par l’intermédiaire des menus
contextuels, auxquels vous pouvez accéder directement à partir de l’objet avec lequel
vous travaillez. Les menus contextuels sont particulièrement utiles pour travailler sur
les tableaux et les graphiques.
Pour ouvrir un menu contextuel :
m Maintenez la touche Contrôle enfoncée tout en cliquant sur un objet.35
2
2 Création d’une présentation
Ce chapitre donne un aperçu des tâches et étapes
de base permettant d’élaborer une présentation
de diapositives de qualité professionnelle.
Étape 1 : Sélectionnez un thème
Utilisez les thèmes Keynote pour créer une présentation attractive sans avoir à faire
un travail de conception fastidieux. Chaque thème de Keynote comprend une série
de modèles (appelés modèles de diapositives) contenant du texte stylisé, des puces,
des dispositions et autres fonctionnalités de mise en forme prédéfinis. Les thèmes
Keynote offrent diverses textures et ambiances pour répondre à différentes sortes
de présentations.
Démarrage d’un nouveau projet
Lorsque vous créez un nouveau document Keynote, vous devez choisir un thème
dans le Sélecteur de thème. À tout moment, vous pouvez facilement changer le
thème d’un diaporama Keynote et indiquer un thème particulier pour les nouveaux
documents que vous créez.
Importation d’une présentation PowerPoint ou AppleWorks
Si vous disposez d’une présentation de diapositives créée avec Microsoft PowerPoint
ou AppleWorks d’Apple, vous pouvez l’importer dans Keynote et travailler à nouveau
dessus. Il suffit de faire glisser l’icône du document PowerPoint ou AppleWorks sur
celle de l’application Keynote. Le document s’ouvre alors dans Keynote, et vous pouvez lui appliquer un thème si vous le souhaitez.
Vous pouvez exporter des documents Keynote dans PowerPoint. Pour plus d’informations, consultez la section “PowerPoint” à la page 187.36 Chapitre 2 Création d’une présentation
Pour démarrer un nouveau projet :
1 Double-cliquez sur l’icône Keynote et sélectionnez un thème.
2 Choisissez une taille de diapositive dans le menu local Taille de la diapositive.
Pour une lecture de qualité optimale, la taille de vos diapositives doit être adaptée à
la résolution d’écran du moniteur affichant le diaporama. Keynote offre une résolution
HD de 1920 x 1080 (tous les thèmes ne permettent pas cette résolution). La plupart
des projecteurs fonctionnent de manière optimale avec des diapositives ayant une
résolution de 1024 x 768 ; les projecteurs plus récents peuvent afficher des diapositives à une résolution supérieure. Tous les thèmes de Keynote sont optimisés pour des
résolutions de 800 x 600 et 1024 x 768.
Si votre écran est plus grand que l’une des tailles mentionnées ici, vous pouvez définir
une taille de diapositive personnalisée pour votre présentation Keynote. Pour plus d’informations, reportez-vous à la section “Modifier la taille de la diapositive” à la page 181.
Remarque : les résolutions supérieures requièrent davantage de mémoire et une
puissance de traitement plus rapide.
3 Cliquez sur Choisir.
Modification du thème
Vous pouvez à tout moment changer le thème d’un diaporama.
Pour appliquer un thème différent à votre présentation :
m Cliquez sur Thèmes dans la barre d’outils et faites défiler la liste pour choisir un thème
(ou choisissez Fichier > Sélectionner un thème et sélectionnez un thème).
En utilisant le Sélecteur de thème, vous pouvez choisir d’appliquer le nouveau thème
soit à la diapositive sélectionnée, soit à toutes les diapositives.
Réglage du thème à utiliser pour les nouveaux documents
Vous pouvez spécifier un thème particulier à utiliser pour tous les nouveaux documents
que vous créez. Cela signifie que vous n’avez plus à choisir de thème chaque fois que
vous créez un nouveau diaporama. Vous pouvez toujours à tout moment changer le
thème d’un diaporama.
Pour spécifier le thème à utiliser pour vos nouveaux documents :
1 Choisissez Keynote > Préférences et cliquez sur Général.
2 Sélectionnez Utiliser un thème et cliquez sur Choisir.Chapitre 2 Création d’une présentation 37
3 Sélectionnez le thème voulu, choisissez une taille de diapositive dans le menu local
Taille de la diapositive, et cliquez sur Choisir.
Pour modifier des thèmes ou en créer un, consultez le chapitre 9, “Conception de vos
propres thèmes et modèles de diapo”. Vous pouvez utiliser plusieurs thèmes dans une
même présentation ; pour cela, reportez-vous à la section “Utilisation de plusieurs thè-
mes” à la page 44.
Étape 2 : Créez vos diapositives
Lorsque vous sélectionnez un thème, une seule diapositive apparaît dans le classeur
de diapositives. Vous pouvez commencer à travailler avec cette première diapositive
en y ajoutant du texte, des graphismes, des séquences ou du son. Vous pouvez ajouter autant de nouvelles diapositives au document que nécessaire.
Types de diaporamas
Vous pouvez créer trois types de présentations dans Keynote, selon l’utilisation que
vous souhaitez en faire. Gardez bien en tête le type de présentation que vous souhaitez réaliser à mesure que vous l’élaborez. Sachez que les liens hypertexte sont
disponibles dans une présentation normale, et pas simplement dans une présentation de type Liens uniquement.
 Normal : le contrôle de ces présentations s’effectue à l’aide de la souris ou du clavier de votre ordinateur. Le mode par défaut d’un diaporama est le mode normal
(interactif) sauf si vous choisissez d’en faire un diaporama à lecture automatique
ou un diaporama utilisant uniquement des liens.
 Lecture automatique : ces présentations avancent automatiquement, comme la
lecture d’un film (aucune interaction de l’utilisateur n’est possible). Vous pouvez
par exemple utiliser cette option pour effectuer une présentation dans une borne
interactive. Pour en savoir plus sur ce type de présentation, consultez la section
“Création de présentations à lecture automatique” à la page 171.
 Liens uniquement : vous naviguez dans la présentation en cliquant sur des liens
hypertexte. Pour en savoir plus sur ce type de présentation, consultez la section
“Présentations comprenant uniquement des liens” à la page 173.38 Chapitre 2 Création d’une présentation
Pour ajouter une diapositive, procédez de l’une des manières suivantes :
 Cliquez sur le bouton Nouveau (+) dans la barre d’outils (ou sélectionnez une diapositive dans le classeur de diapositives et appuyez sur la touche Retour). Vous pouvez
également choisir Diapositive > Nouvelle diapositive pour insérer une diapositive.
Important : enregistrez régulièrement votre travail à l’aide de Fichier > Enregistrer.
Pour plus d’informations sur l’enregistrement des documents Keynote, voir “Étape 4 :
Enregistrez votre diaporama” à la page 45.
Utilisation de modèles de diapositives
Au cours de votre travail, vous pourrez utiliser différentes dispositions pour placer du
texte et des graphiques sur des diapositives individuelles. Les modèles de diapositives
proposent les dispositions dont aurez le plus besoin.
Chaque thème de Keynote comporte une famille de modèles de diapositives. La disposition du texte de l’espace réservé au titre et au corps de texte ainsi que la disposition des espaces réservés aux objets graphiques et tableaux sont différentes dans
chaque modèle.
La plupart des thèmes utilisent les modèles de disposition de diapositives suivants :
Modèle de diapositive Utilisation recommandée
Titre et sous-titre Page de titre ou titres de sections dans votre présentation
Titre et puces Contenu
Titre et puces : 2 colonnes Contenu devant apparaître côte à côte sur 2 colonnes
Puces Pages de contenu général requérant du texte à puces.
La diapositive est entièrement recouverte par une zone de texte
Vide Dispositions contenant des graphismes
Titre : en haut ou au centre Page de titre ou titres de sections dans votre présentation
Photo horizontale Photo horizontale avec le titre en dessous
Photo verticale Photo verticale avec le titre et le sous-titre à gauche
Titre, puces et photo Page de titre ou titre de section incluant du texte et une photo
Titre et sous-titre Pages de titre ou titres de section requérant un sous-titre
Titre et puces
(gauche ou droite)
Diapositives de contenu sur lesquelles vous pouvez placer
un texte comportant des puces sur la droite ou sur la gauche
et un graphique de l’autre côté de la diapositiveChapitre 2 Création d’une présentation 39
Lorsque vous créez une diapositive, elle utilise le modèle de diapositive de la diapositive
sélectionnée (sauf si la diapositive sélectionnée est la première diapositive, Titre et soustitre). Vous pouvez modifier le modèle de disposition d’une diapositive à tout moment.
Pour modifier le modèle d’une diapositive :
1 Sélectionnez la diapositive dont vous souhaitez modifier la disposition de modèle.
2 Cliquez sur Modèles dans la barre d’outils.
3 Sélectionnez un modèle de diapositive dans la liste.
Pour plus d’informations sur la manière de modifier les thèmes et les modèles
de diapositives, lisez le chapitre 9, “Conception de vos propres thèmes et modèles de
diapo”.
Ajout de texte
Les modèles de diapositives comprennent des espaces réservés (dont vous remplacez
le texte par celui de votre choix) aux titres des diapositives et au corps de texte. Choisissez un modèle de diapositive doté de la combinaison de titre et de corps de texte
correspondant le mieux au contenu de la diapositive.
La police du texte de titre est plus grosse que celle du corps de texte. La plupart des
corps de texte comprennent des puces (précédées d’un “point” ou autre motif), mais
vous pouvez passer d’un texte avec puces à un texte sans puces. Pour en savoir plus
sur la mise en forme du texte, reportez-vous à la section reportez-vous à la section
“Utilisation de l’Inspecteur de texte” à la page 51.
Si la diapositive sur laquelle vous travaillez ne contient ni un titre ni un corps de texte,
vous pouvez soit choisir un autre modèle, soit cocher les cases Titre ou Corps dans la
sous-fenêtre Apparence de l’Inspecteur des diapositives.
Pour ajouter un titre à une diapositive :
m Double-cliquez sur une zone de titre du canevas de la diapositive et tapez votre texte.
Pour ajouter du texte :
m Cliquez sur une zone de corps de texte du canevas de la diapositive et commencez
à taper votre texte.
 Pour vous déplacer sur la ligne suivante, appuyez sur Retour.
 Pour placer une ligne en retrait, appuyez sur la touche de tabulation.
 Pour appliquer un retrait supplémentaire, appuyez sur les touches Maj + Tab.40 Chapitre 2 Création d’une présentation
Pour en savoir plus sur la création des zones de texte, reportez-vous à la section
“Ajout de zones de texte” à la page 49.
Vous pouvez modifier le style du texte et des puces de vos diapositives à l’aide de l’Inspecteur du texte et de l’Inspecteur des graphismes. Pour plus de détails sur l’utilisation
des inspecteurs de modification du texte, y compris de modification du style des puces,
consultez le chapitre 3, “Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données”.
Ajout de graphismes
Vous pouvez facilement ajouter des photos, des fichiers audio et des séquences à votre
présentation. Pour en savoir plus, reportez-vous à la section “Ajout d’audio et d’autres
médias” à la page 74.
Double-cliquez sur une zone de titre
et tapez un titre. La police et la taille
du texte sont prédéfinis pour vous.
Faites glisser un fichier
image du Navigateur de
média ou du Finder sur
votre diapositive.
Double-cliquez sur une zone de
corps de texte et tapez. Un texte
est créé. Le style, la police et la
taille du texte sont prédéfinis.Chapitre 2 Création d’une présentation 41
Pour ajouter un graphisme à une diapositive, effectuez l’une des opérations
suivantes :
 Cliquez sur Multimédia dans la barre d’outils pour ouvrir le Navigateur de média
(ou choisissez Présentation > Afficher le Navigateur de média), choisissez iPhoto
et faites glisser une photo sur le canevas.
 Faites glisser un fichier image du Finder dans le canevas de la diapositive.
 Choisissez Insertion > Choisir, sélectionnez le fichier image, puis cliquez sur Insérer.
 Pour créer une diapositive incorporant un graphisme, faites glisser le fichier image
du Finder dans le classeur de diapositives.
Vous pouvez modifier les couleurs, l’alignement, l’orientation ainsi que d’autres proprié-
tés d’un graphisme à l’aide des inspecteurs. Les images peuvent être ajustées dans la
fenêtre Ajuster l’image. Le positionnement, la taille et l’orientation des objets se configurent dans l’Inspecteur des dimensions. Les attributs d’ombre, de remplissage couleur
et d’opacité se définissent dans l’Inspecteur des dimensions. Pour plus d’informations
sur la configuration d’attributs à l’aide des inspecteurs, lisez le chapitre 3, “Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données”.
Vous pouvez utiliser des tableaux ou des graphiques afin de présenter des données
complexes ou numériques sous un format visuel facilement compréhensible ; Keynote
propose des tableaux et des graphiques adaptés à chaque thème. Pour plus d’informations sur la manière d’insérer des tableaux et des graphiques, lisez le chapitre 5, “Création de tableaux”, et le chapitre 6, “Création de graphiques”.
Utilisation des guides d’alignement et des règles
Lorsque vous déplacez du texte et des graphismes dans le canevas d’une diapositive,
des guides d’alignement de couleur jaune apparaissent. Ces guides s’activant selon le
contexte (guides locaux) sont là pour vous aider à centrer et aligner des objets dans le
canevas. Ils sont visibles lorsque le centre ou le bord d’un objet est aligné sur le centre
ou le bord d’un autre objet, ou sur le centre du canevas d’une diapositive. Vous pouvez
créer vos guides d’alignement pour vous aider à placer des éléments de diapositive
précisément à la même position d’une diapositive à l’autre. Les guides d’alignement
(y compris ceux que vous créez) n’apparaissent pas au cours d’une présentation ; ils
sont uniquement visibles lorsque vous modifiez une diapositive.42 Chapitre 2 Création d’une présentation
Keynote affiche également les abscisses et les ordonnées de l’angle supérieur gauche
de l’objet lorsque vous déplacez celui-ci dans le canevas d’une diapositive ou l’angle
de l’objet lorsque vous le faites pivoter. Lorsque vous redimensionnez un objet, des
balises affichent la hauteur et la largeur de l’objet.
Vous pouvez activer des règles qui vous aideront à aligner des objets dans le canevas.
Les règles vous indiquent la distance d’incrémentation spécifiée entre un objet et les
bords de la diapositive.
Pour activer les règles :
m Cliquez sur le bouton Afficher dans la barre d’outils et choisissez Afficher les règles
(ou choisissez Présentation > Afficher les règles).
Pour modifier l’unité de mesure des règles :
1 Choisissez Keynote > Préférences et cliquez sur Règles.
2 Choisissez un élément dans le menu local Unités de la règle.
Assurez-vous que l’option “Afficher en pourcentage les unités de la règle” est décochée.
La cocher entraînerait l’affichage des mesures sur la diapositive sous forme de pourcentages plutôt que dans l’unité de mesure choisie.
Pour placer l’origine horizontale de la règle sur le bord gauche de la diapositive :
m Dans la sous-fenêtre Règles des Préférences de Keynote, désélectionnez la case
“Placer l’origine au centre de la règle”.
Après avoir placé les graphismes aux endroits souhaités, vous pouvez les verrouiller
sur le canevas afin d’éviter qu’ils ne soient déplacés involontairement par la suite.
Pour verrouiller un objet sur le canevas d’une diapositive :
m Sélectionnez un objet et choisissez Disposition > Verrouiller.
Il est impossible de modifier un objet qui a été verrouillé dans le canevas d’une
diapositive. Pour déverrouiller un objet, sélectionnez-le et choisissez Disposition >
Déverrouiller.
Remarque : si vous verrouillez et déverrouillez souvent des objets, vous pouvez
ajouter les boutons correspondants à la barre d’outils. Choisissez Présentation >
Personnaliser la barre d’outils.Chapitre 2 Création d’une présentation 43
Modification de l’apparence et du rôle des guides d’alignement
Vous pouvez placer vos guides d’alignement sur n’importe quelle diapositive pour
vous aider à aligner des objets comme vous le souhaitez.
Pour placer des guides d’alignement sur une diapositive :
1 Cliquez sur le bouton Afficher dans la barre d’outils et choisissez Afficher les règles
(ou choisissez Présentation > Afficher les règles).
Les règles apparaissent en haut et à gauche du canevas.
2 Placez le pointeur sur une règle et faites-la glisser dans le canevas.
3 Faites glisser le guide jaune là où vous le souhaitez dans le canevas.
Vous pouvez ajouter des guides d’alignement à un modèle de diapositive de manière
à ce qu’ils apparaissent sur chaque nouvelle diapositive créée à partir de ce modèle.
Pour plus d’informations, reportez-vous à la section “Ajout de guides d’alignement” à
la page 197.
Pour supprimer un guide d’alignement placé dans une diapositive :
m Faites glisser le guide d’alignement vers l’extérieur du canevas.
Si les guides d’alignement vous gênent dans votre travail, vous pouvez les masquer
temporairement.
Pour masquer temporairement les guides d’alignement locaux :
m Maintenez la touche Commande enfoncée lorsque vous faites glisser un objet.
Vous pouvez désactiver les guides d’alignement locaux ainsi que les balises de taille
et de position dans la sous-fenêtre Règles des Préférences de Keynote. Vous pouvez
faire apparaître les guides d’alignement uniquement lorsque les bords des objets sont
alignés, ou lorsque les centres des objets sont alignés.
Pour modifier le comportement des guides d’alignement et des balises affichés
lorsque vous déplacez les objets :
1 Choisissez Keynote > Préférences et cliquez sur Règles.
2 Pour désactiver les guides qui apparaissent lorsque le centre d’un objet s’aligne sur
un autre objet ou sur le centre du canevas, décochez l’option Afficher les guides au
centre de l’objet.44 Chapitre 2 Création d’une présentation
3 Pour activer les guides d’alignement qui apparaissent lorsque les bords d’un objet
s’alignent sur un autre objet ou sur le centre du canevas, sélectionnez “Afficher les
guides sur les bords de l’objet”.
4 Pour désactiver les balises de taille et de position, cliquez sur Général et désélectionnez
“Afficher la taille et la position des objets lors de leur déplacement”.
Si vous modifiez fréquemment les guides d’alignement, il peut être judicieux d’ajouter le
bouton Guides à la barre d’outils. Pour ce faire, choisissez Présentation > Personnaliser
la barre d’outils et faites glisser le bouton Guides sur la barre d’outils.
Pour changer la couleur des guides d’alignement :
m Dans la sous-fenêtre Règles des Préférences de Keynote cliquez sur le cadre de couleur
des guides d’alignement et sélectionnez une couleur dans la fenêtre Couleurs.
Étape 3 : Classez vos diapositives
Changez l’ordre des diapositives de votre présentation en les faisant glisser dans l’une
des vues du classeur de diapositives.
Vous pouvez classer vos diapositives dans une structure en mettant en retrait des
ensembles de diapositives ayant un lien entre eux et en affichant ou en masquant des
diapositives individuelles ou des groupes de diapositives à mesure que vous travaillez.
Mettre en retrait ou masquer des diapositives dans le classeur de diapositives n’a aucun
effet sur la dynamique de la présentation finale. Il s’agit seulement de classer plus facilement de grands groupes de diapositives et de les parcourir.
Pour en savoir plus sur la mise en retrait et le classement des diapositives, consultez
la section “Différents modes d’affichage” à la page 23.
Utilisation de plusieurs thèmes
À mesure que vous élaborez votre présentation, il est possible que vous souhaitiez
utiliser différents thèmes en fonction de vos diapositives. Par exemple, vous pouvez
sélectionner un thème si les diapositives traitent des performances commerciales
passées et un autre thème si vous évoquez les perspectives de vente.
Pour utiliser plusieurs thèmes dans un document :
1 Dans le classeur de diapositives, sélectionnez la diapositive ou les diapositives
auxquelles vous souhaitez appliquer un thème différent.Chapitre 2 Création d’une présentation 45
2 Pour changer simplement le thème des diapositives sélectionnées, cliquez sur Thèmes
dans la barre d’outils et choisissez un autre thème.
3 Pour les autres options, choisissez Fichier > Sélectionner un thème.
4 Choisissez Diapositives sélectionnées dans le menu local Appliquer sur.
Si vous souhaitez appliquer le nouveau thème à toutes les diapositives, et non pas
simplement aux diapositives sélectionnées, choisissez Toutes les diapositives dans
le menu local Appliquer sur.
5 Si vous avez modifié les valeurs par défaut s’appliquant à un thème sur des diapositives
individuelles et que vous souhaitez les incorporer au nouveau thème, sélectionnez
“Appliquer les modif. aux thèmes par défaut”.
Par exemple, si vous changez le remplissage de fond de quelques diapositives et que
vous voulez garder le même remplissage dans le nouveau thème, cochez cette case.
Dans le cas contraire, les diapositives utilisent alors le remplissage de fond du nouveau
thème.
6 Cliquez sur Choisir.
Se déplacer dans la présentation
Vous pouvez facilement accéder à la première ou à la dernière diapositive de votre
présentation ou à la précédente ou à la suivante.
Pour accéder rapidement à une diapositive :
m Choisissez Diapositive > Aller à > [option].
Étape 4 : Enregistrez votre diaporama
Vous devez enregistrer votre diaporama régulièrement. Keynote propose des options
spéciales permettant d’enregistrer votre diaporama ; vous pouvez même enregistrer sa
version précédente ainsi que des fichiers audio et vidéo en tant que partie de la pré-
sentation. Pour plus d’informations, reportez-vous à la section “Types de diaporamas”
à la page 37.
Pour enregistrer un fichier Keynote :
1 Choisissez Fichier > Enregistrer.
2 Saisissez un nom de diaporama et choisissez l’emplacement où vous souhaitez
l’enregistrer.
3 Cliquez sur Enregistrer.46 Chapitre 2 Création d’une présentation
Keynote comprend des options d’enregistrement avancées pour les circonstances
spéciales. Pour afficher ces options, cliquez sur le triangle d’affichage (situé à droite
du nom du fichier) dans la zone de dialogue Enregistrer.
 Lorsque vous ajoutez du son ou des séquences à votre diaporama, Keynote les enregistre automatiquement avec le fichier. Cela est utile si vous prévoyez de transférer
le diaporama sur un autre ordinateur. Si vous ne souhaitez pas enregistrer le fichier
de cette façon, cliquez sur Options avancées, puis désélectionnez “Copier l’audio et
la vidéo dans le document” (cette option est activée par défaut).
Si vous désélectionnez cette option et que vous transférez le diaporama vers un autre
ordinateur, vous devez également transférer les fichiers audio et vidéo. Si vous sélectionnez cette option, le volume du fichier sera plus important, il est donc préférable
d’inclure les fichiers multimédias (en utilisant Enregistrer sous) uniquement lorsque
vous êtes prêt à transférer le diaporama vers un autre ordinateur.
 Si le thème n’a pas été installé dans l’ordinateur sur lequel vous ouvrez la présentation, sélectionnez “Copier les images thématiques dans le document”.
Cette option garantit que tous les éléments du thème apparaissent correctement
même si le thème manque. Si vous sélectionnez cette option, le volume du fichier
du document est alors plus important.
Si vous apportez des modifications à votre diaporama, vous pouvez enregistrer une
version précédente.
Pour sauvegarder une copie de la version précédente lorsque vous enregistrez
un document Keynote :
1 Choisissez Keynote > Préférences et cliquez sur Général.
2 Sélectionnez “Créer une copie de sauvegarde de la version antérieure”.
3 Choisissez Fichier > Enregistrer.
Si vous sélectionnez cette préférence, chaque fois que vous enregistrez votre document, sa version enregistrée précédente est renommée “Copie de sauvegarde de
” et placée dans le même dossier que votre document. Cette
copie de sauvegarde n’inclut pas les modifications apportées depuis le dernier
enregistrement ; le document comprenant les dernières modifications reste ouvert.
(Même si l’option est activée, vous n’obtiendrez pas de copie de sauvegarde la première fois que vous enregistrez un document.)Chapitre 2 Création d’une présentation 47
Étape 5 : Lecture de votre diaporama
Une fois votre présentation terminée, vous pouvez l’afficher sur l’écran de votre ordinateur ou la projeter sur un écran destiné à un plus large public.
Pour lire la présentation sur votre ordinateur :
1 Dans Finder, double-cliquez sur l’icône du document Keynote.
2 Cliquez sur Exécuter dans la barre d’outils (ou choisissez Présentation >
Lancer le diaporama).
Remarque : cliquez sur le bouton Exécuter pour lancer le diaporama à partir de la diapositive sélectionnée. Pour lancer le diaporama à partir du début (même si la première
diapositive n’est pas sélectionnée), appuyez sur la touche Option tout en cliquant sur
le bouton Exécuter.
3 Cliquez pour passer à la diapositive suivante.
4 Pour interrompre le diaporama, appuyez sur les touches Q ou Échap.
Keynote propose de nombreuses options pour partager votre diaporama.
Vous pouvez notamment :
 Lire le diaporama sur un grand écran ou sur un écran secondaire.
 L’enregistrer et le partager sous la forme d’une séquence QuickTime ou Flash,
d’un fichier PDF ou d’une présentation PowerPoint.
 Imprimer la présentation.
Pour plus de détails sur la visualisation et le partage de vos présentations, consultez
le chapitre 8, “Affichage, impression et exportation de votre diaporama”.49
3
3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données
En incorporant du texte, des graphismes, du son et
des séquences, vous pouvez créer de remarquables
présentations avec Keynote.
Il est facile d’ajouter et de modifier du texte ainsi que les autres éléments que vous
utilisez dans une présentation. Ce chapitre explique en détail comment ajouter divers
types de données à vos présentations.
Modification de texte et de propriétés de texte
Pour ajouter du texte à une zone de texte ou à une figure, cliquez pour sélectionner
votre zone de texte ou votre figure et saisissez votre texte.
Pour saisir et modifier du texte dans une zone de texte :
1 Sélectionnez la zone de texte, ou double-cliquez sur le texte, et commencez à taper.
2 Ajustez la couleur, l’alignement et la police du texte à l’aide de l’Inspecteur du texte ou
du panneau des polices, comme décrit dans la section “Mise en forme des textes à puces
et des listes numérotées” à la page 50.
Ajout de zones de texte
Plusieurs modèles de diapositive comportent des zones de texte, mais vous pouvez
ajouter une “zone de texte libre” à une diapositive et la déplacer où vous voulez. Les
zones de texte libres sont similaires aux zones de texte fournies dans différents modè-
les de diapositive. La principale différence est que, dans les zones de texte libres, le
texte n’apparaît pas en mode structure.
Pour créer une zone de texte libre :
1 Cliquez sur Texte dans la barre d’outils (ou choisissez Insertion > Texte).
2 Dans la zone qui s’affiche, double-cliquez sur le texte et saisissez votre texte.50 Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données
Remarque : vous pouvez ajouter des puces aux paragraphes des zones de texte libres.
Pour créer des puces mises en forme (dans lesquelles tout le texte est aligné et les
puces “accrochent”), vous devez utiliser la sous-fenêtre Puces de la fenêtre Inspecteur
du texte. Pour en savoir plus, reportez-vous à la section “Mise en forme des textes à
puces et des listes numérotées” à la page 50.
3 Après avoir saisi votre texte, cliquez en dehors de la zone de texte. Vous pouvez également appuyer simultanément sur les touches Commande et Retour pour arrêter les
modifications et sélectionner la zone de texte.
4 Faites glisser les poignées de sélection dans la zone de texte pour modifier sa largeur.
Automatiquement, les zones de texte libres s’allongent ou rétrécissent verticalement
pour s’adapter à la longueur de votre texte. Il est impossible de les agrandir en faisant
glisser le pointeur. Si vous voulez allonger une zone de texte libre sans modifier la taille
de son contenu, faites glisser les poignées de sélection pour la rendre plus étroite
(c’est-à-dire l’obliger à se développer verticalement).
Vous pouvez faire glisser des zones de texte n’importe où dans une diapositive.
Pour plus d’informations sur la modification des zones de texte, consultez la section
“Redimensionnement, déplacement et superposition d’objets” à la page 68.
Remarque : vous pouvez taper du texte dans une figure. Reportez-vous à la section
“Ajout de texte à des figures” à la page 65.
Mise en forme des textes à puces et des listes numérotées
Vous pouvez modifier les propriétés du texte (notamment la police, la couleur ou
l’espacement des lignes et des mots). Pour les textes à puces, toute une gamme de
styles de puces et de numérotation est à votre disposition. Vous pouvez même utiliser une image personnelle qui servira de puce. La plupart des modifications se font
dans l’Inspecteur du texte et le panneau des polices.
Modification de la police
Vous pouvez créer des effets graphiques attrayants avec le texte en modifiant la couleur, l’ombre, l’opacité et l’orientation à l’écran. Pour en savoir plus sur ces options,
reportez-vous au chapitre 4, “Modification des propriétés des objets”.
Pour modifier la police :
1 Sélectionnez le texte à modifier et cliquez sur Polices dans la barre d’outils
(ou choisissez Format > Police > Afficher les polices).
2 Dans la sous-fenêtre Police, sélectionnez une collection, une famille, un style et une taille.Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données 51
Utilisation de l’Inspecteur de texte
Dans l’Inspecteur du texte, vous pouvez ajuster toutes les propriétés essentielles relatives au texte de vos diapositives. Utilisez cet inspecteur pour changer la couleur, l’alignement et l’espacement du texte sélectionné. Si vous sélectionnez un texte à puces,
vous pouvez changer le style de ces dernières.
Pour ouvrir l’Inspecteur du texte :
m Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils (ou choisissez Présentation >
Afficher l’Inspecteur, puis cliquez sur le bouton de l’Inspecteur du texte).
Pour modifier la couleur du texte :
1 Sélectionnez le texte à modifier (ou cliquez dans le texte pour placer le point
d’insertion).
2 Dans l’Inspecteur du texte, cliquez sur le cadre de couleur.
3 Dans la fenêtre Couleurs, sélectionnez une couleur.
Modification de l’alignement et de l’espacement du texte
Dans une zone de texte, le texte peut être aligné à gauche, à droite, au centre ou à la
fois à droite et à gauche (on dit qu’il est “justifié”). Vous pouvez également aligner le
texte en partant du haut, du centre ou du bas de la zone de texte.
Cliquez sur le cadre de couleur
pour modifier la couleur du
texte sélectionné.
Le bouton Inspecteur du texte
Utilisez ces boutons pour
aligner le texte.
Faites glisser les curseurs pour ajuster
l’espacement des caractères, des
lignes et des paragraphes du texte
sélectionné.
Modifiez l’espacement
entre le texte et la zone
de texte, la cellule ou la
figure qui le contient.52 Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données
Pour ajuster l’alignement du texte :
1 Sélectionnez le texte à modifier.
2 Cliquez sur les boutons d’alignement horizontal ou vertical en haut de l’Inspecteur
du texte.
Remarque : une zone de texte qui contient plus de texte qu’il est possible d’en afficher
sera toujours alignée en haut. L’alignement vertical n’a aucun effet sur les zones de
texte libres.
Pour ajuster l’espace entre les lignes d’un texte dans un paragraphe ou une puce :
1 Sélectionnez le texte à modifier (ou sélectionnez une zone de texte).
2 Dans l’Inspecteur du texte, faites glisser le curseur Ligne afin d’ajuster l’interligne.
Faites glisser le curseur vers la gauche pour rapprocher les lignes sélectionnées ;
faites-le glisser vers la droite afin de les éloigner.
Vous pouvez définir des valeurs précises de points d’interligne du texte d’un paragraphe ou encore utiliser les dimensions prédéfinies du menu local Ligne.
Utilisez les boutons d’alignement
vertical pour aligner du texte en
haut, au centre ou en bas de la
zone de texte.
Utilisez les boutons d’alignement
horizontal pour aligner du texte à
gauche, au centre, à droite ou à la
fois à gauche et à droite (justifié).
Menu local Ligne : cliquez sur
le texte en dessous du champ
Ligne et choisissez une option
d’espacement entre les lignes.
Champ Ligne : pour spécifier
l’interligne du texte d’un paragraphe, saisissez une valeur
(ou cliquez sur les flèches).Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données 53
Pour régler précisément l’interligne du texte d’un paragraphe :
1 Sélectionnez le texte à modifier.
2 Dans l’Inspecteur du texte, saisissez une valeur dans le champ Interligne.
3 Choisissez une option dans le menu local Interligne.
 Simple : espace standard entre les lignes du texte.
 Double : ajoute un espace entre les lignes du texte.
 Multiple : définit les valeurs d’interligne entre simple ou double, ou supérieure
à un double interligne.
 Au moins : l’interligne n’est jamais inférieure à la valeur spécifiée ; elle peut même
être supérieure afin que les polices les plus grosses ne se chevauchent pas. Utilisez
ce réglage lorsque la distance entre les lignes doit rester fixe, mais que vous ne voulez pas de chevauchement si le texte est agrandi.
 Entre : augmente l’espacement entre les lignes, au lieu d’augmenter la hauteur des
lignes. À l’inverse, l’interligne double augmente donc la hauteur de chaque ligne de
deux fois.
Pour ajuster l’écart avant ou après un paragraphe ou une puce :
1 Sélectionnez le texte à modifier.
2 Dans l’Inspecteur du texte, faites glisser le curseur Avant le paragraphe ou
Après le paragraphe. Vous pouvez également saisir un montant spécifique
(5 points, par exemple) dans la zone de texte.
Pour ajuster l’écart entre des caractères :
1 Sélectionnez le texte à modifier.
2 Dans l’Inspecteur du texte, faites glisser le curseur d’espacement entre les caractères.
Faites glisser le curseur vers la gauche pour rapprocher les lettres sélectionnées ;
faites-le glisser vers la droite afin de les éloigner.54 Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données
Réglage des tabulations et des mises en retrait du texte
Toutes les zones de texte possèdent des mises en retrait et des tabulations par défaut.
Pour afficher les marqueurs de mise en retrait et de tabulation sur la règle horizontale,
choisissez Présentation > Afficher les règles et sélectionnez du texte dans une diapositive. Faites glisser ces marqueurs pour modifier les mises en retrait et les tabulations.
Pour créer une tabulation :
1 Cliquez sur le texte à ajuster.
2 Cliquez sur la règle horizontale et faites glisser le taquet de tabulation à l’endroit
souhaité.
Pour remplacer une tabulation par un autre type :
m Tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, cliquez sur la tabulation et choisissez un type de tabulation dans le menu contextuel. Vous pouvez également doublecliquer de manière répétée sur l’icône de tabulation dans la règle jusqu’à ce que le
type de tabulation souhaité apparaisse.
Pour insérer un type de tabulation dans un texte à puces ou le texte d’un tableau :
m Appuyez simultanément sur les touches Option et Tab.
Cliquez sur la règle pour créer
une tabulation. Double-cliquez
sur la tabulation pour en modifier le type.
Ces marqueurs indiquent
l’alignement à gauche
d’une puce, la première
ligne du texte et les lignes
suivantes.
Choisissez parmi ces
types de tabulation.Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données 55
Ajustement des mises en retrait dans un texte sans puces
Vous pouvez ajuster les mises en retrait d’un texte sans puces en indiquant où placer
le bord gauche du texte, l’espace entre la marge de gauche et la première ligne et
l’espace à partir de la marge de droite.
Pour régler la mise en retrait d’un texte sans puces :
1 Sélectionnez le texte dont vous souhaitez régler la mise en retrait.
2 Pour régler le bord gauche du texte, faites glisser le marqueur de mise en retrait
à gauche.
3 Pour définir l’endroit où commence la première ligne du texte, faites glisser l’icône
rectangulaire (“Retrait de la première ligne”, sur l’illustration ci-dessus).
4 Pour régler la marge à droite, faites glisser le marqueur de mise en retrait à droite.
Ajustement des mises en retrait dans un texte à puces
Pour définir des mises en retrait pour du texte à puces, utilisez la sous-fenêtre Puces
de l’Inspecteur du texte.
Pour régler la mise en retrait d’un texte à puces :
1 Sélectionnez le texte à mettre en forme.
2 Dans l’Inspecteur du texte, cliquez sur Puces.
3 Tapez un nombre dans le champ Retrait des puces ou Retrait du texte, ou cliquez
sur les flèches.
Modification de l’encart de marge
Vous pouvez modifier l’espacement entre le texte et l’élément qui le contient (zone de
texte, figure ou cellule). Cet écart est appelé “encart de marge”. La quantité indiquée
est appliquée de manière uniforme des quatre côtés du texte.
Remarque : il est impossible d’appliquer l’encart de marge à un texte à puces.
Retrait de la première ligne Retrait à droite
Retrait à gauche
Spécifiez la valeur de
l’espace autour du texte.56 Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données
Pour ajuster l’espace autour du texte :
1 Sélectionnez le texte que vous venez de taper.
2 Dans l’Inspecteur du texte, faites glisser le curseur Insérer une marge, saisissez une
valeur dans la zone Insérer une marge (ou cliquez sur les flèches) et appuyez sur Retour.
Utilisation des puces et des numéros
Vous pouvez transformer les puces de texte en puces d’image, utiliser votre propre
graphisme pour les puces, ou encore choisir de ne pas utiliser de puces dans le texte.
Vous pouvez convertir les puces en numéros pour créer une liste numérotée.
Remarque : vous pouvez utiliser du texte à puces à la fois dans les zones de corps
de texte et dans les zones de texte libres.
Pour modifier le symbole des puces :
1 Sélectionnez le texte où se trouve la puce à modifier ou sélectionnez une zone
de corps de texte pour modifier toutes les puces.
2 Dans l’Inspecteur du texte, cliquez sur Puces.
3 Choisissez une option dans le menu local. Pour certaines options, vous pouvez ajuster
la taille et l’alignement vertical en utilisant les champs à droite de l’écran.
 Pas de puces : utilisez cette option pour créer du texte standard sans puces.
 Puces de texte : choisissez une option dans le menu local ou saisissez le ou les
caractères que vous souhaitez utiliser dans la zone de texte. Tous les caractères du
clavier peuvent être utilisés. Pour changer la couleur d’une puce, cliquez sur le cadre
de couleur et choisissez une couleur dans la fenêtre Couleurs.
 Puces d’image : choisissez l’une des images proposées.
Sélectionnez le type de
puces, le style, la couleur,
la position et la taille.
Cliquez pour mettre en
forme les puces.Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données 57
 Image personnalisée : sélectionnez l’une des images de vos fichiers image ou faites
glisser une image du Finder ou du Navigateur de média dans le cadre d’images.
N’utilisez que des petites images en tant que puces de texte, sinon les images
peuvent ne pas conserver leur clarté lorsqu’elles sont réduites.
 Chiffres : choisissez le style de numéro (Arabe ou Romain, par exemple) dans
le menu local.
 Numérotation progressive : les (sous-)paragraphes en retrait sont numérotés
de manière décimale (2.1, 2.2, etc.).
Important : sélectionnez la case Adapter au texte pour conserver le rapport puce/texte
spécifié dans le champ Taille, même si vous modifiez la taille de la police.
Pour ajuster l’alignement vertical d’une puce (par rapport à son texte) :
1 Sélectionnez le texte à modifier.
2 Dans la sous-fenêtre Puces de l’Inspecteur du texte, saisissez une valeur dans la zone
Aligner ou cliquez sur les flèches.
Pour ajuster la taille d’une puce :
m Dans la sous-fenêtre Puces de l’Inspecteur du texte, saisissez une valeur dans la zone
Taille ou cliquez sur les flèches.
La taille des puces du texte sélectionné sera alors supérieure ou inférieure à celle du
texte, selon le pourcentage défini. Le pourcentage est proportionnel à la taille du texte.
Présentation du texte en colonnes
Il peut parfois être utile de créer deux colonnes de texte sur une diapositive (pour pré-
senter deux concepts côte à côte, par exemple). Pour créer des colonnes dans une zone
de texte, utilisez la sous-fenêtre Colonnes de l’Inspecteur du texte.
Pour diviser le texte en colonnes :
1 Sélectionnez la zone de texte à modifier.
2 Cliquez sur Colonnes dans l’Inspecteur du texte.
3 Dans le champ Colonnes, tapez le nombre de colonnes que vous souhaitez créer,
ou cliquez sur les flèches.58 Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données
Le texte que vous tapez dans la première colonne passe dans la seconde lorsque
la première est pleine.
Pour configurer différentes largeurs de colonne :
1 Décochez la case “Largeur de colonne identique”.
2 Pour modifier la largeur, double-cliquez sur une valeur de dimensions de colonne
dans la liste prévue à cet effet et tapez une nouvelle valeur.
3 Pour modifier l’espace entre les colonnes, double-cliquez sur la valeur d’un petit fond
dans la liste des dimensions de colonne et tapez une nouvelle valeur.
Utilisation de graphismes
Keynote est compatible avec tous les formats de fichiers image standard, et notamment
avec les formats suivants :
 GIF
 TIFF
 JPEG
 PDF
 PICT
En outre, Keynote propose des outils permettant d’ajouter des figures élémentaires à
vos diapositives, notamment des triangles, des rectangles et des flèches, ainsi que des
figures personnalisées que vous créez.
Remarque : certaines images peuvent être protégées par un copyright. Assurez-vous
que vous disposez bien de l’autorisation nécessaire pour utiliser les images que vous
souhaitez inclure.
Tapez le nombre de colonnes
que vous souhaitez créer, ou
cliquez sur les flèches.
Les dimensions des
colonnes s’affichent ici.Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données 59
Ajout de figures
Il est possible de dessiner des figures (rectangles, rectangles arrondis, ellipses, triangles et flèches) directement dans Keynote. Vous pouvez dessiner des figures personnalisées avec des courbes ajustables.
Manipuler les figures que vous créez revient au même que manipuler des figures pré-
dessinées. Vos figures peuvent donc contenir du texte. Elles peuvent aussi être redimensionnées et repositionnées, et contenir le style de ligne, la couleur, l’ombre, le
degré d’opacité et l’orientation de votre choix.
Cette section vous montre comment créer vos propres figures personnalisées
et comment modifier le contour de figures prédessinées et personnalisées.
Ajout d’une figure
Vous pouvez ajouter une figure en sélectionnant une figure prédessinée ou
en dessinant la forme directement sur la diapositive.
Pour ajouter une figure :
1 Cliquez sur Figures dans la barre d’outils (ou choisissez Insertion > [figure]).
2 Faites glisser les poignées de sélection pour redimensionner la figure.
Vous pouvez également dessiner des figures de la taille que vous souhaitez sur
le canevas.
Pour créer une figure dans le canevas :
1 Maintenez la touche Option enfoncée tout en cliquant sur Figures dans la barre
d’outils et choisissez une figure.
2 Relâchez la touche Option et déplacez le pointeur au-dessus du canevas jusqu’à
ce qu’il se transforme en réticule.
Pour redimensionner la forme à partir du centre, maintenez la touche Option enfoncée
tout du long en faisant glisser le pointeur sur le canevas.
3 Faites-le glisser dans le canevas de la diapositive pour créer la figure.
Pour imposer la figure (par exemple, pour que les trois côtés d’un triangle soient égaux
entre eux), maintenez la touche Maj enfoncée pendant que vous faites glisser.60 Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données
Ajout d’une figure personnalisée
Vous pouvez créer des figures personnalisées avec une multitude de courbes que
vous pouvez ajuster en fonction de vos besoins.
Pour créer une figure personnalisée :
1 Cliquez sur Figures dans la barre d’outils, puis sélectionnez l’icône de l’outil de dessin
(ou choisissez Insertion > Figure > Dessiner une figure).
Le pointeur, représentant au départ une flèche, se change alors en une petite pointe
de crayon.
2 Cliquez n’importe où dans la diapositive pour créer le premier point de la figure
personnalisée.
3 Pour créer un deuxième point et le connecter au premier via une ligne droite, cliquez
simplement sur un autre endroit.
Pour générer un segment courbe plutôt qu’une ligne droite, cliquez sur le deuxième
emplacement et faites glisser la souris pour modifier l’angle de la courbe ou l’étendre.
Relâchez le bouton de la souris lorsque le tracé de la courbe vous convient.
La ligne reliant les deux points suit le style de trait par défaut défini par le thème que
vous utilisez. Vous pourrez changer le type de ligne ultérieurement à l’aide des réglages Trait de l’Inspecteur des graphismes.
4 Répétez l’étape 3 pour créer des points supplémentaires selon vos besoins. Chaque
fois que vous ajoutez un nouveau point, Keynote le relie au point précédent à l’aide
d’une ligne utilisant le trait actuel et au premier point sans trait. La figure est remplie
avec la couleur de remplissage par défaut pour le thème que vous utilisez, mais vous
pourrez modifier le remplissage par la suite.
Pour supprimer un segment que vous venez de créer, appuyez simplement sur la touche Suppr. Appuyez à nouveau sur la touche Suppr pour supprimer le segment précé-
dent, et ainsi de suite.
5 Pour mettre fin au dessin et fermer la figure (c’est-à-dire ajouter une ligne pleine entre
le dernier et le premier point), cliquez sur le premier point.
Icône de l’outil de dessinChapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données 61
Pour arrêter le traçage mais laisser la figure ouverte (c’est-à-dire qu’aucune ligne n’est
dessinée entre le dernier et le premier point) afin de pouvoir continuer à la manipuler
ultérieurement, appuyez sur la touche Échap ou double-cliquez sur le dernier point créé.
Votre figure est un objet que vous pouvez utiliser comme n’importe quel autre objet.
Pour terminer et fermer la figure ouverte :
1 Cliquez une fois sur la figure pour la sélectionner, puis cliquez une deuxième fois pour
afficher les points qui la composent.
2 Double-cliquez sur l’un des points se trouvant à l’une des extrémités du segment ouvert.
3 Pour ajouter des points, cliquez sur d’autres emplacements.
4 Pour mettre fin au dessin de la figure et la refermer, cliquez sur le point se trouvant
à la fin du segment ouvert.
Modification de figures prédessinées et personnalisées
Vous pouvez modifier le contour des figures prédessinées et personnalisées
en manipulant les points de la figure.
Pour rendre une figure prédessinée modifiable :
m Sélectionnez la figure puis les menus Format > Figure > Rendre modifiable.
Pour rendre une figure personnalisée modifiable :
m Cliquez une fois sur la figure pour la sélectionner, puis cliquez une deuxième fois pour
afficher les points qui la composent.
Pour déplacer un ou plusieurs points :
m Lorsque la figure est modifiable, cliquez sur un point et faites-le glisser vers un autre
emplacement. Pour déplacer plusieurs points à la fois, maintenez la touche Maj enfoncée en cliquant sur différents points, puis faites glisser les points.62 Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données
Pour supprimer un ou plusieurs points :
m Lorsque la figure est modifiable, cliquez sur un point et appuyez sur la touche Suppr.
Vous pouvez aussi supprimer plusieurs points en même temps en cliquant sur chacun
d’entre eux tout en appuyant sur la touche Maj, puis en appuyant sur la touche Suppr.
Pour ajouter un point :
1 Lorsque la figure est modifiable, appuyez sur la touche Option et laissez un instant
le curseur de la souris sur la bordure de la figure. Celui-ci se change alors en sorte
de pointe de crayon.
2 Cliquez sur l’emplacement de la bordure où vous souhaitez ajouter le point.
3 Déplacez le point comme vous le souhaitez.
Pour redessiner une courbe :
1 Rendez la figure modifiable.
2 Cliquez sur un point de la courbe que vous voulez redessiner. Une poignée
de commande apparaît des deux côtés du point.
3 Pour augmenter ou réduire la courbe, faites glisser le point ou l’une des poignées
de commande.
4 Pour modifier l’angle de la courbe, déplacez les poignées de commande dans le sens
des aiguilles d’une montre ou dans le sens contraire. Vous pouvez ainsi produire divers
effets en déplaçant des poignées en même temps ou indépendamment l’une de l’autre.
Prenez le temps de tester les options offertes jusqu’à l’obtention du résultat voulu.
Cliquez sur un point et faites-le
glisser pour modifier la figure.
Faites glisser ou faites pivoter
une des poignées de commande afin de modifier la
courbe.
Vous pouvez également faire glisser
un point pour modifier la courbe.Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données 63
 Pour déplacer des poignées en même temps, appuyez sur la touche Option et faites
glisser l’une d’entre elles.
 Pour ne déplacer qu’une seule poignée, appuyez sur la touche Commande avant
de la faire glisser.
Pour redessiner un segment droit :
1 Rendez la figure modifiable.
2 Cliquez sur un point d’angle.
3 Faites glisser le point dans le sens des aiguilles d’une montre ou dans le sens contraire
pour modifier l’angle séparant deux segments reliés.
Faites glisser le point vers l’intérieur ou vers l’extérieur pour modifier la longueur
d’un des segments.
Pour convertir des points d’angle en points de courbe, et inversement, procédez
de l’une des manières suivantes :
 Pour convertir un point d’angle en point de courbe, rendez la figure modifiable
et double-cliquez sur le point d’angle.
 Au contraire, pour convertir un point de courbe en point d’angle, rendez la figure
pour modifiable et double-cliquez sur le point de courbe.
 Pour convertir tous les points d’angle d’une ou plusieurs figures en points de
courbe, sélectionnez la ou les figures et choisissez les menus Format > Figure >
Arrondir le contour.
 Pour convertir tous les points de courbe d’une ou plusieurs figures en points
d’angle, sélectionnez la ou les figures et choisissez les menus Format > Figure >
Affûter le contour.
Modification de figures prédessinées spécifiques
Certaines figures prédessinées disposent de commandes de modification spéciales
intégrées en plus de celles déjà décrites.
Pour modifier un rectangle aux coins arrondis :
m Faites glisser la commande circulaire vers la gauche pour redresser les coins
et vers la droite pour les arrondir.64 Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données
Pour modifier les flèches simples et doubles :
m Utilisez les trois commandes spéciales pour allonger, raccourcir, affiner ou épaissir
la fin de la flèche sans changer la forme de la tête de la flèche.
Pour modifier une étoile :
m Si vous sélectionnez une figure en étoile, un curseur s’affiche alors. Faites glisser
le curseur pour augmenter ou réduire le nombre de points constituant l’étoile.
Faites glisser pour redresser
ou arrondir le coin.
Faites glisser pour modifier la
longueur de la fin de la flèche.
Faites glisser pour modifier la taille (largeur)
de la tête de la flèche. Le curseur est une flèche
quadridimensionnelle qui peut se déplacer
vers le haut ou vers le bas (en modifiant la largeur de l’arrière de la flèche) ou vers la gauche et vers la droite (en modifiant la taille de
la tête de la flèche).
Faites glisser pour changer les angles
entre les points de l’étoile.
Visualisez le nombre de
points qui composent
actuellement l’étoile.
Faites glisser pour augmenter
ou réduire le nombre de
points constituant l’étoile.Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données 65
Pour modifier un polygone :
m Lorsque vous sélectionnez un polygone, un curseur apparaît. Faites glisser le curseur
afin d’augmenter ou de réduire le nombre de côtés constituant le polygone.
Ajout de texte à des figures
Vous pouvez ajouter du texte à n’importe quel type de figure.
Pour ajouter du texte à une figure :
m Double-cliquez sur la figure souhaitée et saisissez votre texte.
Vous pouvez mettre en forme le texte d’une figure de la même manière que pour
n’importe quel autre texte. S’il y a plus de texte que le texte qui apparaît dans la
figure, l’indicateur de découpage (+) apparaît. Vous pouvez afficher le reste du texte
en redimensionnant la figure.
Modification des couleurs des lignes et du remplissage
Il est possible de changer les couleurs de la ligne et du remplissage d’objets dessinés.
Pour plus d’informations, consultez le chapitre 4, “Modification des propriétés des objets”.
Faites glisser afin d’augmenter
ou de réduire le nombre de
côtés constituant le polygone.
Visualisez le nombre de côtés
constituant actuellement le
polygone.
Le “+” indique que la figure contient plus de texte que le texte
affiché. Pour afficher le reste du
texte, redimensionnez l’objet.66 Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données
Ajout d’images d’iPhoto
Vous pouvez faire glisser des images directement du Navigateur de média
(ou de votre photothèque iPhoto) dans une diapositive.
Pour ajouter une image du Navigateur de média :
1 Cliquez sur le bouton Multimédia dans la barre d’outils (ou choisissez Présentation >
Afficher le Navigateur de média).
2 Choisissez iPhoto dans le menu local et naviguez jusqu’à l’album souhaité.
3 Faites glisser une photo dans la diapositive.
Les images peuvent être placées dans les cellules d’un tableau ou directement sur la
diapositive. Pour obtenir des instructions complémentaires, reportez-vous à la section
“Ajout d’images ou de couleurs d’arrière-plan” à la page 116.
Ajout d’autres graphismes externes
Il est facile d’ajouter des fichiers image créés dans d’autres applications à vos diapositives Keynote.
Pour ajouter un fichier image d’une autre origine :
m Choisissez Insertion > Choisir et sélectionnez le fichier (ou faites glisser le fichier
du Finder dans votre diapositive).
Vous pouvez aussi ajuster l’opacité et l’ombre des objets graphiques ainsi qu’effectuer
des réglages précis de leur positionnement et de leur orientation dans la diapositive.
Pour en savoir plus, voir le chapitre 4, “Modification des propriétés des objets”.
Utilisation de fichiers PDF en tant qu’images
Si vous prévoyez d’augmenter ou de réduire fortement les dimensions d’un graphisme,
envisagez de le convertir au format PDF avant de l’insérer dans Keynote. Les fichiers PDF
ne perdent pas leur précision lorsqu’ils sont redimensionnés. Les autres types de fichier
peuvent ne pas conserver leur clarté aussi bien lorsqu’ils sont agrandis ou réduits.
Les fichiers PDF sont la solution parfaite pour transférer des données tabulaires de
document Excel ou AppleWorks dans Keynote. Si vous désirez afficher dans votre
diaporama des tableaux mis en forme dans ces applications, vous pouvez enregistrer
votre feuille Excel en tant que fichier PDF puis insérer ce fichier PDF dans une diapositive comme vous le feriez avec n’importe quel autre fichier image externe.Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données 67
Pour convertir un fichier AppleWorks ou Excel en fichier PDF :
1 Ouvrez le document Excel ou AppleWorks que vous souhaitez convertir.
2 Choisissez Fichier > Imprimer.
3 Cliquez sur PDF, puis choisissez “Enreg. comme PDF...” dans le menu local.
4 Dans la zone de dialogue Enregistrer, saisissez le nom du fichier PDF, sélectionnez
un emplacement, puis cliquez sur Enregistrer.
Il est également possible d’insérer d’autres types d’objets, par exemple des séquences, des graphiques, des tableaux, des liens hypertexte et des pages Web. Pour en
savoir plus, consultez les sections “Ajout d’une séquence” à la page 78 et “Ajout de
pages Web et de liens” à la page 80 ainsi que le chapitre 5, “Création de tableaux”,
et le chapitre 6, “Création de graphiques”.
Remarque : vous pouvez copier une plage de cellules d’un document Excel et les coller avec leur contenu directement sur une diapositive. Keynote crée alors un nouveau
tableau pour accueillir les données Excel. Vous pouvez également utiliser l’utilitaire
Capture (Finder > Services > Capture) pour créer une image TIFF d’une sélection effectuée dans un document Excel ou AppleWorks.68 Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données
Redimensionnement, déplacement et superposition
d’objets
Une fois le texte et les graphismes déplacés dans le canevas de la diapositive, ces deux
types d’objet fonctionnent à peu près de la même manière. Ils peuvent être déplacés
vers l’avant ou vers l’arrière l’un par rapport à l’autre, et mis en forme ou manipulés de
façon similaire. Les objets groupés s’utilisent de la même manière que les objets individuels. Pour plus d’informations, reportez-vous à la section “Regroupement et verrouillage d’objets” à la page 72.
Pour déplacer un objet :
m Cliquez sur l’objet pour le sélectionner (les poignées de sélection apparaissent)
puis faites-le glisser.
Évitez de faire glisser l’objet à l’aide des poignées de sélection pour éviter de le
redimensionner.
Pour redimensionner un objet :
1 Cliquez sur l’objet afin de le sélectionner.
Si du texte est sélectionné, vous pouvez sélectionner la zone de texte, la figure
ou la cellule en appuyant simultanément sur les touches Commande et Retour.
2 Déplacez le pointeur près d’une poignée de sélection jusqu’à ce qu’il se transforme
en une double flèche.
3 Faites glisser la poignée de sélection pour agrandir ou réduire l’objet.
 Pour redimensionner l’objet à partir du centre, appuyez sur la touche Option tout
en faisant glisser la souris.
 Pour conserver les proportions de l’objet à mesure qu’il est agrandi ou réduit,
appuyez sur la touche Maj tout en faisant glisser la souris.
Pour placer un objet devant ou derrière un autre objet dans le canevas :
1 Sélectionnez l’objet à déplacer.
2 Sélectionnez Disposition > Avancer d’un plan ou Reculer d’un plan.
3 Répétez l’étape 2 jusqu’à ce que l’objet se trouve dans la position souhaitée.
4 Pour déplacer un objet au premier ou au dernier niveau des objets superposés,
choisissez Disposition > Placer au premier plan ou Placer à l’arrière-plan.Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données 69
Pour faire pivoter un objet :
1 Sélectionnez l’objet.
2 Maintenez la touche Commande enfoncée et déplacez le pointeur sur une poignée
de sélection jusqu’à ce qu’il se transforme en double flèche courbée.
3 Faites glisser la poignée de sélection pour faire pivoter l’objet. Ou utilisez la molette
Rotation ou le champ Angle de l’Inspecteur des dimensions.
Masquage (rognage) d’images
Vous pouvez rogner des images sans modifier réellement les fichiers image en masquant
des parties d’images. Le masque contient une fenêtre définissant les bords de l’image
rognée. Cela permet d’importer des images complètes, tout en affichant uniquement
une partie de ces images dans le document. Vous pouvez cependant repositionner et
redimensionner des images masquées.
Le masque par défaut est un rectangle que vous pouvez redimensionner comme vous
le souhaitez. Vous pouvez rogner une image en utilisant le masque par défaut ou utiliser une figure en tant que masque.
Pour masquer une image à l’aide du masque par défaut (de forme rectangulaire) :
1 Insérez le graphisme que vous souhaitez masquer.
2 Sélectionnez l’objet et choisissez Format > Masque. Un masque apparaît au-dessus
de l’image.
Déplacer un objet au premier niveau.
Déplacer un objet au dernier niveau.70 Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données
3 Faites glisser la fenêtre afin de la centrer sur la partie de l’image à afficher.
Faites glisser les poignées de sélection pour redimensionner le masque.
 Pour conserver les proportions de la fenêtre, maintenez la touche Maj enfoncée
à mesure que vous faites glisser les poignées de sélection.
 Pour faire pivoter la fenêtre, maintenez la touche Commande enfoncée à mesure
que vous faites glisser les poignées de sélection.
4 Double-cliquez sur la fenêtre afin de ne rendre visible que la zone masquée.
L’image masquée comporte une ligne pointillée autour de ses bordures visibles.
Faites glisser les poignées
de sélection afin de redimensionner la partie visible d’une image.Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données 71
5 Faites glisser les poignées de sélection afin de redimensionner la partie visible de
l’image ou bien faites glisser ces poignées tout en appuyant sur la touche Commande
pour la faire pivoter ; vous pouvez aussi faire glisser l’image entière afin de la repositionner sur la page.
Remarque : si vous masquez régulièrement des objets, vous pouvez ajouter le bouton
Masquer à la barre d’outils en choisissant Présentation > Personnaliser la barre d’outils.
Le bouton Masquer devient Ne plus masquer lorsque vous sélectionnez une image
masquée.
Pour ne plus masquer une image (pour faire réapparaître toute l’image) :
m Sélectionnez l’image et choisissez Format > Ne plus masquer.
Pour rogner une image en utilisant une figure prédessinée ou personnalisée
en tant que masque :
1 Insérez l’image que vous souhaitez masquer.
2 Ajoutez une figure à la diapositive à utiliser pour le masque.
3 Sélectionnez à la fois l’image et la figure.
4 Choisissez Format > Masquer avec une figure.
5 Faites glisser la figure afin de la centrer sur la partie de l’image à afficher.
Faites glisser ses poignées de sélection afin de la redimensionner.
6 Modifiez le masque à votre guise.
Vous pouvez redimensionner, pivoter et déplacer le masque, et en modifier le contour
après avoir double-cliqué sur le bord de la figure. Pour en savoir plus, reportez-vous à
la section “Modification de figures prédessinées et personnalisées” à la page 61.
7 Double-cliquez sur la fenêtre afin de rendre invisible la zone masquée.
Faites glisser les poignées
de sélection afin de redimensionner ou faire pivoter la partie visible de
l’image.72 Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données
Pour changer la partie visible d’une image masquée :
1 Double-cliquez sur l’image masquée.
2 Cliquez sur la bordure pointillée de la fenêtre redimensionnable afin de la sélectionner.
3 Faites glisser les poignées de sélection afin de redimensionner la partie visible de
l’image ou bien faites glisser ces poignées tout en appuyant sur la touche Commande
pour la faire pivoter ; vous pouvez aussi faire glisser la fenêtre de manière à inclure
une partie différente de l’image.
Regroupement et verrouillage d’objets
Vous pouvez regrouper des objets afin qu’ils puissent être déplacés, copiés, redimensionnés et orientés comme un objet unique. Vous pouvez aussi modifier le texte associé à une figure ou un objet texte faisant partie d’un groupe mais il n’est pas possible
de modifier d’autres attributs d’objets individuels au sein d’un groupe.
Verrouillez les objets sur le canevas afin d’éviter de les déplacer par inadvertance
au cours de votre travail.
Pour regrouper des objets :
1 Maintenez la touche Commande (ou Maj) enfoncée tout en sélectionnant les objets
que vous désirez regrouper sur le canevas.
2 Cliquez sur Grouper dans la barre d’outils (ou choisissez Disposition > Grouper).
Remarque : les objets verrouillés ne peuvent pas être groupés.
Pour dissocier un objet regroupé :
m Sélectionnez l’objet et cliquez sur Dissocier dans la barre d’outils
(ou choisissez Disposition > Dissocier).
Remarque : si vous groupez un objet comportant un effet de composition, l’effet est
supprimé. Séparer un objet groupé comportant une composition supprime l’effet de
composition.
Pour verrouiller des objets sur le canevas :
1 Maintenez la touche Commande (ou Maj) enfoncée tout en sélectionnant les objets
que vous désirez verrouiller sur le canevas.
2 Choisissez Disposition > Verrouiller.
Après avoir verrouillé des objets individuels ou groupés, vous ne pourrez pas les
modifier sans les avoir préalablement déverrouillés.Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données 73
Pour déverrouiller un objet :
m Sélectionnez l’objet et choisissez Disposition > Déverrouiller.
Remarque : si vous verrouillez et déverrouillez des objets régulièrement, vous pouvez
ajouter les boutons Verrouiller et Déverrouiller dans la barre d’outils en choisissant
Présentation > Personnaliser la barre d’outils.
Manipulation de cadres photo (graphismes de canal alpha)
Les thèmes de Keynote vous proposent des “cadres photo” dans lesquels vous pouvez
placer vos images. Vous pouvez ainsi encadrer vos images. Cet effet est créé à l’aide
d’un graphisme (le cadre de la photo) qui contient une zone transparente laissant
apparaître votre image. Cette zone est créée à l’aide d’un canal alpha (un mode de
définition de la transparence) ; un graphisme de canal alpha est une image qui contient une zone transparente.
Les graphismes de canal alpha peuvent également servir à créer une transparence
autour d’une image aux bordures irrégulières (un arbre, par exemple), afin que l’image
ne soit pas entourée d’une zone rectangulaire blanche.
Pour placer une image derrière une fenêtre de cadre photo dans un thème Keynote :
1 Faites glisser l’image du Navigateur de média ou du Finder vers une fenêtre découpée sur le canevas de la diapositive.
Votre photo est placée
derrière le graphisme de
canal alpha et peut être
vue à travers sa région
transparente comme si
elle se trouvait dans un
cadre de photo.
Ce premier plan texturé
sur lequel figurent des
coins de photo et une
bordure blanche est un
graphisme de canal alpha.
La zone située entre les
coins de photo est un
canal alpha transparent.74 Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données
2 Pour redimensionner l’image à l’intérieur du cadre, faites glisser l’une des poignées
de sélection.
3 Faites glisser l’image pour ajuster sa position dans la fenêtre.
Importation de graphismes de canal alpha dans Keynote
Lorsque vous insérez une image à canal alpha dans Keynote, vous n’avez rien d’autre
à faire pour que la transparence fonctionne. Il vous suffit de positionner l’image, de la
manipuler, puis de la ramener vers l’avant ou vers l’arrière comme n’importe quelle
autre image.
De nombreux fichiers PDF, TIFF et PSD contiennent des graphismes à canal alpha.
Pour créer des images de canal alpha, vous pouvez utiliser plusieurs applications,
notamment Adobe Photoshop, Corel Draw, Adobe Illustrator et Adobe Acrobat.
Reportez-vous aux instructions fournies avec l’application afin de savoir comment
créer des images à canal alpha. Pour savoir comment créer un cadre dans Keynote
à partir d’un graphisme importé de canal alpha, consultez la section “Superposition
d’objets en arrière-plan et d’objets sur les diapositives” à la page 197.
Ajout d’audio et d’autres médias
Vous pouvez ajouter des fichiers audio à votre projet, par exemple pour entendre de
la musique pendant votre diaporama ou pour accompagner chaque diapositive d’un
commentaire. Vous pouvez également ajouter des fichiers vidéo ou des séquences
Flash à afficher dans une diapositive.
Remarque : certains fichiers multimédia sont protégés par des droits d’auteur. Il se peut
aussi que certaines musiques téléchargées ne puissent être lues que sur l’ordinateur
ayant été utilisé pour leur téléchargement. Assurez-vous que vous disposez bien de
l’autorisation nécessaire pour utiliser les fichiers que vous souhaitez inclure.
Keynote est compatible avec tous les types de fichiers QuickTime, et notamment
avec les types suivants :
 MOV
 FLASH
 MP3
 MP4Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données 75
 AIFF
 AAC
 MPEG-4
Important : lorsque vous ajoutez un fichier multimédia à un diaporama, le fichier est
automatiquement inclus dans le document Keynote. Les fichiers multimédia augmentent considérablement la taille de votre document. Pour enregistrer le document sans
les fichiers multimédia, suivez les étapes ci-dessous.
Pour enregistrer un document sans les fichiers multimédia :
1 Choisissez Fichier > Enregistrer sous, puis cliquez sur Options avancées.
2 Désélectionnez “Copier l’audio et la vidéo dans le document”.
3 Nommez le document et choisissez-lui un emplacement, puis cliquez sur Enregistrer.
Utilisation du Navigateur de média
Le Navigateur de média dresse la liste de tous les fichiers multimédias se trouvant
dans vos bibliothèques iPhoto et iTunes, ainsi que dans votre dossier Séquences.
Vous pouvez faire glisser des images, de la musique et des séquences directement
à partir du Navigateur de média vers la diapositive ou vers le cadre d’une image
situé dans l’un des inspecteurs.
Choisissez iTunes,
iPhoto ou Séquences.
Faites glisser un fichier
audio vers une diapositive ou le cadre Audio
dans l’Inspecteur des
documents.
Recherchez un fichier par nom.
Sélectionnez une
liste de lecture.76 Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données
Pour ouvrir le Navigateur de média :
m Cliquez sur Multimédia dans la barre d’outils (ou sélectionnez Présentation >
Afficher le Navigateur de média).
Pour ajouter une image à partir d’iPhoto :
1 Cliquez sur Multimédia dans la barre d’outils (ou sélectionnez Présentation >
Afficher le Navigateur de média).
2 Choisissez iPhoto dans le menu local Navigateur de média et sélectionnez l’album
souhaité.
3 Faites glisser un fichier d’image directement dans la fenêtre du document Keynote.
Vous pouvez redimensionner l’image et la déplacer au premier plan ou à l’arrière-plan
comme pour n’importe quel autre objet.
Vous pouvez également faire glisser un fichier iPhoto sur le cadre d’une image dans
l’Inspecteur des graphismes ou l’Inspecteur du texte afin de l’utiliser comme un remplissage d’image ou une image à puces personnalisée (reportez-vous à la section
“Utilisation de remplissages couleurs et image” à la page 89 pour en savoir plus).
Pour ajouter du son à une diapositive, effectuez l’une des opérations suivantes :
 Cliquez sur Multimédia dans la barre d’outils, choisissez iTunes dans le menu local,
sélectionnez une liste de lecture et faites glisser un fichier vers le canevas de la diapositive.
 Faites glisser un fichier audio du Finder dans le canevas de diapositive.
Vous pouvez contrôler avec plus de précision le démarrage et la fin de la musique
en l’insérant dans une composition d’objet que vous déplacez sur l’écran ou que
vous supprimez de l’écran. Pour en savoir plus sur la création de compositions
d’objets, voir la section “Création de compositions d’objet” à la page 161.Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données 77
Ajout d’une narration et d’autre audio
Vous pouvez ajouter de la musique, (un fichier ou une liste de lecture de votre
bibliothèque musicale iTunes ou tout autre fichier audio) à un document Keynote.
Vous pouvez ajouter du son à tout le diaporama comme bande sonore, ou à une
seule diapositive.
Si vous ajoutez une bande sonore, la musique commencera en même temps que le
diaporama. Vous pouvez spécifier si vous souhaitez lire le fichier une ou plusieurs fois
(vous pouvez également l’arrêter).
Si vous ajoutez un fichier audio à une diapositive individuelle, le fichier audio démarre
lorsque la diapositive sélectionnée s’affiche, et s’arrête lorsque vous passez à la suivante.
Vous pouvez par exemple enregistrer un commentaire sous forme de fichier MP3 pour
chaque diapositive ; cette technique est particulièrement utile pour exporter votre diaporama sous forme de séquence à lecture automatique QuickTime Pour plus d’informations, reportez-vous à la section “PowerPoint” à la page 187.
Remarque : pour être sûr que l’audio pourra être lu sur d’autres ordinateurs, l’option
“Copier l’audio et la vidéo dans le document” doit être sélectionnée. Pour afficher
cette option dans la zone de dialogue Enregistrer, vous devez d’abord cliquer sur
le triangle d’affichage. Cette option est activée par défaut. 78 Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données
Pour ajouter une bande sonore :
1 Ouvrez l’Inspecteur des documents.
2 Cliquez sur Bibliothèque iTunes dans la zone Audio.
3 Faites glisser un fichier audio ou une liste de lecture du Navigateur de média dans
le cadre audio de l’Inspecteur des documents.
Remarque : vous pouvez également faire glisser un fichier audio du Finder.
4 Pour répéter le fichier audio tout au long de votre présentation, choisissez
Lecture en boucle dans le menu local de l’Inspecteur des documents.
Ajout d’une séquence
Vous pouvez inclure des séquences dans votre présentation de diapositives. Une fois la
séquence insérée dans une diapositive, vous pouvez la redimensionner et la positionner
comme vous le feriez avec tout autre objet.
Pour ajouter une séquence à une diapositive, effectuez l’une des opérations
suivantes :
 Cliquez sur Multimédia dans la barre d’outils, choisissez Séquences dans le menu local
et faites glisser un fichier vers le canevas. Pour que les séquences apparaissent dans le
Navigateur de média, elles doivent être placées dans le dossier Séquences du Finder.
Le bouton Inspecteur des
documents
Écoutez votre fichier audio.
Faites glisser un fichier audio à cet endroit
pour le lire tout au long du diaporama.
Pour répéter le fichier audio, choisissez Lecture en boucle.
Réglez le volume de la bande son.Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données 79
 Choisissez Insertion > Choisir, sélectionnez le fichier et cliquez sur Insérer.
 Faites glisser un fichier de séquence du Finder dans le canevas de la diapositive.
Remarque : pour être sûr que l’audio pourra être lu sur d’autres ordinateurs, l’option
“Copier l’audio et la vidéo dans le document” doit être sélectionnée. Pour afficher cette
option dans la zone de dialogue Enregistrer, vous devez d’abord cliquer sur le triangle
d’affichage. Cette option est activée par défaut.
Lors de votre diaporama, la séquence démarre au moment où la diapositive apparaît.
Un panneau de contrôle de séquence apparaît sur l’écran de l’intervenant ; ses commandes dépendent toutefois de la taille de votre séquence. Pour en savoir plus, reportez-vous à la section “Visionnage de séquences” à la page 178.
Réglage des options de lecture des fichiers multimédias
Dans l’Inspecteur QuickTime, vous pouvez régler le volume de lecture de l’audio
et des séquences de votre diaporama et spécifier le type de lecture de vos fichiers
multimédias : une seule fois, en continu ou en boucle dans les deux sens.
Pour définir les préférences de lecture :
1 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils (ou choisissez Présentation >
Afficher l’Inspecteur), puis sur le bouton Inspecteur QuickTime.
2 Cliquez sur la séquence pour la sélectionner et faites glisser le curseur Volume.
3 Choisissez une option dans le menu local Répétition.
Vous pouvez également spécifier l’image de la séquence à afficher sur la diapositive
(“l’affiche”) en attendant le démarrage de la séquence.
Définissez les options de répétition de lecture.
Définissez le volume de lecture.
Sélectionnez l’image à afficher
en attendant le démarrage de
la lecture de la séquence.
Le bouton
Inspecteur QuickTime
Utilisez ces commandes pour visionner la
séquence tout en modifiant votre diaporama.80 Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données
Pour configurer l’affiche d’une séquence :
1 Cliquez sur la séquence afin de la sélectionner.
2 Dans l’Inspecteur QuickTime, faites glisser le curseur Affiche jusqu’à ce que la séquence
affiche l’image souhaitée.
Ajout de pages Web et de liens
Vous pouvez afficher l’instantané d’une page Web (appelé “affichage Web”) sur une
diapositive. Lorsque le document est ouvert ou que le diaporama démarre, Keynote
peut automatiquement mettre à jour l’instantané avec la page Web actuelle (l’ordinateur qui exécute le diaporama doit être connecté à Internet). Par défaut, la capture est
un lien sur lequel vous pouvez cliquer pendant la présentation afin d’ouvrir la page
Web dans un navigateur ; vous pouvez désactiver ce lien dans l’Inspecteur des liens.
Pour ajouter une capture de page Web à une diapositive :
1 Choisissez Insertion > Affichage Web.
2 Dans l’Inspecteur des liens, saisissez l’URL de la page (www.apple.com, par exemple).
La page d’accueil spécifiée dans votre navigateur par défaut est insérée comme texte
pour espace réservé.
3 Pour mettre à jour automatiquement la page Web de manière périodique, sélectionnez
“Mette à jour automatiquement”.
La flèche bleue signifie
que vous pouvez cliquer,
lors du diaporama, sur le
mode d’affichage Web
pour ouvrir une page
Web via un navigateur.
Insérez une capture de
page Web qui se met à
jour automatiquement
lorsque le diaporama
démarre.Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données 81
Si cette option n’est pas sélectionnée, vous pouvez mettre à jour la page Web à tout
moment en cliquant sur Mettre à jour.
L’image de la page Web est importée à 100 pour cent, mais vous pouvez la redimensionner et la repositionner comme vous le feriez avec n’importe quel autre objet.
(L’image de la page Web garde la même résolution, mais vous pouvez modifier la
taille de l’affichage Web pour n’afficher qu’une partie de l’image.)
L’image de la page Web se transforme automatiquement en lien sur lequel vous
pouvez cliquer pendant la présentation pour ouvrir la page Web dans un navigateur.
Pour désactiver cette fonctionnalité, désélectionnez Activer comme lien.
Vous pouvez créer un affichage Web en faisant glisser une URL d’un navigateur
vers le canevas de la diapositive.
Le texte, les images et les figures peuvent également être transformés en liens
hypertexte. Cliquer sur un lien au cours d’une présentation vous permet d’effectuer
les actions suivantes :
 Atteindre une diapositive précise
 Ouvrir une page Web sur Internet
 Ouvrir un nouveau document Keynote
 Ouvrir un message électronique
 Quitter le diaporama
Si cette option est sélectionnée, vous pouvez cliquer sur l’affichage Web
pendant la présentation
afin d’ouvrir la page Web
dans un navigateur.82 Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données
Pour ajouter un lien :
1 Sélectionnez le texte, la figure, l’image ou la séquence que vous voulez changer
en lien hypertexte.
2 Dans l’Inspecteur des liens, sélectionnez Activer comme lien et choisissez une option
dans le menu local Lier vers.
3 Saisissez les informations requises.
Transformer du texte ou des images
en liens permettant d’ouvrir une
autre diapositive, un document
Keynote, une page Web ou un
courrier électronique. La flèche
bleue (visible uniquement en mode
modification) signifie que l’élément
est un lien actif.
Utilisez ce type de lien Pour exécuter cette action Remarques
Diapositive Passez à une autre diapositive
de la présentation
Choisissez d’afficher la diapositive suivante, la précédente, la
première ou la dernière, la dernière diapositive visionnée ou
un numéro de diapositive en
particulier
Page Web Ouvrez la page Web dans un
navigateur (par exemple dans
Safari)
Keynote ouvre le navigateur
par défaut (spécifié dans les
Préférences de Safari).
Pour les liens de texte, si vous souhaitez
que la diapositive affiche du texte en
plus de l’URL, saisissez celui-ci à cet
endroit.Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données 83
Faites glisser une URL du navigateur vers un objet se trouvant sur le canevas de la diapositive pour créer un lien vers l’affichage Web. Par défaut, tout texte commençant par “www,”
“ftp” ou “http” que vous saisissez ou faites glisser se transforme automatiquement en lien.
Pour désactiver la détection automatique des URL :
1 Choisissez Keynote > Préférences et cliquez sur Général.
2 Dans la section Liens, désélectionnez Détecter automatiquement les adresses
électroniques et de page Web.
Par défaut, tous les nouveaux liens de texte sont automatiquement soulignés.
En désactivant ce réglage, vous pouvez souligner le texte existant si vous souhaitez
l’activer plus tard en tant que lien.
Pour activer ou désactiver le soulignement automatique des nouveaux liens :
1 Choisissez Keynote > Préférences et cliquez sur Général.
2 Dans la section Liens, sélectionnez ou désélectionnez Souligner les liens à la création.
Pour souligner un lien manuellement :
1 Sélectionnez le texte à souligner.
2 Cliquez sur Polices dans la barre d’outils et choisissez Simple dans le menu local
Souligné (ou choisissez Format > Police > Souligné).
Fichier Keynote Ouvrir un nouveau document
Keynote
Si vous transférez la présentation vers un autre ordinateur,
vous devez également transfé-
rer l’autre document.
Message électronique Ouvrez un nouveau courrier
électronique et saisissez l’objet
et l’adresse
Keynote ouvre votre application de messagerie électronique par défaut.
Fermeture du diaporama Arrêtez le diaporama Keynote s’ouvre en mode de
modification sur la dernière
diapositive affichée.
Utilisez ce type de lien Pour exécuter cette action Remarques84 Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données
Pour présenter seulement les liens, choisissez “Liens uniquement” dans le menu local
Présentation dans l’Inspecteur des documents. Pour en savoir plus, consultez la section
“Présentations comprenant uniquement des liens” à la page 173.
Au cours d’une présentation, le pointeur apparaît uniquement sur les diapositives
contenant des liens. Vous pouvez modifier ce réglage par défaut et faire en sorte
que le pointeur apparaisse à chaque fois que vous déplacez la souris.
Pour spécifier quand le pointeur doit apparaître au cours d’une présentation :
1 Choisissez Keynote > Préférences.
2 Cliquez sur Diaporama.
3 Choisissez l’une des options dans la fenêtre Afficher le pointeur.
Modification des dispositions
Certains éléments de diapositive (par exemple une zone de texte et des espaces
réservés d’objets) sont préformatés et placés dans des endroits spécifiques sur
chaque modèle de diapositive. Il est également possible et facile d’ajouter ces
éléments à des diapositives individuelles.
Pour modifier la disposition d’une diapositive :
1 Sélectionnez le modèle de diapositive à modifier.
2 Choisissez Présentation > Afficher l’Inspecteur et cliquez sur Inspecteur des diapositives.
3 Cliquez sur Apparence.
4 Sélectionnez les éléments à ajouter.
Pour que graphiques,
tableaux et images apparaissent à des endroits
précis des diapositives,
sélectionnez Paramètre
fictif de l’objet.
Le bouton Inspecteur des diapositives
Sélectionnez les éléments
à ajouter à une diapositive.Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données 85
Remarque : si vous supprimez l’un de ces éléments sur une diapositive, la case
de l’Inspecteur des diapositives est automatiquement décochée.
Si aucun des modèles de diapositive disponibles ne répond à vos besoins, vous pouvez
créer un modèle doté des éléments de votre choix puis créer une diapositive à partir
de ce modèle. Si vous souhaitez créer des diapositives contenant des graphismes, vous
pouvez ajouter une zone d’“espace réservé” pour insérer ces derniers. Vous pouvez
également ajouter un numéro de diapositive.
Pour apprendre à créer des modèles de diapositive, voir le chapitre 9, “Conception de
vos propres thèmes et modèles de diapo”.
Modification de l’arrière-plan de la diapositive
Vous pouvez utiliser une image personnelle comme fond de chaque diapositive
ou changer la couleur de fond de la diapositive. Effectuez ces modifications dans
l’Inspecteur des diapositives.
Pour changer l’arrière-plan d’une diapositive :
1 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils (ou choisissez Présentation >
Afficher l’Inspecteur) pour ouvrir la fenêtre Inspecteur, puis cliquez sur le bouton
Inspecteur des diapositives.
2 Cliquez sur Apparence.
Choisissez une couleur ou une image
d’arrière-plan.
Choisissez un modèle
de diapositive.
Faites glisser une image à cet endroit depuis
le Navigateur de média ou le Finder.86 Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données
3 Choisissez une disposition de diapositive dans le menu local Modèles de diapositive.
4 Choisissez un type d’arrière-plan dans le menu local Fond des diapositives.
 Remplissage couleur : applique au fond une seule couleur unie. Cliquez sur le cadre
de couleur et choisissez une couleur dans la fenêtre Couleurs.
 Remplissage dégradé : applique un dégradé de couleur au fond. Cliquez sur chaque
cadre de couleur et choisissez des couleurs dans la fenêtre Couleurs.
 Remplissage image : utilise votre propre image comme fond. Cliquez sur Choisir
et sélectionnez une image.
 Remplissage image teintée : utilise votre propre image avec une teinte de couleur
semi-opaque par-dessus. Cliquez sur Choisir et sélectionnez une image.
5 Quel que soit le remplissage, vous devez choisir une option de mise à l’échelle dans
le menu local (voir “Remplissage d’un objet avec une image” à la page 92).
Pour en savoir plus sur le travail avec des remplissages d’image, couleur et dégradé,
consultez la section “Utilisation de remplissages couleurs et image” à la page 89.Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données 87
Maintien ou annulation des modifications apportées
au style
Si vous apportez des changements au style et à la mise en forme d’une diapositive
et que vous décidez par la suite de revenir aux styles par défaut du thème, il vous
est possible de restaurer les styles par défaut de la diapositive.
Pour restaurer les styles par défaut d’un thème pour une diapositive :
m Sélectionnez la diapositive et choisissez Format > Revenir au format du modèle
pour la diapositive.
Vous pouvez modifier plusieurs diapositives à la fois en les sélectionnant dans
le classeur de diapositives.
Si vous modifiez le style et la mise en forme de l’ensemble d’un document Keynote et
que vous lui appliquez un autre thème, vous pouvez restaurer tous les styles par défaut
du thème ou conserver les modifications effectuées. (Par exemple, si vous changez le
remplissage de fond de quelques diapositives, vous pouvez garder le même remplissage
dans le nouveau thème ou utiliser le nouveau remplissage de fond du nouveau thème.)
Pour conserver les modifications apportées à un style lors de l’application
d’un nouveau thème :
1 Cliquez sur Thèmes dans la barre d’outils et choisissez Sélecteur de thème
(ou choisissez Fichier > Sélectionner un thème)
2 Sélectionnez un nouveau thème.
3 Sélectionnez Appliquer les modif. aux thèmes par défaut.
4 Cliquez sur Choisir.89
4
4 Modification des propriétés
des objets
Dans ce chapitre, nous verrons quelles sont les
fonctionnalités les plus avancées pour améliorer les
graphismes et autres objets de vos présentations.
Vous pouvez manipuler directement les propriétés de l’objet telles que la couleur, le
style et l’épaisseur de la ligne, l’ombre, l’opacité et l’orientation à l’aide des inspecteurs
et de la fenêtre Couleurs. Vous avez la possibilité de régler la luminosité, la couleur ainsi
que d’autres propriétés s’appliquant aux images. Vous pouvez aussi créer des figures
personnalisées et modifier ces figures tout comme celles qui sont prédessinées. Vous
trouverez ces instructions, et plus, dans ce chapitre.
Utilisation de remplissages couleurs et image
Vous pouvez créer des effets intéressants par le biais des couleurs dans Keynote. Une
figure peut être remplie avec une couleur fixe, des dégradés de couleurs et même une
image, par exemple une photo ou autre graphisme.
Vous pouvez également ajuster l’opacité (transparence) d’un objet. Vous pouvez même
utiliser des effets de remplissage et d’opacité afin de modifier des barres individuelles
ou des secteurs dans des graphiques.
Sélection de couleurs
Vous pouvez utiliser la fenêtre Couleurs afin de sélectionner une couleur pour le texte,
les figures, les arrière-plans et les ombres dans Keynote.
Pour ouvrir la fenêtre Couleurs :
 Cliquez sur Couleurs dans la barre d’outils (ou sélectionnez Présentation >
Afficher les couleurs).
 Cliquez sur un cadre de couleur dans l’un des inspecteurs.90 Chapitre 4 Modification des propriétés des objets
Vous pouvez utiliser la roue des couleurs dans la fenêtre Couleurs afin de sélectionner
des couleurs. Votre sélection de couleur apparaît dans le cadre situé en haut de la
fenêtre Couleurs. Vous pouvez conserver cette couleur pour un usage ultérieur en la
plaçant dans la palette de couleurs
Pour ouvrir la palette de couleurs :
m Faites glisser la poignée en bas de la fenêtre Couleurs.
Pour enregistrer une couleur dans la palette de couleurs :
m Faites glisser la couleur du cadre de couleur dans la palette de couleurs.
Pour appliquer à un objet du canevas une couleur de la fenêtre Couleurs, vous
devez placer la couleur dans le cadre de couleur approprié de la sous-fenêtre d’un
des inspecteurs.
Pour supprimer une couleur de la palette de couleurs :
m Faites glisser un carré blanc sur la couleur que vous voulez supprimer.
La couleur sélectionnée dans
la roue des couleurs apparaît
dans ce cadre de couleur.
Utilisez ce curseur pour afficher des
nuances plus claires ou plus sombres dans la roue des couleurs.
Faites glisser les couleurs du cadre
de couleur afin de les conserver
dans la palette de couleurs.
Cliquez afin de sélectionner une
couleur dans la roue des couleurs.
Faites glisser la poignée
pour ouvrir la palette de
couleurs.Chapitre 4 Modification des propriétés des objets 91
Pour appliquer une couleur à un objet du canevas, effectuez une des opérations
suivantes :
 Sélectionnez un cadre de couleur dans l’un des inspecteurs, puis cliquez sur une
couleur dans la roue des couleurs.
 Faites glisser une couleur de la palette des couleurs ou de la zone des couleurs vers
un cadre de couleur dans l’un des inspecteurs.
 Faites glisser la couleur de la palette sur un des objets de la diapositive.
Remplissage d’un objet avec de la couleur
Les objets peuvent être remplis avec une couleur unie ou avec un dégradé de couleurs, dans lequel deux couleurs s’intègrent progressivement l’une à l’autre. Pour
modifier la couleur d’un objet, utilisez L’Inspecteur des graphismes.
Pour ouvrir l’Inspecteur des graphismes :
m Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils (ou choisissez Présentation >
Afficher l’Inspecteur), puis sur le bouton de l’Inspecteur des graphismes.
Utilisation des couleurs et des dégradés
Les objets peuvent être remplis avec une couleur unie ou avec un dégradé de couleurs,
dans lequel deux couleurs s’intègrent progressivement l’une à l’autre.
Remplissez un objet
dessiné d’une couleur
unie, d’un dégradé de
couleurs, d’une image
ou d’une image teintée.
Le bouton Inspecteur
des graphismes92 Chapitre 4 Modification des propriétés des objets
Pour choisir une couleur unie de remplissage pour un objet :
1 Dans le canevas, sélectionnez l’objet dont vous désirez changer la couleur.
2 Dans l’Inspecteur des graphismes, choisissez Remplissage couleur dans le menu local
Remplir.
3 Cliquez sur le cadre de couleur sous le menu local Remplir afin d’ouvrir la fenêtre
Couleurs.
4 Dans cette fenêtre, sélectionnez une couleur.
Pour remplir un objet avec un dégradé de couleurs :
1 Dans le canevas, sélectionnez l’objet dont vous désirez changer la couleur.
2 Dans l’Inspecteur des graphismes, choisissez Remplissage dégradé dans le menu local
Remplir.
3 Cliquez sur chaque cadre de couleur et choisissez une couleur dans la fenêtre Couleurs
pour définir le dégradé.
4 Pour inverser le dégradé, cliquez sur la double flèche.
5 Modifiez le sens du dégradé à l’aide de la molette Angle et des flèches.
Remplissage d’un objet avec une image
Vous pouvez insérer une image à l’intérieur d’une figure dessinée ou dans une cellule
de tableau.
Pour remplir un objet avec une image :
1 Sélectionnez l’objet dans lequel vous souhaitez placer une image.
2 Dans l’Inspecteur des graphismes, choisissez Remplissage image ou Remplissage
image teintée dans le menu local Remplissage, puis sélectionnez une image.
Établissez le sens du dégradé
à l’aide de la molette Angle,
ou en tapant une valeur.
Cliquez sur la double flè-
che afin d’inverser le
dégradé.
Cliquez sur chaque cadre de couleur pour choisir les couleurs.Chapitre 4 Modification des propriétés des objets 93
3 Pour changer d’image, cliquez sur Choisir, sélectionnez l’image et cliquez sur Ouvrir
(ou faites glisser le fichier image du Navigateur de média ou du Finder vers le cadre
d’images de l’Inspecteur des graphismes).
4 Choisissez une option de mise à l’échelle dans le menu local.
 Ajuster : redimensionne l’image afin qu’elle s’adapte au mieux aux dimensions de
l’objet. Si l’objet a une forme différente de celle de l’image d’origine, certaines portions de cette dernière ne seront peut-être pas visibles et des espaces vides seront
également susceptibles d’apparaître autour de l’image.
 Remplir : fait paraître l’image plus grande ou plus petite en la dimensionnant de
façon à ne laisser aucun espace autour d’elle, même si elle n’a pas la même forme
que l’objet.
 Étirer : dimensionne l’image pour qu’elle s’adapte à la taille de l’objet mais la déforme
si ce dernier a une forme différente de l’image d’origine.
 Dimensions d’origine : place l’image dans l’objet sans modifier ses dimensions d’origine. Si l’image est plus grande que l’objet, vous ne voyez qu’une partie de l’image
dans l’objet. Si l’image est plus petite que l’objet, elle est entourée d’espace vide.
 Mosaïque : répète l’image à l’intérieur de l’objet si celle-ci est plus petite que
l’objet. Si l’image est plus grande que l’objet, vous ne voyez qu’une partie de
l’image dans l’objet.
Utilisez le menu local afin de choisir
une option de mise à l’échelle pour
l’image contenue dans l’objet.
Pour changer l’image, faites glisser un
fichier du Navigateur de média ou du
Finder vers le cadre d’images.
Dimensions d’origine
Ajuster Étirer
Mosaïque (grande image)
Remplir94 Chapitre 4 Modification des propriétés des objets
Modification du style et de la couleur des bordures
Pour les objets dessinés (figures), les éléments graphiques et les cellules de tableau,
vous pouvez choisir un style et une couleur pour la bordure de l’objet, ou vous pouvez spécifier aucune bordure. Vous pouvez également placer une bordure autour des
images importées. Vous pouvez définir un style et une couleur pour la bordure dans
l’Inspecteur des graphismes et la fenêtre Couleurs.
Pour définir le style et la couleur du trait de la bordure d’un objet :
1 Sélectionnez l’objet que vous souhaitez modifier.
2 Choisissez un style de ligne (ou Aucun) dans le menu local Trait de l’Inspecteur
des graphismes.
3 Pour modifier l’épaisseur de la ligne, saisissez une valeur dans le champ Taille du trait
(ou cliquez sur les flèches).
4 Pour changer la couleur du trait, cliquez sur le cadre de couleur et sélectionnez
une couleur.
Mosaïque (petite image)
Mosaïque (grande image)
Choisissez des extrémités de ligne
dans ces menus locaux.
Cliquez sur le cadre de couleur afin
de choisir une couleur de trait.
Tapez l’épaisseur du trait dans ce
champ. (Remarque : “px” signifie
pixels.)
Choisissez un trait plein, une ligne pointillée,
une ligne discontinue ou aucun trait.Chapitre 4 Modification des propriétés des objets 95
5 Pour définir des extrémités de ligne, par exemple des pointes de flèche ou des cercles,
choisissez des points de fin de ligne de gauche et de droite dans les menus locaux.
Remarque : Keynote fournit également des figures sous forme de flèches simples et
de flèches à double pointe. Vous pouvez les ajouter à l’aide du menu Insertion ou du
bouton Figures situé sur la barre d’outils.
Position des lignes
Vous pouvez régler précisément la position d’une ligne via l’Inspecteur des dimensions.
Pour régler précisément la position d’une ligne :
1 Sélectionnez la ligne.
2 Dans l’inspecteur des dimensions, saisissez les abscisses et les ordonnées des points
où vous souhaitez que la ligne commence et se termine.
Ajout d’ombres
Les ombres confèrent une profondeur à la page. L’ombre d’un objet apparaît
sur n’importe quel objet situé derrière. Vous pouvez créer divers effets d’ombre,
ou supprimer l’ombre d’un objet.
Changez la couleur de l’ombre dans le cadre des couleur.
Sélectionnez la case afin d’ajouter
une ombre à un objet sélectionné.
Changez l’angle de l’ombre à l’aide
de la molette Angle.
Les valeurs des champs Décalage, Flou et Opacité
permettent de modifier l’aspect de l’ombre.96 Chapitre 4 Modification des propriétés des objets
Pour créer ou supprimer une ombre d’un objet :
1 Sélectionnez l’objet à modifier.
2 Dans l’Inspecteur des graphismes, sélectionnez la case Ombre afin d’ajouter une
ombre à l’objet. Désélectionnez la case Ombre afin de faire disparaître l’ombre.
3 Définissez l’angle de l’ombre à l’aide de la molette Angle.
4 Ajustez le décalage de l’ombre en tapant un nombre dans la zone Décalage.
Une valeur élevée de décalage de l’ombre fait apparaître l’ombre de l’objet plus
longue et légèrement séparée de l’objet.
5 Définissez le flou de l’ombre en tapant un nombre dans la zone Flou.
Une valeur de flou plus élevée fait apparaître l’ombre de l’objet plus diffuse ; une valeur
plus faible confère à l’ombre des bords mieux définis.
6 Réglez l’opacité de l’ombre en saisissant un nombre dans le champ Opacité L’opacité
de l’ombre est distincte de celle de l’objet, laquelle est définie à l’aide du curseur
Opacité en bas de l’Inspecteur des graphismes.
7 Pour changer la couleur de l’ombre, cliquez sur le cadre des couleur et sélectionnez
une couleur.
Cet objet présente les propriétés
d’ombre par défaut.
L’ombre de cet objet est définie
avec un angle différent.
L’ombre de cet objet présente
une valeur de décalage élevée.
L’ombre de cet objet présente
le facteur de flou le plus faible.
Cet objet présente une couleur
d’ombre différente.
L’ombre de cet objet présente
un facteur de flou élevé.Chapitre 4 Modification des propriétés des objets 97
Ajustage de l’opacité
Vous pouvez créer des effets intéressants en rendant les objets plus ou moins opaques. Ainsi, lorsque vous placez un objet de faible opacité sur un autre objet, l’objet
situé dessous transparaît via l’objet situé dessus. En fonction de la valeur définie pour
l’opacité, les objets situés en dessous peuvent être facilement visibles, partiellement
obscurcis ou totalement invisibles (opacité de 100 %). Il est possible de changer les
réglages d’opacité de tous les objets visuels se trouvant dans le canevas, et notamment des figures dessinées, des images (et autres fichiers d’images) et des séquences.
Réglez l’opacité de l’objet dans l’Inspecteur des graphismes.
Pour changer l’opacité d’un objet :
1 Sélectionnez l’objet.
2 Dans l’Inspecteur des graphismes, faites glisser le curseur Opacité.
Remarque : vous pouvez définir l’opacité de la couleur de remplissage des formes dessinées indépendamment de l’opacité de l’objet. Si vous déplacez le curseur Opacité
dans la fenêtre Couleurs afin de modifier une couleur de remplissage, la valeur d’opacité équivaut à une opacité d’objet de 100 %. Ensuite, lorsque vous modifiez l’opacité
de l’objet dans l’Inspecteur des graphismes, vous la modifiez par rapport à l’opacité
définie dans la fenêtre Couleurs.
La couleur de remplissage a été
réglée sur 50% dans la fenêtre
Couleurs. L’opacité des contours
du cercle a été réglée sur 100%
dans la fenêtre Couleurs.
Ce cercle est défini sur
une opacité de 100 %.
Ce cercle est défini sur
une opacité de 50 %.98 Chapitre 4 Modification des propriétés des objets
Réglage des images
En ce qui concerne les images en général, y compris celles servant à remplir une figure,
vous avez la possibilité modifier leur luminosité, leur contraste et d’autres réglages
dans le but d’améliorer leur qualité visuelle ou de créer des effets intéressants. Les
ajustements que vous faites ne modifient pas l’image d’origine, mais seulement son
apparence dans Keynote.
Pour ajuster une image :
1 Sélectionnez l’image.
2 Cliquez sur le bouton Ajuster dans la barre d’outils (ou choisissez Présentation >
Afficher Ajuster l’image) pour ouvrir la fenêtre Ajuster l’image.
3 Utilisez les contrôles présentés ci-dessus pour procéder aux ajustements suivants :
 Luminosité : rend l’image générale plus claire ou plus sombre.
Ajustez la lumière.
Réglez le contraste entre
les tons clairs et foncés.
Modifiez l’intensité de la couleur.
Augmentez la chaleur ou la froideur des tons.
Modifiez la proportion des
tons rouges et verts.
Rendez la mise au point plus ou moins nette.
Ajustez l’ombre et la lumière.
Observez la relation
existant entre les
ombres et l’éclairage.
Modifiez le niveau des tons foncés et clairs.
Rétablissez les réglages d’origine.
Améliorez les couleurs automatiquement.Chapitre 4 Modification des propriétés des objets 99
 Contraste : fait ressortir différentes parties de l’image. Ainsi, vous pouvez rendre les
ombres plus sombres, accentuer les bords d’objets ou faire ressortir les couleurs. Si
vous augmentez considérablement le contraste d’une photo, celle-ci ressemblera
plus à une illustration.
 Saturation : ajuste l’éclat de la couleur en assombrissant ou en éclaircissant les
couleurs.
 Température : agit comme une sorte de correcteur de la “balance des blancs“. Vous
pouvez introduire des tons plus chauds (plus orangés) ou plus froids (plus bleutés).
 Teinte : modifie la quantité de tons rouges ou verts dans l’image.
 Netteté : rend la mise au point de l’image plus ou moins nette.
 Exposition : permet d’éclaircir une image sous-exposée ou d’augmenter les détails
d’une image surexposée.
 Niveaux : montre la relation entre l’ombre (représentée à gauche de l’écran) et la
lumière (représentée à droite) dans votre image. Utilisez les curseurs pour modifier
l’étendue des valeurs de tons en changeant la quantité de noir (curseur gauche)
ou de blanc (curseur droit) dans l’image.
 Niveaux automatiques : cliquez sur ce bouton pour que Keynote améliore automatiquement les couleurs.
4 Pour rétablir les réglages d’origine, cliquez sur Réinitialiser l’image.
5 Pour enregistrer les modifications que vous avez apportées, enregistrez le document.
Les réglages que vous effectuez sont conservés (les curseurs demeurent à leur position
modifiée).
Modification de l’orientation d’un objet
Vous pouvez retourner ou faire pivoter n’importe quel objet en utilisant l’Inspecteur
des dimensions. Par exemple, si vous possédez une image d’une flèche que vous souhaitez utiliser dans votre diaporama, mais que vous souhaitez qu’elle pointe dans une
autre direction, vous pouvez inverser sa direction verticalement ou horizontalement,
ou la faire pointer dans n’importe quel angle.
Pour ouvrir l’Inspecteur des dimensions :
m Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils (ou choisissez Présentation >
Afficher l’Inspecteur), puis sur le bouton de l’Inspecteur des dimensions.100 Chapitre 4 Modification des propriétés des objets
Pour retourner ou faire pivoter un objet :
1 Sélectionnez l’objet que vous désirez faire pivoter.
2 Dans l’Inspecteur des dimensions, utilisez la molette Rotation pour définir l’orientation
de l’objet ou cliquez sur les boutons Miroir (horizontal ou vertical) pour retourner
l’objet horizontalement ou verticalement. Vous pouvez également spécifier l’angle
en saisissant un chiffre dans le champ Angle.
Remarque : ajoutez les boutons Miroir vertical et Miroir horizontal à la barre d’outils
en choisissant Présentation > Personnaliser la barre d’outils.
Retournez une image latéralement
ou horizontalement à l’aide de ces
boutons.
Faites tourner un objet
avec cette molette.
Redimensionnez les objets
de façon précise en spécifiant leur hauteur et leur
largeur.
Cliquez sur un objet redimensionné pour
lui rendre ses dimensions d’origine.
Placez un objet précisé-
ment dans le canevas en
spécifiant des coordonnées X et Y.
Le nom de l’image ou de
la séquence sélectionnée
s’affiche.Chapitre 4 Modification des propriétés des objets 101
Modification de la taille et de l’emplacement d’un objet
Pour régler précisément la taille et la position d’un objet du canevas, vous pouvez
faire glisser l’objet et ses poignées de sélection ou utiliser l’Inspecteur des dimensions.
Pour régler précisément la taille d’un objet :
1 Sélectionnez l’objet à redimensionner.
2 Dans l’Inspecteur des dimensions, saisissez un chiffre dans les champs Largeur
et Hauteur (ou cliquez sur les flèches pour augmenter ou réduire le chiffre).
Pour conserver le rapport largeur/hauteur d’un objet redimensionné :
m Sélectionnez Conserver les proportions ou maintenez la touche Maj enfoncée et faites
glisser une poignée de sélection.
Pour redonner à un objet ses dimensions d’origine :
m Sélectionnez l’objet et cliquez sur Dimensions d’origine dans l’Inspecteur des dimensions.
Pour régler précisément la position d’un objet :
1 Sélectionnez l’objet que vous souhaitez positionner.
2 Dans l’Inspecteur des dimensions, tapez les valeurs X et Y dans les champs Position.
Les coordonnées spécifiées déterminent la position de l’angle supérieur gauche
de l’objet.
 La valeur X se mesure à partir du bord gauche du canevas.
 La valeur Y se mesure à partir du bord droit du canevas.
Les coordonnées X et Y spécifient l’emplacement de l’angle supérieur gauche de la
zone de l’objet. S’il s’agit d’un objet que vous avez fait pivoter, les coordonnées X et Y
spécifient l’emplacement du nouvel angle supérieur gauche.
Sélectionnez pour conserver les proportions de
l’objet redimensionné.103
5
5 Création de tableaux
Utilisez les tableaux pour organiser et classer vos
informations, créer des dispositions intéressantes
et effectuer des calculs à partir de données numériques. Ce chapitre couvre les notions élémentaires
sur l’élaboration et l’utilisation des tableaux.
Keynote offre de puissantes fonctions permettant de créer des tableaux attrayants
contenant du texte ou des graphismes. Vous pouvez également utiliser un tableau
pour présenter des données numériques, avec des formules et la mise en forme des
nombres.
Ajout d’un tableau
Ajoutez un tableau lorsque vous souhaitez organiser vos informations ou comparer des
ensembles de données. Une fois le tableau terminé, vous pouvez créer des animations
de diapositives intéressantes dans lesquelles des éléments du tableau apparaissent
cellule par cellule, rang par rang ou colonne par colonne.104 Chapitre 5 Création de tableaux
Pour placer un tableau dans une diapositive :
1 Cliquez sur Tableau dans la barre d’outils (ou choisissez Insertion > Tableau).
Keynote place alors un tableau sur le canevas et l’Inspecteur des tableaux s’ouvre.
2 Pour redimensionner le tableau, faites glisser la poignée de sélection.
3 Pour repositionner le tableau, faites-le glisser vers l’emplacement qui vous convient.
Vous pouvez également créer un tableau dans le canevas.
Pour créer un tableau dans le canevas :
1 Maintenez la touche Option enfoncée et cliquez sur Tableau dans la barre d’outils.
2 Relâchez la touche Option, puis déplacez le pointeur au-dessus du canevas de la
diapositive jusqu’à ce qu’il se transforme en réticule.
3 Faites glisser la souris dans le canevas pour créer un tableau de la taille souhaitée.
Pour redimensionner le tableau à partir du centre, maintenez la touche Option
enfoncée tout du long en faisant glisser le pointeur du réticule sur le canevas.
Lorsque vous faites glisser le pointeur, le nombre de rangs et de colonnes augmente
ou diminue avec la taille du tableau. Pour conserver les proportions des dimensions
d’un tableau, maintenez la touche Maj enfoncée lors du redimensionnement.
Pour ouvrir l’Inspecteur des tableaux :
m Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils (ou choisissez Présentation > Afficher
l’Inspecteur), puis sur le bouton de l’Inspecteur des tableaux. Utilisez la sous-fenêtre
Tableau pour toute opération de mise en forme générale du tableau. Passez par la
sous-fenêtre Numéros si vous voulez utiliser des formules (reportez-vous dans ce cas
à la section “Utilisation des formules” à la page 122 au besoin) ou des nombres mis en
forme (reportez-vous alors à la section “Mise en forme des nombres” à la page 117).Chapitre 5 Création de tableaux 105
Utilisation des cellules et des bordures d’un tableau
Vous pouvez saisir du texte dans une cellule de tableau en sélectionnant la cellule et
en tapant le texte à l’intérieur. Insérez des graphismes dans des tableaux en utilisant
un remplissage de fond dans les cellules, de la même façon que vous remplissez un
objet avec une image. Pour plus d’informations sur l’ajout de graphismes ou sur la
définition de couleurs d’arrière-plan dans les cellules d’un tableau, reportez-vous à la
section “Ajout d’images ou de couleurs d’arrière-plan” à la page 116. Vous pouvez également appliquer des formules aux cellules d’un tableau contenant des nombres ou
des valeurs booléennes (c’est-à-dire VRAI ou FAUX).
Vous pouvez appliquer les modifications à un tableau entier simultanément (en le
sélectionnant) ou à certaines cellules. Pour mettre en forme des éléments de texte
ou des graphismes dans les cellules d’un tableau ou dans des groupes de cellules,
sélectionnez uniquement les cellules que vous souhaitez manipuler.
Cochez cette case pour ajouter un
rang ou une colonne d’en-tête à
mise en forme spécialement.
Le bouton Inspecteur des tableaux
Sélectionnez puis redimensionnez les
rangs pour afficher tout le contenu.
Tapez le nombre de rangs
et de colonnes de tableaux.
Ajoutez ou supprimez des rangs ou des
colonnes, fusionnez des cellules, divisez
des rangs ou des colonnes.
Spécifiez la largeur des colonnes
et la hauteur des rangs.
Sélectionnez les colonnes,
les rangs et les bordures.106 Chapitre 5 Création de tableaux
Utilisez les étapes décrites ici pour sélectionner des cellules et passer d’une cellule à
l’autre. Vous pouvez également utiliser les boutons de sélection de l’Inspecteur des
tableaux. Pour en savoir plus sur l’Inspecteur des tableaux, reportez-vous à la section
“Mise en forme de tableaux” à la page 109. Pour en savoir plus sur la sélection de cellules tout en utilisant des formules, reportez-vous à la section “Utilisation des formules” à la page 122.
Pour sélectionner l’ensemble du tableau, effectuez l’une des actions suivantes :
 Cliquez sur le tableau.
 Si une cellule du tableau est sélectionnée, appuyez sur Commande + Retour afin
de sélectionner le tableau entier.
Des poignées de sélection apparaissent sur les bords du tableau. Faites glisser les
poignées pour redimensionner le tableau.
Sélection de cellules d’un tableau
Une fois la cellule sélectionnée, vous pouvez passer d’une cellule à l’autre en appuyant
sur les touches fléchées de votre clavier. Si après cela vous tapez du texte, vous remplacerez le texte qui était déjà présent dans la cellule. Vous pouvez également utiliser la
touche de tabulation pour naviguer entre les cellules.
Pour sélectionner une seule cellule d’un tableau, procédez de l’une des manières
suivantes :
 Si le tableau ou une de ses cellules est sélectionnée, cliquez une fois dans la cellule.
 Si le tableau ou une de ses cellules n’est pas sélectionnée, double-cliquez sur la cellule.
Le bord de la cellule sélectionnée apparaît alors en jaune. Vous pouvez alors taper
du texte dans la cellule. Tout le contenu de la cellule est remplacé.
 Pour sélectionner la cellule proprement dite, cliquez tout en maintenant la touche
Commande enfoncée ou appuyez sur Commande + Retour.
Pour naviguer en utilisant la touche de tabulation, procédez de l’une des manières
suivantes :
 Appuyez sur Tab pour vous déplacer vers la droite et vers le bas.
 Appuyez sur Maj + Tab pour déplacer la sélection vers la gauche ou vers le haut.
Si vous appuyez sur la touche Tab lorsque la cellule inférieure droite du tableau est
sélectionnée, un nouveau rang est ajouté au tableau.Chapitre 5 Création de tableaux 107
Pour sélectionner un groupe (rectangulaire) de cellules contiguës :
m Sélectionnez le tableau, double-cliquez sur une seule cellule puis faites glisser le pointeur vers les cellules adjacentes pour les inclure dans la sélection tout en maintenant
la touche Maj enfoncée.
Pour sélectionner un groupe discontinu de cellules d’un tableau :
m Maintenez enfoncée la touche Commande en sélectionnant les cellules. Utilisez la
touche Commande tout en cliquant sur la cellule d’un groupe pour la désélectionner.
Pour sélectionner un rang ou une colonne entière :
1 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils (ou choisissez Présentation >
Afficher l’Inspecteur), puis sur le bouton Inspecteur des tableaux.
2 Sélectionnez une cellule dans le rang ou dans la colonne que vous souhaitez
sélectionner.
3 Cliquez sur Rang ou Colonne (en bas de la sous-fenêtre Tableau).
Sélection des bordures des cellules d’un tableau
Suivez les étapes suivantes pour sélectionner les bordures des cellules d’un tableau.
Pour sélectionner plusieurs bordures :
1 Sélectionnez les cellules du tableau dont vous souhaitez modifier les bordures.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils (ou choisissez Présentation >
Afficher l’Inspecteur), puis sur le bouton Inspecteur des tableaux.
3 Cliquez sur l’un des boutons Contours de la sous-fenêtre Tableau afin de sélectionner
toutes les bordures, ou au contraire ne sélectionner que les bordures intérieures, exté-
rieures, horizontales ou verticales des cellules sélectionnées.
Pour sélectionner une seule bordure :
 Si le tableau est sélectionné, cliquez sur la bordure.
 Si le tableau n’est pas sélectionné, double-cliquez sur la bordure.
Pour sélectionner un segment d’une bordure d’une cellule :
1 Sélectionnez le tableau.
2 Cliquez en maintenant la touche Option enfoncée afin de sélectionner un segment
de bordure unique.
3 Pour sélectionner d’autres segments de bordures, maintenez la touche Maj enfoncée
lorsque vous cliquez sur les segments de bordures tout en appuyant sur Option.108 Chapitre 5 Création de tableaux
Remarque : si le tableau n’est pas sélectionné, double-cliquez sur un segment
de bordure tout en appuyant sur Option afin de le sélectionner.
Saisie et modification de contenu dans les cellules
d’un tableau
Vous saisissez le texte en le tapant dans la cellule. Vous pouvez ensuite le modifier
en le sélectionnant et en effectuant toutes les modifications voulues.
Pour saisir le contenu d’une cellule d’un tableau :
m Si la cellule est vide, sélectionnez-la et commencez la saisie.
Pour remplacer du texte présent dans une cellule :
m Sélectionnez la cellule, puis double-cliquez sur ce que vous souhaitez modifier.
Commencez la saisie.
Pour remplacer l’ensemble du contenu d’une cellule :
m Sélectionnez la cellule et commencez à taper. Vous pouvez aussi appuyer sur la touche
Retour ou Entrée pour tout sélectionner dans la cellule, puis commencer à taper le
texte voulu.
Pour placer le point d’insertion dans le contenu du texte :
m Sélectionnez la cellule puis l’endroit où vous voulez placer le point d’insertion.
Commencez la saisie.
Pour permuter le contenu de deux cellules :
m Sélectionnez une des cellules et faites-la glisser sur l’autre. Une bordure bleue apparaît
lorsque vous commencez à faire glisser la cellule ; le contenu des cellules est permuté.
Pour copier le contenu d’une cellule dans une autre cellule :
m Sélectionnez la cellule et commencez à la faire glisser. Une bordure bleue apparaît.
Maintenez la touche Option enfoncée tout en faisant glisser la cellule dans la cellule
souhaitée.
Pour supprimer le contenu et le remplissage en arrière-plan de cellules
d’un tableau :
m Sélectionnez les cellules et appuyez sur la touche Suppr.Chapitre 5 Création de tableaux 109
Pour modifier une cellule qui utilise une formule ou contient un nombre mis
en forme :
m Sélectionnez la cellule et cliquez dessus ou appuyez sur la touche Retour ou Entrée
pour ouvrir l’Éditeur de formules.
Reportez-vous aux sections “Mise en forme des nombres” à la page 117 et “Utilisation
des formules” à la page 122 pour obtenir des instructions complémentaires.
Mise en forme de tableaux
Vous pouvez concevoir l’aspect des tableaux de différentes façons, en modifiant l’épaisseur et la couleur des bordures des cellules, en supprimant de manière sélective des
bordures de cellules, ou en fusionnant et en divisant des cellules afin de créer des dissymétries utiles dans le tableau.
Utilisation des commandes de mise en forme des tableaux
Vous pouvez effectuer des opérations élémentaires de mise en forme sur les tableaux,
notamment fusionner et diviser des cellules, ajouter et supprimer des rangs et des
colonnes, ou encore ajouter ou supprimer le rang et la colonne d’en-tête, en passant
par un des menus de mise en forme de tableaux ou par l’Inspecteur des tableaux.
Pour ouvrir les menus de mise en forme de tableaux, procédez de l’une des
manières suivantes :
 Sélectionnez un tableau ou une ou plusieurs cellules, puis ouvrez l’Inspecteur
des tableaux et utilisez le menu local “Modifier les rangs et les colonnes” de la
sous-fenêtre Tableau.
 Sélectionnez un tableau ou une ou plusieurs cellules, puis choisissez Format > Tableau.
 Sélectionnez un tableau ou une ou plusieurs cellules, puis maintenez la touche
Contrôle enfoncée tout en cliquant à nouveau sur le tableau afin d’en ouvrir le
menu contextuel.
Ajout et suppression de rangs et de colonnes
Vous pouvez utiliser le menu local “Modifier les rangs et les colonnes” de l’Inspecteur
des tableaux pour ajouter, supprimer ou sinon modifier la disposition des colonnes
et des rangs. Vous pouvez également ajouter des rangs et des colonnes uniquement
à des cellules spécifiques (reportez-vous à la section “Fusion, division et redimensionnement des cellules d’un tableau” à la page 111).110 Chapitre 5 Création de tableaux
Pour ajouter un rang à un tableau :
1 Sélectionnez une cellule ou un rang du tableau.
2 Cliquez sur le menu local “Modifier les rangs et les colonnes” dans la sous-fenêtre
Tableau de l’Inspecteur des tableaux, puis choisissez “Insérer un rang au-dessus”
ou “Insérer un rang au dessous”.
Vous pouvez également cliquer sur le tableau en maintenant la touche Contrôle
enfoncée afin d’afficher le menu de mise en forme du tableau, puis choisir “Insérer
un rang au-dessus” ou “Insérer un rang au dessous”.
Pour ajouter un seul rang à la fin du tableau :
m Sélectionnez la dernière cellule du tableau et appuyez sur Tab.
Pour insérer une nouvelle colonne dans un tableau :
1 Sélectionnez une cellule ou une colonne du tableau.
2 Cliquez sur le menu local “Modifier les rangs et les colonnes” dans la sous-fenêtre
Tableau de l’Inspecteur des tableaux, puis choisissez “Insérer une colonne avant”
ou “Insérer une colonne après”.
Pour changer le nombre de rangs ou de colonnes d’un tableau :
1 Sélectionnez le tableau.
2 Ouvrez l’Inspecteur des tableaux, puis cliquez sur Tableau pour ouvrir la sous-fenêtre
Tableau.
 Pour ajouter ou supprimer des rangs, saisissez le nombre total de rangs que vous
souhaitez dans le champ Rangs et appuyez sur la touche Retour. Les rangs sont alors
ajoutés ou supprimés du bas du tableau.
 De même, pour ajouter ou supprimer des colonnes, saisissez le nombre total de
colonnes que vous souhaitez dans le champ Colonnes et appuyez sur la touche
Retour. Les colonnes sont ainsi ajoutées ou supprimées du côté droit du tableau.
Pour supprimer les rangs ou les colonnes d’un tableau :
1 Sélectionnez un rang, une colonne ou encore une cellule s’y trouvant.
2 Cliquez sur le menu local “Modifier les rangs et les colonnes” dans la sous-fenêtre Tableau
de l’Inspecteur des tableaux, puis choisissez Supprimer le rang ou Supprimer la colonne.
Sinon, vous pouvez choisir Format > Tableau ou maintenir enfoncée la touche Contrôle
tout en cliquant pour ouvrir un menu de mise en forme de tableaux (choisissez Supprimer).
Remarque : si vous sélectionnez des cellules et que vous appuyez sur Supprimer, seul
le contenu de ces cellules est supprimé.Chapitre 5 Création de tableaux 111
Insertion d’en-têtes de rangs et de colonnes d’un tableau
Les en-têtes de rangs et de colonnes contiennent des mises en forme spéciales afin de
les différencier du reste du texte (par exemple, le texte d’en-tête sera en gras et sa police
sera plus grande). Les rangs et les colonnes d’en-tête ont une apparence différente de
celle des autres cellules du tableau, mais vous pouvez en modifier le style. Par contre,
vous ne pouvez pas diviser un rang d’en-tête en plusieurs rangs, ou une colonne d’entête en plusieurs colonnes.
Pour ajouter un rang ou une colonne d’en-tête :
1 Sélectionnez le tableau.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils (ou choisissez Présentation > Afficher
l’Inspecteur), puis sur le bouton de l’Inspecteur des tableaux. Dans la sous-fenêtre
Tableau, sélectionnez “Rang d’en-tête” et/ou “Colonne d’en-tête”.
Vous pouvez également choisir “Insérer un rang d’en-tête” ou “Insérer une colonne
d’en-tête” dans le menu de mise en forme de tableaux, choisir Format > Tableau, ou
encore cliquer sur un tableau tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée afin
d’ouvrir un menu de mise en forme.
Fusion, division et redimensionnement des cellules d’un tableau
La fusion de cellules d’un tableau regroupe des cellules adjacentes en une seule cellule,
en éliminant la bordure afin que les cellules fonctionnent comme une cellule unique.
La division de cellules scinde chaque cellule sélectionnée en deux parts égales, horizontalement (rangs) ou verticalement (colonnes). Les deux nouvelles cellules présentent des couleurs ou images d’arrière-plan identiques. Tout texte présent dans la
cellule d’origine reste dans la cellule la plus en haut ou la plus à gauche.
Vous pouvez diviser et fusionner des cellules à l’aide du menu local “Modifier les rangs
et les colonnes” de la sous-fenêtre Tableau ou de n’importe quel menu de mise en
forme de tableaux. Pour redimensionner les cellules d’un tableau, utilisez les commandes disponibles dans la sous-fenêtre Tableau située dans l’Inspecteur des tableaux.
Pour fusionner les cellules d’un tableau :
1 Sélectionnez un groupe de deux cellules adjacentes ou plus.
Le groupe de cellules que vous choisissez doit former un rectangle.112 Chapitre 5 Création de tableaux
2 Cliquez sur le menu local “Modifier les rangs et les colonnes” de la sous-fenêtre Tableau
de l’Inspecteur des tableaux, et choisissez Fusionner les cellules. Sinon, vous pouvez
choisir Format > Tableau ou maintenir enfoncée la touche Contrôle tout en cliquant sur
le tableau, puis choisir Fusionner les cellules dans le menu de mise en forme de tableaux.
 La fusion de cellules adjacentes horizontalement et ne contenant que du texte ou
du texte allié à des nombres, à des nombres mis en forme et à des formules, revient à
joindre le contenu de toutes les cellules d’origine en texte séparé par des tabulations.
 De même, la fusion de cellules adjacentes verticalement et ne contenant que du
texte ou du texte allié à des nombres, à des nombres mis en forme et à des formules, revient à joindre le contenu de toutes les cellules d’origine en texte séparé par
des retours chariot.
 Lorsque vous fusionnez les cellules, l’arrière-plan de la cellule reprend l’image
ou la couleur de la cellule la plus à gauche.
 Lorsqu’une cellule contenant du texte, un nombre, une formule ou un nombre mis en
forme est fusionnée avec des cellules vides, la nouvelle cellule conserve le contenu
de la cellule non vide.
 Lorsqu’une cellule contenant un nombre mis en forme est fusionnée avec des
cellules vides, la nouvelle cellule conserve également le nombre mis en forme.
La division de cellules scinde chaque cellule sélectionnée en deux parts égales, horizontalement (rangs) ou verticalement (colonnes). Les deux nouvelles cellules présentent des couleurs ou images d’arrière-plan identiques. Tout texte présent dans la cellule
d’origine reste dans la cellule la plus à gauche.
Pour scinder des cellules horizontalement ou verticalement :
1 Sélectionnez une ou plusieurs cellules du tableau. Ou alors, pour diviser une colonne
ou un rang entier, sélectionnez toutes les cellules de la colonne ou du rang.
2 Cliquez sur le menu local “Modifier les rangs et les colonnes” dans la sous-fenêtre
Tableau de l’Inspecteur des tableaux.
Vous pouvez aussi cliquer sur le tableau en maintenant la touche Contrôle enfoncée
pour afficher le menu du tableau et choisir Diviser en rangs ou Diviser en colonnes
(ou choisir Format > Tableau > Diviser en rangs ou Diviser en colonnes).
 Pour diviser des cellules en rangs, choisissez Diviser en rangs.
 Pour diviser des cellules en colonnes, choisissez Diviser en colonnes.Chapitre 5 Création de tableaux 113
Vous pouvez répéter l’opération de division afin de créer des unités de plus en plus
petites dans une cellule du tableau.
Pour fusionner des cellules divisées :
m Sélectionnez les cellules et choisissez Fusionner les cellules dans le menu local
“Modifier les rangs et les colonnes” dans l’Inspecteur des tableaux. Ou alors,
choisissez Format > Tableau > Fusionner les cellules.
Pour redimensionner des cellules de tableau, procédez de l’une des manières
suivantes :
 Choisissez les cellules et saisissez des valeurs dans les champs Largeur de colonne
et Hauteur du rang dans la sous-fenêtre Tableau de l’Inspecteur des tableaux, puis
appuyez sur Retour.
 Sélectionnez les bordures des cellules et faites-les glisser pour les redimensionner.
Pour faire en sorte que toutes les cellules du tableau présentent la même taille :
m Sélectionnez le tableau et choisissez Format > Tableau > Répartir les rangs uniformément
et Répartir les colonnes uniformément.
S’il y a trop de texte dans une cellule d’un tableau, un indicateur de découpage (+)
apparaît en bas de la cellule.
Pour éviter le découpage, vous pouvez faire glisser les bordures des cellules pour les
redimensionner ou sélectionner le tableau et faire glisser une poignée de sélection
pour redimensionner l’ensemble du tableau. Vous pouvez également faire en sorte
que la hauteur des rangs du tableau diminue ou augmente en fonction du texte
qu’ils contiennent.
Pour agrandir ou diminuer automatiquement les rangs d’un tableau afin de les
adapter à leur contenu :
1 Sélectionnez le tableau.
2 Dans la sous-fenêtre Tableau de l’Inspecteur des tableaux, cochez la case
“Ajuster automatiquement au contenu”.
L’indicateur de découpage apparaît
lorsqu’une cellule d’un tableau contient
plus de texte qu’elle ne peut en afficher.114 Chapitre 5 Création de tableaux
Remarque : en ayant sélectionné cette option, les rangs des tableaux s’agrandissent
automatiquement lorsque le texte dépasse les limites d’une cellule et l’insertion de
rangs et de colonnes a pour effet d’augmenter les dimensions extérieures du tableau.
À mesure que du texte est supprimé d’une cellule, la hauteur des rangs peut diminuer (si la cellule détermine la hauteur des rangs). Si l’option “Ajuster automatiquement au contenu” n’est pas sélectionnée, Keynote tente de conserver les dimensions
extérieures du tableau lorsque vous ajoutez des rangs et des colonnes.
Alignement du texte dans la cellule d’un tableau
Vous pouvez aligner le texte horizontalement et verticalement dans une cellule d’un
tableau. Pour aligner du texte, utilisez la sous-fenêtre Texte de l’Inspecteur du texte.
Pour aligner le texte horizontalement dans les cellules :
m Sélectionnez une ou plusieurs cellules, voire le tableau tout entier, et cliquez sur l’un
des boutons d’alignement horizontal situés dans la sous-fenêtre Texte de l’Inspecteur
de texte.
Pour aligner le texte verticalement dans les cellules :
m Sélectionnez la cellule et cliquez sur l’un des boutons d’alignement vertical
dans la sous-fenêtre Texte de l’Inspecteur de texte.
Alignez le texte à droite.
Justifiez le texte (alignez le
texte à droite et à gauche).
Centrez le texte.
Alignez le texte à gauche.
Faites commencer le texte
en bas de la cellule.
Placez le texte en
haut de la cellule.
Faites commencer le texte
au centre de la cellule.Chapitre 5 Création de tableaux 115
Vous pouvez spécifier la quantité d’espace entre le texte et la bordure de la cellule
en utilisant le curseur ou le champ Insérer une marge. La quantité indiquée est appliquée de manière uniforme des quatre côtés du texte.
Pour régler l’espace autour du texte d’une cellule d’un tableau :
1 Cliquez dans la cellule (ou sélectionnez le tableau pour appliquer les mêmes réglages
à l’ensemble des cellules).
2 Dans la sous-fenêtre Texte de l’Inspecteur du texte, faites glisser le curseur Marge inté-
rieure vers la droite afin d’augmenter l’espace, ou entrez une valeur dans le champ et
appuyez sur Retour.
Mise en forme des bords des cellules
Vous pouvez mettre en forme les bordures d’une cellule de la même manière que vous
mettez en forme d’autres graphismes. Vous pouvez modifier l’épaisseur et la couleur de
la ligne des bordures d’une cellule ou masquer les bordures de n’importe quelle cellule.
Pour définir l’épaisseur et la couleur :
1 Sélectionnez une bordure de cellule ou un ensemble de bordures de cellule.
Pour plus d’informations, reportez-vous à la section “Sélection des bordures des cellules
d’un tableau” à la page 107.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils (ou choisissez Présentation >
Afficher l’Inspecteur), puis sur le bouton de l’Inspecteur des graphismes.
3 Saisissez une valeur dans le champ de taille du trait (ou cliquez sur les flèches).
4 Cliquez sur le cadre Couleur de trait et sélectionnez une couleur dans la fenêtre Couleurs.
Choisissez d’afficher ou de masquer
les bordures de cellule sélectionnées.
Choisissez la couleur des bordures
de cellules sélectionnées.
Tapez une épaisseur de rang pour
les bordures de cellule sélectionnées.116 Chapitre 5 Création de tableaux
Pour masquer une bordure de cellule :
1 Sélectionnez une bordure de cellule ou un ensemble de bordures de cellule.
2 Dans l’Inspecteur des graphismes, choisissez Aucun dans le menu local Trait.
Pour créer un tableau sans bordures extérieures :
1 Sélectionnez le tableau.
2 Dans la sous-fenêtre Tableau de l’Inspecteur des tableaux, cliquez sur le second bouton
Contours pour sélectionner les bordures extérieures.
3 Dans l’Inspecteur des graphismes, choisissez Aucun dans le menu local Trait.
Ajout d’images ou de couleurs d’arrière-plan
Vous ajoutez des images ou une couleur à une cellule de tableau en utilisant le menu
local Remplissage dans l’Inspecteur des graphismes. Vous pouvez ajouter des images
ou des couleurs à des cellules d’un tableau, ou à l’ensemble du tableau.
Pour ajouter une image à une cellule d’un tableau :
1 Sélectionnez une cellule, un groupe de cellules ou l’ensemble du tableau.
2 Dans l’Inspecteur des graphismes, choisissez Remplissage image ou Remplissage image
teintée à partir du menu contextuel Remplissage. Si la cellule contient déjà une image,
cliquez sur Choisir.
3 Sélectionnez une image et cliquez sur Ouvrir.
4 Utilisez le menu local Échelle afin de remplir la cellule de la façon souhaitée.
Définissez la dimension de l’image
dans la cellule ou le tableau.
Pour changer d’image, faites glisser
une nouvelle image dans le cadre
ou cliquez sur Choisir.
Choisissez un remplissage image, un remplissage couleur, un remplissage image teintée
ou un remplissage dégradé pour la cellule
qui vous intéresse ou pour tout le tableau.Chapitre 5 Création de tableaux 117
Remarque : si vous ajoutez une image au tableau entier, le menu local Remplir
de l’Inspecteur des graphismes affiche Aucun lorsque vous sélectionnez une cellule
individuelle.
Pour plus d’informations sur l’utilisation de remplissages image, reportez-vous à la
section “Remplissage d’un objet avec une image” à la page 92. Pour plus de détails sur
la façon de manipuler les remplissages couleur et dégradés, consultez la section “Utilisation de remplissages couleurs et image” à la page 89.
Pour ajouter une couleur d’arrière-plan ou un remplissage dégradé :
1 Sélectionnez une cellule, un groupe de cellules ou l’ensemble du tableau.
2 Dans l’Inspecteur des graphismes, choisissez Remplissage couleur ou Remplissage
dégradé dans le menu local Remplissage.
3 Cliquez sur un cadre de couleur et sélectionnez une couleur dans la fenêtre Couleurs.
Remarque : si vous ajoutez une couleur à l’ensemble du tableau, le menu local Remplir
de l’Inspecteur des graphismes affiche Aucun lorsque vous sélectionnez une cellule.
Pour plus d’informations sur l’utilisation des remplissages couleur et dégradé, reportez-vous à la section “Utilisation de remplissages couleurs et image” à la page 89.
Mise en forme des nombres
Lorsque des cellules d’un tableau contiennent ou sont prévues pour contenir des données numériques, vous pouvez appliquer à ces cellules un format de nombre afin que
leur valeur apparaisse d’une certaine manière. Par exemple, vous pouvez appliquer un
format de nombres aux cellules comprenant des valeurs monétaires afin qu’elles affichent le symbole de leur devise (comme i, $, £ ou ¥) après leur valeur.
Définition des formats de nombres
Pour définir le format des nombres d’une ou de plusieurs cellules :
1 Sélectionnez la ou les cellules.
Si une cellule sélectionnée est vide, les valeurs qui y seront saisies ultérieurement apparaîtront alors suivant le format de nombre que vous aurez défini. Lorsqu’une cellule
sélectionnée contient déjà un nombre, le format est également appliqué au nombre
à mesure qu’il est défini.118 Chapitre 5 Création de tableaux
2 Dans la sous-fenêtre Numéros de l’Inspecteur des tableaux, sélectionnez Format des
nombres, puis utilisez les champs en dessous pour définir le format des nombres.
Si vous utilisez le suffixe %, les données de la cellule seront suivies du symbole %. Si
ces données sont utilisées dans une formule, elles sont alors converties en nombre
décimal. Par exemple, 3 % devient ainsi 0,03. Reportez-vous à la section “Utilisation
des formules” à la page 122 pour en savoir plus.
Une fois un format des nombres défini, vous pouvez associer celui-ci à plusieurs cellules après avoir défini le format par le biais de la fonction de remplissage automatique.
Reportez-vous à la section “Remplissage automatique” à la page 121 pour obtenir des
instructions complémentaires.
Application des formats de nombres
Pour ajouter une valeur à une cellule vide à laquelle a été appliqué un format
de nombre :
m Sélectionnez la cellule et tapez un nombre. Le format de nombres s’applique automatiquement dès que vous appuyez sur la touche Retour ou que vous cliquez en dehors
de la cellule.
Cochez cette case pour définir un
format d’affichage pour les nombres
des cellules sélectionnées.
Choisissez ou tapez un
symbole précédant les
Choisissez si un séparateur
de milliers doit être utilisé.
Choisissez ou tapez un symbole
suivant les nombres.
Définissez le nombre de
décimales à afficher.
Sélectionnez un style d’affichage
des nombres négatifs.Chapitre 5 Création de tableaux 119
Pour appliquer un format de nombre à une valeur existante :
1 Sélectionnez une ou plusieurs cellules contenant des nombres.
2 Dans la sous-fenêtre Numéros de l’Inspecteur des tableaux, sélectionnez la case
Format des nombres, puis utilisez les champs en dessous pour définir le format
des nombres. Le format que vous définissez est alors appliqué aux valeurs de la
ou des cellules sélectionnées.
Pour modifier la valeur d’une cellule à laquelle est appliqué un format de nombre :
1 Sélectionnez la cellule.
2 Cliquez sur la cellule ou appuyez sur la touche Retour ou Entrée. L’Éditeur de formules
s’ouvre alors en affichant la valeur sans sa mise en forme.
3 Modifiez la valeur affichée dans l’Éditeur de formules.
4 Pour conserver la nouvelle valeur, cliquez sur le bouton Accepter dans l’Éditeur
de formules, appuyez sur la touche Retour ou cliquez en dehors de l’éditeur.
5 Pour annuler votre modification, cliquez sur le bouton Annuler dans l’Éditeur
de formules ou appuyez sur la touche Échap.
Pour supprimer le format de nombre appliqué à une cellule :
m Sélectionnez la cellule, puis désélectionnez la case Format des nombres dans
la sous-fenêtre Numéros de l’Inspecteur des tableaux.
Classement de cellules
Vous avez la possibilité de classer les rangs d’un tableau d’après les valeurs d’une
ou de plusieurs colonnes. Les cellules d’en-tête sont exclues de ce classement.
Pour classer des rangs :
1 Si vous souhaitez classer tous les rangs d’un tableau, sélectionnez la colonne dont
vous voulez classer les valeurs, ou une cellule dans la colonne, ou un en-tête de
colonne (s’il est visible).
Bouton Annuler
(annuler les modifications).
Bouton Accepter
(conserver les modifications).
Appliquez les modifications.120 Chapitre 5 Création de tableaux
Si vous ne voulez classer que certains rangs, ne sélectionnez que les cellules de la
colonne dont les valeurs serviront de base au classement.
2 Dans l’Inspecteur des tableaux, cliquez sur Numéros pour ouvrir la sous-fenêtre
Numéros.
3 Utilisez les boutons de classement des colonnes selon si vous voulez trier les valeurs
par ordre croissant ou décroissant.
Le tableau suivant décrit de quelle manière les différents types de données sont
classés, par ordre croissant ou décroissant.
Classez les cellules des colonnes
sélectionnées par ordre croissant.
Les rangs contenant les cellules
seront alors réorganisés.
Classez les cellules des colonnes
sélectionnées par ordre décroissant.
Les rangs contenant les cellules
seront alors réorganisés.
Type de données Ordre croissant Ordre décroissant
Texte aA–zZ Zz–Aa
Nombres –2, –1, 0, 1, etc. 1, 0, –1, –2, etc.
Cellules ne contenant que du
texte, combinées avec d’autres
ne contenant que des nombres
–2, –1, 0, 1, etc., puis
aA–zZ
Zz–Aa, puis 1, 0, –1, –2, etc.
Cellules contenant un mélange
de texte et de nombres
Valeurs commençant par les
nombres en premier (1Z, 1z,
A1, a1)
Valeurs commençant par
du texte (A1, a1, 1A, 1z)
Cellules vides En bas de la liste En bas de la liste
Booléen (VRAI/FAUX) Au-dessus des valeurs texte En dessous des valeurs texteChapitre 5 Création de tableaux 121
Remplissage automatique
Vous pouvez utiliser la fonctionnalité de remplissage automatique pour coller le contenu de la cellule supérieure gauche d’une sélection de cellules adjacentes dans toutes
les autres cellules de la sélection. Tout texte, toute mise en forme de nombres ou toute
formule associés à la cellule supérieure gauche seront collés dans toutes les cellules de
la sélection. La mise en forme de l’arrière-plan n’est pas affectée. Reportez-vous à la
section “Utilisation des formules” à la page 122 pour en savoir plus sur l’utilisation de
formules dans les cellules d’un tableau.
Si la cellule supérieure gauche est vide, le remplissage automatique efface alors toutes
les données des cellules de la sélection. Tout format de nombres et toute formule associés aux cellules de la sélection sont ainsi modifiés et adoptent ceux de la cellule supé-
rieure gauche.
Le remplissage automatique ne définit aucune relation entre les cellules de la sélection.
Après le remplissage, vous avez la possibilité de modifier les données, la mise en forme
des nombres ou les formules de n’importe laquelle de ces cellules.
Pour lancer le remplissage automatique d’un ensemble de cellules :
1 Sélectionnez la cellule possédant les données, le format de nombre ou la formule que
vous voulez coller dans les autres cellules.
2 Sélectionnez les cellules adjacentes à remplir automatiquement en vous assurant que
la cellule possédant les données à coller se trouve bien dans le coin supérieur gauche
du groupe. Les cellules de la sélection peuvent se trouver dans le même rang ou la
même colonne et dans des rangs ou des colonnes adjacentes, mais elles doivent être
contiguës. Reportez-vous à la section “Sélection de cellules d’un tableau” à la page 106
pour connaître les instructions relatives à la sélection de cellules.
3 Dans la sous-fenêtre Numéros de l’Inspecteur des tableaux, cliquez sur le bouton Remplir.
Collez le contenu de la cellule
supérieure gauche sélectionnée
dans les autres cellules sélectionnées.122 Chapitre 5 Création de tableaux
Utilisation des formules
Vous pouvez ajouter une formule à la cellule d’un tableau afin de calculer et d’afficher
une valeur dérivée des valeurs d’autres cellules. Une formule correspond à un ensemble d’opérations effectuées sur une valeur.
Par exemple, vous pouvez ajouter une formule à la cellule située au bas d’une colonne
calculant la somme des nombres se trouvant dans les autres cellules de la colonne. Si
une des valeurs de la colonne change, le total dans la cellule du bas change alors
automatiquement.
Les formules calculent des valeurs par le biais d’opérateurs ou de fonctions :
 Les opérateurs effectuent les opérations arithmétiques de base telles que l’addition
(+) et la multiplication (*).
 Tandis que les fonctions sont des opérations nommées et prédéfinies, telles que
SOMME et MOYENNE.
Vous trouverez ci-dessous des conseils sur l’utilisation des formules de base dans les
tableaux. Reportez-vous à la section “Opérateurs et fonctions destinés aux utilisateurs
avancés” à la page 131 pour en savoir plus sur l’utilisation des formules plus avancées.
Ajout d’une formule rapide
Le moyen le plus simple d’effectuer un calcul de base en utilisant les valeurs d’un
ensemble de cellules adjacentes d’un tableau est d’ajouter une formule rapide à
l’aide du menu local Formule rapide de l’Inspecteur des tableaux.
 Somme : calcule le total des valeurs des cellules.
 Moyenne : calcule la moyenne arithmétique des valeurs des cellules.
 Min : détermine quelle valeur des cellules est la plus petite.Chapitre 5 Création de tableaux 123
 Max : détermine quelle valeur des cellules est la plus grande.
 Compte : détermine combien des valeurs des cellules sont des nombres.
 Produit : multiplie toutes les valeurs des cellules.
Pour effectuer un calcul élémentaire à l’aide des valeurs des colonnes :
1 Sélectionnez un ensemble de cellules adjacentes dans une colonne.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des
tableaux, puis sur Numéros.
3 Choisissez une formule dans le menu local Formule rapide.
Keynote place la formule et son résultat dans la première cellule vide rencontrée en
dessous des cellules sélectionnées. Si aucune de ces cellules n’est vide, Keynote crée
alors un rang destiné à accueillir le résultat.
Si la colonne possède une cellule d’en-tête et que vous souhaitez que la formule utilise toutes les valeurs de la colonne, cliquez sur la cellule d’en-tête avant de choisir la
formule rapide.
Pour effectuer un calcul élémentaire à l’aide des valeurs des rangs :
1 Sélectionnez un ensemble de cellules adjacentes dans un rang.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des tableaux,
puis sur Numéros.
3 Choisissez une formule dans le menu local Formule rapide.
Keynote place la formule et son résultat dans la première cellule vide rencontrée à
droite des cellules sélectionnées. Si aucune de ces cellules n’est vide, Keynote crée
alors une colonne destinée à accueillir le résultat.
Si le rang possède une cellule d’en-tête et que vous souhaitez que la formule utilise
toutes les valeurs du rang, cliquez sur la cellule d’en-tête avant de choisir la formule
rapide.
Pour supprimer une formule d’une cellule :
1 Sélectionnez la cellule.
2 Appuyez sur la touche Supprimer.124 Chapitre 5 Création de tableaux
Utilisation de l’Éditeur de formules pour ajouter et modifier
des formules
L’Éditeur de formules vous permet de contrôler le contenu de vos formules.
L’Éditeur de formules
Utilisez l’Éditeur de formules pour saisir et modifier des formules.
Pour ouvrir l’Éditeur de formules, procédez de l’une des manières suivantes :
 Sélectionnez une cellule du tableau et tapez le signe égal (=).
Une bordure de sélection verte apparaît autour de la cellule pour indiquer que vous
êtes en mode formule.
 Sélectionnez une cellule du tableau contenant une formule, puis cliquez à nouveau
sur la cellule ou appuyez sur la touche Retour ou Entrée.
 Sélectionnez une cellule du tableau, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils,
puis sur le bouton Inspecteur des tableaux. Dans la sous-fenêtre Numéros, cliquez
sur le bouton Éditeur de formules (=).
Pour ajouter une nouvelle formule à l’aide de l’Éditeur de formules :
1 Sélectionnez la cellule dans laquelle vous souhaitez afficher le résultat de la formule.
2 Ouvrez l’Éditeur de formules. Par exemple, tapez le signe égal (=).
3 Tapez une formule dans le champ de texte, ou bien cliquez sur le bouton d’insertion
de formule pour utiliser une fonction prédéfinie.
Bouton d’insertion de fonction
Cliquez sur ce bouton et maintenez le bouton
de la souris enfoncé pour choisir une fonction
prédéfinie dans le menu local.
Une formule commence
toujours par le signe égal. Champ de texte
Afficher ou modifier une
formule dans ce champ.
Bouton Annuler
(supprimer les modifications).
Bouton Accepter
(enregistrer les modifications).Chapitre 5 Création de tableaux 125
Reportez-vous à la section “Utilisation des références de cellules” à la page 126 pour
connaître les techniques permettant d’inclure des références de cellules dans vos
formules.
Reportez-vous à la section “Utilisation de fonctions prédéfinies” à la page 129 pour
savoir comment insérer une fonction dans une formule par le biais du bouton d’insertion de formule de l’Éditeur de formules.
Reportez-vous à la section “Calcul d’opérations arithmétiques” à la page 128 pour
savoir comment ajouter une formule réalisant des calculs arithmétiques.
Reportez-vous à la section “Opérateurs et fonctions destinés aux utilisateurs avancés”
à la page 131 pour obtenir des informations détaillées sur l’utilisation d’opérateurs et
de fonctions spécifiques dans les formules.
4 Cliquez sur le bouton Accepter pour enregistrer votre formule.
Pour modifier une formule :
m Double-cliquez sur une cellule du tableau contenant une formule. L’Éditeur de formules s’ouvre, avec la formule affichée dans le champ de texte. Vous pouvez utiliser les
touches fléchées pour déplacer le point d’insertion dans le champ de texte.
Pour enregistrer une formule, procédez de l’une des manières suivantes :
 Dans l’Éditeur de formules, appuyez sur la touche Retour, sur Entrée ou bien cliquez
sur le bouton Accepter.
 Cliquez en dehors du tableau.
Pour supprimer les changements que vous avez effectués à la formule, effectuez
l’une des opérations suivantes :
 Dans l’Éditeur de formules, appuyez sur la touche Échap ou cliquez sur le bouton
Annuler.
 Pour fermer l’Éditeur de formules et annuler les modifications, cliquez sur le bouton
de fermeture.
Pour supprimer une formule d’une cellule :
m Sélectionnez la cellule et appuyez sur la touche Suppr.126 Chapitre 5 Création de tableaux
Utilisation des références de cellules
Quand l’Éditeur de formules est ouvert, les onglets de référence des cellules s’affichent
sur les bords supérieur et gauche du tableau.
Les onglets de référence vous aident à créer rapidement une référence de cellule.
Une référence de cellule identifie une colonne (par le biais de lettres) et un rang
(par le biais de nombres). Par exemple, A1 correspond à la cellule du coin supérieur
gauche. En suivant cette logique, A4 est donc la cellule située sur le quatrième rang
et sur la première colonne.
Ajout de références de cellules dans le champ de texte de l’Éditeur de formules
Pour se référer à une cellule en particulier :
m Cliquez dans le champ de texte pour placer le point d’insertion là où vous souhaitez
ajouter la référence, puis cliquez sur une cellule du tableau. L’Éditeur de formules
insère alors une référence à la cellule en question.
Vous pouvez également taper une référence de cellule (par exemple, A4) dans le champ
de texte en vous servant des onglets de référence comme repères.
Pour ajouter une référence à une liste de cellules individuelles :
m Cliquez sur chaque cellule. L’Éditeur de formules insère automatiquement un opérateur
d’addition (+) entre eux.
Vous pouvez également taper plusieurs références de cellules en les séparant par
une virgule (ou un point-virgule si la langue de votre système utilise la virgule comme
séparateur décimal). Par exemple, pour additionner les valeurs de trois colonnes, vous
pouvez taper SOMME(C2,D2,E2) dans le champ de texte de l’Éditeur de formules.
Les colonnes sont référencées
alphabétiquement.
Les rangs, eux, sont référencés par des valeurs numériques.
Voici la cellule D4.Chapitre 5 Création de tableaux 127
Pour ajouter une référence à un ensemble de cellules :
m Sélectionnez une fonction à partir du bouton d’insertion de formule de l’Éditeur de
formules. Faites glisser les cellules que vous voulez ajouter vers l’endroit en question.
L’Éditeur de formules insère les références des première et dernière cellules de l’ensemble, séparées par deux points (A2:A4). Consultez la section “Utilisation de fonctions pré-
définies” à la page 129 pour en savoir plus sur le bouton d’insertion de formule.
Vous pouvez également taper dans la première cellule ou cliquer dessus, taper deux
points, puis taper dans la dernière cellule ou cliquer dessus.
Pour faire référence à toutes les cellules d’une colonne :
m Tapez la lettre de la colonne. Si la colonne contient un rang d’en-tête, vous pouvez
alors cliquer sur la cellule d’en-tête à la place.
Pour faire référence à toutes les cellules d’un rang :
m Saisissez 1:1 pour le premier en-tête de rang, 2:2 pour le deuxième en-tête, etc.
Si le rang contient une colonne d’en-tête, vous pouvez alors cliquer dessus à la place.
Ajout d’une formule dans plusieurs cellules
Lorsqu’un tableau possède des cellules d’en-tête, vous pouvez utiliser ces dernières
pour ajouter rapidement une formule à plusieurs rangs ou colonnes.
Pour utiliser un en-tête de colonne afin d’additionner les valeurs de chaque rang :
1 Sélectionnez l’en-tête de la colonne contenant les cellules destinées à recevoir la
formule. Nous utiliserons l’en-tête de colonne C1 comme exemple.
2 Ouvrez l’Éditeur de formules. Par exemple, tapez le signe égal (=).
3 Pour ajouter une formule permettant d’additionner les valeurs des colonnes A et B,
cliquez sur la cellule d’en-tête de la colonne A, puis cliquez sur la cellule d’en-tête
de la colonne B. Le champ de texte de l’Éditeur de formules affiche =A+B.
Vous pouvez aussi taper A+B dans le champ de texte.
4 Cliquez sur le bouton Accepter ou appuyez sur la touche Retour ou Entrée pour
enregistrer la formule.
Chaque cellule située en dessous de l’en-tête de la colonne C contient désormais
une version de la formule faisant référence aux cellules de son rang uniquement.
Par exemple, si vous sélectionnez C2 et que vous tapez le signe égal (=) pour ouvrir
l’Éditeur de formules, vous verrez s’afficher =A2+B2 dans le champ de texte.128 Chapitre 5 Création de tableaux
Comme l’illustre cet exemple, vous pouvez saisir une référence de cellule au lieu de cliquer sur une cellule d’en-tête. Pour faire référence à toutes les cellules d’une colonne,
tapez la lettre de la colonne, comme dans l’exemple. Pour faire référence à toutes les cellules d’un rang, tapez 1:1 pour le premier en-tête de rang, 2:2 pour le deuxième en-tête, etc.
Calcul d’opérations arithmétiques
Pour créer une formule réalisant une opération arithmétique, vous devez utiliser des
opérateurs arithmétiques. Par exemple, pour additionner les valeurs placées sur deux
colonnes, vous pouvez créer une formule se présentant comme suit : A2 + A3 + A5.
Le tableau ci-dessous présente les opérateurs arithmétiques élémentaires. Pour obtenir plus d’informations sur les opérateurs pris en charge par Keynote, reportez-vous
à la section “Définition de formules utilisant des opérateurs” à la page 131.
Pour ajouter une formule arithmétique dans une cellule :
1 Sélectionnez une cellule vide destinée à afficher les résultats de la formule.
2 Ouvrez l’Éditeur de formules. Par exemple, tapez le signe égal (=).
3 Saisissez la formule dans le champ de texte après le signe égal. Par exemple, pour saisir la formule A3 * B5 + B6, dans le champ de texte après le signe égal, vous pouvez
procéder de l’une des manières suivantes :
a Cliquez sur la cellule A3 ou tapez A3 directement.
b Tapez * (correspondant à l’opérateur de multiplication).
c Cliquez sur la cellule B5 ou tapez B5 directement.
d Cliquez sur B6 (si vous ne tapez pas d’opérateur avant de cliquer, l’Éditeur de formules
ajoute alors un signe plus (+) automatiquement).
4 Cliquez sur le bouton Accepter ou appuyez sur la touche Retour ou Entrée pour
enregistrer la formule.
Pour effectuer cette
opération
Utilisez cet opérateur
arithmétique
Par exemple
Additionner deux valeurs + A2 + B2
Soustraire une valeur
à une autre
– A2 – B2
Multiplier deux valeurs * A2 * B2
Diviser une valeur par une
autre
/ A2 / B2Chapitre 5 Création de tableaux 129
Utilisation de fonctions prédéfinies
Le bouton Insérer une fonction de l’Éditeur de formules vous permet d’ajouter rapidement une fonction à une formule.
Lorsque vous utilisez une fonction, indiquez son nom suivi des arguments nécessaires
encadrés par des parenthèses. Les arguments précisent les données que la fonction
doit utiliser lorsqu’elle effectue les opérations qui lui sont prévues.
Voici quelques exemples de formules utilisant des fonctions :
 SOMME(A2:A10) : cette formule utilise la fonction SOMME pour additionner la valeur
de chacune des neuf cellules indiquées se trouvant dans la première colonne. Dans
ce cas, nous rencontrons un seul argument, à savoir “A2:A10”. Le symbole deux-points
indique que la formule utilise les valeurs des cellules A2 à A10 incluses.
 MOYENNE(A2,B2,C2) : la formule utilise la fonction MOYENNE pour calculer
la moyenne arithmétique de trois valeurs se trouvant sur le deuxième rang.
Dans ce cas, trois arguments sont inclus : A2, B2 et C2.
Voici un récapitulatif des fonctions que vous pouvez ajouter par le biais du bouton
d’insertion de formule.
Pour effectuer cette
opération
Utilisez cette fonction Par exemple
Pour calculer la somme
de valeurs provenant
de plusieurs cellules
SOMME SOMME(A2:A5)
Pour calculer la moyenne
de valeurs provenant de
plusieurs cellules
MOYENNE MOYENNE(A2:A5)130 Chapitre 5 Création de tableaux
Vous pouvez également saisir ces fonctions, ou d’autres, dans le champ de texte de
l’Éditeur de formules. Pour obtenir des informations détaillées sur toutes les fonctions
prises en charge par Keynote, consultez la section “Définition de formules utilisant des
fonctions” à la page 132.
Pour utiliser une fonction prédéfinie dans une formule :
1 Sélectionnez une cellule vide destinée à afficher les résultats de la formule.
2 Ouvrez l’Éditeur de formules. Par exemple, tapez le signe égal (=).
3 Cliquez sur le bouton d’insertion de formule, puis sélectionnez une fonction
dans le menu local.
Keynote insère la fonction dans le champ de texte, suivie de deux parenthèses.
4 Entre ces parenthèses, insérez les références aux cellules servant de base à la fonction.
Par exemple, pour faire référence à neuf cellules de la colonne A (de A2 à A10), vous
pouvez faire glisser les cellules A2 à A10. Vous pouvez aussi effectuer les opérations
suivantes :
a Cliquez sur la cellule A2 ou tapez A2 directement.
b Ajoutez le symbole deux-points (:).
c Cliquez sur la cellule A10 ou tapez A10 directement.
5 Cliquez sur le bouton Accepter ou appuyez sur la touche Retour ou Entrée
pour enregistrer la formule.
Pour déterminer la valeur la
plus petite provenant de plusieurs cellules
MIN MIN(A2:A5)
Pour déterminer la valeur la
plus grande provenant de plusieurs cellules
MAX MAX(A2:A5)
Pour déterminer combien de
valeurs provenant de plusieurs
cellules sont des nombres
COMPTE COMPTE(A2:A5)
Pour multiplier des valeurs
provenant de plusieurs cellules
PRODUIT PRODUIT(A2:A5)
Pour effectuer cette
opération
Utilisez cette fonction Par exempleChapitre 5 Création de tableaux 131
Opérateurs et fonctions destinés aux utilisateurs avancés
Après vous être familiarisé avec l’Éditeur de formules et les références de cellules,
il vous sera alors possible de créer un large éventail de formules.
Cette section décrit en détail les opérateurs et les fonctions que vous pouvez inclure
dans vos formules si vous les saisissez dans le champ de texte de l’Éditeur de formules.
Définition de formules utilisant des opérateurs
Les opérateurs inclus dans des formules servent à effectuer des opérations arithmétiques ou des comparaisons. Par exemple :
 A2 + A3 : correspond à l’addition des valeurs provenant de deux cellules
de la première colonne.
 A2 > B6 : détermine pour sa part si la valeur de la cellule A2 est plus grande que celle de
la cellule B6. Si c’est le cas, le résultat est VRAI ; dans le cas contraire, le résultat est FAUX.
Les opérateurs arithmétiques effectuent des opérations arithmétiques et donnent
des résultats sous forme numérique.
L’opérateur Donne Exemple (hypothèse :
A2 = 20 et B2 = 2)
+ L’addition de deux valeurs A2+B2 donne 22
– La différence entre deux
valeurs
A2-B2 donne 18
* La produit de deux valeurs A2*B2 donne 40
/ Le résultat de la division d’une
valeur par une autre
A2/B2 donne 10
^ Le résultat de l’élévation d’une
valeur à la puissance d’une
autre
A2^B2 donne 400
% Le résultat de la division d’une
valeur par 100
A2% donne 0,2
Remarques :
 Lorsqu’une référence de cellule se rapporte à une cellule vide, la valeur utilisée est 0.
 Lorsqu’une référence de cellule se rapporte à une cellule contenant FAUX, la valeur utilisée
est 0. Si la cellule contient VRAI, la valeur utilisée est 1. Ainsi, VRAI + 1 donne 2.
 L’utilisation d’une chaîne de texte avec un opérateur arithmétique donne une erreur.
Par exemple, 3 + “bonjour” n’est pas une opération arithmétique correcte.132 Chapitre 5 Création de tableaux
Les opérateurs de comparaison comparent deux valeurs et donnent uniquement
la valeur VRAI ou FAUX.
Définition de formules utilisant des fonctions
Les tableaux suivants fournissent des informations sur trois types de fonctions : statistiques, numériques et logiques. Vous y retrouverez les conventions suivantes utilisées
pour décrire les arguments :
 Les paramètres fictifs d’argument (x; x
1
; etc.) représentent les emplacements
où la saisie doit se placer (telle que les références aux cellules ou les constantes).
L’opérateur Donne Exemple (hypothèse :
A2 = 20 et B2 = 2)
= VRAI si deux valeurs sont
égales
A2=B2 donne FAUX
<> VRAI si deux valeurs ne sont
pas égales
A2<>B2 donne VRAI
> VRAI si la première valeur est
supérieure à la deuxième
A2>B2 donne VRAI
< VRAI si la première valeur est
inférieure à la deuxième
A2= VRAI si la première valeur est
supérieure ou égale à la
deuxième
A2>=B2 donne VRAI
<= VRAI si la première valeur est
inférieure ou égale à la
deuxième
A2<=B2 donne FAUX
Remarques :
 Les chaînes de texte sont considérées comme supérieures aux nombres. Ainsi, “bonjour” > 5
donne VRAI.
 VRAI et FAUX peuvent être comparés mutuellement mais ne peuvent pas être comparés
avec des nombres ou des chaînes de texte. Par exemple, VRAI > FAUX et FAUX < VRAI.
 Pour taper une valeur booléenne (c’est-à-dire VRAI ou FAUX), tapez le signe égal suivi
de la valeur dans l’Éditeur de formules et appuyez sur Retour.Chapitre 5 Création de tableaux 133
 Les points de suspension (...) suivant une liste d’arguments reviennent à indiquer
que vous pouvez ajouter des arguments si nécessaire. Placez un point-virgule pour
séparer les arguments. Si la langue de votre système n’utilise cependant pas la virgule comme séparateur décimal (comme c’est le cas pour l’anglais), vous avez également la possibilité de séparer les arguments par une virgule.
 Les fonctions ne nécessitant pas un nombre spécifique d’arguments (comme c’est
le cas de MOYENNE) peuvent inclure des références à des ensembles de cellules
(par exemple, A4:A6) plutôt que d’autres arguments ou en complément à ceux-ci.
Les fonctions statistiques procèdent à des calculs de statistiques.
Cette fonction Donne Exemples
MOYENNE(x
1
...) La moyenne arithmétique des
arguments indiqués
MOYENNE(2;3) donne 2,5
COMPTE(x
1
...) Le nombre d’arguments indiqués qui ne sont pas numériques
COMPTE(1;2;“bonjour”) donne
2
COMPTE(A1:A4) donne 2 si A1
et A2 contiennent des nombres mais que A3 et A4 sont
vides
MAX(x
1
...) La valeur de l’argument le plus
grand parmi ceux indiqués
MAX(–1, 42, 7) donne 42
MIN(x
1
...) La valeur de l’argument le plus
petit parmi ceux indiqués
MIN(–1, 42, 7) donne –1
Remarques :
 Si un argument correspond à une référence à une cellule ne contenant aucun nombre,
l’argument est alors ignoré. VRAI est considéré comme équivalent à 1, FAUX à 0 et les chaînes
de texte donnent une erreur.134 Chapitre 5 Création de tableaux
Les fonctions numériques procèdent à des calculs arithmétiques plus complexes.
Cette fonction Donne Exemples Remarques
ABS(x) La valeur absolue
de l’argument
ABS(3,6) donne 3,6
ABS(-3,6) donne 3,6
ABS(VRAI) donne 1
Interprète VRAI
comme 1 et FAUX
comme 0
ENT(x) Le nombre inférieur
entier le plus proche
de l’argument
ENT(3,1) donne 3
ENT(3,7) donne 3
ENT(–3,1) donne –4
ENT(42) donne 42
Interprète VRAI
comme 1, et FAUX et
les références à des
cellules vides comme 0
MOD(x;y) Le reste après division
de x par y
MOD(5,2) donne 1
MOD(–1,2,7) donne
5,8
Le signe de la valeur
résultante est le
même que celui de y.
Reportez-vous également aux remarques
de la fin du tableau.
PRODUIT(x
1
...) Le produit des arguments indiqués
PRODUIT(2;4) donne 8 Reportez-vous aux
remarques de la fin
du tableau.
ARRONDI(x; y) Le nombre résultant
après avoir arrondi x
sur y décimales
ARRONDI(3,1415; 2)
donne 3,14
ARRONDI(3,1415, –7)
donne 0
ARRONDI(3,1415, 2,7)
donne 3,14
Arrondit y vers 0 à
l’entier le plus proche.
Si y est négatif après
l’opération d’arrondi,
la fonction donne 0.
Reportez-vous également aux remarques
de la fin du tableau.
SIGNE(x) 1, si x est supérieur à 0
0, si x est égal à 0
–1 si x est inférieur à 0
SIGNE(42) donne 1
SIGNE(0) donne 0
SIGNE(–42) donne –1
Interprète VRAI
comme 1, et FAUX et
les références à des
cellules vides comme 0
SOMME(x ...) La somme des arguments indiqués
SOMME(1; 2) donne 3
SOMME(1, VRAI)
donne 2
Reportez-vous également aux remarques
de la fin du tableau.
Remarques :
 Si un argument de MOD, ARRONDI ou SOMME se réfère à une cellule ne contenant aucun
nombre, l’argument est alors ignoré. VRAI est interprété comme 1, FAUX comme 0 et les
chaînes de texte donnent une erreur.Chapitre 5 Création de tableaux 135
Les fonctions logiques déterminent si une condition donnée s’évalue par VRAI
ou par FAUX.
Cette fonction Donne Exemples Remarques
ET(x
1
...) VRAI si tous les arguments s’évalue
comme VRAI, sinon
donne FAUX
ET(VRAI, VRAI) donne VRAI
ET(VRAI, FAUX) donne FAUX
ET(VRAI, 0) donne FAUX
Reportez-vous aux
remarques de la fin
du tableau.
ESTERREUR(x) VRAI si x provoque
une erreur, sinon
donne FAUX
ESTERREUR(1/0) donne
VRAI
NON(x)) VRAI si x est FAUX
FAUX si x est VRAI
NON(VRAI) donne FAUX
NON(FAUX) donne VRAI
Interprète 0 comme
FAUX et tous les
autres nombres
comme VRAI
OU(x
1
...) VRAI si n’importe
lequel des arguments
est VRAI, donne FAUX
dans le cas contraire
OU(VRAI, FAUX) donne VRAI
OU(FAUX) donne FAUX
Reportez-vous aux
remarques de la fin
du tableau.
Remarques :
 Si un argument de ET ou OU se réfère à une cellule ne contenant ni VRAI ni FAUX, l’argument
est alors ignoré. Lorsque vous saisissez directement les arguments plutôt que de faire réfé-
rence à des cellules pour des valeurs, le zéro est alors interprété comme FAUX, n’importe quel
autre nombre est interprété comme VRAI et les chaînes de texte donnent une erreur.137
6
6 Création de graphiques
Vous pouvez transformer des données de feuilles
de calcul en graphiques attrayants. Ce chapitre
décrit les notions élémentaires de la création
de graphiques dans Keynote.
Keynote fournit des outils permettant de créer des graphiques attrayants afin de pré-
senter des données numériques. Vous pouvez copier et coller des données à partir
d’une feuille de calcul ou les saisir directement dans l’Éditeur de graphiques pour créer
et modifier vos graphiques directement sur le canevas de la diapositive. Par défaut,
Keynote coordonne l’apparence de vos graphiques avec le thème que vous utilisez.
À propos des graphiques
Les graphiques illustrent la relation entre deux types de données. Par exemple, si vous
représentez sous forme graphique la croissance de l’activité, vous affichez la relation
entre la taille de l’entreprise et les années. Si vous représentez les résultats d’un vote
parmi différents groupes démographiques, vous illustrez la relation entre le nombre
de suffrages et le groupe démographique. Lorsque vous entrez des données pour un
graphique, les deux types de données sont représentés sous forme de séries de données
et de jeux de données.
Séries de données et ensembles de données
Dans un graphique de gestion, on peut citer comme exemple de série de données les
bénéfices réalisés dans une région au cours de quatre années successives ; l’ensemble
des bénéfices régionaux réalisés sur une seule de ces années peut être un exemple de
groupes de données. Dans l’illustration ci-dessous, les séries de données (bénéfices de
chaque région) sont indiquées dans les rangs, les jeux de données (les bénéfices de
chaque année) dans les colonnes. Chaque valeur (par exemple 17 pour la région 1 en
2005) correspond à un point de données.138 Chapitre 6 Création de graphiques
Les carrés de couleur en regard des étiquettes des rangs (région 1 et région 2)
illustrent la couleur qui représente chaque série de données du graphique.
L’illustration ci-dessous montre sous forme graphique l’aspect de ces données.
Dans ce graphique, appelé graphique à colonnes, les séries de données sont représentées sous forme de rangs dans l’Éditeur de graphiques. Les points de données sont
représentés sous forme d’une série de barres de couleur sombre et d’une série de
barres de couleur claire.
La plupart des graphiques disposent de versions en trois dimensions (3D). Voici à quoi
ressemble le graphique 3D à colonnes pour la série de données mentionnée ci-dessus.
Ces carrés indiquent la
couleur qui représente
chaque série de données.
Les jeux de données contiennent
un point de données (une barre)
de chacune des séries de données.
Ces quatre barres représentent
une série de données.
La légende du graphique désigne
les deux séries de données.Chapitre 6 Création de graphiques 139
Transposition de séries de données et d’ensembles de données
Vous pouvez facilement permuter les séries de données et les jeux de données
dans les graphiques, sans avoir à saisir les données à nouveau, en utilisant le bouton
Rang / colonne dans l’Éditeur de graphiques.
Le graphique à colonnes ci-dessous montre les mêmes données, mais avec leurs
ensembles de données et leurs séries de données transposés.
Ce bouton fait des rangs de
données de l’Éditeur de graphiques la série de données.
Ce bouton fait des colonnes de
données de l’Éditeur de graphiques la série de données.140 Chapitre 6 Création de graphiques
Dans ce graphique, les séries de données sont maintenant représentées par des colonnes dans l’Éditeur de graphiques illustré à la page 138. Désormais, on est en présence
de quatre séries de données représentées par quatre barres de couleur différente.
Les séries de données sont représentées différemment dans les différents types
de graphique fournis par Keynote.
 Graphiques à colonnes et à barres : une série de données est représentée par
une série de barres de la même couleur (comme le montre l’illustration ci-dessus).
 Graphique linéaire (également appelé graphe) : une série de données est repré-
sentée par une ligne.
 Graphique à couches : une série de données est représentée par une couche.
 Graphique sectoriel : un seul groupe de données (le premier point de données de
chaque série) est représenté sur le graphique (quel que soit le groupe répertorié en
premier dans l’Éditeur de graphiques).
 Graphique en nuage de points : deux colonnes de données sont utilisées pour traiter les valeurs d’une même série de données. Chaque paire de valeurs détermine ainsi
la position de chaque point de données.
Ces deux barres repré-
sentent une série de
données.
Les jeux de données contiennent
un point de données (une barre)
de chacune des quatre séries de
données.Chapitre 6 Création de graphiques 141
Ajout d’un graphique
Vous pouvez ajouter un graphique en l’insérant sur le canevas ou en le dessinant.
Après avoir ajouté le graphique, vous pouvez modifier son type et son apparence
au moyen de l’Inspecteur des graphiques.
Pour placer un graphique dans le canevas :
1 Cliquez sur Graphique dans la barre d’outils (ou sélectionnez Insertion > Graphique).
Un graphique contenant des données d’espace réservé apparaît alors sur la diapositive
et l’Inspecteur des graphiques et l’Éditeur de graphiques s’ouvrent.
Pour redimensionner le graphique :
m Faites glisser une poignée de sélection active.
Pour repositionner le graphique :
m Faites-le glisser à l’endroit voulu (évitez de placer le pointeur sur une poignée
de sélection).
Vous pouvez également créer un graphique sur une diapositive.
Pour créer un graphique dans le canevas :
1 Maintenez la touche Option enfoncée et cliquez sur Graphique dans la barre d’outils.
2 Relâchez la touche Option, puis déplacez le pointeur au-dessus du canevas de la diapositive jusqu’à ce qu’il se transforme en réticule.
3 Faites glisser ce pointeur dans le canevas pour créer un graphique de la taille que
vous souhaitez.
Pour conserver les proportions des dimensions d’un graphique, maintenez la touche
Maj enfoncée lors du redimensionnement.
Modification d’un type de graphique
Keynote propose de nombreux types de graphiques, notamment à barres simples
ou en 3D, linéaires simples ou en 3D, sectoriels et plus encore. Une fois que vous
avez placé un graphique sur une page, vous pouvez modifier son type et le mettre
en forme à l’aide de l’Inspecteur des graphiques.
Pour ouvrir l’Inspecteur des graphiques :
m Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils (ou choisissez Présentation >
Afficher l’Inspecteur, puis cliquez sur le bouton de l’Inspecteur des graphiques).142 Chapitre 6 Création de graphiques
Pour sélectionner un type de graphique, effectuez l’une des opérations suivantes :
 Choisissez Format > Graphique > [type de graphique].
 Dans l’Inspecteur des graphiques, choisissez un graphique dans le menu local qui
apparaît lorsque vous cliquez sur l’icône de graphique en haut à gauche.
Pour remplacer un graphique par un autre type :
1 Sélectionnez le graphique.
2 Dans l’Inspecteur des graphiques, sélectionnez un autre type de graphique dans le
menu local. Vous pouvez également choisir parmi les menus Format > Graphique >
Type de graphique > [type de graphique].
 Si vous passez à un graphique sectoriel, Keynote ne représente que le premier
ensemble de données défini dans l’Éditeur de graphiques. Reportez-vous à la
section “Graphiques sectoriels” à la page 151.
 Si vous passez à un graphique en nuage de points, chaque point du graphique nécessite alors deux valeurs ; ainsi, chaque série utilise deux colonnes dans l’Éditeur de graphiques. Reportez-vous à la section “Graphiques en nuage de points” à la page 155.
 Si vous passez à un graphique à barres, à colonnes, à couches ou linéaire, chaque
série du nouveau graphique correspond alors à un rang dans l’Éditeur de graphiques.
Le bouton Inspecteur des graphiques
Choisissez un type de graphique
dans le menu local. Les graphiques
2D se trouvent à gauche et leur
version 3D à droite.Chapitre 6 Création de graphiques 143
 Enfin, si vous changez le graphique et passez à sa version 3D, l’Éditeur de graphiques
propose des commandes qui permettent de gérer le style de profondeur et d’éclairage des objets. Reportez-vous à la section “Graphiques 3D” à la page 157.
La mise en forme appliquée au graphique que vous modifiez peut ne pas s’appliquer au
nouveau graphique. Par exemple, l’attribut de remplissage couleur possède une valeur
par défaut différente pour chaque type de graphique. Si vous avez modifié la couleur
de remplissage d’une colonne puis changé le graphique en graphique à barres, la
modification du remplissage n’est alors pas conservée.
 Selon le type de graphique, les attributs qui peuvent changer lorsque vous modifiez
le type d’un graphique sont les suivants : l’affichage des étiquettes de valeur, leur
position, le style du texte, le trait des séries, leur ombre, leur remplissage, le symbole
de point de données et le remplissage de point de données.
 Les graphiques en barres ou en colonnes simples ou empilées partagent leurs attributs à l’exception de la position des étiquettes de valeur. Les graphiques en barres
ou en colonnes possèdent cependant des remplissages distincts.
 Les ombres des graphiques 3D sont partagées entre les types de graphiques.
Lorsque vous changez le type d’un graphique et que le nouveau type possède quelques-uns des mêmes attributs, ces derniers ne changent pas. Les attributs partagés
incluent les axes, les quadrillages, les marques de graduation, les étiquettes des axes,
l’affichage de la valeur minimale, le format des nombres, les bordures, les rotations
d’objets, les ombres ainsi que le style d’éclairage 3D.
Vous en saurez plus à propos de ces attributs tout au long du reste de ce chapitre.
Modification de données dans un graphique
Pour modifier les données d’un graphique, ouvrez l’Éditeur de graphiques et saisissez
vos données manuellement ou en effectuant des opérations de copier-coller à partir
d’Excel, d’AppleWorks ou d’une autre application de tableur.
Pour ouvrir l’Éditeur de graphiques :
1 Sélectionnez un graphique de la diapositive.144 Chapitre 6 Création de graphiques
2 Cliquez sur Modifier les données dans l’Inspecteur des graphiques (ou choisissez
Format > Graphique > Afficher l’Éditeur de graphiques).
Pour copier des données d’une autre feuille de calcul dans l’Éditeur de graphiques :
1 Ouvrez la feuille de calcul avec les données souhaitées, puis sélectionnez toutes
les cellules appropriées.
2 Choisissez Édition > Copier (ou appuyez sur Commande + C).
3 Sélectionnez la cellule supérieure dans la première colonne de l’Éditeur de graphiques.
4 Choisissez Édition > Coller (ou appuyez sur Commande + V).
Pour modifier le nom du rang ou de la colonne ou encore les données d’une cellule :
m Double-cliquez sur une cellule ou sur une étiquette de rang ou de colonne, puis tapez
les informations.
Pour réorganiser les rangs ou les colonnes dans l’Éditeur de graphiques :
m Faites glisser l’intitulé du rang ou de la colonne vers un nouvel emplacement.
Pour ajouter des rangs ou des colonnes dans l’Éditeur de graphiques, procédez
de la manière suivante :
 Cliquez sur Insérer un rang ou sur Insérer une colonne afin de placer un rang au-dessus du rang sélectionné, ou une colonne à gauche de celle sélectionnée. Si aucun rang
ni aucune colonne n’est sélectionné, le nouveau rang ou la nouvelle colonne apparaît
en bas ou à droite du tableau (Pour voir apparaître le nouveau rang ou la nouvelle
colonne, vous devrez peut-être appuyer sur la touche Retour ou Tab ou agrandir la
fenêtre Éditeur de graphiques.)
Cliquez sur ces boutons afin
d’ajouter un autre rang ou une
autre colonne de données.
Tapez les données graphiques
directement dans les cellules
de la feuille de calcul.
Faites glisser les étiquettes
afin de les réorganiser.Chapitre 6 Création de graphiques 145
 Sélectionnez n’importe quelle cellule vide, saisissez vos données et appuyez sur
Retour. Un nouveau rang ou une nouvelle colonne est automatiquement créé.
Pour supprimer des rangs ou des colonnes :
m Sélectionnez l’intitulé de l’en-tête de rang ou de colonne à effacer et appuyez
sur la touche Suppr.
Mise en forme de graphiques
Vous pouvez redimensionner et repositionner les graphiques et leurs légendes comme
vous le feriez pour n’importe quel autre objet. Vous pouvez mettre en forme les éléments
des graphiques (polices, couleurs, étiquettes des axes et marques) en fonction de vos
préférences. Vous pouvez masquer la légende du graphique et ajuster l’angle et le style
d’éclairage des graphiques 3D. Vous pouvez également masquer la légende du graphique. La plupart des tâches de mise en forme des graphiques sont effectuées à l’aide de
l’Inspecteur des graphiques. Vous pouvez de même effectuer bon nombre des tâches
décrites dans cette section à l’aide des menus contextuels.
Pour ouvrir l’Inspecteur des graphiques :
1 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils (ou sélectionnez Présentation >
Afficher l’Inspecteur).
2 Dans la fenêtre Inspecteur, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques.
Le bouton Inspecteur des graphiques146 Chapitre 6 Création de graphiques
Pour ouvrir le menu contextuel d’un graphique :
m Maintenez la touche Contrôle enfoncée et cliquez sur un graphique.
Pour masquer la légende du graphique :
1 Sélectionnez le graphique.
2 Dans l’Inspecteur des graphiques, désélectionnez la case Afficher la légende.
Vous pouvez également sélectionner la légende et appuyer sur Supprimer ; vous
pouvez afficher de nouveau la légende en sélectionnant Afficher la légende dans
l’Inspecteur des graphiques.
Configuration des couleurs des graphiques
Vous pouvez mettre en forme les barres, les portions et les couches qui apparaissent
sur chaque type de graphique, de la même façon que vous mettez en forme tout
autre objet dessiné. Vous pouvez leur affecter des remplissages de couleur, des remplissages dégradés, des remplissages d’image, des ombres, une opacité ou différents
styles de trait. Vous définissez ces attributs dans l’Inspecteur des graphismes.
Pour changer la couleur ou l’image d’une barre, d’une portion ou d’une couche :
1 Sélectionnez l’élément (barre, portion ou couche).
Si vous sélectionnez une barre d’un graphique à barres, toutes les barres de cette série
sont sélectionnées.
2 Vous pouvez modifier les propriétés de votre graphique comme vous le feriez avec
n’importe quel dessin à l’aide de l’Inspecteur des graphismes.
Pour plus d’informations sur la modification des propriétés des objets, reportez-vous
au chapitre 4, “Modification des propriétés des objets”.
Modification de la police des graphiques
Vous pouvez modifier les polices et les couleurs de texte utilisées pour les étiquettes
des axes, les étiquettes des points de données et les légendes.Chapitre 6 Création de graphiques 147
Pour modifier les polices d’un graphique :
1 Sélectionnez le texte à modifier.
Pour modifier la police de tous les éléments d’un graphique, cliquez sur le graphique
pour le sélectionner. Si vous sélectionnez le texte pour une étiquette de point de données ou d’axe, tout le texte de ce type est également sélectionné. Vous devez modifier
la police des légendes séparément.
2 Cliquez sur Polices dans la barre d’outils (ou choisissez Format > Polices >
Afficher les polices) pour ouvrir le panneau Police.
3 Sélectionnez une police.
Pour plus d’informations sur le changement des couleurs du texte, reportez-vous à
la section “Mise en forme des textes à puces et des listes numérotées” à la page 50.
Ajout d’étiquettes et de marques d’axe
Utilisez la sous-fenêtre Axe de l’Inspecteur des graphiques pour mettre en forme la grille
et l’aspect général des axes pour les graphiques à barres, les graphiques à lignes et les
graphiques à couches. Vous pouvez définir la plage des valeurs à afficher le long de l’axe
des valeurs, c’est-à-dire l’axe le long duquel vous lisez les valeurs des points de données.
Pour les graphiques à colonnes (barres verticales), les graphiques à lignes et les graphiques à couches, l’axe des Y est l’axe des valeurs. Pour les graphiques à barres horizontales, l’axe des X est l’axe des valeurs. Dans le cas des graphiques en nuage de points, les
deux axes constituent des axes de valeurs. Les graphiques sectoriels ne comportent pas
d’axe des valeurs. Pour en savoir plus sur la mise en forme des graphiques sectoriels,
reportez-vous à la section “Graphiques sectoriels” à la page 151.
Placez des marques le long
de l’axe des X.
Affichez ou masquez le quadrillage
de l’axe des X.
Définissez la direction du texte pour
les étiquettes des axes des séries.
Affichez ou masquez les axes et les bordures
des graphiques (graphiques 2D uniquement).148 Chapitre 6 Création de graphiques
Afficher ou masquer les bordures et les axes des graphiques :
1 Sélectionnez le graphique.
2 Dans l’Inspecteur des graphiques, cliquez sur le bouton Axe s’il n’est pas sélectionné.
3 Choisissez un ou plusieurs éléments à sélectionner dans le menu local Axes et bordures.
Un élément sélectionné comporte en face une coche ; choisissez de nouveau l’élément
afin de le désélectionner.
Pour définir la plage des valeurs numériques qui s’affichent sur la grille du graphique :
1 Sélectionnez le graphique.
2 Dans l’Inspecteur des graphiques, cliquez sur le bouton Axe s’il n’est pas sélectionné.
3 Pour définir la valeur d’origine du graphique, saisissez un chiffre dans le champ
Minimum (sous “Format de l’axe des valeurs”).
La valeur Minimum ne peut pas être supérieure à la valeur minimale de l’ensemble
du jeu de données.
4 Pour définir le nombre le plus élevé qui s’affiche sur l’axe des valeurs, tapez un nombre
dans le champ Maximum.
La valeur Maximum ne peut pas être inférieure à la valeur maximale de l’ensemble
du jeu de données.
5 Pour spécifier le nombre de marques sur l’axe entre les valeurs minimale et maximale,
tapez un nombre dans le champ Intervalles.
Pour afficher la valeur minimale de l’axe des valeurs :
1 Sélectionnez le graphique.
2 Dans l’Inspecteur des graphiques, cliquez sur le bouton Axe s’il n’est pas sélectionné.
3 Sélectionnez “Afficher les étiquettes de valeur” et “Afficher la valeur minimale”
dans le menu local Axes des valeurs (menu local de l’axe des X ou des Y en fonction
du graphique).
Un élément sélectionné est coché.
Pour spécifier des unités pour les valeurs des axes :
1 Sélectionnez le graphique.
2 Dans l’Inspecteur des graphiques, cliquez sur le bouton Axe s’il n’est pas sélectionné.
3 Sous Format des nombres, tapez du texte dans le champ Préfixe ou Suffixe
(ou choisissez un symbole dans les menus locaux).Chapitre 6 Création de graphiques 149
Placement d’étiquettes de grille et de marques
Les menus contextuels Axe des X et Axe des Y de la sous-fenêtre Axe de l’Inspecteur
des graphiques offrent différentes options pour le positionnement des marques, des
étiquettes et du quadrillage le long de l’axe des valeurs ou de l’axe des séries. Les
options de ces menus locaux dépendent du type de graphique que vous sélectionnez.
Pour les graphiques à barres verticales (graphiques à colonnes), les graphiques à lignes
et les graphiques à couches, l’axe des Y est l’axe des valeurs et l’axe des X est l’axe des
séries ; pour les graphiques à barres horizontales, l’axe des X est l’axe des valeurs. Dans
le cas des graphiques en nuage de points, les deux axes constituent des axes de valeurs.
En ce qui concerne les graphiques 3D, les axes des X et des Y sont les mêmes que pour
leur version 2D.
Voici l’apparence des menus locaux lorsqu’un graphique à colonnes est sélectionné.
Pour ajouter des étiquettes de quadrillage et des marques de graduation le long
d’un axe :
1 Sélectionnez le graphique.
2 Dans l’Inspecteur des graphiques, cliquez sur le bouton Axe s’il n’est pas sélectionné.
3 Pour ajouter des étiquettes de grille et des marques de graduation sur l’axe des X,
sélectionnez une option dans le menu local Axe des X. Le menu d’un graphique à
colonnes se présente sous la forme suivante :
4 Pour ajouter des étiquettes de quadrillages et des marques de graduation sur l’axe des
Y, sélectionnez une option dans le menu local Axe des Y. Le menu se présente sous la
forme suivante dans le cas d’un graphique à colonnes :
Placez des marques le
long de l’axe des X.
Affichez ou masquez le
quadrillage de l’axe des X.
Définissez la direction du texte pour
les étiquettes des axes des séries.
Affichez ou masquez les étiquettes
des axes des séries.150 Chapitre 6 Création de graphiques
Mise en forme des éléments d’une série de données
Vous pouvez utiliser un ensemble complet d’effets visuels pour enrichir l’apparence
des éléments composant les séries de données.
Pour ajouter des étiquettes de points-images :
1 Sélectionnez le graphique ou un élément dans une série de données.
Pour tous les types de graphiques, à l’exception des graphiques sectoriels, sélectionner un élément d’une série (une barre, par exemple) sélectionne automatiquement
la série entière. Dans les graphiques sectoriels, vous pouvez sélectionner des portions
individuelles.
2 Dans l’Inspecteur des graphiques, cliquez sur le bouton Série.
3 Choisissez Afficher la valeur dans le menu local Réglages de point de données.
4 Pour spécifier le nombre de décimales à afficher, saisissez un chiffre dans le champ
Décimales ou cliquez sur les flèches pour augmenter ou diminuer la valeur.
5 Pour changer la position des valeurs des points de données, choisissez une option
dans le menu local Réglages de point de données.
6 Dans le panneau Police (Format > Polices> Afficher les polices) choisissez la police,
la taille de la police et le style des étiquettes de point de données.
Vous pouvez afficher les étiquettes des points de données des graphiques sectoriels
sous forme de pourcentage de l’ensemble ou de valeurs absolues en sélectionnant ou
désélectionnant Afficher les valeurs des portions en % dans le menu local Réglages de
point de données. Vous pouvez également afficher le nom des séries.
Placez des marques le
long de l’axe des Y.
Affichez ou masquez le quadrillage
de l’axe des Y.
Affichez ou masquez les étiquettes
de l’axe des valeurs.Chapitre 6 Création de graphiques 151
Certains types de graphiques disposent d’options complémentaires pour la mise en
forme des éléments de séries. Reportez-vous aux sections suivantes pour obtenir plus
d’informations sur les options de mise en forme spéciales des graphiques sectoriels,
des graphiques à barres et à colonnes, des graphiques linéaires, des graphiques en
nuage de points ou encore des graphiques 3D.
Graphiques sectoriels
Avec les graphiques sectoriels, Keynote ne montre que le premier groupe de données
de l’Éditeur de graphiques (le premier point-image de chaque série de données). Si les
séries de données se trouvent dans des rangs dans l’Éditeur de graphiques, seule la
première colonne est représentée ; si les séries de données se trouvent dans des colonnes dans l’Éditeur de graphiques, seul le premier rang est représenté. Par conséquent,
un graphique sectoriel représente un seul jeu de données et chaque portion représente
un élément de ce jeu. Les autres jeux de données de l’Éditeur de graphiques sont conservés, mais ils ne s’affichent pas dans le graphique sectoriel. Vous pouvez représenter
n’importe quel jeu de données en le déplaçant vers la première position dans le rang
ou dans la colonne.
Pour sélectionner des portions individuelles :
1 Sélectionnez le graphique, puis cliquez sur une portion pour la sélectionner.
2 Pour sélectionner des portions supplémentaires, effectuez l’une des opérations suivantes :
 Pour sélectionner toutes les portions, choisissez Édition > Sélectionner tout
(ou appuyez sur Commande + A).
 Pour sélectionner des portions non adjacentes, maintenez la touche Commande
enfoncée lorsque vous sélectionnez chaque portion.
 Pour sélectionner un ensemble de portions adjacentes, sélectionnez la première portion puis maintenez la touche Maj enfoncée tout en sélectionnant la dernière portion.
Dans les graphiques sectoriels, en plus d’afficher les valeurs des portions, vous pouvez
afficher le nom des séries.
Pour afficher le nom d’une série dans un graphique sectoriel :
1 Sélectionnez le graphique ou les portions individuelles.
2 Dans l’Inspecteur des graphiques, cliquez sur le bouton Série.
3 Choisissez “Afficher le nom des séries” dans le menu local “Réglages de point de
données” (un élément est sélectionné lorsqu’il est coché).
4 Choisissez Intérieure ou Extérieure dans le menu local “Étiquette de point de données”.152 Chapitre 6 Création de graphiques
Pour séparer des portions individuelles :
1 Sélectionnez les portions individuelles. Pour sélectionner plusieurs portions, maintenez
enfoncée la touche Commande lorsque vous cliquez sur chaque portion.
2 Faites glisser les portions du graphique sectoriel ou le curseur Éloigner jusqu’à ce que
les portions du graphique soient placées à l’endroit où vous le souhaitez.
Vous pouvez également saisir un chiffre dans le champ Éloigner ou utiliser les flèches
pour augmenter ou réduire la valeur d’éloignement.
Vous pouvez placer des ombres sur des portions individuelles ou sur le graphique
entier. Si vous placez des ombres sur des portions individuelles, celles-ci semblent
se trouver sur des couches différentes.
Pour placer des ombres sur des portions individuelles :
1 Sélectionnez le graphique entier ou chacune des portions.
2 Dans l’Inspecteur des graphiques, cliquez sur le bouton Série.
3 Choisissez Individuelle dans le menu local Ombre.
4 Dans l’Inspecteur des graphiques, définissez les attributs des ombres. Pour plus
d’informations, reportez-vous à la section “Ajout d’ombres” à la page 95.
Ajoutez des ombres aux portions
individuelles ou au graphique entier.
Séparez les portions individuelles.
Éloignez une portion en
utilisant le curseur Éloigner
et en lui attribuant un nom
de série.Chapitre 6 Création de graphiques 153
Pour placer une ombre sur le graphique entier :
1 Sélectionnez le graphique.
2 Dans la sous-fenêtre Séries de l’Inspecteur des graphiques, sélectionnez Groupe dans
le menu local Ombre.
3 Dans l’Inspecteur des graphiques, définissez les attributs des ombres.
Pour plus d’informations, reportez-vous à la section “Ajout d’ombres” à la page 95.
Vous pouvez également modifier l’opacité du graphique et de ses différents éléments,
notamment la légende. Pour plus d’informations, reportez-vous à la section “Ajustage
de l’opacité” à la page 97.
Pour faire pivoter un graphique sectoriel :
m Sélectionnez le graphique et faites glisser la molette Angle de rotation dans la
sous-fenêtre Séries de l’Inspecteur des graphiques, ou tapez une valeur dans le
champ Angle de rotation.
Graphiques à barres et à colonnes
Il est possible d’appliquer des ombres à une série de données spécifique ou à l’ensemble du graphique. Vous pouvez régler l’opacité de l’ensemble du graphique ou d’une
série individuelle mais pas l’opacité de barres individuelles. Vous pouvez également
ajuster l’espacement entre les jeux de données ou entre des barres individuelles.
Pour ajuster l’espacement entre des barres individuelles ou des jeux de données :
1 Sélectionnez le graphique.
2 Dans l’Inspecteur des graphiques, cliquez sur le bouton Séries s’il n’est pas sélectionné.
3 Pour changer l’espacement entre les barres, tapez une valeur (ou cliquez sur les flèches)
dans le champ Espace entre les barres.
4 Pour changer l’espace entre les jeux de données, tapez une valeur dans le champ
Espace entre les jeux.
Séparez les barres individuelles
du graphique.
Séparez les jeux de données
du graphique.
Ajoutez des ombres aux barres
ou aux jeux de données.154 Chapitre 6 Création de graphiques
La valeur est le pourcentage de l’épaisseur des barres. Le fait de réduire l’espace entre
les barres les rend plus épaisses. Vous pouvez également déplacer le pointeur près du
bord d’une barre jusqu’à ce qu’il devienne une double flèche, puis faire glisser afin de
rendre les barres plus épaisses ou plus fines.
Pour placer une ombre sur chaque barre :
1 Sélectionnez le graphique ou une de ses barres (la série de données est alors entièrement sélectionnée).
2 Dans la sous-fenêtre Séries de l’Inspecteur des graphiques, sélectionnez Individuelle
dans le menu local Ombre.
Si vous sélectionnez une série de données et que vous choisissez un élément dans
le menu local Ombre, le choix s’applique à toutes les séries du graphique.
3 Choisissez les attributs de l’ombre dans l’Inspecteur des graphismes.
Pour plus d’informations, reportez-vous à la section “Ajout d’ombres” à la page 95.
Pour ajuster l’opacité d’un graphique :
m Sélectionnez le graphique et faites glisser le curseur Opacité dans l’Inspecteur
des graphismes.
Pour plus d’informations, reportez-vous à la section “Ajustage de l’opacité” à la page 97.
Graphiques à couches et linéaires
Dans le cas des graphiques à couches et des graphiques linéaires, vous pouvez repré-
senter des points-image par des symboles (cercles, triangles, carrés et losanges).
Les points de données de cette
série sont représentés à l’aide de
triangles.
Les points de données de cette
série sont représentés à l’aide
de cercles.Chapitre 6 Création de graphiques 155
Pour utiliser un symbole pour les points de données d’une série :
1 Sélectionnez une série de données (couche ou ligne).
2 Dans la sous-fenêtre Séries de l’Inspecteur des graphiques, choisissez un symbole
dans le menu local Symbole de point de données.
3 Remplissez le symbole d’une couleur ou d’une image en choisissant l’une des options
du menu local Remplissage du symbole.
Pour en savoir plus sur le remplissage d’image, consultez la section “Utilisation de
remplissages couleurs et image” à la page 89.
Pour définir la couleur et l’ombre des lignes :
m Utilisez les contrôles Trait et Ombre de l’Inspecteur des graphiques.
Pour plus d’informations au sujet de l’utilisation de l’Inspecteur des graphismes pour
définir la couleur et l’ombre d’un trait et le remplissage des symboles de point-image,
consultez le chapitre 4, “Modification des propriétés des objets”, à la page 89.
Graphiques en nuage de points
Les graphiques en nuage de points affichent les données différemment des autres
types de graphiques. Ils nécessitent au moins deux colonnes de données pour placer
les points représentant les valeurs d’une seule série de données. Pour pouvoir afficher
plusieurs séries de données, vous devez utiliser dans ce cas des paires de colonnes
supplémentaires.
Chaque paire de valeurs détermine ainsi la position de chaque point de données.
La première valeur de données du rang équivaut à l’axe des X du point. La seconde
valeur rencontrée équivaut à l’axe des Y du point.
L’illustration suivante représente un graphique en nuage de points par défaut.
Choisissez un symbole à utiliser
pour les points de données.
Remplissez les symboles des points de
données avec de la couleur ou des images.156 Chapitre 6 Création de graphiques
Vous avez la possibilité d’afficher les données de ce graphique dans
l’Éditeur de graphiques.
Pour vérifier l’apparence d’un graphique en nuage de points, effectuez
l’une des opérations suivantes :
 Pour mettre en forme un symbole destiné à une série de données, choisissez-en
un dans le menu local “Symbole de point de données” de la sous-fenêtre Séries
de l’Inspecteur des graphiques. Vous pouvez ajuster les réglages des traits et de
remplissage se rapportant à un symbole de point de données d’un graphique en
nuage de points à l’aide de l’Inspecteur des graphiques.
 Pour préciser les réglages s’appliquant aux axes, utilisez la sous-fenêtre Axes de
l’Inspecteur des graphiques. Puisque les deux axes de graphiques en nuage de
points possèdent des valeurs, les réglages de mise en forme des axes de valeurs
s’appliquent aussi bien à l’axe des X qu’à celui des Y. Chaque axe peut néanmoins
posséder son propre format de nombres.Chapitre 6 Création de graphiques 157
Graphiques 3D
Vous pouvez convertir tous les types de graphique en graphiques 3D, à l’exception
des graphiques en nuage de points.
Voici la représentation des versions 2D et 3D du même graphique sectoriel proposé
par défaut.
Voici la représentation des versions 2D et 3D du même graphique linéaire proposé
par défaut.
Pour sélectionner un type de graphique 3D :
m Dans l’Inspecteur des graphiques, choisissez un type de graphique dans le menu
local Type. Vous pouvez également choisir parmi les menus Format > Graphique >
Type de graphique > [type de graphique 3D].158 Chapitre 6 Création de graphiques
Pour définir les réglages de la scène 3D :
m Sélectionnez un graphique 3D, cliquez sur le bouton Scène 3D dans l’Inspecteur des
graphiques, puis changez l’angle de vue du graphique ainsi que le style d’éclairage
grâce aux commandes Scène 3D.
Pour redimensionner un graphique 3D :
m Sélectionnez le graphique et faites glisser les poignées de sélection actives.
Le redimensionnement du graphique se fait ainsi sur les trois dimensions.
Rotation de graphiques
Vous pouvez faire pivoter des graphiques en faisant glisser une poignée de sélection
(voir “Modification de l’orientation d’un objet” à la page 99). Les graphiques sectoriels
peuvent aussi pivoter ; pour cela, utilisez l’Inspecteur des graphiques (voir “Graphiques
sectoriels” à la page 151).
Vous ne pouvez pas faire pivoter ou retourner les graphiques 3D. Si un graphique 3D
est regroupé avec des graphiques 2D, vous pouvez faire pivoter le groupe mais sachez
que seuls les graphiques 2D pivoteront.
Cliquez sur l’intersection des flèches et faites glisser la souris
en maintenant le bouton enfoncé afin de pouvoir déplacer
le graphique dans les deux directions.
Faites glisser une flèche pour affiner l’angle
de vue. Cliquez sur une flèche à la fois afin de
déplacer le graphique dans une seule direction (de gauche à droite ou de haut en bas).
Choisissez un élément
dans le menu local Style
d’éclairage afin d’ajuster
l’effet d’éclairage.159
7
7 Transitions de diapositive
et compositions d’objet
Ce chapitre décrit le processus d’ajout d’animations et d’effets visuels à votre diaporama à l’aide
de transitions de diapositive et de compositions
d’objet.
Après avoir créé et classé vos diapositives, vous pouvez monter l’ensemble de la présentation. Ajoutez de l’animation au texte pour captiver votre public. Ajoutez des transitions
pour que les diapositives s’enchaînent harmonieusement. Utilisez des compositions
d’objet dans chaque diapositive pour afficher les éléments un par un au cours de la
présentation.
Ajout de transitions entre les diapositives
Keynote vous propose toute une variété de styles de transition. En voici quelques
exemples :
Style de transition Effet
Cube Les diapositives apparaissent sous forme de cube qui tourne
sur lui-même.
Portail La diapositive apparaît comme si des portes s’ouvraient,
puis elle apparaît dans son entier.
Chute en avant La diapositive donne l’impression de tomber en avant,
puis elle apparaît dans son entier.
Miroir La nouvelle diapositive apparaît comme si elle était vue
par derrière.
Retournement en mosaïque La diapositive apparaît sous forme de pièces de mosaïque
en rotation.160 Chapitre 7 Transitions de diapositive et compositions d’objet
Vous pouvez modifier la durée d’une transition et spécifier le moment où elle commence (automatiquement ou d’un clic). Les transitions de diapositive se configurent
dans l’Inspecteur des diapositives.
Pour insérer une transition entre deux diapositives :
1 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils (ou choisissez Présentation >
Afficher l’Inspecteur), puis sur le bouton de l’Inspecteur des diapositives.
Retournement de page La diapositive apparaît comme une page qui se détache.
Glissé entrant La diapositive apparaît depuis l’angle indiqué et recouvre le contenu de la diapositive précédente.
Pousser La diapositive suivante défile et pousse la diapositive précédente
en dehors de l’écran dans la direction spécifiée.
Bascule La diapositive à l’écran tourne sur elle-même et diminue peu à
peu au centre de l’écran et la nouvelle diapositive apparaît en
tournant sur elle-même.
Style de transition Effet
Cliquez pour prévisualiser
la transition.
Réglez la durée de la transition.
Réglez le point de démarrage
des transitions en mode lecture
automatique.
Réglez la direction de la transition.
Choisissez le mode de démarrage
de la transition.
Choisissez une transition.
Le bouton Inspecteur des diaposChapitre 7 Transitions de diapositive et compositions d’objet 161
2 Cliquez sur Transition.
3 Choisissez une option dans le menu local Effet.
4 Si cela est possible, choisissez une option dans le menu local Direction.
5 Pour définir la durée de la transition, saisissez une valeur dans le champ Durée
(ou cliquez sur les flèches).
Important : chaque transition spécifiée est appliquée uniquement à la diapositive
sélectionnée. Pour appliquer une transition à une autre diapositive, sélectionnez-la
et répétez le processus ci-dessus.
6 Choisissez une option dans le menu local Commencer la transition.
 Au clic de souris : démarre la transition lorsque vous cliquez pour passer
à la diapositive suivante.
 Automatiquement : démarre la transition après la durée spécifiée dans le champ Délai.
Remarque : si vous sélectionnez “Agrandir les diapositives pour qu’elles occupent tout
l’écran” dans la sous-fenêtre Diaporama des Préférences de Keynote, il est possible que
certaines parties des transitions Cube ou Miroir ne soient pas visibles. Pour vous assurer
que les transitions Cube ou Miroir ne sont pas découpées au cours du diaporama, choisissez Keynote > Préférences, cliquez sur Diaporama et sélectionnez l’option “Réduire
pour empêcher le découpage”.
Si l’option “Les effets ne peuvent être lus sur cet ordinateur” dans le menu local Effet, c’est
que vous devez disposer d’une carte graphique performante pour utiliser ces transitions.
Création de compositions d’objet
Les compositions d’objets permettent de faire apparaître les éléments d’une diapositive
(composition entrante) ou de les faire disparaître (composition sortante) de la diapositive un à un ou en groupe, ou encore dans l’ordre de votre choix. Vous pouvez par
exemple faire en sorte qu’une image apparaisse à gauche de l’écran et que du texte à
puces s’affiche ligne par ligne Vous pouvez faire entrer un élément de diapositive par
la gauche et le faire sortir par la droite. Vous pouvez aussi faire en sorte que les diffé-
rentes parties d’un graphique s’affichent une par une pour créer un peu de suspense.162 Chapitre 7 Transitions de diapositive et compositions d’objet
Vous pouvez concevoir des compositions d’objet qui animent plusieurs objets diffé-
rents sur la même diapositive, dans l’ordre indiqué. Par exemple, une diapositive peut
contenir un tableau et un graphique que vous souhaitez présenter dans un certain
ordre. Vous pouvez incorporer une à une les parties de différents objets sur la diapositive. Il est également possible de composer uniquement certaines parties d’un objet.
Utilisez les animations Compo. entrante pour faire entrer les éléments des diapositives
sur l’écran, et Compo. sortante pour déplacer les éléments hors de l’écran.
Configuration d’une composition d’objets
Pour créer des compositions, vous devez disposer d’une diapositive terminée et spécifier des réglages de composition pour chaque élément que vous voulez voir apparaître
au fur et à mesure.
Pour configurer une composition d’objet :
1 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils (ou sélectionnez Présentation >
Afficher l’Inspecteur).
2 Dans la fenêtre Inspecteur, cliquez sur le bouton Inspecteur des compositions,
puis sur Compo. entrante ou Compo. sortante.
Configurez la durée de la composition.
Cliquez sur pour prévisualiser
la composition.
Utilisez les animations Compo. entrante pour
faire entrer les éléments des diapositives sur
l’écran, et les animations Compo. sortante
pour déplacer les éléments hors-champ.
Ouvrez le tiroir Ordre de composition
pour réordonner les objets.
Configurez le style d’animation, le sens
et l’ordre de la composition de chaque
objet.
Déplacez les objets sur l’écran ou en dehors
de celui-ci par groupes spécifiques.Chapitre 7 Transitions de diapositive et compositions d’objet 163
3 Sélectionnez un élément dans la diapositive et choisissez une option dans le menu
local Effet.
Vous pouvez sélectionner des objets graphiques, du texte à puces, des tableaux,
des graphiques ainsi que des fichiers audio placés sur des diapositives individuelles
(représentés par une icône d’audio).
4 Si cela est possible, choisissez une option dans le menu local Direction.
5 Choisissez une option dans le menu local Apparition.
6 Pour définir la durée de la transition, saisissez une valeur dans le champ Durée
(ou cliquez sur les flèches).
Après avoir choisi l’effet de chaque élément à animer, vous pouvez facilement réordonner les éléments. Vous pouvez également spécifier si vous souhaitez que chaque
animation démarre automatiquement (au bout d’un temps donné) ou au clic de souris.
Remarque : si vous groupez un objet comportant un effet de composition, l’effet est
supprimé. Séparer un objet groupé comportant une composition supprime l’effet de
composition.
Utilisation des compositions d’objets
Après avoir configuré des compositions d’objet sur une diapositive, vous pouvez créer
divers effets en changeant l’ordre des compositions et en indiquant la durée d’apparition des compositions.
Pour composer les objets dans un ordre différent :
1 Dans l’Inspecteur des compositions, cliquez sur le bouton Plus d’options.
2 Dans le tiroir Ordre de composition, faites glisser les éléments à l’endroit où vous
le souhaitez pour modifier leur ordre.
Vous pouvez également utiliser le menu local Ordre pour changer l’ordre
des compositions.
Pour spécifier à quel moment animer chaque objet :
1 Dans le volet Ordre de composition (cliquez sur Plus d’options si ce volet n’est
pas ouvert), sélectionnez un élément dans la liste.
2 Choisissez une option dans le menu local Commencer la composition.164 Chapitre 7 Transitions de diapositive et compositions d’objet
 Au clic de souris : lance la composition lorsque vous cliquez avec la souris.
 Auto. après composition [numéro] : lance la composition après le numéro
de composition indiqué, qui correspond toujours à la composition précédente,
et après la durée spécifiée dans le champ Délai.
 Auto. avec composition [#] : fait apparaître deux objets en même temps et après
la durée spécifiée dans le champ Délai. Placez les deux compositions l’une à côté
de l’autre dans la liste Ordre de composition.
Vous pouvez également faire apparaître et se déplacer plusieurs objets en même
temps, en les groupant au préalable (reportez-vous à la section “Regroupement et
verrouillage d’objets” à la page 72).
3 Pour spécifier la durée d’attente entre la fin de la composition précédente et le
démarrage de la composition d’objet suivante, saisissez une valeur dans le champ
Délai (ou cliquez sur les flèches).
La valeur maximum du délai est de 60 secondes. Il n’est possible de spécifier un délai
que si vous choisissez de commencer automatiquement la composition (et non au clic
de souris).
Faites glisser les
éléments pour les
réordonner.
Choisissez le mode de
démarrage de la composition choisie.
Spécifiez la durée d’attente entre la fin de la
composition précédente et le démarrage
de la composition de l’objet.Chapitre 7 Transitions de diapositive et compositions d’objet 165
Faire sortir les objets de l’écran
Vous pouvez faire en sorte que les objets quittent la diapositive dans n’importe quel
ordre en sélectionnant certaines options dans la sous-fenêtre Compo. sortante de
l’Inspecteur des compositions. Si la composition est constituée d’éléments entrant et
sortant, vous pouvez mélanger l’ordre d’entrée et l’ordre de sortie de façon à ce que
chaque élément puisse entrer ou sortir avant qu’un autre fasse son apparition à l’écran.
Incorporation un à un d’éléments de composition
Après avoir configuré des compositions d’objet sur une diapositive, vous pouvez créer
divers effets en changeant l’ordre des compositions et en indiquant la durée d’apparition des compositions. Vous pouvez par exemple configurer une composition qui place
la première puce d’un texte sur la diapositive, puis la première portion d’un graphique
sectoriel, et ensuite la deuxième puce. Vous pouvez en faire de même pour que les objets
se déplacent en quittant la diapositive. Il est également possible d’indiquer un ensemble
d’éléments à utiliser dans une composition, comme uniquement les deuxième et troisième puces du texte.
Pour incorporer un à un les éléments d’un objet dans une composition :
1 Dans l’Inspecteur des compositions, réglez les options d’Apparition, de sorte que la
composition ait lieu par parties (par puce, par portion, etc.).
2 Sélectionnez l’option “Définir des minutages séparés pour les éléments”. Cette option
apparaît lorsque le menu local Apparition est défini sur n’importe quelle autre option
que “En une fois”. Si vous sélectionnez “Définir des minutages séparés pour les éléments”,
le volet Compos. s’il n’est pas déjà ouvert.
3 Dans le volet Ordre de composition, faites glisser les éléments de manière à définir
l’ordre d’apparition des éléments.
4 Indiquez quand et comment animer chaque objet :
 Dans le volet Ordre de composition, sélectionnez un élément dans la liste.
 Choisissez une option dans le menu local Commencer la composition. L’option
“Au clic de souris” lance la composition lorsque vous cliquez. L’option “Auto. après
composition [#]” lance la composition avec le numéro de composition indiqué et
après la durée spécifiée dans le champ Délai.166 Chapitre 7 Transitions de diapositive et compositions d’objet
 Indiquez la durée d’attente entre la fin de la composition précédente et le démarrage
de la composition d’objet suivante en saisissant une valeur dans le champ Délai (ou en
cliquant sur les flèches). La valeur maximum du délai est de 60 secondes. Il n’est possible de spécifier un délai que si vous choisissez de commencer automatiquement la
composition (et non au clic de souris).
Création de compositions de texte
Vous pouvez utiliser les compositions pour placer du texte sur des diapositives ou le
faire disparaître. Keynote vous propose des options permettant de composer du texte
ligne par ligne, mot par mot ou caractère par caractère. Vous pouvez créer des compositions de texte pour un corps de texte à puces ou sans puces.
Pour configurer une composition de corps de texte :
1 Sélectionnez le texte et affectez-lui un effet, une direction, une durée et un ordre de
composition, en utilisant l’Inspecteur des compositions comme décrit précédemment.
2 Choisissez un style d’apparition dans le menu local Apparition.
 En une fois : déplace tout le texte de la zone de texte en même temps.
 Par puce : déplace le texte puce par puce.
 Par groupe de puces : déplace chaque puce et ses puces subordonnées en même
temps.
 Par puce mise en surbrillance : met en surbrillance chaque puce au fur et à mesure
qu’elle est déplacée, laissant ainsi en surbrillance uniquement la puce la plus récente.
Choisissez le mode d’entrée
ou de sortie du texte sur la
diapositive.
Choisissez un effet pour faire apparaître
du texte ou quitter la diapositive.Chapitre 7 Transitions de diapositive et compositions d’objet 167
Création de compositions de tableau
Les compositions d’objet pour les diapositives dotées de tableaux se créent de la
même manière que les autres types de composition d’objet. Il est cependant possible
d’animer le tableau lui-même en le faisant apparaître à l’écran rang par rang, colonne
par colonne, cellule par cellule et de bien d’autres manières encore.
Pour configurer une composition de tableau :
1 Sélectionnez le tableau et affectez-lui un effet, une direction, une durée et un ordre de
composition, en utilisant l’Inspecteur des compositions comme décrit précédemment.
2 Choisissez une option dans le menu local Apparition.
 En une fois : permet de déplacer le tableau tout entier comme un objet unique.
 Par rang : permet de faire arriver le tableau sur l’écran rang par rang.
 Par colonne : permet de faire arriver le tableau sur l’écran colonne par colonne.
 Par cellule : permet de faire arriver le tableau sur l’écran cellule par cellule.
 Par contenu de rang : permet de faire arriver tout le tableau vide sur l’écran,
puis d’insérer le contenu rang par rang.
 Par contenu de colonne : permet de faire arriver tout le tableau vide sur l’écran,
puis d’insérer le contenu colonne par colonne.
 Par contenu de cellule : permet de faire arriver tout le tableau vide sur l’écran,
puis d’y ajouter son contenu cellule par cellule.
Remarque : tous les éléments d’un tableau utilisent le même style de composition.
Création de compositions de graphique
À l’instar des compositions de tableaux, les compositions de graphiques vous offrent
plusieurs manières de faire apparaître et disparaître des éléments de graphique au
cours de votre présentation.168 Chapitre 7 Transitions de diapositive et compositions d’objet
Pour configurer une composition de graphique :
1 Sélectionnez le graphique et affectez-lui un effet, une direction, une durée
et un ordre de composition, en utilisant l’Inspecteur des compositions comme
décrit précédemment.
2 Choisissez un style d’apparition dans le menu local Apparition.
 En une fois : permet de déplacer le graphique comme un objet unique.
 Arr.-plan d’abord : permet de placer en premier lieu les axes du graphique,
puis tous les éléments de données (barres, lignes ou couches) à la fois.
 Par série : permet de placer les axes du graphique puis les éléments de données,
une série complète après l’autre.
 Par groupe : permet de placer les axes du graphique puis les éléments de données,
un groupe complet après l’autre.
 Par élém. de séries : permet de placer les axes du graphique puis chaque élément
de données distinct, une série après l’autre.
 Par élém. de groupe : permet de placer les axes du graphique puis chaque élément
de données distinct, un groupe après l’autre.
Remarque : tous les éléments d’un graphique (à l’exception de la légende) utilisent
le même style de composition.
Il est possible d’attribuer un style et un ordre de composition à une légende de graphique. Pour que la légende accompagne le graphique, reliez-la au graphique avant
de configurer le style de composition de ce dernier (consultez la section “Regroupement et verrouillage d’objets” à la page 72).Chapitre 7 Transitions de diapositive et compositions d’objet 169
Création de compositions sur des modèles de diapositives
Vous pouvez ajouter des compositions d’objets à un modèle de diapositive, de sorte
que les effets de composition apparaissent sur chacune des diapositives que vous
créez à l’aide de ce modèle. Par exemple, si vous prévoyez de créer un certain nombre
de diapositives avec du texte à puces, et que vous souhaitez que chacune d’entre elle
inclue une composition entrante puce par puce, créez un modèle de diapositive avec
la composition de votre choix. Utilisez ensuite ce modèle pour créer le reste de vos
diapositives.
Pour créer une composition sur un modèle de diapositive :
1 Choisissez Présentation > Afficher les modèles de diapositive.
2 Sélectionnez le modèle de diapositive sur lequel vous souhaitez créer une
composition.
3 Ajoutez du texte, des objet ou des images que vous souhaitez inclure dans
la composition.
4 Suivez les étapes de la section “Création de compositions d’objet” à la page 161.171
8
8 Affichage, impression
et exportation de votre
diaporama
Ce chapitre décrit les différentes manières de
partager votre présentation Keynote.
Vous pouvez visionner une présentation Keynote à partir de votre ordinateur, sur votre
moniteur ou sur un grand écran. Il est possible de définir la lecture automatique de
votre diaporama pour l’utiliser sur une borne. Vous pouvez exporter votre présentation
sous forme de séquence QuickTime, de présentation PowerPoint, de fichier Flash ou de
document PDF. Vous pouvez également l’imprimer directement depuis Keynote et
choisir parmi toute une gamme de dispositions.
Personnalisation d’une présentation pour votre public
Vous pouvez créer trois types de présentations dans Keynote, selon l’utilisation que
vous souhaitez en faire.
 Normal : le contrôle des présentations s’effectue à l’aide de la souris ou du clavier
de votre ordinateur. Le mode par défaut d’un diaporama est le mode normal (interactif) sauf si vous choisissez d’en faire un diaporama à lecture automatique ou un
diaporama utilisant uniquement des liens.
 Lecture automatique : les présentations avancent automatiquement, comme une
séquence (aucune autre interaction n’est possible). Vous pouvez par exemple utiliser
cette option pour effectuer une présentation dans une borne interactive. Veuillez
trouver ci-après des instructions pour créer ces types de présentations.
 Liens uniquement : les présentations avancent lorsque les spectateurs cliquent sur des
liens. Veuillez trouver ci-après des instructions pour créer ces types de présentations.
Création de présentations à lecture automatique
Il est possible de définir la lecture automatique de votre présentation, par exemple
si vous souhaitez l’utiliser sur une borne interactive.172 Chapitre 8 Affichage, impression et exportation de votre diaporama
Dans une présentation à lecture automatique, les transitions ou les compositions configurées pour démarrer automatiquement démarrent tout comme elles le feraient
avec une présentation classique. Si un diaporama à lecture automatique comprend
des transitions et des compositions configurées pour commencer au clic de souris,
elles seront exécutées automatiquement, une fois écoulé le délai spécifié dans les
champs Délai de l’Inspecteur des documents. Les valeurs spécifiées dans les champs
Délai sont appliquées à toutes les transitions et compositions configurées pour commencer au clic de souris.
Bien que les utilisateurs ne puissent interagir avec ce type de présentation, ils peuvent
arrêter les présentations à lecture automatique de la même manière que les autres types
de diaporamas (à l’aide de la touche Échap par exemple). Pour éviter que les utilisateurs
n’arrêtent une présentation à lecture automatique, ne leur fournissez pas de clavier, ou
exigez un mot de passe pour quitter la présentation.
Pour configurer un diaporama en lecture automatique :
1 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre d’outils (ou choisissez Présentation >
Afficher l’Inspecteur), cliquez sur le bouton Inspecteur des documents, puis sur Document.
2 Choisissez Lecture automatique dans le menu local Présentation.
3 Pour spécifier le délai entre le moment où vous cliquez et celui où les transitions commencent, tapez une valeur dans le champ Transitions (ou cliquez sur les flèches).
4 Pour spécifier le délai entre le moment où vous cliquez et celui où les compositions
commencent, tapez une valeur dans le champ Compositions (ou cliquez sur les flèches).
Vous pouvez également faire en sorte qu’un document Keynote soit lancé dès son
ouverture, afin que la fenêtre Keynote ne s’affiche pas.
Le bouton Inspecteur des documents
Spécifiez le point de démarrage des
effets démarrant “au clic de la souris”.
Choisissez le type du diaporama.Chapitre 8 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 173
Pour lancer d’un document dès son ouverture :
1 Ouvrez le document.
2 Dans la sous-fenêtre Document de l’Inspecteur des documents, cochez la case intitulée
“Lire automatiquement une fois ouvert”.
3 Pour lire la présentation en boucle (jusqu’à ce que le spectateur quitte la présentation en
appuyant sur la touche Échap, par exemple), sélectionnez “Lire le diaporama en boucle”.
4 Choisissez Fichier > Enregistrer.
Pour exiger un mot de passe pour quitter un diaporama :
m Dans la sous-fenêtre Document de l’Inspecteur des documents, cochez la case intitulée
“Demander un mot de passe pour sortir du diaporama”.
Le nom d’utilisateur et le mot de passe requis sont ceux de l’utilisateur actuel
ou de l’administrateur de l’ordinateur sur lequel le diaporama est lu.
Pour faire redémarrer une présentation si elle est inactive pendant une durée
spécifiée :
m Sélectionnez l’option “Redémarrer le diaporama si inactif durant :” et tapez le nombre
de minutes dans le champ.
Présentations comprenant uniquement des liens
Grâce aux liens, vous pouvez créer des commandes permettant de naviguer dans un
diaporama. La Visite guidée d’iWork est un exemple de présentation comprenant uniquement des liens hypertextes.
Pour créer une présentation comprenant uniquement des liens hypertextes :
1 Configurez un diaporama à l’aide de liens hypertextes permettant de naviguer
vers des diapositives déterminées.
Pour plus d’informations sur la création de liens, veuillez consulter la partie
“Ajout de pages Web et de liens” à la page 80.
2 Dans la sous-fenêtre Document de l’Inspecteur des documents, choisissez
“Liens uniquement” dans le menu local Présentation.
Utilisation d’Exposé et de Dashboard pendant une présentation
Pour utiliser Exposé, Dashboard ou d’autres applications pendant la lecture de votre
diaporama, il vous faut définir une préférence de Keynote pour permettre à ces applications de fonctionner lors d’une présentation.174 Chapitre 8 Affichage, impression et exportation de votre diaporama
Pour permettre à Exposé, Dashboard et d’autres applications de fonctionner lors
d’une présentation :
1 Choisissez Keynote > Préférences.
2 Cliquez sur Diaporama.
3 Sélectionnez l’option “Permettre l’utilisation de l’écran à Exposé, Dashboard et autres”.
Remarque : si vous sélectionnez cette option, il se peut que votre diaporama soit plus
lent et que les animations s’affichent mal.
Affichage des présentations plein écran
Les présentations plein écran tirent le meilleur parti des graphismes nets et des animations homogènes pouvant être réalisés avec Keynote. Les présentations plein écran
peuvent se faire directement sur l’écran de votre ordinateur, sur un écran secondaire
ou sur un grand écran.
Présentation sur l’écran de votre ordinateur
La méthode la plus simple de visionnage d’un diaporama est l’affichage sur l’écran
de votre ordinateur. Ce format est idéal pour un public restreint.
Pour visionner une présentation plein écran sur un écran unique :
1 Ouvrez le document Keynote.
2 Cliquez sur Exécuter dans la barre d’outils (ou choisissez Présentation >
Lancer le diaporama).
3 Pour aller à la diapositive ou à la composition d’objet suivante, appuyez sur N
ou sur la barre d’espace (ou cliquez sur la souris).
4 Pour interrompre le diaporama, appuyez sur les touches Échap ou Q.
Remarque : cliquez sur le bouton Exécuter pour lancer le diaporama à partir de la diapositive sélectionnée. Pour lancer le diaporama à partir du début (même si la première
diapositive n’est pas sélectionnée), appuyez sur la touche Option tout en cliquant sur
le bouton Exécuter.
Test de votre présentation
Vous pouvez tester un diaporama de manière à revoir les notes d’intervenant
et à affiner le minutage de votre présentation.Chapitre 8 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 175
Pour tester votre diaporama :
1 Choisissez Présentation > Tester le diaporama.
L’affichage en mode test fait apparaître deux diapositives à l’écran en même temps :
la diapositive en cours et la suivante. L’horloge située sous la diapositive en cours indique l’heure de la journée. Celle en dessous de la diapositive suivante indique le temps
écoulé depuis le début de la présentation.
2 Spécifiez les informations que vous souhaitez voir apparaître sur l’écran de l’intervenant (consultez la section “Personnalisation de l’écran de l’intervenant” à la page 179).
3 Si vos notes d’intervenant n’apparaissent pas, choisissez Keynote > Préférences >
Affichage de l’intervenant, puis sélectionnez Notes.
Lorsque vous répétez avec un seul écran, l’écran de l’intervenant affiche les informations que vous avez indiquées dans les préférences Affichage de l’intervenant. Les commentaires sont visibles sur l’écran de l’intervenant si ils le sont sur la diapositive lors de
la modification.
Présentation sur un projecteur ou un second écran
Si votre public est relativement important, il peut être souhaitable de présenter le diaporama sur un deuxième écran ou de le projeter sur grand écran. De la sorte, vous pouvez
visualiser les informations propres au présentateur (vos notes de diapositive ou l’horloge, par exemple) sur votre écran ; l’assistance voit uniquement le diaporama projeté
sur le deuxième écran. Pour régler ce mode, utilisez une configuration double affichage.
Il est également possible d’afficher la même présentation sur les deux écrans.
Cette configuration est appelée recopie vidéo.
Important : connectez le deuxième écran ou le deuxième projecteur en suivant les
instructions de l’un ou l’autre de ces appareils ainsi que les instructions de votre ordinateur (consultez l’Aide Keynote concernant la recopie vidéo, les écrans ou le double
affichage). Vous aurez peut-être besoin de connecter le deuxième écran ou le projecteur pour réaliser certaines des étapes suivantes.
Remarque : les ordinateurs iBook auxquels on connecte un deuxième écran
ne fonctionnent qu’en mode recopie.
Double affichage
La configuration double affichage vous permet de lire votre diaporama sur un écran
et de le contrôler et de visualiser les notes de l’intervenant sur un autre écran.176 Chapitre 8 Affichage, impression et exportation de votre diaporama
Pour configurer le double affichage :
1 Choisissez Apple (?) > Préférences Système.
2 Dans les Préférences Système, cliquez sur Moniteurs.
3 Cliquez sur Disposition et suivez les instructions à l’écran.
Si vous ne voyez pas le bouton Disposition, c’est que votre ordinateur ne détecte
qu’un moniteur.
4 Désélectionnez la case Moniteurs en miroir.
Pour lire un diaporama en mode double affichage :
1 Choisissez Keynote > Préférences, puis cliquez sur Diaporama.
2 Sélectionnez “Présenter sur l’écran principal” ou “Présenter sur l’écran secondaire”.
L’écran principal est l’écran dans lequel apparaît la barre des menus. Si vous choisissez
“Présenter sur l’écran secondaire”, vous pouvez personnaliser l’écran principal du pré-
sentateur. Reportez-vous à la section “Personnalisation de l’écran de l’intervenant” à la
page 179.
3 Cliquez sur Exécuter dans la barre d’outils (ou choisissez Présentation >
Lancer le diaporama).
4 Faites défiler les diapositives (et les compositions d’objet) en cliquant sur la souris
ou en appuyant sur la barre d’espace.
Choisissez l’écran d’affichage
des diapositives pendant un
diaporama à l’aide de la configuration double affichage.Chapitre 8 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 177
 Pour mettre en pause la présentation et afficher un écran noir, appuyez sur N.
Appuyez sur n’importe quelle touche pour reprendre la présentation.
 Pour mettre en pause la présentation et afficher un écran blanc, appuyez sur B.
Appuyez sur n’importe quelle touche pour reprendre la présentation.
 Pour permuter l’écran principal et celui de l’intervenant, appuyez sur X.
Pour obtenir la liste complète des raccourcis clavier pour les séquences et les présentations, choisissez Aide > Raccourcis clavier.
Recopie vidéo
Sur certains ordinateurs, l’option de recopie vidéo est intégrée. Si ce n’est pas le cas
du vôtre, vous devrez configurer cette option dans la sous-fenêtre Moniteurs des
Préférences Système.
Pour configurer la recopie vidéo :
1 Choisissez Apple (?) > Préférences Système.
2 Dans les Préférences Système, cliquez sur Moniteurs.
3 Choisissez les mêmes réglages pour les deux écrans dans le champ Résolution et dans
le menu local Couleurs.
4 Cliquez sur Organiser et sélectionnez Moniteurs en miroir.
Pour lire votre diaporama en mode recopie vidéo :
1 Ouvrez le document Keynote.
2 Choisissez Présentation > Lancer le diaporama (ou cliquez sur Exécuter dans la barre
d’outils).
3 Pour aller à la diapositive ou à la composition d’objet suivante, appuyez sur la barre
d’espace ou cliquez sur la souris.
Remarque : Keynote offre généralement une lecture sans à-coups des animations.
Néanmoins, étant donné que les deux écrans utilisés en configuration recopie vidéo
peuvent avoir des taux de rafraîchissement différents, il se peut que l’image d’un des
deux écrans semble “sauter” ; Keynote ne peut synchroniser qu’avec le taux de rafraî-
chissement d’un seul écran à la fois.178 Chapitre 8 Affichage, impression et exportation de votre diaporama
Visionnage de séquences
Lorsque vous lisez une séquence lors d’une présentation, un panneau de contrôle de
séquence apparaît sur l’écran de l’intervenant. Les commandes dépendant de la taille
de votre séquence.
Recherche de présentations avec des mots-clés
Vous pouvez ajouter le nom de l’auteur, le titre, des mots-clés et des commentaires à
une présentation Keynote. Vous pouvez ensuite vous servir de Spotlight de Mac OS X
pour rechercher des présentations comportant ces informations.
Pour noter le nom de l’auteur, le titre, des mots-clés et des commentaires :
1 Ouvrez la fenêtre Inspecteur des documents et cliquez sur Spotlight.
2 Saisissez les informations que vous souhaitez utiliser pour les recherches.
Par la suite, lorsque vous voudrez rechercher une présentation en particulier, utilisez
l’application Spotlight pour rechercher le nom de l’auteur, le titre, les mots-clés ou les
commentaires.
Réglage des options de présentation
Il existe de nombreuses options de présentation (vous pouvez par exemple choisir
d’afficher ou non le pointeur à l’écran et décider de la suite des événements après la
diffusion de la dernière diapositive). Il est également possible de configurer l’écran
de l’intervenant de manière à ce qu’il affiche des informations du type temps écoulé
et contenu de la diapositive suivante.
Taille de la séquence Commandes disponibles
Supérieure à 380 pixels Lecture, pause, avance rapide, retour rapide, minutage d’une
piste avec minuterie, volume
De 260 à 379 pixels Lecture, pause, minutage d’une piste avec minuterie, volume
De 160 à 259 pixels Lecture, pause, minutage d’une piste avec minuterie
De 100 à 159 pixels Lecture, pause, minutage d’une piste sans minuterie
De 0 à 99 pixels Aucune commandeChapitre 8 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 179
Personnalisation de l’écran de l’intervenant
Si votre présentation est configurée en mode double affichage, ou si vous souhaitez la
tester avec un seul écran, vous pouvez sélectionner les informations qui s’affichent sur
l’écran de l’intervenant et les organiser à votre manière.
Pour activer l’écran de l’intervenant :
1 Choisissez Keynote > Préférences et cliquez sur “Affichage de l’intervenant”.
2 Cochez la case “Afficher les informations de l’intervenant sur l’autre écran”.
Pour personnaliser l’écran de l’intervenant :
1 Choisissez Keynote > Préférences et cliquez sur “Affichage de l’intervenant”.
2 Sélectionnez les options d’affichage que vous souhaitez voir apparaître sur l’écran
de l’intervenant.
3 Pour réorganiser les fenêtres de l’écran de l’intervenant, cliquez sur “Modifier la disposition des informations de l’intervenant”.
Remarque : les commentaires sont visibles sur l’écran de l’intervenant si ils le sont
sur la diapositive lors de la modification.
Contrôle d’une présentation à l’aide du clavier
Vous pouvez utiliser le clavier pour naviguer dans une présentation. (Pour la liste
complète des raccourcis clavier de présentation, choisissez Aide > Raccourcis clavier.)
Au cours de la présentation, une liste de raccourcis clavier utilisables en mode présentation s’affiche à l’écran.
Sélectionnez les options
d’affichage qui apparaissent
sur l’écran de l’intervenant.
Cochez cette case pour
afficher les informations
de l’intervenant sur un autre
écran (pendant un diaporama,
si vous avez configuré le double affichage).
Cliquez pour réorganiser
les fenêtres de l’écran de
l’intervenant.180 Chapitre 8 Affichage, impression et exportation de votre diaporama
Pour afficher (ou masquer) la fenêtre des raccourcis clavier du présentateur :
m Au cours d’une présentation, appuyez sur Aide ou sur la touche du point
d’interrogation (?) de votre clavier.
Pendant la présentation, il est possible de naviguer entre les différentes diapositives
à l’aide du sélecteur de diapositives.
Pour ouvrir le sélecteur de diapositives lors de la présentation :
m Saisissez un numéro de diapositive ou appuyez sur le signe plus (+), égal (=) ou moins (-).
Lorsque le sélecteur de diapositives est ouvert, vous pouvez naviguer dans les diapositives de plusieurs manières :
 Pour vous déplacer d’une diapositive à l’autre vers l’avant ou vers l’arrière, appuyez
sur les touches Flèche droite ou Flèche gauche, ou cliquez sur les flèches du sélecteur de diapositives pour sauter trois diapositives.
 Pour accéder à la première diapositive, appuyez sur la touche Flèche vers le haut ;
pour aller à la dernière diapositive, appuyez sur la touche Flèche vers le bas.
 Pour fermer le sélecteur et aller à une diapositive en particulier, cliquez sur une
vignette dans le sélecteur de diapositives ou saisissez le numéro de la diapositive
et appuyez sur Retour.
 Pour fermer le sélecteur sans changer la diapositive actuelle, appuyez sur Échap.Chapitre 8 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 181
Lorsqu’une composition d’objets est en cours d’exécution sur une diapositive, une
ligne rouge apparaît sur l’écran pour vous prévenir de ne pas passer à la diapositive
suivante. La ligne devient verte lorsque la composition est terminée.
Mettre en pause une présentation et la reprendre
Il existe plusieurs autres méthodes pour mettre une présentation en pause.
Pour mettre une présentation en pause, exécutez l’une des actions suivantes :
 Pour mettre en pause (figer) une présentation et afficher la diapositive actuelle,
appuyez sur F. Appuyez sur n’importe quelle touche pour reprendre la présentation.
 Pour mettre en pause une présentation et afficher un écran noir, appuyez sur B.
Appuyez sur n’importe quelle touche pour reprendre la présentation.
 Pour mettre en pause la présentation et masquer l’application, appuyez sur H.
Pour relancer la présentation, cliquez sur l’icône de Keynote dans le Dock.
Cliquer sur un lien ouvrant une page Web, un courrier électronique ou un fichier met
également la présentation en pause. Pendant que la présentation est en pause de cette
manière, l’icône de Keynote située dans le Dock affiche un bouton de lecture vert.
Pour relancer la présentation, cliquez sur l’icône de Keynote dans le Dock. Vous pouvez
également quitter la présentation en cliquant sur l’icône du Dock et en choisissant
Quitter le diaporama.
Pour obtenir la liste complète des raccourcis clavier des présentations, consultez
la rubrique “Raccourcis clavier” de l’Aide Keynote.
Modifier la taille de la diapositive
Pour obtenir la meilleure qualité de lecture possible, la taille de vos diapositives doit correspondre à la résolution d’écran de la taille par défaut, 800 x 600. Les projecteurs plus
récents peuvent afficher correctement les diapositives à une résolution de 1024 x 768.
Si votre présentation comprend des séquences, vous devrez choisir une résolution plus
élevée. Dans ce cas, choisissez un thème HD avec une résolution de 1920 x 1080 ; sachez
cependant que tous les thèmes ne proposent pas de résolution supérieure.
Si la taille de vos diapositives est trop grande pour le moniteur, Keynote l’adapte automatiquement. N’oubliez pas que les résolutions supérieures requièrent davantage de
mémoire et une puissance de traitement plus rapide.182 Chapitre 8 Affichage, impression et exportation de votre diaporama
Pour changer la taille des diapositives de votre document Keynote :
m Dans l’Inspecteur des documents, choisissez une option dans le menu local Taille
de la diapositive.
Vous pouvez également spécifier une taille personnalisée en choisissant “Personnaliser
la taille de la diapositive” dans le menu local “Taille de la diapositive” puis en saisissant
les dimensions souhaitées dans les champs Largeur et Hauteur.
Remarque : vous devez utiliser le menu local “Personnaliser la taille de la diapositive”
pour indiquer une taille de diapositive personnalisée. Il n’est pas possible de spécifier
une taille personnalisée dans le Sélecteur de thème.
Si vous n’êtes pas sûr de la taille ou que vous ne souhaitez pas modifier les dimensions
d’origine des diapositives dans votre document, Keynote lit les diapositives dans leurs
dimensions d’origine ; elles apparaissent au milieu de l’écran et sont entourées d’un
bord noir. Keynote peut également agrandir les diapositives pour qu’elles occupent
tout l’écran lors de la lecture du diaporama.
Pour adapter la présentation à l’écran uniquement lors de la lecture :
1 Cliquez sur Keynote > Préférences.
2 Cliquez sur Diaporama.
3 Sélectionnez la case “Agrandir les diapositives pour qu’elles occupent tout l’écran”.
En fait, cette option ne modifie pas la taille des diapositives de votre document
Keynote ; elle met le document à l’échelle de l’écran. Cette option est susceptible
de réduire la qualité vidéo lors de la lecture. Si vous sélectionnez cette option et que
vous utilisez la transition Cube ou Miroir, n’oubliez pas de sélectionner “Réduire pour
empêcher le découpage” ; dans le cas contraire, certaines parties de la transition ne
seront peut-être pas visibles.
Modification du comportement du pointeur pendant la présentation
Vous pouvez configurer votre diaporama de façon à ce que le pointeur apparaisse
uniquement sur les diapositives contenant des liens ou seulement lorsque vous
déplacez la souris.
Pour spécifier des options de présentation :
1 Choisissez Keynote > Préférences et cliquez sur Diaporama.
2 Choisissez l’une des options dans la fenêtre Afficher le pointeur.
Lors d’un diaporama, vous pouvez afficher ou masquer le pointeur en appuyant
sur la touche C.Chapitre 8 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 183
Impression de vos diapositives
Vous pouvez imprimer votre diaporama Keynote de diverses manières en fonction
de vos besoins. Vous pouvez imprimer les diapositives avec ou sans leurs notes ou
imprimer uniquement la structure du diaporama.
Pour imprimer des diapositives :
1 Choisissez Fichier > Imprimer
2 Dans la zone de dialogue Imprimer, choisissez Keynote dans le menu local
Copies et pages.
3 Sélectionnez une option d’impression.
 Diapos individuelles : imprime une diapositive par page.
 Diapos avec notes : imprime une diapositive par page avec les commentaires.
 Structure : imprime uniquement les titres des diapositives et le texte à puces de la
présentation (ce que vous voyez avec le mode structure du classeur de diapositives).
 Document : propose des options permettant d’afficher plusieurs diapositives par page.
Remarque : pour accélérer la vitesse d’impression des documents, sélectionnez
“Imprimer en qualité brouillon”.
Sélectionnez des options
de mise en forme de
l’impression.
Choisissez Keynote
dans ce menu local.
Sélectionnez le modèle de
diapositives et de documents
que vous désirez imprimer.
Convertissez le groupe de
diapositives en fichier PDF.184 Chapitre 8 Affichage, impression et exportation de votre diaporama
4 Sélectionnez les options de mise en forme qui s’appliquent.
 Ne pas imprimer les arrière-plans de Diapositive ou les remplissages : permet de
ne pas imprimer la couleur à l’arrière-plan ou dans un objet ; le texte clair est imprimé
en noir. Cette option est particulièrement utile pour imprimer des diapositives très
colorées sur une imprimante noir et blanc. Avec des imprimantes en noir et blanc, les
images en couleur sont imprimées avec des niveaux de gris. Avec les imprimantes couleur, les fichiers graphiques importés dans les diapositives sont imprimés en couleur.
 Imprimer chaque étape de composition : permet d’imprimer une image de diapositive pour chaque étape d’une composition d’objet (une diapositive présentant trois
étapes de composition sera imprimée sous forme de trois diapositives).
 Inclure les diapos ignorées : permet d’imprimer toutes les diapositives du classeur
de diapositives, même si elles sont signalées comme étant ignorées.
 Ajouter des bordures aux diapos : permet d’imprimer une ligne le long des bords
de chaque diapositive.
 Inclure les numéros des diapos : permet d’imprimer le numéro au bas de chaque
diapositive.
 Inclure la date : permet d’imprimer la date sur chaque diapositive.
 Imprimer les graphiques 3D haute résolution : améliore la qualité d’impression
pour les graphiques 3D.
Pour imprimer une diapositive ou un groupe de diapositives spécifique :
1 Cliquez sur Imprimer.
2 Tapez les numéros ou l’intervalle de diapositives que vous souhaitez imprimer dans
les champs de texte De et À.
Le numéro de la diapositive s’affiche dans le classeur de diapositives.Chapitre 8 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 185
Exportation dans d’autres formats de visualisation
D’autres options de visualisation vous permettent de partager votre présentation sur
plusieurs plates-formes différentes.
QuickTime
Vous pouvez convertir votre diaporama en séquence QuickTime contenant toutes les
transitions et compositions d’objet animées. Vous pouvez créer une séquence QuickTime qui s’exécute automatiquement, avec des transitions et des compositions minutées exactement telles que vous les avez définies. Vous pouvez également créer une
séquence interactive qui permet aux spectateurs d’avancer à leur propre rythme.
Pour créer une séquence QuickTime à partir de votre présentation :
1 Choisissez Fichier > Exporter.
2 Dans la zone de dialogue Exporter, sélectionnez QuickTime.
3 Choisissez une option dans le menu local Contrôle de lecture.
Pour les séquences à lecture
automatique, réglez la durée
des diapositives et des compositions d’objet.
Lisez la séquence une seule
fois, plusieurs fois de suite
(en boucle) ou en en boucle
dans les deux sens.
Choisissez une séquence
interactive ou une séquence
à lecture automatique.
Choisissez un format de
compression pour optimiser
la taille de votre séquence
et la qualité de la lecture.
Sélectionnez si votre diaporama
comprend une transparence que
vous souhaiter conserver.186 Chapitre 8 Affichage, impression et exportation de votre diaporama
 Diaporama interactif : permet à l’assistance de lancer le diaporama en cliquant sur
Lecture dans les commandes de QuickTime, en cliquant sur la souris ou en appuyant
sur la barre d’espace.
 Liens uniquement : les spectateurs naviguent dans le diaporama en cliquant sur
des liens.
 Séquence à lecture automatique : les spectateurs n’ont aucun contrôle sur la
vitesse à laquelle le diaporama avance. Tapez les valeurs dans les champs de durée
des diapositives et de durée des compositions pour déterminer la vitesse des compositions d’objets et le temps d’affichage des diapositives à l’écran.
 Durée de la diapositive : permet d’indiquer la durée de l’apparition à l’écran de la
diapositive entièrement composée après la fin de la dernière composition d’objet.
 Durée de la composition : spécifie le nombre de secondes écoulées entre le début
d’une étape de composition et la suivante dans chaque composition d’objet. Il n’y a
pas de décalage entre le moment où une diapositive apparaît à l’écran et la première
étape d’une composition d’objet.
 Répétition : définit la manière dont les diaporamas en lecture automatique continuent à être exécutés. Choisissez Lecture en boucle pour lire la présentation continuellement. Choisissez “Va-et-vient” pour que le diaporama s’exécute jusqu’au bout,
puis en sens inverse jusqu’au début, puis à nouveau dans le bon sens. Choisissez
Aucune si vous souhaitez que le diaporama s’exécute une fois seulement.
 Utiliser le mode plein écran lors de l’ouverture : configure le diaporama pour
qu’il apparaisse sur tout l’écran, plutôt que dans une fenêtre.
4 Pour une séquence à lecture automatique, vous pouvez choisir une option dans
le menu local Répétition.
5 Dans le menu local Formats, choisissez une qualité de lecture et une taille de fichier.
 Qualité maximale, grand : permet de conserver la meilleure qualité de lecture mais
ces séquences sont volumineuses et donc plus difficiles à transférer par courrier
électronique ou sur le Web.
 Film CD-ROM, moyen : idéal si vous utilisez un CD pour envoyer le diaporama à un
autre spectateur. Les séquences sont de haute qualité mais la taille des fichiers est
un peu plus petite que celle des séquences de qualité supérieure.Chapitre 8 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 187
 Film Web, petit : ces séquences ont généralement une moins bonne qualité de
lecture mais elles sont suffisamment petites pour que vous puissiez les partager
sur le Web ou par courrier électronique.
 Personnalisé : permet de choisir les réglages de la compression vidéo ou audio
dans QuickTime et donc de contrôler le rapport taille-qualité du fichier.
6 Si vous ne souhaitez pas inclure de fichier audio dans la séquence, désélectionnez
“Inclure l’audio”.
7 Si votre diaporama comprend un arrière-plan transparent que vous souhaitez conserver pour votre séquence QuickTime, sélectionnez Inclure la transparence.
Remarque : lorsque cette option est sélectionnée, certaines transitions peuvent ne
pas fonctionner correctement.
8 Cliquez sur Suivant.
9 Saisissez le titre de votre séquence, choisissez un emplacement où l’enregistrer puis
cliquez sur Exporter.
PowerPoint
Vous pouvez convertir des documents Keynote en fichiers PowerPoint qui pourront
être visionnés et modifiés par les utilisateurs de PowerPoint équipés d’ordinateurs
Windows ou Mac OS.
Pour créer un diaporama PowerPoint :
1 Choisissez Fichier > Exporter.
2 Sélectionnez PowerPoint puis cliquez sur Suite.
3 Attribuez un nom au fichier et choisissez-lui un emplacement.
4 Cliquez sur Exporter.
Remarque : Windows et Mac OS X n’utilisant pas les graphismes de la même manière,
vous remarquerez peut-être que les graphismes de votre présentation sont légèrement
différents si vous ouvrez le document PowerPoint exporté sur un ordinateur fonctionnant sous Windows.188 Chapitre 8 Affichage, impression et exportation de votre diaporama
Fichiers PDF
Vous pouvez convertir votre diaporama en fichier PDF, qui pourra être visualisé ou
imprimé avec Adobe Acrobat Reader ou tout autre application gérant les PDF. Il existe
deux manières d’enregistrer vos diapositives Keynote au format PDF. Pour visualiser
le fichier PDF en ligne, utilisez la commande Exporter de Keynote. Pour visualiser le
fichier sur papier, il se peut que vous obteniez de meilleurs résultats en utilisant la
commande Imprimer.
Si votre diaporama contient des liens, ils sont exportés comme des liens actifs dans
le document PDF.
Pour créer un fichier PDF à partir de vos diapositives via la commande Exporter :
1 Choisissez Fichier > Exporter.
2 Sélectionnez PDF.
3 Sélectionnez Diapositives ou Diapositives avec notes et sélectionnez les options voulues pour exporter les étapes de composition, les diapositives ignorées, les bordures
et les numéros de diapositive.
4 Cliquez sur Suivant, tapez un nom et choisissez un emplacement pour ce fichier.
5 Cliquez sur Exporter.
Pour créer un fichier PDF à partir de vos diapositives via la commande Imprimer :
1 Choisissez Fichier > Imprimer
2 Cliquez sur PDF, puis choisissez “Enregistrer en format PDF” dans le menu local.
3 Dans la zone de dialogue Enregistrer, saisissez un nom, choisissez un emplacement
pour le fichier, puis cliquez sur Enregistrer.
Fichiers image
Vous pouvez exporter toutes vos diapositives sous forme de fichiers image aux formats
JPEG, PNG et TIFF.
Pour exporter des diapositives sous forme de fichiers image :
1 Choisissez Fichier > Exporter.
2 Cliquez sur Images et précisez sur vous souhaitez ou non créer un fichier séparé pour
toutes les diapositives ou pour un ensemble de diapositives.
3 Pour créer une image distincte pour chaque étape de composition, sélectionnez
“Générer des images différentes pour chaque étape de composition”.Chapitre 8 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 189
4 Pour exporter des images vers iPhoto 5 ou ultérieur, sélectionnez “Exporter les images
dans iPhoto”, attribuez un nom au nouvel album et cliquez sur OK.
5 Choisissez une option dans le menu local Format afin d’indiquer la qualité d’image
voulue.
Plus la qualité est bonne, plus le fichier sera grand. Si vous choisissez l’option
“Qualité variable” (JPEG uniquement), utilisez le curseur “Qualité” pour indiquer
un pourcentage entre la basse et la haute qualité.
6 Cliquez sur Suivant, saisissez un nom, indiquez un emplacement pour les fichiers
image, puis cliquez sur Exporter.
Les fichiers utiliseront le nom que vous avez saisi immédiatement suivi d’un nombre
séquentiel (nomdefichier.001, nomdefichier.002, etc.).
Flash
Vous pouvez convertir votre diaporama en document Flash afin de le lire à l’aide
du visualiseur Flash.
Pour convertir votre diaporama en document Flash :
1 Choisissez Fichier > Exporter, puis cliquez sur Flash.
2 Si vous ne souhaitez pas inclure la bande-son du diaporama, désélectionnez l’option
“Inclure le fichier audio du diaporama (bande sonore)”. Cette option est activée par
défaut.
3 Cliquez sur Suivant, tapez un nom et choisissez un emplacement pour ce fichier.
4 Cliquez sur Exporter.
iDVD
Vous pouvez exporter un diaporama en tant que projet iDVD, pour pouvoir le visualiser
et le modifier avec iDVD 6 ou ultérieur.
Pour exporter des diapositives au format iDVD :
1 Choisissez Fichier > Exporter.
2 Sélectionnez iDVD et indiquez la taille de la vidéo.
 Standard : permet d’exporter les diapositives pour les visionner sur un écran vidéo
standard.
 Écran large : permet d’exporter les diapositives pour les visionner sur un écran
vidéo large.190 Chapitre 8 Affichage, impression et exportation de votre diaporama
3 Choisissez la qualité voulue dans le menu local Qualité vidéo.
4 Tapez le nombre de secondes correspondant à la durée des diapositives
et des compositions.
5 Cliquez sur Suivant, saisissez un nom, indiquez un emplacement pour le fichier
exporté, puis cliquez sur Exporter.
HTML
Vous pouvez exporter vos diapositives vers un document HTML qui pourra être consulté avec Safari ou un autre navigateur Web. Dans ce cas, les spectateurs cliqueront
sur des liens pour faire avancer la présentation.
Pour exporter des diapositives vers un document HTML :
1 Choisissez Fichier > Exporter.
2 Cliquez sur HTML et indiquez si vous souhaitez exporter toutes les diapositives
ou un ensemble de diapositives.
3 Pour créer une image distincte pour chaque étape de composition, sélectionnez
“Générer des images différentes pour chaque étape de composition”.
4 Pour inclure les commandes de navigation Départ, Précédent et Suivant, sélectionnez
l’option “Inclure les contrôles de navigation”.
5 Choisissez une option dans le menu local Format afin d’indiquer la qualité d’image
voulue.
Plus la qualité est bonne, plus le fichier sera grand.
6 Faites glisser le curseur Compression pour augmenter ou réduire le facteur
de compression utilisé pour l’exportation (JPEG uniquement).
7 Cliquez sur Suivant, saisissez un nom, indiquez un emplacement pour le fichier exporté,
puis cliquez sur Exporter.Chapitre 8 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 191
Format iWork ‘05
Il se peut que vous souhaitiez exporter une présentation au format iWork ‘05 afin que
le diaporama puisse être lu par d’autres personnes utilisant une version antérieure de
Keynote. Les nouvelles fonctionnalités d’iWork ‘06, telles que les graphiques 3D et les
formules de tableau, seront converties ou ne seront pas enregistrées lorsque la pré-
sentation sera ouverte dans iWork ‘05. D’autres éléments, tels que les fichiers audio
et vidéo, fonctionneront de la même manière.
Pour exporter une présentation au format iWork ‘05 :
1 Ouvrez le diaporama à exporter.
2 Choisissez Fichier > Enregistrer sous.
3 Tapez un nom pour ce fichier et sélectionnez un emplacement.
4 Sélectionnez “Enregistrer une copie au format iWork ‘05”.
Vous devrez peut-être cliquer sur le triangle d’affichage en regard du champ
Enregistrer sous pour que cette option apparaisse.
5 Si vous ne souhaitez pas inclure de fichier audio ou vidéo dans l’exportation, cliquez
sur Options avancées et désélectionnez “Copier l’audio et la vidéo dans le document”
(cette option est activée par défaut).
6 Cliquez sur Enregistrer.193
9
9 Conception de vos propres
thèmes et modèles de diapo
Ce chapitre s’adresse aux personnes qui souhaitent
utiliser les capacités graphiques performantes de
Keynote pour créer leurs propres thèmes et modèles
de diapositive.
Ce chapitre s’adresse aux personnes familiarisées avec les fonctionnalités de design
et de mise en forme de Keynote décrites dans les autres chapitres.
Les thèmes de Keynote sont des ensembles prédéfinis de modèles de diapositive,
d’arrière-plans, de graphiques, de tableaux et de styles de texte. Dans chaque thème,
les modèles de diapositive définissent les attributs de diapositive suivants :
 Position par défaut du texte du titre et du corps de texte
 Graphismes d’arrière-plan
 Polices par défaut
 Styles de puces par défaut
 Position par défaut des graphiques, des tableaux et des images (espace réservé
à l’objet)
 Remplissages d’objet et styles de trait pour les objets dessinés et les tableaux
 Styles de graphiques
 Styles de transition
 Guides d’alignement
Il est possible de modifier tous les attributs évoqués ci-dessus afin de personnaliser
chacun des modèles de diapositive appartenant à un thème. Les modifications apportées à un modèle de diapositive apparaissent sur toutes les diapositives créées à partir
de ce modèle. Vous pouvez modifier un modèle de diapositive sans affecter les thèmes
par défaut disponibles dans d’autres documents Keynote. 194 Chapitre 9 Conception de vos propres thèmes et modèles de diapo
Vous pouvez également modifier et enregistrer entièrement un ensemble de modèles
de diapositive et le personnaliser avec le logo de votre entreprise par exemple, ou le styliser avec vos créations. Si vous souhaitez enregistrer un ensemble de modèles de diapositive personnalisé à utiliser dans d’autres présentations, vous pouvez le faire en suivant
les instructions de la section “Enregistrement des thèmes personnalisés” à la page 202.
Pour travailler sur un modèle de diapositive :
m Ouvrez le classeur de modèles de diapositive et sélectionnez un modèle de diapositive.
Pour ouvrir le classeur de modèles de diapositive :
m Cliquez sur Afficher dans la barre d’outils et choisissez Afficher les modèles de diapositive (ou choisissez Présentation > Afficher les modèles de diapositive).
Une façon simple d’obtenir un modèle de diapositive modifié consiste à importer dans
le diaporama actuel une diapositive ou un modèle de diapositive unique depuis un
autre diaporama.
Pour importer une diapositive ou un modèle de diapositive unique :
1 Ouvrez le document Keynote contenant la diapositive que vous désirez utiliser.
2 Sélectionnez cette diapositive et faites-la glisser à partir du document source dans
le classeur de diapositives du document avec lequel vous travaillez.
Un nouveau modèle de diapositive est créé dans votre diaporamaKeynote. Vous trouverez ce nouveau modèle de diapositive dans le classeur de modèles de diapositive.
Remarque : vous pouvez créer des compositions pour des objets sur un modèle de
diapositive. Pour plus d’informations, reportez-vous à la section “Création de compositions sur des modèles de diapositives” à la page 169.
Modification de la disposition et de l’arrière-plan
des modèles de diapositive
La solution la plus simple pour créer un modèle de diapositive est de se baser sur le
modèle qui ressemble le plus à ce que l’on souhaite. Faites défiler les diapositives du
classeur de modèles de diapositive et dupliquez celle qui vous intéresse.
Pour dupliquer un modèle de diapositive :
1 Sélectionnez le modèle de diapositive dans le classeur de modèles de diapositive.Chapitre 9 Conception de vos propres thèmes et modèles de diapo 195
2 Exécutez l’une de ces actions :
 Cliquez sur Nouveau (+) dans la barre d’outils.
 Choisissez Diapositive > Nouvelle diapositive.
 Appuyez sur la touche Retour de votre clavier
 Choisissez Édition > Dupliquer
Vous pouvez modifier des modèles de diapositive à l’aide de l’Inspecteur des modèles
de diapositive.
Pour ouvrir l’Inspecteur des modèles de diapositive :
1 Sélectionnez un modèle de diapositive dans le classeur de diapositives.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils (ou choisissez Présentation >
Afficher l’Inspecteur), puis sur le bouton de l’Inspecteur des diapositives.
3 Cliquez sur Apparence.
Choisissez une couleur ou
une image d’arrière-plan.
Créez des espaces réservés aux
tableaux, graphiques, affichages
Web et graphismes importés.
Insérez des zones de titre et de corps
de texte dans vos modèles de diapositive.
Sélectionnez pour que les
objets des diapositives se
superposent aux objets du
modèle.196 Chapitre 9 Conception de vos propres thèmes et modèles de diapo
Modification de l’arrière-plan
Pour créer des groupes de diapositives associées dans une présentation (par exemple
pour distinguer ou relier divers sujets), vous pouvez notamment insérer un arrière-plan
légèrement différent pour chaque groupe de diapositives. Vous devez pour ce faire
créer un groupe de modèles doté des différents arrière-plans choisis.
Pour modifier l’arrière-plan d’un modèle de diapositive :
1 Dans le classeur de modèles de diapositive, sélectionnez le modèle que vous souhaitez
modifier.
 Si vous créez un arrière-plan totalement nouveau, nous vous conseillons de commencer
par un modèle vierge.
 Pour conserver une copie du modèle original, exécutez l’une des actions suivantes :
 Choisissez Diapositive > Nouvelle diapositive.
 Cliquez sur Nouvelle dans la barre d’outils.
 Choisissez Édition > Dupliquer
2 Sélectionnez les éléments que vous ne souhaitez pas conserver et appuyez
sur la touche Suppr.
3 Faites vos modifications.
 Utilisez les outils de Keynote pour placer des éléments d’arrière-plan dans le modèle
de diapositive.
 Faites glisser les objets externes souhaités (fichiers média, audio, etc.) du Bureau
ou du Navigateur de média dans le canevas.
4 Une fois que vous avez placé un élément à l’endroit voulu, vous pouvez sélectionner
Disposition > Verrouiller pour éviter que celui-ci soit déplacé accidentellement pendant que vous travaillez.
Toutes les modifications (y compris les ajouts de fichiers externes) apportées au modèle
de diapositive apparaissent sur toutes les diapositives créées à partir de ce modèle.Chapitre 9 Conception de vos propres thèmes et modèles de diapo 197
Superposition d’objets en arrière-plan et d’objets sur les diapositives
Lorsque vous modifiez un modèle de diapositive, vous pouvez placer des objets
au-dessus ou en dessous comme dans une diapositive. Tous les objets d’un modèle
demeurent dans leur propre couche qui est, par défaut, la couche inférieure. Les
objets que vous ajoutez aux diapositives sont par conséquent placés au-dessus de
tous les éléments du modèle. Cependant, vous pouvez choisir de placer tout objet
que vous ajoutez aux diapositives individuelles au-dessus ou en dessous des objets
de la couche du modèle.
Les couches d’arrière-plan sont couramment utilisées dans le cas des graphismes
de canal alpha, où les objets de la diapositive apparaissent au travers d’une partir
de l’image d’arrière-plan. Pour plus d’informations, reportez-vous à la section “Manipulation de cadres photo (graphismes de canal alpha)” à la page 73.
Pour superposer des objets d’une diapositive à ceux de la couche d’un modèle :
1 Insérez des objets dans le canevas du modèle de diapositive, en les positionnant
et les superposant à votre guise.
2 Dans l’Inspecteur des modèles de diapositive, sélectionnez “Autoriser la superposition
des objets”.
Remarque : vous pouvez déplacer des espaces réservés vers l’avant ou vers l’arrière
sur un modèle ou une diapositive. Pour plus d’informations, reportez-vous à la section “Redimensionnement, déplacement et superposition d’objets” à la page 68.
Ajout de guides d’alignement
Vous pouvez créer vos guides d’alignement afin de vous aider à insérer votre texte
et vos graphismes de manière harmonieuse dans chaque diapositive. Les guides d’alignement créés dans un modèle de diapositive sont disponibles lorsque vous insérez
des objets sur n’importe quelle diapositive utilisant ce modèle.
Pour créer des guides d’alignement dans un modèle de diapositive :
1 Dans la sous-fenêtre Apparence de l’Inspecteur des diapositives, sélectionnez le modèle
de diapositive auquel vous souhaitez ajouter les guides d’alignement.
2 Cliquez sur Afficher dans la barre d’outils et choisissez Afficher les règles.
3 Placez le pointeur sur une règle et faites glisser le guide d’alignement jaune à n’importe
quel endroit du canevas.198 Chapitre 9 Conception de vos propres thèmes et modèles de diapo
 Pour placer un guide horizontal, faites-le glisser depuis la règle située en haut
de la diapositive.
 Pour placer un guide vertical, faites-le glisser depuis la règle située à gauche.
Dispositions et styles pour titres et corps de texte
Les styles par défaut des zones de titre et de texte sont définis dans le modèle d’une
diapositive. Pour configurer les zones de titre et de texte par défaut d’un modèle de
diapositive, vous devez au préalable les insérer dans ce dernier, puis sélectionner le
texte et configurer ses attributs à l’aide des inspecteurs, comme vous configureriez
les attributs de texte de n’importe quelle diapositive. Quand vous changez des réglages de texte, vous pouvez les prévisualiser en créant une diapositive dans le classeur
de diapositives, en les appliquant à cette dernière et en les testant avec du texte.
Pour insérer des zones de titre et de corps de texte dans un modèle de diapositive
sélectionné :
1 Ouvrez l’Inspecteur des modèles de diapositive et cliquez sur Apparence
(si cette option n’est pas déjà sélectionnée).
2 Pour ajouter une zone de titre, sélectionnez la case Titre.
3 Pour ajouter une zone de corps de texte, sélectionnez la case Corps.
Selon le thème et le modèle, le style de texte par défaut peut contenir des puces.
Pour configurer un style sans puces par défaut, consultez la section “Mise en forme
des textes à puces et des listes numérotées” à la page 50.
4 Pour inclure un texte de sous-titre, redimensionnez la zone de corps de texte
et insérez-la sous la zone de titre.
5 Redimensionnez et réorganisez vos zones de texte.
6 Sélectionnez le texte de l’espace réservé et mettez-le en forme en appliquant
les styles que vous préférez.
Dans la zone de texte, vous pouvez définir des attributs pour 5 niveaux de texte
maximum.
Pour plus d’informations sur la définition de l’espacement entre les lignes, des mises
en retrait du texte et des tabulations, reportez-vous aux sections “Modification de l’alignement et de l’espacement du texte” à la page 51 et “Réglage des tabulations et des
mises en retrait du texte” à la page 54.Chapitre 9 Conception de vos propres thèmes et modèles de diapo 199
Application des modifications au cours du travail
Au cours de votre travail sur un modèle de diapositive, vous pouvez tester vos modifications sur une diapositive normale afin d’avoir une meilleure idée de la nouvelle disposition. En faisant un va-et-vient entre la diapositive “test” et le modèle de diapositive,
il est possible de procéder à des ajustements précis, par exemple rallonger ou raccourcir les traits ou ajouter plusieurs niveaux de retrait. Afficher le texte d’une diapositive
s’avère particulièrement utile pour ajuster les taquets de tabulation et les espaces
entre les lignes.
Pour créer une diapositive de test dans le classeur de diapositives, vous devez créer
une diapositive à partir du modèle ; si vous effectuez des changements à la diapositive remplaçant le modèle, appliquez à nouveau le modèle à la diapositive de test à
chaque nouvelle modification.
Pour appliquer à nouveau le modèle de diapositive à une diapositive dans
le classeur de diapositives :
m Sélectionnez la diapositive dans le classeur et choisissez Format > Revenir au format
du modèle pour la diapositive.
Configuration des transitions par défaut
Il est possible de spécifier un style de transition par défaut pour tous les modèles de
diapositive. Les diapositives créées à partir de ce modèle utilisent le style spécifié pour
passer aux diapositives suivantes.
Pour choisir le style de transition par défaut d’un modèle de diapositive :
1 Sélectionnez le modèle de diapositive dans le classeur de modèles de diapositive.
2 Dans la sous-fenêtre Transition de l’Inspecteur des modèles de diapositive, choisissez
un effet, une durée et un sens de transition.
3 Utilisez le menu local Commencer la transition pour choisir l’endroit où la transition
doit apparaître au clic de souris ou automatiquement.
4 Tapez un nombre pour spécifier le délai de la transition.
Pour plus d’informations sur les transitions de diapositives, voir la section “Ajout de
transitions entre les diapositives” à la page 159.200 Chapitre 9 Conception de vos propres thèmes et modèles de diapo
Modification des styles par défaut du texte et des objets
Il est possible de modifier les attributs par défaut d’objets tels que des figures, des
zones de texte, des tableaux et des graphiques. Vous pouvez par exemple spécifier
que chaque fois que vous cliquez sur Tableau dans la barre d’outils, le tableau par
défaut contient un certain nombre de rangs et de colonnes, avec un en-tête et un
corps de texte présentant une certaine police et des bordures mises en forme dans
une couleur et une épaisseur de ligne spécifiques.
Vous pouvez définir les polices, les couleurs, l’opacité, les ombres, etc. par défaut des
zones de texte et des figures. Vous pouvez spécifier le type de graphique (sectoriel,
linéaire, etc.) par défaut. Les attributs par défaut doivent être configurés individuellement pour chaque type de graphique.
Vous devez tout d’abord créer l’objet afin qu’il présente les attributs par défaut souhaités puis définir les propriétés à utiliser par défaut pour le modèle actuel ou pour
tous les modèles du thème.
Pour configurer les attributs par défaut des zones de texte, des figures
et des graphismes :
1 Dans le classeur de diapositives, créez une diapositive sur le modèle de diapositive
que vous êtes en train de concevoir.
2 Placez une zone de texte, une figure ou un graphisme sur le canevas.
3 Appliquez les propriétés que vous souhaiter utiliser par défaut aux attributs de l’élément.
 Pour une zone de texte, saisissez du texte dans la zone concernée, sélectionnez
le texte puis réglez ses attributs.
 Pour une figure ou un graphisme, sélectionnez l’objet concerné et réglez ses attributs.
4 Une fois l’élément mis en forme comme vous le souhaitez, configurez ses propriétés en
propriétés par défaut en le sélectionnant et en exécutant l’une des actions suivantes :
 Pour attribuer de nouvelles propriétés par défaut uniquement au modèle de diapositive sur lequel vous travaillez, choisissez Format > Avancé > Définir [un objet] pour
le modèle actuel.
 Pour attribuer de nouvelles propriétés par défaut à tous les modèles de diapositive
du thème, choisissez Format > Avancé > Définir [un objet] pour tous les modèles.
5 Supprimez la zone de texte, la figure ou le graphisme de la diapositive.Chapitre 9 Conception de vos propres thèmes et modèles de diapo 201
Pour choisir les attributs de tableau par défaut :
1 Dans le classeur de diapositives, créez une diapositive sur le modèle de diapositive
que vous êtes en train de concevoir.
2 Insérez un tableau dans le canevas.
3 Sélectionnez le tableau et définissez ses attributs. Pour en savoir plus, consultez
le chapitre 5, “Création de tableaux”.
Important : un tableau contient quatre zones différentes de mise en forme : l’en-tête
de rang, l’en-tête de colonne, les bordures intérieures et les bordures extérieures. Pour
effectuer des modifications, vous devez configurer tous les éléments d’une zone de
mise en forme. Par exemple, pour définir une nouvelle configuration par défaut des
en-têtes de rangs, vous devez modifier toutes les cellules de l’en-tête de rang (et pas
seulement une cellule).
4 Une fois le tableau mis en forme comme vous le souhaitez, configurez les nouvelles
propriétés en propriétés par défaut en sélectionnant le tableau et en exécutant l’une
des actions suivantes :
 Pour que les attributs du tableau soient les attributs par défaut du modèle actuel,
choisissez Format > Avancé > Définir un tableau pour le modèle actuel.
 Pour que les attributs du tableau soient les attributs par défaut de tous les modèles du
thème actuel, choisissez Format > Avancé > Définir un tableau pour tous les modèles.
5 Éliminez le tableau de la diapositive.
Pour choisir les attributs de graphique par défaut :
1 Dans le classeur de diapositives, créez une diapositive sur le modèle de diapositive
que vous êtes en train de concevoir.
2 Insérez un graphique dans le canevas.
3 Sélectionnez le graphique et définissez ses attributs. Pour en savoir plus, consultez
le chapitre 6, “Création de graphiques”.
4 Pour définir les attributs par défaut d’un autre type de graphique, copiez le graphique
et collez-le dans une nouvelle diapositive, modifiez son type et configurez ses attributs.
Répétez cette opération pour chaque type de graphique.202 Chapitre 9 Conception de vos propres thèmes et modèles de diapo
5 Une fois tous les graphiques mis en forme comme vous le souhaitez, sélectionnez-les
un par un et configurez les nouvelles propriétés en propriétés par défaut en effectuant
l’une des opérations suivantes :
 Pour que les attributs du graphique soient les attributs par défaut du modèle actuel,
choisissez Format > Avancé > Définir [un graphique ] pour le modèle actuel.
 Pour que les attributs du graphique soient les attributs par défaut de tous les modè-
les du thème actuel, choisissez Format > Avancé > Définir [un graphique ] pour tous
les modèles.
 Pour que le type du graphique soit le type par défaut de tous les modèles du thème
actuel, choisissez Format > Avancé > Faire de [graphique] le type de graphique par
défaut.
6 Dans la zone de dialogue qui s’affiche, spécifiez le nombre total de séries pour
lesquelles vous définissez des attributs.
7 Supprimez les graphiques des diapositives.
Enregistrement des thèmes personnalisés
Si vous modifiez les modèles de diapositive d’un thème et que souhaitez réutiliser ces
modifications dans d’autres présentations, vous pouvez enregistrer le thème modifié
en tant que thème personnalisé. Une fois votre thème personnalisé enregistré, il apparaît
dans le Sélecteur de thèmes. Lorsque vous sélectionnez votre thème personnalisé, il
contient également tous les modèles de diapositive que vous avez définis.
Pour enregistrer le thème actuel en tant que thème personnalisé :
1 Choisissez Fichier > Enregistrer le thème.
2 Attribuez un nom au thème et choisissez-lui un emplacement.
3 Si vous avez ajouté de l’audio ou des séquences et que vous souhaitez les incorporer au
thème, sélectionnez “Copier l’audio et la vidéo dans le document” (vous devrez peut-être
cliquer sur le triangle d’affichage de la zone de dialogue pour afficher la case).
Remarque : le document devient beaucoup plus volumineux lorsque vous y ajoutez
des fichiers média.
4 Cliquez sur Enregistrer.Chapitre 9 Conception de vos propres thèmes et modèles de diapo 203
À moins que vous ne spécifiiez un autre emplacement, les thèmes personnalisés
sont enregistrés dans le dossier Thèmes de votre disque dur ([Départ]/Bibliothèque/
Application Support/iWork/Keynote/Themes). Seuls les thèmes de ce dossier apparaissent dans le sélecteur de thèmes. Si vous conservez votre thème à un autre emplacement, vous pouvez l’ouvrir sous forme de document vide de Keynote et utiliser celui-ci
directement pour créer un diaporama.
Retour au thème original par défaut
Si vous avez modifié des modèles de diapositive dans un document et que vous
souhaitez revenir au thème original par défaut, appliquez à nouveau le thème à
votre document.
Pour revenir au thème par défaut :
1 Choisissez Fichier > Sélectionner un thème, puis sélectionnez le thème et la taille
de présentation d’origine.
2 Assurez-vous que “Appliquer les modif. aux thèmes par défaut” n’est pas sélectionné.
3 Cliquez sur Choisir.
Création d’un thème personnalisé
Si vous désirez créer un thème entièrement nouveau et non pas en créer à partir d’un
des thèmes Keynote, le plus facile est d’ouvrir un nouveau document Keynote contenant un seul modèle vierge de diapositive. Effacez du document tous les autres modè-
les de diapositive. Voici quelques astuces :
 Commencez par créer et insérer des éléments d’arrière-plan partagés ainsi que les
zones de corps de texte et de titre.
 À l’aide d’une diapositive échantillon, testez vos dispositions de texte afin de vous
assurer que les lignes du texte sont toutes visibles. Lorsque vous configurez la taille
et le positionnement d’une zone de corps de texte, réfléchissez au nombre de puces
que vous désirez y insérer.
 Avant de créer des modèles de diapositive, configurez l’ensemble des attributs
de texte et d’arrière-plan.204 Chapitre 9 Conception de vos propres thèmes et modèles de diapo
 En vous basant sur des copies du modèle de diapositive d’origine, créez de nombreuses dispositions différentes de corps de texte et de titre. Les nouveaux modèles de diapositive créés à partir de copies du premier modèle héritent automatiquement de tous
ses attributs de texte et d’arrière-plan. Il vous suffira ensuite d’ajuster les dispositions
des zones de texte (vous pourrez par exemple supprimer la zone de titre et agrandir la
zone de corps de texte afin de créer un modèle de diapositive “pur corps de texte”).
 Créez dans le classeur de diapositives des diapositives échantillon à partir de chaque
modèle que vous créez et insérez des zones de texte libres, des figures ou des images
dans chacune d’entre elles si vous souhaitez que les attributs d’objet par défaut soient
différents dans les divers modèles de diapositive. Si vous voulez configurer les mêmes
attributs d’objet par défaut pour tous les modèles, vous n’aurez besoin de procéder
ainsi que pour un seul modèle de diapositive.
 Créez huit diapositives échantillon dans le classeur de diapositives à partir de chacun
de vos modèles de diapositive. Créez un graphique dans une diapositive, puis copiezle et collez-le dans chaque diapositive. Puis convertissez chaque graphique en un type
de graphique différent et définissez sa taille et sa position. Effectuez cette opération
avant de définir les styles de graphique par défaut à l’aide du menu Format.205
Index
A
adaptation de diapositives à l’écran. Voir découpage
affichage en mode navigateur 24
affichage en mode structure 23, 26
impression 183
affichage en mode structure, impression 28
affichage en mode table lumineuse 23
affichage Web 80
affiche 80
aide 19–20
aide à l’écran 20
ajuster 93
alignement
objets 41–44
puces 57
texte 52
annulation 87
AppleWorks, importation depuis 35, 66
appliquer les modifications aux thèmes par
défaut 203
arrière-plans
cellule d’un tableau 116
diapositive 85
modèle de diapositive 196
assistance technique 20
audio 46, 74, 77, 79
axes (des graphiques) 148–149
B
barre d’outils
à propos de 31
personnaliser 31
bords
cellules d’un tableau 115
bordures 94
graphiques 148
bornes 37, 171
C
cadres 73
cadres photo 73
canevas 22
case Activer comme lien 82
case “Agrandir les diapositives pour qu’elles occupent tout l’écran” 161, 182
case Ajuster automatiquement au contenu 113
case “Autoriser la superposition des objets” 197
case Autre écran 179
case Conserver les proportions 101
case “Inclure l’audio” 187
case “Inclure la transparence” 187
case “Lire automatiquement une fois
ouvert” 173
cellules de tableau
adaptation automatique au contenu 113
alignement du texte 114
division 112
fusion ou division 111
mise en forme des nombres 117
redimensionner 113
remplissage automatique 121
sélection 106
suppression du contenu 108
centrage de texte 114
chiffres
graphiques 148
listes 57
classement des rangs d’un tableau 119
classeur de diapositives 23
Index206 Index
colonnes 57
colonnes de texte 57
commande Aller à 45
commande Avancer d’un plan 68
commande Reculer d’un plan 68
commandes de lecture de séquence 178
commentaires 29, 77
compositions d’objet 161–168
compositions d’objets sur des modèles de
diapositives 169
configuration du double affichage 175
coordonnées X et Y 101
copie d’audio et de vidéo dans un
document 46, 75
copie d’images thématiques dans un
document 46
copie de sauvegarde
version précédente 46
corps de texte 38
corps de texte, ajout à un modèle de
diapositive 198
couleur
arrière-plan de la diapositive 86
dégradés 92
de remplissage 92
du texte 51
enregistrement pour un usage ultérieur 90
graphiques 146
objets 91
création
tableaux 104, 141
D
Dashboard 173
découpage 65, 161, 182
déplacement d’objets 101
Voir également compositions d’objet
dessiner
objets 59
diaporamas, types de 37, 171
diapositives
afficher et masquer 26
ajout 25, 37
arrière-plans 85
déplacement 26
ignorer 26
mise en retrait 25
modèles 38, 84
organisation 23
suppression 26
diapositives à défilement automatique 37, 171
Consultez également présentations à lecture
automatique
dimensions d’origine 93, 101
dispositions 84, 198
documents, impression 183
documents Flash 189
E
écran de l’intervenant 178–181
écrans (moniteurs), configuration 175
éditeur de formules 124
éditeur de graphiques 143–145
effets. Voir transitions, compositions d’objet
encart de marge 55, 56, 115
enregistrement
audio et séquences 46, 75
documents 45
images thématiques 46
en-têtes (pour tableaux) 111
Voir également titres
espace autour du texte (encart de marge) 56
espacement, du texte 52
espace réservé à l’objet 85, 195
étirer 93
Excel 67
Excel, importation depuis 66
exportation
diapositives en tant qu’images 188
documents Keynote 185–190
Flash 189
HTML 190
iDVD 189
iWork ’05 191
PDF 188
PowerPoint 187Index 207
QuickTime 185
Exposé 173
extrémités 95
F
faire pivoter des objets 69, 100, 153
fenêtre Couleurs 33, 89
fermeture du diaporama 83
feuilles de calcul 143
fichiers média 75
fichiers PDF 66, 188
figures 59–65
création de figure personnalisée 60
modification d’une étoile 64
modification d’un polygone 65
modification d’un rectangle aux coins
arrondis 63
modification de flèches simples et
doubles 64
modification du contour des figures 61
utilisation en tant que masques 71
figures personnalisées 60
flèches
en tant qu’extrémités de ligne 95
figures 59
fonctions
logiques 135
numériques 134
statistiques 133
formules
ajout d’une formule rapide 122
calcul d’opérations arithmétiques 128
utilisation d’opérateurs 131
utilisation de fonctions prédéfinies 129
utilisation de références de cellules 126
G
graphiques 137–155
à barres 153–154
ajouter 141
à lignes 154
composition section par section 167
en nuage de points 155
en trois dimensions 157
graphiques 3D 138, 157
mise en forme 145
remplacement d’un graphique par un autre
type 142
sectoriels 151–153
graphismes
ajout à des cellules de tableau 116
ajouter à des objets 92
graphismes de canal alpha 73
guides d’alignement 41–44
guides d’alignement, ajout aux modèles de
diapositive 197
I
ignorer des diapositives 26
images
ajout 41, 66
formats de fichiers 58
masquer 69
réglage 98
utilisation de fichiers PDF 66
importation
documents PowerPoint ou AppleWorks 35
fichiers graphiques 66
séquences 78
impression 183–184
affichage en mode structure 28
diapositives 183–184
notes 183–184
incorporation un à un d’éléments de
composition 165
indicateur de découpage 113
insertion
graphiques 141
graphismes 41, 66
tableaux 103
Inspecteur 104
Inspecteur des compositions 163–168
Inspecteur des diapositives 85, 160
Inspecteur des dimensions 99–101
Inspecteur des documents 78, 172, 173
Inspecteur des graphiques 141, 144–151208 Index
Inspecteur des graphismes 91–97, 116, 154
Inspecteur des liens 80–84
Inspecteur des tableaux 103–105, 107–115
Inspecteur du texte 51–55
Inspecteur QuickTime 79
Inspecteurs
compositions 163–168
diapositives 85, 160
dimensions 99–101
documents 78, 172, 173
général 32
graphique 141, 144–151
graphismes 91–97, 116, 154
liens 80–84
ouverture 32
QuickTime 79
tableaux 103–105, 107–115
texte 51–55
interligne 52
Internet 80
iPhoto 66
iTunes 75, 77
L
lecture d’un diaporama 47, 179
liens 80–84
lignes 94
M
masquage d’images 69, 69–71
masquage des diapositives 26
menu contextuel 109
menu local Apparition 167
menu local Lier vers 82
menu local Remplissage du symbole 155
menu local Trait 94, 115
mettre en pause une présentation 181
mise en forme
bords d’une cellule 115
graphiques 145
tableaux 109
texte des graphiques 146
textes à puces et listes numérotées 50
mise en forme des nombres 117
mise en retrait
diapositives 25
texte 54
modèles de diapositives 38, 193–199
modèles de diapositives, création de compositions d’objets sur des 169
modifier la disposition de l’affichage 179
molette angle 92
moniteurs. Voir écrans
mosaïque 93
musique 74
N
Navigateur multimédia 33, 66, 75
ne plus masquer une image 71
niveau d’agrandissement 23
nombres mis en forme dans les tableaux 117
notes
création et affichage 29
notes, intervenant 29
numéros de diapositive 82, 85, 180, 184
numéros de pages. Voir numéros de diapositives
O
objets
ajout de graphismes 92
couleur 91
déplacement 68, 101
dessiner 59
faire pivoter 69, 100
ombres 96
redimensionnement 68, 101
réglage de l’opacité 97
regroupement 72
superposition 68
verrouillage 42
ombres 96
opacité 97
opérateurs
arithmétiques 131
comparaison 132Index 209
organisation des diapositives 44
P
pages Web 80–84
palette de couleurs 90
panneau des polices 34
par défaut, modification
graphiques 201
nouveaux documents 36
tableaux 201
texte 200
transitions 199
par défaut, restauration 203
personnalisés
enregistrement des thèmes 202
pointeur 84
pointeur, apparence pendant la
présentation 182
polices
modification 50, 146
PowerPoint
exportation dans 187
importation depuis 35
Préférences
sous-fenêtre Diaporama 84, 176
sous-fenêtre Général 27, 36, 46, 83
sous-fenêtre Règles 42–44
Préférences du diaporama 84, 176
Préférences Général 27, 36, 46, 83
Préférences Règles 42–44
Préférences Système 176, 177
présentations
afficher ou masquer le pointeur au cours 84
configuration des écrans 174–179
contrôle à l’aide du clavier 181
lecture automatique 37, 171
liens uniquement 37, 173
présentations à lecture automatique 37, 171
présentations à liens uniquement 37, 173
proportions 101
puces
adapter au texte 57
alignement 57
modification du symbole 56
réorganisation 28
sélection 27
Q
QuickTime 185
R
raccourcis clavier 34, 179, 181
recherche par mot-clés 178
recopie vidéo 177
redimensionnement des objets 101
références de cellules 126
réglages de la lecture de fichiers
multimédias 79
règles 41–44
modification de l’unité de mesure utilisée 42
réglage des tabulations 54
regroupement d’objets 72
remplir 93
remplissage automatique 121
remplissages image 92
reprendre une présentation en pause 181
rogner. Voir masquage d’images
S
sélecteur de diapositives 180
sélecteur de thèmes 36, 202
séquences 75, 79, 178
séries et groupes de données 137–140
Spotlight 178
superposition d’objets 68, 197
suppression de diapositives 26
symbole + (indicateur de découpage) 65, 113
symbole > (dans les commandes de menu) 19
Système
Préférences 176, 177
T
tableau 103–117
ajout de rangs et de colonnes 110
composition section par section 167
formules 122210 Index
nombre de rangs et de colonnes 110
sélection 106
supprimer des rangs et des colonnes 110
tabulations 54
taille de la diapositive 36, 181
taille de la présentation 36, 181
test d’un diaporama 174
texte
ajout à un modèle de diapositive 198
ajout de puces 39
ajouter à des figures 65
ajustement de l’interligne 52
ajustement des mises en retrait 55
alignement 52
animation 166
à puces 39
à puces, ajout 39
composition section par section 166
graphiques 146
modification de la couleur 51
modification de la police 50
tableaux 114
zones de texte libres 49
thèmes
copie des images thématiques dans un
document 46
modification 36, 193–204
réglage du thème par défaut des nouveaux
documents 36
restaurer les styles par défaut 87
sélection 36
utilisation de plusieurs thèmes dans un
document 44
titres
ajout à une diapositive 39, 84
ajout à un modèle de diapositive 198
touches fléchées 106
tracer
lignes 94
transitions
configuration par défaut 199
entre des parties d’une diapositive (compositions d’objet) 161
entre les diapositives 159
transparence 73, 97, 185, 187
types de diaporamas 37, 171
U
unités de mesure
modification 42
URL 80, 82, 83
V
verrouillage d’objets 42, 72
version de copie de sauvegarde 46
visite guidée 19
visite guidée d’iWork 19
visite guidée de Crossbow 19
volume 79
volume de la lecture 79
Z
zoomer 23
Pages ’08
Guide de l’utilisateurK Apple Inc.
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F019-1278 06/2008 3
1 Table des matières
Préface 14 Bienvenue dans le Guide de l’utilisateur de Pages
Chapitre 1 16 Techniques et outils de Pages
16 Modèles Pages
18 Aides pour l’affichage d’un document
19 Niveaux de zoom
19 Présentations des pages d’un document
20 Mode Disposition
21 Caractères de mise en forme (invisibles)
22 La barre d’outils
23 La barre de format
24 La fenêtre Inspecteur
25 Le Navigateur de média
25 Le panneau Police
26 La fenêtre Couleurs
26 Règles et guides d’alignement
27 Le tiroir Styles
28 Barres et flèches de défilement et vignettes
29 La fenêtre Avertissements
30 Outils de recherche et de référence
30 Raccourcis clavier et menus locaux
Chapitre 2 31 Utilisation d’un document Pages
31 Utilisation de traitement de texte et de modèles de disposition de la page
31 Modèles de traitement de texte
32 Modèles de disposition de la page
32 Création, ouverture et importation d’un document Pages
32 Création d’un document
34 Importation d’un document
34 Ouverture d’un document Pages existant
35 Enregistrement d’un document
35 Enregistrement d’un document
36 Annulation de modifications4 Table des matières
37 Enregistrement d’un document en tant que modèle
37 Enregistrement d’une copie d’un document
37 Enregistrement automatique d’une version de sauvegarde d’un document
38 Fermeture d’un document sans quitter Pages
38 Stockage d’informations relatives à un document
39 Conception de documents
39 Disposition et style des documents
39 Apparence du texte
40 Graphismes et autres objets
Chapitre 3 41 Utilisation de parties de document
43 Configuration de l’orientation et de la taille des pages
44 Définition des marges du document
44 Utilisation de sauts de page et de ligne
44 Insertion de sauts de page
45 Début de paragraphes sur une nouvelle page
45 Regroupement de paragraphes sur une page
45 Maintien d’un paragraphe entier sur la même page
46 Insertion manuelle de sauts de ligne
46 Éviter les lignes veuves et orphelines
46 Utilisation de dispositions
47 Définition de colonnes
48 Définition de sauts de colonne
48 Définition de sauts de disposition
49 Définition de marges de disposition
50 Utilisation de pages opposées gauche et droite
50 Définition de marges pour les pages opposées
50 Définition d’en-têtes et de pieds de page pour les pages opposées
51 Visualisation de pages opposées
52 Utilisation d’en-têtes et de pieds de page
52 Utilisation de notes de bas de page et de notes de fin
52 Ajout et modification de notes de bas de page et de notes de fin
52 Ajout d’une note de bas de page
53 Ajout d’une note de fin à un document
54 Ajout d’une note de fin à la fin d’une section
54 Suppression de notes de bas de page et de notes de fin
54 Conversion de notes de bas de page en notes de fin et inversement
55 Mise en forme de notes de bas de page et de notes de fin
55 Basculement entre une marque et la note de bas de page ou la note de fin
correspondante
55 Numérotation des notes de bas de page et des notes de finTable des matières 5
55 Définition de marques pour la numérotation des notes de bas de page
et des notes de fin
56 Modification de marques pour la numérotation des notes de bas de page et des
notes de fin
56 Réinitialisation de la numérotation des notes de bas de page et des notes
de fin de section
57 Utilisation de sections
57 Création de sections
58 Gestion de sections à l’aide de la présentation en vignettes
58 Visualisation de vignettes
59 Ajout et suppression de sections
59 Réorganisation des sections
59 Définition d’attributs de section
60 Modification des en-têtes et des pieds de page dans une section
60 Réinitialisation des numéros de page dans une section
60 Configuration d’une mise en forme particulière pour la première page
d’une section
61 Mise en forme de pages opposées dans une section
61 Définition de marges de section
61 Réutilisation de sections
62 Utilisation d’objets modèles (images d’arrière-plan répétées)
63 Utilisation d’une table des matières
63 Création et mise à jour d’une table des matières
65 Définition du style d’une table des matières
Chapitre 4 66 Révision et correction de documents
67 Utilisation du suivi des modifications
68 Visite guidée du suivi des modifications
70 Démarrage, pause et arrêt du suivi des modifications
71 Contrôle des informations du suivi des modifications
72 Acceptation et rejet des modifications
73 Enregistrement avec le suivi des modifications désactivé
73 Utilisation de commentaires
Chapitre 5 75 Utilisation de texte
75 Ajout de texte
76 Utilisation du texte de paramètre fictif
76 Paramètres fictifs dans les zones de texte principales
76 Paramètres fictifs dans les zones de texte
77 Paramètres fictifs dans les tableaux
77 Paramètres fictifs dans les colonnes
78 Ajout de nouvelles pages modèle6 Table des matières
79 Suppression de pages
79 Supprimer, copier et coller du texte
80 Sélection de texte
80 Mise en forme de la taille et de l’apparence du texte
81 Utilisation de la barre de format pour mettre en forme le texte
81 Utilisation du menu Format pour mettre en forme le texte
81 Application de l’attribut Gras ou Italique au texte à l’aide des menus
81 Encadrement de texte à l’aide des menus
82 Soulignement du texte à l’aide des menus
82 Modification de la taille du texte à l’aide des menus
82 Mise en indice ou en exposant du texte à l’aide des menus
83 Modification de la casse d’un texte à l’aide des menus
83 Utilisation du panneau Police pour mettre en forme le texte
85 Simplification de l’utilisation du panneau Police
85 Changement de polices à l’aide du panneau Police
86 Modification du soulignement à l’aide du panneau Police
86 Ajout d’un attribut barré au texte à l’aide du panneau Police
86 Modification de la couleur du texte à l’aide du panneau Police
87 Modification de la couleur d’arrière-plan d’un paragraphe à l’aide
du panneau Police
87 Création d’ombres sur le texte à l’aide du panneau Police
87 Ajout d’accents et de caractères spéciaux
88 Ajout d’accents
88 Affichage des dispositions de clavier dans d’autres langues
89 Saisie des caractères spéciaux et des symboles
89 Utilisation de guillemets courbes
90 Utilisation des fonctionnalités typographiques avancées
91 Réglage du lissage des polices
91 Définition de l’alignement, de l’interligne et de la couleur du texte
92 Alignement horizontal du texte
93 Alignement vertical du texte
94 Réglage de l’espace entre les lignes du texte
95 Réglage de l’espacement avant et après un paragraphe
96 Réglage de l’espace entre les caractères
96 Modification de la couleur du texte
97 Définition de taquets de tabulation afin d’aligner le texte
97 Réglage des taquets de tabulation à l’aide de la règle horizontale
98 Définition d’un nouveau taquet de tabulation à l’aide de la règle horizontale
98 Modification d’un taquet de tabulation à l’aide de la règle horizontale
99 Suppression d’un taquet de tabulation à l’aide de la règle horizontale
99 Définition de taquets de tabulation à l’aide de l’Inspecteur du texte
100 Définition de la distance par défaut entre les tabulationsTable des matières 7
100 Définition d’un nouveau taquet de tabulation à l’aide de l’Inspecteur du texte
101 Modification d’un taquet de tabulation à l’aide de l’Inspecteur du texte
101 Suppression d’un taquet de tabulation à l’aide de l’Inspecteur du texte
101 Création de retraits
101 Création de retraits de paragraphes à l’aide de l’Inspecteur du texte
102 Définition de retraits pour les paragraphes à l’aide de la règle horizontale
103 Modification de la marge intérieure du texte dans des objets
103 Définition de retraits pour les listes
103 Utilisation des listes à puces, numérotées et ordonnées (Structures)
103 Génération automatique de listes
104 Utilisation des listes à puces
105 Utilisation des listes numérotées
107 Utilisation de listes ordonnées (Structures)
108 Utilisation de zones de texte, de figures et d’autres effets pour faire ressortir le texte
108 Ajout de zones de texte
108 Ajout d’une zone de texte flottante
109 Ajout d’une zone de texte incorporée
110 Liaison de zones de texte flottantes
112 Définition des couleurs de remplissage des caractères et des paragraphes
113 Ajout de bordures et de filets
113 Présentation du texte en colonnes
114 Ajout de texte dans une forme
115 Mise en forme d’une zone de texte ou d’une figure
115 Utilisation de liens et de signets
116 Lien vers une page Web
116 Lien vers un message électronique préadressé
117 Lien vers des pages d’un document
118 Modification du texte d’un lien hypertexte
118 Ajustement de texte autour d’un objet
119 Ajustement du texte autour d’un objet flottant
120 Ajustement de texte autour d’un objet incorporé
120 Ajustement du texte autour d’un objet incorporé ou flottant
121 Insertion de numéros de page et d’autres valeurs variables
122 Utilisation de l’insertion automatique de tirets
122 Remplacement automatique de texte
123 Insertion d’un espace insécable
123 Vérification de l’orthographe et de documents
123 Recherche des mots mal orthographiés
124 Utilisation des suggestions de correction orthographique
125 Vérification de documents
126 Recherche et remplacement de texte
126 Recherche de toutes les occurrences de mots ou d’expressions8 Table des matières
Chapitre 6 129 Utilisation de styles
129 À propos des styles
131 Application de styles
132 Importation de styles à partir d’un autre document
133 Modification du style d’un texte
134 Recherche et remplacement d’un style
134 Copie et collage des styles de paragraphe et de caractère
135 Modification et création de styles de paragraphe
135 Modification des styles de paragraphe
138 Création de nouveaux styles de paragraphe
139 Modification et création de styles de caractère
139 Modification des styles de caractère
141 Création de nouveaux styles de caractère
141 Modification et création de styles de liste
141 Modification de styles de liste à puces ou numérotée
144 Modification d’un style de liste à numérotation progressive pour les listes
hiérarchisées
145 Création de nouveaux styles de liste
146 Attribution d’un nouveau nom à un style
146 Suppression d’un Style
Chapitre 7 147 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets
147 Utilisation des objets flottants et des objets incorporés
148 Sélection d’objets
149 Copie et duplication d’objets
150 Suppression d’objets
150 Déplacement d’objets
151 Déplacement d’un objet vers le premier plan ou vers l’arrière-plan
151 Déplacement d’un objet vers l’arrière-plan
151 Alignement d’objets
152 Espacement uniforme des objets sur la page
152 Utilisation des guides d’alignement
153 Modification de l’affichage des guides d’alignement
153 Création de nouveaux guides d’alignement
153 Définition de la position précise des objets flottants
154 Modification des objets
154 Redimensionnement des objets
155 Retournement et rotation d’objets
156 Modification du style des bordures
157 Objets d’encadrement
158 Ajout d’ombres
159 Ajout d’un refletTable des matières 9
160 Ajustement de l’opacité
161 Regroupement et verrouillage d’objets
161 Regroupement et dissociation d’objets
161 Verrouillage et déverrouillage des objets
162 Remplissage d’objets
162 Remplissage d’un objet avec de la couleur
163 Utilisation de la fenêtre Couleurs
164 Image de remplissage d’un objet
165 Utilisation des figures
165 Ajout d’une figure prédessinée
166 Ajout d’une figure personnalisée
168 Figures modifiables
168 Manipulation des points d’une figure
169 Modification du tracé d’une courbe
169 Modification du tracé d’un segment droit
170 Conversion de points d’angle en points de courbe et vice-versa
170 Modification de figures prédessinées spécifiques
170 Modification d’un rectangle aux coins arrondis
171 Modification de flèches simples et doubles
171 Modification d’une étoile
172 Modification d’un polygone
172 Utilisation des paramètres fictifs multimédias
174 Utilisation des images
174 Ajout d’images
174 Importation d’une image en tant qu’objet flottant
174 Importation d’une image en tant qu’objet incorporé
175 Masquage (rognage) d’images
175 Rognage d’une image à l’aide du masque par défaut (de forme rectangulaire)
176 Masquage d’une image avec une figure
177 Suppression du masque d’une image
177 Suppression de l’arrière-plan ou des éléments superflus d’une image
178 Modification de la luminosité, du contraste et des autres réglages d’une image
180 Utilisation de fichiers PDF en tant que graphismes
181 Utilisation du son et de séquences
181 Ajout d’un fichier son
182 Ajout d’un fichier de séquence
182 Réglage des options de lecture des fichiers multimédias
Chapitre 8 184 Utilisation de tableaux
184 À propos des tableaux
185 Utilisation de tableaux
185 Ajout d’un tableau10 Table des matières
185 Utilisation des outils de tableau
188 Redimensionnement d’un tableau
188 Déplacement de tableaux
189 Copie de tableaux entre des applications iWork
189 Conversion de texte en tableau
190 Sélection de tableaux et de leurs composants
190 Sélection d’un tableau
190 Sélection d’une cellule unique d’un tableau
191 Sélection d’un groupe de cellules de tableau
191 Sélection d’un rang ou d’une colonne
192 Sélection des bordures des cellules d’un tableau
193 Utilisation du contenu des cellules d’un tableau
193 Ajout et modification de valeurs de cellule
194 Utilisation de texte dans les cellules
194 Utilisation de nombres dans les cellules
195 Utilisation de dates dans les cellules
195 Affichage d’un contenu trop long pour la cellule
196 Mise en forme des valeurs de cellule
197 Utilisation du format numérique
198 Utilisation du format monétaire
198 Utilisation du format Pourcentage
199 Utilisation du format Date et heure
199 Utilisation du format Fraction
199 Utilisation du format Scientifique
200 Utilisation du format Texte
200 Contrôle des valeurs de cellule
201 Ajout d’images et de couleurs aux cellules
201 Remplissage automatique des cellules d’un tableau
202 Utilisation des rangs et des colonnes
202 Ajout de rangs
203 Ajout de colonnes
203 Suppression de rangs et de colonnes d’un tableau
204 Utilisation d’un rang ou d’une colonne d’en-tête de tableau
205 Utilisation d’un rang de bas de page
205 Redimensionnement des rangs et des colonnes d’un tableau
206 Alternance de couleurs des rangs
206 Utilisation des cellules d’un tableau
206 Fusion des cellules d’un tableau
207 Division des cellules d’un tableau
207 Mise en forme bords d’une cellule
208 Copie et déplacement de cellules
209 Tri des cellules d’un tableauTable des matières 11
Chapitre 9 210 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux
210 Utilisation des formules
211 Visite guidée de l’utilisation des formules
214 Ajout d’une formule rapide
214 Calcul élémentaire avec des valeurs d’une même colonne
215 Calcul élémentaire avec des valeurs d’un même rang
215 Suppression d’une formule
216 Utilisation de l’Éditeur de formules
216 Ajout d’une nouvelle formule à l’aide de l’Éditeur de formules
217 Modification d’une formule à l’aide de l’Éditeur de formules
217 Utilisation des références de cellules
218 Ajout de références de cellules à une formule
219 Copie ou déplacement des formules contenant des références de cellules
219 Application d’une formule aux cellules d’une colonne ou d’un rang en une seule fois
220 Gestion des erreurs et des avertissements
220 Utilisation des opérateurs
220 Calcul d’opérations arithmétiques
221 Explication des opérateurs arithmétiques
222 Explication des opérateurs de comparaison
222 Utilisation des fonctions
Chapitre 10 224 Utilisation des graphiques
224 À propos des graphiques
227 Ajout d’un graphique
227 Sélection d’un type de graphique
227 Choix d’un type de graphique initial
228 Changement du type de graphique
229 Modification de données dans un graphique
230 Copie de données dans l’Éditeur de graphiques
230 Utilisation de rangs et de colonnes dans l’Éditeur de graphiques
231 Mise en forme des attributs généraux d’un graphique
231 Utilisation d’une légende
232 Utilisation d’un titre de graphique
232 Redimensionnement d’un graphique
232 Rotation de graphiques
233 Ajout d’étiquettes et de marques d’axe
233 Affichage des axes et des bordures
234 Utilisation de titres d’axes
234 Affichage des étiquettes de point de données
235 Mise en forme de l’axe des valeurs
236 Mise en place d’étiquettes, de quadrillage et de marques de graduation
237 Mise en forme des éléments d’une série de données12 Table des matières
238 Mise en forme des titres, des étiquettes et des légendes
238 Ajout de texte descriptif à un graphique
239 Mise en forme de types de graphiques spécifiques
239 Graphiques sectoriels
239 Sélection de portions individuelles dans un graphique sectoriel
239 Affichage du nom des séries dans un graphique sectoriel
240 Éloignement de portions individuelles du graphique
240 Ajout d’ombres aux graphiques sectoriels et aux portions
241 Réglage de l’opacité des graphiques sectoriels
241 Rotation de graphiques sectoriels 2D
241 Graphiques à barres et à colonnes
241 Réglage de l’espacement des graphiques à barres et à colonnes
242 Ajout d’ombres aux graphiques à barres et à colonnes
242 Réglage de l’opacité des graphiques à barres et à colonnes
243 Graphiques à couches et linéaires
244 Graphiques en nuage de points
244 Graphiques 3D
Chapitre 11 246 Personnalisation de documents à l’aide de données tirées du Carnet d’adresses
246 Utilisation des champs de Carnet d’adresses
247 Utilisation des champs de Carnet d’adresses
247 Insertion des coordonnées de l’expéditeur
247 Insertion des coordonnées du destinataire pour un contact
248 Insertion des coordonnées du destinataire pour des groupes du Carnet d’adresses
248 Insertion des données de destinataire des contacts de plusieurs fiches
249 Utilisation de coordonnées ne figurant ni dans Carnet d’adresses ni sur une vCard
249 Définition de vos propres champs de Carnet d’adresses
249 Création d’un champ de Carnet d’adresses
250 Modification d’un champ de Carnet d’adresses
251 Modification de l’étiquette d’un champ de Carnet d’adresses
Chapitre 12 252 Impression et exportation d’un document vers d’autres formats
252 Impression de documents
252 Définition de la taille et de l’orientation du papier
253 Aperçu du document avant son impression
254 Impression de commentaires
254 Impression de tout ou partie d’un document
255 Configuration de la disposition d’impression et autres options
256 Ajustement de la couleur du document avec ColorSync
257 Exportation vers d’autres formats de document
257 Exportation d’un document en vue de son utilisation dans une autre application
258 Enregistrement d’un document sous une version iWork plus ancienneTable des matières 13
259 Envoi d’un document Pages à iWeb
Chapitre 13 260 Conception de modèles de document
260 Conception d’un modèle
261 Étape 1 : Configuration du document
261 Étape 2 : Définition des attributs par défaut
262 Définition des styles par défaut
262 Définition d’attributs par défaut pour la table des matières
262 Définition d’attributs par défaut pour les zones de texte et les formes
263 Définition d’attributs par défaut pour les tableaux
264 Définition d’attributs par défaut pour les graphiques
264 Définition d’attributs par défaut pour les images importées
265 Étape 3 : Création d’un texte de paramètre fictif et de paramètres fictifs multimédia
265 Création de texte de paramètre fictif
266 Création de paramètres fictifs multimédia
267 Étape 4 : Ajout de sections à un modèle
268 Étape 5 : Enregistrement d’un modèle personnalisé
Index 269Préface
14
Bienvenue dans le Guide
de l’utilisateur de Pages
Ce document PDF en couleur fournit des instructions
complètes relatives à l’utilisation de Pages.
Avant de l’utiliser, il peut s’avérer utile de consulter le guide d’initiation de Pages
Premiers contacts avec iWork ’08. Il vous permet de vous préparer rapidement à l’utilisation de Pages. Le guide Premiers contacts avec iWork comprend également des ressources supplémentaires pour se familiariser avec Pages, telles qu’une visite guidée de ses
fonctionnalités et des vidéos pratiques.
Si vous avez besoin d’instructions détaillées pour vous aider à effectuer certaines
tâches particulières, vous les trouverez dans ce guide de l’utilisateur. La plupart des
tâches décrites dans ce guide figurent également dans l’aide en ligne.
Le tableau ci-dessous vous indique où trouver les informations à l’intérieur de ce guide.
L’Aide permet de trouver les informations requises en naviguant ou en effectuant une
recherche.
Pour obtenir des
informations sur Reportez-vous au
L’utilisation des outils et des
fenêtres de Pages pour créer et
mettre en forme des documents
chapitre 1, « Techniques et outils de Pages » à la page 16
La création, l’enregistrement et
la gestion d’un document Pages
chapitre 2, « Utilisation d’un document Pages » à la page 31
La création, l’organisation et la
mise en forme des parties d’un
document
chapitre 3, « Utilisation de parties de document » à la page 41
Le suivi des modifications effectuées dans un document Pages
chapitre 4, « Révision et correction de documents » à la page 66
La mise en forme du texte dans
un document Pages
chapitre 5, « Utilisation de texte » à la page 75
La modification de l’apparence
d’un texte à l’aide des styles de
paragraphe, de caractère et de
liste
chapitre 6, « Utilisation de styles » à la page 129Préface Bienvenue dans le Guide de l’utilisateur de Pages 15
L’utilisation des graphiques,
des figures, du son et autres
pour améliorer un document
chapitre 7, « Utilisation des figures, des graphismes et d’autres
objets » à la page 147
La création, l’organisation et la
mise en forme des tableaux et
des valeurs qu’ils contiennent
chapitre 8, « Utilisation de tableaux » à la page 184
L’automatisation des calculs
à l’aide des formules et des
fonctions
chapitre 9, « Utilisation de formules et de fonctions dans des
tableaux » à la page 210
La création de graphiques pour
afficher des données de manière
graphique
chapitre 10, « Utilisation des graphiques » à la page 224
L’affichage des données du
Carnet d’adresses dans un
document Pages
chapitre 11, « Personnalisation de documents à l’aide de données
tirées du Carnet d’adresses » à la page 246
Le partage d’un document
Pages
chapitre 12, « Impression et exportation d’un document vers
d’autres formats » à la page 252
La modification d’un modèle
Pages existant
chapitre 13, « Conception de modèles de document » à la page 260
Pour obtenir des
informations sur Reportez-vous au1
16
1 Techniques et outils de Pages
Ce chapitre présente les fenêtres et outils que vous
utiliserez dans Pages.
Pour créer un document Pages, vous devez tout d’abord sélectionner un modèle
qui vous servira de point de départ.
Modèles Pages
Lorsque vous ouvrez l’application Pages pour la première fois (en cliquant sur son icône
dans le Dock ou en double-cliquant sur son icône dans le Finder), la fenêtre du sélecteur
de modèles vous propose divers types de document.Chapitre 1 Techniques et outils de Pages 17
Choisissez celui qui correspond le mieux à vos besoins et objectifs. Utilisez les modèles
de traitement de texte pour écrire des documents, tels que des lettres, des rapports ou
des résumés. Utilisez les modèles de disposition de page pour présenter les éléments
dans des documents tels que des invitations, des posters et des prospectus. Après avoir
sélectionné un modèle sélectionné, cliquez sur Choisir pour travailler avec un nouveau
document basé sur ce modèle.
Le nouveau document contient du texte et des images de paramètres fictifs, ainsi que
d’autres éléments qui représentent les composantes du document terminé :
Le texte du paramètre fictif
indique à quel endroit vous
pouvez saisir un nouveau
texte et la façon dont celuici apparaîtra sur la page.
Les paramètres fictifs
multimédias indiquent la
taille et la position des
graphismes dans un
modèle de document.
La commande Prévisualiser permet de faire un zoom avant ou
arrière afin d’agrandir ou de
réduire le document à l’écran.
Les champs du Carnet d’adresses, quant à
eux, vous permettent de personnaliser des
documents en y incluant des données tirées
du Carnet d’adresses.18 Chapitre 1 Techniques et outils de Pages
 Le texte de paramètre fictif vous montre comment votre texte apparaîtra sur la page.
Si vous cliquez sur le texte de paramètre fictif, la totalité de la zone de texte est sélectionnée. Lorsque vous commencez la saisie, le texte de paramètre fictif disparaît et il
est remplacé par ce que vous tapez. Pour en savoir plus, reportez-vous à la rubrique
« Utilisation du texte de paramètre fictif » à la page 76.
 Les paramètres fictifs multimédias peuvent contenir des images, des fichier audio et des
séquences. Faites glisser vos propres images, fichiers audio ou séquences jusque sur
le paramètre fictif. Les paramètres fictifs multlimédias adaptent automatiquement la
taille et la position de l’image ou de la séquence. Vous pouvez faire glisser les fichiers
multimédias n’importe où dans le document (et pas seulement dans un paramètre fictif multimédia). Pour en savoir plus, reportez-vous à la rubrique « Utilisation des paramètres fictifs multimédias » à la page 172.
 De nombreux modèles contiennent également des champs de Carnet d’adresses.
Les champs de Carnet d’adresses vous permettent d’insérer aisément des noms, des
numéros de téléphone, des adresses (ou toutes données définies dans les fiches des
contacts du Carnet d’adresses) dans des documents Pages. Cette fonction vous permet ainsi de réutiliser un même document (une lettre ou un contrat-type, par exemple) s’appliquant à plusieurs personnes en insérant les données propres à chaque
personne issues des champs de Carnet d’adresses. Pour en savoir plus, reportez-vous
à la rubrique « Utilisation des champs de Carnet d’adresses » à la page 247.
 Des graphismes, tels que des filigranes ou des logos, apparaissent parfois sur les pages.
Ces objets sont appelés objets modèles. Si vous ne pouvez pas sélectionner un objet
dans un modèle, il s’agit probablement d’un objet modèle. Pour en savoir plus, reportez-vous à la rubrique « Utilisation d’objets modèles (images d’arrière-plan répétées) » à
la page 62.
Vous pouvez faire glisser ou positionner des objets sur une page, notamment des graphismes importés, des séquences, du son, des objets, des zones de texte, des graphiques, des tables et des figures créés dans Pages.
Vous pouvez aussi insérer des pages dont le format a été prédéfini pour le modèle que
vous utilisez. Dans la barre d’outils, cliquez sur Pages ou Sections, puis choisissez une
page de modèle. La nouvelle page est ajoutée immédiatement à la suite de la page où
vous avez placé le point d’insertion.
Aides pour l’affichage d’un document
Lorsque vous travaillez sur un document, il peut être utile d’effectuer un zoom avant
ou arrière ou d’utiliser d’autres techniques de visualisation afin de mieux voir ce que
vous faites.Chapitre 1 Techniques et outils de Pages 19
Niveaux de zoom
Vous pouvez agrandir (zoom avant) ou réduire (zoom arrière) l’affichage d’un document.
Il est souvent utile de réduire l’affichage d’un document afin de pouvoir visualiser plusieurs pages en même temps.
Voici plusieurs façons d’effectuer un zoom avant ou un zoom arrière sur le document :
m Choisissez Présentation > Zoom > niveau de zoom.
m Choisissez un niveau d’agrandissement dans le menu local Afficher situé dans le coin
inférieur gauche de la fenêtre.
Pour utiliser un certain niveau de zoom chaque fois que vous ouvrez un document,
choisissez Pages > Préférences, cliquez sur Général, puis choisissez un niveau de zoom
dans le menu local Zoom par défaut.
Présentations des pages d’un document
Vous avez la possibilité de définir la façon dont les pages s’afficheront dans la fenêtre Pages.
Pour choisir un moyen d’afficher les pages d’un document dans la fenêtre Pages :
1 Cliquez sur le menu local Afficher dans l’angle inférieur gauche de la fenêtre.
2 Choisissez l’une des options d’affichage de page.
L’option « Un vers le haut » présente les pages les unes en dessous des autres.
L’option « Deux vers le haut » présente deux pages côte à côte à l’écran.
L’option « Ajuster la largeur » adapte la largeur du document à celle de la fenêtre. Vous
pouvez agrandir la fenêtre Pages afin qu’elle occupe tout l’écran, ou bien la rétrécir.
Choisissez Ajuster la largeur afin d’afficher tout le contenu sur des pages côte à côte
(Deux vers le haut).
L’option Ajuster la page remplit la fenêtre avec toute la page.20 Chapitre 1 Techniques et outils de Pages
Mode Disposition
Le mode d’affichage Disposition vous permet de voir le contour des différentes zones de
texte du document, notamment les en-têtes, les pieds de page, les colonnes, les zones de
texte et le corps du document (c’est-à-dire la zone de texte principale du document).
En mode d’affichage Disposition, les règles et les guides d’alignement du document
deviennent visibles. Lorsque vous affichez la disposition du document, la règle du
document, qui comprend des contrôles servant à mettre celui-ci en forme, apparaît
elle aussi dans Pages.
Pour afficher ou masquer la disposition d’un document :
m Dans la barre d’outils, cliquez sur Afficher, puis choisissez Afficher la disposition ou
Masquer la disposition.
Dans l’exemple suivant, vous constatez que la disposition de la page comporte deux
colonnes en haut, deux sauts de disposition, puis trois colonnes, une image flottante
et la zone de bas de page.
Une disposition est une partie d’un document dans laquelle vous avez défini des marges et des colonnes pour établir la mise en page. Comme le montre l’exemple ci-avant,
vous pouvez utiliser plusieurs dispositions sur une même page. Un saut de disposition
conclut une disposition pour en commencer une autre avec un nombre différent de
colonnes. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation de dispositions » à la page 46 pour
en savoir plus.
Deux colonnes
Une image flottante
Trois colonnes
Saut de disposition
Pied de page
Saut de dispositionChapitre 1 Techniques et outils de Pages 21
L’exemple précédent illustre une image flottante. L’image flottante reste à l’endroit de
la page où vous la placez, excepté si vous la faites glisser pour la déplacer. Lorsque vous
tapez au clavier, le nouveau texte contourne l’image flottante sans modifier sa position.
Il existe un autre type d’image : l’image incorporée. Une image incorporée est une image
positionnée de façon ancrée par rapport au texte. Elle se déplace donc avec son texte
avoisinant. Pour savoir comment insérer des images incorporées ou flottantes, reportezvous à la rubrique « Ajout d’images » à la page 174.
Caractères de mise en forme (invisibles)
Chaque fois que vous appuyez sur la barre d’espace, sur la touche de tabulation ou sur
la touche Retour ou que vous ajoutez une colonne, une disposition, au saut de page ou
de section, Pages insère un caractère de mise en forme dans le document. Ces marques
de mise en forme sont appelés caractères invisibles parce que, par défaut, ils ne sont pas
affichés.
Il est souvent utile d’afficher les caractères de mise en forme, notamment si vous mettez en
forme un document plus complexe. Par exemple, vous pouvez modifier le format de votre
document en sélectionnant un caractère invisible et en appuyant sur la touche Suppr pour
supprimer la mise en forme.
Pour afficher les caractères invisibles :
1 Dans la barre d’outils, cliquez sur Afficher, puis choisissez Afficher les caractères invisibles.
2 Vous pouvez changer la couleur des caractères invisibles pour qu’ils se voient mieux.
Choisissez Pages > Préférences, cliquez sur Général, cliquez sur le cadre de couleur
Caractères invisibles, puis sélectionnez une couleur.
Le tableau ci-dessous illustre ce que représente chaque caractère de mise en forme.
Caractère invisible Représentation
Espace
Espace insécable (Option + Barre d’espace)
Tab
Saut de ligne (Maj + Retour)
Saut de paragraphe (Retour)
Saut de page
Saut de colonne (page 48)
Saut de disposition (page 49)22 Chapitre 1 Techniques et outils de Pages
La barre d’outils
La barre d’outils de Pages permet d’accéder en un seul clic à la plupart des fonctionnalités que vous utiliserez lorsque vous travaillerez sur des documents. À mesure que vous
travaillez avec Pages et que vous vous familiarisez avec les fonctionnalités, vous pouvez
ajouter, supprimer et réorganiser les boutons de la barre d’outils afin de les adapter à
votre façon de travailler.
Pour savoir à quoi sert un bouton, placez le pointeur sur celui-ci et une description
de sa fonction apparaîtra.
Le jeu par défaut de boutons de barre d’outils pour un document de traitement
de texte est illustré ci-dessous.
Pour personnaliser la barre d’outils :
1 Pour ce faire, choisissez Présentation > « Personnaliser la barre d’outils » ou cliquez
en maintenant la touche Contrôle enfoncée sur la barre d’outils, puis sélectionnez
« Personnaliser la barre d’outils ». La feuille Personnaliser la barre d’outils apparaît.
2 Apportez les modifications souhaitées à la barre d’outils.
Pour ajouter un élément dans la barre d’outils, faites glisser son icône vers la barre
d’outils en haut.
Pour supprimer un élément de la barre d’outils, faites-le glisser hors de celle-ci.
Pour restaurer le jeu de boutons par défaut de la barre d’outils, faites-le glisser jusque
sur cette dernière.
Saut de section (page 57)
Point d’ancrage (pour les objets incorporés avec l’ajustement
du texte)
Caractère invisible Représentation
Ajoutez un commentaire au texte
ou à l’objet sélectionné.
Ajoutez des zones de texte,
des figures, des tableaux et
des graphiques.
Assurez le suivi des modifications
effectuées dans votre document.
Ajoutez des pages avec une mise en
forme prédéfinie à votre document.
Ouvrez la fenêtre de
l’Inspecteur, le navigateur de média, la fenêtre
Couleurs et le panneau
Police.
Affichez les vignettes, les
commentaires, le tiroir
des styles, les règles, les
caractères invisibles et
plus encore.Chapitre 1 Techniques et outils de Pages 23
Pour réduire la taille des icônes de la barre d’outils, sélectionnez Utiliser petites icônes.
Pour afficher uniquement les icônes ou uniquement le texte, choisissez l’option correspondante dans le menu local Afficher.
Pour réorganiser les éléments à l’intérieur de la barre d’outils, faites-les glisser.
3 Cliquez sur Fin lorsque vous avez terminé.
Il est possible d’effectuer certains types de personnalisation de la barre d’outils sans
utiliser la feuille Personnaliser la barre d’outils :
 Pour supprimer un élément de la barre d’outils, appuyez sur la touche Commande
et maintenez-la enfoncée, puis faites glisser l’élément hors de la barre d’outils.
Vous pouvez aussi cliquer sur l’élément tout en maintenant la touche Contrôle
enfoncée, puis choisir Supprimer l’élément dans le menu local.
 Pour déplacer un élément, appuyez sur la touche Commande et maintenez-la enfoncée, puis faites glisser l’élément à un autre endroit à l’intérieur de la barre d’outils.
Pour afficher ou masquer la barre d’outils, choisissez Présentation > Afficher la barre
d’outils ou Présentation > Masquer la barre d’outils.
La barre de format
Utilisez la barre de format qui est affichée sous la barre d’outils pour changer rapidement
l’apparence du texte, des styles, des polices et d’autres éléments de votre document.
Les contrôles de la barre Format changent en fonction de l’objet sélectionné. Pour
savoir à quoi sert un contrôle de la barre Format, placez le pointeur sur celui-ci et
une description de sa fonction apparaîtra.
Voici à quoi ressemble la barre Format lorsque l’élément sélectionné est du texte.
Pour afficher ou masquer la barre de format :
m Choisissez Présentation > Afficher la barre de format, ou Présentation > Masquer
la barre de format.
Sélectionnez un style de
paragraphe ou de caractère.
Cliquez pour ouvrir
le tiroir des styles.
Modification de la police, du style,
de la taille et de la couleur de police.
Choisissez l’interligne et le nombre
de colonnes.
Alignement du
texte sélectionné.
Choix d’un style de liste.24 Chapitre 1 Techniques et outils de Pages
La fenêtre Inspecteur
Il est possible de mettre en forme la plupart des éléments de votre document au
moyen des panneaux de la fenêtre Inspecteur, y compris l’apparence, la taille, la
disposition des graphismes, et plus encore.
Ouvrez plusieurs fenêtres d’Inspecteur pour faciliter les manipulations dans votre document. Par exemple, le fait de maintenir l’Inspecteur des graphismes et l’Inspecteur du
texte ouverts vous permet de garder toutes les options de mise en forme de texte et
d’image à portée de main lorsque vous travaillez.
Placez le pointeur sur les boutons et sur les autres contrôles des sous-fenêtres d’un
Inspecteur pour faire apparaître une description de leur fonction.
Voici différentes façons d’ouvrir une fenêtre Inspecteur :
m Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format.
m Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre d’outils.
Cliquez sur l’un des boutons en haut de la fenêtre Inspecteur pour afficher un inspecteur particulier. Maintenez le pointeur de la souris sur un bouton pour en afficher le
nom. Par exemple, le fait de cliquer sur le quatrième bouton à partir de la gauche affiche l’Inspecteur de texte.
m Pour ouvrir une autre fenêtre Inspecteur, appuyez sur la touche Option et maintenez-la
enfoncée, puis cliquez sur un bouton de la fenêtre Inspecteur.
Lorsque la fenêtre Inspecteur s’ouvre, cliquez sur l’un des boutons en haut de la fenê-
tre pour afficher un autre inspecteur. Par exemple, si vous cliquez sur le deuxième bouton en partant de la gauche, l’Inspecteur de disposition s’affiche.
Les boutons en haut de la fenêtre Inspecteur ouvrent
chacun des dix Inspecteurs : Document, Disposition,
Ajustement, Texte, Graphismes, Mesures, Tableaux,
Graphiques, Lien et QuickTime.Chapitre 1 Techniques et outils de Pages 25
Le Navigateur de média
Le Navigateur de média permet d’accéder à tous les fichiers multimédias de votre photothèque iPhoto, de votre bibliothèque iTunes et de votre dossier Séquences. Vous pouvez
faire glisser un élément du Navigateur de média sur une page ou dans le cadre d’images
d’un inspecteur.
Vous pouvez ouvrir le navigateur de média de plusieurs façons :
m Cliquez sur Média dans la barre d’outils.
m Choisissez Présentation > Afficher le navigateur de média.
Le panneau Police
Vous pouvez modifier le style, la taille et d’autres options relatives aux polices à l’aide
du panneau Police de Mac OS X, accessible depuis n’importe quelle application.
Pour ouvrir le panneau Police :
m Dans la barre d’outils, cliquez sur Polices.
Utilisez le panneau Police afin de sélectionner les polices, les tailles de police et d’autres
fonctionnalités de mise en forme (ombrage, barré, etc.) Pour obtenir des informations
plus détaillées sur l’utilisation du panneau Police et sur la modification de l’aspect du
texte, reportez-vous à la rubrique « Utilisation du panneau Police pour mettre en forme
le texte » à la page 83.
Cliquez sur un bouton pour afficher
les fichiers dans votre bibliothèque
iTunes, votre photothèque iPhoto, votre
bibliothèque Aperture ou votre dossier
Séquences.
Faites glisser un fichier
sur votre document.
Recherchez un fichier.26 Chapitre 1 Techniques et outils de Pages
La fenêtre Couleurs
La fenêtre Couleurs de Mac OS X permet de choisir la couleur du texte, des objets et
des lignes.
Pour ouvrir la fenêtre Couleurs :
m Cliquez sur le cadre de couleurs dans la barre de format et choisissez Afficher les couleurs.
m Dans la barre d’outils, cliquez sur Couleurs.
Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Utilisation de la fenêtre Couleurs »
à la page 163.
Règles et guides d’alignement
Lorsque vous déplacez des objets à l’intérieur d’un document, des guides d’alignement apparaissent automatiquement pour vous aider à positionner ces objets sur la
page. Pour en savoir plus sur l’utilisation des guides d’alignement, reportez-vous à la
rubrique « Alignement d’objets » à la page 151.
Vous pouvez vous servir de la règle horizontale pour établir des taquets de tabulation et
des marges de page et définir la largeur des colonnes. Pour plus d’informations, reportezvous aux rubriques « Réglage des taquets de tabulation à l’aide de la règle horizontale » à
la page 97, « Définition de retraits pour les paragraphes à l’aide de la règle horizontale » à
la page 102 et « Définition de colonnes » à la page 47.
Il est possible d´afficher la règle verticale dans un modèle de traitement de texte.
Reportez-vous à la rubrique « Réglage des taquets de tabulation à l’aide de la règle
horizontale » à la page 97 pour obtenir plus d’informations.
Les règles vous aident à
définir les marges et les
tabulations à l’endroit où
vous en avez besoin.
Les icônes bleues sur la règle du
haut indiquent les retraits du texte
et les tabulations. Faites-les glisser
afin de modifier la position du texte.
Les rectangles gris dans les
règles indiquent les marges des colonnes. Faites
glisser les rectangles pour
modifier la largeur des
petits fonds des colonnes.Chapitre 1 Techniques et outils de Pages 27
Le tiroir Styles
Lorsque vous créez un document, il peut être opportun d’utiliser un certain style de
texte pour chaque titre de chapitre, en-tête, liste à puces et paragraphe dans le corps
du texte. Chaque modèle est fourni avec un ensemble de styles prédéfinis parmi lesquels vous pouvez choisir. Pour en savoir plus sur les styles, reportez-vous à la rubrique
« À propos des styles » à la page 129.
Vous pouvez aisément créer, modifier et gérer les styles grâce au tiroir Styles qui répertorie et fournit un aperçu de tous les styles de texte disponibles pour le modèle que
vous utilisez.
Vous pouvez ouvrir le tiroir des styles de plusieurs façons :
m Dans la barre d’outils, cliquez sur Afficher, puis choisissez « Afficher le tiroir Styles ».
m Cliquez sur le tiroir des styles dans la barre de format.
Pour savoir comment utiliser le tiroir Styles, reportez-vous à la rubrique « Application de
styles » à la page 131.
Sélectionnez un style de paragraphe à appliquer aux paragraphes sélectionnés ou au
paragraphe dans lequel se
trouve le point d’insertion.
Sélectionnez un style de caractère à appliquer au texte sélectionné ou au mot sur lequel se
trouve le point d’insertion.
Sélectionnez un style de liste à
appliquer au texte du paragraphe sélectionné ou au texte du
paragraphe dans lequel se
trouve le point d’insertion.
Cliquez afin d’afficher et de
masquer les styles de liste et
de caractère dans le tiroir.
Appuyez et maintenez le
bouton appuyez, puis choisissez une option afin de
créer un style.28 Chapitre 1 Techniques et outils de Pages
Barres et flèches de défilement et vignettes
Pour vous déplacer à l’intérieur d’un document, vous pouvez vous servir des barres de
défilement, des flèches Page précédente et Page suivante, des vignettes de page et du
bouton Aller à la page.
Voici différentes façons de naviguer à l’intérieur d’un document :
m Pour vous déplacer en avant ou en arrière par petits incréments, cliquez sur les flèches
de défilement.
m Pour vous déplacer rapidement, faites glisser le curseur de défilement vertical vers
le haut ou vers le bas ou le curseur de défilement horizontal vers la gauche ou vers
la droite.
m Pour passer directement d’une page à l’autre, en avant ou en arrière, cliquez sur les
boutons Page précédente (flèche vers le haut) et Page suivante (flèche vers le bas)
qui se trouvent dans la partie inférieure de la fenêtre du document.
Faites glisser la barre de
défilement verticale pour
vous déplacer rapidement
vers le haut et vers le bas.
Cliquez sur les flèches de
défilement pour avancer
ou revenir en arrière par
petits incréments.
Cliquez sur les flèches Page précédente
et Page suivante afin de vous déplacer
d’une page à l’autre à la fois.
Faites glisser la barre de défilement
horizontale pour vous déplacer vers la
gauche et vers la droite.
Cliquez sur une vignette
pour afficher la page
qu’elle représente.
Cliquez sur le
bouton Page pour
basculer vers le bouton
Aller à la page.Chapitre 1 Techniques et outils de Pages 29
m Pour accéder à une page particulière d’un document, cliquez sur Afficher dans la barre
d’outils, puis choisissez « Afficher les vignettes de page ». Cliquez ensuite dans la pré-
sentation en vignettes pour vous rendre à une page donnée. Vous pouvez aussi naviguer jusqu’à une page d’un document en cliquant sur le bouton Page dans la partie
inférieure gauche de la fenêtre du document, en saisissant le numéro de la page souhaitée dans le champ Aller à la page, puis en appuyant sur la touche Retour.
m Pour afficher les pages opposées dans la présentation en vignettes, sélectionnez Pages
opposées dans la sous-fenêtre Document de l’Inspecteur des documents. Pour ouvrir la
fenêtre Inspecteur, cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format et cliquez sur
le bouton Inspecteur des documents.
Pour en savoir plus sur l’utilisation des vignettes, reportez-vous à la rubrique « Gestion
de sections à l’aide de la présentation en vignettes » à la page 58.
Pour vous déplacer, vous pouvez aussi utiliser les touches Page précédente, Page suivante,
Début et Fin ainsi que des touches fléchées si votre clavier en est doté.
La fenêtre Avertissements
Lorsque vous importez un document dans un document Pages, il est possible que certains
éléments ne soient pas transférés comme vous vous y attendez. La fenêtre Avertissements
répertorie tous les problèmes rencontrés. Il se peut que vous receviez des avertissements
dans d’autres situations, par exemple, lorsque vous enregistrez un document dans une version antérieure de l’application.
Si des problèmes surviennent, un message s’affichera et vous permettra de passer en
revue les avertissements. Si vous choisissez de ne pas examiner ces avertissements, vous
avez la possibilité de consulter la fenêtre Avertissements du document à tout moment
en sélectionnant Afficher > Afficher les avertissements du document.
Si un avertissement apparaît vous indiquant qu’une police est manquante, vous pouvez sélectionner l’avertissement et cliquer sur Remplacer la police pour choisir une
autre police.
Vous pouvez copier plusieurs avertissements en les sélectionnant dans la fenêtre Avertissements du document et en choisissant Édition > Copier. Vous pouvez alors coller le texte
copié dans un message électronique, dans un fichier texte ou dans un autre document.30 Chapitre 1 Techniques et outils de Pages
Outils de recherche et de référence
Utilisez des outils de recherche et de référence pour rechercher des fichiers sur votre
disque dur, pour réviser les informations d’un document et trouver la définition de certains mots ou des faits dans le texte sélectionné.
Voici plusieurs façons d’accéder aux outils de recherche et de référence :
m Pour rechercher des fichiers sur votre disque dur, sélectionnez le texte lié à ceux-ci,
puis choisissez Édition > Outils d’écriture > Rechercher dans Spotlight.
m Pour afficher les informations concernant le document, choisissez Édtion > Outils
d’écriture > Afficher les statistiques.
m Pour trouver rapidement la définition d’un mot, sélectionnez celui-ci, puis choisissez
Édition > Outils d’écriture > Consulter le dictionnaire et le thésaurus.
m Pour rechercher des informations sur Internet, sélectionnez le texte sur lequel portent
vos recherches, puis choisissez Édition > Outils d’écriture > Rechercher dans Google
ou Édition > Outils d’écriture > Rechercher dans Wikipédia.
Vous pouvez aussi cliquer tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée pour accé-
der rapidement aux outils de recherche et de référence.
Raccourcis clavier et menus locaux
Vous pouvez utiliser le clavier pour exécuter la plupart des commandes et tâches des
menus de Pages. Pour afficher la liste complète des raccourcis clavier, ouvrez Pages et
choisissez Aide > Raccourcis clavier.
La plupart des commandes sont disponibles dans les menus locaux que vous pouvez
ouvrir directement à partir de l’objet sur lequel vous travaillez. Les menus locaux sont
particulièrement utiles pour travailler sur les tableaux et les graphiques.
Pour ouvrir un menu local :
m Appuyez sur la touche Contrôle en cliquant sur du texte ou sur un objet.2
31
2 Utilisation d’un document Pages
Ce chapitre décrit le mode de création, d’ouverture,
d’importation et d’enregistrement de documents Pages.
Vous y trouverez également des explications sur la
conception et la mise en page des documents Pages.
Utilisation de traitement de texte et de modèles
de disposition de la page
Le traitement de texte et les modèles de disposition de la page comprennent des
fonctionnalités de mise en page et des styles parfaitement adaptés à vos besoins :
 Les modèles de traitement de texte sont particulièrement adaptés aux documents
contenant essentiellement du texte, comme les lettres et les rapports.
 Les modèles de disposition de la page sont particulièrement utiles pour les documents, tels que des invitations ou des prospectus, qui requièrent une mise en page
particulière.
Modèles de traitement de texte
Les modèles de traitement de texte vous permettront de créer des documents linéaires
contenant essentiellement du texte.
Le modèle de traitement de texte comprend les caractéristiques principales suivantes :
 Vous pouvez ajouter et modifier une table des matières dans votre document. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation d’une table des matières » à la page 63 pour obtenir plus d’informations.
 Le texte s’adapte d’une page à l’autre. Reportez-vous à la rubrique « Ajout de texte »
à la page 75 pour obtenir plus d’informations.
 Les vignettes de page sont masquées par défaut. Reportez-vous à la rubrique
« Utilisation de sections » à la page 57 pour obtenir plus d’informations.
 Seule une règle horizontale est disponible par défaut. Reportez-vous à la rubrique
« Règles et guides d’alignement » à la page 26 pour obtenir plus d’informations.32 Chapitre 2 Utilisation d’un document Pages
Il est possible d’afficher la règle verticale dans un modèle de traitement de texte.
Reportez-vous à la rubrique « Réglage des taquets de tabulation à l’aide de la règle
horizontale » à la page 97 pour obtenir plus d’informations.
 Les modèles de traitement de texte contiennent des objets incorporés et flottants.
Pour en savoir plus sur l’utilisation de ces objets, consultez la rubrique « Utilisation
des objets flottants et des objets incorporés » à la page 147.
Modèles de disposition de la page
Utilisez les modèles de disposition de la page pour disposer les images et les autres
éléments dans votre document.
Les modèles de disposition de la page comprennent les caractéristiques principales
suivantes :
 Les modèles de disposition de la page contiennent des objets flottants tels que des
images et des zones de texte que vous pouvez déplacer facilement n’importe où
dans la page. Pour en savoir plus sur l’utilisation de ces objets, consultez la rubrique
« Utilisation des objets flottants et des objets incorporés » à la page 147.
 Pour ajouter du texte dans un modèle de disposition de la page, remplacez le texte
de paramètre fictif dans une zone de texte du modèle ou bien ajoutez une zone de
texte dans la page. Reportez-vous à la rubrique « Ajout de texte » à la page 75 pour
obtenir plus d’informations.
 Le texte s’ajuste automatiquement entre les zones de dialogue. Reportez-vous à
la rubrique « Liaison de zones de texte flottantes » à la page 110 pour obtenir plus
d’informations.
 Les règles verticales et horizontales apparaissent par défaut. Reportez-vous à la rubrique « Règles et guides d’alignement » à la page 26 pour obtenir plus d’informations.
 Les vignettes de la page apparaissent par défaut. Reportez-vous aux rubriques
« Mode Disposition » à la page 20 et « Gestion de sections à l’aide de la présentation
en vignettes » à la page 58 pour plus d’informations.
Création, ouverture et importation d’un document Pages
Lorsque vous créez un document Pages, choisissez un modèle pour lui donner sa mise
en forme initiale. Enrichissez votre nouveau document en y ajoutant du texte, des images et d’autres objets. Vous pouvez également créer un nouveau document Pages en
important un document créé dans une autre application, telle que Microsoft Word ou
AppleWorks.
Création d’un document
Pour créer un document Pages, choisissez le modèle de traitement de texte ou de disposition de page fournissant les caractéristiques de mise en forme et de disposition de
page les mieux appropriées.Chapitre 2 Utilisation d’un document Pages 33
Pour créer un document Pages :
1 Ouvrez Pages en cliquant sur son icône dans le Dock ou en double-cliquant sur son
icône dans le Finder.
2 Dans la zone de dialogue du sélecteur de modèles, sélectionnez une catégorie de
modèle dans la colonne de gauche pour afficher les modèles de disposition de la
page et de traitement de texte, puis sélectionnez le modèle que vous recherchez.
Si vous souhaitez commencer en utilisant un document sans texte prédéfini ni paramè-
tres fictifs multimédias, sélectionnez Vierge dans la section de traitement de texte ou
de disposition de la page.
Dans le document de mise en page vierge, ajoutez du texte en insérant une zone de
texte. Pour ajouter du texte à un document de traitement de texte, commencez à saisir
du texte.
3 Cliquez sur Choisir. Un nouveau document s’ouvre à l’écran.
Si le sélecteur de modèles n’apparaît pas à l’ouverture de Pages, utilisez la section
de réglage des Préférences de Pages pour l’afficher. Choisissez Pages > Préférences,
cliquez sur Général, puis sélectionnez « Nouveaux documents : Afficher le sélecteur
de modèles».34 Chapitre 2 Utilisation d’un document Pages
Vous pouvez également configurer l’ouverture automatique d’un document vierge ou
d’un modèle de document de votre choix à chaque ouverture de Pages. Sélectionnez
Pages > Préférences, puis dans Général, choisissez « Nouveaux documents : Utiliser le
modèle : nom du modèle » et cliquez sur Choisir. Sélectionnez le nom d’un modèle,
puis cliquez sur Choisir.
Importation d’un document
Vous pouvez créer un nouveau document Pages en important un document créé
dans une autre application, telle que Microsoft Office 2007 ou AppleWorks. Pages
peut importer des fichiers aux formats suivants : texte (.txt), Rich Text Format (.rtf et
.rtfd), traitement de texte AppleWorks 6 (.cwk) et Microsoft Word (.doc).
Dans la mesure du possible, Pages préserve le texte, les couleurs, la disposition et
autres options de mise en forme du document original.
De Microsoft Word, vous pouvez importer les styles, les tableaux, les objets incorporés
et flottants, les graphiques, les notes de bas de page et de fin de section, les signets,
les liens hypertextes, les listes, les sections, le suivi des modifications, et plus encore.
À partir d’AppleWorks, vous pouvez importer uniquement des documents de traitement de texte.
Voici différentes manières d’importer un document :
m Faites glisser le document vers l’icône de l’application Pages. Un nouveau document
Pages s’ouvre alors affichant le contenu du document importé.
m Choisissez Fichier > Ouvrir, sélectionnez le document, puis cliquez sur Ouvrir.
Si vous ne parvenez pas à importer un document, essayez de l’ouvrir dans une autre
application et de l’enregistrer dans un format susceptible d’être lu par Pages, ou copiez
et collez son contenu dans un document Pages existant.
Il est également possible d’exporter des documents Pages aux formats Microsoft Word, PDF,
RTF (Rich Text Format) et texte. Reportez-vous à la rubrique « Exportation d’un document
en vue de son utilisation dans une autre application » à la page 257 pour en savoir plus.
Ouverture d’un document Pages existant
Il existe plusieurs manières d’ouvrir un document créé à l’aide de Pages.
Voici différentes manières d’ouvrir un document Pages :
m Pour ouvrir un document lorsque vous travaillez dans Pages, choisissez Fichier > Ouvrir,
sélectionnez le document, puis cliquez sur Ouvrir.
m Pour ouvrir un document sur lequel vous avez travaillé récemment, choisissez Fichier >
« Ouvrir document récent » et sélectionnez le document dans le sous-menu.
m Pour ouvrir un document Pages à partir du Finder, double-cliquez sur l’icône du document ou faites-la glisser vers l’icône de l’application Pages.Chapitre 2 Utilisation d’un document Pages 35
Vous pouvez ouvrir un document Pages créé à l’aide d’une version plus ancienne de Pages
(à partir d’iWork ’05 ou d’iWork ’06). Pour utiliser les nouvelles fonctionnalités, enregistrez
le document au format iWork ’08. Pour continuer à utiliser le document avec iWork ’05 ou
iWork ’06, enregistrez-le au même format. Reportez-vous à la rubrique « Enregistrement
d’un document sous une version iWork plus ancienne » à la page 258.
Si un message vous indique qu’il manque une police ou un fichier, vous pouvez néanmoins
utiliser le document. Pages remplace les polices manquantes par d’autres. Pour utiliser les
polices manquantes, quittez Pages et ajoutez les polices à votre dossier Polices (pour en
savoir plus, consultez l’Aide Mac). Pour afficher les fichiers son et séquences manquantes,
ajoutez-les à nouveau au document.
Enregistrement d’un document
Lorsque vous créez un document Pages, toutes les images et les données de graphiques
sont comprises dans ce document que vous pouvez envoyer vers un autre ordinateur. Les
polices ne sont cependant pas incluses dans le document. Si vous transférez un document
Pages vers un autre ordinateur, vérifiez que les polices utilisées dans le document sont installées dans le dossier des polices de cet ordinateur.
Enregistrement d’un document
Il est judicieux d’enregistrer régulièrement le document pendant votre travail. Après l’avoir
enregistré une première fois, vous pouvez appuyer sur les touches Commande + S pour le
réenregistrer à l’aide des même réglages.
Pour enregistrer un document pour la première fois :
1 Choisissez Fichier > Enregistrer, ou appuyez sur Commande + S.
2 Dans le champ Enregistrer sous, saisissez le nom du document.
3 Si votre répertoire de fichiers n’est pas visible dans le menu local Emplacement, cliquez
sur le triangle d’affichage à droite du champ Enregistrer sous.
4 Choisissez l’emplacement où enregistrer le document.
5 Si vous souhaitez ouvrir le document en utilisant Pages dans iWork ’05 ou iWork ’06,
sélectionnez « Enregistrer une copie sous », cliquez sur le triangle d’affichage à droite
du champ Enregistrer sous, puis sélectionnez iWork ’05 ou iWork ’06.
6 Si vous prévoyez d’ouvrir le document sur un autre ordinateur, cliquez sur Options
avancées et tenez compte des points suivants :
 Copier l’audio et la vidéo dans le document : si vous cochez cette case, les fichiers audio
et vidéo sont enregistrés avec le document, pour permettre la lecture des fichiers en
cas d’ouverture du document sur un autre ordinateur. Vous pouvez désactiver cette
case afin de réduire la taille du fichier, mais dans ce cas les fichiers multimédias ne fonctionneront pas sur un autre ordinateur à moins que vous ne les transfériez également.36 Chapitre 2 Utilisation d’un document Pages
 Copier les images du modèle dans le document : si vous ne sélectionnez pas cette option
et que vous ouvrez le document sur un ordinateur ne disposant pas du même modèle
(par exemple, si vous avez créé votre propre modèle), il est possible que l’aspect du
document soit différent.
7 Cliquez sur Enregistrer.
En général, vous pouvez enregistrer des documents Pages uniquement sur les ordinateurs et serveurs qui utilisent Mac OS X. Pages n’est pas compatible avec les ordinateurs
Mac OS 9 et les serveurs Windows exécutant des services pour Macintosh. Si vous devez
travailler sur un ordinateur Windows, essayez pour cela d’utiliser un logiciel de serveur
AFP disponible pour Windows.
Si vous envisagez de partager le document avec d’autres personnes dont l’ordinateur
n’est pas équipé de Pages, vous pouvez l’exporter afin de l’utiliser dans une autre application. Pour en savoir plus sur l’exportation d’un document sous d’autres formats (comprenant Microsoft Word, RTF, texte et PDF), consultez la rubrique « Exportation d’un
document en vue de son utilisation dans une autre application » à la page 257.
Vous pouvez également envoyer un document à iWeb. Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Envoi d’un document Pages à iWeb » à la page 259.
Annulation de modifications
Si vous ne désirez pas enregistrer les modifications que vous avez effectuées dans
le document depuis son ouverture ou depuis le dernier enregistrement, vous pouvez
les annuler.
Voici différentes manières d’annuler des modifications :
m Pour annuler la toute dernière modification, choisissez Édition > Annuler.
m Pour annuler plusieurs modifications, choisissez plusieurs fois de suite Édition > Annuler.
Vous pouvez annuler toutes les modifications effectuées depuis l’ouverture du document
ou revenir à la dernière version enregistrée.
m Pour annuler une ou plusieurs opérations Édition > Annuler, choisissez une ou plusieurs
fois de suite Édition > Rétablir.
m Pour annuler toutes les modifications effectuées depuis le dernier enregistrement de
votre document, choisissez Fichier > « Revenir à la version enregistrée » et cliquez
ensuite sur Revenir.Chapitre 2 Utilisation d’un document Pages 37
Enregistrement d’un document en tant que modèle
Lorsque vous enregistrez un document en tant que modèle, il apparaît dans le Sélecteur
de modèles.
Pour enregistrer un document en tant que modèle :
m Choisissez Fichier > Enregistrer comme modèle.
Enregistrement d’une copie d’un document
Si vous souhaitez réaliser une copie de votre document (pour créer une copie de sauvegarde ou plusieurs versions, par exemple) vous pouvez enregistrer celui-ci sous un autre
nom ou à un emplacement différent. (Vous pouvez également enregistrer automatiquement une version de sauvegarde, tel qu’il est décrit dans la rubrique « Enregistrement
automatique d’une version de sauvegarde d’un document ».)
Pour enregistrer une copie d’un document :
m Choisissez Fichier > Enregistrer sous, puis indiquez un nom et un emplacement.
Le document portant le nouveau nom reste ouvert. Pour travailler avec la version pré-
cédente, choisissez Fichier > « Ouvrir document récent » et choisissez la version précé-
dente dans le sous-menu.
Enregistrement automatique d’une version de sauvegarde d’un
document
À chaque fois que vous enregistrez un document, vous pouvez conserver une copie
sans les modifications que vous y avez effectuées depuis le dernier enregistrement.
De cette façon, si vous changez d’avis quant aux modifications effectuées, vous pouvez
revenir à la version de sauvegarde du document.
Voici différentes manières de créer et d’utiliser une version de sauvegarde :
m Pour enregistrer automatiquement une copie de sauvegarde du document, sélectionnez Pages > Préférences, cliquez sur Général, puis sélectionnez « Créer une copie de
sauvegarde de la version précédente ».
Lors du prochain enregistrement de votre document, une version de sauvegarde sera
créée au même emplacement, avec la mention « copie de sauvegarde de » devant
le nom du fichier. Une seule version (la dernière version enregistrée) est sauvegardée.
À chaque fois que vous enregistrez le document, l’ancien fichier de sauvegarde est
remplacé par le nouveau.
m Pour revenir à la dernière version enregistrée après avoir effectué des modifications
sans les enregistrer, choisissez Fichier > Revenir à la version enregistrée. Les modifications du document ouvert sont annulées.38 Chapitre 2 Utilisation d’un document Pages
Fermeture d’un document sans quitter Pages
Lorsque vous avez fini de travailler sur un document, vous pouvez le fermer sans sortir
de Pages.
Voici différentes manières de fermer des documents tout en maintenant
l’application ouverte :
m Pour fermer le document actif, choisissez Fichier > Fermer ou cliquez sur le bouton
de fermeture dans l’angle supérieur gauche de la fenêtre du document.
m Pour fermer tous les documents Pages ouverts, appuyez sur la touche Option et choisissez Fichier > Tout fermer ou cliquez sur le bouton de fermeture du document actif.
Si vous avez effectué des modifications depuis le dernier enregistrement de votre
document, Pages vous invite à les enregistrer.
Stockage d’informations relatives à un document
Vous pouvez stocker des informations comme le nom de l’auteur et des mots-clés
et afficher par la suite ces informations ainsi que des statistiques créées automatiquement (nombre de mots, date de création et ainsi de suite).
Voici différentes manières d’utiliser les informations relatives à un document :
m Pour ajouter ou modifier un élément descriptif concernant un document (auteur, titre,
commentaires et mots-clés), cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format,
puis sur le bouton Inspecteur des documents et enfin sur Info. Saisissez les informations
(ou modifiez-les) dans les champs de la sous-fenêtre.
Ces informations peuvent être recherchées à l’aide de Spotlight sur les ordinateurs
équipés de Mac OS X 10.4 et ultérieur.
m Pour afficher les statistiques d’un document, telles que le nombre de mots, de pages,
de lignes, de paragraphes, de sections, de graphismes et de caractères, cliquez sur le
bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur des documents, et cliquez sur Info.
Lorsqu’une partie du texte est sélectionnée, vous pouvez spécifier l’étendue des statistiques à afficher par le biais des options Sélection ou Document dans le menu local
Valeurs de l’Inspecteur de documents.
m Pour afficher les informations sur le fichier d’un document, comprenant la taille, l’emplacement et les dates de création et de dernière modification, cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur des documents. Cliquez
ensuite sur Info et enfin sur le bouton Afficher les informations du fichier.Chapitre 2 Utilisation d’un document Pages 39
Conception de documents
La disposition et le style d’un document, l’apparence de son texte ou l’ajout de graphismes et d’éléments multimédias sont autant de paramètres jouant un rôle dans l’efficacité du document.
Disposition et style des documents
Réfléchissez à l’aspect général que vous souhaitez donner au document, y compris
sa disposition et l’utilisation de l’espace.
 Quel type de document créez-vous et quel modèle correspond le mieux à la disposition dont vous avez besoin ?
 Le document nécessite-t-il une orientation de type paysage ou portrait ? Assurezvous de régler cette option dans la zone de dialogue Format d’impression avant
de commencer. Reportez-vous à la rubrique « Définition de la taille et de l’orientation du papier » à la page 252.
 Si vous concevez une disposition de page unique, les marges du document sont-elles
définies comme vous le souhaitez ? Reportez-vous à la rubrique « Définition des marges du document » à la page 44.
 Le document sera-t-il divisé en sections avec différentes numérotations des pages,
en-têtes et pieds de page ou éléments de conception ? Reportez-vous aux rubriques
« Utilisation d’en-têtes et de pieds de page » à la page 52 et « Utilisation de sections »
à la page 57.
 Le document sera-t-il relié ? Si oui, tenez compte des numéros de page, des marges
et des sauts de section sur les pages recto et verso du document. Reportez-vous à
la rubrique « Utilisation de pages opposées gauche et droite » à la page 50.
 La disposition du document nécessite-t-elle des colonnes ? Reportez-vous à la rubrique « Utilisation de dispositions » à la page 46.
 Le document nécessite-t-il une table des matières ? Si tel est le cas, assurez-vous
d’utiliser des styles d’en-tête cohérents dans l’ensemble du document. Reportez-vous
à la rubrique « Utilisation d’une table des matières » à la page 63.
Apparence du texte
Déterminez la façon dont vous souhaitez utiliser le texte dans votre document pour
mettre l’accent sur l’organisation du contenu et pour créer une présentation attrayante.
 Quelles polices utiliserez-vous dans le document ? Reportez-vous à la rubrique « Mise
en forme de la taille et de l’apparence du texte » à la page 80.
 Existe-t-il des styles d’en-tête ou des polices que vous souhaitez utiliser de manière
cohérente dans l’ensemble du document ? Reportez-vous à la rubrique « À propos
des styles » à la page 129.40 Chapitre 2 Utilisation d’un document Pages
 Quelle figure ou image souhaitez-vous utiliser pour les puces ? Quels styles de nombre pour les structures ? Reportez-vous à la rubrique « Utilisation des listes à puces,
numérotées et ordonnées (Structures) » à la page 103.
 Allez-vous utiliser des légendes, des barres latérales ou d’autre texte mis en surbrillance
dans votre document ? Reportez-vous à la rubrique « Utilisation de zones de texte, de
figures et d’autres effets pour faire ressortir le texte » à la page 108.
Graphismes et autres objets
Déterminez la façon dont vous allez utiliser les éléments graphiques dans votre document, ainsi que la façon dont ils apparaîtront dans le flux du document, ainsi que les
types de graphisme que vous pouvez utiliser.
 Voulez-vous que les objets suivent le texte au fur et à mesure que celui-ci change
(objets incorporés) ou préférez-vous qu’ils restent à un emplacement particulier (objets
flottants) ? Reportez-vous à la rubrique « Utilisation des objets flottants et des objets
incorporés » à la page 147 pour en savoir plus sur ces deux options.
 Comment les images seront-elles utilisées dans le document ? Reportez-vous à
la rubrique « Utilisation des images » à la page 174.
 Pouvez-vous utiliser des tableaux pour présenter clairement les informations ?
Reportez-vous à la rubrique « À propos des tableaux » à la page 184.
 Pouvez-vous utiliser des graphiques pour afficher les données de manière efficace ?
Reportez-vous à la rubrique « À propos des graphiques » à la page 224.
 Quel sera le format final de votre document (page imprimée, etc.) ? Reportez-vous
aux rubriques « Impression de documents » à la page 252 et « Exportation vers
d’autres formats de document » à la page 257.
 Utiliserez-vous du son ou des séquences dans votre document ? Reportez-vous à
la rubrique « Utilisation du son et de séquences » à la page 181.3
41
3 Utilisation de parties
de document
Ce chapitre décrit comment configurer les caractéristiques
globales du document, notamment les marges, les pages
opposées, les colonnes de texte et les sections, et comment
créer une table des matières, des notes de bas de page et
des notes de fin.
Avant d’ajouter du contenu à votre document, il est judicieux de configurer les réglages comme l’orientation et la taille de la page, les marges, les objets modèles (graphismes d’arrière-plan, tels que filigranes), ainsi que les différences entre pages opposées.
Vous pouvez modifier la plupart de ces réglages dans l’Inspecteur des documents et
dans l’Inspecteur de disposition.42 Chapitre 3 Utilisation de parties de document
Vous pouvez ouvrir l’Inspecteur des documents de plusieurs façons :
m Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
des documents.
m Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur
des documents.
La mise en forme définie dans l’Inspecteur des documents s’applique à l’ensemble
du document.
Le bouton
Inspecteur des
documents
Vous pouvez configurer la table des matières d’un
document dans la sous-fenêtre Table des matières.
Pour afficher les statistiques du document,
par exemple le nombre de mots, la date et
les mots-clés, ouvrez la sous-fenêtre Info.
Pour spécifier la taille et l’orientation du papier,
ouvrez la zone de dialogue Format d’impression.
Configurez des marges pour les bords
gauche, droit, haut et bas de la page.
Choisissez un style de note de bas de
page ou de fin.
Utilisez la césure automatique dans le document.
Utilisez n’importe quelle ligature de
police disponible dans le document.
Ajustez l’espace entre les notes.
Sélectionnez le type de note que
vous souhaitez créer.
Cochez ces cases pour
ajouter des en-têtes ou
des bas de page à un
document.Chapitre 3 Utilisation de parties de document 43
Vous pouvez ouvrir l’Inspecteur de disposition de plusieurs façons :
m Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
de disposition.
m Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur
de disposition.
L’Inspecteur de disposition vous permet de configurer la disposition des colonnes de
texte. Il vous permet également de contrôler les options de mise en forme pour les sections de document, tels que les chapitres ; vous pouvez, par exemple, créer une disposition de la première page, de la page de gauche et de la page de droite différente
pour chaque section.
Configuration de l’orientation et de la taille des pages
Par défaut, la plupart des modèles de page sont créés pour des tailles de papier standard, le texte étant imprimé avec une orientation verticale (portrait). Si le document
nécessite une taille de papier différente ou que vous souhaitez l’imprimer avec une
orientation horizontale (paysage), vous devez définir la taille et l’orientation du papier
dès le début. De cette façon, lorsque vous travaillez dans le document, vous avez une
idée plus précise de ce à quoi il ressemblera.
Si vous commencez avec un document vierge (de traitement de texte) ou un document de canevas vierge (de disposition de la page), la page sera de type portrait. La
rubrique « Définition de la taille et de l’orientation du papier » à la page 252 propose
des instructions sur le changement d’orientation du papier et la configuration de la
taille du papier.
Le bouton Inspecteur de disposition
Sélectionnez une largeur de colonne
ou de petit fond et tapez une nouvelle valeur.
Définissez l’espace entre
la disposition actuelle et
les dispositions précé-
dente et suivante.
Désélectionnez l’option afin de définir
des largeurs de colonne différentes.
Définissez le
nombre de colonnes.
Cochez cette case pour
appliquer la disposition
actuelle à partir du haut
de la page.
Définissez les marges pour
la disposition actuelle.
Utilisez la sous-fenêtre Section pour configurer les numéros de page, les pages
opposées et autres attributs de section.44 Chapitre 3 Utilisation de parties de document
Définition des marges du document
Chaque document comporte des marges (espace vierge entre le contenu du document et les bords du papier). Ces marges sont indiquées à l’écran par des lignes gris
clair lorsque vous utilisez la présentation Disposition. Pour afficher ce mode, cliquez
sur Affichage dans la barre d’outils puis choisissez Afficher la disposition.
Les marges par défaut de la plupart des modèles de Pages, y compris le modèle vide,
sont définies sur un pouce (2,54 cm) à partir des bordures gauche, droite, du haut et
du bas de la page. Cela signifie que le texte du corps du document ne s’étendra pas
au-delà de ces marges.
Pour changer les marges des pages :
1 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
des documents et enfin sur Document.
2 Saisissez des valeurs dans les champs Gauche, Droite, En haut et En bas.
Si vous souhaitez définir différentes marges dans différentes sections d’un document,
vous devez utiliser l’Inspecteur de disposition. Pour en savoir plus sur la définition des
marges, reportez-vous à la rubrique « Définition de marges de disposition » à la page 49.
Si vous créez un document à relier, vous pouvez faire en sorte que la marge des documents tienne compte du côté de la page qui sera relié (marge intérieure) et quel côté
ne sera pas relié (marge extérieure). Pour cela, vous devez créer un document avec des
pages opposées gauche et droite. Pour en savoir plus, reportez-vous à la rubrique
« Utilisation de pages opposées gauche et droite » à la page 50.
Utilisation de sauts de page et de ligne
Vous pouvez insérer des sauts de page, faire en sorte qu’un paragraphe donné commence toujours sur une nouvelle page, veiller à ce que certains paragraphes restent
toujours sur la même page, etc.
Lorsque vous insérez des sauts, Pages insère un caractère de mise en forme spécial
appelé invisible. Reportez-vous à la rubrique « Caractères de mise en forme (invisibles) »
à la page 21 pour en savoir plus sur les caractères invisibles.
Insertion de sauts de page
Il est possible d’insérer des sauts de page dans un document de traitement de texte.
Cette action créera une page à l’endroit de la section où vous insérez le saut de page
et vous pourrez saisir du texte. Il est possible d’ajouter une page dans un document
de disposition de texte. Cette action créera une page dans une nouvelle section dans
laquelle vous pourrez ajouter une zone de texte et saisir du texte.Chapitre 3 Utilisation de parties de document 45
Il existe plusieurs manières d’insérer un saut de page :
m Dans un document de traitement de texte, cliquez à l’endroit souhaité, puis sélectionnez Insérer > Saut de page.
Pour supprimer un saut de page, cliquez au début de la ligne suivant le saut et appuyez
sur la touche Suppr.
m Dans un document de disposition de page, insérez une nouvelle page dans votre document en sélectionnant Insérer > Pages > page modèle.
Début de paragraphes sur une nouvelle page
Vous pouvez faire en sorte qu’un paragraphe commence toujours sur une nouvelle
page, indépendamment de ce qui le précède dans un document.
Pour commencer un paragraphe sur une nouvelle page :
1 Sélectionnez le paragraphe que vous souhaitez placer au début d’une nouvelle page.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
du texte et enfin sur Autres.
3 Cochez la case « Le paragraphe commence sur une nouvelle page ».
Dans un modèle de canevas vierge (de disposition de la page), dès que la page est
ajoutée, vous pouvez inclure une zone de texte et saisir du texte.
Regroupement de paragraphes sur une page
Vous pouvez faire en sorte que plusieurs paragraphes apparaissent toujours sur la
même page, à moins que vous n’insériez un saut de page entre eux.
Pour regrouper des paragraphes sur une page :
1 Cliquez sur le paragraphe que vous souhaitez systématiquement voir apparaître avec
le paragraphe qui le suit.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
du texte et enfin sur Autres.
3 Sélectionnez « Conserver avec le paragraphe suivant ».
Maintien d’un paragraphe entier sur la même page
Vous pouvez faire en sorte que toutes les lignes d’un paragraphe apparaissent systématiquement sur une même page.
Pour éviter de couper un paragraphe sur deux pages :
1 Cliquez sur le paragraphe dont vous souhaitez que les lignes restent solidaires.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
du texte et enfin sur Autres.
3 Sélectionnez « Conserver les lignes solidaires ».46 Chapitre 3 Utilisation de parties de document
Dans un document de disposition de page, le texte est compris dans des zones de texte.
Pour en savoir plus sur le lien des zones de texte, consultez la rubrique « Liaison de zones
de texte flottantes » à la page 110.
Insertion manuelle de sauts de ligne
Vous pouvez utiliser un saut de ligne manuel, également appelé retour forcé, si vous
désirez commencer une nouvelle ligne sans commencer un nouveau paragraphe.
Pour insérer un saut de ligne manuel :
1 Cliquez sur l’emplacement où vous voulez que le saut se produise.
2 Appuyez sur la touche Retour tout en maintenant la touche Maj enfoncée.
Éviter les lignes veuves et orphelines
Vous pouvez faire en sorte que la première ligne d’un paragraphe n’apparaisse pas
seule en bas d’une page (c’est ce qu’on appelle une ligne veuve) ou que la dernière
ligne d’un paragraphe n’apparaisse seule en haut d’une page (c’est ce qu’on appelle
une ligne orpheline).
Pour éviter les lignes veuves et orphelines dans un paragraphe :
1 Cliquez sur le paragraphe dans lequel vous désirez empêcher les lignes veuves ou
orphelines.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
du texte et enfin sur Autres.
3 Sélectionnez « Éviter les lignes veuves et orphelines ».
Utilisation de dispositions
Dans Pages, il est possible d’utiliser plusieurs types de présentations dans un document de disposition de page en créant des colonnes dans les zones de texte et dans
un document de traitement de texte en utilisant plusieurs types de dispositions séparés par des sauts de disposition.
Pour en savoir plus sur l´utilisation des zones de texte dans un document de disposition de la page, consultez la rubrique « Utilisation de zones de texte, de figures et
d’autres effets pour faire ressortir le texte » à la page 108.
Dans un document de traitement de texte, les dispositions sont séparées par des sauts
de disposition. Une disposition correspond à la partie d’un document pour laquelle
vous avez défini des attributs de colonne spécifiques et des espaces autour des colonnes, appelés marge de disposition.
Vous pouvez utiliser plusieurs dispositions dans une section de votre document, voire
sur une même page.Chapitre 3 Utilisation de parties de document 47
Définition de colonnes
En fonction de la taille de la page et de la largeur des colonnes définies pour un document, il est possible de créer jusqu’à dix colonnes de texte (pour une lettre de taille
standard au format paysage par exemple).
Lorsque vous saisissez du texte et que vous atteignez la fin d’une colonne, le texte s’étend
automatiquement sur la colonne suivante au fur et à mesure que vous le tapez. Pour modifier l’emplacement d’un saut de colonne, suivez les instructions indiquées dans « Définition
de sauts de colonne » à la page 48.
Lorsque vous souhaitez modifier le nombre ou l’aspect de colonnes à un endroit donné
du document, créez une nouvelle disposition. Reportez-vous à la rubrique « Définition
de sauts de disposition » à la page 48 pour en connaître les instructions.
Pour mettre en forme un document sur plusieurs colonnes :
1 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
de disposition. Cliquez ensuite sur Disposition et spécifiez le nombre de colonnes souhaité dans le champ Colonnes. Pour saisir un chiffre dans le champ Colonnes, placez le
point d’insertion à l’intérieur d’une zone de texte de votre document, saisissez-le dans
le champ Colonnes et appuyez ensuite sur la touche Retour.
2 Pour affecter la même largeur à toutes les colonnes, cochez la case « Largeur de
colonne identique ».
Pour régler la largeur de toutes les colonnes, double-cliquez sur une valeur quelconque dans la liste de colonnes et saisissez-en une nouvelle. Pour régler l’espace entre
chaque colonne, double-cliquez sur une valeur quelconque dans la liste Petit fond et
saisissez-en une nouvelle.
3 Pour spécifier différentes largeurs de colonne, désactivez la case « Largeur de colonne
identique ».
Pour régler la largeur d’une colonne donnée, double-cliquez sur sa valeur dans la liste
Colonne et saisissez-en une nouvelle. Pour régler l’espace entre des colonnes adjacentes, double-cliquez sur une valeur dans la liste Petit fond et saisissez-en une nouvelle.
4 Pour régler l’espace autour des marges extérieures des colonnes dans un document
de traitement de texte, spécifiez de nouvelles valeurs dans les champs Gauche, Droite,
Avant et Après.
Les marges de disposition ne sont pas réglables dans un document de disposition
de page.
5 Pour déplacer des colonnes vers le haut de la page suivante dans un document de
traitement de texte, sélectionnez « La disposition commence sur une nouvelle page ».
Vous ne pouvez pas sélectionner « La disposition commence sur une nouvelle page »
dans un document de disposition de la page.48 Chapitre 3 Utilisation de parties de document
6 Pour créer rapidement jusqu’à quatre colonnes, cliquez sur le menu local Colonnes
dans la barre de format et choisissez le nombre de colonnes que vous souhaitez
utiliser dans le menu local.
7 Pour modifier rapidement la largeur des colonnes et leur espacement, utilisez la règle
du document. Cliquez sur Affichage dans la barre d’outils, puis choisissez Afficher les
règles. Faites glisser les bords gauche et droit des zones de petit fond grises dans la
règle horizontale.
Définition de sauts de colonne
Dans un document de traitement de texte, un saut de colonne interrompt le flux de texte
dans une colonne (le reste de la colonne reste vide) et le poursuit dans la suivante.
Pour créer un saut de colonne :
1 Cliquez à la suite du mot après lequel vous désirez interrompre le flux de texte.
2 Choisissez Insérer > Saut de colonne.
Le texte est interrompu à l’endroit où le point d’insertion a été placé et se poursuit dans
la colonne de texte suivante. Si vous insérez un saut de colonne dans une disposition à
une seule colonne, le texte se poursuit en haut de la page suivante.
Lorsque vous affichez les caractères invisibles dans votre document (pour cela, cliquez
sur Affichage dans la barre d’outils et choisissez Afficher les caractères invisibles), un
symbole de saut de colonne marque l’emplacement de celui-ci.
Pour supprimer un saut de colonne, cliquez au début de la ligne suivant le saut et
appuyez sur la touche Suppr.
Définition de sauts de disposition
Dans un document de traitement de texte, un saut de disposition termine une disposition et en commence une nouvelle, dans laquelle vous pouvez définir différentes caractéristiques de colonne et différentes marges de disposition.
Les zones blanches dans la
règle indiquent la zone de
texte dans les colonnes.
Les zones grises indiquent les
petits fonds des colonnes.Chapitre 3 Utilisation de parties de document 49
L’utilisation de sauts de disposition n’a aucun effet sur les en-têtes, les pieds de page, la
numérotation des pages ou autres mises en forme propres au document ou à la section.
Pour insérer un saut de disposition dans un document de traitement de texte :
1 Placez le point d’insertion à la suite du mot où vous souhaitez terminer la disposition
actuelle et passer à une autre disposition.
2 Choisissez Insérer > Saut de disposition.
Un saut de disposition est inséré et le point d’insertion est déplacé en haut de la disposition suivante.
3 La mise en forme et le nombre de colonnes de texte de la disposition suivant le saut
sont identiques à la disposition précédente jusqu’à ce que vous les modifiez. Pour modifier les attributs de disposition, cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format
et cliquez sur le bouton Inspecteur de disposition. Dans la sous-fenêtre Disposition, définissez le nombre de colonnes, puis mettez-les en forme.
4 Pour placer la nouvelle disposition en haut d’une page, sélectionnez « La disposition
commence sur une nouvelle page ».
Lorsque vous affichez les caractères invisibles dans votre document (pour cela cliquez
sur Affichage dans la barre d’outils puis choisissez Afficher les caractères invisibles), un
symbole de saut de disposition marque l’emplacement de celui-ci.
Pour supprimer un saut de disposition, cliquez au début de la ligne suivant le saut
et appuyez sur la touche Suppr.
Définition de marges de disposition
Dans un document de traitement de texte, une marge de disposition correspond
à l’espace autour des colonnes dans une disposition.
Pour modifier la marge de disposition dans un document de traitement de texte :
1 Cliquez sur une colonne.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
de disposition et enfin sur Disposition.
3 Pour changer les marges extérieures de la ou des colonne(s), saisissez des valeurs dans
les champs Gauche et Droite sous Disposer les marges.
4 Pour spécifier la quantité d’espace au dessus et au dessous de la ou des colonne(s),
saisissez les valeurs correspondantes dans les champs Avant et Après sous Marges
de disposition.
Les nouvelles marges ne peuvent pas s’étendre au-delà des marges de page définies
pour le document dans l’Inspecteur des documents.50 Chapitre 3 Utilisation de parties de document
Utilisation de pages opposées gauche et droite
Si vous prévoyez d’imprimer un document recto-verso et de le relier, il comportera
des pages opposées gauche et droite.
Les pages de gauche et de droite de ces documents ont en général des marges intérieures et extérieures différentes. Vous pouvez, par exemple, définir des marges intérieures
plus larges pour un document destiné à être relié.
Si votre document contient des sections (des chapitres par exemple), vous pouvez utiliser des en-têtes ou des pieds de page différents pour les pages de gauche et de droite,
comme lorsque vous souhaitez appliquer des numéros de page sur les angles exté-
rieurs de chaque page.
Définition de marges pour les pages opposées
L’inspecteur des documents vous permet de configurer des marges différentes pour
les pages de gauche et de droite.
Pour créer différentes marges pour des pages opposées gauche et droite :
1 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
des documents et enfin sur Document.
2 Sélectionnez les pages opposées.
3 Définissez les marges intérieure et extérieure. La marge intérieure correspond au côté
des pages de gauche ou de droite faisant partie de la reliure. La marge extérieure correspond au côté situé sur le bord extérieur des pages de gauche ou de droite.
Définition d’en-têtes et de pieds de page pour les pages opposées
Si votre document de traitement de texte utilise des sections, vous pouvez configurer
des en-têtes et des pieds de page différents pour les pages de gauche et de droite,
comme vous le faites lorsque vous souhaitez faire apparaître le numéro de page sur
le bord extérieur des pieds de page. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation de
sections » à la page 57 pour obtenir plus d’informations sur la définition de sections.
Spécifiez une valeur pour
la marge des bords exté-
rieurs des pages.
Spécifiez une valeur de
marge pour le bord qui
sera relié.
Définissez les marges
des pages opposées
gauche et droite de
façon indépendante.Chapitre 3 Utilisation de parties de document 51
Pour configurer des en-têtes et des pieds de page pour les pages opposées
d’une section :
1 Cliquez à l’intérieur de la section.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
de disposition et enfin sur Section.
3 Sélectionnez « Recto et verso différents ».
4 Désélectionnez « Utiliser les en-têtes et les pieds de page précédents ».
5 Sur l’une des pages de gauche de la section, définissez l’en-tête et le pied de page que
vous désirez utiliser pour toutes les pages de gauche de la section. Reportez-vous à la
rubrique « Utilisation d’en-têtes et de pieds de page » à la page 52 pour en connaître
les instructions.
6 Sur l’une des pages de droite de la section, définissez l’en-tête et le pied de page que
vous désirez utiliser pour toutes les pages de droite de la section.
7 Si vous désirez un en-tête (ou pied de page) particulier pour la première page de la
section, sélectionnez « La première page est différente » et définissez-le sur la première
page de la section.
Visualisation de pages opposées
Lorsque votre document contient des pages opposées, il existe plusieurs manières de
les visualiser dans Pages.
Voici différentes manières de visualiser des pages opposées :
m Cliquez sur Affichage dans la barre d’outils et choisissez « Afficher les vignettes de
page » pour visualiser les pages opposées dans la présentation en vignettes.
m Cliquez sur la commande de présentation de la page dans l’angle inférieur gauche de
la fenêtre, et choisissez ensuite « Deux vers le haut » dans le menu local afin d’afficher
les pages opposées côte à côte dans la fenêtre principale du document. 52 Chapitre 3 Utilisation de parties de document
Utilisation d’en-têtes et de pieds de page
Vous pouvez faire apparaître le même texte ou le même graphisme sur plusieurs pages
d’un document. Les informations récurrentes qui apparaissent en haut de la page sont
appelées en-tête et celles du bas pied de page.
Vous pouvez placer votre texte ou vos graphismes dans un en-tête ou un pied de page,
de même qu’utiliser des champs de texte mis en forme. Les champs de texte formatés
vous permettent d’insérer un texte qui sera automatiquement mis à jour. Par exemple,
l’insertion du champ de la date affiche la date actuelle chaque fois que vous ouvrez le
document. De la même façon, les champs de numéro de page conservent le suivi des
numéros lorsque vous ajoutez ou supprimez des pages.
Pour définir le contenu d’un en-tête ou d’un pied de page :
1 Cliquez sur Affichage dans la barre d’outils et choisissez Afficher la disposition.
Les zones d’en-tête et de pied de page s’affichent en haut et en bas de la page.
2 Pour ajouter un texte ou des graphismes dans un en-tête ou un pied de page, placez-y
le point d’insertion et saisissez ou collez votre texte ou vos graphismes.
3 Pour ajouter des numéros de page ou autres valeurs modifiables, reportez-vous à la
rubrique « Insertion de numéros de page et d’autres valeurs variables » à la page 121.
Tout ce que vous saisissez dans un en-tête ou un pied de page est répété sur chaque
page. Si vous souhaitez changer le texte de l’en-tête ou du bas de page dans différentes sections du document, reportez-vous à la rubrique « Modification des en-têtes et
des pieds de page dans une section » à la page 60.
Utilisation de notes de bas de page et de notes de fin
Dans un document de traitement de texte, vous pouvez ajouter des marques spéciales
(chiffres ou symboles) renvoyant à des notes placées en bas de page (notes de bas de
page) ou à la fin du document ou d’une section (notes de fin).
Vous ne pouvez pas mélanger des notes de bas de page avec des notes de fin au sein
d’un même document mais il vous est toujours possible de convertir les notes d’un
type à l’autre.
Ajout et modification de notes de bas de page et de notes de fin
Dans un document de traitement de texte, les notes de bas de page et les notes de fin
peuvent contenir du texte ainsi que des objets incorporés.
Ajout d’une note de bas de page
Dans un document de traitement de texte, vous pouvez ajouter des marques spéciales
renvoyant à des notes en bas de la page. C’est ce que l’on appelle des notes de bas de page.Chapitre 3 Utilisation de parties de document 53
Pour ajouter une note de bas de page :
1 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
des documents et enfin sur Document.
2 Sélectionnez « Utiliser les notes de bas de page » dans le menu local « Notes de bas de
page et notes de fin ».
3 Choisissez un format de numérotation.
4 Placez le point d’insertion dans le flux de texte principal (pas sur une zone de texte,
un tableau ou un autre objet) à l’endroit où vous souhaitez voir apparaître la note de
bas de page.
5 Choisissez Insérer > Note de bas de page.
Une marque de note de bas de page apparaît alors et le point d’insertion se place sur
le champ de note correspondant en bas de la page.
6 Tapez les informations relatives aux notes de bas de page. En plus de texte simple, vous
pouvez utiliser des figures, des graphismes ou d’autres objets incorporés. Pour connaî-
tre les instructions à ce sujet, reportez-vous à la rubrique « Utilisation des objets flottants et des objets incorporés » à la page 147.
Ajout d’une note de fin à un document
Dans un document de traitement de texte, vous pouvez ajouter des marques spéciales
renvoyant à la fin du document. C’est ce que l’on appelle des notes de fin de section.
Pour ajouter une note de fin de document :
1 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
des documents et enfin sur Document.
2 Sélectionnez « Utiliser les notes de fin du document » dans le menu local « Notes de
bas de page et notes de fin ».
3 Choisissez un format de numérotation.
4 Placez le point d’insertion dans le flux de texte principal (pas sur une zone de texte, un
tableau ou un autre objet) à l’endroit où vous souhaitez voir apparaître la marque de la
note de fin.
5 Sélectionnez Insertion > Note de fin.
Une marque de note de fin apparaît alors et le point d’insertion se place sur le champ
de la note se trouvant à la fin du document suivant un saut de section. Si vous ne voulez pas placer les notes de fin sur une nouvelle page, supprimez simplement le saut de
section.
6 Tapez les informations de la note de fin.
En plus de texte simple, vous pouvez utiliser des figures, des graphismes ou d’autres
objets incorporés. Pour connaître les instructions à ce sujet, reportez-vous à la rubrique
« Utilisation des objets flottants et des objets incorporés » à la page 147.54 Chapitre 3 Utilisation de parties de document
Ajout d’une note de fin à la fin d’une section
Dans un document de traitement de texte, vous pouvez ajouter des marques spéciales
renvoyant à la fin de chaque section. C’est ce que l’on appelle des notes de fin de section.
Pour ajouter une note de fin de section :
1 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
des documents et enfin sur Document.
2 Sélectionnez « Utiliser les notes de fin de la section » dans le menu local « Notes de bas
de page et notes de fin ».
3 Choisissez un format de numérotation.
4 Placez le point d’insertion dans le flux de texte principal (pas sur une zone de texte,
un tableau ou un autre objet) à l’endroit où vous souhaitez voir apparaître la marque
de la note de fin.
5 Sélectionnez Insertion > Note de fin de section.
Une marque de note de fin apparaît alors à la fin de la section et le point d’insertion
se place sur le champ de la note. Une ligne sépare les notes de fin des autres informations de la section.
6 Tapez les informations de la note de fin.
En plus de texte simple, vous pouvez utiliser des figures, des graphismes ou d’autres
objets incorporés. Pour connaître les instructions à ce sujet, reportez-vous à la rubrique
« Utilisation des objets flottants et des objets incorporés » à la page 147.
Suppression de notes de bas de page et de notes de fin
Dans un document de traitement de texte, la suppression de notes de bas de page
et de notes de fin est simple.
Pour supprimer une note de bas de page ou une note de fin :
m Supprimez la marque qui fait référence à la note dans votre document.
Conversion de notes de bas de page en notes de fin et inversement
Vous pouvez transformer toutes les notes de bas de page d’un document de traitement de texte en notes de fin, et inversement. Vous avez également la possibilité de
convertir toutes les notes de fin du document en notes de fin de section, et inversement. Toutefois, il n’est pas possible de mélanger des notes de fin et des notes de bas
de page dans le même document.
Pour convertir des notes de bas de page en notes de fin, et inversement :
m Dans la sous-fenêtre Document de l’Inspecteur des documents, changez l’option
réglée dans le menu local « Notes de bas de page et notes de fin ».Chapitre 3 Utilisation de parties de document 55
Mise en forme de notes de bas de page et de notes de fin
Dans un document de traitement de texte, vous pouvez mettre en forme les notes de
bas de page, les notes de fin et les marques afin de modifier leur apparence ou de contrôler l’espacement entre les notes.
Voici différentes manières de mettre en forme des notes :
m Pour changer l’apparence des notes et des marques, sélectionnez le texte de la note
et/ou sa marque et mettez-le en forme comme vous le feriez pour n’importe quel autre
texte à l’aide du panneau Police, de l’Inspecteur du texte ou du tiroir Styles.
m Pour régler l’espace entre les notes, dans la sous-fenêtre Document de l’Inspecteur
des documents, augmentez ou réduisez la valeur du champ Espace entre les notes.
Basculement entre une marque et la note de bas de page ou la note de fin
correspondante
Dans un document de traitement de texte, vous pouvez passer directement à une note
à partir de sa marque ou directement à la marque à partir d’une note.
Voici différentes manières de basculer entre les marques et les notes :
m Dans la note, double-cliquez sur la marque pour accéder directement à l’endroit où
elle apparaît dans le document.
m Dans le corps du document, double-cliquez sur la marque pour accéder directement
à la note correspondante.
Numérotation des notes de bas de page et des notes de fin
Dans un document de traitement de texte, vous pouvez utiliser un des styles prédéfinis de numérotation automatique pour la marque se rapportant à la note. Les styles
de numérotation prédéfinis sont les chiffres arabes (1, 2, 3), les chiffres romains (i, ii, iii)
et les symboles (*, †, ‡). La numérotation peut être continue sur l’ensemble du document ou bien reprendre depuis le début pour chaque section de document ou page.
En remplacement ou en complément de la numérotation automatique, vous disposez
aussi de marques de personnalisation que vous pouvez définir à loisir. La numérotation
automatique n’est cependant pas disponible pour les marques de personnalisation.
Vous devez dans ce cas indiquer la marque que vous souhaitez utiliser chaque fois que
vous créez une note de bas de page ou une note de fin.
Définition de marques pour la numérotation des notes de bas de page
et des notes de fin
Dans un document de traitement de texte, utilisez un format de nombre ou de symbole prédéfini ou bien définissez vos propres marques.
Voici différentes manières de définir des marques :
m Pour utiliser un format de nombre ou un symbole prédéfini, dans la sous-fenêtre Document de l’Inspecteur des documents, choisissez un style de numérotation à partir du
menu local Format. Ce style de numérotation restera le même tout au long du document.56 Chapitre 3 Utilisation de parties de document
m Pour insérer une marque de personnalisation, placez le point d’insertion dans le document à l’emplacement où vous désirez voir apparaître la marque.
Cliquez sur le menu Insertion et appuyez sur la touche Option. Sélectionnez
« Personnaliser la note de fin », « Personnaliser la note de fin de section » ou
« Personnaliser la note de bas de page ». Les options disponibles dépendent de votre
sélection dans le menu local « Notes de bas de page et notes de fin ».
Dans la zone de dialogue qui s’affiche, tapez ou sélectionnez une marque de personnalisation, puis cliquez sur OK.
La marque apparaît alors dans le document et le point d’insertion se place à l’emplacement approprié pour vous permettre de taper la note.
Modification de marques pour la numérotation des notes de bas de page et des
notes de fin
Dans un document de traitement de texte, vous pouvez passer de la numérotation de
marque personnalisée au format de nombre prédéfini et inversement.
Voici différentes manières de modifier les styles de numérotation de marque :
m Pour passer d’un format de numérotation prédéfini à un format personnalisé, cliquez
sur une marque de note de fin ou de note de bas de page tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez « Utiliser une marque de personnalisation »
dans le menu local.
Dans la zone de dialogue qui s’affiche, saisissez ou choisissez une marque de personnalisation, puis cliquez sur OK. La marque de personnalisation remplace ainsi la marque
prédéfinie.
m Pour passer d’une numérotation personnalisée à une numérotation prédéfinie, cliquez
sur une marque de personnalisation tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée,
puis choisissez « Utiliser la numérotation automatique » dans le menu local.
La marque remplaçant la marque de personnalisation reflète les réglages s’appliquant
au format des nombres dans la sous-fenêtre Document de l’Inspecteur des documents.
Réinitialisation de la numérotation des notes de bas de page et des notes
de fin de section
Si vous ne voulez pas que les numéros de marque soient continus, vous pouvez réinitialiser la numérotation sur chaque page ou pour chaque section du document de traitement de texte.
Pour réinitialiser la numérotation des marques :
m Dans la sous-fenêtre Document de l’Inspecteur des documents, choisissez « Redémarre
à chaque page » ou « Redémarre à chaque section » dans le menu local Numérotation. Chapitre 3 Utilisation de parties de document 57
Utilisation de sections
Utilisez des sections dans votre document à chaque fois que vous souhaitez le diviser
en parties distinctes utilisant différentes dispositions, numérotations ou autres mises
en forme. Les sections vous permettent de créer des parties du document contenant
des éléments de mise en forme différents : en-têtes, bas de page, numéros de page,
marges, disposition de colonne et objets modèles (images d’arrière-plan répétées).
Création de sections
Dans un document de traitement de texte, une section est composée d’au moins
une page.
Chaque modèle Pages est constitué d’une ou de plusieurs sections prédéfinies. Chaque fois que vous ajoutez des pages au document par le biais du bouton Pages (dans
le cas d’un document de disposition de la page) ou Sections (dans le cas d’un document de traitement de texte) de la barre d’outils, vous insérez une nouvelle section.
Dans un document de disposition de page, chaque page représente une section. Vous
pouvez utiliser les sections prédéfinies telles quelles ou bien les modifier ou les supprimer page par page.
Dans un document de traitement de texte, vous pouvez utiliser les sections prédéfinies
telles quelles ou bien créer ou supprimer les sauts de section afin de définir vos propres
sections. Pour ajouter une page à une section, au fur et à mesure que vous saisissez du
texte, les pages seront automatiquement ajoutées, ou bien insérez un saut de page.
Vous pouvez utiliser les sauts de section dans un document de traitement de texte
de plusieurs façons :
m Pour insérer un saut de section, placez le pointeur à l’endroit souhaité, puis choisissez
Insérer > Saut de section ou cliquez sur Sections dans la barre d’outils et choisissez un
élément dans la liste.
Lorsque vous affichez les caractères invisibles dans votre document (pour cela, cliquez
sur Affichage dans la barre d’outils puis choisissez Afficher les caractères invisibles), un
symbole de saut de section marque l’emplacement de celui-ci.58 Chapitre 3 Utilisation de parties de document
La mise en forme de la nouvelle section est identique à la précédente jusqu’à ce que
vous la modifiiez. Les modifications que vous apportez aux objets modèles, en-têtes,
pieds de page ou numéros de page s’appliqueront uniquement à la section concernée
par ces modification. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation d’objets modèles (images d’arrière-plan répétées) » à la page 62 pour obtenir plus d’informations sur les
objets modèles.
m Pour supprimer un saut de section, cliquez au début de la ligne qui suit le saut et
appuyez sur la touche Suppr.
Gestion de sections à l’aide de la présentation en vignettes
Vous pouvez afficher des représentations miniatures (appelées vignettes) de toutes les
pages constituant un document. L’affichage de vignettes de page permet de visualiser
en même temps toutes les pages de votre document, de les dupliquer rapidement ou de
passer à une page donnée, ou encore de modifier l’ordre des sections dans un document.
Visualisation de vignettes
Utilisez des vignettes pour visualiser votre document Pages.
Voici différentes manières de visualiser des vignettes :
m Pour afficher la présentation en vignettes dans un document de traitement de texte, cliquez sur Présentation dans la barre d’outils et sélectionnez Afficher les vignettes de page.
Dans un document de disposition de la page, les vignettes sont affichées par défaut.
Pour masquer la présentation en vignettes, cliquez sur Affichage dans la barre d’outils,
puis sélectionnez « Masquer les vignettes de page ».
m Pour afficher les pages opposées dans la présentation en vignettes, sélectionnez Pages
opposées dans la sous-fenêtre Document de l’Inspecteur des documents.
m Pour passer à une page donnée, cliquez sur sa vignette ou sur la page dans le document. Celle-ci apparaît dans la zone d’affichage principale et la vignette de la page est
mise en surbrillance pour indiquer l’endroit où vous vous trouvez dans le document.
Vous pouvez également accéder à une page donnée en cliquant sur le bouton Page en
bas à gauche de la fenêtre du document, en saisissant son numéro dans le champ Aller
à la page et en appuyant sur la touche Retour.Chapitre 3 Utilisation de parties de document 59
Ajout et suppression de sections
Vous pouvez ajouter et supprimer rapidement des sections de votre document Pages
à l’aide des vignettes.
Voici différentes manières d’ajouter et de supprimer des sections :
m Pour supprimer une section et son contenu, sélectionnez-la dans la présentation en
vignettes et appuyez sur la touche Suppr.
m Pour copier (ou couper) et coller une ou plusieurs sections, sélectionnez dans la présentation en vignettes la ou les sections à copier (ou couper) et choisissez Édition > Copier
(ou Édition > Couper).
Sélectionnez la section à la suite de laquelle vous désirez coller les sections, puis choisissez Édition > Coller.
Vous pouvez également copier puis coller une ou plusieurs sections en faisant glisser,
tout en maintenant la touche Option enfoncée, les sections sélectionnées vers un nouvel emplacement dans la présentation en vignettes. Les sections se déplacent alors afin
de laisser de la place à votre collage à mesure que vous faites glisser la souris.
m Pour coller une copie des sections sélectionnées juste après celles-ci, sélectionnez les
sections puis choisissez Édition > Dupliquer.
Réorganisation des sections
Réorganisez votre document Pages de manière efficace à l’aide de vignettes.
Voici différentes manières de réorganiser des sections :
m Pour sélectionner une ou plusieurs sections dans la présentation en vignettes, cliquez
sur une page. Un cadre jaune entoure toutes les vignettes représentant les pages faisant partie de la même section que la page sélectionnée.
Pour sélectionner plusieurs sections adjacentes, maintenez la touche Maj enfoncée,
puis sélectionnez la première et la dernière sections souhaitées.
Vous pouvez également sélectionner plusieurs sections par le biais de la souris. Cliquez
à gauche ou à droite d’une vignette de page, puis faites glisser la souris de haut en bas
afin de sélectionner les sections adjacentes.
m Pour déplacer des sections, sélectionnez-les, cliquez sur une vignette de page dans
l’une des sections sélectionnées, puis faites-les glisser vers un nouvel emplacement
de la présentation en vignettes. Les sections se déplacent alors afin de laisser de la
place à votre insertion à mesure que vous faites glisser la souris.
Définition d’attributs de section
Lorsque vous insérez un saut de section, la nouvelle section du document hérite de
tous les attributs de mise en forme et de disposition de la section précédente. Pour
chaque section, vous pouvez modifier les réglages tels que les numéros de page, les
en-têtes et les pieds de page, les marges et les objets modèles.60 Chapitre 3 Utilisation de parties de document
La sous-fenêtre Section de l’Inspecteur de disposition permet de définir de nombreux
attributs de section.
Modification des en-têtes et des pieds de page dans une section
Vous pouvez définir des en-têtes et des pieds de page propres à une section. Vous pouvez également modifier les en-têtes et les pieds de page à l’intérieur d’une section.
Pour modifier les en-têtes et les pieds de page :
1 Placez le point d’insertion dans la section.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
de disposition et enfin sur Section.
3 Désélectionnez « Utiliser les en-têtes et les pieds de page précédents ».
4 Tapez le nouvel en-tête ou bas de page dans la zone d’en-tête ou de bas de page
du document.
Réinitialisation des numéros de page dans une section
Vous pouvez commencer un nouveau schéma de numérotation de page pour
une section.
Pour redémarrer la numérotation des pages dans une section de document :
m Cliquez dans la section, sélectionnez « Démarrer à » dans la sous-fenêtre Section de
l’Inspecteur de disposition, puis spécifiez le numéro de la première page de la section.
Configuration d’une mise en forme particulière pour la première page
d’une section
Vous pouvez créer un en-tête, un pied de page et des objets modèles différents pour
la première page d’une section.
Rendez la numérotation des pages continue par rapport à la section précé-
dente ou tapez un numéro afin de
redémarrer la numérotation des pages.
Faites apparaître des en-têtes, pieds de page et
objets modèles différents sur la page première
page ou les pages alternées, ou réutilisez les élé-
ment de la section précédente.
Faites en sorte que la nouvelle section commence
sur une page de gauche ou de droiteChapitre 3 Utilisation de parties de document 61
Voici différentes manières de créer une première page de section particulière :
m Pour créer des en-têtes et des pieds de page particuliers sur la première page, cliquez
dans la section, sélectionnez « La première page est différente » dans la sous-fenêtre
Section de l’Inspecteur de disposition, puis modifiez l’en-tête et le pied de page tel que
le décrit la rubrique « Utilisation d’en-têtes et de pieds de page » à la page 52.
m Pour placer un objet modèle sur la première page, suivez les instructions de la rubrique « Utilisation d’objets modèles (images d’arrière-plan répétées) » à la page 62.
Mise en forme de pages opposées dans une section
Vous pouvez créer des en-têtes, des pieds de page et des objets modèles différents sur
les pages opposées d’une section.
Cliquez dans la section pour la sélectionner, puis mettez en forme ses pages opposées.
Voici différentes manières de mettre en forme des pages opposées dans une section
sélectionnée :
m Pour placer des en-têtes et des pieds de page différents sur des pages alternées, sélectionnez « Recto et verso différents » dans la sous-fenêtre Section de l’Inspecteur de disposition.
m Pour que la première page de la section commence toujours au recto ou au verso, choisissez Page verso ou Page recto dans le menu local « La section commence ». Dans le
cas contraire, choisissez N’importe quelle page.
m Pour placer un objet modèle sur les pages de gauche ou de droite, suivez les instructions de la rubrique « Utilisation d’objets modèles (images d’arrière-plan répétées) » à la
page 62.
Pour en savoir plus sur les pages opposées, reportez-vous à la rubrique « Utilisation de
pages opposées gauche et droite » à la page 50.
Définition de marges de section
Si vous souhaitez définir des marges différentes dans plusieurs sections d’un document, vous devez utiliser l’Inspecteur de disposition et modifier les marges de disposition. Pour en savoir plus sur la définition des marges de disposition, reportez-vous à la
rubrique « Définition de marges de disposition » à la page 49.
Réutilisation de sections
Vous pouvez faire en sorte qu’une section de document soit réutilisable en l’ajoutant
au menu local qui apparaît lorsque vous cliquez sur Pages dans la barre d’outils.62 Chapitre 3 Utilisation de parties de document
Pour réutiliser des pages, voire toutes, dans la section à laquelle elles appartiennent :
1 Sélectionnez la section en mode de présentation en vignettes.
2 Choisissez Format > Avancé > Capturer des pages.
3 Dans la zone de dialogue qui s’affiche, attribuez un nom aux pages, utilisez le menu
local Inclure pour indiquer quelles pages vous voulez réutiliser puis cliquez sur OK.
Ces pages sont alors disponibles dans le menu local qui apparaît si vous cliquez sur
le bouton Pages de la barre d’outils.
Utilisation d’objets modèles (images d’arrière-plan répétées)
Vous pouvez ajouter des filigranes, des logos ou d’autres images d’arrière-plan qui
s’affichent au même endroit sur chaque page des document de traitement de texte
et de disposition de page. Ces graphismes répétés sont appelés objets modèles.
Si votre document est réparti en sections, vous pouvez placer différents objets modè-
les dans chaque section. Au sein d’une section, vous pouvez placer un objet modèle
différent sur la première page et sur les pages de droite et de gauche. Reportez-vous
aux rubriques « Configuration d’une mise en forme particulière pour la première page
d’une section » à la page 60 et « Mise en forme de pages opposées dans une section »
à la page 61 pour plus d’informations.
Pour ajouter un objet modèle :
1 Ajoutez un objet.
Reportez-vous à la rubrique « Utilisation des objets flottants et des objets incorporés »
à la page 147 pour obtenir plus d’informations sur les objets flottants.
2 Positionnez l’objet à l’endroit souhaité sur la page.
3 Choisissez Format > Avancé > « Déplacer l’objet vers le modèle de section », et vérifiez
que l’option Format > Avancé > « Rendre les objets modèles sélectionnables » n’est pas
sélectionnée.
Les poignées de sélection disparaissent de l’objet, de sorte que vous ne pouvez plus
le sélectionner.Chapitre 3 Utilisation de parties de document 63
Pour modifier ou déplacer un objet modèle, vous devez tout d’abord rendre les objets
modèles sélectionnables pour tout le document en choisissant Format > Avancé >
« Rendre les objets modèles sélectionnables » si la case correspondante n’est pas précé-
dée d’une coche. Les objets modèles pouvant être sélectionnés se présentent différemment des autres objets, car ils comportent des poignées de sélection bleues.
Utilisation d’une table des matières
Par le biais d’un modèle de traitement de texte, Pages peut générer automatiquement
une table des matières pour votre document. Bon nombre de modèles de traitement
de texte sont dotés d’une table des matières préformatée que vous pouvez ajouter à
votre document.
Pour créer une table des matières dans un document de traitement de texte, vous devez
utiliser des styles de paragraphe de manière uniforme pour les en-têtes de votre document. Pour en savoir plus sur les styles, reportez-vous aux rubriques « À propos des
styles » à la page 129 et « Application de styles » à la page 131.
Une fois la table des matières créée, vous pouvez la mettre en forme pour en modifier
l’aspect.
Création et mise à jour d’une table des matières
Chaque table des matières que vous créez au moyen d’un modèle de traitement de texte
répertorie uniquement le contenu qui suit, jusqu’à la prochaine table des matières. Si vous
souhaitez une table des matières modèle pour l’ensemble du document, il ne doit pas y en
avoir d’autre et elle doit obligatoirement se situer en début de document.
Pour créer une table des matières :
1 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
des documents et enfin sur Table des matières.
Les objets modèle comportent
des poignées de sélection bleues.64 Chapitre 3 Utilisation de parties de document
2 Sélectionnez les cases en regard des styles de paragraphe dont le texte doit apparaître
dans la table des matières. Par exemple, si vous souhaitez que tous les en-têtes de premier niveau et les sous-en-têtes apparaissent dans la table des matières, sélectionnez le
style de paragraphe que vous avez utilisé pour les en-têtes de premier niveau et pour
les sous-en-têtes.
Si les styles que vous sélectionnez ne sont pas utilisés ailleurs dans le document, un
message indique que la table des matières est vide lorsque vous la créez. Si vous sélectionnez des styles utilisés très fréquemment dans le document, votre table des matiè-
res risque d’être plus longue que prévu.
3 Dans la colonne des numéros, cochez les cases des styles dont vous souhaitez que
les entrées comportent un numéro de page.
4 Placez le point d’insertion au début de la ligne où la table des matières doit apparaître,
puis choisissez Insérer > Table des matières.
Si le modèle de traitement de texte que vous utilisez comporte une table des matières
prédéfinie, cliquez sur la page qui précède l’endroit où vous souhaitez l’insérer, cliquez
sur Sections dans la barre d’outils et choisissez ensuite Table des matières.
Pour mettre à jour la table des matières après avoir modifié un document, cliquez sur
une de ses entrées ou cliquez sur Mettre à jour dans la sous-fenêtre T. des matières de
l’Inspecteur des documents. Si vous ne mettez pas à jour la table des matières après
avoir modifié un document, elle le sera automatiquement lorsque vous le fermerez.
Cliquez pour mettre à jour
la table des matières après
avoir apporté des modifications à votre document.
Sélectionnez la case dans
la colonne « nº » si vous
souhaitez que des numé-
ros de page apparaissent
avec chaque entrée.
Sélectionnez les styles de
paragraphe dont le texte
doit apparaître dans la
table des matières.Chapitre 3 Utilisation de parties de document 65
Définition du style d’une table des matières
Vous pouvez modifier l’aspect du texte de la table des matières comme pour tout autre
texte dans un document de traitement de texte. Vous pouvez également ajouter une
ligne pointillée entre une entrée et son numéro de page associé et créer de nouveaux
styles de table des matières.
Pour modifier l’aspect d’une entrée de table des matières :
1 Dans la table des matières, sélectionnez le type d’entrée que vous désirez mettre en forme
(par exemple, un en-tête de niveau supérieur). Toutes les entrées du même type sont
sélectionnées automatiquement. Elles ne peuvent pas être sélectionnées séparément.
2 Pour ouvrir le tiroir des styles, cliquez sur le bouton du Tiroir des styles dans la barre
de format. Notez que le tiroir des styles affiche à présent une liste de styles de table
des matières. Le style de table des matières correspondant à l’entrée sélectionnée est
également sélectionné.
3 Pour modifier les attributs de police de l’en-tête de la table des matières, utilisez les
boutons la barre de format. Pour modifier les attributs de police, vous pouvez également utiliser le panneau des polices, l’Inspecteur de texte et la fenêtre des couleurs.
4 Pour créer des lignes pointillées d’une entrée jusqu’au numéro de page associé, sélectionnez l’entrée de la table des matières, cliquez sur l’onglet dans la colonne Taquets
de tabulation de la sous-fenêtre Tabulations de l’Inspecteur de texte, puis choisissez
un style de ligne dans le menu local Tirets.
5 Pour changer le style dans le tiroir des styles afin qu’il corresponde à l’entrée, cliquez sur
la flèche à droite du nom du style et choisissez Redéfinir le style à partir de la sélection.
Pour créer un style de table des matières à la place de celui-ci, cliquez sur la flèche à
droite du nom du style et choisissez « Créer un style de table des matières » à partir de
la sélection, puis attribuez un nom au nouveau style. Vous pouvez également ajouter
un nouveau style en cliquant sur le bouton d’ajout (+) dans l’angle inférieur gauche
du tiroir Styles. Dans un cas comme dans l’autre, saisissez un nom pour le nouveau
style, puis sélectionnez « Appliquer ce nouveau style à la création » si vous souhaitez
qu’il soit appliqué immédiatement au texte sélectionné.
6 Pour renommer le style dans le tiroir des styles, cliquez sur la flèche en regard du nom
du style, puis choisissez Renommer le style. Attribuez un nouveau nom au style.
Cliquez sur la flèche et déterminez si vous
devez redéfinir le style sélectionné, créer
un style ou simplement le renommer.
Lorsqu’une entrée de table des matières
est sélectionnée, le tiroir des styles affiche les styles de table des matières.4
66
4 Révision et correction
de documents
Dans ce chapitre, vous apprendrez à utiliser le suivi des
modifications, les commentaires et d’autres fonctionnalités
de Pages qui sont utiles lorsque vous révisez et corrigez
des documents.
Pages comprend plusieurs fonctionnalités qui s’avèrent particulièrement utiles lors
de la correction d’un document :
 Suivi des modifications : activez le suivi des modifications dans un document jusqu’à
ce que vous choisissiez d’accepter ou d’annuler les modifications.
 Commentaires : tout comme les notes en marge, les commentaires vous permettent
d’annoter un paragraphe sans le modifier.
 Modification de la couleur et de la police : elle permet d’attirer l’attention sur certaines parties d’un document en changeant le style de la couleur ou celui de la police.
Par exemple, choisissez la couleur d’arrière-plan orange pour plusieurs paragraphes,
puis utilisez un commentaire en début de document pour demander aux réviseurs
de vous aider à compléter les paragraphes qui apparaissent en orange.
Ce chapitre traite principalement du suivi des modifications et des commentaires. Pour
en savoir plus sur l’utilisation de la couleur et de la police pour rehausser le texte, consultez les sections « Mise en forme de la taille et de l’apparence du texte » à la page 80
et « Ajout d’accents et de caractères spéciaux » à la page 87. Vous trouverez des instructions relatives à l’utilisation de la couleur dans la section « Définition des couleurs de
remplissage des caractères et des paragraphes » à la page 112.Chapitre 4 Révision et correction de documents 67
Utilisation du suivi des modifications
Le suivi des modifications vous permet de contrôler les modifications apportées par
vous-même ou d’autres personnes au texte, à la mise en forme des caractères ou au
style des paragraphes.
Lorsque le suivi des modifications est activé, il est possible de voir :
 le texte ajouté, supprimé, modifié ou remplacé dans le corps, l’en-tête, le pied
de page, les figures et les zones de texte du document ;
 les tableaux, graphiques et figures incorporés ayant été ajoutés ou supprimés ;
 les ajouts, suppressions ou remplacements de paragraphes ;
 le texte dont le style a changé ;
 les modifications de mise en forme apportées aux paragraphes et caractères ;
 les nouveaux liens hypertexte, champs de Carnet d’adresses, paramètres fictifs
ou signets, ainsi que ceux qui ont été supprimés ;
 la nouvelle table des matières, ainsi que celle qui a été supprimée ;
 les modifications affichées dans la présentation en vignettes.
Cliquez pour activer ou
désactiver le suivi des
modifications.
Utilisez la barre des commandes
du suivi des modifications pour
gérer les modifications et naviguer dans le document.
Modifiez les bulles indiquant les
modifications apportées à votre
document.
Les corrections apportées à votre document
sont mises en surbrillance dans les vignettes de la page.68 Chapitre 4 Révision et correction de documents
Visite guidée du suivi des modifications
Le cas de figure ci-dessous montre comment utiliser le suivi des modifications pour
gérer des modifications apportées à un texte par deux réviseurs, Anne et Tom, et comment incorporer les changements au document.
1 Tom a ouvert un document et il active le suivi des modifications en cliquant sur le bouton Suivi des modifications de la barre d’outils.
Lorsque le suivi des modifications est activé, la barre des commandes Suivi des modifications est affichée sous la barre de format.
Ces commandes permettent de gérer les modifications et de naviguer de l’une à l’autre
dans le document. Pour en savoir plus sur la barre des commandes Suivi des modifications, reportez-vous à la section « Démarrage, pause et arrêt du suivi des
modifications » à la page 70.
2 Tom enregistre le document sans faire aucun changement, le ferme et le renvoie à
Anne. Cette version du document est la version originale.
Cliquez pour activer ou désactiver le suivi des modifications.
Cliquez sur Suivi des
modifications dans la
barre d’outils et la barre
des commandes correspondante apparaît.
La sous-fenêtre Commentaires
s’ouvre lorsque vous utilisez le
suivi des modifications.
Cliquez pour accepter ou annuler la ou les modifications sélectionnées.
Cliquez sur les flèches pour naviguer
entre les bulles de modification.
Cliquez pour ouvrir le
menu local Présentation du marquage.
Cliquez pour ouvrir
le menu Opération.
Cliquez pour désactiver le suivi des
changements.Chapitre 4 Révision et correction de documents 69
3 Anne ouvre le document et décide de changer certaines parties du texte.
Une bulle de modification signale ces changements.
4 Anne enregistre le document, le ferme et le renvoie à Tom par courrier électronique.
5 Tom ouvre le document et lit la version du texte dans laquelle figurent les modifications apportées par Anne.
Dans les exemples ci-dessous, le document original de Tom et la version modifiée
utilisent le suivi des modifications.
Le document affiche le texte original en noir et Anne y rajoute de la couleur.
6 Lorsque Tom ouvre le document, le texte original et le texte modifié et coloré sont visibles.
7 Tom trouve les révisions d’Anne appropriées et décide de les accepter. Il clique sur
la coche qui se trouve dans les bulles de modification d’Anne.
Le texte modifié
apparaît en couleur.
La bulle de modification affiche le nom
de l’auteur, la date et l’heure, ainsi que le
type de modification.
Le texte original
apparaît en noir.
Cliquez pour accepter les modifications.
Cliquez pour annuler les modifications.70 Chapitre 4 Révision et correction de documents
La bulle de modification disparaît. Le texte n’apparaît plus comme modifié et il est noir.
Pour obtenir des informations sur les autres méthodes qui permettent d’accepter
et de rejeter les modifications, reportez-vous à la section « Acceptation et rejet des
modifications » à la page 72.
Démarrage, pause et arrêt du suivi des modifications
Une fois le suivi des modifications activé pour un document, toutes les modifications
sont notées tant que vous ne suspendez ou n’arrêtez pas le suivi des modifications.
Voici différentes façons de contrôler le suivi des modifications :
m Pour activer le suivi des modifications, cliquez sur le bouton Suivi des modifications
dans la barre d’outils ou sélectionnez Édition > Suivre les modifications du texte.
Lorsque le suivi des modifications est activé, le panneau Commentaires s’ouvre et
la barre des commandes Suivi des modifications apparaît.
m Pour désactiver le suivi des modifications, cliquez sur le bouton de pause dans la barre
des commandes du suivi des modifications. Pour réactiver le suivi, cliquez sur Suivi : activé.
La pause conserve toutes les modifications précédentes mais suspend le suivi des
modifications jusqu’à ce que vous le redémarriez.
Suspendez le suivi des modifications lorsque vous souhaitez effectuer des modifications
sans qu’elles soient notées, par exemple, si vous décidez de modifier la couleur de l’ensemble du texte ou d’appliquer une nouvelle marge à tout le texte d’une section.
m Pour interrompre le suivi des modifications, cliquez sur le bouton Interrompre le suivi
dans la barre d’outils ou sélectionnez Édition > Désactiver le suivi.
Il est également possible de sélectionner l’option Désactiver le suivi dans le menu
Opération de la barre des commandes Suivi des modifications.
Si votre document comprend des modifications que vous n’avez pas encore acceptées
ou refusées, une zone de dialogue apparaît pour vous permettre d’annuler l’opération
ou d’accepter ou rejeter les modifications apportées au texte avant de continuer.
Sélectionnez pour interrompre
le suivi des modifications.Chapitre 4 Révision et correction de documents 71
Contrôle des informations du suivi des modifications
Le suivi des modifications permet de sélectionner la couleur des bulles de modification
et de réviser un document à l’aide de vignettes, entres autres possibilités.
Voici différentes façons de contrôler les informations du suivi des modifications :
m Pour masquer les marques de révision du texte, dans le menu local « Affichage des
marques de révision », choisissez « Masquer les marques de révision de texte ». Les
modifications de votre document s’affichent sans les préférences de marques de révision ou de couleur choisies par l’auteur. Pour faire apparaître les marques de révision
du texte, dans le menu local « Affichage des marques de révision », choisissez « Afficher
les marques de révision de texte ».
m Pour masquer le texte supprimé, dans le menu local « Affichage des marques de révision »,
choisissez Masquer le texte supprimé. Le texte barré devient invisible. Pour faire apparaître
le texte supprimé, dans le menu local « Affichage des marques de révision », choisissez Afficher le texte supprimé.
Il est possible d’afficher le texte supprimé dans différents styles de texte. Pour modifier
l’affichage du texte supprimé, dans le menu local des marques de révision choisissez Pré-
férences, puis sélectionnez un style de texte dans le menu local Style du texte supprimé.
m Pour masquer les bulles de modification, dans le menu local « Affichage des marques
de révision », choisissez « Masquer les bulles de modification ». La sous-fenêtre Commentaires se ferme et des barres de modification apparaissent en regard des parties
modifiées du document. Pour faire apparaître les bulles de modification, dans le menu
local « Affichage des marques de révision », choisissez « Afficher les bulles de
modification ».
m Pour sélectionner la couleur correspondant à l’auteur, dans le menu local « Affichage
des marques de révision » de la barre des commandes Suivi des modifications, choisissez « Sélectionner la couleur de l’auteur », puis choisissez votre couleur.
m Pour modifier la couleur de l’auteur, le style de vos marques de révision de texte et
le style du texte supprimé, choisissez Préférences dans le menu local « Affichage des
marques de révision ».
m Pour visualiser votre document sous forme de vignettes, dans la barre d’outils, cliquez
sur le bouton Affichage, puis choisissez « Afficher les vignettes de page ».
Les corrections apportées à votre document sont mises en surbrillance dans les vignettes de la page.
Choisissez le style d’affichage du texte modifié, la
couleur correspondant à l’auteur et l’ensemble des
préférences du suivi des modifications.72 Chapitre 4 Révision et correction de documents
Acceptation et rejet des modifications
Le suivi des modifications vous permet d’accepter ou de rejeter les modifications
apportées au texte de votre document Pages.
Voici plusieurs façons d’accepter ou de rejeter des modifications :
m Pour accepter une modification, sélectionnez le texte modifié et cliquez sur le bouton
Accepter la modification à l’intérieur de la bulle de modification ou bien cliquez sur le
bouton Accepter dans la barre des commandes Suivi des modifications.
m Pour annuler une modification, sélectionnez le texte modifié et cliquez sur le bouton
Rejeter la modification à l’intérieur de la bulle de modification ou bien cliquez sur le
bouton Rejeter dans la barre des commandes Suivi des modifications.
m Pour accepter des modifications, sélectionnez le texte qui contient les modifications d’édition que vous souhaitez conserver, puis, dans le menu Opérations de la barre des commandes Suivi des modifications, choisissez « Accepter les modifications sélectionnées ».
m Pour passer en revue les modifications avant de les sélectionner, cliquez sur une bulle
de modification de la sous-fenêtre Commentaires ou bien cliquez n’importe où dans
le corps du document, puis cliquez sur les boutons fléchés vers le haut ou vers le bas
de la barre des commandes Suivi des modifications.
m Pour rejeter des modifications, sélectionnez le texte qui contient les modifications que
vous ne souhaitez pas conserver, puis, dans le menu Opération, choisissez « Rejeter les
modifications sélectionnées ».
m Pour accepter toutes les modifications, choisissez « Accepter toutes les modifications »
dans le menu Opération.
m Pour annuler toutes les modifications, choisissez « Rejeter toutes les modifications »
dans le menu Opération.
Sélectionnez les bulles de modification pour revoir
les modifications apportées à votre document.
Cliquez sur les flèches pour
naviguer entre les bulles de
modification.Chapitre 4 Révision et correction de documents 73
Enregistrement avec le suivi des modifications désactivé
Désactivez le suivi des modifications pour enregistrer une copie de votre document
sans marques de révision mais avec les commentaires.
La désactivation du suivi des modifications avant d’enregistrer le document est utile
si vous souhaitez disposer d’une version dans laquelle les modifications ont toutes
été acceptées.
Pour enregistrer un document avec le suivi des modifications désactivé :
m Lorsque le suivi des modifications est activé, dans le menu Opération de la barre des
commandes Suivi des modifications, choisissez « Enregistrer une copie comme version
finale ». Toutes les modifications apportées à votre document sont acceptées.
Utilisation de commentaires
Les commentaires vous permettent d’annoter un document ou certaines de ses parties
sans le modifier. Les commentaires permettent de créer des notes pour vous-même, de
poser des questions aux relecteurs du document, de suggérer des changements au
rédacteur, etc.
Indiquez la partie du document à laquelle s’applique le commentaire en y plaçant
un point d’insertion ou en sélectionnant des mots ou des objets. Cette partie du document ainsi associée à un commentaire est appelée point d’ancrage du commentaire.
Sélectionnez pour enregistrer un
copie « propre » de votre document.
Cliquez sur Commentaire
pour ajouter un commentaire au document.
Les commentaires sont
affichés dans la sousfenêtre Commentaires et
rattachés à une partie
du document.74 Chapitre 4 Révision et correction de documents
Voici différentes façons de gérer des commentaires :
m Pour ajouter des commentaires au document, cliquez sur Commentaire dans la barre
d’outils ou sélectionnez Insertion > Commentaire.
Saisissez votre commentaire dans la bulle qui apparaît. La taille de la bulle de commentaire change en fonction de la longueur du texte.
m Pour modifier un commentaire, cliquez dans la bulle du commentaire et modifiez-le
comme s’il s’agissait de texte ou d’un objet se trouvant à n’importe quel autre endroit
dans votre document.
Utilisez les styles de paragraphes et de caractères pour modifier l’apparence du texte.
m Pour supprimer un commentaire, cliquez sur le bouton Supprimer qui se trouve dans
le coin droit de la bulle de commentaire.
m Pour voir les commentaires, cliquez sur le bouton Afficher, puis choisissez Afficher
les commentaires.
Si le suivi des modifications est activé, tous les commentaires et toutes les bulles de modification associés à la version actuelle sont visibles dans la sous-fenêtre Commentaires.
Si les commentaires ne sont pas visibles, le fait d’en insérer un fera apparaître tous ceux
qui existent.
m Pour masquer les commentaires, cliquez sur le bouton Affichage, puis choisissez Masquer
les commentaires.
m Pour imprimer les commentaires, choisissez Fichier > Imprimer. Les pages sont alors redimensionnées de sorte que les commentaires apparaissent sur le document imprimé.
Cliquez pour supprimer
le commentaire.5
75
5 Utilisation de texte
Ce chapitre décrit comment ajouter du texte et en modifier
l’apparence, notamment dans les listes, les zones de texte,
les cellules de tableau et les figures.
Ajout de texte
Ajoutez du texte en le saisissant dans un document de traitement de texte vierge, en
remplaçant le texte de paramètre fictif, en utilisant des zones de texte et des listes, en
plaçant du texte dans des figures, etc.
 Pour en savoir plus sur l’utilisation du texte de paramètre fictif dans les modèles et
les champs de Carnet d’adresses, reportez-vous aux sections « Utilisation du texte de
paramètre fictif » à la page 76 et « Utilisation des champs de Carnet d’adresses » à la
page 246.
 Pour ajouter des styles de texte différents ou créer vos propres styles, reportez-vous
à la section « À propos des styles » à la page 129.
 Pour ajouter de nouvelles pages de modèle, reportez-vous à la section « Ajout de
nouvelles pages modèle » à la page 78.
 Pour supprimer des pages de votre document, reportez-vous à la section
« Suppression de pages » à la page 79.
 Pour supprimer, copier et coller du texte, reportez-vous à la section « Supprimer,
copier et coller du texte » à la page 79.
 Pour ajouter du texte dans une zone de texte ou dans une figure, reportez-vous à
la section « Utilisation de zones de texte, de figures et d’autres effets pour faire ressortir le texte » à la page 108.
 Pour ajouter du texte sous forme de liste, reportez-vous à la section « Utilisation des
listes à puces, numérotées et ordonnées (Structures) » à la page 103.
 Pour ajouter du texte à des cellules de tableau, reportez-vous aux sections
« Utilisation de texte dans les cellules » à la page 194 ou « Utilisation du contenu des
cellules d’un tableau » à la page 193.76 Chapitre 5 Utilisation de texte
Utilisation du texte de paramètre fictif
Les modèles contiennent du texte de paramètre fictif, qui montre à quoi ressemblera
le texte et où il sera placé dans le document terminé. La plupart du texte de paramètre
fictif apparaît en latin (par exemple, lorem ipsum) dans le corps du document, les zones
de texte, les en-têtes et ailleurs. D’autres textes prédéfinis tels que le titre d’une lettre
d’informations apparaissent dans la langue que vous utilisez.
Vous devez sélectionner le texte de paramètre fictif, puis taper votre propre texte pour le
remplacer. Le texte que vous saisissez conserve le même style et la même mise en forme
que le texte de paramètre fictif. Si vous ne souhaitez pas utiliser le style et la taille de police
du texte de paramètre fictif, vous pouvez modifier le texte sélectionné en cliquant sur les
commande de famille et de taille de police dans la barre de format.
Paramètres fictifs dans les zones de texte principales
Lorsque vous cliquez sur un texte de paramètre fictif dans un modèle de document,
l’ensemble de la zone de texte est mis en surbrillance.
Lorsque vous tapez du texte, le texte de paramètre fictif disparaît et il est remplacé
par le texte que vous tapez. Celui-ci se comporte comme du texte standard.
Paramètres fictifs dans les zones de texte
Une partie du texte de paramètre fictif est contenue dans des zones de texte afin de
préserver la mise en forme. Lorsque vous cliquez sur des éléments de texte de paramè-
tre fictif se trouvant dans une zone de texte, une bordure rectangulaire grise apparaît
autour si l’affichage de la disposition est activé. Pour activer l’affichage de la disposition, cliquez sur Affichage dans la barre d’outils puis sélectionnez Afficher la disposition.
Pour sélectionner le texte d’un espace réservé dans une zone de texte :
m Cliquez une fois pour sélectionner la zone de texte, puis cliquez pour sélectionner
le texte à l’intérieur de la zone.
Texte de paramètre fictif. Si vous cliquez
dessus, la totalité de la zone de texte est
sélectionnée.Chapitre 5 Utilisation de texte 77
Le texte de paramètre fictif d’une zone de texte fait partie d’agencement par défaut
du modèle. Pour préserver de l’agencement, veillez à ne pas appuyer sur la touche
Suppr après avoir sélectionné la zone de texte car vous risqueriez de la supprimer
de la page. Si tel est le cas, appuyez sur la combinaison de touches Commande + Z
(raccourci permettant d’annuler une opération).
Paramètres fictifs dans les tableaux
Certains tableaux contiennent du texte de paramètre fictif. Lorsque vous sélectionnez
du texte qui se trouve à l’intérieur d’une cellule de tableau, un rectangle mis en surbrillance apparaît autour.
Pour sélectionner le texte d’un espace réservé dans un tableau :
m Cliquez une fois pour sélectionner le tableau, puis double-cliquez pour sélectionner
une cellule ainsi que le texte de son paramètre fictif.
Le texte à l’intérieur de la cellule est sélectionné en vue de sa modification lorsque
vous sélectionnez la cellule. Vous pouvez savoir qu’il s’agit de texte de paramètre fictif
s’il est en surbrillance. Dans le cas contraire, il s’agit de texte standard.
Le texte de paramètre fictif d’un tableau fait partie de la mise en page par défaut du
modèle. Pour préserver la mise en page, veillez à ne pas appuyer sur la touche Suppr
une fois le tableau sélectionné car vous risquez de supprimer la zone de texte de la
page. Si vous supprimez un tableau par accident, appuyez sur la combinaison de touches Commande + Z.
Vous pouvez aussi ajouter du texte à des cellules de tableau qui ne contiennent pas de
texte de paramètre fictif. Reportez-vous à la section « Utilisation du contenu des cellules d’un tableau » à la page 193 pour en connaître les instructions.
Paramètres fictifs dans les colonnes
Occasionnellement, les modèles peuvent contenir du de paramètre fictif apparaissant
dans des colonnes. L’utilisation de texte dans les colonnes est plus facile lorsque la disposition du document est visible. Pour afficher la disposition du document, cliquez sur
Affichage dans la barre d’outils puis sélectionnez Afficher la disposition.
Pour sélectionner le texte de paramètre fictif réservé dans une colonne :
m Cliquez sur le texte de paramètre fictif dans la colonne.
Cellule de tableau unique sélectionnée en vue de sa modification78 Chapitre 5 Utilisation de texte
Ajout de nouvelles pages modèle
Chaque page qui constitue un modèle Pages possède son propre agencement. Vous
pouvez utiliser les mises en pages affichées lors de la première ouverture du document. Si les mises en page ne satisfont pas à vos besoins, vous pouvez choisir parmi
des mises en page supplémentaires qui s’intègrent au modèle.
L’ajout de nouvelles pages de modèle vous permet d’ajouter rapidement des pages
qui contiennent déjà du texte, des images, des tableaux, des graphiques et d’autres
options de mise en forme que vous souhaitez utiliser.
Pour ajouter une nouvelle page de modèle :
1 Cliquez dans la section après laquelle vous souhaitez que la nouvelle page apparaisse.
Une section correspond à un groupe de pages partageant la même disposition, numé-
rotation des paragraphes ou tout autre attribut de document. Un chapitre correspond
par exemple à une section.
2 Cliquez sur les boutons Sections (modèles de traitement de texte) ou Pages (modèle
de disposition de page) dans la barre d’outils, puis choisissez un type de page à ajouter à votre document.
Reportez-vous à la section « Utilisation de sections » à la page 57 pour en savoir plus
sur l’utilisation des sections.
Sélectionnez des pages
supplémentaires dans le
menu local Sections ou
Pages.Chapitre 5 Utilisation de texte 79
Suppression de pages
Il existe plusieurs techniques pour supprimer des pages complètes.
Il existe plusieurs manières de supprimer une page :
m Pour supprimer une page sans supprimer d’autres pages de la même section, supprimez tout le texte et les objets de la page, ou bien sélectionnez la vignette correspondant à la page et cliquez sur Supprimer.
m Pour supprimer une section et toutes les pages qu’elle contient, cliquez sur Affichage
dans la barre d’outils puis choisissez « Afficher les vignettes de page ». Sélectionnez la
section dans la présentation en vignettes, puis cliquez sur la touche Supprimer. Pages
confirme quelles pages seront supprimées. Cliquez sur Supprimer.
m Vous pouvez également supprimer une section en cliquant sur un paragraphe de
la section puis en choisissant Édition > Supprimer les pages. Pages confirme quelles
pages seront supprimées. Cliquez sur Supprimer.
Pour en savoir plus sur les sections, reportez-vous à la section « Utilisation de sections »
à la page 57.
Supprimer, copier et coller du texte
Le menu Édition contient des commandes qui vous aident à effectuer des opérations
d’édition de texte.
Voici différentes manières de modifier du texte :
m Pour copier (ou couper) et coller du texte, sélectionnez le texte et choisissez Édition >
Copier ou Édition > Couper. Cliquez à l’endroit où vous souhaitez coller le texte.
Pour que le texte copié conserve la mise en forme du style, choisissez Édition > Coller.
Cliquez sur Édition > Coller le style et l’appliquer afin de modifier la mise en forme
du texte collé afin qu’elle corresponde à la mise en forme du texte situé autour.
m Pour supprimer du texte, sélectionnez le texte et choisissez Édition > Supprimer ou
appuyez sur la touche Suppr.
Si vous supprimez du texte par accident, choisissez Édition > Annuler pour le restaurer.
Lorsque vous utilisez la commande Copier ou Couper, le texte sélectionné est placé
dans une zone d’attente nommée Presse-papiers, dans laquelle il reste jusqu’à ce que
vous sélectionniez à nouveau la commande Copier ou Couper ou que vous éteigniez
votre ordinateur. Le Presse-papiers ne conserve qu’une seule opération de copie ou de
coupe à la fois.80 Chapitre 5 Utilisation de texte
Pour éviter de modifier involontairement la mise en forme d’un document en supprimant ses caractères de mise en forme en même temps que le texte, il est conseillé afficher les caractères de mise en forme (invisibles) avant de couper ou de supprimer du
texte. Pour afficher les caractères invisibles, cliquez sur Affichage dans la barre d’outils,
puis cliquez sur « Afficher les caractères invisibles ».
Sélection de texte
Avant de mettre en forme ou d’effectuer toute autre opération sur du texte, vous devez
sélectionner le texte que vous souhaitez utiliser.
Il est possible de sélectionner du texte de différentes manières :
m Pour sélectionner un ou plusieurs caractères, cliquez devant le premier caractère, et
faites glisser le curseur sur les caractères que vous souhaitez sélectionner.
m Pour sélectionner un mot, double-cliquez dessus.
m Pour sélectionner un paragraphe, cliquez trois fois dessus.
m Pour sélectionner tout le texte d’un document, choisissez Édition > Tout sélectionner.
m Pour sélectionner des blocs de texte, cliquez au début du bloc de texte, puis cliquez à
la fin d’un autre bloc de texte, tout en maintenant la touche Maj enfoncée.
m Pour effectuer une sélection depuis le point d’insertion jusqu’au début du paragraphe,
appuyez sur la touche Flèche vers le haut tout en maintenant les touches Maj et Option
enfoncées.
m Pour effectuer une sélection depuis le point d’insertion jusqu’à la fin du paragraphe,
appuyez sur la touche Flèche vers le bas tout en maintenant les touches Maj et Option
enfoncées.
m Pour étendre la sélection d’un caractère à la fois, appuyez sur la touche Flèche gauche
ou Flèche droite tout en maintenant la touche Maj enfoncée.
m Pour étendre la sélection d’une ligne à la fois, appuyez sur la touche Flèche vers le haut
ou Flèche vers le bas tout en maintenant la touche Maj enfoncée.
m Pour sélectionner plusieurs mots ou blocs de texte qui ne sont pas adjacents, sélectionnez la première portion de texte souhaitée, puis sélectionnez d’autres portions de texte
tout en maintenant la touche Commande enfoncée.
Mise en forme de la taille et de l’apparence du texte
Vous pouvez effectuer toutes les opérations de mise en forme à l’aide de la barre de
format, des menus Pages, de l’Inspecteur du texte, ou encore via le panneau Police.
Vous pouvez effectuer des opérations élémentaires de mise en forme du texte à l’aide
de la barre de format et du menu Format. Si vous souhaitez appliquer une mise en
forme avancée au texte, utilisez le panneau Police et l’Inspecteur du texte.Chapitre 5 Utilisation de texte 81
Utilisation de la barre de format pour mettre en forme le texte
La barre de format permet de modifier la taille et l’apparence du texte dans les zones
de texte, figures ou commentaires ou de rajouter un commentaire rapidement et simplement. Vous pouvez sélectionnez le texte dans une zone de texte, une figure ou un
commentaire pour modifier le style et la taille de la police, définir la couleur du texte
et de l’arrière-plan, mettre le texte en gras, en italique ou le souligner, l’aligner et définir l’interligne.
Lorsque vous sélectionnez du texte, la barre de format ci-dessous apparaît. Les quatre
premiers contrôles sont également disponibles dans la barre de format lorsque vous
sélectionnez du texte dans un tableau.
Utilisation du menu Format pour mettre en forme le texte
Les options du sous-menu Police du menu Format vous offrent un contrôle de base
de la taille et de l’apparence du texte.
Application de l’attribut Gras ou Italique au texte à l’aide des menus
Vous pouvez mettre les caractères en gras ou en italique.
Pour mettre un texte en gras ou en italique :
1 Sélectionnez le texte que vous souhaitez mettre en gras ou en italique, ou cliquez
à l’endroit où vous souhaitez saisir un nouveau texte.
2 Choisissez Format > Police > Gras. Ou choisissez Format > Police > Italique.
Certaines polices comportent plusieurs styles gras et italique. Pour choisir parmi
plusieurs styles gras et italique, utilisez le panneau Police. Reportez-vous à la section
« Utilisation du panneau Police pour mettre en forme le texte » à la page 83.
Encadrement de texte à l’aide des menus
Vous pouvez modifier le texte afin qu’il apparaisse avec un contour bien défini.
Pour créer du texte encadré :
1 Sélectionnez le texte auquel vous souhaitez appliquer un contour, ou cliquez à l’endroit
où vous souhaitez saisir un nouveau texte.
2 Choisissez Format > Police > Contour.
Changer de type de
caractère, de style et
de taille.
Définir la couleur du texte. Définir la couleur d’arrière-plan du texte.
Mettre du texte en gras, en italique ou souligner du texte.82 Chapitre 5 Utilisation de texte
Le texte encadré que vous créez dans Pages risque de ne pas avoir le même aspect si
vous ouvrez le document dans une autre application. Si vous envisagez de partager un
document contenant du texte encadré avec des personnes qui ne disposent pas de
Pages, exportez le document au format PDF puis partagez le fichier ainsi généré avec
les autres.
Soulignement du texte à l’aide des menus
Vous pouvez souligner du texte, puis mettre en forme le soulignement afin d’en modifier le style ou la couleur.
Pour souligner du texte :
1 Sélectionnez le texte que vous souhaitez souligner, ou cliquez à l’endroit où vous souhaitez saisir un nouveau texte.
2 Choisissez Format > Police > Souligner.
Pour modifier le style ou la couleur du soulignement, cliquez sur Polices dans la barre
d’outils et utilisez le bouton Texte souligné dans le panneau Police. Reportez-vous à la
section « Utilisation du panneau Police pour mettre en forme le texte » à la page 83.
La plupart des modèles comportent un style de caractère de soulignement. Pour afficher
les styles de caractère définis dans votre document, cliquez sur le bouton Styles de caractère de la barre de format. Sélectionnez le texte que vous souhaitez souligner, puis choisissez un style de caractère de soulignement parmi les styles de caractère présentés.
Modification de la taille du texte à l’aide des menus
Vous pouvez changer la taille du texte (en points) pour le rendre plus grand ou plus petit.
Pour changer la taille du texte sélectionné :
1 Sélectionnez le texte à redimensionner.
2 Pour changer la taille du texte par incréments de 1 point, choisissez Format > Police >
Plus grand. Ou choisissez Format > Police > Plus petit.
Vous pouvez également ajouter les icônes Plus grand et Plus petit à la barre d’outils.
Pour ce faire, choisissez Présentation > Personnaliser la barre d’outils et faites glisser
les icônes sur la barre d’outils, puis cliquez sur Terminé.
Pour spécifier une taille précise pour le texte sélectionné, cliquez sur Polices dans la
barre d’outils et utilisez les contrôles Taille du panneau Police. Reportez-vous à la section « Utilisation du panneau Police pour mettre en forme le texte » à la page 83.
Mise en indice ou en exposant du texte à l’aide des menus
Vous pouvez lever ou abaisser le texte par rapport à sa ligne de base.
Pour mettre le texte en indice ou en exposant :
1 Sélectionnez le texte que vous souhaitez lever ou abaisser, ou cliquez à l’endroit où
vous souhaitez saisir un nouveau texte.Chapitre 5 Utilisation de texte 83
2 Pour créer un indice ou un exposant dont la taille de police est inférieure à celle du
texte qu’il accompagne, choisissez Format > Police > Ligne de base > Indice. Ou choisissez Format > Police > Ligne de base > Exposant.
3 Pour élever ou abaisser le texte sans réduire la taille de la police, choisissez Élever ou
Abaisser dans le sous-menu Ligne de base.
4 Pour restaurer le texte à la même ligne de base que celle du corps de texte, choisissez
Valeur par défaut dans le sous-menu Ligne de base.
Vous pouvez également ajouter les icônes Indice et Exposant à la barre d’outils. Pour
ce faire, choisissez Présentation > Personnaliser la barre d’outils et faites glisser les icô-
nes sur la barre d’outils, puis cliquez sur Terminé.
Pour spécifier la quantité de texte à élever ou à abaisser, utilisez l’Inspecteur du texte.
Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur Autres et utilisez
les commandes de décalage de ligne de base.
Modification de la casse d’un texte à l’aide des menus
Vous pouvez rapidement faire passer des blocs de texte en majuscules ou en minuscules, ou transformer un texte en titre.
Pour changer la casse d’un texte :
1 Sélectionnez le texte que vous souhaitez modifier, ou cliquez à l’endroit où vous souhaitez saisir un nouveau texte.
2 Choisissez Format > Police > Majuscules puis sélectionnez une option dans le sous-menu.
Choisissez Tout en majuscule pour que le texte passe en majuscules.
Choisissez Petites majuscules pour que le texte passe en petites majuscules avec des
lettres plus grandes pour les capitales.
Choisissez Titre pour transformer un texte en titre, ce qui met la première lettre de chaque mot en majuscule.
Choisissez Aucun pour revenir à la capitalisation d’origine. Les caractères en majuscules
comme le premier mot de chaque phrase restent en majuscules mais toutes les autres
lettres passent en minuscules.
Utilisation du panneau Police pour mettre en forme le texte
Le panneau Police de Mac OS X vous permet d’accéder à toutes les polices installées sur
votre ordinateur. Il offre un aperçu des caractéristiques disponibles (telles que gras et italique) ainsi que de la taille de chaque police. Les boutons du panneau Police permettent
de souligner ou de barrer le texte, d’ajouter de la couleur et des ombres au texte. Vous
pouvez même modifier la couleur de la page d’arrière-plan dans le panneau Police.
Pour en savoir plus sur l’installation des polices, la création et la gestion de collections
de polices, ou la résolution de problèmes liés aux polices, consultez l’Aide Mac.84 Chapitre 5 Utilisation de texte
Pour ouvrir le panneau Police :
m Cliquez sur Polices dans la barre d’outils.
Vous pouvez modifier l’apparence de n’importe quel texte d’un document en le sélectionnant, puis en sélectionnant des options dans le panneau Police. Lorsque vous appliquez des changements de mise en forme dans le panneau Police, le texte sélectionné
change immédiatement, ce qui vous permet de tester différentes options de mise en
forme et de voir rapidement celui qui convient le mieux.
Voici un récapitulatif des actions que réalisent les boutons d’effets sur le texte, de gauche à droite :
 Le menu local Texte souligné vous permet de choisir un style de soulignement (trait
simple ou double, par exemple).
 Le menu local Texte barré vous permet de sélectionner un style de barrage du texte
(trait simple ou double, par exemple).
 Le menu local Couleur du texte permet d’appliquer une couleur au texte.
 Le menu local Couleur du document permet d’appliquer une couleur au fond d’un
paragraphe.
 Le bouton Ombre du texte applique une ombre au texte sélectionné.
 Les commandes « Opacité de l’ombre », « Flou de l’ombre », « Décalage de l’ombre »
et « Angle de l’ombre » contrôlent l’apparence de l’ombre.
Si les boutons d’effets de texte n’apparaissent pas, choisissez Afficher les effets dans
le menu local Action situé dans l’angle inférieur gauche du panneau Police.
Prévisualiser le type de caractère
sélectionné (pour cela, il peut être
nécessaire de cliquer sur Afficher
un aperçu dans le menu Action).
Sélectionner un type de caractère à appliquer au texte sélectionné dans votre document.
Sélectionner une taille
de police à appliquer au
texte sélectionné dans
votre document.
Menu Action
Créez des effets
intéressants à l’aide
de ces boutons.
Appliquer une ombre
au texte sélectionné.
Modifier l’ombre à
l’aide des contrôles
Opacité, Flou, Décalage
et Angle.
Recherchez des polices en
tapant un nom de police dans
le champ de recherche.Chapitre 5 Utilisation de texte 85
Simplification de l’utilisation du panneau Police
Si vous utilisez fréquemment le panneau Police, différentes techniques vous permettent de gagner du temps.
Voici quelques conseils d’utilisation du panneau Police :
m Pour localiser rapidement les polices que vous utilisez le plus souvent, placez-les dans
des collections de polices. Cliquez sur le bouton Ajout (+) pour créer une collection de
polices, puis faites glisser un type de caractère vers la nouvelle collection.
m Pour faciliter le changement fréquent de police, il suffit de laisser le panneau Police ouvert.
S’il occupe trop d’espace à l’écran, vous pouvez le réduire en faisant glisser le contrôle de
redimensionnement (dans l’angle inférieur droit du panneau), de sorte que seuls les familles
et styles de police de la collection sélectionnée soient visibles. Pour fermer le panneau, cliquez à nouveau sur le bouton Polices ou sur le bouton de fermeture situé dans l’angle
supérieur gauche.
Changement de polices à l’aide du panneau Police
Le panneau Police vous permet de contrôler complètement les polices. Utilisez les contrô-
les de taille et les réglages typographiques pour personnaliser l’apparence de votre texte.
Pour modifier la police du texte sélectionné :
1 Cliquez sur Polices dans la barre d’outils.
2 Dans le panneau Police, sélectionnez un style de police dans la colonne Famille, puis
sélectionnez le style dans la colonne Style.
Si vous ne voyez pas toutes les familles de police installées sur l’ordinateur, sélectionnez Toutes les polices dans la colonne Collections ou tapez le nom de la police recherchée dans le champ de recherche en bas du panneau Police.
Un aperçu de la police sélectionnée apparaît dans la sous-fenêtre d’aperçu en haut du
panneau Police. Si la sous-fenêtre d’aperçu ne s’affiche pas, choisissez Afficher l’aperçu
dans le menu local Action dans le coin inférieur gauche du panneau Police.
3 Réglez la taille de la police à l’aide du curseur ou d’autres commandes contrôlant la taille.
4 Ajustez les réglages de typographie de la police sélectionnée en choisissant Typographie
dans le menu local Action. Dans la fenêtre Typographie, cliquez sur les triangles d’affichage afin de visualiser et de sélectionner les différents effets typographiques disponibles
pour la police sélectionnée. Les effets typographiques disponibles dépendent de la police.
Reportez-vous à la section « Utilisation des fonctionnalités typographiques avancées » à la
page 90 pour obtenir plus d’informations.86 Chapitre 5 Utilisation de texte
Modification du soulignement à l’aide du panneau Police
Vous pouvez utiliser le panneau Police pour changer l’apparence des soulignements.
Pour modifier le soulignement du texte :
1 Cliquez sur Polices dans la barre d’outils.
2 Cliquez sur le bouton Soulignement de texte dans le panneau Police (premier bouton
à gauche) et choisissez Aucun, Simple ou Double dans le menu local.
3 Pour changer la couleur de soulignement, choisissez Couleur dans le menu local Soulignement de texte, puis sélectionnez une couleur dans la fenêtre Couleurs.
Ajout d’un attribut barré au texte à l’aide du panneau Police
Vous pouvez ajouter l’attribut barré au texte et utiliser une couleur de ligne différente
de celle du texte.
Pour ajouter un attribut barré au texte sélectionné :
1 Cliquez sur Polices dans la barre d’outils.
2 Cliquez sur le bouton Texte barré dans le panneau Police (deuxième bouton à partir de
la gauche), puis choisissez Aucun, Simple ou Double dans le menu local. Une ligne simple ou double barre le texte sélectionné de la même couleur que celui-ci.
3 Pour changer la couleur des lignes barrées, choisissez Couleur dans le menu local Texte
barré, puis sélectionnez une couleur dans la fenêtre Couleurs. La ligne barrée prend la
couleur sélectionnée dans la fenêtre Couleurs, mais le texte conserve sa couleur d’origine.
La plupart des modèles comportent un style de caractère de texte barré. Pour afficher
les styles de caractère définis dans votre document, cliquez sur le bouton Styles de
caractère de la barre de format. Sélectionnez le texte que vous souhaitez barrer, puis
choisissez un style de caractère de texte barré parmi les styles de caractère présentés.
Modification de la couleur du texte à l’aide du panneau Police
Les modifications apportées à la couleur du texte dans le panneau Police remplacent
celles apportées dans l’Inspecteur du texte, et inversement. (Pour en savoir plus sur
la modification de la couleur du texte à l’aide de l’Inspecteur du texte, reportez-vous
à la section « Modification de la couleur du texte » à la page 96.)
Pour modifier la couleur du texte sélectionné :
1 Cliquez sur Polices dans la barre d’outils.
2 Cliquez sur le bouton Couleur du texte dans le panneau Police (troisième bouton à partir
de la gauche), puis sélectionnez une couleur dans la fenêtre Couleurs. Reportez-vous à la
section « Utilisation de la fenêtre Couleurs » à la page 163 pour en connaître les instructions.Chapitre 5 Utilisation de texte 87
Modification de la couleur d’arrière-plan d’un paragraphe à l’aide
du panneau Police
Le panneau Police vous permet d’ajouter une couleur derrière un paragraphe.
Pour modifier la couleur d’arrière-plan d’un paragraphe sélectionné :
1 Cliquez sur Polices dans la barre d’outils.
2 Cliquez sur le bouton Couleur du document dans le panneau Police (quatrième bouton à partir de la gauche), puis sélectionnez une couleur dans la fenêtre Couleurs.
Reportez-vous à la section « Utilisation de la fenêtre Couleurs » à la page 163 pour
en connaître les instructions.
Vous pouvez également modifier la couleur d’arrière-plan dans l’Inspecteur du texte,
comme décrit dans la section « Définition des couleurs de remplissage des caractères
et des paragraphes » à la page 112.
Création d’ombres sur le texte à l’aide du panneau Police
Le panneau Police vous permet de créer et de mettre en forme des ombres sur le texte.
Pour ajouter des ombres au texte sélectionné :
1 Cliquez sur Polices dans la barre d’outils.
2 Cliquez sur le bouton Ombre du texte dans le panneau Police (cinquième bouton
à partir de la gauche).
3 Faites glisser le curseur Opacité de l’ombre (premier curseur à gauche) vers la droite
afin de rendre l’ombre plus foncée.
4 Faites glisser le curseur Flou de l’ombre (curseur du milieu) vers la droite afin de rendre
l’ombre plus floue.
5 Faites glisser le curseur Décalage de l’ombre (troisième curseur) vers la droite afin
de séparer l’ombre du texte.
6 Faites tourner la molette Angle de l’ombre afin de définir la direction de l’ombre.
Vous pouvez également définir les ombres du texte dans l’Inspecteur des graphismes,
comme décrit dans la section « Ajout d’ombres » à la page 158.
Ajout d’accents et de caractères spéciaux
Si vous devez taper des caractères avec des accents, des symboles mathématiques, des
flèches ou d’autres caractères spéciaux, vous pouvez utiliser les préférences International
ou la palette de caractères. Vous pouvez également voir où se trouvent les caractères sur
les claviers utilisés dans d’autres langues en utilisant le Visualiseur de clavier (vous pouvez par exemple voir la disposition des touches d’un clavier italien). Tous ces outils sont
intégrés à Mac OS X.88 Chapitre 5 Utilisation de texte
Ajout d’accents
Vous pouvez utiliser le Visualiseur de clavier des Préférences Système pour ajouter
des accents aux caractères.
Pour ajouter des accents :
1 Choisissez Pomme > Préférences Système et cliquez sur International.
2 Cliquez sur Menu Saisie, puis sélectionnez la case en regard de Visualiseur de clavier.
3 Choisissez Afficher le Visualiseur de clavier dans le menu Saisie à droite de la barre
de menus (celle qui ressemble à un drapeau ou à un symbole alphabétique).
Le Visualiseur de clavier affiche les caractères du clavier. (Si vous avez sélectionné
une disposition du clavier différente ou une méthode de saisie différente pour le clavier dans le menu Saisie, les caractères de la disposition du clavier sélectionnée s’affichent.) Par exemple, si vous choisissez Américain dans le menu Saisie, vous voyez dans
le Visualiseur de clavier les caractères qui s’affichent sur un clavier américain.
4 Pour mettre en surbrillance dans le Visualiseur de clavier les différents accents que vous
pouvez taper, appuyez sur Option, ou sur les touches Option + Maj.
Les touches accentuées sont entourées en blanc. En fonction du clavier, vous pouvez ne
pas avoir à appuyer sur les touches de modification pour afficher les caractères accentués.
5 Placez le point d’insertion dans le document à l’endroit où vous souhaitez taper.
6 Appuyez sur la touche de modification sur laquelle vous avez appuyé à l’étape 4
(Maj, Option, Option + Maj ou aucune) et appuyez sur la touche qui se trouve à la
même position que l’accent affiché dans le Visualiseur de clavier. Relâchez ensuite
la touche de modification et appuyez sur la touche correspondant au caractère que
vous souhaitez accentuer.
La touche accentuée modifie la touche que vous tapez ensuite. Par exemple, sur un clavier américain, pour afficher le caractère é, appuyez sur Option et sur E (la touche accentuée), puis appuyez sur E (la touche sur laquelle vous souhaitez que l’accent apparaisse).
Affichage des dispositions de clavier dans d’autres langues
Vous pouvez utiliser le Visualiseur de clavier des Préférences Système pour afficher
l’emplacement des caractères sur des claviers utilisés pour d’autres langues.
Des polices doivent être installées pour la langue que vous souhaitez voir dans
le Visualiseur de clavier.
Pour afficher les dispositions de clavier pour différentes langues :
1 Choisissez Pomme > Préférences Système et cliquez sur International.
2 Cliquez sur Menu Saisie, puis sélectionnez la case en regard de Visualiseur de clavier.
3 Pour afficher la disposition des caractères sur les claviers utilisés dans différents pays,
sélectionnez la case Sur en regard de la disposition du clavier du pays ou de la
méthode de saisieChapitre 5 Utilisation de texte 89
4 Choisissez Afficher le Visualiseur de clavier dans le menu Saisie à droite de la barre
de menus (celle qui ressemble à un drapeau ou à un caractère alphabétique).
Le Visualiseur de clavier affiche les caractères de la disposition du clavier ou de la méthode
de saisie sélectionnée dans le menu Saisie. Par exemple, si vous choisissez Américain dans
le menu Saisie, vous voyez dans le Visualiseur de clavier les caractères qui s’affichent sur un
clavier américain.
5 Pour afficher la disposition du clavier d’un autre pays, choisissez-la dans le menu Saisie.
Saisie des caractères spéciaux et des symboles
À l’aide de la palette de caractères Mac OS X, vous pouvez insérer des caractères spé-
ciaux, comme des symboles mathématiques, des lettres accentuées, des flèches et
autres « dingbats » et bien plus encore. Cette palette vous permet également de saisir
des caractères japonais, de chinois traditionnel, de chinois simplifié, de coréen ainsi
que d’autres langues.
Pour insérer des caractères spéciaux ou des symboles :
1 Placez le point d’insertion à l’endroit où le caractère ou symbole spécial doit apparaître.
2 Choisissez Édition > Caractères spéciaux afin d’ouvrir la palette de caractères (ou choisissez Caractères dans le menu local Action dans le coin inférieur gauche du panneau Police).
3 Choisissez le type de caractère que vous souhaitez afficher dans le menu local Afficher,
en haut de la palette de caractères. Si le menu local ne s’affiche pas, cliquez sur le bouton
dans le coin supérieur droit de la fenêtre afin d’afficher la partie supérieure de la fenêtre.
Cliquez de nouveau sur ce bouton afin de masquer la partie supérieure de la fenêtre.
4 Cliquez sur un élément de la liste de gauche afin de voir les caractères disponibles dans
chaque catégorie.
5 Double-cliquez sur le caractère ou le symbole de droite que vous souhaitez insérer
dans votre document, ou sélectionnez le caractère et cliquez sur Insérer.
Si le caractère ou le symbole présente des variantes, celles-ci s’affichent en bas de la
fenêtre lorsque vous cliquez sur le triangle Infos du caractère ou le triangle Variante de
police en bas de la palette. Double-cliquez dessus afin de l’insérer dans votre document.
Si le caractère n’apparaît pas dans votre document, cela signifie que Pages ne le prend
pas en charge.
Utilisation de guillemets courbes
Les guillemets courbes sont des guillemets ouvrant et fermant qui sont incurvés.
Le guillemet ouvrant est donc différent du guillemet fermant. Lorsque vous n’utilisez
pas de guillemets courbes, les guillemets sont droits et identiques.
Guillemets courbes
Guillemets droits90 Chapitre 5 Utilisation de texte
Pour utiliser des guillemets courbes :
m Choisissez Pages > Préférences, cliquez sur Correction automatique, puis cochez la case
Utiliser les guillemets courbes.
Utilisation des fonctionnalités typographiques avancées
Certaines polices, telles que Zapfino et Hœfler, présentent des fonctions typographiques
avancées, qui vous permettent de créer différents effets. Si vous utilisez une telle police
dans une zone de texte, vous pouvez modifier la plupart de ces effets via le sous-menu
Police du menu Format. Par exemple, vous pouvez ajuster les éléments suivants :
 Crénage : ajuste l’espacement entre les caractères.
 Ligature : utilise ou évite les styles élaborés entre les lettres, au début ou à la fin des
lignes combinant plusieurs caractères en un seul symbole graphique
Dans le sous-menu Ligature, choisissez Valeur par défaut pour utiliser les réglages de
ligature spécifiés dans la fenêtre Typographie pour la police que vous utilisez, choisissez Aucune pour désactiver les ligatures pour le texte sélectionné, ou choisissez Toutes pour activer des ligatures supplémentaires pour le texte sélectionné.
 Ligne de base : relève ou abaisse le texte par rapport au texte qui l’entoure.
 Majuscules : convertit tous les caractères en majuscules, en petites majuscules ou en
lettres capitales initiales (style de titre).
Des fonctions typographiques avancées sont disponibles dans la fenêtre Typographie.
Pour ouvrir la fenêtre Typographie :
1 Cliquez sur Polices dans la barre d’outils.
2 Dans le panneau Police, choisissez Typographie dans le menu local Action (dans le coin
inférieur gauche).
Pour activer les ligatures pour un document entier, cliquez sur le bouton Inspecteur
dans la barre de format, cliquez sur le bouton Inspecteur des documents, cliquez sur
Document puis sélectionnez « Utiliser les ligatures ». Pour désactiver les ligatures pour
un paragraphe spécifique, cliquez sur le paragraphe, ouvrez l’Inspecteur du texte, puis
cliquez sur Autres et sélectionnez « Supprimer les ligatures ».
Ligature non utilisée
Ligature utiliséeChapitre 5 Utilisation de texte 91
Réglage du lissage des polices
Si les polices apparaissent floues ou irrégulières à l’écran, vous pouvez modifier le style
de lissage des polices ou changer la taille du texte à partir de laquelle Mac OS X commence à lisser les polices.
Pour lisser les polices à l’écran :
1 Ouvrez les Préférences Système et cliquez sur Aspect.
2 Choisissez un style de lissage de police dans le menu local en bas de la fenêtre. En
fonction du type de votre écran, les différences entre les styles de lissage peuvent
vous paraître très légères.
3 Si vous envisagez d’utiliser des polices de petite taille dans votre document, choisissez
une taille de point dans le menu local « Désactiver le lissage du texte pour les polices
de taille ». Lorsque le lissage de texte (ou « anticrénelage ») est activé, les polices les
plus petites deviennent difficilement lisibles.
Définition de l’alignement, de l’interligne et de la couleur
du texte
Les principaux outils de réglage d’attributs de texte sont l’inspecteur du texte et la
barre de format. Vous pouvez aligner horizontalement le texte (le centrer ou l’aligner
à gauche, par exemple) grâce au menu Format.
Les contrôles de couleur et d’alignement sont également disponibles dans la barre de
format lorsque vous sélectionnez du texte dans un tableau. Lorsque vous sélectionnez
du texte dans une zone de texte, un commentaire ou une figure, vous pouvez définir la
couleur du texte et de l’arrière-plan, l’alignement du texte et l’interligne.
Lorsque vous travaillez sur du texte dans une cellule de tableau, utilisez la barre des
formats pour aligner le texte horizontalement ou verticalement dans la cellule.
Définir la couleur du texte et
de l’arrière-plan Aligner le texte horizontalement
Définir l’interligne
Aligner le texte horizontalement
Aligner le texte verticalement92 Chapitre 5 Utilisation de texte
La sous-fenêtre Texte de l’Inspecteur de texte contient d’autres réglages d’alignement
et d’interligne.
Il existe plusieurs façons d’ouvrir la sous-fenêtre Texte de l’Inspecteur du texte :
m Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
du texte et enfin sur Texte.
Les contrôles de couleur et d’alignement sont également disponibles dans la barre
des formats lorsque vous sélectionnez du texte dans un tableau.
m Dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur, cliquez sur le bouton Inspecteur
du texte, puis cliquez sur Texte.
Alignement horizontal du texte
Vous pouvez modifier l’alignement des paragraphes dans une page, une colonne, une
cellule de tableau, une zone de texte ou une figure afin d’aligner le texte du côté gauche ou droit, de le centrer ou de l’aligner à gauche et à droite (justifié).
Utilisez les boutons d’alignement dans la barre de format pour modifier rapidement
l’alignement du texte dans votre document. Pour cela, sélectionnez d’abord le texte
et cliquez sur les boutons d’alignement dans la barre de format.
Cliquez afin de modifier
la couleur
du texte sélectionné.
Boutons d’alignement horizontal : cliquez pour
aligner le texte sélectionné à gauche, à droite,
réparti à gauche et à droite ou placé au centre, ou
bien pour utiliser un alignement de cellule spécial.
Boutons d’alignement vertical :
cliquez sur ces boutons afin d’aligner le texte en haut, au centre
ou en bas d’une zone de texte,
d’une figure ou d’une cellule de
Espacement de car- tableau.
actères et de lignes :
permet de régler l’espacement de caractère, de
ligne et de paragraphe
pour le texte sélectionné.
Faites glisser afin d’ajuster la quantité d’espace entre
le texte et les bordures intérieures des zones de
texte, des cellules de tableau et des figures.
Bouton Inspecteur de
texte.Chapitre 5 Utilisation de texte 93
Pour aligner le texte à gauche, au centre, à droite ou pour le justifier en utilisant
l’Inspecteur du texte :
1 Sélectionnez le texte à modifier.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
du texte et enfin sur Texte.
3 Cliquez sur l’un des cinq boutons d’alignement horizontal situés à droite du cadre de
couleurs. De gauche à droite, ces boutons entraînent les effets suivants.
Le bouton Aligner à gauche place chaque ligne du texte le long de la marge gauche
de l’objet.
Le bouton Au centre fait coïncider le centre de chaque ligne du texte sur le centre
de l’objet.
Le bouton Aligner à droite place chaque ligne du texte le long de la marge droite
de l’objet.
Le bouton Justifier espace les caractères de chaque ligne afin que le texte se répartisse
entre les marges gauche et droite de l’objet.
Le bouton « Aligner automatiquement la cellule du tableau » place le texte à gauche
et les nombres à droite dans une cellule.
Les quatre premiers boutons d’alignement sont disponibles dans la barre de format lorsque vous sélectionnez du texte dans un tableau. Cinq boutons d’alignement horizontal
sont également disponibles dans la barre de format lorsqu’une cellule est sélectionnée.
Vous pouvez également aligner le texte horizontalement en choisissant
Format > Texte > Aligner à gauche, Centrer, Aligner à droite, Justifier.
Si vous souhaitez appliquer un retrait à la première ligne de texte d’un paragraphe,
ou pour savoir comment annuler un retrait, reportez-vous à la section « Création de
retraits » à la page 101.
Alignement vertical du texte
Vous pouvez modifier l’alignement des paragraphes dans une cellule de tableau, une
zone de texte ou une figure afin que le texte soit aligné le long de la bordure du haut
ou du bas ou centré entre les deux.
Pour aligner du texte en haut, au centre ou en bas d’une zone de texte, d’une cellule de tableau ou d’une figure :
1 Sélectionnez la zone de texte, la cellule de tableau ou la figure dont vous souhaitez
modifier l’alignement.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
du texte et enfin sur Texte.94 Chapitre 5 Utilisation de texte
3 Cliquez sur un des trois boutons d’alignement vertical, situés sous Couleur et alignement, pour aligner le texte en haut, au milieu ou en bas de la cellule du tableau, de
la zone de texte ou de la figure.
Les boutons d’alignement vertical sont également disponibles dans la barre de format
lorsque vous travaillez sur une cellule d’un tableau.
Réglage de l’espace entre les lignes du texte
Vous pouvez augmenter ou diminuer la distance entre les lignes du texte.
Utilisez la commande Interligne dans la barre de format pour modifier rapidement
l’espace entre les lignes du texte dans votre document. Pour régler l’interligne, sélectionnez d’abord le texte et cliquez sur la commande Interligne dans la barre de format.
Pour régler l’interligne à l’aide de l’Inspecteur du texte :
1 Sélectionnez le texte à modifier.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
du texte et enfin sur Texte.
3 Déplacez le curseur Ligne vers la gauche pour diminuer l’interligne et vers la droite
pour l’augmenter.
Pour spécifier une valeur d’interligne précise, saisissez une valeur de point dans le
champ Ligne ou cliquez sur la Flèche vers le haut ou vers le bas en regard du champ.
4 Choisissez une option d’interligne dans le menu local Espacement lignes qui apparaît
lorsque vous cliquez sur le texte situé en dessous du champ Ligne.
Espacement de ligne standard (Simple, Double, Multiple) : l’espacement entre les lignes
est proportionnel à la taille de la police. Utilisez cette option lorsque la distance relative
entre les hampes montantes (parties des lettres situées au-dessus du haut de la ligne)
et les hampes descendantes (parties situées sous le bas de la ligne) doivent rester fixe.
L’espacement simple définit un interligne simple et l’espacement double définit un
interligne double. L’option Multiple vous permet de définir des valeurs d’interligne
entre simple et double, ou supérieures à double.
Menu local Espacement de lignes :
cliquez sur le texte en dessous du
champ Ligne et choisissez une
option d’espacement entre les lignes.
Champ Ligne : pour définir
l’espace entre les lignes de
texte d’un paragraphe, saisissez une valeur (ou cliquez
sur les flèches).Chapitre 5 Utilisation de texte 95
Au moins : la distance d’une ligne à la suivante ne sera jamais inférieure à la valeur définie, mais elle peut être supérieure pour les polices plus grandes, afin d’empêcher les
lignes qui se chevauchent. Utilisez cette option lorsque la distance entre les lignes doit
rester fixe, mais le chevauchement n’est pas souhaitable si le texte s’agrandit.
Exactement : la distance entre les lignes de base.
Entre : la valeur définie accroît l’espace entre les lignes, et non leur hauteur. À l’inverse,
l’interligne double augmente donc la hauteur de chaque ligne de deux fois.
Vous pouvez également définir l’interligne à l’aide du menu local Interligne dans
la barre de format après avoir sélectionné le texte.
Réglage de l’espacement avant et après un paragraphe
Vous pouvez augmenter ou diminuer l’espacement avant et après les paragraphes.
Utilisez la commande Interligne dans la barre de format pour modifier rapidement
l’espace entre les paragraphes. Pour régler l’espace entre les paragraphes, sélectionnez
d’abord le texte et cliquez sur la commande Interligne dans la barre de format.
Pour ajuster la quantité d’espace avant ou après un paragraphe :
1 Sélectionnez les paragraphes à modifier.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
du texte et enfin sur Texte.
3 Faites glisser le curseur Avant le paragraphe ou Après le paragraphe. Vous pouvez
également saisir une valeur spécifique (par exemple, 5 pt) dans les zones de texte.
Si les valeurs des curseurs Avant le paragraphe et Après le paragraphe sont différentes
pour des paragraphes adjacents, la valeur d’espacement la plus élevée est utilisée. Par
exemple, si la valeur du curseur Avant le paragraphe du paragraphe actuel est de 12
points et que la valeur Après le paragraphe du paragraphe précédent est de 14 points,
l’espace entre ces deux paragraphes sera de 14 points.
L’espace avant un paragraphe n’apparaîtra pas si le paragraphe se trouve dans une
zone de texte, une figure ou une cellule de tableau.
Pour définir l’espacement autour du texte dans des zones, des figures et des cellules de
tableau, utilisez la commande Marge intérieure, décrite dans la section « Modification
de la marge intérieure du texte dans des objets » à la page 103.
Cliquez pour modifier l’espace
entre les lignes du texte.96 Chapitre 5 Utilisation de texte
Réglage de l’espace entre les caractères
Vous pouvez augmenter ou diminuer l’espace entre les caractères.
Pour ajuster l’écart entre des caractères :
1 Sélectionnez le texte que vous souhaitez modifier, ou cliquez à l’endroit où vous souhaitez saisir un nouveau texte.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
du texte et enfin sur Texte.
3 Faites glisser le curseur Caractère ou spécifiez un nouveau pourcentage dans le champ
Caractère.
Vous pouvez également régler l’écart entre des caractères sélectionnés en choisissant
Format > Police > Crénage et en sélectionnant une option dans le sous-menu.
Modification de la couleur du texte
Vous pouvez modifier la couleur du texte en utilisant la barre de format, l’Inspecteur
du texte et le panneau Police. Les modifications apportées au moyen de ces outils remplaceront les modifications effectuées avec d’autres outils.
Vous pouvez modifier la couleur du texte de deux façons :
m Cliquez sur le cadre de couleurs d’arrière-plan ou de texte dans la barre de format.
Dans le tableau des couleurs qui apparaît, sélectionnez une couleur en cliquant dessus
ou en cliquant sur Afficher les couleurs pour ouvrir la fenêtre Couleurs et obtenir plus
de choix.
m Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur du
texte. Cliquez ensuite sur Texte et sur le cadre de couleurs. La fenêtre Couleurs apparaît.
La section « Utilisation de la fenêtre Couleurs » à la page 163 contient des instructions
d’utilisation de la fenêtre Couleurs.Chapitre 5 Utilisation de texte 97
Définition de taquets de tabulation afin d’aligner le texte
Vous pouvez aligner le texte à des points spécifiques en définissant des taquets de tabulation dans un document, une zone de texte, une cellule de tableau ou une figure. Lorsque vous appuyez sur la touche de tabulation (ou simultanément sur la touche Option et
sur la touche de tabulation si vous travaillez dans une cellule de tableau), le point d’insertion (et tout le texte situé à sa droite) se déplace vers le taquet de tabulation suivant et le
texte que vous saisissez commence à ce point.
Vous pouvez définir rapidement des taquets de tabulation à l’aide des symboles de tabulation de la règle horizontale. Vous pouvez voir les symboles des taquets de tabulation
existants sur la règle horizontale en cliquant sur Affichage dans la barre d’outils, en choisissant Afficher les règles, puis en sélectionnant du texte dans la page.
Remarque : ne suivez pas ces instructions pour définir des taquets de tabulation dans
des listes. Pour obtenir des informations sur la mise en retrait des éléments d’une liste,
reportez-vous à la section « Utilisation des listes à puces, numérotées et ordonnées
(Structures) » à la page 103.
Réglage des taquets de tabulation à l’aide de la règle horizontale
Vous pouvez définir rapidement des taquets de tabulation à l’aide des symboles de tabulation de la règle horizontale. Vous pouvez voir les symboles des taquets de tabulation
existants sur la règle horizontale en cliquant sur Affichage dans la barre d’outils, en choisissant Afficher les règles, puis en sélectionnant du texte dans la page.
Pour définir des taquets de tabulation dans des listes, consultez la section « Utilisation
des listes à puces, numérotées et ordonnées (Structures) » à la page 103 pour plus
d’informations sur la mise en retrait des éléments d’une liste.
Voici différentes façons d’utiliser les règles :
m Pour afficher ou masquer les règles, cliquez sur Affichage dans la barre d’outils, et
choisissez Afficher les règles ou Masquer les règles.
m Pour changer les unités de mesure des règles, choisissez Pages > Préférences, cliquez
sur Général et choisissez une option dans le menu local « Unités de la règle ».
m Pour afficher les mesures sous forme de pourcentage de la distance par rapport à la
page, choisissez Pages > Préférences, cliquez sur Général et sélectionnez « Afficher en
pourcentage les unités de la règle ».
Des taquets de tabulation
bleus apparaissent sur la
règle horizontale lorsque
vous sélectionnez du texte
Tabulation avec des tabulations.
décimale
Tabulation à droite
Tabulation centrale
Tabulation à gauche98 Chapitre 5 Utilisation de texte
m Pour placer le point d’origine horizontal de la règle au milieu de la page, choisissez
Pages > Préférences , cliquez sur Général puis sélectionnez « Placer l’origine au centre
de la règle ».
m Pour afficher la règle verticale dans un document de traitement de texte, choisissez
Pages > Préférences, puis sélectionnez « Activer la règle verticale dans les documents
de traitement de texte ».
Lorsque vous modifiez les paramètres de la règle dans les Préférences de Pages, les
nouveaux réglages s’appliquent à tous les documents affichés dans Pages, jusqu’à
ce que vous changiez de nouveau les réglages.
Définition d’un nouveau taquet de tabulation à l’aide de la règle horizontale
Vous pouvez utiliser la règle horizontale pour ajouter un taquet de tabulation.
Pour créer un nouveau taquet :
1 Cliquez sur Afficher dans la barre d’outils et choisissez Afficher les règles.
2 Cliquez sur la règle horizontale pour placer le symbole de tabulation à l’endroit où vous
souhaitez insérer un taquet de tabulation.
3 Cliquez sur le symbole de tabulation en appuyant sur la touche Contrôle et choisissez
une option dans le menu local.
Tabulation de gauche : aligne le bord gauche du texte avec le taquet.
Tabulation centrale : place le centre du texte sur le taquet.
Tabulation de droite : aligne le bord droit du texte avec le taquet.
Tabulation décimale : dans le cas des nombres, aligne le caractère décimal (comme
la virgule ou le point) avec le taquet de tabulation. (Vous pouvez également définir le
caractère qui sert de caractère de tabulation décimale ; consultez la section « Définition
d’un nouveau taquet de tabulation à l’aide de l’Inspecteur du texte » à la page 100.)
Vous pouvez également double-cliquer de manière répétée sur le symbole de tabulation dans la règle jusqu’à ce que le type de tabulation souhaité apparaisse.
Modification d’un taquet de tabulation à l’aide de la règle horizontale
Vous pouvez modifier l’emplacement et le type de taquet de tabulation à l’aide de
la règle horizontale.
Pour modifier les taquets de tabulation :
1 Cliquez sur Afficher dans la barre d’outils et choisissez Afficher les règles.
2 Pour déplacer un taquet de tabulation, faites glisser son symbole bleu le long de
la règle horizontale.
Choisissez parmi ces
types de tabulation.Chapitre 5 Utilisation de texte 99
3 Pour changer le type de tabulation, cliquez tout en maintenant la touche Contrôle
enfoncée sur le symbole de tabulation et choisissez une option dans le menu local.
Vous pouvez également double-cliquer de manière répétée sur le symbole de tabulation dans la règle jusqu’à ce que le type de tabulation souhaité apparaisse.
Suppression d’un taquet de tabulation à l’aide de la règle horizontale
Vous pouvez supprimer rapidement un taquet de tabulation à l’aide de la règle horizontale.
Pour supprimer un taquet de tabulation :
1 Cliquez sur Afficher dans la barre d’outils et choisissez Afficher les règles.
2 Faites glisser la tabulation en dehors de la règle horizontale.
Définition de taquets de tabulation à l’aide de l’Inspecteur du texte
Chaque document comporte des taquets de tabulation intégrés, généralement espacés d’un demi pouce (1,25 cm) sur la page.
Dans la sous-fenêtre Tabulations de l’Inspecteur du texte, vous pouvez modifier l’espacement par défaut des tabulations ou le caractère de tabulation décimale de l’ensemble du document. Vous pouvez également définir des taquets supplémentaires dans
n’importe quel paragraphe, ou ajouter une ligne pointillée, de sorte que lorsque vous
appuyez sur la touche Tab, une ligne pointillée s’affiche pour la tabulation. Cela s’avère
utile, par exemple, pour l’insertion de lignes pointillées entre un titre de chapitre et son
numéro de page dans une table des matières.
Pour ouvrir la sous-fenêtre Tabulations de l’Inspecteur du texte :
1 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur du texte, puis sur Tabulations.
Définissez la valeur
du retrait de la première
ligne de chaque
paragraphe.
Si vous souhaitez appliquer un retrait à
un paragraphe par rapport aux marges
des pages, indiquez la valeur du retrait.
Ajoutez ou supprimez des taquets
de tabulation dans la colonne.
Choisissez une ligne pointillée pour les
taquets sélectionnés dans la colonne
Taquets de tabulation.
Dans le cas d’un taquet de tabulation
sélectionné dans la colonne Taquets de
tabulation, sélectionnez la façon dont
le texte doit être aligné.
Saisissez un nouveau
caractère
afin de modifier le
caractère de tabulation
décimale.
Définissez la distance par
défaut entre les tabulations.100 Chapitre 5 Utilisation de texte
Définition de la distance par défaut entre les tabulations
La distance par défaut entre les taquets de tabulation correspond généralement à un
demi pouce (1,25 cm), mais vous pouvez modifier cette distance à l’aide de l’Inspecteur
du texte.
Pour changer la distance des tabulations par défaut :
1 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
du texte et enfin sur Tabulation.
2 Utilisez le champ Tabulations par défaut pour définir la distance par défaut entre
les tabulations.
Définition d’un nouveau taquet de tabulation à l’aide de l’Inspecteur du texte
Vous pouvez utiliser le panneau Tabulation de l’Inspecteur du texte pour ajouter
un nouveau taquet de tabulation.
Pour créer un nouveau taquet :
1 Dans le document cliquez à l’endroit où vous souhaitez créer un nouveau taquet
de tabulation.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
du texte et enfin sur Tabulation.
3 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) dans le coin inférieur gauche de la sous-fenêtre
Tabulations de l’Inspecteur de texte. Le nouveau taquet apparaît dans la colonne
Taquets de tabulation.
4 Pour modifier l’emplacement du taquet de tabulation, double-cliquez sur celui-ci dans
la colonne Taquets de tabulation et tapez une nouvelle valeur.
5 Une fois le taquet de tabulation sélectionné, sélectionnez une option d’alignement pour
indiquer comment vous souhaitez aligner le texte au niveau du taquet de tabulation.
À gauche : aligne le bord gauche du texte avec le taquet.
Centrer : place le centre du texte sur le taquet.
À droite : aligne le bord droit du texte avec le taquet.
Décimale : dans le cas des nombres, aligne le caractère décimal (comme la virgule
ou le point) avec le taquet de tabulation.
6 Pour spécifier un caractère de tabulation décimale pour le document, tapez un nouveau caractère dans le champ Caractère de tabulation décimale.
7 Si vous souhaitez ajouter une ligne pointillée à la tabulation, choisissez un style de
ligne dans le menu local Tirets. Sinon, choisissez Aucun.Chapitre 5 Utilisation de texte 101
Modification d’un taquet de tabulation à l’aide de l’Inspecteur du texte
Vous pouvez modifier l’emplacement et le type des taquets de tabulation ainsi que le
caractère de tabulation décimale pour le document, à l’aide de l’Inspecteur du texte.
Pour modifier les taquets de tabulation :
1 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
du texte et enfin sur Tabulation.
2 Pour modifier l’emplacement du taquet de tabulation, double-cliquez sur celui-ci dans
la colonne Taquets de tabulation et tapez une nouvelle valeur.
3 Pour changer le type de tabulation, sélectionnez une option d’alignement.
4 Pour changer le caractère de tabulation décimale pour le document, tapez un nouveau
caractère dans le champ Caractère de tabulation décimale.
5 Pour modifier le réglage de la ligne pointillée, choisissez une option dans le menu
local Tirets.
6 Pour modifier l’espacement par défaut entre les tabulations, utilisez le champ Tabulations
par défaut.
Suppression d’un taquet de tabulation à l’aide de l’Inspecteur du texte
Vous pouvez supprimer rapidement un taquet de tabulation à l’aide de l’Inspecteur
du texte.
Pour supprimer un taquet de tabulation :
1 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
du texte et enfin sur Tabulation.
2 Sélectionnez le taquet de tabulation à supprimer dans la colonne Taquets de tabulation, puis cliquez sur le bouton Supprimer (–).
Création de retraits
Vous pouvez modifier l’espace entre le bord d’un paragraphe et les marges du document. Vous pouvez également modifier l’espace entre le texte et la bordure intérieure
d’une zone de texte, d’une figure ou d’une cellule du tableau.
Création de retraits de paragraphes à l’aide de l’Inspecteur du texte
L’Inspecteur du texte vous permet de définir des retraits pour les paragraphes.
Pour définir des retraits à l’aide de l’Inspecteur du texte :
1 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
du texte et enfin sur Tabulation.
2 Sélectionnez le ou les paragraphes à modifier.102 Chapitre 5 Utilisation de texte
3 Pour définir le retrait de première ligne, saisissez des valeurs dans les champs Alinéa
et Gauche sous Retraits du paragraphe. Si vous souhaitez que la première ligne soit en
retrait par rapport à la deuxième ligne, la valeur Alinéa doit être supérieure à la valeur
du champ Gauche. Si vous souhaitez que la première ligne dépasse le côté gauche de
la marge du paragraphe, la valeur du champ Alinéa doit être inférieure à la valeur du
champ Gauche.
4 Pour décaler un paragraphe à l’aide de la mise en retrait (afin d’inclure une longue citation, par exemple) saisissez une valeur dans les champs Gauche et Droit sous Retraits
du paragraphe.
Vous pouvez également faire glisser les symboles de marge dans la règle du document
pour modifier les marges des paragraphes sélectionnées.
Définition de retraits pour les paragraphes à l’aide de la règle
horizontale
Vous pouvez modifier le retrait d’un paragraphe en faisant glisser les contrôles de retrait
sur la règle du texte.
Pour définir des retraits à l’aide des règles :
1 Cliquez sur Affichage dans la barre d’outils et sélectionnez Afficher les règles.
2 Pour changer le retrait de droite, faites glisser le symbole de retrait de droite (triangle
bleu pointant vers le bas du côté droit de la règle horizontale) jusqu’à la position où
vous souhaitez que le bord droit du paragraphe se termine.
3 Pour changer le retrait de gauche, faites glisser son symbole (triangle bleu pointant
vers le bas du côté gauche de la règle) vers l’emplacement où le bord gauche du
paragraphe doit commencer.
Pour changer la marge gauche indépendamment du retrait gauche, maintenez enfoncée la touche Option lorsque vous faites glisser la souris.
4 Pour changer le retrait de la première ligne, faites glisser le retrait de première ligne
(rectangle bleu) jusqu’à l’emplacement où la première ligne doit commencer.
Si vous souhaitez que la première ligne reste alignée sur la marge de gauche, assurezvous que le rectangle est aligné avec le symbole de retrait de gauche.
Si vous souhaitez créer un retrait suspendu, faites glisser le rectangle vers la gauche
du symbole de retrait à gauche.
Retrait de première ligne Retrait de droite
Retrait de gaucheChapitre 5 Utilisation de texte 103
Modification de la marge intérieure du texte dans des objets
Vous pouvez modifier l’espace entre le texte et la bordure intérieure d’une zone de
texte, d’une figure ou d’une cellule de tableau. Cette mesure est appelée la marge inté-
rieure. La quantité d’espace que vous indiquez est appliquée de manière uniforme
autour du texte de chaque côté.
Définition de l’espace entre le texte et la bordure intérieure de son objet :
1 Si l’objet ne contient pas de point d’insertion, sélectionnez-le. (Si le point d’insertion se
trouve à l’intérieur de l’objet, appuyez sur Commande + Retour afin de quitter le mode
d’édition et sélectionnez l’objet.)
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
du texte et enfin sur Texte.
3 Faites glisser le curseur Marge intérieure vers la droite afin d’augmenter l’espace entre
le texte et la bordure intérieure de l’objet, ou tapez un nombre dans la zone Marge
intérieure et appuyez sur Retour. Vous pouvez aussi cliquer sur les flèches pour augmenter ou réduire l’espace.
Définition de retraits pour les listes
Utilisez l’inspecteur du texte pour définir le retrait des puces, des nombres et du texte
qui les accompagne dans les listes à puce, les listes numérotées et les listes ordonnées.
Reportez-vous à la section « Utilisation des listes à puces, numérotées et ordonnées
(Structures) » pour en savoir plus.
Utilisation des listes à puces, numérotées et ordonnées
(Structures)
Pages fournit des styles de puces et de numérotation prédéfinis permettant de créer
des listes simples ou ordonnées). Les listes à puces et numérotées sont des listes simples sans imbrication de hiérarchies d’informations comme celles d’une structure.
Génération automatique de listes
Lorsque vous utilisez la fonction de génération automatique de liste, Pages met automatiquement en forme une liste en fonction de ce que vous tapez. Pour utiliser cette
fonction, choisissez Pages > Préférences, cliquez sur Correction automatique, et assurez-vous que l’option « Détection automatique de listes » est activée.
Spécifiez la quantité d’espace souhaitée
autour du texte dans une zone de texte,
une figure ou une cellule de tableau.104 Chapitre 5 Utilisation de texte
Voici différentes façons de générer des listes automatiquement :
m Pour créer une liste à puces, appuyez sur Option + 8 pour inclure une puce (•) ou un
tiret (-), un espace, du texte, puis appuyez sur Retour.
m Pour créer des listes dont les symboles sont des astérisques (*) ou des tirets (-), tapez
une astérisque ou un tiret, un espace, du texte, puis appuyez sur Retour.
m Pour créer une liste dont les symboles sont des numéros ou des lettres, tapez
le numéro ou la lettre, un point, un espace, du texte, puis appuyez sur Retour.
Vous pouvez utiliser n’importe quel format de caractère du menu local Style de numé-
rotation de l’Inspecteur du texte. Pour accéder à ce menu, cliquez sur Puces dans l’inspecteur du texte et sur Numéros dans le menu local Puces et numérotation.
m Pour ajouter une nouvelle liste au niveau de retrait inférieur suivant, appuyez sur la touche de tabulation. Pour ajouter une nouvelle liste au niveau de retrait supérieur suivant,
appuyez simultanément sur la touche Maj et sur la touche de tabulation.
m Pour terminer votre liste, appuyez deux fois sur la touche Retour.
Utilisation des listes à puces
Même si vous pouvez utiliser la génération automatique de liste pour créer une liste à
puces simple, l’Inspecteur du texte vous offre de nombreuses options de mise en forme
des listes à puces. Pour plus d’informations sur la génération automatique de liste, consultez la section « Génération automatique de listes » à la page 103.
Vous pouvez également ajouter un style de liste à puces à l’aide des commandes de la
barre de format. Placez le point d’insertion à l’endroit où souhaitez que la liste débute,
cliquez sur le bouton Liste dans la barre des format, puis sélectionnez Puce.
Pour ajouter et mettre en forme une liste à puces à l’aide de l’Inspecteur du texte :
1 Placez le point d’insertion où vous souhaitez que la liste commence.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
du texte et enfin sur Liste.
3 Choisissez un style de puces dans le menu local Puces et numérotation.
Pour utiliser un caractère tapé comme puce, choisissez Puces de texte, puis sélectionnez le caractère dans la liste ou tapez un nouveau caractère dans le champ.
Cliquez afin d’afficher les styles
de liste dans le tiroir Styles.
Sélectionnez un style de liste afin
de l’appliquer au texte sélectionné.Chapitre 5 Utilisation de texte 105
Pour utiliser l’une des puces d’image intégrées à Pages, choisissez Puces d’image, puis
choisissez une image dans la liste déroulante.
Pour utiliser votre propre image comme puce, choisissez Image personnalisée dans
la zone de dialogue Ouvrir qui s’affiche.
4 Pour modifier la taille d’une puce d’image, spécifiez un pourcentage de la taille de
l’image d’origine dans le champ Taille. Ou, cochez la case « Adapter au texte » et spécifiez le pourcentage de la taille du texte. Cette option permet de conserver les proportions image-texte des puces même si vous modifiez la police du texte par la suite.
5 Pour régler l’espace entre les puces et la marge gauche, utilisez le champ Retrait des
puces. Pour régler l’espace entre les puces et le texte, utilisez le champ Retrait du texte.
6 Pour placer les puces plus haut ou plus bas par rapport au texte, utilisez le champ Aligner.
Vous pouvez utiliser ces techniques pour ajouter et mettre en retrait les éléments à
puces de votre liste:
 Pour ajouter une nouvelle rubrique au niveau de retrait actuel, appuyez sur Retour.
 Pour créer un paragraphe dissocié de la liste dans une rubrique, appuyez sur Retour
tout en maintenant la touche Maj enfoncée.
 Pour ajouter une nouvelle rubrique au niveau de retrait inférieur suivant, appuyez sur la
touche de tabulation. Pour ajouter une nouvelle rubrique au niveau de retrait supérieur
suivant, appuyez simultanément sur la touche Maj et sur la touche de tabulation. Vous
pouvez également cliquer sur une puce et maintenir le bouton de la souris enfoncé,
puis la faire glisser à droite, à gauche, en bas à droite ou encore en bas à gauche.
 Pour retrouver le texte normal à la fin de votre liste, appuyez sur Retour, puis choisissez Pas de puces dans le menu local Puces et numérotation. Vous pouvez également
régler le niveau de retrait.
Pour en savoir plus sur la modification de vos styles de liste ou sur la création d’une
liste personnalisée, consultez la section « Modification et création de styles de liste »
à la page 141.
Utilisation des listes numérotées
Même si vous pouvez utiliser la génération automatique de liste pour créer une liste
numérotée simple, l’Inspecteur du texte vous offre de nombreuses options de mise
en forme des listes numérotées. Pour plus d’informations sur la génération automatique de liste, consultez la section « Génération automatique de listes » à la page 103.
Vous pouvez également choisir un style de liste numérotée dans le tiroir Styles. Cliquez
sur le bouton du tiroir des styles dans la barre de format et sélectionnez le style de liste.
Si les styles de liste ne s’affichent pas dans le tiroir Styles, cliquez sur le bouton dans
l’angle inférieur droit du tiroir pour les afficher.106 Chapitre 5 Utilisation de texte
Voici deux façons d’ajouter et de mettre en forme une liste à puces :
m Placez le point d’insertion à l’endroit où vous souhaitez commencer la liste, cliquez sur
le bouton Liste dans la barre de format et sélectionnez Liste numérotée.
m Placez le point d’insertion à l’endroit où vous souhaitez commencer la liste, cliquez sur le
bouton Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur du texte et enfin
sur Liste. Choisissez Numéros dans le menu local Puces et numérotation, puis choisissez
le style de numérotation souhaité dans le menu local juste en dessous.
Pour régler l’espace entre les numéros et la marge gauche, utilisez le champ Retrait
des numéros. Pour régler l’espace entre les numéros et le texte, utilisez le champ
Retrait du texte.
Vous pouvez utiliser ces techniques pour ajouter et mettre en retrait les éléments de
votre liste :
 Pour ajouter une nouvelle rubrique au niveau de retrait actuel, appuyez sur Retour.
 Pour créer un paragraphe non numéroté dans une rubrique, appuyez sur Retour tout
en maintenant la touche Maj enfoncée.
 Pour ajouter une nouvelle rubrique au niveau de retrait inférieur suivant, appuyez
sur la touche de tabulation. Pour ajouter une nouvelle rubrique au niveau de retrait
supérieur suivant, appuyez simultanément sur la touche Maj et sur la touche de
tabulation. Vous pouvez également cliquer et maintenir enfoncé un nombre, puis
le faire glisser à droite, à gauche, en bas à droite ou encore en bas à gauche.
 Pour retrouver le texte normal à la fin de votre liste, appuyez sur Retour, puis choisissez Pas de puces dans le menu local Puces et numérotation. Vous pouvez également
régler le niveau de retrait.
 Pour ajouter un paragraphe existant à une liste numérotée, cliquez sur le paragraphe, choisissez un style de numérotation, puis cliquez sur « Continuer à partir de
la précédente ».
 Pour démarrer une nouvelle séquence numérotée dans une liste, cliquez sur
« Commencer à » puis spécifiez le numéro à partir duquel vous souhaitez que
la séquence commence.
Si vous souhaitez que les éléments de votre liste comportent des sous-rubriques avec
des titres (comme dans une description), utilisez une liste ordonnée plutôt qu’une liste
numérotée.
Pour en savoir plus sur la modification de vos styles de liste ou sur la création d’une
liste personnalisée, consultez la section « Modification et création de styles de liste » à
la page 141.Chapitre 5 Utilisation de texte 107
Utilisation de listes ordonnées (Structures)
Les listes ordonnées (ou structures) offrent des styles de numérotation différents pour
chaque niveau de retrait de la liste, ce qui vous permet de hiérarchiser vos informations. Par exemple :
 Vous pouvez créer une structure à l’aide d’une séquence numérotée comparable à
celle qui suit en partant du niveau le plus élevé vers les niveaux inférieurs : I, A, 1, a),
(1), (a), i), (1) et (a).
 Vous pouvez créer une structure de style plus administratif et formel, qui ajoute un
numéro ou une lettre supplémentaire à chaque niveau inférieur : 1, 1.1, 1.1.1, et ainsi
de suite.
Vous pouvez également choisir un style de liste ordonnée dans le tiroir Styles. Cliquez
sur le bouton du tiroir Styles dans la barre de format et sélectionnez le style de liste. Si
les styles de liste ne s’affichent pas dans le tiroir Styles, cliquez sur le bouton Styles de
liste dans l’angle inférieur droit du tiroir pour les faire apparaître.
Vous pouvez ajouter et mettre en forme des listes ordonnées à l’aide de l’Inspecteur
du texte.
Pour ajouter et mettre en forme une liste ordonnée :
1 Placez le point d’insertion où vous souhaitez que la liste commence.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
du texte et enfin sur Liste.
3 Pour créer une liste de style légal, choisissez Numérotation progressive dans le menu
local Puces et numérotation. Sinon, choisissez Numéros à la place.
4 Choisissez un style de numérotation dans le menu local qui se situe juste en dessous.
5 Pour régler l’espace entre les numéros et la marge gauche, utilisez le champ Retrait
des numéros. Pour régler l’espace entre les numéros et le texte, utilisez le champ
Retrait du texte.
Vous pouvez utiliser ces techniques pour ajouter et mettre en retrait les éléments de
votre liste :
 Pour ajouter une nouvelle rubrique au niveau de retrait actuel, appuyez sur Retour.
 Pour créer un paragraphe non numéroté dans une rubrique, appuyez sur Retour tout
en maintenant la touche Maj enfoncée.
 Pour ajouter une nouvelle rubrique au niveau de retrait inférieur suivant, appuyez
sur la touche de tabulation. Pour ajouter une nouvelle rubrique au niveau de retrait
supérieur suivant, appuyez simultanément sur la touche Maj et sur la touche de
tabulation. Pour naviguer parmi les niveaux, vous pouvez également cliquer et maintenir enfoncé un numéro, puis le faire glisser à droite, à gauche, en bas à droite ou
encore en bas à gauche.108 Chapitre 5 Utilisation de texte
 Pour retrouver le texte normal à la fin de votre liste, appuyez sur Retour, puis choisissez Pas de puces dans le menu local Puces et numérotation. Vous pouvez également
régler le niveau de retrait.
 Pour ajouter un paragraphe existant à une liste numérotée, cliquez sur le paragraphe, choisissez un style de numérotation, puis cliquez sur « Continuer à partir de
la précédente ».
 Pour démarrer une nouvelle séquence numérotée dans une liste, cliquez sur
« Commencer à » puis spécifiez le numéro à partir duquel vous souhaitez que
la séquence commence.
Pour en savoir plus sur la modification de vos styles de liste ou sur la création d’une
liste personnalisée, consultez la section « Modification et création de styles de liste » à
la page 141.
Utilisation de zones de texte, de figures et d’autres effets
pour faire ressortir le texte
Les renvois et les barres latérales font ressortir le corps du texte principal dans un
document. Pages offre différents moyens de faire ressortir le texte :
 Ajout de texte à des zones de texte
 Ajout d’un arrière-plan (ou d’une couleur de remplissage) à des paragraphes
 Ajout de bordures et de filets au texte
 Saisie de texte dans les figures
Vous pouvez également utiliser des cellules de tableau pour les renvois. Pour en savoir
plus sur l’utilisation de tableaux, reportez-vous à la rubrique « Utilisation de tableaux »
à la page 185
Ajout de zones de texte
Vous pouvez ajouter des zones de texte afin de créer des blocs rectangulaires de texte
n’importe où sur votre page. Vous pouvez mettre en forme le texte à l’intérieur d’une
zone de texte comme vous le feriez avec n’importe quel autre texte, en modifiant des
couleurs, en ajoutant des ombres, en appliquant des styles, etc.
Ajout d’une zone de texte flottante
Lorsque vous ajoutez une zone de texte flottante, elle est ancrée à une position sur
la page afin que le corps du texte flotte autour d’elle. Vous pouvez déplacer la zone
de texte flottante en la sélectionnant puis en la faisant glisser.Chapitre 5 Utilisation de texte 109
Pour créer une zone de texte flottante :
1 Dans la barre d’outils, cliquez sur Zone de texte. Une zone de texte apparaît sur la page.
Il est possible de créer une zone de texte flottante en convertissant une zone de texte
incorporée dans un document de traitement de texte. Sélectionnez Insertion > Zone
de texte. Une zone de texte incorporée apparaît. Cliquez sur la zone de texte incorporée pour la sélectionner, puis sur le bouton Flottant dans la barre de format.
2 Dans la zone de texte, double-cliquez sur le texte et le type de paramètre fictif mis en
surbrillance.
3 Faites glisser les poignées de sélection afin de redimensionner la zone de texte et d’afficher le texte caché. Vous pouvez également créer des zones de texte liées, de sorte que
le texte qui dépasse s’insère de manière continue dans une autre zone de texte. Pour
en savoir plus sur les zones de texte liées, reportez-vous à la section « Liaison de zones
de texte flottantes » à la page 110.
4 Après avoir saisi votre texte, cliquez en dehors de la zone de texte. Vous pouvez également appuyer simultanément sur les touches Commande et Retour pour arrêter les
modifications et sélectionner la zone de texte.
Lorsque vous cliquez à l’extérieur d’une zone de texte, ses limites sont visibles uniquement si vous êtes en mode Présentation par vue. Pour afficher la disposition, cliquez sur
Affichage dans la barre d’outils, puis sélectionnez Afficher la disposition.
5 Faites glisser les poignées de sélection dans la zone de texte pour modifier sa largeur.
6 Faites glisser la zone de texte à l’endroit où vous souhaitez la placer sur la page.
7 Pour verrouiller la zone de texte sur la page afin qu’elle ne soit pas déplacée accidentellement pendant votre travail, sélectionnez-la, puis choisissez Disposition > Verrouiller.
Vous pouvez également dessiner une zone de texte flottante. Cliquez sur Zone de texte
dans la barre d’outils tout en maintenant la touche Option enfoncée, relâchez la touche
Option, puis faites glisser le viseur à travers la fenêtre du document pour créer une zone
de texte de la taille souhaitée.
Pour en savoir plus sur la modification de l’espacement entre le texte et l’intérieur
de la zone de texte et sur la modification de l’apparence d’une zone de texte même,
reportez-vous à la section « Mise en forme d’une zone de texte ou d’une figure » à la
page 115.
Ajout d’une zone de texte incorporée
Il est possible d’ajouter une zone de texte incorporée rattachée à du texte dans
une page d’un document de traitement de texte.110 Chapitre 5 Utilisation de texte
Pour ajouter une zone de texte incorporée :
1 Dans un document de traitement de texte, placez le point d’insertion à l’endroit où
vous souhaitez créer la zone de texte, sélectionnez Insertion > Zone de texte. Une zone
de texte incorporée apparaît à la place du point d’insertion sur la page.
Il est possible de créer une zone de texte incorporée en convertissant une zone de texte
flottante. Cliquez sur le bouton Zone de texte dans la barre d’outils. Une zone de texte
flottante apparaît. Cliquez sur la zone de texte flottante pour la sélectionner, puis sur le
bouton Alignement dans la barre de format.
2 Dans la zone de texte, double-cliquez sur le texte et le type de paramètre fictif mis
en surbrillance. La zone de texte ne s’étend pas automatiquement si vous tapez trop
de texte.
Lorsque vous cliquez à l’extérieur d’une zone de texte, ses limites sont visibles uniquement si vous êtes en mode Présentation par vue. Pour afficher la disposition, cliquez
sur Affichage dans la barre d’outils, puis sélectionnez Afficher la disposition.
3 Faites glisser les poignées de sélection afin de redimensionner la zone de texte
et d’afficher le texte caché.
Les poignées de sélection en haut des zones de texte incorporées sont inactives. Vous
ne pouvez pas faire glisser ces poignées pour redimensionner la zone de texte ; vous
pouvez le redimensionner en faisant glisser les poignées actives de couleurs blanche.
4 Positionnez la zone de texte sur la page en la faisant glisser. Une fois le point d’insertion situé à l’endroit où vous souhaitez que la zone de texte apparaisse, relâchez le
bouton de la souris.
Pour en savoir plus sur la modification de l’espacement entre le texte et l’intérieur
de la zone de texte et sur la modification de l’apparence d’une zone de texte même,
reportez-vous à la section « Mise en forme d’une zone de texte ou d’une figure » à la
page 115.
Liaison de zones de texte flottantes
Si le texte que vous tapez ne tient pas dans une zone de texte flottante, vous pouvez
créer une zone de texte liée, de sorte que le texte passe d’une zone à l’autre. Chaque
fois que vous éditez ou mettez en forme le texte de la première zone de texte, la zone
de texte liée est également modifiée. Les zones de texte liées peuvent être positionnées séparément les unes des autres dans le document.
Voici différentes manières d’utiliser des zones de texte liées :
m Pour créer une zone de texte flottante, reportez-vous à la section « Ajout d’une zone de
texte flottante » à la page 108.
Positionnez et redimensionnez la zone de texte en fonction de vos besoins, puis tapez-y
le texte.Chapitre 5 Utilisation de texte 111
Lorsqu’une zone de texte est pleine, un indicateur de découpage apparaît en bas
de la zone de texte. Il indique que le texte dépasse le bas de la zone.
m Pour lier une zone de texte à une autre zone de texte, ou pour créer une zone de texte
liée, cliquez sur le carré bleu à droite de la zone de texte, puis cliquez sur une autre
zone de texte ou à un emplacement de la page (ou choisissez Format > Zone de texte
> Insérer une boîte de texte liée). Pour annuler la liaison, appuyez sur Échap.
La nouvelle zone de texte comporte un carré bleu plein du côté gauche. Celui-ci indique que cette zone de texte est liée à une précédente.
m Pour lier des zones de texte sélectionnées, cliquez tout en maintenant la touche
Commande enfoncée pour sélectionner les zones de texte à lier, puis choisissez
Format > Zone de texte > Lier les zones de texte sélectionnées. Les zones de texte
sont liées dans l’ordre dans lequel vous les avez sélectionnées.
m Pour supprimer le lien entre les zones de texte liées, choisissez Format > Zone de texte
> Rompre la connexion entrant dans la boîte de texte, ou choisissez Format > Zone de
texte > Rompre la connexion sortant de la boîte de texte.
m Pour masquer les lignes de connexion entre les zones de texte, choisissez Format > Zone
de texte > Masquer les lignes de connexion. Pour afficher les lignes de connexion entre
les zones de texte, choisissez Format > Zone de texte > Afficher les lignes de connexion.
m Pour repositionner les zones de texte, sélectionnez-les puis faites-les glisser. L’enchaînement du texte à l’intérieur des zones suit toujours l’ordre dans lequel les zones ont été
créées, quel que soit l’emplacement où vous les positionnez dans le document.
Un indicateur de découpage
indique que le texte s’étend audelà de la zone de texte.
Cliquez sur le carré bleu à droite
afin de lier la zone à une autre
zone de texte ou de créer une
nouvelle zone de texte liée.
Un carré bleu à gauche
indique qu’il n’y a pas de
zones de texte liées avant
celle-ci.
Un carré bleu à droite
indique que cette zone
de texte est liée avant
une autre.
Un carré bleu indique que cette
zone de texte est la dernière de
cette série.
Un carré bleu à gauche
indique que cette zone
de texte est liée
à une zone précédente.112 Chapitre 5 Utilisation de texte
m Pour copier et coller des zones de texte liées, sélectionnez-les toutes, puis choisissez
Édition > Copier, puis Édition > Coller, sans désélectionner les zones de texte d’origine.
La copie est collée directement sur les zones de texte d’origine et est sélectionnée. Faites-glisser la copie ainsi sélectionnée vers le nouvel emplacement.
Si vous copiez et collez une zone liée unique, vous créez une zone de texte non liée
unique, identique à celle que vous avez copiée.
Si un tableau unique s’étend sur plusieurs zones de texte liées, vous devez copier ou
dupliquer la première zone de texte dans laquelle le tableau apparaît pour pouvoir
copier le tableau également.
m Pour sélectionner uniquement le texte dans toutes les zones de texte liées, sélectionnez le texte dans la première zone de texte, puis appuyez sur Commande + A.
Définition des couleurs de remplissage des caractères et des
paragraphes
Dans certains cas, vous souhaiterez peut-être mettre le texte en surbrillance en plaçant
une couleur de remplissage derrière le texte. Lorsque vous placez une couleur de remplissage de caractère ou de paragraphe derrière le texte, la couleur s’étend entre les
marges de disposition et se déplace avec le texte.
Utilisez les commandes de la barre de format pour ajouter rapidement une couleur
de remplissage de paragraphe ou de caractère au texte. Sélectionnez le texte et cliquez sur le cadre de couleurs d’arrière-plan ou de texte dans la barre de format.
Pour placer une couleur de remplissage de caractère ou de paragraphe derrière
le texte en utilisant l’Inspecteur de texte :
1 Sélectionnez le texte auquel vous souhaitez ajouter la couleur de remplissage.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
du texte et enfin sur Autres.
3 Cochez la case Caractère ou Paragraphe en dessous de Remplissages d’arrière-plan.
4 Cliquez sur le cadre de couleurs Remplissage et sélectionnez une couleur dans la fenê-
tre Couleurs. Pour en savoir plus sur la fenêtre Couleurs, reportez-vous à la section
« Utilisation de la fenêtre Couleurs » à la page 163.
Sélectionnez une couleur
de remplissage.
Sélectionnez l’option permettant de placer une
couleur de remplissage derrière le texte.Chapitre 5 Utilisation de texte 113
Ajout de bordures et de filets
Positionnez une ligne au-dessus, en dessous ou autour du texte dans votre document.
Utilisez les bordures et les filets pour faire ressortir le texte.
Pour ajouter des bordures et des filets à votre document :
1 Sélectionnez le texte auquel vous souhaitez ajouter des bordures et des filets.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
du texte et enfin sur Autres.
3 Choisissez un style de ligne d’écriture ou de bordure (ou Aucun) dans le menu local
Bordures et règles.
4 Pour changer la couleur de bordure ou de règle, cliquez sur le cadre de couleurs
ou sélectionnez une couleur.
5 Pour régler l’épaisseur d’une bordure ou d’une règle, utilisez les commandes situées
à droite du cadre de couleurs.
6 Pour insérer un filet au-dessus, en dessous ou à la fois en dessous et au-dessus du texte
sélectionné, cliquez sur les bouton situés sous le menu local Bordures et filets.
7 Pour insérer une bordure autour du texte sélectionné, cliquez sur le bouton de bordure
sous le menu local Bordures et filets.
8 Pour régler la distance entre les bordures et les filets et le texte, utilisez les contrôles
de décalage.
Présentation du texte en colonnes
Vous pouvez créer des colonnes dans une zone de texte ou une figure rectangulaire en
utilisant la sous-fenêtre Colonnes de l’Inspecteur du texte. Lorsque le texte a rempli une
colonne, il s’étend dans la colonne suivante.
Pour créer des colonnes et les mettre en forme :
1 Sélectionnez la zone de texte ou la forme rectangulaire dont vous souhaitez diviser
le texte en colonnes.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre de format, puis cliquez sur le bouton Inspecteur
du texte et enfin sur Colonnes.
Sélectionner un style
de ligne
Cliquez pour régler
l’épaisseur d’une ligne
Cliquez pour régler la distance
entre les bordures et les règles
et le texte sélectionné.
Cliquez pour changer la couleur
de la ligne
Cliquez pour disposer
la règle et le texte Cliquez pour
insérer une bordure autour du
texte sélectionné114 Chapitre 5 Utilisation de texte
3 Pour indiquer le nombre de colonnes souhaité, utilisez le champ Colonnes.
4 Pour utiliser des colonnes de même largeur, sélectionnez « Largeur de colonne
identique ».
Pour configurer des colonnes de largeur différente, désactivez la case « Largeur de colonne
identique », double-cliquez sur une valeur de colonne dans le tableau et saisissez une nouvelle largeur.
5 Pour modifier l’espace entre colonnes, double-cliquez sur une valeur de petit fond
et modifiez-la.
Ajout de texte dans une forme
Toutes les figures, à l’exception des lignes, peuvent contenir du texte.
Pour ajouter du texte à une figure :
1 Placez une figure à l’emplacement souhaité sur la page. Pour en savoir plus sur l’ajout
de figures, reportez-vous aux sections « Ajout d’une figure prédessinée » à la page 165
et « Ajout d’une figure personnalisée » à la page 166.
2 Double-cliquez sur la figure et tapez le texte souhaité. Si le texte s’étend au-delà de
la bordure de la figure, un indicateur de découpage apparaît.
3 Pour redimensionner la figure, sélectionnez-la et faites glisser les poignées de sélection.
Si le point d’insertion se trouve à l’intérieur de la figure, appuyez sur Commande + Retour
afin de quitter le mode édition de texte et sélectionnez la figure.
Vous pouvez mettre en forme du texte dans une figure. Vous avez également la possibilité de faire pivoter une figure tout en conservant le texte dans sa position horizontale. Après avoir fait pivoter la figure, sélectionnez Format > Figure > Réinitialiser les
poignées de l’objet et du texte.
4 Pour ajouter du texte à une figure faisant partie d’un groupe, double-cliquez dans la
zone de texte de n’importe quelle figure du groupe. Si vous redimensionnez le groupe,
tout ce qui le compose est également redimensionné, à l’exception du texte. Bien évidemment, vous avez toujours la possibilité de sélectionner le texte et de changer sa
taille de police.
Reportez-vous à la section « Regroupement et verrouillage d’objets » à la page 161
pour obtenir des détails sur le regroupement d’objets.
L’indicateur de découpage indique
que le texte s’étend au-delà des
bordures d’une figure.Chapitre 5 Utilisation de texte 115
Mise en forme d’une zone de texte ou d’une figure
Vous pouvez modifier l’espace entre le texte et la bordure intérieure d’une zone de texte,
d’une figure ou d’une cellule de tableau. Reportez-vous à la section « Modification de la
marge intérieure du texte dans des objets » à la page 103 pour en connaître les instructions.
Utilisez l’Inspecteur d’ajustement pour définir la façon dont le texte doit s’ajuster
autour d’une zone de texte ou d’une figure sur la page. Pour en savoir plus sur les ajustements de texte autour d’un objet, consultez la section « Ajustement de texte autour
d’un objet » à la page 118.
Utilisez l’Inspecteur des graphismes pour mettre en forme les bordures, les ombres et
l’opacité des zones de texte ou des figures. Pour en savoir plus sur la définition des propriétés des objets, reportez-vous à la section « Modification des objets » à la page 154
Vous pouvez créer des colonnes dans une zone de texte ou un rectangle en sélectionnant cette dernière ou ce dernier et en choisissant le nombre de colonnes souhaité,
comme vous le feriez pour ajouter des colonnes dans le corps du document. Pour plus
d’informations sur la création et le mise en forme de colonnes, reportez-vous à la section « Utilisation de dispositions » à la page 46.
Vous pouvez également placer des figures, des images et des graphiques dans des zones
de texte et des figures, et vous pouvez ajouter des tableaux dans des zones de texte. Les
objets ajoutés dans des zones de texte et des figures peuvent uniquement être ajoutés
sous forme d’objets incorporés. Pour en savoir plus sur l’ajout d’objets incorporés, reportezvous à la section « Utilisation des objets flottants et des objets incorporés » à la page 147.
Utilisation de liens et de signets
Les liens et les signets sont utilisés dans les documents qui seront affichés, soit sous
forme de fichiers HTML, soit en tant que documents Pages. Vous pouvez ajouter des
liens afin de passer à une autre page ou d’ouvrir une page web ou un message électronique sur Internet. Utilisez des signets pour marquer les passages du document auxquels vous souhaitez faire référence pendant votre travail.
Utilisez ce type de lien Pour accéder à Remarques
Page Web Une page dans un navigateur
Web
Indiquez l’URL de la page que
vous souhaitez ouvrir.
Message électronique Un nouveau message électronique avec l’objet et le destinataire spécifiés
Tapez l’adresse du destinataire
et un objet.
Signet Une autre page du même document
Naviguez rapidement à travers
le document pendant que vous
travaillez.116 Chapitre 5 Utilisation de texte
Lien vers une page Web
Vous pouvez ajouter un lien hypertexte qui ouvre une page web dans votre navigateur
web par défaut.
Pour ajouter un lien hypertexte qui ouvre une page web :
1 Sélectionnez le texte que vous souhaitez convertir en lien.
Si vous utilisez du texte qui commence par « www » ou « http », le texte se transforme
automatiquement en lien hypertexte. Pour désactiver cette fonction, choisissez Pages >
Préférences, cliquez sur Correction automatique, puis désactivez la case « Détecter
automatiquement les adresses électroniques et de page Web ». Ce paramètre est propre à chaque ordinateur. Par conséquent si le document est ouvert sur un ordinateur
dont la configuration est différente, c’est cette configuration qui est utilisée.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis cliquez sur le bouton
Inspecteur de lien, cliquez sur Lien, puis sélectionnez « Activer comme lien ».
3 Choisissez Page Web dans le menu local Relier à.
4 Tapez l’adresse de la page web dans le champ URL.
Lien vers un message électronique préadressé
Vous pouvez ajouter un lien hypertexte sur lequel vous pouvez cliquer pour créer un
message électronique préadressé dans votre application de messagerie par défaut.
Pour ajouter un lien hypertexte vers un message électronique :
1 Sélectionnez le texte que vous souhaitez convertir en lien.
Si vous incluez une adresse électronique dans un document, le texte se transforme
automatiquement en lien hypertexte. Pour désactiver cette fonction, choisissez Pages >
Préférences, cliquez sur Correction automatique, puis désactivez la case « Détecter
automatiquement les adresses électroniques et de page Web ». Ce paramètre est propre à chaque ordinateur. Par conséquent si le document est ouvert sur un ordinateur
dont la configuration est différente, c’est cette configuration qui est utilisée.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis cliquez sur le bouton
Inspecteur de lien, cliquez sur Lien, puis sélectionnez « Activer comme lien ».
3 Choisissez Message électronique dans le menu local Relier à.
Tapez l’URL vers laquelle
le lien doit renvoyer.
Le bouton Inspecteur des liens
Sélectionnez l’option
permettant de désactiver tous les liens, afin de
pouvoir les éditer
facilement.Chapitre 5 Utilisation de texte 117
4 Tapez l’adresse électronique du destinataire dans le champ À.
5 Vous pouvez également spécifier l’objet du message dans le champ Objet.
Lien vers des pages d’un document
Pour accélérer l’accès à des pages spécifiques d’un document, vous pouvez ajouter des
signets, puis cliquez sur le signet dans l’Inspecteur de lien pour atteindre la page portant le signet. Vous pouvez également ajouter un lien hypertexte qui mène à la page
portant le signet.
Voici différentes manières d’utiliser des signets dans un document :
m Pour créer un signet, sélectionnez le texte que vous souhaitez transformer en signet.
Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
de lien, sur Signet et enfin sur Ajouter (+).
m Pour accéder à un signet dans le document, cliquez sur un signet de la liste.
m Pour modifier le nom d’un signet, double-cliquez dessus dans la liste, puis effectuez
la modification.
m Pour trier les signets par nom ou par numéro de page, cliquez sur l’en-tête de la
colonne Nom ou Page.
m Pour ajouter de nouveaux signets, cliquez sur le bouton Ajouter (+).
m Pour supprimer un signet, sélectionnez-le dans la liste, puis cliquez sur le bouton
Supprimer (–).
Tapez l’objet du message.
Tapez l’adresse électronique
du destinataire du message.
Cliquez sur Nom ou sur Page
afin de trier la liste des signets.
Cliquez sur Ajouter ou
sur Supprimer
afin d’ajouter de nouveaux signets ou de supprimer un signet
sélectionné dans la liste.
Cliquez sur un signet afin d’y
accéder dans le document ;
double-cliquez dessus pour
modifier son nom.118 Chapitre 5 Utilisation de texte
m Pour ajouter un lien hypertexte qui mène à un signet, sélectionnez le texte que vous
souhaitez transformer en lien hypertexte, cliquez sur Lien dans l’Inspecteur de lien,
cochez la case « Activer comme lien », choisissez Signet dans le menu local Relier à,
puis choisissez le nom du signet.
Modification du texte d’un lien hypertexte
Vous pouvez modifier le texte d’un lien hypertexte de différentes manières.
Voici différentes façons de modifier le texte d’un lien hypertexte :
m Pour activer ou désactiver des liens hypertextes, cliquez sur le bouton Inspecteur de
la barre de format, cliquez sur Inspecteur de lien et enfin sur Lien, puis sélectionnez
« Désactiver tous les liens ».
m Cliquez à côté du texte du lien, puis utilisez les touches de direction pour déplacer
le point d’insertion dans le texte
Ajustement de texte autour d’un objet
Lorsque vous placez un objet (image, figure, graphique, etc.), vous pouvez décider de
la façon dont le texte doit s’ajuster autour de l’objet. Vous pouvez choisir de placer le
texte étroitement ou non autour de l’objet, ou faire en sorte que le texte s’affiche uniquement au-dessus et en dessous de l’objet, ou d’un côté de l’objet. Pour définir ces
options, utilisez l’Inspecteur d’ajustement.
Vous ne pouvez pas ajuster du texte autour des côtés d’un tableau.
Choisissez le nom
du signet.Chapitre 5 Utilisation de texte 119
Pour ouvrir l’Inspecteur d’ajustement :
m Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
d’ajustement.
Les réglages de l’Inspecteur d’ajustement ont des effets différents selon qu’il s’agit
d’objets flottants ou d’objets incorporés.
Ajustement du texte autour d’un objet flottant
Utilisez l’Inspecteur d’ajustement pour ajuster le texte autour d’un objet flottant.
Voici plusieurs manières d’ajuster du texte autour d’un objet flottant :
m Pour ajuster le texte au moyen de la barre de format, sélectionnez l’objet et choisissez
une option d’ajustement du texte dans le menu local Retour automatique dans la barre
de format.
m Pour ajuster le texte au moyen de l’Inspecteur d’ajustement, sélectionnez l’objet, cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, cliquez ensuite sur le bouton
Inspecteur d’ajustement, puis sélectionnez « L’objet provoque un retour automatique
à la ligne ».
Passez le pointeur par dessus les boutons d’ajustement de texte pour afficher un
résumé des différentes options d’ajustement de texte. Cliquez sur le bouton d’ajustement de texte qui correspond à la façon dont vous souhaitez ajuster le texte autour
d’un objet.
Le bouton Inspecteur d’ajustement
Choisissez de placer un
objet incorporé au texte
ou en position flottante
sur la page.
Ajustez le texte autour de
l’objet à l’aide des boutons
ci-dessous.
Définissez la quantité d’espace à
conserver autour de l’objet et du
texte qui l’entoure.
Cliquez afin que le texte
s’ajuste à l’objet plus ou
moins étroitement.
Configurez le pourcentage de transparence
de l’objet permettant de rendre le texte plus
ou moins visible.
Le texte s’ajuste à la
gauche de l’objet.
Le texte s’ajuste au-dessus
et au-dessous de l’objet.
Le texte s’ajuste à
la droite de l’objet.
Le texte s’ajuste uniquement autour du côté
droit ou gauche, en fonction du côté qui dispose du plus d’espace.
Le texte s’ajuste
autour de l’objet.120 Chapitre 5 Utilisation de texte
Ajustement de texte autour d’un objet incorporé
Utilisez l’Inspecteur d’ajustement pour ajuster le texte autour d’un objet incorporé.
Voici plusieurs manières d’ajuster du texte autour d’un objet incorporé :
m Pour ajuster le texte au moyen de la barre de format, sélectionnez l’objet et choisissez
une option d’ajustement du texte dans le menu local Retour automatique dans la barre
de format.
m Pour ajuster le texte au moyen de l’Inspecteur d’ajustement, sélectionnez l’objet, cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, cliquez ensuite sur le bouton
Inspecteur d’ajustement, puis sélectionnez « L’objet provoque un retour automatique
à la ligne ».
Passez le pointeur par dessus les boutons d’ajustement de texte pour afficher un
résumé des différentes options d’ajustement de texte. Cliquez sur le bouton d’ajustement de texte qui correspond à la façon dont vous souhaitez ajuster le texte autour
d’un objet.
Ajustement du texte autour d’un objet incorporé ou flottant
Utilisez l’Inspecteur d’ajustement pour ajuster le texte autour d’un objet incorporé
ou flottant.
Voici plusieurs manières d’ajuster du texte autour d’un objet incorporé ou flottant :
m Pour ajuster le texte plus étroitement autour d’un objet avec un canal Alpha, cliquez
sur le bouton « Faire tenir le texte » de droite. Pour qu’il s’ajuste de façon moins étroite,
cliquez sur le bouton « Faire tenir le texte » de gauche.
m Pour spécifier l’espace minimum que vous souhaitez laisser entre l’objet et le texte qui
l’entoure, saisissez une valeur dans le champ Espace supplémentaire.
Alignez l’objet à droite
et ajustez le texte du
côté gauche.
L’objet est centré entre
les lignes de texte.
Alignez l’objet à droite et ajustez le texte du côté gauche.
L’objet est aligné à gauche
entre les lignes de texte.
L’objet est aligné à droite
entre les lignes de texte.
Centrez l’objet et ajustez
le texte de chaque côté.Chapitre 5 Utilisation de texte 121
m Pour définir le pourcentage de canal alpha auquel vous souhaitez que le texte apparaisse en transparence, reportez-vous à la section « Suppression de l’arrière-plan ou
des éléments superflus d’une image » à la page 177.
Insertion de numéros de page et d’autres valeurs variables
Vous pouvez insérer des valeurs telles que des numéros de page, le nombre de pages
et la date et l’heure dans un document à l’aide de champs de textes mis en forme, qui
sont automatiquement mis à jour par Pages lorsqu’ils sont modifiés. Ces valeurs sont le
plus souvent insérées dans les en-têtes et les pieds de page (reportez-vous à la section
« Utilisation d’en-têtes et de pieds de page » à la page 52), mais vous pouvez aussi insé-
rer des champs de texte mis en forme à n’importe quel endroit de votre document.
Voici différentes façons d’insérer des champs de texte mis en forme :
m Pour ajouter des numéros de page, placez le point d’insertion à l’endroit où le numéro
de page doit apparaître, puis cliquez sur Insertion > Numéro de page.
Pour changer la mise en forme des numéros de page, cliquez sur un numéro de page
tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez un nouveau format
de numéro.
m Pour ajouter le nombre total de pages, placez le point d’insertion à l’endroit où le
nombre total de pages doit apparaître, puis cliquez sur Insertion > Nombre de pages.
Pour inclure le nombre total de pages à chaque numéro de page (comme « 2 sur 10 »,
par exemple), ajoutez un numéro de page , tapez « sur », puis choisissez Insertion >
Nombre de pages.
Pour changer la mise en forme des numéros de page, cliquez sur un numéro de page
tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez un autre format de
numéro.
m Pour ajouter et mettre en forme la date et/ou l’heure, placez le point d’insertion à
l’endroit où la valeur doit apparaître, puis choisissez Insertion > Date et heure.
Pour changer le format de date et d’heure, cliquez sur la valeur de date et d’heure tout
en maintenant la touche Contrôle enfoncée, sélectionnez « Modifier la date et l’heure »,
puis choisissez un format de date et d’heure dans le menu local. Pour que le document
affiche toujours l’heure et la date du jour, sélectionnez « Automatiquement actualiser à
l’ouverture ».
Le texte s’ajuste autour
des limites rectangulaires d’un objet.
Le texte s’ajuste plus étroitement
autour d’un objet avec un canal Alpha.122 Chapitre 5 Utilisation de texte
Utilisation de l’insertion automatique de tirets
Par défaut, Pages ajoute automatiquement un trait d’union aux mots s’ils doivent être
coupés à la fin d’une ligne.
Voici différentes manières d’activer ou de désactiver la coupure de mots :
m Pour activer ou désactiver l’ajout de traits d’union aux mots pour l’ensemble d’un document, cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur des documents et activez ou désactivez l’option Césure (dans le panneau Document).
m Pour désactiver la césure pour un paragraphe particulier, sélectionnez-le, puis cliquez
sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, cliquez sur le bouton Inspecteur
du texte, cliquez sur Autres, puis sélectionnez « Supprimer la césure du paragraphe ».
m Pour activer ou désactiver la césure pour un mot, cliquez sur le mot tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez « Ne jamais couper les mots » ou
« Permettre l’insertion de traits d’union » dans le menu local.
Remplacement automatique de texte
Pages peut être configuré de manière à reconnaître et remplacer certains éléments
de texte par d’autres. Par exemple, si vous tapez l’article mal orthographié « dse »,
Pages peut le remplacer automatiquement par « des ».
Pour configurer la fonction de substitution automatique de texte :
1 Choisissez Pages > Préférences.
2 Cliquez sur Correction automatique et définissez les réglages comme vous le souhaitez.
Pour convertir automatiquement les guillemets droits simples ou doubles en guillemets courbes afin que les guillemets ouvrants et fermants soient différents, sélectionnez « Utiliser les guillemets courbes ».
Pour être sûr que le premier mot d’une phrase commence bien par une majuscule,
cochez « Corriger les majuscules ».
Pour convertir automatiquement les lettres dans les suffixes numériques (comme 1er,
2ème, 3ème, etc.) en exposants, cochez la case « Suffixes numériques en exposant ».
Pour faire en sorte que Pages détecte et convertisse en liens hypertextes les adresses
électroniques ou URL que vous saisissez, cochez « Détecter automatiquement les adresses électroniques et de page Web ». Les URL et les adresses électroniques saisies se
changent alors automatiquement en liens pour Mail ou Safari.
Pour utiliser la génération automatique de liste, sélectionnez « Détecter automatiquement les listes ».Chapitre 5 Utilisation de texte 123
Pour remplacer un ou plusieurs caractères par d’autres, cochez « Substitution de texte
et de symbole ». Utilisez ensuite les rangs du tableau pour définir et activer les substitutions comme vous le souhaitez. Par exemple, si vous tapez le symbole du copyright sous
la forme (c), vous pouvez ordonner à Pages de le convertir automatiquement en © en
plaçant une marque dans la colonne Activé. Pour ajouter un rang au tableau et définir
l’élément de substitution, cliquez sur le bouton d’ajout (+). Pour supprimer un éléments
sélectionné, cliquez sur le bouton de suppression (-).
Après avoir indiqué les réglages de substitution, ces derniers s’appliqueront à tout
texte que vous modifiez ou ajoutez dans n’importe quel document Pages.
Insertion d’un espace insécable
Vous pouvez insérer un espace insécable entre des mots pour vous assurer qu’ils apparaîtront toujours sur la même ligne de texte.
Pour insérer un espace insécable :
m Appuyez sur la barre d’espace tout en maintenant la touche Option enfoncée.
Vérification de l’orthographe et de documents
Pages peut détecter les erreurs d’orthographe et d’écriture dans le document.
Recherche des mots mal orthographiés
Vous pouvez configurer le correcteur orthographique afin qu’il indique les erreurs lors
de la saisie, ou vous pouvez à tout moment vérifier l’ensemble du document ou du
texte sélectionné.
Les mots mal orthographiés sont soulignés en pointillés rouges.
Voici différentes manières de trouver les mots mal orthographiés :
m Pour vérifier l’orthographe en cours de saisie, choisissez Édition > Orthographe >
Vérifier l’orthographe lors de la frappe.
Pour désactiver la vérification orthographique en cours de saisie, cliquez sur Édition>
Orthographe > Vérifier l’orthographe lors de la frappe, puis désélectionnez cette option
(assurez-vous que la coche n’apparaît plus en regard de la commande du menu).
m Pour vérifier l’orthographe depuis le point d’insertion jusqu’à la fin du document, cliquez
pour placer le point d’insertion, puis choisissez Édition > Orthographe > Vérifier l’orthographe. Pour limiter la vérification orthographique à une portion particulière du document, sélectionnez le texte que vous souhaitez vérifier avant de choisir la commande.
Le premier mot mal orthographié est mis en surbrillance. Vous pouvez le corriger ou choisir de nouveau la même commande de menu afin de continuer à vérifier le document. 124 Chapitre 5 Utilisation de texte
Pour parcourir le texte plus rapidement, appuyez sur Commande + point-virgule (;)
afin de poursuivre la vérification du document.
m Pour vérifier l’orthographe et obtenir des suggestions de correction, choisissez
Édition > Orthographe > Orthographe.
La fenêtre Orthographe s’ouvre. Vous pouvez l’utiliser comme indiqué dans la rubrique
« Utilisation des suggestions de correction orthographique » à la page 124.
Utilisation des suggestions de correction orthographique
Utilisez la fenêtre Orthographe pour trouver des suggestions d’orthographe.
Pour utiliser les suggestions de correction orthographique :
1 Choisissez Édition > Orthographe > Orthographe.
La fenêtre Orthographe s’ouvre et le premier mot mal orthographié est mis en surbrillance.
À chaque langue correspond un dictionnaire différent. Pour vérifier que la langue est
correctement sélectionnée, cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format,
puis sur le bouton Inspecteur et cliquez sur Autres. Sélectionnez une langue dans le
menu local Langue.
2 Pour remplacer le mot mal orthographié dans le texte, double-cliquez sur le mot ou
l’orthographe correct dans la liste des propositions.
3 Si le mot correct ne figure pas dans la liste Propositions mais que vous en connaissez
l’orthographe, sélectionnez le mot mal orthographié dans la fenêtre Orthographe,
tapez le mot correct, puis cliquez sur Corriger.
4 Si le mot est bien orthographié et que vous souhaitez le laisser tel quel, cliquez sur
Ignorer ou sur Mémoriser l’orthographe. Cliquez sur Mémoriser l’orthographe si vous
utilisez souvent le terme et que vous souhaitez l’ajouter au dictionnaire.
Si vous avez utilisé Mémoriser l’orthographe et que vous souhaitez annuler l’effet de
cette opération, tapez le mot dans la zone de texte en dessous de la liste Propositions,
puis cliquez sur Effacer.
5 Si aucune autre suggestion n’apparaît dans la liste Propositions, sélectionnez le mot
mal orthographié dans la fenêtre Orthographe, puis essayez une autre orthographe.
Cliquez sur Propositions pour que de nouvelles suggestions apparaissent dans la liste
Propositions.
6 Cliquez sur Rechercher le suivant et répétez les étapes 3 à 6 jusqu’à ce que vous ne
trouviez plus aucune faute.
Vous pouvez également maintenir la touche Contrôle enfoncée et cliquer sur un mot
mal orthographié. Dans le menu local, vous pouvez choisir une autre orthographe, cliquer sur Mémoriser l’orthographe ou sur Ignorer.Chapitre 5 Utilisation de texte 125
Vérification de documents
Vous pouvez configurer le Vérificateur afin qu’il indique les erreurs d’écriture au cours
de la saisie, ou vous pouvez à tout moment vérifier l’ensemble du document ou du
texte sélectionné.
La vérification du document permet d’identifier les types d’erreur d’écriture suivants :
 Mauvaise utilisation des majuscules
 Erreurs de ponctuation (par exemple, si un espace est manquant après un point)
 Les doublons
 Utilisation de mots complexes ou peu courants
 Erreurs de formatage (par exemple, des abréviations qui devraient être écrites en
toutes lettres)
 Erreurs de contraction (par exemple, « lorsqu’aucun » au lieu de « lorsque aucun »)
 Jargon
 Erreurs d’orthographe
 Erreurs de genre
Recherche des erreurs d’écriture :
m Pour vérifier les erreurs d’écriture au cours de la saisie, choisissez
Édition > Vérification > Vérifier pendant la frappe.
Pour désactiver la vérification en cours de saisie, cliquez sur
Édition > Vérification > Vérifier pendant la frappe, puis désélectionnez cette option
(assurez-vous que la coche n’apparaît plus en regard de la commande du menu).
m Pour vérifier les erreurs d’écriture depuis le point d’insertion jusqu’à la fin du document,
cliquez pour placer le point d’insertion, puis choisissez Édition > Vérfication > Vérifier.
Pour limiter la vérification à une portion particulière du document, sélectionnez le texte
que vous souhaitez vérifier avant de choisir la commande.
La première erreur trouvée est mise en surbrillance. Vous pouvez le corriger ou choisir
de nouveau la même commande de menu afin de continuer à vérifier le document.
m Pour vérifier les erreurs d’écriture et obtenir des suggestions de correction, choisissez
Édition > Vérifications > Vérificateur.126 Chapitre 5 Utilisation de texte
Recherche et remplacement de texte
Vous pouvez rechercher toutes les instances d’un mot ou d’une expression dans votre
document et les remplacer éventuellement par un autre mot ou une autre expression.
Voici différentes manières de rechercher et de remplacer du texte :
m Choisissez Édition > Rechercher > Rechercher, cliquez sur Simple ou sur Avancé pour
configurer les critères de recherche/remplacement, puis cliquez sur un bouton pour
lancer les opérations de recherche/remplacement.
Simple : dans le champ Rechercher, tapez le texte que vous souhaitez rechercher, puis
tapez le texte par lequel vous souhaitez le remplacer dans le champ Remplacer.
Avancé : en plus de saisir le texte dans les champs Rechercher et Remplacer, vous pouvez définir d’autres critères de recherche/remplacement.
Tout remplacer : effectue automatiquement les opérations de recherche/remplacement
sans votre intervention.
Remplacer : remplace l’élément sélectionné par l’élément de substitution indiqué.
Remplacer et rechercher : remplace le texte recherché avec le texte de substitution
indiqué et recherche automatiquement l’occurrence suivante.
Suivant ou Précédent : recherche l’occurrence suivante ou précédente du texte recherché.
m Utilisez les autres commandes dans Édition > Rechercher.
Rechercher le suivant ou Rechercher le précédent : recherche l’occurrence suivante ou
précédente du texte recherché.
Rechercher la sélection : recherche l’occurrence suivante du texte sélectionné.
Aller à la sélection : affiche le texte sélectionné lorsqu’il n’apparaît pas à l’écran.
Recherche de toutes les occurrences de mots ou
d’expressions
Vous pouvez générer une liste de toutes les occurrences d’un mot ou d’une expression
spécifique (y compris de texte de paramètre fictif) dans votre document. Si vous sélectionnez un résultat de votre recherche dans la liste, la page contenant le texte correspondant s’affiche alors dans la zone d’affichage principale et le texte est mis en surbrillance. Chapitre 5 Utilisation de texte 127
Après avoir sélectionné un élément dans la liste de votre recherche, double-cliquez
dessus ou appuyez sur la touche Retour ou Entrée pour sélectionner le texte correspondant et le modifier dans la zone d’affichage principale.
Pages recherche le mot ou l’expression dans le texte du corps principal, des en-têtes
et des bas de page, des tableaux, des zones de texte, des figures, des notes de bas de
page et de fin ainsi que dans le texte des commentaires.
Pour lancer une recherche :
1 Pour afficher la barre latérale de recherche, cliquez sur Affichage dans la barre d’outils,
puis sélectionnez Afficher Rechercher.
2 Tapez le mot ou l’expression que vous recherchez dans le champ Rechercher. Les résultats s’affichent au fur et à mesure de votre saisie, incluant les références aux pages ainsi
que le texte avoisinant le terme recherché. Les recherches ne distinguent pas les majuscules des minuscules et vous ne pouvez pas rechercher parmi les caractères invisibles.
Par exemple, vous ne pouvez pas coller le symbole de marquage de paragraphe dans
un champ de recherche afin de retrouver ses occurrences.
3 Pour afficher un élément de la liste des résultats sur la page où il apparaît, cliquez
simplement sur l’élément. La page s’affiche avec le mot ou l’expression recherché
mis en surbrillance.
Tapez le mot ou l’expression voulu.
Sélectionnez un élément de la liste des
résultats afin de voir à quel endroit le mot
ou l’expression se trouve dans le document.128 Chapitre 5 Utilisation de texte
4 Pour modifier un mot ou une expression sélectionné dans la liste des résultats de recherche, double-cliquez dessus ou appuyez sur la touche Retour ou Entrée. Tapez directement
pour remplacer le texte sélectionné ou cliquez sur le texte pour le modifier.
5 Pour obtenir la liste des résultats des dix dernières recherches effectuées depuis l’ouverture du document, cliquez sur le triangle d’affichage du champ Rechercher et sélectionnez une recherche précédente dans la liste. Les résultats relatifs à la chaîne de recherche
apparaissent dans la liste.
Pour masquer la barre latérale de recherche, cliquez aussi sur Affichage dans la barre
d’outils, puis choisissez Masquer Rechercher.6
129
6 Utilisation de styles
Ce chapitre explique comment appliquer des styles aux
paragraphes, aux caractères et aux listes afin de modifier
rapidement et de manière cohérente l’apparence du texte.
Il explique également comment créer ou modifier des styles.
À mesure que vous rédigez et mettez en forme un document, il se peut que vous souhaitiez donner une apparence distincte aux différents types de texte et de paragraphe.
Par exemple, vous pouvez utiliser la même police, la même couleur et le même interligne pour tous les en-têtes de premier niveau, ou utiliser le même aspect pour toutes
les légendes de texte ou de photo.
Le moyen le plus simple pour que votre texte soit mis en forme de manière cohérente
dans l’ensemble du document est d’appliquer des styles. Les modèles de disposition
de page et de traitement de texte de Pages incluent plusieurs styles adaptés au type de
document sur lequel vous travaillez. Le nom des styles, tel que En-tête, Corps ou Légende,
suggère dans quels cas le style en question doit être utilisé. Si vous utilisez un modèle,
vous pouvez appliquer les styles prédéfinis à l’endroit où vous en avez besoin. Vous pouvez aussi modifier les styles des modèles ou créer vos propres styles.
L’utilisation de styles cohérents est également importante si vous créez une table des
matières dans un document de traitement de texte. Pour en savoir plus sur la création
de tables des matières, consultez la rubrique « Utilisation d’une table des matières » à la
page 63.
À propos des styles
Un style est une mise en forme prédéfinie que vous pouvez appliquer à du texte d’un
simple clic de souris. Par exemple, si votre document contient un style appelé Titre de
chapitre qui centre le texte, met ses caractères en gras et augmente la taille de la police
à 18 points, vous pouvez sélectionner du texte, ouvrir le tiroir Styles, puis cliquez sur
Titre de chapitre. Le texte est alors automatiquement centré, ses caractères deviennent
gras et la taille de sa police passe à 18 points.130 Chapitre 6 Utilisation de styles
Il existe trois types de style.
 Styles de paragraphe : ces styles peuvent être appliqués sur des paragraphes entiers
seulement (c’est-à-dire des portions de texte se terminant par un retour chariot) et
non sur de simples mots au sein des paragraphes. Il s’agit des styles pour les titres,
le corps du texte, les renvois, les légendes, les en-têtes et les pieds de page. Les styles de paragraphe peuvent inclure des spécifications de police, de taille, de couleur
de texte, d’espacement des caractères et des lignes, d’ombrage du texte, de couleur
d’arrière-plan, de retrait et de marge, de tabulation, etc. Si vous souhaitez créer une
table des matières pour un document de traitement de texte, vous devez utiliser des
styles de paragraphe lors de la création de titres dans votre document. La plupart
des documents utilisent plus de styles de paragraphe que de styles de caractère ou
de liste.
 Styles de caractère : vous pouvez appliquer un style de caractère à un groupe quelconque de caractères, y compris des mots ou des groupes de mots, ou des lettres
dans un paragraphe. Des couleurs ou des tailles de police différentes pour mettre en
évidence des mots ou des phrases sont des exemples courants de style de caractère.
Des styles de caractère peuvent être appliqués au texte d’un paragraphe sans qu’il
soit nécessaire de changer le style du paragraphe.
 Styles de liste : lorsque vous souhaitez créer des listes simples ou une structure, vous
pouvez appliquer des styles de liste à votre texte. Celles-ci mettent en forme automatiquement le texte avec des puces ou des numéros, selon le type de liste que vous choisissez. Vous pouvez également appliquer un retrait aux paragraphes en tant que blocs
en modifiant leur niveau de retrait de liste (reportez-vous à la rubrique « Utilisation des
listes à puces, numérotées et ordonnées (Structures) » à la page 103). Certains styles de
liste sont élémentaires, pour les listes simples, tandis que d’autres, tels que I. A. 1. a) et 1.
1.1. 1.1.1., permettent de créer des structures.
Le tiroir Styles affiche tous les styles disponibles pour le document sur lequel vous travaillez.
Voici différentes manières d’afficher ou de masquer le tiroir des styles :
m Cliquez sur le tiroir des styles dans la barre de format.
m Dans la barre d’outils, cliquez sur Afficher, puis choisissez « Afficher le tiroir Styles » ou
« Masquer le tiroir Styles ».
Si aucun style de caractère ou de liste ne s’affiche dans le tiroir Styles, cliquez sur le
bouton « Afficher les styles de caractère » ou sur le bouton « Afficher les styles de liste »
dans l’angle inférieur droit du tiroir Styles.Chapitre 6 Utilisation de styles 131
Application de styles
Il existe plusieurs techniques permettant d’appliquer des styles aux paragraphes, aux
caractères et aux listes.
Voici différentes manières d’appliquer des styles :
m Pour appliquer un style à un ou plusieurs paragraphes, sélectionnez les paragraphes
que vous souhaitez modifier ou sélectionnez l’intégralité d’une zone de texte, d’un
tableau, d’une cellule de tableau ou d’une figure contenant du texte. Cliquez sur le
bouton Styles de paragraphe de la barre de format, puis choisissez le style que vous
souhaitez appliquer.
Un style de paragraphe s’applique à l’ensemble du paragraphe. Si vous appliquez un
nouveau style de paragraphe à un texte disposant déjà d’un style, le style de liste ou
de paragraphe existant est remplacé.
m Pour appliquer un style de caractère, sélectionnez le ou les mots que vous souhaitez
modifier ou sélectionnez l’intégralité d’une zone de texte, d’un tableau, d’une cellule
de tableau ou d’une figure contenant du texte. Cliquez sur le bouton Styles de caractère de la barre de format et choisissez le style que vous souhaitez appliquer.
Il est possible d’appliquer un style de caractère à un texte sélectionné sans que cela
ne modifie les marges, l’alignement du texte ou tout autre type de mise en forme de
paragraphe ou de liste. Par ailleurs, les styles de caractère sont conservés même si vous
modifiez le style de liste ou de paragraphe du texte.
m Pour appliquer un style de liste, placez le curseur à un endroit quelconque à partir duquel
vous souhaitez commencer à taper votre liste, cliquez sur le bouton Style de la liste de la
barre de format, choisissez le style que vous souhaitez appliquer, puis saisissez votre liste en
appuyant sur Retour pour commencer un nouveau point numéroté ou précédé d’une puce.
Dans le tiroir Styles,
sélectionnez le style
à appliquer.132 Chapitre 6 Utilisation de styles
Un style de liste s’applique à l’ensemble du paragraphe. Il ne modifie pas l’apparence
du texte (par exemple, sa police, sa taille, etc.) qui est régie par le style de paragraphe
sous-jacent.
Si aucun style de caractère ou de liste ne s’affiche dans le tiroir Styles, cliquez sur le
bouton « Afficher les styles de caractère » ou sur le bouton « Afficher les styles de liste »
dans l’angle inférieur droit du tiroir Styles.
Importation de styles à partir d’un autre document
Lorsque vous importez un document à partir de Microsoft Word, tous les styles qu’il
contient sont importés dans le document Pages et peuvent ensuite être utilisés comme
n’importe quel autre style créé dans Pages.
Vous pouvez importer des styles qui ont été définis dans un autre document Pages
sans importer le contenu du document.
Pour importer des styles à partir d’un document Pages :
1 Choisissez Format > Importer des styles.
2 Sélectionnez le document contenant les styles à importer, puis cliquez sur Ouvrir.
3 Sélectionnez les styles à importer dans la zone de dialogue. Maintenez enfoncée la touche Commande en cliquant sur le nom des styles afin d’en sélectionner plusieurs, ou
cliquez sur Sélectionner tout.
4 Pour remplacer les styles de votre document qui portent le même nom que ceux que
vous importez, sélectionnez « Remplacer les éléments dupliqués ». Veuillez remarquer
que le fait de remplacer un style aura une incidence sur tout texte qui l’utilise. Le remplacement d’un style modifie également le style du texte des objets verrouillés, bien
que le texte conserve son aspect original.
Si un style importé porte le même nom qu’un style du document ouvert et que l’option
« Remplacer les éléments dupliqués » n’est pas sélectionnée, un numéro est ajouté à la fin
du nom du style importé. Par exemple, si vous importez un style nommé Corps dans un
document qui contient déjà un style appelé Corps, le nom « Corps 2 » sera attribué au
style importé.
Cliquez afin d’afficher
les styles de liste.
Cliquez à cet endroit pour
afficher les styles de caractère.Chapitre 6 Utilisation de styles 133
5 Cliquez sur OK.
Les styles de paragraphe importés seront disponibles en cliquant sur le menu local
Styles de paragraphe de la barre de format et dans le tiroir des styles de votre document. Les styles de liste et de caractère importés seront disponibles dans le tiroir Styles.
Pour assurer une certaine homogénéité de l’apparence entre plusieurs documents, conservez un original (document modèle) contenant tous les styles dont vous avez besoin.
Si vous devez changer un style, modifiez-le dans le document modèle et importez les styles de ce dernier dans les autres documents.
Modification du style d’un texte
Dans la plupart des cas, vous changez le style d’un texte en sélectionnant celui-ci et en lui
appliquant un autre style. En général, vous utilisez les techniques décrites dans la rubrique « Application de styles » à la page 131, mais vous pouvez aussi modifier les styles à
l’aide des fonctionnalités Rechercher/Remplacer ou Copier/Coller.
Si vous modifiez des attributs de texte particuliers sans sélectionner, remplacer ou coller
un nouveau style, vous effectuez ce que l’on appelle une substitution de style. Par exemple,
vous créez une substitution de style lorsque vous utilisez la commande Police du menu
Format pour mettre en italiques un paragraphe de texte mis en forme avec le style de paragraphe nommé Corps. Le texte est toujours mis en forme avec son style original (Corps),
mais vous avez appliqué des modifications (italiques) sur ses attributs de style par défaut.
Lorsque vous sélectionnez du texte auquel vous avez appliqué des substitutions de
style, la flèche en regard du nom du style dans le tiroir Styles est rouge. La flèche en
regard du nom d’un style de paragraphe s’affiche également en rouge si vous avez
sélectionné du texte auquel un style de caractère ou de liste est appliqué.
Des substitutions peuvent se produire lorsque vous modifiez la police, le type, la taille
ou la couleur du texte, ou lorsque vous appliquez les options de mise en forme du
texte dans le sous-menu Texte du menu Format, dans le panneau Police, dans la barre
de format ou dans l’Inspecteur du texte.
Si vous appliquez des substitutions de style à du texte, puis que vous changez d’avis,
vous pouvez facilement rétablir les attributs par défaut du style de paragraphe.
Lorsque la flèche en regard du nom d’un
style est rouge, cela signifie que vous
avez appliqué des modifications à ce
style dans le texte sélectionné.134 Chapitre 6 Utilisation de styles
Pour supprimer des substitutions de style :
1 Pour ouvrir le tiroir des styles, cliquez sur le bouton correspondant dans la barre
des formats.
2 Sélectionnez le texte à modifier.
3 Dans le tiroir Styles, cliquez sur la flèche située à droite du style sélectionné et choisissez « Rétablir le style défini » (ou double-cliquez sur le nom du style en question). Le
texte sélectionné reprend les attributs par défaut du style sélectionné.
Recherche et remplacement d’un style
Si vous souhaitez modifier l’apparence d’un document en remplaçant toutes les occurrences d’un style par un autre, vous pouvez rechercher et remplacer ce style dans tout
le document sans rechercher du texte spécifique.
Pour rechercher et remplacer un style :
1 Cliquez sur un échantillon de texte utilisant le style que vous souhaitez modifier dans
le document.
2 Cliquez sur le bouton correspondant dans la barre de format pour ouvrir le tiroir
des styles.
3 Dans le tiroir Styles, positionnez le pointeur sur le nom du style que vous souhaitez
remplacer et cliquez sur la flèche à droite de son nom.
4 Choisissez « Sélectionner toutes les versions de nom du style ». Toutes les instances du
style dans le corps de texte du document sont sélectionnées.
Pour rechercher et remplacer les styles dans le corps de texte ainsi que toutes les zones
de texte et figures, choisissez Édition > Rechercher. Cliquez sur Avancé pour ouvrir
l’onglet correspondant. Sélectionnez le style à remplacer et le nouveau style à appliquer. Cliquez sur Tout remplacer.
5 Sélectionnez le nom du style qui doit remplacer celui du texte sélectionné.
Copie et collage des styles de paragraphe et de caractère
Vous pouvez copier le style de paragraphe ou de caractère du texte sélectionné et
l’appliquer à un autre texte du même document en le collant.
Vous pouvez aussi copier la mise en forme du paragraphe et la coller dans un autre
document Pages.Chapitre 6 Utilisation de styles 135
Pour copier et coller un style de paragraphe ou de caractère :
1 Placez le point d’insertion sur un paragraphe ou sur un mot dont vous souhaitez copier
le style.
2 Choisissez Format > Copier le style de paragraphe ou Format > Copier le style de caractère.
3 Placez le point d’insertion sur un paragraphe ou sur un mot que vous souhaitez modifier ou sélectionnez plusieurs paragraphes ou mots à modifier.
4 Choisissez Format > Coller le style de caractère ou Format > Coller le style de paragraphe.
Pour copier un style de paragraphe ou de caractère dans un autre document Pages,
activez cet autre document avant de choisir Format > Coller le style.
Le texte reprend le nouveau style, mais le contenu n’est pas modifié.
Modification et création de styles de paragraphe
Un paragraphe est un bloc de texte suivi d’un retour chariot. Pour certains blocs de
texte, notamment les titres, le corps de texte, les pieds de page, le texte des légendes et
bien d’autres options, vous pouvez définir l’apparence, l’espacement des tabulations, les
marges, la couleur d’arrière-plan, les sauts de page, etc. à l’aide des styles de paragraphe.
Si vous ne trouvez aucun style de paragraphe ayant exactement le même aspect que
celui que vous souhaitez dans les modèles Pages, vous pouvez modifier un style existant ou en créer un nouveau.
Modification des styles de paragraphe
Changez l’apparence d’un paragraphe, ses taquets de tabulation, ses marges, sa couleur d’arrière-plan, ses sauts de page et bien d’autres options en modifiant son style
de paragraphe.
Pour modifier un style de paragraphe :
1 Pour ouvrir le tiroir des styles, cliquez sur le bouton correspondant dans la barre de format.
Sélectionnez le style de paragraphe qui correspond le mieux au style que vous souhaitez créer, ou sélectionnez Format libre.
2 Tapez du texte et mettez-le en forme comme vous le souhaitez. Pour plus d’informations sur la mise en forme du texte, reportez-vous à la rubrique « Mise en forme de la
taille et de l’apparence du texte » à la page 80.
3 Définissez l’alignement du texte, l’espace des caractères et des lignes, ainsi que l’espacement avant et après le paragraphe au moyen des commandes de la barre de format
ou dans la sous-fenêtre Texte de l’Inspecteur de texte. Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Définition de l’alignement, de l’interligne et de la couleur
du texte » à la page 91.136 Chapitre 6 Utilisation de styles
4 Si le style de paragraphe nécessite des taquets de tabulation spéciaux, définissez-les
dans la sous-fenêtre Tabulations de l’Inspecteur du texte. Pour plus d’informations,
reportez-vous à la rubrique « Définition de taquets de tabulation à l’aide de l’Inspecteur du texte » à la page 99.
5 Si vous souhaitez que le style de paragraphe soit en retrait par rapport aux marges de
la page, définissez les retraits de paragraphe dans la sous-fenêtre Tabulations de l’Inspecteur du texte.
6 Cliquez sur Autres dans l’Inspecteur du texte pour sélectionner d’autres options de
mise en forme.
Bordure et règles : le texte sélectionné peut être séparé du reste du document en ajoutant une ligne au-dessus ou en dessous ou en l’encadrant avec une bordure. Spécifiez
le style de la ligne, sa position et sa couleur à l’aide du menu local Bordures et filets,
des boutons et du cadre de couleurs.
Remplissages de l’arrière-plan : cochez une case et cliquez sur le cadre de couleurs pour faire
apparaître un arrière-plan en couleur derrière un ou plusieurs caractères ou paragraphes.
Par exemple, vous pouvez créer un style de titre qui présente du texte blanc sur un arrièreplan foncé. La couleur s’étend de la marge de gauche du paragraphe jusqu’à la droite.
Définissez le retrait de la
première ligne.
Définissez le retrait de
droite du paragraphe.
Définissez le retrait de
gauche du paragraphe.
Choisissez les options de
format de règle et de
bordure pour le texte
sélectionné.
Sélectionnez des options
pour déterminer les sauts
de paragraphe dans toutes les pages. Choisissez une langue à
utiliser par le dictionnaire.
Supprimez les césures ou
ligatures automatiques, si
elles sont sélectionnées
pour le document.
Définissez le texte au-dessus ou audessous du texte situé autour.
Choisissez un style de
paragraphe devant suivre
l’actuel lorsque vous
appuyez sur la touche
Retour.
Ajoutez une couleur
d’arrière-plan au caractère ou au paragraphe.Chapitre 6 Utilisation de styles 137
Style de paragraphe suivant : si vous souhaitez qu’un style de paragraphe particulier
suive toujours le style actuel lorsque vous appuyez sur la touche Retour, choisissez
le style dans le menu local. Par exemple, vous pouvez créer un style de légende de
photo qui doit toujours être suivi d’un style particulier.
Pagination et saut de page : sélectionnez la façon dont le paragraphe peut être réparti
entre les pages. Vous pouvez spécifier que les lignes de ce paragraphe doivent toujours rester ensemble sur la même page, doivent rester avec le paragraphe suivant ou
peuvent uniquement apparaître en haut d’une page. Les deux dernières options sont
particulièrement utiles pour les styles de titre. Sélectionnez « Éviter les lignes veuves
et orphelines » pour empêcher qu’une seule ligne d’un paragraphe se retrouve sur la
page suivante ou sur la page précédente.
Langue : choisissez une langue dans le menu local afin de spécifier la langue utilisée
pour vérifier l’orthographe dans ce paragraphe. Si votre document inclut des citations
ou des sections dans une autre langue, vous pouvez spécifier une langue pour le dictionnaire utilisé dans ces paragraphes. Le dictionnaire détermine la façon dont les mots
sont orthographiés et coupés.
Supprimer la césure du paragraphe : sélectionnez cette case si vous souhaitez désactiver
la césure automatique pour le style de paragraphe en question dans un document pour
lequel la césure automatique est activée. (Pour activer cette dernière pour le document,
dans la sous-fenêtre Document de l’Inspecteur des documents, sélectionnez Césure.)
Supprimer les ligatures : une ligature correspond à un ornement tracé entre les lettres
ou à la fin ou au début de lignes. Les ligatures sont utilisées par certaines polices pour
relier deux caractères voire plus en un seul symbole. Cochez cette case si vous ne souhaitez pas utiliser de ligatures dans un paragraphe sélectionné pour lequel les ligatures sont activées. Pour l’activer dans le document, utilisez l’Inspecteur des documents
Si du texte est sélectionné lorsque vous supprimez les ligatures, la modification s’applique au texte sélectionné en tant que substitution de style, jusqu’à ce que vous ayez
effectué l’étape 7.
Décalage de la ligne de base : un nombre négatif place le texte plus bas que celui qui
l’entoure. Un nombre positif place le texte plus haut que celui qui l’entoure. tapez un
nombre dans le champ. Si du texte est sélectionné lorsque vous définissez le décalage
de la ligne de base, la modification s’applique au texte sélectionné en tant que substitution de style, jusqu’à ce que vous ayez effectué l’étape 7.
7 Dans le tiroir Styles, cliquez sur la flèche à droite du nom du style de paragraphe, puis
choisissez une option.
Créer un style de paragraphe à partir de la sélection : cette option ne modifie pas le style
en cours, mais crée un style à partir de la mise en forme que vous avez effectuée au
cours des étapes précédentes. Si vous sélectionnez cette option, attribuez un nom au
nouveau style, puis cliquez sur OK.138 Chapitre 6 Utilisation de styles
Redéfinir le style à partir de la sélection : redéfinit le style de paragraphe de l’ensemble du
document. Si vous choisissez cette option, les changements de mise en forme s’appliquent à toutes les autres occurrences de ce style dans l’ensemble du document. Cependant, les éventuels styles de caractère qui ont été appliqués ne sont pas modifiés.
Rétablir le style défini : supprime les styles appliqués antérieurement et le texte sélectionné reprend les attributs par défaut du style sélectionné.
Création de nouveaux styles de paragraphe
Personnalisez l’apparence d’un paragraphe, ses taquets de tabulation, ses marges,
sa couleur d’arrière-plan, ses sauts de page et bien d’autres options en créant un nouveau style de paragraphe.
Pour créer un style de paragraphe de toutes pièces :
1 Cliquez sur le bouton Styles de paragraphe dans la barre de format et sélectionnez
Format libre en haut de la liste des styles de paragraphe.
2 Sélectionnez un paragraphe de texte.
3 Configurez les attributs du texte du paragraphe sélectionné comme indiqué dans
la rubrique « Modification des styles de paragraphe » à la page 135.
4 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) en bas du tiroir Styles et maintenez-le enfoncé, puis
choisissez « Créer un nouveau style de paragraphe à partir de la sélection ».
5 Attribuez un nom au nouveau style dans la zone de dialogue qui s’affiche.
6 Si vous ne voulez pas appliquer le nouveau style au texte sélectionné, désélectionnez
« Appliquer ce nouveau style à la création ».
7 Cliquez sur OK.
Les styles que vous modifiez ou créez sont disponibles uniquement dans le document
sur lequel vous travaillez. Ils peuvent toutefois être importés dans d’autres documents.
Pour savoir comment, reportez-vous à la rubrique « Importation de styles à partir d’un
autre document » à la page 132.
Maintenez enfoncé
pour créer un style.Chapitre 6 Utilisation de styles 139
Modification et création de styles de caractère
Les styles de caractère sont des attributs de mise en forme qui sont appliqués à un
ensemble de caractères de texte (tels qu’un mot ou un groupe de mots ou de lettres)
sans modifier le style du paragraphe entier. Les styles de caractère définissent l’aspect
du texte, notamment la police, la taille, la couleur, l’espacement des caractères, l’utilisation des ligatures, le décalage de la ligne de base et la langue.
Si vous ne trouvez pas de style de caractère correspondant à vos besoins, vous pouvez
modifier l’un des styles de caractère existants ou créer un nouveau style.
Modification des styles de caractère
Modifiez l’aspect du texte, notamment sa police, sa taille, sa couleur, l’espacement de
ses caractères, l’utilisation des ligatures, le décalage de la ligne de base et la langue,
en modifiant son style de caractère.
Pour modifier un style de caractère :
1 Dans la barre de format, cliquez sur le bouton Styles de caractère et sélectionnez le
style de caractère qui correspond le mieux au style que vous souhaitez concevoir ou
bien sélectionnez Aucun.
2 Saisissez du texte, puis appliquez-lui quelques attributs.
Sélectionnez un style de police et une taille adéquats. Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Utilisation de la barre de format pour mettre en forme le
texte » à la page 81.
Définissez la couleur du texte. Pour plus d’informations sur la modification de la couleur du texte, reportez-vous à la rubrique « Modification de la couleur du texte » à la
page 96.
Définissez l’espacement des caractères. Pour plus d’informations sur la définition
de l’espacement des caractères, reportez-vous à la rubrique « Définition de l’alignement, de l’interligne et de la couleur du texte » à la page 91.
3 Utilisez la sous-fenêtre Autres de l’Inspecteur du texte pour spécifier des attributs
supplémentaires.
Langue : choisissez une langue dans le menu local afin de spécifier la langue utilisée pour
vérifier l’orthographe dans ce paragraphe. Si votre document inclut des citations ou des
sections dans une autre langue, vous pouvez spécifier une langue pour le dictionnaire
utilisé dans ces paragraphes. Le dictionnaire détermine la façon dont les mots sont orthographiés et coupés.140 Chapitre 6 Utilisation de styles
Supprimer les ligatures : une ligature correspond à un ornement tracé entre les lettres ou
à la fin ou au début de lignes ; Les ligatures sont utilisées par certaines polices pour relier
deux caractères voire plus en un seul symbole. Cochez cette case si vous ne souhaitez pas
utiliser de ligatures dans un paragraphe sélectionné pour lequel les ligatures sont activées.
(Pour activer les ligatures pour le document, dans la sous-fenêtre Document de l’Inspecteur des documents, sélectionnez « Utiliser les ligatures ». Si du texte est sélectionné lorsque vous supprimez les ligatures, la modification s’applique au texte sélectionné en tant
que substitution de style, sauf si vous suivez la procédure décrite dans l’étape 4 ci-dessous.)
Décalage de la ligne de base : un nombre négatif place le texte plus bas que celui qui
l’entoure. Un nombre positif place le texte plus haut que celui qui l’entoure. tapez un
nombre dans le champ. (Si du texte est sélectionné lorsque vous définissez le décalage
de la ligne de base, la modification s’applique au texte sélectionné en tant que substitution de style, sauf si vous suivez la procédure décrite dans l’étape 4 ci-dessous.)
4 Dans le tiroir Styles, cliquez sur la flèche à droite du nom du style de caractère, puis
choisissez une option.
Redéfinir le style à partir de la sélection : redéfinissez le style de caractère existant pour
le document entier. Si vous choisissez cette option, les changements de mise en forme
s’appliquent à toutes les autres occurrences de ce style dans l’ensemble du document.
Créer style de caractère à partir de sélection : cette option ne modifie pas le style en cours,
mais crée un style à partir de la mise en forme que vous avez effectuée au cours des étapes précédentes. Si vous sélectionnez cette option, vous pouvez choisir les attributs à
inclure dans le cadre du nouveau style de caractère. Cliquez sur le triangle d’affichage
sous le champ Nom dans la zone de dialogue Nouveau style de caractère, puis sélectionnez les attributs souhaités. Attribuez un nom au nouveau style, puis cliquez sur OK.
Cliquez sur le triangle
d’affichage afin d’afficher les attributs des
caractères.
Cliquez afin de sélectionner uniquement les attributs qui remplacent le
style de paragraphe sélectionné.
Sélectionnez les attributs à inclure
dans le nouveau style de caractère.Chapitre 6 Utilisation de styles 141
Création de nouveaux styles de caractère
Personnalisez l’aspect du texte, notamment sa police, sa taille, sa couleur, l’espacement
de ses caractères, l’utilisation des ligatures, le décalage de la ligne de base et la langue,
en créant un nouveau style de caractère.
Pour créer un style de caractère de toutes pièces :
1 Sélectionnez du texte.
2 Configurez les attributs du texte sélectionné comme indiqué dans la rubrique
« Modification des styles de caractère » à la page 139.
3 Maintenez le bouton Ajouter (+) enfoncé, en bas du volet Styles et choisissez « Créer
un nouveau style de caractère à partir de la sélection » dans le menu local.
4 Attribuez un nom au nouveau style.
5 Si vous ne souhaitez inclure que quelques uns des attributs que vous avez définis dans
le nouveau style de caractère, cliquez sur le triangle d’affichage sous le champ Nom,
puis sélectionnez les attributs souhaités.
6 Si vous ne voulez pas appliquer le nouveau style au texte sélectionné, désélectionnez
« Appliquer ce nouveau style à la création ».
7 Cliquez sur OK.
Modification et création de styles de liste
Les styles de liste sont utilisés pour créer des listes à puces et des listes numérotées.
Vous pouvez aussi créer des listes hiérarchisées (structures).
Si vous ne trouvez aucun style de liste répondant à vos besoins, vous pouvez modifier
l’un des styles de liste existants ou en créer un nouveau.
Modification de styles de liste à puces ou numérotée
Changez l’aspect des listes à puces ou numérotées en modifiant le style de liste.142 Chapitre 6 Utilisation de styles
Pour modifier un style de liste à puces ou numérotée :
1 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
du texte et enfin sur Liste.
2 Assurez-vous que le point d’insertion est visible sur la page. Dans la barre de format,
cliquez sur le bouton Styles de liste, et sélectionnez le style de liste à puces ou numérotée qui correspond le mieux au résultat que vous souhaitez.
3 Dans le menu local Puces et numérotation de la sous-fenêtre Liste de l’Inspecteur du
texte, choisissez l’un des styles de liste à puces ou numérotée suivants.
Pas de puces : choisissez cette option si vous ne souhaitez pas de puces visibles, mais
plutôt spécifier le retrait des niveaux dans une liste ordonnée.
Puces de texte : choisissez cette option pour utiliser un caractère de texte comme puce. Vous
pouvez en sélectionner un dans la liste ou taper vos propres caractères dans le champ de
texte. Certaines polices comportent des symboles pouvant être utilisés comme puces. Pour
les utiliser, ouvrez la palette de caractères (choisissez Format > Police > Afficher les polices,
puis choisissez Caractères dans le menu local Action). Sélectionnez le symbole de la puce
dans l’Inspecteur du texte, puis double-cliquez sur le symbole de votre choix dans la palette
de caractères. Appuyez ensuite sur la touche Retour.
Cliquez afin de passer au
niveau de retrait suivant
de la liste.
Ajustez la taille et la position des puces par rapport au texte.
Choisissez des puces ou
une numérotation.
Sélectionnez une image
pour les puces.
Ajustez le retrait des puces
par rapport au premier
retrait de paragraphe.
Définissez le niveau de retrait du
texte par rapport aux puces.
Sélectionnez une couleur de puce de texte.
En ce qui concerne les
puces de texte,
choisissez un caractère
disponible ou
tapez un caractère
dans le champ de texte.Chapitre 6 Utilisation de styles 143
Puces d’image : choisissez cette option pour utiliser l’une des puces d’image disponibles dans Pages puis sélectionnez-en une dans la liste.
Personnaliser l’image : choisissez cette option pour utiliser votre image comme puce.
Localisez et sélectionnez le fichier image à utiliser dans la zone de dialogue Ouvrir. Pour
changer d’image, cliquez sur Choisir ou faites glisser une nouvelle image dans le cadre.
Numéros : choisissez cette option pour créer une liste numérotée. Vous devez également choisir un style de numérotation. Vous pouvez choisir des chiffres arabes, des
chiffres romains ou des lettres.
4 Mettez en forme les puces.
Pour augmenter ou réduire la taille d’une puce, indiquez une valeur dans le champ
Taille. L’option Adapter au texte permet de préserver le rapport de taille image/texte
des puces, même si vous changez la taille de la police par la suite.
Pour placer le symbole de la puce plus haut ou plus bas par rapport au texte, spécifiez
une valeur dans la zone Aligner.
Pour définir l’ampleur du retrait des puces par rapport à la marge, spécifiez une valeur
dans le champ Retrait des puces. Une valeur plus élevée correspond à un retrait de la
liste plus à droite.
Sélectionnez une puce
d’image dans la liste.
Pour les listes numérotées, choisissez
un style de numérotation.
Redémarrez la numérotation ou poursuivez la numérotation précédente.
Ajustez le retrait des numéros par rapport à la marge de la page.
Ajustez le retrait du texte
par rapport à la puce.144 Chapitre 6 Utilisation de styles
Pour définir l’ampleur du retrait du texte par rapport à la puce, spécifiez une valeur
dans le champ Retrait du texte. Une valeur plus élevée correspond à un retrait du texte
plus à droite.
5 Pour ouvrir le tiroir des styles, cliquez sur le bouton correspondant dans la barre de format.
L’un des styles de liste est mis en surbrillance. Il s’agit du style qui a été appliqué au
texte sélectionné. Si les styles de liste ne sont pas visibles, cliquez sur le bouton en
bas du tiroir Styles. La flèche à droite du nom du style est rouge, ce qui indique que
vous avez appliqué des substitutions au style en le modifiant.
6 Dans le tiroir Styles, cliquez sur la flèche rouge à droite du style sélectionné, puis
choisissez une option.
Redéfinir le style à partir de la sélection : redéfinit le style de liste dans l’ensemble du
document. Si vous choisissez cette option, les changements de mise en forme s’appliquent à toutes les autres occurrences de ce style dans l’ensemble du document.
Créer style de liste à partir de la sélection : cette option ne modifie pas le style en cours,
mais elle crée un style à partir de vos choix de mise en forme. Si vous sélectionnez
cette option, attribuez un nom au nouveau style, puis cliquez sur OK.
Modification d’un style de liste à numérotation progressive pour
les listes hiérarchisées
Modifiez l’aspect des listes de style Légal en modifiant le style.
Pour modifier un style de liste à numérotation progressive :
1 Assurez-vous que le point d’insertion est visible sur la page. Dans la barre de format,
cliquez sur le bouton du volet des styles pour ouvrir le volet Styles, puis sélectionnez
le style de liste Légal qui correspond le mieux à celui que vous souhaitez concevoir.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
du texte et enfin sur Liste.
Cliquez afin de passer au
niveau de retrait suivant de
la liste.
L’option Numérotation
progressive est sélectionnée pour une liste de style
juridique
Pour chaque niveau de retrait
de la liste, choisissez un style
de numérotation.
Pour chaque niveau de retrait de la
liste, définissez la distance de retrait
du nombre et du texte associé.Chapitre 6 Utilisation de styles 145
3 Choisissez le style de numérotation que vous souhaitez dans le deuxième menu local.
4 Cliquez sur la flèche de retrait à droite afin de passer au deuxième niveau de retrait
de la liste.
5 Choisissez le style de numérotation souhaité pour le deuxième niveau de retrait de
la liste.
6 Répétez les étapes 6 et 7 jusqu’à ce que vous ayez défini les styles de numérotation
(neuf niveaux de retrait maximum).
7 Pour ouvrir le volet des styles, cliquez sur le bouton correspondant dans la barre de format.
L’un des styles de liste est mis en surbrillance. Il s’agit du style qui a été appliqué au
texte sélectionné. Si les styles de liste ne sont pas visibles, cliquez sur le bouton en
bas à droite du tiroir Styles. La flèche à droite du nom du style est rouge, ce qui indique que vous avez appliqué des substitutions au style en le modifiant.
8 Cliquez sur la flèche rouge à droite du nom du style de liste, puis choisissez une option.
Redéfinir le style à partir de la sélection : redéfinit le style de liste dans l’ensemble du
document. Si vous choisissez cette option, les changements de mise en forme s’appliquent à toutes les autres occurrences de ce style dans l’ensemble du document.
Créer style de liste à partir de la sélection : cette option ne modifie pas le style en cours,
mais crée un style à partir de la mise en forme que vous avez effectuée au cours des
étapes précédentes. Si vous sélectionnez cette option, attribuez un nom au nouveau
style, puis cliquez sur OK.
Création de nouveaux styles de liste
Personnalisez l’aspect d’une liste en créant un nouveau style de liste.
Pour créer un nouveau style de liste :
1 Sélectionnez du texte.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
du texte et enfin sur Liste.
3 Mettez en forme le texte de la liste sélectionnée, de sorte qu’il se présente comme vous
le souhaitez. Pour obtenir des instructions, reportez-vous aux rubriques « Modification
de styles de liste à puces ou numérotée » à la page 141 et « Modification d’un style de
liste à numérotation progressive pour les listes hiérarchisées » à la page 144.
4 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) qui se trouve en bas du tiroir Styles et maintenez-le
enfoncé, puis, dans le menu local, choisissez « Créer style de liste à partir de la sélection ».
5 Attribuez un nom au nouveau style.
6 Si vous ne voulez pas appliquer le nouveau style au texte sélectionné, désélectionnez
« Appliquer ce nouveau style à la création ».
7 Cliquez sur OK.146 Chapitre 6 Utilisation de styles
Attribution d’un nouveau nom à un style
Vous pouvez changer le nom de tout style qui apparaît dans le tiroir Styles.
Pour renommer un style:
1 Pour ouvrir le tiroir des styles, cliquez sur le bouton correspondant dans la barre de format.
2 Placez le pointeur sur le style que vous souhaitez renommer, puis cliquez sur la flèche
qui se trouve à sa droite et choisissez Renommer le style.
3 Saisissez un nouveau nom pour le style, puis appuyez sur Retour.
Suppression d’un Style
Lorsque vous supprimez un style d’un document, vous devez en choisir un autre diffé-
rent pour le remplacer.
Pour supprimer un style :
1 Pour ouvrir le tiroir des styles, cliquez sur le bouton correspondant dans la barre de format.
2 Placez le pointeur sur le style que vous souhaitez supprimer, puis cliquez sur la flèche
qui se trouve à sa droite et choisissez Supprimer le style.
3 Si le style que vous souhaitez supprimer est utilisé dans le document actuel, choisissez
un style pour le remplacer.
4 Cliquez sur OK. 7
147
7 Utilisation des figures, des
graphismes et d’autres objets
Ce chapitre décrit les techniques permettant d’ajouter et
de modifier des images, des figures, du son et autres objets.
Un objet est un élément que vous pouvez ajouter à un document, puis transformer.
Les images, les figures, les séquences, les fichiers son, les tableaux, les graphiques et
les zones de texte sont tous des objets.
Les images comprennent les photographies ou les fichiers PDF. Les séquences vidéo et le
son concernent les documents qui seront visionnés à l’écran. Les figures comprennent les
figures simples prédessinées (telles que les triangles et les flèches) et les figures personnalisées que vous dessinez vous-même. Les zones de texte peuvent contenir du texte, des
figures, des images, des séquences, du son, des tableaux et des graphiques.
Ce chapitre vous explique comment ajouter des types d’objets particuliers, comment
les redimensionner et les déplacer et comment modifier leur couleur, leurs ombres,
leur alignement et autres réglages.
Utilisation des objets flottants et des objets incorporés
Si vous voulez qu’un objet reste toujours à la même place de sorte que le texte de
la page l’évite et se distribue de chaque côté, utilisez un objet flottant.
Les objets flottants sont ancrés à une position sur la page. Le fait de taper davantage
de texte sur la page en question n’a aucune incidence sur la position de l’objet flottant. Vous avez toutefois la possibilité de faire glisser ce dernier si vous souhaitez le
placer à un autre endroit. Pour le redimensionner, faites-glisser l’une de ses poignées
de sélection.
Pour redimensionner un objet
flottant, faites glisser l’une de
ses poignées de sélection.148 Chapitre 7 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets
Si vous voulez au contraire que l’objet soit intégré au texte de telle sorte que sa position
change conformément à l’ajout de texte supplémentaire, utilisez un objet incorporé.
Les objets incorporés sont intégrés dans l’enchaînement du texte. Si vous tapez davantage de texte au-dessus, ils sont déplacés. Les poignées de sélection en haut des objets
incorporés sont inactives. Vous ne pouvez pas faire glisser ces poignées pour redimensionner l’objet. Vous pouvez uniquement le redimensionner en faisant glisser les poignées actives.
Si vous placez un graphisme ou une figure à l’intérieur d’une autre figure, d’une zone
de texte ou d’une cellule d’un tableau, il ne peut s’agir que d’un ajout d’objet incorporé.
Les images incorporées sont automatiquement redimensionnées afin de s’adapter aux
marges de disposition du document. Pour déplacer un objet incorporé vers une autre
position dans le texte, sélectionnez-le et faites-le glisser jusqu’à ce que le point d’insertion apparaisse à l’endroit où vous souhaitez déposer l’objet.
Si vous avez ajouté un objet d’un certain type et que vous souhaitez le transformer
en objet d’un autre type, vous pouvez le faire aisément.
Pour convertir des objets flottants en objets incorporés, et inversement :
m Sélectionnez l’objet flottant ou incorporé que vous souhaitez convertir, puis cliquez sur
le bouton Alignement ou Flottant dans la barre de format.
m Sélectionnez l’objet flottant ou incorporé que vous souhaitez convertir, cliquez sur
le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur d’ajustement et sélectionnez enfin « Incorporé (se déplace avec le texte) » ou « Flottant (ne
se déplace pas avec le texte) ».
Sélection d’objets
Avant de pouvoir déplacer, modifier ou effectuer d’autres opérations sur des objets,
vous devez les sélectionner. Un objet sélectionné est muni de poignées qui vous permettent de le déplacer ou de le manipuler.
Voici plusieurs façons de sélectionner et désélectionner des objets :
m Pour sélectionner un seul objet, cliquez n’importe où sur l’objet (pour un objet n’ayant
pas de contenu, cliquez sur le bord).
m Pour sélectionner plusieurs objets, maintenez la touche Maj enfoncée lorsque vous cliquez
sur les objets. Tous les objets doivent être flottants ou ils doivent tous être incorporés.
Les poignées de sélection
du haut sont inactives pour
les objets incorporés.
Faites glisser les poignées de sélection actives vers le bas ou vers la
droite pour les redimensionner.
Vue rapprochée de la poignée de sélection inactive (haut) et de la
poignée de sélection
active (bas).Chapitre 7 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 149
m Pour sélectionner tous les objets flottants d’un document, appuyez sur la touche Commande et cliquez n’importe où à l’extérieur des zones de texte de sorte que le point
d’insertion ne soit pas visible. Appuyez ensuite sur Commande + A.
m Pour sélectionner tous les objets et texte incorporés d’un document, placez le point
d’insertion dans la zone de texte et appuyez sur Commande + A.
m Pour sélectionner un objet faisant partie d’un groupe, vous devez tout d’abord dissocier les objets. Sélectionnez le groupe, puis choisissez Disposition > Dissocier.
m Pour désélectionner les objets d’un groupe d’objets sélectionnés, maintenez la touche
Commande enfoncée, puis cliquez sur les objets que vous souhaitez désélectionner.
m Pour sélectionner un objet modèle, choisissez tout d’abord Format > Avancé > Rendre
les objets modèles sélectionnables.
m Pour sélectionner un objet flottant se trouvant derrière du texte, placez le pointeur à
l’extérieur de la zone de texte, appuyez sur la touche Commande, puis déplacez-le sur la
page en le faisant glisser jusqu’à ce que les poignées de sélection de l’objet apparaissent.
Copie et duplication d’objets
La technique à utiliser pour copier un objet dépend de l’endroit où vous souhaitez placer la copie. Lorsque la copie est destinée à un emplacement éloigné de l’original ou à
un autre document, la méthode la plus facile consiste généralement à copier et à coller. Lorsque vous travaillez avec un objet flottant d’une page et que la copie doit se
trouver près de l’original, il est généralement plus facile de procéder à une duplication.
Voici plusieurs façons de copier des objets :
m Pour copier et coller un objet incorporé ou flottant, sélectionnez-le, puis choisissez
Édition > Copier. Cliquez à l’endroit où vous souhaitez voir apparaître la copie. Cliquez
sur Édition > Coller.
m Pour dupliquer un objet flottant ou incorporé à l’intérieur d’un même document, vous
pouvez le faire glisser tout en maintenant la touche Option enfoncée.
Vous pouvez également dupliquer l’objet. Sélectionnez l’objet et cliquez sur Édition >
Dupliquer. La copie apparaît au-dessus de l’original et légèrement décalée par rapport
à celui-ci. Faites glisser la copie jusqu’à l’emplacement souhaité.
Il n’est pas possible de dupliquer un objet incorporé. Pour qu’un objet puisse être
dupliqué, il faut qu’il flotte sur la page.
m Pour copier une image entre deux documents, sélectionnez l’image et faites glisser
son icône depuis le champ Informations du fichier de l’Inspecteur des mesures vers
une page d’un autre document Pages.150 Chapitre 7 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets
Suppression d’objets
La suppression d’objets est rapide et facile.
Pour supprimer des objets :
m Sélectionnez le ou les objets et appuyez sur la touche Suppr.
Si vous supprimez un objet sans le vouloir, choisissez Édition > Annuler Supprimer.
Déplacement d’objets
La méthode à utiliser pour déplacer les objets est différente selon qu’il s’agit d’objets
flottants ou d’objets incorporés.
Voici plusieurs façons de déplacer des objets :
m Pour déplacer un objet flottant, cliquez sur celui-ci pour le sélectionner (les poignées
de sélection apparaissent), puis faites-le glisser jusqu’à son nouvel emplacement.
m Pour contraindre l’objet à se déplacer horizontalement, verticalement ou selon un
angle de 45 degrés, appuyez sur la touche Maj et maintenez-la enfoncée avant de
commencer à le faire glisser.
m Pour déplacer l’objet par petits incréments, appuyez sur l’une des touches fléchées
pour faire progresser l’objet d’un seul point à la fois. Pour déplacer l’objet par incré-
ments de dix points, maintenez la touche Maj enfoncée tout en appuyant sur une
touche fléchée.
m Pour afficher la position de l’objet lorsque vous le déplacez, choisissez Pages > Préférences,
puis sélectionnez « Afficher la taille et la position des objets lors de leur déplacement » dans
la sous-fenêtre Général.
m Pour aligner précisément des objets, vous pouvez également utiliser les guides d’alignement. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Espacement uniforme des objets
sur la page » à la page 152.
m Pour déplacer un objet incorporé, cliquez dessus pour le sélectionner, puis faites-le
glisser jusqu’à ce que le point d’insertion apparaisse à l’endroit où vous souhaitez
placer l’objet dans le texte.
Vous pouvez aussi sélectionner l’objet et cliquez sur Édition > Couper. Placez le point
d’insertion à l’endroit où vous souhaitez que l’objet apparaisse, puis cliquez sur Édition >
Coller.
Évitez de faire glisser un objet en le tenant par ses poignées de sélection, car vous
risqueriez de le redimensionner sans le vouloir.Chapitre 7 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 151
Déplacement d’un objet vers le premier plan ou vers l’arrière-plan
Lorsque des objets flottants se chevauchent ou lorsque du texte empiète sur des objets
flottants ou vice-versa, vous pouvez modifier l’ordre des objets dans la pile.
Pour déplacer un objet flottant de sorte qu’il se trouve devant ou derrière du texte
ou un autre objet :
1 Sélectionnez l’objet à déplacer.
2 Pour déplacer un objet d’un seul plan à la fois, choisissez Disposition > Avancer d’un
plan ou Reculer d’un plan.
3 Pour ramener l’objet en bas ou en haut de la pile, choisissez Disposition > Mettre à
l’arrière-plan ou Mettre au premier plan.
Si vous superposez fréquemment des objets, vous pouvez ajouter les boutons Devant,
Derrière, Plan sup. et Plan inf. à la barre d’outils afin de travailler plus efficacement. Pour
en savoir plus sur la personnalisation de la barre d’outils, reportez-vous à la rubrique
« La barre d’outils » à la page 22.
Déplacement d’un objet vers l’arrière-plan
Ajoutez, modifiez et déplacez les objets d’arrière-plan dans votre document de traitement de texte.
Voici plusieurs façons d’utiliser les objets d’arrière-plan :
m Pour envoyer et placer un objet derrière les autres objets de votre document, sélectionnez-le, puis choisissez Disposition > Placer à l’arrière-plan.
m Pour déplacer un objet de l’arrière-plan vers le premier plan de votre document, sélectionnez-le, puis choisissez Disposition > Placer au premier plan.
m Pour repositionner ou modifier un objet situé en arrière-plan de votre document, sélectionnez-le, puis déplacez-le ou modifiez-le, ou bien choisissez Disposition > Placer au
premier plan.
Alignement d’objets
Vous pouvez rapidement aligner des objets les uns par rapport aux autres s’ils se trouvent sur la même page.
Pour aligner des objets :
1 Sélectionnez les objets à aligner.
2 Choisissez Disposition > Aligner les objets, puis, dans le sous-menu, choisissez l’une des
options d’alignement.
À gauche : cette option positionne les objets de sorte que leur bord gauche soit aligné
verticalement sur le premier objet que vous sélectionnez.
Centrer : cette option positionne les objets de sorte que leur centre soit aligné verticalement sur le premier objet que vous sélectionnez.152 Chapitre 7 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets
À droite : cette option positionne les objets de sorte que leur bord droit soit aligné
verticalement sur le premier objet que vous sélectionnez.
Supérieur : cette option positionne les objets de sorte que leur bord supérieur soit
aligné horizontalement sur le premier objet que vous sélectionnez.
Milieu : cette option déplace les objets verticalement de sorte que leur centre soit
aligné horizontalement sur le premier objet que vous sélectionnez.
Inférieur : cette option positionne les objets de sorte que leur bord inférieur soit aligné
horizontalement sur le premier objet que vous sélectionnez.
Si vous sélectionnez un seul objet ou plusieurs objets qui ne se trouvent pas sur
la même page, les objets sont alignés par rapport aux bords de la page.
Vous pouvez aussi aligner des objets flottants les uns par rapport aux autres en les faisant glisser et en vous servant des guides d’alignement qui vous permettent de déterminer s’ils sont correctement positionnés. Reportez-vous à la rubrique « Espacement
uniforme des objets sur la page » pour obtenir plus d’informations.
Espacement uniforme des objets sur la page
Vous pouvez rapidement faire en sorte que l’espace entre les objets soit partout
le même, quelle que soit leur taille.
Pour espacer les objets de façon uniforme :
1 Sélectionnez les objets.
2 Choisissez Disposition > Répartir les objets, puis choisissez une option dans le sous-menu.
Horizontalement : règle l’espacement horizontal entre les objets.
Verticalement : règle l’espacement vertical entre les objets.
Utilisation des guides d’alignement
Lorsque vous déplacez des objets flottants à l’intérieur d’un document, vous pouvez
vous servir de guides d’alignement de couleur bleue pour vous aider à centrer et à aligner les objets sur la page.
Les guides d’alignement apparaissent lorsque le centre ou le bord d’un objet est aligné
sur le centre ou sur le bord d’un autre objet ou sur le centre de la page, selon vos préfé-
rences. Vous pouvez aussi créer vos propres guides d’alignement pour vous aider à placer des objets à la même position sur des pages différentes.
Les guides d’alignement n’apparaissent pas sur le document imprimé. Ils ne sont visibles que lors de son édition.
Pour masquer provisoirement les guides d’alignement, appuyez sur la touche Commande
et maintenez-la enfoncée, puis faites glisser un objet. Chapitre 7 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 153
Modification de l’affichage des guides d’alignement
Vous pouvez activer ou désactiver les guides d’alignement dans les préférences de Pages.
Vous pouvez aussi faire apparaître les guides d’alignement uniquement lorsque le bord
des objets flottants est aligné ou seulement lorsque le centre des objets est aligné.
Pour modifier les réglages des guides d’alignement :
1 Choisissez Pages > Préférences, puis cliquez sur Général.
2 Pour afficher ou masquer les guides lorsque le centre d’un objet est aligné sur un autre
objet ou sur le centre de la page, sélectionnez ou désélectionnez « Afficher les guides
au centre de l’objet ».
3 Pour afficher ou masquer les guides lorsque le bord d’un objet est aligné sur un autre
objet, sélectionnez ou désélectionnez « Afficher les guides sur les bords de l’objet ».
4 Pour changer la couleur des guides d’alignement, cliquez sur le cadre de couleurs, puis
sélectionnez une couleur dans la fenêtre Couleurs.
Les réglages des guides d’alignement s’appliquent à tous les documents affichés dans
Pages tant que vous ne les modifiez pas à nouveau.
Création de nouveaux guides d’alignement
Vous pouvez créer vos propres guides d’alignement pour vous aider à placer des objets
flottants à la même position sur des pages différentes.
Pour créer un guide d’alignement :
1 Dans la barre d’outils, cliquez sur Afficher, puis sélectionnez Afficher les règles.
2 Placez le pointeur sur une règle, cliquez et faites-la glisser jusque sur la page. Un guide
d’alignement apparaît.
3 Faites-le glisser sur la page jusqu’à l’emplacement souhaité.
Pour supprimer un guide d’alignement que vous avez créé, faites-le glisser à l’extérieur
de la page.
Définition de la position précise des objets flottants
Utilisez l’Inspecteur des mesures pour indiquer l’emplacement des objets flottants
de façon précise.
Pour définir la position précise d’un objet flottant :
1 Sélectionnez l’objet que vous souhaitez positionner.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
des mesures.154 Chapitre 7 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets
3 Saisissez les valeurs X et Y dans les champs Position.
Les coordonnées spécifiées déterminent la position du coin supérieur gauche du conteneur de l’objet.
 La valeur X est mesurée à partir du bord gauche de la page.
 La valeur Y est mesurée à partir du bord supérieur de la page.
Si vous faites pivoter un objet, les coordonnées X et Y spécifient le coin supérieur
gauche du conteneur qui a pivoté.
Si vous saisissez les coordonnées X et Y pour les positions des lignes dans l’Inspecteur
des mesures, les coordonnées Début représentent le premier point de fin de ligne que
vous avez créé. Si vous retournez ou faites pivoter la ligne par la suite, les coordonnées
de départ correspondent toujours au même point de terminaison de la ligne.
Modification des objets
Vous pouvez redimensionner les objets, changer leur orientation, modifier le style
de leur bordure, leur ajouter des ombres et des reflets et ajuster leur opacité.
Redimensionnement des objets
Vous pouvez redimensionner un objet en faisant glisser ses poignées ou en saisissant
ses dimensions exactes.
Voici plusieurs façons de redimensionner des objets :
m Pour redimensionner un objet en le faisant glisser, sélectionnez-le, puis faites glisser
l’une de ses poignées de sélection. Pour redimensionner un objet dans une direction,
faites glisser une poignée latérale et non une poignée d’angle. Pour les objets incorporés, seules les poignées de sélection du bas et des coins inférieurs gauche ou droit peuvent être utilisées.
Pour redimensionner l’objet à partir du centre, appuyez sur la touche Option tout en
faisant glisser la souris.
Pour conserver les proportions d’un objet, appuyez sur la touche Maj et maintenez-la
enfoncée lorsque vous faites glisser. Vous pouvez aussi cliquer sur le bouton Inspecteur
dans la barre de format, cliquer sur le bouton Inspecteur des mesures, puis sélectionner Conserver les proportions avant de faire glisser.
Positionnez une ligne flottante sur la
page en indiquant les coordonnées X et
Y pour le second point de fin de ligne.
Positionnez une ligne flottante sur la
page en indiquant les coordonnées
X et Y pour le premier point de fin
de ligne.Chapitre 7 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 155
Pour afficher la taille d’un objet lorsque vous faites glisser une poignée de sélection,
choisissez Pages > Préférences, puis sélectionnez « Afficher la taille et la position des
objets lors de leur déplacement » dans la sous-fenêtre Général.
m Pour redimensionner un objet avec des proportions exactes, sélectionnez-le, cliquez sur
le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur des mesures et utilisez ensuite les contrôles Largeur et Hauteur.
m Pour redimensionner plusieurs objets à la fois, sélectionnez-les, cliquez sur le bouton
Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur des mesures, et saisissez ensuite les nouvelles valeurs dans les champs Largeur et Hauteur.
m Sélectionnez l’objet, puis cliquez sur Dimensions d’origine dans l’Inspecteur des mesures.
Retournement et rotation d’objets
Vous pouvez retourner ou faire pivoter n’importe quel objet. Par exemple, si vous disposez d’une image de flèche que vous souhaitez utiliser dans un document, mais de telle
sorte que la flèche soit orientée dans l’autre sens, vous pouvez inverser sa direction verticalement ou horizontalement ou l’orienter en direction de n’importe quel angle.
Voici plusieurs façons de changer l’orientation d’un objet :
m Pour retourner un objet horizontalement ou verticalement, sélectionnez-le, puis choisissez Disposition > Retournement horizontal ou Disposition > Retournement vertical.
Vous pouvez aussi cliquer sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, cliquer sur
le bouton Inspecteur des mesures, puis vous servir des boutons Miroir.
m Pour faire pivoter un objet, sélectionnez-le, appuyez sur la touche Commande et maintenez-la enfoncée, déplacez le pointeur vers une poignée de sélection active jusqu’à ce qu’il
se transforme en flèche courbe à deux têtes, puis faites glisser la poignée de sélection.
Pour faire pivoter un objet par incréments de 45 degrés, appuyez sur les touches Maj
et Commande pendant que vous faites glisser la poignée de sélection.
Vous pouvez également cliquer sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis
sur le bouton Inspecteur des mesures et faire glisser la molette de rotation ou utiliser
les commandes d’angle pour définir l’angle du de l’objet.
m Pour faire pivoter une figure en maintenant son texte en position horizontale, une fois
la rotation de la figure effectuée, choisissez Format > Figure > Réinitialiser les poignées
de l’objet et du texte.
Il n’est pas possible de faire pivoter un tableau incorporé. Pour faire pivoter un tableau,
il faut que celui-ci soit un objet flottant.156 Chapitre 7 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets
Modification du style des bordures
Pour les figures, les éléments de graphiques, les zones de texte et les cellules de tableau,
vous pouvez soit choisir un style et une couleur de ligne pour la bordure de l’objet, soit
indiquer que vous ne souhaitez aucune bordure. Vous pouvez également placer une bordure autour des images importées. Vous pouvez définir un style et une couleur de ligne
pour la bordure dans l’Inspecteur des graphismes et dans la fenêtre Couleurs.
Utilisez la barre de format pour modifier rapidement le style des lignes ou la couleur du
bord. Sélectionnez l’objet, puis le style et la couleur des lignes par le biais des commandes dans la barre de format.
Pour définir un style et une couleur de ligne pour la bordure dans l’Inspecteur
des graphismes :
1 Sélectionnez l’objet que vous souhaitez modifier.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
des graphismes.
3 Choisissez Ligne dans le menu local Trait.
4 Choisissez un style de ligne dans le menu local.
5 Pour changer l’épaisseur du trait, saisissez une valeur dans le champ Taille (ou cliquez
sur les flèches).
6 Pour changer la couleur du trait, cliquez sur le cadre de couleur et sélectionnez une
couleur.
7 Pour définir des extrémités de ligne, par exemple des pointes de flèche ou des cercles,
choisissez des points de fin de ligne de gauche et de droite dans les menus locaux.
Tapez l’épaisseur du trait
dans ce champ.
Choisissez les points de terminaison
de la ligne dans ces menus locaux.
Choisir un trait plein, une
ligne pointillée, une ligne
en pointillés ou tout
autre style de ligne.
Cliquez sur le cadre de couleurs afin
de choisir une couleur de trait.Chapitre 7 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 157
Objets d’encadrement
Entourez vos images, formes, zones de texte, séquences vidéo ou audio et tout autre
paramètre fictif multimédia d’un cadre d’image.
Voici comment travailler avec les bordures de cadre d’image :
m Pour ajouter une bordure de cadre d’image, sélectionnez le fichier multimédia ou le
paramètre fictif multimédia, cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format,
puis cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes.
Choisissez Cadre d’image dans le menu local Trait, puis cliquez sur une vignette pour
choisir un cadre.
Il est possible d’ajuster certains cadres. Pour ajuster la bordure, utilisez le curseur
d’échelle ou saisissez un pourcentage particulier dans le champ adjacent.
m Pour modifier un cadre d’image, sélectionnez un objet multimédia encadré ou un paramètre fictif multimédia, cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis
sur le bouton Inspecteur des graphismes. Sélectionnez Cadre d’image dans le menu
local Trait, cliquez sur la flèche qui se trouve à côté de la vignette pour choisir un autre
cadre d’image.
m Pour supprimer une bordure d’objet multimédia ou de paramètre fictif multimédia , sélectionnez celui-ci, puis choisissez un style de ligne (ou Aucun) dans le menu local Trait.
Cliquez sur cette flèche
ou sur la vignette pour
choisir un style de cadre.158 Chapitre 7 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets
Ajout d’ombres
Les ombres ajoutées aux objets donnent une impression de profondeur. L’ombre d’un
objet apparaît sur n’importe quel objet situé derrière. Vous pouvez créer une multitude
d’effets d’ombre ou supprimer l’ombre d’un objet.
Utilisez la commande Ombre dans la barre de format pour ajouter rapidement une ombre
à un objet. Sélectionnez l’objet, puis sélectionnez Ombre dans la barre de format.
Pour appliquer une ombre à un objet via l’inspecteur des graphismes :
1 Sélectionnez l’objet.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
des graphismes.
3 Sélectionnez Ombre pour ajouter une ombre à l’objet. Désélectionnez Ombre pour
supprimer une ombre existante.
4 Définissez l’orientation de l’ombre à l’aide des contrôles d’angle.
5 Pour définir la distance entre l’ombre et l’objet, utilisez les contrôles de décalage. Une
valeur élevée de décalage de l’ombre fait apparaître l’ombre de l’objet plus longue et
légèrement séparée de l’objet.
6 Pour adoucir le bord de l’ombre ou le rendre plus net, utilisez les contrôles de flou. Une
valeur de flou plus élevée fait apparaître l’ombre de l’objet plus diffuse ; une valeur plus
faible confère à l’ombre des bords mieux définis.
7 Pour modifier la transparence de l’ombre, utilisez les contrôles d’opacité. N’utilisez pas
le curseur d’opacité qui se trouve en bas de l’Inspecteur des graphismes. Il sert à contrôler l’opacité de l’objet même.
Changez la couleur de
l’ombre dans le cadre des
couleurs.
Changez l’angle de l’ombre à
l’aide de la molette Angle.
Les valeurs dans Décalage, Flou
et Opacité permettent de modifier l’aspect de l’ombre.
Sélectionnez la case afin
d’ajouter une ombre à un
objet sélectionné.Chapitre 7 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 159
8 Pour changer la couleur de l’ombre, cliquez sur le cadre des couleurs de l’ombre,
puis sélectionnez une couleur.
Vous pouvez aussi utiliser les contrôles d’ombre de l’Inspecteur des graphismes pour
ajouter des ombres à du texte. Sélectionnez le texte auquel vous souhaitez ajouter des
ombres, puis utilisez les contrôles comme indiqué ci-dessus.
Ajout d’un reflet
Vous pouvez ajouter un reflet à un objet qui se réfléchit verticalement vers le bas.
Pour ajouter un reflet à un objet :
m Sélectionnez l’objet, puis sélectionnez Reflet dans la barre de format.
m Sélectionnez l’objet, cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis
sur le bouton Inspecteur des graphismes. Sélectionnez Reflet et faites glisser le curseur
pour augmenter ou diminuer l’intensité du reflet.
Cet objet présente les
propriétés d’ombre
par défaut.
L’ombre de cet objet est
définie avec un angle
différent.
L’ombre de cet objet pré-
sente une valeur de
décalage élevée.
L’ombre de cet objet pré-
sente le facteur de flou le
plus faible.
Cet objet présente une
couleur d’ombre différente.
L’ombre de cet objet présente
un facteur de flou élevé.160 Chapitre 7 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets
Ajustement de l’opacité
Utilisez les commandes Opacité de la barre de format ou l’Inspecteur des graphismes
pour créer rapidement des effets intéressants et rendre les objets plus ou moins opaques.
Lorsque vous placez un objet de faible opacité sur un autre objet, l’objet situé dessous
transparaît via l’objet situé dessus. En fonction de la valeur définie pour l’opacité, les
objets situés en dessous peuvent être facilement visibles, partiellement obscurcis ou
totalement invisibles (opacité de 100 %).
Voici plusieurs façons de changer l’opacité d’un objet :
m Sélectionnez l’objet, cliquez sur le menu local Opacité dans la barre de format et sélectionnez un pourcentage.
m Sélectionnez l’objet, cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis
sur le bouton Inspecteur des graphismes. Faites glisser le curseur Opacité ou entrez
un pourcentage dans le champ adjacent.
Pour les figures, vous pouvez définir séparément l’opacité des couleurs de remplissage et
de trait et celle de l’objet. Si vous déplacez le curseur Opacité dans la fenêtre Couleurs afin
de modifier la couleur du remplissage ou du trait, cette valeur d’opacité devient l’opacité
maximale de l’objet. Ensuite, lorsque vous modifiez l’opacité de l’objet dans l’Inspecteur
des graphismes, vous la modifiez par rapport à l’opacité définie dans la fenêtre Couleurs.
Si vous modifiez l’opacité d’un objet et ne parvenez pas à restaurer la couleur de remplissage de l’objet à 100 pour cent, c’est peut-être parce que l’opacité a été définie à
moins de 100 pour cent dans la fenêtre Couleurs. Pour régler ce problème, sélectionnez l’objet, choisissez Afficher > Afficher les couleurs, puis, dans la fenêtre Couleurs,
définissez l’opacité à 100 pour cent.
L’opacité du cercle est définie à 100 pour
cent dans l’Inspecteur des graphismes. La
couleur de remplissage a été définie sur une
opacité de 50 % dans la fenêtre Couleurs. Le
contour du cercle a été défini sur une opacité de 100 % dans la fenêtre Couleurs.
L’opacité du cercle est définie
à 100 pour cent dans l’Inspecteur des graphismes.
L’opacité du cercle est définie à 50 pour
cent dans l’Inspecteur des graphismes.Chapitre 7 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 161
Regroupement et verrouillage d’objets
Regroupez les objets que vous souhaitez maintenir ensemble et verrouillez ceux que
vous souhaitez éviter de déplacer par mégarde.
Regroupement et dissociation d’objets
Vous pouvez regrouper des objets flottants afin de pouvoir les déplacer, les copier, les
redimensionner et les orienter comme s’il s’agissait d’un seul objet. Vous pouvez modifier
le texte associé à une figure ou à un objet texte faisant partie d’un groupe, mais il n’est
pas possible de modifier d’autres attributs d’un objet particulier au sein d’un groupe.
Pour regrouper des objets :
1 Appuyez sur la touche Commande (ou Maj) et maintenez-la enfoncée, puis sélectionnez les objets que vous souhaitez regrouper. Ces objets ne doivent pas être verrouillés.
2 Choisissez Disposition > Grouper.
Pour dissocier un objet faisant partie d’un groupe, sélectionnez le groupe, puis choisissez Disposition > Dissocier. Si le groupe est verrouillé, déverrouillez-le au préalable.
Verrouillage et déverrouillage des objets
Vous pouvez verrouiller des objets flottants afin d’éviter de les déplacer involontairement lorsque vous travaillez sur le document. Il n’est pas possible de regrouper ou de
verrouiller des objets incorporés.
Une fois verrouillés, les objets individuels ou groupés ne peuvent pas être déplacés, ni
supprimés, ni modifiés à moins de les déverrouiller au préalable. Vous pouvez toutefois
sélectionner, copier ou dupliquer un objet verrouillé. Si vous copiez ou dupliquez un
objet verrouillé, le nouvel objet est lui aussi verrouillé.
Pour verrouiller des objets :
1 Maintenez enfoncée la touche Commande (ou Maj) en sélectionnant les objets à
verrouiller.
2 Choisissez Disposition > Verrouiller.
Pour déverrouiller un objet, sélectionnez-le, puis choisissez Disposition > Déverrouiller.162 Chapitre 7 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets
Remplissage d’objets
Remplissez un objet avec une couleur unie, un dégradé de couleurs ou une image.
Remplissage d’un objet avec de la couleur
Utilisez la barre des couleurs pour remplir rapidement un objet avec une couleur unie
ou avec un dégradé de couleurs dans lequel deux couleurs se mélangent progressivement l’une à l’autre. Sélectionnez l’objet, cliquez sur la commande de remplissage dans
la barre de format et sélectionnez une couleur.
Utilisez l’Inspecteur des graphismes pour remplir un objet avec une couleur unie ou
avec un dégradé de couleurs dans lequel deux couleurs se mélangent progressivement l’une à l’autre.
Pour modifier la couleur de remplissage d’un objet au moyen de l’Inspecteur
des graphismes :
1 Sélectionnez l’objet.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
des graphismes.
3 Pour appliquer une couleur unie de remplissage, choisissez Remplissage couleur dans
le menu local Remplissage. Cliquez sur le cadre de couleurs qui se trouve au dessous
du menu local Remplissage afin d’ouvrir la fenêtre Couleurs, puis sélectionnez une couleur dans cette fenêtre.
4 Pour remplir un objet avec un dégradé de couleurs, choisissez Remplissage dégradé
dans le menu local Remplissage. Cliquez sur chaque cadre de couleur et choisissez
chaque couleur dans la fenêtre Couleurs.
Pour configurer une direction pour le dégradé, utilisez la molette ou le champ Angle.
Pour le retourner horizontalement ou verticalement, cliquez sur les boutons fléchés
Angle.
Pour inverser le dégradé, cliquez sur la double flèche en regard des cadres de couleur.
Vous trouverez ci-après des instructions relatives à l’utilisation de la fenêtre Couleurs.
Cliquez sur chaque cadre
de couleur afin de sélectionner les couleurs.
Inversez l’orientation du dégradé
ou définissez sa direction à l’aide
des boutons fléchés, de la molette
d’angle ou en saisissant une valeur.
Cliquez sur la double flèche
afin d’inverser le dégradé.Chapitre 7 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 163
Utilisation de la fenêtre Couleurs
La fenêtre Couleurs sert à sélectionner la couleur des objets.
Vous pouvez utiliser la roue des couleurs dans la fenêtre Couleurs afin de sélectionner
des couleurs. La couleur que vous sélectionnez apparaît dans la zone en haut de la
fenêtre Couleurs. Vous pouvez enregistrer cette couleur afin de l’utiliser ultérieurement, en la plaçant dans la palette de couleurs.
Pour appliquer à un objet de la page les couleurs que vous avez sélectionnées dans
la fenêtre Couleurs, vous devez placez la couleur dans le cadre de couleur approprié
d’une sous-fenêtre de l’Inspecteur. Vous pouvez sélectionner un cadre de couleurs dans
l’un des Inspecteurs, puis cliquer sur une couleur de la roue des couleurs. Ou bien, vous
pouvez faire glisser une couleur de la palette ou de la zone des couleurs jusque dans le
cadre de couleurs de l’un des Inspecteurs.
Pour sélectionner une couleur :
1 Ouvrez la fenêtre Couleurs en cliquant sur le cadre de couleurs dans la barre de format et
en choisissant Afficher les couleurs. Ou bien cliquez sur Couleurs dans la barre d’outils, ou
sur un cadre de couleurs de l’un des inspecteurs.
2 Cliquez n’importe où dans la roue des couleurs. La couleur sélectionnée s’affiche dans
la zone des couleurs en haut de la fenêtre Couleurs.
3 Pour rendre la couleur plus claire ou plus sombre, faites glisser le curseur du côté droit
de la fenêtre Couleurs.
4 Pour rendre la couleur plus transparente, faites glisser le curseur Opacité vers la gauche ou tapez un pourcentage dans le champ Opacité.
La couleur sélectionnée dans la
roue des couleurs s’affiche dans
cette zone. (Le fait qu’il y ait deux
couleurs dans cette zone indique
que l’opacité est définie à moins
de 100 pour cent.)
Utilisez le curseur pour définir des
teintes plus claires ou plus sombres dans la roue des couleurs.
Faites glisser les couleurs à partir de la zone Couleurs afin de les stocker dans la palette de couleurs.
Sélectionner une couleur
dans la roue des couleurs.
Faites glisser le curseur Opacité vers
la gauche afin de rendre la couleur
plus transparente.
Cliquez sur l’icône
Rechercher,
puis cliquez sur
n’importe
quel élément à l’écran
pour prendre sa couleur.
Cliquez sur un bouton
pour afficher plusieurs
modèles de couleurs.164 Chapitre 7 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets
5 Pour utiliser la palette de couleurs, ouvrez-la en faisant glisser la poignée située en bas
de la fenêtre Couleurs. Pour enregistrer une couleur dans la palette, faites-la glisser de
la zone des couleurs jusque dans la palette. Pour supprimer une couleur de la palette,
faites-glisser un carré blanc dessus.
6 Pour reproduire la couleur d’un élément affiché à l’écran, cliquez sur la loupe à gauche
de la zone des couleurs de la fenêtre Couleurs. Cliquez sur l’élément de l’écran dont
vous souhaitez utiliser la couleur. La couleur apparaît dans la zone des couleurs. Sélectionnez l’élément auquel vous souhaitez appliquer la couleur dans la fenêtre du document, puis faites glisser la couleur de la zone des couleurs vers l’élément.
Image de remplissage d’un objet
Vous pouvez remplir une forme, une zone de texte, un tableau, des cellules de tableau,
l’arrière-plan d’un graphique ou une série de graphiques avec une image.
Pour remplir un objet avec une image :
1 Sélectionnez l’objet que vous souhaitez remplir.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
des graphismes.
3 Dans le menu local Remplissage de l’Inspecteur des graphismes, choisissez Remplissage par image ou Remplissage par image teintée, puis sélectionnez une image.
Vous pouvez aussi sélectionner l’image en faisant glisser le fichier image du Finder ou
du Navigateur de média jusque dans le cadre d’images de l’Inspecteur des graphismes.
4 Choisissez une échelle d’image dans le menu local.
Ajuster : redimensionne l’image afin qu’elle s’adapte au mieux aux dimensions de
l’objet. Si la forme de l’objet est différente de celle de l’image d’origine, il se peut que
des parties n’apparaissent pas ; un espace vide peut également apparaître autour de
l’image.
Remplir : fait paraître l’image plus grande ou plus petite en la dimensionnant de façon
à ne laisser qu’un espace minimum autour d’elle, même si elle n’a pas la même forme
que l’objet.
Étirer : dimensionne l’image pour qu’elle s’adapte à la taille de l’objet mais la déforme
si ce dernier a une forme différente de l’image d’origine.
Définissez la taille de
l’image dans l’objet via
le menu local.
Pour changer l’image, faites glisser une image
vers le cadre d’image.Chapitre 7 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 165
Dimensions d’origine : place l’image dans l’objet sans modifier ses dimensions d’origine. Si l’image est plus grande que l’objet, vous ne voyez qu’une partie de l’image
dans l’objet. Si l’image est plus petite que l’objet, elle est entourée d’espace vide.
Mosaïque : répète l’image à l’intérieur de l’objet si celle-ci est plus petite que l’objet. Si
l’image est plus grande que l’objet, vous ne voyez qu’une partie de l’image dans l’objet.
5 Si vous choisissez Remplissage par image teintée, cliquez sur le cadre de couleurs (à
droite du bouton Choisir) pour choisir une couleur de teinte. Faites glisser le curseur
Opacité dans la fenêtre Couleurs afin de rendre la teinte plus foncée ou plus claire. Si
vous faites glisser le curseur Opacité dans l’Inspecteur des graphismes, l’opacité de
la teinte et de l’image change.
? Astuce : vous pouvez faire glisser une image vers une cellule de tableau ou une série
de graphiques.
Utilisation des figures
Pages comprend toute une gamme de figures prédessinées. Vous pouvez également
créer vos propres figures et modifier aussi bien les figures personnalisées que celles
qui sont prédessinées.
Ajout d’une figure prédessinée
Vous pouvez insérer des figures prédessinées, telles que des triangles, des flèches, des
cercles et des rectangles, à utiliser comme graphismes simples.
Remplir
Mosaïque
(grande image)
Dimensions d’origine
Ajuster Étirer
Mosaïque
(petite image)
Mosaïque (grande image)
Cliquez pour sélectionner une
couleur de teinte pour l’image.166 Chapitre 7 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets
Voici plusieurs façons d’ajouter une figure prédessinée :
 Pour ajouter une figure flottante, cliquez sur Figures dans la barre d’outils, puis choisissez une figure prédessinée dans le sous-menu Figures.
 Pour ajouter une figure prédessinée en tant qu’objet objet incorporé, placez le point
d’insertion à l’endroit où vous souhaitez voir la figure apparaître, puis choisissez
Insertion > Figure > type de figure.
Vous pouvez aussi dessiner vous-même la figure. Dans la barre d’outils, cliquez sur
Figures tout en maintenant la touche Option enfoncée, relâchez la touche Option et
choisissez une figure dans le sous-menu Figures, puis faites glisser le pointeur en forme
de viseur dans la fenêtre du document pour créer une figure de la taille souhaitée. Pour
imposer la figure (par exemple, pour que les trois côtés d’un triangle soient égaux entre
eux), maintenez la touche Maj enfoncée pendant que vous faites glisser.
Ajout d’une figure personnalisée
Vous pouvez utiliser l’outil de dessin pour créer vos propres figures.
Lorsque vous créez une nouvelle figure personnalisée, celle-ci est insérée en tant
qu’objet flottant. Vous avez toutefois la possibilité de la convertir en objet incorporé
si vous le souhaitez.
Pour créer une figure personnalisée :
1 Cliquez sur Figure dans la barre d’outils, choisissez Figures, puis sélectionnez l’icône
de l’outil de dessin.
Vous pouvez également sélectionner les menus Insertion > Figure > Dessiner une figure.
2 Le pointeur, représentant au départ une flèche, se change alors en sorte de pointe
de crayon.
Cliquez n’importe où sur le document pour créer le premier point de la figure
personnalisée.Chapitre 7 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 167
3 Pour créer un deuxième point et le connecter au premier via une ligne droite, cliquez
simplement sur un autre endroit.
Pour créer un segment courbe plutôt qu’un segment de ligne droite, cliquez sur le
deuxième emplacement et faites-le glisser à l’aide de la souris pour modifier l’angle
de la courbe ou agrandir cette dernière. Relâchez le bouton de la souris lorsque le
tracé de la courbe vous convient.
La ligne reliant les deux points suit le style de trait par défaut défini par le modèle que
vous utilisez. Plus tard, vous pouvez changer le type de ligne à l’aide des réglages du
trait définis dans l’Inspecteur des graphismes.
4 Répétez l’étape 3 pour créer des points supplémentaires selon vos besoins. Chaque fois
que vous ajoutez un point, Pages le relie au point précédent par une ligne reprenant le
style de trait actuellement défini ainsi qu’au premier point, mais sans ajouter de trait.
Pages finit par remplir la figure entière avec la couleur de remplissage par défaut définie par le modèle que vous utilisez. Vous pouvez modifier la couleur de remplissage par
la suite dans l’Inspecteur des graphismes à l’aide des réglages de Remplissage.
Pour supprimer un segment que vous venez de créer, appuyez simplement sur la touche Suppr. Appuyez à nouveau sur la touche Suppr pour supprimer le segment précé-
dent, et ainsi de suite.
5 Pour mettre fin au dessin et fermer la figure (c’est-à-dire ajouter une ligne pleine entre
le dernier et le premier point), cliquez sur le premier point.
Pour arrêter le traçage mais laisser la figure ouverte (c’est-à-dire qu’aucune ligne n’est
dessinée entre le dernier et le premier point) afin de pouvoir continuer à la manipuler
ultérieurement, appuyez sur la touche Échap ou double-cliquez sur le dernier point créé.
Pour terminer et fermer une figure ouverte, cliquez une fois sur celle-ci pour la sélectionner, puis cliquez une deuxième fois pour afficher ses points. Double-cliquez sur
l’un des points se trouvant à l’une des extrémités du segment ouvert. Le pointeur
prend alors la forme d’une plume de stylo.
Si vous souhaitez ajouter des points supplémentaires, cliquez à d’autres endroits selon
vos besoins. Lorsque le dessin est terminé, cliquez sur le point à l’extrémité du segment
ouvert pour fermer la figure.
Retrouvez ici le segment
ouvert.168 Chapitre 7 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets
Figures modifiables
Avant de pouvoir modifier une figure, vous devez la rendre modifiable.
Voici plusieurs façons de rendre les figures modifiables :
m Pour rendre une figure prédessinée modifiable, sélectionnez-la, puis choisissez Format >
Figure > Rendre modifiable.
Des points rouges apparaissent sur la figure. Faites glisser les points pour redimensionner
la figure. Ensuite, cliquez deux fois dessus pour modifier figure prédessinée modifiable.
m Pour rendre une figure personnalisée modifiable, cliquez une fois sur celle-ci pour
la sélectionner, puis cliquez une deuxième fois pour afficher ses points. Vous pouvez
aussi sélectionner Format > Figure > Rendre modifiable.
Manipulation des points d’une figure
Vous pouvez modifier le contour d’une figure en ajoutant, en déplaçant ou supprimant
des points.
Voici plusieurs façons de manipuler les points d’une figure :
m Pour ajouter un point, rendez la figure modifiable, puis appuyez sur la touche Option
et placez le pointeur sur la bordure de la figure. Le pointeur change et prend la forme
d’une plume de stylo accompagnée d’un signe plus (+). Cliquez sur la bordure à
l’endroit où vous souhaitez ajouter un point, puis déplacez ce dernier si besoin.
m Pour déplacer un point, rendez la figure modifiable, puis cliquez sur le point en question et faites-le glisser jusqu’à un nouvel emplacement. Vous pouvez déplacer plusieurs points en même temps en cliquant sur chacun d’entre eux tout en maintenant
la touche Maj enfoncée, puis en les faisant glisser tous à la fois.
m Pour supprimer un point, rendez la figure modifiable, puis cliquez sur le point à éliminer et appuyez sur la touche Suppr. Vous pouvez aussi supprimer plusieurs points en
même temps en cliquant sur chacun d’entre eux tout en appuyant sur la touche Maj,
puis en appuyant sur la touche Suppr.
Cliquez sur un sommet
et faites-le glisser pour
modifier la figure.Chapitre 7 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 169
Modification du tracé d’une courbe
Vous pouvez agrandir ou réduire une courbe ou modifier son angle.
Pour redessiner une courbe :
1 Rendez la figure modifiable.
2 Cliquez sur une des commandes circulaires rouges de la courbe que vous voulez redessiner. Une poignée de commande apparaît des deux côtés de la commande circulaire.
3 Pour augmenter ou réduire la courbe, faites glisser la commande circulaire ou l’une
des poignées de commande.
4 Pour modifier l’angle de la courbe, déplacez les poignées de commande dans le sens
des aiguilles d’une montre ou dans le sens contraire. Vous pouvez ainsi produire divers
effets en déplaçant des poignées en même temps ou indépendamment l’une de
l’autre. Prenez le temps de tester les options offertes jusqu’au résultat voulu.
Pour déplacer toutes les poignées de commande à la fois, appuyez sur la touche
Option et faites glisser l’une d’entre elles.
Pour ne déplacer qu’une seule des poignées de commande, appuyez sur la touche
Commande avant de faire glisser la poignée.
Modification du tracé d’un segment droit
Vous pouvez modifier l’angle que forment deux segments ou modifier la longueur
d’un segment.
Pour redessiner un segment droit :
1 Rendez la figure modifiable.
2 Cliquez sur un point d’angle.
3 Pour modifier l’angle formé par deux segments qui se rejoignent, faites glisser le point
dans le sens des aiguilles d’une montre ou dans l’autre sens.
4 Pour modifier la longueur de l’un des segments, faites glisser le point vers le l’extérieur
ou vers l’intérieur.
Faites glisser ou faites
pivoter une des poignées de commande
afin de modifier la
courbe.
Vous pouvez également faire glisser
un point pour modifier la courbe.170 Chapitre 7 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets
Conversion de points d’angle en points de courbe et vice-versa
Vous pouvez transformer un ou plusieurs points en courbes ou courbes en points.
Voici plusieurs façons de convertir des points d’angle en points courbes, et vice-versa:
m Pour convertir un point d’angle en point de courbe, rendez la figure modifiable et double-cliquez sur le point d’angle.
m Au contraire, pour convertir un point de courbe en point d’angle, rendez la figure pour
modifiable et double-cliquez sur le point de courbe.
m Pour convertir tous les points d’angle d’une ou de plusieurs figures en points de
courbe, rendez les figures modifiables, sélectionnez la ou les figures concernées,
puis sélectionnez Format > Figure > Arrondir le contour.
m Pour convertir tous les points de courbe d’une ou de plusieurs figures en points
d’angle, rendez les figures modifiables, sélectionnez la ou les figures concernées,
puis sélectionnez Format > Figure > Affûter le contour.
Après qu’une figure soit configurée pour être modifiable, vous pouvez utiliser les commandes Arrondir le contour et Affûter le contour sans avoir à la reconfigurer comme
étant modifiable à nouveau.
Modification de figures prédessinées spécifiques
Certaines figures prédessinées disposent de contrôles d’édition intégrés spéciaux.
Modification d’un rectangle aux coins arrondis
Le rectangle aux coins arrondis comprend un contrôle circulaire qui vous permet
de modifier ses angles.
Pour modifier un rectangle aux coins arrondis :
m Sélectionnez la figure, puis faites glisser son contrôle circulaire vers la gauche pour
redresser les coins et vers la droite pour les arrondir.
Faites glisser pour redresser ou arrondir le coin.Chapitre 7 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 171
Modification de flèches simples et doubles
Les flèches disposent de trois contrôles spéciaux.
Voici plusieurs façons de modifier les flèches simples et doubles après les avoir
sélectionnées :
m Faites glisser la poignée de sélection se trouvant sur la queue ou sur la tête de la flèche
pour augmenter ou réduire la longueur et la largeur de la queue sans changer la forme
de sa tête.
m Faites glisser le contrôle circulaire vers le haut ou vers le bas pour modifier la largeur
de la queue.
m Faites glisser le contrôle circulaire vers la gauche ou vers la droite pour redimensionner
la tête de la flèche.
Modification d’une étoile
La figure en forme d’étoile dispose d’un curseur permettant d’augmenter ou de réduire
le nombre de ses branches et d’un contrôle circulaire permettant de modifier les angles
entre celles-ci.
Voici plusieurs façons de modifier une étoile :
m Lorsque vous sélectionnez une figure en forme d’étoile, le curseur apparaît. Faites
glisser le curseur pour augmenter ou réduire le nombre de points constituant l’étoile.
m Faites glisser le contrôle circulaire pour modifier les angles formés par les branches
de l’étoile.
Faites glisser pour modifier la longueur de la
queue de la flèche.
Faites glisser vers le haut ou vers le bas pour
modifier la largeur de la queue de la flèche.
Faites glisser vers la gauche ou vers la droite
pour redimensionner la tête de la flèche.
Faites glisser pour changer
les angles entre les points
de l’étoile.
Visualisez le nombre de
points constituant actuellement l’étoile.
Faites glisser pour
augmenter ou réduire
le nombre de points 172 Chapitre 7 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets
Modification d’un polygone
Le polygone dispose d’un curseur permettant d’augmenter ou de réduire le nombre
de ses côtés.
Pour modifier un polygone :
m Lorsque vous sélectionnez le polygone, le curseur apparaît. Faites glisser le curseur afin
d’augmenter ou de réduire le nombre de côtés constituant le polygone.
Utilisation des paramètres fictifs multimédias
De nombreux modèles Pages contiennent des paramètres fictifs multimédias. Vous
pouvez faire glisser vos propres images, séquences vidéo et fichiers audio jusque sur
ces paramètres fictifs. Votre fichier multimédia est alors automatiquement redimensionné et correctement positionné. Vous pouvez aisément remplacer un élément situé
sur un paramètre fictif multimédia en y faisant glisser un nouveau fichier. Il est inutile
de supprimer l’ancien fichier au préalable.
Vous pouvez reconnaître un paramètre fictif multimédia si vous placez le pointeur de
la souris dessus ; une balise d’aide apparaît et vous invite à y faire glisser votre image
à cet emplacement.
Voici plusieurs façons d’utiliser les paramètres fictifs multimédias :
m Faites glisser un fichier du Navigateur de média, du Finder ou d’une autre application
jusque sur le paramètre fictif multimédia.
Faites glisser afin d’augmenter
ou de réduire le nombre de
côtés constituant le polygone.
Visualisez le nombre de
côtés constituant actuellement le polygone.Chapitre 7 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 173
Pour ouvrir le Navigateur de média, cliquez sur Multimédia dans la barre d’outils.
Cliquez sur un bouton en haut de la fenêtre pour rechercher des images, des fichiers
audio ou des séquences vidéo.
m Pour modifier le contenu d’un paramètre fictif multimédia, faites glisser un nouveau
fichier multimédia sur le contenu existant.
m Pour convertir une image de paramètre fictif en image, sélectionnez-la, choisissez
Format > Avancé > Définir comme paramètre fictif multimédia.
m Pour supprimer un paramètre fictif multimédia, sélectionnez-le et appuyez sur la
touche Suppr.
m Pour créer un paramètre fictif multimédia, suivez les instructions de la rubrique
« Création de paramètres fictifs multimédia » à la page 266.
Choisissez ensuite
une source.
Cliquez d’abord sur un
bouton pour accéder aux
fichiers multimédias.
Puis faites glisser un élé-
ment vers le document ou
vers le cadre d’une image
dans l’un des Inspecteurs.
Recherchez un fichier en
saisissant son nom ici.174 Chapitre 7 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets
Utilisation des images
Pages accepte tous les formats pris en charge par QuickTime, y compris les types
de fichiers graphiques suivants :
 TIFF
 GIF
 JPEG
 PDF
 PSD
 EPS
 PICT
Une fois que vous avez importé une image dans un document, vous pouvez la masquer (rogner) et modifier sa luminosité et ses autres réglages. Vous pouvez placer une
image à l’intérieur d’une figure, d’une zone de texte, d’un élément de graphique ou
d’une cellule de tableau. Pages vous permet aussi de travailler avec des graphismes
avec transparence (graphismes avec canal alpha).
Ajout d’images
Vous pouvez importer une image en tant qu’objet flottant ou en tant qu’objet incorporé.
Importation d’une image en tant qu’objet flottant
Importez une image en tant qu’objet flottant lorsque vous voulez qu’elle reste à un
emplacement particulier de la page.
Voici plusieurs façons d’ajouter un fichier image en tant qu’objet flottant :
m Faites glisser un fichier image du Finder jusque sur le document et placez-le à l’endroit
souhaité.
m Dans la barre d’outils, cliquez sur Multimédia, puis cliquez sur le bouton Photos dans
la fenêtre du Navigateur de média, sélectionnez l’album dans lequel se trouve votre
photographie, puis faites glisser une vignette et placez-la à l’endroit souhaité.
m Cliquez tout en maintenant la touche Commande enfoncée à l’extérieur des zones de
texte du document de sorte qu’aucun point d’insertion ne soit visible, puis choisissez
Insérer > Choisir. Sélectionnez le fichier et cliquez sur Insérer. Faites glisser l’image pour
la positionner à l’endroit souhaité.
Importation d’une image en tant qu’objet incorporé
Dans un document de traitement de texte, importez une image en tant qu’objet incorporé si vous voulez qu’elle se déplace en même temps que le texte qui se trouve autour.Chapitre 7 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 175
Voici plusieurs façons d’ajouter une image en tant qu’objet incorporé :
m Appuyez sur la touche Commande, puis faites glisser un fichier image du Finder vers la
fenêtre du document jusqu’à ce que le point d’insertion se trouve à l’endroit où l’image
doit apparaître. Relâchez l’image une fois que vous l’avez positionnée à l’endroit souhaité.
m Dans la barre d’outils, cliquez sur Multimédia. Ensuite, cliquez sur le bouton Photos
de la fenêtre du Navigateur de média, sélectionnez l’album dans lequel se trouve votre
photographie, appuyez sur la touche Commande, puis faites glisser une vignette jusque dans la fenêtre du document et relâchez-la lorsque le point d’insertion se trouve
à l’endroit où vous souhaitez voir l’image apparaître.
m Placez le point d’insertion là où vous souhaitez voir l’image apparaître, choisissez
Insérer > Choisir, sélectionnez le fichier image, puis cliquez sur Insérer.
Masquage (rognage) d’images
Vous pouvez rogner des images sans modifier réellement les fichiers en masquant
des parties d’images.
Rognage d’une image à l’aide du masque par défaut (de forme rectangulaire)
Vous pouvez utiliser un masque rectangulaire pour définir les limites d’une image.
Pour rogner une image à l’aide du masque par défaut (de forme rectangulaire) :
1 Importez l’image que vous souhaitez masquer (pour en savoir plus, consultez les
rubriques « Importation d’une image en tant qu’objet flottant » à la page 174 et
« Importation d’une image en tant qu’objet incorporé » à la page 174).
2 Sélectionnez l’image, puis cliquez sur le bouton Masquer dans la barre de format ou
sélectionnez l’image et choisissez Format > Masquer. Un masque redimensionnable
se superpose à l’image et des contrôles pour l’élaboration du masque s’affichent.
3 Pour redimensionner l’image, faites glisser le curseur au-dessus du bouton Modifier
le masque.
Faites glisser les poignées de sélection
pour redimensionner le masque.
Faites glisser l’image pour positionner la partie à afficher.
Faire glisser le curseur pour redimensionner l’image.
Cliquer sur ce bouton pour afficher ou masquer la zone à l’extérieur du masque.176 Chapitre 7 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets
4 Vous pouvez affiner le masque de plusieurs façons :
 Pour redimensionner le masque, faites glisser les poignées de sélection. Pour conserver les proportions des dimensions d’un masque, maintenez la touche Maj enfoncée
lors du redimensionnement.
 Pour faire pivoter le masque, maintenez enfoncée la touche Commande tout en faisant glisser une poignée de sélection d’angle.
5 Faites glisser l’image pour positionner la partie à afficher. Pour déplacer le masque, cliquez sur le bord en pointillé du masque et faites-le glisser.
6 Pour ne rendre visible que la partie située sous le masque, double-cliquez sur le masque ou l’image, appuyez sur la touche Retour, cliquez en dehors de l’image ou cliquez
sur Modifier le masque.
7 Pour redimensionner ou faire pivoter l’image masquée, faites glisser (respectivement
en maintenant ou pas la touche Commande enfoncée) les poignées de sélection.
8 Faites glisser l’image à l’endroit souhaité.
9 Pour annuler la sélection de l’image et masquer les commandes de masque, cliquez
en dehors de l’image.
Masquage d’une image avec une figure
Vous pouvez utiliser une figure pour définir les limites d’une image.
Pour masquer une image avec une figure :
1 Exécutez l’une de ces actions :
 Sélectionnez l’image et choisissez Format > « Masquer avec une figure » > figure.
Pour obtenir des instructions, reportez-vous aux rubriques « Importation d’une image
en tant qu’objet flottant » à la page 174 et « Importation d’une image en tant
qu’objet incorporé » à la page 174.
 Cliquez en appuyant sur la touche Maj pour sélectionner une figure et une image,
puis choisissez Format > « Masquer avec la figure sélectionnée ». Reportez-vous à la
rubrique« Sélection d’objets » à la page 148 pour en savoir plus sur l’utilisation des
figures. Si l’image que vous importez est un objet flottant, la figure doit l’être également. Si l’image est un objet incorporé, il doit en être de même pour la figure.
2 Faites glisser l’image pour la positionner sur la partie que vous souhaitez afficher. Pour
déplacer le masque, cliquez sur le bord en pointillé du masque et faites-le glisser.
3 Pour redimensionner l’image, faites glisser le curseur au-dessus du bouton Modifier
le masque.
4 Pour redimensionner le masque, faites glisser les poignées de sélection. Chapitre 7 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 177
5 Pour ne rendre visible que la partie située sous le masque, double-cliquez sur le masque ou l’image, appuyez sur la touche Retour, cliquez en dehors de l’image ou cliquez
sur Modifier le masque.
6 Pour redimensionner l’image masquée, cliquez sur Modifier le masque et faites glisser
les poignées de sélection.
7 Pour annuler la sélection de l’image et masquer les commandes de masque, cliquez
en dehors de l’image.
Pour modifier une image masquée, double-cliquez dessus.
Remarque : si vous utilisez une figure contenant du texte en tant que masque, la totalité texte est supprimée. Pour restaurer le texte, choisissez Édition > Annuler le masque
avec la figure.
Pour utiliser une figure personnalisée (décrite à la rubrique « Ajout d’une figure
personnalisée » à la page 166), faites glisser une image sur la figure ou sélectionnez
l’image et la figure puis cliquez sur Format > Masquer avec la figure sélectionnée.
Vous pouvez aussi faire glisser une image pour masquer une figure.
Suppression du masque d’une image
Vous pouvez supprimer un masque et restaurer l’image originale.
Pour ne plus masquer une image :
m Sélectionnez l’image masquée, puis cliquez sur le bouton Masquer dans la barre de format ou sélectionnez Format > Ne plus masquer, ou bien cliquez sur le bouton « Masquer
dans la barre de format ».
Suppression de l’arrière-plan ou des éléments superflus d’une image
L’outil Alpha instantané vous permet de convertir les couleurs d’une image en élé-
ments transparents. Cette fonctionnalité est utile pour supprimer un arrière-plan ou
d’autres couleurs superflues.
Vous obtiendrez des résultats optimaux si vous supprimez des couleurs unies dont les
limites sont bien définies. Pour supprimer des zones moins bien délimitées, sélectionnez une zone de taille plus réduite et répétez le processus.
Pour supprimer des éléments superflus :
1 Sélectionnez l’image.
2 Sélectionnez Format > Alpha instantané.178 Chapitre 7 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets
3 Cliquez sur la couleur pour la rendre transparente, puis faites glisser le curseur lentement au-dessus.
À mesure que vous faites glisser le pointeur, la sélection s’agrandit pour englober
la zone contiguë qui est de la même couleur. Plus vous faites glisser, plus la taille
de la zone sélectionnée de l’image est importante.
4 Répétez l’étape 3 autant de fois que vous le souhaitez.
Vous pouvez restaurer les parties supprimées de l’image à tout moment. Pour restaurer
l’image original, sélectionnez Format > « Supprimer l’instantané Alpha ». Pour restaurer
les parties de l’image supprimées en utilisant l’instantané Alpha, sélectionnez Édition >
Annuler Alpha instantané jusqu’à ce que les parties supprimées soient restaurées.
Modification de la luminosité, du contraste et des autres réglages
d’une image
Vous pouvez modifier la luminosité, le contraste et certains autres réglages des images pour améliorer leur qualité ou créer des effets intéressants. Les modifications
apportées aux réglages n’ont aucune incidence sur l’image originale. Elles changent
uniquement l’apparence de l’image dans Pages.
En faisant glisser le pointeur, vous sélectionnez
la zone contiguë de
même couleur.
Faites glisser davantage ici...
...pour sélectionner
une plus grande
partie de l’image.Chapitre 7 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 179
Pour régler une image:
1 Sélectionnez l’image.
2 Cliquez sur le bouton de la fenêtre Ajuster l’image dans la barre de format ou choisissez Présentation > « Afficher Ajuster l’image » pour afficher la fenêtre Ajuster l’image.
3 Utilisez les contrôles suivants pour réaliser les réglages.
Luminosité : règle la luminosité de l’image.
Contraste : règle le contraste et les tons clairs et foncés. Ainsi, vous pouvez rendre les
ombres plus sombres, accentuer les bords d’objets ou faire ressortir les couleurs. Si
vous augmentez considérablement le contraste d’une image, celle-ci ressemblera plus
à une illustration.
Saturation : modifie l’intensité des couleurs.
Température : permet de privilégier des tons plus chauds (plus orangés) ou plus froids
(plus bleutés).
Teinte : modifie la quantité de tons rouges ou verts dans l’image.
Netteté : rend la mise au point de l’image plus ou moins précise.
Exposition : permet de privilégier les zones d’ombre ou les zones de lumière.
L’histogramme : vous aide à comprendre la répartition entre zones d’ombre (représentées à gauche de l’affichage) et zones de lumière (représentées sur la droite) de l’image.
Niveaux : modifie les niveaux des tons clairs et foncés.
Niveaux automatiques : fait en sorte que Pages améliore les couleurs automatiquement.
Réglez le contraste entre
les tons clairs et foncés.
Modifiez l’intensité de la
Augmentez la chaleur de couleur.
la couleur ou réduisez-la. Modifiez la proportion des
tons rouges et verts.
Rendez la mise au point
plus ou moins nette.
Ajustez l’ombre et la lumière.
Appréciez la relation existant entre
les ombres et l’éclairage.
Modifiez le niveau des tons
foncés et clairs.
Rétablissez les réglages
d’origine.
Améliorez les couleurs automatiquement.
Ajustez la lumière.180 Chapitre 7 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets
4 Pour rétablir les réglages d’origine, cliquez sur Réinitialiser l’image.
Pour enregistrer toutes les modifications qui y sont apportés, enregistrez le document.
Les réglages au moment où vous enregistrez en effet le document sont consultables à
tout moment en ouvrant la fenêtre Adjuster l’image.
Utilisation de fichiers PDF en tant que graphismes
Si vous avez l’intention d’augmenter ou de réduire considérablement les dimensions
d’un graphisme, envisagez de le convertir au format PDF avant de l’importer dans
Pages. Les fichiers PDF ne perdent pas leur précision lorsqu’ils sont redimensionnés.
Les autres types de fichier peuvent ne pas conserver toute leur netteté lorsqu’ils sont
agrandis ou réduits.
Les fichiers PDF offrent également un bon moyen de déplacer des données tabulaires de
documents Excel ou AppleWorks dans Pages. Si vous possédez des tableaux de feuille de
calcul Excel ou AppleWorks dont la mise en forme est complexe et que vous souhaitez les
afficher dans un document, vous pouvez enregistrer la feuille de calcul au format PDF,
puis placer ce fichier PDF sur une page, comme vous le feriez avec n’importe quel autre
fichier d’image externe.
Pour convertir un fichier Excel ou AppleWorks en fichier PDF :
1 Dans votre feuille de calcul Excel ou AppleWorks, sélectionnez la plage de tableaux
que vous souhaitez afficher dans votre document.
2 Choisissez Fichier > Imprimer.
3 Dans la zone de dialogue Imprimer, choisissez « Enregistrer en format PDF » dans le
menu local PDF.
4 Dans la zone de dialogue Enregistrer, saisissez un nom pour le fichier PDF, sélectionnez
un emplacement, puis cliquez sur Enregistrer.
Vous pouvez copier une plage de cellules d’un document Excel et coller celles-ci et leur
contenu directement dans votre document. Pages crée alors un nouveau tableau pour
y faire figurer les données Excel.
Vous pouvez aussi convertir une image en fichier PDF à l’aide de l’application Capture.
Ouvrez Capture (qui se trouve dans le dossier Applications/Utilities). Choisissez Capturer > Sélection pour sélectionner la zone écran sur laquelle vous voulez créer une
image. Sélectionnez Fichier > Imprimer pour enregistrer l’image en tant que PDF.Chapitre 7 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 181
Utilisation du son et de séquences
Vous pouvez ajouter du son, des séquences vidéo et des fichiers Flash à votre documents
si vous envisagez de l’afficher sur un écran. La lecture du fichier son ou de la séquence
commence si vous double-cliquez sur son icône dans une page du document.
Remarque : certains fichiers multimédias sont protégés par des droits d’auteur. Il se
peut aussi que certaines musiques téléchargées ne puissent être lues que sur l’ordinateur ayant été utilisé pour leur téléchargement. Assurez-vous que vous disposez bien
de l’autorisation nécessaire pour utiliser les fichiers que vous souhaitez inclure.
Pages accepte tout type de fichier QuickTime ou iTunes, y compris les suivants :
 MOV
 FLASH
 MP3
 MPEG-4
 AIFF
 AAC
Important : pour vous assurer que les séquences ou autres données multimédias pourront être lues et affichées si votre document est transmis à un autre ordinateur, vérifiez
que l’option « Copier l’audio et la vidéo dans le document » est activée. Après avoir
choisi Enregistrer ou Enregistrer sous, cliquez sur le triangle d’affichage situé en regard
du champ, puis sur Options avancées.
Ajout d’un fichier son
Ajoutez un fichier son dont vous pouvez lancer la lecture en double-cliquant sur son icône.
Voici plusieurs façons d’ajouter un fichier son :
m Faites glisser un fichier son du Finder jusque dans votre document. Le fichier son est
ajouté au document en tant qu’objet flottant.
m Dans la barre d’outils, cliquez sur Multimédia, cliquez sur Audio, sélectionnez un fichier
son, puis faites-le glisser jusque dans votre document. Le fichier son est ajouté au
document en tant qu’objet flottant.
m Pour ajouter un fichier audio à l’aide d’un paramètre fictif multimédia, reportez-vous
à la rubrique « Utilisation des paramètres fictifs multimédias » à la page 172.
m Pour convertir un fichier son qui est un objet flottant en objet incorporé, sélectionnezle, puis cliquez sur le bouton Incorporé de la barre Format.
m Pour ajouter un fichier son en tant qu’objet incorporé, appuyez sur la touche Commande,
puis faites glisser le fichier du Finder ou du Navigateur de média jusqu’à ce que le point
d’insertion s’affiche là où le fichier son doit apparaître. Relâchez la vignette lorsque vous
l’avez placée à l’endroit souhaité.182 Chapitre 7 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets
Ajout d’un fichier de séquence
Ajoutez un fichier de séquence dont vous pouvez lancer la lecture en double-cliquant
sur son icône.
Voici plusieurs façons d’ajouter une séquence :
m Faites glisser un fichier de séquence du Finder jusque dans votre document.
m Dans la barre d’outils, cliquez sur Multimédia, puis sur Séquences, sélectionnez un
fichier de séquence et faites-le glisser jusqu’à l’endroit souhaité dans votre document.
Pour visualiser les séquences répertoriées dans la sous-fenêtre Séquences du navigateur de média, vous devez les placer dans le dossier Séquences dans iTunes ou iPhoto.
m Choisissez Insertion > Choisir, sélectionnez le fichier de séquence, puis cliquez sur Insérer.
m Pour ajouter un fichier de séquence à l’aide d’un paramètre fictif multimédia, consultez
la rubrique « Utilisation des paramètres fictifs multimédias » à la page 172.
m Pour convertir un fichier de séquence qui est un objet flottant en objet incorporé,
sélectionnez-le, puis cliquez sur le bouton Incorporé de la barre Format.
m Pour ajouter une séquence en tant qu’objet incorporé, appuyez sur la touche Commande,
puis faites glisser le fichier à partir du Finder ou de la sous-fenêtre Séquences du Navigateur de média jusqu’à ce que le point d’insertion se trouve là où le fichier vidéo doit apparaître. Relâchez la vignette lorsque vous l’avez placée à l’endroit souhaité.
Réglage des options de lecture des fichiers multimédias
Dans l’Inspecteur QuickTime, vous pouvez sélectionner l’image de départ et l’image de
fin de votre séquence, régler le volume de lecture des fichiers audio et vidéo de votre
document et indiquer si les fichiers multimédias doivent être lus une seule fois ou en
boucle ou si la lecture doit se faire en avant et en arrière (Lecture en boucle dans les 2
sens). Vous pouvez aussi spécifier une image de séquence à afficher en attendant le
début de la lecture.
Pour définir les préférences de lecture :
1 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
QuickTime.
2 Cliquez sur la séquence ou l’objet audio pour les sélectionner.
3 Pour démarrer ou arrêter la lecture de la séquence sur des images ou des temps particuliers, faites glisser les curseurs de départ et de fin.
4 Pour spécifier l’image de séquence à afficher sur la page (appelée « affiche ») en attendant le début de la lecture, faites glisser le curseur Affiche jusqu’à ce que l’image souhaitée de la séquence apparaisse à l’écran.Chapitre 7 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 183
5 Choisissez une option de répétition dans le menu local Répétition :
Aucune : une seule lecture.
Boucle : lecture en continu.
Lecture en boucle dans les 2 sens : lecture en continu vers l’avant et vers l’arrière.
6 Pour augmenter ou réduire le volume de la lecture, faites-glisser le curseur du volume
vers la gauche ou la droite.
Définissez le volume
de lecture.
Définissez les options
de répétition de lecture.
Sélectionnez l’image à
afficher en attendant le
démarrage de la lecture
de la séquence.
Utilisez ces contrôles pour afficher la
séquence ou écouter le fichier son
lorsque vous modifiez le document.
Le bouton Inspecteur
QuickTime
Commencer et arrêter une
séquence vidéo à un instant
spécifique.8
184
8 Utilisation de tableaux
Ce chapitre vous explique comment ajouter et mettre
en forme des tableaux et des valeurs de cellule.
Pour plus d’informations sur l’utilisation de formules dans les cellules d’un tableau,
consultez le chapitre 9, « Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux, » à
la page 210.
À propos des tableaux
Les tableaux vous aident à organiser, analyser et présenter des données.
Pages offre un large éventail d’options permettant de créer et de mettre en forme des
tableaux et de gérer des valeurs de différents types. Vous pouvez également utiliser des
opérations spéciales telles que le tri ou le formatage conditionnel (technique permettant de contrôler automatiquement les valeurs d’une cellule).
 La rubrique « Utilisation de tableaux » à la page 185 vous apprend à ajouter des
tableaux, à les redimensionner, à les déplacer, à les nommer, etc.
 La rubrique « Sélection de tableaux et de leurs composants » à la page 190 décrit
comment sélectionner des tableaux, des colonnes et d’autres éléments de tableaux
afin de travailler avec ceux-ci.
 La rubrique « Utilisation du contenu des cellules d’un tableau » à la page 193 vous
indique comment ajouter du texte, des chiffres, des dates, des images et tout autre
contenu dans les cellules d’un tableau et vous explique comment contrôler automatiquement les valeurs d’une cellule.
 La rubrique « Utilisation des rangs et des colonnes » à la page 202 traite de l’ajout de
rangs et de colonnes, de leur redimensionnement, etc.
 La rubrique « Utilisation des cellules d’un tableau » à la page 206 contient des instructions relatives à la division, à la fusion, à la copie et au déplacement des cellules
et vous indique comment mettre en forme les bordures des cellules.
 La rubrique « Tri des cellules d’un tableau » à la page 209 décrit le tri et le filtrage
des rangs.Chapitre 8 Utilisation de tableaux 185
Utilisation de tableaux
Vous disposez d’une grande variété de techniques permettant de créer des tableaux
et d’en gérer les caractéristiques, la taille et l’emplacement.
Ajout d’un tableau
Même si la plupart des modèles contient un ou plusieurs tableaux, vous pouvez ajouter des tableaux supplémentaires à vos documents Pages.
Il existe plusieurs manières d’ajouter un tableau :
m Cliquez sur Tableau dans la barre d’outils.
m Choisissez Insertion > Tableau.
m Pour dessiner un tableau sur la page, maintenez la touche Option enfoncée tout en cliquant sur Tableau dans la barre d’outils. Libérez la touche Option et déplacez le pointeur
sur la page jusqu’à ce qu’il se transforme en réticule. Faites-le glisser à travers la page pour
créer un tableau de la taille souhaitée. Lorsque vous faites glisser le pointeur, le nombre de
rangs et de colonnes augmente ou diminue avec la taille du tableau. Pour redimensionner
le tableau à partir du centre, appuyez sur la touche Option tout en faisant glisser la souris.
m Pour créer un tableau sur la base d’une ou de plusieurs cellules adjacentes d’un tableau
existant, sélectionnez la ou les cellule(s), cliquez sur la sélection et maintenez le bouton
de la souris enfoncé tout en faisant glisser la sélection vers la page. Pour conserver les
valeurs sélectionnées dans les cellules du tableau d’origine, maintenez la touche Option
enfoncée tout en faisant glisser la sélection.
Consultez la rubrique « Sélection de tableaux et de leurs composants » à la page 190
pour en savoir plus sur les techniques de sélection des cellules.
Utilisation des outils de tableau
Vous pouvez utiliser divers outils de Pages pour mettre en forme un tableau ainsi que
ses colonnes, ses rangs, ses cellules et les valeurs des cellules.
Voici plusieurs manières de gérer les caractéristiques d’un tableau :
m Sélectionnez un tableau et mettez-le rapidement en forme à l’aide de la barre de format.
Mettre en forme le
texte à l’intérieur des
cellules du tableau
Trier le texte à l’intérieur
des cellules du tableau
Mettre en forme
les valeurs de
cellule
Définir le nombre de rangs
et de colonnes
Ajouter une couleur d’arrière-plan
à une cellule
Ouvrir le tiroir des styles186 Chapitre 8 Utilisation de tableaux
m Utilisez l’Inspecteur des tableaux pour contrôler de manière très précise la largeur
des colonnes et la hauteur des rangs, pour ajouter des en-têtes et des pieds de page,
mettre en forme les bordures, etc. Pour ouvrir l’Inspecteur des tableaux, sélectionnez
un tableau ou une ou plusieurs cellule(s), cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre
de format, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des tableaux.
m Utilisez la sous-fenêtre Format de l’Inspecteur des tableaux pour mettre en forme
les valeurs des cellules du tableau. Par exemple, vous pouvez afficher un symbole
de devise dans les cellules contenant des valeurs monétaires.
Ajuster la taille des rangs
et des colonnes.
Régler les attributs des étiquettes,
des marques de graduation, etc.
Ajouter une couleur ou une
image à une cellule.
Modifier le comportement des touches Retour et de tabulation.
Contrôler la visibilité des cellules d’en-tête
dans des tableaux à plusieurs pages.
Cliquer pour ouvrir le menu local
Modifier les rangs et les colonnes
Définir le nombre de rangs et de
colonnes. Ajouter et supprimer un
rang d’en-tête, une colonne d’en-tête
et un rang de bas de page.Chapitre 8 Utilisation de tableaux 187
La sous-fenêtre Format de l’Inspecteur des tableaux vous permet également de configurer le formatage conditionnel. Par exemple, une cellule peut prendre la couleur
rouge lorsque sa valeur excède un certain chiffre.
m Utilisez l’Inspecteur des graphismes pour créer des effets visuels spéciaux, comme des
ombres et des reflets. Pour ouvrir l’Inspecteur des graphismes, cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format et cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes.
m Pour accéder au menu local, sélectionnez un tableau ou une ou plusieurs cellule(s) puis
cliquez à nouveau tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée.
Vous pouvez également utiliser le menu local Modifier les rangs et les colonnes de
l’Inspecteur des tableaux.
m Utilisez l’Éditeur de formules pour ajouter et modifier des formules.
Reportez-vous à la rubrique « Utilisation de l’Éditeur de formules » à la page 216 pour
en savoir plus.
m Utilisez le Navigateur de formules pour ajouter et modifier des fonctions.
Reportez-vous à la rubrique « Utilisation des fonctions » à la page 222 pour en savoir plus.
Cocher la case pour renvoyer le texte à
la ligne dans les cellules sélectionnées
Utiliser les couleurs pour
faire ressortir les cellules
dont les valeurs dépendent de vos règles
Choisir une formule ou
l’Éditeur de formules pour
effectuer un calcul
Définir le format d’affichage de valeurs issues
des cellules sélectionnées188 Chapitre 8 Utilisation de tableaux
Redimensionnement d’un tableau
Vous pouvez agrandir ou réduire la taille d’un tableau en faisant glisser l’une de ses
poignées de sélection ou à l’aide de l’Inspecteur des mesures. Vous pouvez également
modifier la taille d’un tableau en redimensionnant ses colonnes et ses rangs.
Avant de redimensionner un tableau, vous devez le sélectionner, comme le décrit
la rubrique « Sélection d’un tableau » à la page 190.
Voici plusieurs manières de redimensionner un tableau sélectionné :
m Faites glisser l’une des poignées de sélection carrées qui s’affichent lorsque vous sélectionnez un tableau. Dans le cas des tableaux incorporés dans un document de traitement
de texte, seules les poignées de sélection latérales droites actives peuvent être utilisées.
Pour conserver les proportions du tableau, maintenez la touche Maj enfoncée pendant
que vous redimensionnez le tableau.
Pour redimensionner le tableau à partir de son centre, maintenez la touche Option
enfoncée pendant que vous le faites glisser.
m Pour redimensionner un tableau dans une direction, faites-glisser une poignée latérale
au lieu d’une poignée d’angle. Dans le cas des tableaux incorporés, seules les poignées
de sélection latérales droites actives peuvent être utilisées.
m Pour redimensionner en spécifiant des dimensions exactes, cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur des mesures. Cette sousfenêtre vous permet de spécifier de nouvelles valeurs de largeur et de hauteur, de contrôler l’angle de rotation et de modifier les distances entre le tableau et les marges.
Si le tableau s’étend sur plus d’une page, vous devez utiliser l’Inspecteur des mesures
pour le redimensionner.
m Pour redimensionner un tableau en réglant les dimensions des rangs et des colonnes,
reportez-vous à la rubrique « Redimensionnement des rangs et des colonnes d’un
tableau » à la page 205.
Déplacement de tableaux
Vous pouvez déplacer un tableau en le faisant glisser, ou vous pouvez le changer
d’emplacement à l’aide de l’Inspecteur des mesures.
Voici quelques moyens de déplacer un tableau :
m Pour déplacer un tableau flottant, sélectionnez-le, cliquez avec le bouton de la souris
à un endroit quelconque du tableau et maintenez le bouton enfoncé, puis faites glisser
le tableau.
Faites glisser une poignée de sélection active pour redimensionner un
tableau incorporé ou flottant.Chapitre 8 Utilisation de tableaux 189
m Pour déplacer un tableau incorporé, cliquez sur le tableau pour le sélectionner, puis
faites-le glisser jusqu’à ce que le point d’insertion apparaisse à l’endroit où vous souhaitez placer le tableau dans le texte.
Vous pouvez également sélectionner le tableau et choisir Édition > Couper. Placez le
point d’insertion à l’endroit où vous souhaitez que le tableau apparaisse, puis choisissez Édition > Coller.
m Maintenez la touche Maj enfoncée pendant que vous faites glisser le tableau afin
d’imposer un mouvement horizontal, vertical ou à 45 degrés.
m Pour déplacer un tableau avec plus de précision, cliquez sur une cellule, cliquez sur
le bouton Inspecteur dans la barre de format, cliquez sur le bouton Inspecteur des
mesures, puis utilisez les champs Position pour déplacer le tableau.
m Pour copier un tableau et déplacer la copie, maintenez la touche Option enfoncée, cliquez sans relâcher le bouton sur le bord du tableau non sélectionné et faites-le glisser.
Copie de tableaux entre des applications iWork
Vous pouvez copier un tableau d’une application iWork à l’autre.
Le tableau conserve son apparence, ses données et d’autres attributs, mais certaines
fonctionnalités dans Pages ne sont pas prises en charge dans les autres applications :
 Les rangs ou les colonnes masqués dans Pages ne sont pas visibles dans les autres
applications sauf si vous sélectionnez le tableau et que vous cliquez sur Format >
Tableau > « Afficher toutes les rangées » et sur « Afficher toutes les colonnes ».
 Les commentaires ajoutés aux cellules de tableau dans Pages ne sont pas copiés.
Pour copier un tableau d’une application iWork à l’autre :
1 Sélectionnez le tableau à copier, comme le décrit la rubrique « Sélection d’un tableau »
à la page 190.
2 Cliquez sur Édition > Copier.
3 Dans l’autre application, créez un point d’insertion pour le tableau copié, puis choisissez Édition > Coller.
Conversion de texte en tableau
Vous pouvez convertir rapidement du texte en tableau et inversement.
Voici différentes façons de convertir du texte en tableau :
m Pour convertir du texte en tableau, sélectionnez le texte, puis choisissez Format >
Conversion de texte en tableau.
Lorsque Pages rencontre un retour chariot, il crée un nouveau rang. Lorsque Pages
rencontre une marque de tabulation, il crée une nouvelle colonne.
m Pour convertir un tableau en texte, sélectionnez le tableau, puis choisissez Format >
Conversion de tableau en texte.190 Chapitre 8 Utilisation de tableaux
Sélection de tableaux et de leurs composants
Vous devez sélectionner les tableaux, les rangs, les colonnes, les cellules de tableau
et les bordures de cellule de tableau avant de les utiliser.
Sélection d’un tableau
Lorsque vous sélectionnez un tableau, des poignées de sélection apparaissent sur
les bords de celui-ci.
Voici quelques manières de sélectionner un tableau :
m Si aucune cellule n’est sélectionnée, cliquez n’importe où dans le tableau.
m Si une cellule du tableau est sélectionnée, appuyez sur la combinaison de touches
Commande + Retour, ou cliquez en dehors du tableau, puis cliquez à n’importe quel
endroit dans le tableau.
Sélection d’une cellule unique d’un tableau
Lorsque vous sélectionnez une cellule, la bordure de cette cellule est mise en surbrillance.
Pour sélectionner une cellule unique d’un tableau :
m Sélectionnez le tableau, puis cliquez sur la cellule.
Une fois la cellule sélectionnée, utilisez les touches de tabulation, Retour ou de direction
pour sélectionner une autre cellule. Si vous sélectionnez « La touche Retour déplace la
sélection vers la cellule suivante » dans les Options de tableau de l’Inspecteur des tableaux,
vous pouvez modifier l’effet des touches Retour ou de tabulation.
Pour sélectionner
Si l’option « Touche Retour »
est sélectionnée
Si l’option « Touche Retour »
n’est pas sélectionnée
La cellule suivante sur la droite Appuyez sur la touche de
tabulation.
Si vous appuyez sur la touche
de tabulation dans la dernière
cellule d’une colonne, une autre
colonne est ajoutée.
Si vous ajoutez ou modifiez les
données de la dernière colonne,
appuyez deux fois sur la touche
de tabulation pour ajouter une
colonne.
Appuyez sur la touche de
tabulation.
Si vous appuyez sur la touche
de tabulation dans la dernière
colonne, la première cellule du
rang suivant est sélectionnée.
Si vous appuyez sur la touche
de tabulation dans la dernière
cellule du tableau, un nouveau
rang est ajouté.
La cellule précédente Appuyez simultanément sur
la touche Maj et sur la touche
de tabulation.
Appuyez simultanément sur
la touche Maj et sur la touche
de tabulation.
Si vous appuyez simultanément
sur la touche Maj et sur la touche de tabulation dans la première cellule, la dernière cellule
est sélectionnée.Chapitre 8 Utilisation de tableaux 191
Sélection d’un groupe de cellules de tableau
Vous pouvez sélectionner plusieurs cellules, qu’elles soient adjacentes ou non.
Voici différentes manières de sélectionner un groupe de cellules :
m Pour sélectionner des cellules de tableau adjacentes, sélectionnez une cellule unique,
puis maintenez la touche Maj enfoncée pendant que vous sélectionnez les cellules
adjacentes.
Vous pouvez également cliquer sur une cellule, puis faire glisser le curseur sur plusieurs
cellules tout en maintenant le bouton de la souris enfoncé.
m Pour sélectionner des cellules non adjacentes d’un tableau, maintenez la touche Commande enfoncée pendant que vous sélectionnez les cellules. Utilisez la touche Commande tout en cliquant sur la cellule d’un groupe pour la désélectionner.
Sélection d’un rang ou d’une colonne
Le moyen le plus rapide de sélectionner tous les rangs et toutes les colonnes d’un tableau
consiste à utiliser l’Inspecteur des tableaux.
La cellule suivante du dessous Appuyez sur la touche Flèche
vers le bas ou sur Retour.
Si vous avez utilisé la touche de
tabulation pour naviguer entre
les cellules, vous pouvez utiliser
la touche Retour pour sélectionner la cellule suivante vers le bas
à partir de la cellule dans
laquelle vous avez commencé à
utiliser la touche de tabulation.
Si vous appuyez sur la touche
Retour et que la dernière cellule
d’un rang est sélectionnée, un
nouveau rang est ajouté.
Si vous ajoutez ou modifiez les
données de la dernière cellule,
appuyez deux fois sur la touche
Retour pour ajouter un rang.
Appuyez sur la touche Flèche
vers le bas.
La cellule suivante au dessus Appuyez sur la flèche Haut ou
sur la combinaison de touches
Maj + Retour.
Appuyez sur la touche Flèche
vers le haut.
Pour sélectionner
Si l’option « Touche Retour »
est sélectionnée
Si l’option « Touche Retour »
n’est pas sélectionnée192 Chapitre 8 Utilisation de tableaux
Voici différentes manières de sélectionner des rangs et des colonnes :
m Pour sélectionner un rang ou une colonne unique, choisissez Sélectionner le rang ou
Sélectionner la colonne dans le menu local Modifier les rangs et les colonnes de l’Inspecteur des tableaux.
Vous pouvez également utiliser les techniques décrites à la rubrique « Sélection d’un
groupe de cellules de tableau » à la page 191.
m Pour sélectionner plusieurs rangs, sélectionnez deux cellules adjacentes verticalement
ou plus avant de cliquer sur Sélectionner le rang.
m Pour sélectionner plusieurs colonnes, sélectionnez deux cellules adjacentes horizontalement ou plus avant de cliquer sur Sélectionner la colonne.
Sélection des bordures des cellules d’un tableau
Sélectionnez les segments de bordure de la cellule lorsque vous souhaitez les mettre
en forme. Un seul segment de bordure correspond à un seul côté d’une cellule. Un long
segment de bordure comprend tous les segments de bordure adjacents.
Voici plusieurs manières de sélectionner les bordures et les segments de bordure:
m Pour sélectionner des bordures spécifiques pour plusieurs cellules : sélectionnez le rang,
la colonne ou les cellules du tableau, cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre
des formats, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des tableaux. Cliquez sur l’un des
boutons de bordure de cellule dans la sous-fenêtre Tableau.
m Pour sélectionner une bordure : si le tableau est sélectionné, double-cliquez sur la bordure. Si le tableau n’est pas sélectionné, double-cliquez sur la bordure.
m Pour sélectionner la bordure d’un segment : si le tableau est sélectionné, double-cliquez
sur le segment. Si le tableau n’est pas sélectionné, cliquez sur un segment trois fois.
Pour sélectionner (ou annuler la sélection) des segments supplémentaires, appuyez sur
les touches Commande et Maj tout en cliquant.
Si une bordure du tableau est sélectionnée, vous pouvez en sélectionner une autre en
cliquant dessus. En cliquant sur la même bordure vous sélectionnerez un segment.
Si un segment est sélectionné, vous pouvez en sélectionner un autre en cliquant
dessus. En cliquant sur le même segment vous sélectionnerez la bordure.
Lorsqu’une cellule, une bordure ou un segment sont sélectionnés, le pointeur change
d’aspect lorsqu’il est placé sur la bordure ou le segment. Faites-le alors glisser pour
déplacer la bordure.
Le pointeur ressemble à
ceci lorsqu’il passe audessus d’un segment
horizontal.
Le pointeur ressemble à ceci lorsqu’il
passe au-dessus d’un
segment vertical.Chapitre 8 Utilisation de tableaux 193
Utilisation du contenu des cellules d’un tableau
Vous pouvez ajouter du texte, des chiffres et des dates dans les cellules d’un tableau et
vous pouvez mettre en forme les valeurs de ces cellules. Vous pouvez également ajouter des images et une couleur d’arrière-plan. De plus, la fonction de remplissage automatique vous permet d’utiliser le contenu d’une cellule pour ajouter automatiquement
des valeurs aux cellules adjacentes.
Ajout et modification de valeurs de cellule
Vous pouvez ajouter, modifier et supprimer le contenu des cellules.
Voici différentes façons d’ajouter et de modifier les valeurs :
m Si la cellule est vide, sélectionnez-la puis tapez une valeur. Reportez-vous à la rubrique
« Sélection d’une cellule unique d’un tableau » à la page 190 pour savoir comment
sélectionner les cellules.
m Pour remplacer un contenu spécifique existant dans une cellule, sélectionnez la cellule
et sélectionnez le contenu que vous souhaitez remplacer en double-cliquant dessus
tout en appuyant sur la touche Maj, et sélectionnez plus de contenu si vous souhaitez
en remplacer plus. Tapez du texte pour remplacer le contenu sélectionné.
m Pour tout remplacer dans la cellule, sélectionnez cette dernière et procédez à la saisie.
Si « La touche Retour déplace sur la cellule suivante » n’est pas sélectionnée dans l’Inspecteur des tableaux, sélectionnez la cellule et appuyez sur la touche Retour ou Entrée,
qui permet de sélectionner tout le contenu de la cellule, puis saisissez du texte.
m Pour insérer du contenu dans du contenu existant, sélectionnez la cellule, cliquez pour
définir le point d’insertion et procédez à la saisie.
m Pour supprimer le contenu des cellules, des rangs ou des colonnes d’un tableau, sélectionnez les cellules, les rangs ou les colonnes, puis appuyez sur la touche Suppr ou
choisissez Édition > Supprimer.
Pour supprimer le contenu, le remplissage d’arrière-plan et tous les réglages de style,
choisissez Édition > Tout effacer. Le style par défaut est alors appliqué à la sélection.
m Pour copier, coller et déplacer les valeurs de cellules, suivez les instructions de la rubrique « Copie et déplacement de cellules » à la page 208
m Pour ajouter des formules et des fonctions aux cellules, consultez les instructions des
rubriques « Utilisation des formules » à la page 210 et « Utilisation des fonctions » à la
page 222.194 Chapitre 8 Utilisation de tableaux
Utilisation de texte dans les cellules
Vous pouvez contrôler la mise en forme et l’alignement du texte dans les cellules d’un
tableau. Vous pouvez également utiliser les fonctions Rechercher/Remplacer et le correcteur orthographique.
Voici quelques techniques pour utiliser du texte dans les cellules d’un tableau :
m Pour insérer un saut de ligne, appuyez simultanément sur les touches
Contrôle + Retour.
m Pour insérer un saut de paragraphe, si la case « La touche Retour déplace sur la cellule
suivante » n’est pas sélectionnée dans les Options de tableau de l’Inspecteur des tableaux,
appuyez uniquement sur la touche Retour. Sinon, appuyez sur Option + Retour.
m Pour insérer une tabulation dans un tableau, appuyez simultanément sur la touche
Option et sur la touche de tabulation.
m Pour changer la couleur, l’alignement et l’espace entre les lignes du texte dans une cellule, utilisez les commandes dans la barre de format.
Vous pouvez également régler la couleur, l’alignement et l’espace entre les lignes du
texte dans une cellule en utilisant l’Inspecteur (cliquez sur le bouton Inspecteur dans
la barre de format et cliquez sur le bouton Inspecteur du texte).
m Pour modifier les attributs de police, utilisez les commandes de la barre de format.
Vous pouvez également régler les attributs de police dans le panneau Police (accessible en cliquant sur Polices dans la barre d’outils).
m Pour vérifier l’orthographe et les erreurs d’écriture, suivez les instructions de la rubrique « Vérification de l’orthographe et de documents » à la page 123.
m Pour effectuer une recherche et un remplacement éventuel de texte dans les cellules,
suivez les instructions de la rubrique « Recherche et remplacement de texte » à la
page 126.
m Pour éviter que Pages interprète votre saisie comme un nombre, placez une apostrophe devant la chaîne de texte.
Utilisation de nombres dans les cellules
Certaines opérations du tableau, telles que les formules et les fonctions qui effectuent
des opérations mathématiques, dépendent des cellules qui contiennent des valeurs
numériques.
Voici quelques techniques pour utiliser les nombres dans les cellules d’un tableau :
m Dans une cellule numérique, vous devez utiliser uniquement des chiffres compris entre
0 et 9 ou l’un des caractères suivants : +, –, (,), /, $, %, un point, E ou e.
m Vous pouvez taper certains caractères (tels que %) dans une cellule, ou utiliser un format de cellule, tel que décrit à la rubrique « Mise en forme des valeurs de cellule » à la
page 196.Chapitre 8 Utilisation de tableaux 195
m Pour spécifier un nombre négatif, faites-le précéder du signe moins (–).
Lorsque vous saisissez dans une cellule de tableau un nombre qui est trop long pour
être affiché entier, Pages convertit le nombre :
 Lorsqu’un nombre décimal ne tient pas dans une cellule, le nombre est arrondi.
Par exemple, 1.77777777777777777777 devient ainsi 1.77777777777778.
 Lorsqu’un nombre entier ne tient pas dans une cellule, celui-ci est affiché en notation scientifique. Par exemple, 77777777777777777777 devient ainsi 7.7.77778E+19.
La notation scientifique consiste à présenter les nombres sous la forme d’un nombre
décimal affecté d’un facteur multiplicateur qui est une puissance de 10. La valeur de
cette puissance figure à la suite du symbole E.
Si le nombre ainsi converti ne tient toujours pas dans la cellule, il est tronqué. Pour
obtenir des suggestions, consultez la rubrique « Affichage d’un contenu trop long pour
la cellule » à la page 195.
Les instructions d’utilisation des formules et des fonctions dans les cellules d’un tableau
se trouvent dans les rubriques « Utilisation des formules » à la page 210 et « Utilisation
des fonctions » à la page 222.
Utilisation de dates dans les cellules
Sauf si une cellule est au format date et heure, lorsque vous saisissez une valeur qui
peut être interprétée comme une date ou une heure, Pages peut reformater la valeur.
Par exemple, si vous tapez 1/22/45 ou 1-22-45 dans une cellule d’un tableau avec la
mise en forme de cellule automatique, après avoir quitté la cellule, la valeur devient
alors Jan. 22, 2045. Si vous saisissez la valeur d’une année sur 2 chiffres et que celle-ci
est supérieure ou égale à 50, Pages ajoute le préfixe « 19 » ; sinon, Pages ajoute le pré-
fixe « 20 ».
De plus, si vous tapez 12 pm, la valeur devient 12:00 PM. Vous pouvez cependant modifier la valeur en cas de besoin.
Pour en savoir plus sur les formats de date et d’heure, consultez la rubrique « Utilisation
du format Date et heure » à la page 199.
Affichage d’un contenu trop long pour la cellule
Lorsqu’une cellule est trop petite pour afficher tout son contenu, un indicateur de
découpage (petit signe plus dans le coin inférieur droit de la cellule) apparaît.
L’indicateur de découpage apparaît lorsque la cellule du tableau contient plus de
contenu qu’elle ne peut en afficher.196 Chapitre 8 Utilisation de tableaux
Vous pouvez élargir la cellule afin qu’elle puisse afficher plus de données ou vous
pouvez laisser le contenu déborder sur les cellules vides adjacentes.
Pour éviter le découpage ou le débordement, vous pouvez configurer un tableau de
manière que ses cellules rétrécissent ou s’agrandissent automatiquement en hauteur
en fonction du contenu, en sélectionnant l’option « Ajuster automatiquement au
contenu » dans la sous-fenêtre Tableau de l’Inspecteur des tableaux.
Voici quelques moyens de régler les problèmes liés au contenu trop volumineux
pour tenir dans une cellule :
m Pour laisser le contenu d’une cellule déborder sur les cellules adjacentes, désélectionnez « Ajuster automatiquement au contenu » dans la sous-fenêtre Format de l’Inspecteur des tableaux, et désélectionnez « Ajuster automatiquement au contenu » dans la
sous-fenêtre Tableau.
Si les cellules adjacentes sont vides, elles affichent le contenu qui déborde. Par contre,
si elles contiennent des données, le surplus de contenu n’est pas affiché et l’indicateur
de découpage apparaît.
m Pour ajuster le contenu au lieu de le laisser déborder, sélectionnez « Ajuster le texte à
la cellule » dans la sous-fenêtre Format de l’Inspecteur des tableaux.
m Pour redimensionner une colonne afin d’afficher toutes les valeurs d’une cellule particulière, cliquez sur la bordure droite de celle-ci et faites-la glisser vers la droite, ou utilisez les commandes Largeur de colonne de la sous-fenêtre Tableau de l’Inspecteur des
tableaux.
m Pour redimensionner un rang afin d’afficher toutes les valeurs d’une cellule particulière, cliquez sur sa bordure du bas et faites-la glisser vers le bas, ou utilisez les contrô-
les Hauteur de rang de l’Inspecteur des tableaux.
Mise en forme des valeurs de cellule
Vous pouvez appliquer une mise en forme à une cellule afin que sa valeur s’affiche
d’une manière particulière. Par exemple, vous pouvez mettre en forme les cellules qui
contiennent des valeurs monétaires afin qu’un symbole monétaire (tel que $, £ ou ¥)
apparaisse avant les nombres qu’elles contiennent.
Vous pouvez définir les formats de cellule à l’aide du menu local Format de cellule de
la sous-fenêtre Format de l’Inspecteur des tableaux. Pour afficher les valeurs de cellules
exactement comme vous les tapez, choisissez Automatique dans le menu local. Sinon,
choisissez l’élément qui applique la mise en forme souhaitée.Chapitre 8 Utilisation de tableaux 197
Voici quelques moyens d’utiliser les formats de cellule :
m Pour ajouter une valeur dans une cellule vide associée à un format, sélectionnez la
cellule et saisissez une valeur. Le format est appliqué lorsque vous quittez la cellule.
m Pour appliquer un format de cellule à une valeur existante, sélectionnez une ou plusieurs cellules contenant des valeurs. Utilisez le menu local Format de cellule de la sousfenêtre Format de l’Inspecteur des tableaux pour définir le format d’une cellule. Le format que vous définissez est alors appliqué aux valeurs des cellules sélectionnées.
m Pour supprimer le format d’une cellule, sélectionnez la cellule, puis choisissez Automatique dans le menu local Format de cellule de la sous-fenêtre Format de l’Inspecteur des
tableaux. La valeur reste, mais la mise en forme est supprimée.
m Si vous supprimez une valeur d’une cellule associée à un format, celui-ci n’est pas supprimé. Pour supprimer le format, choisissez Automatique dans le menu local Format de
cellule de la sous-fenêtre Format de l’Inspecteur des tableaux.
m Une fois le format d’une cellule défini, vous pouvez l’associer à plusieurs cellules grâce
au remplissage automatique. Reportez-vous à la rubrique « Remplissage automatique
des cellules d’un tableau » à la page 201 pour en connaître les instructions.
Utilisation du format numérique
Utilisez le format numérique pour mettre en forme l’affichage du nombre de chiffres
après la virgule, des séparateurs de milliers et des valeurs négatives.
Pour définir le format des nombres d’une ou de plusieurs cellules :
1 Sélectionnez la ou les cellules.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
des tableaux et enfin sur Format.
3 Choisissez Nombre dans le menu local Format de cellule.
4 Pour spécifier le nombre de chiffres après la virgule à afficher, utilisez le champ Décimales.
Si une valeur contient plus de chiffres après la virgule que le nombre que vous avez spécifié, la valeur affichée est arrondie et non pas tronquée. Par exemple, si une cellule est mise
en forme pour afficher deux chiffres après la virgule, la valeur 3.456 est affichée sous la
forme 3.46 et non pas 3.45.
5 Pour spécifier l’affichage des valeurs négatives, choisissez une option du menu local
adjacent au champ Décimales.
6 Pour spécifier s’il faut utiliser ou non un séparateur des milliers, sélectionnez Séparateur
de milliers.198 Chapitre 8 Utilisation de tableaux
Utilisation du format monétaire
Utilisez le format monétaire pour mettre en forme l’affichage des valeurs monétaires.
Pour définir un format monétaire pour une ou plusieurs cellules :
1 Sélectionnez la ou les cellules.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
des tableaux et enfin sur Format.
3 Choisissez Monnaie dans le menu local Format de cellule.
4 Pour spécifier un symbole monétaire, choisissez une option dans le menu local Symbole.
5 Pour spécifier le nombre de chiffres à afficher après la virgule, utilisez le champ Décimales. Si une valeur contient plus de chiffres après la virgule que le nombre que vous avez
spécifié, la valeur affichée est arrondie et non pas tronquée. Par exemple, si une cellule
est mise en forme pour afficher deux chiffres après la virgule, la valeur 3.456 est affichée sous la forme 3.46 et non pas 3.45.
6 Pour spécifier l’affichage des valeurs négatives, choisissez une option du menu local
adjacent au champ Décimales.
7 Pour spécifier s’il faut utiliser ou non un séparateur des milliers, sélectionnez Séparateur de milliers.
8 Pour afficher le symbole monétaire au bord de la cellule afin que les chiffres après
la virgule soient alignés, sélectionnez Style comptable.
Utilisation du format Pourcentage
Utilisez le format Pourcentage pour afficher des valeurs numériques suivies du symbole %.
Si la valeur est utilisée dans une formule, sa version décimale est utilisée. Par exemple,
la valeur 0.03 est utilisée dans une formule pour une valeur affichant 3 %.
Si vous saisissez 3 % dans une cellule formatée utilisant un format automatique et que
vous appliquez le format de pourcentage à la cellule, la valeur affichée sera 3 %. Si vous
saisissez 3 % dans une cellule formatée utilisant un format automatique et que vous appliquez le format de pourcentage à la cellule, la valeur affichée sera 300 %.
Pour définir un format de pourcentage pour une ou plusieurs cellules :
1 Sélectionnez la ou les cellules.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
des tableaux et enfin sur Format.
3 Choisissez Pourcentage dans le menu local Format de cellule.
4 Pour spécifier le nombre de chiffres après la virgule à afficher, utilisez le champ Décimales. Si une valeur contient plus de chiffres après la virgule que le nombre que vous avez
spécifié, la valeur affichée est arrondie et non pas tronquée. Par exemple, si une cellule est
mise en forme pour afficher deux chiffres après la virgule, la valeur 3.456 est affichée sous
la forme 3.46 et non pas 3.45.Chapitre 8 Utilisation de tableaux 199
5 Pour spécifier l’affichage des valeurs négatives, choisissez une option du menu local
adjacent au champ Décimales.
6 Pour spécifier s’il faut utiliser ou non un séparateur des milliers, sélectionnez Séparateur de milliers.
Si la cellule que vous mettez en forme contient déjà une valeur, la valeur est considé-
rée comme un nombre décimal et convertie en pourcentage. Par exemple, 3 devient
300%.
Utilisation du format Date et heure
Utilisez le format Date et heure pour afficher des valeurs de date et/ou d’heure.
Pour définir le format de date et d’heure pour une ou plusieurs cellules :
1 Sélectionnez la ou les cellules.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
des tableaux et enfin sur Format.
3 Choisissez Date et heure dans le menu local Format de cellule.
4 Pour spécifier la mise en forme de la date, choisissez un format dans le menu local Date.
5 Pour spécifier la mise en forme de l’heure, choisissez un format dans le menu local Heure.
Utilisation du format Fraction
Utilisez le format de fraction pour contrôler l’affichage des valeurs inférieures à 1. Par
exemple, 27.5 apparaît comme 27 1/2 lorsque le format est Moitiés et 27 4/8 lorsque
le format est Huitièmes.
Pour définir un format de fraction pour une ou plusieurs cellules :
1 Sélectionnez la ou les cellules.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
des tableaux et enfin sur Format.
3 Choisissez Fraction dans le menu local Format de cellule.
4 Pour spécifier la mise en forme de la partie fractionnée de la valeur, choisissez une
option dans le menu local Précision.
Utilisation du format Scientifique
Le format de notation scientifique permet de présenter les nombres sous la forme
d’un nombre décimal affecté d’un facteur multiplicateur qui est une puissance de 10.
La valeur de cette puissance figure à la suite du symbole E. Par exemple, la valeur 5,00
en format scientifique est affichée sous la forme 5,00E0. De même, la valeur 12345 s’affiche comme 1,2345E4.200 Chapitre 8 Utilisation de tableaux
Pour définir un format scientifique pour une ou plusieurs cellules :
1 Sélectionnez la ou les cellules.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
des tableaux et enfin sur Format.
3 Choisissez Scientifique dans le menu local Format de cellule.
4 Utilisez le champ Décimales pour spécifier le nombre de décimales à afficher.
Utilisation du format Texte
Utilisez le format Texte lorsque vous souhaitez que l’intégralité du contenu d’une cellule soit traitée comme du texte, même s’il s’agit d’un nombre.
Pour définir un format texte pour une ou plusieurs cellules :
1 Sélectionnez la ou les cellules.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
des tableaux et enfin sur Format.
3 Choisissez Texte dans le menu local Format de cellule.
Contrôle des valeurs de cellule
Pages peut modifier la couleur de remplissage ou celle du texte d’une cellule si son
contenu présente des conditions particulières.
Vous pouvez définir des règles simples qui testent la condition, puis modifient la couleur du remplissage et/ou du texte si la condition est remplie. Par exemple, vous pouvez définir une règle qui applique la couleur bleue à une cellule si celle-ci contient une
valeur spécifique et une autre règle qui applique la couleur verte à la cellule si celle-ci
contient une autre valeur.
Vous pouvez appliquer ce type de règle à une cellule unique ou à une plage de cellules. Les règles appliquées à plusieurs cellules déclenchent le changement de couleur
si au moins une des cellules remplit la condition de la règle.
Pour définir des règles :
1 Sélectionnez une ou plusieurs cellules.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
des tableaux et enfin sur Format.
3 Sélectionnez Format conditionnel, puis cliquez sur Afficher les règles.
4 Choisissez une condition dans le menu local « Choisir une règle ».
Les conditions qui figurent dans la section supérieure du menu effectuent les tests sur
des valeurs numériques. Les conditions applicables aux valeurs de texte s’affichent dans
la section au centre de la liste. Les conditions de date se trouvent en bas.Chapitre 8 Utilisation de tableaux 201
À noter que la condition Entre nécessite la saisie de deux nombres. Cette condition est
remplie si l’un des deux nombres ou n’importe quel nombre se trouvant entre ces deux
nombres apparaît dans la ou les cellule(s).
5 Fournissez les informations supplémentaires nécessaires pour définir une condition
particulière à tester.
6 Sélectionnez Couleur de remplissage et/ou Couleur du texte, puis cliquez sur les cadres
de couleur (consultez la rubrique « Utilisation de la fenêtre Couleurs » à la page 163)
pour définir les couleurs de l’arrière-plan et des valeurs à appliquer à la cellule si la condition est remplie.
7 Pour ajouter une règle, cliquez sur + et répétez les étapes 4 à 6.
Si plusieurs règles sont définies pour une cellule et que le contenu de la cellule remplit
les conditions de plusieurs règles, les couleurs associées à la règle la plus haute dans la
liste des règles sont appliquées à la cellule.
Pour cesser d’utiliser une règle, cliquez sur le bouton - pour supprimer la règle ou désé-
lectionnez l’option Couleur de remplissage et Couleur du texte pour désactiver la règle.
Pour ne plus utiliser une liste de règles, décochez « Mettre les cellules en surbrillance en
suivant les règles suivantes ».
Ajout d’images et de couleurs aux cellules
Vous pouvez ajouter des graphismes ou des couleurs à certaines cellules ou à l’ensemble du tableau.
Pour ajouter une image ou une couleur à une cellule de tableau :
1 Sélectionnez la cellule.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
des tableaux et enfin sur Tableau.
3 Pour ajouter une image, choisissez Remplissage image dans le menu local Arrière-plan.
Reportez-vous à la rubrique « Image de remplissage d’un objet » à la page 164 pour en
connaître les instructions.
4 Pour ajouter une couleur d’arrière-plan, choisissez Remplissage couleur ou Remplissage
dégradé dans le menu local Arrière-plan. Reportez-vous à la rubrique « Remplissage d’un
objet avec de la couleur » à la page 162 pour obtenir plus d’informations.
Remplissage automatique des cellules d’un tableau
Le remplissage automatique vous permet d’utiliser le contenu d’une ou de plusieurs
cellules pour ajouter automatiquement des valeurs aux cellules adjacentes.202 Chapitre 8 Utilisation de tableaux
Voici quelques moyens de remplir automatiquement des cellules :
m Pour coller le contenu et le remplissage d’une cellule dans des cellules adjacentes, sélectionnez la cellule, puis faites glisser la poignée dans l’angle inférieur droit vers les cellules
dans lesquelles vous souhaitez coller le contenu. Vous pouvez la faire glisser vers la droite
pour ajouter des valeurs sur le même rang ou vers le bas pour ajouter des valeurs aux cellules adjacentes de la même colonne.
Toutes les données, les formats, les formules et les remplissages associés à la cellule
sélectionnée sont copiés.
Si la cellule sélectionnée ne contient aucune donnée, le remplissage automatique
efface toutes les données des cellules cible.
m Vous pouvez également ajouter des valeurs aux cellules en fonction des modèles de
valeurs. Par exemple, si une cellule contient le nom d’un jour de la semaine ou d’un
mois, vous pouvez sélectionner la cellule puis la faire glisser vers la droite ou vers le
bas pour ajouter le jour ou le mois suivant dans la cellule adjacente.
Pour créer de nouvelles valeurs en fonction de caractéristiques numériques, sélectionnez
deux cellules ou plus avant de les faire glisser. Par exemple, si les deux cellules sélectionnées contiennent les valeurs 1 et 2, les valeurs 3 et 4 sont ajoutées lorsque vous faites
glisser le curseur sur les deux cellules adjacentes. De même, si les deux cellules sélectionnées contiennent les valeurs 1 et 4, les valeurs 7 et 10 sont ajoutées lorsque vous faites
glisser le curseur sur les deux cellules adjacentes (les valeurs sont incrémentées de 3).
Le remplissage automatique ne définit aucune relation entre les cellules du groupe. Une fois
le remplissage automatique effectué, vous pouvez modifier les cellules individuellement.
Utilisation des rangs et des colonnes
Vous pouvez rapidement ajouter et supprimer des rangs et des colonnes, créer un rang
ou une colonne d’en-tête ou rang de bas de page, etc.
Ajout de rangs
Vous pouvez ajouter des rangs dans un tableau ou à la fin d’un tableau. Si le tableau
contient un rang de bas de page, les rangs ajoutés au bas du tableau sont placés audessus du rang de bas de page.
Voici différentes manières d’ajouter des rangs :
m Pour ajouter un ou plusieurs rangs à la fin d’un tableau, utilisez les commandes Rangs
dans la sous-fenêtre Tableau de l’Inspecteur des tableaux.
Vous pouvez également ajouter un ou plusieurs rangs à la fin du tableau à l’aide des
commandes de la barre de format.Chapitre 8 Utilisation de tableaux 203
m Pour ajouter un seul rang, sélectionnez une cellule, puis choisissez Format > Tableau >
« Insérer un rang au-dessus » ou « Insérer un rang en dessous ». Vous pouvez également sélectionner ces commandes dans le menu local Modifier les rangs et les colonnes de l’Inspecteur des tableaux.
m Pour ajouter un rang à la fin du tableau, appuyez sur la touche Retour lorsque la dernière cellule est sélectionnée. Appuyez deux fois sur la touche Retour si vous venez
d’ajouter ou de modifier la valeur de la cellule.
Si la case « La touche Retour déplace sur la cellule suivante » n’est pas sélectionnée
dans les Options de tableau de l’Inspecteur des tableaux, appuyez sur la touche de
tabulation dans la dernière cellule du rang.
m Vous pouvez diviser les cellules en deux rangs égaux. La rubrique « Division des cellules d’un tableau » à la page 207 vous indique la procédure à suivre.
Ajout de colonnes
Vous pouvez ajouter des colonnes à un tableau.
Voici différentes manières d’ajouter des colonnes :
m Pour ajouter une ou plusieurs colonnes sur la droite d’un tableau, utilisez les contrôles
Colonnes de la sous-fenêtre Tableau de l’Inspecteur des tableaux.
Vous pouvez également ajouter une ou plusieurs colonnes sur la droite du tableau
à l’aide des commandes de la barre de format.
m Pour ajouter une seule colonne, sélectionnez une cellule, puis choisissez Format >
Tableau > « Insérer une colonne avant » ou « Insérer une colonne après ». Vous pouvez
également sélectionner ces commandes dans le menu local Modifier les rangs et les
colonnes de l’Inspecteur des tableaux.
m Vous pouvez ajouter une colonne à droite du tableau en appuyant sur la touche Tab
si l’option « La touche Retour déplace sur la cellule suivante » dans Options du tableau
est sélectionnée dans l’inspecteur des tableaux.
Appuyez sur la touche Tab après avoir sélectionné la dernière cellule. Appuyez deux
fois sur la touche de tabulation si vous venez d’ajouter ou de modifier la valeur de la
cellule.
m Vous pouvez diviser les cellules en deux colonnes égales. La rubrique « Division des cellules
d’un tableau » à la page 207 vous indique la procédure à suivre.
Suppression de rangs et de colonnes d’un tableau
Il existe plusieurs techniques pour supprimer un ou plusieurs rangs ou colonnes dans
un tableau.
Voici différentes manières de supprimer des rangs ou des colonnes :
m Sélectionnez le(s) rang(s) ou la (les) colonne(s) ou l’une de leurs cellules, puis choisissez
Format > Tableau > Supprimer le rang ou Format > Tableau > Supprimer la colonne.204 Chapitre 8 Utilisation de tableaux
m Pour supprimer un ou plusieurs rangs ou colonnes, sélectionnez-les puis choisissez
Supprimer le rang ou Supprimer la colonne dans le menu local Modifier les rangs et
les colonnes de l’Inspecteur des tableaux. Vous pouvez également accéder à ces commandes en choisissant Format > Tableau > Supprimer le rang ou Format > Tableau >
Supprimer la colonne.
Vous pouvez également supprimer les rangs et les colonnes à l’aide des commandes
de la barre de format.
Utilisation d’un rang ou d’une colonne d’en-tête de tableau
Utilisez les rangs et les colonnes d’en-tête pour identifier les données des rangs et
des colonnes. Les rangs et les colonnes d’en-tête sont mis en forme de telle sorte qu’ils
se distinguent des autres rangs et colonnes. Un rang d’en-tête correspond à la cellule
supérieure de chaque colonne. Une colonne d’en-tête correspond à la cellule la plus
à gauche de chaque rang.
Les rangs d’en-tête apparaissent sur chaque page des tableaux incorporés si le tableau
s’étend sur plusieurs pages. Les rangs d’en-tête apparaissent en haut de chaque colonne
ou de zone de texte liée si le tableau s’étend sur plusieurs colonnes ou zones de texte
liées. Si un tableau s’étend sur plusieurs pages, colonnes ou zones de texte, la modification du texte ou de l’aspect du rang ou de la colonne d’en-tête à un endroit entraîne la
même modification dans l’ensemble du tableau.
Vous ne pouvez pas diviser un rang d’en-tête ou de bas de page en plusieurs rangs
ou des colonnes d’en-tête en plusieurs colonnes.
Voici différentes manières d’ajouter ou de supprimer un rang ou une colonne
d’en-tête :
m Sélectionnez le tableau, puis sélectionnez Rang d’en-tête ou Colonne d’en-tête dans
la sous-fenêtre Tableau de l’Inspecteur de tableaux.
m Sélectionnez le tableau et choisissez une des options suivantes : Format > Tableau >
Insérer un rang d’en-tête, Format > Tableau > Supprimer le rang d’en-tête, Format >
Tableau > Insérer une colonne d’en-tête, ou bien Format > Tableau > Supprimer la
colonne d’en-tête.
m Si un tableau s’étend sur plusieurs pages et que vous souhaitez répéter les en-têtes
au début de chaque page, sélectionnez « Répéter les en-têtes sur chaque page » dans
la zone d’Options de tableau de l’Inspecteur des tableaux.
Les cellules se trouvant dans un rang ou un en-tête de colonne sont appelées cellules
d’en-tête. Les cellules d’en-tête jouent un rôle important car elles facilitent la lecture et
la création de formules dans des cellules de tableau. Pour en savoir plus, reportez-vous
aux rubriques « Utilisation des références de cellules » à la page 217 et « Application
d’une formule aux cellules d’une colonne ou d’un rang en une seule fois » à la page 219.Chapitre 8 Utilisation de tableaux 205
Utilisation d’un rang de bas de page
Utilisez un rang de bas de page pour attirer l’attention sur le dernier rang d’un tableau.
Un rang de bas de page peut contenir les mêmes données que tout autre rang, mais sa
mise en forme est attractive visuellement.
Voici quelques moyens d’ajouter ou de supprimer un rang de bas de page :
m Sélectionnez le tableau, puis sélectionnez « Rang de bas de page » dans la sous-fenê-
tre Tableau de l’Inspecteur des tableaux.
m Sélectionnez le tableau, puis choisissez Format > Tableau > « Insérer un rang de bas
de page » ou Format > Tableau > « Supprimer le rang de bas de page » dans le menu
Tableau.
Redimensionnement des rangs et des colonnes d’un tableau
Redimensionnez tous les rangs et colonnes pour qu’ils aient la même taille, ou redimensionnez uniquement des rangs et des colonnes spécifiques dans un tableau.
Voici différentes manières de redimensionner des rangs et des colonnes :
m Pour que tous les rangs soient de la même taille, sélectionnez le tableau, puis choisissez Format > Tableau > Répartir les rangs uniformément.
m Pour que toutes les colonnes soient de la même taille, choisissez Format > Tableau >
Répartir les colonnes uniformément.
m Pour redimensionner un seul rang, sélectionnez-le et utilisez le champ Hauteur du rang
de l’Inspecteur des tableaux.
m Pour redimensionner une seule colonne, sélectionnez-la et utilisez le champ Largeur
de colonne de l’Inspecteur des tableaux.
m Pour que plusieurs rangs soient de la même taille, sélectionnez une ou plusieurs cellules dans les rangs et sélectionnez Format > Tableau > Répartir les rangs uniformément.
Les rangs peuvent ne pas être adjacents.
Vous pouvez également utiliser le champ Hauteur du rang du volet Tableau dans l’Inspecteur des tableaux.
m Pour que plusieurs colonnes soient de la même taille, sélectionnez une ou plusieurs
cellules dans les colonnes et sélectionnez Format > Tableau > Répartir les colonnes
uniformément. Les colonnes peuvent ne pas être adjacentes.
Vous pouvez également utiliser le champ Largeur de colonne du volet Tableau dans
l’Inspecteur des tableaux.206 Chapitre 8 Utilisation de tableaux
Alternance de couleurs des rangs
Alternez la couleur d’arrière-plan d’un rang sur deux afin de conférer au tableau un
effet de bandes.
Pour alterner les couleurs des rangs :
1 Sélectionnez le tableau.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
des tableaux et enfin sur Tableau.
3 Sélectionnez Alternance de la couleur de rang.
4 Cliquez sur le cadre de couleurs adjacent pour ouvrir la fenêtre Couleurs, puis sélectionnez une couleur pour les rangs alternés. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation de la
fenêtre Couleurs » à la page 163 pour en connaître les instructions.
5 Pour modifier les propriétés de remplissage des autres rangs, utilisez les contrôles
Arrière-plan de l’Inspecteur des tableaux. Reportez-vous à la rubrique « Remplissage
d’un objet avec de la couleur » à la page 162 pour en connaître les instructions.
Utilisation des cellules d’un tableau
Vous pouvez diviser et fusionner des cellules d’un tableau, les redimensionner, leur
appliquer une mise en forme, les masquer, ajouter des commentaires et plus encore.
Fusion des cellules d’un tableau
La fusion des cellules d’un tableau consiste à combiner des cellules adjacentes en une
seule cellule, éliminant ainsi les bordures afin qu’elles se comportent comme une cellule unique.
Pour fusionner les cellules d’un tableau :
1 Sélectionnez un groupe de deux cellules adjacentes ou plus. Le groupe de cellules
choisi doit former un rectangle et elles doivent toutes être des cellules de corps ou
d’en-tête.
2 Choisissez Format >Tableau > Fusionner les cellules.
Vous pouvez également sélectionner Fusionner les cellules dans le menu local
« Modifier les rangs et les colonnes » de l’Inspecteur des tableaux.
La fusion horizontale de cellules adjacentes ne contenant que du texte ou un mélange
de texte, de nombres, de valeurs mises en forme et de formules, revient à joindre le
contenu de toutes les cellules d’origine en texte séparé par des tabulations. De même,
la fusion verticale de cellules adjacentes ne contenant que du texte ou un mélange de
texte, de nombres, des valeurs mises en forme et de formules, revient à joindre le contenu de toutes les cellules d’origine en texte séparé par un retour chariot. Chapitre 8 Utilisation de tableaux 207
Lors de la fusion de cellules de colonne, l’arrière-plan des cellules reprend l’image ou la couleur de la cellule la plus en haut. Lors de la fusion de cellules de rang, l’arrière-plan des cellules reprend l’image ou la couleur de la cellule la plus à gauche.
Lorsqu’une cellule contenant du texte, un nombre, une formule ou un format de cellule est fusionnée avec une cellule vide, la nouvelle cellule conserve le contenu de la
cellule non vide.
Lorsqu’une cellule contenant un nombre est fusionnée avec une cellule vide, la nouvelle cellule conserve également le format de nombre.
Division des cellules d’un tableau
La division de cellules scinde chaque cellule sélectionnée en deux parts égales, horizontalement (rangs) ou verticalement (colonnes). Les deux nouvelles cellules présentent des couleurs ou images d’arrière-plan identiques. Tout texte présent dans la cellule
d’origine reste dans la cellule la plus en haut ou la plus à gauche.
Pour fusionner des cellules horizontalement ou verticalement :
1 Sélectionnez une ou plusieurs cellules du tableau. Pour diviser une colonne ou un rang
entier, sélectionnez toutes les cellules de la colonne ou du rang.
2 Pour diviser des cellules en rangs, choisissez Format > Tableau > Diviser en rangs. Pour
diviser des cellules en colonnes, choisissez Format > Tableau > Diviser en colonnes.
Vous pouvez également choisir Diviser les rangs ou Diviser les colonnes dans le menu
local Modifier les rangs et les colonnes de l’Inspecteur des tableaux.
3 Pour créer des unités de plus en plus petites, répétez les étapes 1 et 2 pour diviser
les cellules.
Pour réunir les cellules divisées, fusionnez-les tel que décrit à la rubrique « Fusion des
cellules d’un tableau » à la page 206.
Mise en forme bords d’une cellule
Vous pouvez modifier l’épaisseur et la couleur des bordures des cellules d’un tableau.
Vous pouvez également masquer la bordure de n’importe quelle cellule.
Pour mettre en forme les bordures de cellule de tableau :
1 Sélectionnez les segments de bordure de cellule à mettre en forme. Reportez-vous à
la rubrique « Sélection des bordures des cellules d’un tableau » à la page 192 pour en
connaître les instructions.208 Chapitre 8 Utilisation de tableaux
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
des tableaux. Utilisez les commandes de bordures de cellule.
Menu local Trait : permet de choisir un style de trait. Sélectionnez Aucun pour masquer
les bordures.
Épaisseur de ligne : permet de contrôler l’épaisseur du trait.
Source de couleur : permet de choisir une couleur de trait.
Lorsque vous cliquez sur le cadre de couleurs dans la barre de format, un tableau des
couleurs apparaît. Cliquez sur une couleur dans le tableau pour la sélectionner, ou cliquez sur Afficher les couleurs pour ouvrir la fenêtre Couleurs contenant des couleurs
supplémentaires.
Lorsque vous cliquez sur le cadre de couleurs dans l’Inspecteur des tableaux, la fenêtre
Couleurs apparaît.
Vous trouverez les instructions d’utilisation de cet outil dans la rubrique« Utilisation de
la fenêtre Couleurs » à la page 163.
Copie et déplacement de cellules
Pour déplacer ou copier des cellules de tableau, vous pouvez utiliser les commandes
ou les faire glisser.
Voici différentes manières de copier et de déplacer des cellules :
m Pour déplacer des cellules dans un tableau ou vers un autre tableau, sélectionnez une
cellule ou des cellules adjacentes, puis faites glisser la sélection en utilisant ses bordures vers les cellules de destination. Toutes les valeurs des cellules de destination sont
remplacées.
m Pour copier les cellules dans un tableau ou entre deux tableaux, faites glisser les cellules sélectionnées tout en maintenant la touche Option enfoncée. Toutes les valeurs des
cellules de destination sont remplacées.
Vous pouvez copier des cellules en les sélectionnant puis en choisissant Édition > Copier.
Il suffit alors de sélectionner les cellules de destination et de choisir Édition > Coller.Chapitre 8 Utilisation de tableaux 209
Tri des cellules d’un tableau
Vous avez la possibilité de classer la totalité ou une partie des valeurs d’une colonne
par ordre croissant ou décroissant. Les rangs contenant les cellules choisies pour le classement sont alors réorganisés. Les cellules d’en-tête sont exclues de ce classement.
Voici différentes manières d’opérer un tri :
 Pour trier toutes les cellules d’une colonne, sélectionnez l’une des cellules de la
colonne, ouvrez l’Inspecteur des tableaux, cliquez sur Tableau, puis choisissez « Trier
en ordre croissant » ou « Trier en ordre décroissant » dans le menu local « Modifier
les rangs et les colonnes ».
 Pour trier uniquement certaines cellules d’une colonne, sélectionnez ces cellules
avant de choisir « Trier en ordre croissant » ou « Trier en ordre décroissant ».
Le tableau suivant décrit de quelle manière les différents types de données sont classés, par ordre croissant ou décroissant.
Type de données Ordre croissant Ordre décroissant
Texte aA–zZ Zz–Aa
Dates Année (la moins récente en premier), puis Mois (Janvier en premier) et Jour (1-31)
Année (la plus récente en premier), puis Mois (Décembre en
premier) et Jour (3-11)
Nombres –2, –1, 0, 1, etc. 1, 0, –1, –2, etc.
Cellules ne contenant que du
texte, combinées avec d’autres
ne contenant que des nombres
–2, –1, 0, 1, etc., puis aA–zZ Zz–Aa, puis 1, 0, –1, –2, etc.
Cellules contenant un mélange
de texte et de nombres
Valeurs commençant par
les nombres en premier
(1z, 1Z, a1, A1)
Valeurs commençant par du
texte en premier (A1, a1, 1A, 1z)
Cellules vides En bas de la liste En bas de la liste
Booléen (VRAI/FAUX) Au-dessous du texte et au-dessus d’une cellule vide
Au-dessus des valeurs texte9
210
9 Utilisation de formules et de
fonctions dans des tableaux
Ce chapitre vous explique comment effectuer des calculs
dans les cellules des tableaux à l’aide de formules et de
fonctions.
Pour obtenir des instructions relatives à l’ajout et à la mise en forme des tableaux et
des données qu’ils contiennent, consultez le chapitre 8, « Utilisation de tableaux, » à la
page 184. Pour obtenir des informations complètes sur les différentes fonctions, consultez l’aide en ligne.
Utilisation des formules
Une formule correspond à une opération mathématique utilisant des opérations effectuées sur une valeur. Vous pouvez ajouter une formule à la cellule d’un tableau afin de
calculer et d’afficher une valeur dérivée des valeurs d’autres cellules.
Par exemple, vous pouvez ajouter une formule à la cellule située au bas d’une colonne
ajoutant les nombres se trouvant dans les autres cellules de la colonne. Si une des valeurs
de la colonne change, le total dans la cellule du bas change alors automatiquement.
Les formules permettent d’obtenir des valeurs grâce à un calcul effectué à l’aide d’opé-
rateurs et de fonctions.
 Les opérateurs effectuent les opérations arithmétiques de base telles que l’addition
(+) et la multiplication (*)
Voici une formule qui additionne des valeurs : =A2 + 16. A2 est une référence à une
cellule. Elle fait en effet référence à la deuxième cellule de la première colonne. La
valeur 16 est appelée constante parce que c’est une valeur spécifique qui n’utilise
aucun opérateur ni aucune fonction.
La valeur que contient la cellule A2 est ajoutée à la valeur 16 et la somme apparaît
dans la cellule contenant la formule.
Les formules commencent toujours par le signe égal (=). Pour simplifier, le signal égal
est omis dans les exemples de l’ensemble de la documentation de Pages.Chapitre 9 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux 211
 tandis que les fonctions sont des opérations nommées et prédéfinies, telles que
SOMME et MOYENNE.
Pour utiliser une fonction, vous devez lui attribuer un nom puis indiquer, entre parenthèses à la suite de ce nom, les arguments dont elle a besoin. Les arguments précisent les données que la fonction doit utiliser lorsqu’elle effectue les opérations qui
lui sont prévues.
Voici une formule qui additionne les valeurs de neuf cellules adjacentes de la première colonne : SOMME(A2:A10). Dans ce cas, nous rencontrons un seul argument,
à savoir « A2:A10 ». Le symbole deux-points indique que la formule utilise les valeurs
des cellules A2 à A10 incluses.
Il n’est pas nécessaire d’en savoir plus pour être en mesure d’utiliser des formules dans des
tableaux. Les modèles (par exemple, le modèle de facture) et les outils d’édition de formules (tels que l’Éditeur de formules) rendent aisée l’utilisation des formules élémentaires.
Visite guidée de l’utilisation des formules
Passer en revue les formules intégrées au modèle Facture constitue une bonne introduction à l’utilisation de formules dans Pages.
1 Créez un document Pages en utilisant le modèle Facture.
Ouvrez Pages, choisissez Fichier > Nouveau, cliquez sur Formulaires, sélectionnez Facture,
puis cliquez sur Choisir.
Le tableau inclus dans ce modèle utilise des formules pour calculer les valeurs de
la colonne Prix.
Une formule placée dans chaque cellule de cette colonne
met à jour automatiquement
les totaux si les quantités ou
les prix à l’unité changent.212 Chapitre 9 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux
2 Sélectionnez le tableau, puis double-cliquez sur la valeur qui se trouve dans la cellule
Prix du premier rang. L’Éditeur de formules s’ouvre alors, mettant en évidence que cette
valeur est le résultat d’une formule.
L’astérisque (*) est l’opérateur de multiplication.
3 Pour savoir quelles sont les cellules B2 et C2, aidez-vous des onglets de référence
apparus sur les côtés supérieur et gauche du tableau lorsque l’Éditeur des formules
s’est ouvert.
Les onglets de référence vous aident à identifier rapidement n’importe quelle cellule d’un
tableau. Dans les formules, on identifie une cellule en faisant référence à la colonne dans
laquelle elle se trouve d’abord, puis à son rang, créant ainsi ce que l’on appelle une réfé-
rence de cellule.
B2 est la cellule de référence de la colonne B (Quantité), rang 2. C2 est la cellule de réfé-
rence de la colonne C (Prix à l’unité), rang 2. La valeur du rang 2 de la colonne Coût (D2)
est calculée en multipliant les valeurs Quantité et Prix à l’unité du rang 2.
4 Les valeurs des colonnes Prix à l’unité et Prix sont affichées par le biais d’un format
de nombre.
La formule de la première cellule
de Prix multiplie les valeurs de
deux autres cellules : B2 et C2.
Les colonnes sont référencées
alphabétiquement.
Les rangs, eux, sont
référencés par des
valeurs numériques.
Voici la cellule B2.Chapitre 9 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux 213
Pour voir les réglages de format de nombre, fermez d’abord l’Éditeur de formules en cliquant en dehors du tableau. Ensuite, cliquez sur le tableau, puis sur la cellule Prix unitaire
du deuxième rang, puis sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, sélectionnez
Inspecteur des tableaux, puis cliquez sur Format.
Reportez-vous à la rubrique « Mise en forme des valeurs de cellule » à la page 196 pour
connaître les instructions relatives à l’utilisation des nombres mis en forme.
5 Si la valeur d’une des cellules de la colonne Quantité ou Prix à l’unité change, la formule associée à Prix met à jour la valeur qui y est affichée.
Double-cliquez sur la valeur de B2, saisissez un autre nombre et cliquez en dehors de
B2 : vous remarquerez alors que la valeur de la cellule E2 change en conséquence.
6 La valeur affichée dans chaque cellule de la colonne Prix au-dessus du sous-total est
déterminée d’après les valeurs incluses dans chaque rang.
Pour voir la formule d’une autre cellule Prix, double-cliquez sur la cellule souhaitée, par
exemple sur celle du troisième rang (à savoir, E3). Vous voyez ainsi que sa formule correspond à B3*C3.
7 Cliquez en dehors du tableau, recliquez sur le tableau, puis double-cliquez sur E10, la cellule de la colonne Prix se trouvant à côté de l’étiquette intitulée « Sous-total ». La formule
utilise la fonction SOMME pour additionner les valeurs des cellules E2 à E9 incluses.
Dans cette formule, les références à des cellules se trouvent entre parenthèses après le
nom de la fonction : SOMME(E2:E9). E2 et E9 sont séparées par le caractère deux-points.
Ce caractère est la manière rapide de faire référence à un ensemble de cellules (dans
notre cas, un ensemble de huit cellules).
8 Les cellules E11 et E12 contiennent également des formules. Passez en revue les formules de ces cellules en cliquant en dehors du tableau, sélectionnez à nouveau le tableau,
puis double-cliquez la cellule E11 ou E12. La cellule E11 contient une formule chargée de
calculer les taxes applicables aux ventes alors que la cellule E12 contient une formule
additionnant le sous-total et les taxes.
Dans cet exemple, la virgule est utilisée en tant que
séparateur des milliers.
Dans cet exemple,
un signe €
est affiché devant les
nombres des cellules.
Les nombres sont exprimés
sur deux décimales.214 Chapitre 9 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux
Ajout d’une formule rapide
Le moyen le plus simple d’effectuer un calcul de base en utilisant les valeurs d’un
ensemble de cellules adjacentes d’un tableau est d’ajouter une formule rapide à
l’aide du menu local Formule rapide de l’Inspecteur des tableaux.
Le menu local vous permet d’effectuer les opérations suivantes :
m Sélectionnez une des options ci-dessous pour effectuer des calculs à partir des valeurs
des cellules sélectionnées. Les cellules vides et les cellules contenant des valeurs non
mentionnées sont ignorées.
Somme : calcule le total des valeurs numériques des cellules.
Moyenne : calcule la moyenne arithmétique des valeurs numériques des cellules.
Minimum : détermine la plus petite valeur numérique des cellules.
Maximum : détermine la plus grande valeur numérique des cellules.
Compte : détermine le total des nombres ou des valeurs de date ou d’heure dans
les cellules.
Produit : multiplie toutes les valeurs numériques des cellules.
m Sélectionnez l’Éditeur de formules pour l’ouvrir. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation
de l’Éditeur de formules » à la page 216 pour obtenir des instructions.
Calcul élémentaire avec des valeurs d’une même colonne
À l’aide du menu local Formule rapide de l’Inspecteur des tableaux, il est très facile de
réaliser des calculs élémentaires à partir de valeurs adjacentes d’une même colonne et
d’en afficher les résultats.Chapitre 9 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux 215
Voici plusieurs façons d’effectuer des calculs élémentaires à partir de valeurs se trouvant dans une même colonne :
m Pour utiliser les valeurs d’une plage de cellules adjacentes, sélectionnez ces cellules,
cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, cliquez sur le bouton Inspecteur des tableaux, puis cliquez sur Format. Choisissez une formule dans le menu local
Formule rapide.
Pages place la formule et son résultat dans la première cellule vide rencontrée en dessous de celles sélectionnées. S’il n’existe aucune cellule vide, Pages ajoute un rang pour
y faire apparaître le résultat.
m Pour utiliser toutes les valeurs d’une colonne, cliquez sur la cellule d’en-tête ou sur
l’onglet de référence de celle colonne. Dans l’Inspecteur des tableaux, cliquez sur
Format, puis choisissez une formule dans le menu local Formule rapide.
Pages place cette formule et son résultat sur un rang de bas de page. Si le rang de
bas de page n’existe pas, Pages en ajoute un.
Calcul élémentaire avec des valeurs d’un même rang
À l’aide du menu local Formule rapide de l’Inspecteur des tableaux, il est très facile de
réaliser des calculs élémentaires à partir de valeurs adjacentes d’un même rang et d’en
afficher les résultats.
Voici plusieurs façons d’effectuer des calculs élémentaires à partir de valeurs
se trouvant sur un même rang :
m Pour utiliser les valeurs d’une plage de cellules adjacentes, sélectionnez ces cellules,
cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, cliquez sur le bouton Inspecteur des tableaux, puis cliquez sur Format. Choisissez un calcul dans le menu local
Formule rapide.
Pages place la formule et son résultat dans la première cellule vide rencontrée à droite
de celles sélectionnées. S’il n’existe aucune cellule vide, Pages crée une colonne pour y
faire apparaître le résultat.
m Pour utiliser toutes les valeurs d’un rang, cliquez sur la cellule d’en-tête ou sur l’onglet
de référence de ce rang. Dans l’Inspecteur des tableaux, cliquez sur Format, puis choisissez une formule dans le menu local Formule rapide.
Pages place cette formule et son résultat dans une nouvelle colonne.
Suppression d’une formule
Si vous ne voulez plus utiliser une formule associée à une cellule, vous pouvez la supprimer
rapidement.
Pour supprimer une formule d’une cellule :
1 Sélectionnez la cellule.
2 Appuyez ensuite sur la touche Suppr.216 Chapitre 9 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux
Utilisation de l’Éditeur de formules
L’Éditeur de formules vous permet de créer et de modifier des formules.
Vous pouvez ouvrir l’Éditeur de formules de plusieurs façons :
m Sélectionnez une cellule du tableau, puis saisissez le signe égal (=).
m Sélectionnez le tableau, puis double-cliquez sur une cellule du tableau contenant
une formule.
m Sélectionnez l’Éditeur de formules dans le menu local Formule rapide dans la sousfenêtre Format de l’Inspecteur des tableaux.
Lorsqu’il s’ouvre, l’Éditeur de formules apparaît au-dessus de la cellule sélectionnée.
Pour le déplacer, placez le curseur sur le côté gauche de l’Éditeur de formules jusqu’à
ce qu’il prenne la forme d’une main, puis cliquez et faites glisser.
Lorsque vous sélectionnez une cellule qui contient une formule, ses arguments sont
mis en surbrillance de couleur.
Ajout d’une nouvelle formule à l’aide de l’Éditeur de formules
Pour créer une formule, utilisez l’Éditeur de formules.
Pour ajouter une nouvelle formule à l’aide de l’Éditeur de formules :
1 Sélectionnez la cellule dans laquelle vous voulez afficher le résultat de la formule.
2 Ouvrez l’Éditeur de formules. Par exemple, tapez le signe égal (=).
3 Utilisez le champ de texte pour spécifier la formule en veillant à ce que le signe égal
soit le premier caractère utilisé.
Pour connaître les techniques qui permettent d’inclure des références de cellules dans
les formules, reportez-vous à la rubrique « Utilisation des références de cellules » à la
page 217.
Pour en savoir plus sur l’utilisation des opérateurs dans les formules, reportez-vous à
la rubrique « Utilisation des opérateurs » à la page 220.
Pour savoir comment insérer une fonction dans une formule, reportez-vous à la rubrique « Utilisation des fonctions » à la page 222.
Pour déplacer l’Éditeur
de formules , cliquez ici
et faites-le glisser.
Champ de texte Afficher ou
modifier une formule.
Bouton Annuler Annuler
les modifications.
Bouton Accepter Enregistrer
les modifications.Chapitre 9 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux 217
4 Pour enregistrer les modifications, appuyez sur Retour, appuyez sur Entrée ou cliquez
sur le bouton Accepter de l’Éditeur de formules. Vous pouvez aussi cliquer à l’extérieur
du tableau.
Pour fermer l’Éditeur de formules et annuler les modifications, appuyez sur la touche
Échap ou cliquez sur le bouton Annuler de l’Éditeur de formules.
Modification d’une formule à l’aide de l’Éditeur de formules
Pour modifier une formule, vous pouvez utiliser l’Éditeur de formules.
Pour modifier une formule :
1 Double-cliquez sur une cellule du tableau contenant une formule. L’Éditeur de formules s’ouvre, la formule apparaît dans le champ de texte et ses arguments sont mis en
surbrillance de couleur.
2 Effectuez les modifications nécessaires. Vous pouvez utiliser les touches fléchées pour
déplacer le point d’insertion dans le champ de texte.
3 Pour enregistrer les modifications, appuyez sur Retour, appuyez sur Entrée ou cliquez
sur le bouton Accepter de l’Éditeur de formules. Vous pouvez aussi cliquer à l’extérieur
du tableau.
Pour fermer l’Éditeur de formules et annuler les modifications, appuyez sur la touche
Échap ou cliquez sur le bouton Annuler de l’Éditeur de formules.
Utilisation des références de cellules
Vous pouvez utiliser les références de cellules pour identifier des cellules particulières
à l’intérieur des formules. Par exemple, si vous ajoutez une formule permettant de calculer la moyenne des valeurs de deux cellules, vous pouvez identifier ces cellules à
l’aide de références de cellules.
Vous pouvez créer des références de cellules à l’aide des lettres et des numéros qui
figurent sur les onglets de référence ou à l’aide du nom des cellules d’en-tête :
 Si votre tableau comprend à la fois un rang d’en-tête et une colonne d’en-tête, vous
pouvez identifier une cellule à l’aide du nom de la colonne suivi du nom du rang.
Par exemple, si une colonne est intitulée 2006 et un rang a pour en-tête Nombre
d’élèves inscrits, la cellule se trouvant à l’intersection de cette colonne et de ce rang
peut être désignée comme 2006 Nombre d’élèves inscrits.
 Vous pouvez vous servir des lettres et des numéros des onglets de référence pour
identifier une cellule particulière. Il vous suffit de spécifier la lettre de la colonne puis
le numéro du rang.
Par exemple, C55 fait référence au cinquante-cinquième rang de la troisième colonne.218 Chapitre 9 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux
Ajout de références de cellules à une formule
Pour insérer une référence de cellule, vous pouvez cliquer sur une cellule ou sur un
onglet de référence ou encore sélectionner une plage de cellules lorsqu’il y a un point
d’insertion dans le champ de texte de l’Éditeur de formules. Vous pouvez aussi insérer
une référence de cellule en la saisissant à l’aide du clavier.
Lorsque vous insérez une référence de cellule en sélectionnant des cellules ou des
onglets de référence, Pages ajoute des références de cellules qui utilisent le nom des
cellules d’en-tête si l’option « Utiliser le nom des cellules d’en-tête comme référence »
est sélectionnée dans la sous-fenêtre Général des préférences de Pages.
Voici plusieurs façons d’ajouter une référence de cellule au point d’insertion dans
le champ de texte :
m Pour créer une référence à une cellule particulière à l’aide de la souris, cliquez sur la cellule en question.
Vous pouvez aussi saisir la référence à cette cellule particulière à l’aide du clavier. Pour
ce faire, tapez la lettre de la colonne suivie du numéro du rang (A4) tels qu’ils apparaissent dans les onglets de référence ou tapez le nom de la colonne suivi du nom du rang
(2006 Nombre d’élèves inscrits).
m Pour ajouter une référence à une liste de cellules précises, cliquez sur chacune d’entre
elles. Si les références sont les arguments d’une fonction, Pages insère automatiquement une virgule (,) entre les références, mais vous pouvez la remplacer par un autre
caractère si nécessaire. Par exemple, si vous vous trouvez sur un emplacement dans
lequel le séparateur décimal est une virgule, vous pouvez séparer les différentes réfé-
rences de cellules avec un point-virgule au lieu d’une virgule.
m Pour ajouter une référence à une plage de cellules adjacentes, faites glisser le curseur
sur les cellules que vous souhaitez ajouter.
Vous pouvez également taper ou cliquer sur la première cellule, taper le caractère
deux-points, puis taper ou cliquer sur la dernière cellule. Par exemple, B2:B5 fait réfé-
rence à quatre cellules de la deuxième colonne. B2:C3 fait référence à deux cellules
de la deuxième colonne et à deux cellules de la troisième colonne.
m Pour faire référence à toutes les cellules d’une colonne, cliquez sur l’onglet de réfé-
rence de la colonne ou sur sa cellule d’en-tête, le cas échéant.
Vous pouvez saisir la référence en tapant la lettre de la colonne (C ou C:C) ou son nom
si elle comprend une cellule d’en-tête. Par exemple, SOMME(B) ou SOMME(B:B) additionne toutes les valeurs qui se trouvent dans les cellules de la deuxième colonne.
m Pour faire référence à toutes les cellules d’un rang, cliquez sur l’onglet de référence du
rang en question ou sur sa cellule d’en-tête, le cas échéant.
Vous pouvez saisir la référence en tapant le numéro du rang (1:1) ou son nom si elle
comprend une cellule d’en-tête. Par exemple, SOMME(1:1) additionne toutes les valeurs
qui se trouvent dans les cellules du premier rang.Chapitre 9 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux 219
Copie ou déplacement des formules contenant des références de cellules
Vous pouvez copier ou déplacer une formule contenant des références de cellules sans
que ces dernières ne deviennent non valides.
Voici quelques techniques permettant de déplacer des formules :
m Pour placer une formule dans une autre cellule, faites glisser la cellule dans laquelle
elle se trouve jusque sur la cellule de destination souhaitée.
m Pour coller une copie d’une formule dans une autre cellule et utiliser les mêmes réfé-
rences de cellules dans les deux formules, ajoutez le symbole du dollar ($) devant les
identifiants de colonne et de rang (=$A$1). Cette technique permet de créer ce que
l’on appelle une référence de cellule absolue.
Par exemple, si la formule =A1 apparaît dans la cellule D1 et que vous souhaitez en coller une copie dans la cellule E1, changez la formule en =$A$1, puis sélectionnez la cellule D1, copiez cette dernière et collez la copie dans la cellule E1. La formule $A$1 est
copiée dans la cellule E1. Si vous ne modifiez pas la formule avant de la copier de telle
sorte qu’elle utilise une référence de cellule absolue, elle apparaîtra dans la cellule E1
sous la forme =B1.
Application d’une formule aux cellules d’une colonne ou d’un rang
en une seule fois
Lorsqu’un tableau dispose de cellules d’en-tête, vous pouvez les utiliser pour appliquer
rapidement une formule à toutes les cellules d’un rang ou d’une colonne. Les valeurs des
cellules sont recalculées d’après la formule. Cette formule est appelée formule d’en-tête.
Pour appliquer une formule d’en-tête aux cellules d’une colonne ou d’un rang :
1 Sélectionnez la cellule d’en-tête de la colonne ou du rang.
2 Ouvrez l’Éditeur de formules. Par exemple, tapez le signe égal (=).
3 Saisissez la formule que vous souhaitez appliquer à chacune des cellules de la colonne
ou du rang.
Par exemple, pour attribuer aux cellules de la colonne C des valeurs cinq fois plus grandes que celles des cellules correspondantes de la colonne B, la formule à utiliser serait
B*5 ou B:B*5.
La formule est dupliquée dans toutes les cellules de la colonne ou du rang. Dans cet
exemple, la cellule C4 contiendrait la valeur calculée à l’aide de la formule B4*5.
4 Cliquez sur le bouton Accepter ou appuyez sur la touche Retour ou Entrée pour enregistrer la formule.220 Chapitre 9 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux
Gestion des erreurs et des avertissements
Si une formule figurant dans une cellule de tableau est incomplète, contient des réfé-
rences de cellules non valides ou est incorrecte, ou bien qu’une opération d’importation entraîne une condition d’erreur dans une cellule, Pages affiche une icône dans la
cellule concernée. Un carré bleu dans la partie supérieure gauche d’une cellule indique
les avertissements. Un triangle rouge au milieu d’une cellule indique une erreur provoquée par une formule.
Pour afficher les messages des avertissements et des erreurs :
m Cliquez sur l’icône.
Un message récapitule chaque erreur et chaque avertissement associés à la cellule. Pour
ignorer les avertissements, cliquez sur Ignorer ou sur l’icône x associée à un avertissement.
Utilisation des opérateurs
L’utilisation d’opérateurs dans les formules permet d’effectuer des opérations arithmé-
tiques et de comparer des valeurs :
 Les opérateurs arithmétiques effectuent des opérations arithmétiques, telles que
l’addition ou la soustraction, et donnent des résultats numériques.
 Les opérateurs de comparaison comparent deux valeurs et donnent uniquement
la valeur VRAI ou FAUX.
Calcul d’opérations arithmétiques
Pour créer une formule réalisant une opération arithmétique, vous devez utiliser des
opérateurs arithmétiques. Par exemple, pour ajouter trois valeurs d’une colonne, vous
pourriez créer une formule du type suivant : A2 + A3 + A5.
Voici un récapitulatif des opérateurs arithmétiques. Pour obtenir plus d’informations
sur les opérateurs arithmétiques pris en charge par Pages, reportez-vous à la rubrique
« Explication des opérateurs arithmétiques » à la page 221.
Pour effectuer cette opération
Utilisez cet opérateur
arithmétique Par exemple
Somme de deux valeurs + A2 + B2
Soustraction de deux valeurs – A2 - B2
Multiplication de deux valeurs * A2 * B2
Division d’une valeur par une
autre
/ A2 / B2Chapitre 9 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux 221
Pour ajouter une formule arithmétique à une cellule :
1 Sélectionnez une cellule vide destinée à afficher les résultats de la formule.
2 Ouvrez l’Éditeur de formules. Par exemple, tapez le signe égal (=).
3 Saisissez la formule dans le champ de texte après le signe égal.
Par exemple, pour saisir la formule A3 * B5 + B6, dans le champ de texte après le signe
égal, vous pourriez cliquer sur ou saisir A3, puis taper * (l’opérateur de multiplication),
cliquer sur ou taper B5, et enfin cliquer sur B6 (Pages ajoute automatiquement le signe
plus (+) si vous ne saisissez pas d’opérateur avant de cliquer et si vous ne spécifiez
aucun arguments de fonctions).
4 Cliquez sur le bouton Accepter ou appuyez sur la touche Retour ou Entrée pour enregistrer la formule.
Explication des opérateurs arithmétiques
Les opérateurs arithmétiques utilisés dans les formules des cellules d’un tableau permettent d’effectuer des opérations arithmétiques et d’obtenir des résultats numériques.
Les opérateurs arithmétiques sont les suivants (les exemples supposent que
la cellule A2 contient la valeur 20 et que la cellule B2 contient la valeur 2) :
m L’opérateur + permet d’additionner deux valeurs.
Par exemple, A2 + B2 donne 22.
m L’opérateur – permet de calculer la différence entre deux valeurs.
Par exemple, A2 – B2 donne 18.
m L’opérateur * permet d’obtenir le produit de deux valeurs.
Par exemple, A2 * B2 donne 40.
m L’opérateur / permet d’obtenir le résultat de la division d’une valeur par une autre.
Par exemple, A2/B2 donne 10.
m L’opérateur ^ permet d’obtenir le résultat de l’élévation d’une valeur à la puissance
d’une autre valeur.
Par exemple, A2 ^ B2 donne 400.
m L’opérateur % permet d’obtenir le résultat de la division d’une valeur par 100.
Par exemple, A2% donne 0.2, affiché 20 %.
Si la référence à une cellule pointe sur une cellule vide, 0 correspond à la valeur utilisée.
Si la référence à une cellule pointe sur une cellule contenant la valeur FAUX, 0 est là
aussi la valeur utilisée. Si la cellule contient VRAI, 1 est la valeur utilisée dans ce cas.
Par exemple, VRAI + 1 renvoie 2.
L’utilisation d’une chaîne avec un opérateur arithmétique renvoie une erreur. Par exemple, 3 + "bonjour" n’est pas une opération arithmétique correcte.222 Chapitre 9 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux
Explication des opérateurs de comparaison
Les opérateurs de comparaison comparent deux valeurs et donnent la valeur VRAI ou FAUX.
Les opérateurs de comparaison sont les suivants (les exemples supposent que
la cellule A2 contient la valeur 20 et que la cellule B2 contient la valeur 2) :
m L’opérateur = donne VRAI si deux valeurs sont égales.
Par exemple, A2 = B2 donne FAUX.
m L’opérateur <> donne VRAI si deux valeurs ne sont pas égales.
Par exemple, A2<>B2 donne VRAI.
m L’opérateur > donne VRAI si la première valeur est supérieure à la seconde.
Par exemple, A2 > B2 donne VRAI.
m L’opérateur < donne VRAI si la première valeur est inférieure à la seconde.
Par exemple, A2 < B2 donne FAUX.
m L’opérateur >= donne VRAI si la première valeur est supérieure ou égale à la seconde.
Par exemple, A2 >= B2 donne VRAI.
m L’opérateur <= donne VRAI si la première valeur est inférieure ou égale à la seconde.
Par exemple, A2 <= B2 donne FAUX.
Les chaînes sont considérées comme supérieures aux nombres. Par exemple,
"bonjour" > 5 donne VRAI.
VRAI et FAUX peuvent être comparés mutuellement mais ne peuvent pas être comparés avec des nombres ou des chaînes. VRAI > FAUX, et FAUX < VRAI, parce que VRAI est
interprété comme la valeur 1 et FAUX comme 0. VRAI= 1 donne FAUX et VRAI = "Texte"
donne FAUX.
Utilisation des fonctions
Une fonction est une opération prédéfinie à laquelle on a attribué un nom (par exemple, SOMME ou MOYENNE) et dont on peut se servir pour effectuer un calcul dans une
cellule de tableau.
Il existe plusieurs familles de fonctions, qui vont des fonctions financières qui permettent de calculer des taux d’intérêt, des valeurs d’investissement, etc. aux fonctions statistiques qui permettent de calculer des moyennes, des probabilités, des écarts types,
etc. Pour plus d’informations sur toutes les fonctions, y compris sur les arguments à
spécifier pour indiquer aux fonctions les données à utiliser dans les calculs, consultez
l’aide de Pages. Chapitre 9 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux 223
Vous pouvez saisir une fonction dans le champ de texte de l’Éditeur de formules, mais
la méthode la plus rapide pour ajouter une fonction à une formule consiste à utiliser
le Navigateur de fonctions.
Pour ajouter une fonction à l’aide du Navigateur de fonctions :
1 Sélectionnez la cellule dans laquelle vous souhaitez ajouter une fonction.
2 Ouvrez l’Éditeur de formules et cliquez dans le champ de texte à l’endroit où vous souhaitez insérer la fonction.
3 Choisissez Insertion > Fonction. Le Navigateur de fonctions apparaît.
4 Sélectionnez une fonction.
Pour trouver une fonction, faites défiler la liste située sur la droite. Si vous le souhaitez,
vous avez la possibilité de subdiviser cette liste en sélectionnant une catégorie de fonction sur la gauche. Vous pouvez aussi rechercher une fonction particulière dans la caté-
gorie de fonction sélectionnée à l’aide du champ de recherche qui se trouve en haut
à droite.
5 Cliquez sur Insérer.
Pages insère la fonction dans le champ texte, suivie d’un ou plusieurs paramètres fictifs
d’argument entre parenthèses.
6 À l’aide de l’Éditeur de formules, remplacez chacun des paramètres fictifs par une réfé-
rence de cellule ou par une autre valeur ou apportez d’autres modifications à la formule selon vos besoins. 10
224
10 Utilisation des graphiques
Convertissez vos données en graphiques attrayants.
Ce chapitre décrit le mode de création et de mise en
forme des graphiques.
Pages comprend des outils permettant de créer de beaux graphiques pour la présentation de vos données numériques. Pour créer et modifier vos graphiques directement sur
la page, vous pouvez copier et coller les données d’un document, ou bien saisir les données directement dans l’Éditeur des graphismes. Par défaut, l’apparence des graphiques
correspond au modèle que vous utilisez, mais vous pouvez ajuster les couleurs, textures,
ombres, étiquettes et autres réglages pour souligner divers éléments du graphique.
À propos des graphiques
Vous pouvez afficher les données dans un graphique afin de faire apparaître clairement
les tendances ou relations qui ne sont pas aussi évidentes lorsque vous visualisez les données sous forme de rangs et de colonnes. Vous avez le choix entre de nombreux types de
graphiques pour la présentation de vos données, notamment des graphiques sectoriels,
linéaires, à barres, à colonnes, à couches et en nuage de points. Des versions 2D et 3D
sont disponibles pour la plupart des graphiques.
Pour saisir les données qui apparaîtront dans un graphique, utilisez l’Éditeur de graphiques, tel que décrit dans la rubrique « Modification de données dans un graphique » à
la page 229. Si vous modifiez des données dans l’Éditeur de graphiques, le graphique
est mis à jour automatiquement.Chapitre 10 Utilisation des graphiques 225
Vous pouvez, par exemple, créer un graphique pour faire apparaître le nombre d’employés
travaillant dans la Région 1 et dans la Région 2 chaque année. Ce type de tableau comporterait deux rangs (un pour la Région 1 et un autre pour la Région 2) et quatre colonnes
(une pour chaque année de 2007 à 2010).
Il existe plusieurs manières de représenter ces données dans un graphique. Dans un
graphique à barres, par exemple :
 Vous pouvez représenter le nombre de salariés de 2007 travaillant dans la Région 1
et dans la Région 1 par des barres côte à côte, suivies de paires de barres représentant chacune des années 2008, 2009 et 2010. Si un tel graphique existait, il comporterait deux séries de données et quatre jeux de données.
Les régions 1 et 2 sont appelées séries de données. Chaque région est représentée par
une série de valeurs. La valeur des données (connues sous le nom de points de données) de chaque région sont représentées par des barres regroupées côte à côte sur
le graphique ; chaque groupe est appelé jeu de données (2007 est un jeu de données, 2008 en est un autre, etc.).
Ces carrés indiquent la
couleur qui représente
chaque série de données.
La légende du graphique
désigne les deux séries de
données.
Les jeux de données contiennent un point de données (une barre) de
chacune des séries de
données.
Ces quatre barres représentent une série de données.226 Chapitre 10 Utilisation des graphiques
 Autre possibilité : vous pouvez modifier l’orientation du graphique de sorte que les
points de données soient regroupés par région plutôt que par année. Dans ce cas, les
années sont des séries de données et les régions des jeux de données. Le graphique à
barres contiendrait alors deux groupes de barres, une pour la Région 1 et l’autre pour
la Région 2.
Vous pouvez facilement alterner l’usage de colonnes et de rangs en tant que séries
de données à l’aide du bouton Rang / colonne dans l’Éditeur de graphiques.
Les séries de données sont représentées différemment selon le type de graphique :
 Dans les graphiques à colonnes et les graphiques à barres, une série de données est
représentée par une série de barres dotée du même remplissage (couleur ou texture).
 Dans un graphique linéaire (également appelé graphe), une série de données est
représentée par une seule ligne.
 Dans un graphique à couches, une série de données est représentée par une couche.
 Dans un graphique sectoriel, un seul jeu de données (le premier point de données de
chaque série) est représenté sur le graphique (celui qui apparaît en premier sur la
liste dans l’Éditeur de graphiques).
 Dans un graphique en nuage de points, deux colonnes de données sont utilisées pour
placer les points représentant les valeurs d’une seule série de données. Chaque paire
de valeurs détermine ainsi la position de chaque point de données.
Ces deux barres repré-
sentent une série de
données.
Les jeux de données contiennent un
point de données (une barre) de chacune des quatre séries de données.
Ce bouton fait des rangs de
données de l’Éditeur de graphiques la série de données.
Ce bouton fait des colonnes de
données de l’Éditeur de graphiques la série de données.Chapitre 10 Utilisation des graphiques 227
Ajout d’un graphique
Des graphiques peuvent être ajoutés en tant qu’éléments incorporés au texte ou flottants
sur la page.
Voici différentes manières d’ajouter un graphique :
m Pour incorporer un graphique dans un document de traitement de texte, sélectionnez
Insertion > Graphique ou bien cliquez sur Graphique dans la barre d’outils. Faites glisser
le graphique à l’emplacement souhaité dans le texte, qui s’adaptera automatiquement.
Il est possible de convertir un graphique incorporé en un graphique flottant (et inversement) dans un document de traitement de texte. Sélectionnez le graphique que vous
souhaitez convertir, puis cliquez sur le bouton Alignement ou Flottant dans la barre de
format.
Les graphiques du document de mise en page sont flottants. Pour en savoir plus sur l’utilisation des objets flottants et incorporés, consultez la rubrique « Utilisation des objets
flottants et des objets incorporés » à la page 147.
m Pour créer un graphique sur la page, appuyez sur la touche Option tout en cliquant sur
Graphique dans la barre d’outils. Libérez la touche Option et déplacez le pointeur sur la
page jusqu’à ce qu’il se transforme en réticule. Faites-le glisser sur la page afin de créer
un graphique de la taille souhaitée. Pour conserver les proportions des dimensions d’un
graphique, maintenez la touche Maj enfoncée lors du redimensionnement.
Un graphique contenant des données de paramètre fictif apparaît alors sur la page
et l’Inspecteur des graphiques ainsi que l’Éditeur de graphiques s’ouvrent. Utilisez l’Inspecteur des graphiques pour sélectionner le type de graphique initial et pour mettre
en forme votre graphique. Utilisez l’Éditeur de graphiques pour modifier les données
du graphique.
Reportez-vous aux rubriques « Choix d’un type de graphique initial » à la page 227,
« Mise en forme des attributs généraux d’un graphique » à la page 231, « Mise en forme
de types de graphiques spécifiques » à la page 239, et« Modification de données dans
un graphique » à la page 229 pour obtenir des instructions.
Sélection d’un type de graphique
Une fois que vous avez ajouté un graphique, vous pouvez en définir le type ou en
changer. Vous avez le choix entre de nombreux types de graphiques, notamment
à barres, 3D à barres, linéaires, 3D linéaires, etc.
Choix d’un type de graphique initial
La première fois que vous ajoutez un graphique, l’application insère un graphique
par défaut. Vous pouvez le changer à votre guise.228 Chapitre 10 Utilisation des graphiques
Voici différentes manières de spécifier un type de graphique :
m Sélectionnez le graphique, cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format,
puis sur le bouton Inspecteur des graphismes. Cliquez ensuite sur l’icône de graphique
située en haut à gauche pour afficher le menu local qui vous permettra de sélectionner un type de graphique.
m Sélectionnez Format > Graphique > Type de graphique > type de graphique.
Changement du type de graphique
Vous pouvez changer de type de graphique à votre guise.
Pour remplacer un graphique par un autre type :
1 Sélectionnez le graphique.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
des graphismes. Cliquez ensuite sur l’icône de graphique en haut à gauche pour afficher le menu local qui vous permettra de sélectionner un autre type de graphique.
Si vous passez à un graphique sectoriel, le premier point de données de chaque série est
représenté sous forme de portion. Reportez-vous à la rubrique « Graphiques sectoriels »
à la page 239.
Si vous passez à un graphique en nuage de points, deux valeurs sont nécessaires pour
chaque point. Si le graphique est basé sur un nombre impair de rangs ou de colonnes,
le dernier rang (ou la dernière colonne) n’est pas traité. Reportez-vous à la rubrique
« Graphiques en nuage de points » à la page 244.
Le bouton Inspecteur
des graphiques
Choisissez un type de graphique dans le menu local. Les
graphiques 2D se trouvent
à gauche et leur version 3D
à droite.Chapitre 10 Utilisation des graphiques 229
Si vous passez à un graphique à barres, à colonnes, à couches ou linéaire, chaque série du
nouveau graphique correspond à un rang ou à une colonne dans l’Éditeur de graphiques.
Si vous passez à la version 3D d’un graphique, l’Inspecteur des graphiques fournit des
commandes permettant de gérer la profondeur de l’objet, le style d’éclairage, etc.
Reportez-vous à la rubrique « Graphiques 3D » à la page 244.
La mise en forme appliquée au graphique que vous modifiez peut ne pas s’appliquer
au nouveau graphique. Par exemple, l’attribut de remplissage couleur des éléments de
point de données (barres, portions, etc.) possède une valeur par défaut différente pour
chaque type de graphique. Si vous avez modifié la couleur de remplissage d’une
colonne puis changé le graphique en graphique à barres, la modification du remplissage n’est alors pas conservée.
 Selon le type de graphique, les attributs enclins à changer si vous passez d’un type
de graphique à un autre sont les étiquettes de valeurs affichées, la position de ces
étiquettes, le style de texte, le trait, l’ombre et le remplissage des séries, le symbole
des points de données ainsi que le remplissage de ces derniers.
 Les graphiques en barres ou en colonnes simples ou empilées partagent leurs attributs à l’exception de la position des étiquettes de valeur. Les graphiques en barres
ou en colonnes possèdent cependant des remplissages distincts.
 Les ombres des graphiques 3D sont partagées entre les types de graphiques.
Si vous changez le type d’un graphique par un autre partageant certains des attributs,
ces derniers sont alors conservés. Les attributs partagés regroupent les axes, les quadrillages, les marques de graduation, les étiquettes des axes, l’affichage de la valeur
minimale, le format des nombres, les bordures, les rotations d’objets, les ombres ainsi
que le style d’éclairage 3D.
Vous en saurez plus à propos de ces attributs tout au long du reste de ce chapitre.
Modification de données dans un graphique
Pour modifier les données d’un graphique, ouvrez l’Éditeur de graphiques et saisissez
les données en les tapant ou en les copiant et les collant à partir d’Excel, d’AppleWorks
ou d’autres tableurs.
Pour ouvrir l’Éditeur de graphiques :
1 Sélectionnez le graphique.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes, puis sur Modifier les données. 230 Chapitre 10 Utilisation des graphiques
Vous pouvez également choisir Format > Graphique > Afficher l’Éditeur de graphiques.
Copie de données dans l’Éditeur de graphiques
Copiez les données provenant de feuilles de calcul Excel, AppleWorks ou autres, puis
collez-les dans l’Éditeur de graphiques.
Pour utiliser des données issues d’une autre feuille de calcul :
1 Ouvrez la feuille de calcul et sélectionnez toutes les cellules appropriées.
2 Appuyez simultanément sur les touches Commande et C.
3 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
des graphismes et enfin sur Modifier les données pour ouvrir l’Éditeur de graphiques.
4 Sélectionnez la cellule supérieure dans la première colonne de l’Éditeur de graphiques.
5 Appuyez simultanément sur les touches Commande et V.
Utilisation de rangs et de colonnes dans l’Éditeur de graphiques
Modifiez les noms des rangs et des colonnes puis réorganisez, ajoutez ou supprimer
des rangs et des colonnes.
Voici différentes manières d’utiliser des rangs et des colonnes dans l’Éditeur
de graphiques :
m Pour modifier le nom des rangs et des colonnes ou pour modifier les données d’une
cellule, double-cliquez sur la cellule ou sur l’étiquette d’un rang ou d’une colonne et
saisissez ce que vous désirez.
m Pour réorganiser des rangs ou des colonnes, faites glisser leur étiquette vers un nouvel
emplacement.
Faites glisser les étiquettes
afin de les réorganiser.
Tapez les données graphiques directement
dans les cellules de la
feuille de calcul.
Cliquez sur ces boutons afin
d’ajouter un autre rang ou une
autre colonne de données.Chapitre 10 Utilisation des graphiques 231
m Pour ajouter des rangs ou des colonnes, cliquez sur Insérer un rang ou Insérer une
colonne afin de placer un rang au-dessus du rang sélectionné ou une colonne à gauche de la colonne sélectionnée. Si aucun rang (ni aucune colonne) n’est sélectionné, le
nouveau rang (ou la nouvelle colonne) apparaît en bas ou sur la droite de la feuille de
calcul. (Pour visualiser le nouveau rang ou la nouvelle colonne, vous devez appuyer sur
la touche Retour ou Tab, agrandir la fenêtre de l’Éditeur de graphiques ou encore faire
défiler l’affichage.)
Sinon, sélectionnez n’importe quelle cellule vide, saisissez vos données et appuyez
ensuite sur la touche Retour. Un nouveau rang ou une nouvelle colonne est automatiquement créé.
m Pour supprimer des rangs ou des colonnes, sélectionnez leur étiquette et appuyez
ensuite sur la touche Retour.
m Pour déterminer si les séries de données du graphique sont représentées en rangs
ou en colonnes dans l’Éditeur de graphiques, cliquez sur un bouton Rang / colonne.
Mise en forme des attributs généraux d’un graphique
Vous pouvez redimensionner et repositionner des graphiques et des légendes. Vous
pouvez ajouter un titre au graphique. Vous pouvez mettre en forme les éléments des
graphiques (polices, textures, couleurs, étiquettes d’axes et de points de données, ainsi
que marques de graduation). Vous pouvez ajuster l’angle et le style d’éclairage des graphiques 3D.
Utilisation d’une légende
La légende du graphique décrit la signification des couleurs utilisées pour traiter
les points de données dans chaque série de données.
Vous pouvez afficher ou masquer la légende d’un graphique et la repositionner.
Voici différentes manières d’utiliser une légende de graphique :
m Pour afficher la légende, sélectionnez le graphique puis sélectionnez Afficher la
légende dans l’Inspecteur des graphiques.
m Pour modifier les étiquettes dans la légende, modifiez les étiquettes de série dans
l’Éditeur de graphiques ou sélectionnez la légende et modifiez le texte directement.
m Pour mettre en forme le texte de la légende, reportez-vous à la rubrique « Mise en
forme des titres, des étiquettes et des légendes » à la page 238.232 Chapitre 10 Utilisation des graphiques
m Pour masquer la légende, sélectionnez le graphique puis désélectionnez Afficher
la légende dans l’Inspecteur des graphiques.
Vous pouvez également sélectionner la légende et appuyer sur la touche Suppr.
m Pour déplacer la légende, sélectionnez-la et faites-la glisser.
Utilisation d’un titre de graphique
Vous pouvez ajouter un titre au graphique. Celui-ci peut être mis en forme.
Voici différentes manières d’utiliser un titre de graphique :
m Pour ajouter un titre, sélectionnez le graphique puis choisissez Afficher le titre dans
l’Inspecteur des graphiques. Remplacez le texte du paramètre fictif par votre titre.
m Pour mettre en forme le texte d’un titre, reportez-vous à la rubrique « Mise en forme
des titres, des étiquettes et des légendes » à la page 238.
m Pour masquer le titre, sélectionnez le graphique puis désactivez l’option Afficher le titre
dans l’Inspecteur des graphiques.
Redimensionnement d’un graphique
Vous pouvez augmenter ou réduire la taille d’un graphique en faisant glisser l’une
de ses poignées de sélection actives ou en utilisant l’Inspecteur des mesures.
Voici différentes manières de redimensionner un graphique :
m Cliquez sur le graphique pour le sélectionner, puis faites glisser une poignée de sélection active. Ces poignées sont dotées d’un pourtour noir.
Les poignées de sélection en haut des graphiques incorporés sont inactives. Pour redimensionner un graphique incorporé, faites glisser les poignées actives situées en bas
à droite.
m Pour préserver les proportions d’un graphique, maintenez la touche Maj enfoncée
lorsque vous faites glisser le graphique pour le redimensionner.
m Pour redimensionner un graphique dans un sens, faites glisser une poignée latérale
au lieu d’une poignée d’angle.
m Pour redimensionner en spécifiant des dimensions exactes, cliquez sur le bouton
Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur des mesures et enfin
sur Mesures. Cette sous-fenêtre vous permet de spécifier une nouvelle largeur, hauteur
et un angle de rotation, et également de modifier la distance entre le graphique et les
marges.
Rotation de graphiques
Il existe plusieurs techniques de rotation pour les graphiques 2D. Vous ne pouvez pas
faire pivoter (ou retourner) les graphiques 3D. Si un graphique 3D est regroupé avec
des graphiques 2D, vous pouvez faire pivoter le groupe mais sachez que seuls les graphiques 2D pivoteront.Chapitre 10 Utilisation des graphiques 233
Voici différentes manières de faire pivoter des graphiques 2D :
m Sélectionnez le graphique, maintenez enfoncée la touche Commande et déplacez le
pointeur vers une poignée de sélection active jusqu’à ce qu’elle se transforme en flè-
che double courbe, puis faites glisser une poignée de sélection.
m Pour faire pivoter un graphique par incréments de 45 degrés, appuyez sur les touches
Maj et Commande tout en faisant glisser une poignée de sélection.
m Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
des mesures et faites glisser la molette de rotation ou utilisez les commandes d’angle
pour définir l’angle du graphique.
Les graphiques sectoriels peuvent également être pivotés par le biais de l’Inspecteur
des graphiques (reportez-vous à la rubrique « Rotation de graphiques sectoriels 2D »
à la page 241).
Ajout d’étiquettes et de marques d’axe
Utilisez la sous-fenêtre Axes de l’Inspecteur des graphiques pour mettre en forme
le quadrillage et l’aspect général des axes du graphique.
La plupart des graphiques possèdent deux axes (X et Y). Selon le type de graphique, les
points de données sont tracés sur l’un des axes et les jeux de données sont regroupés
sur l’autre axe. L’axe des points de données est appelé axe des valeurs et celui des jeux
de données axe des catégories.
Affichage des axes et des bordures
Vous pouvez afficher tous les éléments suivants d’un graphique : l’axe X, l’axe Y et les
bordures du graphique.
Pour afficher les axes et les bordures :
1 Sélectionnez un graphique.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
des graphismes et enfin sur Axes.
3 Choisissez un ou plusieurs éléments dans le menu local Axes et bordures pour
les sélectionner.
Définissez les attributs des étiquettes,
marques de graduation et autres.
Sélectionnez des unités pour les
valeurs du graphique.
Affichez ou masquez les axes et les bordures des graphiques (pour les graphiques 2D uniquement).
Définissez la plage des valeurs qui apparaissent sur le quadrillage du graphique.234 Chapitre 10 Utilisation des graphiques
Un élément sélectionné comporte en face une coche. Choisissez de nouveau l’élément
afin de le désélectionner.
Pour mettre en forme la couleur et le trait des bordures, sélectionnez le graphique et
utilisez les contrôles à gauche de la barre de mise en forme.
Utilisation de titres d’axes
Vous pouvez ajouter un titre sur l’axe des X et sur l’axe des Y d’un graphique. Celui-ci
peut être mis en forme.
Voici différentes manières d’utiliser un titre d’axe :
m Pour ajouter le titre d’un axe, sélectionnez le graphique, puis l’option « Afficher les titres
de catégorie » dans le menu local Axe des X ou « Afficher les titres de valeur » dans le
menu local Axe des Y de la sous-fenêtre Axes de l’inspecteur des graphiques. Remplacez le texte du paramètre fictif par votre titre.
m Pour mettre en forme le texte d’un titre, reportez-vous à la rubrique « Mise en forme
des titres, des étiquettes et des légendes » à la page 238.
m Pour masquer le titre d’un axe, sélectionnez le graphique, puis décochez l’option « Afficher
les titres de catégorie » dans le menu local Axe des X ou « Afficher les titres de valeur »
dans le menu local Axe des Y de la sous-fenêtre Axes de l’inspecteur des graphiques.
Affichage des étiquettes de point de données
Vous pouvez afficher les valeurs de point de données sur des colonnes, barres,
portions de graphique sectoriel et autres éléments de graphiques 2D et 3D.
Pour mettre en forme des étiquettes de point de données :
1 Sélectionnez le graphique.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
des graphismes et enfin sur Séries.
3 Choisissez Afficher la valeur dans le menu local Réglages de point de données.
Pour afficher la valeur en pourcentage ou la valeur logarithmique au lieu d’une valeur
absolue, choisissez Pourcentage ou Logarithmique dans le menu local Axe des X ou
Axe des Y de la sous-fenêtre Axes.
Pour les graphiques sectoriels, choisissez « Afficher les valeurs des portions en % » dans
le menu local « Réglages de pt de données » afin d’afficher les valeurs en pourcentages. Pour afficher le nom des séries de données d’une portion, choisissez « Afficher le
nom des séries » dans le menu local Réglages de pt de données.
Choisissez un style de ligne.
Sélectionner la largeur du trait.
Sélectionner la couleur du trait.Chapitre 10 Utilisation des graphiques 235
4 Sélectionnez un emplacement pour l’étiquette dans le menu local Réglages de pt
de données (par exemple, AU milieu ou En bas à droite).
5 Spécifiez le nombre de décimales à afficher en saisissant un nombre dans le champ
Décimales.
6 Pour mettre en forme les étiquettes de point de données, reportez-vous à la rubrique
« Mise en forme des titres, des étiquettes et des légendes » à la page 238.
Mise en forme de l’axe des valeurs
Vous pouvez définir les valeurs et unités à afficher le long de l’axe des valeurs, c’est-à-
dire l’axe le long duquel vous lisez les valeurs des points de données. Pour les graphiques à colonnes (barres verticales), les graphiques linéaires et les graphiques à couches, l’axe des Y est l’axe des valeurs. Pour les graphiques à barres horizontales, l’axe
des X est l’axe des valeurs. Dans le cas des graphiques en nuage de points, les deux
axes constituent des axes de valeurs. Les graphiques sectoriels ne comportent pas
d’axe des valeurs. Pour en savoir plus sur la mise en forme des graphiques sectoriels,
reportez-vous à la rubrique « Graphiques sectoriels » à la page 239.
Pour mettre en forme l’axe des valeurs :
1 Sélectionnez un graphique.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
des graphismes et enfin sur Axes.
3 Pour définir la valeur à l’origine du graphique, tapez un nombre dans le champ Minimum
(sous Format de l’axe des valeurs).
La valeur Minimum ne peut pas être supérieure à la valeur minimale de l’ensemble
du jeu de données.
4 Pour définir le nombre le plus élevé qui s’affiche sur l’axe des valeurs, tapez un nombre
dans le champ Maximum.
La valeur Maximum ne peut pas être inférieure à la valeur maximale de l’ensemble
du jeu de données.
5 Pour spécifier le nombre de marques sur l’axe entre les valeurs minimale et maximale,
spécifiez un nombre dans le champ Intervalles.
6 Pour afficher la valeur de donnée minimale sur l’axe des valeurs, sélectionnez « Afficher les
étiquettes de valeur » et « Afficher la valeur minimale » dans le menu local Axes des X, Axe
des Y ou « Étiquettes, graduations, quadrillage » en fonction du graphique.
7 Pour spécifier des unités pour les valeurs de l’axe, saisissez-les sous Format des nombres
dans le champ Préfixe ou Suffixe (ou choisissez un symbole dans les menus locaux).236 Chapitre 10 Utilisation des graphiques
8 Pour afficher des valeurs logarithmiques sur l’axe des valeurs, choisissez Logarithmique
dans le menu local Axe des X ou Axe des Y, en fonction du graphique. Cette option est
disponible uniquement pour les graphiques 2D à barres/colonnes qui ne sont pas empilés et pour les graphiques linéaires. Vous ne pouvez pas tracer de valeurs négatives sur
l’axe logarithmique.
9 Pour afficher des valeurs en pourcentages sur l’axe des valeurs des graphiques empilés,
choisissez Pourcentage dans le menu local Axe des X ou Axe des Y, dans la sous-fenê-
tre des axes.
Pour les graphiques sectoriels, choisissez « Affi. val. des portions en % » dans le menu
local Réglages de pt de données afin d’afficher les valeurs en pourcentages.
Mise en place d’étiquettes, de quadrillage et de marques de graduation
Les menus locaux Axe des X et Axe des Y (sous-fenêtre Axes de l’Inspecteur des graphiques) fournissent une série d’options permettant de placer des marques de graduation,
des étiquettes et des quadrillages le long de l’axe des valeurs ou de l’axe des catégories.
Les options de ces menus locaux varient selon le type de graphique que vous sélectionnez.
Pour les graphiques à barres verticaux (graphiques à colonnes), les graphiques linéaires
et les graphiques à couches, l’axe des Y correspond à l’axe des valeurs et celui des X à
l’axe des catégories. Pour les graphiques à barres horizontales, l’axe des X est l’axe des
valeurs. Dans le cas des graphiques en nuage de points, les deux axes constituent des
axes de valeurs. En ce qui concerne les graphiques 3D, les axes des X et des Y sont les
mêmes que pour leur version 2D.
Pour mettre en forme les marques d’axe :
1 Sélectionnez le graphique.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
des graphismes et enfin sur Axes.
3 Pour mettre en forme l’axe des X, choisissez une option dans le menu local Axe des X.
Pour un graphique à colonnes, le menu se présente de la manière suivante :
Placez des marques de graduation le long de l’axe des X.
Afficher ou masquer le quadrillage
de l’axe des X.
Définissez le sens du texte pour les
étiquettes de l’axe des catégories.
Afficher ou masquer les titres et les étiquettes de l’axe des catégories.Chapitre 10 Utilisation des graphiques 237
4 Pour mettre en forme l’axe des Y, choisissez une option dans le menu local Axe des Y.
Le menu se présente sous la forme suivante dans le cas d’un graphique à colonnes :
Mise en forme des éléments d’une série de données
Vous pouvez utiliser un ensemble complet d’effets visuels pour enrichir l’aspect des élé-
ments composant les séries de données (par ex. barres, portions et formes de couches).
Pour mettre en forme des éléments de séries de données :
1 Pour mettre en forme toutes les séries de données, sélectionnez le graphique.
Pour mettre en forme les éléments d’une série de données individuelle, sélectionnez
le graphique puis cliquez sur l’un des éléments de la série.
Pour tous les types de graphiques, à l’exception des graphiques sectoriels, sélectionner
un élément d’une série (une barre, par exemple) sélectionne automatiquement la série
entière. Dans les graphiques sectoriels, vous sélectionnez des portions individuelles.
2 Pour remplir les éléments de série de données dans une couleur ou une texture particulières, cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, sur le bouton Inspecteur des graphismes, puis sur Couleurs des graphiques.
Choisissez un type de remplissage (par exemple, parmi les textures de remplissage 3D)
dans le premier menu local, puis une collection de remplissage (par exemple, Marbre
ou Bois) dans le second.
Pour remplir les éléments dans toutes les séries de données, cliquez sur Tout appliquer.
Le premier remplissage est appliqué aux éléments de la première série, le deuxième
remplissage à la deuxième série, ainsi de suite.
Pour remplir des éléments dans une seule série de données, faites glisser le remplissage vers un élément (barre, colonne, etc.) de la série.
3 Pour régler l’opacité, le trait, l’ombre et autres attributs graphiques d’éléments de
séries, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes. Vous pouvez également utiliser la barre de mise en forme pour définir la couleur, l’opacité et l’ombre d’un graphique entier ou de certaines séries de données du graphique.
Placez des marques de graduation le long de l’axe des Y.
Affichez ou masquez le
quadrillage de l’axe des Y.
Affichez ou masquez les étiquettes de l’axe des valeurs.238 Chapitre 10 Utilisation des graphiques
4 Pour régler les couleurs d’éléments de séries, reportez-vous à la rubrique « Remplissage
d’un objet avec de la couleur » à la page 162.
5 Pour remplir des éléments de séries avec l’une de vos images, reportez-vous à la rubrique « Image de remplissage d’un objet » à la page 164.
6 Pour mettre en forme les étiquettes de point de données, reportez-vous à la rubrique
« Affichage des étiquettes de point de données » à la page 234.
Vous pourrez trouver des instructions relatives à la mise en forme de graphiques de
types spécifiques dans la rubrique « Mise en forme de types de graphiques spécifiques »
à la page 239.
Mise en forme des titres, des étiquettes et des légendes
Vous pouvez modifier la taille et l’apparence des titres de graphique et d’axe,
des étiquettes d’axe, des étiquettes de point de données et des légendes.
Pour mettre en forme le texte des étiquettes et des légendes :
1 Sélectionnez le texte à mettre en forme.
Pour mettre en forme tous les titres et étiquettes de graphique, cliquez sur celui-ci pour
le sélectionner. Si vous sélectionnez le texte pour une étiquette de point de données
ou d’axe, tout le texte de ce type est également sélectionné. Vous devez modifier la
police des légendes séparément.
2 Utilisez le menu Format, la sous-fenêtre Police ou bien la barre de format pour mettre
en forme le texte. Reportez-vous aux rubriques « Utilisation du menu Format pour mettre en forme le texte » à la page 81, « Utilisation du panneau Police pour mettre en
forme le texte » à la page 83 et « Utilisation de la barre de format pour mettre en forme
le texte » à la page 81 pour obtenir des instructions.
Ajout de texte descriptif à un graphique
Vous pouvez ajouter un texte descriptif à un graphique, comme lorsque vous souhaitez fournir des informations de référence pour un point de données en particulier.
Pour ajouter du texte :
1 Créez une zone de texte. Reportez-vous à la rubrique « Ajout de zones de texte » à la
page 108 pour obtenir des instructions.
2 Faites-la glisser vers l’endroit souhaité sur le graphique.
3 Saisissez votre texte dans la zone correspondante.
Vous pouvez éventuellement regrouper le graphique et la zone de texte de manière à ce
que le texte reste proche du graphique. Cliquez en appuyant sur la touche Maj pour sélectionner à la fois le graphique et la zone de texte, puis choisissez Disposition > Grouper.Chapitre 10 Utilisation des graphiques 239
Mise en forme de types de graphiques spécifiques
Plusieurs styles de graphiques proposent des options uniques pour la mise en forme
de leurs éléments.
Graphiques sectoriels
Pour les graphiques sectoriels, Pages trace uniquement le premier point de données
pour chaque série de données. Si les séries de données sont organisées en rangs, seule
la première colonne est représentée. Si elles sont organisées en colonnes, seul le premier rang est représenté.
Par conséquent, un graphique sectoriel représente un seul jeu de données et chaque
portion représente un élément de ce jeu. Vous pouvez représenter n’importe quel jeu
de données en le déplaçant vers le premier rang ou la première colonne.
Vous pouvez mettre en forme un graphique sectoriel complet ou bien des portions
individuelles de celui-ci.
Sélection de portions individuelles dans un graphique sectoriel
Si vous désirez mettre en forme une ou plusieurs portions, vous devez d’abord
les sélectionner.
Voici différentes manières de sélectionner des portions sur un graphique sectoriel
sélectionné :
m Pour sélectionner une seule portion, cliquez dessus.
m Pour sélectionner toutes les portions, sélectionnez-en une et appuyez simultanément
sur les touches Commande et A.
m Pour sélectionner des portions non adjacentes, maintenez enfoncée la touche Commande
tout en sélectionnant chaque portion.
m Pour sélectionner un ensemble de portions adjacentes, sélectionnez la première portion puis maintenez la touche Maj enfoncée tout en sélectionnant la dernière portion.
Affichage du nom des séries dans un graphique sectoriel
Sur les graphiques sectoriels, vous pouvez afficher le nom des séries.
Pour afficher le nom des séries dans un graphique sectoriel :
1 Sélectionnez le graphique ou les portions individuelles.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
des graphismes et enfin sur Séries.
3 Choisissez « Afficher le nom des séries » dans le menu local « Étiquette de point de
données ».
4 Choisissez À l’intérieur ou À l’extérieur dans le menu local Étiquette de pt de données.240 Chapitre 10 Utilisation des graphiques
Éloignement de portions individuelles du graphique
Pour augmenter l’impact visuel des portions, vous pouvez les séparer du graphique.
Vous pouvez ajouter un nom de série aux portions éloignées pour les faire ressortir
davantage, tel que décrit dans la rubrique « Affichage des étiquettes de point de
données » à la page 234.
Voici différentes manières d’éloigner des portions de graphique individuelles :
m Pour éloigner une portion du centre d’un graphique sectoriel 2D ou 3D, sélectionnez-la
et faites-la glisser ou utilisez le réglage Éloigner dans la sous-fenêtre Séries de l’Inspecteur des graphiques.
m Pour éloigner toutes les portions en partant du centre d’un graphique sectoriel 3D,
sélectionnez le graphique avant d’utiliser le réglage Éloigner.
Ajout d’ombres aux graphiques sectoriels et aux portions
Vous pouvez placer des ombres sur des portions individuelles ou sur le graphique
entier. L’application d’ombres aux portions individuelles donne l’impression que les
portions se trouvent sur différentes couches.
Lorsque vous ajoutez une ombre à la portion d’un graphique, il est judicieux de la séparer tout d’abord. Reportez-vous à la rubrique « Éloignement de portions individuelles du
graphique » à la page 240 pour obtenir des instructions.
Pour ajouter des ombres :
1 Sélectionnez le graphique ou les portions individuelles.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
des graphismes et enfin sur Séries.
3 Pour ajouter des ombres aux portions, choisissez Individuelle dans le menu local Ombre.
Pour ajouter des ombres à l’ensemble du graphique, choisissez Groupée dans le menu
local Ombre.
4 Pour définir des attributs d’ombre, utilisez l’Inspecteur des graphismes. Reportez-vous
à la rubrique « Ajout d’ombres » à la page 158 pour obtenir des instructions.
Éloignez une portion
en utilisant le curseur
Éloigner et en lui attribuant un nom de série.Chapitre 10 Utilisation des graphiques 241
Réglage de l’opacité des graphiques sectoriels
Vous pouvez modifier l’opacité du graphique et d’éléments de graphique individuels,
comme la légende. Reportez-vous à la rubrique « Ajustement de l’opacité » à la
page 160 pour plus d’informations.
Rotation de graphiques sectoriels 2D
Vous pouvez utiliser plusieurs techniques pour faire pivoter un graphique sectoriel 2D.
Voici différentes manières de faire pivoter un graphique sectoriel :
m Sélectionnez le graphique, cliquez sur Inspecteur dans la barre de format, cliquez sur le
bouton Inspecteur des graphismes, puis sur Séries, et enfin utilisez la molette Angle de
rotation ou le champ correspondant.
m Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
des mesures et faites glisser la molette de rotation ou utilisez les commandes d’angle
pour définir l’angle du graphique.
m Sélectionnez le graphique, maintenez enfoncée la touche Commande et déplacez le
pointeur vers une poignée de sélection active jusqu’à ce qu’elle se transforme en flè-
che double courbe, puis faites glisser une poignée de sélection.
m Pour faire pivoter le graphique par incréments de 45 degrés, appuyez sur les touches
Maj et Commande tout en faisant glisser une poignée de sélection ou la molette de
rotation.
Graphiques à barres et à colonnes
Il est possible d’appliquer des ombres à une série de données spécifique ou à l’ensemble du graphique. Vous pouvez ajuster l’opacité du graphique dans son ensemble ou
pour des séries individuelles (mais pas des barres individuelles). Vous pouvez également ajuster l’espacement entre les jeux de données ou entre des barres individuelles.
Réglage de l’espacement des graphiques à barres et à colonnes
Vous pouvez ajuster l’espace entre les différentes barres ou les jeux de données.
Pour régler l’espacement :
1 Sélectionnez le graphique.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
des graphismes et enfin sur Séries.
Séparez les barres individuelles du graphique.
Séparez les jeux de
données du graphique.
Ajoutez des ombres aux barres
ou aux jeux de données.242 Chapitre 10 Utilisation des graphiques
3 Pour changer l’espacement entre les barres, tapez une valeur (ou cliquez sur les flèches)
dans le champ Espace entre les barres.
Pour changer l’espace entre les jeux de données, spécifiez une valeur dans le champ
« Espace entre les séries ».
La valeur est le pourcentage de l’épaisseur des barres. Le fait de réduire l’espace entre
les barres les rend plus épaisses.
Vous pouvez également déplacer le pointeur près du bord d’une barre jusqu’à ce qu’il
devienne une double flèche, puis le faire glisser afin de rendre les barres plus épaisses
ou plus fines.
Ajout d’ombres aux graphiques à barres et à colonnes
Vous pouvez ajouter des ombres à chacune des barres du graphique ou à chaque
groupe de barres.
Si vous souhaitez ajouter des ombres à des barres individuelles, il est judicieux de les
séparer auparavant. Reportez-vous à la rubrique « Réglage de l’espacement des graphiques à barres et à colonnes » à la page 241 pour obtenir des instructions.
Pour ajouter des ombres :
1 Sélectionnez le graphique.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre de format, cliquez sur le bouton Inspecteur des
graphismes, puis sur Séries.
3 Pour ajouter des ombres aux barres individuelles, choisissez Individuelle dans le menu
local Ombre.
Pour ajouter des ombres à chaque groupe de barres, choisissez Groupée dans le menu
local Ombre.
4 Pour définir des attributs d’ombre, utilisez l’Inspecteur des graphismes. Reportez-vous
à la rubrique « Ajout d’ombres » à la page 158 pour obtenir des instructions.
Réglage de l’opacité des graphiques à barres et à colonnes
Vous pouvez modifier l’opacité du graphique et d’éléments de graphique individuels,
comme la légende. Reportez-vous à la rubrique « Ajustement de l’opacité » à la page 160
pour plus d’informations.Chapitre 10 Utilisation des graphiques 243
Graphiques à couches et linéaires
Dans le cas des graphiques à couches et des graphiques linéaires, vous pouvez repré-
senter des points de données par des symboles (cercles, triangles, carrés et losanges).
Voici différentes manières de mettre en forme des graphiques à couches
et des graphiques linéaires :
m Pour mettre en forme des symboles, sélectionnez une série de données (figure ou ligne
de couche), cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur des graphismes et enfin sur Séries. Choisissez un symbole dans le menu
local Symbole de point de données.
Utilisez les options du menu local Remplissage du symbole pour appliquer de la couleur ou des images aux symboles. Reportez-vous aux rubriques « Image de remplissage
d’un objet » à la page 164 et « Remplissage d’un objet avec de la couleur » à la
page 162 pour obtenir des instructions.
m Pour définir la couleur de ligne sur les graphiques linéaires, sélectionnez une ligne,
cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
des graphismes et utilisez les réglages de trait. Reportez-vous à la rubrique
« Modification du style des bordures » à la page 156 pour obtenir des instructions.
m Pour ajouter des ombres sur des graphiques à couches ou linéaires, sélectionnez une
série de données (figure ou ligne de couche), cliquez sur le bouton Inspecteur dans la
barre de format, puis sur le bouton Inspecteur des graphismes et utilisez les réglages
d’ombre. Reportez-vous à la rubrique « Ajout d’ombres » à la page 158 pour obtenir des
instructions.
Les points de données de cette série
sont représentés par des carrés.
Les points de données de
cette série sont représentés par des triangles.
Choisissez un symbole à utiliser pour les points de données.
Remplissez les symboles des points
de données avec de la couleur ou
des images.244 Chapitre 10 Utilisation des graphiques
Graphiques en nuage de points
Sur les graphiques en nuage de points, les données s’affichent différemment des autres
types de graphiques. Ils nécessitent au moins deux colonnes ou rangs de données pour
tracer les points représentant les valeurs d’une série de données individuelle. Pour pouvoir afficher plusieurs séries de données, vous devez utiliser dans ce cas des paires de
colonnes ou de rangs supplémentaires.
Chaque paire de valeurs détermine ainsi la position de chaque point de données. La
première valeur rencontrée dans la paire équivaut à l’axe des X du point. La seconde
valeur rencontrée équivaut à l’axe des Y du point.
Voici différentes manières d’utiliser un graphique en nuage de points :
m Pour mettre en forme un symbole pour une série de données, reportez-vous à la rubrique « Mise en forme des éléments d’une série de données » à la page 237.
m Pour préciser les réglages s’appliquant aux axes, utilisez la sous-fenêtre Axes de l’Inspecteur des graphiques. Puisque les deux axes de graphiques en nuage de points possèdent des valeurs, les réglages de mise en forme des axes de valeurs s’appliquent aussi
bien à l’axe des X qu’à celui des Y. Chaque axe peut néanmoins posséder son propre
format de nombres. Reportez-vous à la rubrique « Mise en forme de l’axe des valeurs »
à la page 235 pour obtenir des instructions.
Graphiques 3D
Tous les types de graphiques, à l’exception des graphiques en nuage de points,
peuvent être convertis en graphiques 3D.
Voici les versions en 2D et 3D d’un graphique sectoriel.
Et voici les versions en 2D et 3D d’un graphique linéaire.Chapitre 10 Utilisation des graphiques 245
Pour définir des réglages de scène 3D :
1 Sélectionnez un graphique 3D.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre de format, puis sur le bouton Inspecteur
des graphismes et cliquez enfin sur Scène 3D.
3 Modifiez l’angle d’affichage du graphique, son style d’éclairage et sa profondeur à
votre guise, à l’aide des commandes de Scène 3D.
Flèches d’angle d’affichage : faites glisser une des flèches pour affiner l’angle. Cliquez sur
la flèche verticale et faites-la glisser vers le haut ou vers le bas pour déplacer le graphique en conséquence. Cliquez sur la flèche horizontale et faites-la glisser vers la gauche
ou vers la droite pour déplacer le graphique en conséquence. Pour déplacer le graphique dans les deux sens, cliquez à l’intersection des flèches et faites glisser.
Style d’éclairage : sélectionnez un élément dans ce menu local afin d’ajuster l’effet
d’éclairage.
Profondeur du graphique : faites glisser ce réglage pour augmenter ou réduire la profondeur des éléments 3D.11
246
11 Personnalisation de documents
à l’aide de données tirées du
Carnet d’adresses
Le présent chapitre aborde les méthodes permettant d’utiliser des informations relatives aux contacts stockées dans le
Carnet d’adresses et dans des vCards afin de personnaliser
des lettres, des enveloppes ou tout autre document Pages.
De nombreux modèles Pages contiennent des champs de Carnet d’adresses, proposant
ainsi un moyen d’insérer automatiquement des noms, des numéros de téléphone, des
adresses et autres données dans un document. Cette fonction vous permet ainsi de créer
un document (une lettre ou un contrat-type, par exemple) et de le réutiliser ensuite pour
différentes personnes.
Utilisation des champs de Carnet d’adresses
Vous pouvez insérer n’importe quelles données que vous avez définies pour des contacts
du Carnet d’adresses dans des documents Pages. Vous pouvez également ajouter des
données tirées d’une carte de visite virtuelle (appelée vCard) que l’on vous a envoyée.
Cela vous permet de réutiliser une lettre, un contrat, une enveloppe ou autre document
pour plusieurs personnes. Cette caractéristique est parfois appelée fusion de texte.
Lorsqu’un document Pages contient des champs de Carnet d’adresses, les coordonnées
y sont insérées automatiquement. Ces champs identifient quelles données extraire du
Carnet d’adresses ou de la vCard et à quel endroit les placer sur le document.
Un document peut contenir deux types de champs de Carnet d’adresses :
 Un champ d’expéditeur affiche les informations relatives au distributeur du document. Par exemple, une lettre peut comprendre un en-tête utilisant des champs
d’expéditeur afin d’afficher le nom d’une entreprise, son adresse et son numéro
de téléphone.
Pages remplit alors automatiquement les champs d’expéditeur avec les données
tirées de la fiche du Carnet d’adresses intitulée Ma fiche. Vous pouvez cependant
utiliser une autre fiche pour remplir ces champs si vous le souhaitez. Chapitre 11 Personnalisation de documents à l’aide de données tirées du Carnet d’adresses 247
 Le champ de destinataire affiche quant à lui les informations relatives à une personne
prévue pour recevoir le document. Par exemple, vous pouvez utiliser les champs de
destinataire pour insérer le nom d’une personne à plusieurs emplacements d’une
même lettre.
Au moment de personnaliser un document destiné à plusieurs destinataires, vous
pouvez ainsi spécifier un groupe du Carnet d’adresses ou sélectionner plusieurs
fiches individuelles. Pages crée une version distincte du contenu correspondant à
chaque contact. Dans chaque version du document, les mêmes données relatives
à l’expéditeur sont utilisées mais les champs de destinataire sont personnalisés.
Le résultat obtenu peut alors être imprimé ou enregistré dans un nouveau document possédant une section pour chaque contact.
Utilisation des champs de Carnet d’adresses
De nombreux modèles Pages disposent de champs de Carnet d’adresses prédéfinis,
mais vous pouvez également créer vos propres champs de Carnet d’adresses, comme
le décrit la rubrique « Définition de vos propres champs de Carnet d’adresses » à la
page 249.
Lorsqu’un champ de Carnet d’adresses a été défini dans un document Pages, vous
pouvez y insérer les coordonnées de l’expéditeur ou du destinataire.
Insertion des coordonnées de l’expéditeur
Vous pouvez utiliser les données du Carnet d’adresses ou d’une vCard pour personnaliser les champs de l’expéditeur dans vos documents.
Voici différentes manières d’insérer les données de l’expéditeur :
m Ouvrez un document contenant des champs d’expéditeur (un modèle de lettre, par
exemple). Pages y insère automatiquement les données provenant de Ma fiche (dans
le Carnet d’adresses). Si la fiche ne contient aucune des données des champs d’expéditeur, l’étiquette du champ est cependant toujours affichée.
m Si vous souhaitez utiliser des données différentes de celles figurant sur Ma fiche pour
le champ de l’expéditeur, faites glisser une fiche du Carnet d’adresses ou une vCard
vers un champ d’expéditeur du document. Les données de la nouvelle fiche sont alors
appliquées aux champs d’expéditeur du document.
Insertion des coordonnées du destinataire pour un contact
Vous pouvez personnaliser un document pour un destinataire à l’aide d’une fiche
du Carnet d’adresses ou d’une vCard.
Pour insérer les données de destinataire d’un contact, procédez comme suit :
1 Ouvrez un document contenant des champs de destinataire.
2 Sélectionnez la fiche du Carnet d’adresses ou la vCard voulue et faites-la glisser
sur un champ de destinataire. 248 Chapitre 11 Personnalisation de documents à l’aide de données tirées du Carnet d’adresses
Ses coordonnées apparaissent sur tous les champs de destinataire dans l’ensemble
du document. Si la fiche ne contient aucune donnée pour l’un des champs de destinataire, l’étiquette de champ est cependant toujours affichée.
3 Vous pouvez enregistrer ou imprimer le document, si vous le souhaitez.
4 Pour réutiliser le document avec les données d’un autre contact, sélectionnez dans ce
cas la nouvelle fiche et faites-la glisser vers un champ de destinataire. De même, les nouvelles données remplacent alors les données du destinataire insérées lors de l’étape 2.
Insertion des coordonnées du destinataire pour des groupes
du Carnet d’adresses
Vous pouvez personnaliser un document pour plusieurs destinataires à l’aide d’un
groupe du Carnet d’adresses.
Pour insérer des données de destinataire pour tous les contacts faisant partie
d’un groupe du Carnet d’adresses :
1 Ouvrez un document contenant des champs de destinataire.
2 Sélectionnez Édition > « Fusionner les fiches de Carnet d’adresses », puis choisissez
un groupe ou l’option Tout dans le menu local.
Vous pouvez aussi effectuer cette sélection à partir du Carnet d’adresses et la faire
glisser sur un champ de destinataire du document.
3 Dans la zone de dialogue qui apparaît, choisissez Nouveau document dans le menu
local pour créer un nouveau document contenant une section pour chaque contact
du groupe. Sinon, choisissez « Envoyer à l’imprimante » dans le menu local pour imprimer une copie personnalisée du document pour chaque contact du groupe.
Si vous ne souhaitez pas que les informations de contact manquantes soient remplacées
(par exemple, l’adresse du bureau par celle du domicile), désactivez la case à cocher.
Le document d’origine n’est pas affecté par cette fusion. Vous pouvez réutiliser le document pour des fusions ultérieures le cas échéant.
Insertion des données de destinataire des contacts de plusieurs fiches
Vous pouvez personnaliser un document pour plusieurs destinataires en utilisant
plusieurs fiches du Carnet d’adresses.
Pour insérer les données de destinataire des contacts de plusieurs fiches :
1 Ouvrez un document contenant des champs de destinataire.
2 Sélectionnez les fiches du Carnet d’adresses à utiliser et faites-les ensuite glisser sur
un champ de destinataire.
Dans la zone de dialogue qui apparaît, choisissez Nouveau document dans le menu
local pour créer un nouveau document contenant une section pour chaque contact.
Sinon, choisissez « Envoyer à l’imprimante » dans le menu local pour imprimer une
copie personnalisée du document pour chaque contact. Chapitre 11 Personnalisation de documents à l’aide de données tirées du Carnet d’adresses 249
Si vous ne souhaitez pas que les informations de contact manquantes soient remplacées
(par exemple, l’adresse du bureau par celle du domicile), désactivez la case à cocher.
Le document d’origine n’est pas affecté par cette fusion. Vous pouvez réutiliser le document pour des fusions ultérieures le cas échéant.
Utilisation de coordonnées ne figurant ni dans Carnet d’adresses ni
sur une vCard
Vous pouvez utiliser des informations de contact ne figurant ni Carnet d’adresses, ni sur
une vCard pour un champ d’expéditeur ou de destinataire.
Pour insérer des données que vous saisissez dans les champs de Carnet d’adresses :
1 Cliquez sur un champ de Carnet d’adresses et saisissez les données à utiliser. Le champ
de Carnet d’adresses est alors remplacé par le texte saisi.
2 Répétez l’étape 1 autant de fois que nécessaire.
3 Pour conserver la version du document incluant tous les champs de Carnet d’adresses
que vous avez ainsi supprimés, choisissez Fichier > Enregistrer sous, afin d’enregistrer
le document modifié sous un autre nom.
Si vous ne souhaitez pas conserver vos modifications, sélectionnez dans ce cas Édition
> Annuler Frappe pour revenir aux champs d’origine du Carnet d’adresses.
Définition de vos propres champs de Carnet d’adresses
Si vous devez modifier un champ de Carnet d’adresses ou en créer de nouveaux, utilisez la sous-fenêtre Fusionner de l’Inspecteur de lien.
Création d’un champ de Carnet d’adresses
Vous pouvez ajouter un champ de Carnet d’adresses à un document qui pourra ensuite
être remplacé par les coordonnées d’un contact issues de Carnet d’adresses.
Sélectionnez la caté-
gorie décrivant les
données à insérer.
Choisissez le champ de
Carnet d’adresses contenant les données.
Cochez cette case pour
activer le texte sélectionné en tant que champ
de carnet d’adresses.250 Chapitre 11 Personnalisation de documents à l’aide de données tirées du Carnet d’adresses
Pour créer un champ de Carnet d’adresses en utilisant le nom Carnet d’adresses :
1 Ouvrez un document Pages.
2 Placez le point d’insertion à l’emplacement où vous souhaitez faire apparaître le champ
de Carnet d’adresses.
3 Si l’Inspecteur de lien n’est pas ouvert, sélectionnez Insertion > Champ de Carnet d’adresses. Dans le cas contraire, sélectionnez l’option « Activer en tant que champ de Carnet
d’adresses » dans la sous-fenêtre Fusionner de l’Inspecteur de lien. Un paramètre fictif
correspondant au champ du Carnet d’adresses est alors inséré et mis en surbrillance.
4 Dans la sous-fenêtre Fusionner de l’Inspecteur de lien, ouvrez le menu local Type. Sélectionnez la catégorie décrivant le mieux le type de donnée à insérer dans le champ.
5 Dans le menu local Champ, choisissez le nom du champ de Carnet d’adresses correspondant aux données que vous souhaitez insérer dans ce champ. Le texte du paramè-
tre fictif est remplacé par le nom choisi.
6 Cliquez sur Champ de l’expéditeur ou Champ du destinataire pour indiquer le type
de champ de Carnet d’adresses à créer.
Pour créer un champ avec un nom personnalisé, saisissez-le puis sélectionnez le texte
à utiliser comme nom de champ de Carnet d’adresses. Dans l’Inspecteur de lien, sélectionnez « Activer en tant que champ de Carnet d’adresses », choisissez les éléments
appropriés dans les menus locaux Type et Champ, puis cliquez sur Champ de l’expéditeur ou Champ du destinataire.
Modification d’un champ de Carnet d’adresses
Vous pouvez désactiver un champ de Carnet d’adresses, modifier les données du
Carnet d’adresses qu’il utilise, changer un champ du destinataire en champ de l’expéditeur, et bien d’autres choses encore.
Voici différentes manières de modifier un champ de Carnet d’adresses :
m Pour désactiver un champ de Carnet d’adresses, cliquez dessus puis désactivez le
champ « Activer en tant que champ de Carnet d’adresses » se trouvant dans la sousfenêtre Fusionner de l’Inspecteur de lien.
m Pour modifier le champ associé dans Carnet d’adresses, cliquez sur le champ de Carnet
d’adresses de votre document et ouvrez ensuite l’Inspecteur de lien. Dans la sous-fenêtre
Fusionner, cliquez sur le menu local Type ou Champ pour indiquer le nouveau champ.
m Pour modifier un champ d’expéditeur du Carnet d’adresses en champ de destinataire,
et inversement, cliquez dessus et ouvrez l’Inspecteur de lien. Cliquez sur Champ de
l’expéditeur ou sur Champ du destinataire, selon le cas.
m Pour supprimer un champ de Carnet d’adresses, cliquez dessus et appuyez sur la touche Supprimer.Chapitre 11 Personnalisation de documents à l’aide de données tirées du Carnet d’adresses 251
m Si un document utilise un champ du Carnet d’adresses s’appuyant sur des valeurs
professionnelles, personnelles ou d’un autre type, vous avez toujours la possibilité de
basculer d’un type à l’autre en sélectionnant Édition > Choisir l’étiquette d’adresse >
Domicile, Bureau ou Autre.
Modification de l’étiquette d’un champ de Carnet d’adresses
Vous pouvez modifier l’étiquette qui identifie un champ de Carnet d’adresses dans
un document.
Pour modifier l’étiquette d’un champ de Carnet d’adresses :
1 Cliquez sur le champ du Carnet d’adresses dont vous souhaitez modifier l’étiquette.
2 Saisissez la nouvelle étiquette.
3 Sélectionnez-la.
4 Si l’Inspecteur de lien n’est pas ouvert, sélectionnez Insertion > Champ de Carnet
d’adresses. Dans le cas contraire, sélectionnez l’option « Activer en tant que champ
de Carnet d’adresses » dans la sous-fenêtre Fusionner de l’Inspecteur de lien.
5 Dans la sous-fenêtre Fusionner de l’Inspecteur de lien, ouvrez le menu local Type. Sélectionnez la catégorie décrivant le mieux le type de donnée à insérer dans le champ.
6 Dans le menu local Champ, choisissez le champ du Carnet d’adresses relatif aux données à insérer.
7 Cliquez sur Champ de l’expéditeur ou Champ du destinataire pour indiquer le type
de champ de Carnet d’adresses à créer. 12
252
12 Impression et exportation d’un
document vers d’autres formats
Ce chapitre décrit les procédures qui vous permettront
d’imprimer et de partager votre document Pages.
En plus d’imprimer ou de faxer un document, vous pouvez le partager électroniquement. En l’exportant vers d’autres formats de document, vous pouvez collaborer avec
d’autres personnes qui utilisent AppleWorks ou Microsoft Word. Il est possible de convertir un document au format PDF ou de le joindre à une entrée de blog iWeb.
Impression de documents
Pages et Mac OS X offrent des outils permettant d’imprimer tout ou partie d’un document selon diverses présentations et également d’ajuster la couleur du document
imprimé.
Définition de la taille et de l’orientation du papier
Avant d’imprimer, vous devez vous assurer que la taille et l’orientation du papier sont
configurées comme vous le souhaitez. Pour cela, ouvrez la zone de dialogue Format
d’impression.
Pour définir la taille et l’orientation du papier :
1 Choisissez Fichier > Format d’impression.
2 Dans la zone de dialogue Format d’impression, choisissez l’imprimante que vous allez
utiliser dans le menu local Pour.
3 Choisissez une taille de papier standard dans le menu local Taille du papier.
Si vous souhaitez définir une taille de papier personnalisée avec Pages sous
Mac OS X 10.4, passez à l’étape 4.Chapitre 12 Impression et exportation d’un document vers d’autres formats 253
4 Sous Mac OS X 10.4, choisissez « Gérer les tailles personnalisées » dans le menu local
Taille du papier.
Cliquez sur le bouton d’ajout (+), puis saisissez les valeurs dans les champs Taille
de la page.
Choisissez les marges par défaut pour votre imprimante dans le menu local ou saisissez vos propres valeurs de marge dans les champs Gauche, Droite, Haut et Bas.
Si vous voulez modifier le nom attribué à la taille personnalisée, double-cliquez sur
le nom dans la liste et saisissez-en un nouveau.
Cliquez sur OK.
Sélectionnez la nouvelle taille de papier que vous venez de nommer dans le menu
local Taille du papier, puis cliquez sur OK.
5 Sélectionnez une option d’orientation à l’aide d’un des boutons en bas de la zone
de dialogue Format d’impression.
Aperçu du document avant son impression
Pour vous assurer que la disposition est conforme à vos besoins, il est judicieux d’afficher un aperçu du document à l’écran avant de l’imprimer.
Choisissez une imprimante pour
laquelle vous souhaitez définir les
marges de page par défaut.
Supprime une taille
de papier sélectionnée.
Duplique une taille de
papier sélectionnée.
Crée une taille
de papier personnalisée.
Orientation paysage avec
le haut de la page du côté
gauche du papier
Orientation paysage avec le
haut de la page du côté
droit du papier
Orientation portrait
(l’orientation par défaut de
la plupart des modèles)254 Chapitre 12 Impression et exportation d’un document vers d’autres formats
Pour afficher un aperçu du document avant l’impression :
1 Choisissez Fichier > Imprimer, puis cliquez sur le bouton Aperçu dans la zone de dialogue Imprimer.
L’aperçu illustre l’aspect de chaque page d’un document lors de l’impression. Il n’affiche
pas les effets de certaines options de disposition, telles que les bordures. Pour plus d’informations sur les options de disposition, reportez-vous à la rubrique « Configuration de la
disposition d’impression et autres options » à la page 255.
2 Sélectionnez Épreuve-écran dans le coin inférieur gauche de la fenêtre Aperçu afin
de tenir compte des possibilités de votre imprimante. Par exemple, si vous imprimez
un document couleur sur une imprimante noir et blanc, l’option Épreuve-écran affiche
l’aperçu du document en noir et blanc.
3 Cliquez sur Imprimer afin d’imprimer votre document directement à partir de la fenê-
tre Aperçu.
Pour plus d’informations sur l’utilisation de l’aperçu, reportez-vous à l’aide. Choisissez
Aide > Aide Aperçu lorsque la fenêtre Aperçu est active.
Impression de commentaires
Lorsqu’un document Pages contient des commentaires ajoutés par vos soins ou par
une autre personne, vous pouvez faire en sorte qu’ils soient visibles à l’impression.
Reportez-vous à la rubrique « Utilisation de commentaires » à la page 73 pour en savoir
plus sur les commentaires.
Pour imprimer des commentaires :
m Faites apparaître les commentaires en cliquant sur Affichage dans la barre d’outils et
en choisissant Afficher les commentaires, puis imprimez votre document. Les pages à
l’impression sont alors redimensionnées pour permettre d’y inclure les commentaires.
Impression de tout ou partie d’un document
Vous pouvez imprimer un document entier ou une plage de pages sélectionnée sur
une imprimante dont l’accès a été configuré sur votre ordinateur.
Pour imprimer un document complet ou une plage de pages :
1 Choisissez Fichier > Imprimer.
2 Choisissez l’imprimante que vous souhaitez utiliser dans le menu local Imprimante.
Si l’imprimante n’apparaît pas, sélectionnez Ajouter une imprimante dans le menu
local Imprimante.
Pour en savoir plus sur l’ajout d’une imprimante, recherchez « Ajouter une imprimante »
dans l’Aide Mac OS. Pour déterminer l’emplacement de l’imprimante que vous utilisez,
positionnez le pointeur sur le nom de l’imprimante lorsque vous la sélectionnez dans
le menu local Imprimante.Chapitre 12 Impression et exportation d’un document vers d’autres formats 255
3 Tapez le nombre d’exemplaires que vous souhaitez imprimer dans le champ Copies,
puis cochez la case Triées si vous souhaitez imprimer chaque groupe de pages dans
l’ordre avant d’imprimer le groupe suivant. Si vous souhaitez imprimer un lot de pages
1, puis de pages 2, puis de pages 3, etc., désélectionnez la case.
4 Pour imprimer le document entier, sélectionnez Toutes en regard de Pages.
Pour imprimer une plage de pages, sélectionnez De, puis tapez le numéro de la première page dans le champ De, et le numéro de la dernière page dans le champ « à ».
5 Cliquez sur Imprimer.
Configuration de la disposition d’impression et autres options
Le menu local Copies et pages de la zone de dialogue Imprimer offre plusieurs autres
options d’impression, permettant notamment d’imprimer votre document dans l’ordre
inverse, d’imprimer uniquement les pages paires ou impaires, d’imprimer une page de
garde (page de séparation), etc. Vous pouvez également gérer les réglages de couleur,
tel qu’il est décrit dans la rubrique « Ajustement de la couleur du document avec
ColorSync » à la page 256.
Voici différentes manières de définir des options d’impression :
m Pour imprimer les pages du document dans l’ordre inverse, choisissez Gestion du papier
dans le menu local Copies et pages, puis sélectionnez « Inverser l’ordre des pages ».
m Pour imprimer uniquement les pages paires ou impaires, choisissez Gestion du papier dans
le menu local Copies et pages, puis sélectionnez « Pages impaires » ou « Pages paires ».
m Pour imprimer plusieurs pages sur une seule feuille de papier, choisissez Mise en page
dans le menu local situé sous le menu local Préréglages.
Imprimez d’abord de
gauche à droite, puis
vers le bas.
Imprimez les pages d’abord de
droite à gauche, puis vers le bas.
Imprimez les pages d’abord de
haut en bas, puis vers la droite.
Imprimez les pages d’abord de
haut en bas, puis vers la gauche.
Consultez un aperçu
de votre mise en
page.
Sélectionnez les options
d’impression recto verso.
Choisissez un style du trait afin
de séparer les pages imprimées
sur chaque feuille.256 Chapitre 12 Impression et exportation d’un document vers d’autres formats
Choisissez le nombre de pages à afficher sur chaque feuille dans le menu local Page(s)
par feuille. Sélectionnez une orientation, puis choisissez le style de ligne souhaité pour
séparer chaque page imprimée à partir du menu local Bordure.
m Pour imprimer recto-verso, choisissez Mise en page dans le menu local situé sous
le menu local Préréglages, puis sélectionnez une option de reliure.
Reliure côté long : imprime les pages à relier dans la longueur.
Reliure côté court : imprime les pages à relier côté court du papier.
Toutes les imprimantes ne peuvent pas être utilisées en recto verso. Reportez-vous à
la documentation fournie avec l’imprimante.
m Pour enregistrer vos options d’impression en tant que préréglage que vous pourrez
réutiliser par la suite, choisissez Enregistrer sous dans le menu local Préréglages de la
zone de dialogue Imprimer, puis attribuez un nom au préréglage.
Pour utiliser les mêmes paramètres ultérieurement, choisissez le nom du préréglage
dans le menu local Préréglages.
Ajustement de la couleur du document avec ColorSync
Vous pouvez rendre les documents imprimés plus clairs, plus foncés ou leur affecter
une teinte sépia, ou encore ajouter d’autres effets, en ajoutant un filtre Quartz à la sortie de l’imprimante. Le filtre utilise la technologie ColorSync afin de modifier le document imprimé sans modifier le document proprement dit.
Toutes les imprimantes ne peuvent pas imprimer en couleur. Reportez-vous à la documentation fournie avec l’imprimante.
Pour ajuster la couleur d’un document :
1 Choisissez Fichier > Imprimer.
2 Choisissez ColorSync dans le menu local sous le menu local Préréglages dans la zone
de dialogue Imprimer.
3 Choisissez une option dans le menu local Conversion des couleurs.
Standard : utilise les réglages par défaut dans Pages afin de contrôler la gestion des
couleurs du document imprimé.
Par l’imprimante : permet à l’imprimante que vous utilisez de contrôler la gestion des
couleurs du document imprimé.
4 Choisissez une option dans le menu local Filtre Quartz.
Pour afficher un aperçu du document imprimé avec le filtre Quartz que vous avez
choisi, cliquez sur Aperçu.
Après avoir sélectionné le filtre Quartz souhaité, vous pouvez enregistrer ce réglage
dans votre préréglage. Chapitre 12 Impression et exportation d’un document vers d’autres formats 257
Pour plus d’informations sur ColorSync et les filtres Quartz, reportez-vous à l’Aide Utilitaire ColorSync en ouvrant l’application ColorSync (située dans Applications/Utilitaires),
puis en choisissant Aide > Aide Utilitaire ColorSync.
Exportation vers d’autres formats de document
Vous pouvez partager vos documents Pages sous différentes plates-formes en les
exportant sous d’autres formats, tels que Microsoft Word, PDF ou texte. Il est également possible d’enregistrer un document de sorte à pouvoir l’ouvrir dans les versions
iWork ’05 et iWork ’06 de Pages.
Exportation d’un document en vue de son utilisation dans une autre
application
Il est possible d’exporter un document Pages en utilisant les formats PDF, Microsoft
Word, RTF et texte.
Pour exporter un document vers un autre format de fichier :
1 Choisissez Fichier > Exporter.
2 Sélectionnez un format pour votre document, puis cliquez sur Suivant.
3 Attribuez un nouveau nom au document.
4 Choisissez l’emplacement où enregistrer le document.
5 Cliquez sur Exporter.
Vous pouvez exporter un document Pages dans les formats suivants :
 PDF : les fichiers PDF peuvent être générés en utilisant une qualité d’image définie
comme bonne, supérieure ou encore optimale. Lorsque la qualité d’image optimale
est définie, la résolution des images n’est pas réduite. Lorsqu’elle est définie comme
supérieure, les images sont réduites à 150 dpi. Lorsqu’elle est définie comme bonne,
les images sont réduites à 72 dpi. Les images dépourvues de canal alpha sont comprimées au format JPEG avec un taux de compression de 0,7 et 0,9 respectivement
pour les réglages de qualité bonne et supérieure.
Lorsque vous exportez un document Pages vers un ordinateur équipé de Mac OS X 10.4
ou ultérieur, les liens hypertextes sont également exportés. Les liens hypertextes sont
créés dans le document PDF pour les entrées de tables des matières, les notes de bas
de page et de fin de section, les pages web, les messages électroniques et les signets.
Le fichier PDF, qui conserve les polices utilisées dans le document, peut être affiché
ou imprimé dans l’Aperçu, dans Safari sous Mac OS X 10.4 ou ultérieur et modifié au
moyen d’une application PDF.
L’icône de l’utilitaire ColorSync258 Chapitre 12 Impression et exportation d’un document vers d’autres formats
 Word : les fichiers Word peuvent être ouverts et modifiés dans Microsoft Word sur
un ordinateur fonctionnant sous Mac OS X ou sous Windows.
La disposition du texte diffère entre Microsoft Word et Pages. Ainsi, il se peut qu’un
document Word exporté comprenne un nombre différent de pages que son équivalent dans Pages. En outre, il est possible que certaines fonctionnalités typographiques et certains graphismes ne s’affichent pas, en particulier ceux qui utilisent la
transparence (canaux alpha). Il est possible que les dispositions des tableaux et des
colonnes ne soient pas exportées de manière identique, et que les graphiques créés
dans Pages apparaissent sous forme d’images statiques.
 RTF : les fichiers RTF conserve la plupart de la mise en forme du texte et des graphismes. Ces fichiers peuvent être ouverts et modifiés dans un logiciel de traitement
de texte.
 Standard : les fichiers de texte brut peuvent être ouverts et modifiés dans une application d’édition de texte, telle que TextEdit. L’exportation dans un fichier au format
standard (texte) supprime cependant toute mise en forme ainsi que les images qui
sont incluses dans le document.
Enregistrement d’un document sous une version iWork plus ancienne
Vous avez la possibilité d’enregistrer un document Pages qui puisse être ouvert et utilisé avec une version antérieure d’iWork.
Pour enregistrer un document sous une version iWork plus ancienne :
1 Choisissez Fichier > Enregistrer sous, ou bien Fichier > Enregistrer.
2 Saisissez un nouveau nom pour le document dans le champ Enregistrer sous.
3 Choisissez l’emplacement où enregistrer le document.
4 Sélectionnez « Enregistrer une copie sous » et choisissez la version iWork dans
le menu local.
5 Cliquez sur Enregistrer.
Les utilisateurs de la version iWork ’05 de Pages peuvent ouvrir et utiliser le document,
mais ils n’auront pas accès aux nouvelles fonctionnalités d’iWork ’08. Par exemple :
 Les champs de Carnet d’adresses et les commentaires sont supprimés.
 Les notes de bas de page sont converties en notes de fin.
 La figure servant de masque appliqué à une image est remplacée par un masque
rectangulaire.
 Les figures courbes ou polygonales ne sont pas modifiables.
 Les formes personnalisées sont converties en formes.
 Les formules des tableaux sont supprimées et la dernière valeur calculée est alors
affichée.
 La mise en forme de nombres n’est pas prise en charge. La dernière valeur calculée
est donc affichée avec sa mise en forme directement appliquée.Chapitre 12 Impression et exportation d’un document vers d’autres formats 259
 Les graphiques 3D sont convertis en graphiques 2D.
Les utilisateurs des versions iWork ’05 et iWork ’06 de Pages peuvent ouvrir et utiliser
le document, mais ils n’auront pas accès aux nouvelles fonctionnalités d’iWork ’08.
Par exemple :
 Le suivi des modifications n’est pas pris en charge, de sorte que toutes les modifications seront acceptées.
 Les en-têtes et pieds de page d’un document de mise en page ne seront pas exportés s’ils sont masqués.
 Les réglages de colonne différents dans des zones de texte reliées ne sont pas pris en
charge. Seuls ceux de la première zone de texte seront utilisés.
 Les documents de mise en page seront exportés en tant qu’éléments de dessin flottants.
 Les commentaires de texte se trouvant dans une figure ou un tableau seront placés
au niveau supérieur (sur la figure ou le tableau). Les commentaires placés en en-tête
ou en pied de page sont ignorés.
Envoi d’un document Pages à iWeb
Si vous utilisez (ou prévoyez d’utiliser) iWeb pour la création d’un site web, il est
possible d’envoyer un document Pages directement vers votre blog ou podcast
iWeb. Le document se présente alors sous la forme d’une pièce jointe à votre site
web que les visiteurs peuvent télécharger.
Pour envoyer un document à iWeb :
1 Vérifiez qu’iWeb ’08 ou ultérieur est installé.
2 Ouvrez votre document Pages et sélectionnez Fichier > Transférer vers iWeb > PDF
ou bien Fichier > Transférer vers iWeb > Document Pages.
PDF permet de créer une version PDF de votre document.
Document Pages crée une version d’archive de votre document.
3 iWeb s’ouvre (s’il n’est pas déjà ouvert) et vous pouvez choisir un blog ou un podcast
nouveau ou déjà existant et le joindre à votre document. Si seulement un blog ou podcast sont disponibles, le document y est joint.
Lorsque vous publiez votre site web, les visiteurs s’abonnant à votre podcast ou blog
recevront automatiquement les dernières pièces jointes dans leur bibliothèque iTunes
(au format PDF uniquement).
Pour en savoir plus sur l’utilisation d’iWeb pour concevoir et publier des pages web,
ouvrez iWeb et choisissez Aide > Aide iWeb.13
260
13 Conception de modèles
de document
Ce chapitre est destiné aux personnes qui souhaitent créer
leurs propres modèles de document.
Il est recommandé d’être déjà familiarisé avec les fonctionnalités de conception
et de mise en forme de Pages décrites dans les chapitres précédents.
Conception d’un modèle
Les modèles fournis avec Pages donnent des idées pour la mise en page, ainsi que pour
l’aspect des graphiques, des tableaux et du texte. Vous pouvez modifier les attributs
suivants de ces modèles pour créer vos propres modèles :
 Orientation de la page
 Disposition de page et mise en forme de section
 Marges de la page
 Numérotation des pages
 Graphismes en arrière-plan (filigrane)
 Divers styles de texte, notamment le corps de texte, les en-têtes, les pieds de page,
les renvois, etc.
 Styles de table des matières
 Styles de puce et de numérotation
 Remplissages d’objet et styles de lignes pour les objets
 Couleurs et styles des graphismes
 Aspect des tableaux
 Mises en pages de modèles supplémentaires
Même si la création de votre propre modèle peut se résumer à ajouter le logo de votre
société à un modèle existant, vous pouvez également y ajouter des images, modifier le
texte de paramètre fictif ou encore définir de nouveaux styles de texte. Vous pouvez
aussi créer votre propre modèle à partir d’un document vierge.Chapitre 13 Conception de modèles de document 261
Étape 1 : Configuration du document
La première étape consiste à définir la taille et la forme générale du document qui servira de modèle.
Voici différentes manières de configurer des attributs généraux pour un document :
m Définissez la taille et l’orientation du papier.
Déterminez la taille et l’orientation du papier qui seront utilisées pour le document fini.
Par exemple, si vous créez un modèle pour des enveloppes, assurez-vous de bien sélectionner la taille d’enveloppe appropriée (ou de créer une taille personnalisée) avant de
poursuivre la conception du document. Pour en savoir plus sur la définition de la taille
et de l’orientation du papier, reportez-vous à la rubrique « Définition de la taille et de
l’orientation du papier » à la page 252.
m Définissez les marges de la page.
Définissez la zone de texte du corps et les zones de texte des en-têtes et des pieds
de page. Si votre document sera relié, vous pouvez définir différentes marges pour
les pages recto et verso. Les marges du document sont définies dans l’Inspecteur des
documents. Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Définition des marges du document » à la page 44.
m Configurez le format des en-têtes et des pieds de page.
Définissez le texte et les graphismes récurrents que vous souhaitez voir apparaître en
haut ou en bas des pages du document. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation d’entêtes et de pieds de page » à la page 52 pour en connaître les instructions.
m Placez les objets modèles.
Ajoutez des filigranes, des logos ou d’autres images d’arrière-plan de sorte qu’ils apparaissent au même endroit sur chaque page du document. Reportez-vous à la rubrique
« Utilisation d’objets modèles (images d’arrière-plan répétées) » à la page 62 pour en
savoir plus.
m Ajoutez des guides d’alignement
Créez des guides d’alignement pour aider à placer des objets flottants dans la même
position sur différentes pages. Reportez-vous à la rubrique « Création de nouveaux guides d’alignement » à la page 153 pour en connaître les instructions.
Étape 2 : Définition des attributs par défaut
Des valeurs par défaut doivent être définies pour les éléments suivants d’un modèle :
 Styles de paragraphe, de caractère et de liste
 Attributs de table des matières
 Attributs de zone de texte
 Attributs de figure
 Attributs de tableau262 Chapitre 13 Conception de modèles de document
 Attributs de graphique
 Attributs de graphisme importé
Vous pouvez personnaliser ces différents éléments pour le modèle que vous créez,
ou bien utiliser les valeurs par défaut du modèle dont vous êtes parti (y compris le
modèle Vierge et les modèles de canevas vierge).
Définition des styles par défaut
Si vous ne trouvez pas de style de paragraphe, de caractère ou de liste ayant exactement l’aspect désiré dans les modèles Pages, vous pouvez modifier un style existant
ou en créer un nouveau.
Pour obtenir des instructions, reportez-vous aux rubriques « Modification et création de
styles de paragraphe » à la page 135, « Modification et création de styles de caractère »
à la page 139 et « Modification et création de styles de liste » à la page 141.
Définition d’attributs par défaut pour la table des matières
Vous pouvez inclure une table des matières formatée dans votre modèle de traitement
de texte. Pour en savoir plus, reportez-vous à la rubrique « Utilisation d’une table des
matières » à la page 63.
Définition d’attributs par défaut pour les zones de texte et les formes
Les attributs par défaut des zones de texte et des figures déterminent leur couleur,
leur taille et leur orientation la première fois qu’ils sont insérés sur une page.
Pour définir des zones de texte et des figures par défaut :
1 Placez une zone de texte flottante et une figure sur la page. Pour en savoir plus sur
le positionnement d’une zone de texte flottante, reportez-vous à la rubrique « Ajout
d’une zone de texte flottante » à la page 108. Pour en savoir plus sur le positionnement
d’une figure flottante, reportez-vous à la rubrique « Utilisation des objets flottants et
des objets incorporés » à la page 147.
2 Saisissez du texte dans la zone de texte et dans la figure, sélectionnez-le puis configurez
ses attributs. Pour en savoir plus sur la configuration des attributs du texte, reportez-vous
à la rubrique « Mise en forme de la taille et de l’apparence du texte » à la page 80.
3 Sélectionnez la zone de texte et la figure, puis définissez des attributs pour les deux.
Pour en savoir plus, reportez-vous aux rubriques « Modification des objets » à la
page 154 et « Remplissage d’un objet avec de la couleur » à la page 162.
Il n’est pas possible de définir la longueur et l’orientation des lignes dans un modèle.
Les attributs de ligne comme la couleur, l’épaisseur et l’opacité doivent être définis
séparément.
4 Définissez l’ajustement du texte à l’aide de l’Inspecteur d’ajustement. Pour en savoir
plus sur la définition de l’ajustement du texte, reportez-vous à la rubrique « Ajustement
de texte autour d’un objet » à la page 118.Chapitre 13 Conception de modèles de document 263
5 Sélectionnez la figure, puis choisissez Format > Avancé > Définir un style de figure
par défaut.
Sélectionnez la zone de texte, puis choisissez Format > Avancé > Définir un style
de zone de texte par défaut.
6 Supprimez la zone de texte et la figure de la page.
Définition d’attributs par défaut pour les tableaux
Vous pouvez définir des attributs comme le nombre de rangs et de colonnes, les styles
et couleurs de lignes, les styles de texte et les ombres pour le tableau par défaut.
Un tableau est constitué de plusieurs zones de mise en forme, notamment d’un rang d’entête, d’une colonne d’en-tête, de bordures internes et de bordures externes. Pour définir les
attributs du tableau par défaut, vous devez appliquer chaque attribut à l’ensemble d’une
zone de mise en forme. Par exemple, si vous modifiez la mise en forme d’une cellule d’un
rang d’en-tête, la modification n’est pas enregistrée dans le style de tableau par défaut et
vous devrez modifier la mise en forme de toutes les cellules du rang d’en-tête.
Pour définir les attributs par défaut des tableaux :
1 Placez un tableau sur la page. Vous trouverez ces instructions dans « Ajout d’un
tableau » à la page 185.
2 Sélectionnez le tableau, puis définissez ses attributs.
Reportez-vous à la rubrique « Redimensionnement d’un tableau » à la page 188 si vous
désirez modifier les dimensions du tableau.
Reportez-vous à la rubrique « Utilisation des rangs et des colonnes » à la page 202 pour
en savoir plus sur l’ajout et la suppression de colonnes et de rangs et sur la création de
rangs et de colonnes d’en-tête.
Reportez-vous à la rubrique « Utilisation des cellules d’un tableau » à la page 206 pour
en savoir plus sur la division et la fusion de cellules d’un tableau, leur redimensionnement et la mise en forme de leurs bordures.
Reportez-vous à la rubrique « Mise en forme des valeurs de cellule » à la page 196 pour
en savoir plus sur les options de mise en forme des cellules destinées à recevoir des chiffres.
Reportez-vous à la rubrique « Ajout d’images et de couleurs aux cellules » à la page 201
si vous désirez ajouter des graphismes au tableau.
3 Définissez l’ajustement du texte autour du tableau. Reportez-vous à la rubrique
« Ajustement de texte autour d’un objet » à la page 118 pour en connaître les instructions.
4 Choisissez Format > Avancé > Définir un style de tableau par défaut.
5 Supprimez le tableau de la page.264 Chapitre 13 Conception de modèles de document
Définition d’attributs par défaut pour les graphiques
Vous pouvez définir le type par défaut des graphiques (c’est-à-dire le type de graphique qui s’affiche lorsque vous choisissez Insertion > Graphique), ainsi que l’aspect par
défaut de chaque type de graphique. Les attributs par défaut doivent être définis séparément pour chaque type de graphique.
Pour définir le style et la position par défaut des graphiques :
1 Positionnez un graphique sur la page. Reportez-vous à la rubrique « Ajout d’un graphique »
à la page 227 pour en connaître les instructions.
2 Sélectionnez le graphique, puis définissez ses attributs.
Reportez-vous à la rubrique « Sélection d’un type de graphique » à la page 227 pour
savoir comment spécifier un type de graphique.
Reportez-vous à la rubrique « Mise en forme des attributs généraux d’un graphique » à
la page 231 pour savoir comment redimensionner un graphique, le faire pivoter et définir d’autres attributs que les graphiques ont en commun.
Reportez-vous à la rubrique « Mise en forme de types de graphiques spécifiques » à la
page 239 pour savoir comment mettre en forme des graphiques sectoriels, des graphiques à barres et autres types de graphiques.
3 Définissez l’ajustement du texte autour du graphique. Reportez-vous à la rubrique
« Ajustement de texte autour d’un objet » à la page 118 pour en connaître les instructions.
4 Répétez les étapes 1 à 3 pour chaque type de graphique.
5 Sélectionnez les graphiques un par un, puis choisissez Format > Avancé > Définir style
par défaut pour type de format.
6 Sélectionnez le type de graphique que vous souhaitez voir apparaître en premier lorsque vous choisissez Insertion > Graphique, puis choisissez Format > Avancé > Faire de
type de graphique le type par défaut.
7 Supprimez les graphiques de la page.
Définition d’attributs par défaut pour les images importées
Vous pouvez définir les ombres, l’opacité et la couleur du contour (trait) par défaut
des graphismes importés.
Pour définir les attributs par défaut des images :
1 Positionnez une image sur la page. Reportez-vous aux rubriques « Importation d’une
image en tant qu’objet flottant » à la page 174 et « Importation d’une image en tant
qu’objet incorporé » à la page 174.Chapitre 13 Conception de modèles de document 265
2 Sélectionnez l’image, puis définissez ses attributs.
Reportez-vous à la rubrique « Ajout d’ombres » à la page 158 pour savoir comment
ajouter une ombre.
Reportez-vous à la rubrique « Ajustement de l’opacité » à la page 160 pour savoir comment régler la transparence.
Reportez-vous à la rubrique « Modification du style des bordures » à la page 156 pour
obtenir des informations au sujet des bordures autour des images importées.
Reportez-vous à la rubrique « Ajout d’un reflet » à la page 159 pour obtenir des informations au sujet de l’ajout de reflet aux images importées.
Reportez-vous à la rubrique « Objets d’encadrement » à la page 157 pour obtenir des
informations au sujet de l’ajout de bordures graphiques autour des images importées.
3 Définissez l’ajustement du texte autour de l’image. Reportez-vous à la rubrique
« Ajustement de texte autour d’un objet » à la page 118 pour en connaître les instructions.
4 Choisissez Format > Avancé > Définir un style d’image par défaut.
5 Supprimez l’image de la page.
Étape 3 : Création d’un texte de paramètre fictif et de
paramètres fictifs multimédia
Le texte pour paramètre fictif et les paramètres fictifs multimédia modèlent l’aspect
du document fini. Ils fournissent également des instructions pour la personne qui utilise le modèle.
Création de texte de paramètre fictif
Vous pouvez modifier le texte d’un paramètre fictif existant déjà dans un modèle
ou créer votre propre texte.
Voici différentes manières de créer un texte de paramètre fictif :
m Pour modifier le texte d’un paramètre fictif existant, sélectionnez-le, puis choisissez
Format > Avancé > « Activer créat. de texte pour paramètre fictif ». Une fois la modification effectuée, choisissez Format > Avancé > Désactiver la création de texte pour paramètre fictif.
m Pour créer un texte pour paramètre fictif à partir de zéro, saisissez-le sur la page
et mettez-le ensuite en forme à votre guise.
Sélectionnez le bloc de texte que vous souhaitez que les utilisateurs du modèle puissent modifier, en choisissant Format > Avancé > « Déf. comme texte pour paramètre
fictif » pour chaque bloc.266 Chapitre 13 Conception de modèles de document
Lorsque vous sélectionnez des blocs de texte, faites attention à ne pas sélectionner le
caractère de saut de paragraphe final. Ce faisant, vous provoqueriez la suppression du
paragraphe entier lorsque l’utilisateur commence à taper dans la zone de texte de paramètre fictif, et le nouveau texte utiliserait les attributs du paragraphe suivant. Pour visualiser le caractère de saut de paragraphe lorsque vous travaillez sur le document, cliquez
sur Affichage dans la barre d’outils, puis choisissez « Afficher les caractères invisibles ».
Pour supprimer le texte de paramètre fictif, sélectionnez-le puis appuyez sur la touche
Supprimer.
Création de paramètres fictifs multimédia
Lorsque vous faites glisser votre propre image, fichier audio ou séquence vers un paramè-
tre fictif multimédia, vos données multimédia sont automatiquement dimensionnées et
mises en place. Vous pouvez facilement remplacer des données dans le paramètre fictif
multimédia en y faisant glisser un nouveau fichier. Il n’est pas nécessaire de supprimer
d’abord l’ancien fichier.
Pour créer un paramètre fictif multimédia :
1 Ajoutez une image, une séquence ou un fichier audio au document.
Reportez-vous aux rubriques « Utilisation des images » à la page 174, « Ajout d’un
fichier son » à la page 181 et « Ajout d’un fichier de séquence » à la page 182 pour
obtenir des instructions.
2 Sélectionnez l’objet importé et placez-le à l’endroit souhaité dans le document, tel que
décrit dans la rubrique « Déplacement d’objets » à la page 150.
3 Mettez en forme l’objet importé, tel que décrit dans la rubrique « Déplacement d’objets »
à la page 150.
4 Sélectionnez l’objet, puis choisissez Format > Avancé > Définir comme paramètre fictif
multimédia.
Pour supprimer un paramètre fictif multimédia, sélectionnez-le et appuyez ensuite sur
la touche Suppr.Chapitre 13 Conception de modèles de document 267
Étape 4 : Ajout de sections à un modèle
Vous pouvez étendre votre modèle de traitement de texte pour que d’autres utilisateurs puissent y insérer des sections supplémentaires à l’aide du bouton Pages de la
barre d’outils, tel que le décrit la rubrique « Ajout de nouvelles pages modèle » à la
page 78.
Pour créer des sections de modèle que les utilisateurs peuvent ajouter :
1 Créez une disposition d’une ou plusieurs pages, en insérant un saut de section au
début et à la fin de la disposition.
2 Choisissez Format > Avancé > Capturer des pages. Une zone de dialogue s’ouvre.
3 Saisissez un nom pour la section du modèle.
4 Choisissez le nombre de pages à inclure dans la mise en page, à partir du menu local
Inclure.
5 Cliquez sur OK.
6 Supprimez les pages de votre modèle si vous ne voulez pas les intégrer au modèle initial.
Pour réorganiser, renommer ou supprimer des sections de modèle que vous avez
créées, choisissez Format > Avancé > Gérer les pages. Une zone de dialogue s’ouvre.268 Chapitre 13 Conception de modèles de document
Sélectionnez une section. Double-cliquez sur son nom et saisissez un nouveau texte
pour la renommer. Cliquez sur les flèches vers le haut ou vers le bas pour changer la
position d’une section dans la liste. Cliquez sur le bouton de suppression (–) pour
supprimer la section. Cliquez sur Fin lorsque vous avez terminé.
Étape 5 : Enregistrement d’un modèle personnalisé
Vous pouvez enregistrer votre nouveau modèle de sorte qu’il apparaisse dans
le Sélecteur de modèles.
Lorsqu’un utilisateur choisit ce modèle pour créer un nouveau document, celui-ci
s’ouvre exactement sous la même forme que lorsque vous l’avez enregistré. Cela
signifie que vous pouvez choisir de laisser le tiroir Styles ouvert ou fermé, d’afficher
les caractères invisibles, les règles et les marques de disposition, et ainsi de suite.
Pour enregistrer un modèle personnalisé :
1 Choisissez Fichier > Enregistrer comme modèle.
2 Attribuez un nom au modèle.
3 Spécifiez un dossier pour l’enregistrement de votre modèle.
Par défaut, il sera enregistré dans votre dossier de départ dans Bibliothèque/Application Support/iWork/Pages/Modèles/Mes modèles/ et apparaîtra dans la sous-fenêtre
Mes modèles du sélecteur de modèles.
Pour enregistrer le modèle à un autre endroit dans votre dossier de départ, allez dans
Bibliothèque/Application Support/iWork/Pages/Modèles/ et créez un nouveau dossier.
Le nom du dossier est utilisé comme catégorie de modèle dans le sélecteur de modèles.
4 Cliquez sur Enregistrer.
Pour supprimer un modèle personnalisé, localisez dans le Finder le dossier dans lequel
vous l’avez enregistré et faites-le glisser vers la Corbeille. 269
Index
Index
A
affichage des pages
choix des options 19
ancre de commentaire 73
annulation de modifications 36
B
barre d’outils
afficher et masquer 22
ajout d’un élément 22
choix des icônes seules ou du texte seul pour les
outils 23
modification à l’aide des touches Commande et
Contrôle 23
modification de la taille des icônes 23
outils par défaut 22
personnaliser 22
réorganisation des éléments 23
restauration du jeu d’outils par défaut 22
suppression d’éléments 22
C
caractères dans d’autres langues 88
caractères invisibles
affichage 21
symboles 21
caractères spéciaux et symboles
affichage des symboles disponibles 88
insertion 89
utilisation du Visualiseur de clavier pour
rechercher 88
cellules de tableau
agrandissement pour contenir les données 195
ajout et modification de contenu 193
contrôle des valeurs de cellule 200
définition de règles 200
division en parts égales 207
fusion de cellules adjacentes en une seule 206
mise en forme de bordures 207
mise en forme des nombres 197
mise en forme des valeurs de cellule 196
redimensionner 195
remplissage automatique 201
sélection 190
sélection d’un groupe de cellules 191
sélection de bordures 192
tri 209
utilisation des dates 195
utilisation du texte 194
colonnes
définition de sauts de colonne 48
déplacement vers la page suivante 47
modification de la largeur 47
réglage de l’espace autour des marges
extérieures 47
utilisation de plusieurs 48
commentaires
afficher et masquer 74
impression 74
insertion 74
mise en forme 74
modification 74
suppression 74
conception de document 39
D
disposition
ajout d’éléments à 39
application d’un arrière-plan 39
définition d’en-têtes et de pieds de page pour les
pages opposées 50
définition de colonnes 47
définition de marges 49
définition de marges pour les pages opposées 50
définition de sauts de colonne 48
définition de sauts de disposition 48
insertion de sauts de disposition 48
modification 39270 Index
utilisation de pages différentes à gauche et à
droite 50
visualisation de pages opposées 51
document
choix d’un modèle 16
création 32
définition de l’orientation et de la taille de la
page 252
définition de marges 44
disposition de la page 44, 46, 47
ouverture d’un document existant 34
traitement de texte 44, 46, 48, 49
E
Éditeur de formules 216
enregistrement
avec des images modèles 36
copie de document 37
en tant que document iWork ’05 35
en tant que modèle 37
version de sauvegarde 37
exportation de fichier
au format iWork ’05 ou iWork ’06 258
au format texte 258
en tant que document Microsoft Word 258
en tant que document RTF (rich text format) 258
en tant que fichier PDF 257
F
fenêtre Ajuster l’image 179
fenêtre Avertissements 29
fenêtre Couleurs 163
fenêtre Inspecteur 24
fenêtre Typographie 90
fermeture d’un document 38
fichiers multimédias
ajout d’une séquence 182
ajout de son 181
fichiers PDF
création dans AppleWorks 180
création dans Excel 180
utilisation en tant qu’images 180
figure en forme d’étoile
ajout 165
modification 171
figure en forme de polygone
ajout 165
modification 172
figures
ajout de figures personnalisées 166
ajout de figures prédessinées 165
conversion de points angulaires en points
courbes 170
insertion de texte dans 114
manipulation de points 168
modifiables 168
modification 170
modification du tracé d’une courbe 169
modification du tracé d’un segment droit 169
utilisation de l’outil de dessin 166
utilisation en tant que masques 176
utilisation pour faire ressortir le texte 108
flèches
ajout de figures prédessinées 166
modification 171
Format, menu
modification de la taille et de l’apparence du
texte 81
formats multimédias pris en charge 181
formules
ajout d’une formule à plusieurs cellules 219
ajout d’une formule rapide 214
ajout de nouvelles formules 216
calcul d’opérations arithmétiques 220
calcul élémentaire avec des valeurs d’une même
colonne 214
calcul élémentaire avec des valeurs d’un même
rang 215
enregistrement ou annulation des
modifications 217
fonctions 222
modification 217
opérateurs 220
suppression 215
utilisation de références de cellules 217
G
graphiques
affichage des axes et des bordures 233
afficher et masquer une légende 231
ajout d’étiquettes et de marques d’axe 233
ajout de graphiques fixes ou incorporés 227
ajout de texte descriptif 238
ajouter 227
choix d’un type de graphique 227
copie de données dans 230
interprétation des séries de données 225
mise en forme 239
mise en forme d’éléments d’une série de
données 237
mise en forme d’étiquettes, de titres et de
légendes 238
mise en forme de l’axe des valeurs 235Index 271
mise en place d’étiquettes de quadrillage et de
marques de graduation 236
modification d’un type de graphique 228
modification de données 229
redimensionnement 232
repositionnement d’une légende 232
rotation 232
utilisation des rangs et des colonnes 202
graphiques 3 D
définition de réglages de scène 245
modification de l’angle d’affichage 245
graphiques à barres et à colonnes
ajout d’ombres 242
réglage de l’espacement 241
réglage de l’opacité 242
graphiques à couches et linéaires
ajout d’ombres 243
graphiques en nuage de points
ajustage des réglages de tracé et de remplissage
pour les symboles de point de
données 244
définition des réglages d’axe 244
mise en forme de symboles 244
graphiques linéaires et à couches
définition de la couleur de ligne 243
mise en forme de symboles 243
graphiques sectoriels
affichage de noms de séries dans 239
ajout d’ombres 240
éloignement de portions individuelles 240
réglage de l’opacité 241
rotation 241
sélection de portions individuelles 239
guides d’alignement
création de nouveaux guides 153
modification de l’affichage des 153
utilisation 152
guillemets courbes 89
I
images
histogramme 178
importation en tant qu’objets flottants 174
importation en tant qu’objets incorporés 174
instantané Alpha 177
introduction à l’intérieur d’un objet 164
masquage (rognage) 175
mise à l’échelle 164
mosaïque 164
niveaux automatiques 178
réglage de l’exposition 178
réglage de la luminosité 178
réglage de la netteté 178
réglage de la saturation 178
réglage de la température 178
réglage du contraste 178
suppression de l’arrière-plan ou d’éléments
superflus 177
teinte 164
utilisation de fichiers PDF en tant que
graphismes 180
importation d’un fichier
à partir d’autres applications 34
en le faisant glisser 34
formats de fichier pris en charge 34
via le menu 34
impression
aperçu avant 253
configuration de la disposition d’impression 255
configuration de la page 255
d’une plage de pages spécifiée 254
document 252
en faisant apparaître les commentaires 254
options 255
réglage de la couleur du document à l’aide de
ColorSync 256
Inspecteur d’ajustement 119
Inspecteur de disposition 43
Inspecteur de lien 116, 117, 118
Inspecteur des documents 42
Inspecteur des graphismes 187, 237
Inspecteur des mesures 153, 154, 155
Inspecteur des tableaux 185
Inspecteur du texte 92
Inspecteur QuickTime 182
Inspecteurs
ouverture 24
ouverture multiple 24
utilisation pour la mise en forme 24
L
liens
signets 117
types de lien 115
vers une page web 116
vers un message électronique préadressé 116
liens hypertextes
modification 118
vers une page spécifique 117
lissage de police 91
listes
à puces 104
création et modification de styles de liste 141
définition de retraits pour 103272 Index
génération automatique 103
modification d’un style de liste à numérotation
progressive 144
modification du style des listes à puces 104
modification du style des listes numérotées 105
numérotées 105
ordonnées (structure) 107
M
menus locaux 30
mise en forme du texte
création d’ombres 87
modification de l’alignement horizontal du
texte 91
modification de l’alignement vertical du texte 91
modification de la casse 83
modification de la couleur 86
modification de la couleur d’arrière-plan du
paragraphe 112
modification de la marge intérieure 103
modification de la taille et de l’apparence 80
réglage de l’écart des caractères 96
réglage de l’espacement entre les
paragraphes 95
réglage de l’interligne 94
réglage du retrait des paragraphes 101
répartition en colonnes 47
modèles
ajout de nouvelles pages 78
choix 16
disposition de la page 31, 32
enregistrement 37, 268
suppression de pages 79
traitement de texte 31
modèles personnalisés
ajout de sections 267
conception 260
configuration du document à utiliser 261
création de paramètres fictifs de texte 265
création de paramètres fictifs multimédia 266
définition d’attributs par défaut 261
enregistrement 268
N
navigateur de média 25
navigation
défilement des pages 28
jusqu’à une page particulière 29
utilisation du clavier 29
niveau de zoom
contrôle Afficher 19
menu Afficher 19
modification 19
nombres
format Date et heure 199
format monétaire 198
format pourcentage 198
format scientifique 199
mise en forme des nombres 197
note de fin
suppression 54
notes de bas de page
ajout et modification 52
basculer entre marque et note 55
conversion en notes de fin 54
définition des marques utilisées 55
mettre en forme 55
modification des marques utilisées 56
numérotation 55
réinitialisation de la numérotation 56
notes de fin
ajout et modification 52
à la fin d’un document 53
à la fin d’une section 54
basculer entre marque et note 55
conversion en notes de bas de page 54
définition des marques utilisées 55
mise en forme 55
modification des marques utilisées 56
numérotation 55
réinitialisation de la numérotation 56
numéros de page
ajout 121
mise en forme 121
O
objets
ajout d’ombres 158
ajout de couleurs et de dégradés de couleurs 162
ajouter d’un reflet 159
ajustement du texte 118
alignement 151
arrière-plan 151
cadre 157
copie 149
déplacement 150
distribution uniforme sur la page 152
duplication 149
faire pivoter 155
modification 154
modification de l’ordre d’empilement 151
modification du style des bordures 156
positionnement 153
redimensionnement 154Index 273
réglage de l’opacité 160
regroupement et dissociation 161
retournement 155
sélection et désélection 148
suppression 150
verrouillage et déverrouillage 161
objets flottants
conversion en objets incorporés 148
utilisation 147
objets incorporés
conversion en objets flottants 148
utilisation 147
objets modèles
affichage 62
ajout d’un filigrane 62
ajout d’un logo 62
utilisation d’une image d’arrière-plan 62
opérateurs
arithmétiques 221
comparaison 222
outil de dessin 166
P
Palette de caractères 89
paragraphes
éviter les lignes veuves et orphelines 46
maintien d’un paragraphe entier sur la même
page 45
regroupement de paragraphes sur une page 45
paramètres fictifs
dans les colonnes 77
dans les tableaux 77
multimédias 172
texte 76
utilisation 76
zones de texte 76
paramètres fictifs multimédias 172
personnalisation de documents
définition d’une étiquette de champ de Carnet
d’adresses 249
définition de champs de Carnet d’adresses 247
insertion des données de l’expéditeur 247
insertion des données du destinataire 247
utilisation de champs de Carnet d’adresses 249
utilisation de données ne figurant ni dans Carnet
d’adresses ni sur une vCard 249
Police, panneau
modification de la taille et de l’apparence du
texte 83
polices 25
Préférences 19, 21, 34, 37, 88, 89, 91, 97, 103, 116,
122, 150, 153
R
raccourcis clavier
affichage d’une liste de raccourcis dans l’aide 30
utilisation 30
recherche de mots et d’expressions
recherche et remplacement (avancé) 126
recherche et remplacement (simple) 126
toutes les occurrences 126
Rechercher et remplacer, zone de dialogue 126
rectangle, aux coins arrondis
ajout 165
rectangle aux coins arrondis
modification 170
règle
affichage et masquage 97
utilisation pour définir des retraits 102
S
saut de ligne 44
saut de page
commencer un paragraphe sur une nouvelle
page 45
insertion 44
sections
création 57
définition d’attributs 59
définition de marges de section 61
gestion à l’aide de la présentation en
vignettes 58
mise en forme de pages opposées 61
réinitialisation des numéros de page dans des 60
réutilisation 61
Spotlight 30
styles
appliquer 131
copie et collage 134
création de nouveaux styles de caractère 141
création de nouveaux styles de paragraphe 138
importer 132
modification 141, 144, 145
rechercher et remplacer 134
renommer 146
substitution 133
types disponibles 129
suivi des modifications
acceptation et rejet des modifications 72
démarrage, pause et arrêt 70
édition avec 67
T
tableaux274 Index
ajout 185
ajout d’images 201
ajout de bandes de couleur aux rangs 206
ajout de colonnes 203
ajout de couleurs d’arrière-plan 206
ajout de rangs 202
conversion d’un tableau en texte 189
création d’un rang de bas de page 205
création d’un rang ou d’une colonne d’entête 204
déplacement 188
redimensionnement 188
redimensionnement des rangs et des
colonnes 205
sélection 190
sélection d’un rang ou d’une colonne 191
suppression de rangs et de colonnes 203
tri 209
utilisation des rangs et des colonnes 202
table des matières
ajout de lignes pointillées 65
création 63
mise à jour après révisions 63
mise en forme 65
taquets de tabulation
modification à l’aide de la règle 97
supprimer 97, 99
taquets de tabulation ajout et modification
97, 99
taquets de tabulation définition d’une distance par
défaut entre eux
97, 99
texte
ajout 75
conversion en tableau 189
copier 79
sélection 80
supprimer 79
texte à puces
ajout de 104
réorganisation et modification 105
types de fichier de séquence pris en charge 181
types de fichier son pris en charge 181
typographie
modification de la casse 90
modification de la ligne de base 90
modification du crénage 90
utilisation des ligatures 90
V
vérification orthographique
à partir de l’emplacement du point
d’insertion 123
d’un texte sélectionné 123
lors de la frappe 123
utilisation des suggestions de correction
orthographique 124
Visualiseur de clavier 87
volet Styles 27
Z
zones de texte
ajout de zone de texte flottante 108
ajout de zones de texte incorporées 109
liaison 110
utilisation pour faire ressortir le texte 108
Apple Computer, Inc. Tous droits réservés. Vos droits sur le logiciel sont définis par le contrat de licence l’accompagnant. Le propriétaire ou l’utilisateur autorisé d’une copie valide du logiciel Final Cut Studio a le droit de reproduire la présente publication à des fins d’apprentissage dudit logiciel. Il est interdit de reproduire ou de transmettre tout ou partie de la présente publication à des fins commerciales, par exemple pour vendre des copies de ladite publication ou fournir un service d’assistance payant. Le logo Apple est une marque d’Apple Inc. déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. En l’absence du consentement écrit d’Apple, l’utilisation à des fins commerciales de ce logo via le clavier (Option + 1) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Tous les efforts possibles ont été faits pour assurer l’exactitude des informations qui figurent dans ce manuel. Apple n’est pas responsable des erreurs d’écriture ou d’impression. Remarque : étant donné qu’Apple commercialise fré- quemment de nouvelles versions et mises à jour de son logiciel système, de ses applications et de ses sites Internet, les illustrations du présent ouvrage peuvent différer légèrement de ce qui s’affiche sur votre écran. Apple Inc. 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014-2084 408-996-1010 www.apple.com Apple, le logo Apple, DVD Studio Pro, Final Cut, Final Cut Pro, FireWire, LiveType, Mac, Macintosh, Mac OS, QuickTime et Shake sont des marques d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Cinema Tools et Finder sont des marques d’Apple Inc. Les autres noms de sociétés ou de produits mentionnés ici sont des marques de leurs détenteurs respectifs. L’évocation de produits tiers est faite à titre informatif uniquement et ne constitue ni une approbation ni une recommandation. Apple décline toute responsabilité concernant les performances et l’utilisation de ces produits. 3 1 Table des matières Préface 9 Color Documentation et ressources 9 Nature de Color ? 10 Utilisation de la documentation de Color 11 Sites web Color 11 Site web de service et d’assistance Apple Chapitre 1 13 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) 13 Définition de l’étalonnage 17 Quand se déroule le processus d’étalonnage ? 24 Étalonnage dans Color 26 Normes d’encodage des images 31 Concepts de base liés aux couleurs et à l’imagerie Chapitre 2 39 Flux de production de l’étalonnage 40 Aperçu du flux de production Color 42 Limitations de Color 44 Flux de production pour la finalisation de la vidéo à l’aide de Final Cut Pro 53 Importation de projets à partir d’autres applications de montage vidéo 57 Utilisation de Color dans un flux de production intermédiaire numérique 66 Utilisation des listes de montage, du timecode et des numéros d’images pour la conformation des projets Chapitre 3 69 Utilisation de l’interface Color 70 Configuration d’une surface de contrôle 70 Utilisation des contrôles d’écran 75 Navigateurs et chutiers pour organiser les fichiers 82 Utilisation de Color avec un ou deux écrans Chapitre 4 83 Importation et gestion de projets et de données 84 Création et ouverture de projets 85 Enregistrement de projets et d’archives 89 Transfert de projets entre Final Cut Pro et Color 94 Reconformation de projets 95 Importation de listes de montage (EDL)4 Table des matières 97 Exportation de listes EDL 98 Rétablissement du lien avec les données QuickTime 99 Importation de données directement dans le plan de montage 99 Formats de données compatibles 104 Conversion de séquences d’images Cineon et DPX au format QuickTime 105 Importation des corrections de couleurs 106 Exportation d’images JPEG Chapitre 5 107 Setup (Configuration) 108 Le navigateur de fichiers 109 Le navigateur de plans 115 Chutier des jeux d’étalonnage 115 Onglet Project Settings 121 Onglet Messages 12 2 Onglet User Preferences Chapitre 6 133 Contrôle 133 Fenêtre Scopes 135 Contrôle de la sortie vidéo de diffusion 13 8 Utilisation des tables de conversion d’affichage 143 Contrôle du magasin d’images fixes (Still Store) Chapitre 7 145 Lecture, navigation et modification du plan de montage 146 Principaux éléments de l’interface utilisateur du plan de montage (Timeline) 148 Personnalisation de l’interface du plan de montage 149 Utilisation des pistes 151 Sélection du plan actuel 151 Lecture dans le plan de montage 154 Navigation à l’intérieur du plan de montage 156 Sélection de plans dans le plan de montage 157 Utilisation des jeux d’étalonnage dans le plan de montage 158 Onglets de réglages 160 Contrôles et procédures de montage Chapitre 8 167 Vidéoscopes 168 Quels sont les vidéoscopes disponibles ? 171 Options des vidéoscopes 173 Analyse d’images par le biais de vidéoscopes Chapitre 9 191 Primary In 192 Objectifs de l’utilisation du studio Primary In 195 Utilisation des commandes de contraste Primary 197 Réglage du contraste dans les zones d’ombres, de tons intermédiaires et de hautes lumièresTable des matières 5 209 Utilisation des commandes Color Balance 213 Description détaillée des corrections des ombres, des tons intermédiaires et des hautes lumières 220 Commandes Curves 233 Onglet Basic 237 Onglet Advanced 239 Auto Balance Chapitre 10 241 Secondaries 242 Fonctions du studio Secondaries 243 Premiers pas 244 Choix de la région à corriger à l’aide des qualificateurs HSL 252 Onglet Previews 254 Isolement d’une zone à l’aide des commandes de vignette 261 Ajustement des parties interne et externe de la sélection 263 Utilisation des courbes secondaires 268 Commandes de réinitialisation Chapitre 11 269 Color FX 270 L’interface Color FX 270 Utilisation de Color FX 272 Création et connexion de nœuds 274 Ajustement des paramètres des nœuds 276 Omission de nœuds 276 Création d’effets dans le studio Color FX 282 Utilisation de Color FX avec des plans entrelacés 283 Enregistrement des effets préférés dans le chutier Color FX 284 Guide de référence des nœuds Chapitre 12 295 Primary Out 296 Utilisation du studio Primary Out 296 Apport de corrections supplémentaires à l’aide du studio Primary In 297 Présentation du processus de traitement de l’image 298 Utilisation des commandes de plafonnement Chapitre 13 299 Gestion des corrections et des jeux d’étalonnage 300 Différence entre les corrections et les jeux d’étalonnage 300 Enregistrement et utilisation de corrections et de jeux d’étalonnage 305 Application de corrections et de jeux d’étalonnage enregistrés à des plans 306 Gestion des jeux d’étalonnage dans la Timeline 309 Utilisation des boutons « Copy to » dans les studios Primary 311 Utilisation des commandes Copy Grade et Paste Grade 312 Définition d’un jeu d’étalonnage parfait dans la Timeline 312 Désactivation de tous les jeux d’étalonnage6 Table des matières 313 Gestion des jeux d’étalonnage dans le navigateur de plans 320 Utilisation de tous les studios Primary, Secondary et Color FX pour gérer les corrections de chaque plan Chapitre 14 323 Images clés 323 Objectifs de l’animation d’un effet avec des images clés 324 Fonctionnement de l’animation avec des images clés dans les différents studios 326 Utilisation d’images clés dans la Timeline 329 Interpolation d’images clés Chapitre 15 331 Studio Geometry 332 Navigation dans l’aperçu d’image 332 Onglet Panscan 337 Onglet Shapes 345 Onglet Tracking Chapitre 16 355 Magasin d’images fixes (Still Store) 356 Enregistrement d’images dans le Still Store 357 Enregistrement des images du Still Store dans de sous-répertoires 358 Retrait d’images du Still Store 358 Rappel d’images du Still Store 359 Personnalisation de la vue du Still Store 359 Contrôles du chutier Still Store Chapitre 17 361 File d’attente de rendu 361 À propos du rendu dans Color 362 Quels effets sont rendus par Color ? 363 L’interface de la file d’attente de rendu 365 Mode de rendu des plans dans votre projet 367 Rendu de plusieurs jeux d’étalonnage pour chaque plan 368 Commande Gather Rendered Media Annexe A 371 Étalonnage de votre moniteur 371 À propos de la mire 371 Étalonnage des moniteurs avec la mire Annexe B 375 Raccourcis clavier 375 Raccourcis clavier relatifs aux projets 376 Changement de studio et de fenêtre 376 Lecture et navigation 377 Raccourcis liés aux jeux d’étalonnage 377 Raccourcis clavier relatifs à la Timeline 378 Raccourcis clavier de montage 378 Raccourcis clavier relatifs aux images clésTable des matières 7 378 Raccourcis relatifs au navigateur de plans 379 Raccourci disponible dans le studio Geometry 379 Raccourcis relatifs au magasin d’images fixes 379 Raccourcis relatifs à la file d’attente de rendu Annexe C 381 Configuration d’une surface de contrôle 382 Surfaces de contrôle JLCooper MCS-3000, MCS-Spectrum, MCS-3400 et MCS-3800 387 Surface de contrôle Tangent Devices CP100 389 Surface de contrôle Tangent Devices de la gamme CP200 394 Personnalisation de la sensibilité des surfaces de contrôle Index 395 9 Préface Documentation et ressources de Color Bienvenue dans le monde de l’étalonnage professionnel de film et de vidéo à l’aide de Color. Nature de Color ? Color a été conçu dès le départ comme un environnement d’étalonnage (ou de « correction de couleurs ») riche en fonctionnalités, à même de s’intégrer de façon idéale dans une large gamme de flux de post-production, que votre projet relève de la définition standard, de la haute définition ou de l’intermédiaire numérique 2K. Si vous avez déjà monté un programme à l’aide de Final Cut Pro, il est extrêmement simple de l’envoyer à Color pour étalonnage, puis de le renvoyer à Final Cut Pro pour la sortie finale. Mais il est également tout à fait faisable de reconformer des projets dont les sources sont des listes de points de montage (listes EDL, Editing Decision List) issues d’autres environnements de montage. Color dispose de tous les outils dont les professionnels de la couleur ont besoin, à savoir :  Étalonnage primaire par balance des couleurs et action sur le contraste au travers des ombres, des tons intermédiaires et des hautes lumières  Utilisation de courbes pour ajustement fin des canaux de luminance et de chrominance  Jusqu’à huit opérations d’étalonnage secondaire par plan, avec qualificateurs HSL, vignettes, formes utilisateur et réglage séparé des parties interne et externe de chaque cache secondaire  Effets Color FX à nœuds arborescents pour la création d’effets de couleur personnalisés  Effets de panoramique Panscan  Suivi d’animation permettant d’animer vignettes, formes utilisateur et d’autres effets  Application de contraintes légales de diffusion pour garantir le respect de la réglementation  Prise en charge de surfaces de contrôle propres à l’étalonnage  Et de nombreuses autres fonctionnalités10 Préface Documentation et ressources de Color Tous ces outils sont répartis dans huit « studios » de l’interface utilisateur de Color, qui sont présentés dans l’ordre correspondant à la façon de travailler de la plupart des coloristes. Vous pourrez utiliser Color pour étalonner, équilibrer et « habiller » d’effet stylisés chaque plan de votre programme, dans le cadre de la dernière étape de votre flux de post-production. Vous pourrez ainsi donner donnerez ainsi à vos programmes un aspect finalisé et professionnel qui n’était jusqu’ici accessible qu’au travers de maté- riels très coûteux. Utilisation de la documentation de Color La documentation fournie avec Color se compose d’un Guide de configuration imprimé et d’un manuel de l’utilisateur électronique. Guide de configuration de Color Le Guide de configuration de Color contient des extraits du manuel de l’utilisateur électronique, qui vous feront comprendre de quelle façon Color s’intègre à différents flux de post-production et qui vous aideront à configurer les paramètres de projet et les préfé- rences utilisateur de Color en fonction de vos besoins. Si vous venez d’installer Color et si vous voulez savoir comment configurer votre système pour l’utiliser de façon efficace, commencez par lire ce guide. Color Manuel de l’utilisateur à l’écran Le manuel de l’utilisateur de Color, accessible via le menu Aide, contient toutes les informations utiles sur le logiciel. Il est destiné aux utilisateurs de tous niveaux.  Les monteurs et spécialistes d’autres aspects de la post-production qui n’ont pas d’expérience du processus d’étalonnage pourront, grâce à ces informations, mettre le pied à l’étrier et consulter des explications détaillées sur le fonctionnement et la justification de toutes les commandes.  Les coloristes venant à Color en ayant déjà l’expérience d’autres environnements d’étalonnage peuvent sauter les premiers chapitres pour aller directement aux informations détaillées sur le fonctionnement de Color et sur chaque paramètre accessible dans chaque studio de l’interface utilisateur de Color. Remarque : le manuel de l’utilisateur à l’écran reprend toutes les informations fournies dans le Guide de configuration de Color, sous une forme permettant toutes les recherches et avec des illustrations en couleur. Guides d’initiation Vous disposez aussi d’une collection de guides d’initiation sur DVD-ROM qui vous permettront d’être rapidement opérationnel dans votre utilisation de Color. Ces guides d’initiation vous initient à chaque grande zone de l’interface utilisateur et constituent un bon moyen d’avoir une vue d’ensemble de toutes les fonctions avant de vous plonger dans le manuel de l’utilisateur.Préface Documentation et ressources de Color 11 Sites web Color Les sites web ci-après proposent des informations générales, des mises à jour et des informations techniques sur Color, ainsi que les nouvelles, ressources et supports de formation les plus récents. Pour en savoir plus sur Color, consultez le site suivant :  http://www.apple.com/fr/finalcutstudio/color Pour en savoir plus sur le programme Apple Pro Training, consultez le site (en anglais) :  http://www.apple.com/fr/software/pro/training Pour nous faire parvenir vos commentaires sur Color, consultez la page suivante :  http://www.apple.com/fr/feedback/color.html Site web de service et d’assistance Apple Le site web de service et d’assistance Apple propose des mises à jour de logiciels et des réponses aux questions le plus fréquemment posées sur tous les produits Apple, y compris Color. Sur ce site, vous aurez aussi accès aux caractéristiques techniques complètes des produits, aux documentations de référence et à des articles techniques sur les produits Apple :  http://www.apple.com/fr/support Pour une assistance propre à Color, consultez la page suivante :  http://www.apple.com/fr/support/color1 13 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) Pour mieux vous familiariser avec le fonctionnement du logiciel Color, il est important de cerner le processus d’étalonnage (ou correction de couleurs) global et la façon dont les images sont travaillées en postproduction, dans le cours des flux de travaux appliqués aux films et vidéos SD et HD. Si vous êtes nouveau dans l’étalonnage, la première partie de ce chapitre va vous fournir des informations générales sur les flux d’étalonnage pour vous aider à mieux comprendre le mode d’exécution de Color. La deuxième partie explique les concepts clés de couleur et d’imagerie qui sont importants pour le fonctionnement de l’interface Color. Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  Définition de l’étalonnage (p. 13)  Quand se déroule le processus d’étalonnage ? (p. 17)  Étalonnage dans Color (p. 24)  Normes d’encodage des images (p. 26)  Concepts de base liés aux couleurs et à l’imagerie (p. 31) Définition de l’étalonnage Dans tout travail de postproduction, l’étalonnage constitue généralement l’une des dernières étapes de finalisation d’un programme monté. Le logiciel Color a été créé pour vous permettre de contrôler précisément l’apparence de chaque plan de votre projet. Il fournit en effet des outils flexibles et un espace de travail performant servant au réglage du contraste, de la couleur et de la géométrie de chaque plan de votre programme.14 Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) Objectifs de l’étalonnage Lorsque vous étalonnez un programme donné, vous êtes amené à effectuer une grande partie, voire la totalité, des tâches décrites dans cette section. Color fournit un ensemble de fonctions extrêmement complètes vous permettant d’accomplir toutes ces opérations et bien d’autres encore. Chaqun sait que la quantité de travail consacrée à une session d’étalonnage est généralement limitée par le temps et, pour vous permettre d’aller aussi loin que possible dans ce processus, l’interface d’étalonnage dédiée de Color permet un travail rapide et efficace. Concepts de base Tout contenu (ou « programme ») requiert que vous exécutiez au moins les opérations pré- sentées ci-dessous. Avec de l’entraînement, vous pourrez accomplir la plupart d’entre elles au moyen des principaux outils d’étalonnage (pour en savoir plus, consultez le chapitre 1, « Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) », à la page 13).  S’assurer que les éléments clés de votre programme ont l’apparence souhaitée : chaque scène de votre programme possède des éléments clés auxquels le spectateur prête une attention toute particulière. Dans une vidéo narrative ou documentaire, l’attention va vraisemblablement se porter sur les individus présents dans chaque plan. Dans une publicité, l’élément clé sera sans aucun doute le produit (par exemple, l’étiquette figurant sur une bouteille ou la couleur d’une voiture). Quels que soient ces éléments clés, il est très possible que vous-même ou votre public ayez certaines attentes quand à leur apparence et c’est à vous de faire en sorte que les couleurs du programme correspondent à celles du plan d’origine. Lorsque vous utilisez des plans de personnes, un des principes de base de l’étalonnage est de veiller à ce que leur teint dans le programme ait le même aspect (ou une meilleure apparence) que dans la réalité. Quel que soit l’ethnie ou le teint, les couleurs de peau des êtres humains mesurées objectivement avec un oscilloscope vectoriel sont plus ou moins comprises dans la même plage (même si la saturation et la luminosité varient). Color fournit les outils permettant d’apporter toutes les retouches nécessaires pour que les couleurs de peau des personnages de votre montage final aient l’aspect souhaité.  Corriger les erreurs de balance des couleurs et d’exposition : tout d’abord, l’exposition ou la balance des couleurs des images obtenues numériquement (qu’elles soient tournées sur une caméra vidéo analogique ou numérique, ou bien encore transfé- rées à partir d’une pellicule) n’est souvent pas optimale. Par exemple, un grand nombre de caméscopes et de caméras de cinéma numériques enregistrent délibérément les noirs ne correspondant pas tout à fait à un taux de 0 pour cent de façon à éviter d’écraser inutilement des données de façon intempestive. Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) 15 En outre, des accidents peuvent se produire lors de n’importe quel tournage. Par exemple, la balance des couleurs du film utilisé par l’équipe de tournage n’était peut-être pas adaptée aux conditions de tournage ou un membre de l’équipe a peut-être oublié de régler la balance des blancs de la caméra vidéo avant de filmer un entretien dans un bureau éclairé par des lumières fluorescentes, ce qui produit des images aux teintes verdâtres. Color permet de corriger facilement ces types d’erreurs.  Harmoniser tous les plans d’une scène : la plupart des programmes montés incorporent des données provenant de sources diverses, dont le tournage a eu lieu en diffé- rents endroits et sur plusieurs jours, semaines ou mois de production. Même avec une excellente équipe de cadreurs et d’éclairagistes, il est très possible que des diffé- rences de couleurs et d’exposition se produisent, et ce parfois entre des plans d’une même scène. Une fois ces plans montés, ces changements de couleurs et d’éclairage risquent de faire ressortir certains plans par rapport aux autres, ce qui donne un aspect peu harmonieux au montage. Grâce à un étalonnage soigné, tous les plans d’une même scène peuvent être harmonisés pour sembler se dérouler au même moment et au même endroit, avec un éclairage identique. Ce processus est couramment appelé étalonnage de scène à scène.  Créer un contraste : l’étalonnage peut également servir à créer un contraste entre deux scènes pour obtenir un effet plus frappant. Imaginez l’enchaînement d’une scène tournée dans la jungle luxuriante dans les tons de vert avec une autre scène filmée dans un désert aride, riche en rouges et en jaunes. Grâce à l’étalonnage, vous pouvez accentuer ces différences de façon subtile.  Créer une ambiance : le processus d’étalonnage ne se limite pas uniquement à l’harmonisation des données vidéo de votre œuvre selon un modèle objectif d’exposition. Tout comme le son, la couleur, lorsqu’elle est maniée avec subtilité, est une propriété qui procure une intéressante marge de contrôle supplémentaire sur votre programme. Grâce à l’étalonnage, vous pouvez décider d’attribuer à votre vidéo des couleurs riches et saturées ou, à l’inverse, plus discrètes. Vos plans peuvent prendre un aspect plus chaleureux si vous poussez leurs tonalités vers les rouges ou, au contraire, plus froid si vous privilégiez les bleus. Vous pouvez extraire les détails des ombres ou les écraser de façon à augmenter le contraste de l’image et lui donner une apparence plus nette. Ces modifications subtiles influent sur la façon dont les spectateurs per- çoivent une scène et peuvent changer l’atmosphère d’un programme. Après avoir choisi l’apparence souhaitée pour votre œuvre, ou pour une scène isolée, vous pouvez recourir à l’étalonnage pour vous assurer que tous les plans des scènes appropriées sont harmonisés afin de s’enchaîner avec cohérence.16 Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs)  Se conformer aux recommandations pour assurer la légalité des diffusions : si un programme est destiné à la télédiffusion, une série de recommandations de contrôle qualité vous est généralement fournie, indiquant les limites « légales » définies pour le niveau de noir minimum et le niveau de blanc maximum, ainsi que les valeurs minimales et maximales fixées pour la saturation chromatique et les images RVB composites. Il est important de se conformer à ces recommandations pour s’assurer que le programme peut être diffusé, car les valeurs « illégales » peuvent causer des problèmes lors de l’encodage du programme pour la transmission. Étant donné que les normes de contrôle qualité varient, il est essentiel de prendre connaissance au préalable des recommandations applicables. Color dispose de réglages de seuil de diffusion intégrés (parfois désignés sous le terme de légaliseur) qui empêchent automatiquement le dépassement des limites fixées pour les niveaux vidéo. Pour en savoir plus, consultez la section « Réglages de seuils de diffusion (Broadcast Safe) » à la page 119. Tâches détaillées Si vous disposez du temps nécessaire, les outils Color vous permettent de régler plus précisément l’apparence de votre programme :  Réglage séparé d’éléments spécifiques : il est parfois nécessaire de cibler de façon sélective une plage étroite de couleurs dans le but de ne corriger ou remplacer que la série correspondante de valeurs de couleur. Il peut s’agir, par exemple, de transformer une voiture rouge en voiture bleue ou de neutraliser un peu un vêtement de couleur trop vive. Ces tâches composent ce qu’on appelle étalonnage secondaire et Color met à votre disposition de nombreux outils qui vous permettent de les mener à bien. Pour en savoir plus, consultez la section chapitre 10, « Secondaries », à la page 241.  Procéder à des réglages numériques de l’éclairage : parfois, les réglages de l’éclairage qui paraissaient appropriés lors du tournage ne s’avèrent pas aussi performants lors du processus de postproduction. Les changements intervenant dans la vision du réalisateur, les modifications apportées aux tons de la scène montée ou les suggestions émises par le directeur de la photographie lors de la postproduction peuvent nécessiter l’ajustement de l’éclairage d’une scène au-delà des simples réglages du contraste global de l’image. Color fournit des options puissantes de masquage définissable par l’utilisateur qui, conjointement avec des options d’étalonnage secondaires, permettent d’isoler plusieurs régions d’une image et d’affiner l’éclairage. Ce processus est parfois appelé rectification numérique de l’éclairage. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 10, « Secondaries », à la page 241 et la section « Onglet Shapes » à la page 337.Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) 17  Création d’effets spéciaux : une scène requiert parfois des effets plus extrêmes, comme la manipulation intensive des couleurs et de l’exposition pour l’obtention d’un effet de « nuit américaine », de façon à créer un état étrange pour une séquence de retour en arrière ou d’hallucination ou simplement une ambiance bizarre pour un clip vidéo. Le « studio » Color FX du logiciel Color vous offre une palette d’outils organisée de façon arborescente et extensible, qui permet de créer efficacement des images composites en profondeur, conjointement avec les autres outils principaux et secondaires à votre disposition. Pour en savoir plus, consultez la section chapitre 11, « Color FX », à la page 269. Si ces tâches semblent exiger beaucoup de travail, ce n’est pas une impression, c’est vraiment le cas. Heureusement, l’interface Color vous aide à assurer l’organisation de ces tâches. Quand se déroule le processus d’étalonnage ? La fidélité des couleurs d’un programme ne doit pas être négligée jusqu’à l’étape d’étalonnage du processus de postproduction. Dans l’idéal, chaque projet débute avec une philosophie de gestion des couleurs qui est appliquée durant le tournage, maintenue pendant les diverses phases de transfert et de montage survenant au cours de la postproduction et se termine par la phase d’étalonnage finale mise en œuvre dans Color. Cette section explique la façon dont les images de vidéo et de film sont habituellement traitées lors du processus de postproduction. Début de la gestion des couleurs lors du tournage Qu’un programme soit créé à l’aide d’images numériques de vidéo ou de film, ou bien encore de toute autre application d’imagerie numérique haute résolution, il est important de noter que le processus de détermination de l’apparence générale d’un programme commence lorsque chaque scène est éclairée et tournée lors de la production. Pour optimiser le contrôle et la flexibilité de vos plans en phase de postproduction, l’idéal serait de travailler avec des séquences tournées en fonction de l’objectif final. L’étalonnage en phase de postproduction ne peut pas remplacer un bon éclairage. Le processus d’étalonnage peut être considéré comme le prolongement et l’amélioration de la vision de départ du producteur, du réalisateur et du directeur de la photo. Souvent, le directeur de la photographie participe directement au processus d’étalonnage pour s’assurer de l’obtention du résultat recherché. Dans d’autres cas, c’est le réalisateur ou le producteur qui peut changer d’avis quant à l’apparence finale souhaitée. L’étalonnage permet alors de modifier l’apparence globale (en rendant, par exemple, plus chaleureuses des images tournées initialement pour donner un résultat froid). Bien que Color offre un niveau de contrôle exceptionnel sur vos données, il est néanmoins essentiel d’avoir comme base de travail des images correctement exposées.18 Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) En outre, les choix effectués au cours de la postproduction et du tournage, et notamment le format de vidéo ou de film et les réglages de caméra utilisés, peuvent avoir une incidence considérable sur la latitude dont on dispose lors du processus d’étalonnage final. Étalonnage initial lors du transfert du film Lorsqu’un projet a été tourné sur pellicule, les négatifs de la caméra doivent d’abord être transférés vers le format de bande vidéo ou de vidéo numérique choisi avant les phases de montage et de postproduction numérique à l’aide d’un équipement de télécinéma ou de cinéma numérique. Un système de télécinéma est une machine permettant de transférer un film sur bande vidéo alors qu’un équipement de cinéma numérique est configuré pour transférer les films directement vers un format numérique, c’est-à-dire généralement vers une séquence d’images. Habituellement, le coloriste exécutant la session de transfert de film procède à un étalonnage pour s’assurer que le monteur dispose de l’image la plus appropriée pour son travail. Les objectifs de l’étalonnage à ce stade dépendent généralement de la longueur du projet et du flux de postproduction qui a été choisi.  Pour les projets courts, les publicités et toutes les vidéos de courte durée, un étalonnage détaillé peut être appliqué immédiatement. Le coloriste commencera par calibrer le propre correcteur colorimétrique du télécinéma afin d’équilibrer correctement les blancs, les noirs et les couleurs. Ensuite, en accord avec le directeur de la photographie, le réalisateur ou le producteur, il travaillera plan par plan pour déterminer l’apparence de chaque plan par rapport aux besoins du projet. Le monteur disposera ainsi d’images déjà corrigées.  Les projets, tels que les films long métrage et les programmes télévisés de longue durée, ne bénéficieront probablement pas d’emblée d’une phase d’étalonnage. Les séquences qui sont transmises via le télécinéma seront équilibrées pour obtenir une exposition et des couleurs relativement satisfaisantes, l’objectif étant uniquement de fournir une image de bonne qualité au monteur. Un étalonnage détaillé est ensuite effectué à un autre stade. Négatif de la caméra Télécinéma Bandes vidéoChapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) 19  Les projets de toute longueur qui sont traités en postproduction sous forme d’intermé- diaire numérique sont transférés avec une phase d’étalonnage conçue pour conserver une quantité maximale de données d’image. Étant donné qu’un deuxième (et dernier) étalonnage numérique est prévu à la fin du processus de postproduction, il est essentiel que les données d’image soient de bonne qualité et conservent un maximum de détails des tons clairs et des tons foncés. Il faut noter que le but étant de préserver les données d’image et non pas de créer l’apparence finale du programme, l’image de qualité optimale utilisée pour l’étalonnage ne sera peut-être pas celle qui est visuellement la plus attractive. Toutefois, l’étalonnage est effectué lors du transfert initial au moyen du télécinéma ou du système de cinéma numérique. Une fois cette opération terminée, les images sont traitées par les processus habituels de postproduction, dans le cadre de la gestion éditoriale hors ligne et en ligne. Étalonnage de film et de vidéo Color a été conçu pour s’intégrer à des flux de traitement intermédiaires numériques de vidéo et de film. Étant donné que toutes les images doivent d’abord être transférées vers un format de séquence d’images ou QuickTime pour être importées dans Color, les images de vidéo et de film sont corrigées au moyen des mêmes outils et méthodes. Trois attributs principaux, qui ont tous été déterminés lorsque les images ont été initialement capturée ou transférées avant l’importation dans Color, ont une incidence sur la qualité des données utilisées dans un programme :  Le type et le niveau de compression appliqué aux données  La profondeur de bits à laquelle l’encodage est effectué  Le rapport de sous-échantillonnage chromatique utilisé Pour l’étalonnage, la compression spatiale et temporelle doit être limitée, car les artefacts de compression peuvent compromettre la qualité de vos réglages. Par ailleurs, il est généralement préférable d’utiliser des données dont la profondeur de bits est élevée (voir la section « Profondeur de bits » à la page 30). Point essentiel à noter : des rapports de sous-échantillonnage chromatique élevés, tels que 4 :4 :4 ou 4 :2 :2, sont recommandés pour optimiser la qualité et la flexibilité de vos corrections. Rien ne vous empêche de travailler avec des images sous-échantillonnées à 4 :1 :1 ou 4 :2 :0, mais vous constaterez peut-être que les réglages de contraste extrêmes et les sélections secondaires homogènes sont plus difficiles à effectuer avec des espaces colorimétriques hautement compressés. Pour en savoir plus, consultez la section « Sous-échantillonnage chromatique » à la page 27.20 Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) Méthodes traditionnelles d’étalonnage final Une fois le montage terminé et l’image verrouillée, l’étalonnage (appelé étalonnage colorimétrique dans le monde cinématographique) commence. Ce processus était habituellement accompli via une session de calibrage des couleurs pour un film ou d’étalonnage bande à bande pour une vidéo. Calibrage des couleurs d’un film Les programmes dont la finalisation et l’étalonnage ont été réalisés sur pellicule sont habituellement soumis à un processus de mise en conformité des négatifs avant le calibrage des couleurs. Une fois le processus éditorial terminé, le négatif original de la caméra est mis en conformité avec la copie de travail ou le passage vidéo du programme monté à l’aide d’une liste de conformation ou liste des épreuves (si le programme a été monté avec Final Cut Pro, cette liste peut être obtenu au moyen de l’application Cinema Tools). Cette liste répertorie chacun des plans utilisés dans le programme monté et montre comment ces derniers s’intègrent les uns aux autres. Ce processus est long et minutieux. Il faut savoir par ailleurs que la correction des erreurs commises pendant la coupe du négatif est très onéreuse. Une fois que le négatif de la caméra a été mis en conformité et les différents plans ont été physiquement collés les uns aux autres sur les rouleaux A et B en alternance, le calibrage de couleurs peut lui être appliqué par le biais d’une imprimante optique conçue pour ce processus. Ces machines envoient une lumière filtrée à travers les négatifs originaux de façon à exposer une copie positive intermédiaire, créant ainsi une seule bobine de film qui correspond à la copie étalonnée. Le processus permettant de contrôler chaque plan et de corriger la couleur scène par scène est réalisé à l’aide de trois commandes permettant d’ajuster séparément la proportion de lumière rouge, verte et bleue à laquelle le film est exposé, grâce à une série de filtres et d’obturateurs optiques. Chacun des cadrans rouge, vert et bleu est réglé par incréments discrets, appelés points d’impression (chaque point étant une fraction d’ouverture de diaphragme, qui correspond à l’échelle utilisée pour mesurer l’exposition d’une pellicule). En général, une plage totale de 50 points est utilisée, dans laquelle le point 25 représente l’état neutre d’origine de ce canal de couleur. Le fait d’augmenter ou de réduire la valeur des trois canaux de couleur en même temps assombrit ou éclaircit l’image, tandis que l’application de réglages disproportionnés aux trois canaux modifie la balance des couleurs de l’image en fonction des ajustements.Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) 21 Les réglages de la machine utilisés pour chaque plan peuvent être enregistrés (en une seule fois, au moyen de la technologie des bandes papier) et rappelés à tout moment, pour faciliter les opérations de recalibrage et de réglage ultérieures, le processus d’impression étant automatisé une fois le calibrage manuel terminé. Une fois la copie intermédiaire exposée, il est possible de la développer et de projeter les résultats finaux. Bien que ce système d’étalonnage puisse paraître peu pratique comparativement aux outils numériques actuels utilisés pour la manipulation des images, il représente un moyen d’étalonnage extrêmement efficace pour les utilisateurs qui le maîtrisent. Remarque : Color inclut des options de réglage des points d’impression destinées aux coloristes qui sont familiarisés avec cette méthode d’étalonnage. Pour en savoir plus, consultez la section « Onglet Advanced » à la page 237. Étalonnage bande à bande Pour les projets tournés sur bande vidéo (et ceux tournés sur pellicule qui n’autorisent pas une deuxième phase de télécinéma), le processus d’étalonnage s’intègre au flux de travaux en ligne/hors ligne vidéo traditionnel. Une fois le montage verrouillé, la bande maître finale est assemblée, soit par une remise en conformité sur le système initialement utilisé pour le montage hors ligne, soit par l’intégration de la liste EDL et des bandes source d’origine dans une suite en ligne compatible avec les formats des bandes source. Si l’assemblage en ligne a lieu dans une suite en ligne haut de gamme, l’étalonnage peut être effectué lors de l’assemblage de la bande maître ou après l’assemblage en soumettant la bande maître à une session d’étalonnage. Négatif de la caméra Conformation du négatif Calibrage optique des couleurs Impression du film final Bandes vidéo Télécinéma Montage off line Bande du master final Série de bandes22 Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) Remarque : si la bande maître finale est étalonnée, le coloriste doit effectuer avec soin un fondu et un balayage sur les opérations d’étalonnage en fonction des fondus et balayages vidéo du programme. Dans les deux cas, le signal vidéo est traité par du matériel et des logiciels d’étalonnage vidéo dédiés et le coloriste utilise le timecode principal de la bande afin de configurer et de conserver les réglages d’étalonnage pour chaque plan de chaque scène. Tandis que l’étalonnage vidéo s’appuyait au départ sur des options aussi simples que celles utilisées par les coloristes de film, l’évolution de la suite d’étalonnage en ligne a intégré de nombreux outils supplémentaires dans le processus, parmi lesquels des corrections séparées pour les zones tonales discrètes, un étalonnage secondaire de sujets spécifiques au moyen d’options d’incrustation et de réglage de formes, ainsi que bien d’autres options créatives dont les coloristes de film ne disposaient pas auparavant. Étalonnage au moyen d’une deuxième phase de télécinéma Les programmes tournés sur pellicule qui sont destinés à la masterisation vidéo (par exemple, pour une série télévisée à épisodes) peuvent être renvoyés dans la suite de télécinéma pour leur étalonnage final. Une fois le montage terminé et l’image verrouillée, une liste de conformation ou liste des épreuves (semblable à celle utilisée pour la conformité des négatifs) correspondant à la liste EDL du programme monté est créée. Grâce à la liste de conformation, le responsable de la postproduction tire uniquement le négatif effectivement utilisé pour le montage. Étant donné que cela ne représente qu’une minorité des séquences initialement tournées, le coloriste dispose maintenant de plus de temps (selon le budget alloué au projet, bien entendu) pour effectuer un étalonnage plus détaillé sur les séquences sélectionnées qui vont être assemblées pour constituer le programme vidéo final lors de cette phase de télécinéma finale. Même si ce processus semble redondant, le fait d’effectuer directement l’étalonnage à partir du négatif présente plusieurs avantages distincts. La pellicule possédant plus de nuances que la vidéo entre le noir et le blanc, un coloriste qui s’appuie sur le procédé de télécinéma dispose d’un choix plus large en termes de couleur et d’exposition que s’il travaillait uniquement à partir d’une vidéo. En outre, l’équipement d’étalonnage disponible pour le coloriste de télécinéma a évolué pour correspondre (et parfois être identique) aux outils à la disposition des coloristes de vidéo en ligne, lui permettant en outre de travailler directement sur les images non compressées qui sont fournies par le télécinéma.Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) 23 Une fois le second étalonnage terminé, les passages retenus sont à nouveau assemblés pour correspondre au montage d’origine et le projet est matricé sur bande. Même si vous n’avez pas l’intention d’étalonner votre programme dans la suite de télécinéma, vous pouvez envisager de retransférer des plans spécifiques pour effectuer des modifications qui sont plus faciles à exécuter ou de meilleure qualité si elles sont apportées directement à partir du négatif original de la caméra. Par exemple, après avoir identifié les plans à retransférer dans votre séquence Final Cut Pro, vous pouvez utiliser l’application Cinema Tools pour créer une liste de passages choisis (par exemple, uniquement pour les plans que vous souhaitez élargir optiquement), de façon à accélérer le processus de transfert. Négatif de la caméra Télécinéma peu coûteux à lumière unique Multimédia off line Reconformation du master final Montage off line Télécinéma à la meilleure lumière Autre avantages des transferts télécinéma Outre l’étalonnage, un coloriste travaillant avec un télécinéma dispose de plusieurs options pour les problèmes éventuels rencontrés lors du montage.  En utilisant un télécinéma pour extraire l’image du négatif, le coloriste peut repositionner l’image afin d’intégrer les parties qui se trouvent hors de la zone d’action sécurisée vidéo.  Grâce au procédé de télécinéma, l’image peut également être agrandie optiquement, éventuellement jusqu’à 50 %, sans déformation visible.  La possibilité de recadrer les plans au télécinéma permet au réalisateur ou au producteur d’apporter des modifications significatives à une scène, de transformer un plan moyen en gros plan pour conférer un effet dramatique ou de déplacer l’image entière vers le haut afin de rogner un micro ayant été malencontreusement placé dans le champ.24 Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) Étalonnage dans Color Vous avez découvert comment l’étalonnage est effectué dans d’autres environnements de postproduction. Cette section décrit comment Color s’intègre à un processus de postproduction standard de film ou de vidéo. Color met à votre disposition sur votre bureau un grand nombre d’outils d’étalonnage avancés qui étaient auparavant disponibles dans les suites d’étalonnage bande à bande et télécinéma haut de gamme. En outre, Color offre dans le studio Color FX des outils supplémentaires qui sont plus couramment présents dans des applications de compositing dédiées et vous permettent de contrôler encore plus en détail les images de votre programme (pour en savoir plus, consultez le chapitre 11, « Color FX », à la page 269). Le logiciel Color a été conçu comme un environnement d’étalonnage de film ou de vidéo. Indépendant de la résolution, il prend en charge aussi bien les vidéos de définition standard que les numérisations de films en 2K. Il supporte également plusieurs formats de données et est compatible avec des données d’image utilisant divers formats de séquences d’images et les codecs QuickTime. Color a aussi été conçu pour être incorporé à un flux de travaux intermédiaire numérique. Un intermédiaire numérique correspond à une version numérique haute qualité de votre programme qui peut être montée, étalonnée et manipulée numériquement d’une autre façon à l’aide de matériel informatique et de logiciels, et non pas de magnétophones ou d’imprimantes optiques. Les monteurs, les spécialistes des effets visuels et les coloristes qui procèdent à la finalisation des programmes vidéo sans utiliser de bande travaillent depuis des années avec des intermédiaires numériques, mais le terme décrit généralement le processus consistant à balayer numériquement des images de film, dans le but d’effectuer toutes les opérations liées à la mise en conformité du montage, aux effets et à l’étalonnage de façon numérique. Les données d’image numériques sont ensuite imprimées directement sur la pellicule ou compilées sous forme de fichier pour la projection numérique. La finalisation numérique des programmes de film ou de vidéo libère les coloristes des restrictions imposées par les mécanismes de transport sur pellicule ou sur bande, accé- lérant ainsi leur travail en leur permettant de naviguer dans un projet aussi rapidement que s’ils se trouvaient dans une application de montage non linéaire. En outre, le fait de travailler avec les données d’image numériques fournit une marge de sécurité en éliminant le risque de détérioration du négatif ou d’altération des bandes source.Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) 25 Quand se déroule le processus d’étalonnage dans Color ? L’étalonnage à l’aide de Color est généralement effectué à la fin (ou vers la fin) du montage en ligne ou de la mise en conformité du projet, souvent en même temps que le mixage audio final. Même s’il est toujours préférable d’attendre que l’image soit verrouillée, cela n’est pas essentiel car Color fournit des outils permettant de synchroniser des projets qui sont en cours de montage via des fichiers XML ou des listes EDL. Color a été conçu pour fonctionner conjointement avec des applications de montage telles que Final Cut Pro, qui prend en charge les données d’entrée, le montage et les données de sortie, tandis que Color vous permet de vous concentrer sur l’étalonnage et les effets connexes. Importation de projets et de données dans Color Pour travailler sur un programme dans Color, vous devez disposer de deux séries de fichiers :  Le fichier de projet monté (ou les fichiers, si le programme couvre plusieurs bobines) dans un format pouvant être importé dans Color. Les formats compatibles incluent les fichiers EDL et les fichiers XML Final Cut Pro de presque tout environnement de montage. Les données de séquences Final Cut Pro peuvent également être envoyées à Color directement si vous avez installé Final Cut Pro sur le même ordinateur, à l’aide de la commande « Send to Color ».  Vous devez également disposer de versions numériques haute qualité des données source originales, dans un format de séquence d’image ou compatible QuickTime. La flexibilité des formats de projets et de données signifie que Color peut être incorporé dans une grande variété de flux de postproduction. Pour obtenir une présentation de différents flux d’étalonnage disponibles avec Color, consultez le chapitre 2, « Flux de production de l’étalonnage », à la page 39. Quelles images sont utilisées par Color ? Color fonctionne avec des plans de film ou de vidéo, comme des fichiers QuickTime ou des séquences d’images, à divers taux de compression et résolutions. Cela signifie que vous avez la possibilité de travailler aussi bien sur des plans QuickTime DV-25 hautement compressés que sur des séquences d’images .tif 2K non compressées, en montage 8 ou 10 bits (linéaire ou chronologique), quelles que soient les données fournies par vos clients.26 Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) Exportation de projets à partir de Color Comme indiqué ci-dessus, Color ne gère pas seul la capture ou la sortie sur bande des données vidéo. Une fois que l’étalonnage de votre projet dans Color est terminé, vous devez procéder au rendu de chaque plan du projet sur disque sous la forme d’une autre série de fichiers de données étalonnés, puis renvoyer votre projet Color dans Final Cut Pro ou le transférer dans un autre équipement pour la mise sur bande ou la sortie sur film. Pour en savoir plus, consultez la section chapitre 17, « File d’attente de rendu », à la page 361. Normes d’encodage des images Cette section fournit des informations importantes sur les normes d’encodage des images prises en charge par Color. Les données d’image que vous allez étalonner sont en général encodées au format RVB ou Y´CB CR (désigné parfois par le signe plus simple de YUV). Color est extrêmement flexible et accepte les données d’image de tout type. Modèle à couleurs additives RVB Dans le modèle à couleurs additives RVB, trois canaux de couleur sont utilisés pour enregistrer les valeurs de rouge, de vert et de bleu en différentes quantités et représenter chaque couleur disponible pouvant être reproduite. Le réglage de la balance relative des valeurs dans ces canaux de couleur permet d’ajuster la couleur représentée. Lorsque les trois valeurs sont égales, vous obtenez un ton neutre, allant du noir au blanc, en passant par le gris. Plus généralement, vous noterez que ces rapports sont exprimés sous forme de pourcentages numériques dans l’oscilloscope des parades ou l’histogramme de Color. Par exemple, si les trois canaux de couleur correspondent à 0 pour cent, le pixel est noir. Ou si les trois canaux de couleur sont à 50 pour cent, le pixel est gris neutre. Si les trois canaux de couleur ont la valeur 100 pour cent (valeur maximale), le pixel est blanc. Bien que quelques codecs QuickTime de haute qualité encodent les données vidéo à l’aide du modèle RVB (Animation est l’un des plus couramment utilisés), les images encodées selon ce modèle sont généralement enregistrées sous forme de séquences d’images non compressées.Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) 27 Modèle de couleurs Y’CB CR Les données vidéo sont généralement enregistrées à l’aide du modèle de couleurs Y´CB CR . Le codage de couleurs Y´CB CR utilise également trois canaux ou composantes. Une image est divisée en une composante luminance (luminance d’une image dont la valeur gamma a été modifiée) et deux composantesdifférence de couleurs qui encodent la chromie (chrominance). Ces trois composantes forment l’image que vous voyez lors de la lecture de votre vidéo.  La composante Y´ représente la partie en noir et blanc de la gamme de tons d’une image. L’œil ayant une sensibilité différente aux parties rouges, vertes et bleues du spectre, la « clarté » de l’image que la composante Y´ reproduit résulte d’un rapport pondéré entre les canaux de couleur R, V et B (auxquels la correction gamma a été appliquée). Considérée de façon isolée, la composante Y’ est l’image monochrome.  Les deux composantes traitant la différence de couleurs, CB et CR , sont utilisées pour encoder les informations de couleur de façon à ce que les trois canaux de couleur des données d’image soient réduits à deux canaux. Quelques calculs mathématiques permettent de tirer parti du fait que la composante Y’ enregistre également les informations de vert de l’image. L’opération utilisée pour obtenir chaque composante de couleur est en fait CB = B’ – Y’, tandis que CR = R’ – Y’. Remarque : ce modèle a été initialement créé pour rendre les anciennes télévisions en noir et blanc compatibles avec les méthodes de transmission plus récentes des télévisions en couleurs. Sous-échantillonnage chromatique Dans une vidéo encodée au format Y´CB CR , les canaux de couleur sont généralement échantillonnés avec un rapport inférieur à celui employé pour le canal de luminance. L’œil humain étant plus sensible aux différences de luminosité que de couleur, cette caractéristique a été utilisée pour réduire les besoins en termes de taux de transfert des données vidéo (ou débit) sans perte perceptible au niveau de l’image. Le rapport d’échantillonnage entre les canaux Y´, CB et CR est représenté sous la forme d’une suite de trois valeurs. Les rapports de sous-échantillonnage chromatique courants sont les suivants :  La vidéo à sous-échantillonnage chromatique 4 :4 :4 encode la couleur sans aucune compression, avec le plus haut niveau de qualité possible, car les canaux de différence de couleurs sont échantillonnés avec le même rapport que le canal de luminance. Les données d’image sous-échantillonnées au format 4 :4 :4 sont généralement obtenues au moyen d’un équipement de télécinéma ou de cinéma numérique dans un format de masterisation vidéo ou de séquence d’images capable de les contenir. Les images encodées au format RVB sont toujours échantillonnées en 4 :4 :4.28 Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) Peu de formats d’acquisition vidéo permettent l’enregistrement des données vidéo au format 4 :4 :4, mais parmi ceux-ci, citons le système HDCAM SR et certaines camé- ras de cinéma numériques, telles que la caméra Viper FilmStream de Thomson et le système de caméra numérique de Genesis.  4 :2 :2 est un rapport de sous-échantillonnage chromatique couramment utilisé pour les formats vidéo de haute qualité, parmi lesquels Beta SP, Digital Betacam, Beta SX, IMX, DVCPRO 50, DVCPRO HD et HDCAM.  4 :1 :1 est habituellement employé pour les formats vidéo destinés aux consommateurs et aux professionnels, et notamment DVCPRO 25 (NTSC et PAL), DV et DVCam (NTSC).  4 :2 :0 est un autre rapport de sous-échantillonnage orienté consommateur, qui est utilisé par les formats DV et DVCAM (PAL), HDV, XDCAM HD et MPEG-2. Remarque : comme leur nom le laisse entendre, les formats Apple sans compression 8 bits 4:2:2, Apple sans compression 10 bits 4:2:2, Apple ProRes 422 (SQ) et Apple ProRes 422 (HQ) font tous appel à un sous-échantillonnage de chromie 4:2:2. Il est important de connaître les avantages des rapports de sous-échantillonnage chromatique plus élevés dans le processus d’étalonnage. Lorsque vous êtes en position de spécifier le format de transfert qui s’appliquera à un projet fini, veillez à demander le format de la plus haute qualité que puisse gérer votre système (pour en savoir plus sur les codecs de haute qualité de finalisation, consultez « Flux de production impliquant une bande » à la page 45). Comme vous pouvez l’imaginer, il vaut mieux disposer de davantage d’informations de couleur lors de l’étalonnage. Ainsi, lorsque vous apportez des corrections de contraste importantes à de la vidéo sous-échantillonnée au format 4:1:1 ou 4:2:0, le grain du film ou le bruit de la vidéo s’en trouvent multipliés. C’est notamment le cas lorsqu’on est en présence d’une séquence sous-exposée. Vous aurez l’occasion de vous rendre compte qu’en effectuant les mêmes modification sur de la vidéo sous-échantillonnée à 4:2:2, vous obtiendrez beaucoup moins de grain et de bruit. un contraste plus marqué, associé à moins de bruit, cela donne une image globale plus riche. De plus, on fait couramment appel à des opérations de sélection sur chrominance pour isoler des parties spécifiques de l’image pour correction. Pour cela, on utilisera les qualificateurs HSL du studio Secondaries. Ces opérations de sélection de régions génèrent des bords plus lisses et moins « bruyants » lorsque vous travaillez sur de la vidéo sous- échantillonnée à 4:2:2. La compression de chrominance utilisée dans les formats de sous-échantillonnage 4:1:1 et 4:2:0 entraîne un effet d’escalier lors de l’isolation de la composante chromie, ce qui affecte les caches créés à l’aide des qualificateurs HSL.Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) 29 Toutefois, il faut garder à l’esprit qu’il reste tout à fait possible de corriger de façon importante de la vidéo très compressée. En surveillant l’évolution du bruit de l’image lorsque vous montez le contraste d’une séquence sous-exposée, vous pouvez concentrer vos corrections sur les zones de l’image où le bruit est le moins élevé. Lorsque vous effectuez des opérations d’étalonnage secondaire ciblées sur des parties spécifiques de l’image, vous constaterez qu’il faut en général passer un peu plus de temps à effectuer des incrustations lissées. Mais avec un peu de patience et d’attention, vous pouvez tout de même obtenir de bons résultats. Film, vidéo et sous-échantillonnage chromatique En général, les images de film sont transférées avec le maximum de données d’image possible, en particulier lorsqu’elles sont transmises sous forme de séquence d’images sans aucune compression (4 :4 :4) dans le cadre d’un flux de travaux intermédiaire numérique soigneusement géré. C’est une des raisons qui expliquent la qualité supé- rieure du flux de travaux. Par ailleurs, les données vidéo standard et haute définition sont généralement enregistrées avec des rapports de sous-échantillonnage chromatique moins élevés (4 :2 :2 est couramment utilisé même avec des formats vidéo de qualité supérieure, tandis que 4 :1 :1 et 4 :2 :0 sont habituellement employés avec les formats destinés aux professionnels) et des taux de compression supérieurs, tout cela dépendant intégralement des formats d’enregistrement et de capture vidéo utilisés. Étant donné que le format vidéo sélectionné détermine la qualité de la compression lors du tournage, vous n’avez pas la possibilité de remédier à la perte des données d’image, si ce n’est de tirer parti au maximum des moyens dont vous disposez. Cela étant dit, vous pouvez avec un peu d’application étalonner presque n’importe quel format d’image vidéo compressée ou de séquence d’images avec d’excellents résultats et Color vous donne la possibilité de travailler avec de nombreux formats sources hautement compressés, parmi lesquels DV, HDV et DVCPRO HD.30 Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) Profondeur de bits La profondeur de bits des données source avec lesquelles vous travaillez est un autre facteur pouvant influer sur la qualité des images vidéo et de vos réglages d’image. Avec les données encodées aux formats RVB et Y´CB CR , plus la profondeur de bits est élevée, plus il y a de données d’image et plus l’image et vos corrections seront homogènes. La profondeur de bits de vos données source dépend largement de leur mode d’acquisition initial. La plupart des données que vous recevrez correspondront à l’une des profondeurs de bits suivantes, qui sont toutes prises en charge par Color :  8-bit : la plupart des formats vidéo numériques grand public et professionnels standard et haute définition capturent les données d’image sur 8 bits (y compris DV et DVCPRO-25, DVCPRO 50, HDV, DVCPRO HD, HDCAM, etc.).  10-bit : de nombreuses interfaces de capture vidéo permettent la capture sans compression de données vidéo analogiques et numériques à une résolution de 10 bits.  10 bits logarithmiques : en enregistrant les données sous forme logarithmique, plutôt que linéaire, il est possible de faire correspondre un rapport de contraste plus grand (comme celui d’un film) avec un espace de données de 10 bits. Les fichiers d’historique 10 bits sont souvent enregistrés à partir des balayages de l’équipement de cinéma numérique à l’aide des formats de séquence d’images Cineon et DPX.  16-bit : 16 bits de données linéaires sont nécessaires pour obtenir le même rapport de contraste qu’en mode 10 bits logarithmiques. Les ordinateurs traitant plus facilement les données linéaires, cela représente un autre espace de données disponible dans certains formats d’image. Des profondeurs de bits plus élevées produisent plus de données d’images en utilisant une plage de valeurs plus grande pour représenter la gamme tonale disponible. Cela est évident lorsqu’on examine les plages numériques employées par les deux profondeurs de bits les plus couramment associées à la vidéo.  Les images 8 bits utilisent une plage complète de valeurs, de 0 à 255, pour enregistrer chaque canal de couleur (la vidéo Y´CB CR emploie une plage plus étroite de 16 à 235 pour prendre en charge le super noir et le super blanc). 255, ce n’est pas un nombre de valeurs important et au final, il est possible que des effets d’escalier soit légèrement visibles dans les zones de l’image contenant des dégradés très progressifs (par exemple les cieux).  De leur côté, les images 10 bits utilisent une plage complète de 0 à 1023 pour enregistrer chaque canal de couleur (là encore, la vidéo Y´CB CR emploie une plage plus étroite de 64 à 940 pour prendre en charge le super noir et le super blanc). La plage numérique quatre fois plus large autorise des dégradés plus homogènes et élimine virtuellement les artefacts liés à la profondeur de bits.Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) 31 Même si vous n’êtes pas toujours en mesure de régler la profondeur de bits de vos données source, vous pouvez contrôler celle à laquelle vous travaillez dans Color indépendamment. Cela signifie que vous pouvez travailler à une profondeur de bits supérieure à celle des données source pour optimiser la qualité de vos corrections. En particulier, de nombreux effets et corrections secondaires ont une bien meilleure apparence lorsque Color est réglé pour que la fonction de rendu s’exécute à des profondeurs de bits plus élevées. Pour en savoir plus, consultez la section « Réglages relatifs à la lecture, au traitement et à la sortie » à la page 126. Concepts de base liés aux couleurs et à l’imagerie L’étalonnage implique le réglage du contraste d’une image, de même que de sa couleur (en exerçant un contrôle séparé sur la teinte et la saturation). Cette section explique ces concepts d’imagerie importants pour que vous puissiez mieux comprendre comment les outils Color vous permettent de modifier l’image. Contraste Les réglages de contraste sont les plus fondamentaux et correspondent généralement aux premiers ajustements effectués. Le contraste est une façon de décrire la tonalité d’une image. Si vous éliminez toutes les couleurs d’une image, de façon à la réduire à une série de nuances de gris, le contraste se traduit par la distribution des tons sombres, moyens et clairs dans l’image. Le contrôle du contraste implique le réglage de trois aspects de la tonalité d’une image :  Le point noir est le pixel le plus sombre de l’image.  Le point blanc est le pixel le plus clair de l’image.  Les tons intermédiaires correspondent à la distribution de toutes les valeurs tonales existant entre les points noir et blanc. Blanc Noir Gris32 Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) Le rapport de contraste est la différence entre les valeurs tonales les plus sombres et les plus claires de l’image. En général, il est préférable d’utiliser un rapport de contraste élevé augmentant la différence entre ces valeurs. Si vous ne recherchez pas spécifiquement à obtenir une image à faible contraste, sachez que les rapports de contraste élevés permettent généralement de produire des images plus claires et plus nettes. Les deux images ci-après, avec leurs histogrammes de distributions des ombres, des tons intermédiaires et des hautes lumières (de gauche à droite), illustrent cela. En outre, le fait de maximiser le rapport de contraste d’une image facilite les autres opé- rations d’étalonnage en distribuant de façon plus homogène la couleur de l’image dans les trois zones tonales réglées au moyen des trois options de réglage de la balance des couleurs des studios Primary In, Secondaries et Primary Out. Cela permet d’apporter plus aisément des corrections individuelles aux ombres, aux tons intermédiaires et aux hautes lumières. Pour en savoir plus sur le réglage du contraste d’une image, consultez la section « Utilisation des commandes de contraste Primary » à la page 195.Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) 33 Luminance La luminance (qui correspond en termes techniques au paramètre de luminance avec correction gamma) décrit l’exposition (luminosité) d’un plan vidéo, depuis le noir absolu, jusqu’au blanc le plus éclatant en passant par toute la distribution des tonalités de gris. La luminance peut être séparée de la couleur d’une image. En fait, si vous désaturez complètement une image, l’image à niveaux de gris restante est la luminance. La luminance est mesurée par Color sous la forme d’un pourcentage numérique compris entre 0 et 100, 0 correspondant au noir absolu et 100 au blanc absolu. Color prend également en charge les niveaux de super blanc (de 101 à 109 pour cent), s’ils existent dans votre plan. Bien que les niveaux de super blanc ne soient pas considérés comme adaptés à la télédiffusion, de nombreuses caméras enregistrent quand même à ces niveaux. Remarque : les niveaux de super blanc sont limités par le filtre Broadcast Safe s’il est activé avec ses réglages par défaut, de sorte que les pixels de l’image ayant une luminance supérieure à 100 pour cent seront ramenés à 100 pour cent. Qu’est-ce que le palier du noir ? Les coloristes débutants confondent parfois le niveau de noir de la vidéo numérique avec le palier du noir (Setup). Le palier du noir correspond au niveau de noir d’un signal vidéo analogique et concerne uniquement la vidéo analogique. Si vous exportez sur une bande analogique à l’aide d’une interface vidéo analogique de tierce partie, nous vous conseillons de vous reporter à la documentation fournie avec l’interface pour savoir comment configurer cette dernière pour la norme nord-américaine relative au palier du noir (7.5 IRE) ou la norme japonaise (0 IRE). La plupart des fournisseurs d’interfaces vidéo analogiques incluent un tableau de contrôle logiciel qui vous permet de sélectionner le niveau de noir à appliquer. Ils désignent cette fonction sous l’appellation « 7.5 Setup » ou « 0 Setup », ou dans certains cas, « NTSC » ou « NTSC-J ». Les données vidéo envoyées numériquement via SDI n’ont pas de palier du noir. Le niveau de noir Y´CB CR reste simplement à la valeur numérique appropriée correspondant à la profondeur de bits du signal vidéo (représentée par 0 pour cent sur un vidéoscope). Noir 0% de luminosité 100% 109% Blanc Ultra-blanc34 Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) Gamma Gamma fait référence à deux concepts différents. Pour un signal vidéo, le terme « gamma » désigne la représentation non linéaire de la luminance dans une image affichée sur un moniteur de diffusion ou d’ordinateur. La réponse de l’œil à la lumière n’étant pas linéaire (voir la section « Modèle de couleurs Y’CB CR » à la page 27), le fait d’appliquer un réglage gamma pendant l’enregistrement d’une image maximise les détails enregistrés perceptibles dans les signaux vidéo avec une bande passante limitée. Lors de la lecture, un téléviseur ou un moniteur applique une fonction gamma inversée pour rétablir l’état « original » de l’image. Il faut éviter d’effectuer des corrections gamma imprévues avant d’envoyer des données de Final Cut Pro à Color. il est important de garder trace des corrections gamma qui sont effectuées lors de l’exportation et de l’importation de plans dans Final Cut Pro dans le cours du processus de montage, de sorte que toutes les corrections soient consignées et évitées lors de l’aller-retour entre Final Cut Pro et Color. Pour en savoir plus sur les traitements gamma dans Final Cut Pro, consultez le Manuel de l’utilisateur de Final Cut Pro. Le terme « gamma » sert également à décrire un réglage non linéaire appliqué à la distribution des tons intermédiaires dans une image. Par exemple, un réglage gamma ne modifie pas le point noir et le point blanc d’une image, mais éclaircit ou assombrit les tons intermédiaires en fonction du type d’ajustement effectué. Pour en savoir plus sur les réglages gamma et l’ajustement des tons intermédiaires, reportez-vous au chapitre 9, « Primary In », à la page 191. Chromie (chrominance) La chromie (également appelée chrominance) décrit les canaux de couleur de vos plans, depuis l’absence de couleur jusqu’au niveau maximum de couleur pouvant être représenté. Des valeurs chromatiques spécifiques peuvent être décrites à l’aide des deux propriétés suivantes : teinte et saturation. Hue La teinte désigne la couleur elle-même, qu’il s’agisse de rouge, de vert ou de jaune. La teinte est mesurée comme un angle sur une roue de couleurs.Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) 35 Saturation La saturation décrit l’intensité de la couleur (par exemple, rouge clair ou rouge pâle). Une image totalement désaturée ne comporte aucune couleur et se compose de nuances de gris. La saturation se mesure également sur une roue de couleurs, selon la distance entre le centre et le bord. Vous remarquerez que la roue de couleurs est un mélange des trois couleurs primaires (rouge, vert et bleu) qui forment la vidéo. Entre ces trois couleurs viennent s’insérer les couleurs secondaires (jaune, cyan et magenta) qui sont des mélanges à proportions identiques de couleurs primaires. Relations entre les couleurs La compréhension des interactions de la roue de couleurs va vous aider à identifier comment les options de Color affectent réellement les couleurs d’une image. Couleurs primaires Dans tout modèle de couleurs additives, les couleurs primaires sont le rouge, le vert et le bleu. Il s’agit des trois couleurs les plus pures pouvant être représentées par le réglage d’un canal de couleur sur 100 pour cent et des deux autres canaux de couleur sur 0 pour cent. Couleurs secondaires L’ajout de deux des couleurs primaires produit une couleur secondaire. En d’autres termes, vous pouvez créer une couleur secondaire en réglant deux des canaux de couleur sur 100 pour cent et le troisième sur 0 pour cent.  Rouge + vert = jaune  Vert + bleu = cyan  Bleu + rouge = magenta Autre équation du modèle à couleurs additives :  Rouge + vert + bleu = blanc36 Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) Toutes ces combinaisons sont illustrées par les trois cercles colorés ci-dessous. Aux zones d’intersection de deux couleurs primaires, la couleur secondaire apparaît, et à l’intersection des trois couleurs, c’est le blanc qui apparaît. Couleurs complémentaires Deux couleurs placées à 180 degrés l’une de l’autre sur la roue sont appelées couleurs complémentaires. L’ajout de deux couleurs complémentaires de même saturation neutralise les couleurs, produisant des nuances de gris. c’est ce que l’on constate sur les deux roues de couleurs qui se chevauchent de l’illustration ci-dessous. Là où le rouge et le cyan se chevauchent, les deux couleurs sont neutralisées. Il est essentiel de comprendre la relation des couleurs avec leurs couleurs complémentaires pour savoir comment éliminer ou introduire des dominantes de couleur dans une image à l’aide des options d’étalonnage des couleurs primaires et secondaires de Color.Ainsi, pour éliminer un reflet bleuté dans les hautes lumières d’une lumière du jour non corrigée, on ajoute un peu d’orange pour neutraliser un peu toutes ces couleurs. Ces principes sont décrits de façon plus détaillées au chapitre 9, « Primary In », à la page 191.Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) 37 Le modèle de couleurs HSL Le modèle de couleurs HSL est une autre méthode de représentation de la couleur, qui est généralement utilisée au niveau des options de l’interface utilisateur vous permettant de choisir ou de régler les couleurs. HSL signifie « Hue, Saturation and Lightness » (ou en français « Teinte, Saturation et Luminosité ou Luminance »). Ce modèle permet de visualiser les relations entre la luminance, la teinte et la saturation. Le modèle de « l’espace colorimétrique » HSL peut être illustré graphiquement sous la forme d’un cône à trois dimensions. La teinte est représentée par un angle à la base du cône, comme illustré ci-dessous, tandis que la saturation est représentée par la distance entre le centre et le bord du cône, le centre étant complètement désaturé et le bord étant saturé à une intensité maximale. La luminosité d’une couleur peut alors être représentée par la distance entre la base et le sommet du cône. Color offre en fait un vidéoscope à trois dimensions permettant d’afficher les couleurs d’une image dans un espace HSL extrudé, à des fins d’analyse d’image. Pour en savoir plus, consultez la section « Vidéoscope d’espace colorimétrique 3D » à la page 185.2 39 2 Flux de production de l’étalonnage Pour tirer le meilleur parti de Color, il est nécessaire de gérer soigneusement le flux de production. Ce chapitre explique brièvement comment Color s’intègre à votre flux de postproduction. Color a été conçu pour travailler de concert avec des applications de montage telles que Final Cut Pro grâce à la prise en charge des données multimédias QuickTime et XML ou avec d’autres environnements de montage grâce à la prise en charge des listes de points de montage (EDL, Edit Decision List) et des séquence d’images. Alors que d’autres dispositifs se chargent de la capture de l’entrée vidéo et film et de son montage, Color offre un environnement dédié permettant de se concentrer sur l’étalonnage (ou « correction de couleurs ») et sur les effets connexes. Ce chapitre donne un rapide aperçu de la façon dont vous pouvez guider votre projet d’un bout à l’autre d’un flux de production dans lequel Color est utilisé pour la correction des couleurs. Il fournit des informations sur les flux de production pour la vidéo professionnelle haute définition et de définition standard et sur les flux de production intermédiaires numériques au format 2K. Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  Aperçu du flux de production Color (p. 40)  Limitations de Color (p. 42)  Flux de production pour la finalisation de la vidéo à l’aide de Final Cut Pro (p. 44)  Importation de projets à partir d’autres applications de montage vidéo (p. 53)  Utilisation de Color dans un flux de production intermédiaire numérique (p. 57)  Utilisation des listes de montage, du timecode et des numéros d’images pour la conformation des projets (p. 66)40 Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage Aperçu du flux de production Color Les contrôles Color se répartissent sur huit studios qui disposent chacun de leur propre onglet et correspondent à des étapes différentes d’un flux de production de correction de couleurs typique. Chaque studio que vous sélectionnez remappe les boutons, les cadrans et les boules de commande de votre palette de commande (si vous en avez une) de sorte qu’ils correspondent aux contrôles de ce studio. Chaque studio rassemble en un seul écran tous les contrôles relatifs à une étape particulière du processus de correction de couleurs. L’ordre dans lequel les studios sont organisés correspond à celui d’un flux de production de correction de couleurs typique. Vous pouvez ainsi utiliser successivement les contrôles des onglets Primary (primaires), Secondary (secondaires), Color FX (effets de couleur), Primary Out (primaires sur sortie) et finalement Geometry (géométrie) au cours de votre travail sur chaque plan du projet.  Setup : le studio Setup (configuration) est le point de départ de tous les projets. C’est l’endroit dans lequel vous importez et gérez les plans de votre programme et où se trouvent la zone d’étalonnage, les réglages du projet et les préférences de l’application. Dans la zone des réglages du projet qui se trouve dans le studio Setup, les coloristes vidéo trouveront les contrôles de seuils de diffusion (Broadcast Safe) leur permettant d’appliquer des restrictions de gamme de couleurs à l’ensemble du programme.  Primary In : les corrections de couleurs primaires ont eu une incidence sur l’ensemble de l’image. C’est donc dans ce studio que vous effectuez les réglages généraux de la couleur et du contraste de chaque plan. Les contrôles des courbes et de la balance de couleurs permettent d’ajuster les couleurs dans les ombres, les tons intermédiaires et les tons clairs de l’image. Les contrôles de prélèvement, de gamma et de gain permettent d’ajuster le contraste de façon précise afin de modifier la luminosité de différentes parties de l’image. Ce studio comprend aussi des contrôles pour la saturation de l’ensemble de l’image, celle des tons clairs et celle des ombres, ainsi que des contrôles pour la valeur de tirage (ou lumière de tirage) que les coloristes peuvent utiliser pour étalonner un film.  Secondaries : les corrections de couleurs secondaires sont des ajustements ciblés réalisés sur certaines parties spécifiques de l’image. Ce studio propose de nombreuses méthodes pour isoler, ou qualifier, les parties de l’image que vous souhaitez corriger. Il comprend des contrôles permettant d’isoler une partie de l’image à l’aide de masques de formes différentes. D’autres contrôles vous offrent la possibilité d’isoler certaines parties de l’image à l’aide d’un masque d’effets chromatiques permettant de spécifier la teinte, la saturation et la luminance. Il est possible de soumettre chaque plan à huit types de corrections secondaires. En outre, des courbes secondaires spécifiques permettent de régler la teinte, la saturation et la luminance à l’intérieur de segments particuliers du spectre.Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage 41  Color FX : le studio Color FX vous permet de créer vos propres effets personnalisés grâce à une interface arborescente à « nœuds » dont ne disposent généralement que les applications de compositing haut de gamme telles que Shake. Chacun de ces nœuds destinés aux effets peut être lié aux autres en des milliers de combinaisons pour créer rapidement de nombreux types différents d’effets de couleur. Ils est possible d’enregistrer les effets personnalisés dans la zone d’étalonnage Color FX en vue d’une utilisation ultérieure. Vous pourrez ainsi appliquer le même type d’effets de couleur à vos futurs projets.  Primary Out : le studio Primary Out est identique au studio Primary In si ce n’est que ses corrections de couleurs s’appliquent aux plans après le traitement de ces derniers par tous les autres studios d’étalonnage de couleurs. Ceci vous permet de traiter vos images a posteriori, une fois que toutes les autres corrections ont été effectuées.  Geometry : le studio Geometry permet de recadrer, faire pivoter, retourner et renverser les plans selon les besoins. Il fournit également des outils permettant de créer des masques personnalisés et d’effectuer des analyses du suivi de l’animation et de gérer ces dernières. L’utilisation du studio Geometry dépend du flux de production :  Dans le cas des projets convertis en boucle à partir de Final Cut Pro, les transformations relevant du studio Geometry ne sont pas rendues par Color lors de la sortie des données du projet étalonné. Au lieu de cela, toutes les transformations géomé- triques effectuées dans Color sont converties en réglages d’animation Final Cut Pro lorsque le projet est renvoyé à Final Cut Pro. Si vous le souhaitez, vous pourrez personnaliser davantage ces effets dans Final Cut Pro avant le rendu et la sortie.  Dans le cas des projets intermédiaires numériques au format 2K, les transformations effectuées dans le studio Geometry sont traitées par Color lors du rendu des données de sortie. Remarque : lorsque vous envoyez un projet de Final Cut Pro à Color, les effets de l’onglet Motion (animation) compatibles sont convertis en réglages de studio Geometry, ce qui vous permet d’afficher un aperçu et d’ajuster ces transformations lors de la correction des couleurs. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 15, « Studio Geometry », à la page 331.  Still Store : ce studio permet d’enregistrer des images de n’importe quel plan figurant dans le plan de montage et de créer ainsi, à partir de votre programme, une bibliothèque d’images fixes de référence que vous pourrez ensuite consulter pour faire une comparaison avec d’autres plans sur lesquels vous essayez d’apporter le même type de corrections. Vous pouvez à tout moment charger en mémoire une image du magasin d’images fixes (Still Store), puis basculer entre celle-ci et celle sur laquelle se trouve actuellement la tête de lecture à l’aide des contrôles du menu Still Store. Le magasin d’images fixes comprend aussi des contrôles permettant de créer et de personnaliser des écrans multiples (split-screen) dont vous pouvez vous servir pour équilibrer un plan par rapport à un autre. Toutes les comparaisons Still Store sont envoyées aux sorties preview et moniteur broadcast.42 Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage  Render Queue : lorsque vous avez terminé d’étalonner votre programme dans Color, vous utilisez la file d’attente de rendu (Render Queue) pour gérer le rendu des plans de votre projet. Limitations de Color Color a été conçu pour fonctionner de concert avec des applications de montage telles que Final Cut Pro, qui se charge de l’entrée, du montage et de la sortie alors que Color vous permet de vous concentrer sur la correction des couleurs et sur les effets connexes. Toutefois, malgré ses nombreuses fonctionnalités, Color ne permet pas de réaliser certaines tâches particulières :  Enregistrement : Color ne permet pas de numériser ou de capturer des images vidéo ou film. Ceci signifie que vous devez importer dans Color des projets et des données créés avec une autre application.  Montage : Color n’est pas une application de montage. Les outils de montage mis à votre disposition sont principalement destinés aux coloristes qui travaillent sur des flux de production au format 2K dans lesquels le projet Color constitue la version finale qui deviendra le master numérique. Par défaut, les pistes des fichiers du projet XML importé sont verrouillées pour éviter l’introduction d’erreurs lors de montages ultérieurs une fois le projet renvoyé à Final Cut Pro. Afin de tenir compte des modifications apportées lors du montage, des outils de reconformation sont prévus pour synchroniser une liste de montage ou une séquence Final Cut Pro avec la version du projet en cours d’étalonnage dans Color. Pour en savoir plus, consultez la section « Reconformation de projets » à la page 94.  Filtres : il n’est pas possible d’obtenir un rendu ou un aperçu des filtres FXScript ou FXPlug de Final Cut Pro dans Color. Toutefois, ces filtres se trouvent toujours dans votre projet, et ils apparaîtront à nouveau une fois le projet renvoyé à Final Cut Pro. Remarque : en règle générale, il n’est pas recommandé de laisser les filtres de correction de couleurs dans votre projet Final Cut Pro lorsque vous l’envoyez à Color. Même s’ils n’ont aucune effet lorsque vous travaillez avec Color, leur réapparition soudaine lorsque le projet est renvoyé à Final Cut Pro peut donner lieu à des résultats inattendu.  Transitions : Color conserve les donnés de transition que peuvent éventuellement contenir une liste de montage ou un fichier XML importés, mais ne lit pas les transitions lors des aperçus. Leur rendu dépend de la façon dont le projet est traité :  Dans le cas des projets convertis en boucle à partir de Final Cut Pro, les transitions ne sont pas rendues dans Color lors de la sortie. Au lieu de cela, après le renvoi du projet, Final Cut Pro est chargé de rendre ces effets.  Dans le cas des intermédiaires numériques en 2K, toutes les transitions vidéo sont ignorées.  Superpositions : les plans superposés apparaissent dans le plan de montage, mais les opérations de compositing impliquant l’opacité ne sont ni affichées ni rendues.Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage 43  Effets de vitesse : Color ne fournit aucune interface pour l’ajout d’effets de vitesse et laisse cette tâche à l’application de montage dans laquelle le projet a été créé à l’origine. Il est possible de voir les effets de vitesse linéaire et de vitesse variable que contient déjà votre projet, tels que ceux qui ont été ajoutés dans Final Cut Pro lors de la lecture des aperçus, mais ils ne sont pas rendus dans Color lors de la sortie. On compte en effet sur Final Cut Pro pour rendre ces effets dans le cas des flux de production avec conversion en boucle.  Générateurs Final Cut Pro et plans de projets Motion ou LiveType : les générateurs Final Cut Pro, les projets Motion et les projets LiveType sont totalement ignorés par Color. La façon dont vous traitez ce type d’effets dépend également de votre flux de production :  Si vous convertissez un projet en boucle entre Final Cut Pro et Color et souhaitez étalonner ces effets dans Color, vous devriez rendre ces effets en tant que fichiers vidéo QuickTime (.mov) autonomes. Insérez ensuite ces nouveaux fichiers vidéo dans votre séquence pour remplacer les plans correspondant aux effets originaux avant d’envoyer votre projet à Color.  Si le projet est converti en boucle entre Final Cut Pro et Color et si ces effets ne nécessitent aucun étalonnage, il n’est pas nécessaire de faire quoi que ce soit. Même si ces effets ne s’affichent pas dans Color, ils conservent leur position dans le plan de montage, de sorte qu’ils réapparaîtront dans Final Cut Pro lorsque vous y renverrez le projet. Les titres sont un bon exemple d’effets qui, en général, n’ont pas besoin d’être étalonnés.  Si vous travaillez sur un projet intermédiaire numérique au format 2K, vous devrez vous servir d’une application de compositing telle que Shake ou Motion pour composer tous les effets qui utilisent les données de la séquence d’images. Important : lorsque vous envoyez des images faisant partie de vos données multimé- dias à une application de compositing, il est crucial de ne pas modifier leur numéro dans les noms de fichiers de la nouvelle séquence d’images que vous générez. Le numéro d’image de chaque fichier image permet de connaître sa position dans le plan de montage du programme. Tous les effets créés au cours d’un flux de production intermé- diaire numérique au format 2K exigent donc une gestion méticuleuse des fichiers.  Plans Freeze Frame et fichiers d’images fixes : les images fixes utilisées dans les projets Final Cut Pro, y compris les images .tiff, .jpg, ou les plans Freeze Frame d’arrêt sur image créés par Final Cut Pro, sont également ignorées par Color. Si vous souhaitez étalonner des images fixes dans Color, vous devez les rendre en tant que séquences QuickTime (fichiers .mov) autonomes, puis les réinsérer dans votre séquence Final Cut Pro pour remplacer le plan original avant d’envoyer le projet à Color.44 Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage  Sortie vidéo ou film : bien que Color fournisse une sortie normalisée de la lecture de votre projet à des fins de visionnage, celle-ci n’est pas destinée à être utilisée comme sortie sur bande de votre programme. Ceci signifie que lorsque vous avez terminé de corriger les couleurs de votre projet dans Color, la sortie rendue doit être envoyée à Final Cut Pro où la sortie sur bande sera créée ou à un autre environnement si une sortie sur film est requise. Flux de production pour la finalisation de la vidéo à l’aide de Final Cut Pro Si un programme a été monté avec Final Cut Pro, son envoi à Color est relativement simple. Une fois le montage du programme effectué dans Final Cut Pro, si cela est nécessaire, vous devez reconformer le programme de façon à pouvoir utiliser les données source originales à leur plus haute qualité possible. Ceci fait, vous pouvez envoyer les données et les fichiers du projet à Color pour y corriger leurs couleurs. Lorsque la correction de couleurs sera terminée, vous devrez rendre le résultat puis renvoyer le projet à Final Cut Pro afin de créer la sortie finale, soit sur bande, soit sous la forme d’un fichier QuickTime. La façon exacte dont vous conformez vos données source dans Final Cut Pro dépend du type de données utilisées. Sortie du master final XML XML Nouveaux multimédia Color corrigées Multimédia online Correction de Color Rendu Effets de fin et sortie Color Final Cut Pro Multimédia source Final Cut Pro Montage Transfert vers Color Transfert vers Final Cut Pro Multimédia DonnéesChapitre 2 Flux de production de l’étalonnage 45 Flux de production impliquant une bande Dans le cas d’un flux de production off line / on line traditionnel impliquant une bande, le processus est simple. Les bandes sont capturées avec Final Cut Pro, éventuellement à une résolution off line de moindre qualité afin de faciliter le montage initial puisque, dans ce cas, les données utilisées requièrent moins d’espace disque et sont plus faciles à traiter étant donné qu’elles permettent l’utilisation d’une plus grande gamme d’ordinateurs. Une fois le montage off line terminé, les données utilisées par le programme monté doivent être recapturées à partir des bandes source à la qualité maximale. Les données on line qui en résultent seront celles qui seront utilisées pour la conversion en boucle entre Final Cut Pro et Color. La procédure ci-dessous décompose ce processus de façon plus explicite. Sortie du master final XML XML Nouveaux multimédia Color corrigées Multimédia online Correction de Color Rendu Effets de fin et sortie Color Final Cut Pro Final Cut Pro Montage offline Transfert vers Color Transfert vers Final Cut Pro Multimédia source Multimédia Données Doublons offline Reconformation online46 Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage Étape 1 : Capturez les données source à une résolution off line ou on line La façon dont vous abordez la capture de vos données avant le montage dépend de leur format. Les formats avec compression, tels que DV, DVCPRO-50, DVCPRO HD et HDV, peuvent être capturés à leur plus haute qualité sans besoin d’énormes ressources de stockage. Dans ce cas, le fait de capturer les données et d’effectuer leur montage en utilisant la résolution et le codec natifs permet d’éliminer l’étape ultérieure de la recapture de ces données (parfois appelée conformation) qui prend du temps. La recapture à une résolution plus basse ou à l’aide d’un codec de plus forte compression peut s’avérer intéressante pour les formats vidéo sans compression ou les projets qui comptent un très grand nombre de bobines de données source. Elle permet en effet non seulement d’économiser de l’espace disque mais aussi d’effectuer le montage sur des équipements moins coûteux. Vous devrez ultérieurement recapturer les données avant la correction des couleurs. Étape 2 : Effectuez le montage du programme dans Final Cut Pro Effectuez le montage du programme dans Final Cut Pro comme vous le feriez pour n’importe quel autre projet. Si vous comptez utiliser un grand nombre d’effets dans votre programme lors du montage, familiarisez-vous avec les thèmes couverts dans la section « Limitations de Color » à la page 42. Étape 3 : Au besoin, recapturez les données source à une résolution on line Si, à l’origine, vos données source ont été capturées à un format off line, vous devrez recapturer les données utilisées dans votre projet à la plus haute qualité disponible possible avant de les envoyer à Color.  Si vos données ont été initialement enregistrées à un format comprimé (par exemple, DV, DVCPRO-50, DVCPRO HD ou HDV), vous pouvez vous contenter de les recapturer avec la résolution et le codec source d´’origine. En effet, Color est capable de traiter les données comprimées et de convertir automatiquement les données d’image à une profondeur de bits sans compression plus élevée pour une meilleure qualité d’image lors du monitoring et du rendu.  Si vous capturez des données à un format vidéo de plus haute définition (par exemple Betacam SP, Digital Betacam, HDCAM et HDCAM SR) et si vous recherchez une qualité élevée mais devez recourir à la compression pour économiser votre espace disque et favoriser les performances, vous pouvez effectuer la nouvelle capture à l’aide du codec Apple ProRes 422 ou du codec de qualité plus élevée Apple ProRes 422 (HQ).  Si vous capturez des données à un format vidéo de haute définition et si vous voulez disposer de la plus haute qualité vidéo sans compression, sans considération pour les questions d’espace disque, effectuez la nouvelle capture de vos données au format Apple sans compression 8 bits 4:2:2 ou Apple sans compression 10 bits 4:2:2.Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage 47 Il se peut également qu’avant la recapture, vous souhaitiez profiter de l’occasion pour supprimer les données non utilisées à l’aide du Gestionnaire de données de Final Cut Pro afin d’économiser de l’espace disque, notamment si vous recapturez des données sans compression. Pour plus d’informations, consultez la documentation Final Cut Pro. Remarque : certains codecs, tels que HDV, peuvent solliciter le processeur plus que d’autres. Dans un tel cas, la capture ou la recompression des données à l’aide d’un codec sollicitant moins le processeur, par exemple Apple ProRes 422 ou Apple ProRes 422 (HQ), améliore les performances de l’application Color, tout en fournissant une qualité élevée et en occupant un espace de stockage mesuré. Étape 4 : Effectuez un pré-rendu de toute image fixe ou de tout effet à étalonner dans Color Color ne peut pas afficher ni traiter les images fixes, certains réglages d’animation, les filtres FXScript ou FxPlug, les générateurs Final Cut Pro (y compris les titres), les fichiers de projet Motion ou les fichiers de projet LiveType. Si vous souhaitez étalonner des plans qui contiennent certains de ces effets avec Color, vous devez les rendre en tant que séquences QuickTime (fichiers .mov) autonomes dans Final Cut Pro, puis les réinsérer dans votre séquence Final Cut Pro pour remplacer les plans originaux avant d’envoyer le projet à Color. Pour en savoir plus sur les effets et les fonctionnalités qui ne sont pas compatibles avec Color, reportez-vous à la section « Limitations de Color » à la page 42. Étape 5 : Préparez votre séquence Final Cut Pro Pour préparer votre séquence montée pour un flux de production efficace dans Color, suivez la procédure décrite dans la section « Avant d’exporter votre projet Final Cut Pro » à la page 89. Étape 6 : Envoyez la séquence à Color ou exportez un fichier XML Lorsque vous avez terminé la préparation de votre séquence montée, vous pouvez l’envoyer à Color de deux façons différentes.  Si Color est installé sur le même ordinateur que Final Cut Pro, vous pouvez vous servir de la commande « Envoyer à Color » pour envoyer l’intégralité d’une séquence montée à Color et créer ainsi automatiquement un nouveau fichier de projet.  Si vous envoyez le projet à une autre installation, il se peut que vous souhaitiez exporter la séquence montée en tant que fichier XML de sorte que le destinataire puisse l’importer dans Color. Dans ce cas, vous devriez également vous servir du Gestionnaire de données de Final Cut Pro pour copier les données du projet sur un disque dur portable de sorte que la livraison soit plus facile.48 Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage Étape 7 : Étalonnez votre programme avec Color Utilisez Color pour étalonner votre programme. Lorsque vous travaillez sur un projet converti en boucle à partir de Final Cut Pro, il est crucial d’éviter le déverrouillage des pistes ou un nouveau montage des plans dans le plan de montage. Ceci pourrait en effet vous empêcher de renvoyer le projet à Final Cut Pro. Si le client nécessite un nouveau montage alors que le processus d’étalonnage a déjà commencé, vous devriez effectuer ce montage dans Final Cut Pro, puis exporter une version XML de la séquence mise à jour que vous pouvez ensuite utiliser pour actualiser rapidement le projet Color en cours à l’aide de la commande Reconform. Pour en savoir plus, consultez la section « Reconformation de projets » à la page 94. Étape 8 : Rendez les nouvelles données source, puis envoyez le projet mis à jour à Final Cut Pro Une fois l’étalonnage terminé, vous utiliserez la file d’attente de rendu (Render Queue) de Color pour rendre tous les plans du projet sous la forme d’un nouvel ensemble distinct de fichiers de données étalonnées. Ceci fait, vous devrez envoyer le projet mis à jour à Final Cut Pro à l’aide de l’une des deux méthodes suivantes :  Si Color est installé sur le même ordinateur que Final Cut Pro, vous pouvez vous servir de la commande Send to Final Cut Pro.  Si vous renvoyez le projet étalonné à l’installation d’origine, vous devez exporter le projet Color sous la forme d’un fichier XML de sorte qu’il puisse ensuite être importé dans Final Cut Pro. Important : certains réglages de l’onglet Project Settings du studio Setup ont une incidence sur la façon dont les données rendues par Colorsont rendues dans Final Cut Pro. Ces réglages sont Deinterlace Renders, QuickTime Export Codec, Broadcast Safe et Handles. Assurez-vous de vérifier ces réglages et les autres avant de rendre la sortie finale. Étape 9 : Ajustez les transitions, les superpositions et les titres dans Final Cut Pro Pour produire la sortie de votre projet, vous devez réimporter les données du projet XML dans Final Cut Pro. Cette opération est automatique si vous utilisez la commande Send to Final Cut Pro. À ce stade, vous pouvez ajouter ou ajuster les autres effets que vous aviez appliqués précédemment dans Final Cut Pro avant de créer le master final du programme. Il se peut alors que vous souhaitiez tenir compte d’un certain nombre de considérations lors de la préparation du programme, notamment les suivantes :  Avez-vous d’un master « sans texte » du programme ou d’un master dans lequel les titres sont rendus en même temps que l’image ?  Y-a-t-il encore des plans correspondant à des effets qui doivent être importés et dont les couleurs doivent être corrigées dans Final Cut Pro ?Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage 49 Étape 10 : Enregistrez la sortie du master vidéo final sur bande ou créez le rendu du master sous la forme d’un fichier QuickTime Une fois tous les derniers ajustements effectués dans Final Cut Pro, vous pouvez créer la version finale de votre programme à l’aide des commandes Print to Video, Edit to Tape ou Export QuickTime Movie. Reconformation des données on line dans un flux de production de vidéo numérique sans bande Si un programme exploite un format vidéo sans bande, les étapes du processus sont similaires à celles décrites précédemment. Toutefois, elles peuvent concerner plusieurs jeux de fichiers QuickTime : les données originales à résolution on line, et peut-être un second jeu de fichiers de données converties à une résolution off line plus basse pour faciliter les opérations de montage. Après le montage off line, la conformation on line suppose un rétablissement du lien aux données source originales avant la conversion en boucle entre Final Cut Pro et Color. Vous trouverez ci-dessous une explication plus détaillée de la procédure de ce flux de production permettant de passer du format off line au format on line. Sortie du master final XML XML Nouveaux multimédia Color corrigées Multimédia online Correction de Color Rendu Effets de fin et sortie Color Final Cut Pro Final Cut Pro Montage offline Transfert vers Color Transfert vers Final Cut Pro Multimédia Donées Reconformation online Multimédia source Doublons offline50 Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage Étape 1 : Filmez et sauvegardez toutes les données source Filmez le projet en l’enregistrant au format sans bande que vous avez choisi. Lors du tournage, veillez à faire des copies de sauvegarde de toutes vos données et à les conserver au cas où un problème surviendrait avec le dispositif de stockage principal. Étape 2 : Créez des doubles à une résolution off line et archivez les données à la résolution originale Au besoin, faites une copie des données source à une résolution off line en utilisant le format le plus approprié à votre système. Ensuite, archivez les données source originales de telle sorte que rien ne puisse leur arriver. Important : lors de la création des doubles off line des données sans bande, il est crucial de dupliquer et de respecter le timecode et les noms de fichiers originaux utilisés lors de la création des fichiers source. Dans le cas contraire, vous ne serez pas en mesure de rétablir aisément le lien aux fichiers source originaux en haute résolution une fois le montage off line terminé. Étape 3 : Effectuez le montage du programme dans Final Cut Pro Effectuez le montage du programme dans Final Cut Pro comme vous le feriez pour n’importe quel autre projet. Si vous comptez utiliser un grand nombre d’effets dans votre programme lors du montage, familiarisez-vous avec les thèmes couverts dans la section « Limitations de Color » à la page 42. Étape 4 : Rétablissez le lien entre votre séquence montée et les données source originales Une fois le montage off line terminé, vous devrez rétablir les données source originales de qualité on line et rétablir le lien entre votre projet et les fichiers en haute résolution. Étape 5 : Effectuez un pré-rendu des effets, envoyez la séquence à Color et procé- dez à son étalonnage À ce stade, le flux de production est identique à celui qui est décrit dans l’étape 7 de la section « Flux de production impliquant une bande » à la page 45.Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage 51 Reconformation des données on line dans un flux de production de vidéo numérique avec télécinéma Si vous travaillez sur un projet tourné sur pellicule mais qui sera masterisé sur vidéo, il doit être transféré du film sur une bande à l’aide d’un télécinéma (numérisation) avant sa capture et son montage dans Final Cut Pro. Ensuite, le reste du montage off line et on line est le même que pour tout autre format reposant sur l’utilisation d’une bande. Vous trouverez ci-dessous une explication plus détaillée de la procédure de ce flux de production permettant de passer du format off line au format on line. XML Multimédia online Final Color Cut Pro Transfert vers Color Négatif de la caméra Multimédia vidéo transférés Télécinéma Montages offline et online Sortie du master final XML Nouveaux multimédia Color corrigées Effets de fin et sortie Final Cut Pro Transfert vers Final Cut Pro Correction Rendu de Color Multimédia Données52 Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage Étape 1 : Tournez votre film Filmez le projet tout comme vous le feriez pour n’importe quel autre projet enregistré sur pellicule. Étape 2 : Numérisez les rushes à l’aide d’un télécinéma Une fois le tournage du film terminé, développez les rushes et passez-les au télécinéma pour les numériser à un format vidéo approprié à votre flux de production.  Certains producteurs préfèrent faire des économies dès le départ en effectuant un transfert « à lumière unique » de toutes les images vers un format vidéo off line bon marché destiné au montage off line initial (un transfert à lumière unique désigne le transfert de scènes entières avec un seul réglage de correction de couleurs). Ceci peut se traduire par une réduction des coûts et un gain de temps au début, mais un deuxième télécinéma peut être requis pour retransférer uniquement les images utilisées au cours du montage à une qualité supérieure sur le plan visuel.  D’autres producteurs choisissent de transférer tous les rushes (ou tout du moins les prises de vue sélectionnées par le réalisateur) en recourant à un transfert « à la meilleure lumière » dans lequel chacun des réglages de correction de couleurs est ajusté individuellement pour chaque plan à numériser, ce qui permet d’optimiser la couleur et l’exposition au cas par cas. Les images sont transférées à un format vidéo de haute qualité capable de conserver la plus grande quantité possible de données d’images. Cette option peut s’avérer beaucoup plus chère dans un premier temps, mais elle permet de faire des économies par la suite puisqu’il n’est pas nécessaire d’effectuer un deuxième télécinéma. Étape 3 : Capturez les données source à une résolution off line ou on line La méthode utilisée pour la capture des données avant le montage dépend du flux de production. Si vous avez numérisé des données de qualité off line avec un télécinéma, vous pouvez vous contenter de les capturer à l’aide d’un codec de qualité off line. En revanche, si vous avez numérisé des données de qualité on line avec un télécinéma, vous pouvez soit suivre un flux de production impliquant une conversion « off line / on line », soit capturer les données à l’aide d’un codec on line, puis travailler sur votre programme en qualité on line jusqu’à la fin. Étape 4 : Effectuez le montage du programme dans Final Cut Pro Effectuez le montage du programme dans Final Cut Pro comme vous le feriez pour n’importe quel autre projet. Si vous comptez utiliser un grand nombre d’effets dans votre programme lors du montage, familiarisez-vous avec les thèmes couverts dans la section « Limitations de Color » à la page 42.Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage 53 Étape 5 : Recapturez ou retransférez les données à une résolution on line (si nécessaire) La méthode utilisée pour la conformation du projet off line en données de qualité on line dépend de la façon dont vous avez effectué le transfert initial sur vidéo.  Si à l’origine vous avez converti vos images à un format vidéo on line à l’aide d’un télé- cinéma de haute qualité, mais qu’ensuite vous avez capturé vos données source à un format off line pour le montage, vous devrez recapturer les données à partir des bandes source originales issues du télécinéma au format QuickTime sans compression de la plus haute qualité possible que votre ordinateur peut prendre en charge (par exemple, Apple ProRes 422 ou Apple sans compression), puis il vous faudra rétablir le lien entre les nouvelles données et votre projet.  Si en revanche vous avez utilisé un télécinéma peu coûteux à lumière unique pour convertir vos images à un format vidéo off line, vous devrez effectuer à nouveau une numérisation avec un autre télécinéma pour transférer uniquement les données que vous avez utilisées dans le programme à un format de haute qualité. Cinema Tools permet de générer une liste d’épreuves dont vous pouvez ensuite vous servir pour retransférer méticuleusement les images nécessaires à un format vidéo de qualité on line. Vous devrez ensuite recapturer les nouvelles données on line issues de ce transfert au format QuickTime sans compression de la plus haute qualité possible que votre ordinateur peut prendre en charge. Important : ne vous servez pas du Gestionnaire de données pour renommer ou supprimer les données non utilisées de votre projet lorsque vous travaillez sur des données off line correspondant au négatif de la caméra. En effet, vous n’auriez plus la possibilité de créer des listes d’épreuves précises dans Cinema Tools. Étape 6 : Effectuez un pré-rendu des effets, envoyez la séquence à Color et procé- dez à son étalonnage À ce stade, le flux de production est identique à celui qui est décrit dans l’étape 7 de la section « Flux de production impliquant une bande » à la page 45. Importation de projets à partir d’autres applications de montage vidéo Color peut également importer des projets d’autres environnements de montage par le biais des listes de montage (EDL, Edit Decision Lists). Une liste de montage est une liste d’événements qui répertorie toutes les coupes et les transitions dont le programme est composé. Une fois que vous avez importé votre fichier de projet dans Color et copié les données du programme sur un dispositif de stockage offrant des performances appropriées, vous pouvez lier les plans qui se trouvent dans le plan de montage de Color avec les données qui leur correspondent.54 Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage Importation des listes de montage dans le cas d’une conversion en boucle entre Final Cut Pro et Color Si une liste de montage correspondant au programme monté et une boîte de données source vous ont été fournies, vous pouvez importer la liste de montage dans Final Cut Pro pour capturer les données du projet et préparer ce dernier en vue de l’envoyer à Color. Outre le fait de permettre la recapture des images, Final Cut Pro est compatible avec un plus grand nombre de formats de listes de montage que Color. Par ailleurs, outre les montages vidéo, Final Cut Pro est capable de lire les montages audio et les superpositions. Remarque : Color permet d’importer directement les listes de montage mais ne peut lire que la partie vidéo des montages, dans la piste V1. Les transitions vidéo, l’audio et les surimpositions sont ignorées. Étape 1 : Importez le projet dans Final Cut Pro Importez la liste de montage du projet monté dans Final Cut Pro. Étape 2 : Capturez les données à une résolution on line Vous devez recapturer la séquence créée lors de l’importation de la liste des points de montage en recourant au format QuickTime de la plus haute qualité que puisse traiter votre ordinateur (comme Apple ProRes 422 ou Apple sans compression). Étape 3 : Effectuez un pré-rendu des effets, envoyez la séquence à Color et procé- dez à son étalonnage À ce stade, le flux de production est identique à celui qui est décrit dans l’étape 7 de la section « Flux de production impliquant une bande » à la page 45. Final Cut Pro XML Multimédia online Multimédia source et fichier EDL Color Transfert vers Color Sortie du master final XML Nouveaux multimédia Color corrigées Effets de fin et sortie Final Cut Pro Transfert vers Final Cut Pro Correction Rendu de Color Multimédia Données Importation des listes de montage pour créer un projet Nouvelle capture de multimédiaChapitre 2 Flux de production de l’étalonnage 55 Importation et marquage des masters prémontés du programme Il existe une autre façon courante d’obtenir un programme en vue de la correction de couleurs qui consiste à recevoir un master monté, soit sur bande, soit sous la forme d’une séquence QuickTime ou d’une séquence d’images, accompagné d’une liste de montage. Vous pouvez utiliser la liste de montage pour ajouter automatiquement les coupes au fichier de données du master dans Color (ce qui s’appelle « marquer » ou « encocher » les données) pour faciliter l’étalonnage individuel de chaque plan du programme. Étape 1 : Importez le projet dans Final Cut Pro Importez la liste de montage du projet monté dans Final Cut Pro. Étape 2 : Capturez le master du programme (si nécessaire) Si on vous a confié le master du programme sur bande, vous devez recapturer entièrement ledit programme en recourant au format QuickTime de la plus haute qualité que puisse traiter votre ordinateur (comme Apple ProRes 422 ou Apple sans compression). Si le master du programme vous est fourni sous la forme d’un fichier QuickTime, vous devriez également demander à la personne qui vous remet les données de vous envoyer ce fichier QuickTime à la plus haute qualité que votre ordinateur est capable de traiter. Pour que ce processus se déroule correctement, il est préférable que le timecode de la première image des données corresponde au premier timecode de la liste de montage. Étape 3 : Importez la liste de montage dans Color, puis rétablissez le lien au fichier de données du master Sélectionnez la liste de montage dans la zone de dialogue Projects qui apparaît lorsque vous ouvrez Color pour la première fois ou utilisez la commande File > Import > EDL. Lorsque la zone de dialogue EDL Import Settings apparaît, choisissez le format de la liste de montage, le projet, la liste de montage et la fréquence d’images des données source. Capture de l'intégralité du programme Final Cut Pro Multimédia online Bande Master Color Sortie du master final XML Nouveaux multimédia Color corrigées Effets de fin et sortie Final Cut Pro Transfert vers Final Cut Pro Rendu Multimédia Données Création d'un projet Color à partir d'une liste de montage (EDL) pour « encoder » le multimédia online Correction de Color56 Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage Pour marquer (« encocher ») correctement le fichier de données du master, vous devez vous assurer d’activer Use as Cut List, puis choisir le fichier de données du master que vous avez capturé ou que l’on vous a remis. Pour en savoir plus, consultez la section « Importation de listes de montage (EDL) » à la page 95. Étape 4 : Étalonnez votre programme avec Color Utilisez Color pour étalonner votre programme. Étape 5 : Rendez les nouvelles données source, puis envoyez le projet mis à jour à Final Cut Pro Une fois l’étalonnage terminé, vous utiliserez la file d’attente de rendu (Render Queue) de Color pour rendre tous les plans du projet sous la forme d’un nouvel ensemble distinct de fichiers de données étalonnées. Ceci fait, vous devrez envoyer le projet mis à jour à Final Cut Pro à l’aide de l’une des deux méthodes suivantes :  Si Color est installé sur le même ordinateur que Final Cut Pro, vous pouvez vous servir de la commande Send to Final Cut Pro.  Si vous renvoyez le projet étalonné à l’installation d’origine, vous devez exporter le projet Color sous la forme d’un fichier XML de sorte qu’il puisse ensuite être importé dans Final Cut Pro. Remarque : lorsque vous envoyez à Final Cut Pro un projet initialement importé dans Color, vous n’envoyez en fait que les plans qui sont disponible dans Color, qui se limitent généralement à ceux qui se trouvent sur la piste V1. En effet, Color ne prend pas en charge les pistes audio ni les effets de superposition. Étape 6 : Ajustez les transitions, les superpositions et les titres dans Final Cut Pro Pour produire la sortie de votre projet, vous devez réimporter les données du projet XML dans Final Cut Pro. Cette opération est automatique si vous utilisez la commande Send to Final Cut Pro. À ce stade, vous pouvez ajouter d’autres effets dans Final Cut Pro avant de créer le master final du programme. Étape 7 : Enregistrez la sortie du master vidéo final sur bande ou créez le rendu du master sous la forme d’un fichier QuickTime Une fois tous les derniers ajustements effectués dans Final Cut Pro, vous pouvez créer la version finale de votre programme à l’aide des commandes Print to Video, Edit to Tape ou Export QuickTime Movie.Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage 57 Utilisation de Color dans un flux de production intermédiaire numérique Color prend en charge l’étalonnage pour les flux de production intermédiaires numériques au format 2K. Pour parler simplement, les termes intermédiaire numérique décrivent le processus qui consiste à créer tous les effets et à corriger les couleurs sur les versions numériques en haute résolution du négatif original de la caméra. Color permet de travailler avec des séquences d’images logarithmiques 10 bits au format 2K obtenues à l’aide d’un télécinéma avec stockage sur disques durs, et ce grâce au traitement des données d’image à une qualité extrêmement haute et au rendu du résultat sous la forme d’une séquence d’images à partir de laquelle il est possible de créer une sortie sur film. Les sections ci-dessous décrivent différents flux de production au format 2K que vous pouvez suivre et vous indique comment ne pas perdre la trace de vos données d’image d’une étape à l’autre. Flux de production intermédiaire numérique sans bande impliquant des doubles numériques à une résolution on line / off line Les flux de production intermédiaires numériques les plus simples sont ceux dans lesquels vous numérisez toutes les images nécessaires pour le montage off line puis créez un double des données off line que vous utiliserez pour monter votre projet. Une fois le montage off line terminé, vous rétablissez le lien entre le programme et les images source originales au format 2K dans Color.58 Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage La création des données off line à partir des données numériques originales permet d’assurer la simplicité du flux de production et d’éliminer la nécessité de retransférer le film source ultérieurement. Le seul inconvénient de cette méthode est qu’elle requiert une énorme quantité d’espace de stockage, qui dépend de la longueur du projet et de son ratio de tournage. La procédure ci-dessous décompose ce processus de façon plus explicite. Color Regroupement du multimédia de rendu Conformation Correction de Color Rendu Négatif de la caméra Transferts télécinéma haute définition Séquence d'images DPX avec résolution de 2k Séquence de sortie finale Enregistreur de film Impression de film Conversion QuickTime off line Multimédia Données Final Cut Pro Montage offlineChapitre 2 Flux de production de l’étalonnage 59 Étape 1 : Tournez votre film L’idéal serait que de faire quelques essais avant la photographie principale pour voir comment le transfert du scanneur de film à Color puis à l’enregistreur de film fonctionne avec les formats de film et les pellicules que vous avez choisis. Il est toujours préférable de consulter à l’avance le laboratoire de films avec lequel vous travaillerez pour obtenir le maximum d’informations possible. Étape 2 : Numérisez l’intégralité du film pour convertir ce dernier en séquences d’images DPX de résolution 2K Selon la façon dont le tournage a été mené, vous pouvez numériser à la meilleure lumière à l’aide d’un télécinéma avec stockage sur disques durs uniquement les plans sélectionnés ou l’intégralité du négatif de la caméra, si vous pouvez vous le permettre. Les données source numériques au format 2K résultant de la numérisation devraient être enregistrées sous la forme de séquences d’images DPX ou Cineon. Pour ne pas perdre de vue la correspondance entre les images fixes originales et les fichiers QuickTime off line que vous créerez pour le montage, procédez de la façon suivante :  demandez l’enregistrement dans l’en-tête de chaque image numérisée du numéro absolu de cette image, obtenue à partir du timecode non-drop frame (qui figure dans le nom de fichier de cette image) ;  il peut aussi être utile d’organiser toutes les images numérisées dans des répertoires distincts, c’est-à-dire d’enregistrer toutes les images de chaque pellicule de négatif dans un répertoire à part (dont le nom correspondra à la pellicule en question). Étape 3 : Convertissez les séquences d’images DPX en fichiers QuickTime à une résolution off line Créez des doubles des données source à une résolution off line en utilisant le format le plus approprié à votre système de montage. Ensuite, archivez les données source originales de telle sorte que rien ne puisse leur arriver. Lorsque vous convertissez les fichiers DPX en fichiers QuickTime à une résolution off line :  le numéro de pellicule de chaque séquence d’images devrait être utilisé comme numéro de bobine pour chaque fichier .mov correspondant ;  les valeurs de timecode stockées dans l’en-tête de chaque fichier d’image devraient être utilisées comme timecode pour chaque fichier .mov correspondant. Vous pouvez vous servir de Color pour effectuer cette conversion à une plus basse résolution en créant un nouveau projet après avoir défini le type de fichier de rendu (Render File Type) à QuickTime et choisi le codec que vous souhaitez utiliser pour l’exportation dans Export Codec. Ensuite, il vous suffit de monter tous les plans que vous souhaitez convertir dans le plan de montage, de les ajouter à la file d’attente de rendu (Render Queue), puis de cliquer sur Start Render. Pour en savoir plus, consultez la section « Conversion de séquences d’images Cineon et DPX au format QuickTime » à la page 104.60 Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage ? Conseil : si vous pouvez convertir les données à un format comprimé haute définition, tel que Apple ProRes 422 ou Apple ProRes 422 (HQ), vous serez en mesure de monter les données off line de votre projet sur un équipement informatique peu coûteux tout en conservant la possibilité, pendant le processus de montage, de générer la sortie ou exporter le projet à une résolution suffisamment élevée permettant d’assurer la haute qualité de la projection privée du client ou de la projection publique. Étape 4 : Effectuez le montage off line dans Final Cut Pro Effectuez le montage de votre projet dans Final Cut Pro en prenant soin de ne pas modifier le timecode ou la durée des plans off line de quelque façon que ce soit. Étape 5 : Préparez votre séquence Final Cut Pro Pour préparer votre séquence montée pour un flux de production efficace dans Color, suivez la procédure décrite dans la section « Avant d’exporter votre projet Final Cut Pro » à la page 89. Étape 6 : Exportez une liste de montage Lorsque vous aurez terminé le montage, vous devez générer une liste de montage au format CMX 340, CMX 3600 ou GVG 4 Plus. Important : vous ne pouvez pas utiliser la commande Send to Color pour envoyer des projets au format 2K à Color. Étape 7 : Importez la liste de montage dans Color, puis rétablissez le lien aux données DPX originales Utilisez la commande File > Import > EDL pour importer la liste de montage. Dans la zone de dialogue Import EDL, vous spécifiez également le répertoire dans lequel se trouvent les données source originales en haute résolution de sorte que l’importation de la liste de montage et le rétablissement du lien aux données source se fassent en une seule étape. Étape 8 : Étalonnez votre programme avec Color Étalonnez votre programme avec Color comme vous le feriez pour n’importe quel autre projet. Important : lors de l’étalonnage des images d’un film numérisé, il est essentiel d’utiliser systématiquement des tables de correspondance (LUT) soigneusement profilées pour le calibrage du moniteur et d’émuler l’apparence finale qu’aura le projet une fois tiré sur film lorsque vous faites des ajustements dans Color. Pour en savoir plus, consultez la section « Utilisation des tables de conversion d’affichage » à la page 138.Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage 61 Étape 9 : Conformez les transitions, les effets et les titres Dans le cadre d’un flux de production 2K, vous devez aussi recourir à une application de compositing telle que Shake pour créer les transitions et les effets en couche, dont les surimpositions, les titres et les autres images composites, en utilisant les données de la séquence d’images au format 2K. Important : le numéro d’image de chaque fichier image indique la position de ce dernier dans le plan de montage du programme. C’est la raison pour laquelle il est crucial que les numéros d’images qui apparaissent dans les noms de fichiers des données nouvellement rendues soient identiques à ceux des données source originales lorsque vous envoyez des images à une application de compositing. Il est donc nécessaire de gérer les fichiers avec soin. Étape 10 : Effectuez le rendu de vos données dans une application autre que Color Une fois que vous avez terminé d’étalonner votre programme dans Color, utilisez la file d’attente de rendu (Render Queue) pour rendre les données finales. La file d’attente de rendu a été conçue pour vous permettre de rendre aisément votre projet de façon progressive. Par exemple, vous avez la possibilité de rendre tous les plans d’un programme étalonnés pendant la journée au cours de la nuit suivante de sorte que vous ne soyez pas obligé de rendre l’ensemble du projet immédiatement. Toutefois, lorsque vous travaillez sur un projet dans lequel des séquence d’images numérisées au format 2K sont utilisées, le rendu des données n’est que la première étape. La sortie rendue est enregistrée dans le répertoire de rendu spécifié de manière à faciliter la gestion et la génération d’un nouveau rendu des données pour votre projetColor, mais elle ne sera prête pour la livraison au laboratoire chargé de l’enregistrement du film qu’après la prochaine étape. Étape 11 : Utilisez la commande Gather Rendered Media pour assembler la séquence d’images finale destinée à la livraison Une fois que tous les plans de votre programme ont été rendus, vous devez utiliser la commande Gather Rendered Media command pour regrouper toutes les images qui ont été rendues, en éliminant les poignées, en copiant toutes les images utilisées par le programme dans un seul répertoire et en les renumérotant de façon à créer une séquence d’images de numérotation continue. Lorsque ceci est fait, les données rendues seront prêtes à être livrées au laboratoire chargé de l’enregistrement du film.62 Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage Flux de production intermédiaire numérique impliquant des données à une résolution on line / off line obtenues à l’aide d’un télécinéma Il existe une méthode plus traditionnelle pour effectuer le montage et la correction des couleurs d’un projet. Elle consiste à effectuer un montage off line avec des données obtenues après un transfert des rushes à l’aide d’un télécinéma, ce qui s’avère plus économique, puis à numériser avec un télécinéma haute définition avec stockage sur disques durs (datacine) uniquement les plans utilisés lors du montage pour créer les données on line. La procédure ci-dessous décompose ce processus de façon plus explicite. Négatif de la caméra Exportation de la liste d'épreuves Télécinéma haute définition Télécinéma Séquence d'images DPX Multimédia Ddonnées Color Regroupement du multimédia de rendu Séquence de sortie finale Enregistreur de film Impression de film Cinema Tools Création de la base de données Capture Final Cut Pro Montage offline Conformation Correction de Color RenduChapitre 2 Flux de production de l’étalonnage 63 Étape 1 : Tournez votre film L’idéal serait que de faire quelques essais avant la photographie principale pour voir comment le transfert du scanneur de film à Color puis à l’enregistreur de film fonctionne avec les formats de film et les pellicules que vous avez choisis. Il est toujours préférable de consulter à l’avance le laboratoire de films avec lequel vous travaillerez pour obtenir le maximum d’informations possible. Étape 2 : Numérisez les rushes à l’aide d’un télécinéma Une fois le tournage du film terminé, passez les rushes au télécinéma pour les numériser à un format vidéo approprié pour le montage off line. Vous déciderez si ce format vidéo destiné au montage off line doit être en haute définition ou non en fonction de la configuration du système de montage avec lequel vous travaillerez et de la quantité d’espace dont vous disposez sur le disque dur. Ce qui est plus important, c’est la fréquence d’images à laquelle vous choisissez de numériser les rushes.  Pour éliminer toute une étape de gestion de données, il est recommandé de numériser le film avec un télécinéma directement à un format vidéo dont la fréquence d’images est de 23,98 ips.  Vous pouvez aussi le numériser à un format vidéo dont la fréquence d’images est de 29,97 ips et utiliser ensuite Cinema Tools pour supprimer le 3:2 pulldown. Pour maintenir plus facilement la correspondance entre la vidéo issue du télécinéma et les images du film au format 2K qui seront numérisées ultérieurement, vous devriez spécifier que vous souhaitez ce qui suit :  le timecode enregistré sur la bande au cours de la numérisation par télécinéma à la résolution off line doit être un timecode non-drop frame ;  chaque pellicule de négatif devrait être numérisée sur une bobine différente. Ainsi, les bobines spécifiées par la liste de montage correspondront aux pellicules de négatif de la caméra à partir desquelles les plans sont numérisés.64 Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage Étape 3 : Utilisez Cinema Tools et Final Cut Pro pour effectuer le montage off line Comme pour tout autre montage de film, générez une Cinema Tools base de données à partir des fichiers FLEx fournis par la personne chargée du télécinéma, puis capturez les données correspondantes et montez le programme. Important : lorsque vous travaillez sur des données off line correspondant au négatif de la caméra, ne vous servez pas du Gestionnaire de données pour renommer ou supprimer les données non utilisées de votre projet. En effet, vous n’auriez plus la possibilité de créer des listes d’épreuves précises dans Cinema Tools. Étape 4 : Préparez votre séquence Final Cut Pro Pour préparer votre séquence montée pour un flux de production efficace dans Color, suivez la procédure décrite dans la section « Avant d’exporter votre projet Final Cut Pro » à la page 89. Étape 5 : Exportez une liste de montage destinée à Color et une liste d’épreuves pour le télécinéma haute définition Une fois le montage off line terminé, une liste d’épreuves est générée en vue du transfert final à une résolution 2K à l’aide d’un télécinéma haute définition, et l’intégralité du projet est exportée sous la forme d’une liste de montage destinée à être importée et conformée dans Color.  La liste d’épreuves indique les plans qui ont été utilisés dans la version finale du montage (qui est généralement formée d’une partie seulement de toutes les images initialement tournées). L’idéal serait que vous exportiez une liste d’épreuves contenant également les points d’entrée et de sortie du timecode qui correspondent à chaque plan du projet monté. De cette façon, les données du timecode peuvent être enregistrées sur chaque image numérisée lors du transfert à l’aide du télécinéma haute définition, ce qui facilite la conformation dans Color.  La liste de montage permet d’envoyer les données du montage à Color. Elle contient les données du timecode qui sont nécessaires pour conformer les images des séquences numérisées dans le bon ordre.Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage 65 Étape 6 : Numérisez les plans sélectionnés du négatif en séquences DPX à l’aide d’un télécinéma haute définition À l’aide de la liste d’épreuves générée par Cinema Tools, numérisez chaque plan utilisé dans le projet avec un télécinéma haute définition (datacine). Lors de ce transfert à l’aide du télécinéma haute définition, spécifiez que le timecode de chaque image du négatif doit être converti en images et utilisé pour nommer chaque fichier DPX issu de la numérisation, et qu’il doit aussi être enregistré dans l’en-tête DPX de chaque plan. Le nom des séquence d’images obtenues devrait avoir la forme suivante : bobine_numéro.0632368.dpx Chaque séquence d’images issue de la numérisation du film devrait être placée dans un répertoire de même nom que la pellicule de négatif de la caméra à partir de laquelle elle a été numérisée. Il est judicieux d’utiliser une répertoire distinct pour chaque pellicule de négatif caméra numérisée. Étape 7 : Importez la liste de montage dans Color, puis rétablissez le lien aux données DPX originales Utilisez la commande File > Import > EDL pour importer la liste de montage. Dans la zone de dialogue Import EDL, vous spécifiez également le répertoire dans lequel se trouvent les données source originales en haute résolution de sorte que l’importation de la liste de montage et le rétablissement du lien aux données source se fassent en une seule étape. Étape 8 : Étalonnez votre programme avec Color Étalonnez votre programme avec Color comme vous le feriez pour n’importe quel autre projet. Important : lors de l’étalonnage des images d’un film numérisé, il est essentiel d’utiliser systématiquement des tables de correspondance (LUT) soigneusement profilées pour le calibrage du moniteur et d’émuler l’apparence finale qu’aura le projet une fois tiré sur film lorsque vous faites des ajustements dans Color. Pour en savoir plus, consultez la section « Utilisation des tables de conversion d’affichage » à la page 138. Étape 9 : Conformez les transitions, les effets et les titres, rendez les données, puis rassemblez les données rendues À ce stade, le processus est le même que celui décrit dans la section « Flux de production intermédiaire numérique sans bande impliquant des doubles numériques à une résolution on line / off line » à la page 57.66 Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage Utilisation des listes de montage, du timecode et des numé- ros d’images pour la conformation des projets Si vous gérez méticuleusement vos fichiers, le timecode vous permet de ne pas perdre de vue la relation entre le négatif original de la caméra et les données numériques ou vidéo créées par transfert en vue du montage off line. Rétablissement du lien entre les images DPX/Cineon et une liste de montage dans Color Pour réussir une conformation dans Color, il est essentiel de veiller à ce que les données du timecode qui se trouvent dans la liste de montage soient mises en miroir dans les images DPX or Cineon numérisées avec lesquelles vous rétablissez le lien. Color tente de rétablir le lien aux données de la séquence d’images de plusieurs façons différentes en fonction des informations disponibles dans le fichier :  Tout d’abord, Color recherche une valeur de timecode dans l’en-tête du fichier de l’image DPX ou Cineon. Si cette valeur s’y trouve, vous pourrez utiliser la méthode la plus fiable en matière de rétablissement de lien.  Si les données d’en-tête ne contiennent aucune valeur de timecode correspondante, Color recherche alors la valeur de timecode dans le nom du fichier et essaie également de trouver le numéro de bobine correspondant dans le répertoire où se trouve ce fichier.  Si ce répertoire ne contient aucun numéro de bobine, Color tente alors de rétablir le lien de tous les plans uniquement à l’aide de leur valeur de timecode. Analyse des listes de montage pour la conformation des projets intermédiaires numériques Cette section explique comment Color établit la correspondance entre les valeurs de timecode d’une liste de montage et les numéros d’images utilisés dans l’en-tête du timecode ou dans le nom de fichier de chaque image d’une séquence. Voici un échantillon d’une ligne de liste de montage : 001 004 V C 04:34:53:04 04:35:03:04 00:59:30:00 00:59:40:00 Dans toutes les listes de montage, l’information est divisée en huit colonnes :  La première colonne correspond au numéro de la coupe. Il s’agit de la première coupe de la liste de montage, c’est pourquoi elle porte le numéro 001.  La deuxième colonne contient le numéro de bobine, à savoir 004. C’est aussi de cette façon que devrait être nommé le répertoire dans lequel se trouvent les fichiers de l’image numérisée au format 2K correspondant au plan en question.  Les deux colonnes suivantes contiennent des informations relatives au montage et aux pistes vidéo/audio. Ces informations sont utilisées par Color par ailleurs mais ne participent pas à la conformation des données.Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage 67 Les quatre dernières colonnes correspondent au timecode et sont formées par des paires de points d’entrée et de sortie.  La première paire de valeurs de timecode correspond aux points d’entrée et de sortie des données source originales (dans le cas d’un montage on line ordinaire, il s’agit généralement de la bande issue du télécinéma). Dans un flux de production intermé- diaire numérique, ces valeurs de timecode sont utilisées pour nommer et identifier les images numérisées résultant du télécinéma haute définition.  La deuxième paire de points d’ent