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iPod nano Guide des fonctions2 2 Table des matières Chapitre 1 4 Notions élémentaires de l’iPod nano 5 Vue d’ensemble de l’iPod nano 5 Utilisation des commandes de l’iPod nano 7 Désactivation des commandes de l’iPod nano. 8 Utilisation des menus de l’iPod nano 9 Connexion et déconnexion de l’iPod nano Chapitre 2 14 Fonctionnalités musicales 14 À propos d’iTunes 15 Importation de musique sur votre ordinateur 19 Organisation de votre musique 20 Téléchargement de musique et de podcasts sur l’iPod nano 25 Lecture de musique 31 Écoute de podcasts 32 Écoute de livres audio 32 Écoute de la radio FM Chapitre 3 33 Fonctionnalités concernant les photos 33 Téléchargement de photos 36 Visionnage de photos Chapitre 4 38 Fonctions et accessoires supplémentaires 38 Utilisation de l’iPod nano en tant que disque externe 39 Utilisation des réglages supplémentaires 43 Synchronisation de contacts, de calendriers et de listes de tâches 45 Mémorisation et lecture de notes 46 À propos des accessoires de l’iPod nano Chapitre 5 47 Astuces et dépannage 47 Quelques suggestions 52 Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPodTable des matières 3 Chapitre 6 54 Sécurité et entretien 54 Instructions de sécurité à propos de la configuration 54 Conseils généraux de sécurité, de nettoyage et de manipulation de l’appareil Chapitre 7 57 En savoir plus, service et assistance1 4 1 Notions élémentaires de l’iPod nano Apple vous félicite pour l’acquisition de votre iPod nano. Lisez cette section pour en savoir plus sur les fonctionnalités de l’iPod nano, sur la manière d’utiliser ses commandes et plus encore. Pour utiliser l’iPod nano, déposez de la musique, des photos et d’autres fichiers sur votre ordinateur puis téléchargez ces fichiers sur l’iPod nano. L’iPod nano est un lecteur de musique et bien plus encore. L’iPod nano vous permet de :  stocker des morceaux et des photos numériques pour les écouter ou les regarder où que vous soyez ;  écouter des podcasts, des sortes d’émissions de radio téléchargeables sur Internet ;  regardez des photos sous forme de diaporama accompagné de musique sur l’iPod nano ;  écouter des livres audio achetés sur l’iTunes Music Store ou audible.com ;  stocker ou sauvegarder des fichiers et autres données en utilisant l’iPod nano comme disque externe ;  synchroniser des contacts, calendriers et listes de tâches avec votre ordinateur ;  jouer à des jeux, stocker des notes texte, régler une alarme et plus encore.Chapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod nano 5 Vue d’ensemble de l’iPod nano Familiarisez-vous avec toutes les commandes de votre iPod nano : Utilisation des commandes de l’iPod nano Les commandes de votre iPod nano sont faciles à trouver et à utiliser. Appuyez sur n’importe quel bouton pour mettre en marche l’iPod nano. Le menu principal apparaît. Servez-vous de la molette cliquable et du bouton central pour naviguer dans les menus à l’écran, lire des morceaux, modifier des réglages et afficher des informations. Déplacez légèrement votre pouce autour de la molette cliquable pour sélectionner un élément du menu. Pour sélectionner l’élément, appuyez sur le bouton central. Pour revenir au menu précédent, cliquez sur le bouton Menu de la molette cliquable. Bouton de verrouillage (Hold) Bouton Menu Bouton Précédent/Retour rapide Molette cliquable Bouton central Bouton Suivant/Avance rapide Bouton Lecture/Pause Numéro de série (derrière) Port de connexion Dock Port de sortie casque6 Chapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod nano Le tableau suivant vous indique à quoi peuvent servir les commandes de l’iPod nano. Pour : procédez ainsi : réinitialiser l’iPod nano (si votre iPod nano ne répond plus) Placez le bouton Hold sur Hold puis replacez-le en position normale. Appuyez ensuite simultanément sur les boutons Menu et central pendant environ 6 secondes jusqu’à l’apparition du logo Apple. activer l’iPod nano Appuyez sur un bouton quelconque. éteindre l’iPod nano Maintenez enfoncé le bouton Lecture/Pause (’). activer le rétro-éclairage Appuyez sur un bouton quelconque ou utilisez la molette cliquable. désactiver les boutons de l’iPod nano (pour ne pas les activer par mégarde) Poussez le bouton Hold vers Hold (une barre orange apparaît). choisir un élément du menu Faites défiler jusqu’à l’élément puis appuyez sur le bouton central. revenir au menu précédent Appuyez sur Menu. revenir au menu principal Maintenez enfoncé le bouton Menu. rechercher un morceau Dans le menu principal, sélectionnez Musique. écouter un morceau Sélectionnez le morceau et appuyez sur le bouton central ou Lecture/Pause (’). Pour pouvoir lire des morceaux, l’iPod nano doit être éjecté de votre ordinateur. mettre en pause un morceau Appuyez sur Lecture/Pause (’) ou débranchez vos écouteurs. régler le volume Dans l’écran En lecture, servez-vous de la molette cliquable. lire tous les morceaux de la liste Sélectionnez le titre de la liste (par exemple un titre d’album ou le titre d’une liste de lecture) puis appuyez sur Lecture/Pause (’). lire tous les morceaux dans un ordre aléatoire Sélectionnez l’option Mix de morceaux dans le menu principal. passer à n’importe quel endroit d’un morceau Dans l’écran En lecture, appuyez sur le bouton central pour afficher le défileur, puis faites défiler jusqu’à un point dans le morceau. passer au morceau ou chapitre de livre audio ou de podcast suivant Appuyez sur Suivant/Avance rapide (‘). revenir au début d’un morceau Appuyez sur Précédent/Retour rapide (]). lire le morceau ou le chapitre de livre audio ou de podcast précédent Appuyez deux fois sur Précédent/Retour rapide (]). avancer ou revenir rapidement dans un morceau Maintenez enfoncé Suivant/Avance rapide (‘) ou Précédent/Retour rapide (]). ajouter un morceau à la liste de lecture On-The-Go Sélectionnez un morceau puis maintenez enfoncé le bouton central jusqu’à ce que le titre du morceau clignote.Chapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod nano 7 Choix du son de la molette cliquable Lorsque vous faites défiler les options de menu, vous entendez un son de clic sortir du haut-parleur interne de l’iPod nano qui signale que la molette cliquable fonctionne. Le son de cette molette peut à la place sortir des écouteurs ou être désactivé. Pour choisir le mode d’émission du son de la molette cliquable sur l’iPod nano : m Sélectionnez l’élément du menu Réglages dans le menu principal de l’iPod nano puis suivez les instructions ci-dessous : Désactivation des commandes de l’iPod nano. Si vous transportez l’iPod nano dans votre poche et ne souhaitez pas l’allumer ou activer les commandes involontairement, désactivez ces derniers à l’aide du bouton Hold. m Placez le bouton Hold sur Hold. Réglez le cliqueur sur : Pour : Écouteurs Faire que le son de la molette cliquable sorte des écouteurs. Non Désactiver le son de la molette cliquable. Haut-parleur Faire que le son de la molette cliquable sorte du haut-parleur interne de l’iPod nano. Les deux Faire que le son de la molette cliquable sorte à la fois du hautparleur interne de l’iPod nano et des écouteurs. Faites glisser le bouton vers le centre (de telle façon que la barre orange soit visible) pour désactiver les commandes.8 Chapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod nano Utilisation des menus de l’iPod nano Lorsque vous allumez l’iPod nano, le menu principal apparaît. Sélectionnez des éléments du menu pour effectuer des actions ou accéder à d’autres menus. Les icônes d’état situées en haut de l’écran affichent les réglages de l’iPod nano. Le tableau suivant décrit les éléments du menu principal de l’iPod nano. Ajout ou suppression d’éléments depuis le menu principal Il est possible que vous souhaitiez ajouter des éléments fréquemment utilisés au menu principal de l’iPod nano. Par exemple, vous pouvez ajouter un élément “Morceaux” au menu principal pour ne plus devoir sélectionner Musique avant de choisir Morceaux. Pour ajouter ou supprimer des éléments du menu principal : m Sélectionnez Réglages > Menu Principal. Réglage de la minuterie du rétro-éclairage Vous pouvez configurer l’activation du rétro-éclairage et illuminer l’écran pendant une durée déterminée lorsque vous cliquez sur un bouton ou utilisez la molette cliquable. Cette durée est configurée par défaut sur 10 secondes. m Sélectionnez Réglages > Rétro-éclairage puis choisissez la durée de rétro-éclairage. État de lecture Éléments de menu État de la batterie Icône de verrouillage Intitulé du menu Élément d’affichage Fonction Icône de verrouillage L’icône de verrouillage apparaît lorsque le bouton Hold (sur le dessus de l’iPod nano) est réglé sur Hold. Les commandes de l’iPod nano sont alors désactivées. Intitulé du menu Affiche l’intitulé du menu actuel. État de lecture L’icône Lecture (“) apparaît si un morceau est en cours de lecture. L’icône Pause (1) apparaît si un morceau en mode pause. État de la batterie L’icône de la batterie indique la charge restante approximative. Si la batterie est en cours de recharge, l’icône est animée. Éléments de menu Utilisez la molette cliquable pour faire défiler les éléments de menu. Appuyez sur le bouton central pour sélectionner un élément. Une flèche placée en regard d’un élément de menu indique qu’en le sélectionnant vous accédez à un autre menu.Chapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod nano 9 Même si vous ne configurez pas la minuterie du rétro-éclairage, vous pouvez activer le rétro-éclairage à tout moment en appuyant sur un bouton quelconque ou en utilisant la molette cliquable. Après quelques secondes, le rétro-éclairage s’éteint. Réglage de la langue La langue de l’iPod nano peut être configurée. m Sélectionnez Réglages > Langue puis choisissez une langue dans la liste. Connexion et déconnexion de l’iPod nano Connectez l’iPod nano à votre ordinateur pour télécharger de la musique, des photos et des fichiers, ainsi que pour recharger sa batterie. Déconnectez l’iPod nano lorsque vous avez terminé. Connexion de l’iPod nano Pour connecter l’iPod nano à votre ordinateur : m Connectez le câble iPod Dock Connector vers USB 2.0 à un port USB à forte alimentation de votre ordinateur (un port USB 2.0 est recommandé), puis connectez l’autre extrémité à votre iPod nano. Si vous possédez un socle iPod nano, vous pouvez brancher le câble sur un port USB à forte alimentation de votre ordinateur et l’autre extrémité sur le socle, puis placer l’iPod nano sur le socle. Remarque : le port USB de votre clavier ne fournit pas une alimentation suffisante. Vous devez connecter l’iPod nano à un port USB de votre ordinateur. Par défaut, l’iPod nano importe automatiquement les morceaux quand vous le connectez à votre ordinateur. Une fois ce téléchargement automatique terminé, vous pouvez déconnecter l’iPod nano.10 Chapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod nano Si vous connectez l’iPod nano configuré pour la mise à jour automatique des morceaux à un autre ordinateur, iTunes vous demande confirmation avant de procéder au téléchargement de la musique. Si vous cliquez sur Oui, les morceaux et autres fichiers audio déjà sur votre iPod sont supprimés et remplacés par ceux de l’ordinateur auquel l’iPod est connecté. Pour plus de renseignements sur le téléchargement de musique sur l’iPod nano et sur l’utilisation de l’iPod nano avec plusieurs ordinateurs, consultez le chapitre 2, “Fonctionnalités musicales”, à la page 14. Remarque : vous pouvez télécharger des morceaux lorsque votre batterie est en recharge. Déconnexion de l’iPod nano Il est important de ne pas déconnecter l’iPod nano lorsqu’un téléchargement de musique est en cours. Pour savoir si vous pouvez débrancher l’iPod nano en toute sécurité, consultez son écran. Important : ne déconnectez pas l’iPod nano si le message “Ne pas déconnecter” apparaît. Vous pourriez en effet endommager les fichiers de l’iPod nano. Si ce message s’affiche, vous devez éjecter l’iPod nano avant de le déconnecter. Si vous configurez la mise à jour manuelle des morceaux sur l’iPod nano (consultez “Mise à jour manuelle de l’iPod nano” à la page 23) ou bien si vous activez l’iPod nano en tant que disque (consultez “Utilisation de l’iPod nano en tant que disque externe” à la page 38), vous devez éjecter l’iPod nano avant de le déconnecter. Pour éjecter l’iPod nano : m Cliquez sur le bouton d’éjection (C) situé près de l’iPod nano dans la liste Source d’iTunes. Si vous utilisez un Mac : pour éjecter l’iPod nano, vous pouvez également faire glisser l’icône iPod nano du bureau vers la Corbeille. Si vous utilisez un PC sous Windows, vous pouvez éjecter l’iPod nano en cliquant sur l’icône “Supprimer le périphérique en toute sécurité” située dans la zone de notification du PC et en sélectionnant votre iPod nano. Si le menu principal ou une grande icône de batterie s’affiche, vous pouvez déconnecter l’iPod nano de l’ordinateur. Important : si ce message s’affiche, vous devez éjecter l’iPod nano avant de le déconnecter de votre ordinateur.Chapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod nano 11 Pour déconnecter l’iPod nano : 1 Débranchez les écouteurs s’ils sont branchés. 2 Appuyez sur les deux côtés du connecteur Dock pour débrancher le câble relié à l’iPod nano. Si l’iPod nano se trouve sur le socle Dock, il vous suffit de le retirer. À propos de la batterie de l’iPod nano L’iPod nano dispose d’une batterie interne, que l’utilisateur ne peut remplacer lui-même. Pour obtenir de meilleurs résultats, la première fois que vous utilisez l’iPod nano, laissez-le recharger pendant environ trois heures ou jusqu’à ce que l’icône située dans le coin supérieur droit de l’écran de l’iPod nano indique que la batterie est entièrement rechargée. Si l’iPod nano n’est pas utilisé pendant un moment, il est possible qu’une recharge de sa batterie soit nécessaire. Il faut environ deux heures pour recharger la batterie de l’iPod nano à 80 pour cent et environ trois heures pour la recharger complètement. Si vous procédez à la recharge de l’iPod nano tout en téléchargeant des fichiers, en écoutant de la musique ou en visionnant un diaporama, le processus risque de prendre davantage de temps. Recharge de la batterie de l’iPod nano Il existe deux manières de recharger la batterie de l’iPod nano :  Connectez l’iPod nano à votre ordinateur.  Utilisez l’adaptateur secteur USB iPod, disponible séparément. Pour recharger la batterie via votre ordinateur : m Connectez l’iPod nano à un port USB à forte alimentation de votre ordinateur. Votre ordinateur doit être allumé et non pas en mode veille (certains modèles Macintosh permettent de recharger l’iPod nano même en mode veille). Pour retirer le connecteur de votre iPod nano, appuyez sur les boutons latéraux et tirez.12 Chapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod nano Si l’icône de la batterie sur l’écran de l’iPod nano affiche un éclair, la batterie est en cours de recharge. Si une icône de prise s’affiche, cela signifie que la batterie est entièrement rechargée. Si vous ne voyez aucune de ces deux icônes, l’iPod nano n’est peut-être pas connecté à un port USB 2.0 à forte alimentation. Essayez de le connecter à un autre port USB de votre ordinateur. Si vous souhaitez charger l’iPod nano lorsque vous êtes éloignés de votre ordinateur, vous pouvez acheter l’adaptateur secteur USB iPod. Pour charger la batterie via l’adaptateur iPod USB Power Adapter (disponible séparément) : 1 Connectez l’adaptateur CA à une prise électrique (si nécessaire). 2 Connectez une extrémité du câble iPod Dock Connector vers USB 2.0 à l’adaptateur secteur et l’autre à l’iPod nano. 3 Connectez l’adaptateur secteur à une prise de courant en état de fonctionnement. Remarque : si vous disposez d’un câble optionnel iPod Dock Connector vers FireWire, vous pouvez également connecter l’iPod nano à un port FireWire de votre ordinateur ou à un adaptateur secteur iPod Power Adapter (avec un port FireWire) branché sur une prise secteur. Vous ne pouvez utiliser un port FireWire que pour charger la batterie, et non pas pour télécharger des morceaux ou d’autres fichiers sur l’iPod nano. Avertissement : assurez-vous que l’adaptateur secteur est complètement assemblé avant de le brancher sur la prise. Fiche adaptatrice CA Adaptateur secteur USB iPod Câble iPod Dock Connector vers USB 2.0Chapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod nano 13 États de la batterie Lorsque l’iPod nano n’est pas connecté à une source d’alimentation, une icône de batterie, située dans le coin supérieur droit de l’écran de l’iPod nano, indique le niveau de recharge approximatif de la batterie. Si l’iPod nano est connecté à une source d’alimentation, l’icône de la batterie se modifie pour indiquer que la batterie est en cours de recharge ou entièrement rechargée. Vous pouvez déconnecter et utiliser l’iPod nano avant qu’il ne soit complètement rechargé. Remarque : les batteries rechargeables ont un nombre de cycles de recharge limité et il peut s’avérer nécessaire de les remplacer. La durée de vie de la batterie et le nombre de cycles de recharge varient en fonction de l’utilisation et des réglages de l’iPod. Pour plus d’informations, rendez-vous au site Web www.apple.com/fr/batteries. Batterie rechargée à moins de 20 % Batterie environ à moitié rechargée Batterie entièrement rechargée Batterie en cours de chargement (éclair) Batterie entièrement rechargée (prise)2 14 2 Fonctionnalités musicales Grâce à votre iPod nano, vous pouvez emporter avec vous toute votre musique et collection audio, où que vous alliez. Lisez cette section pour apprendre à télécharger de la musique et à écouter votre iPod nano. Vous utilisez l’iPod nano en important des morceaux, des livres audio et des podcasts (sortes d’émissions radio) sur votre ordinateur et en les téléchargeant ensuite sur l’iPod nano. Lisez ce qui suit pour en savoir plus sur les étapes de ce processus, notamment sur :  Le transfert de musique à partir de votre collection de CD, votre disque dur ou l’iTunes Music Store (qui fait partie d’iTunes et n’est disponible que dans certains pays) vers l’application iTunes sur votre ordinateur.  L’organisation de la musique et d’autres fichiers audio en liste de lectures, si vous le souhaitez.  Le téléchargement de listes de lectures, de morceaux, de livres audio et de podcasts sur votre iPod nano.  La lecture de musique ou l’écoute de tout autre fichier audio où que vous soyez. À propos d’iTunes iTunes est l’application musicale que vous utilisez avec l’iPod nano. Elle s’ouvre automatiquement dès que vous connectez l’iPod nano à votre ordinateur. Ce guide contient des informations sur l’utilisation d’iTunes pour télécharger des morceaux et d’autres fichiers audio sur votre ordinateur, les organiser en listes appelées listes de lecture, les télécharger sur l’iPod nano et configurer les réglages de l’iPod nano.Chapitre 2 Fonctionnalités musicales 15 iTunes possède également bien d’autres fonctionnalités. Vous pouvez créer vos propres CD lisibles sur des lecteurs CD standard (si votre ordinateur possède un lecteur-enregistreur de CD), écouter la radio diffusée sur Internet, créer des listes de lecture dynamiques ou “Mix de soirée”, publier vos listes de lecture (appelées “iMix”) sur l’iTunes Music Store, évaluer des morceaux selon vos préférences et bien plus encore. Pour obtenir plus d’informations sur l’utilisation de ces fonctionnalités d’iTunes, ouvrez iTunes puis choisissez Aide > “Aide iTunes et Music Store”. Importation de musique sur votre ordinateur Pour écouter de la musique sur votre iPod nano, vous devez sur la transférer dans iTunes sur votre ordinateur. Il existe trois façons d’importer de la musique dans iTunes :  En important de la musique à partir de CD audio.  En achetant de la musique et des livres audio ou en téléchargeant des podcasts en ligne à partir de l’iTunes Music Store.  En ajoutant de la musique déjà stockée sur votre ordinateur à la bibliothèque musicale d’iTunes.16 Chapitre 2 Fonctionnalités musicales Importation de musique dans iTunes à partir de CD audio Suivez ces instructions pour importer de la musique de vos CD sur votre ordinateur. Pour importer de la musique dans iTunes à partir d’un CD audio : 1 Insérez un CD dans votre ordinateur puis ouvrez iTunes. Si vous disposez d’une connexion à Internet, iTunes extrait le nom des morceaux du CD à partir d’Internet et les affiche dans la fenêtre. Si iTunes n’extrait pas les noms automatiquement alors que vous êtes connecté à Internet, choisissez Avancé > Obtenir le nom des pistes du CD. Si vous n’avez pas de connexion à Internet, vous pouvez saisir manuellement le nom des pistes du CD. Pour en savoir plus, consultez “Saisie du nom des morceaux et d’autres détails” à la page 17. Une fois les informations des morceaux saisies, vous pouvez parcourir les morceaux dans iTunes ou sur l’iPod nano par titre, artiste, album ou autre critère. 2 Cliquez pour supprimer la coche située en regard des morceaux que vous ne souhaitez pas importer depuis le CD. 3 Cliquez sur le bouton Importer un CD. La zone d’affichage située en haut de la fenêtre iTunes indique le temps nécessaire à l’importation des différents morceaux. Par défaut, iTunes lit les morceaux à mesure qu’ils sont importés. Si vous importez un grand nombre de morceaux, il est possible que vous souhaitiez arrêter la lecture des morceaux afin d’améliorer les performances. Bouton Importer un CDChapitre 2 Fonctionnalités musicales 17 4 Pour éjecter le CD, cliquez sur le bouton d’éjection. 5 Répétez ces opérations pour tout autre CD contenant des morceaux que vous souhaitez importer. Saisie du nom des morceaux et d’autres détails Pour saisir manuellement le titre des morceaux et d’autres informations du CD : 1 Sélectionnez le premier morceau du CD puis sélectionnez Fichier > Obtenir des informations. 2 Cliquez sur Infos. 3 Saisissez les informations concernant le morceau. 4 Cliquez sur Suivant pour saisir les informations concernant le morceau suivant. Ajout de paroles Vous avez la possibilité dans iTunes de saisir ou de copier-coller des paroles de chansons au format Texte. De cette manière, elles peuvent apparaître sur votre iPod nano lorsque le morceau est en cours de lecture. Pour taper ou coller des paroles dans iTunes : 1 Sélectionnez un morceau puis choisissez Fichier > Lire les informations. 2 Cliquez sur Paroles. 3 Dans la zone de texte, saisissez ou collez les paroles copiées au préalable. 4 Cliquez sur OK. Pour plus de renseignements sur l’affichage de paroles sur l’iPod nano, consultez “Affichage de paroles sur l’iPod nano” à la page 31. Achat de musique et téléchargement de podcasts via l’iTunes Music Store Si vous disposez d’une connexion à Internet, vous pouvez facilement acheter et télé- charger des morceaux, des albums et des livres audio en ligne via l’iTunes Music Store. Vous pouvez également vous abonner à des podcasts, des sortes d’émissions de radio, et les télécharger. Pour acheter de la musique en ligne via l’iTunes Music Store, vous devez configurer un compte Apple dans iTunes, rechercher les morceaux voulus, puis les acheter. Si vous disposez déjà d’un compte Apple ou d’un compte America Online (AOL, disponible uniquement dans certains pays), vous pouvez vous en servir pour vous inscrire au Music Store et acheter des morceaux. Bouton d’éjection18 Chapitre 2 Fonctionnalités musicales Remarque : un compte iTunes Music Store n’est pas nécessaire pour télécharger des podcasts ou s’y abonner. Pour s’inscrire à l’iTunes Music Store : 1 Ouvrez iTunes puis cliquez sur Music Store dans la liste Source. 2 Cliquez dans le champ Compte et suivez les instructions à l’écran pour configurer un Compte Apple ou saisissez les informations de votre compte Apple ou AOL existant. Pour rechercher des morceaux, des livres audio et des podcasts : Vous pouvez parcourir ou faire une recherche dans l’iTunes Music Store pour trouver un album, un morceau ou un artiste. Ouvrez iTunes puis cliquez sur Music Store dans la liste Source.  Pour explorer l’iTunes Music Store, choisissez un genre musical dans le menu local Choisir le genre en haut à gauche du Music Store, cliquez sur l’un des albums ou des morceaux au centre ou sur le côté droit du Music Store ou cliquez sur le bouton Explorer dans le coin supérieur droit de la fenêtre.  Pour rechercher des podcasts, cliquez sur le lien Podcasts dans la partie gauche de la page principale de l’iTunes Music Store.  Pour faire une recherche dans l’iTunes Music Store, tapez le nom d’un album, d’un morceau, d’un artiste ou d’un compositeur dans le champ de recherche.  Pour limiter votre recherche, tapez du texte dans la zone de recherche, appuyez sur la touche Retour ou Entrée de votre clavier, puis cliquez sur les boutons de la barre de recherche. Par exemple, pour limiter la recherche à des titres de morceaux, cliquez sur le bouton Morceau.  Pour rechercher une combinaison d’éléments, cliquez sur Recherche avancée dans la fenêtre de l’iTunes Music Store.  Pour revenir à la page principale de l’iTunes Music Store, cliquez sur le bouton Accueil dans l’angle supérieur gauche du Music Store. Pour acheter un morceau, un album ou un livre audio : 1 Cliquez sur Music Store dans la liste Source puis recherchez l’élément que vous souhaitez acheter. Vous pouvez double-cliquer sur un morceau ou un autre élément pour en écouter un extrait et vous assurer que c’est bien celui que vous voulez. Si la vitesse de votre connexion réseau est inférieure à 128 kbps, sélectionnez iTunes > Préférences puis cochez la case “Charger l’extrait complet avant lecture” dans l’onglet Store. 2 Cliquez sur Acheter le morceau, Acheter l’album ou Acheter le livre. L’élément est alors téléchargé sur votre ordinateur et le prix est débité de la carte de crédit indiquée sur votre compte Apple ou AOL.Chapitre 2 Fonctionnalités musicales 19 Pour vous abonner à un podcast ou le télécharger : 1 Cliquez sur Music Store dans la liste Source. 2 Cliquez sur le lien Podcasts sur la gauche de la page principale de l’iTunes Music Store. 3 Recherchez le podcast que vous souhaitez télécharger.  Pour télécharger un épisode de podcast uniquement, cliquez sur le bouton Obtenir le morceau, situé à côté de l’épisode.  Pour vous abonner à un podcast, cliquez sur le bouton S’abonner situé à côté de l’image du podcast. iTunes télécharge l’épisode le plus récent. Les nouveaux épisodes disponibles seront automatiquement téléchargés sur iTunes (lorsque vous êtes connecté à Internet). Pour voir vos podcasts, cliquez sur Podcasts dans la liste Source d’iTunes. Ajout de morceaux stockés sur votre ordinateur à la bibliothèque iTunes Si vous avez sur votre ordinateur des morceaux stockés dans un format géré par iTunes, vous pouvez les ajouter à iTunes. Pour ajouter des morceaux stockés sur votre ordinateur à la bibliothèque iTunes : m Faites glisser le dossier ou le disque contenant les fichiers audio vers l’élément Bibliothèque de la liste Source (ou choisissez Fichier > Ajouter à la bibliothèque puis sélectionnez le dossier ou le disque). Si iTunes prend en charge le format de fichier des morceaux, ceux-ci sont automatiquement ajoutés à la bibliothèque iTunes. Vous pouvez également faire glisser individuellement des fichiers audio dans iTunes. Remarque : si vous utilisez iTunes pour Windows, vous pouvez convertir les fichiers WMA non protégés au format AAC ou MP3. Cela peut être utile si vous disposez d’une bibliothèque de musique encodée au format WMA. Pour en savoir plus, ouvrez iTunes puis choisissez Aide > Aide iTunes et Music Store. Organisation de votre musique Grâce à iTunes, vous pouvez organiser à votre guise des morceaux et d’autres éléments dans des listes appelées listes de lecture. Vous pouvez par exemple créer des listes de lecture qui accompagnent votre séance d’exercice physique ou qui correspondent à une humeur particulière. Vous pouvez également créer des listes de lecture intelligentes qui se mettront automatiquement à jour selon les règles que vous aurez mises en place. Lorsque vous ajoutez à iTunes des morceaux qui correspondent à ces règles, ils seront automatiquement ajoutés à la liste de lecture intelligente. Vous pouvez créer autant de listes de lecture que vous le souhaitez avec n’importe quel des morceaux de la bibliothèque musicale de votre ordinateur. Le fait de placer un morceau dans une liste de lecture ne le supprime pas de la bibliothèque. 20 Chapitre 2 Fonctionnalités musicales Pour créer une liste de lecture dans iTunes : 1 Cliquez sur le bouton Ajouter. 2 Tapez le nom de la liste de lecture dans la liste Source. Cliquez sur Bibliothèque, puis faites glisser un morceau ou un autre élément vers la liste de lecture de la liste Source. Pour sélectionner plusieurs morceaux, cliquez sur les diffé- rents morceaux en maintenant les touches Commande (x) ou Maj enfoncées. Pour créer une liste de lecture intelligente : m Sélectionnez Fichier > “Nouvelle liste de lecture intelligente” puis configurez les règles de votre liste de lecture. Remarque : vous pouvez également créer des listes de lecture sur l’iPod nano, appelées listes de lecture On-The-Go, lorsque l’iPod nano n’est pas connecté à votre ordinateur. Consultez “Création de listes de lecture On-The-Go sur l’iPod nano” à la page 27. Téléchargement de musique et de podcasts sur l’iPod nano Une fois votre musique importée et organisée dans iTunes, vous pouvez facilement la télécharger sur l’iPod nano. Pour configurer le téléchargement de musique de votre ordinateur sur l’iPod nano, vous devez connecter ce dernier à votre ordinateur puis utiliser les commandes d’iTunes pour modifier les réglages de l’iPod nano. Bouton AjouterChapitre 2 Fonctionnalités musicales 21 iTunes propose trois méthodes pour télécharger de la musique sur votre iPod nano :  Mettre à jour automatiquement tous les morceaux et listes de lecture : lorsque vous connectez l’iPod nano, il est automatiquement mis à jour avec les morceaux et autres éléments de la bibliothèque iTunes. Tous les autres morceaux se trouvant sur l’iPod nano sont supprimés.  Mettre à jour automatiquement les listes de lecture sélectionnées : lorsque vous connectez l’iPod nano, il est automatiquement mis à jour pour correspondre aux morceaux des listes de lecture sélectionnées dans iTunes.  Mettre à jour manuellement l’iPod nano : lorsque vous connectez l’iPod nano, vous pouvez faire glisser individuellement des morceaux et des listes de lecture vers l’iPod nano et supprimer individuellement les morceaux et les listes de lecture de l’iPod nano. Avec cette option, vous pouvez télécharger des morceaux à partir de plusieurs ordinateurs sans effacer ceux qui se trouvent sur l’iPod nano. Lorsque vous gérez les morceaux vousmême, vous devez éjecter l’iPod nano d’iTunes manuellement avant de le déconnecter. Mise à jour automatique de l’iPod nano L’iPod nano est configuré par défaut pour être automatiquement mis à jour avec tous les morceaux et toutes les listes de lecture dès que vous le connectez à votre ordinateur. C’est le moyen le plus simple de télécharger de la musique sur votre iPod nano. Pour cela, connectez l’iPod nano à votre ordinateur, laissez-le ajouter automatiquement des morceaux, des livres audio et d’autres éléments, puis déconnectez-le. Si vous avez ajouté des morceaux à iTunes depuis la dernière connexion de l’iPod nano, ils seront téléchargés sur l’iPod nano. Si vous avez supprimé des morceaux d’iTunes, ils seront également supprimés de l’iPod nano. Pour télécharger des morceaux sur l’iPod nano : m Il vous suffit de connecter l’iPod nano à votre ordinateur. Si l’iPod nano est configuré pour une mise à jour automatique, le téléchargement commence. Important : la première fois que vous connectez l’iPod nano à un ordinateur, un message vous demande si vous souhaitez transférer les morceaux automatiquement. Si vous acceptez, tous les morceaux, les livres audio et autres éléments sont supprimés de l’iPod nano et remplacés par ceux de l’ordinateur en question. Si vous refusez, il vous sera toujours possible de télécharger manuellement des morceaux sur l’iPod nanoiPod nano, sans supprimer ceux qui s’y trouvent déjà.22 Chapitre 2 Fonctionnalités musicales Pendant le téléchargement de musique de votre ordinateur sur l’iPod nano, la fenêtre d’état d’iTunes affiche la progression et l’icône de l’iPod nano clignote en rouge dans la liste Source. Une fois le téléchargement terminé, le message “L’iPod est à jour” apparaît dans iTunes. Si vous avez réglé iTunes pour le téléchargement manuel de la musique, vous pouvez réinitialiser l’application plus tard pour mettre à jour l’iPod nano automatiquement. Pour en savoir plus, consultez “Mise à jour manuelle de l’iPod nano” à la page 23. Pour réinitialiser iTunes pour la mise à jour automatique de l’iPod nano avec tous les morceaux et listes de lecture : 1 Ouvrez iTunes puis sélectionnez l’iPod nano dans la liste Source d’iTunes. 2 Cliquez sur le bouton Options puis sur Musique. 3 Sélectionnez “Mettre à jour automatiquement tous les morceaux et listes de lecture”. Le téléchargement démarre automatiquement. Bouton OptionsChapitre 2 Fonctionnalités musicales 23 Mise à jour automatique de l’iPod nano avec les listes de lecture sélectionnées Configurer iTunes pour mettre à jour l’iPod nano avec les listes de lecture sélectionnées est particulièrement utile lorsque la quantité de musique stockée sur votre ordinateur est supérieure à la capacité de l’iPod nano. Seule la musique des listes de lecture que vous avez sélectionnées est téléchargée sur l’iPod nano. Pour configurer iTunes afin de mettre automatiquement l’iPod nano à jour avec les listes de lecture sélectionnées : 1 Ouvrez iTunes puis sélectionnez l’iPod nano dans la liste Source d’iTunes. 2 Cliquez sur le bouton Options puis sur Musique. 3 Sélectionnez l’option “Ne mettre à jour automatiquement que les listes de lecture sélectionnées”. 4 Sélectionnez les listes de lecture voulues. Mise à jour manuelle de l’iPod nano Configurer iTunes pour pouvoir mettre à jour manuellement l’iPod nano vous offre une plus grande souplesse pour gérer la musique sur votre iPod nano. Vous pouvez ajouter et supprimer individuellement des morceaux ou d’autres éléments mais aussi d’ajouter des morceaux à l’iPod nano à partir de plusieurs ordinateurs sans effacer les morceaux déjà présents sur l’iPod nano Pour configurer iTunes afin de gérer manuellement les morceaux sur l’iPod nano : 1 Ouvrez iTunes puis sélectionnez l’iPod nano dans la liste Source d’iTunes. 2 Cliquez sur le bouton Options puis sur Musique. 3 Sélectionnez l’option “Organiser les morceaux et listes de lecture manuellement”. Remarque : lorsque vous gérez les morceaux vous-même, vous devez éjecter votre iPod nano d’iTunes manuellement avant de le déconnecter. Pour ajouter un morceau ou un autre élément à l’iPod nano : m Dans iTunes, cliquez sur Bibliothèque et faites glisser le morceau ou autre élément vers l’icône de l’iPod nano dans la liste Source. Pour supprimer un morceau ou un autre élément de l’iPod nano : 1 Cliquez sur l’icône de l’iPod nano dans la liste Source d’iTunes. 2 Sélectionnez un morceau ou autre élément sur l’iPod nano puis appuyez sur la touche Supprimer ou Arrière de votre clavier. Lorsque vous supprimez manuellement un morceau ou autre élément de l’iPod nano, il n’est pas supprimé de votre bibliothèque iTunes. Pour créer une nouvelle liste de lecture sur l’iPod nano : 1 Sélectionnez l’iPod nano dans la liste Source d’iTunes puis cliquez sur le bouton Ajouter (+). 2 Faites glisser des morceaux vers la nouvelle liste de lecture.24 Chapitre 2 Fonctionnalités musicales Pour modifier une liste de lecture sur l’iPod nano : m Faites glisser un morceau vers une liste de lecture de l’iPod nano afin de l’y ajouter. Choisissez un morceau dans une liste de lecture et appuyez sur la touche Supprimer de votre clavier pour l’effacer. Téléchargement de podcasts sur l’iPod nano Les réglages de téléchargement de podcasts sur un iPod nano sont distincts de ceux du transfert de morceaux. Les réglages de transfert de podcasts n’influent pas sur ceux de transfert de morceaux et inversement. Vous pouvez manuellement télécharger des podcasts sur votre iPod nano ou configurer iTunes pour une mise à jour automatique de tous les podcasts ou seulement des podcasts sélectionnés. Pour configurer iTunes pour une mise à jour automatique des podcasts sur l’iPod nano : 1 Sélectionnez l’iPod nano dans la liste Source iTunes puis cliquez sur le bouton Options. 2 Cliquez sur Podcasts et sélectionnez l’une des options suivantes : Lorsque vous configurez iTunes pour une mise à jour automatique des podcasts de l’iPod nano, l’iPod nano est mis à jour chaque fois que vous le connectez à votre ordinateur. Pour configurer iTunes pour une gestion manuelle des podcasts : 1 Sélectionnez l’iPod nano dans la liste Source iTunes puis cliquez sur le bouton Options. 2 Cliquez sur Podcasts et sélectionnez “Organiser les morceaux manuellement”. Pour télécharger manuellement des podcasts sur l’iPod nano : m Dans iTunes, faites glisser les épisodes les plus récents des émissions depuis la liste de lecture Podcasts vers votre iPod nano. Pour régler iTunes pour procédez ainsi : Mettre à jour automatiquement tous les podcasts Sélectionnez “Actualiser automatiquement tous les podcasts”. Lorsque vous cliquez sur OK, iTunes met à jour les podcasts sur l’iPod nano de manière qu’ils soient identiques à ceux présents sur l’ordinateur. Mettre à jour automatiquement les podcasts sélectionnés Sélectionnez “N’actualiser automatiquement que les podcasts sélectionnés”, cochez les cases en regard des podcasts à mettre à jour, puis choisissez une option de mise à jour dans le menu local. Lorsque vous cliquez sur OK, iTunes met à jour les podcasts sélectionnés sur l’iPod nano de manière qu’ils soient identiques à ceux présents sur l’ordinateur. Limiter le nombre d’épisodes mis à jour automatiquement sur l’iPod nano Sélectionnez l’une des options de mise à jour automatique puis choisissez une option dans le menu local Mettre à jour :“tous les épisodes”, “seulement les épisodes cochés”, “seulement l’épisode le plus récent” ou “seulement les épisodes non lus”. Lorsque iTunes met à jour les podcasts de l’iPod nano, les épisodes autres que ceux que vous indiquez sont supprimés de l’iPod nano.Chapitre 2 Fonctionnalités musicales 25 Lecture de musique Après avoir téléchargé de la musique et d’autres fichiers audio sur votre iPod nano, vous pouvez les écouter. Servez-vous de la molette cliquable et du bouton central pour rechercher un morceau, un livre audio ou un podcast. Les éléments de menu Podcasts et Livres audio ne s’afficheront que si vous avez téléchargé ce type de fichier audio sur l’iPod nano. Pour rechercher et lire un morceau : m Sélectionnez Musique, recherchez un morceau, appuyez sur le bouton de lecture (’) et régalez-vous ! Lorsqu’un morceau est en cours de lecture, l’écran En lecture apparaît. Lorsque l’écran En lecture est affiché, vous pouvez utiliser la molette cliquable pour régler le volume. Le tableau suivant décrit les éléments de l’écran En Lecture de l’iPod nano. Écran En lecture Fonction Numéro du morceau Affiche le numéro du morceau en cours de lecture dans la séquence de morceaux actuelle. Pochette d’album Affiche les illustrations si elle sont intégrées au fichier audio du morceau. Icône Répéter (⁄) Apparaît si l’iPod nano est configuré pour répéter tous les morceaux. L’icône Répéter une fois (!) apparaît lorsque l’iPod nano est configuré pour répéter un seul morceau. Icône Aléatoire (¡) Apparaît si l’iPod nano est configuré pour lire de façon aléatoire des morceaux ou des albums. Informations du morceau Affiche le titre du morceau, le nom de l’artiste et le titre de l’album. Durée du morceau (barre de progression) Affiche le temps écoulé et le temps restant du morceau en cours de lecture. Appuyez sur le bouton central pour afficher le défileur, où un losange indique la position de lecture. Utilisez la molette cliquable pour écouter à un endroit différent du morceau, livre audio ou podcast. Icône Répéter Icône Aléatoire Durée du morceau Numéro du morceau Informations du morceau Pochette d’album26 Chapitre 2 Fonctionnalités musicales Selon le type de fichier audio que vous écoutez, vous pouvez appuyer sur le bouton central à plusieurs reprises dans l’écran En lecture pour afficher d’autres informations et options, telles que l’écran de classement pour les morceaux et livres audio, la pochette de l’album, les informations de podcast, la vitesse de lecture et plus encore. Cliquez sur le bouton Menu pour revenir à l’écran précédent. Configuration de l’iPod nano pour la lecture de morceaux dans un ordre aléatoire Vous pouvez configurer l’iPod nano pour la lecture de morceaux, d’albums ou de toute votre bibliothèque en ordre aléatoire. Pour configurer l’iPod nano de manière à ce qu’il mélange et commence la lecture de tous vos morceaux : m Sélectionnez l’option Mix de morceaux dans le menu principal de l’iPod nano. L’iPod nano entamera la lecture aléatoire de morceaux à partir de toute votre bibliothè- que musicale, en ignorant les livres audio et les podcasts. Pour configurer l’iPod nano de manière à ce qu’il lise toujours les morceaux ou les albums dans un ordre aléatoire : 1 Sélectionnez l’élément du menu Réglages dans le menu principal de l’iPod nano. 2 Réglez l’élément du menu Aléatoire sur Morceaux ou Albums. Lorsque vous configurez l’iPod nano pour lire les morceaux dans un ordre aléatoire en sélectionnant Réglages > Aléatoire, l’iPod nano lit de manière aléatoire les morceaux de la liste (album ou liste de lecture, par exemple) que vous avez choisi d’écouter. Lorsque vous configurez l’iPod nano de sorte qu’il lise des albums dans un ordre aléatoire, il lit tous les morceaux d’un album dans l’ordre, puis choisit aléatoirement un autre album dans la liste et le lit dans l’ordre. Configuration de l’iPod nano pour la répétition de morceaux Vous pouvez configurer l’iPod nano de sorte qu’il répète un morceau indéfiniment ou bien qu’il répète une suite de morceaux. L’iPod nano répète les morceaux de la liste que vous avez choisi d’écouter. Pour régler la répétition de morceaux sur l’iPod nano : m Sélectionnez l’élément du menu Réglages dans le menu principal de l’iPod nano.  Pour répéter tous les morceaux de la liste, réglez l’élément du menu Répéter sur Tous.  Pour lire un morceau en boucle, réglez l’élément du menu Répéter sur Un.Chapitre 2 Fonctionnalités musicales 27 Création de listes de lecture On-The-Go sur l’iPod nano Vous pouvez créer des listes de lecture sur l’iPod nano, appelées listes de lecture On-The-Go, lorsque l’iPod nano n’est pas connecté à votre ordinateur. Pour créer une liste de lecture On-The-Go : 1 Sélectionnez un morceau puis maintenez enfoncé le bouton central jusqu’à ce que le titre du morceau clignote. 2 Choisissez les autres morceaux que vous souhaitez ajouter. 3 Sélectionnez Musique > Listes de lecture > On-The-Go pour afficher votre liste de morceaux. Vous pouvez également ajouter des listes entières de morceaux en même temps. Par exemple, pour ajouter un album, sélectionnez le titre de l’album puis appuyez sur le bouton central. Maintenez-le enfoncé jusqu’à ce que le titre de l’album clignote. Pour lire les morceaux d’une liste de lecture On-The-Go : m Sélectionnez Musique > Listes de lecture > On-The-Go puis choisissez un morceau. Pour supprimer un morceau d’une liste de lecture On-The-Go : m Sélectionnez un morceau dans la liste de lecture et ne relâchez le bouton central que lorsque le titre clignote. Pour effacer tout le contenu de la liste de lecture On-The-Go : m Sélectionnez Musique > Listes de lecture > On-The-Go > Effacer liste. Pour enregistrer des listes de lecture On-The-Go sur votre iPod nano : m Sélectionnez Musique > Listes de lecture > On-The-Go > Enregistrer liste > Enregistrer liste. La première liste de lecture est enregistrée sous l’intitulé “Nouvelle liste 1” dans le menu Listes de lecture. La liste de lecture On-The-Go est effacée. Vous pouvez enregistrer autant de listes de lecture On-The-Go que vous le souhaitez. Après avoir enregistré une liste de lecture On-The-Go, vous ne pouvez plus en supprimer des morceaux. Pour copier des listes de lecture instantanées (On-The-Go) vers votre ordinateur : m Si l’iPod nano est réglé pour le transfert automatique des morceaux (voir “Mise à jour automatique de l’iPod nano” à la page 21) et que vous créez une liste de lecture On-The-Go, cette dernière sera automatiquement copiée vers iTunes lorsque vous connectez l’iPod nano. La nouvelle liste de lecture On-The-Go apparaîtra dans la liste des sources iTunes. Vous pouvez renommer ou supprimer la nouvelle liste de lecture, comme pour toute autre liste de lecture dans iTunes.28 Chapitre 2 Fonctionnalités musicales Évaluation des morceaux Vous pouvez attribuer à un morceau une note d’évaluation (de 1 à 5 étoiles) pour indiquer à quel point il vous plaît. Vous pouvez créer automatiquement des listes de lecture dans iTunes selon ces notes d’évaluation. Pour attribuer une note à un morceau : 1 Lancez la lecture du morceau. 2 Dans l’écran En lecture, appuyez sur le bouton central jusqu’à l’apparition de l’écran de classement (qui affiche soit des puces, soit des étoiles, soit les deux). 3 Servez-vous de la molette cliquable pour choisir une note. Remarque : il est impossible d’attribuer une note à un podcast. Mise en place du volume maximum Vous pouvez décider d’établir un volume maximum (c’est-à-dire une limite du niveau sonore) sur votre iPod nano, puis lui attribuer un code afin d’éviter que ce réglage soit modifié. Pour mettre en place un volume maximum sur votre iPod nano : 1 Sélectionnez Réglages > Volume maximum. La commande de volume affiche le volume actuel. 2 Utilisez la molette cliquable pour sélectionner le niveau sonore que vous souhaitez établir en tant que volume maximum. Vous pouvez appuyez sur Lire afin d’écouter le morceau en cours de sélection lorsque vous choisissez le niveau sonore. 3 Une fois le niveau sonore choisi, appuyez sur le bouton central pour définir ce niveau en tant que volume maximum. Dans la barre de volume, un triangle indique le volume maximum. 4 Lorsque l’écran Volume maximum est affiché, cliquez sur Définir le code pour mettre en place un code ; de cette manière, il faudra la saisir avant de pouvoir modifier le volume maximum. Cliquez sur Terminé pour valider le volume maximum établi sans mettre en place de code. 5 Si vous choisissez Définir le code, vous devez en saisir un :  Utilisez la molette cliquable pour sélectionner un chiffre à entrer dans la case du premier chiffre. Appuyez sur le bouton central pour confirmer votre choix et passer à la case suivante.  Utilisez la même méthode pour définir les autres chiffres du code. Vous pouvez utiliser le bouton Suivant/Avance rapide pour passer à la case suivante ou le bouton Précédent/ Retour rapide pour revenir à la case précédente. Lorsque vous vous trouvez dans la dernière case, appuyez sur le bouton central pour confirmer la totalité du code et revenir à l’écran précédent.Chapitre 2 Fonctionnalités musicales 29 Si vous montez le son au maximum après avoir mis en place un niveau sonore maximum, une icône de verrou apparaîtra à droite de la barre de volume de l’écran En lecture : cela vous indique que la limite établie a été atteinte. Remarque : le volume des morceaux et des autres fichiers audio peut varier selon leur mode d’enregistrement ou d’encodage. Consultez la section “Réglage de morceaux pour qu’ils soient lus au même volume” à la page 29 pour obtenir des informations sur la manière de mettre en place un niveau sonore relatif dans iTunes et sur l’iPod nano. Le niveau sonore peut également varier selon le type d’écouteurs ou de casque utilisés. À part l’accessoire iPod Radio Remote, les accessoires qui se branchent via le connecteur iPod Dock Connector ne prennent pas en charge l’établissement d’un volume maximum. Si vous avez défini un code, vous devez alors le saisir avant de modifier ou de supprimer le volume maximum. Pour modifier le volume maximum : 1 Sélectionnez Réglages > Volume maximum. 2 Si vous avez établi un code, saisissez-le en utilisant la molette cliquable pour sélectionner les chiffres et en appuyant sur le bouton central pour les valider. 3 Utilisez la molette cliquable pour modifier le niveau sonore établi en tant que volume maximum. 4 Appuyez sur le bouton central pour valider la modification. Pour supprimer le volume maximum : 1 Si vous écoutez de la musique sur votre iPod, appuyez sur Pause. 2 Sélectionnez Réglages > Volume maximum. 3 Si vous avez établi un code, saisissez-le en utilisant la molette cliquable pour sélectionner les chiffres et en appuyant sur le bouton central pour les valider. 4 Utilisez la molette cliquable pour déplacer la limite établie jusqu’au niveau le plus élevé sur la barre de volume. Cela annule toute restriction quant au volume. 5 Appuyez sur le bouton central pour valider la modification. Remarque : si vous avez oublié le code, vous avez la possibilité de restaurer l’iPod nano. Consultez “Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod” à la page 52 pour en savoir plus. Réglage de morceaux pour qu’ils soient lus au même volume iTunes peut régler automatiquement le volume des morceaux, de manière à ce qu’ils soient lus au même volume relatif. Vous pouvez configurer l’iPod nano de sorte qu’il utilise les réglages de volume d’iTunes.30 Chapitre 2 Fonctionnalités musicales Pour régler iTunes de sorte qu’il lise les morceaux au même niveau sonore : 1 Dans iTunes, sélectionnez iTunes > Préférences si vous utilisez un Mac ou sélectionnez Édition > Préférences si vous utilisez un PC sous Windows. 2 Cliquez sur Audio puis choisissez Égaliseur de volume. Pour régler l’iPod nano de manière à ce qu’il utilise les réglages de volume d’iTunes : m Sélectionnez Réglages > Égaliseur de volume. Si vous n’avez pas activé l’option Égaliseur de volume dans iTunes, la configurer sur l’iPod nano n’a aucun effet. Utilisation de l’égaliseur Vous pouvez utiliser les préréglages de l’égaliseur pour modifier le son de l’iPod nano et l’ajuster aux différents genres ou styles musicaux. Par exemple, pour améliorer l’acoustique d’un morceau rock, réglez l’égaliseur sur Rock. m Sélectionnez Réglages > Égaliseur puis choisissez un préréglage d’égaliseur. Si vous avez choisi un préréglage d’égaliseur pour un morceau dans iTunes et que l’égaliseur de l’iPod nano est désactivé (réglé sur Non), le morceau est lu selon le réglage d’iTunes. Voir l’Aide iTunes et Music Store pour en savoir plus. Configuration de l’iPod nano pour l’affichage des compilations Vous pouvez configurer l’iPod nano de telle sorte qu’il affiche un élément de menu nommé Compilations dans le menu Musique. Une compilation est un album constitué à partir de plusieurs sources, par exemple une musique de film ou un album de morceaux à succès. Vous pouvez choisir Musique > Compilations pour voir vos compilations. Pour configurer l’iPod nano pour un affichage de l’option Compilations dans le menu Musique : m Choisissez Réglages et réglez Compilations sur Oui. Affichage d’illustrations d’album sur l’iPod nano Vous pouvez configurer iTunes de manière à permettre à l’iPod nano d’afficher des illustrations d’album, puis ensuite les visionner sur l’iPod nano. Pour configurer iTunes de sorte que l’iPod nano affiche les illustrations d’album : 1 Ouvrez iTunes, sélectionnez l’iPod nano dans la liste Source et cliquez sur le bouton Options. 2 Sélectionnez l’option “Afficher les illustrations d’album sur votre iPod”. Bouton OptionsChapitre 2 Fonctionnalités musicales 31 Pour voir les illustrations d’album sur votre iPod nano : 1 Écoutez un morceau auquel est associé une illustration d’album. 2 Dans l’écran En lecture, appuyez deux fois sur le bouton central. Si vous ne voyez aucune illustration, soit ce morceau n’en possède pas, soit vous devez configurer iTunes pour permettre à l’iPod nano d’afficher une illustration. Pour en savoir plus sur les illustrations d’album, ouvrez iTunes puis choisissez Aide > Aide iTunes et Music Store. Affichage de paroles sur l’iPod nano Si vous saisissez les paroles d’un morceau dans iTunes, puis transférer ce morceau vers l’iPod nano, vous pouvez voir les paroles sur ce dernier. Pour obtenir plus d’informations sur la saisie de paroles, voir “Ajout de paroles” à la page 17. Pour afficher les paroles sur l’iPod nano lorsqu’un morceau est en cours de lecture : m Lorsque l’écran En lecture est affiché, cliquez sur le bouton central jusqu’à ce que les paroles apparaissent. Les paroles s’affichent à l’écran et vous pouvez les faire défiler pendant la lecture du morceau. Écoute de podcasts Les podcasts sont des sortes d’émissions de radio téléchargeables que vous pouvez vous procurer sur l’iTunes Music Store (voir “Téléchargement de podcasts sur l’iPod nano” à la page 24). Les podcasts s’organisent par émissions, épisodes (inclus dans les émissions) et chapitres (inclus dans les épisodes). Si vous interrompez l’écoute d’un podcast sur l’iPod, vous pourrez reprendre cette écoute à l’endroit où vous l’avez interrompue. Pour écouter un podcast : 1 Sélectionnez Musique > Podcasts, puis sélectionnez une émission. Les émissions s’affichent dans l’ordre chronologique inverse pour que vous puissiez commencer par écouter la plus récente. Un point bleu apparaît à côté des émissions et des épisodes que vous n’avez pas encore écoutés. 2 Choisissez un épisode à écouter. L’écran En lecture affiche l’émission, l’épisode, les informations sur la date mais aussi le temps écoulé et le temps restant. Appuyez sur le bouton central pour obtenir plus d’informations sur le podcast. Si le podcast inclut des illustrations, vous pourrez également les visualiser. Les illustrations du podcast peuvent être modifiées au cours d’un épisode : il est donc possible que vous visualisiez plusieurs images durant le podcast. Vous pouvez également télécharger des podcasts vidéo. Lorsque vous recherchez un podcast vidéo, vous pouvez seulement l’entendre ; vous ne pouvez pas le voir sur l’iPod nano.32 Chapitre 2 Fonctionnalités musicales Remarque : si le podcast que vous écoutez comporte des chapitres, vous pouvez appuyer sur le bouton Suivant/Avance rapide pour passer au chapitre suivant et Précédent/Retour rapide pour revenir au début du chapitre courant. Pour en savoir plus sur les podcasts, ouvrez iTunes puis sélectionnez Aide > Aide iTunes et Music Store. Recherchez alors “podcasts”. Écoute de livres audio Vous pouvez acheter et télécharger des livres audio sur l’iTunes Music Store ou sur audible.com et les écouter sur votre iPod nano. Vous pouvez utiliser iTunes pour télécharger des livres audio sur votre iPod nano de la même manière que vous téléchargez des morceaux. Si vous interrompez l’écoute d’un livre audio sur l’iPod nano, vous pourrez reprendre cette écoute à l’endroit où vous l’aviez interrompue. L’iPod nano ignore les livres audio lorsqu’il est en mode aléatoire, à moins que vous n’écoutiez des morceaux à partir de listes de lecture. Si le livre audio que vous écoutez comporte des chapitres, vous pouvez appuyer sur le bouton Suivant/Avance rapide pour passer au chapitre suivant et Précédent/Retour rapide pour revenir au début du chapitre courant. Vous pouvez lire des livres audio à des vitesses inférieures ou supérieures à la normale. Pour régler la vitesse de lecture d’un livre audio : m Sélectionnez Réglages > Livres audio puis choisissez une vitesse. Vous pouvez également régler la vitesse de lecture dans l’écran En lecture pendant que vous écoutez un livre audio. Appuyez sur le bouton central jusqu’à l’apparition de l’option Vitesse, puis utilisez la molette cliquable pour sélectionner Plus rapide ou Plus lent. Le choix d’une vitesse de lecture ne concerne que les livres audio achetés sur l’iTunes Music Store ou audible.com. Écoute de la radio FM Vous pouvez écouter la radio à l’aide de l’accessoire en option iPod Radio Remote pour l’iPod nano. Cet accessoire se fixe sur votre iPod nano à l’aide du câble de connecteur Dock. Pour en savoir plus sur l’utilisation des fonctions de radio avec l’iPod nano, consultez la documentation concernant l’accessoire iPod Radio Remote.3 33 3 Fonctionnalités concernant les photos Vous pouvez télécharger sur l’iPod nano des photos prises avec votre appareil photo numérique. Vous pouvez visionner vos photos sur l’iPod nano, aussi bien de façon individuelle que sous forme de diaporama. Consultez cette section pour en savoir plus sur l’importation et l’affichage de photos. Téléchargement de photos Vous pouvez importer des photos numériques depuis votre appareil photo numérique vers votre ordinateur, puis les télécharger pour les mémoriser et les visionner sur l’iPod nano. Importation de photos à partir d’un appareil photo vers votre ordinateur Vous pouvez importer des photos depuis un appareil photo numérique ou un lecteur de cartes photo. Pour importer des photos sur un Mac via iPhoto : 1 Connectez l’appareil photo ou le lecteur de cartes photo à votre ordinateur. Ouvrez l’application iPhoto (dans le dossier Applications) si elle ne s’ouvre pas automatiquement. 2 Cliquez sur Importer. Les images de l’appareil photo sont importées dans iPhoto. Vous pouvez importer d’autres images numériques dans iPhoto, comme des images téléchargées sur Internet. Pour en savoir plus sur l’importation et la manipulation de photos et d’autres images, ouvrez iPhoto puis choisissez Aide > Aide iPhoto.34 Chapitre 3 Fonctionnalités concernant les photos iPhoto fait partie d’une suite d’applications appelée iLife, en vente au site Web www.apple.com/fr/ilife. Il est possible qu’iPhoto soit déjà installé sur votre Mac, dans le dossier Applications. Si vous ne disposez pas d’iPhoto, vous pouvez importer des photos via l’application Transfert d’images. Pour importer des photos sur un Mac via l’application Transfert d’images : 1 Connectez l’appareil photo ou le lecteur de cartes photo à votre ordinateur. 2 Ouvrez l’application Transfert d’images (dans le dossier Applications) si celle-ci ne s’ouvre pas automatiquement. 3 Pour choisir des éléments spécifiques à télécharger, cliquez sur Télécharger certaines images. Ou, pour télécharger tous les éléments, cliquez sur Tout télécharger. Pour importer des photos sur un PC sous Windows : m Suivez les instructions fournies avec votre appareil photo numérique ou votre application de gestion de photos. Téléchargement de photos depuis votre ordinateur sur l’iPod nano Vous pouvez télécharger des photos à partir d’un dossier sur votre disque dur. Si vous utilisez un Mac et iPhoto 4.0.3 ou ultérieur, vous pouvez télécharger automatiquement des albums iPhoto. Si vous utilisez un PC sous Windows et Adobe Photoshop Album 1.0 ou ultérieur ou Adobe Photoshop Elements 3.0 ou ultérieur, vous pouvez télécharger automatiquement des collections de photos. La première fois que vous téléchargez des photos sur l’iPod nano, il se peut que l’opération prenne un certain temps selon le nombre de photos que contient votre photothèque.Chapitre 3 Fonctionnalités concernant les photos 35 Pour transférer des photos depuis un Mac ou PC sous Windows sur l’iPod nano en utilisant une application de gestion de photos : 1 Ouvrez iTunes, sélectionnez l’iPod nano dans la liste Source et cliquez sur le bouton Options. 2 Cliquez sur Photos puis sélectionnez “Synchronisez les photos depuis”.  Sur un Mac, choisissez iPhoto dans le menu local.  Sur un PC sous Windows, choisissez Photoshop Album ou Photoshop Elements dans le menu local. 3 Si vous souhaitez importer l’ensemble de vos photos, sélectionnez “Copier toutes les photos”. Si vous souhaiter importer des photos de certains albums ou collections uniquement, sélectionnez l’option “Copier uniquement les albums sélectionnés” puis sélectionnez les albums ou collections de votre choix. Remarque : certaines versions de Photoshop Album et Photoshop Elements ne prennent pas en charge les collections. Vous pouvez cependant les utiliser pour télécharger toutes vos photos. Chaque fois que vous connectez l’iPod nano à votre ordinateur, les photos sont téléchargées automatiquement. Pour télécharger des photos depuis un dossier de votre disque dur sur l’iPod nano : 1 Faites glisser les images de votre choix dans un dossier de votre ordinateur. Si vous souhaitez que les images apparaissent dans différents albums photo sur l’iPod nano, créez des dossiers à l’intérieur du dossier d’images principal et faites glisser les images dans les nouveaux dossiers. 2 Ouvrez iTunes, sélectionnez l’iPod nano dans la liste Source et cliquez sur le bouton Options. 3 Cliquez sur Photos puis sélectionnez “Synchronisez les photos depuis”. 4 Sélectionnez “Choisir un dossier” dans le menu local puis choisissez votre dossier d’images. Bouton Options Bouton Options36 Chapitre 3 Fonctionnalités concernant les photos Lorsque vous téléchargez des photos sur l’iPod nano, iTunes les optimise en vue de leur affichage à l’écran. Les fichiers d’images en pleine résolution ne sont pas transférés par défaut. Le téléchargement de fichiers d’images en pleine résolution est utile si vous souhaitez stocker vos images ou les déplacer d’un ordinateur à un autre, mais il n’est pas nécessaire pour afficher les images en pleine qualité sur l’iPod nano. Pour télécharger des fichiers d’images en pleine résolution sur l’iPod nano : 1 Ouvrez iTunes, sélectionnez l’iPod nano dans la liste Source et cliquez sur le bouton Options. 2 Cliquez sur Photos puis sélectionnez “Inclure les photos en pleine résolution”. iTunes copie les versions en pleine résolution des photos dans le dossier Photos de votre iPod nano. Importation de photos depuis l’iPod nano sur un ordinateur Si vous téléchargez des photos en pleine résolution depuis ordinateur sur l’iPod nano à l’aide des étapes précédentes, elles sont stockées dans un dossier Photos de l’iPod nano. Vous pouvez connecter l’iPod nano à un ordinateur puis importer ces photos sur l’ordinateur. L’iPod nano doit être configuré pour l’utilisation comme disque externe (consulter “Utilisation de l’iPod nano en tant que disque externe” à la page 38). Pour importer des photos depuis l’iPod nano sur un ordinateur : 1 Connectez l’iPod nano à l’ordinateur. 2 Faites glisser les fichiers images du dossier Photos de l’iPod nano vers le bureau ou vers une application de montage photo sur l’ordinateur. Remarque : vous pouvez également utiliser une application de montage photo, comme iPhoto, pour importer des photos stockées dans le dossier Photos. Visionnage de photos Vous pouvez visionner des photos manuellement ou sous forme de diaporama sur l’iPod nano. Affichage de photos sur l’iPod nano Pour afficher des photos sur l’iPod nano : 1 Sur l’iPod nano, sélectionnez Photos > Photothèque. Vous pouvez aussi sélectionner Photos puis un album photo pour afficher uniquement les photos de cet album. Les vignettes des photos apparaissent (cela peut prendre un moment). Bouton OptionsChapitre 3 Fonctionnalités concernant les photos 37 2 Sélectionnez la photo de votre choix puis appuyez sur le bouton central pour afficher une version en plein écran. À partir de n’importe quel écran d’affichage de photos, utilisez la molette cliquable pour faire défiler les photos. Utilisez les boutons Suivant/Avance rapide et Précédent/ Retour rapide pour passer à l’écran de photos suivant ou précédent. Visionnage de diaporamas Si vous le souhaitez, vous pouvez visionner un diaporama agrémenté de musique et de transitions sur l’iPod nano. Pour configurer les réglages d’un diaporama : m Sélectionnez Photos > Réglages de diaporama puis suivez les instructions ci-dessous : Pour visionner un diaporama sur l’iPod nano : m Choisissez une photo, un album ou un rouleau, puis appuyez sur le bouton Lecture/ Pause ou bien sélectionnez une photo en plein écran et appuyez sur le bouton central. Pour suspendre la musique et le diaporama, appuyez sur le bouton Lecture/Pause. Pour passer manuellement à l’écran de photos suivant ou précédent, appuyez sur le bouton Suivant/Avance rapide ou bouton Précédent/Retour rapide. Pour définir : Procédez ainsi : La durée d’affichage de chaque diapositive avant le passage à la suivante Sélectionnez Temps par diapo puis choisissez une durée. La musique qui agrémente les diaporamas Sélectionnez Musique puis choisissez une liste de lecture. Si vous utilisez iPhoto, vous pouvez choisir l’option D’iPhoto pour copier le réglage de musique d’iPhoto. Seuls les morceaux que vous avez téléchargés sur l’iPod nano sont lus. Les diapositives à répéter Réglez Répéter sur Oui. Les diapositives à afficher dans un ordre aléatoire Réglez Mix de photos sur Oui. Les diapositives à afficher avec des transitions Sélectionnez Transitions puis choisissez le type de transition.4 38 4 Fonctions et accessoires supplémentaires Votre iPod nano peut garder bien plus que des morceaux et avec lui, vous pouvez faire bien plus que d’écouter de la musique. Consultez cette section pour en savoir plus sur les fonctions supplémentaires de l’iPod nano, notamment son utilisation en tant que disque externe, son alarme, sa minuterie de mise en veille, ses horloges affichant l’heure dans d’autres régions du monde et sa fonction de synchronisation de contacts, de calendriers, de listes de tâches, de mémos vocaux et de notes. Apprenez à utiliser l’iPod nano comme chronomètre et à verrouiller l’écran. Renseignez-vous sur les accessoires disponibles pour l’iPod nano. Utilisation de l’iPod nano en tant que disque externe Vous pouvez utiliser l’iPod nano comme disque externe pour stocker et télécharger des fichiers de données. Remarque : pour télécharger sur l’iPod nano de la musique et d’autres fichiers audio, vous devez utiliser iTunes. Par exemple, les morceaux téléchargés via iTunes ne sont pas visibles dans le Finder Macintosh ou l’Explorateur Windows. De même, si vous copiez des fichiers de musique sur l’iPod nano dans le Finder Macintosh ou l’Explorateur Windows, vous ne pourrez pas les écouter sur l’iPod nano. Pour utiliser l’iPod nano comme disque externe : 1 Dans iTunes, sélectionnez iPod nano dans la liste Source et cliquez sur le bouton Options. 2 Cliquez sur Musique et sélectionnez “Activer l’utilisation comme disque dur”. Lorsque vous utilisez l’iPod nano comme disque externe, une icône de disque iPod nano apparaît sur le bureau si vous utilisez un Mac, tandis que si vous utilisez un PC sous Windows, la première lettre de disque disponible lui est attribuée dans l’Explorateur Windows. Bouton OptionsChapitre 4 Fonctions et accessoires supplémentaires 39 Remarque : pour utiliser l’iPod nano en tant que disque externe, vous pouvez également cliquer sur Musique puis sélectionner “Organiser les morceaux et listes de lecture manuellement”. dans la fenêtre Options. Faites glisser des fichiers à partir de l’iPod nano ou vers lui afin de les copier. Si vous utilisez l’iPod nano principalement comme disque, il est recommandé d’empê- cher l’ouverture automatique d’iTunes à la connexion de l’iPod nano à votre ordinateur. Pour empêcher iTunes de s’ouvrir automatiquement quand vous connectez l’iPod nano à votre ordinateur : 1 Dans iTunes, sélectionnez iPod nano dans la liste Source et cliquez sur le bouton Options. 2 Cliquez sur Musique et désélectionnez l’option “Ouvrir iTunes à la connexion de cet iPod”. Utilisation des réglages supplémentaires Vous pouvez régler la date et l’heure, des horloges de fuseaux horaires différents et les fonctionnalités de l’alarme et de la mise en veille sur votre iPod nano. Vous pouvez utiliser l’iPod nano comme chronomètre ou pour jouer, et vous pouvez verrouiller l’écran de l’iPod nano. Réglage et affichage de la date et de l’heure La date et l’heure sont réglées automatiquement à partir de l’horloge de votre ordinateur lorsque vous connecté l’iPod nano mais vous pouvez modifier ces réglages. Pour régler les options de date et d’heure : 1 Choisissez Réglages > Date et Heure. 2 Choisissez une ou plusieurs des options suivantes : Bouton Options Pour : Procédez ainsi : Spécifier le fuseau horaire Sélectionnez Régler fuseau horaire puis choisissez un fuseau horaire dans la liste. Régler la date et l’heure Sélectionnez Régler date/heure. Utilisez la molette cliquable pour modifier la valeur sélectionnée. Appuyez sur le bouton central pour passer à la valeur suivante. Afficher l’heure dans un format différent Sélectionnez Heure puis appuyez sur le bouton central pour alterner l’horloge entre le format de 12 heures et celui de 24 heures. Afficher l’heure dans la barre de titre Sélectionnez Heure dans titre puis appuyez sur le bouton central pour choisir Oui ou Non. Vous pouvez lire l’heure dans chaque écran de menu de l’iPod nano.40 Chapitre 4 Fonctions et accessoires supplémentaires Ajout d’horloges d’autres fuseaux horaires Pour ajouter des horloges d’autres fuseaux horaires à l’écran de votre iPod nano : 1 Sélectionnez Extras > Horloge. 2 Sélectionnez Nouv. horloge. 3 Choisissez une région puis une ville. Les horloges ajoutées s’affichent dans une liste. La dernière horloge ajoutée s’affiche à la fin. Pour supprimer une horloge : 1 Choisir l’horloge. 2 Sélectionnez Supprimer cette horloge puis confirmez en sélectionnant Supprimer sur l’écran suivant. Réglage de l’alarme Vous pouvez régler une alarme pour chacune des horloges de votre iPod nano. Pour utiliser l’iPod nano comme réveil : 1 Sélectionnez Extras > Horloge puis choisissez l’horloge dont vous souhaitez régler l’alarme. 2 Sélectionnez Alarme. 3 Activez l’alarme en la réglant sur Oui. 4 Sélectionnez Heure puis réglez l’heure à laquelle vous souhaitez que l’alarme se déclenche. 5 Choisissez un son. Si vous sélectionnez Bip, le haut-parleur interne diffusera l’alarme. Si vous choisissez une liste de lecture, vous devrez connecter l’iPod nano à des haut-parleurs ou à des écouteurs pour pouvoir entendre l’alarme. Une icône de cloche se trouve à côté des horloges dont l’alarme a été réglée. Réglage de la minuterie de mise en veille Vous pouvez configurer l’extinction automatique de l’iPod nano au bout d’un certaine période de lecture de musique ou d’un diaporama. Pour configurer la minuterie de mise en veille : 1 Sélectionnez Extras > Horloge puis choisissez une horloge. 2 Choisissez “Min. mise en veille” puis définissez la durée de lecture de l’iPod nano. Lorsque vous réglez la minuterie de mise en veille, une icône d’horloge et le nombre de minutes avant la mise en veille de l’iPod nano s’affichent sur l’écran En lecture de l’iPod nano.Chapitre 4 Fonctions et accessoires supplémentaires 41 Utilisation du chronomètre Vous pouvez utiliser le chronomètre pendant que vous faites de l’exercice pour connaî- tre votre temps total et, si vous courrez sur une piste, vos temps de passage. Vous pouvez écouter de la musique tout en utilisant le chronomètre. Pour utiliser le chronomètre : 1 Choisissez Extras > Chronomètre > Minuterie. 2 Choisissez Démarrer pour lancer le chronomètre. 3 Choisissez Circuit après chaque tour pour enregistrer vos temps de passage. Le temps total de la session d’exercice et les temps de passage les plus récents s’affichent à l’écran. 4 Choisissez Pause pour interrompre la minuterie totale et la minuterie de circuit. Cliquez sur Reprendre pour lancer à nouveau les chronomètres. 5 Choisissez Terminé pour finir la session. L’iPod nano mémorise les dates, heures et statistiques de tours de circuit des sessions de chronomètre. Remarque : après le lancement du chronomètre, votre iPod reste actif tant que vous êtes dans l’écran Minuterie et le chronomètre continue à défiler. Si vous lancez le chronomètre, passez à un autre menu et que votre iPod n’est pas en train de lire de la musique, la minuterie du chronomètre s’arrête et votre iPod s’éteint automatiquement au bout de quelques minutes. Pour examiner ou supprimer une session de chronomètre : 1 Sélectionnez Extras > Chronomètre. Une liste de sessions enregistrées s’affiche à la suite de l’élément menu Minuterie. 2 Choisissez une session pour en consulter les données. Vous pouvez lire la date et l’heure du début de la session, la durée totale de la session, ainsi que le temps de passage le plus court, le plus long, moyen et le dernier. 3 Pour supprimer une session, appuyez sur le bouton central puis sélectionnez Supprimer. Jeux L’iPod nano vous propose quelques jeux. m Sélectionnez Extras > Jeux puis choisissez un jeu. Verrouillage de l’écran de votre iPod nano Vous pouvez définir une combinaison pour empêcher que votre iPod nano soit utilisé sans votre autorisation. Si vous verrouillez un iPod nano qui n’est pas connecté à un ordinateur, vous devez saisir la combinaison pour le déverrouiller et pouvoir l’utiliser.42 Chapitre 4 Fonctions et accessoires supplémentaires Remarque : le verrouillage a une fonction différente de celle du bouton Hold, qui empêche d’allumer involontairement l’iPod nano. La combinaison empêche toute autre personne de visualiser l’écran de votre iPod nano. Pour définir une combinaison pour l’iPod nano : 1 Sélectionnez Extras > Verrouillage écran > Définir la combinaison. 2 Sur l’écran “Nouveau code :”, saisissez une combinaison :  Utilisez la molette cliquable pour sélectionner un chiffre à entrer dans la case du premier chiffre. Appuyez sur le bouton central pour confirmer votre choix et passer à la case suivante.  Utilisez la même méthode pour définir les autres chiffres de la combinaison. Vous pouvez utiliser le bouton Suivant/Avance rapide pour passer à la case suivante ou le bouton Précédent/Retour rapide pour revenir à la case précédente. Lorsque vous vous trouvez dans la dernière case, appuyez sur le bouton central pour confirmer la totalité de la combinaison et revenir à l’écran précédent. Pour verrouiller l’écran de l’iPod nano : m Sélectionnez Extras > Verrouillage écran > Activer le verrouillage > Verrouiller. Si vous venez de définir votre combinaison, l’élément Verrouiller sera déjà sélectionné à l’écran. Il suffit alors d’appuyer sur le bouton central pour verrouiller l’iPod nano. ∏ Astuce : en ajoutant l’élément de menu Verrouillage écran à votre menu principal, vous pourrez verrouiller rapidement l’écran de votre iPod nano. Consultez “Ajout ou suppression d’éléments depuis le menu principal” à la page 8. Il existe deux manière de déverrouiller votre iPod nano :  Saisissez la combinaison sur l’iPod nano en utilisant la molette cliquable pour sélectionner les chiffres et en appuyant sur le bouton central pour les valider. Si vous saisissez une combinaison incorrecte, elle clignote en rouge. Essayez à nouveau.  Connectez l’iPod nano à l’ordinateur principal avec lequel vous l’utilisez : l’iPod nano se déverrouille automatiquement. Remarque : si vous avez essayé ces solutions mais que l’iPod nano ne se déverrouille toujours pas, vous pouvez restaurer l’iPod nano. Consultez “Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod” à la page 52 pour en savoir plus. Pour modifier une combinaison déjà définie : 1 Sélectionnez Extras > Verrouillage écran > Modifier la combinaison. 2 Sur l’écran “Ancien code :”, saisissez la combinaison actuelle. 3 Sur l’écran “Nouveau code :”, saisissez une nouvelle combinaison. Remarque : si vous avez oublié la combinaison actuelle, la seule façon de l’effacer et d’en entrer une nouvelle est de restaurer le logiciel de l’iPod. Consultez “Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod” à la page 52 pour en savoir plus.Chapitre 4 Fonctions et accessoires supplémentaires 43 Synchronisation de contacts, de calendriers et de listes de tâches Votre iPod nano peut mémoriser des contacts, des événements de votre calendrier et des listes de tâches qui vous accompagneront partout. Si vous utilisez Mac OS X v10.4 ou ultérieur, vous pouvez utiliser iTunes pour synchroniser les contacts de Carnet d’adresses et les calendriers iCal avec l’iPod nano. Si vous utilisez une version de Mac OS X antérieure à 10.4, vous pouvez utiliser iSync pour synchroniser vos informations. La synchronisation d’informations avec iSync requiert iSync 1.1 ou ulté- rieur et iCal 1.0.1 ou ultérieur. Si vous utilisez Windows 2000 ou Windows XP et que vous utilisez Outlook Express ou Microsoft Outlook 2003 ou ultérieur pour stocker vos contacts, vous pouvez utiliser iTunes pour synchroniser vos contacts avec l’iPod nano. Si vous utilisez Microsoft Outlook 2003 ou ultérieur pour tenir à jour un calendrier, vous pouvez également synchroniser ce dernier. Pour synchroniser les informations de contacts ou de calendriers (en utilisant Mac OS X version 10.4 ou ultérieure) : 1 Connectez l’iPod nano à votre ordinateur. 2 Dans iTunes, sélectionnez iPod nano dans la liste Source et cliquez sur le bouton Options. 3 Procédez de l’une des manières suivantes :  Pour synchroniser les contacts, cliquez sur Contacts puis sur “Synchroniser les contacts de Carnet d’adresses” et sélectionnez une option :  Pour synchroniser automatiquement tous les contacts, sélectionnez “Synchroniser tous les contacts”.  Pour synchroniser automatiquement des groupes de contacts, sélectionnez “Ne synchroniser que les groupes sélectionnés” et cochez les cases en regard des groupes à mettre à jour. Lorsque vous cliquez sur OK, iTunes met à jour l’iPod nano avec les informations de contacts indiquées de Carnet d’adresses. Si les contacts comprennent des photos, ces dernières sont copiées sur l’iPod nano. Lorsque vous affichez un contact sur l’iPod nano, la photo apparaît.  Pour synchroniser les calendriers, cliquez sur Calendriers puis sur “Synchroniser les calendriers iCal” et sélectionnez une option : Bouton Options44 Chapitre 4 Fonctions et accessoires supplémentaires  Pour synchroniser automatiquement tous les calendriers, sélectionnez “Synchroniser tous les calendriers”.  Pour synchroniser automatiquement les calendriers sélectionnés, sélectionnez “Ne synchroniser que les calendriers sélectionnés” et cochez les cases en regard des calendriers à mettre à jour. Lorsque vous cliquez sur OK, iTunes met à jour l’iPod nano avec les calendriers indiqués. Pour synchroniser les contacts et les calendriers avec un ordinateur Mac et iSync (sous une version de Mac OS X antérieure à 10.4) : 1 Connectez l’iPod nano à votre ordinateur. 2 Ouvrez iSync puis choisissez Appareils> Ajouter un appareil. Cette opération n’est nécessaire que la première fois que vous utilisez iSync avec votre iPod nano. 3 Sélectionnez iPod nano puis cliquez sur Synchroniser. iSync télécharge les informations contenues dans iCal et Carnet d’adresses de Mac OS X sur votre iPod nano. La prochaine fois que vous voudrez synchroniser l’iPod nano, il vous suffira d’ouvrir iSync et de cliquer sur Synchroniser. Vous pouvez également choisir de synchroniser automatiquement l’iPod nano lors de sa connexion. Remarque : iSync télécharge les informations contenues dans votre ordinateur sur l’iPod nano. iSync ne vous permet pas de télécharger des informations de votre iPod nano vers votre ordinateur. Pour synchroniser vos contacts ou vos calendriers (à l’aide de Microsoft Outlook pour Windows ou d’Outlook Express pour Windows) : 1 Connectez l’iPod nano à votre ordinateur. 2 Dans iTunes, sélectionnez iPod nano dans la liste Source et cliquez sur le bouton Options. 3 Procédez de l’une des manières suivantes :  Pour synchroniser vos contacts, cliquez sur Contacts, cochez la case “Synchroniser les contacts depuis”, et sélectionnez Microsoft Outlook (le cas échéant) ou Outlook Express dans le menu contextuel. Choisissez ensuite les informations de contact que vous souhaitez transférer.  Pour synchroniser des calendriers (si vous utilisez Microsoft Outlook), cliquez sur Calendriers et cochez la case “Synchroniser les calendriers à partir de Microsoft Outlook”. Bouton OptionsChapitre 4 Fonctions et accessoires supplémentaires 45 Vous pouvez également télécharger manuellement contacts et calendriers sur votre iPod nano. Pour ce faire, l’iPod nano doit être activé pour une utilisation comme disque externe (voir “Utilisation de l’iPod nano en tant que disque externe” à la page 38). Pour télécharger manuellement des contacts : 1 Connectez l’iPod nano puis ouvrez votre application préférée de courrier électronique ou de contacts. Le téléchargement de contacts est notamment possible avec Palm Desktop, Microsoft Outlook, Microsoft Entourage et Eudora. 2 Faites glisser les contacts depuis le carnet d’adresses de l’application vers le dossier Contacts de l’iPod. Dans certains cas, il peut être nécessaire d’exporter des contacts puis de faire glisser le ou les fichiers exportés vers le dossier Contacts de l’iPod. Consultez la documentation de votre application de courrier électronique ou de contacts. Pour télécharger manuellement des rendez-vous et d’autres événements de calendrier : 1 Exportez les événements de calendrier depuis n’importe quelle application de calendrier utilisant le format standard iCalendar (extension de fichier .ics) ou le format vCal (extension de fichier .vcs). 2 Faites glisser les fichiers dans le dossier Calendriers de l’iPod nano. Remarque : il est impossible de télécharger manuellement des listes de tâches sur l’iPod nano. Pour afficher les contacts sur l’iPod nano : m Sélectionnez Extras > Contacts. Pour afficher les événements du calendrier : m Sélectionnez Extras > Calendrier. Pour afficher les listes de tâches : m Sélectionnez Extras > Calendrier > Tâches. Mémorisation et lecture de notes Vous pouvez mémoriser et lire des notes texte sur l’iPod nano s’il est configuré pour l’utilisation comme disque dur (consultez la page 38). 1 Enregistrez un document en tant que fichier texte (.txt) à l’aide de n’importe quel programme de traitement de texte. 2 Placez le fichier dans le dossier Notes de l’iPod nano. Pour afficher les notes : m Sélectionnez Extras > Notes.46 Chapitre 4 Fonctions et accessoires supplémentaires À propos des accessoires de l’iPod nano L’iPod nano vous est fourni avec un certain nombre d’accessoires mais bien d’autres sont disponibles à l’adresse www.apple.com/fr/ipodstore. Pour acheter des accessoires iPod nano, rendez-vous sur www.apple.com/fr/ipodstore. Parmi les accessoires disponibles, citons :  l’accessoire iPod Radio Remote ;  le socle iPod nano Dock ;  le socle iPod Universal Dock  le cordon avec écouteurs iPod nano Lanyard Headphones ;  le brassard iPod nano Armband ;  les écouteurs iPod In-Ear Headphones ;  l’adaptateur secteur USB iPod Power Adapter ;  le kit de voyage World Travel Adapter Kit (adaptateurs pour tous les pays) ;  des accessoires d’autres fabricants tels que haut-parleurs, casques, housses, microphones, batteries de rechange, adaptateurs stéréo pour voiture, adaptateurs secteur, etc. Pour utiliser ces écouteurs : m Connectez les écouteurs au port de sortie casque. Si vous le souhaitez, vous pouvez recouvrir les écouteurs de ces housses. Placez ensuite les écouteurs dans vos oreilles comme illustré. Avertissement : vous risquez une perte d’audition irréparable si vous utilisez un casque à volume sonore élevé. Vous pouvez vous habituer petit à petit à un volume de son plus élevé qui peut vous paraître normal mais entraîner une détérioration de votre audition. Si vos oreilles bourdonnent ou si les sons vous semblent sourds, arrêtez l’écoute et rendez-vous chez votre médecin pour vérifier votre audition. Plus le volume est élevé, plus vous risquez d’abîmer rapidement votre audition. Pour protéger votre audition, les experts donnent les conseils suivants :  Limiter la durée d’utilisation d’un casque à volume sonore élevé.  Éviter d’augmenter le volume pour bloquer le bruit ambiant.  Diminuer le volume si vous ne pouvez plus entendre les personnes voisines parler. Pour en savoir plus sur la mise en place d’un volume maximum sur l’iPod nano, consultez la section “Mise en place du volume maximum” à la page 28. Le cordon des écouteurs est réglable. Housses pour écouteurs5 47 5 Astuces et dépannage La plupart des problèmes de l’iPod nano peuvent être rapidement résolus si vous suivez les conseils de ce chapitre. Quelques suggestions La plupart des problèmes de l’iPod nano peuvent être résolus en le réinitialisant. Pour réinitialiser l’iPod nano : 1 Basculez le bouton Hold sur Hold puis désactivez-le à nouveau. 2 Maintenez enfoncés les boutons central et Menu pendant au moins 6 secondes jusqu’à l’apparition du logo Apple. Si votre iPod nano ne s’allume pas ou ne répond plus  Vérifiez que le bouton Hold est désactivé.  Si le problème persiste, connectez l’iPod nano à un port USB ou FireWire de votre ordinateur. La batterie de votre iPod nano peut avoir besoin d’être rechargée.  Si le problème persiste encore, il vous faudra peut-être réinitialiser votre iPod nano.  Si le problème persiste toujours, une restauration du logiciel de l’iPod nano est peut- être nécessaire. Consultez “Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod” à la page 52. Réinitialiser, réessayer, redémarrer, réinstaller, restaurer Souvenez-vous de ces suggestions de base si vous avez un problème avec votre iPod nano. Si les solutions suivantes ne suffisent pas, lisez plus loin pour apprendre à résoudre des problèmes spécifiques.  Réinitialisez votre iPod nano. Consultez “Quelques suggestions”, ci-dessous.  Réessayez avec un port USB différent si l’iPod nano n’apparaît pas dans iTunes.  Redémarrez votre ordinateur et assurez-vous que les mises à jour de logiciels les plus récentes sont installées.  Réinstallez les version les plus récentes sur le Web du logiciel de l’iPod et d’iTunes.  Restaurez votre iPod nano. Consultez “Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod” à la page 52.48 Chapitre 5 Astuces et dépannage Si vous souhaitez déconnecter l’iPod nano mais qu’un message à l’écran indique “Ne pas déconnecter”  Si l’iPod nano est en train de télécharger de la musique, attendez la fin du téléchargement.  Sélectionnez l’iPod nano dans la liste Source d’iTunes puis cliquez sur le bouton d’éjection.  Si l’iPod nano disparaît de la liste Source d’iTunes mais que le message “Ne pas déconnecter” est toujours affiché sur l’écran de l’iPod nano, déconnectez l’iPod nano.  Si l’iPod nano ne disparaît pas de la liste Source d’iTunes, glissez l’icône de l’iPod nano du bureau vers la Corbeille (si vous utilisez un Mac) ou cliquez sur l’icône “Retirer le périphérique en toute sécurité” située dans zone de notification système en bas à droite de l’écran, puis sélectionnez votre iPod nano (si vous utilisez un PC sous Windows). Si le message “Ne pas déconnecter” est toujours affiché, redémarrez votre ordinateur puis éjectez à nouveau l’iPod nano. Si votre iPod nano ne lit plus la musique  Vérifiez que le bouton Hold est désactivé.  Assurez-vous que la fiche du casque est complètement enfoncée dans la prise casque.  Assurez-vous que le volume est correctement réglé. Si une icône en forme de verrou s’affiche à droite de la barre de volume, cela signifie qu’un volume maximum a été établi sur l’iPod nano. Vous pouvez le modifier ou le supprimer en choisissant Réglages > Volume maximum. Consultez “Mise en place du volume maximum” à la page 28.  Essayez d’appuyer sur le bouton Lecture/Pause. Votre iPod nano est peut-être en mode pause.  Assurez-vous d’utiliser iTunes 6.0.2 ou ultérieur (inclus sur le CD de l’iPod nano ou disponible au site Web www.apple.com/fr/itunes). L’iPod nano ne lira pas les morceaux achetés sur l’iTunes Music Store avec des versions antérieures d’iTunes avant que vous ayez mis à niveau iTunes puis téléchargé les morceaux.  Si vous utilisez le socle de l’iPod nano, assurez-vous que l’iPod nano y est correctement fixé et que tous les câbles sont connectés de manière adéquate.  Si vous utilisez le port de sortie du socle Dock, assurez-vous que vos haut-parleurs externes ou votre installation stéréo sont allumés et fonctionnent correctement. Si rien ne se produit lorsque vous connectez l’iPod nano à votre ordinateur  Assurez-vous que vous avez installé le logiciel à partir du CD de l’iPod.  Essayez la connexion à un autre port USB de votre ordinateur. Remarque : il est recommandé d’utiliser un port USB 2.0 pour connecter l’iPod nano. USB 1.1 est beaucoup plus lent que USB 2.0. Si votre PC sous Windows n’est pas équipé d’un port USB 2.0, vous pouvez dans certains cas acheter une carte USB 2.0. Pour obtenir plus d’informations, rendez-vous au site Web www.apple.com/fr/ipdostore.Chapitre 5 Astuces et dépannage 49 Pour charger la batterie, connectez l’iPod nano à un port USB à forte alimentation ou FireWire de votre ordinateur. La connexion de l’iPod nano à un port USB de votre clavier ne permet pas de charger la batterie. Vous pouvez connecter l’iPod nano à un port FireWire via le câble optionnel iPod Dock Connector vers FireWire, mais uniquement pour charger l’iPod nano. Le transfert de données sur l’iPod nano via FireWire n’est pas géré.  Une réinitialisation de votre iPod nano est peut-être nécessaire (consultez la page 47).  Si vous connectez l’iPod nano à un ordinateur portable à l’aide du câble iPod Dock Connector vers USB 2.0, branchez l’ordinateur sur une source d’alimentation avant de connecter l’iPod nano.  Assurez-vous que vous disposez de l’ordinateur et du logiciel requis. Consultez “Si vous souhaitez effectuer une double vérification de la configuration requise” à la page 51.  Vérifiez la connexion des câbles. Débranchez le câble aux deux extrémités et assurezvous que rien ne s’est glissé dans les ports USB. Rebranchez alors le câble avec pré- caution. Assurez-vous que les connecteurs des câbles sont correctement orientés. Ils ne peuvent être insérés que dans un sens.  Essayez de redémarrer votre ordinateur.  Si aucune de ces suggestions n’aide à résoudre le problème, vous devrez éventuellement restaurer le logiciel de l’iPod. Consultez “Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod” à la page 52. Remarque : le câble iPod Dock Connector vers FireWire peut être utilisé uniquement pour charger la batterie et ne peut pas servir au téléchargement de morceaux ou d’autres fichiers audio sur l’iPod nano. Si un dossier avec un point d’exclamation apparaît sur l’écran de l’iPod nano  Une réinitialisation de votre iPod nano est peut-être nécessaire (voir la page 47).  Si le problème persiste, une recharge de la batterie de votre iPod nano est peut-être nécessaire. Connectez l’iPod nano à votre ordinateur puis laissez la batterie de recharger. Si le dossier apparaît toujours, réinitialisez à nouveau l’iPod nano.  Si le problème persiste encore, une mise à jour ou une restauration de l’iPod nano au logiciel le plus récent est peut-être nécessaire. Assurez-vous d’avoir installé le logiciel à partir du CD de l’iPod ou bien rendez-vous au site Web www.apple.com/fr/ipod pour obtenir la version la plus récente du logiciel. Suivez les instructions de la page 53 pour mettre à jour ou restaurer le logiciel de l’iPod.50 Chapitre 5 Astuces et dépannage Si vous ne parvenez pas à télécharger un morceau ou un autre élément sur l’iPod nano Le morceau peut être encodé dans un format que l’iPod nano ne prend pas en charge. Les formats de fichiers audio suivants sont pris en charge par l’iPod nano. Ils comprennent les formats des livres audio et des podcasts :  AAC (M4A, M4B, M4P) (jusqu’à 320 kb/s)  Apple Lossless (format de compression haute qualité)  MP3 (jusqu’à 320 kb/s)  MP3 Variable Bit Rate (VBR)  WAV  AA (texte lu audible.com, formats 2, 3 et 4)  AIFF Un morceau encodé au format Apple Lossless possède la même qualité sonore qu’un CD tout en occupant deux fois moins d’espace qu’un morceau encodé au format AIFF ou WAV. Le même morceau encodé au format AAC ou MP3 utilise encore moins de place. Quand vous importez de la musique depuis un CD à l’aide d’iTunes, elle est convertie par défaut au format AAC. Si vous utilisez iTunes pour Windows, vous pouvez convertir les fichiers WMA non protégés au format AAC ou MP3. Cela peut être utile si vous disposez d’une bibliothèque de musique encodée au format WMA. L’iPod nano ne prend pas en charge les fichiers audio WMA, MPEG Layer 1 et MPEG Layer 2 et le format 1 d’audible.com. Si vous possédez dans iTunes un morceau qui n’est pas pris en charge par l’iPod nano, vous pouvez le convertir en un format que l’iPod nano prend en charge. Consultez l’Aide iTunes et Music Store pour en savoir plus. Si vous avez choisi par mégarde une langue pour l’iPod nano qui vous est étrangère Vous pouvez réinitialiser le choix de la langue. 1 Maintenez enfoncé le bouton Menu jusqu’à ce que le menu principal apparaisse. 2 Choisissez le cinquième élément du menu (Réglages). 3 Choisissez le dernier élément du menu (Réinitialiser tous les réglages). 4 Choisissez le deuxième élément du menu (Réinitialiser) et sélectionnez une langue. Les autres réglages de l’iPod nano tels que la répétition de morceaux, seront également réinitialisés. Remarque : si vous avez ajouté ou supprimé des éléments du menu principal de l’iPod nano (voir “Ajout ou suppression d’éléments depuis le menu principal” à la page 8), l’élément du menu Réglages se trouve éventuellement à un autre endroit. Si vous ne parvenez pas à trouver l’élément de menu “Réinitialiser tous les réglages”, vous pouvez restaurer votre iPod nano à son état d’origine et choisir une langue que vous comprenez. Consultez “Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod” à la page 52.Chapitre 5 Astuces et dépannage 51 Si rien ne se produit lorsque vous connectez l’iPod nano à un connecteur d’appareil photo Vous devez d’abord importer les photos de votre appareil photo vers votre ordinateur puis ensuite les télécharger sur l’iPod nano. Il n’est pas possible de connecter directement un appareil photo à l’iPod nano pour télécharger des photos. Certains autres accessoires de tierces parties ne peuvent pas être connectés directement à l’iPod nano. Rendez-vous au site Web www.apple.com/fr/support/ipod pour en savoir plus. Si vous souhaitez effectuer une double vérification de la configuration requise Pour utiliser l’iPod nano, vous devez disposer des éléments suivants :  Une des configurations d’ordinateur suivantes :  Un ordinateur Macintosh doté d’un port USB (USB 2.0 recommandé).  Un PC sous Windows doté d’un port ou d’une carte USB (USB 2.0 recommandé).  Un des systèmes d’exploitation suivants : Mac OS X v10.3.9 ou ultérieur, Windows 2000 avec Service Pack 4 ou ultérieur ou Windows XP Édition Familiale ou Professionnel avec Service Pack 2 ou ultérieur.  iTunes 6.0.2 ou ultérieur (iTunes est inclus sur le CD de l’iPod).  Le logiciel de l’iPod (inclus sur le CD de l’iPod). Si votre PC Windows n’est pas doté d’un port USB à forte alimentation, vous pouvez acheter et installer une carte USB 2.0. Pour obtenir plus d’informations, rendez-vous au site Web www.apple.com/fr/ipdostore. Remarque : vous pouvez connecter l’iPod nano à un port FireWire (IEEE1394) pour le recharger mais ce port ne peut pas être utilisé pour transférer de la musique ou d’autres fichiers audio. De plus, sur les ordinateurs Macintosh, iPhoto 4.0.3 ou ultérieur est recommandé pour le téléchargement de photos et d’albums sur l’iPod nano. Ce logiciel est facultatif. iPhoto est peut-être déjà installé sur votre Mac. Vérifiez dans le dossier Applications. Si vous disposez d’iPhoto 4, vous pouvez le mettre à jour en choisissant menu Pomme () > Mise à jour de logiciels. Port USB 2.0 à forte alimentation Port FireWire 400 à 6 broches (IEEE 1394)52 Chapitre 5 Astuces et dépannage Sur un PC sous Windows, l’iPod nano peut importer des collections de photos automatiquement à partir d’Adobe Photoshop Album 2.0 ou ultérieur ou d’Adobe Photoshop Elements 3.0 ou ultérieur, disponibles à l’adresse www.adobe.com. Ce logiciel est facultatif. L’iPod nano peut importer des photos numériques des dossiers du disque dur de votre ordinateur Macintosh ou de votre PC sous Windows. Si vous souhaitez utiliser votre iPod nano avec un Mac et un PC sous Windows Si vous utilisez votre iPod nano avec un Mac et que vous souhaitez l’utiliser avec un PC sous Windows (ou inversement), vous devez restaurer le logiciel de l’iPod pour l’utiliser avec l’autre ordinateur à l’aide du programme de mise à jour iPod Updater (consultez “Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod” ci-dessous). La restauration du logiciel de l’iPod efface toutes les données de l’iPod nano, y compris tous les morceaux de musique. Il est impossible pour un iPod nano de passer d’un Mac à un PC sous Windows (ou inversement) sans perdre toutes les données sur l’iPod nano. Si vous verrouillez l’écran de votre iPod nano et que vous ne pouvez pas le déverrouiller Normalement, si vous connectez votre iPod nano à l’ordinateur avec lequel il est autorisé à fonctionner, votre iPod nano se déverrouille automatiquement. Si l’ordinateur autorisé à fonctionner avec votre iPod nano n’est pas disponible, vous pouvez connecter l’iPod nano à un autre ordinateur et utiliser le programme de mise à jour iPod Updater pour restaurer le logiciel de votre iPod. Consultez la section suivante pour en savoir plus. Si vous souhaitez modifier la combinaison de verrouillage de l’écran mais que vous ne vous souvenez pas de la combinaison actuelle, une restauration du logiciel de l’iPod sera nécessaire avant de pouvoir définir une nouvelle combinaison. Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod Vous pouvez utiliser le programme de mise à jour iPod Updater pour mettre à jour ou restaurer le logiciel de votre iPod. Apple met régulièrement à jour le logiciel de l’iPod pour améliorer ses performances ou lui ajouter des fonctionnalités. Il est recommandé de mettre à jour votre iPod nano et d’utiliser le logiciel le plus récent. Vous pouvez également restaurer le logiciel et rendre ainsi à l’iPod nano son état d’origine.  Si vous choisissez de mettre à jour, le logiciel sera mis à jour, mais vos réglages et morceaux seront conservés.  Si vous optez pour la restauration, toutes les données seront effacées de votre iPod nano, y compris les morceaux, fichiers, contacts, photos, informations de calendrier ou tout autre donnée. Tous les réglages d’origine de l’iPod nano seront rétablis.Chapitre 5 Astuces et dépannage 53 Pour mettre à jour ou restaurer l’iPod nano avec le logiciel le plus récent : 1 Allez au site Web www.apple.com/fr/support/ipod et téléchargez la dernière mise à jour de l’iPod. La mise à jour comprend le logiciel le plus récent pour tous les modèles d’iPod. 2 Double-cliquez sur le fichier d’installation du logiciel et suivez les instructions à l’écran pour installer la mise à jour de l’iPod. 3 Connectez l’iPod nano à votre ordinateur et ouvrez iTunes. Le programme de mise à jour iPod Updater s’ouvre. Si vous utilisez un PC sous Windows et que le programme de mise à jour iPod Updater ne s’ouvre pas automatiquement, vous pouvez le lancer en sélectionnant Démarrer > Programmes > iPod. 4 Suivez les instructions à l’écran pour mettre à jour ou restaurer le logiciel de l’iPod. Si vous utilisez le programme de mise à jour iPod Updater et qu’il ne détecte pas que l’iPod nano est connecté à votre ordinateur, réinitialisez l’iPod nano (consultez la page 47). Si vous souhaitez restaurer le logiciel de l’iPod et que vous ne disposez pas de connexion à Internet, vous pouvez utiliser l’application de mise à jour iPod Updater installée sur votre ordinateur en même temps que le logiciel du CD de l’iPod. Pour restaurer le logiciel de l’iPod à l’aide du programme de mise à jour iPod Updater fourni sur le CD de l’iPod :  Si vous possédez un Mac, vous pouvez trouver le programme de mise à jour iPod Updater dans Applications/Utilitaires/Programme de mise à jour du logiciel iPod.  Si vous possédez un PC sous Windows, vous pouvez trouver le programme en sélectionnant Démarrer > Programmes > iPod. Remarque : la date du programme de mise à jour fait partie de son nom et donc, si vous avez plusieurs versions, assurez-vous d’utiliser la plus récente.6 54 6 Sécurité et entretien Apprenez à nettoyer et à manipuler votre iPod nano en toute sécurité. Instructions de sécurité à propos de la configuration Lorsque vous installez et utilisez votre iPod nano, ne perdez pas de vue les points suivants :  Conservez ces instructions à portée de main pour que vous ou d’autres personnes puissiez vous y reporter.  Respectez toutes les instructions et les avertissements concernant votre iPod nano. Conseils généraux de sécurité, de nettoyage et de manipulation de l’appareil Avertissement : les appareils électriques peuvent s’avérer dangereux s’ils ne sont pas utilisés correctement. L’utilisation de ce produit ou de produits analogues doit toujours être supervisée par un adulte. Ne laissez jamais les enfants accéder à la partie interne de tout produit électrique ni manipuler aucun câble. Pour : procédez ainsi : Manipuler votre iPod nano avec précaution Veillez à ne pas le faire tomber votre iPod nano. Si vous craignez de le rayer, vous pouvez utiliser la housse incluse ou tout autre housse vendue séparément. Avertissement : les composants de votre iPod nano, y compris la batterie rechargeable, sont fragiles. Pour éviter d’endommager votre iPod nano, prenez garde à ne pas le faire tomber, le tordre ou l’écraser. Utiliser les écouteurs avec précaution L’utilisation des écouteurs n’est pas recommandée lorsque vous conduisez et constitue d’ailleurs une infraction au code de la route dans certains endroits. Soyez prudent et attentif au volant. Cessez d’utiliser votre iPod nano si vous vous rendez compte que cela vous distrait ou vous dérange lorsque vous conduisez un véhicule ou lorsque vous réalisez tout autre activité nécessitant votre attention. Chapitre 6 Sécurité et entretien 55 Éviter d’endommager votre audition Réglez le volume de votre iPod nano à un niveau raisonnable. Si vous entendez un sifflement dans les oreilles, diminuez le volume ou pensez à interrompre régulièrement l’utilisation de votre iPod nano. Pour en savoir plus sur la manière de mettre en place un volume maximum sur l’iPod nano, consultez la section “Mise en place du volume maximum” à la page 28. Avertissement : vous risquez une perte d’audition irréparable si vous utilisez un casque à un volume sonore élevé. Vous pouvez vous habituer petit à petit à un volume de son élevé qui peut vous paraître normal mais entraîner une détérioration de votre audition. Si vos oreilles bourdonnent ou si les sons vous semblent sourds, arrêtez l’écoute et rendez-vous chez votre médecin pour vérifier votre audition. Plus le volume est élevé, plus vous risquez d’abîmer rapidement votre audition. Pour protéger votre audition, les experts donnent les conseils suivants :  Limiter la durée d’utilisation d’un casque à volume sonore élevé.  Éviter d’augmenter le volume pour bloquer le bruit ambiant.  Diminuer le volume si vous ne pouvez plus entendre les personnes voisines parler. Utiliser les connecteurs et les ports convenablement N’essayez jamais de forcer l’entrée d’un connecteur dans un port. Si le connecteur et le port ne s’assemblent pas avec une relative facilité, c’est probablement parce qu’ils ne sont pas compatibles. Assurez-vous que le connecteur est compatible avec le port et que vous l’avez positionné correctement par rapport à ce dernier. Pour : procédez ainsi :56 Chapitre 6 Sécurité et entretien Réduire la possibilité d’abîmer l’appareil ou de blesser quelqu’un Évitez le contact avec des liquides (pluie, boissons, éclaboussures) et tenez votre iPod nano à l’écart d’éléments pouvant générer des infiltrations. Veillez à ne pas renverser d’aliments ou de liquides sur votre iPod nano. Si cela se produit, débranchez votre iPod nano avant de le nettoyer. Vous devrez éventuellement envoyer votre équipement à un fournisseur de services agréé. Avertissement : n’utilisez pas votre iPod nano dans ou près de l’eau ou dans tout autre lieu humide. Réparer votre iPod nano Pour toute réparation, reportez-vous à la section “En savoir plus, service et assistance” à la page 57. Avertissement : n’effectuez aucune réparation vous-même. N’essayez pas d’ouvrir votre iPod nano, de le démonter ou de retirer la batterie. Vous courez le risque de recevoir une décharge électrique et d’annuler la garantie limitée. L’appareil ne contient pas de pièces qui puissent être réparées par l’utilisateur. Nettoyer la partie externe de votre iPod nano Assurez-vous que votre iPod nano est débranché. Utilisez un chiffon doux, humide et non pelucheux. Évitez toute pénétration d’humidité dans les orifices de l’appareil. N’utilisez ni vaporisateur aérosol, ni dissolvant, ni alcool, ni abrasif. Conserver votre iPod nano à température normale Utilisez votre iPod nano dans un endroit où la température est toujours comprise entre 0 et 35 ºC. Dans des conditions de basses températures, l’autonomie de l’iPod nano peut diminuer temporairement. Rangez votre iPod nano dans un endroit où la température est toujours comprise entre -20º et 45 ºC. La température dans les voitures en stationnement pouvant dépasser cette fourchette, ne laissez pas l’iPod nano dans votre voiture. Remarque : lorsque vous utilisez votre iPod nano ou rechargez sa batterie, il est normal que la partie inférieure de son boîtier chauffe. Cette partie de l’iPod nano sert en effet de surface de refroidissement et transfère la chaleur de l’intérieur de l’appareil vers l’exté- rieur, où l’air est moins chaud. Pour : procédez ainsi :7 57 7 En savoir plus, service et assistance Vous trouverez plus d’informations sur l’utilisation de l’iPod nano dans l’aide à l’écran et sur le Web. Le tableau suivant décrit à quel endroit trouver de plus amples informations sur les services et les logiciels de l’iPod. Pour en savoir plus sur : Procédez ainsi : Le service et l’assistance, les forums et les téléchargements de logiciels Apple Rendez-vous au site Web www.apple.com/fr/support/ipod. Les derniers guides d’initiation et astuces afin de tirer le meilleur parti de votre iPod nano Rendez-vous au site Web www.apple.com/fr/support/ipod/howto. L’utilisation d’iTunes Ouvrez iTunes et sélectionnez Aide > Aide iTunes et Music Store. Pour obtenir un guide d’initiation iTunes en ligne (disponible uniquement dans certains pays), rendez-vous sur www.apple.com/fr/support/itunes. L’utilisation d’iPhoto (sous Mac OS X) Ouvrez iPhoto et sélectionnez Aide > Aide iPhoto. L’utilisation d’iSync (sous Mac OS X) Ouvrez iSync et sélectionnez Aide > Aide iSync. L’utilisation d’iCal (sous Mac OS X) Ouvrez iCal et sélectionnez Aide > Aide iCal. Les toutes dernières informations sur l’iPod nano Rendez-vous au site Web www.apple.com/fr/ipod. L’enregistrement de l’iPod nano Si vous n’avez pas enregistré votre appareil en installant le logiciel à partir du CD de l’iPod, rendez-vous au site Web www.apple.com/fr/register. La recherche du numéro de série de l’iPod nano Regardez au dos de votre iPod nano ou bien sélectionnez Réglages > Informations. L’obtention du service assuré par la garantie Suivez tout d’abord les conseils de ce fascicule, de l’aide à l’écran et des ressources en ligne, puis rendez-vous alors au site Web www.apple.com/fr/support.58 Communications Regulation Information FCC Compliance Statement This device complies with part 15 of the FCC rules. Operation is subject to the following two conditions: (1) This device may not cause harmful interference, and (2) this device must accept any interference received, including interference that may cause undesired operation. See instructions if interference to radio or television reception is suspected. Radio and Television Interference This computer equipment generates, uses, and can radiate radio-frequency energy. If it is not installed and used properly—that is, in strict accordance with Apple’s instructions—it may cause interference with radio and television reception. This equipment has been tested and found to comply with the limits for a Class B digital device in accordance with the specifications in Part 15 of FCC rules. These specifications are designed to provide reasonable protection against such interference in a residential installation. However, there is no guarantee that interference will not occur in a particular installation. You can determine whether your computer system is causing interference by turning it off. If the interference stops, it was probably caused by the computer or one of the peripheral devices. If your computer system does cause interference to radio or television reception, try to correct the interference by using one or more of the following measures:  Turn the television or radio antenna until the interference stops.  Move the computer to one side or the other of the television or radio.  Move the computer farther away from the television or radio.  Plug the computer in to an outlet that is on a different circuit from the television or radio. (That is, make certain the computer and the television or radio are on circuits controlled by different circuit breakers or fuses.) If necessary, consult an Apple-authorized service provider or Apple. See the service and support information that came with your Apple product. Or, consult an experienced radio/television technician for additional suggestions. IMPORTANT Changes or modifications to this product not authorized by Apple Computer, Inc. could void the EMC compliance and negate your authority to operate the product. This product was tested for EMC compliance under conditions that included the use of Apple peripheral devices and Apple shielded cables and connectors between system components. It is important that you use Apple peripheral devices and shielded cables and connectors between system components to reduce the possibility of causing interference to radios, television sets, and other electronic devices. You can obtain Apple peripheral devices and the proper shielded cables and connectors through an Apple Authorized Reseller. For non-Apple peripheral devices, contact the manufacturer or dealer for assistance. Responsible party (contact for FCC matters only): Apple Computer, Inc. Product Compliance, 1 Infinite Loop M/S 26-A, Cupertino, CA 95014-2084, 408-974-2000. Industry Canada Statement This Class B device meets all requirements of the Canadian interference-causing equipment regulations. Cet appareil numérique de la classe B respecte toutes les exigences du Règlement sur le matériel brouilleur du Canada. VCCI Class B Statement Communauté Européenne Conforme aux directives européennes 72/23/EEC et 89/336/EEC. 59 Disposal and Recycling Information Your iPod contains a battery. Dispose of your iPod according to your local environmental laws and guidelines. For information about Apple’s recycling program, go to www.apple.com/environment/summary.html. Deutschland: Dieses Gerät enthält Batterien. Bitte nicht in den Hausmüll werfen. Entsorgen Sie dieses Gerätes am Ende seines Lebenszyklus entsprechend der maßgeblichen gesetzlichen Regelungen. Nederlands: Gebruikte batterijen kunnen worden ingeleverd bij de chemokar of in een speciale batterijcontainer voor klein chemisch afval (kca) worden gedeponeerd. Taiwan: Union Européenne-informations sur l’élimination : ce symbole signifie que vous devez vous débarrasser de votre produit sans le mélanger avec les ordures ménagères, selon les normes et la législation de votre pays. Lorsque ce produit n’est plus utilisable, portez-le dans un centre de traitement des déchets agréé par les autorités locales. Certains centres acceptent les produits gratuitement. Le traitement et le recyclage séparé de votre produit lors de son élimination aideront à préserver les ressources naturelles et à protéger l’environnement et la santé des êtres humains. Apple et l’environnement Chez Apple, nous sommes conscients de la responsabilité qui nous incombe de réduire les impacts écologiques de nos activités et de nos produits. Pour plus d’informations, rendez-vous sur www.apple.com/environment/summary.html. © 2006 Apple Computer, Inc. Tous droits réservés. Apple, le logo Apple, FireWire, iCal, iLife, iPhoto, iPod, iTunes, Mac, Macintosh et Mac OS sont des marques d’Apple Computer, Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Finder, le logo FireWire et Shuffle sont des marques d’Apple Computer Inc. Apple Store et iTunes Music Store sont des marques de service d’Apple Computer, Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Les autres noms de produits et de sociétés sont la propriété de leurs détenteurs respectifs. Les produits commercialisés par des entreprises tierces ne sont mentionnés que pour information, sans aucune intention de préconisation ni de recommandation. Apple décline toute responsabilité quant à l’utilisation et au fonctionnement de ces produits. Tout arrangement, accord ou garantie, le cas échéant, s’applique directement entre le revendeuret les utilisateurs potentiels. Tout a été mis en œuvre pour que les informations présentées dans ce manuel soient exactes. Apple n’est pas responsable des erreurs de reproduction ou d’impression. F019-0691/3-2006 Mac OS X Server Administration de serveur Pour Leopard 10.5K Apple Inc. © 2007 Apple Inc. Tous droits réservés. En vertu de la législation en vigueur sur les droits d’auteur, ce manuel ne peut pas être copié, dans son intégralité ou partiellement, sans l’accord préalable écrit d’Apple. Le logo Apple est une marque d’Apple Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. En l’absence du consentement écrit d’Apple, l’utilisation à des fins commerciales de ce logo via le clavier (Option + 1) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Tous les efforts nécessaires ont été mis en œuvre pour que les informations contenues dans ce manuel soient les plus exactes possibles. Apple n’est pas responsable des erreurs d’impression ou de reproduction. Apple 1 Infinite Loop Cupertino, CA95014-2084 408-996-1010 www.apple.com Apple, le logo Apple, AirPort, AppleTalk, Final Cut Pro, FireWire, iCal, iDVD, iMovie, iPhoto, iPod, iTunes, Mac, Macintosh, le logo Mac, Mac OS, PowerBook, QuickTime et SuperDrive sont des marques d’Apple Inc., déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Finder, le logo FireWire et Safari sont des marques d’Apple Inc. AppleCare et Apple Store sont des marques de service d’Apple Inc., déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. .Mac est une marque de service d’Apple Inc. PowerPC est une marque d’International Business Machines Corporation, utilisée sous licence. Les autres noms de sociétés et de produits mentionnés ici sont des marques de leurs détenteurs respectifs. La mention de produits tiers n’est effectuée qu’à des fins informatives et ne constitue en aucun cas une approbation ni une recommandation. Apple n’assume aucune responsabilité vis-à-vis des performances ou de l’utilisation de ces produits. Le produit décrit dans ce manuel incorpore une technologie de protection des droits d’auteur protégée par des revendications de procédé incluses dans certains brevets et autres droits de propriété intellectuelle détenus aux États-Unis par Macrovision Corporation et d’autres propriétaires de droits. L’utilisation de cette technologie de protection des droits d’auteur doit être autorisée par Macrovision Corporation et est réservée à un cadre domestique et à d’autres circonstances limitées, à moins de disposer d’une autorisation spéciale de la part de Macrovision Corporation. Tout désassemblage ou ingé- nierie inverse est interdit. Revendications de produit des brevets nº 4.631.603, 4.577.216, 4.819.098 et 4.907.093 (États-Unis) sous licence pour un usage limité. Publié simultanément aux États-Unis et au Canada. F019-0932/2007-09-01 3 1 Table des matières Préface 11 À propos de ce guide 11 Nouveautés d’Admin Serveur 12 Contenu de ce guide 12 Utilisation de l’aide à l’écran 13 Guides d’administration de Mac OS X Server 14 Visualisation de guides PDF à l’écran 14 Impression des guides PDF 15 Obtenir des mises à jour de documentation 15 Pour obtenir des informations supplémentaires Chapitre 1 17 Vue d’ensemble du système et normes standard prises en charge 17 Configuration requise pour l’installation de Mac OS X Server 18 Description des configurations de serveur 19 Configuration avancée en action 20 Améliorations apportées à Mac OS X Server Leopard 21 Normes standard prises en charge 24 L’héritage UNIX de Mac OS X Server Chapitre 2 25 Planification 26 Planification 26 Planification pour la mise à niveau ou la migration vers Mac OS X Server 10.5 27 Mise en place d’une équipe de planification 27 Identification des serveurs à mettre en place 28 Choix des services à héberger sur chaque serveur 29 Définition d’une stratégie de migration 29 Mise à niveau et migration à partir d’une version antérieure de Mac OS X Server 30 Migration à partir de Windows NT 30 Définition d’une stratégie d’intégration 30 Définition de la configuration de l’infrastructure matérielle 31 Définition de l’infrastructure minimale pour la configuration du serveur 32 Vérification de la disponibilité du matériel nécessaire pour le serveur 33 Limitation de la nécessité de déplacer des serveurs après la configuration 34 Définition de politiques de sauvegarde et de restauration4 Table des matières 34 Description des politiques de sauvegarde et de restauration 35 Description des types de sauvegarde 36 Description de la planification de sauvegardes 37 Description des restaurations 38 Autres considérations en matière de politique de sauvegarde 39 Outils de ligne de commande de restauration et de sauvegarde Chapitre 3 41 Outils d’administration 42 Admin Serveur 42 Ouverture de l’application Admin Serveur et authentification 43 Interface d’Admin Serveur 45 Personnalisation de l’environnement d’Admin Serveur 45 Assistant du serveur 46 Gestionnaire de groupe de travail 47 Interface de Gestionnaire de groupe de travail 48 Personnalisation de l’environnement du Gestionnaire de groupe de travail 49 Répertoire 50 Interface de Répertoire 51 Utilitaire d’annuaire 51 Contrôle de serveur 53 Gestion des images système 54 Gestion de l’enchaînement de données 54 Utilitaires de ligne de commande 55 Xgrid Admin 56 Apple Remote Desktop Chapitre 4 57 Sécurité 57 À propos de la sécurité physique 58 À propos de la sécurité du réseau 58 Coupe-feu et filtres de paquets 59 Zone démilitarisée réseau 59 Réseaux locaux virtuels 60 Filtrage MAC 60 Chiffrement du transport 61 Chiffrement de la charge utile 61 À propos de la sécurité des fichiers 61 Autorisations d’accès aux fichiers et aux dossiers 62 À propos du chiffrement des fichiers 62 Suppression sécurisée 63 À propos de l’authentification et de l’autorisation 64 Signature unique 65 À propos des certificats, de SSL et de l’infrastructure à clé publique 66 Clés publiques et privéesTable des matières 5 67 Certificats 67 Autorités de certificat 68 Identités 68 Certificats auto-signés 68 Gestionnaire de certificats dans Admin Serveur 69 Préparation des certificats 70 Demande de certificat auprès d’une autorité de certificat 71 Création d’un certificat auto-signé 71 Création d’une autorité de certificat 73 Utilisation d’une AC pour créer un certificat destiné à quelqu’un d’autre 74 Importation d’un certificat 75 Gestion des certificats 75 Modification d’un certificat 75 Distribution d’un certificat public d’AC à des clients 76 Suppression d’un certificat 76 Renouvellement d’un certificat arrivé à expiration 77 Utilisation de certificats 77 SSH et les clés SSH 77 Ouverture de session SSH à base de clés 77 Génération d’une paire de clés pour SSH 79 Sécurité au niveau de l’administration 80 Définition de privilèges au niveau de l’administration 80 Sécurité au niveau du service 81 Définition d’autorisations de liste SACL 81 Pratiques d’excellence en matière de sécurité 84 Directives en matière de mots de passe 84 Création de mots de passe complexes Chapitre 5 85 Installation et déploiement 85 Vue d’ensemble de l’installation 87 Configuration requise pour l’installation de Mac OS X Server 88 Instructions matérielles pour l’installation de Mac OS X Server 88 Collecte des informations nécessaires 88 Préparation d’un ordinateur administrateur 89 À propos du disque d’installation du serveur 89 Configuration de services réseau 89 Connexion au répertoire au cours de l’installation 90 Installation du logiciel serveur sur un ordinateur en réseau 90 À propos du démarrage pour l’installation 90 Avant de démarrer 91 Accès à distance au DVD d’installation 92 Démarrage à partir du DVD d’installation 93 Démarrage à partir d’une partition alternative6 Table des matières 97 Démarrage à partir d’un environnement NetBoot 98 Préparation des disques pour l’installation de Mac OS X Server 106 Identification du serveur distant lors de l’installation de Mac OS X Server 107 Installation interactive du logiciel serveur 107 Installation locale à partir du disque d’installation 109 Installation à distance à l’aide d’Assistant du serveur 111 Installation à distance à l’aide de VNC 112 Installation du logiciel serveur à l’aide de l’outil de ligne de commande installer 114 Installation de plusieurs serveurs 115 Mise à niveau d’un ordinateur de Mac OS X à Mac OS X Server 115 Comment rester à jour Chapitre 6 117 Configuration initiale du serveur 117 Informations nécessaires 117 Report de la configuration de serveur après l’installation 118 Connexion au réseau lors de la configuration initiale du serveur 118 Configuration de serveurs avec plusieurs ports Ethernet 119 À propos des réglages établis au cours de la configuration initiale du serveur 120 Spécification de l’utilisation initiale d’Open Directory 121 Mise à jour sans changer l’utilisation de répertoire 122 Configuration d’un serveur comme serveur autonome 122 Configuration d’un serveur pour la connexion à un système de répertoire 123 Utilisation de la configuration interactive de serveur 124 Configuration interactive d’un serveur local 125 Configuration interactive d’un serveur distant 127 Configuration interactive d’un lot de serveurs distants 128 Utilisation de la configuration automatique de serveurs 130 Création et enregistrement de données de configuration 130 Données de configuration enregistrées dans un fichier 132 Données de configuration enregistrées dans un répertoire 133 Stockage de copies de sauvegarde des données de configuration enregistrées 134 Transmission des fichiers de données de configuration aux serveurs 136 Procédure de recherche par un serveur de données de configuration enregistrées 137 Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un fichier 140 Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un répertoire 143 Détermination de l’état des configurations 143 Utilisation de la sous-fenêtre Destination pour les informations d’état de configuration 143 Gestion des échecs de configuration 144 Gestion des avertissements de configuration 144 Obtention d’informations d’état sur l’installation de la mise à niveau 145 Configuration des services 145 Ajout de services à l’affichage ServeurTable des matières 7 145 Configuration d’Open Directory 146 Configuration de la gestion des utilisateurs 146 Configuration des services de fichiers 147 Configuration du service d’impression 148 Configuration de service web 149 Configuration du service de messagerie 149 Configuration de services réseau 149 Configuration de services d’image système et de services de mise à jour de logiciels 150 Configuration de la diffusion de données 150 Configuration de Podcast Producer 150 Configuration du service WebObjects 151 Configuration du service iChat 151 Configuration du service iCal Chapitre 7 153 Gestion 154 Ports utilisés pour l’administration 154 Ports ouverts par défaut 154 Ordinateurs permettant d’administrer un serveur 155 Configuration d’un ordinateur administrateur 155 Administration au moyen d’un ordinateur non Mac OS X 156 Utilisation des outils d’administration 157 Ouverture de l’application Admin Serveur et authentification 157 Ajout et suppression de serveurs dans Admin Serveur 158 Regroupement manuel de serveurs 159 Regroupement de serveurs à l’aide de groupes intelligents 159 Utilisation des réglages d’un serveur spécifique 162 Modification de l’adresse IP d’un serveur 162 Modification du nom d’hôte du serveur après la configuration 163 Modification du type de configuration du serveur 164 Administration des services 164 Ajout et suppression de services dans Admin Serveur 165 Importation et exportation des réglages de service 165 Contrôle de l’accès aux services 166 Utilisation de SSL pour l’administration à distance des serveurs 167 Gestion du partage 168 Autorisations d’administration par niveaux 169 Définition des autorisations d’administration 170 Notions élémentaires sur Gestionnaire de groupe de travail 170 Ouverture de Gestionnaire de groupe de travail et authentification 171 Administration de comptes 171 Gestion des utilisateurs et des groupes 172 Définition des préférences gérées 174 Utilisation de données de répertoire8 Table des matières 174 Personnalisation de l’environnement de Gestionnaire de groupe de travail 175 Gestion d’ordinateurs de versions antérieures à la version 10.5 à partir de serveurs de version 10.5 175 Assistants de configuration des services 176 Fichiers de données et de configuration critiques 180 Amélioration de la disponibilité des services 180 Élimination des points de défaillance uniques 181 Utilisation de Xserve pour obtenir une haute disponibilité 181 Utilisation d’une alimentation de réserve 182 Configuration du redémarrage automatique de votre serveur 183 Pour assurer de bonnes conditions de fonctionnement 183 Fourniture de répliques Open Directory 184 Agrégation de liens 185 Le protocole d’agrégation de liens (LACP, Link Aggregation Control Protocol) 185 Scénarios d’agrégation de liens 187 Configuration de l’agrégation de liens dans Mac OS X Server 189 Contrôle de l’état de l’agrégation de liens 190 Équilibrage de la charge 191 Vue d’ensemble des démons 191 Visualisation des démons en cours d’exécution 191 Contrôle des démons Chapitre 8 193 Contrôle 193 Planification d’une politique de contrôle 194 Planification d’une réponse de contrôle 194 Widget d’état du serveur 195 Contrôle de serveur 195 RAID Admin 196 Console 196 Outils de contrôle de disque 197 Outils de contrôle de réseau 198 Notification dans Admin Serveur 199 Contrôle des aperçus de l’état du serveur à l’aide d’Admin Serveur 201 Protocole SNMP (Simple Network Management Protocol) 201 Activation des rapports SNMP 201 Configuration de snmpd 204 Démons de notification et de contrôle des événements 205 Journalisation 205 Syslog 207 Journalisation de débogage du service de répertoire 207 Journalisation Open Directory 208 Journalisation AFP 208 Outils de contrôle supplémentairesTable des matières 9 Chapitre 9 209 Exemple de configuration 209 Un seul Mac OS X Server dans une petite entreprise 210 Configuration du serveur Annexe 221 Feuille d’opérations avancées de Mac OS X Server Glossaire 235 Index 257 11 Préface À propos de ce guide Le présent guide constitue le point de départ pour toute personne souhaitant administrer Mac OS X Leopard Server en mode de configuration avancée. Il contient des informations sur l’utilisation d’Admin Serveur pour la planification, les pratiques, les outils, l’installation, le déploiement, etc. Administration du serveur n’est pas le seul guide nécessaire pour administrer un serveur en mode avancé, mais il offre une vue d’ensemble sur la planification, l’installation et la maintenance de Mac OS X Server à l’aide d’Admin Serveur. Nouveautés d’Admin Serveur Admin Serveur, outil d’administration de serveur Apple à la fois puissant, flexible et très complet, est inclus avec Mac OS X Server 10.5. Ses capacités ont été renforcées en ce qui concerne la fiabilité et la prise en charge des normes standard. Admin Serveur bénéficie également de plusieurs améliorations :  Nouvelle interface revue et rationalisée.  Gestion des points de partage (une fonctionnalité qui provient de Gestionnaire de groupe de travail).  Notification des événements.  Administration par niveaux (autorisations administratives déléguées).  Possibilité d’afficher ou de masquer les services selon les besoins.  Vues d’ensemble simples et détaillées de l’état d’un ou de plusieurs serveurs.  Groupes de serveurs.  Groupes de serveurs intelligents.  Possibilité d’enregistrer et de restaurer facilement des configurations de services.  Possibilité d’enregistrer et de restaurer facilement des préférences Admin Serveur.12 PréfaceÀ propos de ce guide Contenu de ce guide Ce guide comprend les chapitres suivants :  Chapitre 1, « Vue d’ensemble du système et normes standard prises en charge, » fournit une brève vue d’ensemble des systèmes et des normes standard Mac OS X Server.  Chapitre 2, « Planification, » vous aide à planifier l’utilisation de Mac OS X Server.  Chapitre 3, « Outils d’administration, » constitue une référence sur les outils utilisés pour administrer des serveurs.  Chapitre 4, « Sécurité, » est un bref guide sur les politiques et pratiques en matière de sécurité.  Chapitre 5, « Installation et déploiement, » est un guide d’installation de Mac OS X Server.  Chapitre 6, « Configuration initiale du serveur, » est un guide sur la configuration de votre serveur après l’installation.  Chapitre 7, « Gestion, » explique comment utiliser Mac OS X Server et les services.  Chapitre 8, « Contrôle, » montre comment surveiller Mac OS X Server et comment y ouvrir une session. Remarque :étant donné qu’Apple publie régulièrement de nouvelles versions et mises à jour de ses logiciels, les illustrations de ce document peuvent être différentes de celles qui s’affichent à l’écran. Utilisation de l’aide à l’écran Visualisation Aide permet d’obtenir des instructions à l’écran tout en gérant Leopard Server. L’aide peut être affichée sur un serveur ou sur un ordinateur administrateur (Un ordinateur administrateur est un ordinateur Mac OS X sur lequel est installé le logiciel d’administration de serveur Leopard Server.) Pour obtenir de l’aide dans le cas d’une configuration avancée de Mac OS X Leopard Server : m Ouvrez Admin Serveur ou Gestionnaire de groupe de travail, puis :  Utilisez le menu Aide pour rechercher une tâche à exécuter.  Choisissez Aide > Aide Admin Serveur ou Aide > Aide Gestionnaire de groupe de travail avant d’explorer les rubriques d’aide et d’effectuer des recherches. L’Aide l’écran contient des instructions issues de Administration du serveur et d’autres guides d’administration avancés décrits dans « Guides d’administration de Mac OS X Server ».Préface À propos de ce guide 13 Pour visualiser les rubriques d’aide les plus récentes concernant les serveurs : m Assurez-vous que le serveur ou l’ordinateur administrateur est connecté à Internet pendant que vous consultez l’Aide. Visualisation Aide extrait automatiquement les rubriques d’aide les plus récentes depuis Internet et les stocke en mémoire cache. Lorsque vous n’êtes pas connecté à Internet, Visualisation Aide affiche les rubriques d’aide mises en cache. Guides d’administration de Mac OS X Server Premiers contacts traite de l’installation et de la configuration des configurations standard et de groupe de travail de Mac OS X Server. Pour les configurations avancées, consultez Administration du serveur, qui regroupe la planification, l’installation, la configuration et l’administration du serveur en général. Une série de guides supplémentaires, énumérés ci-dessous, décrit la planification, la configuration, ainsi que la gestion avancée des services individuels. Vous pouvez obtenir ces guides au format PDF sur le site web de documentation de Mac OS X Server : www.apple.com/fr/server/documentation Ce guide... explique comment : Premiers contacts et Feuille d’opération d’installation et de configuration Installer Mac OS X Server et le configurer pour la première fois. Administration de ligne de commande Installer, configurer et gérer Mac OS X Server à l’aide de fichier s de configuration et d’outils de ligne de commande UNIX. Administration des services de fichier Partager certains volumes ou dossiers de serveur entre les clients du serveur, à l’aide des protocoles AFP, NFS, FTP et SMB. Administration du service iCal Configurer et gérer le service de calendrier partagé d’iCal. Administration du service iChat Configurer et gérer le service de messagerie instantanée d’iChat. Configuration de la sécurité de Mac OS X Renforcer la sécurité des ordinateurs (clients) Mac OS X, comme l’exigent les entreprises et les organismes publics. Configuration de la sécurité de Mac OS X Server Renforcer la sécurité de Mac OS X Server et de l’ordinateur sur lequel il est installé, comme l’exigent les entreprises et les organismes publics. Administration du service de messagerie Configurer et gérer les services de messagerie IMAP, POP et SMTP sur le serveur. Administration des services de réseau Installer, configurer et administrer les services DHCP, DNS, VPN, NTP, coupe-feu IP, NAT et RADIUS sur le serveur. Administration d’Open Directory Configurer et gérer les services de répertoire et d’authentification, ainsi que configurer les clients autorisés à accéder aux services de répertoire. Administration de Podcast Producer Configurer et gérer le service Podcast Producer destiné à enregistrer, traiter et distribuer des podcasts.14 PréfaceÀ propos de ce guide Visualisation de guides PDF à l’écran Lorsque vous lisez la version PDF d’un guide à l’écran, vous pouvez :  Afficher les signets pour visualiser le plan du guide et cliquer sur un signet pour accéder directement à la section correspondante.  Rechercher un mot ou une phrase pour afficher une liste des endroits où ce mot ou cette phrase apparaît dans le document. Cliquez sur un de ces endroits pour afficher la page correspondante.  Cliquer sur une référence croisée pour accéder directement à la rubrique référencée. Cliquez sur un lien pour visiter le site web dans votre navigateur. Impression des guides PDF Si vous devez imprimer un guide, procédez comme suit pour économiser du papier et de l’encre :  Économisez de l’encre ou du toner en évitant d’imprimer la couverture.  Si vous disposez d’une imprimante couleur, économisez de l’encre en choisissant une option d’impression en niveaux de gris ou en noir et blanc dans une des sections de la zone de dialogue Imprimer. Administration du service d’impression Héberger les imprimantes partagées et gérer les files d’attente et travaux d’impression associés. Administration de QuickTime Streaming et Broadcasting Capturer et encoder du contenu QuickTime. Configurer et gérer le service QuickTime Streaming en vue de diffuser des données multimédias en temps réel ou à la demande. Administration du serveur Mettre en place l’installation et la configuration avancées du logiciel serveur et gérer des options qui s’appliquent à plusieurs services ou à l’intégralité du serveur. Administration de Mise à jour de logiciels et d’Imagerie système Utiliser NetBoot, NetInstall et Mise à jour de logiciels pour automatiser la gestion du système d’exploitation et des autres logiciels utilisés par les ordinateurs clients. Mise à niveau et migration Utiliser des réglages de données et de services correspondant à une version antérieure de Mac OS X Server ou de Windows NT. Gestion des utilisateurs Créer et gérer des comptes utilisateur, des groupes et des ordinateurs. Configurer les préférences gérées des clients Mac OS X. Administration des technologies web Configurer et gérer des technologies web telles que les blogs, WebMail, wiki, MySQL, PHP, Ruby on Rails (RoR) et WebDAV. Xgrid Administration et informatique à hautes performances Configurer et gérer des grappes de calcul de systèmes Xserve et d’ordinateurs Mac. Glossaire Mac OS X Server Savoir à quoi correspondent les termes utilisés pour les produits de serveur et les produits de stockage. Ce guide... explique comment :Préface À propos de ce guide 15  Réduisez le volume du document imprimé et économisez du papier en imprimant plusieurs pages par feuille. Dans la zone de dialogue Imprimer, réglez Échelle sur 115 % (155 % pour Premiers contacts). Choisissez ensuite Mise en page dans le menu local sans titre. Si votre imprimante prend en charge l’impression recto verso (duplex), sélectionnez l’une des options proposées. Sinon, choisissez 2 dans le menu local Pages par feuille et, si vous le souhaitez, Simple extra fine dans le menu Bordure. (Si vous utilisez Mac OS X 10.4 ou antérieur, le réglage Échelle se trouve dans la zone de dialogue Format d’impression et les réglages relatifs à la mise en page dans la zone de dialogue Imprimer.) Il peut s’avérer utile d’agrandir les pages imprimées même si vous n’imprimez pas en recto verso, car la taille des pages PDF est inférieure à celle du papier d’imprimante standard. Dans la zone de dialogue Imprimer ou dans la zone de dialogue Format d’impression, essayez de régler Échelle sur 115 % (155 % pour Premiers contacts qui possède des pages de la taille d’un CD). Obtenir des mises à jour de documentation Apple publie régulièrement des pages d’aide révisées ainsi que de nouvelles éditions de ses guides. Certaines pages d’aide révisées sont des mises à jour des dernières éditions de ces guides.  Pour afficher les nouvelles rubriques d’aide à l’écran d’une application de serveur, assurez-vous que votre serveur ou votre ordinateur administrateur est connecté à Internet et cliquez sur le lien des dernières rubriques d’aide ou de mise à jour dans la page d’aide principale de l’application.  Pour télécharger les guides les plus récents en format PDF, rendez-vous sur le site web de documentation de Mac OS X Server : www.apple.com/fr/server/documentation/ Pour obtenir des informations supplémentaires Pour plus d’informations, consultez les ressources suivantes :  Documents Ouvrez-moi : mises à jour importantes et informations spécifiques. Recherchez-les sur les disques du serveur.  Site web de Mac OS X Server (www.apple.com/fr/server/macosx) : passerelle vers des informations détaillées sur de nombreux produits et technologies.  Site web de service et d’assistance Mac OS X Server (www.apple.com/fr/support/macosxserver) : accès à des centaines d’articles du service d’assistance d’Apple.  Groupes de discussions Apple, en anglais, (discussions.apple.com) : un moyen de partager questions, connaissances et conseils avec d’autres administrateurs.  Site web des listes d’envoi Apple, en anglais, (www.lists.apple.com) : abonnez-vous à des listes d’envoi afin de pouvoir communiquer par courrier électronique avec d’autres administrateurs.1 17 1 Vue d’ensemble du système et normes standard prises en charge Mac OS X Server, qui contient tout ce dont vous avez besoin pour fournir des services de groupe de travail et Internet reposant sur des normes standard, constitue une solution serveur de pointe, basée sur UNIX, facile à déployer et à gérer. Le présent chapitre contient les informations nécessaires pour prendre des décisions quant au lieu et à la manière de déployer Mac OS X Server. Il comporte des informations générales sur les options de configuration, sur les protocoles standard utilisés, sur ses racines UNIX, ainsi que sur les configurations de réseau et de coupe-feu nécessaires pour l’administration de Mac OS X Server. Configuration requise pour l’installation de Mac OS X Server L’ordinateur de bureau ou le serveur Macintosh sur lequel vous installez Mac OS X Server 10.5 Leopard doit être doté des éléments suivants :  Un processeur Intel ou PowerPC G4 ou G5 cadencé à 867 MHz ou plus.  FireWire intégré.  Au moins 1 Go de mémoire vive (RAM).  Au moins 10 gigaoctets (Go) d’espace disque disponible.  Un nouveau numéro de série pour Mac OS X Server 10.5. Le numéro de série utilisé avec une version antérieure de Mac OS X Server ne permet pas de s’enregistrer pour la version 10.5. Un lecteur de DVD intégré est pratique mais pas obligatoire. Les moniteurs et claviers sont optionnels. Vous pouvez installer le logiciel serveur sur un ordinateur sans moniteur ni clavier à l’aide d’un ordinateur administrateur. Pour en savoir plus, consultez la section « Configuration d’un ordinateur administrateur » à la page 155.18 Chapitre 1Vue d’ensemble du système et normes standard prises en charge Description des configurations de serveur Mac OS X Server peut adopter trois configurations de fonctionnement distinctes : la configuration avancée, la configuration de groupe de travail et la configuration standard. Les serveurs en configuration avancée sont plus flexibles et nécessitent davantage de compétences d’administration. Ils peuvent être personnalisés pour toute une série d’usages et de besoins. Une configuration avancée de Mac OS X Server donne à l’administrateur système expé- rimenté un contrôle complet sur la configuration des services pour lui permettre de faire face à toutes sortes de besoins au sein d’une organisation. Après la configuration initiale à l’aide d’Assistant réglages, vous pouvez utiliser de puissantes applications d’administration, telles qu’Admin Serveur et Gestionnaire de groupe de travail, ou des outils de ligne de commande pour configurer les réglages avancés des services fournis par le serveur. Les deux autres configurations constituent des sous-ensembles des services et des fonctionnalités possibles dans une configuration avancée. Elles disposent d’une application d’administration simplifiée, nommée Préférences du serveur, et sont destinées à des rôles plus spécifiques au sein d’une organisation. La configuration de groupe de travail de Mac OS X Server est destinée aux groupes de travail créés au sein d’organisations possédant déjà un serveur de répertoire. Une configuration de groupe de travail se connecte à un serveur de répertoire existant au sein de votre organisation et intègre les utilisateurs et groupes du répertoire de l’organisation à un répertoire de serveur de groupe de travail. La configuration standard de Mac OS X Server offre une configuration automatisée et une administration simplifiée pour un serveur indépendant au sein d’une petite organisation. Le tableau qui suit résume les fonctionnalités et les possibilités de chacune des configurations. Fonctionnalité Avancée Groupe de travail Standard Modification des réglages des services à l’aide de... Admin Serveur Préférences serveur Préférences serveur Les réglages des services sont... Non configurés Préréglés sur quelques valeurs par défaut courantes Préréglés sur les valeurs par défaut courantes Les utilisateurs et les groupes sont gérés à l’aide de... Gestionnaire de groupe de travail Préférences serveur Préférences serveur Les réglages des services d’utilisateur sont définis automatiquement Non Oui OuiChapitre 1 Vue d’ensemble du système et normes standard prises en charge 19 Pour en savoir plus sur les configurations Standard et Groupe de travail, ainsi que sur les services activés par défaut pour ces configurations, consultez la section Premiers contacts. Configuration avancée en action L’illustration qui suit montre plusieurs configurations avancées de Mac OS X Server en service au sein d’une grande organisation. Utilisable comme serveur autonome Oui Non Oui Utilisable comme maî- tre Open Directory Oui Non Oui Utilisable comme réplique Open Directory Oui Oui Non Utilisable comme passerelle réseau dédiée Oui Non Oui Utilisable comme réplique Active Directory Oui Non Non Surveillé et sauvegardé à l’aide de... Toute méthode implé- mentée par l’administrateur système Préférences du serveur Préférences du serveur Dépend d’une infrastructure de services existante Non Oui Non Dépend d’un système DNS existant bien structuré Oui Oui Non Fonctionnalité Avancée Groupe de travail Standard Internet AirPort Extreme DCHP, DNS, RADIUS, VPN Réplique Open Directory Dossiers de départ de partage de fichiers Création d’image système et mise à jour de logiciels QuickTime Streaming iCal, iChat et messagerie Maître Open Directory Web avec wiki et blog20 Chapitre 1Vue d’ensemble du système et normes standard prises en charge Chaque serveur est configuré pour fournir certains des services. Par exemple, l’un des serveurs fournit les services iCal, iChat et de messagerie pour toute l’organisation. Un autre assure la diffusion en continu de données QuickTime et Podcast Producer. Pour garantir une haute disponibilité des dossiers de départ et des points de partage, un serveur de fichiers principal et un serveur de fichiers de réserve disposent d’options de basculement IP configurées de telle sorte qu’en cas de défaillance du serveur principal, le serveur de réserve prend le relais de façon transparente. Le serveur de fichiers principal et le serveur de réserve utilisent un réseau de stockage Xsan pour accéder au même système de stockage RAID sans l’endommager. Pour une haute disponibilité des services de répertoire, des répliques Open Directory fournissent le service de répertoire si le maître Open Directory est déconnecté. Le domaine Open Directory dispose de comptes d’utilisateur, de groupe d’utilisateurs, d’ordinateurs et de groupes d’ordinateurs. Cela permet de gérer les préférences d’utilisateur Mac OS X au niveau du groupe d’utilisateurs et du groupe d’ordinateurs. Le service web permet d’héberger un site web sur Internet pour l’organisation. Il fournit également des sites web wiki sur un intranet pour les groupes de l’organisation. Améliorations apportées à Mac OS X Server Leopard Mac OS X Server comporte plus de 250 nouvelles fonctionnalités, ce qui constitue le plus grand nombre d’améliorations apportées au système d’exploitation serveur depuis le lancement de Mac OS X Server. Voici quelques une de ces améliorations :  Service Xgrid 2 : le service Xgrid 2 permet d’obtenir des performances de super-ordinateur en répartissant les calculs sur des ensembles d’ordinateurs Mac OS X dédiés ou partagés. Xgrid 2 comprend GridAnywhere, qui permet aux logiciels compatibles Xgrid de tourner où vous voulez, même si vous n’avez pas configuré de contrôleur ni d’agents, et Scoreboard, utilisé pour classer par ordre de priorité les agents à utiliser pour différentes tâches. Le contrôleur de cluster fournit un accès centralisé au pool de calcul distribué, appelé cluster de calcul.  Services de fichiers : les services de fichiers améliorés offrent un meilleur niveau de performances et de sécurité pour chacun des services de fichiers réseau, une prise en charge du protocole SMB nettement plus perfectionnée et un système NFS version 3 sécurisé à l’aide de l’authentification Kerberos et d’AutoFS.  iChat Server 2 : iChat Server 2 peut fédérer sa communauté d’utilisateurs avec des communautés issues d’autres systèmes de messagerie XMPP (Extensible Messaging and Presence Protocol), tels que Google Talk, pour permettre aux membres de la communauté du serveur iChat de dialoguer en ligne avec les membres des communautés fédérées.Chapitre 1 Vue d’ensemble du système et normes standard prises en charge 21  Service de messagerie : le service de messagerie prend dorénavant en charge la mise en grappe de systèmes de stockage de courrier lorsqu’il est utilisé avec Xsan. Il comprend également une fonction de messages d’absence. Ses performances dans le cadre de services de messagerie à 64 bits avec SMTP, IMAP et POP ont été améliorées.  Open Directory 4 : cette nouvelle version d’Open Directory comporte de nouvelles possibilités en matière de proxy LDAP, des autorisations couvrant plusieurs domaines, la réplication en cascade et les ensembles de répliques.  Authentification RADIUS : RADIUS permet l’authentification des clients qui se connectent au réseau via des bornes d’accès AirPort.  QuickTime Streaming Server 6 : le serveur QuickTime Streaming Server amélioré prend en charge l’adaptation du taux de bits 3GPP version 6 pour une diffusion en continu fluide vers des téléphones portables quel que soit l’encombrement du réseau. Il s’intègre avec Open Directory sur votre serveur lors de l’authentification de la livraison de contenu et offre de meilleures performances avec le service 64 bits.  Services web : les administrateurs de serveur web disposent maintenant d’Apache 2.2 (pour les nouvelles installations et les installations de mise à niveau) ou 1.3 (pour les systèmes mis à niveau par un système). MySQL 5, PHP et Apache sont intégrés. Ruby on Rails with Mongrel a été inclus pour simplifier le développement d’applications web. Normes standard prises en charge Mac OS X Server fournit des services de groupe de travail et Internet basés sur des normes standard. Plutôt que de développer des technologies de serveur propriétaires, Apple a décidé de s’appuyer sur les meilleurs projets open-source : Samba 3, OpenLDAP, Kerberos, Postfix, Apache, Jabber, SpamAssassin, etc. Mac OS X Server intègre ces technologies robustes et les améliore grâce à une interface de gestion unifiée et cohérente. Comme il est construit sur des normes standard ouvertes, Mac OS X Server est compatible avec les infrastructures réseau et informatiques existantes. Il utilise des protocoles natifs pour fournir des services de répertoire, de fichiers, de partage d’imprimante et l’accès réseau sécurisé à des clients Mac,Windows et Linux. Une architecture de services de répertoire basée sur des normes standard permet la gestion centralisée des ressources du réseau à l’aide de n’importe quel serveur LDAP, même des serveurs propriétaires tels que Microsoft Active Directory. La fondation open-source basée sur UNIX rend le portage et le déploiement d’outils existants sur Mac OS X Server particulièrement faciles.22 Chapitre 1Vue d’ensemble du système et normes standard prises en charge Voici quelques-unes des technologies basées sur des normes standard qui donnent à Mac OS X Server toute sa puissance :  Kerberos : Mac OS X Server intègre une autorité d’authentification basée sur la technologie Kerberos du MIT (RFC 1964) pour fournir aux utilisateurs un accès à signature unique à des ressources réseau sécurisées. L’utilisation de l’authentification Kerberos forte et de la signature unique maximise la sécurité des ressources réseau tout en fournissant aux utilisateurs un accès plus facile à une grande variété de services réseau compatibles avec Kerberos. Pour les services qui n’ont pas encore été kerbérisés, le service SASL intégré négocie le protocole d’authentification le plus strict possible.  OpenLDAP : Mac OS X Server comprend un serveur de répertoire LDAP robuste et un serveur de mot de passe Kerberos sûr pour fournir des services de répertoire et d’authentification aux clients Mac, Windows et Linux. Apple a construit le serveur Open Directory à partir d’OpenLDAP, le serveur LDAP open-source le plus répandu, afin qu’il puisse fournir des services de répertoire tant dans les environnements constitués uniquement de Mac que dans les environnements contenant différents types de plateformes. LDAP fournit un langage commun pour l’accès aux répertoires, ce qui permet aux administrateurs de consolider les informations provenant de diffé- rente plateformes et de définir un espace de noms unique pour toutes les ressources réseau. Cela signifie un seul répertoire pour tous les systèmes Mac, Windows et Linux du réseau.  RADIUS : le protocole RADIUS (Remote Authentication Dial-In User Service) est un protocole d’authentification, d’autorisation et de gestion de comptes utilisé par la norme de sécurité 802.1x pour contrôler l’accès au réseau par des clients en configuration mobile ou fixe. Mac OS X Server utilise RADIUS pour s’intégrer avec les bornes d’accès AirPort et faire office de base de données de filtre d’adresses MAC centrale. En configurant RADIUS et Open Directory, vous pouvez contrôler l’accès à votre réseau sans fil. Mac OS X Server utilise le projet de serveur FreeRADIUS. FreeRADIUS prend en charge les éléments nécessaires pour créer un serveur RADIUS : LDAP, MySQL, PostgreSQL, les bases de données Oracle, EAP, EAP-MD5, EAP-SIM, EAP-TLS, EAP-TTLS, EAP-PEAP et les sous-types LEAP de Cisco. Mac OS X Server prend en charge les serveurs proxy avec basculement et répartition de la charge.  Service de messagerie : Mac OS X Server utilise des technologies robustes issues de la communité open-source pour fournir des solutions de serveur de messagerie complètes et faciles à utiliser. La prise en charge complète des protocoles de courrier électronique Internet (IMAP, POP et SMTP) assure la compatibilité avec les clients de messagerie électronique standard sur les systèmes Mac, Windows et Linux.Chapitre 1 Vue d’ensemble du système et normes standard prises en charge 23  Technologies web : les technologies web de Mac OS X Server reposent sur le serveur web open-source Apache, le serveur HTTP le plus utilisé sur Internet. Grâce à des performances optimisées pour Mac OS X Server, Apache fournit un hébergement web rapide et fiable, ainsi qu’une architecture extensible pour la fourniture de contenus dynamiques et de services web sophistiqués. Comme le service web de Mac OS X Server repose sur Apache, vous pouvez ajouter des fonctionnalités avancées à l’aide de simples modules d’extension. Mac OS X Server contient tout ce dont les webmestres professionnels ont besoin pour déployer des services web sophistiqués : outils intégrés pour la publication collaborative, scripts incorporés, modules Apache, scripts CGI personnalisés, pages JavaServer Pages et servlets Java. Les sites utilisant des bases de données peuvent être liés à la base de données MySQL fournie. La capacité de connexion ODBC et JDBC à d’autres solutions de base de données est également prise en charge. Le service web prend également en charge le protocole WebDAV (Web-based Distributed Authoring and Versioning).  Services de fichiers : vous pouvez configurer les services de fichiers de Mac OS X Server de façon à autoriser les clients à accéder aux fichiers, applications et autres ressources partagées sur un réseau. Mac OS X Server prend en charge la plupart des grands protocoles de service pour une compatibilité maximum, notamment les protocoles suivants :  Apple Filing Protocol (AFP) pour partager des ressources avec des clients qui utilisent des ordinateurs Macintosh.  Server Message Block (SMB) pour partager des ressources avec des clients qui utilisent des ordinateurs Windows. Ce protocole est fourni par le projet open-source Samba.  Network File System (NFS) pour partager des fichiers et des dossiers avec des clients UNIX.  File Transfer Protocol (FTP) pour partager des fichiers avec toute personne utilisant un logiciel client FTP.  IPv6 : IPv6 est l’acronyme de « Internet Protocol Version 6 » (RFC 2460). IPv6 est le protocole Internet de nouvelle génération conçu pour remplacer le protocole Internet actuel, IP Version 4 (IPv4 ou juste IP). IPv6 améliore le routage et l’autoconfiguration de réseau. Il augmente le nombre d’adresses réseau à 3 x 1038 et rend NAT superflu. IPv6 devrait remplacer graduellement IPv4 pendant une période de transition de plusieurs années au cours de laquelle les deux protocoles devraient coexister. Les services réseau de Mac OS X Server sont entièrement compatibles avec IPv6 et prêts pour la transition vers ce système d’adressage de nouvelle génération, tout en demeurant totalement compatibles avec IPv4.24 Chapitre 1Vue d’ensemble du système et normes standard prises en charge  SNMP : le protocole SNMP (Simple Network Management Protocol) est utilisé pour surveiller l’état de fonctionnement de périphériques reliés à un réseau. Il s’agit d’un ensemble de normes standard rédigées par l’Internet Engineering Task Force (IETF) pour la gestion de réseau et comprenant un protocole Application Layer, un schéma de base de données et un ensemble d’objets de données. Mac OS X Server utilise la suite opensource net-snmp pour fournir le service SNMPv3 (c’est-à-dire RFC 3411-3418). L’héritage UNIX de Mac OS X Server Mac OS X Server dispose de fondations UNIX construites à partir du micro-noyau Mach et des dernières évolutions de la communauté open-source BSD (Berkeley Software Distribution). Ces fondations fournissent à Mac OS X Server une plateforme informatique 64 bits stable et à hautes performances pour le déploiement d’applications et de services hébergés sur serveur. Mac OS X Server est construit sur un système d’exploitation open-source appelé Darwin qui appartient à la famille BSD de systèmes similaires à UNIX. BSD est une famille de variantes de UNIX issues de la version Berkeley de UNIX. Mac OS X Server comporte en outre plus de 100 projets open-source, en plus des améliorations et extensions propriétaires apportées par Apple. La portion BSD du noyau Mac OS X provient principalement de FreeBSD, une version de 4.4BSD qui offre des fonctionnalités de mise en réseau, des performances, une sécurité et une compatibilité avancées. Les variantes de BSD sont généralement dérivées (parfois indirectement) de 4.4BSD-Lite Release 2 du groupe Computer Systems Research Group (CSRG) de l’université de Californie, à Berkeley. Bien que la portion BSD de Mac OS X provienne principalement de FreeBSD, elle comporte certaines modifications. Pour en savoir plus sur les modifications de bas niveau, consultez la documentation développeur d’Apple relative à Darwin.2 25 2 Planification Avant d’installer et de configurer Mac OS X Server, faites un peu de planification et familiarisez-vous avec les différentes options qui sont à votre disposition. Les principaux objectifs de la phase de planification sont de s’assurer que :  les serveurs que vous déployez répondent aux besoins des utilisateurs et administrateurs,  les conditions préalables en matière de serveur et de services et qui affectent l’installation et la configuration initiale ont été identifiées. La planification de l’installation est particulièrement importante si vous intégrez Mac OS X Server dans un réseau existant, si vous migrez à partir de versions antérieures de Mac OS X Server ou si vous prévoyez de mettre en place plusieurs serveurs. Mais même dans un environnement à un serveur unique, il est préférable d’évaluer rapidement les besoins auxquels répondra le serveur. Ce chapitre pourra servir de base à votre réflexion. Il ne fournit pas de guide de planification rigoureux et ne contient pas les détails nécessaires pour déterminer si vous devez implémenter un service particulier et évaluer les ressource dont vous avez besoin. Considérez simplement ce chapitre comme une occasion de réfléchir au meilleur moyen de bénéficier au maximum des avantages que présente Mac OS X Server dans votre environnement. Comme la conception, la planification n’est pas non plus forcément un processus linéaire. Il n’est pas nécessaire de suivre les sections de ce chapitre dans l’ordre. Diffé- rentes sections offrent des suggestions qui peuvent être mises en œuvre de manière simultanée ou itérative.26 Chapitre 2Planification Planification Lors de la phase de planification, vous devez déterminer de quelle manière vous prévoyez d’utiliser Mac OS X Server et identifier les opérations nécessaires avant son installation. Il peut s’avérer nécessaire, par exemple, de mettre un serveur existant à niveau avec la version 10.5 tout en continuant à héberger des services de répertoires, de fichiers et de messagerie pour les clients de votre réseau. Avant d’installer votre logiciel de serveur, nous vous recommandons de préparer les données à faire migrer vers votre nouveau serveur et de vous demander si le moment est opportun pour mettre en œuvre une nouvelle solution de services de répertoires. Lors de la phase de planification, vous décidez également quelles options d’installation et de configuration du serveur sont les plus adaptées à vos besoins. Par exemple, Premiers contacts contient un exemple illustrant l’installation et la configuration initiale d’un serveur dans un scénario de petite entreprise où le serveur fonctionne en mode de configuration standard. Planification pour la mise à niveau ou la migration vers Mac OS X Server 10.5 Si vous utilisez une version antérieure de Mac OS X Server et que vous souhaitez réutiliser les données et réglages, vous pouvez procéder à une mise à niveau ou à une migration vers la version 10.5. Vous pouvez procéder à une mise à niveau avec Leopard Server si vous utilisez Mac OS X Server 10.4 Tiger ou 10.3 Panther et que vous n’avez pas besoin de remplacer le matériel du serveur. La mise à niveau est simple, car elle préserve les données et réglages existants. La mise à niveau peut être effectuée à l’aide de n’importe laquelle des méthodes d’installation décrites dans ce chapitre ou des méthodes avancées décrites dans ce guide. Si vous ne pouvez pas procéder à une mise à niveau parce que vous devez, par exemple, formater le disque de démarrage ou remplacer le matériel de votre serveur, vous pouvez faire migrer vos données et réglages vers un ordinateur sur lequel vous avez déjà installé Leopard Server. La migration est prise en charge à partir de la dernière version de Mac OS X Server 10.4 Tiger, Mac OS X Server 10.3.9 Panther, Mac OS X Server 10.2.8 Jaguar et Windows NT 4 ou ultérieur. Pour obtenir des informations complètes sur la migration de données et de réglages vers un autre Mac ou Xserve, consultez la section Mise à niveau et migration. Le guide de mise à niveau et de migration fournit des instructions complètes pour la réutilisation de données et de réglages dans ces deux scénarios.Chapitre 2 Planification 27 Mise en place d’une équipe de planification Impliquez dans le processus de planification de l’installation des personnes représentant des points de vue différents et capables de vous aider à répondre aux questions suivantes :  Quels besoins quotidiens un serveur doit-il satisfaire ? Quelles sont les activités pour lesquelles les utilisateurs et les groupes de travail dépendront du serveur ? Si le serveur doit être employé dans une salle de cours, veillez à consulter le formateur qui gérera ses services et qui l’administrera au quotidien.  Quels sont les besoins à satisfaire en matière de gestion des utilisateurs ? Les ordinateurs des utilisateurs seront-ils sans disque et devront-ils donc démarrer via NetBoot ? Sera-t-il nécessaire de mettre en place la gestion des clients Macintosh et des répertoires de départ sur le réseau ? Les personnes ayant de l’expérience dans le domaine de l’administration de serveur doivent discuter avec les utilisateurs du serveur n’ayant pas de compétences techniques particulières, afin que ces derniers comprennent mieux l’intérêt de certains services.  Quels services existants non Apple, tel qu’Active Directory, le serveur devra-t-il intégrer ? Si vous avez prévu de remplacer un ordinateur Windows NT, envisagez d’utiliser pour cela Mac OS X Server, qui gère de manière complète les clients Windows. Assurezvous que les administrateurs qui connaissent ces autres systèmes participent au processus de planification.  Quelles sont les caractéristiques du réseau dans lequel le serveur sera installé ? Devrez-vous mettre à jour les alimentations électriques, les commutateurs ou d’autres composants réseau ? Le moment est-il venu de réorganiser les infrastructures où sont hébergés vos serveurs ? Une personne ayant des connaissances en matière de systèmes et de réseaux pourra contribuer à la prise de décision et remplir la Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server incluse en annexe. Identification des serveurs à mettre en place Effectuez un inventaire des serveurs :  De combien de serveurs disposez-vous actuellement ?  Comment sont-ils utilisés ?  Comment optimiser l’utilisation des serveurs que vous souhaitez garder ?  Y a-t-il des serveurs que vous souhaitez supprimer ? Lesquels peuvent être remplacés par Mac OS X Server?  Avec quels serveurs non Apple faudra-t-il intégrer Mac OS X Server ? Pourquoi ?  Y a-t-il des serveurs Mac OS X Server à mettre à niveau avec la version 10.5 ?  Combien de nouveaux ordinateurs Mac OS X devront être mis en place ?28 Chapitre 2Planification Choix des services à héberger sur chaque serveur Identifiez quels services vous voulez héberger sur chaque Mac OS X Server et sur chaque serveur non Apple que vous choisissez d’utiliser. Pour répartir des services entre serveurs, vous devez connaître à la fois les utilisateurs et les services. Voici quelques exemples d’influence des options de services et des configurations matérielles et logicielles requises sur ce qui est installé sur chacun des serveurs :  Les implémentations de services de répertoire peuvent aller de l’utilisation des répertoires existants et de l’authentification Kerberos hébergée sur des serveurs non Apple à des répertoires Open Directory sur des serveurs disséminés partout dans le monde. Les services de répertoire nécessitent une analyse et une planification approfondies. Administration d’Open Directory peut vous aider à mieux comprendre les options et les possibilités.  Les dossiers de départ des utilisateurs du réseau peuvent être regroupés sur un seul serveur ou répartis sur plusieurs. Bien que l’on puisse déplacer les dossiers de départ en cas de besoin, vous risquez de devoir modifier un grand nombre d’enregistrements d’utilisateur et de point de partage. Par conséquent, mettez au point une stratégie qui demeurera valable pendant une durée raisonnablement longue. Pour en savoir plus sur les dossiers de départ, consultez la section Gestion des utilisateurs.  Certains services permettent de limiter l’espace disque sollicité par chaque utilisateur. Vous pouvez, par exemple, définir des quotas pour les dossiers de départ et pour le courrier des utilisateurs. Pensez aux quotas comme un moyen de maximiser l’espace disque disponible sur un serveur qui stocke des dossiers de départ et des bases de données de messagerie. Gestion des utilisateurs décrit les quotas relatifs aux dossiers de départ et au courrier au niveau des utilisateurs, tandis que Administration du service de messagerie décrit les quotas relatifs au courrier au niveau des services.  Les besoins en matière d’espace disque dépendent également des types de fichiers hébergés par le serveur. Ainsi, un environnement créatif nécessite de très importantes capacités de stockage du fait du volume important des fichiers de données multimédias, alors qu’une école primaire a des besoins de stockage de fichiers plus modestes. Administration des services de fichier décrit le partage de fichiers.  Si vous installez un serveur de diffusion de données en continu, allouez un espace disque suffisant pour assurer la diffusion en continu d’un certain nombre d’heures de vidéo ou de son. Pour connaître les configurations matérielle et logicielle requises et voir un exemple de configuration, consultez la section Administration de QuickTime Streaming et Broadcasting.  Le nombre d’ordinateurs client NetBoot que vous pouvez connecter à un serveur dépend du nombre de connexions Ethernet du serveur, du nombre d’utilisateurs, de la quantité de RAM et d’espace disque disponible, ainsi que d’autres facteurs. Le service DHCP doit être disponible. Pour obtenir des instructions sur la planification des capacités NetBoot, consultez la section Administration de Mise à jour de logiciels et d’Imagerie système.Chapitre 2 Planification 29  Mac OS X Server offre une gestion complète des utilisateurs Windows. Vous pouvez regrouper les tâches de gestion sur des serveurs fournissant des services de contrô- leur principal de domaine ou bien répartir les services sur différents serveurs. Administration d’Open Directory et Administration des services de fichier décrivent les options disponibles.  Si vous voulez utiliser un RAID logiciel pour segmenter des disques ou les mettre en miroir, vous aurez besoin de deux lecteurs non FireWire ou plus sur un serveur. Pour en savoir plus, consultez l’aide en ligne d’Utilitaire de disque. Avant de prendre des décisions définitives quant à la répartition des services hébergés par les différents serveurs, familiarisez-vous avec les guides d’administration de chacun des services à déployer. Définition d’une stratégie de migration Si vous utilisez une version de Mac OS X Server comprise entre 10.2 et 10.4 ou un serveur Windows NT, examinez les opportunités de déplacement des données et des réglages vers Mac OS X Server 10.5. Mise à niveau et migration à partir d’une version antérieure de Mac OS X Server Si vous utilisez des ordinateurs sous Mac OS X Server 10.2, 10.3 ou 10.4, envisagez leur mise à niveau ou leur migration vers une configuration avancée de Mac OS X Server 10.5 Leopard. Si vous utilisez Mac OS X Server 10.4 ou 10.3 et que vous n’avez pas besoin de changer d’ordinateur, vous pouvez procéder à une installation de mise à niveau. La mise à niveau est simple, car elle préserve les données et réglages existants. Lorsque cette approche est impossible, vous pouvez migrer les données et les réglages. Vous devrez procéder à une migration, et non à une mise à niveau, dans les cas suivants :  Le disque dur d’un serveur 10.3 ou 10.4 doit être reformaté ou le serveur ne satisfait pas à la configuration minimale requise pour Leopard. Pour en savoir plus, consultez la section « Description de la configuration requise pour l’installation de Mac OS X Server » à la page 66.  Vous souhaitez déplacer vers un autre serveur les données et les réglages que vous utilisiez sur un serveur de version 10.3 ou 10.4.  Vous souhaitez déplacer les données et les réglages utilisés sur un serveur 10.2. La migration est prise en charge à partir des dernières versions de Mac OS X Server 10.4, 10.3 et 10.2. Une migration consiste à installer et configurer une configuration avancée de Leopard Server, à y restaurer les fichiers à partir du serveur antérieur et à effectuer les ajustements manuels nécessaires.30 Chapitre 2Planification Pour des informations complètes, lisez la section Mise à niveau et migration. Migration à partir de Windows NT Une configuration avancée de Leopard Server est capable de fournir divers services à des utilisateurs d’ordinateur Microsoft Windows 95, 98, ME, XP, NT 4 et 2000. En fournissant ces services, Leopard Server peut remplacer les serveurs Windows NT dans les petits groupes de travail. Pour plus d’informations sur la migration d’utilisateurs, de groupes, de fichiers et d’autres éléments depuis un serveur Windows NT vers Mac OS X Server, consultez la section Mise à niveau et migration. Définition d’une stratégie d’intégration Il y a deux aspects à prendre en compte lorsque vous intégrez Mac OS X Server à un environnement hétérogène :  la configuration de Mac OS X Server de manière à exploiter les services existants,  la configuration d’ordinateurs non Apple pour l’utilisation de Mac OS X Server. Le premier aspect concerne principalement l’intégration des services de répertoire. Déterminez quels ordinateurs Mac OS X Server utiliseront des répertoires existants (tels qu’Active Directory, LDAPv3 et NIS) et des services d’authentification existants (tels que Kerberos). Pour les options et les instructions, consultez la section Administration d’Open Directory. L’intégration peut se résumer à l’activation d’une option dans Utilitaire d’annuaire ou nécessiter la reconfiguration des services existants et des réglages de Mac OS X Server. Le deuxième aspect consiste principalement à déterminer le niveau de prise en charge que Mac OS X Server doit fournir aux utilisateurs d’ordinateurs Windows. Administration des services de fichier et Administration d’Open Directory contiennent des informations sur les différentes possibilités. Définition de la configuration de l’infrastructure matérielle Déterminez s’il est nécessaire d’apporter des modifications au site ou à la topologie du réseau avant d’installer et de configurer les serveurs.  Qui administrera le serveur, et de quel type d’accès au serveur auront besoin les administrateurs ? Les serveurs de salle de classe doivent être facilement accessibles aux instructeurs, tandis que ceux qui hébergent des informations de répertoire pour tout un réseau doivent être sécurisés en contrôlant l’accès aux locaux dans lesquels ils sont installés.Chapitre 2 Planification 31 Les outils d’administration de Mac OS X Server offrant une solution complète d’administration du serveur à distance, il est rare qu’un administrateur ait besoin d’accéder physiquement au serveur.  Certaines conditions de climatisation ou d’alimentation électrique doivent-elles être remplies ? Pour plus d’informations à ce sujet, consultez la documentation livrée avec le matériel du serveur.  Comptez-vous effectuer la mise à niveau d’éléments tels que des câbles, des commutateurs et des boîtiers d’alimentation ? Le moment est peut-être adéquat pour le faire.  Votre réseau TCP/IP et ses sous-réseaux sont-ils configurés pour prendre en charge les services et les serveurs que vous souhaitez déployer ? Définition de l’infrastructure minimale pour la configuration du serveur L’infrastructure de configuration de serveur est constituée des services et des serveurs que vous devez configurer en premier parce que d’autres en dépendent. Par exemple, si vous souhaitez utiliser Mac OS X Server pour fournir des services DHCP, une horloge de réseau et BootP à d’autres serveurs, vous devez configurer et activer le ou les serveurs fournissant ces services et démarrer ces derniers avant de configurer les serveurs qui en dépendent. Par ailleurs, si vous voulez automatiser la configuration des serveurs en utilisant des données de configuration stockées dans un répertoire, vous devez d’abord configurer les serveurs DHCP et les serveurs de répertoires. Le travail d’infrastructure de configuration requis dépend de la complexité de votre site et de vos objectifs. En général, les services DHCP, DNS et de répertoires sont souhaitables ou obligatoires pour un réseau moyen ou de grande taille :  La couche d’infrastructure la plus essentielle comprend des services de réseau tels que DHCP et DNS. Tous les services fonctionnent mieux si un service DNS est disponible sur le réseau, et de nombreux services requièrent son bon fonctionnement. Si vous n’hébergez pas de service DNS, consultez l’administrateur responsable du serveur DNS lorsque vous configurez vos propres serveurs. Les conditions de DNS requises pour les services individuels sont indiquées dans les guides d’administration propres à chaque service. La configuration de DHCP doit se faire en fonction de la topologie physique de votre réseau.  Autre composant d’infrastructure essentiel : les services de répertoire, qui sont nécessaires pour le partage des données entre services, serveurs et ordinateurs. Le type de données le plus couramment partagé est celui employé par les utilisateurs et les groupes, même si les informations de configuration telles que les enregistrements de montage et les autres données de répertoires sont également partagées.32 Chapitre 2Planification Les infrastructures de services de répertoire sont nécessaires lorsque vous souhaitez héberger des services d’authentification multi-plateformes ou que plusieurs services doivent utiliser les mêmes noms et mots de passe. Voici un exemple de l’ordre dans lequel vous pouvez configurer une infrastructure de serveurs comprenant les services DNS, DHCP et de répertoire. Les services peuvent être configurés sur le même serveur ou sur différents serveurs : 1 Installez le serveur DNS. 2 Installez DHCP. 3 Configurez DHCP pour indiquer l’adresse du serveur DNS et que celui-ci offre ses services aux clients DHCP. 4 Installez un serveur de répertoires comprenant si besoin est un service de contrôleur principal de domaine Windows. 5 Remplissez le répertoire avec les données des utilisateurs, des groupes et des dossiers de départ. Ce processus peut impliquer l’importation des utilisateurs et des groupes, la configuration des points de partage, la configuration des préférences gérées, etc. 6 Configurez DHCP pour indiquer l’adresse du serveur de répertoires et que celui-ci offre ses services aux clients DHCP. Vos besoins particuliers peuvent modifier cette séquence. Ainsi, si vous souhaitez utiliser des services tels que VPN, NAT ou coupe-feu IP, leur installation devra être prise en compte lors de la configuration de DNS et de DHCP. Vérification de la disponibilité du matériel nécessaire pour le serveur Il est parfois préférable d’attendre que tout le matériel soit en place avant de commencer la configuration du serveur. Par exemple, évitez de configurer un serveur dont vous souhaitez stocker les données en miroir tant que tous les disques à configurer pour la mise en miroir ne sont pas disponibles. De même, il vaut mieux attendre que le sous-système RAID soit en place avant d’installer un serveur de dossiers de départ ou tout serveur qui l’utilisera.Chapitre 2 Planification 33 Limitation de la nécessité de déplacer des serveurs après la configuration Essayez de placer un serveur dans son emplacement réseau final (sous-réseau IP) avant de le configurer pour la première fois. Si vous souhaitez éviter tout accès non autorisé ou prématuré au cours du démarrage, vous pouvez configurer un coupe-feu afin de protéger le serveur lors de la finalisation de sa configuration. Si vous ne pouvez pas éviter de déplacer un serveur après la configuration initiale, vous devez commencer par modifier les réglages qui dépendent de l’emplacement réseau. Par exemple, l’adresse IP et le nom d’hôte du serveur, stockés dans les deux répertoires et fichiers de configuration du serveur, doivent être mis à jour. Lorsque vous déplacez un serveur, respectez les règles suivantes :  Limitez la durée pendant laquelle le serveur se trouve dans son emplacement temporaire, de façon à limiter la quantité d’informations à modifier.  Reportez la configuration des services qui dépendent des réglages réseau, jusqu’à ce que le serveur se trouve à son emplacement final. Ces services incluent la réplication Open Directory, les réglages Apache (tels que les domaines virtuels), DHCP et d’autres réglages d’infrastructure réseau dont dépendent d’autres ordinateurs.  Attendez avant d’importer les comptes d’utilisateur finaux. Limitez-vous aux comptes de test afin de minimiser les informations réseau propres à l’utilisateur (telles que l’emplacement du dossier de départ) devant être modifiées après le déplacement.  Une fois que vous avez déplacé le serveur, vous pouvez modifier son adresse IP dans la sous-fenêtre Réseau de Préférences Système (ou utiliser l’outil networksetup). Quelques minutes après avoir modifié l’adresse IP ou le nom du serveur, Mac OS X Server utilise automatiquement l’outil de ligne de commande changeip pour mettre à jour le nom, l’adresse, d’autres données stockées dans le domaine Open Directory, le domaine de répertoire local et les fichiers de configuration de service sur le serveur. Il est parfois nécessaire d’ajuster manuellement des configurations réseau comme les entrées DNS du serveur ou son mappage statique DHCP. Pour obtenir des informations sur l’outil changeip, consultez sa page man et la section Administration de ligne de commande.  Reconfigurez la politique de recherche des ordinateurs (tels que les ordinateurs des utilisateurs et les serveurs DHCP) qui ont été configurés pour utiliser le serveur dans son emplacement d’origine.34 Chapitre 2Planification Définition de politiques de sauvegarde et de restauration Tous les systèmes de stockage finissent par tomber en panne un jour. L’usure de l’équipement, un accident ou un sinistre informatique peuvent provoquer la perte de vos données et de vos réglages de configuration. Avant d’installer un système de données, vous devriez donc mettre en place un plan destiné à empêcher la perte de données ou à en réduire l’impact. Description des politiques de sauvegarde et de restauration De très nombreuses raisons expliquent l’existence d’une politique de sauvegarde et de restauration. Vos données sont sujettes à des pannes de matériel causées par l’usure, des catastrophes naturelles ou provoquées par l’homme ou simplement la corruption des données. Vous ne pouvez pas empêcher certaines pertes de données, mais un plan de sauvegarde et de restauration vous permettra au moins de récupérer vos données. Ces politiques de sauvegarde et de restauration doivent être adaptées à votre situation, vos besoins et votre propre détermination par rapport aux données à sauvegarder, à la fréquence des sauvegardes et au temps et aux efforts à investir pour les restaurer. Les sauvegardes constituent un investissement en temps, en argent, en efforts d’administration et, souvent, en performances. Cet investissement permet toutefois d’obtenir un bénéfice net en termes d’intégrité des données. Vous pouvez éviter d’importants coûts financiers, juridiques et organisationnels si vous disposez d’une politique de sauvegarde et de restauration bien planifiée et bien exécutée. Ces politiques spécifient les procédures et les pratiques adaptées à vos besoins en matière de restauration. Il existe en substance trois types de besoins en matière de restauration :  Restauration d’un fichier supprimé ou corrompu.  Reprise après une défaillance de disque (ou la suppression de fichiers due à une catastrophe).  Archivage de données à des fins organisationnelles (comptabilité, obligations juridiques, etc.). Chaque besoin de restauration détermine le type, la fréquence et la méthode à utiliser pour sauvegarder vos données. Il est recommandé de conserver des sauvegardes quotidiennes de tous les fichiers. Cela permet de restaurer rapidement les fichiers écrasés ou supprimés. Vous disposez ainsi pour chaque jour d’une granularité au niveau du fichier : tout fichier peut être restauré le lendemain.Chapitre 2 Planification 35 Il existe d’autres niveaux de granularité. Il se peut, par exemple, que vous deviez restaurer les données de toute une journée à la fois. Dans ce cas, il y a granularité au niveau de l’instantané quotidien : elle vous permet de restaurer l’ensemble des données de votre organisation telles qu’elles étaient un jour donné. La gestion de tels instantanés quotidiens n’est toutefois pas toujours pratique. Vous pouvez alors décider de conserver un ensemble d’instantanés mobiles donnant une granularité au niveau de l’instantané quotidien uniquement pour le mois écoulé. De même, il est possible de se contenter de niveaux de restauration trimestriels, semestriels, etc. Il est également parfois nécessaire de disposer d’un stockage à des fins d’archivage, c’est- à-dire de données stockées accessibles uniquement dans des circonstances exceptionnelles. Le stockage à des fins d’archivage peut être permanent, ce qui signifie que les données sont conservées pour une durée illimitée. Votre organisation doit répondre aux questions suivantes :  Que doit-on sauvegarder ?  Quelle est la granularité requise pour les besoins de restauration ?  À quelle fréquence faut-il sauvegarder les données ?  Quelle doit être l’accessibilité des données (combien de temps prendra leur restauration) ?  Quels sont les processus mis en place pour récupérer après un sinistre informatique durant une procédure de sauvegarde ou de restauration ? Les réponses à ces questions font partie intégrante de votre politique de sauvegarde et de restauration. Description des types de sauvegarde Il existe de nombreux types de fichiers de sauvegarde (ils sont décrits plus loin) et, au sein de chaque type, de nombreux formats et méthodes différents. Chaque type de sauvegarde est utilisé à des fins différentes et implique des considérations différentes.  Images complètes : les images complètes sont des copies de données effectuées avec une précision de l’ordre de l’octet. Elles capturent l’état complet du disque dur jusqu’à la plus petite unité de stockage. Ces sauvegardes permettent aussi de conserver des copies du système de fichiers d’un disque et des portions inutilisées ou effacées du disque en question. Elles peuvent être utilisées pour réaliser une analyse détaillée des données du disque source. Une telle fidélité rend souvent la restauration de fichiers individuels plus difficile. Ils sont souvent compressés et ne sont décompressés que pour restaurer l’ensemble des fichiers.36 Chapitre 2Planification  Copies complètes au niveau du fichier : ces copies sont des fichiers de sauvegarde conservés en tant que doubles. Elles ne capturent pas les détails les plus fins sur les portions inutilisées du disque source, mais elles fournissent un enregistrement complet des fichiers tels qu’ils étaient au moment de la sauvegarde. Si l’un des fichiers est modifié, la prochaine sauvegarde complète au niveau du fichier effectue une copie de l’ensemble des données en plus du fichier qui a été modifié.  Sauvegardes incrémentales : les sauvegardes incrémentales commencent par des copies au niveau du fichier, mais ne copient que les fichiers qui ont été modifiés depuis la dernière sauvegarde. Cela offre l’avantage d’économiser l’espace de stockage et de capturer toutes les modifications en vigueur au moment où elles sont apportées.  Instantanés : un instantané est une copie des données telles qu’elles étaient dans le passé. Les instantanés peuvent être réalisés à partir de collections de fichiers ou, plus souvent, à partir de liens vers d’autres fichiers au sein d’un ensemble de fichiers de sauvegarde. Ils s’avèrent pratiques pour réaliser des sauvegardes de données volatiles (données souvent modifiées, telles que les bases de données en cours d’utilisation ou les serveurs de messagerie qui envoient et reçoivent des messages électroniques). Ces types de sauvegarde ne s’excluent pas mutuellement ; ils ne représentent que des approches différentes de la copie de données à des fins de sauvegarde. Ainsi, Time Machine de Mac OS X utilise une copie complète au niveau du fichier comme sauvegarde de base, puis des sauvegardes incrémentales pour créer des instantanés des données d’un ordinateur un jour donné. Description de la planification de sauvegardes La sauvegarde de fichiers demande du temps et des ressources. Avant de décider d’un plan de sauvegarde, posez-vous les questions suivantes :  Quelle est la quantité de données à sauvegarder ?  Combien de temps la sauvegarde va-t-elle durer ?  Quand la sauvegarde doit-elle avoir lieu ?  Quelles seront les autres tâches exécutées par l’ordinateur pendant ce temps ?  Quel type d’allocation de ressources sera nécessaire ? Par exemple : quelle est la bande passante réseau nécessaire pour supporter la charge ? Quel est l’espace disque nécessaire sur les lecteurs de sauvegarde ou combien de bandes de sauvegarde seront-elles nécessaires ? Quelle sera la charge sur les ressources informatiques pendant la sauvegarde ? Quels sont les besoins en personnel pour la sauvegarde ? Vous verrez que les différents types de sauvegarde requièrent des réponses différentes à ces questions. Par exemple, une copie de fichiers incrémentale peut prendre moins de temps et copier moins de données qu’une copie de fichiers complète (parce que seule une partie de l’ensemble de données a été modifiée depuis la dernière sauvegarde).Chapitre 2 Planification 37 Une sauvegarde incrémentale peut, par conséquent, être planifiée pendant une période d’utilisation normale, car l’impact sur les utilisateurs et le système peut être très faible. Une sauvegarde image complète, par contre, peut avoir un impact très important sur les utilisateurs et le système si elle est réalisée en période d’utilisation normale. Choix d’un schéma de rotation de sauvegarde Les schémas de rotation de sauvegarde déterminent la méthode la plus efficace de sauvegarde de données sur une période donnée. Comme exemple de schéma de rotation, on pourrait citer le schéma de rotation grand-père, père, fils. Dans ce schéma, vous pouvez réaliser des sauvegardes incrémentales quotidiennes (fils), des sauvegardes complè- tes hebdomadaires (père) et des sauvegardes complètes mensuelles (grand-père). Dans le schéma de rotation grand-père - père - fils, le nombre d’ensembles de données que vous utilisez par sauvegarde détermine la quantité d’historique de sauvegarde dont vous disposez. Par exemple,si vous utilisez huit ensembles de sauvegarde pour les sauvegardes quotidiennes, vous avez huit jours d’historique de sauvegarde hebdomadaire étant donné que vous recyclez les ensembles de données tous les huit jours. Description des restaurations Une politique ou une solution de sauvegarde ne peut être complète sans un plan de restauration des données. Les pratiques et les procédures adoptées peuvent varier en fonction de ce que l’on restaure. Votre organisation peut, par exemple, avoir des tolé- rances spécifiques concernant la durée de non-fonctionnement des systèmes critiques pendant la restauration des données. Les questions suivantes doivent être posées :  Combien de temps la restauration des données va-t-elle durer à chaque niveau de granularité ? Par exemple, combien de temps prendra la restauration d’un fichier ou d’un message électronique supprimé ? Combien de temps prendra la restauration d’une image complète de disque dur ? Combien de temps faudrait-il pour rétablir l’état de l’ensemble du réseau il y a trois jours plus ?  Quel est le processus le plus efficace pour chaque type de restauration ? Par exemple, pourquoi restaurer un état antérieur de la totalité du serveur pour un seul fichier ?  Quelle est la quantité de travail demandée à l’administrateur pour chaque type de restauration ? Quel est le niveau d’automatisation à atteindre pour exploiter au mieux le temps de l’administrateur ?  Dans quelles circonstances les restaurations sont elles lancées ? Quels sont les critè- res d’exécution d’une restauration ? (Qui, quoi et pourquoi)38 Chapitre 2Planification Les pratiques et les procédures de restauration doivent être testées régulièrement. Un ensemble de données de sauvegarde qui n’a pas prouvé sa capacité de restauration correcte ne peut pas être considéré comme une sauvegarde fiable. L’intégrité d’une sauvegarde se mesure à sa fidélité de restauration. Définition d’un mécanisme de vérification de sauvegarde Une sauvegarde n’a pas d’intérêt si vous ne pouvez pas l’utiliser pour restaurer des données perdues. Nous vous conseillons d’avoir une stratégie de restaurations test régulières. Certains fournisseurs de logiciels de tierces parties gèrent cette fonctionnalité. Si vous utilisez toutefois vos propres solutions de sauvegarde, vous devez développer les procédures de test nécessaires. Autres considérations en matière de politique de sauvegarde Tenez compte des points supplémentaires suivants pour votre politique de sauvegarde :  Faut-il utiliser la compression de fichiers ? Si oui, de quel type ?  Y a-t-il des sauvegardes et des archives sur site et hors site ?  Existe-t-il des considérations particulières quant au type de données stockées ? En ce qui concerne les fichiers Mac OS X, par exemple : l’utilitaire de sauvegarde peut-il préserver les métadonnées des fichiers, les branches de ressources et les privilèges des listes de contrôle d’accès (ACL) ? Sélection du type de support de sauvegarde Plusieurs facteurs peuvent vous aider à déterminer le type de support à utiliser :  Coût. Utilisez le coût par giga-octet pour déterminer le support à utiliser. Ainsi, si vos besoins en matière de stockage sont limités, vous pouvez justifier un coût par gigaoctet plus élevé, mais s’il vous faut un espace de stockage important, le coût devient un facteur important dans votre décision. L’une des solutions de stockage les plus économiques est celle offerte par les réseaux redondants de disques indépendants (RAID). Cette solution vous garantit non seulement un faible coût par giga-octet, mais ne nécessite en outre aucune des manipulations spéciales requises par d’autres types de stockage économiques tels que les bandes magnétiques.  Capacité. Si vous ne sauvegardez qu’une petite quantité de données, un support de stockage de faible capacité fera l’affaire. Mais si vous avez besoin de sauvegarder de grandes quantités de données, utilisez des périphériques à haute capacité tels qu’un réseau RAID.  Vitesse. Lorsque votre objectif est de rendre votre serveur disponible la majorité du temps, la vitesse de restauration devient un facteur déterminant pour le choix du support. Les systèmes de sauvegarde sur bande magnétique peuvent être très économiques, mais ils sont nettement moins rapides que les réseaux RAID.Chapitre 2 Planification 39  Fiabilité. Une rotation réussie est l’objectif de toute bonne stratégie de sauvegarde. Si vous ne pouvez pas restaurer les données perdues, les efforts et l’argent que vous aurez investis dans la sauvegarde des données seront gâchés, et la disponibilité de vos services sera compromise. Pour éviter la perte de données, il est donc essentiel que vous choisissiez un support très fiable. Les bandes magnétiques sont en ce sens plus sûres que les disques durs car elles ne contiennent pas de pièces mobiles.  Durée de vie des archives. Vous ne pouvez jamais savoir quand vous aurez besoin des données sauvegardées. C’est pourquoi vous devez opter pour un support conçu pour durer longtemps. Certains facteurs, tels que la poussière et l’humidité, peuvent endommager les supports de stockage et entraîner la perte de données. Outils de ligne de commande de restauration et de sauvegarde Mac OS X Server fournit plusieurs outils de ligne de commande de sauvegarde et restauration de données :  rsync. Utilisez cette commande pour synchroniser les copies de sauvegarde de vos données avec les originaux. L’outil rsync ne copie que les fichiers modifiés.  ditto. Utilisez cette commande pour exécuter des sauvegardes totales.  asr. Utilisez cette commande pour sauvegarder et restaurer un volume entier. Pour en savoir plus sur ces commandes, consultez la section Administration de ligne de commande. La fonctionnalité Time Machine de Leopard n’est pas recommandée pour la sauvegarde de fichiers de serveur ni la sauvegarde système de serveurs en configuration avancée. Remarque :la commande launchdctl permet d’automatiser la sauvegarde des données à l’aide des commandes sus-mentionnées. Pour en savoir plus sur l’utilisation de launchd, consultez la section Administration de ligne de commande.3 41 3 Outils d’administration Administrez Mac OS X Server au moyen d’applications graphiques ou d’utilitaires de ligne de commande. Les outils de Mac OS X Server permettent différentes approches d’administration de serveur :  Vous pouvez administrer les serveurs en local (directement sur le serveur utilisé) ou à distance à partir d’un autre serveur, d’un ordinateur Mac OS X ou d’un poste de travail UNIX.  Les applications graphiques, comme Admin Serveur et Gestionnaire de groupe de travail, facilitent l’administration du serveur et sécurisent les communications pour l’administration du serveur à distance. Vous pouvez utiliser ces applications sur un ordinateur Mac OS X Server (elles se trouvent dans le répertoire /Applications/Server/) ou sur un ordinateur Mac OS X sur lequel vous les avez installées en suivant les instructions de la section « Configuration d’un ordinateur administrateur » à la page 155.  Des utilitaires de ligne de commande sont accessibles pour les administrateurs qui préfèrent administrer le serveur à l’aide de commandes. Pour l’administration du serveur à distance, vous pouvez soumettre les commandes dans une session SSH (Secure Shell). Vous pouvez taper les commandes sur les ordinateurs Mac OS X Server et Mac OS X au moyen de l’application Terminal, qui se trouve dans le dossier /Applications/Utilitaires/. Vous pouvez également les exécuter à partir d’un ordinateur non Macintosh, comme décrit dans la rubrique « Administration au moyen d’un ordinateur non Mac OS X » à la page 155.42 Chapitre 3Outils d’administration Admin Serveur L’application Admin Serveur vous permet d’administrer des services sur un ou plusieurs ordinateurs Mac OS X Server. Admin Serveur vous permet également de spécifier des réglages prenant en charge plusieurs services, tels que la création et la gestion de certificats SSL, la gestion du partage de fichiers, ainsi que la définition des utilisateurs et groupes autorisés à accéder aux services. Les informations sur l’utilisation d’Admin Serveur pour gérer les services apparaissent dans les guides d’administration individuels et dans les informations à l’écran, accessibles via le menu Aide d’Admin Serveur. Les informations sur l’utilisation d’Admin Serveur pour la gestion des services figurent dans les différents guides d’administration et dans les sections suivantes. Ouverture de l’application Admin Serveur et authentification Admin Serveur est installé dans le dossier /Applications/Server/, à partir duquel vous pouvez l’ouvrir dans le Finder. Vous pouvez également ouvrir Admin Serveur en cliquant sur l’icône correspondante dans le Dock ou sur le bouton Admin Serveur dans la barre d’outils du Gestionnaire de groupe de travail. Pour sélectionner un serveur à utiliser, tapez son adresse IP ou son nom DNS dans la zone de dialogue d’ouverture de session ou cliquez sur Serveurs disponibles pour le choisir dans une liste de serveurs. Tapez le nom d’utilisateur et le mot de passe d’un administrateur de serveur, puis cliquez sur Se connecter.Chapitre 3 Outils d’administration 43 Interface d’Admin Serveur L’interface d’Admin Serveur est décrite ci-après. Chaque élément est expliqué dans le tableau ci-dessous. A B C D O K L M N E G F H I J44 Chapitre 3Outils d’administration A Liste de serveurs : contient les serveurs, les groupes, les groupes intelligents et, si vous le souhaitez, les services administrés pour chaque serveur. Sélectionnez un groupe pour afficher un résumé de l’état de tous les ordinateurs qui le composent. Sélectionnez un ordinateur pour afficher une vue d’ensemble et les réglages de serveur. Sélectionnez le service d’un serveur pour contrôler et configurer ce service. B Boutons contextuels : affichent les informations et les sous-fenêtres de configuration disponibles. C Barre d’outils : affiche les boutons contextuels disponibles. Si un bouton est grisé ou inactif, cela signifie que vous ne possédez pas les autorisations administratives pour y accéder. D Zone de travail principale : affiche l’état et les options de configuration. Ces informations sont différentes en fonction du service et du bouton contextuel sélectionné. E Serveurs disponibles : affiche l’explorateur de réseau local que vous pouvez utiliser pour découvrir des serveurs à ajouter à votre liste de serveurs. F Tous les serveurs : affiche tous les ordinateurs qui ont été ajoutés à Admin Serveur, quel que soit leur état. G Serveur : affiche le nom d’hôte du serveur géré. Sélectionnez-le pour afficher un résumé de l’état du matériel, du système d’exploitation, des services actifs et du système. H Service : affiche le service administré pour un serveur donné. Sélectionnez-le pour afficher l’état du service, des historiques et des options de configuration. I Groupe : affiche un groupe de serveurs créés par un administrateur. Sélectionnez-le pour afficher un résumé de l’état de tous les ordinateurs du groupe. Pour en savoir plus, consultez la section « Regroupement manuel de serveurs » à la page 158. J Groupe intelligent : affiche un groupe automatique composés de serveurs répondant à des critères de sélection prédéterminés. Pour en savoir plus, consultez la section « Regroupement de serveurs à l’aide de groupes intelligents » à la page 159. K Bouton Ajouter : affiche un menu local contenant des éléments que vous pouvez ajouter à la liste de serveurs :serveurs, groupes et groupes intelligents. L Bouton Action : affiche un menu local contenant les actions possibles pour le service ou le serveur sélectionné, comme déconnecter un serveur, partager l’écran du serveur, etc. M Bouton Réactualiser : permet d’envoyer une demande d’état à tous les ordinateurs qui figurent dans la liste de serveurs. N Bouton de démarrage/d’arrêt de service : ce bouton permet de démarrer ou d’arrêter le service sélectionné. O Barre d’action : contient des boutons et des menus locaux comportant des commandes permettant d’agir sur les serveurs ou les services sélectionnés dans la liste de serveurs. Utilisez ces commandes pour enregistrer ou annuler des modifications de réglages. Contient le bouton Ajouter, le bouton Action, le bouton de démarrage/d’arrêt de service, ainsi que les boutons Revenir et Enregistrer.Chapitre 3 Outils d’administration 45 Personnalisation de l’environnement d’Admin Serveur Pour contrôler l’environnement d’Admin Serveur, vous avez le choix entre les options ci-après.  Pour contrôler la liste des services à administrer, consultez la section « Ajout et suppression de services dans Admin Serveur » à la page 164.  Pour contrôler l’apparence des listes d’Admin Serveur, la fréquence d’actualisation et d’autres comportements, choisissez Admin Serveur > Préférences. Assistant du serveur Assistant du serveur est utilisé pour les tâches suivantes :  Les installations du serveur à distance.  La configuration initiale d’un serveur local.  La configuration initiale de serveurs distants.  La préparation de données pour la configuration automatisée d’une configuration avancée. La page de démarrage d’Assistant du serveur est illustrée ci-dessous. L’Assistant du serveur se trouve dans /Applications/Server/. Pour obtenir des informations sur l’utilisation d’Assistant du serveur, utilisez ses boutons Aide ou consultez le chapitre 6, « Configuration initiale du serveur, » à la page 117.46 Chapitre 3Outils d’administration Gestionnaire de groupe de travail Mac OS X Server comprend Gestionnaire de groupe de travail, un outil de gestion des utilisateurs que vous pouvez utiliser pour créer et gérer des comptes d’utilisateur, de groupe d’utilisateurs, d’ordinateur et de groupe d’ordinateurs. Vous pouvez aussi l’utiliser pour accéder à l’inspecteur, une fonctionnalité avancée qui permet de modifier des entrées Open Directory. Le Gestionnaire de groupe de travail est installé dans le dossier /Applications/Server/, à partir duquel vous pouvez l’ouvrir dans le Finder. Il est également possible d’ouvrir Gestionnaire de groupe de travail en cliquant sur Présentation > Gestionnaire de groupe de travail, dans la barre des menus d’Admin Serveur. Gestionnaire de groupe de travail fonctionne en association étroite avec un domaine de répertoire. Les domaines de répertoire sont similaires à des bases de données et sont optimisées pour le stockage d’informations de compte et le traitement de l’authentification. Les informations relatives au Gestionnaire de groupe de travail sont disponibles dans de nombreux documents :  Gestion des utilisateurs explique comment utiliser Gestionnaire de groupe de travail pour la gestion des comptes et des préférences. Ce guide explique aussi comment importer et exporter des comptes.  Administration d’Open Directory décrit comment utiliser l’inspecteur. Une fois que vous avez ouvert Gestionnaire de groupe de travail, vous pouvez ouvrir une fenêtre Gestionnaire de groupe de travail en choisissant Serveur > Nouvelle fenê- tre Gestionnaire de groupe de travail. Important :lorsque vous vous connectez à un serveur ou que vous vous authentifiez dans Gestionnaire de groupe de travail, assurez-vous que l’emploi des majuscules dans le nom que vous tapez respecte l’emploi des majuscules dans le nom d’administrateur de serveur ou de compte d’administrateur de domaine utilisé.Chapitre 3 Outils d’administration 47 Interface de Gestionnaire de groupe de travail L’interface de Gestionnaire de groupe de travail est décrite ci-après. Chaque élément est expliqué dans le tableau qui suit. A B C E D F G H I J48 Chapitre 3Outils d’administration Personnalisation de l’environnement du Gestionnaire de groupe de travail Il existe plusieurs moyens d’adapter l’environnement du Gestionnaire de groupe de travail :  Pour accéder aux préférences de Gestionnaire de groupe de travail, choisissez Gestionnaire de groupe de travail > Préférences. Vous pouvez configurer des options telles que la résolution des noms DNS, l’activation de l’inspecteur, l’obligation de saisir une requête de recherche pour afficher la liste des enregistrements et le nombre maximum d’enregistrements à afficher.  Pour personnaliser la barre d’outils, choisissez Affichage > Personnaliser la barre d’outils.  Pour inclure des utilisateurs et groupes prédéfinis dans les listes d’utilisateurs et de groupes, choisissez Affichage > Afficher les utilisateurs et groupes du système.  Pour ouvrir Admin Serveur, cliquez sur le bouton de barre d’outils Admin Serveur. A Admin Serveur : cliquez sur ce bouton pour ouvrir l’application Admin Serveur. B Boutons de réglages : cliquez sur Comptes pour afficher ou modifier des réglages de compte ou sur Préférences pour afficher ou modifier des réglages de préférences. C Barre d’outils : cliquez sur les icônes pour exécuter les commandes en question. La barre d’outils est personnalisable. D Chemin d’accès au répertoire : utilisez ce chemin pour voir le répertoire que vous modifiez. Cliquez sur l’icône représentant un globe pour sélectionner un domaine de répertoire. Cliquez sur le cadenas pour vous authentifier. E Onglets de type d’enregistrement : utilisez ces onglets pour afficher les enregistrements des utilisateurs, des groupes, des ordinateurs ou tous les enregistrements. L’onglet Inspecteur apparaît également si l’inspecteur est activé. F Filtres de texte : utilisez-les pour filtrer les noms d’enregistrement. G Liste des enregistrements : utilisez cette liste pour afficher tous les noms d’enregistrement correspondant au type d’enregistrement sélectionné. H Barre de sélection : utilisez cette barre pour voir le nombre d’enregistrements trouvés et sélectionnés. I Zone de travail principale : utilisez-la pour travailler sur les options de compte, de préférences et de configuration. La zone de travail principale varie en fonction du type d’utilisateur, de groupe ou de préférences. J Zone d’action : utilisez cette zone pour enregistrer et annuler des modifications, ainsi que pour appliquer des configurations prédéfinies aux enregistrements sélectionnés.Chapitre 3 Outils d’administration 49 Répertoire Répertoire permet aux utilisateurs d’accéder à des informations partagées sur les personnes, les groupes, les emplacements et les ressources de l’organisation. Ils peuvent utiliser Répertoire pour partager des contacts, ajouter des groupes, configurer des services de groupe et gérer les coordonnées de leurs contacts. Lorsqu’un utilisateur consulte les informations d’une autre personne, il n’accède pas seulement à ses coordonnées. Si la personne a fourni une photo, l’utilisateur peut voir à quoi il ou elle ressemble. Il peut voir le superviseur et les supérieurs hiérarchiques directs de la personne. Il a accès aux groupes publics auxquels la personne appartient. Il peut également imprimer une carte sur laquelle est indiqué le lieu où se trouve cette personne. Répertoire exploite plusieurs applications Mac OS X. Les utilisateurs peuvent créer des contacts partagés à partir d’entrées de Carnet d’adresses, cliquer sur des adresses électroniques pour envoyer des messages à l’aide de Mail ou charger des services web de groupe dans Safari.50 Chapitre 3Outils d’administration Interface de Répertoire L’interface de Répertoire est décrite ci-après. Chaque élément est expliqué dans le tableau ci-dessous. A Champ Rechercher : utilisez ce champ pour faire des recherches parmi les différents types d’enregistrement. Les nombres qui apparaissent à gauche des boutons de type d’enregistrement indiquent le nombre d’enregistrements répondant aux critères de recherche. B Boutons de type d’enregistrement : cliquez sur ces boutons pour afficher les types d’enregistrement de répertoire correspondants. C Liste des résultats : utilisez cette liste pour afficher les résultats de la recherche d’enregistrements. D Enregistrement : affiche l’enregistrement sélectionné dans la liste de résultats. E Bouton Ajouter : utilisez ce bouton pour ajouter un enregistrement de personne, de groupe, d’emplacement ou de ressource. F Bouton Modifier : cliquez sur ce bouton pour modifier l’enregistrement sélectionné. A B C E D FChapitre 3 Outils d’administration 51 Utilitaire d’annuaire Utilitaire d’annuaire est la principale application permettant de configurer les connexions d’un ordinateur Mac OS X à Open Directory, Active Directory et à d’autres domaines de répertoire et de définir la politique de recherche et les protocoles de détection de services de l’ordinateur. L’interface d’Utilitaire d’annuaire est décrite ci-après avec des options de configuration avancée. Utilitaire d’annuaire est installé sur les ordinateurs Mac OS X Server et Mac OS X dans /Applications/Utilitaires/. Pour obtenir des informations sur la façon d’utiliser Utilitaire d’annuaire, consultez la section Administration d’Open Directory ou l’Aide Utilitaire d’annuaire. Contrôle de serveur Utilisez Contrôle de serveur pour surveiller le matériel Xserve local ou distant et pour déclencher des notifications par courrier électronique lorsque les circonstances l’imposent. Contrôle de serveur fournit des informations sur le système d’exploitation, les lecteurs de disque, l’alimentation, la température du boîtier et du processeur, les ventilateurs, la sécurité et le réseau.52 Chapitre 3Outils d’administration L’interface de Contrôle de serveur est illustrée ci-dessous. Contrôle de serveur est installé dans le répertoire /Applications/Server/ lorsque vous installez votre serveur ou configurez un ordinateur administrateur. Pour ouvrir Contrôle de serveur, cliquez sur l’icône de l’application dans le Dock ou double-cliquez sur son icône dans le répertoire /Applications/Server/. Dans Admin Serveur, choisissez Présentation > Contrôle de serveur. Pour identifier le serveur Xserve à surveiller, cliquez sur Ajouter un serveur, identifiez le serveur et tapez le nom d’utilisateur et le mot de passe d’un administrateur du serveur. Pour spécifier la fréquence d’actualisation des données, utilisez le menu local « Mettre à jour tous les » de la sous-fenêtre Infos. Pour gérer différentes listes de serveurs Xserve à contrôler, choisissez Fichier > Exporter ou Fichier > Importer. Pour regrouper toutes les listes en une seule, choisissez Fichier > Fusionner. Les témoins LED du système figurant sur les parties avant et arrière d’un serveur Xserve s’allument lorsque le service est requis. Utilisez Contrôle de serveur pour savoir plus exactement pourquoi les témoins s’allument. Vous pouvez également allumer les témoins d’un serveur Xserve afin de l’identifier dans une baie de serveurs. Pour cela, sélectionnez le serveur et cliquez sur Témoin système dans la sous-fenêtre Infos. Pour configurer l’application Contrôle de serveur de sorte qu’elle vous avertisse par courrier électronique de tout changement de l’état du serveur Xserve, cliquez sur Modifier les notifications. Pour chaque serveur, configurez les conditions dont vous souhaitez être averti. Le message électronique peut provenir de Contrôle de serveur ou du serveur lui-même.Chapitre 3 Outils d’administration 53 Contrôle de serveur conserve des historiques de l’activité sur chaque serveur Xserve. Pour afficher un journal, cliquez sur Afficher l’historique. L’historique indique par exemple le nombre de fois où Contrôle de serveur a tenté de contacter le serveur et quelles connexions ont réussi. Les historiques indiquent également les modifications de l’état du serveur. Ces historiques n’incluent pas l’activité système sur le serveur. Pour plus d’informations, reportez-vous à l’aide de Contrôle de serveur. Gestion des images système Vous pouvez utiliser les applications Mac OS X Server suivantes pour configurer et gérer des images NetBoot et NetInstall :  L’Utilitaire d’images de système permet de créer des images disque Mac OS X. Il est installé avec le logiciel Mac OS X Server dans le dossier /Applications/Server/.  Admin Serveur permet d’activer et de configurer le service NetBoot et les services connexes. Il est installé avec le logiciel Mac OS X Server dans le dossier /Applications/Server/.  PackageMaker permet de créer des fichiers d’installation que vous pouvez utiliser pour ajouter des logiciels à des images disque. Utilisez Xcode Tools pour accéder à PackageMaker. Vous trouverez un programme d’installation d’Xcode Tools sur le DVD d’installation du serveur, dans le dossier Other Installs.  Property List Editor permet de modifier des listes de propriétés telles que NBImageInfo.plist. Vous pouvez accéder à Property List Editor à partir d’Xcode Tools. L’interface d’Utilitaire d’images de système est illustrée ci-dessous.54 Chapitre 3Outils d’administration Administration de Mise à jour de logiciels et d’Imagerie système contient des instructions sur l’utilisation de toutes ces applications. Gestion de l’enchaînement de données Administration de QuickTime Streaming et Broadcasting contient des instructions sur l’administration de QuickTime Streaming Server (QTSS) à l’aide d’Admin Serveur. Administration de QuickTime Streaming et Broadcasting décrit aussi QTSS Publisher, une application facile à utiliser pour gérer des données et les préparer pour la diffusion en continu ou le téléchargement progressif. Utilitaires de ligne de commande Si vous êtes administrateur et préférez travailler dans un environnement de ligne de commande, Mac OS X Server s’y prête aisément. À partir de l’application Terminal dans Mac OS X, vous pouvez utiliser les shells UNIX intégrés (sh, csh, tsh, zsh, bash) afin d’utiliser les outils d’installation et de configuration du logiciel serveur, ainsi que configurer et contrôler des services. Vous pouvez également soumettre des commandes à partir d’un ordinateur non Mac OS X. Lorsque vous administrez des serveurs distants, vous travaillez de façon sécurisée dans une session SSH (Secure Shell). Administration de ligne de commande décrit Terminal, SSH, les commandes d’administration de serveur et les fichiers de configuration.Chapitre 3 Outils d’administration 55 Xgrid Admin Vous pouvez utiliser Xgrid Admin pour surveiller des contrôleurs, grilles et travaux Xgrid locaux ou distants. Vous pouvez ajouter des contrôleurs et des agents afin de surveiller et de spécifier les agents qui n’ont pas encore rejoint de grille. Vous pouvez également utiliser Xgrid Admin pour interrompre, arrêter ou redémarrer des travaux. L’interface d’Utilitaire d’images de système est illustrée ci-dessous. Xgrid Admin est installé dans /Applications/Server/ lors de l’installation du serveur ou de la configuration d’un ordinateur administrateur. Pour ouvrir Xgrid Admin, double-cliquez sur l’icône Xgrid Admin dans /Applications/Server/. Pour plus d’informations, reportez-vous à l’aide de Xgrid Admin.56 Chapitre 3Outils d’administration Apple Remote Desktop Apple Remote Desktop (ARD), que vous pouvez acheter séparément, est une application de gestion d’ordinateurs en réseau, facile à utiliser. Elle simplifie la configuration, la surveillance et la maintenance des ordinateurs distants et vous permet d’interagir avec les utilisateurs. L’interface d’Apple Remote Desktop est illustrée ci-dessous. ARD permet de contrôler et d’observer des écrans d’ordinateur, de configurer des ordinateurs et d’installer des logiciels. Vous pouvez entrer en communication avec un ou plusieurs utilisateurs à la fois pour leur fournir une aide ou une assistance. Vous pouvez effectuer des opérations élémentaires de dépannage des problèmes de réseau. Vous pouvez également générer des rapports d’audit des caractéristiques du matériel et des logiciels installés. Vous pouvez également utiliser ARD pour contrôler l’installation sur un ordinateur que vous démarrez à partir d’un disque d’installation de Mac OS X Server 10.5 ou ultérieur, car cette application inclut une fonctionnalité de visualiseur VNC. Pour en savoir plus sur Apple Remote Desktop, visitez www.apple.com/fr/remotedesktop/.4 57 4 Sécurité Des politiques et des pratiques de sécurité vigilantes peuvent réduire le risque en matière d’intégrité du système et de confidentialité des données. Mac OS X Server est bâti sur des fondations UNIX robustes qui intègrent à leur architecture de nombreuses fonctionnalités de sécurité. Des technologies de pointe basées sur des normes standard protègent votre serveur, votre réseau et vos données. Ces technologies comprennent notamment un coupe-feu intégré avec analyse de paquets à état, des services puissants de chiffrement et d’authentification, des architectures de sécurité des données et la prise en charge des listes de contrôle d’accès (ACL). La lecture de ce chapitre peut servir de base à votre réflexion. Il ne constitue pas un guide de planification rigoureux et ne contient pas les détails dont vous avez besoin pour déterminer s’il faut mettre en place une politique de sécurité particulière et en évaluer les besoins en ressources. Considérez plutôt ce chapitre comme une occasion de planifier et d’établir les politiques de sécurité nécessaires dans votre environnement. Vous trouverez plus d’informations dans Configuration de la sécurité de Mac OS X Server et Configuration de la sécurité de Mac OS X. À propos de la sécurité physique La sécurité physique d’un serveur est un aspect souvent négligé de la sécurité des ordinateurs. N’oubliez pas que toute personne qui a accès physiquement à un ordinateur (par exemple, qui peut en ouvrir le boîtier ou y connecter un clavier, etc.) a un contrôle presque total sur l’ordinateur et les données qui s’y trouvent. Une personne ayant accès physiquement à un ordinateur peut ainsi :  redémarrer l’ordinateur à partir d’un autre disque dur externe en contournant tous les mécanismes d’ouverture de session existants ;  retirer les disques durs et utiliser des techniques de récupération de données ;  installer des enregistreurs de frappe matériels sur le clavier d’administration local ;58 Chapitre 4Sécurité Vous devez déterminer, au sein de votre propre organisation et de votre environnement, quelles sont les précautions nécessaires, efficaces et rentables pour protéger la valeur de vos données et de votre réseau. Si vous faites partie d’une organisation où la salle des serveurs est protégée par des barrières allant du sol au plafond, par exemple, pensez à sécuriser également les conduites d’air qui mènent à la salle. D’autres organisations opteront pour un simple rack à serveurs ou un mot de passe Open Firmware. À propos de la sécurité du réseau La sécurité du réseau est aussi importante pour l’intégrité des données que la sécurité physique. Bien que la plupart des gens comprennent immédiatement la nécessité de mettre sous clé un serveur coûteux, ils ne voient pas toujours de manière évidente la nécessité de restreindre l’accès aux données qui se trouvent sur ce serveur. Les sections qui suivent contiennent des suggestions, des techniques et des technologies pour vous aider à sécuriser votre réseau. Coupe-feu et filtres de paquets De la même façon qu’une cloison pare-feu agit comme une barrière physique qui protège de la chaleur et des dommages provoqués par la chaleur au sein d’un bâtiment ou dans un véhicule, un coupe-feu réseau agit comme une barrière pour protéger vos ressources réseau en empêchant le piratage de données par des sources externes. Le service de coupe-feu de Mac OS X Server est un logiciel qui protège les applications réseau exécutées sur le serveur Mac OS X Server. L’activation du service de coupe-feu est similaire à l’érection d’un mur destiné à limiter l’accès. Le service de coupe-feu analyse les paquets IP entrants et les rejette ou les accepte sur la base d’un ensemble de règles que vous avez créé. Vous pouvez restreindre l’accès à tout service IP exécuté par le serveur ou personnaliser des règles pour tous les clients entrants ou pour une plage d’adresses IP clientes. Les services, tels que les services web et FTP, sont identifiés sur le serveur par un numéro de port TCP (Transmission Control Protocol) ou UDP (User Datagram Protocol). Lorsqu’un ordinateur tente de se connecter à un service, le service de coupe-feu analyse la liste des règles afin de retrouver le numéro de port correspondant. Lorsqu’une règle s’applique à la transmission de paquets de la connexion, l’action spécifiée dans la règle (par exemple, autoriser ou refuser) est exécutée. La nécessité d’appliquer des règles supplémentaires peut ensuite être évaluée en fonction de l’action.Chapitre 4 Sécurité 59 Zone démilitarisée réseau Dans le domaine de la sécurité de réseau informatique, une zone démilitarisée (ZD) est une zone du réseau (un sous-réseau) qui se trouve entre le réseau interne d’une organisation et un réseau externe comme Internet. Les connexions du réseau externe et du réseau interne vers la zone démilitarisée sont autorisées, tandis que les connexions de la zone démilitarisée sont limitées au réseau externe et ne sont pas autorisées vers le réseau interne. Cela permet à une organisation de fournir des services au réseau externe tout en protégeant le réseau interne contre d’éventuelles menaces provenant d’un hôte se trouvant dans la zone démilitarisée. Toute personne qui compromet un hôte de la zone démilitarisée ne pourra pas se connecter au réseau interne. La zone démilitarisée est souvent utilisée pour connecter des serveurs qui doivent être accessibles à partir du réseau externe ou d’Internet, comme les serveurs de courrier, les serveurs web et les serveurs DNS. Les connexions à partir du réseau externe vers la zone démilitarisée sont souvent contrôlées à l’aide de coupe-feu et de la conversion des adresses. Une zone démilitarisée peut être créée en configurant un coupe-feu : chaque réseau est connecté à un port différent du coupe-feu. C’est ce que l’on appelle une configuration de coupe-feu à trois jambes. Cette configuration a l’avantage de la simplicité, mais la faiblesse d’un point de défaillance unique. Une autre approche consiste à utiliser deux coupe-feu, une zone démilitarisée connectée au deux coupe-feu entre les deux, et à connecter l’un des coupe-feu au réseau interne et l’autre au réseau externe. Cela offre en outre l’avantage d’empêcher des erreurs de configuration accidentelles autorisant l’accès du réseau externe au réseau interne. On appelle ce type de configuration un coupe-feu avec sous-réseau protégé. Réseaux locaux virtuels Mac OS X Server permet la prise en charge des réseaux locaux virtuels (VLAN) 802.1q sur les ports Ethernet et les cartes PCI gigabit Ethernet disponibles ou intégrées dans les serveurs Xserve. Un réseau local virtuel permet à plusieurs ordinateurs se trouvant sur différents réseaux locaux physiques de communiquer entre eux comme s’ils se trouvaient sur le même réseau local. Cette solution présente comme avantages une utilisation plus efficace de la bande passante réseau et une meilleure sécurité, car le trafic de diffusion ou de multidiffusion n’est envoyé qu’aux ordinateurs situés sur le segment de réseau commun. La prise en charge des réseaux locaux virtuels par le Xserve G5 est conforme à la norme standard IEEE 802.1q.60 Chapitre 4Sécurité Filtrage MAC Le filtrage MAC (ou le filtrage d’adresses de couche 2) fait référence à un contrôle d’accès dans lequel l’adresse MAC d’une interface réseau, ou adresse Ethernet (adresse 42 bits assignée à chaque interface réseau), est utilisée pour déterminer l’accès au réseau. Les adresses MAC sont propres à chaque carte. L’utilisation du filtrage MAC sur un réseau autorise et refuse l’accès au réseau à certains périphériques, plutôt qu’à certains utilisateurs ou types de trafic réseau. Les utilisateurs individuels ne sont pas identifiés par une adresse MAC,seuls les périphériques le sont, de sorte qu’une personne autorisée doit disposer d’une liste de périphériques autorisés qu’elle utilise pour accéder au réseau. En théorie, le filtrage MAC permet à un administrateur réseau d’autoriser ou de refuser l’accès au réseau à des hôtes et des périphériques associés à l’adresse MAC, mais il existe en pratique des méthodes permettant d’éviter cette forme de contrôle d’accès par la modification de l’adresse (spoofing) ou l’échange physique de cartes réseau entre hôtes. Chiffrement du transport Le transfert sécurisé de données sur un réseau implique le chiffrement du contenu des paquets envoyés d’un ordinateur à l’autre. Mac OS X Server peut fournir les protocoles de chiffrement TLS (Transport Layer Security) et son prédécesseur, SSL (Secure Sockets Layer), qui sécurisent les communications sur Internet telles que la navigation web, le courrier électronique et d’autres transferts de données. Ces protocoles de chiffrement permettent aux applications clientes et serveur de communiquer d’une façon conçue pour empêcher l’écoute électronique, la falsification et la contrefaçon de messages. TLS utilise la cryptographie pour fournir l’authentification aux extrémités et la confidentialité des communications sur Internet. Ces connexions chiffrées authentifient le serveur (s’assurent de son identité), mais le client demeure non authentifié. Pour bénéficier d’une authentification mutuelle (dans laquelle chaque côté de la connexion est assurée de l’identité de l’autre), vous devez utiliser une infrastructure à clé publique (ICP) sur les clients qui se connectent. Mac OS X Server utilise OpenSSL et a intégré le chiffrement du transport dans les outils et services suivants :  SSH  VPN  Service web  Service de messagerie  Services de répertoire  Serveur iChatChapitre 4 Sécurité 61 Chiffrement de la charge utile Plutôt que de chiffrer le transfert d’un fichier sur le réseau, vous pouvez chiffrer le contenu du fichier. Les fichiers bénéficiant d’un chiffrement puissant peuvent être interceptés pendant le transit, mais ils demeurent illisibles. La plupart des systèmes de chiffrement du transport requièrent la participation des deux parties qui interviennent de la transaction. Certains services (comme le service de messagerie SMTP) ne peuvent pas utiliser ces techniques d’une façon fiable ; le chiffrement du fichier proprement dit demeure alors la seule méthode fiable de protection du contenu du fichier. Pour en savoir plus sur le chiffrement de fichiers, consultez la section « À propos du chiffrement des fichiers » à la page 62. À propos de la sécurité des fichiers Par défaut, les fichiers et les dossiers sont la propriété de l’utilisateur qui les a créés. Une fois créés, les éléments conservent leurs privilèges (combinaison entre propriété et autorisations), même lorsqu’on les déplace, à moins que ces privilèges ne soient modifiés explicitement par leur propriétaire ou un administrateur. C’est pourquoi les nouveaux fichiers et dossiers que vous créez ne sont pas accessibles par les utilisateurs clients s’ils ont été créés dans un dossier pour lequel ces utilisateurs ne possèdent pas de privilèges. Lorsque vous configurez des points de partage, assurez-vous que les éléments autorisent des privilèges d’accès appropriés pour les utilisateurs avec lesquels vous voulez les partager. Autorisations d’accès aux fichiers et aux dossiers Mac OS X Server prend en charge deux types d’autorisations d’accès aux fichiers et aux dossiers :  Autorisations standard POSIX (Portable Operating System Interface)  Listes de contrôle d’accès (ACL) Les autorisations POSIX vous permettent de contrôler l’accès aux fichiers et dossiers sur la base de trois catégories d’utilisateurs : Propriétaire, Groupe et Tout le monde. Bien que ces autorisations permettent un contrôle adéquat des personnes qui accè- dent à un fichier ou un dossier, elles n’ont pas la flexibilité et la granularité dont beaucoup d’organisations ont besoin pour gérer des environnements d’utilisateurs élaborés. Les autorisations des listes de contrôle d’accès fournissent un ensemble plus étendu d’autorisations pour un fichier ou un dossier et permettent de désigner plusieurs utilisateurs et groupes comme propriétaires. Les listes de contrôle d’accès sont de plus compatibles avec Windows Server 2003 et Windows XP, ce qui vous donne une plus grande flexibilité dans un environnement multiplateforme.62 Chapitre 4Sécurité Pour en savoir plus sur les autorisations de fichier, consultez les sections Administration des services de fichier et Configuration de la sécurité de Mac OS X Server. À propos du chiffrement des fichiers Mac OS X dispose d’un certain nombre de technologies de chiffrement de fichiers, à savoir :  FileVault : FileVault effectue un chiffrement à la volée sur le dossier de départ de chaque utilisateur. Il chiffre donc l’ensemble du répertoire dans un volume virtuel, qui est monté, et déchiffre les données selon les besoins.  Secure VM : Secure VM chiffre la mémoire virtuelle système (les données de mémoire écrites temporairement sur le disque dur). En tant que tel, il n’est pas utilisé pour chiffrer des fichiers d’utilisateur, mais confère plus de sécurité à votre système en empêchant la lecture et l’exploitation des fichiers de mémoire virtuelle.  Utilitaire de disque :Utilitaire de disque peut créer des images disque dont le contenu est chiffré et protégé par mot de passe. Les images disque fonctionnent comme un support amovible, tel qu’un disque dur ou une carte mémoire flash USB, mais n’existent que sous la forme d’un fichier stocké sur l’ordinateur. Une fois que vous avez créé l’image disque chiffrée, il suffit de double-cliquer dessus pour la monter sur votre système. Tous les fichiers que vous faites glisser sur l’image montée sont chiffrés et stockés dans l’image disque. Vous pouvez ensuite envoyer l’image disque à d’autres utilisateurs de Mac OS X. S’ils disposent du mot de passe de déverrouillage, ils peuvent extraire les fichiers que vous avez verrouillés dans l’image disque. Pour en savoir plus, sachez que les méthodes de chiffrement de fichiers suivantes sont décrites dans le Guide de configuration de la sécurité de Mac OS X Server :  Création d’une nouvelle image disque chiffrée.  Création d’une image disque chiffrée à partir de données existantes. Suppression sécurisée Lorsque vous placez un fichier dans la Corbeille et que vous videz cette dernière, ou lorsque vous supprimez un fichier à l’aide de l’outil UNIX « rm », les fichiers proprement dits ne sont pas supprimés du disque dur. Ils sont simplement déplacés de la liste des fichiers contrôlés et protégés par le système d’exploitation. Tous espace de votre disque dur considéré comme de l’espace libre (dans lequel le système d’exploitation peut placer un fichier) contient plus que probablement des fichiers qui ont été supprimés auparavant. Ces fichiers peuvent être récupérés à l’aide d’utilitaires d’analyse et d’annulation de suppression. Pour supprimer totalement des données, vous devez utiliser une méthode de suppression plus sûre. Les experts en sécurité recommandent d’écraser plusieurs fois les fichiers supprimés et l’espace libre à l’aide de données aléatoires.Chapitre 4 Sécurité 63 Mac OS X Server fournit les outils suivants pour supprimer des fichiers de façon sûre :  Vider la Corbeille en mode sécurisé (une commande du menu Finder que l’on peut utiliser à la place de la commande « Vider la Corbeille »).  srm (un utilitaire UNIX qui supprime les fichiers de façon sûre et que l’on peut utiliser à la place de « rm »). À propos de l’authentification et de l’autorisation L’authentification consiste à vérifier l’identité d’une personne, tandis que l’autorisation consiste à vérifier qu’une personne authentifiée dispose de l’autorité requise pour effectuer une certaine action. L’authentification est donc nécessaire pour l’autorisation. Dans le contexte informatique, lorsque vous saisissez un nom d’utilisateur et un mot de passe, vous êtes authentifié sur l’ordinateur parce qu’il part du principe qu’une seule personne (en l’occurrence, vous) connaît à la fois le nom d’utilisateur et le mot de passe. Une fois que vous êtes authentifié, le système d’exploitation vérifie si vous figurez dans des listes de personnes autorisées à accéder à certains fichiers et, si vous êtes autorisé à y accéder, vous autorise l’accès à ces fichiers. Comme l’autorisation ne peut pas se faire sans authentification, le terme autorisation est parfois utilisé pour la combinaison de l’authentification et de l’autorisation. Sous Mac OS X Server, les utilisateurs qui tentent d’utiliser différents services (comme ouvrir une session sur un poste de travail conscient des répertoires ou monter un volume distant) doivent s’authentifier en fournissant un nom d’utilisateur et un mot de passe pour que les privilèges d’utilisateur puissent être déterminés. Il y a plusieurs façons d’authentifier des utilisateurs :  Authentification Open Directory. Basée sur le protocole normalisé SASL (Simple Authentication and Security Layer), l’authentification Open Directory prend en charge de nombreuses méthodes d’authentification, notamment CRAM-MD5, APOP, WebDAV, SHA-1, LAN Manager, NTLMv1 et NTLMv2. C’est la façon la plus efficace d’authentifier des utilisateurs Windows. Les méthodes d’authentification peuvent être désactivées de façon sélective pour rendre le stockage des mots de passe sur le serveur plus sûr. Par exemple, si aucun client n’utilise les services Windows, vous pouvez désactiver les méthodes d’authentification NTLMv1 et LAN Manager pour empêcher le stockage de mots de passe sur le serveur à l’aide de ces méthodes. Toute personne parvenant, d’une façon ou d’une autre, à accéder à votre base de données de mots de passe ne pourrait pas exploiter les failles de ces méthodes d’authentification pour pirater des mots de passe.64 Chapitre 4Sécurité L’authentification Open Directory vous permet de configurer des politiques de mots de passe pour des utilisateurs individuels ou pour tous les utilisateurs dont les enregistrements sont stockés dans un répertoire particulier, avec des exceptions si nécessaire. L’authentification Open Directory permet aussi de spécifier des politiques de mots de passe pour des répliques de répertoire individuelles. Vous pouvez, par exemple, spécifier une longueur de mot de passe minimum ou exiger qu’un utilisateur change de mot de passe à sa prochaine ouverture de session. Vous pouvez aussi désactiver l’ouverture de session pour les comptes inactifs ou après un certain nombre de tentatives infructueuses d’ouverture de session.  Authentification Kerberos 5. L’authentification Kerberos permet l’intégration dans des environnements Kerberos existants. Le centre de distribution de clés (Key Distribution Center ou KDC) de Mac OS X Server prend entièrement en charge les politiques de mots de passe que vous configurez sur le serveur. L’utilisation de Kerberos permet également de bénéficier d’une fonctionnalité appelée la signature unique, décrite dans la section qui suit. Les services suivants de Mac OS X Server prennent en charge l’authentification Kerberos : AFP (Apple Filing Protocol), courrier électronique, FTP (File Transfer Protocol), SSH (Secure Shell), fenêtre d’ouverture de session, LDAPv3, VPN (Virtual Private Network), serveur iChat, économiseur d’écran et Apache (via le protocole SPNEGO).  Stockage de mots de passe dans des comptes utilisateur. Cette approche peut être utile lors de la migration de comptes utilisateur à partir de versions antérieures du serveur. Il se peut toutefois qu’elle ne prenne pas en charge les clients qui nécessitent certains protocoles d’authentification sûrs pour le réseau comme APOP.  Authentification LDAPv3 non Apple. Cette approche est disponible pour les environnements dans lesquels un serveur LDAPv3 est configuré pour authentifier les utilisateurs.  RADIUS (protocole d’authentification pour le contrôle de l’accès au réseau de clients à configurations mobiles ou fixes). Pour en savoir plus sur RADIUS dans Mac OS X Server, consultez la section Administration des services de réseau. Signature unique Mac OS X Server utilise Kerberos pour l’authentification par signature unique, ce qui évite aux utilisateurs de devoir saisir un nom d’utilisateur et un mot de passe pour chaque service séparément. Avec la signature unique, l’utilisateur saisit toujours un nom d’utilisateur et un mot de passe dans la fenêtre d’ouverture de session. Par contre, une fois la session ouverte, il ne doit plus saisir de nom d’utilisateur ni de mot de passe pour accéder au service de fichiers Apple, au service de messagerie ni aux autres services qui utilisent l’authentification Kerberos. Pour utiliser la signature unique, les utilisateurs et les services doivent être kerbérisés, c’est-à-dire configurés pour l’authentification Kerberos, et doivent utiliser le même centre de distribution de clés Kerberos.Chapitre 4 Sécurité 65 Les comptes utilisateur qui résident dans un répertoire LDAP de Mac OS X Server et qui possèdent le type de mot de passe Open Directory utilisent le centre de distribution de clés intégré du serveur. Ces comptes utilisateur sont configurés automatiquement pour Kerberos et la signature unique. Les services kerbérisés de ce serveur utilisent également le centre de distribution de clés intégré du serveur et sont configurés automatiquement pour la signature unique. Ce centre de distribution de clés Mac OS X Server peut aussi authentifier des utilisateurs pour des services fournis par d’autres serveurs. Une configuration minimale est suffisante pour que d’autres serveurs sous Mac OS X Server puissent utiliser le centre de distribution de clés de Mac OS X Server. Kerberos a été développé au MIT pour fournir une authentification et une communication sécurisées sur des réseaux ouverts tels qu’Internet. Kerberos fournit des preuves d’identité aux deux parties. Il vous permet de prouver qui vous êtes auprès des services réseau que vous voulez utiliser. Il prouve aussi à vos applications que les services réseau sont authentiques et n’ont pas fait l’objet d’une opération de spoofing (mystification). Comme d’autres systèmes d’authentification, Kerberos ne fournit toutefois pas d’autorisation. Chaque service réseau détermine lui-même ce qu’il vous autorise à faire en fonction de l’identité établie. Kerberos permet à un client et à un serveur de s’identifier mutuellement de façon nettement plus sûre que les méthodes d’authentification par mot de passe et par question-réponse traditionnelles. Kerberos fournit aussi un environnement à signature unique dans lequel les utilisateurs ne doivent s’authentifier qu’une fois par jour, par semaine ou par période, ce qui rend l’authentification moins lourde. Mac OS X Server et Mac OS X 10.3 à 10.5 prennent en charge la version 5 de Kerberos. À propos des certificats, de SSL et de l’infrastructure à clé publique Mac OS X Server prend en charge de nombreux services utilisant le protocole SSL (Secure Socket Layer) pour le transfert de données chiffrées. SSL utilise un système d’infrastructure à clé publique (ICP) pour générer et maintenir des certificats d’identité pour les services dans lesquels SSL a été activé. Les systèmes d’infrastructure à clé publique permettent aux deux parties d’une transaction de données de s’authentifier mutuellement et d’utiliser des clés de chiffrement et d’autres informations qui figurent dans les certificats d’identité, afin de chiffrer et de déchiffrer les messages qui transitent entre les deux parties. Une infrastructure à clé publique permet à toutes les parties qui communiquent de bénéficier de la confidentialité, de l’intégrité des messages et de l’authentification de la source des messages sans devoir échanger d’informations secrètes au préalable.66 Chapitre 4Sécurité La technologie SSL fait appel à un système d’ICP pour sécuriser la transmission de données et l’authentification des utilisateurs. Elle crée un canal de communication sécurisé initial permettant de négocier une transmission de clé secrète plus rapidement. Mac OS X Server utilise SSL pour fournir une transmission de données chiffrées pour le service de courrier électronique, le service web et le service de répertoire. Les sections qui suivent contiennent d’autres informations concernant certains aspects importants des infrastructures à clé publique :  « Clés publiques et privées » à la page 66.  « Certificats » à la page 67.  « Autorités de certificat » à la page 67.  « Identités » à la page 68. Clés publiques et privées Dans un ICP, deux clés numériques sont créées : la clé publique et la clé privée. La clé privée n’est pas distribuée à tout le monde et est souvent chiffrée par une phrase clé. La clé publique, par contre, est distribuée aux parties qui communiquent. Les fonctionnalités de base des clés peuvent être résumées comme suit : Les services web, de courrier électronique et de répertoire utilisent la clé publique avec SSL pour négocier une clé partagée pendant la durée de la connexion. Ainsi, un serveur de messagerie envoie sa clé publique à un client se connectant et entame la négociation pour l’établissement d’une connexion sécurisée. Le client se connectant utilise la clé publique pour chiffrer une réponse à la négociation. Comme le serveur de messagerie dispose de la clé privée, il peut déchiffrer la réponse. La négociation continue jusqu’à ce que le serveur de messagerie et le client disposent d’un secret partagé pour chiffrer le trafic entre les deux ordinateurs. Type de clé Fonctionnalités Publique  Permet de chiffrer des messages qui ne peuvent être déchiffrés que par une personne possédant la clé privée correspondante.  Permet de vérifier la signature qui figure sur un message provenant d’une clé privée. Privée  Permet de signer numériquement un message ou un certificat pour en établir l’authenticité.  Permet de déchiffrer des messages chiffrés avec la clé publique.  Permet de chiffrer des messages qui ne peuvent être déchiffrés que par la clé privée elle-même.Chapitre 4 Sécurité 67 Certificats Les clés publiques se trouvent souvent dans des certificats. Un utilisateur peut signer numériquement des messages à l’aide de sa clé privée et les autres utilisateurs peuvent vérifier la signature à l’aide de la clé publique qui se trouve dans le certificat du signataire émis par une autorité de certificat (AC) au sein de l’ICP. Un certificat de clé publique (on parle parfois aussi de certificat d’identité) est un fichier de format déterminé (Mac OS X Server utilise le format x.509) contenant les éléments suivants :  La moitié clé publique d’une paire clé privée-clé publique.  Des informations relatives à l’identité de l’utilisateur de la clé, telles que le nom et les coordonnées.  Une période de validité (durée pendant laquelle on peut être sûr de l’exactitude du certificat).  L’URL d’une personne possédant l’autorité nécessaire pour révoquer le certificat (son centre de révocation).  La signature numérique d’une autorité de certificat ou de l’utilisateur de la clé. Autorités de certificat Une autorité de certificat (AC) est une entité accompagnée d’un certificat associé qui signe et émet des certificats d’identité numériques établissant que la partie identifiée est digne de confiance. En ce sens, il s’agit d’une tierce partie de confiance entre deux transactions. Dans les systèmes x.509, les AC sont hiérarchiques par nature, chacune étant certifiée par d’autres AC jusqu’à une autorité racine suprême. Une autorité racine est une AC qui béné- ficie de la confiance de suffisamment de ou de toutes les parties intéressées de sorte qu’elle ne doive pas être authentifiée par une autre tierce partie. La hiérarchie des certificats va toujours du bas vers le haut, avec un certificat d’autorité racine au sommet. Une AC peut être une entreprise qui, en échange d’une commission, signe et émet un certificat de clé publique proclamant que l’AC atteste que la clé publique du certificat appartient bien à son propriétaire, comme indiqué dans le certificat. D’une certaine façon, l’AC est une sorte de notaire numérique. Pour effectuer une demande de certificat auprès d’une AC, il est nécessaire de fournir ses coordonnées et des informations sur son identité, ainsi que la clé publique. L’AC vérifie l’identité du demandeur afin que les utilisateurs puissent être sûrs que les certificats émis par cette AC appartiennent bien au demandeur identifié.68 Chapitre 4Sécurité Identités Les identité, dans le contexte du gestionnaire de certificats de Mac OS X Server, sont la combinaison d’un certificat signé pour les deux clés d’une paire de clés d’une ICP. Les identités sont utilisées par le trousseau système et sont disponibles pour les différents services qui prennent en charge SSL. Certificats auto-signés Les certificats auto-signés sont des certificats signés numériquement par la clé privée de la paire de clés incluse dans le certificat. Cette solution remplace la signature du certificat par une AC. En signant un certificat vous-même, vous attestez que vous êtes bien celui que vous prétendez être. Aucune tierce partie de confiance n’est impliquée. Gestionnaire de certificats dans Admin Serveur L’application Gestionnaire de certificats de Mac OS X Server est intégrée à Admin Serveur pour vous aider à créer, utiliser et maintenir des identités pour les services pour lesquels SSL est activé. L’interface d’Admin Serveur est illustrée ci-dessous (avec le Gestionnaire de certificats sélectionné). Gestionnaire de certificats fournit la gestion intégrée de certificats SSL dans Mac OS X Server pour tous les services qui permettent l’utilisation de certificats SSL.Chapitre 4 Sécurité 69 Gestionnaire de certificats permet de créer des certificats auto-signés et des demandes de signature de certificat (en anglais Certificate-Signing Requests ou CSR) pour obtenir un certificat signé par une AC. Les certificats, auto-signés ou signés par une AC, sont accessibles par les services qui prennent en charge SSL. Les identités, qui étaient auparavant créées et stockées dans des fichiers OpenSSL, peuvent également être importées dans Gestionnaire de certificats et sont alors accessibles à tous les services prenant en charge SSL. Gestionnaire de certificats dans Admin Serveur ne vous permet pas de signer et d’émettre des certificats en tant qu’AC ni de signer et d’émettre des certificats en tant qu’autorité racine. Si vous avez besoin de ces fonctions, vous pouvez utiliser l’application Assistant AC d’Apple qui se trouve dans /Applications/Utilitaires/. Elle permet d’obtenir ces fonctions, ainsi que d’autres. Les certificats auto-signés et émis par une AC créés dans Assistant AC d’Apple peuvent être utilisés dans Gestionnaire de certificats par simple importation. Gestionnaire de certificats affiche les informations suivantes pour chaque certificat :  Le nom du domaine pour lequel le certificat a été émis.  Les dates de validité.  L’autorité signataire (par exemple, l’entité de l’AC ou, si le certificat est auto-signé, la mention « Self-Signed »). Préparation des certificats Pour pouvoir utiliser SSL dans les services de Mac OS X Server, vous devez d’abord créer ou importer des certificats. Vous pouvez créer votre propre certificat auto-signé, générer une demande de signature de certificat (CSR) à envoyer à une AC ou importer un certificat préalablement créé avec OpenSSL. Sélectionnez une AC pour signer votre demande de certificat. Si vous n’avez pas d’AC pour signer votre demande, vous pouvez devenir votre propre AC, puis importer vos certificats d’AC dans la base de données de confiance racine de tous les ordinateurs que vous gérez. Si vous utilisez un certificat auto-signé, envisagez d’utiliser une AC auto-signée afin de signer une CSR à utiliser pour vos services, puis importez le certificat public de votre AC dans le trousseau système de tous les ordinateurs clients. Ces deux options partent du principe que vous avez le contrôle des ordinateurs clients.70 Chapitre 4Sécurité Demande de certificat auprès d’une autorité de certificat Gestionnaire de certificats vous aide à créer une demande de signature de certificat (CSR) à envoyer à votre AC désignée. Pour demander un certificat signé : 1 Dans Admin Serveur, sélectionnez le serveur qui possède des services prenant en charge SSL. 2 Cliquez sur Certificats. 3 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) sous la liste Certificats. 4 Saisissez les informations relatives à l’identité. Le nom usuel est le nom de domaine complet du serveur qui va utiliser les services pour lesquels SSL est activé. 5 Saisissez les dates de validité de début et de fin. 6 Sélectionnez une taille pour la clé privée (la taille par défaut est 1024 bits). 7 Saisissez une phrase clé pour la clé privée. Cette phrase clé devrait être plus sûre qu’un simple mot de passe. Il est recommandé d’utiliser au moins 20 caractères, de mélanger majuscules et minuscules, nombres et/ou signes de ponctuation, de ne pas répéter de caractères et de ne pas utiliser de termes figurant dans un dictionnaire. 8 Cliquez sur le bouton en forme d’engrenage et choisissez « Créer une demande de signature de certificats ». 9 Suivez les instructions à l’écran pour demander un certificat signé à l’AC que vous avez choisie. Vous pouvez, par exemple, le faire en ligne ou fournir l’adresse électronique. 10 Cliquez sur Envoyer la demande. 11 Cliquez sur Terminé pour enregistrer les informations d’identité. Lorsque l’AC répond au message électronique, elle l’inclut dans le texte d’un message électronique. 12 Assurez-vous à nouveau que le certificat est sélectionné dans le champ Certificats. 13 Cliquez sur le bouton en forme d’engrenage, puis choisissez « Ajouter un certificat signé ou renouvelé de l’autorité de certificat ». 14 Copiez les caractères entre « ==Begin CSR== » et « ==End CSR== » dans la zone de texte. 15 Cliquez sur OK. 16 Cliquez sur Enregistrer.Chapitre 4 Sécurité 71 Création d’un certificat auto-signé Lorsque vous créez une identité dans Gestionnaire de certificats, vous créez un certificat auto-signé. Gestionnaire de certificats crée une paire clé privée-clé publique possé- dant la taille de clé spécifiée (entre 512 et 2048 bits) dans le trousseau système. Il crée ensuite le certificat auto-signé correspondant dans le trousseau système. Une CSR est également générée pendant la création du certificat auto-signé. Elle n’est pas stockée dans le trousseau, mais écrite sur disque à l’emplacement /etc/certificates/ cert.nom.usuel.tld.csr, où « nom.usuel.tld » est le nom usuel du certificat émis. Pour créer un certificat auto-signé : 1 Dans Admin Serveur, sélectionnez le serveur qui possède les services prenant en charge SSL. 2 Cliquez sur Certificats. 3 Cliquez sur le bouton Ajouter (+). 4 Saisissez les informations relatives à l’identité. Le nom usuel est le nom de domaine complet du serveur qui va utiliser les services pour lesquels SSL est activé. 5 Saisissez les dates de validité de début et de fin. 6 Sélectionnez une taille pour la clé privée (la taille par défaut est 1024 bits). 7 Saisissez une phrase clé pour la clé privée. Cette phrase clé devrait être plus sûre qu’un simple mot de passe. Il est recommandé d’utiliser au moins 20 caractères, de mélanger majuscules et minuscules, nombres et signes de ponctuation, de ne pas répéter de caractères et de ne pas utiliser de termes figurant dans un dictionnaire. 8 Cliquez sur Terminé pour enregistrer les informations d’identité. 9 Cliquez sur Enregistrer. Création d’une autorité de certificat Si vous voulez pouvoir signer le certificat de quelqu’un d’autre, vous devez créer une autorité de certificat (AC). Les autorités de certificat sont parfois appelées certificats racine. En utilisant le certificat racine, vous deviendrez la tierce partie de confiance pour les transactions de ce certificat, vous portant ainsi garant de l’identité du détenteur du certificat. Si vous faite partie d’une organisation importante, vous pouvez décider d’émettre ou de signer des certificats pour des personnes de votre organisation, afin de bénéficier des avantages de sécurité offerts par les certificats avec vos propres services informatiques. Il se peut toutefois que certaines organisations externes ne reconnaissent pas ou ne fassent pas confiance à votre autorité en matière de signature.72 Chapitre 4Sécurité Pour créer une AC : 1 Démarrez Trousseau d’accès. Trousseau d’accès est un utilitaire qui se trouve dans le répertoire /Applications/Utilitaires/. 2 Dans le menu Trousseau d’accès, sélectionnez Assistant Certificat > Créer une autorité de certificat. L’Assistant Certificat démarre. Il va vous guider tout au long du processus de création de l’AC. 3 Choisissez de créer une Autorité de certification racine auto-signée. 4 Fournissez à Assistant Certificat les informations requises, puis cliquez sur Continuer. Pour créer une AC, vous allez devoir fournir les informations suivantes :  Une adresse électronique.  Le nom de l’autorité émettrice (vous ou votre organisation). Vous devez aussi spécifier s’il faut ignorer les valeurs par défaut et s’il faut faire de cette AC l’AC par défaut de l’organisation. Si vous n’avez pas d’AC par défaut pour votre organisation, autorisez Assistant Certificat à faire de la présente AC l’AC par défaut. Dans la plupart des cas, il n’est pas recommandé d’ignorer les valeurs par défaut. Si vous ne les ignorez pas, passez directement à l’étape 16. 5 Si vous préférez ignorer les valeurs par défaut, fournissez les informations suivantes dans les écrans qui suivent :  Un numéro de série unique pour le certificat racine.  Le nombre de jours de fonctionnement de l’autorité de certificat avant son expiration.  Le type de certificat utilisateur que cette AC signe.  Si vous voulez créer pour l’AC un site web auquel les utilisateurs peuvent accéder pour la distribution des certificats d’AC. 6 Cliquez sur Continuer. 7 Fournissez à Assistant Certificat les informations requises, puis cliquez sur Continuer. Pour créer une AC, vous allez devoir fournir les informations suivantes :  L’adresse électronique de la partie responsable des certificats.  Le nom de l’autorité de certificat (vous ou votre organisation).  Le nom de l’organisation.  Le nom d’unité de l’organisation.  L’emplacement de l’autorité émettrice. 8 Sélectionnez une taille de clé et un algorithme de chiffrement pour le certificat d’AC, puis cliquez sur Continuer.Chapitre 4 Sécurité 73 Une clé de grande taille demande plus de calculs de la part des ordinateurs, mais est nettement plus sûre. L’algorithme à sélectionner dépend plus de vos besoins en termes d’organisation que de considérations techniques. Les algorithmes DSA et RSA sont tous deux des algorithmes de chiffrement forts. L’algorithme DSA est une norme standard du gouvernement fédéral des États-Unis pour les signatures numériques. L’algorithme RSA constitue une avancée plus récente dans le domaine des algorithmes. 9 Sélectionnez une taille de clé et un algorithme de chiffrement pour les certificats à signer, puis cliquez sur Continuer. 10 Sélectionnez les extensions d’utilisation de clé dont vous avez besoin pour le certificat d’AC, puis cliquez sur Continuer. Vous devez sélectionner au minimum Signature et Signature de certificat. 11 Sélectionnez les extensions d’utilisation de clé dont vous avez besoin pour les certificats à signer, puis cliquez sur Continuer. Les sélections d’utilisation de clé par défaut sont basées sur le type de clé sélectionné auparavant dans l’assistant. 12 Spécifiez d’autres extensions à ajouter au certificat d’AC, puis cliquez sur Continuer. Vous devez sélectionner « Inclure l’ext. de contraintes élémentaires » et « Utiliser ce certificat comme autorité de certification ». 13 Spécifiez éventuellement d’autres extensions à ajouter au certificat d’AC, puis cliquez sur Continuer. Aucune n’est obligatoire. 14 Sélectionnez le trousseau « Système » pour stocker le certificat d’AC. 15 Choisissez de faire confiance aux certificats de cet ordinateur signés par l’AC que vous avez créée. 16 Cliquez sur Continuer et authentifiez-vous comme administrateur pour créer le certificat et la paire de clés. 17 Lisez et suivez les instructions qui figurent à la dernière page de l’Assistant Certificat. Vous pouvez maintenant émettre des certificats destinés à des parties de confiance et signer des demandes CSR. Utilisation d’une AC pour créer un certificat destiné à quelqu’un d’autre Vous pouvez utiliser votre certificat d’AC pour émettre un certificat pour quelqu’un d’autre. On appelle parfois cette opération signer une demande de signature de certificat (CSR). En le faisant, vous affirmez que vous êtes une partie de confiance et que vous pouvez vérifier l’identité du détenteur du certificat.74 Chapitre 4Sécurité Pour que vous puissiez créer un certificat destiné à une autre personne, cette dernière doit d’abord générer une demande de signature de certificat. Elle peut utiliser l’Assistant Certificat pour générer la demande de signature de certificat et vous envoyer la demande par message électronique. Vous devez ensuite utiliser le texte de la demande de signature de certificat pour créer le certificat. Pour créer un certificat destiné à quelqu’un d’autre : 1 Démarrez Trousseau d’accès. Trousseau d’accès est un utilitaire qui se trouve dans le répertoire /Applications/Utilitaires/. 2 Dans le menu de Trousseau d’accès, sélectionnez Assistant Certificat > Créer un certificat pour quelqu’un d’autre en tant qu’autorité de certificat. L’Assistant Certificat démarre et vous guide tout au long du processus de création de l’AC. 3 Faites glisser la demande de signature de certificat dans la zone cible. 4 Choisissez l’AC émettrice et signez la demande. Vous pouvez aussi ignorer les valeurs par défaut de la demande. 5 Cliquez sur Continuer. Si vous ignorez les valeurs par défaut de la demande, fournissez à l’Assistant Certificat les informations requises, puis cliquez sur Continuer. Le certificat est maintenant signé. L’application de courrier électronique par défaut s’ouvre avec le certificat signé comme pièce jointe. Importation d’un certificat Vous pouvez importer un certificat et une clé privée OpenSSL préalablement générés dans Gestionnaire de certificats. Les éléments sont stockés comme éléments disponibles dans la liste des identités et sont disponibles pour les services pour lesquels SSL a été activé. Pour importer un certificat de type OpenSSL existant : 1 Dans Admin Serveur, sélectionnez le serveur qui possède les services prenant en charge SSL. 2 Cliquez sur Certificats. 3 Cliquez sur le bouton Importer. 4 Saisissez le nom et le chemin du fichier du certificat existant. Vous pouvez aussi parcourir le disque et spécifier son emplacement. 5 Saisissez le nom et le chemin du fichier de clé privée existant. Vous pouvez aussi parcourir le disque et spécifier son emplacement. 6 Saisissez la phrase clé de la clé privée. 7 Cliquez sur Importer.Chapitre 4 Sécurité 75 Gestion des certificats Une fois qu’un certificat a été créé et signé, vous n’avez plus grand chose à faire. Les certificats ne peuvent être modifiés que dans Admin Serveur et ne peuvent plus être modifiés une fois qu’une AC les a signés. Les certificats auto-signés peuvent être modifiés. Vous devez supprimez les certificats si les informations qu’ils possèdent (informations de contact, etc.) ne sont plus exactes ou si vous pensez que la paire de clés a été compromise. Modification d’un certificat Une fois que la signature de certificat d’une AC a été ajoutée, le certificat ne peut plus être modifié. Il est toutefois possible de modifier des certificats auto-signés. Tous les champs du certificat (y compris le nom de domaine et la phrase clé de la clé privée, la taille de la clé privée, etc.) peuvent être modifiés. Si l’identité a été exportée sur disque à partir du trousseau système, elle doit être réexportée. Pour modifier un certificat : 1 Dans Admin Serveur, sélectionnez le serveur qui possède des services prenant en charge SSL. 2 Cliquez sur Certificats. 3 Sélectionnez l’identité certificat à modifier. Il doit s’agir d’un certificat auto-signé. 4 Cliquez sur le bouton Modifier (/). 5 Cliquez sur Modifier. Distribution d’un certificat public d’AC à des clients Si vous utilisez des certificats auto-signés, un avertissement est affiché dans la plupart des applications d’utilisateur pour vous avertir que l’autorité de certificat n’est pas reconnue. D’autres logiciels, tels que le client LDAP, refusent purement et simplement d’utiliser SSL si l’AC du serveur est inconnue. Mac OS X Server n’est livré qu’avec des certificats provenant d’AC commerciales connues. Pour empêcher cet avertissement, votre certificat d’AC doit être exporté vers chaque ordinateur client qui se connecte au serveur sécurisé. Pour distribuer le certificat d’AC auto-signé : 1 Copiez le certificat d’AC auto-signé (le fichier nommé ca.crt) sur chaque ordinateur client. Il est préférable de le distribuer à l’aide d’un support non réinscriptible tel qu’un CD-R. L’utilisation de supports non réinscriptibles empêche la corruption du certificat. 2 Ouvrez l’outil Trousseau d’accès en double-cliquant sur l’icône ca.crt à l’emplacement où le certificat a été copié sur l’ordinateur client.76 Chapitre 4Sécurité 3 Ajoutez le certificat au trousseau système à l’aide de Trousseau d’accès. Vous pouvez aussi utiliser la commande certtool dans Terminal : sudo certtool i ca.crt k=/System/Library/Keychains/Systems Désormais, toute application cliente qui procède à des vérifications par rapport au trousseau système (comme Safari et Mail) reconnaît tous les certificats signés par votre AC. Suppression d’un certificat Lorsqu’un certificat est arrivé à expiration ou a été compromis, vous devez le supprimer. Pour supprimer un certificat : 1 Dans Admin Serveur, sélectionnez le serveur qui possède des services prenant en charge SSL. 2 Cliquez sur Certificats. 3 Sélectionnez l’identité certificat à supprimer. 4 Cliquez sur le bouton Suprimmer (-) et sélectionnez Supprimer. 5 Cliquez sur Enregistrer. Renouvellement d’un certificat arrivé à expiration Tous les certificats ont une date d’expiration. Vous devez donc mettre à jour les certificats lorsqu’ils expirent. Pour renouveler un certificat arrivé à expiration : 1 Demandez un nouveau certificat à l’AC. Si vous êtes votre propre AC, créez-en un nouveau à l’aide de votre propre certificat racine. 2 Dans Admin Serveur, sélectionnez dans la liste Serveurs le serveur possédant le certificat en cours d’expiration. 3 Cliquez sur Certificats. 4 Sélectionnez l’identité certificat à modifier. 5 Cliquez sur le bouton d’action, puis choisissez « Ajouter un certificat signé ou renouvelé de l’autorité de certificat ». 6 Collez le certificat renouvelé dans le champ de texte, puis cliquez sur OK. 7 Cliquez sur le bouton Modifier pour rendre le certificat modifiable. 8 Réglez les dates du certificat. 9 Cliquez sur Enregistrer.Chapitre 4 Sécurité 77 Utilisation de certificats Dans Admin Serveur, les différents services comme le service web, le service de courrier électronique, le service VPN, etc., affichent une liste déroulante reprenant les certificats sélectionnables par l’administrateur. Comme l’apparence des services varie, l’emplacement de la liste déroulante varie également. Consultez le guide d’administration relatif au service que vous tentez d’utiliser avec un certificat. SSH et les clés SSH SSH est un protocole réseau qui établit un canal sécurisé entre votre ordinateur et un ordinateur distant. Il utilise la cryptographie à clé publique pour authentifier l’ordinateur distant. Il assure également le chiffrement du trafic et l’intégrité des données échangées entre les deux ordinateurs. SSH est souvent utilisé pour ouvrir une session sur une machine distante afin d’y exécuter des commandes, mais il permet aussi de créer un tunnel de données sécurisé en réexpédiant ces données via un port TCP arbitraire. De plus, il peut transférer des fichiers à l’aide des protocoles SFTP et SCP associés. Par défaut, un serveur SSH écoute le trafic sur le port TCP 22 standard. Mac OS X Server utilise OpenSSH comme base pour ses outils SSH. Ouverture de session SSH à base de clés L’authentification à base de clés est utile pour des tâches telles que l’automatisation des transferts et des sauvegardes de fichiers et la création de scripts de basculement parce qu’il permet aux ordinateurs de communiquer sans exiger la saisie d’un mot de passe par un utilisateur. Il n’est pas sûr de copier la clé privée d’un ordinateur sur un autre ordinateur. Important :l’authentification à base de clés comporte des risques. Si la clé privée que vous générez est compromise, des utilisateurs non autorisés peuvent accéder à vos ordinateurs. Vous devez déterminer si les avantages de l’authentification à base de clés valent le risque. Génération d’une paire de clés pour SSH La présente section décrit brièvement le processus de configuration de l’ouverture de session SSH à base de clés sous Mac OS X et Mac OS X Server. Pour configurer SSH à base de clés, vous devez générer les clés que les deux ordinateurs vont utiliser pour établir et valider leurs identités mutuelles.78 Chapitre 4Sécurité Pour ce faire, exécutez les commandes suivantes dans Terminal : 1 Vérifiez s’il existe un dossier .ssh dans votre dossier de départ en saisissant la commande : ls -ld ~/.ssh. Si .ssh apparaît dans les résultats, passez à l’étape 2. Si .ssh n’apparaît pas dans les résultats, exécutez mkdir ~/.ssh et continuez à l’étape 2. 2 Dans le shell, allez dans le répertoire ssh masqué en saisissant la commande suivante : cd ~/.ssh 3 Générez les clés publique et privée en saisissant la commande suivante : ssh-keygen -b 1024 -t dsa -f id_dsa -P '' Le drapeau -b règle la longueur des clés sur 1024 bits, -t indique qu’il faut utiliser l’algorithme de hachage DSA, -f définit le nom de fichier comme id_dsa et -P suivi de deux apostrophes simples définit le mot de passe de la clé privée comme étant nul. Un mot de passe de clé privée nul permet d’automatiser les connexions SSH. 4 Créez un fichier de clé autorisée vierge en saisissant la commande suivante : touch authorized_keys2 5 Copiez la clé publique dans le fichier de clé autorisée en saisissant la commande suivante : cat id_dsa.pub >> authorized_keys2 6 Changez les autorisations de la clé privée en saisissant la commande suivante : chmod 400 id_dsa Les autorisations de la clé privée doivent être définies de façon à ce que le fichier ne puisse pas être lu par tout le monde. 7 Copiez la clé publique et les listes de clés autorisées dans le dossier de départ de l’utilisateur spécifié sur l’ordinateur distant en saisissant la commande suivante : scp authorized_keys2 username@remotemachine:~/.ssh/ Si vous devez établir une communication dans les deux sens entre des serveurs, répé- tez le processus ci-dessus sur le second ordinateur. Ce processus doit être répété pour tout utilisateur devant ouvrir une session SSH à base de clés. L’utilisateur root n’est pas une exception. Le dossier de départ de l’utilisateur root sur Mac OS X Server se trouve à l’emplacement /var/root/. SSH à base de clés avec exemple de script Une grappe de serveurs constitue un environnement idéal pour utiliser le SSH à base de clés. Le script Perl suivant est un exemple de trivial de création de script qui ne doit pas être implémenté. Il montre simplement comment se connecter via un tunnel SSH à tous les serveurs définis dans la variable serverList, exécuter softwareupdate, installer les mises à jour disponibles et redémarrer l’ordinateur si nécessaire. Le script part du principe que le SSH à base de clés a été configuré correctement pour l’utilisateur root sur tous les serveurs à mettre à jour.Chapitre 4 Sécurité 79 #!/usr/bin/perl # \@ est la séquence d’échappement pour le symbole « @ ». my @serverList = ('root\@serveurexemple1.exemple.com', 'root\@serveurexemple2.exemple.com'); foreach $server (@serverList) { open SBUFF, "ssh $server -x -o batchmode=yes 'softwareupdate -i -a' |"; while() { my $flag = 0; chop($_); #check for restart text in $_ my $match = "Veuillez redémarrer immédiatement"; $count = @{[$_ =~ /$match/g]}; if($count > 0) { $flag = 1; } } close SBUFF; if($flag == 1) { `ssh $server -x -o batchmode=yes shutdown -r now` } } Sécurité au niveau de l’administration Mac OS X Server peut utiliser un autre niveau de contrôle d’accès pour plus de sécurité. Il est possible d’affecter des administrateurs à des services qu’ils peuvent configurer. Ces limitations sont définies serveur par serveur. Cette méthode peut être utilisée par un administrateur sans restrictions pour assigner des droits administratifs à d’autres utilisateurs du groupe admin. Cela donne un modèle d’administration par niveaux dans lequel certains administrateurs ont plus deprivilèges que d’autres pour les services assignés. Cela permet d’obtenir une méthode de contrôle d’accès pour des fonctionnalités et des services de serveur individuels. Exemple : Alice (administratrice en chef) contrôle tous les services d’un serveur donné et peut limiter la capacité d’autres utilisateurs du groupe admin (comme Robert et Catherine) à modifier des réglages sur le serveur. Elle peut assigner l’administration des services DNS et de coupe-feu à Robert tout en laissant l’administration du service de messagerie à Catherine. Dans ce scénario, Catherine ne peut pas modifier le coupe-feu ni aucun autre service à l’exception du service de courrier électronique. De même, Robert ne peut pas modifier les services qui ne lui ont pas été assignés.80 Chapitre 4Sécurité Les contrôles d’administration par niveaux sont effectifs dans Admin Serveur et dans l’outil de ligne de commande serveradmin. Ils ne permettent pas d’empêcher la modification des différents fichiers de configuration UNIX à travers tout le système. Les fichiers de configuration UNIX doivent être protégés par des autorisations de type POSIX ou des listes de contrôle d’accès. Définition de privilèges au niveau de l’administration Vous pouvez désigner les services que d’autres utilisateurs du groupe admin peuvent modifier. Pour ce faire, l’administrateur qui procède à cette désignation doit disposer d’un accès total non modifié. Le processus de définition des privilèges au niveau de l’administration est décrit dans « Autorisations d’administration par niveaux » à la page 168. Sécurité au niveau du service Vous pouvez utiliser une liste de contrôle d’accès de service (SACL) pour désigner ceux qui sont autorisés à utiliser un service donné. Il ne s’agit pas d’un moyen d’authentification, mais d’une liste des personnes possédant les droits d’accès appropriés pour utiliser un service donné. Les listes SACL vous permettent d’ajouter un niveau de contrôle d’accès aux autorisations standard et par liste de contrôle d’accès normales. Seuls les utilisateurs et les groupes qui figurent dans une SACL ont accès au service en question. Par exemple, pour empêcher des utilisateurs d’accéder à des points de partage AFP sur un serveur, y compris à des dossiers de départ, supprimez-les de la liste SACL du service AFP. L’application Admin Serveur de Mac OS X Server vous permet de configurer des listes SACL. Open Directory authentifie les comptes utilisateur et les listes SACL autorisent l’utilisation des services. Si Open Directory vous authentifie, la liste SACL de la fenêtre d’ouverture de session détermine si vous pouvez ouvrir une session, la liste SACL du service AFP détermine si vous pouvez vous connecter au service de fichiers Apple, et ainsi de suite.Chapitre 4 Sécurité 81 Définition d’autorisations de liste SACL Les listes SACL vous permettent de désigner les utilisateurs et groupes qui ont accès aux services de Mac OS X Server, notamment aux services AFP, FTP et de fichiers Windows. Pour définir des autorisations de liste SACL pour un service : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez le serveur dans la listes Serveurs. 3 Cliquez sur Réglages. 4 Cliquez sur Accès. 5 Pour restreindre l’accès à tous les services ou désélectionner cette option afin de définir des autorisations d’accès par service, sélectionnez « Pour tous les services ». 6 Si vous avez désélectionné « Pour tous les services », sélectionnez un service dans la liste Service. 7 Pour accorder un accès sans restriction aux services, cliquez sur « Autoriser tous 8 les utilisateurs et groupes ». Pour restreindre l’accès à certains utilisateurs et groupes : a Sélectionnez « Autoriser les utilisateurs et groupes ci-dessous ». b Cliquez sur le bouton Ajouter (+) pour ouvrir le volet Utilisateurs et groupes. c Faites glisser des utilisateurs et des groupes depuis le volet Utilisateurs et groupes jusque dans la liste. 9 Cliquez sur Enregistrer. Pratiques d’excellence en matière de sécurité Les administrateurs de serveur sont chargés de s’assurer que des mesures de sécurité raisonnables sont prises pour protéger un serveur contre d’éventuelles attaques. Un serveur compromis met en danger non seulement les ressources et les données qu’il contient, mais aussi les ressources et les données qui se trouvent sur les autres systè- mes connectés. Un système compromis peut être utilisé comme base pour lancer une attaque sur d’autres système à l’intérieur ou à l’extérieur de votre réseau. Assurer la sécurité de serveurs nécessite de trouver un équilibre entre le coût d’implé- mentation des mesures de sécurité d’une part et la probabilité d’une attaque réussie et l’impact de cette attaque d’autre part. Il n’est pas possible d’éliminer tous les risques de sécurité pour un serveur sur un réseau, mais il est possible de réduire les probabilités de brèche et de lutter plus efficacement contre les attaques réalisées.82 Chapitre 4Sécurité Les pratiques d’excellence pour l’administration d’un système de serveur comprennent notamment :  Effectuer la mise à jour de vos système avec les correctifs de sécurité et les mises à jour critiques.  Rechercher régulièrement de nouvelles mises à jour.  Installer les outils antivirus appropriés et les utiliser de manière régulière, ainsi que mettre régulièrement à jour les logiciels et les fichiers de définitions de virus. Bien que les ordinateurs Mac soient beaucoup moins menacés par les virus que les ordinateurs Windows, les risques de contamination ne sont pas nuls.  Restreindre l’accès physique au serveur. Comme l’accès local permet généralement à un intrus de contourner la plupart des systèmes de sécurité, protégez la salle des serveurs, les racks de serveurs et les jonctions du réseau. Utilisez des verrous de sécurité. Le verrouillage des systèmes est une mesure de sécurité à conseiller.  S’assurer qu’il existe une protection adéquate contre les dommages physiques aux serveurs et veiller au bon fonctionnement de la climatisation de la salle des serveurs.  Prendre toutes les précautions supplémentaires nécessaires pour sécuriser les serveurs. Par exemple, activer les mots de passe Open Firmware, chiffrer les mots de passe chaque fois que c’est possible et sécuriser les supports de sauvegarde.  Sécuriser l’accès logique au serveur. Par exemple, supprimer ou désactiver les comptes qui ne sont plus nécessaires. Les comptes des parties extérieures doivent être désactivés lorsqu’ils ne sont pas utilisés.  Configurer des listes SACL si nécessaire. Utilisez ces listes pour spécifier qui peut accéder aux services.  Configurer des listes ACL si nécessaire. Servez-vous de ces listes pour contrôler qui peut accéder aux points de partage et à leur contenu.  Protéger tout compte possédant des privilèges root ou d’administrateur système en adoptant les pratiques de mot de passe recommandées faisant appel à des mots de passe complexes. Pour obtenir des informations plus spécifiques sur les mots de passe, consultez la section « Directives en matière de mots de passe » à la page 84 .  Ne pas utiliser de comptes administrateur (du groupe « admin » UNIX) pour un usage quotidien. Restreindre l’utilisation des privilèges d’administration en n’utilisant jamais le nom d’utilisateur admin et le mot de passe correspondant pour un usage quotidien.  Sauvegarder régulièrement les données critiques du système et conserver les copies de sauvegarde dans un emplacement hors site sûr.Chapitre 4 Sécurité 83 Vos supports de sauvegarde ne vous serviraient à rien s’ils étaient détruits avec l’ordinateur pendant un incendie de la salle des ordinateurs. Les plans de sauvegarde/restauration doivent être testés pour s’assurer que la restauration fonctionne.  Analyser régulièrement les historiques d’audit système et enquêter sur tous les motifs de trafic inhabituel.  Désactiver les services qui ne sont pas nécessaires sur votre système. En effet, toute vulnérabilité qui se produit dans un service de votre système peut compromettre l’ensemble du système. Dans certains cas, la configuration par défaut d’un système peut conduire à des vulnérabilités exploitables dans les services qui ont été implicitement activés et dont les options par défaut sont peu fiables. L’activation d’un service ouvre un port à partir duquel les utilisateurs peuvent accé- der à votre système. Bien que l’activation d’un service de coupe-feu contribue à empêcher les accès non autorisés, un port de service inactif constitue un point faible susceptible d’être exploité par un attaquant.  Activer le service de coupe-feu sur les serveurs, en particulier à la frontière du réseau. Le coupe-feu de votre serveur est sa première ligne de défense contre les accès non autorisés. Pour en savoir plus, consultez le chapitre sur la configuration du service de coupe-feu dans Administration des services de réseau. Si votre serveur est particulièrement sujet aux attaques, envisagez l’achat d’un coupe-feu matériel de tierces parties comme ligne de défense supplémentaire.  Si nécessaire, installer un coupe-feu local sur les serveurs critiques ou sensibles. Implémenter un coupe-feu local protège le système contre les attaques qui pourraient venir de l’intérieur du réseau de l’organisation ou d’Internet.  Pour une protection supplémentaire, implémenter un réseau privé virtuel local (VPN) qui fournit un tunnel chiffré sécurisé pour toutes les communications entre un ordinateur client et une application serveur. Certains périphériques de réseau fournissent une combinaison de fonctions : coupe-feu, détection des intrusions et VPN.  Administrer les serveurs à distance. Assurez l’administration de vos serveurs à distance en vous servant d’applications telles que Admin Serveur, Contrôle de serveur, Admin RAID et Apple Remote Desktop. La réduction de l’accès physique aux systèmes limite les risques de mauvaises surprises.84 Chapitre 4Sécurité Directives en matière de mots de passe De nombreuses applications et de nombreux services exigent que l’on crée des mots de passe pour s’authentifier. Mac OS X contient des applications qui aident à créer des mots de passe complexes (à l’aide d’Assistant mot de passe) et à stocker vos mots de passe en toute sécurité (à l’aide de Trousseau d’accès). Création de mots de passe complexes Suivez les conseils ci-dessous pour créer des mots de passe complexes :  Utilisez un mélange de caractères alphabétiques (majuscules et minuscules), numériques et spéciaux (comme ! et @).  N’utilisez pas de mots ou de combinaisons de mots disponibles dans un dictionnaire, quelle qu’en soit la langue.  Ne vous contentez pas d’ajouter un nombre à un mot alphabétique (par exemple, « fou-fou2 ») si votre mot de passe doit contenir un nombre.  Ne remplacez pas des lettres par des chiffres ou des symboles qui leur ressemblent (par exemple, « V3RT » au lieu de « VERT »).  N’utilisez pas de noms propres.  N’utilisez pas de dates.  Créez des mots de passe d’au moins 12 caractères. Les mots de passe longs sont généralement plus sûrs que les mots de passe courts.  Utilisez des mots de passe impossibles à deviner, même par quelqu’un qui connaît bien vos centres d’intérêts.  Créez des mots de passe aussi aléatoires possibles. Vous pouvez utiliser Assistant mot de passe (qui se trouve dans /System/Bibliothèque/ CoreServices/ pour vérifier la complexité de vos mots de passe.5 85 5 Installation et déploiement Que vous installiez Mac OS X Server sur un seul serveur ou sur une grappe de serveurs, sachez qu’il existe des outils et des processus pour vous aider à réussir l’installation et le déploiement. Sur certains ordinateurs, Mac OS X Server est installé d’origine. Sur d’autres ordinateurs, le logiciel serveur doit être installé. Par exemple, si vous installez Leopard Server sur un ordinateur équipé de Mac OS X, vous transformez cet ordinateur en serveur sous Mac OS X Server. L’installation de Leopard Server sur un serveur existant équipé de Mac OS X Server 10.2 à 10.4 met à niveau le logiciel serveur avec la version 10.5. Si Leopard Server est déjà installé, une nouvelle installation actualise l’environnement du serveur. Le présent chapitre contient des instructions destinées à une nouvelle installation de Leopard Server à l’aide de diverses méthodes. Vue d’ensemble de l’installation Vous avez déjà planifié le nombre et le type de serveurs à installer. Étape 1 :Assurez-vous que vous disposez de la configuration requise Assurez-vous que le serveur cible est conforme à la configuration requise. Pour en savoir plus, consultez les sections :  « Configuration requise pour l’installation de Mac OS X Server » à la page 87  « Instructions matérielles pour l’installation de Mac OS X Server » à la page 88 Étape 2 :Rassemblez les informations Rassemblez toutes les informations dont vous avez besoin avant de commencer. Cela permet non seulement d’effectuer une installation sans problèmes, mais peut également vous aider à prendre certaines décisions en matière de planification. Pour en savoir plus, consultez les sections :  Chapitre 2, « Planification, » à la page 25.86 Chapitre 5Installation et déploiement  Annexe , « Feuille d’opérations avancées de Mac OS X Server, » à la page 221.  « À propos du disque d’installation du serveur » à la page 89. Étape 3 :Configurez l’environnement Si vous ne contrôlez pas l’ensemble de l’environnement réseau (serveurs DNS, serveur DHCP, coupe-feu, etc.), vous devez coordonner vos efforts avec l’administrateur réseau avant l’installation. Un système DNS opérationnel avec recherches inversées complètes, ainsi qu’un coupe-feu autorisant la configuration constituent le strict minimum pour l’environnement de configuration. Si vous prévoyez de connecter le serveur à un système de répertoire existant, vous devez aussi coordonner vos efforts avec ceux de l’administrateur de répertoire. Consultez les sections suivantes :  « Connexion au répertoire au cours de l’installation » à la page 89.  « Installation du logiciel serveur sur un ordinateur en réseau » à la page 90. Si vous administrez le serveur à partir d’un autre ordinateur, vous devez créer un ordinateur d’administration. Pour en savoir plus, consultez la section « Préparation d’un ordinateur administrateur » à la page 88. Étape 4 :Démarrez l’ordinateur à partir d’un disque d’installation Vous ne pouvez pas effectuer d’installation sur le disque à partir duquel l’ordinateur a démarré, mais vous pouvez procéder à une mise à niveau. Pour les installations spéciales et les mises à niveau, vous devez démarrer le serveur à partir d’un disque d’installation plutôt que du disque cible. Consultez les sections suivantes :  « À propos du démarrage pour l’installation » à la page 90.  « Accès à distance au DVD d’installation » à la page 91.  « Démarrage à partir du DVD d’installation » à la page 92.  « Démarrage à partir d’une partition alternative » à la page 93.  « Démarrage à partir d’un environnement NetBoot » à la page 97. Étape 5 :Préparez le disque cible Si vous procédez à une installation spéciale, vous devez préparer le disque cible en vous assurant qu’il possède le bon format et le bon schéma de partition. Consultez les sections suivantes :  « Préparation des disques pour l’installation de Mac OS X Server » à la page 98.  « Sélection d’un système de fichiers » à la page 99.  « Partitionnement d’un disque dur » à la page 100.  « Création d’un ensemble RAID » à la page 102.  « Effacement d’un disque ou d’une partition » à la page 105.Chapitre 5 Installation et déploiement 87 Étape 6 :Démarrez le programme d’installation Le programme d’installation prend des logiciels du disque de démarrage et des paquets du logiciel serveur et les installe sur le disque cible. Consultez les sections suivantes :  « Identification du serveur distant lors de l’installation de Mac OS X Server » à la page 106  « Installation interactive du logiciel serveur » à la page 107  « Installation locale à partir du disque d’installation » à la page 107  « Installation à distance à l’aide d’Assistant du serveur » à la page 109  « Installation à distance à l’aide de VNC » à la page 111  « Installation du logiciel serveur à l’aide de l’outil de ligne de commande installer » à la page 112 Étape 7 :Configurez les services Redémarrez depuis le disque cible pour passer à l’étape de configuration. Pour en savoir plus sur la configuration du serveur, consultez la section « Configuration initiale du serveur » à la page 117. Configuration requise pour l’installation de Mac OS X Server L’ordinateur de bureau ou le serveur Macintosh sur lequel vous installez Mac OS X Server 10.5 Leopard doit être doté des éléments suivants :  Un processeur Intel ou PowerPC G4 ou G5 cadencé à 867 MHz ou plus.  FireWire intégré.  Au moins 1 Go de mémoire vive (RAM).  10 Go minimum d’espace disque disponible.  Un nouveau numéro de série pour Mac OS X Server 10.5. Le numéro de série utilisé avec une version antérieure de Mac OS X Server ne permet pas de s’enregistrer pour la version 10.5. Un lecteur de DVD intégré est pratique mais pas obligatoire. Les moniteurs et claviers sont optionnels. Vous pouvez installer le logiciel serveur sur un ordinateur sans moniteur ni clavier à l’aide d’un ordinateur administrateur. Pour en savoir plus, consultez la section « Préparation d’un ordinateur administrateur » à la page 88. Si vous utilisez un disque d’installation de Mac OS X Server 10.5 ou ultérieur, vous pouvez contrôler l’installation depuis un autre ordinateur avec le visualiseur VNC. Un visualiseur VNC open-source est disponible. Apple Remote Desktop, décrit à la page 56, contient des fonctionnalités de visualiseur VNC.88 Chapitre 5Installation et déploiement Instructions matérielles pour l’installation de Mac OS X Server Lors de l’installation du logiciel serveur sur un système Xserve, la procédure à suivre pour démarrer l’ordinateur en vue de l’installation dépend du type de matériel Xserve.Les procédures sont décrites dans le Guide de l’utilisateur Xserve ou dans le guide Présentation fourni avec le système Xserve. Collecte des informations nécessaires Utilisez la Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server pour noter les informations relatives à chacun des serveurs que vous souhaitez installer. Les paragraphes suivants fournissent des explications complémentaires sur les éléments de la Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server. La Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server se trouve dans l’Annexe, à la page 221. Préparation d’un ordinateur administrateur Vous pouvez utiliser un ordinateur administrateur pour installer, configurer et administrer Mac OS X Server à partir d’un autre ordinateur. Un ordinateur administrateur est un ordinateur équipé de Mac OS X 10.5 ou de Mac OS X Server Leopard que l’on utilise pour administrer des serveurs distants. En fait, si vous installez et configurez Mac OS X Server sur un ordinateur doté d’un moniteur et d’un clavier, cet ordinateur est déjà un ordinateur administrateur. Pour définir un ordinateur équipé de Mac OS X comme ordinateur administrateur, vous devez installer un autre logiciel. Important :si vous disposez d’applications et d’outils administratifs provenant de Mac OS X Server 10.4 Tiger ou antérieur, ne les utilisez pas avec Leopard Server. Pour activer l’administration à distance de Mac OS X Server à partir d’un ordinateur Mac OS X : 1 Assurez-vous que la version 10.5 Leopard de Mac OS X est installée sur l’ordinateur Mac OS X. 2 Assurez-vous que l’ordinateur dispose d’au moins 1 Go de RAM et 1 Go d’espace disque disponible. 3 Insérez le CD Administration Tools. 4 Ouvrez le dossier du programme d’installation. 5 Ouvrez ServerAdministrationSoftware.mpkg pour lancer le programme d’installation et suivez les instructions à l’écran.Chapitre 5 Installation et déploiement 89 À propos du disque d’installation du serveur Vous pouvez installer le logiciel serveur à l’aide du disque Mac OS X Server Install Disc. Ce disque d’installation contient tout ce dont vous avez besoin pour installer Mac OS X Server. Il contient également un dossier nommé Other Installs comprenant des programmes d’installation pour la mise à niveau d’un ordinateur Mac OS X avec Mac OS X Server et pour l’installation séparée de logiciels d’administration de serveur, l’application Répertoire, l’application Capture de podcast, le logiciel X11 et les outils de développement Xcode. Outre le disque d’installation, Mac OS X Server est livré avec le CD Administration Tools. Vous pouvez utiliser ce CD pour configurer un ordinateur administrateur. Ce disque contient également les programmes d’installation de l’application Répertoire, de l’application Capture de podcast et de l’application QTSS Publisher. Pour les administrateurs avancés, ce disque contient les programmes d’installation de PackageMaker et de Property List Editor. Configuration de services réseau Pour pouvoir procéder à l’installation, vous devez disposer des réglages suivants pour votre service réseau ou les configurer :  DNS : vous devez disposer d’un nom de domaine complet pour l’adresse IP de chaque serveur dans le système DNS. La zone DNS doit disposer de l’enregistrement de recherche inversée pour la paire nom et adresse. L’absence de système DNS stable et opérationnel avec recherche inversée provoque des pannes de service et des comportements inattendus.  DHCP : il est recommandé de ne pas assigner d’adresses IP dynamiques aux serveurs. Si votre serveur reçoit son adresse IP via DHCP, configurez un mappage statique sur le serveur DHCP afin qu’il reçoive chaque fois la même adresse IP (via son adresse Ethernet).  Coupe-feu ou routage : en plus du ou des coupe-feu exécutés sur votre serveur, le routeur de sous-réseau peut mettre en place certaines restrictions en matière de trafic réseau. Assurez-vous que l’adresse IP du serveur est disponible pour le trafic que vous prévoyez de gérer et les services que vous prévoyez d’exécuter. Connexion au répertoire au cours de l’installation Si vous souhaitez utiliser un serveur en tant que maître Open Directory, assurez-vous qu’il dispose d’une connexion Ethernet active à un réseau sécurisé avant de procéder à l’installation et la configuration initiale.90 Chapitre 5Installation et déploiement Installation du logiciel serveur sur un ordinateur en réseau Lorsque vous démarrez un ordinateur depuis un disque d’installation du serveur, le protocole SSH démarre automatiquement afin que les installations à distance puissent être réalisées. Important :avant d’installer ou de réinstaller Mac OS X Server, assurez-vous que le réseau est sécurisé. En effet, SSH donne à d’autres personnes l’accès à l’ordinateur par le réseau. Définissez, par exemple, la topologie du réseau de façon à ce que seuls les utilisateurs de confiance puissent accéder au sous-réseau de l’ordinateur serveur. À propos du démarrage pour l’installation L’ordinateur ne peut pas procéder à une installation sur son propre volume de démarrage. Vous devez donc démarrer d’une autre façon, par exemple :  Supports optiques, DVD.  Volumes alternatifs (autres partitions du disque dur ou disques FireWire externes).  Netboot. L’ordinateur doit effectuer l’installation à partir du disque ou de l’image ayant servi à son démarrage. Monter un autre point de partage avec un programme d’installation ne marchera pas. Le programme d’installation utilise certains fichiers actuellement actifs sur la partition du système ayant servi au démarrage pour la nouvelle installation. Avant de démarrer Si vous procédez à une installation spéciale plutôt qu’à la mise à jour d’un serveur existant, sauvegardez toutes les informations utilisateur qui se trouvent sur le disque ou la partition sur lequel vous installez le logiciel serveur. Si vous procédez à la mise à niveau d’un serveur existant, assurez-vous que d’éventuelles données de configuration enregistrées ne seront pas détectées et utilisées pour installer automatiquement une configuration avancée. Assistant du serveur recherche d’éventuelles données de configuration enregistrées sur tous les disques montés et dans tous les répertoires auxquels le serveur est configuré pour accéder. Les données de configuration enregistrées écraseront les réglages existants du serveur. Pour en savoir plus sur la configuration automatique d’un serveur, consultez la section « Utilisation de la configuration automatique de serveurs » à la page 128.Chapitre 5 Installation et déploiement 91 Accès à distance au DVD d’installation Lorsque vous l’utilisez comme disque de démarrage, le DVD d’installation fournit certains services pour l’accès à distance. Lorsque vous démarrez à partir du DVD, SSH et VNC sont disponibles. VNC vous permet d’utiliser un visualiseur VNC (tel qu’Apple Remote Desktop) pour afficher l’interface utilisateur comme si vous utilisiez le clavier, la souris et le moniteur de l’ordinateur distant. Tout ce que vous pouvez faire directement sur l’ordinateur à l’aide du clavier et de la souris est disponible à distance et localement. Les seules exceptions sont la réinitialisation forcée, d’autres manipulations matérielles et le maintien de touches enfoncées au démarrage. SSH vous permet l’accès par ligne de commande à l’ordinateur avec des privilèges d’administrateur. Pour accéder à l’ordinateur avec VNC : 1 Démarrez l’ordinateur cible à partir du DVD d’installation de Mac OS X Server 10.5 ou ultérieur. La procédure à suivre dépend du type de matériel cible. Pour en savoir plus sur les options de disque de démarrage, consultez la section « À propos du démarrage pour l’installation » à la page 90. 2 Utilisez votre visualiseur VNC pour établir une connexion au serveur cible. 3 Identifiez le serveur cible. Si le serveur cible fait partie d’une liste de serveurs disponibles fournie par le visualiseur VNC, sélectionnez-le dans cette liste. Sinon, vous devrez saisir une adresse IP au format IPv4 (000.000.000.000). Si vous ignorez l’adresse IP et que le serveur distant réside sur le sous-réseau local, utilisez la commande sa_srchr pour identifier les ordinateurs du sous-réseau local sur lesquels vous pouvez installer le logiciel serveur :saisissez ce qui suit à partir d’un ordinateur sur lequel les outils Mac OS X Server sont installés : /system/library/serversetup/sa_srchr 224.0.0.1 Cette commande renvoie l’adresse IP et l’EthernetID (ainsi que d’autres informations) des serveurs du sous-réseau local qui ont démarré à partir du disque d’installation. 4 Lorsque vous êtes invité à fournir un mot de passe, saisissez les huit premiers chiffres du numéro de série matériel intégré au serveur. Pour rechercher le numéro de série, cherchez une étiquette sur le serveur. Si vous effectuez l’installation sur un vieil ordinateur qui ne dispose pas de numéro de série de matériel intégré, tapez le mot de passe 12345678. Si vous utilisez Apple Remote Desktop comme visualiseur VNC, saisissez le mot de passe sans préciser de nom d’utilisateur.92 Chapitre 5Installation et déploiement Pour accéder à l’ordinateur avec SSH : 1 Démarrez l’ordinateur cible à partir du DVD d’installation de Mac OS X Server 10.5 ou ultérieur. La procédure à suivre dépend du type de matériel cible. Pour en savoir plus sur les options de disque de démarrage, consultez la section « À propos du démarrage pour l’installation » à la page 90. 2 Utilisez Terminal pour ouvrir une connexion shell sécurisée au serveur cible. Le nom d’utilisateur est root et le mot de passe est constitué des huit premiers chiffres du numéro de série matériel intégré du serveur. Pour rechercher le numéro de série, cherchez une étiquette sur le serveur. Si vous effectuez l’installation sur un vieil ordinateur qui ne dispose pas de numéro de série de matériel intégré, tapez le mot de passe 12345678. Si vous ignorez l’adresse IP et que le serveur distant réside sur le sous-réseau local, utilisez la commande sa_srchr pour identifier les ordinateurs du sous-réseau local sur lesquels vous pouvez installer le logiciel serveur :saisissez ce qui suit à partir d’un ordinateur sur lequel les outils Mac OS X Server sont installés : /system/library/serversetup/sa_srchr 224.0.0.1 Cette commande renvoie l’adresse IP et l’EthernetID (ainsi que d’autres informations) des serveurs du sous-réseau local qui ont démarré à partir du disque d’installation. Démarrage à partir du DVD d’installation C’est la méthode la plus simple pour démarrer l’ordinateur si vous avez un accès physique au serveur et si ce dernier dispose d’un lecteur optique. Si le serveur cible est un Xserve équipé d’un lecteur de DVD intégré, démarrez le serveur à partir du DVD d’installation en suivant les instructions du Guide de l’utilisateur Xserve relatives au démarrage à partir d’un disque système. Si le serveur cible ne dispose pas de lecteur de DVD intégré, vous pouvez utiliser un lecteur de DVD FireWire externe. Vous pouvez également installer le logiciel serveur sur un système Xserve sans lecteur de DVD en déplaçant son module de disque vers un autre système Xserve doté, lui, d’un tel lecteur. Application d’installation ou outil d’installation dans l’application TerminalChapitre 5 Installation et déploiement 93 Pour démarrer l’ordinateur à partir du disque d’installation. 1 Allumez l’ordinateur et insérez le disque d’installation de Mac OS X Server dans le lecteur de DVD. 2 Si vous utilisez un lecteur de DVD intégré, redémarrez l’ordinateur en maintenant la touche C enfoncée. Vous pouvez relâcher la touche C lorsque le logo Apple s’affiche. Vous pouvez aussi redémarrer l’ordinateur en maintenant la touche Option enfoncée, en sélectionnant l’icône représentant le disque d’installation et en cliquant sur la flè- che vers la droite. Vous devez utiliser cette méthode si vous démarrez à partir d’un lecteur de DVD externe. 3 Si vous procédez à une installation sur un Xserve, la procédure de démarrage à partir d’un DVD peut être différente. Pour en savoir plus, consultez le Guide de l’utilisateur ou le guide Présentation inclus avec votre Xserve. 4 Après le redémarrage de l’ordinateur, choisissez la langue à utiliser pendant l’installation, puis cliquez sur le bouton représentant une flèche. Le programme d’installation est à présent en cours d’exécution. Démarrage à partir d’une partition alternative Pour une installation sur un seul serveur, il se peut que la préparation au démarrage à partir d’une partition alternative prenne plus de temps que la simple utilisation du DVD d’installation. La création de l’image, l’analyse et la restauration de l’image sur une partition de démarrage peut prendre plus de temps qu’une installation unique à partir d’un DVD. Par contre, si vous procédez régulièrement à des réinstallations, si vous créez une installation basée sur un lecteur FireWire externe pour plusieurs ordinateurs ou si vous avez besoin d’un autre type de distribution en masse (pour des serveurs Xserve en grappe sans lecteur de DVD par exemple), cette méthode peut s’avérer très efficace. Cette méthode convient bien à l’installation sur des ordinateurs auxquels vous n’avez pas un accès physique aisé. Avec suffisamment de préparation, cette méthode peut être modifiée pour déployer aisément en masse des copies de Mac OS X Server dont vous possédez les licences. Pour utiliser cette méthode, vous devez disposer d’une installation existante quelconque sur l’ordinateur. Elle est destinée aux environnements dans lesquels un certain niveau d’infrastructure existante de Mac OS X Server est présent, mais elle peut ne pas convenir pour une première installation de serveur. Pour démarrer à partir d’une partition alternative, il y a quatre étapes élémentaires.94 Chapitre 5Installation et déploiement Étape 1 :Préparez les disques et les partitions sur l’ordinateur cible Avant de commencer, vous devez disposer d’au moins deux partitions sur l’ordinateur cible. La première servira de partition de démarrage initiale et finale, la seconde de partition temporaire pour le programme d’installation. Vous pouvez utiliser un seul disque contenant plusieurs partitions ou plusieurs disques. Utilisez l’application Utilitaire de disque pour préparer les disques. Pour en savoir plus sur la préparation et le partitionnement d’un disque dur, consultez l’aide d’Utilitaire de disque. Étape 2 :Créez une image restaurable du DVD d’installation Cette étape ne doit pas nécessairement être réalisée sur l’ordinateur cible. Elle peut être effectuée sur un ordinateur administrateur, mais il doit y avoir assez d’espace disque pour créer une image de l’ensemble du DVD d’installation. Pour créer une image du DVD d’installation : 1 Insérez le DVD d’installation. 2 Lancez Utilitaire de disque. 3 Sélectionnez l’icône de la première session sous l’icône du lecteur optique. Elle se trouve dans la liste des périphériques, dans la partie gauche de la fenêtre. 4 Choisissez Fichier > Nouvelle > « image disque de ». 5 Donnez un nom à l’image, sélectionnez un type d’image (Lecture seule, Lire/écrire ou Comprimé), puis cliquez sur Enregistrer. 6 Une fois l’image créée, sélectionnez-la dans la liste de gauche. 7 Dans le menu, choisissez Images > Examiner une image pour la restaurer. 8 Saisissez un nom d’utilisateur et un mot de passe d’administrateur. L’image disque du programme d’installation peut maintenant être restaurée sur votre partition supplémentaire. ∏ Astuce :si vous préférez travailler avec la ligne de commande, vous pouvez utiliser hdiutil pour créer l’image disque et asr pour examiner l’image afin de la restaurer. Toutes les commandes doivent être exécutées avec des privilèges de super-utilisateur ou de root. La commande suivante, par exemple, crée une image disque nommée « Installer.dmg » à partir du périphérique disk1s1 : hdiutil create -srcdevice disk1s1 Installer.dmg La commande suivante examine l’image « Installer.dmg » et la prépare à la restauration : asr imagescan --source Installer.dmgChapitre 5 Installation et déploiement 95 Étape 3 :Restauration de l’image sur une partition alternative Vous pouvez restaurer l’image disque sur une partition de l’ordinateur ou sur un disque dur externe. Une fois que la restauration est terminée, la partition restaurée fonctionne comme le DVD d’installation. Assurez-vous que la partition alternative fait au moins la taille de l’image disque. La restauration de l’image disque sur la partition efface toutes les données qui figurent sur la partition. Pour restaurer l’image : 1 Démarrez l’ordinateur cible. 2 Assurez-vous que l’image ne réside pas sur la partition qui va être effacée. 3 Lancez Utilitaire de disque. 4 Dans la liste de périphériques qui se trouve dans la partie gauche de la fenêtre, sélectionnez l’image du DVD d’installation. 5 Cliquez sur Restaurer. 6 Faites glisser l’image d’installation de la partie gauche de la fenêtre vers le champ Source. 7 Faites glisser la partition alternative de la liste des périphériques qui se trouve dans la partie gauche de la fenêtre vers le champ Destination. 8 Sélectionnez Effacer la destination. 9 Cliquez sur Restaurer. Si vous préférez travailler avec la ligne de commande, utilisez l’outil asr pour restaurer l’image sur la partition. L’utilisation d’asr requiert des privilèges de super-utilisateur ou de root. La syntaxe de base est : sudo asr restore -s -t --erase Ainsi, pour restaurer une image nommée « Installer.dmg » sur la partition « ExtraHD », la syntaxe serait : asr restore -s Installer.dmg -t ExtraHD --erase Pour en savoir plus sur asr et ses possibilités, consultez la page man de l’outil. ∏ Astuce : vous pouvez utiliser asr pour restaurer un disque sur un réseau en multidiffusant les blocs vers les ordinateurs clients. La fonctionnalité de serveur de multidiffusion d’asr permet de placer une copie de l’image d’installation sur une partition de tous les ordinateurs capables de recevoir les paquets de multidiffusion. Pour configurer cette opération, vous aurez besoin des informations figurant dans la page man de l’outil. Comme l’outil asr peut aussi aller chercher l’image cible sur un serveur HTTP en utilisant des URL http ou https comme source, l’image ne doit pas nécessairement résider sur l’ordinateur cible.96 Chapitre 5Installation et déploiement Étape 4 :Sélectionnez la partition alternative en tant que disque de démarrage. Une fois que la partition est restaurée, elle peut servir de disque de démarrage et d’installation pour votre serveur. Vous devez maintenant démarrer l’ordinateur à partir de la partition. Une fois que l’ordinateur est en service, vous disposez d’un programme d’installation Mac OS X Server, comme si vous aviez démarré l’ordinateur à partir du DVD. Pour démarrer l’ordinateur à partir du disque d’installation : 1 Allumez l’ordinateur et maintenez la touche Option enfoncée. 2 Sélectionnez l’icône représentant la partition d’installation, puis cliquez sur la flèche vers la droite. Vous devez utiliser cette méthode si vous démarrez à partir d’un lecteur de DVD externe. Si vous procédez à une installation sur un Xserve, la procédure de démarrage à partir d’un DVD peut être différente. Pour en savoir plus, consultez le Guide de l’utilisateur de Xserve ou le guide Présentation qui accompagnait votre Xserve. 3 Après le redémarrage de l’ordinateur, choisissez la langue à utiliser pendant l’installation, puis cliquez sur le bouton représentant une flèche. Le programme d’installation est à présent en cours d’exécution. Si vous préférez travailler avec la ligne de commande, vous pouvez définir le volume de démarrage à l’aide de l’outil systemsetup. Sous Mac OS X Server 10.4 ou ultérieur, l’outil systemsetup se trouve dans /usr/sbin/systemsetup. Si vous utilisez le client Mac OS X pendant ce processus, l’outil se trouve dans /Système/Bibliothèque/CoreServices/RemoteManagement/ARDAgent.app/Contents/Support/systemsetup. Vous devrez utiliser les options de commande -liststartupdisks et -setstartupdisk pour rechercher le volume d’installation que vous venez de restaurer et le sélectionner comme disque de démarrage. Toutes les commandes émises avec systemsetup doivent être exécutées avec des privilèges de super-utilisateur ou de root. Voici un exemple de commande permettant de sélectionner le disque de démarrage : systemsetup -setstartupdisk “/Volumes/Mac OS X Server Install Disk” Exécutez ensuite la commande shutdown -r pour redémarrer. Pour en savoir plus sur systemsetup, consultez la section Administration de ligne de commande et la page man de l’outil.Chapitre 5 Installation et déploiement 97 Démarrage à partir d’un environnement NetBoot Si vous disposez d’une infrastructure NetBoot, elle constitue la façon la plus simple de réaliser des installations et des déploiements de masse. Cette méthode peut être utilisée pour des grappes de serveurs dépourvus de lecteur optique ou de logiciel système, comme vous pouvez le voir dans l’illustration ci-dessous : Elle peut aussi être utilisée dans des environnements où un grand nombre de serveurs doit être déployé de façon efficace. Cette section n’explique pas comment créer l’infrastructure NetBoot requise. Si vous voulez configurer des options NetBoot et NetInstall pour votre réseau, vos serveurs et vos ordinateurs clients, consultez la section Administration de Mise à jour de logiciels et d’Imagerie système. Cette section contient des instructions permettant de créer une image NetInstall à partir du disque d’installation de Mac OS X Server et de démarrer un serveur à partir de cette image. Il n’est pas nécessaire de préparer le disque dur. Étape 1 :Créez une image NetInstall à partir du DVD d’installation Cette étape ne doit pas nécessairement être réalisée sur l’ordinateur cible. Elle peut être réalisée sur un ordinateur administrateur disposant de l’espace disque suffisant pour créer une image de l’ensemble du DVD d’installation. 1 Lancez Utilitaire d’images de système, dans /Applications/Server/. 2 Sélectionnez le DVD d’installation à gauche, puis l’image NetInstall à droite. 3 Cliquez sur Continuer. 4 Saisissez le nom et la description de l’image. Ces informations seront visibles par les clients qui sélectionneront l’image en tant que disque de démarrage. 5 Cliquez sur Créer, puis sélectionnez un emplacement pour l’enregistrement de l’image disque. Serveurs cible Serveurs cible NetBoot Mac OS X Server Commencer l’installation du serveur Ordinateur administrateur Destination98 Chapitre 5Installation et déploiement Une fois terminée, cette image peut être utilisée avec un serveur NetBoot pour démarrer un serveur en vue d’une installation. Pour en savoir plus sur les images NetInstall et Utilitaire d’images de système, y compris sur les options de personnalisation, consultez la section Administration de Mise à jour de logiciels et d’Imagerie système. Étape 2 :Démarrez l’ordinateur à partir du serveur NetBoot Il existe quatre manières de procéder, selon votre environnement.  Dans l’interface utilisateur graphique de l’ordinateur cible, sélectionnez le disque NetInstall dans la sous-fenêtre Disque de démarrage de Préférences Système.  Redémarrez l’ordinateur tout en maintenant la touche « n » enfoncée. Le premier serveur NetBoot qui répondra à l’ordinateur démarrera ce dernier à l’aide de son image par défaut.  Redémarrez l’ordinateur tout en maintenant la touche Option enfoncée. L’ordinateur affiche les disques de démarrage disponibles soit localement sur l’ordinateur, soit à distance sur les serveurs NetBoot et NetInstall. Sélectionnez un disque et poursuivez le démarrage.  Utilisez la ligne de commande localement ou à distance pour spécifier le serveur NetBoot à partir duquel l’ordinateur doit démarrer : sudo bless --netboot --server bsdp://serveur.exemple.com Préparation des disques pour l’installation de Mac OS X Server Avant de réaliser une installation spéciale de Mac OS X Server, vous pouvez partitionner le disque dur de l’ordinateur serveur en plusieurs volumes, créer un ensemble RAID ou bien effacer le disque ou la partition cible. Si vous utilisez un disque d’installation de Mac OS X Server 10.5ou ultérieur, vous pouvez réaliser ces tâches depuis un autre ordinateur en réseau en utilisant un visualiseur VNC, tel qu’Apple Remote Desktop, avant de lancer une installation spéciale. AVERTISSEMENT :avant de partitionner un disque, de créer un ensemble RAID ou d’effacer un disque ou une partition d’un serveur existant, conservez toutes les données de l’utilisateur que vous souhaitez sauvegarder en les copiant sur un autre disque ou une autre partition.Chapitre 5 Installation et déploiement 99 Sélection d’un système de fichiers Un système de fichiers est une méthode de stockage et d’organisation de fichiers informatiques et des données qu’ils contiennent sur un périphérique de stockage tel qu’un disque dur. Mac OS X Server prend en charge plusieurs types de système de fichiers pour le stockage sur disque dur. Chaque système de fichiers a ses propres avantages. À vous de choisir celui qui répond le mieux aux besoins de votre organisation. Pour en savoir plus, consultez ce qui suit : developer.apple.com/technotes/tn/tn1150.html Les systèmes suivants sont disponibles : Mac OS étendu (journalisé), ou HFS+J Le système de fichiers HFS+J est le système de fichiers par défaut de Mac OS X Server. Un volume HFS+J dispose d’un journal facultatif permettant d’accélérer la restauration lors du montage d’un volume démonté de façon incorrecte (après une coupure de courant ou un plantage par exemple). Le journal accélère et simplifie la restauration des structures du volume dans un état cohérent, sans qu’il soit nécessaire d’analyser l’ensemble des structures. Le journal n’est utilisé que pour les structures et les métadonnées des volumes ; il ne protège pas le contenu des branches de ressources. En d’autres mots, ce journal protège l’intégrité des structures de disque sous-jacentes, mais pas les données qui pourraient être endommagées en raison d’une erreur d’écriture ou d’une coupure de courant accidentelle. Pour plus d’informations sur HFS+J, consultez la documentation développeur Apple à l’adresse : developer.apple.com/documentation/MacOSX/Conceptual/BPFileSystem/Articles/Comparisons.html Mac OS X étendu (sensible à la casse, journalisé), ou HFSX HFSX est une extension de HFS Plus et permet aux volumes d’avoir des noms de fichier et de répertoire sensibles à la casse. La présence de noms sensibles à la casse signifie qu’il peut y avoir en même temps dans le même répertoire deux objets dont les noms ne diffèrent que par la casse des lettres. Vous pourriez par exemple avoir comme noms de fichier uniques Bob, BOB et bob au sein du même répertoire. Les volumes sensibles à la casse sont pris en charge comme volumes de démarrage. Un système de fichiers HFSX pour Mac OS X Server doit être sélectionné spécifiquement lors de l’effacement d’un volume et la préparation de l’installation initiale. HFSX est un format disponible pour l’option « Effacer et installer » pour les installations locales. HFSX n’est pas un format disponible pour les installations contrôlées à distance. Si vous prévoyez d’utiliser NFS, utilisez le format sensible à la casse HFSX.100 Chapitre 5Installation et déploiement Un volume HFSX peut être soit sensible à la casse, soit insensible à la casse. La sensibilité à la casse (ou l’insensibilité à la casse) est étendue à l’ensemble du volume ; ce réglage s’applique à tous les noms de fichier et de répertoire du volume. Pour déterminer si un volume HFSX est sensible à la casse, utilisez le champ keyCompareType de l’en-tête B-tree du fichier de catalogue. La valeur kHFSBinaryCompare indique que le volume est sensible à la casse. La valeur kHFSCaseFolding indique que le volume est insensible à la casse. Remarque :ne présupposez jamais qu’un volume HFSX est sensible à la casse. Utilisez toujours keyCompareType pour le vérifier. Sachez également que les logiciels de tierce partie ne fonctionnent pas toujours correctement avec la sensibilité à la casse. Important :les noms sensibles à la casse n’ignorent pas les caractères ignorables Unicode. Cela signifie qu’un même répertoire peut posséder plusieurs noms considérés comme équivalents selon les règles de comparaison Unicode, mais différents sur un volume HFSX sensible à la casse. Partitionnement d’un disque dur Partitionner le disque dur permet de créer un volume destiné au logiciel système du serveur et un ou plusieurs autres pour les données et les autres logiciels. Le partitionnement efface le contenu du disque. La taille minimale recommandée pour une partition d’installation est de 20 Go. Un volume plus important est recommandé pour les configurations standard ou les configurations de groupe de travail, car elles conservent les dossiers partagés et les sites web de groupe sur le volume de démarrage avec le logiciel serveur. Effacer un disque revient à créer une seule partition de volume sur un disque et à effacer ce volume. Pensez à consacrer un disque dur ou un volume de disque dur partitionné au logiciel serveur. Placez les logiciels supplémentaires, les points de partage, les sites web, etc. sur d’autres disques ou volumes. Avec cette approche, vous pouvez mettre à niveau ou réinstaller le logiciel serveur sans affecter les autres logiciels ni les données utilisateur. Si vous devez stocker des logiciels ou des données supplémentaires sur le volume système, la mise en miroir sur un autre disque constitue une solution intéressante. ∏ Astuce : une ou deux partitions supplémentaires vides sur le disque d’installation cible peut vous donner plus de flexibilité lors de l’installation et du déploiement. Cet espace supplémentaire peut, par exemple, vous permettre de placer temporairement en miroir votre installation courante avant de réaliser une mise à jour ou de bénéficier d’un disque d’installation rapide.Chapitre 5 Installation et déploiement 101 Partitionnement d’un disque à l’aide d’Utilitaire de disque Vous pouvez utiliser le programme d’installation pour ouvrir l’application Utilitaire de disque, puis utiliser cette dernière pour effacer le volume cible ou tout autre volume. Vous pouvez effacer le volume cible à l’aide du format Mac OS étendu, Mac OS étendu (journalisé), Mac OS étendu (sensible à la casse) ou Mac OS étendu (sensible à la casse, journalisé). Il n’est pas possible de partitionner le disque de démarrage ni d’effacer le volume de démarrage actif. 1 Lancez Utilitaire de disque. Si vous êtes dans le programme d’installation, Utilitaire de disque est accessible à partir du menu Utilitaires. Sinon, lancez l’application à partir de /Applications/Utilitaires/Utilitaire de disque. 2 Sélectionnez le disque à partitionner. Vous ne pouvez pas sélectionner votre disque de démarrage actuel. Sélectionner un volume sur le disque vous permettra d’effacer le volume, mais ne créera pas un autre schéma de partition. 3 Cliquez sur Partition. 4 Choisissez votre schéma de partition et suivez les instructions présentées dans la fenê- tre pour définir tous les paramètres nécessaires. 5 Cliquez sur Appliquer. Vous trouverez dans l’Aide Utilitaire de disque des instructions sur le partitionnement du disque dur en plusieurs volumes, sur la création d’un ensemble RAID et sur l’effacement du disque ou de la partition cible. Pour afficher cette aide, ouvrez Utilitaire de disque sur un autre ordinateur Macintosh doté de Mac OS X 10.5 et choisissez Aide > Aide Utilitaire de disque. Partitionnement d’un disque à l’aide de la ligne de commande Vous pouvez utiliser l’outil de ligne de commande diskutil pour partitionner et effacer un disque dur. Pour utiliser cette méthode, vous devez normalement utiliser un shell distant (SSH) pour ouvrir une session sur l’ordinateur qui vient de démarrer. L’outil de partition de disques est diskutil. Comme dans Utilitaire de disque, vous pouvez effacer le volume cible à l’aide du format Mac OS étendu, du format Mac OS étendu (journalisé), du format Mac OS étendu (sensible à la casse) et du format Mac OS étendu (sensible à la casse, journalisé).  Vous ne pouvez pas partitionner le disque de démarrage ni effacer le volume de démarrage actif.  Toutes les opérations diskutil potentiellement destructives doivent être réalisées avec des privilèges de super-utilisateur ou de root.102 Chapitre 5Installation et déploiement Pour en savoir plus sur diskutil et sur d’autres usages de cet outil, consultez la section Administration de ligne de commande. Pour obtenir la syntaxe complète de la commande diskutil, consultez la page man de l’outil. La commande à utiliser dépend du format de disque et du matériel utilisé. Veillez à utiliser des arguments de ligne de commande adaptés à vos propres besoins. En guise d’exemple, la commande suivante permet de partitionner un disque dur unique de 120 Go en deux volumes HFS+ de 60 Go journalisés (« Démarrage » et « Données ») permettant de démarrer un ordinateur Macintosh à processeur PowerPC. La syntaxe de base est : diskutil partitionDisk périphérique nombreDePartitions APMFormat La commande est donc : diskutil partitionDisk disk0 2 APMFormat JournaledHFS+ Démarrage 50% JournaledHFS+ Données 50% Création d’un ensemble RAID Si vous installez Mac OS X Server sur un ordinateur doté de plusieurs disques durs internes, vous pouvez créer une matrice redondante de disques indépendants (RAID) pour optimiser la capacité de stockage, améliorer les performances et augmenter la fiabilité en cas de défaillance de disque. Un ensemble RAID en miroir, par exemple, augmente la fiabilité en écrivant vos données simultanément sur deux disques ou plus. Si l’un des disques est défaillant, votre serveur utilise automatiquement l’un des autres disques de l’ensemble RAID. Utilitaire de disque permet de configurer un ensemble RAID. Il propose deux types d’ensembles RAID et une option de disque supplémentaire :  Un ensemble RAID entrelacé (RAID 0) répartit les fichiers sur les différents disques qui composent l’ensemble. Un ensemble RAID entrelacé améliore les performances de vos logiciels parce qu’il permet de lire et d’écrire sur tous les disques de l’ensemble en même temps. Vous pouvez utiliser un ensemble RAID entrelacé si vous travaillez avec des fichiers volumineux tels que les fichiers vidéonumériques.  Un ensemble RAID en miroir (RAID 1) duplique les fichiers sur les différents disques qui composent l’ensemble. Comme ce schéma maintient deux copies des fichiers ou plus, il fournit des copies de sauvegarde permanentes de ces derniers. Il peut en outre vous aider à garder des données disponibles en cas de défaillance de l’un des disques de l’ensemble. La mise en miroir est recommandée si vous disposez de fichiers ou d’applications partagés auxquels les utilisateurs accèdent fréquemment.Chapitre 5 Installation et déploiement 103 Vous pouvez configurer la mise en miroir RAID après avoir installé Mac OS X Server si le disque utilisé pour l’installation n’est pas partitionné. Afin d’éviter toute perte de données, vous devez configurer la mise en miroir RAID le plus tôt possible.  Un ensemble de disques concaténés vous permet d’utiliser plusieurs disques comme s’il s’agissait d’un volume unique. Il ne s’agit pas d’un véritable ensemble RAID et cette solution n’améliore ni la redondance ni les performances. Vous pouvez combiner différents ensembles RAID pour combiner leurs avantages. Vous pouvez, par exemple, créer un ensemble RAID qui combine l’accès rapide aux disques d’un ensemble RAID entrelacé et la protection des données d’un ensemble RAID en miroir. Pour ce faire, créez deux ensembles RAID d’un type, puis un ensemble RAID d’un autre type en utilisant les deux premiers ensembles RAID comme disques. Les ensembles RAID que vous combinez doivent tous être créés à l’aide d’Utilitaire de disque ou de diskutil dans Mac OS X 10.4 ou ultérieur. La méthode de partitionnement utilisée sur les disques ne peut pas être mixte (la plateforme PPC est au format APMFormat, la plateforme Intel est au format GPTFormat) au sein d’un même ensemble RAID. Les ordinateurs Mac Pro et les Xserve à processeur Intel peuvent démarrer à partir d’un volume RAID logiciel. Certains Mac à processeur Intel ne prennent pas en charge le démarrage à partir de volumes RAID logiciels. Si vous tentez de démarrer ces Mac à processeur Intel à partir d’un volume RAID logiciel, il se peut que l’ordinateur affiche un point d’interrogation clignotant lors du démarrage. Les ordinateurs suivants ne prennent pas en charge le démarrage à partir de volumes RAID logiciels :  iMac (début 2006)  Mac mini (début 2006) Aucun Mac à processeur PPC ne prend en charge le démarrage à partir de volumes RAID logiciels. Si vous avez besoin d’une prise en charge plus sophistiquée de RAID, pensez aux réseaux RAID matériels. Ils disposent d’un matériel RAID dédié et d’une capacité de stockage pouvant dépasser 5 téraoctets. Création d’un ensemble RAID à l’aide d’Utilitaire de disque Vous pouvez utiliser le programme d’installation pour ouvrir l’application Utilitaire de disque, puis utiliser cette dernière pour créer l’ensemble RAID à partir de disques disponibles. Il n’est pas nécessaire d’effacer les disques avant de créer l’ensemble. La création d’un ensemble RAID efface le contenu des disques concernés.104 Chapitre 5Installation et déploiement Les volumes de l’ensemble RAID peuvent être au format Mac OS étendu, Mac OS étendu (journalisé), Mac OS étendu (sensible à la casse), Mac OS étendu (sensible à la casse, journalisé) et MS-DOS FAT. Pour en savoir plus sur les formats de volume, consultez la section « Préparation des disques pour l’installation de Mac OS X Server » à la page 98. Vous ne pouvez pas créer un ensemble RAID à partir du disque de démarrage actif. 1 Lancez Utilitaire de disque. Si vous êtes dans le programme d’installation, Utilitaire de disque est accessible via le menu Utilitaires. Sinon, lancez l’application à partir de /Applications/Utilitaires/Utilitaire de disque. 2 Sélectionnez le disque à intégrer à l’ensemble RAID. Vous ne pouvez pas sélectionner le disque de démarrage actif. Lors de la création d’ensembles RAID ou de l’ajout de disques, il est recommandé de spécifier l’ensemble du disque plutôt qu’une partition du disque. 3 Cliquez sur RAID. 4 Sélectionnez le type d’ensemble RAID souhaité. 5 Faites glisser les disques vers la fenêtre. 6 Suivez les instructions présentées dans la fenêtre pour définir tous les paramètres nécessaires. 7 Cliquez sur Créer. Vous trouverez dans l’Aide Utilitaire de disque des instructions sur le partitionnement du disque dur en plusieurs volumes, sur la création d’un ensemble RAID et sur l’effacement du disque ou de la partition cible. Pour afficher cette aide, ouvrez Utilitaire de disque sur un autre ordinateur Macintosh doté de Mac OS X 10.5 et choisissez Aide > Aide Utilitaire de disque. Création d’un ensemble RAID à l’aide de la ligne de commande Vous pouvez utiliser l’outil de ligne de commande diskutil pour créer un ensemble RAID. Pour utiliser cette méthode, vous devez normalement utiliser un shell distant (SSH) pour ouvrir une session sur l’ordinateur qui vient de démarrer. L’outil de création d’ensembles RAID est diskutil. Tout comme Utilitaire de disque, diskutil permet de créer un volume RAID au format Mac OS étendu, Mac OS étendu (journalisé), Mac OS étendu (sensible à la casse), Mac OS étendu (sensible à la casse, journalisé) ou MS-DOS FAT. N’oubliez toutefois pas ce qui suit :  Vous ne pouvez pas créer un ensemble RAID à partir du disque de démarrage actif.  Lors de la création d’ensembles RAID ou de l’ajout de disques, spécifiez l’ensemble du disque plutôt qu’une partition du disque.Chapitre 5 Installation et déploiement 105  Toutes les opérations diskutil potentiellement destructives doivent être réalisées avec des privilèges de super-utilisateur ou de root. Pour en savoir plus sur diskutil et sur d’autres usages de cet outil, consultez la section Administration de ligne de commande. Pour la syntaxe complète de la commande diskutil, consultez la page man de l’outil. La commande à utiliser dépend de vos besoins en matière de réseau RAID. Utilisez des arguments de ligne de commande adaptés à vos propres besoins. En guise d’exemple, la commande suivante crée un ensemble RAID en miroir (RAID 1) à partir des deux premiers disques installés dans l’ordinateur (disk0 et disk1), le volume RAID résultant étant appelé DonnéesEnMirroir. La syntaxe de base est : diskutil createRAID mirror nomDeL’ensemble format périphérique périphérique ... La commande est donc : diskutil createRAID mirror DonnéesEnMirroir JournaledHFS+ disk0 disk1 Effacement d’un disque ou d’une partition Vous disposez, selon vos outils préférés et votre environnement informatique, de plusieurs options pour effacer un disque :  Effacement d’un disque à l’aide du programme d’installation : vous avez la possibilité d’effacer un disque ou une partition lorsque vous utilisez le programme d’installation de Mac OS X Server. Lorsque vous sélectionnez le volume cible dans le programme d’installation, vous pouvez aussi sélectionner une option permettant d’effacer le disque ou la partition cible lors de l’installation à l’aide du format Mac OS étendu (journalisé). Il s’agit du format recommandé pour un volume de démarrage Mac OS X Server.  Effacement d’un disque à l’aide d’Utilitaire de disque : vous pouvez utiliser le programme d’installation pour ouvrir l’application Utilitaire de disque, puis utiliser cette dernière pour effacer le volume cible ou tout autre volume. Vous pouvez effacer le volume cible à l’aide du format Mac OS étendu ou Mac OS étendu (journalisé). Vous pouvez effacer d’autres volumes à l’aide du format Mac OS étendu (sensible à la casse) ou du format Mac OS étendu (sensible à la casse, journalisé). Le programme d’installation de Mac OS X Server permet d’effacer, mais pas de partitionner un disque ou une partition. Lorsque vous sélectionnez le volume cible dans le programme d’installation, vous pouvez aussi sélectionner une option permettant d’effacer le disque ou la partition cible lors de l’installation à l’aide du format Mac OS étendu (journalisé). Il s’agit du format recommandé pour un volume de démarrage Mac OS X Server.106 Chapitre 5Installation et déploiement Vous trouverez dans l’Aide Utilitaire de disque des instructions sur le partitionnement du disque dur en plusieurs volumes, sur la création d’un ensemble RAID et sur l’effacement du disque ou de la partition cible. Pour afficher cette aide, ouvrez Utilitaire de disque sur un autre ordinateur Macintosh doté de Mac OS X 10.5 et choisissez Aide > Aide Utilitaire de disque.  Effacement d’un disque à l’aide de la ligne de commande : vous pouvez utiliser la ligne de commande pour effacer des disques à l’aide de l’outil diskutil. Effacer un disque à l’aide de diskutil provoque la perte de toutes les partitions du volume. La commande d’effacement d’un disque complet est : diskutil eraseDisk format nom [OS9Drivers | APMFormat | MBRFormat | GPTFormat] périphérique Par exemple : diskutil eraseDisk JournaledHFS+ MacProHD GPTFormat disk0 Il existe également une option permettant de supprimer les données de façon sécurisée en écrasant plusieurs fois le disque à l’aide de données aléatoires. Pour plus de détails, consultez la page man de diskutil. Pour effacer un volume particulier sur un disque, vous devez utiliser une commande légèrement différente : diskutil eraseVolume format nom périphérique Par exemple : diskutil eraseVolume JournaledHFS+ PartitionSansTitre /Volumes/PartitionOriginale Pour en savoir plus sur diskutil et sur d’autres usages de cet outil, consultez la section Administration de ligne de commande. Pour la syntaxe complète de la commande diskutil, consultez la page man de l’outil. Identification du serveur distant lors de l’installation de Mac OS X Server Pour les installations de serveurs distants, vous devez connaître les informations suivantes concernant le serveur cible :  L’identité du serveur cible : lorsque vous utilisez Assistant du serveur, vous devez soit reconnaître le serveur cible parmi une liste de serveurs sur votre sous-réseau local, soit saisir son adresse IP (au format IPv4 : 000.000.000.000) s’il réside sur un sous-réseau différent.Les informations relatives aux serveurs figurant dans la liste comprennent l’adresse IP, le nom d’hôte et l’adresse MAC (Media Access Control), également appelée adresse matérielle ou adresse Ethernet. Si vous utilisez un visualiseur VNC pour contrôler à distance l’installation de Mac OS X Server 10.5 ou ultérieur, il est possible qu’il vous permette de sélectionner le serveur cible parmi une liste de serveurs VNC disponibles. Si ce n’est pas le cas, vous devez saisir l’adresse IP du serveur (au format IPv4 :000.000.000.000).Chapitre 5 Installation et déploiement 107 L’adresse IP du serveur cible est assignée par un serveur DHCP sur le réseau. S’il n’existe pas de serveur DHCP, le serveur cible utilise une adresse de type 169.xxx.xxx unique parmi les serveurs du sous-réseau local. Vous pouvez modifier l’adresse IP ultérieurement, lors de la configuration du serveur. Si vous ignorez l’adresse IP et que le serveur distant se trouve sur le sous-réseau local, utilisez la commande sa_srchr pour identifier les ordinateurs du sous-réseau local sur lesquels vous pouvez installer le logiciel serveur :saisissez ce qui suit à partir d’un ordinateur existant sur lequel les outils Mac OS X Server sont installés : /system/library/serversetup/sa_srchr 224.0.0.1 Cette commande renvoie l’adresse IP et l’EthernetID (ainsi que d’autres informations) des serveurs du sous-réseau local qui ont démarré à partir du disque d’installation.  Le mot de passe prédéfini du serveur cible : ce mot de passe est constitué des huit premiers chiffres du numéro de série matériel incorporé au serveur. Pour rechercher le numéro de série, cherchez une étiquette sur le serveur. Les ordinateurs plus anciens ne possèdent pas de numéro de série incorporé ; pour ces systèmes, utilisez la suite de chiffres 12345678. Installation interactive du logiciel serveur Vous pouvez utiliser le disque d’installation pour installer le logiciel serveur de manière interactive sur un serveur local ou un serveur distant, ou sur un ordinateur sur lequel Mac OS X est préinstallé. Installation locale à partir du disque d’installation Vous pouvez installer Mac OS X Server directement sur un ordinateur équipé d’un écran, d’un clavier et d’un lecteur optique, comme dans l’illustration ci-dessous : Si vous disposez d’un DVD d’installation, le lecteur optique doit être en mesure de lire les disques DVD. Vous pouvez aussi procéder à l’installation directement sur un ordinateur sans écran, clavier ni lecteur optique capable de lire votre disque d’installation. Dans ce cas, démarrez l’ordinateur cible en mode disque cible et reliez-le à un ordinateur administrateur à l’aide d’un câble FireWire. Application d’installation ou outil d’installation dans l’application Terminal108 Chapitre 5Installation et déploiement Utilisez l’ordinateur administrateur pour installer le logiciel serveur sur le disque ou sur une partition de l’ordinateur cible (qui apparaît sous la forme d’une icône de disque sur l’ordinateur administrateur). Ces instructions supposent que vous avez démarré l’ordinateur à l’aide du DVD d’installation, d’une partition d’installation ou d’un disque NetInstall. Si ce n’est pas le cas, consultez les instructions à ce sujet qui commencent à la section « À propos du démarrage pour l’installation » à la page 90. Pour installer le logiciel serveur localement : 1 Après le démarrage de l’ordinateur, choisissez la langue que le serveur doit utiliser, puis cliquez sur Continuer. 2 Lorsque le programme d’installation s’ouvre, si vous souhaitez effectuer une installation spéciale, vous pouvez si vous le souhaitez utiliser le menu Utilitaires pour ouvrir l’application Utilitaire de disque et préparer le disque ou la partition cible. Si vous n’avez pas préparé votre disque pour l’installation, vous pouvez le faire maintenant à l’aide d’Utilitaire de disque. Pour plus d’instructions sur la préparation de votre disque pour l’installation, consultez la section « Préparation des disques pour l’installation de Mac OS X Server » à la page 98. 3 Avancez dans les sous-fenêtres du programme d’installation en suivant les instructions affichées. 4 Lorsque la sous-fenêtre Sélectionner une destination apparaît, choisissez un disque ou un volume (partition) cible en vous assurant que celui-ci se trouve à l’état adéquat. Si vous procédez à une installation spéciale, vous pouvez cliquer sur Options pour formater le disque ou le volume de destination au format Mac OS étendu (journalisé). Sélectionnez Effacer pour formater le disque au format Mac OS étendu (journalisé), puis cliquez sur OK. Si le volume que vous avez sélectionné contient Mac OS X Server 10.3.9 ou 10.2.8 et que vous souhaitez procéder à une mise à niveau, cliquez sur Options, sélectionnez « Ne pas effacer », puis cliquez sur OK. Important :lorsque vous effectuez une mise à niveau, assurez-vous que les données de configuration enregistrées ne sont pas détectées par inadvertance et utilisées par le serveur. Si vous utilisez des données de configuration enregistrées, les réglages de serveur ne sont pas compatibles avec les réglages enregistrés et peuvent provoquer des comportements inattendus. Pour en savoir plus, consultez la section « Procédure de recherche par un serveur de données de configuration enregistrées » à la page 136. 5 Avancez dans les sous-fenêtres du programme d’installation en suivant les instructions affichées. Lorsque l’installation est terminée, l’ordinateur redémarre et vous pouvez procéder à la configuration initiale du serveur.Chapitre 5 Installation et déploiement 109 6 Si vous utilisez un ordinateur administrateur pour une installation sur un serveur en mode disque cible et connecté à l’aide d’un câble FireWire : a Quittez Assistant du serveur lorsqu’il démarre automatiquement sur l’ordinateur administrateur. b Éteignez l’ordinateur administrateur et le serveur. c Démarrez l’ordinateur administrateur et le serveur normalement (pas en mode disque cible). Vous pouvez maintenant utiliser Assistant du serveur à partir de l’ordinateur administrateur et configurer le serveur à distance. Le Chapitre 6, « Configuration initiale du serveur, » à la page 117 explique comment configurer un serveur localement ou à distance. Installation à distance à l’aide d’Assistant du serveur Pour installer Mac OS X Server sur un serveur distant à partir du DVD d’installation, d’une partition d’installation ou d’un disque NetInstall, vous avez besoin d’un ordinateur administrateur à partir duquel vous pouvez utiliser Assistant du serveur pour gérer l’installation, comme dans l’illustration ci-dessous : Une fois que l’ordinateur a démarré, vous pouvez contrôler et gérer autant de serveurs que vous le souhaitez à partir d’un ordinateur d’administration. Important :si vous disposez d’applications et d’outils administratifs provenant de Mac OS X Server 10.4 Tiger ou antérieur, ne les utilisez pas avec Leopard Server. Ordinateur administrateur Sous-réseau 1 Sous-réseau 2 Bienvenue >programme d’installation >programme d’installation110 Chapitre 5Installation et déploiement Si vous souhaitez utiliser l’interface utilisateur du programme d’installation, vous pouvez utiliser VNC pour afficher le programme d’installation distant et communiquer avec ce dernier. Pour en savoir plus, consultez la section « Installation à distance à l’aide de VNC » à la page 111. Ces instructions supposent que vous avez démarré l’ordinateur à l’aide du DVD d’installation, d’une partition d’installation ou d’un disque NetInstall. Si ce n’est pas le cas, consultez les instructions à ce sujet qui commencent à la section « À propos du démarrage pour l’installation » à la page 90. Pour installer le logiciel sur un serveur distant à l’aide d’Assistant du serveur : 1 Une fois que l’ordinateur cible a démarré à partir du DVD d’installation, d’une partition d’installation ou d’un disque NetInstall, lancez Assistant du serveur qui se trouve dans le dossier /Applications/Server/ de l’ordinateur administrateur. Vous n’avez pas besoin d’être administrateur sur l’ordinateur local pour utiliser Assistant du serveur. 2 Sélectionnez l’option Installer le logiciel sur un serveur distant. 3 Pour chaque serveur cible prévu, identifiez le serveur cible et ajoutez-le à la liste. S’il se trouve sur le sous-réseau local, sélectionnez-le dans la liste, sinon, cliquez sur le bouton Ajouter (+) et saisissez une adresse IP au format IPv4 (000.000.000.000). Si vous disposez déjà d’une liste de serveurs enregistrée, chargez-la maintenant en choisissant Fichier > Charger la liste de serveurs. 4 Lorsque vous êtes invité à fournir un mot de passe, saisissez les huit premiers chiffres du numéro de série matériel intégré au serveur. Pour rechercher le numéro de série, cherchez une étiquette sur le serveur. Si vous effectuez l’installation sur un vieil ordinateur qui ne dispose pas de numéro de série de matériel intégré, tapez le mot de passe 12345678. 5 Une fois que vous avez ajouté tous les serveurs à la liste, enregistrez cette dernière en vue d’un usage ultérieur en choisissant Fichier > Enregistrer la liste de serveurs. 6 Avancez dans les écrans d’installation en suivant les instructions affichées. 7 Lorsque la sous-fenêtre Volumes apparaît, sélectionnez un disque ou un volume (partition) cible, assurez-vous qu’il ou elle est dans l’état adéquat, puis cliquez sur Continuer.Chapitre 5 Installation et déploiement 111 Si le volume que vous avez sélectionné contient Mac OS X Server 10.4.10 ou 10.3.9 et que vous souhaitez procéder à une mise à niveau, sélectionnez « Ne pas effacer ». Sinon, sélectionnez Effacer pour formater le disque au format Mac OS étendu (journalisé). Cliquez sur OK. 8 Avancez dans les écrans d’installation en suivant les instructions affichées. Pendant l’installation, vous pouvez ouvrir une autre fenêtre Assistant du serveur pour installer le logiciel serveur sur d’autres ordinateurs.Pour cela, choisissez Fichier > Nouvelle fenêtre. Une fois l’installation terminée, le serveur cible redémarre et vous pouvez procéder à la configuration initiale du serveur. Le Chapitre 6, « Configuration initiale du serveur, » à la page 117 vous indique comment procéder. Installation à distance à l’aide de VNC Si vous utilisez un disque d’installation de Mac OS X Server 10.5 ou ultérieur, vous pouvez contrôler l’installation depuis un autre ordinateur en utilisant un visualiseur VNC open-source ou Apple Remote Desktop. Vous pouvez ainsi contrôler à distance la pré- paration du disque ou de la partition cible avant de procéder à l’installation. Vous pouvez partitionner le disque dur en plusieurs volumes, créer un ensemble RAID ou bien effacer le disque ou la partition cible. Le processus d’installation à distance à l’aide de VNC est identique au processus d’installation locale effectué avec un clavier et un moniteur, sauf que vous devez d’abord vous connecter au serveur VNC sur l’ordinateur cible à l’aide d’un client VNC tel qu’Apple Remote Desktop. Pour en savoir plus sur la connexion à un ordinateur ayant démarré à partir d’un DVD d’installation, consultez la section « Accès à distance au DVD d’installation » à la page 91. Pour en savoir plus sur l’exécution locale du programme d’installation, consultez la section « Installation locale à partir du disque d’installation » à la page 107. AVERTISSEMENT :lorsque vous procédez à une mise à niveau, assurez-vous que les données de configuration enregistrées ne sont pas détectées par inadvertance et utilisées par le serveur. Si vous utilisez des données de configuration enregistrées, les réglages de serveur ne sont pas compatibles avec les réglages enregistrés et peuvent provoquer des comportements inattendus. Pour en savoir plus, consultez la section « Procédure de recherche par un serveur de données de configuration enregistrées » à la page 136.112 Chapitre 5Installation et déploiement Installation du logiciel serveur à l’aide de l’outil de ligne de commande installer L’outil installer permet d’installer le logiciel serveur sur un ordinateur local ou distant à partir de la ligne de commande.Pour en savoir plus sur le programme d’installation :  Consultez la section Administration de ligne de commande.  Ouvrez l’application Terminal et tapez installer, installer -help ou man installer. Ces instructions supposent que vous avez démarré l’ordinateur à l’aide du DVD d’installation, d’une partition d’installation ou d’un disque NetInstall. Si ce n’est pas le cas, consultez les instructions à ce sujet qui commencent à la section « À propos du démarrage pour l’installation » à la page 90. Pour installer le logiciel serveur à l’aide de la commande installer : 1 Ouvrez une session de ligne de commande avec le serveur cible en choisissant l’une des options suivantes :  Installation d’un serveur local : lorsque le programme d’installation s’ouvre, ouvrez l’application Terminal en choisissant Utilitaires > Ouvrir Terminal.  Installation d’un serveur distant :à partir de Terminal sur un ordinateur administrateur ou à partir d’une station de travail UNIX, établissez comme utilisateur root une session SSH avec le serveur en remplaçant par l’adresse IP du serveur cible : ssh root@ ∏ Si vous ignorez l’adresse IP et que le serveur distant se trouve sur le sous-réseau local, utilisez la commande sa_srchr pour identifier les ordinateurs du sous-réseau local sur lesquels vous pouvez installer le logiciel serveur : /system/library/serversetup/sa_srchr 224.0.0.1 monordinateur.exemple.com#PowerMac4,4###Mac OS X Server 10.5#RDY4PkgInstall#2.0#512 Vous pouvez également utiliser Assistant du serveur pour générer les informations relatives aux ordinateurs sur le sous-réseau local. Ouvrez Assistant du serveur,sélectionnez « Installer le logiciel sur un ordinateur distant », puis cliquez sur Continuer pour accéder à la sous-fenêtre Destination et générer une liste de serveurs en attente d’installation. 2 Lorsque vous êtes invité à fournir un mot de passe, saisissez les huit premiers chiffres du numéro de série matériel intégré au serveur. Pour rechercher le numéro de série, cherchez une étiquette sur le serveur. Si l’ordinateur cible a été configuré en tant que serveur, vous trouverez également le numéro de série du matériel dans /Système/Bibliothèque/ServerSetup/SerialNumber. Si vous effectuez l’installation sur un vieil ordinateur qui ne dispose pas de numéro de série de matériel intégré, tapez le mot de passe 12345678.Chapitre 5 Installation et déploiement 113 3 Identifiez le volume du serveur cible sur lequel vous souhaitez installer le logiciel serveur. Pour répertorier les volumes disponibles pour l’installation du logiciel serveur à partir du disque d’installation, tapez la commande suivante : /usr/sbin/installer -volinfo -pkg /System/Installation/Packages/ OSInstall.mpkg Vous pouvez également identifier une image NetInstall que vous avez créée et montée: /usr/sbin/installer -volinfo -pkg /Volumes/ServerNetworkImage10.5/ System/Installation/Packages/OSInstall.mpkg La liste affichée dépend de votre environnement ; l’exemple ci-dessous présente trois volumes disponibles : /Volumes/Mount 01 /Volumes/Mount1 /Volumes/Mount02 4 Si vous ne l’avez pas encore fait, préparez les disques pour l’installation. Pour en savoir plus sur la préparation des disques pour l’installation, consultez la section « Préparation des disques pour l’installation de Mac OS X Server » à la page 98. Si Mac OS X Server 10.4.10 ou 10.3.9 est installé sur le volume cible, l’exécution de l’outil installer permet de mettre à niveau le serveur avec la version 10.5 en conservant les fichiers des utilisateurs. Si vous ne procédez pas à une mise à niveau mais à une installation spéciale, sauvegardez les fichiers d’utilisateur à conserver, puis utilisez la commande diskutil pour effacer le volume et le formater en autorisant la journalisation : /usr/sbin/diskutil eraseVolume HFS+ "Mount 01" "/Volumes/Mount 01" /usr/sbin/diskutil enableJournal "/Volumes/Mount 01" Vous pouvez également utiliser diskutil pour partitionner le volume et configurer la mise en miroir. Pour en savoir plus sur cette commande, consultez la page man diskutil. Important :ne stockez pas de données sur le disque dur ou la partition où est installé le système d’exploitation. Vous évitez de cette manière la perte de données dans l’éventualité d’une réinstallation ou d’une mise à niveau du logiciel système. Si vous devez stocker des logiciels ou données supplémentaires sur la partition système, envisagez une mise en miroir du disque. 5 Installez le système d’exploitation sur un volume figurant dans la liste générée à l’étape 3. Par exemple, pour utiliser Montage 01 dans l’exemple de l’étape 4 pour une installation à partir du disque d’installation de serveur, tapez : /usr/sbin/installer -verboseR -lang en -pkg /System/Installation/ Packages/OSInstall.mpkg -target "/Volumes/Mount 01" Si vous utilisez une image NetInstall, la commande l’identifie comme indiqué à l’étape 3.114 Chapitre 5Installation et déploiement Lorsque vous saisissez le paramètre -lang, utilisez l’une des valeurs suivantes :en (pour anglais), de (pour allemand), fr (pour français) ou ja (pour japonais). Au cours de l’installation, l’état d’avancement des opérations est affiché. Tandis que l’installation progresse, vous pouvez ouvrir une autre fenêtre Terminal pour installer le logiciel serveur sur un autre ordinateur. 6 Lorsque l’installation est terminée, redémarrez le serveur en saisissant : /sbin/reboot ou /sbin/shutdown -r Assistant du serveur s’ouvre automatiquement dès que l’installation est terminée. Vous pouvez maintenant configurer le serveur. Pour en savoir plus, consultez la section « Configuration initiale du serveur » à la page 117. Installation de plusieurs serveurs Vous pouvez utiliser Assistant du serveur, le visualiseur VNC ou l’outil installer pour lancer plusieurs installations du logiciel serveur. Après avoir utilisé Assistant du serveur pour lancer l’installation du logiciel serveur sur plusieurs ordinateurs distants, vous pouvez choisir Fichier > Nouvelle fenêtre pour installer le logiciel sur un autre lot d’ordinateurs. Lorsque vous exécutez Assistant du serveur à partir d’un ordinateur d’administration pour l’installation sur plusieurs ordinateurs, regroupez les configurations matérielles identiques. Par exemple, choisissez tous les ordinateurs Xserve Intel ou tous les Mac mini G4. Après avoir utilisé un visualiseur VNC pour contrôler l’installation de Mac OS X Server 10.5 ou ultérieur sur un ordinateur distant, vous pouvez utiliser ce même visualiseur VNC pour établir une connexion à un autre ordinateur distant et contrôler l’installation réalisée sur ce dernier.Comme elle implique de communiquer séparément avec chaque serveur, cette méthode d’installation sur plusieurs serveurs est moins efficace. La méthode d’installation la plus efficace serait entièrement automatisée. Ouvrir l’application Terminal et utiliser l’outil installer pour lancer séparément l’installation de chaque logiciel serveur n’offre pas cet avantage. Vous pouvez toutefois procéder de manière efficace en créant un script pour l’outil de ligne de commande (en utilisant des valeurs connues pour les adresses IP des serveurs, par exemple) afin d’automatiser plusieurs installations simultanées. Pour automatiser entièrement l’installation de serveurs, vous devez créer un script pour l’outil installer et disposer d’un contrôle poussé sur l’infrastructure réseau.Chapitre 5 Installation et déploiement 115 Si vous souhaitez, par exemple, inclure des adresses IP connues et les numéros de série matériel appropriés dans votre script, vous ne pouvez pas vous fier à des adresses IP assignées de façon aléatoire. Vous pouvez utiliser des adresses statiques assignées par DHCP pour supprimer cette incertitude et faciliter la création du script. Les méthodes, les langages de script et les diverses possibilités sont trop nombreuses pour être énumérés dans ce guide. Mise à niveau d’un ordinateur de Mac OS X à Mac OS X Server Vous pouvez utiliser le DVD d’installation de Mac OS X Server 10.5 pour mettre à niveau un ordinateur de bureau possédant les caractéristiques suivantes :  Mac OS X 10.5 ou ultérieur déjà installé;  disposant d’un processeur Intel;  ayant été introduit pendant l’été 2006 ou plus tard;  disposant de la configuration requise décrite dans « Configuration requise pour l’installation de Mac OS X Server » à la page 87. Pour mettre à niveau un ordinateur de Mac OS X à Mac OS X Server : 1 Démarrez l’ordinateur depuis le disque dur, selon la procédure habituelle. N’utilisez pas de disque d’installation. 2 Insérez le DVD d’installation, ouvrez le dossiers Other Installs, puis double-cliquez sur MacOSXServerInstall.mpkg pour exécuter le programme d’installation. Lorsque l’installation est terminée, votre ordinateur redémarre automatiquement et Assistant du serveur s’ouvre pour vous permettre de configurer le serveur. 3 Après le redémarrage du serveur, utilisez Mise à jour de logiciels pour installer les mises à jour du logiciel serveur. Comment rester à jour Une fois que vous avez configuré le serveur, il est recommandé de le mettre à jour chaque fois qu’Apple publie des mises à jour de logiciel serveur. Il existe différentes façons d’accéder aux mises à jour de Mac OS X Server :  Dans Admin Serveur, sélectionnez un serveur dans la liste Serveurs, puis cliquez sur le bouton Mises à jour du serveur.  Utilisez la sous-fenêtre Mise à jour de logiciels dans les Préférences Système.  Utilisez l’outil de ligne de commande softwareupdate.  Utilisez le service de mise à jour de logiciels de serveur.  Téléchargez une image disque de la mise à jour de logiciel sur : www.apple.com/fr/support/downloads6 117 6 Configuration initiale du serveur Les caractéristiques élémentaires de Mac OS X Server sont définies lors de la configuration du serveur. Le serveur peut fonctionner dans trois configurations différentes :avancée, standard et groupe de travail. Ces instructions s’appliquent à la configuration avancée. Après l’installation du logiciel serveur, l’étape suivante consiste à configurer le serveur. Il y a plusieurs manières de configurer un serveur :  En configurant un ou plusieurs serveurs de manière interactive.  En automatisant la configuration des serveurs par l’enregistrement des données de configuration dans un fichier ou dans un répertoire. Les serveurs à configurer sont ensuite paramétrés de manière à accéder à ces données. Informations nécessaires Pour comprendre et enregistrer des informations pour chaque serveur à configurer, consultez la section Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server dans l’annexe, page 221. Les paragraphes suivants fournissent des explications complémentaires sur certains éléments de la feuille d’opérations. Si vous effectuez une mise à niveau depuis Mac OS X Server version 10.4.10 ou 10.3.9, Assistant du serveur affiche les réglages de serveur existants, mais vous pouvez les modifier. Prenez note, dans la Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server, des réglages à utiliser par le serveur version 10.5. Report de la configuration de serveur après l’installation Assistant du serveur s’ouvre automatiquement sur un serveur non configuré et attend que vous commenciez la procédure de configuration. Pour configurer le serveur ulté- rieurement, vous pouvez reporter le processus de configuration en utilisant le clavier, la souris et le moniteur du serveur.118 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Pour reporter la configuration de Mac OS X Server : m Dans Assistant du serveur, appuyez sur Commande + Q sur le clavier du serveur, puis cliquez sur Éteindre. Assistant du serveur réapparaît au redémarrage du serveur. Si vous configurez un serveur sans clavier ni moniteur, vous pouvez saisir des commandes dans l’application Terminal pour éteindre le serveur à distance. Pour en savoir plus sur l’utilisation de la ligne de commande afin de se connecter à un ordinateur distant et de l’éteindre, consultez la section Administration de ligne de commande. Connexion au réseau lors de la configuration initiale du serveur Essayez de placer un serveur dans son emplacement réseau final (sous-réseau) avant de le configurer pour la première fois. Si vous souhaitez éviter tout accès non autorisé ou prématuré au cours du démarrage, vous pouvez configurer un coupe-feu afin de proté- ger le serveur lors de la finalisation de sa configuration. Si vous ne pouvez pas éviter de déplacer un serveur après la configuration initiale, vous devez commencer par modifier les réglages qui dépendent de l’emplacement réseau. Par exemple, l’adresse IP et le nom d’hôte du serveur, stockés dans les répertoires et fichiers de configuration du serveur, doivent être mis à jour. Pour plus d’informations, consultez la section « Modification du nom d’hôte du serveur après la configuration » à la page 162. Configuration de serveurs avec plusieurs ports Ethernet Votre serveur est équipé d’un port Ethernet intégré et éventuellement d’autres ports intégrés ou ajoutés. Lorsque vous utilisez l’Assistant du serveur pour configurer de manière interactive un ou plusieurs serveurs, tous les ports Ethernet disponibles d’un serveur sont répertoriés ; sélectionnez-en un ou plusieurs à activer et à configurer. Lorsque vous travaillez avec l’Assistant du serveur en mode hors connexion, cliquez sur un bouton Ajouter afin de créer manuellement une liste de ports à configurer. Si vous activez plusieurs ports, indiquez l’ordre dans lequel les ports doivent être utilisés par le serveur lors du routage du trafic vers le réseau. Bien que le serveur reçoive le trafic réseau sur un port actif quelconque, le trafic réseau initié par le serveur est acheminé via le premier port actif. Pour obtenir une description des attributs de configuration des ports, consultez la section Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server dans l’annexe.Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 119 À propos des réglages établis au cours de la configuration initiale du serveur Au cours de la configuration du serveur, les réglages de base suivants sont établis :  Le choix de la langue utilisée pour l’administration du serveur et le clavier de l’ordinateur est défini.  Le numéro de série du logiciel serveur est défini.  Un utilisateur administrateur de serveur est défini et le dossier de départ de l’utilisateur est créé.  La définition des points de partage AFP et FTP par défaut, tels que Éléments partagés, Utilisateurs et Groupes.  La configuration de base des informations Open Directory. Au moins un domaine de répertoire local est créé. Vous pouvez également configurer un répertoire LDAP pouvant être utilisé par d’autres ordinateurs, ou configurer le serveur afin d’obtenir les informations de répertoire à partir d’autres serveurs.  Le nom d’hôte, le nom d’ordinateur et le nom d’hôte local sont définis. Vous pouvez spécifier le nom de l’ordinateur et le nom d’hôte local, mais Assistant du serveur règle le nom d’hôte sur AUTOMATIC dans /etc/hostconfig. Avec ce réglage, le nom d’hôte du serveur est le premier nom qui est vrai dans cette liste :  Le nom fourni par le serveur DHCP ou BootP pour l’adresse IP principale.  Le premier nom renvoyé par une requête DNS inversé (adresse-vers-nom) pour l’adresse IP principale.  Le nom d’hôte local.  Le nom « localhost ».  Les interfaces réseau (ports) sont configurées. Les réglages TCP/IP et Ethernet sont définis pour chaque port que vous souhaitez activer.  La configuration éventuelle du service d’horloge réseau. Si vous procédez à la mise à niveau, les réglages de base actuels s’affichent au cours du processus de configuration, mais vous pouvez les modifier. D’autres réglages, tels que les points de partage que vous avez définis et les services que vous avez configurés, sont préservés. Pour obtenir une description des actions et des éléments à mettre à niveau, reportez-vous à la section Mise à niveau et migration. Vous ne pouvez réaliser qu’une seule fois la configuration initiale du serveur sans réinstaller ce dernier. Il existe toutefois d’autres moyens permettant de modifier les réglages établis lors de la configuration. Vous pouvez par exemple utiliser Admin Serveur ou Utilitaire d’annuaire pour gérer les réglages Open Directory.120 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Spécification de l’utilisation initiale d’Open Directory Durant la procédure de création d’une configuration avancée, vous devez indiquer la façon dont le serveur stocke initialement les comptes utilisateur et d’autres informations de répertoire et comment il y accède. Vous devez choisir si le serveur se connecte à un système de répertoire ou fonctionne comme un serveur autonome. Après la configuration, vous pouvez soit créer ou modifier une connexion à un système de répertoire à l’aide d’Utilitaire d’annuaire, soit utiliser Admin Serveur pour transformer le serveur en maître ou en réplique Open Directory afin de modifier les réglages de service Open Directory du serveur. Pour plus d’informations sur la modification de services de répertoire, consultez la section Administration d’Open Directory. Lors de la configuration initiale d’un serveur, vous spécifiez sa configuration de services de répertoire. Les options sont les suivantes :  Aucune modification, option disponible uniquement lors de la mise à niveau à partir de Mac OS X Server 10.4.10 ou 10.3.9.  Serveur autonome, option utilisée pour configurer uniquement un domaine de répertoire local sur le serveur.  Connecté à un système de répertoire, option utilisée pour configurer le serveur pour obtenir les informations de répertoire d’un domaine de répertoire partagé déjà configuré sur un autre serveur. Dans toutes ces situations, l’authentification Open Directory est configurée sur le serveur et utilisée par défaut pour tout nouvel utilisateur ajouté aux domaines résidant sur le serveur. Si vous configurez plusieurs serveurs et qu’un ou plusieurs d’entre eux hébergent un répertoire partagé, configurez-les avant les serveurs qui utiliseront ces répertoires partagés. Remarque :si vous connectez Mac OS X Server 10. 5 à un domaine de répertoire Mac OS X Server 10.2 ou antérieur, les utilisateurs définis dans l’ancien domaine de répertoire ne peuvent pas être authentifiés avec la méthode MS-CHAPv2. Cette méthode peut s’avérer nécessaire pour authentifier de manière sécurisée les utilisateurs pour le service VPN de Mac OS X Server 10.5. Open Directory prend en charge l’authentification MS-CHAPv2 dans Mac OS X Server version 10.5, mais le serveur de mot de passe de Mac OS X Server version 10.2 ne prend pas en charge cette authentification.Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 121 Après la configuration, utilisez si nécessaire les applications Utilitaire d’annuaire ou Admin Serveur pour parachever la configuration de répertoire du serveur. Utilitaire d’annuaire permet de configurer des connexions à plusieurs répertoires, y compris Active Directory et d’autres systèmes de répertoires non Apple, et de spécifier une stratégie de recherche (l’ordre dans lequel le serveur doit effectuer la recherche dans les domaines). Admin Serveur permet de configurer des répliques d’un maître Open Directory et de gérer les autres aspects de la configuration du service de répertoires d’un serveur. Administration d’Open Directory peut vous aider à choisir l’option de configuration d’utilisation de répertoire adaptée à vos besoins. Si vous effectuez une mise à niveau, le meilleur choix est « Aucune modification ». Si vous configurez un nouveau serveur, le plus simple est de choisir « Serveur autonome ». Après la configuration initiale du serveur, vous pouvez employer Utilitaire d’annuaire ou Admin Serveur pour ajuster et finaliser la configuration de répertoire. Mise à jour sans changer l’utilisation de répertoire Lorsque vous configurez un serveur en cours de mise à niveau de la version 10.2.8 ou 10.3.9 vers la version 10.5 et que vous souhaitez qu’il exploite la même configuration de répertoire qu’auparavant, choisissez Aucune modification dans la sous-fenêtre Utilisation du répertoire d’Assistant du serveur. Même lorsque vous souhaitez changer la configuration de répertoire du serveur, le choix le plus sûr reste Aucune modification, en particulier si vous envisagez de modifier la configuration de répertoire partagé d’un serveur. Vous pouvez, par exemple, passer de l’hébergement d’un répertoire à l’utilisation du répertoire partagé d’un autre serveur et vice versa ou effectuer la migration d’un domaine NetInfo partagé vers LDAP. Ces opérations de modification de l’utilisation du répertoire sont à réaliser après la configuration du serveur, de façon à préserver l’accès aux informations de répertoire relatives à votre réseau. Pour plus d’informations sur les options d’utilisation de répertoire et sur la façon d’employer Utilitaire d’annuaire et Admin serveur pour effectuer des modifications de répertoire, consultez la section Administration d’Open Directory. Pour plus d’informations sur la manière de continuer à utiliser les données de répertoire existantes lorsque vous modifiez les réglages de service de répertoire, consultez la section Mise à niveau et migration. Si vous choisissez l’option « Aucune modification » et que le serveur n’utilisait pas de serveur de mot de passe, l’authentification Open Directory est configurée. Lorsque vous ajoutez des utilisateurs à un domaine de répertoire Apple résidant sur le serveur, les mots de passe sont validés par défaut en utilisant l’authentification Open Directory.122 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Configuration d’un serveur comme serveur autonome Un serveur autonome stocke et lit les informations de compte dans son domaine de répertoire local. Le serveur autonome utilise son domaine de répertoire local pour authentifier les clients auprès de ses services de fichiers, de courrier électronique et autres. Les autres serveurs et ordinateurs clients ne peuvent accéder au domaine de répertoire local du serveur autonome. L’authentification Open Directory est également configurée sur le serveur. Par défaut, elle est utilisée lorsqu’un utilisateur est ajouté au domaine local. Lorsqu’un utilisateur tente de se connecter au serveur ou d’utiliser l’un des services réclamant une authentification, le serveur authentifie l’utilisateur en consultant la base de données locale. Si l’utilisateur a un compte sur le système et fournit le mot de passe correct, l’authentification aboutit. Configuration d’un serveur pour la connexion à un système de répertoire S’il est connecté à un autre système de répertoire, votre serveur stocke les informations de compte et y accède dans le répertoire partagé d’un autre serveur et peut utiliser l’autre système de répertoire pour authentifier les clients auprès des services de fichiers, de courrier électronique et autres. Votre serveur peut également utiliser son domaine de répertoire local pour les comptes et l’authentification. Vous pouvez intégrer votre serveur dans une multitude de systèmes de répertoire en choisissant l’une des options suivantes lors de la configuration :  Serveur Open Directory :votre serveur peut utiliser LDAP pour stocker des informations sur un serveur Open Directory et y accéder. Avec cette option, vous devez connaître le nom DNS ou l’adresse IP du serveur Open Directory.  Tel que spécifié par le serveur DHCP : votre serveur obtient les informations de connexion à un système de répertoire auprès d’un serveur DHCP. Le serveur DHCP doit être configuré pour fournir l’adresse et la base de recherche d’un serveur LDAP (DHCP option 95). Le service de répertoire et le service DHCP sont indépendants l’un par rapport à l’autre. Ils ne doivent pas forcément être fournis par le même serveur.  Autre serveur de répertoire :si vous devez intégrer le serveur à un autre type de système de répertoire ou à plusieurs systèmes de répertoire, choisissez cette option et configurez les connexions ultérieurement à l’aide de l’application Utilitaire d’annuaire. Cette option permet d’intégrer votre serveur à quasiment tous les services de répertoire actuels, tels que Microsoft Active Directory, Novell eDirectory, un autre répertoire non Apple ou un domaine NIS. Pour plus d’informations sur l’utilisation de l’Utilitaire d’annuaire, consultez la section Administration d’Open Directory ou ouvrez l’Utilitaire d’annuaire, puis utilisez le menu Aide.Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 123 Si vous configurez votre serveur afin qu’il se connecte à un serveur Open Directory disposant de Mac OS X Server version 10.3 ou antérieure, il se peut que vous ne puissiez pas bénéficier de certaines fonctionnalités :  Le service VPN nécessite l’authentification MS-CHAP2 qui n’est pas disponible avec les versions 10.2 ou antérieures.  Les répliques ne sont pas prises en charge par les versions 10.2 et antérieures.  La configuration Kerberos est beaucoup plus complexe dans la version 10.2. En outre, la synchronisation automatique de Kerberos et du serveur de mot de passe requiert la version 10.3 ou ultérieure.  Dans la version 10.3 et les versions antérieures, la liaison à des répertoires de confiance, la prise en charge des sous-domaines LDAP et les commandes d’Utilitaire d’annuaire ne sont pas disponibles. Utilisation de la configuration interactive de serveur Le moyen le plus simple de configurer un petit nombre de serveurs est de faire appel au processus d’Assistant du serveur, après avoir établi une connexion avec chacun des serveurs tour à tour. Vous devez fournir les données de configuration des serveurs de manière interactive, puis lancer immédiatement la configuration.La solution interactive est intéressante si vous avez peu de serveurs à configurer. La méthode interactive permet de configurer un serveur local ou un ou plusieurs serveurs distants. Pour exploiter cette démarche, ouvrez Assistant du serveur, connectez-vous à un ou plusieurs serveurs cibles, fournissez les données de configuration, puis lancez immédiatement la configuration. Il s’agit de la technique utilisée pour configurer un serveur local, comme décrit à la section « Configuration interactive d’un serveur local » à la page 124. Vous pouvez également utiliser cette méthode interactive pour configurer un serveur distant à partir d’un ordinateur administrateur. Pour obtenir des instructions, consultez la section « Configuration interactive d’un serveur distant » à la page 125. Lorsque plusieurs serveurs distants peuvent utiliser les mêmes données de configuration, vous pouvez fournir ces données, puis lancer la configuration simultanée de tous les serveurs au moyen d’un processus de configuration par lot. Si vous exécutez Assistant du serveur à partir d’un ordinateur d’administration pour configurer plusieurs serveurs, regroupez les configurations matérielles identiques. Par exemple, choisissez tous les ordinateurs Intel Xserve ou tous les Mac mini G4.124 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Pour cette technique, représentée à gauche dans la figure ci-dessous, les identifiants réseau de tous les serveurs cibles doivent être définis via DHCP ou BootP. Pour obtenir des instructions, consultez la section « Configuration interactive d’un lot de serveurs distants » à la page 127. Pour personnaliser la configuration de serveurs individuels, vous pouvez gérer chacune d’elles séparément à partir d’une fenêtre distincte d’Assistant du serveur. Cette manière de procéder est représentée à droite dans l’illustration ci-dessus. Pour obtenir des instructions, consultez la section « Configuration interactive d’un serveur distant » à la page 125. Bien que l’illustration précédente montre des serveurs cibles se trouvant sur le même sousréseau que l’ordinateur administrateur dans un cas et sur un sous-réseau différent dans l’autre, les deux méthodes de configuration peuvent être employées indifféremment. Si le serveur cible est sur un autre sous-réseau, vous devez fournir son adresse IP. Assistant du serveur affiche une liste contenant les serveurs situés sur le même sous-réseau, afin que vous puissiez en sélectionner un ou plusieurs directement dans la liste. Configuration interactive d’un serveur local Après avoir installé le logiciel serveur sur un serveur, vous pouvez utilisez la méthode interactive pour le configurer localement si vous avez la possibilité d’accéder physiquement à l’ordinateur. Cette procédure s’applique à la configuration de serveur Avancée. Les instructions fournies ici ne sont pas compatibles avec les modes Standard et Groupe de travail. Sous-réseau 1 Bienvenue Bienvenue Bienvenue Sous-réseau 2Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 125 Pour configurer de manière interactive un serveur local : 1 Remplissez la Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server disponible dans l’annexe. Pour des informations supplémentaires, reportez-vous à la section « Informations nécessaires » à la page 117. Assistant du serveur réapparaît au redémarrage du serveur. 2 Tapez les données de configuration notées sur la Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server au fur et à mesure de votre progression dans les sous-fenêtres de l’Assistant, en suivant les instructions à l’écran. Vérifiez que tout serveur DHCP ou DNS que doit employer le serveur que vous configurez est bien en cours d’exécution. Une fois les données de configuration saisies, Assistant du serveur en affiche le résumé. 3 Révisez les données de configuration que vous avez saisies et, si nécessaire, cliquez sur Revenir pour les modifier. 4 Pour enregistrer les données de configuration sous forme de fichier texte ou dans un format utilisable pour une configuration automatique du serveur (un fichier de configuration ou une fiche de répertoire enregistré), cliquez sur Enregistrer sous. Pour chiffrer un fichier de configuration ou un enregistrement de répertoire, sélectionnez « Enregistrer au format crypté », puis tapez et confirmez une phrase secrète. Vous devez fournir la phrase secrète avant qu’un fichier de configuration chiffré puisse être utilisé par un serveur cible. 5 Pour lancer la configuration du serveur local, cliquez sur Appliquer. 6 Au terme de la configuration du serveur, cliquez sur Redémarrer. Vous pouvez maintenant ouvrir une session sous l’identité de l’administrateur créé pendant la configuration, afin de configurer les services. Configuration interactive d’un serveur distant Une fois le logiciel serveur installé sur un serveur, vous pouvez utiliser la méthode interactive pour le configurer à distance à partir d’un ordinateur administrateur capable de se connecter au serveur cible. Pour configurer de manière interactive un serveur distant : 1 Remplissez la Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server disponible dans l’annexe. Pour obtenir des informations supplémentaires, reportez-vous à la section « Informations nécessaires » à la page 117. 2 Assurez-vous que le serveur cible est en cours d’exécution. 3 Sur un ordinateur administrateur, ouvrez Assistant du serveur qui se trouve dans /Applications/Server. Vous n’avez pas besoin d’être administrateur sur l’ordinateur administrateur pour utiliser l’Assistant du serveur.126 Chapitre 6Configuration initiale du serveur 4 Dans la sous-fenêtre Bienvenue, sélectionnez « Configurer un serveur distant » et cliquez sur Continuer. 5 Dans la sous-fenêtre Destination, placez une coche dans la colonne Appliquer du serveur distant à configurer, tapez son mot de passe prédéfini dans le champ Mot de passe, puis cliquez sur Continuer pour vous connecter au serveur. Si le serveur cible n’apparaît pas dans la liste, cliquez sur Ajouter pour l’ajouter ou Actualiser pour voir s’il est disponible. 6 Sélectionnez la configuration de serveur Avancée. 7 Dans la sous-fenêtre Langue, choisissez la langue à employer pour administrer le serveur cible. 8 Si vous utilisez des données de configuration enregistrées, procédez comme suit : Dans la sous-fenêtre Langue, choisissez Fichier > Ouvrir le fichier de configuration ou Fichier > Ouvrir la fiche de répertoire pour charger les données de configuration enregistrées à employer. Si les données de configuration enregistrées sont chiffrées, tapez la phrase secrète lorsque vous y êtes invité. Choisissez éventuellement Présentation > Aller à Revoir pour vérifier les données de configuration, puis Revenir pour les modifier. 9 Si vous saisissez manuellement les données de configuration, procédez comme suit : Cliquez sur Continuer et saisissez les données de configuration au fur et à mesure de votre progression dans les sous-fenêtres de l’assistant, en suivant les instructions affichées, puis cliquez sur Continuer. Vérifiez que tout serveur DHCP ou DNS que doit employer le serveur que vous configurez est bien en cours d’exécution. 10 Une fois toutes les données de configuration spécifiées, vérifiez le résumé affiché par Assistant du serveur et cliquez si nécessaire sur Revenir pour modifier vos données. 11 Pour enregistrer les données de configuration sous forme de fichier texte ou dans un format utilisable pour une configuration automatique du serveur (en tant qu’enregistrement de répertoire ou fichier de configuration enregistré), cliquez sur Enregistrer sous. Pour chiffrer un fichier de configuration ou un enregistrement de répertoire, sélectionnez « Enregistrer au format crypté », puis tapez une phrase secrète et confirmez-la. Vous devez fournir la phrase secrète avant qu’un fichier de configuration chiffré puisse être utilisé par un serveur cible. 12 Pour lancer la configuration du serveur cible distant, cliquez sur Appliquer. 13 Au terme de la configuration du serveur, cliquez sur Continuer. Le serveur cible redémarre et vous pouvez ouvrir une session sous l’identité d’administrateur de serveur créée pendant la configuration, afin de configurer les services.Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 127 Configuration interactive d’un lot de serveurs distants Vous pouvez employer la méthode interactive pour configurer un lot de serveurs si :  tous les serveurs sont accessibles à partir d’un ordinateur administrateur;  tous les serveurs utilisent le même type de processeur (Intel ou PowerPC, par exemple);  tous les serveurs utilisent les même données de configuration, à l’exception du numéro de série du logiciel serveur et des identités réseau (nom d’hôte, nom d’ordinateur et nom d’hôte local);  les identités réseau sont fournies par un serveur DHCP ou BootP. Si vous exécutez Assistant du serveur à partir d’un ordinateur d’administration pour configurer plusieurs serveurs, regroupez les configurations matérielles identiques. Choisissez par exemple tous les ordinateurs Intel Xserve ou tous les Mac mini G4. Si plusieurs serveurs possèdent des fichiers de configuration différents, vous pouvez ouvrir une nouvelle fenêtre Assistant du serveur pour chaque lot de serveurs. Cela permet de regrouper les serveurs par plateforme, par réglages, par sous-réseau ou par tout autre critère de votre choix. Pour configurer plusieurs serveurs distants de manière interactive, par lot : 1 Complétez la Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server avec les réglages à utiliser pour tous les serveurs que vous souhaitez configurer. La Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server se trouve sur le disque d’installation de Mac OS X Server, dans le dossier Documentation. Pour des informations supplémentaires, reportez-vous à la section « Informations nécessaires » à la page 117. Dans la Pré- face sont indiqués les autres emplacements de la Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server. 2 Assurez-vous que les serveurs cibles et tous serveurs DHCP ou DNS qu’ils doivent employer sont en cours d’exécution. 3 Sur un ordinateur administrateur capable de se connecter à tous les serveurs cibles, ouvrez l’Assistant du serveur dans /Applications/Server/. Vous n’avez pas besoin d’être administrateur sur l’ordinateur administrateur pour utiliser l’Assistant du serveur. 4 Dans la sous-fenêtre Bienvenue, sélectionnez « Configurer un serveur distant » et cliquez sur Continuer. 5 Dans la sous-fenêtre Destination, placez une coche dans la colonne Appliquer de chaque serveur distant à configurer. Tapez ensuite le mot de passe prédéfini dans la case Mot de passe de chaque serveur et cliquez sur Continuer pour vous connecter aux serveurs. Si un serveur cible à configurer n’est pas dans la liste, cliquez sur Ajouter pour l’y ajouter. 6 Dans la sous-fenêtre Langue, choisissez la langue à employer pour administrer les serveurs cibles.128 Chapitre 6Configuration initiale du serveur 7 Si vous utilisez des données de configuration enregistrées, procédez comme suit : Dans la sous-fenêtre Langue, choisissez Fichier > Ouvrir le fichier de configuration ou Fichier > Ouvrir la fiche de répertoire pour charger les données de configuration enregistrées à employer. Si les données de configuration enregistrées sont chiffrées, tapez la phrase secrète lorsque vous y êtes invité. Choisissez éventuellement Présentation > Aller à Revoir pour vérifier les données de configuration, puis Revenir pour les modifier. 8 Si vous saisissez manuellement les données de configuration, procédez comme suit : Cliquez sur Continuer et saisissez les données de configuration au fur et à mesure de votre progression dans les sous-fenêtres de l’assistant, en suivant les instructions affichées, puis cliquez sur Continuer. Vérifiez que tout serveur DHCP ou DNS que doit employer le serveur que vous configurez est bien en cours d’exécution. 9 Une fois toutes les données de configuration spécifiées, vérifiez le résumé affiché par Assistant du serveur et cliquez si nécessaire sur Revenir pour modifier vos données. 10 Pour enregistrer les données de configuration sous forme de fichier texte ou dans un format utilisable pour une configuration automatique du serveur (en tant qu’enregistrement de répertoire ou fichier de configuration enregistré), cliquez sur Enregistrer sous. Pour chiffrer un fichier de configuration ou un enregistrement de répertoire, sélectionnez « Enregistrer au format crypté », puis tapez une phrase secrète et confirmez-la. Vous devez fournir la phrase secrète avant qu’un fichier de configuration chiffré puisse être utilisé par un serveur cible. 11 Pour démarrer la configuration du serveur, cliquez sur Appliquer. 12 Pour lancer la configuration du serveur cible distant, cliquez sur Appliquer. 13 Au terme de la configuration du serveur, cliquez sur Continuer. Les serveurs cibles redémarrent et vous pouvez ouvrir une session sous l’identité de l’administrateur de serveur créé pendant la configuration, afin de configurer leurs services. Utilisation de la configuration automatique de serveurs Si vous devez configurer un nombre plus important de serveurs, pensez à utiliser la configuration automatique de serveurs. Cette méthode permet également d’enregistrer les données de configuration afin de les réutiliser si vous devez réinstaller par la suite le logiciel serveur. La méthode automatique est utile lorsque :  vous avez un nombre plus important de serveurs à configurer;  vous souhaitez préparer la configuration de serveurs pas encore disponibles;  vous souhaitez enregistrer des données de configuration à des fins de sauvegarde;  vous devez réinstaller fréquemment des serveurs.Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 129 Pour utiliser la configuration automatique de serveurs, lancez Assistant du serveur afin de spécifier des données de configuration pour chaque ordinateur ou lot d’ordinateurs ; enregistrez ensuite les données dans un fichier ou un répertoire afin de créer des données de configuration, comme indiqué dans l’illustration suivante : Enfin, fournissez les données de configuration aux serveurs cibles. Pour fournir les données, vous pouvez recourir à des méthodes différentes, telles que le stockage des fichiers sur disque dur ou sur support amovible ou leur enregistrement dans des entrées de répertoire. Par défaut, les données de configuration enregistrées sont chiffrées pour plus de sécurité. Lors de son premier démarrage, le serveur recherche les données de configuration automatique pour effectuer sa propre configuration avant de lancer Assistant réglages. La configuration automatique du serveur implique deux étapes principales : Étape 1 :Création des fichiers de données de configuration Pour créer des fichiers de données de configuration, vous pouvez vous reporter aux sections suivantes.  « Données de configuration enregistrées dans un fichier » à la page 130.  « Données de configuration enregistrées dans un répertoire » à la page 132.  « Création et enregistrement de données de configuration » à la page 130.  « Stockage de copies de sauvegarde des données de configuration enregistrées » à la page 133. Étape 2 :Mise à disposition des fichiers de données de configuration pour un serveur nouvellement installé Les sections suivantes décrivent la mise à disposition des données pour les serveurs :  « Procédure de recherche par un serveur de données de configuration enregistrées » à la page 136.  « Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un fichier » à la page 137.  « Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un répertoire » à la page 140. Ordinateur administrateur Données de configuration dans un répertoire Données de configuration dans un fichier130 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Création et enregistrement de données de configuration Pour travailler à partir de données de configuration enregistrées, établissez une straté- gie pour nommer, chiffrer, stocker et transférer les données. Une manière de créer des données de configuration consiste à utiliser le mode hors connexion d’Assistant du serveur et à utiliser les données de configuration sans se connecter à des serveurs particuliers. Spécifiez les données de configuration, puis enregistrez-les dans un fichier ou un répertoire accessible à partir des serveurs cibles, comme indiqué dans les deux sections qui suivent. Les serveurs cibles sur lesquels le logiciel Mac OS X Server 10.5 a été installé détectent automatiquement la présence des données de données de configuration enregistrées et les utilisent pour se configurer eux-mêmes. Vous pouvez définir des données de configuration génériques utilisables pour configurer n’importe quel serveur. Par exemple, vous pouvez définir des données de configuration génériques pour un serveur en commande, ou configurer 50 ordinateurs Xserve qui doivent être configurés de manière identique. Vous pouvez également enregistrer des données de configuration adaptées à un serveur en particulier. Important :lorsque vous effectuez une mise à niveau, assurez-vous que les données de configuration enregistrées ne sont pas détectées par inadvertance et utilisées par le serveur. Si les données de configuration enregistrées sont utilisées, les réglages existants du serveur seront remplacés par les réglages enregistrés. Pour plus d’informations, reportez-vous àla section « Procédure de recherche par un serveur de données de configuration enregistrées » à la page 136. Données de configuration enregistrées dans un fichier Lorsque vous enregistrez des données de configuration dans un fichier, un serveur cible détecte ce fichier et l’utilise si :  Les données de configuration détectées par le serveur cible ne se trouvent pas dans un répertoire que le serveur peut exploiter. Pour plus d’informations sur la détection et l’utilisation de données de répertoire par un serveur afin de se configurer luimême, reportez-vous à la section « Données de configuration enregistrées dans un répertoire » à la page 132.  Le fichier de configuration se trouve sur un volume monté localement dans /Volumes/*/Auto Server Setup/, où * correspond à tout périphérique monté sous /Volumes. Un serveur cible recherche dans les volumes par ordre alphabétique des noms de périphériques. Le périphérique monté comme système de fichiers peut être le disque dur du serveur, un iPod, un DVD, un CD, un disque FireWire, un disque USB ou tout autre périphérique connecté physiquement au serveur (par exemple, /Volumes/AdminiPod/ Auto Server Setup/monserveur.exemple.com.plist).Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 131  Le nom du fichier de configuration est l’un de ceux qui suivent (lors de la recherche de fichiers de configuration, les serveurs cibles recherchent les noms dans l’ordre indiqué) : .plist (incluez les zéros au début, mais ignorez les deuxpoints ; par exemple, 0030654dbcef.plist). .plist (par exemple, 10.0.0.4.plist). .plist (par exemple, monserveur.plist). .plist (huit premiers caractères uniquement ; par exemple, ABCD1234.plist). .plist (par exemple, monserveur.exemple.com.plist). .plist (par exemple, 10.0.plist correspond à 10.0.0.4 et à 10.0.1.2). generic.plist (fichier que tout serveur reconnaîtra, utilisé pour configurer les serveurs qui nécessitent les mêmes valeurs de configuration). Si le numéro de série spécifié dans le fichier n’est pas associé à une licence de site, vous devrez le définir manuellement après l’installation. Utilisez Admin Serveur ou la commande suivante dans l’application Terminal :serversetup -setServerSerialNumber.  La phrase secrète correcte est fournie au serveur quand les données de configuration sont chiffrées. Vous pouvez employer l’Assistant du serveur pour fournir une phrase secrète de manière interactive ou dans un fichier texte. Placez le fichier de phrase secrète sur un volume monté localement sur le serveur cible, dans /Volumes/*/Auto Server Setup/ . Le fichier de phrase secrète peut porter l’un de ces noms. Les serveurs cibles recherchent les noms dans l’ordre suivant : .pass (incluez les zéros au début, mais ignorez les deuxpoints ; par exemple, 0030654dbcef.pass). .pass (par exemple, 10.0.0.4.pass). .pass (par exemple, monserveur.pass). .pass (huit premiers caractères uniquement ; par exemple, ABCD1234.pass). .pass (par exemple, monserveur.exemple.com.pass). .pass (par exemple, 10.0.pass correspond à 10.0.0.4 et à 10.0.1.2). generic.pass (un fichier que tout serveur reconnaîtra). Si le numéro de série du logiciel serveur n’est pas associé à une licence de site, vous devrez le définir manuellement après l’installation. Utilisez Admin Serveur ou la commande suivante dans Terminal :serversetup -setServerSerialNumber.132 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Si vous souhaitez réutiliser les données de configuration enregistrées après avoir réinstaller un serveur, vous pouvez stocker les fichiers de configuration du serveur dans une petite partition locale qui ne sera pas effacée lorsque vous réinstallerez le serveur. Les fichiers de configuration sont détectés et réutilisés après chaque réinstallation. Données de configuration enregistrées dans un répertoire Cette démarche requiert un minimum d’intervention pour configurer plusieurs serveurs, mais nécessite la présence d’une infrastructure DHCP et de répertoires. À l’aide d’Assistant du serveur, enregistrez les données de configuration dans un répertoire existant pour lequel l’ordinateur que vous utilisez est configuré et où les serveurs récemment installés doivent lire les données de configuration. Le système du répertoire doit accepter les données de configuration enregistrées. Open Directory offre une prise en charge intégrée des données de configuration stockées. Pour stocker des données de configuration dans un répertoire non Apple, vous devez d’abord étendre son système (voir Administration d’Open Directory). Lorsque vous enregistrez des données de configuration dans un répertoire, un serveur cible les détecte et les utilise si :  Le serveur cible obtient ses noms de réseau (nom d’hôte, nom d’ordinateur et nom d’hôte local) ainsi que sa configuration de port à partir d’un serveur DHCP.  Le serveur DHCP est configuré pour identifier l’adresse IP du serveur de répertoire où sont stockées les données de configuration. Pour obtenir des instructions de configuration de serveur DHCP, consultez la section Administration des services de réseau.  Les serveurs de répertoire et DHCP sont en cours d’exécution.  Les données de configuration sont stockées dans le répertoire, sur le chemin d’accès /AutoServerSetup/, et dans un enregistrement portant l’un des noms ci-dessous. Les serveurs cibles recherchent ces noms dans l’ordre suivant : (incluez les zéros au début, mais ignorez les deux-points ; par exemple, 0030654dbcef). (par exemple, 10.0.0.4). (par exemple, monserveur). (huit premiers caractères uniquement ; par exemple, ABCD1234). (par exemple, monserveur.exemple.com). (par exemple, 10.0 correspond à 10.0.0.4 et à 10.0.1.2).Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 133 generic (enregistrement que tout serveur reconnaîtra, utilisé pour configurer les serveurs qui nécessitent les mêmes valeurs de configuration). Si le numéro de série spé- cifié dans le fichier n’est pas associé à une licence de site, vous devrez le définir manuellement après l’installation. Utilisez Admin Serveur ou la commande suivante dans l’application Terminal :serversetup -setServerSerialNumber.  La phrase secrète correcte est fournie au serveur (les données de configuration stockées dans un répertoire doivent toujours être chiffrées). Vous pouvez employer Assistant du serveur pour fournir une phrase secrète de manière interactive ou dans un fichier texte. Placez le fichier de phrase secrète sur un volume monté localement sur le serveur cible, dans /Volumes/*/Auto Server Setup/ , où * correspond à tout périphérique monté sous /Volumes. Un serveur cible recherche dans les volumes par ordre alphabétique des noms de périphériques. Le fichier de phrase secrète peut porter l’un des noms suivants. Les serveurs cibles recherchent ces noms dans l’ordre suivant : .pass (incluez les zéros au début, mais ignorez les deuxpoints ; par exemple, 0030654dbcef.pass). .pass (par exemple, 10.0.0.4.pass). .pass (par exemple, monserveur.pass). .pass (huit premiers caractères uniquement ; par exemple, ABCD1234.pass). .pass (par exemple, monserveur.exemple.com.pass). .pass (par exemple, 10.0.pass correspond à 10.0.0.4 et à 10.0.1.2). generic.pass (un fichier que tout serveur reconnaîtra). Si le numéro de série du logiciel serveur n’est pas associé à une licence de site, vous devrez le définir manuellement après l’installation. Utilisez Admin Serveur ou la commande suivante dans Terminal :serversetup -setServerSerialNumber. Stockage de copies de sauvegarde des données de configuration enregistrées Les données de configuration enregistrées ne servent pas uniquement à l’automatisation de la configuration de plusieurs serveurs. Elles permettent également de reconfigurer les serveurs si vous avez besoin de réinstaller le logiciel serveur. Il est possible de conserver des copies de sauvegarde des fichiers de données de configuration sur un serveur de fichiers du réseau. De la même façon, vous pouvez stocker les fichiers de données de configuration dans une partition locale qui ne sera pas effacée lorsque vous réinstallerez le logiciel serveur.134 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Utilisation du chiffrement avec des fichiers de données de configuration Les données de configuration enregistrées sont chiffrées par défaut pour plus de sécurité.Avant qu’un serveur puisse s’autoconfigurer en utilisant des données chiffrées, il doit pouvoir accéder à la phrase secrète employée lors du chiffrement des données. La phrase secrète peut être fournie soit de manière interactive (en utilisant l’Assistant du serveur), soit à partir d’un fichier sur un volume local du serveur cible. Vous pouvez par exemple stocker le fichier avec la phrase secrète sur un iPod, puis connecter ce dernier à chacun des serveurs ayant besoin de la phrase secrète. Un serveur dont l’adresse IP serait 10.0.0.4 utiliserait ainsi le fichier /Volumes/MyIPod/Auto Server Setup/ 10.0.0.4.pass. Transmission des fichiers de données de configuration aux serveurs Utilisation de fichiers dans le système de fichiers Lorsque vous placez un fichier de configuration sur un volume (CD, DVD, iPod, clé USB, partition de disque) monté localement sur un serveur installé mais pas configuré, ce dernier détecte le fichier et l’utilise pour se configurer. Vous pouvez, par exemple, stocker plusieurs fichiers de configuration sur un iPod, puis connecter l’iPod au premier serveur pour lequel existe un fichier de configuration, comme le montre l’illustration suivante : Vous pouvez ensuite connecter l’iPod au serveur suivant : iPod iPodChapitre 6 Configuration initiale du serveur 135 Chaque serveur reconnaît son propre fichier puisqu’il a été nommé en utilisant l’un de ses identifiants et que son emplacement est connu. Ainsi, un serveur dont les huit premiers caractères du numéro de série seraient WXYZ1234 utiliserait le fichier suivant pour s’autoconfigurer :/Volumes/MyIPod/Auto Server Setup/ WXYZ1234.plist. Une autre solution consiste à utiliser l’adresse IP d’un serveur comme identifiant. Un serveur dont l’adresse IP est 10.0.0.4 utiliserait le fichier suivant :/Volumes/MyIPod/Auto Server Setup/10.0.0.4.plist. Vous pouvez également utiliser un seul fichier nommé « generic.plist » par exemple, pour configurer plusieurs serveurs si les données de configuration n’ont pas besoin d’être individualisées et que les identités réseau des serveurs sont fournies via DHCP. Pour plus d’informations sur l’attribution d’un nom aux fichiers de configuration et sur leur utilisation, consultez la section « Procédure de recherche par un serveur de données de configuration enregistrées » à la page 136. Utilisation des réglages du répertoire Le serveur cible peut également se configurer à l’aide de données de configuration stockées dans un répertoire. Il doit alors être configuré pour accéder à ce dossier. Bien que le stockage de données de configuration dans un dossier soit la manière la plus automatisée de configurer plusieurs serveurs, cette approche suppose au préalable une infrastructure afin que les serveurs cibles puissent trouver les données de configuration stockées dans le répertoire. Les composants essentiels de l’infrastructure sont les services DHCP et Open Directory, comme le montre l’illustration ci-dessous : Le serveur Open Directory de cet exemple héberge un répertoire LDAP dans lequel ont été enregistrées des données de configuration. L’adresse du serveur Open Directory est abonnée au service DHCP, exécuté sur un autre serveur dans le cas présent. Le service DHCP fournit l’adresse du serveur Open Directory aux serveurs cibles lorsqu’il affecte des adresses IP à ces serveurs. Les serveurs cibles détectent les données de configuration qui ont été stockées à leur intention dans le répertoire LDAP et les utilisent pour s’autoconfigurer. Serveur Open Directory Serveur DHCP136 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Vous pouvez enregistrer les données de configuration dans un répertoire Apple OpenLDAP ou dans tout autre répertoire gérant le système d’extensions Apple pour les données de configuration enregistrées. Ce système d’extensions est présenté dans Administration d’Open Directory. Pour plus d’informations sur l’attribution d’un nom aux fichiers de configuration et sur leur utilisation, consultez la section « Procédure de recherche par un serveur de données de configuration enregistrées » à la page 136. Procédure de recherche par un serveur de données de configuration enregistrées Un serveur récemment installé se règle lui-même en se basant sur les données de configuration enregistrées via la séquence de recherche ci-après. Lorsque le serveur trouve des données de configuration correspondant aux critères décrits, il interrompt la recherche et utilise ces données pour se configurer. 1 Le serveur recherche des fichiers de configuration sur les volumes montés localement, dans /Volumes/*/Auto Server Setup/, où * est un nom de système de fichiers. Il effectue une recherche alphabétique dans les volumes par nom de périphérique, en recherchant un fichier portant l’extension « .plist » et nommé à l’aide de son adresse MAC, son adresse IP, son nom DNS partiel, son numéro de série de matériel intégré, son nom DNS complet, son adresse IP partielle ou generic.plist, dans cet ordre. 2 Le serveur recherche ensuite dans un répertoire, pour lequel il est configuré, un enregistrement de configuration, dans un chemin d’accès nommé « AutoServerSetup ». Il recherche les enregistrements nommés à l’aide de son adresse MAC, son adresse IP, son nom DNS partiel (monserveur), son numéro de série de matériel intégré, son nom DNS complet (monserveur.exemple.com), son adresse IP partielle ou « generic », dans cet ordre. Si les données de configuration sont chiffrées, le serveur a besoin de la phrase secrète correcte avant de pouvoir effectuer ses réglages. Vous pouvez employer l’Assistant du serveur pour fournir la phrase secrète de manière interactive ou bien vous pouvez la fournir dans un fichier texte stocké dans /Volumes/*/Auto Server Setup/. Le serveur cible effectue une recherche alphabétique dans les volumes par nom de système de fichiers, en recherchant un fichier portant l’extension « .pass » et nommé à l’aide de son adresse MAC, son adresse IP, son nom DNS partiel, son numéro de série de matériel intégré, son nom DNS complet, son adresse IP partielle ou generic.plist, dans cet ordre. Important :lorsque vous effectuez une mise à niveau, assurez-vous que les données de configuration enregistrées ne sont pas détectées par inadvertance et utilisées par le serveur que vous mettez à niveau. Si des données de configuration enregistrées sont utilisées, les réglages existants du serveur sont remplacés par les réglages enregistrés.Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 137 Les deux sections suivantes fournissent plus de détails sur la manière d’utiliser des données de configuration enregistrées. Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un fichier Une fois le logiciel serveur installé sur un serveur, vous pouvez le configurer automatiquement en utilisant des données enregistrées dans un fichier. Pour enregistrer et appliquer les données de configuration à partir d’un fichier : 1 Complétez la Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server pour chaque serveur à configurer. La Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server est disponible dans l’annexe. 2 Sur un ordinateur administrateur, ouvrez Assistant du serveur qui se trouve dans /Applications/Server. Vous n’avez pas besoin d’être administrateur sur l’ordinateur administrateur pour utiliser l’Assistant du serveur. 3 Dans la sous-fenêtre Bienvenue, sélectionnez « Enregistrer les infos de configuration avancées dans un fichier ou une fiche de répertoire » pour travailler en mode hors connexion (connexion serveur inutile). 4 Dans la sous-fenêtre Langue, choisissez la langue à employer pour administrer les serveurs cibles. 5 Si vous voulez créer un fichier de configuration, passez à l’étape 6. Pour utiliser un fichier de configuration existant, passez à l’étape 7. Si vous comptez créer un fichier de configuration générique pour configurer plusieurs serveurs, prenez soin de ne pas spécifier de noms de réseau (nom d’ordinateur et nom d’hôte local) et assurez-vous que chaque interface réseau (port) est réglée pour être configurée « Via DHCP » ou « Via BootP ». 6 Cliquez sur Continuer et saisissez les données de configuration au fur et à mesure de votre progression dans les sous-fenêtres de l’Assistant, en suivant les instructions affichées. 7 Dans la sous-fenêtre Langue, choisissez Fichier > Ouvrir le fichier de configuration ou Fichier > Ouvrir la fiche de répertoire pour charger les données de configuration enregistrées sur lesquelles vous voulez travailler. Si les données de configuration enregistrées sont chiffrées, tapez la phrase secrète lorsque vous y êtes invité. Choisissez éventuellement Présentation > Aller à Revoir pour vérifier les données de configuration, puis Revenir pour les modifier. 8 Dans la sous-fenêtre Interfaces de réseau, cliquez sur Ajouter pour spécifier les interfaces de réseau. 9 Une fois les données de configuration spécifiées, vérifiez le résumé affiché par Assistant du serveur et cliquez si nécessaire sur Revenir pour modifier les données. 10 Cliquez sur Enregistrer sous, puis sélectionnez Fichier de configuration.138 Chapitre 6Configuration initiale du serveur 11 Pour chiffrer le fichier, sélectionnez « Enregistrer au format crypté », puis tapez une phrase secrète et confirmez-la. Vous devez fournir la phrase secrète avant qu’un fichier de configuration chiffré puisse être utilisé par un serveur cible. 12 Cliquez sur OK, accédez à l’emplacement de destination du fichier, attribuez un nom au fichier en utilisant l’une des options suivantes, puis cliquez sur Enregistrer. Lors de la recherche de fichiers de configuration, les serveurs cibles recherchent les noms dans l’ordre indiqué : .plist (incluez les zéros au début, mais ignorez les deuxpoints ; par exemple, 0030654dbcef.plist). .plist (par exemple, 10.0.0.4.plist). .plist (par exemple, monserveur.plist). .plist (huit premiers caractères uniquement ; par exemple, ABCD1234.plist). .plist (par exemple, monserveur.exemple.com.plist). .plist (par exemple, 10.0.plist correspond à 10.0.0.4 et à 10.0.1.2). generic.plist (fichier que tout serveur reconnaîtra, utilisé pour configurer les serveurs qui nécessitent les mêmes valeurs de configuration). 13 Placez le fichier dans un emplacement où les serveurs cibles peuvent le détecter. Un serveur peut détecter un fichier de configuration s’il réside sur un volume monté localement dans /Volumes/*/Auto Server Setup/, où * correspond à tout périphérique monté sous /Volumes. Il peut s’agir du disque dur du serveur ou d’un iPod, d’un DVD, d’un CD, d’un disque FireWire, d’un disque USB ou de tout autre périphérique connecté au serveur. Par exemple, si vous possédez un iPod nommé AdminiPod, le chemin d’accès utilisé sera /Volumes/AdminiPod/Auto Server Setup/. 14 Si les données de configuration sont chiffrées, rendez la phrase secrète accessible aux serveurs cibles. Vous pouvez fournir la phrase secrète de manière interactive, à l’aide de l’Assistant du serveur ou dans un fichier texte. Pour fournir la phrase secrète dans un fichier, suivez l’étape 15. Pour la fournir de manière interactive, passez à l’étape 16. 15 Pour fournir une phrase secrète dans un fichier, créez un fichier texte, tapez la phrase secrète du fichier de configuration enregistré sur la première ligne, puis enregistrez le fichier sous l’un des noms suivants (lors de la recherche de fichiers de configuration, les serveurs cibles recherchent ces noms dans l’ordre indiqué).Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 139 .pass (incluez les zéros au début, mais ignorez les deuxpoints ; par exemple, 0030654dbcef.pass). .pass (par exemple, 10.0.0.4.pass). .pass (par exemple, monserveur.pass). .pass (huit premiers caractères uniquement ; par exemple, ABCD1234.pass). .pass (par exemple, monserveur.exemple.com.pass). .pass (par exemple, 10.0.pass correspond à 10.0.0.4 et à 10.0.1.2). generic.pass (un fichier que tout serveur reconnaîtra). Enregistrez le fichier de phrase secrète sur un volume monté localement sur le serveur cible, dans /Volumes/*/Auto Server Setup/, où * correspond à tout périphérique monté sous /Volumes. 16 Pour fournir de manière interactive une phrase secrète, utilisez l’Assistant du serveur sur un ordinateur administrateur capable de se connecter au serveur cible. a Dans la sous-fenêtre Bienvenue ou Destination, choisissez Fichier > Fournir la phrase secrète. b Dans la zone de dialogue, tapez l’adresse IP, le mot de passe et la phrase secrète du serveur cible. c Cliquez sur Envoyer. 17 Si vous utilisez un fichier de configuration générique et que le numéro de série ne correspond pas à une licence de site, vous devez, après la configuration, saisir le numéro de série du serveur à l’aide d’Admin Serveur ou de la ligne de commande. Dans Admin Serveur, sélectionnez le serveur, cliquez sur Réglages, puis sur Général. Vous pouvez également utiliser ssh dans l’application Terminal, afin de vous connecter au serveur et saisir la commande serversetup -setServerSerialNumber. Pour une description de la disposition d’un fichier de configuration enregistré et pour en savoir plus sur la commande serversetup, consultez la section Administration de ligne de commande.140 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un répertoire Une fois le logiciel serveur installé sur un serveur, vous pouvez le configurer automatiquement en utilisant des données enregistrées dans un répertoire. Cette méthode nécessite un répertoire et une infrastructure DHCP en place, comme dans la procédure ci-dessous. Pour enregistrer et appliquer des données de configuration dans une fiche de répertoire : 1 Assurez-vous que le répertoire dans lequel vous souhaitez enregistrer les données de configuration existe, que son système accepte les données de configuration enregistrées et qu’il est accessible à partir de votre ordinateur administrateur. Administration d’Open Directory décrit la configuration et l’accès aux répertoires. Il pré- sente également le système pour les données de configuration enregistrées. La gestion des données de configuration enregistrées est intégrée aux répertoires Apple OpenLDAP mais le système des autres répertoires doit être étendu pour accepter ce type de données. 2 Complétez la Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server pour chaque serveur à configurer. La Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server est disponible dans l’annexe. 3 Sur un ordinateur administrateur, ouvrez Assistant du serveur dans /Applications/Server. Vous n’avez pas besoin d’être administrateur sur l’ordinateur administrateur pour utiliser l’Assistant du serveur. 4 Dans la sous-fenêtre Bienvenue, sélectionnez « Enregistrer les infos de configuration avancées dans un fichier ou une fiche de répertoire » pour travailler en mode hors connexion (connexion serveur inutile). 5 Dans la sous-fenêtre Langue, choisissez la langue à employer pour administrer les serveurs cibles. 6 Si vous voulez créer une nouvelle configuration, passez à l’étape 7. Pour travailler avec une configuration existante, passez à l’étape 8. Si vous créez des données de configuration génériques, prenez soin de ne pas spécifier de noms de réseau (nom d’ordinateur et nom d’hôte local) et assurez-vous que l’interface réseau (port) est définie pour être configurée « Via DHCP » ou « Via BootP ». 7 Cliquez sur Continuer et saisissez les données de configuration au fur et à mesure de votre progression dans les sous-fenêtres de l’Assistant, en suivant les instructions affichées.Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 141 8 Dans la sous-fenêtre Langue, choisissez Fichier > Ouvrir le fichier de configuration ou Fichier > Ouvrir la fiche de répertoire pour charger les données de configuration enregistrées sur lesquelles vous voulez travailler. Si les données de configuration enregistrées sont chiffrées, tapez la phrase secrète lorsque vous y êtes invité. Choisissez éventuellement Présentation > Aller à Revoir pour vérifier les données de configuration, puis Revenir pour les modifier. 9 Dans la sous-fenêtre Interfaces de réseau, cliquez sur Ajouter pour spécifier les interfaces de réseau. 10 Une fois toutes les données de configuration spécifiées, vérifiez le résumé affiché par Assistant du serveur et cliquez si nécessaire sur Revenir pour modifier vos données. 11 Cliquez sur Enregistrer sous, puis sélectionnez Fiche de répertoire. 12 Pour chiffrer le fichier, sélectionnez « Enregistrer au format crypté », puis tapez une phrase secrète et confirmez-la. Avant qu’un enregistrement de répertoire chiffré soit utilisable par un serveur cible, vous devez fournir la phrase secrète. 13 Spécifiez le répertoire dans lequel vous souhaitez enregistrer la configuration, puis cliquez sur OK. À l’invite, saisissez les informations requises pour vous authentifier en tant qu’administrateur de domaine de répertoire. Les réglages sont enregistrés dans le répertoire dans AutoServerSetup. Les serveurs cibles recherchent les noms d’enregistrement dans l’ordre suivant : (incluez les zéros au début, mais ignorez les deux-points ; par exemple, 0030654dbcef). (par exemple, 10.0.0.4). (par exemple, monserveur). (huit premiers caractères uniquement ; par exemple, ABCD1234). (par exemple, monserveur.exemple.com). (par exemple, 10.0 correspond à 10.0.0.4 et à 10.0.1.2). generic (enregistrement que tout serveur reconnaîtra, utilisé pour configurer les serveurs qui nécessitent les mêmes valeurs de configuration). 14 Assurez-vous que l’infrastructure correcte est en place de façon à ce que les serveurs devant employer la fiche de configuration stockée puissent la retrouver. Le serveur de répertoire stockant la fiche de configuration doit être en cours d’exécution. Le protocole DHCP doit être configuré pour identifier le serveur de répertoire auprès des serveurs cibles via l’Option 95. De plus, il faudra éventuellement configurer le DNS si vos données de répertoire comportent des noms DNS.142 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Pour plus d’informations sur l’infrastructure, consultez la section « Définition de l’infrastructure minimale pour la configuration du serveur » à la page 31. Administration d’Open Directory etAdministration des services de réseau fournissent des instructions de configuration des répertoires et de DHCP. 15 Si les données de configuration sont chiffrées, rendez la phrase secrète accessible aux serveurs cibles. Vous pouvez fournir la phrase secrète de manière interactive, à l’aide de l’Assistant du serveur ou dans un fichier texte. Pour fournir la phrase secrète dans un fichier, suivez l’étape 16. Pour la fournir de manière interactive, passez à l’étape 17. 16 Pour fournir une phrase secrète dans un fichier, créez un fichier texte, tapez la phrase secrète du fichier de configuration enregistré sur la première ligne, puis enregistrez le fichier sous l’un des noms suivants : Les serveurs cibles recherchent ces noms dans l’ordre suivant : .pass (incluez les zéros au début, mais ignorez les deuxpoints ; par exemple, 0030654dbcef.pass). .pass (par exemple, 10.0.0.4.pass). .pass (par exemple, monserveur.pass). .pass (huit premiers caractères uniquement ; par exemple, ABCD1234.pass). .pass (par exemple, monserveur.exemple.com.pass). .pass (par exemple, 10.0.pass correspond à 10.0.0.4 et à 10.0.1.2). generic.pass (un fichier que tout serveur reconnaîtra). Placez le fichier de phrase secrète sur un volume monté localement sur le serveur cible, dans /Volumes/*/Auto Server Setup/, où * correspond à tout périphérique monté sous le répertoire /Volumes. 17 Pour fournir de manière interactive une phrase secrète, utilisez l’Assistant du serveur sur un ordinateur administrateur capable de se connecter au serveur cible. a Dans la sous-fenêtre Bienvenue ou Destination, choisissez Fichier > Fournir la phrase secrète. b Dans la zone de dialogue, tapez l’adresse IP, le mot de passe et la phrase secrète du serveur cible. c Cliquez sur Envoyer. 18 Si vous utilisez une fiche de configuration générique et que le numéro de série du serveur ne correspond pas à une licence de site, vous devez indiquer le numéro de série du serveur à l’aide d’Admin Serveur ou de la ligne de commande à l’issue de la configuration.Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 143 Dans Admin Serveur, sélectionnez le serveur, cliquez sur Réglages, puis sur Général. Pour utiliser la ligne de commande, utilisez ssh dans l’application Terminal afin de vous connecter au serveur et saisissez la commande serversetup -setServerSerialNumber. Pour une description du système de données de configuration enregistrées dans un répertoire, consultez la section Administration d’Open Directory. Pour plus d’informations sur serversetup, consultez la section Administration de ligne de commande. Détermination de l’état des configurations Lorsque la configuration est terminée, le serveur redémarre et affiche la fenêtre d’ouverture de session. Si la configuration échoue, vous en serez informé de plusieurs façons. Utilisation de la sous-fenêtre Destination pour les informations d’état de configuration L’Assistant du serveur affiche les informations d’erreurs dans sa sous-fenêtre Destination. Pour y accéder, dans la sous-fenêtre Bienvenue, sélectionnez « Configurer un serveur distant » et cliquez sur Continuer. Si le serveur ne figure pas dans la liste, cliquez sur Ajouter. Sélectionnez le serveur et examinez les informations affichées. Vous pouvez enregistrer une liste de serveurs à contrôler dans la sous-fenêtre Destination, en choisissant Fichier > Enregistrer la liste de serveurs. Lorsque vous souhaitez surveiller l’état de ces serveurs, utilisez Fichier > Charger la liste de serveur. Gestion des échecs de configuration Lorsqu’une configuration de serveur échoue, un historique d’erreurs est créé dans /Système/Bibliothèque/ServerSetup/Configured/POR.err sur le serveur cible.Le contenu de cet historique peut être affiché et le fichier d’historique effacé sur un ordinateur administrateur distant. Double-cliquez sur l’icône d’erreur d’un serveur dans la sous-fenêtre Destination de l’Assistant du serveur. Si vous y êtes invité, fournissez le mot de passe prédéfini et cliquez sur Envoyer. Le contenu de l’historique est affiché et vous pouvez cliquer sur Supprimer pour effacer le fichier d’historique. La configuration ne peut pas être redémarrée tant que ce fichier n’a pas été effacé.144 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Si la configuration échoue parce qu’un fichier de phrase secrète est introuvable lors de l’utilisation de données de configuration enregistrées dans un fichier ou une fiche de répertoire, vous pouvez :  Utiliser l’Assistant du serveur pour indiquer de manière interactive une phrase secrète. Dans la sous-fenêtre Destination, choisissez Fichier > Fournir la phrase secrète.  Indiquer la phrase secrète dans un fichier texte. Placez le fichier de phrase secrète sur un volume monté localement sur le serveur cible, dans /Volumes/*/Auto Server Setup/, où * correspond à tout périphérique monté sous / Volumes. Un serveur cible recherche dans les volumes par ordre alphabétique des noms de périphériques. Si la configuration d’un serveur distant échoue pour une raison ou une autre, réinstallez le logiciel serveur et recommencez la configuration initiale. Si la configuration d’un serveur local échoue, redémarrez l’ordinateur, exécutez de nouveau Assistant du serveur, puis redémarrez la configuration. Vous pouvez également réinstaller le logiciel serveur. Gestion des avertissements de configuration Lorsque la configuration est terminée, mais qu’il existe une condition nécessitant votre attention, un historique d’avertissement est créé dans /Bibliothèque/Logs/ServerAssistant.POR.status sur le serveur cible. Cliquez sur le lien ServerAssistant.status sur le bureau du serveur cible afin d’ouvrir ce fichier. Voici quelques-uns des messages que vous pouvez rencontrer dans l’historique :  Le numéro de série du logiciel serveur n’est pas valide. Ouvrez Admin Serveur, sélectionnez le serveur dans la liste Serveurs, cliquez sur Réglages, puis sur Général. Tapez le numéro de série correct, puis cliquez sur Enregistrer.  Étant donné que ce serveur a été configuré avec un fichier ou un enregistrement de répertoire générique et que le numéro de série ne correspond pas à une licence de site, vous devez saisir le numéro de série du logiciel serveur à l’aide d’Admin Serveur. Ouvrez Admin Serveur,sélectionnez le serveur dans la liste Serveurs, cliquez sur Réglages, puis sur Général. Tapez le numéro de série correct, puis cliquez sur Enregistrer.  L’administrateur de serveur défini dans les données de configuration existe déjà sur le serveur que vous avez mis à niveau. Obtention d’informations d’état sur l’installation de la mise à niveau Lorsque vous effectuez une mise à niveau, des fichiers d’historique peuvent être enregistrés sur le serveur cible. Pour plus d’informations sur les historiques de mise à niveau, reportez-vous aux informations de mise à niveau dans Mise à niveau et migration.Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 145 Configuration des services Après avoir défini une configuration avancée, vous devez configurer les services à l’aide d’Admin serveur et ajouter des utilisateurs et des groupes à l’aide de Gestionnaire de groupe de travail. Les sections suivantes abordent la configuration initiale de services individuels et vous indiquent où trouver des instructions pour personnaliser les services en fonction de vos besoins. Ajout de services à l’affichage Serveur Pour pouvoir configurer un service, vous devez l’ajouter à l’affichage des serveurs dans Admin Serveur. Par défaut, aucun service n’est affiché pour votre serveur. Au fur et à mesure que vous sélectionnez des services à administrer, les sous-fenêtres de configuration adéquates deviennent disponibles dans une liste sous le nom de votre ordinateur. La première fois que vous lancez Admin serveur et que vous vous connectez à un serveur nouvellement installé, vous êtes invité à sélectionner les services à installer et à configurer sur ce serveur. Les services que vous sélectionnez dans la liste sont affichés au fur et à mesure sous le nom d’hôte du serveur dans la liste des serveurs. Pour pouvoir être activé ou configuré, un service doit être ajouté à la liste des services administrés. Pour changer de services à administrer : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Services. 3 Cochez la case de chaque service à activer. Configuration d’Open Directory À moins que votre serveur ne doive être intégré au système de répertoire d’un autre fabricant ou que l’architecture de répertoire d’un serveur que vous mettez à niveau doive être immédiatement modifiée, vous pouvez commencer à utiliser immédiatement les répertoires que vous avez configurés pendant la configuration du serveur. Administration d’Open Directory fournit des instructions concernant tous les aspects de la configuration de l’authentification et des domaines Open Directory, y compris :  la configuration de l’accès d’un ordinateur client à des données de répertoire partagé ;  la réplique de répertoires LDAP et des informations d’authentification de maîtres Open Directory ;  l’intégration avec Active Directory et d’autres répertoires non Apple ;  la configuration de la signature unique ;  l’utilisation de Kerberos et d’autres techniques d’authentification.146 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Configuration de la gestion des utilisateurs À moins d’utiliser un serveur exclusivement pour héberger du contenu Internet (comme des pages web) ou pour créer une grappe de calcul, vous serez probablement amené à configurer des comptes d’utilisateur en plus du ou des comptes d’administrateur créés lors de la configuration du serveur. Gestion des utilisateurs vous explique comment utiliser Gestionnaire de groupe de travail pour établir une connexion au répertoire, définir les réglages d’utilisateur, configurer des comptes de groupe et des listes d’ordinateurs, définir des préférences gérées ou importer des comptes. Pour configurer un compte utilisateur : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Authentifiez-vous en tant qu’administrateur de répertoire auprès du répertoire. 3 Dans la partie supérieure de la fenêtre de l’application, cliquez sur le bouton Comptes pour sélectionner le répertoire auquel ajouter des utilisateurs. 4 Cliquez sur le bouton Nouvel utilisateur. 5 Spécifiez les réglages d’utilisateur dans les différentes sous-fenêtres. Vous pouvez configurer des comptes d’utilisateur en utilisant le Gestionnaire de groupe de travail pour importer les réglages à partir d’un fichier. Configuration des services de fichiers Lorsque vous activez les services de partage de fichiers, les utilisateurs peuvent partager des éléments dans les dossiers sélectionnés. Activez et configurez les services de fichiers et les points de partage à l’aide d’Admin Serveur. Dans les versions de Mac OS X Server antérieures à Leopard Server, les points de partage étaient créés à l’aide de Gestionnaire de groupe de travail. Depuis lors, cette fonctionnalité a été dévolue à Admin Serveur. Administration des services de fichier fournit des instructions de gestion des points de partage et de configuration du partage de fichiers avec tous les protocoles. Pour configurer le partage de fichiers : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Services. 3 Cochez la case appropriée pour chaque service de fichiers à activer. Pour partager des fichiers avec des ordinateurs Macintosh, activez le service de fichiers Apple (service AFP). Pour partager des fichiers avec des ordinateurs Windows, activez le service SMB. Pour fournir l’accès File Transfer Protocol (FTP), activez le service FTP.Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 147 Pour un partage avec des ordinateurs UNIX, activez le service NFS. 4 Sélectionnez Partage de fichiers dans la barre d’outils. 5 Sélectionnez un volume ou un dossier à partager. 6 Sélectionnez « Partager cet élément » pour chaque dossier ou volume à partager. 7 Cliquez sur les autres onglets afin de spécifier des attributs pour le point de partage. Configuration du service d’impression Lorsque vous activez le service d’impression, les utilisateurs de serveurs peuvent partager des imprimantes réseau PostScript ou des imprimantes PostScript et non PostScript connectées directement au serveur. Une file d’attente est configurée automatiquement pour toute imprimante USB connectée au serveur. Aucune file d’imprimante n’est automatiquement configurée pour les imprimantes réseau, mais il est facile d’en ajouter. Pour configurer une file d’imprimante partagée : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Services. 3 Cochez la case Service d’impression. 4 Dans la liste située sous le serveur, sélectionnez Service d’impression. Si le service n’est pas en cours d’exécution, cliquez sur le bouton de démarrage du service. 5 Cliquez sur Files d’attente. 6 Cliquez sur le bouton Ajouter (+). 7 Choisissez un protocole de connexion, identifiez une imprimante, puis cliquez sur OK. Les utilisateurs d’ordinateurs Mac OS X peuvent à présent ajouter l’imprimante à l’aide de Configuration d’imprimante. Pour plus d’informations sur la configuration des services d’impression, consultez la section Administration du service d’impression.148 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Configuration de service web Vous pouvez utiliser le serveur HTTP Apache fourni avec Mac OS X Server pour héberger des sites web d’utilisateurs ou de serveur. Si vous avez activé le service web dans Assistant du serveur, votre serveur est prêt à fournir des pages HTML à partir de dossiers du serveur et de dossiers d’utilisateurs.  Pour visualiser le site de serveur principal, ouvrez un navigateur web sur un ordinateur ayant accès au serveur et tapez l’adresse IP ou le nom de domaine du serveur.  Pour visualiser le site d’un utilisateur, ajoutez une barre oblique (/), un tilde (~) et le diminutif de l’utilisateur après l’adresse du serveur. Par exemple, tapez http://192.268.2.1/~utilisateur Pour activer le service web s’il n’est pas en cours d’exécution : 1 Si vous disposez des fichiers HTML de votre site principal, copiez-les dans le dossier Documents du répertoire /Bibliothèque/WebServer. Si les fichiers de votre site sont organisés en dossiers, copiez la structure des dossiers entière dans le dossier Documents. Dans le cas d’un site d’utilisateur, les fichiers sont placés dans le dossier Sites du dossier de départ de l’utilisateur. Assurez-vous que les fichiers et les dossiers de contenu web possèdent les autorisations et les options de propriétaire requises. Pour un accès web normal ou un accès WebDAV en lecture seule, les fichiers doivent pouvoir être lus par l’utilisateur www, et les dossiers (y compris l’ensemble des dossiers existants) doivent pouvoir être lus et interrogés par celui-ci. En outre, pour un accès WebDAV en lecture/écriture, l’utilisateur www doit pouvoir écrire dans les fichiers et dans le dossier immédiatement supérieur. Si vous ne disposez pas encore de vos fichiers HTML, vous pouvez toujours activer le service web pour voir comment il fonctionne à l’aide des pages de démarrage par défaut fournies avec Mac OS X Server. 2 Ouvrez Admin Serveur. 3 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Services. 4 Cochez la case du service web. 5 Dans la liste sous le serveur, cliquez sur le bouton du service web. 6 Si le service n’est pas en cours d’exécution, cliquez sur le bouton Démarrer le service dans la barre d’outils. Administration des technologies web décrit de nombreux aspects du service web et explique notamment comment configurer SSL sur un site, activer WebMail et utiliser WebDAV pour le partage de fichiers.Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 149 Configuration du service de messagerie Pour que vos utilisateurs puissent bénéficier de la totalité du service de messagerie disponible, vous devez définir d’autres réglages dont la configuration dépasse le cadre de ce guide. Administration du service de messagerie fournit des instructions de configuration et de gestion d’un serveur de messagerie. Configuration de services réseau Si vous voulez qu’un serveur héberge l’un des services réseau suivants, recherchez les instructions de configuration correspondantes dans Administration des services de réseau :  service DHCP  DNS  Service de coupe-feu  NAT (Network Address Translation)  RADIUS  VPN  service d’horloge réseau Configuration de services d’image système et de services de mise à jour de logiciels Pour plus d’informations sur l’utilisation de NetBoot et de NetInstall afin de simplifier la gestion et l’installation de systèmes d’exploitation clients et d’autres logiciels, consultez la section Administration de Mise à jour de logiciels et d’Imagerie système. Il indique comment créer des images disque et configurer Mac OS X Server de façon que d’autres ordinateurs Macintosh puissent démarrer ou installer via le réseau, à partir de ces images. Le même guide décrit comment configurer le service de mise à jour de logiciels, lequel vous permet de personnaliser les mises à jour des logiciels Apple sur les ordinateurs clients. Pour activer NetBoot et NetInstall pour l’administration : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Services. 3 Cochez la case du service NetBoot.150 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Configuration de la diffusion de données Pour en savoir plus sur la manière d’administrer un serveur de diffusion en continu de flux de données en temps réel ou à la demande vers des ordinateurs clients, consultez la section Administration de QuickTime Streaming et Broadcasting. Pour activer le service QuickTime Streaming pour l’administration : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Services. 3 Cochez la case du service QuickTime Streaming. Configuration de Podcast Producer Pour plus d’informations sur la gestion d’un serveur de production de podcasts fournissant des données de syndication à des ordinateurs clients, consultez la section Administration de Podcast Producer. Pour activer le service Podcast Producer pour l’administration : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Services. 3 Cochez la case du service Podcast Producer. Configuration du service WebObjects Si vous souhaitez développer des applications WebObjects, reportez-vous à la bibliothèque de référence WebObjects, disponible sur le site developer.apple.com/referencelibrary/WebObjects/ (en anglais). Si vous souhaitez configurer un serveur d’applications WebObjects, reportez-vous à la section Déploiement de la bibliothèque de référence WebObjects. Administration des technologies web fournit des informations supplémentaires sur le service WebObject. Pour activer le service WebObject pour l’administration : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Services. 3 Cochez la case du service WebObject.Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 151 Configuration du service iChat Outre les services déjà décrits permettant aux utilisateurs de communiquer (par exemple, les services de messagerie et de fichiers, ou encore les comptes et préférences de groupe), vous pouvez configurer un serveur iChat. La configuration du service iChat à l’aide d’Admin Serveur est décrite dans Administration du service iChat. Pour activer le service iChat pour l’administration : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Services. 3 Cochez la case du service iChat. Configuration du service iCal En activant le service iCal, vous pouvez partager et modifier des calendriers pour les utilisateurs et les groupes. Une application de calendrier compatible avec CalDAV permet de partager, de visualiser et de modifier des calendriers avec d’autres personnes. La configuration du service iCal à l’aide d’Admin Serveur est décrite dans Administration du service iCal. Pour activer le service iCal pour l’administration : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Services. 3 Cochez la case du service iCal.7 153 7 Gestion Ce chapitre explique comment effectuer la gestion continue de vos systèmes, notamment en configurant des ordinateurs administrateurs, en désignant des administrateurs et en maintenant la durée de fonctionnement des services. Il comprend les sections suivantes :  « Ports utilisés pour l’administration » à la page 154.  « Ports ouverts par défaut » à la page 154.  « Ordinateurs permettant d’administrer un serveur » à la page 154.  « Utilisation des outils d’administration » à la page 156.  « Ouverture de l’application Admin Serveur et authentification » à la page 157.  « Ajout et suppression de serveurs dans Admin Serveur » à la page 157.  « Regroupement manuel de serveurs » à la page 158.  « Regroupement de serveurs à l’aide de groupes intelligents » à la page 159.  « Utilisation des réglages d’un serveur spécifique » à la page 159.  « Administration des services » à la page 164.  « Autorisations d’administration par niveaux » à la page 168.  « Notions élémentaires sur Gestionnaire de groupe de travail » à la page 170.  « Administration de comptes » à la page 171.  « Gestion d’ordinateurs de versions antérieures à la version 10.5 à partir de serveurs de version 10.5 » à la page 175.  « Assistants de configuration des services » à la page 175.  « Fichiers de données et de configuration critiques » à la page 176.  « Amélioration de la disponibilité des services » à la page 180.  « Configuration du redémarrage automatique de votre serveur » à la page 182.  « Équilibrage de la charge » à la page 190.  « Vue d’ensemble des démons » à la page 191.154 Chapitre 7Gestion Ports utilisés pour l’administration Les ports ci-dessous doivent être activés pour assurer le fonctionnement des applications d’administration Apple. En outre, d’autres ports doivent être activés pour chaque service à exécuter sur votre serveur. Pour un guide de référence sur les ports, consultez la section Administration des services de réseau et le manuel du service approprié. Ports ouverts par défaut Après l’installation, le coupe-feu est désactivé par défaut en mode de serveur avancé, ce qui signifie que tous les ports sont ouverts. Lorsque le coupe-feu est activé, tous les ports sont bloqués sauf ceux de la liste ci-dessous pour toutes les adresses IP d’origine : Ordinateurs permettant d’administrer un serveur Pour administrer un serveur localement au moyen des applications d’administration graphiques (dans /Applications/Server/), ouvrez une session sur le serveur en tant qu’administrateur, puis démarrez l’application. Pour administrer un serveur distant, ouvrez les applications sur un ordinateur administrateur. Un ordinateur administrateur est un ordinateur Mac OS X Server ou Mac OS X 10.5 ou ultérieur quelconque, sur lequel les outils d’administration ont été installés à partir du CD Mac OS X Server Admin Tools. Consultez la section « Configuration d’un ordinateur administrateur » à la page 155. Numéro et type de port Outil utilisé 22 TCP Shell de ligne de commande SSH 311 TCP Admin Serveur (avec SSL) 625 TCP Gestionnaire de groupe de travail 389, 686 TCP Répertoire 80 TCP Gestion de QuickTime Streaming 4111 TCP Xgrid Admin Numéro et type de port Service 22 TCP Shell de ligne de commande SSH 311 TCP Admin Serveur (avec SSL) 626 UDP Prise en charge du numéro de série 625 TCP Format de répertoire distant ICMP (entrée et sortie) ping standard 53 UDP Résolution de nom DNSChapitre 7 Gestion 155 Vous pouvez exécuter les outils de ligne de commande à partir de l’application Terminal (dans le répertoire /Applications/Utilitaires/) et sur n’importe quel ordinateur Mac OS X Server ou Mac OS X. Vous pouvez également exécuter les utilitaires de ligne de commande depuis un poste de travail UNIX. Configuration d’un ordinateur administrateur Un ordinateur administrateur est un ordinateur équipé de Mac OS X ou Mac OS X Server 10.5 ou ultérieur, qui vous permet d’administrer des serveurs distants. Dans l’illustration ci-dessous, les flèches vont des ordinateurs administrateurs vers les serveurs qu’ils permettent d’administrer. Une fois que vous avez installé et configuré un ordinateur Mac OS X Server doté d’un moniteur, d’un clavier et d’un lecteur optique, il constitue un ordinateur administrateur. Pour transformer un ordinateur équipé de Mac OS X en ordinateur administrateur, vous devez installer des logiciels supplémentaires. Pour activer l’administration à distance de Mac OS X Server à partir d’un ordinateur Mac OS X : 1 Assurez-vous que l’ordinateur Mac OS X est doté de Mac OS X version 10.5 ou ulté- rieure, et d’au moins 512 Mo de mémoire RAM et 1 Go d’espace disque inutilisé. 2 Insérez le CD Mac OS X Server Admin Tools. 3 Ouvrez le dossier du programme d’installation. 4 Démarrez le programme d’installation (ServerAdministrationSoftware.mpkg) et suivez les instructions à l’écran. Administration au moyen d’un ordinateur non Mac OS X Vous pouvez utiliser un ordinateur non Mac OS X prenant en charge SSH (comme un poste de travail UNIX) pour administrer Mac OS X Server à l’aide des utilitaires de ligne de commande. Pour plus d’informations, consultez la section Administration de ligne de commande. Serveurs Mac OS X Ordinateur administrateur Mac OS X156 Chapitre 7Gestion Vous pouvez également utiliser un ordinateur capable d’exécuter un visualiseur VNC pour administrer Mac OS X Server. L’utilisation de VNC pour administrer le serveur est similaire à l’utilisation locale du clavier, de la souris et du moniteur. Pour activer un serveur VNC sur l’ordinateur Mac OS X Server, exécutez le partage d’écran dans la sous-fenêtre Partage des Préférences Système. Utilisation des outils d’administration Les informations relatives à chaque outil d’administration sont disponibles aux pages indiquées dans le tableau ci-dessous. L’application Admin Serveur vous permet d’administrer des services sur un ou plusieurs ordinateurs Mac OS X Server. Admin Serveur vous permet également de spécifier des réglages qui prennent en charge plusieurs services, tels que la création et la gestion de certificats SSL, ainsi que la définition des utilisateurs et groupes autorisés à accéder aux services. Utilisez cette application ou cet outil Pour Consultez Programme d’installation Installer le logiciel serveur ou mettre à niveau la version 10.2 ou 10.3 page 85 Assistant du serveur Configurer un serveur en version 10.5 page 123 Gestionnaire de groupe de travail Administrer des comptes et leurs pré- férences gérées. page 170 Admin Serveur Configurer et surveiller des services et l’accès administrateur, configurer des points de partage. Configurer et administrer la diffusion en continu de données QuickTime page 159 page 42 Outils d’image système Gérer des images de disque NetBoot et NetInstall. page 53 Contrôle de serveur Contrôler l’équipement Xserve. page 195 QTSS Publisher Gérer les données et les préparer pour la diffusion en continu ou le téléchargement progressif. page 54 Apple Remote Desktop (facultatif) Surveiller et contrôler d’autres ordinateurs Macintosh. page 54 Utilitaires de ligne de commande Administrer un serveur au moyen d’un shell de commande UNIX. page 54 Xgrid Admin Surveiller des contrôleurs, des grilles et des tâches Xgrid localement ou à distance. page 55Chapitre 7 Gestion 157 Ouverture de l’application Admin Serveur et authentification Admin Serveur est installé dans /Applications/Server/. Vous pouvez ouvrir Admin Serveur dans le Finder ou en cliquant sur l’icône correspondante dans le Dock ou sur le bouton Admin dans la barre d’outils de Gestionnaire de groupe de travail. Pour sélectionner un serveur à utiliser, tapez son adresse IP ou son nom DNS dans la zone de dialogue d’ouverture de session ou cliquez sur Parcourir pour le choisir dans une liste de serveurs. Tapez le nom d’utilisateur et le mot de passe d’un administrateur de serveur, puis cliquez sur Se connecter. Ajout et suppression de serveurs dans Admin Serveur Les serveurs que vous pouvez administrer avec Admin Serveur apparaissent dans la liste Serveurs, sur le côté gauche de la fenêtre de l’application. Vous pouvez ajouter un serveur dans la liste Serveurs et ouvrir une session sur ce serveur en procédant de deux manières différentes :  Cliquez sur le bouton Ajouter (+) dans la barre d’action inférieure et choisissez Ajouter un serveur.  Choisissez Serveur > Ajouter un serveur dans la barre de menus. Lors de la prochaine ouverture d’Admin Serveur, tout ordinateur ajouté ici sera affiché dans la liste. Pour modifier l’ordre des serveurs dans la liste, glissez-les à la nouvelle position de votre choix.158 Chapitre 7Gestion Vous pouvez supprimer un serveur de la liste Serveurs de façon similaire. Sélectionnez tout d’abord le serveur à supprimer, puis effectuez l’une des actions suivantes :  Cliquez sur le bouton Effectuer l’action dans la barre d’action inférieure et choisissez Se déconnecter, puis Serveur distant.  Choisissez Serveur > Se déconnecter, puis Serveur > Serveur distant dans la barre des menus. Si un serveur de la liste Serveurs est affiché en gris, double-cliquez sur le serveur ou cliquez sur le bouton Se connecter dans la barre d’outils afin d’ouvrir une nouvelle session. Sélectionnez l’option « Mémoriser ce mot de passe dans mon trousseau » lorsque vous ouvrez une session pour activer la reconnexion automatique à la prochaine ouverture d’Admin Serveur. Regroupement manuel de serveurs Admin Serveur affiche les ordinateurs par groupes dans la section Liste des serveurs de la fenêtre de l’application. La liste par défaut des serveurs s’appelle Tous les serveurs. Il s’agit de la liste de tous les ordinateurs administrés possibles que vous avez ajoutés et auprès desquels vous êtes authentifiés. Vous pouvez créer d’autres groupes pour organiser à votre gré les ordinateurs du réseau. Les groupes de serveurs possèdent les caractéristiques suivantes :  Vous pouvez créer autant de listes que vous le souhaitez.  Les serveurs peuvent figurer dans plusieurs listes.  Les groupes peuvent être constitués selon n’importe quel schéma d’organisation imaginable :géographique, fonctionnel, matériel, voire esthétique.  Vous pouvez cliquer sur un nom de groupe pour afficher une vue d’ensemble de tous les serveurs du groupe. Vous pouvez partir de la liste Tous les serveurs pour définir des groupes de serveurs ciblés plus spécifiques. Pour ce faire, commencez par créer des listes vides, puis ajoutezy ultérieurement des serveurs figurant dans la liste Tous les serveurs. Pour créer un groupe de serveurs : 1 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) sous la liste Serveur dans le bas de la fenêtre Admin Serveur. 2 Sélectionnez Ajouter un groupe, puis donnez un nom au groupe. Pour renommer un groupe, cliquez sur son nom, puis immobilisez le pointeur de la souris quelques secondes au-dessus du nom. Ce dernier devrait alors devenir modifiable. 3 Faites glisser les serveurs du groupe Tous les serveurs vers le nouveau groupe.Chapitre 7 Gestion 159 Regroupement de serveurs à l’aide de groupes intelligents Admin Serveur affiche les ordinateurs par groupes dans la section Liste des serveurs de la fenêtre de l’application. La liste par défaut des serveurs s’appelle Tous les serveurs. Il s’agit d’une liste de tous les ordinateurs administrés possibles que vous avez ajoutés et auxquels vous êtes authentifiés. Il est possible de créer des listes de serveurs qui se remplissent automatiquement en fonction de critères personnalisés. Une fois que vous avez créé un groupe intelligent, tout serveur ajouté à la liste Tous les serveurs (ou à une autre liste spécifiée) correspondant aux critères est ajouté de façon dynamique au groupe intelligent. Vous pouvez vous baser sur certains ou sur tous les critères suivants :  Services visibles  Services en cours d’exécution  Débit réseau  Utilisation du CPU  Adresse IP  Version du système d’exploitation Pour créer un groupe de serveurs intelligent : 1 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) sous la liste Serveur dans le bas de la fenêtre Admin Serveur. 2 Sélectionnez « Ajouter un groupe intelligent ». 3 Attribuez un nom au groupe intelligent. 4 Définissez les critères d’affichage des serveurs dans la liste, puis cliquez sur OK. Le groupe s’affiche dans la liste Serveur. Utilisation des réglages d’un serveur spécifique Pour utiliser les réglages de serveur généraux, sélectionnez un serveur dans la liste Serveurs. La barre d’outils comporte alors un certain nombre de boutons qui affichent des options de configuration ou des onglets d’options de configuration.160 Chapitre 7Gestion L’illustration ci-dessous présente la sous-fenêtre Réglages d’un serveur : Le tableau suivant contient un descriptif résumé de chaque bouton : Un clic sur Réglages vous donne accès aux sous-fenêtres ci-dessous :  Sous-fenêtre Général :cliquez sur Général pour utiliser le numéro de série du serveur ou activer la prise en charge du protocole SNMP, NTP ou SSH, de la Gestion à distance et de la fonction de synchronisation des dossiers de départ mobiles côté serveur. Bouton de barre d’outils Affichage Aperçu Informations sur le matériel, les logiciels, les services et l’état du serveur. Historiques Historique système et historique des systèmes de sécurité. Graphiques Historique graphique de l’activité du serveur. Partage Options de configuration pour la définition des dossiers de partage de fichiers, des points de partage et du montage automatique. Màj du serveur Mise à jour de logiciels disponibles auprès d’Apple pour mettre à jour les logiciels du serveur. Certificats Certificats de sécurité du serveur. Réglages Réglages réseau du serveur, numéro de série du logiciel serveur, contrôles d’accès aux services et autres informations.Chapitre 7 Gestion 161 SNMP est l’abréviation de Simple Network Management Protocol, une norme qui facilite la surveillance et la gestion de l’ordinateur. Le serveur utilise le projet open source net-snmp pour son implémentation de SNMP. Bien qu’aucun des outils d’administration du serveur n’utilise ou ne nécessite SNMP, son activation permet la surveillance et la gestion du serveur à partir de logiciels SNMP tiers, tels que HP OpenView. Utilisez la case NTP (Network Time Protocol) pour activer le service NTP. Pour en savoir plus sur le protocole NTP, consultez la section Administration des services de réseau. SSH est l’abréviation de Secure Shell. Le serveur utilise le projet open-source OpenSSH pour son implémentation de SSH. Lorsque vous activez SSH, vous pouvez utiliser des outils de ligne de commande pour administrer le serveur à distance. SSH est également utilisé pour d’autres tâches d’administration à distance de serveurs, telles que la configuration initiale du serveur, la gestion du partage, ou encore l’affichage des chemins du système de fichiers et du contenu des dossiers dans les outils d’administration du serveur. SSH doit être activé lors de la création d’une réplique Open Directory, mais il peut ensuite être désactivé. Gestion à distance permet d’administrer le serveur à l’aide d’Apple Remote Desktop. Vous devez activer et désactiver l’administration d’Apple Remote Desktop dans cette sous-fenêtre plutôt que dans la sous-fenêtre Partage des Préférences Système. Le suivi des fichiers côté serveur pour la synchronisation des dossiers de départ mobiles est une fonction des dossiers de départ mobiles. Consultez la section Gestion des utilisateurs pour en savoir plus sur l’activation de cette fonction.  Sous-fenêtre Réseau :cliquez sur Réseau pour visualiser ou modifier le nom d’ordinateur ou le nom d’hôte local du serveur ou pour visualiser la liste des interfaces réseau de ce serveur et leurs informations d’adressage. Le nom d’ordinateur est le nom qu’un utilisateur voit lors de l’exploration du réseau (/Réseau). Le nom d’hôte local est généralement dérivé du nom d’ordinateur, mais il peut être modifié. Le tableau des interfaces réseau indique le nom de l’interface, le type d’adressage (IPv4 ou IPv6), l’adresse IP et le nom DNS trouvés par la recherche inversée de l’adresse.  Sous-fenêtre Date et heure :cliquez sur Date et heure pour régler la date et l’heure du serveur, la préférence de source NTP et le fuseau horaire. Administration des services de réseau fournit des informations supplémentaires sur le protocole NTP.  Sous-fenêtre Notifications :cliquez sur Notifications pour configurer les notifications automatiques d’événements Mac OS X Server. Vous devez indiquer l’adresse électronique et le déclencheur de notifications dans cette sous-fenêtre. « Notification dans Admin Serveur » à la page 198 fournit des informations plus détaillées sur les notifications.162 Chapitre 7Gestion  Sous-fenêtre Accès :cliquez sur Accès pour contrôler les accès utilisateur à certains services et pour attribuer des privilèges d’administration aux utilisateurs. Lorsque vous sélectionnez l’onglet Services, vous configurez l’accès aux services pour les utilisateurs et les groupes (listes ACL des services). Vous pouvez configurer le même accès à tous les services, ou bien sélectionner un service et personnaliser ses réglages d’accès. Les contrôles d’accès sont simples. Choisissez entre autoriser tous les utilisateurs et groupes à utiliser les services, ou autoriser uniquement certains utilisateurs et groupes à utiliser les services. L’onglet Administrateurs vous permet d’accorder aux utilisateurs des privilèges d’administration ou de contrôle des services du serveur. « Définition des autorisations d’administration » à la page 169 fournit des informations plus détaillées sur ces réglages.  Sous-fenêtre Services :cliquez sur Services pour afficher ou masquer des services de ce serveur dans Admin Serveur. Modification de l’adresse IP d’un serveur Vous pouvez modifier l’adresse IP d’un serveur à partir de la sous-fenêtre Réseau des Préférences Système ou à l’aide de l’outil networksetup. changeip est invoqué dès qu’un changement d’adresse réseau est détecté, indépendamment des circonstances de la modification. L’outil changeip parcourt tous les fichiers de configuration et les emplacements de stockage de l’adresse IP du serveur pour effectuer les remplacements nécessaires. L’adresse IP du serveur peut être modifiée sans qu’il soit nécessaire d’invoquer changeip à partir de la ligne de commande. Modification du nom d’hôte du serveur après la configuration Lorsque vous procédez à la configuration initiale du serveur dans le cadre d’une nouvelle installation, Assistant du serveur définit la valeur du nom d’hôte en affectant la valeur AUTOMATIC au paramètre de nom d’hôte dans /etc/hostname. Avec ce réglage, le nom d’hôte du serveur est le premier nom qui est vrai dans cette liste :  Le nom fourni par le serveur DHCP ou BootP pour l’adresse IP principale  Le premier nom renvoyé par une requête DNS inversé (adresse-vers-nom) pour l’adresse IP principale  Le nom d’hôte local  Le nom « localhost » Si vous souhaitez modifier le nom d’hôte après la configuration initiale, n’utilisez pas la sous-fenêtre Partage des Préférences Système pour modifier le nom d’ordinateur du serveur ; utilisez l’outil de ligne de commande changeip. Pour plus de détails, consultez la section Administration de ligne de commande ou la page man de changeip.Chapitre 7 Gestion 163 Modification du type de configuration du serveur Après avoir installé un serveur en configuration Standard ou Groupe de travail, il est possible de transformer cette configuration en configuration Avancée. Tous les réglages précédemment définis dans les Préférences Système sont conservés dans la nouvelle configuration. Aucun approvisionnement automatique des services de l’utilisateur ne se produit à nouveau. Le coupe-feu Préférences du serveur, distinct du coupe-feu Admin Serveur, est désactivé par la conversion de la configuration du serveur en configuration Avancée. Vous devrez activer et configurer le coupe-feu via Admin Serveur. Une fois la conversion effectuée, l’administration du serveur se fait à l’aide d’Admin Serveur et d’autres outils associés. Préférences Système ne peut être utilisé ; la conversion est irréversible et n’a lieu qu’une fois. Pour modifier la configuration de votre serveur : 1 Configurez un ordinateur d’administration, doté d’Admin Serveur, de Gestionnaire de groupe de travail et d’autres outils d’administration. Pour obtenir des instructions spécifiques, consultez la section « Configuration d’un ordinateur administrateur » à la page 155. 2 Lancez Admin Serveur et ouvrez une session sur le serveur à convertir. Pour plus d’informations sur l’ouverture de session, consultez la section « Ouverture de l’application Admin Serveur et authentification » à la page 157. Une zone de dialogue apparaît pour vous demander si vous souhaitez convertir le mode de configuration du serveur en mode Avancé. 3 Cliquez sur « Convertir à Avancé ». Le serveur n’est plus en mode de configuration Standard ou Groupe de travail.164 Chapitre 7Gestion Administration des services Pour utiliser un service particulier sur un serveur sélectionné dans la liste Serveurs d’Admin Serveur, cliquez sur le service dans la liste affichée sous le serveur. Vous pouvez afficher les informations relatives à un service (historiques, graphiques, etc.) et gérer ses réglages. Voici un exemple de sous-fenêtre de configuration de service dans Admin Serveur. Pour démarrer ou arrêter un service, sélectionnez-le, puis cliquez sur Démarrer ou sur Arrêter dans la barre d’outils inférieure. Ajout et suppression de services dans Admin Serveur Admin Serveur n’affiche que les services que vous administrez et masque toutes les autres sous-fenêtres de configuration de service tant qu’elles ne sont pas nécessaires. Pour pouvoir administrer un service, vous devez l’activer pour un serveur spécifique. Il apparaît alors sous le nom du serveur dans la liste principale Serveur. Pour ajouter ou supprimer un service dans Admin Serveur : 1 Sélectionnez le serveur destiné à héberger le service souhaité. 2 Cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils. 3 Cliquez sur Services. 4 Sélectionnez le service souhaité, puis cliquez sur Enregistrer. Le service, prêt pour la configuration, est alors affiché dans la liste.Chapitre 7 Gestion 165 Importation et exportation des réglages de service Pour copier des réglages de service d’un serveur vers un autre ou pour les enregistrer dans un fichier de liste de propriétés en vue de leur réutilisation, exécutez la commande d’exportation des réglages de service dans Admin Serveur. Pour exporter des réglages : 1 Sélectionnez le serveur souhaité. 2 Choisissez Serveur > Exporter > Réglages de service dans la barre des menus. 3 Sélectionnez les services dont vous souhaitez copier les réglages. 4 Cliquez sur Enregistrer. Le fichier créé contient toutes les informations de configuration de service sous la forme d’un document XML plist. Pour importer des réglages : 1 Sélectionnez le serveur cible destiné à recevoir les réglages. 2 Choisissez Serveur > Importer > Réglages de service dans la barre des menus. 3 Recherchez le fichier de service enregistré et sélectionnez-le. Cette fonction ne reconnaît que les documents XML plist, comme celui qui a été généré lors de l’exportation des réglages. 4 Cliquez sur Ouvrir. Contrôle de l’accès aux services Vous pouvez utiliser Admin Serveur pour configurer les utilisateurs et groupes qui peuvent utiliser les services hébergés par un serveur. Vous devez définir l’accès aux services pour les utilisateurs et les groupes (SACL). Vous pouvez configurer le même accès à tous les services, ou bien sélectionner un service et personnaliser ses réglages d’accès. Les contrôles d’accès sont simples. Choisissez entre autoriser tous les utilisateurs et groupes à utiliser les services, ou autoriser uniquement certains utilisateurs et groupes à utiliser les services.166 Chapitre 7Gestion L’illustration suivant représente la sous-fenêtre SACL dans Admin Serveur : Sélectionnez un serveur dans la liste Serveurs, cliquez sur Réglages, sur Accès, puis sur Services. Vous pouvez spécifier séparément les contrôles d’accès des services individuels, ou définir un ensemble de contrôles qui s’appliquent à tous les services hébergés par le serveur. Utilisation de SSL pour l’administration à distance des serveurs Vous pouvez définir le niveau de sécurité des communications entre Admin Serveur et les serveurs distants en choisissant Admin Serveur > Préférences. Par défaut, Admin Serveur considère que toutes les communications établies avec des serveurs distants sont chiffrées par SSL. Cette option utilise un certificat auto-signé de 128 bits installé dans le répertoire /etc/servermgrd/ssl.crt à l’installation du serveur. Les communications utilisent HTTPS (port 311). Si cette option n’est pas possible, le protocole HTTP (port 687) est utilisé et du texte clair est échangé entre Admin Serveur et le serveur distant. Pour renforcer la sécurité, cochez également la case « Exiger une signature numérique valide (SSL) ».L’option « Exiger une signature numérique valide (SSL) » est désactivée par défaut. Elle utilise un certificat SSL installé sur un serveur distant afin de garantir que le serveur distant est un serveur valide.Chapitre 7 Gestion 167 Avant d’activer cette option, suivez les instructions décrites dans « Demande de certificat auprès d’une autorité de certificat », relatives à la création d’une demande de signature de certificat (CSR, Certificate Signing Request), l’obtention d’un certificat SSL auprès d’une autorité de certification et l’installation de ce certificat sur chaque serveur distant. Au lieu de placer les fichiers dans le répertoire /etc/httpd/, stockez-les dans /etc/servermgrd/. Vous pouvez également générer un certificat avec signature automatique et l’installer sur le serveur distant. Vous pouvez utiliser Admin Serveur pour configurer et gérer les certificats SSL, autosignés ou émis, utilisés par le service de messagerie, le service web, le service Open Directory et d’autres services qui les prennent en charge. « Gestionnaire de certificats dans Admin Serveur » à la page 68 fournit des instructions d’utilisation d’Admin Serveur pour créer, organiser et utiliser des certificats de sécurité pour les services compatibles SSL. Les guides d’administration des services individuels décrivent comment configurer des services spécifiques pour l’utilisation de SSL. Si vous souhaitez définir des niveaux d’authentification SSL supérieurs, consultez les informations disponibles sur le site www.modssl.org. Gestion du partage Pour utiliser des points de partage et des listes de contrôle d’accès, cliquez sur l’icône Partage dans la barre d’outils d’Admin Serveur. Pour en savoir plus, consultez la section Administration des services de fichier.168 Chapitre 7Gestion L’illustration ci-dessous représente la sous-fenêtre de configuration Partage de fichiers dans Admin Serveur. Autorisations d’administration par niveaux Les versions précédentes de Mac OS X Server comportaient deux classes d’utilisateurs : les administrateurs et tous les autres utilisateurs. Les administrateurs pouvaient modifier les réglages de n’importe quel service ou les données de répertoire ainsi que les mots de passe et les politiques de mots de passe. Dans Mac OS X Server 10.5, vous pouvez désormais accorder à des utilisateurs et à des groupes certaines autorisations administratives sans les ajouter au groupe « admin » UNIX (c’est-à-dire sans en faire des administrateurs). Il existe deux niveaux d’autorisation :  Administrer :ce niveau d’autorisation est analogue à celui qui est attribué aux membres du groupe admin UNIX. Vous êtes autorisé à apporter n’importe quelle modification à un serveur ou à un service désigné (et à lui seul).  Contrôler :ce niveau d’autorisation permet de visualiser les sous-fenêtres Aperçu, les sous-fenêtres Historique et d’autres sous-fenêtres d’informations dans Admin Serveur, ainsi que les données d’état général du serveur dans les listes d’état des serveurs. Vous n’avez accès à aucun réglage de service enregistré.Chapitre 7 Gestion 169 Tout utilisateur ou groupe peut recevoir ces autorisations pour tous les services ou pour certains services sélectionnés. Les autorisations sont stockées par serveur. Les seuls utilisateurs autorisés à modifier la liste d’accès d’administration par niveaux sont les utilisateurs appartenant réellement au groupe admin UNIX. L’application Admin Serveur procédera à l’actualisation nécessaire pour indiquer quelles sont les opérations possibles en fonction des autorisations d’un utilisateur. Ainsi, certains services sont masqués ou leur sous-fenêtre Réglages est estompée si vous ne disposez que d’une autorisation de contrôle pour ces services. Comme cette fonctionnalité est appliquée côté serveur, les autorisations ont également une incidence sur l’utilisation des outils de ligne de commande serveradmin, dscl, dsimport et pwpolicy, car tous ils sont tous limités aux autorisations configurées pour l’administrateur. Définition des autorisations d’administration Vous pouvez décider si un utilisateur ou un groupe peut contrôler ou administrer un serveur ou un service sans lui attribuer l’ensemble des privilèges d’un administrateur UNIX. L’affectation d’autorisations effectives à des utilisateurs crée une administration par niveaux dans laquelle le nombre de tâches d’administration affectées à certains utilisateurs est limité. Pour affecter des autorisations : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Accès. 3 Cliquez sur l’onglet Administrateurs. 4 Indiquez si les autorisations d’administration doivent s’appliquer à tous les services ou à certains services du serveur. 5 Si vous choisissez de définir des autorisations par service, sélectionnez la case appropriée pour chaque service à activer. Si vous définissez des autorisations par service, assurez-vous que les administrateurs possèdent un accès à tous les services actifs du serveur. 6 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) pour ajouter un utilisateur ou un groupe à partir de la fenêtre des utilisateurs et des groupes. Pour supprimer des autorisations d’administration, sélectionnez un utilisateur ou un groupe, puis cliquez sur le bouton Supprimer (-). 7 Pour chaque utilisateur ou groupe, sélectionnez un niveau d’autorisations en regard de son nom. Vous pouvez choisir Contrôler ou Administrer.170 Chapitre 7Gestion Les capacités d’administration du serveur par Admin Serveur sont limitées par ce réglage quand le serveur est ajouté à la liste Serveur. Notions élémentaires sur Gestionnaire de groupe de travail Utilisez Gestionnaire de groupe de travail pour administrer les comptes suivants : comptes utilisateur, comptes de groupe et listes d’ordinateurs. Vous pouvez également l’utiliser pour définir les préférences des comptes utilisateur, des comptes de groupe, des ordinateurs Mac OS X et accéder à l’Inspecteur, une fonctionnalité avancée qui permet la modification des entrées Open Directory. Les sections suivantes décrivent l’utilisation générale de Gestionnaire de groupe de travail. Des instructions relatives aux tâches d’administration spécifiques sont disponibles dans l’aide de Gestionnaire de groupe de travail et dans plusieurs guides :  Gestion des utilisateurs explique comment utiliser Gestionnaire de groupe de travail pour gérer des comptes utilisateur, des comptes de groupe, des listes d’ordinateurs, des préférences et pour importer et exporter des comptes.  Administration des services de fichier décrit l’administration des points de partage à l’aide de la fonction Partage de Gestionnaire de groupe de travail.  Administration d’Open Directory fournit des informations sur l’utilisation de l’Inspecteur. Ouverture de Gestionnaire de groupe de travail et authentification Gestionnaire de groupe de travail est installé dans /Applications/Server/, vous pouvez l’ouvrir dans le Finder, dans le Dock ou en sélectionnant Présentation > Gestionnaire de groupe de travail dans la barre des menus d’Admin Serveur :  Lorsque vous ouvrez Gestionnaire de groupe de travail sur le serveur que vous utilisez sans vous authentifier, vous avez un accès en lecture seule aux informations affichées dans le domaine local. Pour apporter des modifications, cliquez sur l’icône représentant un cadenas afin de vous authentifier en tant qu’administrateur de serveur. Cette procédure est la plus indiquée lorsque vous administrez différents serveurs et que vous travaillez avec divers domaines de répertoire.  Pour vous authentifier en tant qu’administrateur d’un serveur particulier, qu’il soit local ou distant, tapez l’adresse IP du serveur ou son nom DNS dans la fenêtre d’ouverture de session ou cliquez sur la zone du chemin d’accès aux répertoires dans la fenêtre Gestionnaire de groupe de travail pour choisir un autre serveur de répertoire. Tapez le nom d’utilisateur et le mot de passe d’un administrateur du serveur, puis cliquez sur Se connecter. Procédez de cette manière si vous travaillez la plupart du temps avec le même serveur. Après avoir ouvert Gestionnaire de groupe de travail, vous pouvez ouvrir l’une de ses fenêtres pour un autre ordinateur en cliquant sur Nouvelle fenêtre dans la barre d’outils ou en choisissant Serveur > Se connecter.Chapitre 7 Gestion 171 Important :lorsque vous vous connectez à un serveur dans Gestionnaire de groupe de travail, veillez à ce que l’utilisation des majuscules et minuscules pour le nom d’utilisateur complet ou abrégé soit la même que dans le compte d’utilisateur. Administration de comptes Admin Serveur ne permet pas de gérer les comptes utilisateur et l’appartenance aux groupes. Pour ajouter et supprimer des utilisateurs et des groupes, utilisez Gestionnaire de groupe de travail. Pour en savoir plus sur l’administration de comptes, consultez la section Gestion des utilisateurs. Ce qui suit constitue un bref aperçu de l’administration de comptes à l’aide de Gestionnaire de groupe de travail. Nous vous conseillons toutefois de consulter d’autres ressources documentaires, car l’administration de comptes ne se résume pas aux informations fournies ici. Gestion des utilisateurs et des groupes Une fois que vous avez ouvert une session dans Gestionnaire de groupe de travail, la fenêtre du compte apparaît, affichant une liste de comptes d’utilisateur. Il s’agit initialement des comptes stockés dans le dernier noeud de répertoire figurant dans le chemin de recherche du serveur. Lorsque vous utilisez d’autres fenêtres de Gestionnaire de groupe de travail, telles que Préférences, cliquez sur Comptes dans la barre d’outils pour revenir à la fenêtre des comptes. L’illustration ci-dessous montre un exemple de sous-fenêtre de configuration d’enregistrement d’utilisateur dans Gestionnaire de groupe de travail.172 Chapitre 7Gestion Pour spécifier les répertoires dans lesquels sont stockés les comptes que vous souhaitez utiliser, cliquez sur l’icône en forme de globe. Pour utiliser différents comptes dans différentes fenêtres de Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur Nouvelle fenêtre dans la barre d’outils. Pour administrer les comptes répertoriés, cliquez sur le bouton Utilisateurs, Groupes, Ordinateurs ou Groupes d’ordinateurs sur le côté gauche de la fenêtre. Vous pouvez filtrer les comptes répertoriés en utilisant la liste de recherche au-dessus de la liste des comptes. Pour actualiser la liste des comptes, cliquez sur le bouton Actualiser dans la barre d’outils. Pour simplifier la définition des attributs initiaux d’un compte à sa création, utilisez des préréglages. Un compte prédéfini est un modèle de compte. Pour créer un préréglage, sélectionnez un compte, configurez toutes les valeurs à votre convenance, puis choisissez Enregistrer le préréglage dans le menu local Préréglages, au bas de la fenêtre. Pour travailler uniquement avec les comptes correspondant à des critères spécifiques, cliquez sur Rechercher dans la barre d’outils. Les fonctions Rechercher incluent l’option permettant la modification simultanée des comptes sélectionnés. Pour importer ou exporter des comptes, sélectionnez ceux qui vous intéressent, puis choisissez Serveur > Importer ou Serveur > Exporter. Définition des préférences gérées Pour utiliser des préférences gérées pour les comptes d’utilisateur, les comptes de groupe ou les listes d’ordinateurs, cliquez sur l’icône Préférences dans la barre d’outils de Gestionnaire de groupe de travail.Chapitre 7 Gestion 173 L’illustration ci-dessous représente la sous-fenêtre d’aperçu de la gestion des préférences d’utilisateur dans Gestionnaire de groupe de travail : Cliquez sur Détails pour utiliser l’éditeur de préférences afin de modifier des manifestes de préférences. L’illustration ci-dessous constitue un exemple de feuille d’éditeur de préférences dans Gestionnaire de groupe de travail.174 Chapitre 7Gestion Utilisation de données de répertoire Pour modifier des données de répertoire brutes, utilisez l’Inspecteur de Gestionnaire de groupe de travail. L’illustration ci-dessous représente la sous-fenêtre Inspecteur de l’enregistrement dans Gestionnaire de groupe de travail : Pour afficher l’inspecteur : 1 Choisissez Gestionnaire de groupe de travail > Préférences. 2 Activez « Afficher l’onglet « Toutes les fiches » et l’inspecteur », puis cliquez sur OK. 3 Ensuite, cliquez sur le bouton Tous les enregistrements (qui ressemble à un oeil de boeuf) pour accéder à l’Inspecteur. 4 Utilisez le menu local situé au-dessus de la liste Nom afin de sélectionner les fiches qui vous intéressent. Par exemple, vous pouvez utiliser les utilisateurs, les groupes, les ordinateurs, les points de partage et beaucoup d’autres objets de répertoire. Personnalisation de l’environnement de Gestionnaire de groupe de travail Il existe plusieurs moyens d’adapter l’environnement de Gestionnaire de groupe de travail :  Pour contrôler l’affichage des comptes dans Gestionnaire de groupe de travail, ainsi que d’autres comportements, choisissez Gestionnaire de groupe de travail > Préférences.Chapitre 7 Gestion 175  Pour personnaliser la barre d’outils, choisissez Affichage > Personnaliser la barre d’outils.  Pour inclure des utilisateurs et groupes prédéfinis dans les listes d’utilisateurs et de groupes, choisissez Affichage > Afficher les utilisateurs et groupes du système.  Pour ouvrir Admin Serveur afin de contrôler et de modifier des services sur des serveurs particuliers, cliquez sur l’icône Admin Serveur dans la barre d’outils. Gestion d’ordinateurs de versions antérieures à la version 10.5 à partir de serveurs de version 10.5 Les serveurs Mac OS X Server 10.4 peuvent être administrés à l’aide des outils d’administration de serveur de la version 10.5. Il est possible d’utiliser Gestionnaire de groupe de travail sur un serveur de version 10.5 pour gérer des clients Mac OS X dotés de Mac OS X 10.3 ou ultérieur. Une fois que vous avez modifié un enregistrement d’utilisateur à l’aide de Gestionnaire de groupe de travail en version 10.5, cet enregistrement n’est plus accessible que via Gestionnaire de groupe de travail en version 10.5. Les préférences de clients Mac OS 9 peuvent être gérées à l’aide de Gestionnaire Macintosh depuis un serveur 10.5 uniquement si vous effectuez une mise à niveau avec la version 10.5. Vous pouvez utiliser une mise à niveau pour installer la version 10.5 sur un serveur doté de la version 10.3.9 ou de la version 10.2.8. Assistants de configuration des services Admin Serveur possède des assistants destinés à vous guider durant la configuration des services lorsque la procédure n’est pas limitée à une seule sous-fenêtre de configuration. Ces assistants vous proposent toutes les sous-fenêtres de configuration nécessaires à l’activation complète d’un service. Les assistants sont disponibles pour les services suivants :  Configuration de la passerelle :cet assistant vous aide à configurer votre serveur en tant que passerelle réseau. Ouvrez l’assistant en cliquant sur un bouton dans la partie inférieure droite de la page d’aperçu du service NAT.  Courrier électronique :cet assistant vous aide à configurer le service de courrier électronique pour les messages entrants et les messages sortants. Ouvrez l’assistant en cliquant sur un bouton dans la partie inférieure droite de la page d’aperçu du service de courrier électronique.  RADIUS :cet assistant vous aide à configurer l’authentification RADIUS pour des points d’accès sans fil Apple AirPort. Ouvrez l’assistant en cliquant sur un bouton dans la partie inférieure droite de la page d’aperçu du service RADIUS.176 Chapitre 7Gestion  Xgrid :cet assistant vous aide à configurer des contrôleurs Xgrid. Ouvrez l’assistant en cliquant sur un bouton dans la partie inférieure droite de la page d’aperçu du service Xgrid. Fichiers de données et de configuration critiques Lors de la sauvegarde de données et de réglages système, veillez plus particulièrement à assurer la sauvegarde de tous vos fichiers de configuration critiques. La nature et la fréquence de vos sauvegardes dépend des politiques de sauvegarde, d’archivage et de restauration de votre organisation. Pour plus d’informations sur la création d’une politique de sauvegarde et de restauration, consultez la section « Définition de politiques de sauvegarde et de restauration » à la page 34. Le tableau ci-dessous présente la liste des fichiers et données de configuration de services disponibles sur Mac OS X Server. Général Service iCal Serveur iChat Notifications Type de fichiers Emplacement États de service /System/Bibliothèque/LaunchDaemons/* Fichiers de configuration SSH et clés publiques/privées de l’hôte /etc/ssh/* Trousseau système /Bibliothèque/Keychains/System.keychain Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /etc/caldavd/caldavd.plist Données /Bibliothèque/CalendarServer/Documents/ Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /etc/jabberd/* Données mysqldump jabberd2 > jabberd2.backup.sql Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /etc/emond.d/ /etc/emond.d/rules/ /Bibliothèque/Keychains/System.keychainChapitre 7 Gestion 177 QuickTime Streaming Server Service de coupe-feu Service NAT Services de messagerie Le tableau ci-dessous présente les fichiers de configuration et les emplacements de stockage des données de service de messagerie. Messagerie—SMTP Server Postfix Messagerie—POP/IMAP Server Cyrus Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /Bibliothèque/QuickTimeStreamingServer/Config/* /Bibliothèque/QuickTimeStreamingServer/Playlists/* /Bibliothèque/Application Support/Apple/QTSS Publisher/* Données :(emplacements par défaut) /Bibliothèque/QuickTimeStreamingServer/Movies/* ~user/Sites/Streaming/* Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /etc/ipfilter/* Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /etc/nat/* Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /etc/postfix/ Données :(emplacements par défaut) /var/spool/postfix/ Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /etc/imapd.conf /etc/cyrus.conf Données :(emplacement par défaut de la base de données du courrier) /var/imap (stockage des données du courrier électronique) /var/spool/imap178 Chapitre 7Gestion Les emplacements personnalisés sont définis dans /etc/impad.conf à l’aide des clés suivantes avec des valeurs par défaut : Courrier—Amavisd Courrier—Clam AV Courrier—Mailman Courrier—SpamAssassin Emplacements personnalisés Clé : paire de valeurs Emplacement de la base de données de courrier configdirectory :/var/imap Emplacement de stockage des données de courrier partition-default : /var/spool/imap Partitions de stockage de données supplémentaires (sans valeur par défaut) partition-xxx : /var/spool/mail_xxx Il peut exister plusieurs partitions de stockage de données supplé- mentaires Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /etc/amavisd.conf Données :(emplacements par défaut) /var/amavis/ Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /etc/clamav.conf /etc/freshclam.conf Données :(emplacements par défaut) /var/clamav/ /var/virusmails/ Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /var/mailman/ Données :(emplacements par défaut) /var/mailman/ Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /etc/mail/spamassassin/local.cf Données :(emplacements par défaut) /etc/mail/spamassassin/Chapitre 7 Gestion 179 Service MySQL PHP Service web L’emplacement par défaut du contenu web est configurable et généralement modifié et étendu pour inclure plusieurs répertoires WebDAV et de contenu hôte virtuels. Remarque :les fichiers d’historique de service web constituent une source importante de recettes pour certains sites et leur sauvegarde doit être envisagée. Leur emplacement (configurable) peut être défini à l’aide d’Admin Serveur. Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration Il n’existe pas de fichier de configuration pour MySQL, mais l’administrateur peut en créer un qui doit alors être sauvegardé : /etc/my.cnf Données :(emplacements par défaut) /var/mysql/ mysqldump --all-databases > all.sql Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration Il n’existe pas de fichier de configuration pour PHP, mais l’administrateur peut en créer un (en copiant /etc/php.ini.default dans /etc/ php.ini, puis en le modifiant). Dans ce cas, le fichier suivant doit être sauvegardé : /etc/php.ini Données :(emplacements par défaut) Emplacement désigné par l’administrateur Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /etc/httpd/* (pour Apache 1.3) /etc/apache2/* (pour Apache 2.2) /etc/webperfcache/* /Bibliothèque/Keychains/System.keychain Données :(emplacements par défaut) /Bibliothèque/WebServer/Documents/ /Bibliothèque/Logs/WebServer/* /Bibliothèque/Logs/Migration/webconfigmigrator.log (outil de migration de configuration Apache)180 Chapitre 7Gestion Serveur wiki et blog Amélioration de la disponibilité des services L’élimination des points de défaillance uniques et l’utilisation de Xserve et d’un maté- riel RAID constituent certains des éléments pouvant contribuer à augmenter la disponibilité de votre serveur. Vous pouvez aussi recourir à des options aussi bien simples, comme le recours à une alimentation de réserve, le redémarrage automatique, la garantie de conditions de fonctionnement adéquates (niveaux de température et d’humidité adaptés par exemple), etc.), qu’avancées (agrégation de liens, équilibrage de charge, réplique Open Directory, sauvegarde de données, etc.). Élimination des points de défaillance uniques Pour améliorer la disponibilité de votre serveur, réduisez ou éliminez les points de défaillance uniques. On qualifie de point de défaillance unique tout composant d’un environnement de serveur qui provoque la panne de ce dernier s’il est lui-même défaillant. Voici quelques exemples de points de défaillance uniques :  le système informatique;  le disque dur;  l’alimentation. Bien qu’il soit pratiquement impossible d’éliminer tous les points de défaillance uniques, essayez au moins de les réduire autant que possible. Ainsi, l’utilisation d’un système de sauvegarde et du basculement IP dans Mac OS X Server permet d’éliminer l’ordinateur comme point de défaillance unique. Même s’il est possible qu’un ordinateur principal et son ordinateur de réserve tombent en panne en même temps ou l’un après l’autre, la probabilité d’un tel événement demeure négligeable. Une autre manière d’éviter la défaillance d’un ordinateur est d’utiliser une source d’alimentation de réserve et d’utiliser un système RAID matériel pour effectuer une copie miroir du disque dur. Avec le RAID matériel, si le disque principal est victime d’une défaillance, le système peut toujours accéder aux mêmes données sur le disque miroir, comme c’est le cas avec Xserve. Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /etc/wikid/* /Bibliothèque/Application Support/Apple/WikiServer (thèmes wiki et fichiers modèles) Données :(emplacements par défaut) /Bibliothèque/Collaboration/ Fichiers d’historique :(emplacement par défaut) /Bibliothèque/Logs/wikid/*Chapitre 7 Gestion 181 Utilisation de Xserve pour obtenir une haute disponibilité Xserve est conçu pour garantir une fiabilité élevée et donc une haute disponibilité. Bien que des ordinateurs de bureau tels que le Power Mac G5 ou le Mac Pro permettent d’assurer des services Mac OS X Server de manière très fiable, Xserve possède les fonctionnalités supplémentaires suivantes qui en font la solution idéale dans les situations requérant une haute disponibilité.  Xserve comporte huit ventilateurs. En cas de panne de l’un de ces ventilateurs, les sept autres accélèrent pour compenser la défaillance et permettre à votre serveur de continuer à fonctionner.  Une architecture de disques indépendante isole électriquement les disques de façon à empêcher que la défaillance d’un seul des disques n’entraîne une indisponibilité ou une dégradation des performances des disques restants, un problème souvent rencontré avec lesimplémentations SCSI multidisque.  Xserve exploite la logique de code correcteur d’erreurs (ECC, Error Correction Code) pour protéger le système contre les données endommagées et les erreurs de transmission. Chaque DIMM possède un module de mémoire supplémentaire qui stocke les données de somme de contrôle de chaque transaction. Le contrôleur système se sert de ces données ECC pour identifier les erreurs portant sur un seul bit et les corrige à la volée, évitant ainsi des arrêts système inopinés. Dans le cas très rare d’une erreur portant sur plusieurs bits, le contrôleur système détecte l’erreur et déclenche une notification système afin d’empêcher les mauvaises données de corrompre d’autres opérations. Vous pouvez configurer le logiciel Contrôle de serveur de manière à ce qu’il vous avertisse si le taux d’erreurs dépasse le seuil défini.  Xserve intègre l’écriture en miroir RAID matérielle qui protège votre serveur contre toute défaillance en cas de panne de disque principal. Pour plus d’informations sur Xserve, consultez le site www.apple.com/fr/xserve/. Utilisation d’une alimentation de réserve Dans l’architecture d’une solution de serveur, l’alimentation constitue un point de défaillance unique. Si l’alimentation est interrompue, vos serveurs s’éteignent sans pré- venir. Pour éviter toute interruption soudaine des services, pensez à ajouter une source d’alimentation de réserve. En fonction de votre application, vous pouvez choisir entre un générateur électrique de réserve et un périphérique d’alimentation sans interruption (UPS), qui vous permettront de gagner assez de temps pour avertir les utilisateurs de l’interruption imminente des services.182 Chapitre 7Gestion Utilisation d’UPS avec Xserve Xserve n’assure pas la connectivité de port série aux périphériques UPS, mais peut contrôler l’alimentation UPS via le réseau si l’unité UPS est équipée d’une carte réseau. Pour en savoir plus, renseignez-vous auprès des fournisseurs de périphériques UPS. L’illustration suivante représente un Xserve connecté à un onduleur via un réseau : Configuration du redémarrage automatique de votre serveur Vous pouvez configurer les options Économiseur d’énergie de votre ordinateur Mac OS X Server afin que ce dernier redémarre automatiquement s’il s’éteint à cause d’une panne de courant ou en cas de blocage du système. L’illustration ci-dessous représente la sous-fenêtre Économiseur d’énergie des Préférences Système : Xserve Appareil UPS Source d’alimentation Alimentation de secours Réseau localChapitre 7 Gestion 183 Les options de redémarrageautomatique sont les suivantes :  Redémarrage automatique après une panne de courant. L’unité de gestion de l’alimentation démarre le serveur automatiquement après une panne de courant.  Redémarrage automatique après un blocage. L’unité de gestion de l’alimentation démarre automatiquement le serveur dès que le serveur ne répond plus, souffre d’une panique de noyau ou se bloque. Lorsque vous sélectionnez l’option de redémarrage automatique après un blocage, Mac OS X Server génère le démon wdticklerd qui commande toutes les 30 secondes à votre ordinateur de redémarrer au bout de cinq minutes. À chaque fois que la commande est envoyée, la minuterie de redémarrage est réinitialisée. Par conséquent, la minuterie n’atteint jamais cinq minutes tant que le serveur fonctionne. Si l’ordinateur se bloque, l’unité de gestion de l’alimentation le redémarre à l’issue des cinq minutes. Pour activer le redémarrage automatique : 1 Ouvrez une session sur le serveur en tant qu’administrateur. 2 Ouvrez les Préférences Système et cliquez sur Économiseur d’énergie. 3 Cliquez sur Options. 4 Sélectionnez des options de redémarrage sous Autres options. 5 Fermez les Préférences Système Pour assurer de bonnes conditions de fonctionnement La surchauffe est l’un des facteurs capables de causer un dysfonctionnement de vos serveurs. Ce problème est particulièrement susceptible de survenir si vous regroupez des ordinateurs en grappe dans un espace réduit. D’autres facteurs, tels que l’humidité et les variations électriques importantes, peuvent être préjudiciables à votre serveur. Pour protéger vos serveurs, veillez à les placer dans un endroit où vous pouvez contrô- ler ces facteurs et leur garantir des conditions de fonctionnement idéales. Pour connaî- tre ces conditions, vérifiez quelles sont les consignes indiquées pour vos systèmes en matière d’électricité et d’environnement. Assurez-vous également que le local dans lequel vous déployez votre serveur est équipé d’une alarme incendie et établissez un plan de secours anti-incendie. Fourniture de répliques Open Directory Si vous prévoyez de fournir des services Open Directory, vous devez penser à créer des répliques de votre maître Open Directory. Si le serveur maître est défectueux, les ordinateurs client pourront accéder à la réplique. Pour en savoir plus, consultez la section consacrée à la configuration de répliques Open Directory dans Administration d’Open Directory.184 Chapitre 7Gestion Agrégation de liens Bien que peu fréquentes, les défaillances de commutateur, de câble ou de carte d’interface réseau peuvent entraîner l’indisponibilité de votre serveur. Pour éliminer ce type de points de défaillance unique, vous pouvez utiliser l’agrégation de liens. Également appelée IEEE 802.3ad, cette technologie est intégrée à Mac OS X et à Mac OS X Server. L’agrégation de liens consiste à agréger ou combiner dans un lien logique unique plusieurs liens physiques en connectant votre Mac à un périphérique d’agrégation de liens (un commutateur ou un autre Mac). Le résultat est un lien à tolérance de pannes doté d’une bande passante égale à la somme des bandes passantes des liens physiques. Par exemple, vous pouvez configurer un Xserve avec quatre ports 1 Gbit/s (en1, en2, en3 et en4) et utiliser la sous-fenêtre Réseau des Préférences Système pour créer une configuration de port d’agrégation de liens (bond0) combinant en1, en2, en3 et en4 en un seul lien logique. Le lien logique en résultant aura une bande passante de 4 Gbit/s. Ce lien offrira également une tolérance de pannes. Toute défaillance d’un ou de plusieurs liens physiques a pour effet de réduire la bande passante de votre Xserve, mais ce dernier peut toujours gérer les requêtes dès lors que les liens physiques ne sont pas tous simultané- ment défaillants. L’illustration suivante représente quatre ports Ethernet réunis en une seule et même interface : server1.exemple.com 400 Mbit/s 4 x 100 Mbit/s bond0 en1 en2 en3 en4 AlternerChapitre 7 Gestion 185 L’agrégation de liens vous permet également de tirer parti de votre matériel existant ou de matériel peu onéreux pour élargir la bande passante de votre serveur. Par exemple, vous pouvez former un agrégat de liens à partir d’une combinaison de plusieurs liens de 100 Mbit/s ou de liens de 1 Gbit/s. Le protocole d’agrégation de liens (LACP, Link Aggregation Control Protocol) L’agrégation de liens IEEE 802.3ad définit un protocole dénommé Link Aggregation Control Protocol (LACP) et utilisé par Mac OS X Server pour agréger (combiner) plusieurs ports en un agrégat de liens (un port virtuel) destiné aux connexions TCP et UDP. Lorsque vous définissez un agrégat de liens, les nœuds de part et d’autre de l’agrégat (par exemple, un ordinateur et un commutateur) utilisent LACP sur chaque lien physique pour :  déterminer si le lien peut être agrégé,  maintenir et contrôler l’agrégation. Si un nœud ne reçoit pas régulièrement de paquets LACP de son homologue (l’autre nœud de l’agrégat), il considère que ce dernier n’est plus actif et supprime le port de l’agrégat. Outre LACP, Mac OS X Server utilise un algorithme de distribution de cadres pour mapper une conversation sur un port spécifique. Cet algorithme n’envoie de paquets au système situé à l’autre extrémité de l’agrégat que si la réception de paquets y est activée. En d’autres termes, l’algorithme n’envoie pas de paquets si l’autre système « n’est pas à l’écoute ». Mapper une conversation sur un port particulier permet de garantir qu’aucune réorganisation de paquets n’aura lieu. Scénarios d’agrégation de liens Voici trois scénarios courants d’agrégation qu’il est possible de configurer :  Ordinateur-ordinateur  Ordinateur-commutateur  Ordinateur-paire de commutateurs Ces scénarios sont décrits dans les sections suivantes.186 Chapitre 7Gestion Ordinateur-ordinateur Dans ce scénario, vous connectez directement les deux serveurs (voir illustration suivante) à l’aide des liens physiques de l’agrégat de liens. Cela permet aux deux serveurs de communiquer à une vitesse plus élevée sans l’aide d’un commutateur. Cette configuration est idéale pour assurer la redondance dorsale. Ordinateur-commutateur Dans ce scénario, représenté ci-dessous, vous connectez votre serveur à un commutateur configuré pour l’agrégation de liens 802.3ad. Le commutateur devra disposer d’une bande passante de traitement du trafic entrant égale ou plus importante que celle de l’agrégat de liens (lien logique) que vous définissez sur votre serveur. Par exemple, si vous créez un agrégat de quatre liens 1 Gbit/s, vous devrez utiliser un commutateur capable de traiter le trafic entrant (provenant de clients) à 4 Gbit/s ou plus. Faute de quoi, l’avantage que constitue une bande passante plus large dans l’agrégat de liens ne sera pas totalement accompli. Remarque :pour en savoir plus sur la configuration de votre commutateur pour l’agrégation de liens 802.3ad, consultez la documentation fournie par le fabricant du commutateur. 4 x 100 Mbit/s server1.exemple.com Clients 4 x 1 Gbit/s 10 Gbit/sChapitre 7 Gestion 187 Ordinateur-paire de commutateurs Ce scénario, représenté dans l’illustration suivante, constitue une version améliorée du scénario ordinateur-commutateur puisque deux commutateurs sont utilisés pour éviter que le commutateur ne constitue un point de défaillance unique. Par exemple, vous pouvez connecter deux liens de l’agrégat de liens sur le commutateur principal et le reste des liens sur le commutateur de réserve. Ce dernier demeure inactif tant que le commutateur principal est actif. Si ce dernier tombe en panne, le commutateur de réserve prend le relais de façon transparente pour l’utilisateur. Bien que ce scénario ajoute de la redondance, dont l’avantage est de protéger le serveur contre toute indisponibilité en cas de défaillance du commutateur, il réduit en revanche la bande passante. Configuration de l’agrégation de liens dans Mac OS X Server Pour configurer votre Mac OS X Server pour l’agrégation de liens, vous devez disposer d’un Mac équipé d’au moins deux ports Ethernet compatibles IEEE 802.3ad. Vous devez également vous munir d’au moins un commutateur compatible IEEE 802.3ad ou d’un autre ordinateur Mac OS X Server équipé du même nombre de ports. server1.exemple.com 3 x 1 Gbit/s 2 x 1 Gbit/s188 Chapitre 7Gestion La création d’un agrégat de liens s’effectue dans la sous-fenêtre Réseau des Préférences Système(voir l’exemple suivant) : Pour créer un agrégat de liens : 1 Ouvrez une session sur le serveur en tant qu’utilisateur administrateur. 2 Ouvrez Préférences Système. 3 Cliquez sur Réseau. 4 Cliquez sur le bouton représentant un engrenage et choisissez « Gérer des interfaces virtuelles » dans le menu local. 5 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) et sélectionnez « Nouvel agrégat de liens » dans le menu local. Remarque :cette option n’apparaît que si vous disposez d’au moins deux interfaces Ethernet dans votre système. 6 Tapez le nom de l’agrégat de liens dans le champ Nom. 7 Sélectionnez les ports à agréger à partir de la liste. 8 Cliquez sur Créer. 9 Cliquez sur Terminé. Par défaut, le système donne à l’agrégat de liens le nom d’interface bond , où est un nombre indiquant la priorité. Par exemple, le premier agrégat de liens est appelé bond0, le deuxième bond1 et le troisième bond2.Chapitre 7 Gestion 189 Le nom d’interface bond attribué par le système diffère du nom que vous donnez à la configuration de port d’agrégat de liens. Le nom d’interface est utilisé dans la ligne de commande, mais le nom de la configuration de port est réservé à la sous-fenê- tre Réseau des Préférences Système. Ainsi, le résultat de la commande ifconfig -a fait référence à l’agrégat de liens en utilisant le nom d’interface, pas le nom de la configuration de port : … bond0: flags=8843 mtu 1500 inet6 fe80::2e0:edff:fe08:3ea6 prefixlen 64 scopeid 0xc inet 10.0.0.12 netmask 0xffffff00 broadcast 10.0.0.255 ether 00:e0:ed:08:3e:a6 media: autoselect (100baseTX ) status: active supported media: autoselect bond interfaces: en1 en2 en3 en4 Vous ne pouvez pas supprimer une connexion de lien à partir de la sous-fenêtre Réseau des Préférences Système. Vous devez le supprimer via la feuille « Gérer des interfaces virtuelles » utilisée pour le créer. Contrôle de l’état de l’agrégation de liens Vous pouvez contrôler l’état d’un agrégat de liens dans Mac OS X et Mac OS X Server à l’aide de la sous-fenêtre État de la sous-fenêtre Réseau des Préférences Système. Pour contrôler l’état d’un agrégat de liens : 1 Ouvrez Préférences Système. 2 Cliquez sur Réseau. 3 Dans la liste d’interfaces réseau à gauche, choisissez l’interface virtuelle de port d’agré- gat de liens. 4 Cliquez sur Avancé dans la partie inférieure droite de la fenêtre. 5 Sélectionnez l’onglet État de la connexion. La sous-fenêtre État affiche une liste dans laquelle une rangée est attribuée à chaque lien physique de l’agrégat de liens. Pour chaque lien, vous pouvez voir le nom de l’interface réseau, sa vitesse, son réglage de duplex, les témoins d’état du trafic entrant et sortant et une évaluation d’ensemble de l’état. Remarque :les témoins d’état Envoi et Réception possèdent un code couleur. La couleur verte signifie que le lien est actif et connecté. La couleur jaune signifie que le lien est actif mais n’est pas connecté. La couleur rouge signifie que le lien ne peut ni envoyer ni recevoir de trafic. 6 Pour consulter davantage d’informations à propos d’un lien, cliquez sur l’entrée correspondante dans la liste.190 Chapitre 7Gestion Équilibrage de la charge La surcharge de serveur est l’un des facteurs pouvant entraîner l’indisponibilité de vos services. Un serveur a des ressources limitées et ne peut gérer qu’un nombre restreint de requêtes à la fois. Si le serveur est surchargé, il ralentit et risque même de se bloquer. L’une des manières de résoudre ce problème est de répartir la charge au sein d’un groupe de serveurs (grappe de serveurs) à l’aide d’un périphérique d’équilibrage de la charge de tierce partie. Les clients envoient leurs requêtes au périphérique qui les transmet au premier serveur disponible en fonction d’un algorithme prédéfini. Les clients ne voient qu’une adresse virtuelle unique, celle du périphérique d’équilibrage de la charge. De nombreux périphériques d’équilibrage de charge font également office de commutateurs (voir illustration suivante), offrant ainsi deux fonctions en une, ce qui réduit la quantité de matériel nécessaire. Remarque :un périphérique d’équilibrage de charge doit être capable de traiter le trafic agrégé (combiné) des serveurs qui y sont connectés. Il constituerait sinon un goulet d’étranglement réduisant la disponibilité de vos serveurs. Grappe de serveurs Clients Interrupteur d’équilibrage de charge du serveurChapitre 7 Gestion 191 L’équilibrage de la charge présente plusieurs avantages :  Haute disponibilité. La répartition de la charge entre plusieurs serveurs contribue à réduire les risques qu’un serveur puisse tomber en panne du fait d’une surcharge de serveur.  Tolérance aux pannes. Si un serveur tombe en panne, le trafic est redirigé de façon transparente vers d’autres serveurs. Une brève interruption du service peut survenir si, par exemple, un serveur tombe en panne alors qu’un utilisateur est en train de télécharger un fichier depuis l’emplacement de stockage partagé, mais l’utilisateur peut toujours se reconnecter et relancer le processus de téléchargement.  Extensibilité. Si la demande de services augmente, vous pouvez ajouter d’autres serveurs à votre grappe de façon transparente.  Performances accrues. Vous pouvez répondre plus rapidement aux requêtes des utilisateurs en les envoyant aux serveurs les moins occupés. Vue d’ensemble des démons Lorsqu’un utilisateur ouvre une session sur un système Mac OS X, un certain nombre de processus sont déjà en cours d’exécution. La plupart de ces processus sont appelés démons. Un démon est un processus d’arrière-plan qui fournit un service aux utilisateurs du système. Le démon cupsd, par exemple, coordonne les demandes d’impression, tandis que le démon httpd répond aux requêtes de consultation de pages web. Visualisation des démons en cours d’exécution Pour afficher les démons en cours d’exécution sur votre système, utilisez l’application Moniteur d’activité (dans /Applications/Utilitaires/). Cette application permet d’afficher des informations sur tous les processus, y compris l’utilisation des ressources. Les démons suivants sont affichés indépendamment des services activés :  launchd (processus de tâche programmée et de surveillance)  servermgrd (processus d’interface d’outils d’administration)  serialnumberd (processus de conformité de licence)  mDNSresponder (processus de découverte de services sur réseau local) Contrôle des démons Bien que certains systèmes de type UNIX utilisent d’autres outils, Mac OS X Server a recours au démon launchd pour contrôler les tâches programmées et l’initialisation des processus. launchd Le démon launchd est une alternative aux outils UNIX courants suivants :init, rc, scripts init.d et rc.d, SystemStarter, inetd et xinetd, atd, crond et watchdogd. Tous ces services doivent être considérés comme obsolètes et les administrateurs sont vivement encouragés à attribuer les tâches de gestion de processus à launchd.192 Chapitre 7Gestion Le système launchd comporte deux utilitaires :le démon launchd et l’utilitaire launchctl. Le démon launchd a également remplacé init comme premier processus généré dans Mac OS X et il est, par conséquent, responsable du lancement du système au démarrage. Le démon launchd gère les démons au niveau système et au niveau utilisateur. Il peut :  démarrer des démons sur demande;  contrôler des démons pour s’assurer qu’ils sont en cours d’exécution. launchd utilise des fichiers de configuration pour définir les paramètres d’exécution des services et des démons. Les fichiers de configuration sont des fichiers de listes de propriétés stockés dans les sous-répertoires LaunchAgents et LaunchDaemons des dossiers Bibliothèque. Pour plus d’informations sur la création des fichiers de configuration de launchd, consultez la page de documentation destinée aux développeurs : developer.apple.com/documentation/MacOSX/Conceptual/BPSystemStartup/Articles/ LaunchOnDemandDaemons.html L’utilitaire launchctl est un outil de ligne de commande utilisé pour :  charger et décharger des démons;  démarrer et arrêter des tâches contrôlées par launchd;  obtenir des statistiques d’utilisation de système pour launchd et ses processus enfants;  définir des réglages d’environnement.8 193 8 Contrôle Un contrôle efficace contribue à détecter les problèmes potentiels avant leur apparition et d’être averti suffisamment tôt lorsqu’ils se produisent. La détection des problèmes potentiels vous permet de prendre les mesures nécessaires pour les résoudre avant qu’ils n’influent sur la disponibilité de vos serveurs. Être averti suffisamment tôt de l’apparition d’un problème vous permet en outre de prendre rapidement les mesures qui s’imposent et de minimiser l’interruption des services. Ce chapitre décrit brièvement la planification d’une politique de contrôle, la façon d’utiliser les outils de contrôle et la façon de trouver des informations supplémentaires. Planification d’une politique de contrôle La collecte de données concernant vos systèmes est une fonction de base pour une administration efficace. Chaque type de collecte de données répond à un objectif précis.  Collecte de données historiques :les données historiques sont collectées à des fins d’analyse. Elles peuvent être utilisées dans le cadre de la planification et de la budgé- tisation informatiques et servir de ligne de base pour les conditions normales d’exploitation du serveur. Quels sont les types de données nécessaires pour y parvenir ? Combien de temps doivent-elles être conservées ? À quelle fréquence doiventelles être mises à jour ? Sur quelle période passée doivent-elles être collectées ?  Contrôle en temps réel :le contrôle en temps réel génère des alertes et détecte les problèmes à mesure qu’ils surviennent. Que contrôlez-vous ? À quelle fréquence ? Ces données révèlent-elles ce que vous voulez savoir ? Certaines de ces collectes en temps réel servent-elles réellement à des fins d’historique ?194 Chapitre 8Contrôle Planification d’une réponse de contrôle La réponse apportée au contrôle est aussi importante que la collecte de données. De la même façon qu’une politique de sauvegarde est inutile sans stratégie de restauration, une politique de contrôle n’a pas de sens sans politique de réponse. Pour une réponse de contrôle, il est nécessaire de considérer un certain nombre de facteurs :  Quelles sont les méthodes de réponse appropriées ? En d’autres termes, dans quel cadre la réponse interviendra-t-elle ?  Quel est le délai de réponse ? Que peut-on considérer comme intervalle acceptable entre l’incident et la réponse ?  Quels sont les points à prendre en compte en ce qui concerne le dimensionnement ? Le plan de réponse peut-il traiter toutes les fréquences d’incident, quelles soient attendues ou non ?  L’environnement est-il doté de systèmes de contrôle ? Comment déterminer si la politique de contrôle collecte les données requises et si les réponses sont pertinentes et fournies à temps ? Avez-vous testé le système de contrôle récemment ? Widget d’état du serveur Le widget Dashboard d’état du serveur procure un accès rapide et des informations dans le cadre d’un système individuel. Il permet de contrôler l’activité de Mac OS X Server version 10.5 à partir de n’importe quel ordinateur équipé de Leopard ou de Leopard Server. État du serveur affiche des graphiques actualisés toutes les heures, tous les jours ou toutes les semaines sur l’activité du processeur, la charge réseau et l’utilisation des disques. Vous pouvez également afficher jusqu’à six services actifs et leurs rapports d’état. En cliquant sur le service, vous pouvez ouvrir la sous-fenêtre d’aperçu du service approprié dans Admin Serveur. Pour configurer le widget d’état du serveur : 1 Ajoutez le widget au Dashboard comme vous le feriez pour un autre widget. 2 Saisissez l’adresse IP ou le nom de domaine du serveur. 3 Fournissez un nom et un mot de passe d’ouverture de session d’administration ou de contrôle. 4 Cliquez sur Terminé. Pour changer l’adresse du serveur, le nom ou le mot de passe d’ouverture de session, cliquez sur le bouton d’information (i) en haut du widget et modifiez les réglages appropriés.Chapitre 8 Contrôle 195 Contrôle de serveur L’application Contrôle de serveur peut, dès qu’elle détecte des problèmes critiques, émettre des avertissements via courrier électronique, téléphone portable ou notification par messageur. Des capteurs intégrés détectent les facteurs de fonctionnement essentiels, tels que l’alimentation, la température et l’état de fonctionnement de plusieurs composants clés, et en établissent le rapport. L’interface Contrôle de serveur vous donne la possibilité de détecter rapidement les problèmes. Dans la fenêtre principale, Contrôle de serveur affiche chaque serveur sur une ligne séparée, en indiquant les informations de température correspondantes et l’état de chacun de ses composants, notamment les ventilateurs, les disques, les modules de mémoire, les systèmes d’alimentation et les connexions Ethernet. Un témoin d’état vert indique que le composant est OK, un témoin jaune signale un avertissement et un témoin rouge est synonyme d’erreur. Contrôle de serveur fonctionne pour uniquement pour les systèmes Xserve. Pour en savoir plus sur Contrôle de serveur, choisissez Aide Contrôle de serveur dans le menu d’Aide de Contrôle de serveur. RAID Admin À l’instar de Contrôle de serveur, vous pouvez configurer Admin RAID de façon à ce qu’il envoie un message par courrier électronique ou par radiomessagerie dès qu’un composant montre des signes de défaillance. Admin RAID affiche l’état de chaque unité et de chacun de ses composants, disques, fibre channel et connexions réseau notamment. Admin RAID utilise des témoins d’état verts, jaunes et rouges. Vous pouvez également le configurer de façon à ce qu’il vous envoie un courrier électronique ou une page lorsqu’un composant est en difficulté. De plus, Admin RAID vous fournit une vue d’ensemble de l’état des unités Xserve RAID affichées dans la fenêtre principale. Pour en savoir plus sur Admin RAID, choisissez Aide Admin RAID dans le menu d’Aide d’Admin RAID.196 Chapitre 8Contrôle Console Utilisez Console pour contrôler les fichiers d’historique afin de détecter d’éventuels problèmes susceptibles de provoquer la défaillance de votre serveur. Par exemple, vous pouvez contrôler le fichier /var/log/httpd/access_log de votre serveur web à la recherche de signes de déni d’attaques de service. Si vous détectez ces signes, vous pouvez immédiatement mettre en œuvre une réponse planifiée afin d’empêcher l’indisponibilité de votre serveur web. Pour améliorer l’efficacité de votre contrôle des fichiers d’historique, envisagez de l’automatiser à l’aide des commandes AppleScript ou Terminal telles que grep et cron. Pour plus d’informations sur l’utilisation de grep et de cron, consultez la section Administration de ligne de commande. Outils de contrôle de disque Si votre espace disque est épuisé, votre serveur risque de ne plus être fiable et il tombera probablement en panne. Pour éviter cela, vous devez constamment contrôler l’utilisation de l’espace disque sur vos serveurs et supprimer ou sauvegarder des fichiers afin de libérer de l’espace. Mac OS X Server est fourni avec de nombreux outils de ligne de commande que vous pouvez utiliser pour contrôler l’espace disque sur votre ordinateur :  df. Cette commande vous indique la quantité d’espace utilisée et la quantité disponible sur chaque volume monté. Par exemple, la commande suivante dresse la liste des volumes locaux et affiche l’utilisation des disques : df -Hl Filesystem Size Used Avail Capacity Mounted on /dev/disk0s9 40G 38G 2.1G 95% / Dans cet exemple, le disque dur est presque rempli puisque seuls 2,1 Go sont encore disponibles. Dans ce cas, il est recommandé de réagir immédiatement pour libérer de l’espace sur votre disque dur avant que sa capacité ne soit dépassée et que cela n’entraîne des problèmes pour vos utilisateurs.  du. Cette commande vous indique la quantité utilisée par des répertoires ou fichiers donnés. Par exemple, la commande suivante vous indique la quantité d’espace occupée par le répertoire de départ de chaque utilisateur : sudo du -sh /Users/* 3.2M /Users/Shared 9.3M /Users/omar 8.8M /Users/jay 1.6M /Users/liliChapitre 8 Contrôle 197 Le fait de savoir qui emploie le plus d’espace sur le disque dur vous permet de contacter les utilisateurs concernés pour leur demander de supprimer les fichiers dont ils n’ont plus besoin. Remarque :avec Gestionnaire de groupe de travail, vous pouvez définir des quotas de disque pour les utilisateurs et générer des rapports d’utilisation des disques. Pour plus d’informations, consultez la section Gestion des utilisateurs.  diskspacemonitor. Cette commande vous permet d’automatiser le processus de contrôle de l’utilisation de l’espace disque. Dès que la quantité d’espace libre descend sous le niveau que vous avez spécifié, diskspacemonitor exécute des scripts de shell qui vous envoient une notification. Cette commande définit deux niveaux d’action :  Alerte — Vous envoie un message d’avertissement lorsque l’utilisation de l’espace disque atteint 75 %.  Récupération — Archive les fichiers rarement utilisés et supprime les fichiers superflus lorsque l’utilisation de l’espace disque atteint 85 %. Pour plus d’informations sur ces commandes, consultez la page man correspondante ou la section Administration de ligne de commande. Outils de contrôle de réseau Une dégradation des performances de réseau et d’autres problèmes de réseau peuvent avoir un impact négatif sur la disponibilité de vos services. Les outils de contrôle réseau ci-après peuvent vous avertir suffisamment tôt d’éventuels problèmes, afin que vous puissiez prendre les mesures nécessaires pour éviter ou minimiser toute période d’immobilisation.  Pour contrôler l’activité du réseau, exécutez l’utilitaire tcpdump de Mac OS X Server. Cet utilitaire imprime les en-têtes des paquets entrants et sortants sur une interface réseau qui concorde avec les paramètres spécifiés. L’utilisation de tcpdump pour contrôler le trafic sur le réseau est particulièrement judicieuse lorsque l’on tente de détecter des dénis d’attaque de service. Par exemple, la commande suivante contrôle l’ensemble du trafic entrant au niveau du port 80 de votre ordinateur : sudo tcpdump -i en0 dst port 80 Si vous détectez un nombre inhabituel de requêtes émanant d’une même source, vous pouvez utiliser le service de coupe-feu pour bloquer le trafic issu de cette source. Pour plus d’informations sur tcpdump, consultez la page man correspondante ou la section Administration de ligne de commande.198 Chapitre 8Contrôle  Pensez à utiliser des scripts Ruby ou Perl, des scripts de shell ou des AppleScripts pour automatiser le processus de contrôle. Par exemple, l’utilisation de tcpdump pour contrôler le trafic peut s’avérer longue et fastidieuse, ce qui signifie que l’automatisation est nécessaire.  Pensez à utiliser Ethereal, un outil open-source X11 renifleur de paquets qu’il est possible d’exécuter dans l’environnement X11 sous Mac OS X Server. À la différence de tcpdump, cet outil possède une interface utilisateur graphique et un ensemble d’outils performants d’analyse de réseau. Pour en savoir plus sur Ethereal, rendez-vous sur le site www.ethereal.com/.  Vous pouvez utiliser d’autres outils de tierce partie qui analysent automatiquement le trafic réseau et vous avertissent en cas de problème. Notification dans Admin Serveur Admin Serveur possède un système de notification facile à utiliser et capable de vous tenir informé de l’état du disque dur ou des logiciels de votre serveur. Admin Serveur envoie un message électronique à n’importe quelle adresse (locale ou non) si :  l’espace disponible est inférieur à un certain pourcentage sur n’importe quel disque dur du système ;  des paquets de mise à jour de logiciels sont disponibles sur le site Apple. Pour utiliser la fonction de courrier électronique, le serveur lance le processus SMTP (courrier sortant) sur le serveur. Assurez-vous que le coupe-feu autorise le trafic SMTP provenant du serveur. Pour définir une notification : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Notifications. 3 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) sous le champ Adresses à avertir, puis ajoutez une adresse. 4 Répétez cette procédure autant de fois que nécessaire, puis cliquez sur Enregistrer.Chapitre 8 Contrôle 199 Contrôle des aperçus de l’état du serveur à l’aide d’Admin Serveur Admin Serveur possède plusieurs moyens d’afficher un aperçu d’état :sous la forme d’informations détaillées pour un serveur individuel ou sous la forme d’une vue d’ensemble simplifiée de plusieurs serveurs. Pour afficher un aperçu d’état concernant un seul serveur : m Sélectionnez un serveur dans la liste Serveur. L’illustration ci-dessous montre un exemple de sous-fenêtre Aperçu pour un serveur. Cet aperçu indique le matériel de base, les versions de système d’exploitation, les services actifs, des graphiques d’historique du CPU, l’historique du débit du réseau et l’espace disque.200 Chapitre 8Contrôle Pour afficher un aperçu d’état concernant plusieurs serveurs : m Sélectionnez un groupe de serveurs, un groupe intelligent, le groupe Tous les serveurs ou le groupe Serveurs disponibles. L’illustration ci-dessous montre un exemple de sous-fenêtre Aperçu pour un groupe de serveurs. Cet aperçu comporte les informations suivantes :  nom d’hôte,  version du système d’exploitation,  graphique d’utilisation actuelle du CPU (pour afficher des nombres plus spécifiques, survolez cet élément avec la souris),  débit réseau actuel,  espace disque utilisé (pour afficher des nombres plus spécifiques, survolez cet élé- ment avec la souris),  durée de fonctionnement,  nombre d’utilisateurs connectés aux services de fichiers. Vous pouvez trier la liste par colonne.Chapitre 8 Contrôle 201 Protocole SNMP (Simple Network Management Protocol) Le protocole SNMP est un protocole couramment utilisé pour contrôler l’état d’un équipement réseau (routeurs et commutateurs intelligents par exemple), d’ordinateurs et d’autres périphériques réseau tels que des onduleurs. Mac OS X Server utilise NetSNMP pour implémenter SNMP v1, SNMP v2c et SNMP v3 à l’aide d’IPv4 et d’IPv6. SNMPv2 est le protocole d’accès par défaut et la chaîne communautaire en lecture seule par défaut est « public ». Activation des rapports SNMP L’accès SNMP n’est pas activé par défaut sur Mac OS X Server. Pour utiliser les outils SNMP afin d’obtenir des données sur votre système Mac OS X Server, configurez le service, puis activez-le. Pour activer SNMP 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Général. 3 Sélectionnez « Serveur de gestion de réseau (SNMP) ». 4 Cliquez sur Enregistrer. Si SNMP est actif, quiconque ayant établi une route vers l’hôte SNMP peut collecter des données SNMP à partir de celui-ci. 5 Utilisez la ligne de commande pour configurer les paramètres SNMP de base. Le processus SNMP ne démarre pas tant que /etc/snmpd.conf n’a pas été configuré pour le site actuel. Pour plus d’informations sur la procédure de configuration, consultez la section « Configuration de snmpd » à la page 201. Remarque :la configuration par défaut de snmpd utilise le port privilégié 161. Pour cette raison, elle doit être exécutée par root ou à l’aide de setuid. Nous vous conseillons de n’utiliser setuid en tant que root que si vous êtes conscient des conséquences possibles. Dans le cas contraire, faites-vous aider ou procurez-vous des informations supplémentaires. Les options disponibles pour snmpd modifient l’UID et le GID du processus après son démarrage. Pour plus d’informations, consultez la page man de snmpd. Configuration de snmpd Le fichier de configuration (.conf) de snmpd réside généralement dans /etc/snmpd.conf. Si vous possédez une variable d’environnement SNMPCONF,snmpd lit les fichiers snmpd.conf et snmpd.local.conf dans ces répertoires. Pour indiquer d’autres fichiers de configuration, le processus snmpd peut être lancé avec l’option -c. Pour plus d’informations sur l’utilisation des fichiers conf, consultez la page man de snmpd.202 Chapitre 8Contrôle Les fichiers de configuration peuvent être créés et installés plus élégamment à l’aide du script intégré /usr/bin/snmpconf. En tant que root, exécutez ce script avec l’option -i pour installer le fichier dans /usr/share/snmp/. Autrement, l’emplacement par défaut du fichier est le dossier de départ de l’utilisateur (~/). Seul l’utilisateur root est autorisé à écrire dans /usr/share/snmp/. Comme snmpd lit ses fichiers de configuration au démarrage, les modifications apportées aux fichiers de configuration nécessitent que le processus soit arrêté puis relancé. Vous pouvez arrêter snmpd à l’aide de ProcessViewer ou à partir de la ligne de commande (kill -HUP ). Pour activer et configurer SNMP : m Utilisez la commande /usr/bin/snmpconf. Elle permet d’ouvrir un assistant de configuration basique sous forme de texte, afin de définir le nom communautaire et d’enregistrer les informations dans le fichier de configuration. Le fichier de configuration snmp se trouve dans /usr/share/snmp/snmpd.conf. Exemple de configuration SNMP Étape 1 :Personnalisez les données 1 Pour personnaliser les données fournies par snmpd, ajoutez un fichier snmpd.conf à l’aide de /usr/bin/snmpconf en tant que root ou à l’aide de sudo, en exécutant cette commande : /usr/bin/snmpconf -i S’il existe des fichiers de configuration, vous pouvez les lire dans l’assistant et incorporer leur contenu au résultat obtenu par l’assistant. 2 Choisissez de lire dans le fichier en indiquant son emplacement :/etc/snmp/snmpd.conf. Une série de menus texte est alors affichée. 3 Effectuez vos choix dans cet ordre : a Sélectionnez un fichier :1 (snmpd.conf) b Sélectionnez une section :5 (configuration des informations système) c Sélectionnez une section :1 (emplacement [généralement physique] du système) d Emplacement du système :tapez une chaîne de caractères ici — « salle_serveur », par exemple. e Sélectionnez une section :f (terminer) f Sélectionnez une section :f (terminer) g Sélectionnez un fichier :q (quitter) Vous venez de créer un fichier snmpd.conf avec la date du jour comme date de création. Assurez-vous que le fichier existe en saisissant ls -l /usr/share/snmpd.conf.Chapitre 8 Contrôle 203 Étape 2 :Redémarrez snmpd pour valider les modifications 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Général. 3 Désélectionnez « Serveur de gestion de réseau (SNMP) ». 4 Cliquez sur Enregistrer. Vous pouvez également effectuer cette procédure en interrompant, en tant que root, le processus smnpd, puis en le redémarrant à partir de la ligne de commande : /usr/sbin/snmpd Étape 3 :Collectez des informations SNMP provenant de l’hôte m Pour accéder aux informations disponibles via SNMP que vous venez d’ajouter, exécutez cette commande à partir d’un hôte sur lequel les outils SNMP sont installés : /usr/bin/snmpget -c public system.sysLocation.0 Remplacez par le nom véritable de l’hôte cible. Vous devriez voir l’emplacement que vous venez d’indiquer. Dans cet exemple, vous verriez : SNMPv2_MIB::system.sysLocation.0 = STRING:\”salle_serveur\” Les autres options du menu sont : /usr/bin/snmpget -c public system.sysContact.0 /usr/bin/snmpget -c public system.sysServices.0 Le « .0 » final indique que vous recherchez l’objet index. Le mot « public » est le nom de la communauté snmp que vous n’avez pas modifié. Pour plus d’informations sur l’un de ces éléments ou sur la syntaxe snmp, reportez-vous aux didacticiels disponibles sur net-snmp.sourceforge.net. Outils à utiliser avec SNMP Outre snmpget, il existe d’autres outils snmp installés, ainsi que des suites de tierce partie, gratuites ou payantes, présentant différents niveaux de complexité et des fonctions de génération de rapports. Informations supplémentaires Des informations supplémentaires sur SNMP sont disponibles à partir des sources ci-dessous. Pages man La saisie de man -k snmp dans Terminal génère la liste des pages man connues. Sites web Projet Net SNMP :  www.net-snmp.org  net-snmp.sourceforge.net204 Chapitre 8Contrôle Ouvrages Essential SNMP, de Douglas Mauro et Kevin Schmidt Éditeur :O’Reilly (deuxième édition, septembre 2005) ISBN :0-596-00840-6, 460 pages Démons de notification et de contrôle des événements Pour contrôler et journaliser les événements système, le système d’exploitation exé- cute plusieurs démons qui interceptent les messages provenant des applications et les consignent dans un journal ou agissent sur ces événements. Il existe deux démons principaux de notification :syslogd et emond.  syslogd :le démon syslogd est une méthode UNIX standard de contrôle de systèmes. Il consigne les messages conformément aux réglages figurant dans /etc/syslog.conf. Vous pouvez examiner les fichiers de sortie spécifiés dans cette configuration à l’aide d’un utilitaire d’impression ou d’édition standard, car il s’agit de fichiers en texte clair. Les administrateurs peuvent modifier ces réglages pour définir avec précision les élé- ments à contrôler. La plupart des administrateurs analysent automatiquement les fichiers d’historique à l’aide de scripts qui effectuent une action prédéfinie dès qu’une information donnée est rencontrée. Ces notifications personnalisées, qui varient en qualité et en utilité, peuvent être personnalisées selon les besoins particuliers du créateur du script. Il est possible de configurer le démon syslogd pour qu’il échange des informations sur le fichier d’historique avec un serveur distant (pour ce faire, modifiez /System/ Bibliothèque/LaunchDaemons/com.apple.syslogd.plist). Cette opération n’est pas conseillée, car syslogd n’utilise pas de connexion sécurisée pour envoyer des messages d’historique sur Internet.  emond :le démon emond constitue le système de contrôle d’événements de Mac OS X Server v10.5. Il s’agit d’un processus unifié qui gère les événements transmis par d’autres processus, agit sur ces événements en fonction d’un ensemble de règles définies, puis envoie un message de notification à l’administrateur. Actuellement, emond est le moteur qu’utilise le système de notification par courrier électronique d’Admin Serveur. Il n’est pas utilisé pour les notifications de Contrôle de serveur. Le service de haut niveau reçoit des événements émanant du client enregistré, puis analyse si l’événement doit être traité conformément aux règles fournies par le service au moment de son enregistrement. Si une réponse est nécessaire, l’action associée à l’événement est effectuée. Pour ce faire, le démon emond se compose de trois parties principales :le moteur de règles, les événements auxquels il peut répondre et les actions qu’il peut entreprendre.Chapitre 8 Contrôle 205 Le moteur de règles d’emond fonctionne comme suit. Il :  lit les informations de configuration dans /etc/emond.d/emond.conf ;  lit les règles dans les fichiers plist figurant dans le répertoire /etc/emond.d/rules/ ;  traite l’événement de démarrage ;  accepte les événements jusqu’à la fin de l’exécution ;  applique les règles associées à l’événement, les déclenchant au gré des besoins ;  effectue les actions spécifiées par les règles qui ont été déclenchées ;  s’exécute au niveau le moins privilégié possible (aucun). Journalisation Mac OS X Server conserve des fichiers d’historique UNIX standard et des historiques de processus propres à Apple. Les historiques du système d’exploitation sont disponibles dans :  /var/log  /Bibliothèques/Historiques  ~/Bibliothèques/Historiques Chaque processus est responsable de ses propres historiques, du niveau d’historique et du niveau de détail. Chaque processus ou application peut écrire son propre fichier d’historique ou utiliser un historique système standard tel que syslog. L’application Console (dans /Applications/Utilitaires) vous permet de lire ces historiques et d’autres historiques en texte clair, quel que soit leur emplacement. La plupart des services de Mac OS X Server possèdent une sous-fenêtre de journalisation dans Admin Serveur. Vous pouvez y définir les niveaux journalisation et afficher les historiques d’un service particulier. Syslog L’historique système (system log, syslog) est un emplacement polyvalent consolidé, destiné aux messages d’historique des processus. syslog possède plusieurs niveaux de détail d’historique. Si la journalisation est réglée sur le niveau minimal, aucun message détaillé n’est enregistré ; en revanche, le niveau maximal a pour effet de conserver tous les détails, ce qui augmente la taille des historiques et peut les rendre inexploitables. AVERTISSEMENT :les formats de fichier et les réglages figurant dans emond.conf et dans les fichiers plist de règles ne font pas l’objet d’une documentation destinée aux utilisateurs. Leur modification n’est pas prise en charge et risque de rendre le système de notification inutilisable.206 Chapitre 8Contrôle Le niveau de journalisation que vous utilisez pour syslog peut être adapté en fonction du processus concerné et doit correspondre au niveau nécessaire pour une notification et un débogage efficaces. Niveaux de journalisation syslog (par ordre croissant) Fichier de configuration syslog Le fichier de configuration est disponible dans /etc/syslog.conf. Chaque ligne présente le format suivant : . « fonction » correspond au nom du processus qui écrit dans l’historique, tandis que « chemin du fichier d’historique » correspond au chemin d’accès POSIX standard au fichier d’historique. Il est possible d’utiliser des astérisques (*) comme caractères géné- riques. Par exemple, le réglage correspondant au noyau est le suivant : kern.* /var/log/system.log Dans cet exemple, le fichier /var/log/system.log recevra tous les messages d’historique émanant du noyau quel que soit leur niveau. De même, le réglage suivant active la journalisation de tous les messages de niveau Urgence provenant de tous les processus dans un fichier d’historique personnalisé nommé « emergencies » : *.emerg /var/log/emergencies.log Nom du niveau Indicateur de niveau dans syslog.conf Quantité de détails Aucun .none Aucun Urgence .emerg Minimal Alerte .alert Erreur .err Avertissement .warn Avis .notice Info .info Déboguer .debug MaximalChapitre 8 Contrôle 207 Journalisation de débogage du service de répertoire Si vous souhaitez recevoir les informations de débogage envoyées par les processus du service de répertoire alors que vous utilisez Open Directory, choisissez une méthode de journalisation différente de systemlog. Vous devez activer manuellement la journalisation de débogage sur le processus. Une fois activée, cette journalisation de débogage écrit des messages dans le fichier d’historique, à l’emplacement suivant : /Bibliothèque/Logs/DirectoryService/DirectoryService.debug.log Les commandes suivantes doivent être exécutées avec des autorisations de superutilisateur (sudo ou root) : Pour activer ou désactiver manuellement la journalisation de débogage des services de répertoire : killall -USR1 DirectoryService Pour lancer le débogage au démarrage : touch /Library/Preferences/DirectoryService/.DSLogAPIAtStart Remarque :l’historique de débogage ne possède pas sa propre documentation et n’est pas conçu pour une journalisation normale. Il contient de très nombreuses informations difficiles à comprendre. Il affiche les appels d’API, les requêtes de modules et les réponses correspondantes. Journalisation Open Directory Le fichier de configuration se trouve dans /etc/openldap, les historiques dans /var/log/slapd.log. Chaque transaction de répertoire génère un historique de transaction distinct dans la base de données OpenLDAP. Les historiques de base de données et de transaction sont disponibles dans /var/db/openldap/openldap-data. Le processus slapd, qui régit l’utilisation d’Open Directory, possède un paramètre de plus destiné à une journalisation supplémentaire. Pour activer cette dernière, lancez la commande suivante : slapconfig -enablesslapdlog Pour exécuter slapd en mode de débogage : 1 Arrêtez slapd et retirez-le de la liste de surveillance de launchd : launchctl unload /System/Library/LaunchDaemons/org.openldap.plist 2 Redémarrez slapd en mode débogage : sudo /usr/libexec/slapd -d 99208 Chapitre 8Contrôle Journalisation AFP La partie serveur du protocole AFP (Apple File Service Protocol) assure le suivi des accès et des erreurs, mais ne possède pas beaucoup d’informations de débogage. Vous pouvez cependant ajouter la journalisation coté client aux clients AFP, afin de contribuer à la surveillance et au dépannage des connexions AFP. Pour activer la journalisation côté client : Effectuez toutes ces actions sur l’ordinateur client AFP. 1 Réglez le niveau de débogage du client (niveaux 0 à 8) : defaults write com.apple.AppleShareClientCore -dict-add afp_debug_level 4 2 Désignez le destinataire des messages d’historique du client (dans le cas présent,syslog) : defaults write com.apple.AppleShareClientCore -dict-add afp_debug_syslog 1 3 Activez la réception des messages de débogage du client dans syslog : Pour ce faire, ajoutez *.debug /var/log/debug.log au fichier syslogd.conf. 4 Redémarrez le processus syslog. Outils de contrôle supplémentaires Vous pouvez utiliser d’autres outils pour effectuer le contrôle de Mac OS X Server. Il existe plusieurs logiciels de contrôle de serveur de tierce partie, ainsi qu’un outil de contrôle Apple supplémentaire. La présence d’outils de tierce partie dans la liste ci-dessous ne signifie pas qu’Apple en recommande l’utilisation ou fournit une assistance pour ces produits. Ils sont mentionnés ici à titre d’information.  Apple Remote Desktop :les nombreuses fonctionnalités de ce logiciel permettent d’interagir avec des ordinateurs sous Mac OS X et Mac OS X Server, d’obtenir des rapports sur ces ordinateurs et d’assurer leur suivi. Il possède d’excellente fonctions d’administration et de génération de rapports.  Nagios (outil de tierce partie) :cet outil est une application open-source de contrôle de système et de réseau informatique.  Growl (outil de tierce partie) :cet outil est un service de notification extensible et centralisé qui prend en charge la notification locale et distante.9 209 9 Exemple de configuration L’exemple de configuration figurant dans ce chapitre illustre une des manières de configurer les infrastructures de répertoire et de réseau Mac OS X Server pour une petite entreprise. Un seul Mac OS X Server dans une petite entreprise Dans cet exemple, Mac OS X Server fournit des services de répertoire, de réseau et de productivité aux employés d’une petite entreprise : L’entreprise utilise un réseau local dans ses bureaux pour partager des fichiers et une imprimante. L’acquisition de Mac OS X Server a rendu possible l’implémentation d’un intranet utilisant les services DNS et DSL d’un FAI (fournisseur d’accès à Internet). Mac OS X Server (exemple.com) DSL Internet Imprimante partagée Clients Windows Clients Mac OS X Alterner Serveur DNS du FAI Client Mac OS X 192.168.0.1 VPN 210 Chapitre 9Exemple de configuration Voici un résumé des caractéristiques de cette étude de cas :  Un répertoire LDAP maître Open Directory sur le serveur centralise la gestion des utilisateurs, y compris l’authentification des utilisateurs Mac OS X et Windows.  Le service DNS du FAI fournit un nom de domaine DNS à l’entreprise (« exemple.com »).  Un serveur DNS exécuté sous Mac OS X Server fournit les services d’attribution de noms au serveur, à l’imprimante et à tout autre périphérique intranet disposant d’une adresse IP statique.  Un coupe-feu entre le serveur et Internet protège l’intranet de tout accès non autorisé.  Le service NAT permet aux utilisateurs de l’intranet de partager l’adresse IP du FAI pour accéder à Internet. Le service VPN, pour sa part, permet aux employés d’accéder en toute sécurité à l’intranet via Internet s’ils sont amenés à travailler en déplacement.  Le service DHCP sur Mac OS X Server attribue une adresse IP dynamique à chacun des ordinateurs clients de l’intranet. Le serveur et l’imprimante possèdent une adresse statique, mais les ordinateurs clients disposent chacun d’une adresse dynamique. Configuration du serveur Les étapes suivantes résument la configuration de Mac OS X Server pour cette petite entreprise fictive. Pour obtenir des informations complètes relatives à la configuration des services de répertoire, reportez-vous au guide Administration d’Open Directory. Pour en savoir plus sur la configuration d’un service réseau (coupe-feu IP, DHCP, etc.), reportez-vous au guide Administration des services de réseau. Étape 1 :configurez le réseau 1 Assurez-vous que le serveur possède deux interfaces Ethernet (ports) :une pour la connexion de l’intranet (réseau local, LAN) et une pour la connexion du modem DSL. Utilisez l’interface la plus rapide pour la connexion au serveur. Une connexion à 10 Mbits est plus que suffisante pour la connexion DSL. 2 Connectez le serveur au réseau local par le biais de l’interface la plus rapide. Dans notre exemple, le serveur est branché sur un commutateur permettant de connecter des ordinateurs clients et une imprimante partagée. Nous ferons désormais référence à cette interface sous le nom d’interface interne. Les périphériques intranet doivent être connectés à un concentrateur ou un commutateur à l’aide de câbles Ethernet CAT-5 de bonne qualité. Un commutateur à haut débit de 10/100/1000 mégabits est capable de prendre en charge les fonctionnalités de serveur avancées, telles que NetBoot, dont le fonctionnement optimal est lié à la vitesse de connexion. 3 Connectez le serveur au modem DSL à l’aide de l’autre interface Ethernet. Nous ferons désormais référence à cette interface sous le nom d’interface externe.Chapitre 9 Exemple de configuration 211 Étape 2 :contactez le fournisseur d’accès à Internet pour configurer les serveurs DNS externes Les serveurs de noms du FAI doivent servir la zone de l’entreprise, exemple.com, contenant toutes les adresses IP publiques de tous les serveurs et services disponibles pour Internet (par exemple, le serveur web de l’entreprise et sa passerelle VPN). En d’autres termes, la zone gérée par le FAI contient uniquement les adresses IP publiques et le serveur de noms du FAI fournit la redondance nécessaire. Le FAI doit aussi fournir les recherches DNS bidirectionnelles relatives au domaine de la zone pour toute adresse IP externe utilisée. Étape 3 :configurez un ordinateur d’administration 1 Installez les outils d’administration de serveur qui se trouvent sur le DVD Server Tools. Choisissez un ordinateur doté de Mac OS X 10.5 sur lequel installer les outils. Assurezvous que la communication réseau entre l’ordinateur administrateur et le serveur cible fonctionne. Pour obtenir des instructions complémentaires, consultez la section « Préparation d’un ordinateur administrateur » à la page 88. 2 Remplissez la Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server située en annexe à la page 221. Ces informations seront nécessaires pour les différentes sous-fenêtres de l’assistant. Étape 4 :configurez le serveur et le répertoire maître 1 Démarrez le serveur à partir du DVD d’installation. La procédure à suivre dépend du type de matériel installé sur le serveur. Pour notre exemple, partons du principe que l’ordinateur possède un clavier et un lecteur DVD. Allumez l’ordinateur, insérez le DVD d’installation dans le lecteur optique, puis redémarrez l’ordinateur tout en maintenant la touche C du clavier enfoncée. Le chapitre 5, « Installation et déploiement » à la page 85 contient des instructions relatives à d’autres méthodes d’installation, telles que l’installation sur un serveur sans lecteur optique ou l’installation depuis un environnement NetInstall. 2 Démarrez l’Assistant réglages sur l’ordinateur administrateur. 3 Une fois l’Assistant réglages ouvert, choisissez « Installer Mac OS X Server sur un ordinateur distant ». AVERTISSEMENT :cet exemple présuppose que le FAI fournit la résolution DNS dans les deux sens pour l’adresse IP publique et le nom d’ordinateur du serveur. Si ce n’est pas le cas (par exemple, si la configuration de votre FAI n’est pas encore effectuée ou si vous comptez exécuter votre propre serveur de noms sur le serveur même), choisissez Serveur autonome à l’étape 4, puis transformez-le en maître ou réplique Open Directory seulement après avoir configuré un serveur DNS.212 Chapitre 9Exemple de configuration 4 Avancez dans les écrans d’installation en suivant les instructions affichées. Si vous devez formater le disque cible, consultez la section « Préparation des disques pour l’installation de Mac OS X Server » à la page 98 pour suivre les instructions de préparation de disques en vue de l’installation de Mac OS X Server. Le serveur redémarre une fois l’installation terminée. 5 Après avoir redémarré, rouvrez Assistant du serveur, puis choisissez l’option « Configurer un ordinateur distant ». 6 Utilisez les sous-fenêtres Langue et Clavier pour refléter la langue d’administration du serveur. 7 Dans la sous-fenêtre Compte d’administrateur, saisissez les nom et mot de passe de l’administrateur du serveur, puis cliquez sur Continuer. 8 Si vous ne retrouvez pas le serveur récemment installé dans la sous-fenêtre Noms de réseau, cliquez sur le bouton Ajouter (+), tapez l’adresse IP, saisissez les nom et mot de passe par défaut de l’administrateur, puis cliquez sur Continuer. Pour en savoir plus, consultez la section « Connexion au réseau lors de la configuration initiale du serveur » à la page 118. 9 Avancez dans les écrans d’installation en suivant les instructions affichées. 10 Assurez-vous que la sous-fenêtre Interfaces réseau contient la liste des interfaces Ethernet internes et externes. 11 Assurez-vous que l’interface externe est la première mentionnée dans la sous-fenêtre Interfaces réseau. La première interface de la liste correspond à l’interface principale, ou interface par défaut. Le trafic réseau provenant du serveur est acheminé vers l’interface principale. VPN l’utilise comme réseau public et traite toutes les autres interfaces de la liste comme réseau privé. 12 Cliquez sur Continuer. La sous-fenêtre Connexion TCP/IP apparaît pour chaque interface Ethernet. 13 Pour l’interface externe, choisissez Manuellement dans la liste locale Configurer IPv4, puis saisissez l’adresse IP, le masque de sous-réseau et la ou les adresses IP de serveurs DNS que votre FAI vous a fournies. Pour une configuration à double interface telle que celle de notre exemple, toutes les requêtes DNS sont acheminées à l’interface principale. Par conséquent, si vous exécutez le service DNS sur votre serveur, saisissez également l’adresse IP publique de la passerelle dans le champ Serveurs de nom. Pour une configuration manuelle, placez l’interface en haut de la liste de façon à ce qu’elle soit consultée avant les serveurs de votre FAI, puis cliquez sur Continuer.Chapitre 9 Exemple de configuration 213 14 Si vous comptez utiliser l’Assistant réglages de passerelle (accessible à partir de la section Service NAT d’Admin Serveur) pour configurer les réglages du réseau, vous n’avez pas à configurer d’interface interne. Dans le cas contraire, saisissez les valeurs suivantes pour l’interface interne, puis cliquez sur Continuer :  Configurer IPv4 : Manuellement  Adresse IP :192.168.0.1 (les valeurs 192.168 sont réservées aux réseaux locaux internes)  Masque de sous-réseau :255.255.0.0  Routeur :192.168.0.1  Serveurs DNS :192.168.0.1 15 Dans la sous-fenêtre Utilisation du répertoire, choisissez Maître Open Directory pour configurer un répertoire LDAP partagé sur le serveur ;sélectionnez ensuite « Activer le contrôleur de domaine principal Windows », puis saisissez un nom de domaine/groupe de travail. Ces réglages permettent de configurer un PDC Windows afin que les employés utilisant une station de travail Windows NT, Windows 2000 ou Windows XP puissent ouvrir une session sur le PDC, changer de mot de passe durant leur session et disposer de profils d’utilisateur itinérant et de dossiers de départ réseau sur le serveur. Un seul compte utilisateur suffit à chaque utilisateur pour ouvrir une session à partir d’une station de travail Windows ou d’un ordinateur Mac OS X et accéder au même dossier de départ réseau. 16 Cliquez sur Continuer. 17 Suivez les dernières instructions de l’assistant, puis cliquez sur Appliquer pour lancer la configuration du serveur. Le serveur redémarre une fois la configuration terminée. 18 Ouvrez une session sur le serveur sous l’identité de l’administrateur que vous avez défini à l’aide de l’Assistant du serveur. 19 Configurez les réglages réseau du serveur. Pour ce faire, la méthode la plus simple consister à passer par l’Assistant réglages de passerelle (voir l’étape 4). Vous pouvez également configurer chaque service réseau à l’aide d’Admin Serveur (voir étapes 5 à 8). Étape 5 :utilisez l’Assistant réglages de passerelle pour automatiser la configuration réseau du serveur 1 Ouvrez Admin Serveur sur l’ordinateur administrateur. 2 Si vous ne l’avez pas encore fait, connectez-vous au serveur et authentifiez-vous sous l’identité de l’administrateur que vous avez défini à l’aide de l’Assistant du serveur. 3 Sélectionnez le serveur et ajoutez les services à utiliser. Pour cette étape, sélectionnez le service NAT et le service Coupe-feu.214 Chapitre 9Exemple de configuration 4 Dans la sous-fenêtre Vue d’ensemble du serveur que vous configurez, cliquez sur le service NAT. 5 Ouvrez l’Assistant réglages de passerelle en cliquant sur le bouton situé dans la sous-fenêtre de la vue d’ensemble du service NAT. 6 Suivez les instructions affichées dans les sous-fenêtres en fournissant les informations demandées. Dans la sous-fenêtre Port WAN, sélectionnez le port configuré comme interface externe lors de la configuration initiale. Dans la sous-fenêtre Réglages VPN, activez VPN, puis spécifiez un secret partagé à utiliser pour les connexions client. Dans la sous-fenêtre Ports LAN, sélectionnez le port destiné à servir d’interface interne. 7 Une fois que l’Assistant réglages de passerelle a terminé la configuration du réseau et que vous avez fermé l’application, passez à l’étape 9. Étape 6 :configurez le coupe-feu 1 Ouvrez Admin Serveur sur l’ordinateur administrateur. 2 Si ce n’est pas encore fait, connectez-vous au serveur et authentifiez-vous sous l’identité de l’administrateur que vous avez défini à l’aide de l’Assistant du serveur. 3 Dans la liste des services, cliquez sur Coupe-feu. 4 Cliquez sur « Démarrer le coupe-feu » dans la barre d’action inférieure. 5 Cliquez sur Réglages, puis sélectionnez Services. 6 Choisissez « Modifier les services pour » le groupe d’adresses intitulé « 192.168-net ». 7 Choisissez « Autorisé » pour les services que vous voulez mettre à la disposition des employés travaillant au bureau. Sélectionnez au moins Service DNS, DHCP et NetBoot. 8 Choisissez « Modifier les services pour » le groupe d’adresses intitulé « Quelconque ». 9 Cliquez sur Services et sélectionnez « Autorisé » pour les services que vous voulez mettre à la disposition des clients externes à travers le coupe-feu. Sélectionnez au moins L2TP VPN, IKE et DHCP. 10 Cliquez sur Enregistrer. Étape 7 :configurez le service DNS Le DNS de Leopard Server gère les informations de zone (par exemple, tous les noms d’hôte complets du site local, tels que « site1.exemple.com ») en mappant cette zone privée sur des adresses IP locales privées. Cela permet d’éviter d’avoir à ajouter des serveurs publics au DNS local.Chapitre 9 Exemple de configuration 215 De plus, une zone de réexpédition DNS est configurée pour rechercher dans les enregistrements DNS du FAI tout ce qui est introuvable dans la zone DNS locale (telles les adresses IP des serveurs web d’autres organisations, comme www.apple.com). Remarque :comme nous l’avons mentionné à l’étape 2, cet exemple part du principe que votre FAI assure les services de résolution DNS bidirectionnelle pour la zone de votre entreprise , notamment la résolution de l’adresse IP publique du serveur. Le serveur de noms interne utilise par conséquent une zone interne telle que qui conserve les adresses IP privées du serveur et de tous les autres périphériques du réseau local. 1 Dans Admin Serveur, sélectionnez DNS dans la liste des services. 2 Cliquez sur Zones, sur le bouton Ajouter (+) sous la liste Zones, puis sélectionnez « Ajouter une zone principale ». 3 Sélectionnez la zone par défaut, puis adaptez-la à votre entreprise. Dans notre cas, les réglages sont les suivants :  Nom de la zone principale :exemple.com  Adresse du serveur de noms :192.168.0.1  Adresse de l’admin. :admin@exemple.com 4 Ajoutez un enregistrement de machine à la zone en sélectionnant cette dernière, en cliquant sur « Ajouter un enregistrement », puis en sélectionnant « Ajouter une machine (A) » via le bouton local. 5 Sélectionnez l’enregistrement de machine situé sous le nom de la zone, modifiez-le en adoptant les réglages ci-dessous, puis cliquez sur Enregistrer une fois terminé.  Nom de la machine : myserver  Adresse IP : 192.168.0.1 6 À l’aide des réglages suivants, ajoutez d’autres ordinateurs à la zone. Par exemple, pour ajouter une imprimante, cliquez sur le bouton Ajouter, indiquez des valeurs applicables à l’imprimante, puis cliquez sur OK :  Adresse IP : 192.168.100.2  Nom : laserprinter_2000 7 Cliquez sur Réglages pour régler le serveur de façon à ce qu’il recherche à l’extérieur tout nom de domaine qu’il ne contrôle pas. 8 Dans la liste « Adresses IP du réexpéditeur », cliquez sur le bouton Ajouter (+) pour ajouter les adresses DNS fournies par le FAI. 9 Cliquez sur Enregistrer, puis cliquez sur Démarrer le DNS.216 Chapitre 9Exemple de configuration Étape 8 :configurez le service DHCP Cette étape permet de configurer un serveur DHCP fournissant des adresses IP dynamiques aux ordinateurs des employés, ainsi que l’identité des serveurs DNS, LDAP et WINS à utiliser. Si la politique de recherche d’un ordinateur client est réglée sur Automatique (à l’aide de l’application Utilitaire d’annuaire sur l’ordinateur client), l’identité des serveurs DNS, LDAP et WINS est fournie en même que temps que les adresses IP. 1 Dans Admin Serveur, assurez-vous que le service DNS est en cours d’exécution. 2 Sélectionnez DHCP dans la liste des services. 3 Cliquez sur Sous-réseaux. 4 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) pour définir la plage d’adresses à attribuer de manière dynamique. Cette plage doit être suffisamment étendue pour accueillir tous les ordinateurs clients, présents et futurs. Veillez à exclure quelques adresses (en début ou en fin de plage) de façon à les réserver aux périphériques nécessitant une adresse IP statique ou aux utilisateurs du VPN. Voici quelques exemples de valeurs :  Masque de sous-réseau : 255.255.0.0  Adresse IP de début de plage : 192.168.0.2  Adresse IP de fin de plage : 192.168.0.102  Interface réseau : en1  Routeur : 192.168.0.1 5 Assurez-vous que la sous-fenêtre DNS contient les valeurs suivantes :  Domaine par défaut : exemple.com  Serveurs de nom : 192.168.0.1 6 Cliquez sur LDAP pour configurer le service DHCP afin d’identifier le serveur que vous configurez comme source d’informations de répertoire pour les clients recevant des adresses IP dynamiques. Le serveur que vous configurez doit être identifié dans le champ Nom du serveur, car vous l’avez configuré comme maître Open Directory lorsque vous avez utilisé Assistant du serveur. Les autres réglages sont facultatifs pour cet exemple. 7 Cliquez sur WINS pour configurer DHCP afin de fournir des paramètres propres à Windows aux clients recevant des adresses IP dynamiques ; indiquez ensuite les valeurs suivantes :  Serveur primaire WINS/NBNS : 192.168.0.1  Type de nœud NBT : Diffusion (nœud-b)Chapitre 9 Exemple de configuration 217 8 Cliquez sur Enregistrer, activez l’interface Ethernet interne, puis cliquez sur Démarrer le DHCP. Étape 9 :configurez le service NAT 1 Dans Admin Serveur, sélectionnez NAT dans la liste des services. 2 Cliquez sur Réglages. 3 Sélectionnez l’interface externe dans le menu local « Interface réseau externe ». 4 Cliquez sur Enregistrer, puis sur Démarrer le NAT. Étape 10 :configurez le service VPN 1 Dans Admin Serveur, sélectionnez VPN dans la liste des services. 2 Cliquez sur Réglages. 3 Activez L2TP via IPSec pour les utilisateurs d’ordinateurs Mac OS X 10.5, les utilisateurs de stations de travail Linux ou UNIX et les utilisateurs de Windows XP. Bien qu’il soit également possible d’utiliser PPTP, L2TP procure plus de sécurité car il exploite le protocole IPSec. 4 Saisissez des adresses IP de début et de fin pour indiquer au serveur VPN la plage qu’il peut attribuer aux clients. Ne reprenez pas les adresses servies par le serveur DHCP. Évitez également celles que vous spécifiez si vous activez le protocole PPTP. 5 Saisissez un secret partagé suffisamment complexe dans le champ « Secret partagé ». Utilisez par exemple des chiffres, des symboles et des caractères en majuscules et en minuscules pour former des combinaisons inhabituelles. La longueur recommandée est de 8 à 12 caractères. 6 Activez le protocole PPTP si les employés nécessitent un accès à l’intranet soit à partir de postes de travail Windows autres que des ordinateurs Windows XP, soit à partir d’ordinateurs Mac OS X 10.2, lorsqu’ils travaillent en déplacement. Pour prendre en charge des clients Windows de versions plus anciennes et non compatibles avec PPTP 128 bits, sélectionnez « Autoriser les clés de cryptage 40 bits, outre celles de 128 bits ». 7 Saisissez des adresses IP de début et de fin pour indiquer au serveur VPN la plage qu’il peut attribuer aux clients. Ne reprenez pas les adresses servies par le serveur DHCP. Évitez également celles que vous avez spécifiées au moment de l’activation du protocole L2TP via IPSec. 8 Cliquez sur Enregistrer, puis cliquez sur Démarrer le VPN.218 Chapitre 9Exemple de configuration Étape 11 :configurez les services de productivité L’infrastructure nécessaire pour configurer les services de fichiers, les services d’impression et d’autres services de productivité est désormais disponible. Suivez les instructions fournies dans les guides d’administration appropriés (dont la liste est présentée à la page 13) pour configurer les services qui vous intéressent. De nombreux services, tels que le service de fichiers Apple, requièrent une configuration minimale. Démarrez-les simplement à l’aide d’Admin Serveur. Étape 12 :créez des comptes utilisateurs et leurs dossiers de départ 1 Ouvrez Gestionnaire de groupe de travail. 2 Si vous ne l’avez pas encore fait, connectez-vous au serveur et authentifiez-vous sous l’identité de l’administrateur que vous avez défini à l’aide de l’Assistant du serveur. Le répertoire LDAP maître Open Directory est modifiable. Vous pouvez ajouter un compte pour chaque employé à ce répertoire maître. 3 Cliquez sur le bouton Nouvel utilisateur. 4 Spécifiez les réglages d’utilisateur dans les différentes sous-fenêtres. Le guide Gestion des utilisateurs vous indique comment configurer tous les attributs des comptes utilisateur, notamment les dossiers de départ. Il explique également comment gérer des utilisateurs en configurant des comptes de groupe et des listes d’ordinateurs, et comment configurer les préférences permettant de personnaliser les environnements de travail des clients Macintosh. Les guides Gestion des utilisateurs et Administration d’Open Directory expliquent comment mettre en place la prise en charge spécifique des utilisateurs de postes de travail Windows. Étape 13 :configurez les ordinateurs clients Les informations suivantes s’appliquent aux ordinateurs Mac OS X 10.5. 1 Si nécessaire, configurez les clients Mac OS X afin qu’ils obtiennent des informations du serveur DHCP. Les ordinateurs Mac OS X 10.5 sont configurés pour obtenir des adresses IP via DHCP et récupérer les informations de répertoire LDAP à partir du serveur DHCP. Une fois que vous avez configuré le service DHCP à l’aide d’informations relatives à un répertoire LDAP, ces informations sont transmises aux clients Mac OS X lorsqu’ils reçoivent leur adresse IP du serveur DHCP. Les réglages suivants sont préconfigurés :  Les préférences Réseau sont définies de façon à exploiter le protocole DHCP. Pour accéder au réglage, ouvrez les Préférences Système, ouvrez les préférences Réseau, sélectionnez l’interface Ethernet interne, puis l’option « Utilisation de DHCP avec une adresse manuelle » ou « Via DHCP » dans le menu local Configurer IPv4.Chapitre 9 Exemple de configuration 219  La politique de recherche de l’ordinateur est réglée pour être définie automatiquement. Pour accéder à ce réglage, ouvrez Utilitaire d’annuaire (dans /Applications/Utilitaires/), puis cliquez sur Authentification. Si le cadenas est fermé, cliquez dessus et authentifiez-vous en tant qu’administrateur. Sélectionnez Automatique dans le menu local Rechercher, puis cliquez sur Appliquer.  La fourniture d’informations LDAP par DHCP est activée. Pour accéder à ce réglage, ouvrez Utilitaire d’annuaire et cliquez sur Services. Si le cadenas est fermé, cliquez dessus et authentifiez-vous en tant qu’administrateur. Sélectionnez LDAPv3 dans la liste des services, puis cliquez sur Configurer. Cliquez sur « Utiliser le serveur LDAP fourni par DHCP », puis sur OK. 2 Configurez les clients Mac OS X afin qu’ils puissent utiliser le serveur VPN. 3 Ouvrez l’application Connexion à Internet (dans /Applications/), puis cliquez sur VPN dans la barre d’outils. 4 Sélectionnez L2TP via IPSec ou PPP, puis cliquez sur Continuer. 5 Dans le menu local Configurations, choisissez Modifier les configurations. 6 Saisissez l’adresse IP externe communiquée par le FAI, les nom et mot de passe de l’utilisateur de l’ordinateur et, si vous avez choisi l’option L2TP via IPSec, le secret partagé. 7 Cliquez sur OK. 221 Annexe Feuille d’opérations avancées de Mac OS X Server Saisissez les réglages du serveur dans les tableaux ci-dessous : Nom du serveur : Élément Description Vos informations Identité du serveur distant pour l’installation et la configuration Pour l’installation et la configuration interactives d’un serveur distant sur le sous-réseau local, l’une de ces valeurs du serveur : - Adresse IP au format IPv4 (000.000.000.000) - Nom d’hôte (serveur.exemple.com) - Adresse MAC (00:03:93:71:26:52) Pour les installations et configurations à partir de la ligne de commande ou d’un sous-réseau distant, l’adresse IP du serveur cible au format IPv4. Mot de passe prédé- fini (pour l’installation et la configuration à distance) Les huit premiers chiffres du numéro de série matériel du serveur cible, imprimé sur une étiquette collée sur l’ordinateur. Pour les anciens ordinateurs ne portant pas ce type de numéro, tapez 12345678. Type d’installation Mise à niveau à partir de la version 10.3.9 ou de la dernière version 10.4, installation complète sans formatage de disque ou installation spéciale. Le volume (partition) cible est effacé lorsque vous effectuez une nouvelle installation. Disque ou partition cible. Nom du disque ou de la partition (volume) cible. Format de disque (lorsque l’effacement du disque est validé) Format du disque cible. Dans la plupart des cas, utilisez Mac OS Étendu (journalisé). Vous pouvez aussi utiliser le format Mac OS étendu ou le format HFS+ sensible à la casse. Partitionnement de disque (lorsque l’effacement du disque est validé) Indiquez si vous souhaitez partitionner le disque cible. La taille minimum recommandée d’une partition de disque cible est de 4 Go.222 Annexe Feuille d’opérations avancées de Mac OS X Server Mise en miroir RAID (lorsque l’effacement du disque est validé et que vous disposez d’un deuxième disque physique sur le serveur cible) Indiquez si vous souhaitez configurer la mise en miroir RAID. Le deuxième disque est utilisé automatiquement si le disque principal n’est pas disponible. Si le disque cible comporte une partition unique et que le deuxième disque physique comporte une partition unique sans aucune donnée, vous pouvez configurer la mise en miroir RAID après l’installation. Cependant, afin d’éviter toute perte de données, configurez la mise en miroir RAID le plus tôt possible. Utilisation de données de configuration enregistrées Si vous voulez utiliser les données de configuration enregistrées pour configurer ce serveur, identifiez le fichier ou le répertoire dans lequel elles sont stockées . Si les données sont chiffrées, identifiez également la phrase secrète. Si vous souhaitez enregistrer des réglages dans un fichier ou un répertoire, utilisez l’une des deux lignes suivantes. Enregistrement des données de configuration dans un fichier Nommez le fichier à l’aide de l’une des options suivantes :  .plist (notez les zéros initiaux mais omettez les deux-points, par exemple, 0030654dbcef.plist) ;  .plist (par exemple, 10.0.0.4.plist) ;  .plist (par exemple, monserveur.plist) ;  .plist (huit premiers caractères, par exemple, ABCD1234.plist) ;  .plist (par exemple, monserveur.exemple.com.plist) ;  .plist (par exemple, 10.0.plist correspond à 10.0.0.4 et 10.0.1.2) ;  générique.plist (fichier que tout serveur reconnaîtra, utilisé pour configurer les serveurs qui nécessitent les mêmes valeurs de configuration). Si vous chiffrez le fichier, vous pouvez enregistrer la phrase secrète dans un fichier nommé selon les conventions ci-dessus, mais utilisez l’extension .pass plutôt que .plist. Placez les fichiers à un emplacement où ils pourront être détectés par le ou les serveurs cibles. Un serveur peut détecter les fichiers qui résident sur un volume monté localement dans/Volumes/*/ Auto Server Setup/, où * correspond à n’importe quel périphérique monté sous /Volumes. Élément Description Vos informationsAnnexe Feuille d’opérations avancées de Mac OS X Server 223 Enregistrement de données de configuration dans un répertoire Accédez au répertoire dans lequel vous souhaitez enregistrer la configuration, puis nommez l’enregistrement de configuration à l’aide d’une des options suivantes :  (par exemple, 10.0.0.4) ;  (par exemple, monserveur) ;  » (par exemple, « Ordinateur de Jean »), mais il peut être modifié à loisir. Le nom d’ordinateur est utilisé pour parcourir les serveurs de fichiers du réseau, les files d’attente d’impression, la détection Bluetooth®, les clients Apple Remote Desktop et toute autre ressource réseau identifiant des ordinateurs par leur nom d’ordinateur plutôt que par leur adresse réseau. Ce nom sert également de base pour le nom d’hôte local par défaut. nom de portIdentifiant unique attribué à un port Fibre Channel. nom DNSNom unique d’un ordinateur, utilisé dans le système DNS (Domain Name System) pour convertir les adresses IP et les noms. Également appelé nom de domaine. NTPInitiales de « Network Time Protocol » (protocole d’horloge réseau). Protocole réseau utilisé pour synchroniser les horloges d’ordinateurs connectés à un réseau avec une horloge de référence donnée. Ce protocole permet de s’assurer que tous les ordinateurs d’un réseau affichent tous la même heure. Open DirectoryArchitecture de services de répertoire Apple, capable d’accéder à des informations autorisées concernant des utilisateurs et des ressources réseau à partir de domaines de répertoire utilisant les protocoles LDAP ou Active Directory, ou des fichiers de configuration BSD et des services de réseau. Open SourceTerme désignant le développement coopératif de logiciels par la communauté Internet. Le principe de base consiste à impliquer le maximum de personnes dans l’écriture et la mise au point du code en publiant le code source et en encourageant la formation d’une large communauté de développeurs qui feront part de leurs modifications et améliorations. ordinateur administrateurOrdinateur Mac OS X sur lequel vous avez installé les applications d’administration du serveur à partir du CD Mac OS X Server Admin. ordinateur invitéOrdinateur ne disposant pas d’un compte d’ordinateur. ouvrir une sessionSignifie démarrer une session sur un ordinateur (généralement en s’authentifiant en tant qu’utilisateur disposant d’un compte sur l’ordinateur) afin d’obtenir des services ou d’accéder à des fichiers. Il est important de faire la distinction entre l’ouverture de session et la connexion, cette dernière impliquant simplement l’établissement d’un lien physique avec l’ordinateur.248 Glossaire paquet d’installationFichier portant l’extension .pkg. Un paquet d’installation contient des ressources pour l’installation d’une application, notamment l’archive, les documents Ouvrez-moi et la licence, ainsi que des scripts d’installation. par défautAction automatique exécutée par un programme à moins que l’utilisateur n’en décide autrement. partitionSous-division de la capacité d’un disque physique ou logique. Les partitions sont constituées de blocs contigus sur le disque. passerelleNœud réseau faisant l’interface entre deux réseaux. Le terme fait souvent référence à un ordinateur assurant le lien entre un réseau local privé et un réseau WAN public, que ce soit avec ou sans NAT (Network Address Translation). Un routeur est un type particulier de passerelle qui relie des segments de réseau associés. période de bailDurée limitée pendant laquelle des adresses IP sont attribuées. L’utilisation de périodes courtes permet au protocole DHCP de réattribuer des adresses IP sur les réseaux comportant plus d’ordinateurs que d’adresses IP disponibles. PHPInitiales de « PHP Hypertext Preprocessor » (à l’origine, acronyme de « Personal Home Page », page d’accueil personnelle). Langage de script incorporé à HTML et utilisé pour créer des pages web dynamiques. point à pointUne des trois topologies physiques que Fibre Channel utilise pour interconnecter des nœuds. La topologie point à point consiste en une seule connexion entre deux nœuds. Voir aussi boucle arbitrée, tissu. point de montageEn diffusion en continu, chaîne utilisée pour identifier un flux en direct tel qu’un flux de séquence vidéo relayé ou non ou un flux MP3. Les points de montage qui décrivent des flux de séquence vidéo en direct se terminent toujours par l’extension .sdp. Point to Point Tunneling ProtocolVoir PPTP. politique de mot de passeEnsemble de règles déterminant la composition et la validité du mot de passe d’un utilisateur. politique de rechercheListe des domaines de répertoire parmi lesquels un ordinateur Mac OS X nécessitant des informations de configuration effectue ses recherches. Également, ordre dans lequel les domaines sont interrogés. Parfois appelée chemin de recherche. portSorte d’emplacement de messagerie virtuel. Un serveur utilise des numéros de port pour déterminer quelle application doit recevoir les paquets de données. Les coupe-feu utilisent des numéros de port pour déterminer si les paquets de données sont autorisés à transiter par un réseau local. Le terme « port » fait généralement réfé- rence à un port TCP ou UDP.Glossaire 249 POSIXInitiales de « Portable Operating System Interface for UNIX ». Famille de normes standard de systèmes UNIX ouverts, permettant d’écrire des applications dans un seul environnement cible au sein duquel elles peuvent être exécutées de manière identique sur un grand nombre de systèmes. PPTPInitiales de « Point to Point Tunneling Protocol ». Protocole de transport réseau utilisé pour les connexions VPN. Il constitue le protocole VPN standard sous Windows et utilise le mot de passe de l’utilisateur pour produire une clé de chiffrement. préférences géréesPréférences du système ou d’application contrôlées par les administrateurs. Gestionnaire de groupe de travail permet aux administrateurs de contrôler les réglages de certaines préférences système pour les clients gérés Mac OS X. privilègesDroit d’accéder à des zones restreintes d’un système ou d’effectuer certaines tâches (telles que les tâches de gestion) du système. processusProgramme en cours d’exécution et qui monopolise une partie de la mémoire. protocoleEnsemble de règles qui déterminent la manière dont les données sont échangées entre deux applications. QTSS PublisherApplication Apple (incluse avec Mac OS X Server) destinée à la gestion de données multimédias et de listes de lecture QuickTime et à la préparation de données en vue de leur diffusion en continu et de leur téléchargement. QuickTime Streaming Server (QTSS)Voir QTSS. RADIUSInitiales de « Remote Authentication Dial-In User Service » (service d’authentification d’utilisateur par connexion à distance). RAIDRedundant Array of Independent (or Inexpensive) Disks. Regroupement de plusieurs disques durs physiques en une matrice de disques, dont le rôle est soit de fournir un accès à débit élevé aux données stockées, soit d’effectuer une copie en miroir des données de façon à ce qu’elles puissent être reconstruites en cas de défaillance de disque, soit les deux. La matrice RAID est présentée au système de stockage en tant qu’unité de stockage logique unique. Voir aussi matrice RAID et niveau RAID. RAID 0Schéma RAID dans lequel les données sont distribuées également sur les segments composant une matrice de disques. RAID 0 accélère le transfert de données, mais n’assure aucune protection des données. RAID 0+1Combinaison de RAID 0 et de RAID 1. Ce schéma RAID est créé en entrela- çant des données sur plusieurs paires de disques en miroir. RAID 1Schéma RAID qui crée une paire de disques en miroir avec des copies identiques des mêmes données. Il fournit un degré élevé de disponibilité des données.250 Glossaire RAID 5Schéma RAID répartissant des données et des informations de parité sur une matrice de disques, un bloc à la fois, chaque disque fonctionnant indépendamment. Cela permet d’obtenir des performances maximales en lecture lors de l’accès à des fichiers volumineux. récursivitéProcessus de conversion complète des noms de domaine en adresses IP. Une requête DNS non récursive permet la référence à d’autres serveurs DNS pour convertir l’adresse. En règle générale, les applications des utilisateurs dépendent du serveur DNS pour effectuer cette fonction, mais les autres serveurs DNS n’ont pas à effectuer de requête récursive. répertoireVoir dossier. répertoire de départVoir dossier de départ. répertoire de départ localVoir dossier de départ local. réseau géréÉléments que les clients gérés sont autorisés à voir quand ils cliquent sur l’icône Réseau d’une fenêtre du Finder. Les administrateurs contrôlent ce réglage à l’aide de Gestionnaire de groupe de travail. Également appelé présentation de réseau. réseau localVoir LAN. ROM de démarrageInstructions de bas niveau utilisées par un ordinateur dans les premières étapes du démarrage. rootCompte qui n’est limité par aucune protection ni restriction sur un système. Les administrateurs système utilisent ce compte pour apporter des modifications à la configuration du système. royaumeTerme général utilisé pour plusieurs applications. Voir royaume WebDAV, royaume Kerberos. royaume KerberosDomaine d’authentification comprenant les utilisateurs et les services enregistrés auprès du même serveur Kerberos. Les utilisateurs et services enregistrés délèguent au serveur Kerberos la vérification de l’identité de chacun. royaume WebDAVPartie d’un site web, généralement un dossier ou un répertoire, défini pour fournir l’accès à des utilisateurs et des groupes WebDAV. SACLInitiales de « Service Access Control List » (liste de contrôle d’accès aux services). Vous permet de spécifier les utilisateurs et les groupes qui ont accès à des services particuliers. Voir ACL. SambaLogiciel open-source fournissant à des clients Windows, via le protocole SMB, l’accès aux fichiers, à l’impression, à l’authentification, à l’autorisation, à la résolution de noms et aux services réseau.Glossaire 251 sauvegardeEnsemble de données stockées à des fins de récupération au cas où la copie originale des données serait perdue ou deviendrait inaccessible. sauvegarderAction consistant à créer une sauvegarde. schémaEnsemble d’attributs et de types d’enregistrements ou de classes servant de plan pour les informations d’un domaine de répertoire. secret partagéValeur définie à chaque nœud d’une connexion VPN L2TP et servant de base de clé de chiffrement pour négocier les connexions d’authentification et de transport des données. Secure Sockets LayerVoir SSL. segmentPartition d’un disque faisant partie d’une matrice RAID. segmenterÉcrire des données sur des segments successifs composant une matrice RAID ou un LUN. Server Message BlockVoir SMB. serveurOrdinateur fournissant des services (service de fichiers, service de courrier électronique ou service Web, par exemple) à d’autres ordinateurs ou périphériques de réseau. serveur autonomeServeur qui fournit des services sur un réseau, mais qui n’obtient pas de services de répertoire auprès d’un autre serveur, ni ne fournit des services de répertoire à d’autres ordinateurs. Serveur d’applicationsLogiciel qui exécute et gère d’autres applications, généralement des applications web accessibles à l’aide d’un navigateur web. Les applications gérées résident sur le même ordinateur que le serveur d’applications. serveur de fichiersOrdinateur chargé de servir des fichiers à des clients. Un serveur de fichiers peut être un ordinateur polyvalent capable d’héberger des applications supplé- mentaires ou un ordinateur capable uniquement de transférer des fichiers. serveur de mots de passeVoir serveur de mots de passe Open Directory. serveur de nomsServeur d’un réseau qui tient à jour une liste des noms de domaines et des adresses IP associées à chaque nom. Voir aussi DNS,WINS. serveur RADIUSOrdinateur du réseau fournissant une base de données centralisée d’informations d’authentification pour les ordinateurs sur le réseau.252 Glossaire service de journal webService Mac OS X Server permettant aux utilisateurs et aux groupes de créer et d’utiliser des blogs de façon sécurisée. Le service de journal web repose sur l’authentification Open Directory pour vérifier l’identité des auteurs et des lecteurs de blogs. En cas d’accès via un site web acceptant le protocole SSL, le service de journal web utilise le chiffrement SSL pour sécuriser davantage l’accès aux blogs. services de répertoireServices fournissant au logiciel système et aux applications un accès uniforme aux domaines de répertoire et à d’autres sources d’informations relatives aux utilisateurs et aux ressources. shellProgramme exécutant d’autres programmes. Vous pouvez utiliser un shell pour communiquer avec l’ordinateur en tapant des commandes à l’invite du shell. Voir aussi interface de ligne de commande. signature numériqueSignature électronique permettant de vérifier l’identité de l’expéditeur d’un message. SLP DAInitiales de « Service Location Protocol Directory Agent ». Protocole qui enregistre les services disponibles sur un réseau et permet aux utilisateurs d’y accéder aisé- ment. Lorsqu’un service est ajouté au réseau, il utilise le protocole SLP pour s’enregistrer. SLP DA utilise un point de dépôt centralisé pour les services réseau enregistrés. SMBProtocole SMB (Server Message Block). Protocole permettant à des ordinateurs clients d’accéder à des fichiers et à des services de réseau. Il peut être utilisé via TCP/IP, Internet ou d’autres protocoles. Les services SMB utilisent ce protocole pour fournir l’accès aux serveurs, aux imprimantes et à d’autres ressources réseau. SMTPInitiales de « Simple Mail Transfer Protocol » (protocole simple de transfert de courrier). Protocole servant à envoyer et à transférer du courrier électronique. Sa capacité à mettre les messages entrants en file d’attente est limitée. SMTP n’est donc géné- ralement utilisé que pour envoyer des messages, tandis que le protocole POP ou IMAP est utilisé pour recevoir des messages. SNMPInitiales de « Simple Network Management Protocol » (protocole simple de gestion de réseau). Ensemble de protocoles standard utilisés pour gérer et contrôler des périphériques réseau multiplateformes. sous-domaineParfois appelé nom d’hôte. Partie du nom de domaine d’un ordinateur sur Internet. N’inclut pas l’indicateur de domaine ou de domaine de premier niveau (par exemple .com, .net, .fr, .be). Le nom de domaine « www.exemple.com » est constitué du sous-domaine « www », du domaine « exemple » et du domaine de premier niveau « com ». sous-répertoireRépertoire appartenant à un autre répertoire.Glossaire 253 sous-réseauRegroupement, sur un même réseau, d’ordinateurs clients organisés par emplacement (par exemple, selon les différents étages d’un bâtiment) ou par emploi des ressources (par exemple, tous les étudiants en classe de seconde). L’utilisation des sous-réseaux simplifie l’administration du réseau global. Voir aussi sous-réseau IP. sous-réseau IPPartie d’un réseau IP, éventuellement un segment de réseau physiquement indépendant, partageant une adresse réseau avec d’autres parties du réseau et identifiée par un numéro de sous-réseau. SpotlightMoteur de recherche complet servant à effectuer des recherches parmi vos documents, vos images, vos séquences vidéo, vos documents PDF, vos messages électroniques, vos événements de calendrier et vos préférences système. Il permet de rechercher un élément d’après le texte qu’il contient, son nom de fichier ou des informations qui lui sont associées. SSLInitiales de « Secure Sockets Layer » (couche sécurisée pour sockets réseau). Protocole Internet permettant d’envoyer des informations authentifiées et chiffrées à travers Internet. Les versions les plus récentes de SSL sont connues sous le nom de TLS (Transport Level Security). système de fichiersSchéma de stockage de données sur des périphériques de stockage et qui permet aux applications de lire et d’écrire des fichiers sans s’occuper de détails de niveau inférieur. TCPInitiales de « Transmission Control Protocol » (protocole de contrôle des transmissions). Méthode utilisée conjointement avec le protocole IP (Internet Protocol) pour envoyer des données, sous la forme d’unités de message, d’un ordinateur à un autre à travers Internet. Le protocole IP gère la livraison effective des données, tandis que le protocole TCP assure le suivi des unités de données (chaque message est divisé en unités, appelées « paquets », qui permettent leur acheminement efficace sur Internet). téraoctetVoir To. texte clairTexte n’ayant pas été chiffré. texte en clairDonnées non chiffrées. ToTéraoctet. 1 099 511 627 776 (2 40 ) octets. tousTout utilisateur pouvant ouvrir une session sur un serveur de fichiers : un utilisateur enregistré ou un invité, un utilisateur FTP anonyme ou encore un visiteur de site web. transfert de zoneMéthode selon laquelle les données d’une zone sont répliquées (copiées) sur des serveurs DNS d’autorité. Les serveurs DNS esclaves demandent des transferts de zone à leurs serveurs maîtres afin d’en acquérir les données.254 Glossaire tunnelingTechnologie permettant à un protocole de réseau d’envoyer ses données en adoptant le format d’un autre protocole. type d’enregistrementCatégorie particulière d’enregistrements, faisant référence, par exemple, à des utilisateurs, des ordinateurs et des montages. Un domaine de répertoire peut contenir un nombre différent d’enregistrements pour chaque type d’enregistrements. URLInitiales de « Uniform Resource Locator » (localisateur uniforme de ressources). Adresse d’un ordinateur, d’un fichier ou d’une ressource, accessible à travers un réseau local ou Internet. L’URL se compose du nom du protocole nécessaire pour accéder à la ressource, d’un nom de domaine identifiant un ordinateur particulier sur Internet et d’une description hiérarchique de l’emplacement d’un fichier sur l’ordinateur. utilisateur invitéUtilisateur autorisé à ouvrir une session sur un serveur sans nom d’utilisateur et mot de passe. Utilitaire d’images de réseauUtilitaire fourni avec le logiciel Mac OS X Server, permettant de créer des images disque pour les services NetBoot et Installation en réseau. Les images disque peuvent contenir le système d’exploitation Mac OS X, des applications ou les deux. Virtual Private NetworkVoir VPN. volumeAllocation d’unité de stockage montable, qui se comporte, du point de vue du client, comme un disque dur local, une partition de disque dur ou un volume réseau. Dans Xsan, les volumes sont composés d’une ou de plusieurs réserves de stockage. Voir aussi disque logique. VPNvirtual private network. Réseau utilisant le chiffrement et d’autres technologies pour assurer des communications sécurisées à travers un réseau public, généralement Internet. Les VPN sont de façon générale moins chers que les réseaux privés réels à lignes privées, mais ils reposent sur l’utilisation du même système de chiffrement aux deux extrémités. Le chiffrement peut être assuré par un logiciel de coupe-feu ou par des routeurs. WANInitiales de « Wide area network » (réseau étendu). Réseau maintenu au sein d’établissements géographiquement distincts, contrairement à un réseau LAN (réseau local) qui est limité à un établissement. Votre interface WAN correspond généralement à celle qui est connectée à Internet. WebDAVWeb-based Distributed Authoring and Versioning. Environnement de création en direct permettant à des utilisateurs clients de prendre des pages web, de les modifier, puis de les rendre à leur site d’origine sans interruption de ce dernier. wide area networkVoir WAN.Glossaire 255 wikiSite web permettant à des utilisateurs de modifier des pages de façon collaborative et d’accéder aisément aux pages précédentes à l’aide d’un navigateur web. Windows Internet Naming ServiceVoir WINS. WINSInitiales de « Windows Internet Naming Service » (service de noms Internet pour Windows). Service de résolution de noms utilisé par les ordinateurs Windows pour faire correspondre le nom des clients aux adresses IP. Un serveur WINS peut se trouver sur un réseau local ou à l’extérieur sur Internet. zone de réexpéditionZone DNS ne conservant aucune donnée et chargée de réexpé- dier les requêtes DNS vers une autre zone. zone esclaveEnregistrements de la zone DNS conservés par un serveur DNS secondaire. Une zone esclave reçoit ses données par le biais de transferts de zone depuis la zone maîtresse du serveur DNS principal. zone maîtresseEnregistrements de la zone DNS conservés par un serveur DNS principal. Une zone maîtresse est répliquée par des transferts de zone à des zones esclaves sur des serveurs DNS secondaires. 257 Index Index A accès installation à distance91 LDAP22 listes de contrôle d’accès61 listes de contrôle d’accès (ACL)80 listes de contrôle d’accès à un service (SACL)80, 81 restrictions en matière d’adresses IP58 utilisateur162, 165 utilitaire Trousseau d’accès72 Voir aussi autorisations ACL (listes de contrôle d’accès)61 administrateur79, 80, 81, 168, 169 Admin RAID195 Admin Serveur authentification42, 43, 68, 157 certificats68, 166 contrôle de l’accès165 et la création d’images système53 état du serveur199 gestion des services164 outil d’administration157 ouverture42, 43, 68, 157 personnalisation45 système de notification198 vue d’ensemble11, 42, 43, 68 adressage IPv623 adresse IP modification de l’adresse IP du serveur162 adresses. Voir adresses IP adresses IP et coupe-feu<>coupe-feu89 changement de serveur33 installation d’un serveur distant91, 107 restriction d’accès58 serveurs sur des sous-réseaux différents124 vue d’ensemble23 agrégation de liens184, 185, 186, 187, 189 aide, utilisation12 Apple Remote Desktop (ARD)56, 161, 208 archivage des données d’un serveur35, 39 ARD. Voir Apple Remote Desktop asr outil39, 94 Assistant du serveur45, 109, 117, 123 Assistant réglages de passerelle175 authentification Admin Serveur42, 43, 68, 157 Gestionnaire de groupe de travail170 Kerberos22, 64, 123 mots de passe63, 84, 107 MS-CHAPv2120 Open Directory63 RADIUS21, 22, 64, 175 SASL63 serveur autonome122 services de trousseau176 signature unique64 SSH à base de clés77, 78 et TLS60 utilisateurs63, 65, 78, 120 vue d’ensemble63 Voir aussi certificats authentification à base de clés77, 78 authentification MS-CHAPv2120 authentification par signature unique64 autorisation63 Voir aussi authentification autorisations administrateur79, 80, 168, 169 dossiers61 fichiers61 liste de contrôle d’accès à un service (SACL)81 types61 autorité de certificat (AC)258 Index création71 création de certificats provenant d’une73 demande de certificats à une69, 70, 71, 73 distribution à des clients75 introduction67 vue d’ensemble67 Voir aussi ICP B Berkeley Software Distribution. Voir BSD BSD (Berkeley Software Distribution)24 C certificat racine71 certificats et Admin Serveur68, 166 auto-signés68, 71, 75 clés privées66 clés publiques66 création71, 73 demande69, 70 gestion75 identités68 importation74 modification75 préparation69 racine71 renouvellement76 et services77 suppression76 vue d’ensemble65, 67 certificats auto-signés68, 71, 75 certificats d’identité. Voir certificats certificats de clé publique. Voir certificats changeip outil33 chiffrement60, 61, 62, 66, 134 Voir aussi SSL clé privée66, 68 clients certificats75 comptes de groupe172 journalisation côté client208 et NetBoot28 Voir aussi utilisateurs collecte de données historiques193 comptes. Voir comptes utilisateur; Gestionnaire de groupe de travail comptes de groupe172 comptes mobiles161 comptes utilisateur authentification65 configuration146 gérés, préférences de172 gestion de171 groupe172 mobiles161 mots de passe63 Voir aussi utilisateurs configuration agrégation de liens187 authentification63 automatique128, 135, 136, 137, 140 avancée19, 20, 122 configuration par lots pour plusieurs serveurs127 connexion au répertoire121, 122 connexion au réseau118, 186, 187 contrôle de l’état143, 144 dépannage143, 144 DHCP89, 122 enregistrement des données de configuration130, 132, 133, 134, 136, 137, 140 Ethernet118 exemple209 feuille d’opérations221 historiques144 infrastructure de serveurs31 interactive123, 124, 125, 127 introduction18, 117 Open Directory119, 120, 121, 122, 135, 140, 145 report117 serveur autonome120 serveur distant123, 125, 127 services145, 146, 147, 148, 149, 150, 151, 175 SSL166 transmission des fichiers de données de configuration aux serveurs134, 135 types de117, 163 types de serveur18 vue d’ensemble des réglages119 configuration matérielle requise87, 88, 103 configuration requise environnement d’exploitation183 infrastructure30, 31 logiciels87, 89 matériel17, 32, 87, 88, 103 configuration requise en matière d’infrastructure30, 31 configuration requise en matière d’infrastructure matérielle30 configuration requise pour l’environnement d’exploitation183 Console196 Contrôle de serveur51, 195 contrôle en temps réel193 copies complètes au niveau du fichier36 copies de sauvegarde fichiers critiques176 courrier électronique. Voir service de messagerie cryptographie à clé publique77Index 259 CSR (demande de signature de certificat)69, 70, 71, 73 D Darwin (système d’exploitation principal)24 Demande de signature de certificat. Vo démon launchd39, 191 démons, vue d’ensemble191 démon slapd207 démon snmpd201 dépannage du serveur143, 144 df , outil196 diffusion, configuration150 diffusion de données en continu21, 28, 54, 150, 177 diskspacemonitor, outil197 diskutiloutil101, 104, 106 disques effacement de l’espace libre105 gestion à partir de la ligne de commande196 gestion via la ligne de commande101, 106 mise en miroir102 outils de contrôle196 partitions93, 100, 101, 103, 105 préparation de l’installation98, 99, 100, 101, 102, 103, 104, 105 quotas28 Voir aussi RAID dittooutil39 documentation13, 14, 15 domaine de répertoire local, serveur autonome122 domaine de répertoire partagé22, 120 domaines, répertoire21, 89 Voir aussi Open Directory Domain Name System. Voir DNS données, diffusion en continu. Voir diffusion de données en continu dossiers28, 61, 161 dossiers de départ28, 161 du , outil196 DVD, installation92 Dynamic Host Configuration Protocol. Voir DHCP E emond, démon204 ensemble RAID concaténé103 entrelacement102 équilibrage de la charge190 Ethernet60, 118, 187 exportation de réglages de service165 F fichiers configuration206 considérations en matière de stockage28 copies complètes au niveau du fichier36 de sauvegarde176 données de configuration130, 132, 136, 137 sauvegarde34, 38 secret partagé66 sécurité61, 62 fichiers de configuration php179 fichiers de secret partagé66 File Transfer Protocol. Voir FTP FileVault62 FTP (File Transfer Protocol)23 G Gestionnaire de certificats68, 74 Gestionnaire de groupe de travail administration de comptes171 authentification170 ouverture46, 170 personnalisation48, 174 vue d’ensemble46, 47 vue d’ensemble de l’administration170 groupe de travail, type de configuration18 Groupes158, 159, 165, 169, 171 Growl, application208 H HFS+J, volume99 HFSX, volume99 historiques contrôle196, 204, 205, 207, 208 dépannage de la configuration144 services web179 I ICP (infrastructure à clé publique)60, 65, 66 image complète, type de sauvegarde35 images. Voir images disque; NetBoot; NetInstall images disque chiffrement62 installation avec28 installation avec des53, 94, 97 importation certificats74 réglages de service165 infrastructure à clé publique. Voir ICP Inspecteur174 installation accès à distance88, 91, 106, 109 à partir de versions antérieures du système d’exploitation85, 88 à partir de versions de système d’exploitation antérieures26, 29 collecte des informations88 configuration des services réseau89 configuration requise87, 88 configuration requise en matière d’30260 Index configuration requise en matière d’infrastructure31 connexions aux répertoires89 démarrage pour90, 92, 93, 97 disque d’installation du serveur89 identification des serveurs106 avec images disque28, 53, 94, 97 interactive107, 109, 111 logiciel serveur90, 112 méthode de la ligne de commande112 mise à jour115 mise à niveau115 modification du nom d’hôte162 ordinateur administrateur88 planification25, 26, 27, 28, 29, 30 préparation du disque98, 99, 100, 101, 102, 103, 104, 105 report de la configuration117 stratégie d’intégration30 sur plusieurs serveurs114 vue d’ensemble85 instantanés, données36 Interfaces réseau161 J journalisation, système de fichiers99 K KDC (Kerberos Key Distribution Center). Voir Kerberos Kerberos22, 64, 123 L LACP (Link Aggregation Control Protocol)185 launchctl outil192 LDAP (Lightweight Directory Access Protocol)22 lecteurs. Voir disques Link Aggregation Control Protocol. Voir LACP liste de contrôle d’accès à un service (SACL)80, 81 listes d’ordinateurs171, 172 listes de contrôle d’accès (ACL)80 listes de contrôle d’accès à un service. Voir SACL M MAC (Media Access Control), adresses60, 106 Mac OS X administration depuis155, 175 considérations en matière d’installation88 mise à niveau à partir de115 Mac OS X Server configuration120 configuration requise17 introduction17, 18 normes standard prises en charge21 outils d’administration41 stratégie d’intégration30 et UNIX24 Voir aussi configuration; installation maître Open Directory89 matériel, configuration requise17, 32 migration26, 29, 30 Mise à jour de logiciels115 Mise à jour de logiciels, service149 mise à niveau à partir de Mac OS X115 à partir de versions de serveur antérieures26, 29 et données de configuration enregistrées130 comparaison avec la migration26, 30 mise en miroir, disque102 modules open source PHP179 modules open-source Kerberos22, 64, 123 OpenLDAP22 OpenSSL60 Voir aussi Open Directory mots de passe63, 84, 107 N Nagios, application208 NAT (Network Address Translation)177 NetInstall53, 97 Network Address Translation. Voir NAT Network File System. Voir Network Time Protocol. Voir NTP NFS (Network File System)23 niveau d’autorisation Contrôler168 nom d’hôte local119, 161 modification162 nom d’ordinateur161 nom de l’ordinateur119 NTP (network time protocol)161 numéro de série, serveur92 O Open Directory authentification63 configuration119, 120, 121, 122, 135, 140, 145 et les listes de cont80 historiques207 vue d’ensemble21 Open Directory, réplique123, 183 OpenLDAP22 OpenSSL60 ordinateur administrateur88, 154, 155, 156 ordinateurs, administrateur88, 154, 155, 156 ordinateurs client et NetBoot28 ordinateurs portables161 outil renifleur de paquets Ethereal198Index 261 outils de ligne de commande administration de serveur54 et autorisations169 contrôle de démon191 contrôle de l’espace disque196 effacement de disques106 installation du logiciel serveur112 outils de restauration39 outils de sauvegarde39 partitionnement de disques101 ouverture de session, authentification77, 78 P PackageMaker53 paquets de données, filtrage58 partage de fichiers146, 167 partitions, disque93, 100, 101, 103, 105 Podcast Producer150 points de défaillance uniques180 points de partage61, 167 Portable Operating System Interface. Voir POSIX ports état154 Ethernet118 liste de154 TCP77 POSIX (Portable Operating System Interface)61 préférences172 préférences Date et heure161 préférences gérées, définition172 préréglages172 privilège, administrateur80, 168, 169 privilèges, administrateur Voir aussi autorisations procédures de configuration. Voir configuration; installation programme d’installationoutil112, 114 Property List Editor53 protocoles service de fichiers23, 208 service réseau31, 89, 122, 161, 162 vue d’ensemble23 Voir aussi protocoles spécifiques Q QuickTime Streaming Server (QTSS)21, 54, 177 quotas, espace disque28 R RADIUS (Remote Authentication Dial-In User Service)21, 22, 64, 175 RAID (matrice redondante de disques indépendants)29, 102, 103, 104 redémarrage, automatique182 Remote Authentication Dial-In User Service. Voir RADIUS répertoire, domaines121, 122 répertoire, domaines de174 répertoire, vue d’ensemble49, 50 répertoires. Voir services de répertoire; domaines, répertoire; dossiers réplication64 réplique Open Directory64 répliques123, 183 réseau ordinateur-commutateur186 réseau ordinateur-ordinateur186 réseau ordinateur-paire de commutateurs187 réseaux , outils de contrôle197, 201, 202, 203 configurations de connexions118, 186, 187 connexion initiale à la configuration du serveur118 environnement pour l’installation86 Ethernet60, 118, 187 sécurité58, 59, 60, 61 restauration, données34, 37 rsync outil39 S SASL (Simple Authentication and Security Layer)63 sauvegardes considérations en matière de politique34, 38 données de configuration du serveur133, 134 outils de ligne de commande39 planification36 schéma de rotation37 types35 types de support38 validation38 sauvegardes incrémentales36 Secure SHell. Voir SSH Secure Sockets Layer. Voir SSL Secure VM62 sécurité administrateur79, 80, 168, 169 au niveau du service80, 81 autorisation63 fichier61, 62 installation90 physique57 pratiques d’excellence81 réglages166 réseau58, 59, 60, 61 SASL63 service de coupe-feu58, 59, 89, 177 SSH77, 78, 91, 92, 161, 176 SSL60, 65, 66, 68, 166 TLS60 vue d’ensemble57262 Index Voir aussi accès; authentification; certificats; SSL Server Message Block, protocole. Voir SMB serveur autonome120, 122 serveur d’horloge161 serveurs ajout157 autonomes120, 122 configuration requise en matière d’infrastructure30, 31 considérations en matière de déplacement33 démarrage90, 97 dépannage143, 144 équilibrage de la charge190 exemple209 feuille d’opérations de configuration221 groupes de158, 159 horloge161 numéros de série des92 outils d’administration41, 42, 54, 55, 153, 156 outils de fiabilité180, 181, 182, 183, 184, 185, 187, 189 réglages de base119, 159 suppression157 surveillance de l’état193, 194, 195, 196, 197, 198, 199 Voir aussi configuration; installation; serveurs distants serveurs de réserve configuration avancée20 serveurs distants accès91 Apple Remote Desktop56, 161, 208 configuration123, 125, 127 identification106 installation à partir de ou sur88, 91, 106, 109 serveurs LDAPv364 service AFP (Apple Filing Protocol)23, 208 service d’images système149 Service d’impression147 service de calendriers. Voir service iCal service de conversation. VoiriChat service de coupe-feu58, 59, 89, 177 service de journal web180 service de messagerie21, 22, 149, 175, 177 service DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol)31, 89, 122 service DNS (système de noms de domaine)31, 89 service iCal151, 176 Service iChat20, 151, 176 service MySQL179 service NetBoot28, 53, 97 services configuration145, 146, 147, 148, 149, 150, 151, 175 contrôle de l’accès162, 165 exportation de réglages165 gestion de175 importation de réglages165 planification pour la distribution28 sécurité77, 80, 81 visualisation162, 164 Voir aussi services spécifiques services de fichiers20, 23, 146, 208 services de répertoire et configuration automatique132, 135, 140 configuration avancée122 domaines de répertoire21, 89, 121, 122, 174 historiques207 planification28 Voir aussi Open Directory services de trousseau176 services réseau configuration149 DHCP31, 89, 122 DNS31, 89 installation89 NAT177 NTP161 planification31 réseau local virtuel59 VPN123 Voir aussi adresses IP services web20, 21, 148, 179 service Xgrid 220, 176 signature numérique166 Simple Network Management Protocol. Voir SNMP SMB (Server Message Block)23 SNMP (Simple Network Management Protocol) outil de contrôle201, 202, 203 définition24 réglages161 sous-réseaux118, 124 SSH (Secure Shell Host)77, 78, 91, 92 SSH (secure Shell host)161, 176 SSL (Secure Sockets Layer)60, 65, 66, 68, 166 standard, type de configuration18 syslog, fichier de configuration205 syslogd, démon204 système de notification51, 161, 176, 198, 204 Voir aussi historiques systèmes de fichiers données de configuration134 sauvegarde39 sélection99 Voir aussi volumes T TCP (Transmission Control Protocol)58, 77 tcpdump, outil197 technologies web23 Time Machine39Index 263 TLS (Transport Layer Security), protocole60 Transmission Control Protocol. Voir TCP Transport Layer Security, protocole. Voir TLS Trousseau d’accès, utilitaire72 U UDP (User Datagram Protocol)58 UNIX24 UPS (alimentation sans interruption)181, 182 User Datagram Protocol, protocole. Voir UDP utilisateurs accès administratif pour79, 80, 168, 169 authentification63, 65, 78, 120 autorisations169 certificats67 contrôle de l’accès162, 165 dossiers de départ28, 161 gestion171 groupes165, 169, 171 quotas relatifs à l’espace disque28 et répertoire49 Windows29, 63 Voir aussi clients; comptes utilisateur; Gestionnaire de groupe de travail utilisateurs Windows29 Utilitaire d’annuaire51 Utilitaire d’images de système53 utilitaire de disque62, 101, 103, 105 utilitaire UNIX srm63 V Vider la Corbeille en mode sécurisé63 virtual private network. Voir VPN VLAN (Virtual Local Area Network)59 VNC (Virtual Network Computing)87, 91, 111, 114 volumes démarrage90, 97 données de configuration134 effacement105, 106 et le partitionnement100, 101 pris en charge99 RAID102, 103 sauvegarde39 VPN (virtual private network)123 W WebObjects, serveur d’applications150 widget Dashboard d’état du serveur194 wikis180 Windows, utilisateurs63 Windows NT30 X Xgrid Admin55 Xsan20 Xserve et Contrôle de serveur51 et fiabilité du serveur181, 182 instructions d’installation du matériel88 prise en charge des réseaux locaux virtuels59 Z zone démilitarisée, réseau59 Mac OS X Server Premiers contacts Pour la version 10.3 ou ultérieureK Apple Computer, Inc. © 2003 Apple Computer, Inc. Tous droits réservés. Le propriétaire ou l'utilisateur autorisé d'un exemplaire enregistré du logiciel Mac OS X Server peut reproduire cette publication aux fins d'apprentissage du logiciel. Toute reproduction ou diffusion d'un extrait de cette publication à des fins commerciales, telle que la vente de reproductions ou la fourniture de services à titre onéreux, est interdite. Tout a été mis en œuvre pour que les informations contenues dans ce manuel soient exactes. Apple Computer, Inc., n'est pas responsable des erreurs d'impression ou de typographie. Le logo Apple est une marque d'Apple Computer Inc. déposée aux États-Unis et dans d'autres pays. L'utilisation de ce logo à des fins commerciales via le clavier (Option-G) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Apple, le logo Apple, AirPort, AppleScript, AppleShare, AppleTalk, ColorSync, FireWire, iMac, Keychain, Mac, Macintosh, Power Mac, Power Macintosh, QuickTime, Sherlock, WebObjects et Xserve sont des marques d'Apple Computer, Inc., déposées aux États-Unis et dans d'autres pays. eMac, Extensions Manager, Finder et iPod sont des marques d'Apple Computer, Inc. Adobe et PostScript sont des marques d'Adobe Systems Incorporated. Java et tous les logos et marques Java sont des marques de Sun Microsystems, Inc. déposées aux États-Unis et dans d'autres pays. Netscape Navigator est une marque de Netscape Communications Corporation. RealAudio est une marque de Progressive Networks Inc. UNIX est une marque déposée aux États-Unis et dans d'autres pays, sous licence exclusive de X/Open Company Ltd. Remarque : Apple améliore continuellement les performances et le design de ses produits. Il se peut que certaines illustrations de ce manuel soient légèrement différentes de votre version du logiciel. F022-1318-A 3 1 Table des matières Préface 9 À propos de ce guide 9 Nouveautés de la version 10.3 9 Performance et évolutivité supérieures 10 Configuration, gestion et contrôle améliorés 11 Services de réseau et de répertoires enrichis 12 Intégration Windows perfectionnée 13 Nouvelles fonctions de gestion des groupes de travail et du bureau 13 Contenu du guide 13 Partie I : Introduction à Mac OS X Server 13 Partie II : Installation et configuration initiale 13 Glossaire 14 Informations complémentaires Partie I Introduction à Mac OS X Server Chapitre 1 19 Fonctionnement de Mac OS X Server 20 Entreprises 21 Établissements d'enseignement supérieur 22 Ateliers et classes K-12 24 PME/PMI 25 Clusters informatiques 26 Environnements créatifs 27 Fournisseurs de services Web Chapitre 2 29 Services de Mac OS X Server 29 Services du noyau 30 Open Directory 30 Utilisation de répertoires Apple 31 Utilisation d'autres répertoires 31 Politiques de recherche 31 Authentification 32 Signature unique4 Table des matières 32 Détection de services de réseau 33 Gestion des utilisateurs 33 Comptes d'utilisateur 33 Comptes de groupe 33 Répertoires de départ 33 Gestion des utilisateurs Macintosh 34 Gestion des utilisateurs Windows 35 Services d'images système 35 NetBoot 35 Installation en réseau 36 Services de fichiers 36 Partage 37 Service de fichiers Apple 37 Services Windows 38 Service NFS 38 FTP (File Transfer Protocol) 39 Service d'impression 39 Service Web 40 Service de courrier 40 Services de réseau 41 DHCP 41 DNS 42 Coupe-feu 42 NAT 43 VPN 43 IP failover 43 Diffusion de contenu multimédia 44 Gestion des serveurs d'applications 44 Apache Tomcat 45 JBoss 45 WebObjects 45 Intégration dans des environnements existants 46 Haute disponibilité 46 Administration de serveur Chapitre 3 47 Administration du serveur 47 Utilisation des outils d'administration 48 Ordinateurs permettant d'administrer un serveur 49 Configuration d'un ordinateur administrateur 49 Administration au moyen d'un ordinateur non Mac OS X 50 Programme d'installation 50 Assistant du serveur 50 Format de répertoireTable des matières 5 51 Gestionnaire de groupe de travail 51 Ouverture de Gestionnaire de groupe de travail et authentification 52 Utilisation du Gestionnaire de groupe de travail 56 Admin Serveur 56 Ouverture de l'application Admin Serveur et authentification 57 Utilisation de l'application Admin Serveur 60 Administration des images système 60 Contrôle de serveur 61 Administration des diffusions multimédias 61 Apple Remote Desktop 62 Utilitaires de ligne de commande 62 Gestionnaire Macintosh 62 Utilisation de serveurs version 10.2 à partir de serveurs version 10.3 Partie II Installation et configuration initiale Chapitre 4 65 Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration 65 Planification 66 Installation du logiciel serveur 66 Installation locale à partir des disques d'installation du serveur 67 Installation à distance à partir des disques d'installation du serveur 68 Automatisation de l'installation de serveurs avec une image disque 69 Configuration initiale du serveur 70 Configuration interactive des serveurs 71 Automatisation de la configuration du serveur 74 Configuration des services 74 Rester à jour Chapitre 5 75 Avant de commencer 75 Mise en place d'une équipe de planification 76 Identification des serveurs à mettre en place 76 Chois des services à héberger sur chaque serveur 78 Définition d'une stratégie de migration 78 Définition d'une stratégie d'intégration 79 Définition de la configuration de l'infrastructure matérielle 79 Infrastructures de configuration du serveur 80 Vérification de la disponibilité du matériel nécessaire 81 Définition de la stratégie d'installation et de configuration à utiliser 81 Recherche et organisation des informations Chapitre 6 83 Installation du logiciel serveur 83 Configuration système requise pour l'installation de Mac OS X Server6 Table des matières 84 Informations préalables 84 Mise à jour depuis la version 10.1 ou 10.2 85 Préparation des disques pour l'installation de Mac OS X Server 86 Instructions matérielles pour l'installation de Mac OS X Server 86 Identification du serveur distant lors de l'installation de Mac OS X Server 86 Installation interactive du logiciel serveur depuis les disques d'installation 87 Utilisation du programme d'installation pour une installation locale depuis les disques d'installation 88 Utilisation de l'application Assistant du serveur pour une installation à distance depuis les disques d'installation 89 Installation du logiciel serveur sur un ordinateur avec Mac OS X version 10.3 préinstallé 90 Automatisation de l'installation du logiciel serveur avec une image disque 90 Installation du logiciel serveur à l'aide de l'outil de ligne de commande installer 92 Installation de logiciels serveur en option Chapitre 7 93 Configuration initiale du serveur 94 Informations nécessaires 94 Enregistrement des données de configuration 98 Spécification de l'utilisation initiale d'Open Directory 101 Utilisation de la configuration interactive de serveur 101 Configuration interactive d'un serveur local 102 Report de la configuration de serveur local après l'installation 102 Configuration interactive d'un serveur distant 103 Configuration interactive d'un lot de serveurs distants 105 Configuration interactive de plusieurs serveurs distants tour à tour 106 Utilisation de la configuration automatique de serveur 106 Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un fichier 109 Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un répertoire 112 Détermination de l'état des configurations 112 Configuration des services 113 Configuration d'Open Directory 113 Configuration de la gestion des utilisateurs 113 Configuration des services de fichiers 114 Configuration du service d'impression 115 Configuration de service Web 115 Configuration du service de courrier 116 Configuration de services réseau 116 Configuration des services d'image système 116 Configuration de l'enchaînement et de la diffusion de données 116 Configuration d'un serveur d'applicationsTable des matières 7 Annexe A 117 Feuille de travail de Mac OS X Server Annexe B 127 Exemple de configuration 127 Mac OS X Server dans une petite entreprise 128 Configuration du serveur Glossaire 135 Index 145 9 Préface À propos de ce guide Ce guide est un outil d'orientation parmi les fonctions de Mac OS X Server version 10.3 et les étapes de sa configuration initiale. Il a pour but de vous aider à préparer votre serveur à répondre aux besoins de vos utilisateurs et de votre entreprise. Nouveautés de la version 10.3 Mac OS X Server version 10.3 s'appuie sur les fonctions, qui ont fait le succès de la version 10.2, en les enrichissant de perfectionnements majeurs dans les domaines suivants : • Performance et évolutivité • Configuration, gestion et contrôle • Services de répertoires et de réseau • Intégration Windows • Gestion des groupes de travail et du bureau Performance et évolutivité supérieures Les perfectionnements apportés à Mac OS X Server dans sa version 10.3 en termes de performance et d'évolutivité permettent d'améliorer des services réseau clé. Ces perfectionnements comprennent : • Darwin 7. Mac OS X Server version 10.3 intègre Darwin 7, dernière version du système d'exploitation Apple en code libre basé sur UNIX. Darwin continue à exploiter et à capitaliser les dernières avancées en provenance de la communauté “open source”. S'inspirant largement du code très stable de FreeBSD 4.4, Darwin 7 inclut également certains des derniers perfectionnements de FreeBSD 5. • Performance accrue. Pour des services réseau et systèmes de fichiers améliorés, Mac OS X Server version 10.3 gère désormais les entrées/sorties (E/S) asynchrones, les systèmes de fichiers jusqu'à 16 To et les trames étendues (Jumbo Frames) pour les paquets Ethernet volumineux. Le système de fichiers par défaut est désormais HFS+ avec journalisation et une nouvelle option de respect des différences de casse pour HFS+ facilite la compatibilité avec les applications UNIX patrimoniales sur Mac OS X Server. 10 Préface À propos de ce guide • Optimisé pour le G5. Mac OS X Server version 10.3 gère les systèmes Apple G5. Bénéficiant des performances accrues et de la vitesse d'horloge du processeur 64 bits ultra-rapide, Mac OS X Server permet également aux utilisateurs de tirer parti des capacités avancées de l'architecture G5, telles que les calculs double précision en natif (64 bits) et la possibilité de gérer jusqu'à 4 Go de mémoire physique. Configuration, gestion et contrôle améliorés La facilité d'utilisation et la simplicité continuent de faire de Mac OS X l'outil de choix pour le déploiement et la maintenance de solutions serveur en code libre. La version 10.3 intègre les améliorations suivantes : • Configuration automatique. La configuration automatique permet de configurer des ensembles complets de serveurs aussi aisément que s'il s'agissait d'un seul serveur. Cette nouvelle fonction puissante permet de configurer les services réseau et services par défaut à partir de paramètres de configuration stockés sur un serveur de répertoires, une unité de sauvegarde externe FireWire, USB, ou même un iPod. Lors du premier démarrage des systèmes Mac OS X Server, ceux-ci recherchent automatiquement ces informations de configuration sur les disques durs disponibles et dans le serveur de répertoires. En l'espace de quelques secondes, le serveur localise les données de configuration sauvegardées et se configure automatiquement. • Nouvelle application Admin Serveur. Les outils d'administration de serveur distant de Mac OS X Server ont été fusionnés et enrichis dans la version 10.3. Admin Serveur offre une administration intégrée des services et gère désormais OpenLDAP, DNS, NAT, VPN, Serveur Enchaînement QuickTime, NTP et SNMP. La nouvelle application Admin Serveur est dotée d'une interface à fenêtre unique pour la gestion et le contrôle de l'intégralité de vos services réseau : • Vous pouvez activer et désactiver les services à l'aide d'un seul bouton, modifier les réglages, visualiser les historiques et graphiques d'activité en temps réel, contrôler l'espace disque et même surveiller l'activité du réseau et de l'unité centrale (UC). • La gestion multiple de serveurs depuis une fenêtre Serveur Admin unique est aisée et vous pouvez même reproduire les configurations de services par un simple glisser-déposer d'un serveur à l'autre. • Utilitaire d'images de réseau amélioré. Le nouvel Utilitaire d'images de réseau facilite la création, la modification et l'ajout de paquets aux images disque pour les services NetBoot et Installation en réseau. Utilitaire d'images de réseau propose également un plus grand nombre d'options d'administration, notamment un clônage de système plus aisé et une installation de logiciel plus rapide via Apple Software Restore. • Nouvel Inspecteur de répertoires. Un nouvel Inspecteur de répertoires, accessible depuis Gestionnaire de groupe de travail, permet de consulter et de modifier les données LDAP brutes pour un contrôle précis des enregistrements de répertoires. • Nouveaux outils Ligne de commandes. De nouveaux outils Ligne de commandes permettent une configuration et une gestion du serveur perfectionnées depuis le terminal. Préface À propos de ce guide 11 Services de réseau et de répertoires enrichis Les services de réseau et de répertoires de Mac OS X Server version 10.3 ont été considérablement enrichis pour offrir un plus grand nombre de possibilités en termes d'évolutivité, de performance et de puissance : • Open Directory 2. Solution LDAP puissante avec authentification Kerberos. Mac OS X Server version 10.3 intègre Open Directory 2, la dernière version de l'architecture Apple de services d'authentification et de répertoires basée sur les standards. Open Directory dote Mac OS X Server de services d'authentification et de répertoires à l'échelle du réseau, via LDAP, SASL et Kerberos. Open Directory 2 apporte à Mac OS X Server version 10.3 évolutivité, disponibilité et fonctions avancées. • Signature unique. Open Directory 2 inclut désormais le service Key Distribution Center (KDC) de Kerberos (développé par le MIT), offrant une authentification réseau sécurisée et la signature unique ; cette fonction permet aux utilisateurs de s'identifier une seule fois, à l'aide d'un mot de passe unique, pour accéder à l'ensemble des services du réseau gérés par Kerberos. La signature unique simplifie le déroulement de la session utilisateur et offre la sécurité d'une authentification fiable. • Nouveau serveur de courrier hautes-performances. Mac OS X Server version 10.3 comprend un tout nouveau serveur de courrier basé sur les programmes en code libre Postfix SMTP et Cyrus IMAP ainsi que sur les serveurs POP. Ce nouveau serveur de courrier, capable de gérer des dizaines de milliers d'utilisateurs, possède les caractéristiques suivantes : • Compatibilité avec les protocoles de courrier standard d'Internet, tels que SMTP, IMAP et POP • Base de données hautes-performances pour l'indexation des courriers stockés sur le serveur • Cryptage SSL (Secure Sockets Layer) sous SMTP, IMAP et POP pour le transport sécurisé et confidentiel de courrier entre le serveur et les ordinateurs clients • Architecture ouverte pour une intégration aisée des logiciels tiers de filtrage des messages non sollicités et des virus • Mailman pour la gestion des listes de diffusion. • Serveur d'applications Java hautes-performances. Mac OS X Server s'affirme comme l'outil le plus aisé de développement et de déploiement d'applications basées sur le standard Sun J2EE (Java 2 Enterprise Edition). Il comprend un serveur d'applications JBoss intégré pour l'exécution des applications J2EE, dont les composants Enterprise Java Bean (EJB). Mac OS X Server version 10.3 dispose également de nouveaux outils de déploiement d'applications bénéficiant d'une interface utilisateur graphique qui facilite la configuration des applications J2EE existantes pour leur hébergement sous Mac OS X Server. • Serveur Enchaînement QuickTime 5. Mac OS X Server version 10.3 intègre Serveur Enchaînement QuickTime 5, nouvelle version du serveur d'enchaînement Apple basé sur les standards. Pour une gestion plus aisée, la configuration et le contrôle de QTSS sont désormais intégrés à Admin Serveur. Les nouvelles fonctions et améliorations QTSS 5 incluent : 12 Préface À propos de ce guide • QTSS Publisher. Ce nouvel outil de gestion des données QuickTime facilite le chargement de contenus vers le serveur et le téléchargement depuis celui-ci, la création et la planification de listes de lecture, l'optimisation de séquences et la génération de séquences de référence. • Mises à jour des listes de lecture en temps réel. Il est possible d'effectuer des modifications instantanément et de manière transparente pour les utilisateurs. • Gestion à partir des répertoires de départ. Diffusion des séquences à partir des répertoires de départ du réseau des utilisateurs. • Déploiement et configuration du serveur Web Apache améliorés. Mac OS X Server version 10.3 bénéficie d'une interface utilisateur enrichie pour la configuration d'Apache, le serveur Web le plus utilisé au monde. Intégrée à Admin Serveur, la nouvelle interface du serveur Web facilite la configuration et la gestion de sites Web en nombre et le déploiement d'options de configuration avancées, telles que la redirection d'URL, les alias de sites Web et les réglages de gestion des royaumes. • Serveur VPN pour un accès réseau à distance sécurisé. Mac OS X Server version 10.3 inclut un nouveau serveur VPN (Virtual Private Network) permettant un accès à distance sécurisé des ordinateurs individuels à votre réseau local (LAN). La technologie VPN offre un trafic IP sécurisé sur un réseau public TCP/IP au moyen de la “tunnellisation” chiffrant toutes les données transitant entre le système client et le réseau hôte. Le serveur VPN Apple, offrant une capacité de gestion de centaines de clients VPN par serveur, constitue la solution idéale pour les petites et moyennes entreprises. Intégration Windows perfectionnée Mac OS X Server ayant pour vocation d'offrir une solution serveur complète dans les environnements réseau mixtes, la version 10.3 renforce cette vocation par une gestion améliorée des clients Windows et du serveur de répertoires Windows propriétaire. • Samba 3. Mac OS X Server version 10.3 est désormais livré avec Samba 3. Cette dernière version du projet vedette en code libre offre des services de fichiers et d'impression hautement fiables et performants aux clients Windows via le protocole de partage de fichiers natif SMB/CIFS. Il est conforme au standard Unicode de codage des noms de fichiers et d'utilisateurs multilingues sur 16 bits. Samba 3 est également compatible avec les services PDC (Primary Domain Controller), fonction intégrée à Open Directory 2 permettant la connexion et l'authentification des utilisateurs Windows directement depuis la fenêtre d'ouverture de session du PC. • Répertoires de départ du réseau pour les clients Windows. Open Directory 2 gère les profils itinérants, équivalent Windows des répertoires de départ du réseau. Mac OS X Server version 10.3 peut désormais héberger les répertoires de départ et de groupe auxquels peuvent accéder tant les clients Mac que Windows. • Services VPN pour Windows. Le serveur VPN intégré à Mac OS X Server version 10.3 gère les clients Windows via PPTP ou L2TP/IPSec. Préface À propos de ce guide 13 • Intégration simplifiée avec Active Directory. Mac OS X Server version 10.3 peut désormais accéder aux enregistrements d'utilisateurs, de groupes et d'ordinateurs stockés sur le serveur de répertoire Microsoft propriétaire sans devoir modifier le schéma Active Directory. Il reconnaît également l'implémentation Microsoft de Kerberos pour l'accès aux services authentifiés hébergés sous Mac OS X Server. Nouvelles fonctions de gestion des groupes de travail et du bureau Mac OS X Server version 10.3 améliore la gestion des bureaux des clients Macintosh : • Gestion d'image perfectionnée. Vous pouvez créer une image NetBoot ou Installation en réseau reproduisant un système existant. La source de l'image peut être un volume ou une partition. D'autres améliorations apportées à la gestion d'image ont trait au filtrage des clients, et NetBoot sans disque pour les clients Mac OS X. • Comptes mobiles. Gestionnaire de groupe de travail permet de configurer des comptes mobiles. Les comptes mobiles permettent à l'utilisateur de Mac OS X Version 10.3 de travailler hors connexion, en continuant de se connecter via le nom d'utilisateur et le mot de passe réseau et de conserver les mêmes réglages des préférences gérées. • Gestion améliorée des préférences. Gestionnaire de groupe de travail possède aussi de nouvelles commandes de système pour les parcs de machines en laboratoire, telles que le mode Économie d'énergie et la gestion de la déconnexion automatique. Contenu du guide Ce guide est organisé en deux parties et un glossaire. Partie I : Introduction à Mac OS X Server Lisez les chapitres de cette partie pour vous familiariser avec des scénarios type d'utilisation de Mac OS X S, ses services et son administration. Partie II : Installation et configuration initiale Les différents chapitres de cette partie vous expliquent comment installer le logiciel serveur et configurer un serveur pour la première fois. La Partie II comprend deux annexes. Annexe A : Feuille de travail Mac OS X Server Utilisez cette feuille de travail pour préparer les informations dont vous aurez besoin lors de l'installation et de la configuration de Mac OS X Server. Annexe B : Exemple de configuration Cette exemple illustre une installation et une configuration initiale type de Mac OS X Server selon un petit scénario d'utilisation professionnelle. Glossaire Reportez-vous au glossaire pour consulter une courte définition des termes utilisés dans ce guide.14 Préface À propos de ce guide Informations complémentaires Mac OS X Server est accompagné d'une série de guides présentant les services offerts ainsi que les instructions relatives à leur configuration, leur gestion et la résolution des problèmes qui leur sont rattachés. La plupart de ces documents sont inclus dans le disque Outils d'administration Mac OS X Server. Tous sont disponibles pour téléchargement au format PDF à l'adresse www.apple.com/server/documentation/ Ce guide Vous indique comment Migration Mac OS X Server vers la version 10.3 ou ultérieure Réutiliser sur Mac OS X Server version 10.3 les données et les réglages de services utilisés sous les versions précédentes du serveur. Gestion des utilisateurs Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure Créer et gérer les comptes d'utilisateur, de groupe et d'ordinateur. Configurer les préférences gérées pour les clients Mac OS 9 et Mac OS X. Administration des services de fichiers Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure Partager des volumes ou dossiers de serveur sélectionnés parmi les clients du serveur via les protocoles suivants : AFP, NFS, FTP, et SMB. Administration du service d'impression Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure Héberger les imprimantes partagées et gérer les files d'attente et travaux d'impression associés. Administration de l'image système Mac OS X version 10.3 ou ultérieure Créer des images disque et configurer le serveur de sorte que d'autres ordinateurs Macintosh puissent démarrer à partir ces images sur le réseau. Ce guide traite de NetBoot et Installation en réseau. Administration du service de courrier Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure Installer, configurer et administrer les services de courrier sur le serveur. Administration des technologies Web Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure Configurer et gérer un serveur Web, dont WebDAV, WebMail, et les modules Web. Administration des services de réseau Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure Installer, configurer et administrer DHCP, DNS, VPN, NTP, coupe-feu IP et services NAT sur le serveur. Administration Open Directory Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure Gérer les services de répertoires et d'authentification. Administration du Serveur Enchaînement QuickTime Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure Configurer et gérer les services d'enchaînement QuickTime. Administration des services Windows Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure Configurer Mac OS X Server pour la fourniture de services aux utilisateurs Windows. Préface À propos de ce guide 15 Pour plus d'informations, consultez les ressources suivantes : • Les fichiers Ouvrez-moi contiennent des mises à jour importantes et des informations spécifiques. Recherchez-les sur les disques du serveur. • L'aide en ligne, accessible depuis le menu Aide de toutes les applications serveur, fournit des instructions relatives à toutes les tâches d'administration ainsi que des informations de dernière minute et des mises à jour disponibles sur le Web. • Les pages Web Support et Base de connaissance (Knowledge Base) apportent des réponses aux questions courantes et des informations de dernière minute. Vous les trouverez sur le site www.apple.com/fr/support/ Administration du serveur d'applications Java Mac OS X Server Configurer et administrer un serveur d'applications JBoss sur Mac OS X Server. Administration de la ligne de commandes Mac OS X Server version 10.3 ou supérieure Utiliser les commandes et les fichiers de configuration pour exécuter les tâches d'administration du serveur via l'interpréteur de commandes UNIX. L'utilisation de la fonction IP failover est documentée dans ce guide. Ce guide Vous indique comment1 Partie 1 : Introduction à Mac OS X Server Les chapitres de cette partie du guide présentent Mac OS X Server ainsi que les applications et outils disponibles pour l'administration de ses services. Chapitre 1 Fonctionnement de Mac OS X Server Chapitre 2 Services de Mac OS X Server Chapitre 3 Administration du serveur 1 19 1 Fonctionnement de Mac OS X Server Mac OS X Server répond aux besoins de nombreux environnements. Ce chapitre offre une brève visite guidée des services et configurations présentant un intérêt particulier dans certains scénarios courants : • Entreprises • Établissements d'enseignement supérieur • Ateliers et classes K-12 • PME/PMI • Clusters informatiques • Environnements créatifs • Fournisseurs de services Web20 Chapitre 1 Fonctionnement de Mac OS X Server Entreprises Dans les grandes entreprises, Mac OS X Server permet de prendre en charge les besoins spéciaux des services et des groupes de travail tout en centralisant les services d'entreprise. • Open Directory vous permet de gérer les données de répertoire depuis un emplacement centralisé, tout en les répartissant de façon géographique au moyen de réplications. • La liste des autres services d'entreprise peut inclure DNS (Domain Name System), DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol), VPN (Virtual Private Network), les services de courrier, Web, de diffusion et JBoss. • JBoss est un serveur d'applications mettant en oeuvre les technologies Enterprise Edition (J2EE) et s'exécutant sur Java 1.4.1. L'implémentation de Mac OS X Server comprend des outils d'administration faciles à utiliser pour configurer et contrôler les serveurs d'applications. Grâce à ses fonctionnalités de cluster, JBoss peut s'exécuter sur plusieurs Xserve. Service de diffusion QuickTime et Web Services DHCP, VPN et DNS Service de courrier Mac OS X Server Mac OS X Server Mac OS X Server Mac OS X Server Mac OS X Servers Mac OS X Server Mac OS X Server Serveurs Back-office Répliques de répertoire Open Directory LDAP Service Web, d'impression locale et de fichiers Répertoires de départ AFP Windows PDC pour les répertoires de base Windows Serveurs de groupes de travail JBoss Open Directory Active Directory InternetChapitre 1 Fonctionnement de Mac OS X Server 21 • Mac OS X Server s'intègre parfaitement aux services d'entreprise existants, des systèmes de répertoire aux implémentations SNMP (Simple Network Management Protocol). • Outre l'hébergement de domaines Open Directory répliqués pour l'authentification locale, les serveurs de chaque service peuvent être personnalisés selon les besoins des groupes de travail. Si un service utilise de nombreux ordinateurs Windows, vous pouvez configurer Mac OS X Server comme contrôleur de domaine principal (PDC) afin de pouvoir héberger les répertoires de départ Windows. Vous pouvez également offrir aux utilisateurs Windows la prise en charge VPN, le partage de fichiers et d'imprimantes et l'intégration d'Active Directory. Établissements d'enseignement supérieur Les collèges et les universités ont des environnements informatiques hétérogènes étant donné la diversité d'étudiants et de systèmes informatiques qu'ils utilisent. Mac OS X Server convient parfaitement à ce type d'environnement grâce à sa capacité d'intégration aux infrastructures variées de services, protocoles et répertoires existantes. Services Web et de courrier Serveur LDAP Services de fichiers, d'impression, de répertoires et de réseau Serveur de fichiers NFS UNIX Mac OS X Server Mac OS X Server Mac OS X Server Serveur Windows NT Clients Macintosh Clients Windows Clients UNIX KDC Internet22 Chapitre 1 Fonctionnement de Mac OS X Server • La grande diversité d'ordinateurs clients ( Macintosh, Windows, UNIX, Linux) exige la prise en charge d'un accès flexible aux fichiers. Les services de fichiers IP hautement évolutifs dans Mac OS X Server permettent l'accès aux fichiers depuis tout point du réseau au moyen des protocoles AFP (Apple Filing Protocol), NFS (Network File System), FTP (File Transfer Protocol) et SMB (Server Message Block). • Mac OS X Server peut héberger les répertoires de départ des utilisateurs de tous les ordinateurs clients. • Les informations relatives aux utilisateurs et aux ressources réseau peuvent être récupérées par Mac OS X Server à partir des systèmes de répertoire existants, comme les serveurs LDAP (Lightweight Directory Access Protocol), Active Directory et NIS (Network Information Service). • Il est également possible d'authentifier les utilisateurs Mac OS X Server via un système LDAP ou KDC (Kerberos Key Distribution Center) existant. • La fonction d'installation réseau facilite la modification illimitée des configurations logicielles (à partir du réseau) de centaines d'ordinateurs clients Macintosh. Elle automatise la configuration des ordinateurs d'ateliers et de facultés, facilite la mise à niveau des logiciels et rétablit rapidement l'état préconfiguré d'origine des ordinateurs. • Mac OS X Server intègre un service de comptabilité de mise en attente des travaux d'impression compatible avec PostScript via le protocole LPR (Line Printer Remote), le protocole standard TCP (Transmission Control Protocol) et le protocole Windows SMB. • Étant donné la complexité des réseaux des établissements d'enseignement supérieur, les services réseau sont stratégiques. Les services DNS et DHCP peuvent être configurés sur Mac OS X Server pour aider les services et les ordinateurs clients à rechercher des ressources en réseau. Le filtrage IP permet de protéger les données sensibles à l'aide d'un coupe-feu de sécurité. Ateliers et classes K-12 Dans les scénarios pédagogiques K-12, les étudiants doivent pouvoir accéder à leurs propres fichiers et se plonger dans leurs devoirs par voie électronique ou sur papier. Ils doivent également avoir accès aux applications (comme iLife) qui facilitent l'apprentissage, sans pour autant pouvoir en utiliser d'autres non pédagogiques (telles qu'iChat).Chapitre 1 Fonctionnement de Mac OS X Server 23 Les enseignants requièrent la prise en charge des services de fichiers pour pouvoir placer en ligne les plans de cours et les documents pédagogiques. Ils doivent également pouvoir récupérer et éventuellement mettre à jour les dossiers des étudiants et autres informations administratives, le tout centralisé sur un serveur distant. • Le service de gestion des clients Mac OS X Server permet de contrôler les environnements de travail Macintosh des étudiants. Par exemple, vous pouvez contrôler les applications auxquelles les étudiants ont accès. Vous pouvez aussi définir les préférences des applications, les modèles et autres réglages du bureau de sorte que tous travaillent dans le même environnement. • Tous les secteurs scolaires ont un serveur LDAP ou Active Directory configuré en tant que serveur de répertoire. Mac OS X Server peut utiliser ces référentiels centralisés pour accéder aux informations sur les étudiants et enseignants, mais l'hébergement des autres services, comme le partage de fichiers et d'imprimantes, se fait sur le serveur d'un atelier ou d'une classe. • Les étudiants utilisant des portables Macintosh, comme iBooks, ont la possibilité de faire leurs devoirs à domicile grâce aux comptes mobiles offrant accès à un environnement semblable à leur classe. Les préférences sont stockées dans le cache du portable afin d'être disponibles hors connexion. • Le service d'impression Mac OS X Server permet aux enseignants de gérer l'utilisation des imprimantes de la classe, y compris celles non PostScript (à jet d'encre). Service d’impression Services de gestion des clients Mac OS X Server Clients Mac OS X Clients Mac OS 9 Service de fichiers Serveur de répertoires 24 Chapitre 1 Fonctionnement de Mac OS X Server PME/PMI Les petites (moins de 100 employés) et moyennes (de 100 à 500 employés) entreprises tirent parti des services de partage de fichiers et d'imprimantes, des services réseau et des applications de courrier, Web et de celles de base de données inter plates-formes. Les services de répertoire et réseau illustrés ci-dessous résident sur un serveur Mac OS X Server, tandis que ceux de courrier, Web et autres de productivité des employés sont hébergés sur un autre. Dans les petites entreprises toutefois, tous les services peuvent résider sur un seul et même serveur. • Le coupe-feu entre Mac OS X Server et Internet protège le réseau intranet de l'entreprise contre tout accès non autorisé. • Un serveur DNS d'autorisation hébergé par une autre entreprise assure la résolution des noms de domaine (exemple.com), tandis que les services DNS sur Mac OS X Server fournissent les noms des périphériques intranet (tels qu'imprimantes et ordinateurs clients) possédant des adresses IP statiques. • Les services DHCP fournissent des adresses IP dynamiques à certains clients Macintosh et Windows. • Le service VPN permet aux employés d'accéder hors du bureau au réseau intranet pour utiliser les services de courrier, de fichiers, etc. À l'instar des autres services décrits, VPN prend en charge les clients Macintosh et Windows. Services Web, de courrier de fichiers, d'impression et d'applications Internet Clients Windows Clients Mac OS X Services Open Directory, DNS, DHCP, VPN, NAT et de coupe-feu IP Coupe-feu Serveur DNS de référence Client Mac OS X Mac OS X Server Mac OS X server VPN DSL/câbleChapitre 1 Fonctionnement de Mac OS X Server 25 • Le service NAT (Network Address Translation) permet aux employés de partager une connexion Internet unique. Ce protocole convertit toutes les adresses IP des clients en une adresse IP pour les communications sur Internet. Clusters informatiques Les clusters de Xserve offrent une méthode rentable et efficace de traitement informatique intensif nécessaire à la recherche génétique, la production vidéo et autres applications sollicitant énormément la bande passante. • Un serveur Xserve dans une baie de serveurs est généralement configuré comme un ordinateur maître, appelé noeud de tête. Le noeud de tête exécute NetBoot et le programme d'installation réseau, et héberge les services de répertoire et autres périphériques partagés pour le reste des ordinateurs dans la baie, servant au traitement des données et aux calculs numériques. • Le noeud de tête peut également être configuré en tant que serveur de fichiers AFP et NFS et implémenter un coupe-feu IP protégeant le cluster contre tout accès non autorisé. • Entre autres utilisateurs, les scientifiques et les vidéastes peuvent configurer et contrôler à distance, à partir d'ordinateurs Mac OS X, des applications et des bases de données résidant sur les Xserve. Applications Administration du serveur Bases de données des applications et moteurs informatiques NetBoot, installation en réseau, services de répertoires et de fichiers, service de coupe-feu26 Chapitre 1 Fonctionnement de Mac OS X Server • Mac OS X Server offre aux scientifiques et aux chercheurs des shells, des langages de script, des compilateurs et des utilitaires UNIX courants pour développer des logiciels spécialisés. Le serveur comprend une suite complète d'outils de développement, notamment le compilateur de ligne de commande gcc et l'outil de développement Project Builder. Vous pouvez écrire, compiler et déboguer au moyen des langages C, C++, Objective-C ou Java. Project Builder permet de transférer des applications de ligne de commande vers Mac OS X et Mac OS X Server ou de les améliorer via une interface utilisateur Mac OS X. • Un ordinateur administrateur, tel qu'un iBook exécutant des applications d'administration Mac OS X Server, peut être utilisé pour gérer le réseau entier. Environnements créatifs Mac OS X Server prend en charge les besoins de workflow des esprits créatifs qui conçoivent et produisent des projets vidéo et audio. • Le célèbre serveur Web HTTP Apache en code libre est intégré à Mac OS X Server. • La technologie WebDAV (Web-based Distributed Authoring and Versioning), intégrée au service Web de Mac OS X Server, vous permet d'utiliser un serveur Web comme serveur de fichiers Internet. Les utilisateurs peuvent créer et accéder aux documents sur le Web à partir d'ordinateurs Mac OS X. WebDAV prend en charge la gestion des fichiers et les modifications en équipe, y compris pendant l'exécution du site Web. • Le service de diffusion QuickTime vous permet de diffuser en temps réel des données vidéo sur des ordinateurs clients au moyen d'un protocole de diffusion standard. Service d’impression Mac OS X Server Internet Clients Windows Clients Mac OS X Service de fichiers Services WebDAV Services de diffusion QuickTime et Web Chapitre 1 Fonctionnement de Mac OS X Server 27 • AFP vous permet l'échange de fichiers volumineux entre les membres d'un groupe de travail. Sur un Xserve, vous pouvez augmenter la bande passante de votre infrastructure de transfert de fichiers à l'aide de paquets Ethernet Jumbo Frame ou les deux interfaces Ethernet intégrées. Fournisseurs de services Web Mac OS X Server offre la gamme de services complète pour héberger des sites de commerce électronique ou fournir d'autres services Internet exigeant disponibilité et évolutivité. Vous pouvez configurer des ordinateurs Mac OS X Server de sorte qu'ils soient accessibles à plusieurs utilisateurs et entreprises. Le terme batterie de serveurs est parfois employé pour désigner l'ensemble des serveurs Web accédant au contenu du même site et fournissant conjointement des services à un groupe d'utilisateurs particulier. De cette façon, si un serveur vient à tomber en panne, un autre prend aussitôt le relais. Vous pouvez aussi dédier des serveurs à l'usage exclusif d'entreprises ne souhaitant pas héberger leurs propres services. Internet Mac OS X Servers Mac OS X Server “batterie” Services de diffusion QuickTime, Web et FTP Mac OS X Servers Service WebDAV Mac OS X Server Mac OS X Server Ordinateur Mac OS X pour l’administration du serveur “batterie” Xserve RAID QuickTime Broadcaster JBoss Service de courrier Services Web et de courrier spécialisés28 Chapitre 1 Fonctionnement de Mac OS X Server • Un seul serveur peut héberger de nombreux sites Web. Vous pouvez héberger chaque site avec sa propre adresse IP (multi-hébergement) ou configurer plusieurs sites avec une adresse IP unique (hébergement virtuel). • Le service Web Mac OS X Server vous permet de configurer une protection SSL (Secure Sockets Layer) pour des connexions sécurisées à Internet. • Mac OS X Server intègre la prise en charge de Perl, Java Servlets, JavaServer Pages et PHP Hypertext Preprocessor (PHP). • Le serveur de diffusion QuickTime vous permet de diffuser des données multimédia en temps réel, dont les diffusions QuickTime Broadcaster en direct. • Xserve RAID offre des capacités de stockage étendues. • La prise en charge d'une disponibilité élevée comprend le redémarrage automatique après une panne de courant ou la défaillance d'un service et les services de secours IP. Ces derniers peuvent être configurés via IP sur FireWire, qui vous permet d'interconnecter des serveurs redondants sans utiliser les ports Ethernet (Go).2 29 2 Services de Mac OS X Server Mac OS X Server combine une base UNIX robuste avec des standards libres et la simplicité d'emploi du Macintosh. Ce chapitre présente les services offerts par Mac OS X et vous indique comment trouver plus d'informations à leur sujet. Services du noyau Mac OS X Server est basé sur Darwin, le noyau du système d'exploitation Mac OS X. Darwin intègre des services de système d'exploitation Mach 3.0 basés sur UNIX 4.4 BSD (Berkeley Software Distribution), des fonctions de réseau hautes performances et la prise en charge de plusieurs systèmes de fichiers intégrés. Le système avancé de protection et de gestion de la mémoire de Darwin est l'un des facteurs clés de la stabilité du système. Darwin assure une fiabilité en allouant à chaque application et processus un espace d'adressage propre. Le kernel Mach augmente la sémantique standard de la mémoire virtuelle par abstraction des objets de mémoire, ce qui permet à Mac OS X de gérer simultanément plusieurs environnements applicatifs tout en améliorant le confort et la productivité des utilisateurs. Mac OS X se distingue par sa simplicité d'emploi. Il offre des performances élevées en matière d'affichage grâce aux technologies OpenGL, Quartz et QuickTime. Mac OS X Server exploite ces possibilités en fournissant aux administrateurs des applications sécurisées de gestion de serveur puissantes mais qui restent simples d'emploi. Toutefois, les administrateurs peuvent aussi travailler à partir d'une ligne de commande. Un environnement shell complet comprenant de nombreux utilitaires UNIX courants offre une gamme complète de techniques d'administration à partir de la ligne de commande. Dans ce qui suit, vous apprendrez quels services sont fournis par Mac OS X Server pour étendre son noyau Mac OS X et prendre en charge des clients réseau Macintosh, Windows, UNIX et Linux. Pour plus d'informations sur les outils d'administration de serveur, voir le chapitre 3, “Administration du serveur”, à la page 47.30 Chapitre 2 Services de Mac OS X Server Open Directory Open Directory est l'architecture sur laquelle se base Mac OS X pour les services de répertoires. Les services de répertoires permettent au serveur et ses clients (utilisateurs et services) de trouver et de récupérer les informations nécessaires pour l'authentification, la découverte de ressources réseau, entre autres activités système essentielles. Les informations sur les utilisateurs et les groupes sont nécessaires pour authentifier les utilisateurs lorsqu'ils ouvrent une session et les autoriser à accéder aux services et fichiers. Les informations sur les ressources réseau permettent de rendre visibles les imprimantes et autres périphériques réseau. Les services de répertoires récupèrent ces informations à partir de répertoires, référentiels d'informations sur les utilisateurs et les ressources informatiques. Open Directory permet à votre serveur de récupérer des informations à partir : • de répertoires sur des ordinateurs Mac OS X Server, • de répertoires sur des serveurs non Apple, • de fichiers de configuration sur des serveurs Mac OS X Server ou autres. Open Directory est également compatible avec plusieurs autres protocoles pour la découverte de ressources réseau : • Rendezvous • Server Message Block (SMB) • AppleTalk • Service Location Protocol (SLP) Le guide d'administration Open Directory fournit des informations complètes sur la configuration et l'utilisation d'Open Directory. Vous trouverez plus de détails sur quelques-unes des nombreuses fonctions d'Open Directory. Utilisation de répertoires Apple Mac OS X Server peut héberger des répertoires LDAP et des domaines NetInfo existants : • NetInfo est le système de répertoires en vigueur de Mac OS X. Tout ordinateur Mac OS X dispose d'un répertoire local NetInfo qui stocke des informations uniquement visibles à partir de l'ordinateur où il se trouve. La version 10.3 de Mac OS X Server peut être configurée pour prendre en charge les répertoires NetInfo existants, mais le principal moyen de stocker des informations devant être partagées avec d'autres ordinateurs est Open Directory LDAP fondé sur OpenLDAP. • Les répertoires Open Directory LDAP sont des répertoires LDAPv3 qui stockent les données partagées, que d'autres ordinateurs doivent pouvoir utiliser. Les répertoires Open Directory LDAP sont faciles à gérer, peuvent être répliqués pour des besoins de sauvegarde ou d'amélioration des performances et acceptent un volume d'informations beaucoup plus élevé que les répertoires NetInfo. Les répertoires Apple permettent un contrôle de la lecture/écriture des données.Chapitre 2 Services de Mac OS X Server 31 Utilisation d'autres répertoires Open Directory vous permet d'exploiter les informations que vous avez définies dans des répertoires non Apple et dans des fichiers à plat : • Sur d'autres serveurs LDAPv3, • Sur des serveurs Active Directory, • Dans des fichiers de configuration Berkeley Software Distribution (BSD), • Dans des fichiers Network Information System (NIS) Sun Microsystems. Mac OS X Server offre une prise en charge complète des communications SSL (Secure Sockets Layer) et la lecture/écriture pour les répertoires LDAPv3. Politiques de recherche Avant qu'un utilisateur ne puisse se connecter à un client ou à un serveur Mac OS X (ouverture de session), il doit taper un nom et un mot de passe associés à un compte d'utilisateur connu de l'ordinateur. Les ordinateurs Mac OS X peuvent trouver les comptes d'utilisateur situés dans un répertoire de leur politique de recherche. Une politique de recherche se réduit à une liste de répertoires que l'ordinateur parcourt lorsqu'il a besoin de données de configuration. Vous pouvez configurer la politique de recherche des ordinateurs Mac OS X sur les ordinateurs eux-mêmes en utilisant l'application Directory Access. Automatisez la configuration des répertoires clients Mac OS X en utilisant l'Option 95 de DHCP, gérée par Mac OS X Server, qui permet au serveur DHCP d'indiquer au client Mac OS X à partir de quel serveur il doit obtenir les informations de répertoire et de lui fournir une adresse IP. Authentification Il existe plusieurs options pour authentifier les utilisateurs : • Authentification Open Directory. L'authentification Open Directory, qui se fonde sur le protocole standard Simple Authentication and Security Layer (SASL), gère de nombreuses méthodes d'authentification, parmi lesquelles CRAM-MD5, APOP, WebDAV, NT/LAN Manager 2 et SHA-1. Il s'agit de la méthode recommandée pour l'authentification d'utilisateurs Windows. L'authentification Open Directory vous permet de définir des politiques de mot de passe pour un ou tous les utilisateurs dont les fiches sont stockées dans un répertoire donné, avec des exceptions si nécessaire. L'authentification Open Directory vous permet aussi de définir des politiques de mot de passe pour chaque réplique de répertoire. Vous pouvez par exemple spécifier une longueur de mot de passe minimum ou obliger un utilisateur à changer de mot de passe lors de sa prochaine ouverture de session. Vous pouvez également désactiver l'ouverture de session pour les comptes inactifs ou après un nombre défini de tentatives de connexion infructueuses. 32 Chapitre 2 Services de Mac OS X Server • Authentification Kerberos v5. L'utilisation de l'authentification Kerberos permet une intégration dans des environnements Kerberos existants. Vous pouvez aussi installer un centre de distribution de clés (Key Distribution Center ou KDC) sur Mac OS X Server, qui gère les politiques de mot de passe que vous définissez sur le serveur. L'utilisation de Kerberos offre également une fonction de signature unique décrite à la section suivante. Les services suivants de Mac OS X Server gèrent l'authentification Kerberos : AFP, courrier, FTP, SSH et fenêtre d'ouverture de session. • Stockage des mots de passe dans les comptes utilisateurs. Cette approche peut être utile lors de la migration de comptes utilisateurs depuis des versions antérieures de serveur. Toutefois, elle ne sera peut-être pas compatible avec des clients nécessitant des protocoles d'authentification sécurisés au niveau réseau, tels qu'APOP. • Authentification LDAPv3 non Apple. Cette approche est disponible pour les environnements dans lesquels un serveur LDAPv3 est déjà installé pour authentifier les utilisateurs. Signature unique Lorsqu'un utilisateur Mac OS X est authentifié avec Kerberos, il n'a pas besoin de saisir un nom d'utilisateur et un mot de passe chaque fois qu'il utilise un service gérant l'authentification Kerberos. L'utilisateur entre nom et mot de passe Kerberos à l'ouverture de la session, sans devoir les saisir à nouveau lorsqu'il fait appel aux services de fichiers ou de courrier Apple ou à un autre service gérant l'authentification Kerberos. Détection de services de réseau Les informations concernant les serveurs de fichiers et les autres services ont tendance à changer beaucoup plus souvent que les informations sur les utilisateurs ; de ce fait, elles ne sont généralement pas stockées dans des répertoires, mais découvertes en fonction des besoins. Open Directory peut détecter des services de réseau afin d'en révéler l'existence et l'emplacement. Pour leur part, les services s'identifient au moyen de protocoles standard. Open Directory accepte les protocoles de détection de services suivants : • Rendezvous, protocole Apple qui utilise le service DNS en multidiffusion, • SMB, protocole utilisé par Microsoft Windows, • AppleTalk, protocole en vigueur de Mac OS pour les services de fichiers, • SLP, standard libre pour la découverte de services de fichiers et d'impression.Chapitre 2 Services de Mac OS X Server 33 Gestion des utilisateurs Mac OS X Server facilite la gestion de l'accès des utilisateurs Macintosh, Windows, UNIX et Linux aux ressources réseau, aux fichiers et aux services. Le guide de gestion des utilisateurs comprend une description complète des fonctions de gestion des utilisateurs du serveur. Voici quelques-unes de ces fonctions. Comptes d'utilisateur Les comptes d'utilisateur contiennent les informations requises pour prouver l'identité d'un utilisateur : nom, mot de passe et identifiant. D'autres informations de compte d'utilisateur sont requises par plusieurs services afin de déterminer les droits de l'utilisateur et de personnaliser éventuellement son environnement. Comptes de groupe Les comptes de groupe permettent de gérer facilement un ensemble d'utilisateurs aux besoins similaires. Ils stockent les identités des utilisateurs qui leur appartiennent ainsi que des informations pour personnaliser l'environnement de travail des membres. Répertoires de départ Un répertoire de départ est un dossier servant à stocker les fichiers et préférences d'un utilisateur. Les autres utilisateurs peuvent voir ce répertoire et lire des fichiers dans le dossier Public, sans pouvoir toutefois (par défaut) accéder au reste du contenu. Mac OS X Server peut héberger des répertoires de départ pour des utilisateurs Macintosh, UNIX et Windows. Avec un répertoire de départ, ces utilisateurs ont accès à leurs applications, documents et réglages individuels, quel que soit l'ordinateur sur lequel ils ont ouvert une session. Vous pouvez imposer des quotas de disque sur les répertoires de départ afin de réguler l'utilisation du disque du serveur par les utilisateurs dotés de répertoires de départ. Gestion des utilisateurs Macintosh Mac OS X Server offre une personnalisation de l'environnement de travail pour les utilisateurs d'ordinateurs Mac OS 9 et Mac OS X : • Vous trouverez ci-après un résumé de la gestion des préférences et des comptes mobiles. • Pour plus d'informations sur l'automatisation des images du système d'exploitation sur les ordinateurs clients Macintosh, voir “Services d'images système” à la page 35. Gestion des préférences Vous pouvez utiliser Mac OS X Server pour gérer l'environnement de travail des clients Mac OS 9 et Mac OS X. Pour gérer les clients Mac OS 9, utilisez le Gestionnaire Macintosh. Pour gérer les clients Mac OS X, utilisez le Gestionnaire de groupe de travail. 34 Chapitre 2 Services de Mac OS X Server Les préférences que vous définissez pour chaque compte (d'utilisateur, de groupe et d'ordinateur) procurent à vos utilisateurs Macintosh une apparence uniforme de bureau, d'application et de réseau, quel que soit l'ordinateur Macintosh qu'ils utilisent. La gestion des clients Mac OS X présente plusieurs avantages : • Lorsque vous mettez à jour des comptes d'utilisateur, de groupe ou d'ordinateur, les utilisateurs Mac OS X gérés héritent automatiquement des modifications. Pour leur part, les comptes Mac OS 9 doivent être mis à jour séparément à l'aide de Macintosh Manager. • Vous disposez d'un contrôle direct accru sur les préférences système individuelles. • Les répertoires de départ réseau et les répertoires pouvant être configurés pour être utilisés par des groupes peuvent être montés automatiquement à l'ouverture de session. • Vous pouvez utiliser l'Option 95 de DHCP pour identifier un serveur à partir duquel un ordinateur client récupère des informations à l'ouverture de session. La configuration du service de répertoires est automatiquement téléchargée à partir du réseau. Elle définit les politiques d'accès au réseau, les préférences et la configuration du bureau sans qu'il soit nécessaire de configurer directement l'ordinateur client. • Vous pouvez définir des comptes mobiles pour gérer des utilisateurs se servant de leur ordinateur à la fois en et hors réseau. Comptes mobiles Les comptes mobiles permettent à l'utilisateur d'un ordinateur Mac OS X version 10.3 ou ultérieure de travailler hors ligne tout en pouvant : • ouvrir une session avec le nom et le mot de passe réseau, • travailler avec des réglages de préférences gérés comme sur un ordinateur en ligne. Gestion des utilisateurs Windows Vous pouvez offrir plus de fonctions aux utilisateurs Windows en installant un contrôleur de domaine principal (Primary Domain Controller ou PDC) sur Mac OS X Server et en définissant des réglages. Le serveur peut alors • fournir une authentification de domaine Open Directory pour les clients Windows NT 4.x, Windows 2000 et Windows XP, • héberger des répertoires de départ pour les utilisateurs Windows du domaine, • gérer les transferts de profils utilisateurs pour les répertoires de départ. Un compte utilisateur peut comprendre des attributs à la fois Macintosh et Windows. Les utilisateurs peuvent donc ouvrir des sessions à partir des deux types d'ordinateurs. Les utilisateurs Windows peuvent également utiliser les services de fichiers, d'impression et VPN de Mac OS X Server, comme décrit dans les sections ultérieures de ce chapitre. Le guide d'administration des services Windows explique comment configurer les nombreuses options spécifiques à Windows et gérées par Mac OS X Server.Chapitre 2 Services de Mac OS X Server 35 Services d'images système Vous pouvez créer des images disques et configurer Mac OS X Server pour les héberger afin que des ordinateurs Mac OS 9 ou Mac OS X puissent s'installer ou démarrer à partir de ces images via le réseau. Les images NetBoot sont utilisées pour le démarrage à distance et les images d'installation en réseau sont utilisées pour les installations à distance. La source de l'image peut être un CD, un DVD ou un DMG (image disque). Vous pouvez aussi créer l'image d'un système dont la configuration est celle souhaitée pour les ordinateurs clients. Dans ce cas, la source de l'image est un volume ou une partition. Le guide d'administration des images système fournit des informations complètes sur Netboot et l'installation en réseau. NetBoot NetBoot permet aux clients Macintosh, y compris ceux Mac OS X sans disque dur local, de démarrer à partir d'une image de disque système située sur un serveur Mac OS X plutôt que sur le disque de l'ordinateur client : • NetBoot simplifie l'administration de déploiements à grande échelle de systèmes Macintosh en réseau ou de baies de serveurs Xserve. Il est particulièrement utile pour les entreprises où un grand nombre d'ordinateurs doivent être configurés de manière identique ; il permettra par exemple à un fournisseur de services Web de configurer simultanément plusieurs serveurs Web. • NetBoot permet aussi d'installer plusieurs images disques afin de pouvoir démarrer les clients sous Mac OS 9 ou Mac OS X, voire de personnaliser l'environnement Macintosh pour différents groupes d'ordinateurs. • NetBoot permet aux administrateurs de configurer et de mettre à jour instantanément les ordinateurs clients en actualisant simplement une image de démarrage stockée sur le serveur. Toutes les modifications apportées au serveur sont automatiquement reportées sur les clients lorsqu'ils redémarrent. Les systèmes compromis ou altérés de quelque autre façon peuvent être instantanément restaurés par simple redémarrage. Installation en réseau L'installation en réseau est un service d'installation géré de façon centrale qui permet aux administrateurs d'installer, restaurer ou mettre à niveau des ordinateurs Macintosh de manière sélective. Inutile d'insérer une série de CD pour installer un système : toutes les données d'installation se trouvent sur le serveur. Voici quelques-uns des avantages de l'installation en réseau : • Il s'agit de la solution idéale pour la migration de systèmes d'exploitation, l'installation de logiciels avec licence de site ou personnalisés, la restauration de salles d'informatique ainsi que la création d'une nouvelle image d'ordinateurs de bureau ou portables.36 Chapitre 2 Services de Mac OS X Server • Dans une structure, vous pouvez définir des images d'installation personnalisées pour divers services : marketing, ingénierie et ventes par exemple. • Vous pouvez établir des scripts post-installation qui lancent des actions après l'installation d'un logiciel ou d'une image système. • Vous pouvez créer une image à installation automatique. Ce type d'image comprend les réponses à toutes les questions habituelles du programme d'installation. Ainsi, lorsque l'utilisateur démarre à partir de l'image, celle-ci installe son contenu sur l'ordinateur client sans intervention de l'utilisateur. Services de fichiers Mac OS X Server facilite le partage de fichiers à l'aide de protocoles natifs de différents types d'ordinateurs clients. Les services de fichiers Mac OS X Server incluent : • Le service de fichiers Apple, qui utilise le protocole AFP (Apple Filing Protocol) et permet de partager des ressources avec des clients utilisant Mac OS 8, Mac OS 9 et Mac OS X. • Les services Windows, qui utilisent le protocole SMB (Server Message Block) pour permettre de partager des ressources avec les clients Windows et leur fournir le service de résolution de noms. Ces services gèrent les utilisateurs de Microsoft Windows 95, 98, ME (Millennium Edition), XP, NT 4.0 et 2000. • Le service FTP (File Transfer Protocol), qui permet de partager des fichiers avec quiconque via FTP. • Le service NFS (Network File System), qui permet de partager des fichiers et des dossiers avec les utilisateurs disposant du logiciel client NFS (utilisateurs UNIX). Le guide d'administration des services de fichiers décrit comment installer et gérer les services de fichiers Mac OS X Server. Le guide d'administration des services Windows fournit des informations sur le partage des fichiers avec les utilisateurs Windows. Partage Vous devez désigner des points de partage pour partager des fichiers. Un point de partage correspond à un dossier, un disque dur (ou partition) ou encore à un CD que vous rendez accessible sur le réseau. Il s'agit du point d'accès au niveau supérieur d'un groupe d'éléments partagés. Vous pouvez utiliser un point de partage avec plusieurs protocoles : AFP, Windows et FTP. Sur les ordinateurs clients Mac OS X, vous trouverez les points de partage dans le répertoire /Network et à l'aide de la commande Se connecter au serveur du Finder. Sur les ordinateurs Mac OS 9, l'accès se fait à l'aide du Sélecteur. Sur les ordinateurs Windows, les utilisateurs emploient le voisinage réseau.Chapitre 2 Services de Mac OS X Server 37 Service de fichiers Apple Le protocole AFP (Apple Filing Protocol) permet aux utilisateurs clients Macintosh de se connecter à leur serveur et d'accéder aux dossiers et aux fichiers comme si ces derniers se trouvaient sur leur propre ordinateur. Le protocole AFP offre : • le partage des fichiers via TCP/IP pour les clients Macintosh, • une reconnexion automatique lorsque la connexion au serveur de fichiers est interrompue, • le partage de fichiers cryptés (AFP via SSH), • la création automatique de répertoires de départ utilisateurs, • l'authentification Kerberos v5 pour les clients Mac OS X version 10.2 et ultérieures, • des contrôles d'accès méticuleux pour gérer les connexions client et l'accès en invité, • la déconnexion automatique des clients au bout d'une période d'inactivité, • la gestion d'IPv6 pour les clients et le serveur AFP. AFP vous permet également de partager à nouveau les montages NFS à l'aide de AFP. Cette fonction est une façon pour les clients hors réseau local d'accéder aux volumes NFS via une connexion AFP sûre et authentifiée. Le protocole permet également aux clients Mac OS 9 d'accéder aux services de fichiers NFS sur les réseaux UNIX traditionnels. Services Windows Le service de fichiers Windows dans Mac OS X Server permet aux clients Windows de se connecter à Mac OS X Server avec SMB via TCP/IP. Lorsque vous activez le service de fichiers Windows, vous pouvez également activer plusieurs autres services natifs Windows : • WINS (Windows Internet Naming Service), grâce auquel les clients de plusieurs sous-réseaux peuvent exécuter des résolutions nom/adresse, • la navigation, qui permet aux clients de naviguer afin de trouver des serveurs disponibles dans les sous-réseaux. Le service de fichiers Windows offre plusieurs moyens de gérer les verrouillages pour les points de partage Windows : • Il offre un moyen d'optimiser les performances des points de partage qui ne sont employés que par les clients Windows. Le verrouillage opportuniste est désactivé par défaut parce qu'il est incompatible avec NFS et AFP. Les verrouillages opportunistes, qui permettent aux clients une mise en cache client plus dynamique, ne sont pris en compte que par SMB. • Le verrouillage strict permet de vérifier le verrouillage à chaque accès à un fichier, que ce soit en lecture ou en écriture. Il est utile pour les applications ne gérant pas le verrouillage. Le verrouillage strict est activé par défaut.38 Chapitre 2 Services de Mac OS X Server Service NFS NFS (Network File System) est le protocole utilisé pour les services de fichiers sur les ordinateurs UNIX. Le terme NFS désignant le partage est exportation. Vous pouvez exporter un élément partagé soit vers un ensemble d'ordinateurs clients, soit vers “Monde”. L'exportation d'un volume NFS vers “Monde” permet à toute personne accédant à votre serveur d'accéder également à ce volume. NFS ne gère pas l'authentification nom/mot de passe. Il se base sur des adresses IP client pour authentifier les utilisateurs ainsi que des autorisations clients, ce qui n'est pas une méthode sécurisée sur la plupart des réseaux. Pour cette raison, n'utilisez NFS que si vous vous trouvez sur un réseau local (LAN), avec des ordinateurs clients de confiance ou dans un environnement qui ne peut pas utiliser le partage de fichiers Apple ou Windows. Si vous disposez d'un accès Internet et pensez effectuer des exportations vers Monde, il est préférable que votre serveur soit protégé par un coupe-feu. Vous pouvez partager à nouveau les montages NFS en utilisant AFP, Windows et FTP de manière à ce que les utilisateurs puissent accéder aux volumes NFS d'une manière plus restreinte. FTP (File Transfer Protocol) Le service FTP permet aux ordinateurs de transférer des fichiers via Internet. Les clients utilisant un système d'exploitation gérant FTP peuvent se connecter à votre serveur de fichiers FTP et télécharger des fichiers, en fonction des autorisations que vous avez définies. La plupart des navigateurs Internet et bon nombre d'applications gratuites peuvent être utilisés pour accéder à votre serveur FTP. Dans Mac OS X Server, le service FTP gère l'authentification Kerberos v5 et, pour la majorité des clients FTP, la reprise des transferts de fichiers interrompus. Mac OS X Server gère également la conversion de fichiers dynamiques, ce qui permet aux utilisateurs de demander des versions d'informations compressées ou décompressées sur le serveur. FTP est généralement considéré comme un protocole peu sûr, les noms et mots de passe d'utilisateur étant distribués en clair sur Internet. Etant donné les problèmes de sécurité posés par l'authentification FTP, la plupart des serveurs FTP sont utilisés en tant que serveurs de distribution de fichiers Internet pour des utilisateurs FTP anonymes. Mais à partir de Mac OS X Server version 10.3, FTP gère l'authentification Kerberos, mode d'authentification fiable sur un serveur FTP. Mac OS X Server gère le protocole FTP anonyme et empêche par défaut les utilisateurs FTP d'effacer, de renommer et d'écraser des fichiers, ainsi que de modifier des autorisations de fichiers. L'administrateur de serveur doit autoriser les téléchargements par les utilisateurs FTP anonymes de façon explicite, et ce dans un point de partage spécifique.Chapitre 2 Services de Mac OS X Server 39 Service d'impression Le service d'impression de Mac OS X Server permet le partage d'imprimantes en réseau et en connexion directe entre clients d'un réseau. Ce service permet également une gestion des files, le contrôle des tâches d'impression, une consignation complet et l'utilisation de quotas. Le service d'impression vous permet de : • partager des imprimantes réseau PostScript avec des clients Mac OS 9 (PAP, LaserWriter 8), Mac OS X (IPP, LPR/LPD), Windows (SMB/CIFS) et UNIX (LPR/LPD), • partager des imprimantes PostScript ou non directement connectées à un serveur Mac OS X à partir de clients Mac OS X version 10.2 et ultérieures, • partager des imprimantes USB directement connectées avec des clients Mac OS X version 10.2 et ultérieures, • vous connecter à des imprimantes réseau à l'aide d'AppleTalk, LPR et IPP, ainsi qu'à des imprimantes Direct-Connect (TWAIN) à l'aide d'USB, • faciliter la découverte d'imprimantes pour les utilisateurs via Open Directory, • imposer des quotas d'impression par utilisateur ou par imprimante pour limiter l'utilisation des imprimantes. Le guide d'administration du service d'impression fournit les informations nécessaires pour les tâches d'installation et d'administration. Service Web Le service Web de Mac OS X Server est basé sur Apache, un serveur Web HTTP libre. Le serveur est livré avec Apache 1.3 et Apache 2.0. Les logiciels libres autorisent quiconque à consulter et éditer le code source afin de le modifier et de l'améliorer. Cette caractéristique a contribué à populariser Apache qui est aujourd'hui le serveur Web le plus utilisé sur Internet. Le service Web comporte un cache frontal hautes performances qui améliore les performances des sites Web utilisant des pages HTML statiques. Ce cache évite au serveur d'avoir à accéder à chaque requête aux fichiers de données statiques. Le service Web gère également le protocole WebDAV (Web-based Distributed Authoring and Versioning). Avec WebDAV, vos utilisateurs clients peuvent prendre des pages Web, les modifier, puis les replacer sans devoir interrompre le fonctionnement du site. De plus, les utilisateurs Mac OS X peuvent utiliser un serveur Web WebDAV comme s'il s'agissait d'un serveur de fichiers. La gestion SSL (Secure Sockets Layer) du service Web permet un cryptage et une authentification sécurisés pour les sites Web de commerce électronique et les documents confidentiels. Un certificat numérique simple d'emploi fournit une preuve infalsifiable de l'identité de votre site Web.40 Chapitre 2 Services de Mac OS X Server Mac OS X Server offre une gestion complète des sites Web dynamiques : • Le service Web gère Java Servlets, JavaServer Pages, MySQL, PHP, Perl ainsi que les scripts UNIX et Mac CGI. • Mac OS X Server comprend un serveur JBoss ainsi que des outils d'administration de haut niveau pour sa gestion. Voir “Gestion des serveurs d'applications” à la page 44 pour plus d'informations sur JBoss. Le guide d'administration des technologies Web fournit des informations sur la configuration et la gestion des services Web. Service de courrier Mac OS X Server fournit un serveur de courrier robuste et complet gérant les protocoles SMTP, POP et IMAP et permettant de choisir une solution de stockage du courrier soit locale, soit basée sur un serveur. Les fonctions pour le courrier sortant (SMTP) sont les suivantes : • L'agent de transfert de courrier SMTP est basé sur Postfix. Pour des informations complètes sur cet agent libre, voir www.postfix.org • Pour l'authentification, les méthodes suivantes sont disponibles : PLAIN, LOGIN, CRAM-MD5 et Kerberos v5. Les principales caractéristiques pour le courrier entrant (POP et IMAP) sont les suivantes : • L'agent d'accès au courrier est un serveur Cyrus POP et IMAP. Voir asg.web.cmu.edu/ cyrus/ pour plus d'informations sur cet agent. • Pour IMAP, les types d'authentification disponibles sont texte en clair, PLAIN, LOGIN, CRAM-MD5 et Kerberos v5. Pour POP, il s'agit de texte en clair, APOP et Kerberos v5. • La base de données du courrier est extrêmement rapide. • Il est possible d'établir des règles d'absence et des quotas pour chaque utilisateur. • Mailman permet de créer et de gérer des listes de diffusion. Mac OS X Server gère aussi SquirrelMail pour la consultation du courrier sur le Web. Pour plus d'informations sur SquirrelMail, voir www.squirrelmail.org Le guide d'administration du service de courrier vous indique comment installer et configurer le service de courrier. Le guide d'administration des technologies Web décrit comment activer WebMail, l'implémentation Mac OS X Server de SquirrelMail. Services de réseau Mac OS X Server comporte les services de réseau ci-dessous pour mieux gérer les communications Internet sur votre réseau TCP/IP : • Dynamic Host Configuration Protocol (DHCP) • Domain Name System (DNS) • Coupe-feuChapitre 2 Services de Mac OS X Server 41 • Network Address Translation (NAT) • Virtual Private Network (VPN) • Service d'horloge réseau • Fonction de reprise IP Le guide d'administration des services réseau fournit des informations complètes sur tous ces services, sauf IP failover, qui est décrit dans le guide d'administration de la ligne de commande. DHCP Le protocole DHCP vous aide à gérer et à distribuer des adresses IP aux ordinateurs clients du serveur, et ce de façon dynamique. À partir d'un bloc d'adresses IP défini par vos soins, votre serveur localise une adresse non utilisée et la “loue” aux ordinateurs clients en fonction des besoins. Le protocole DHCP s'avère particulièrement utile lorsqu'une organisation dispose d'un nombre de clients supérieur à celui d'adresses IP. Celles-ci ne sont attribuées que dans la mesure où elles sont nécessaires. Celles qui ne trouvent pas preneur sont disponibles pour d'autres clients. Comme vous l'avez appris dans la section “Politiques de recherche” à la page 31, vous pouvez automatiser la configuration des services de répertoires des clients Mac OS X en utilisant l'Option 95 de votre serveur DHCP. Cette option recommandée permet aux ordinateurs clients de connaître leurs réglages de répertoires par l'intermédiaire d'un serveur DHCP. DNS Grâce au service DNS, les utilisateurs peuvent se connecter à une ressource de réseau, telle qu'un serveur Web ou de fichiers, en spécifiant un nom d'hôte (par exemple, serveur.apple.com) plutôt qu'une adresse IP (telle que “192.168.11.12”). DNS est une base de données distribuée qui affecte des adresses IP des noms de domaine. Un serveur fournissant le service DNS conserve une liste de noms ainsi que les adresses IP qui leur sont associées. Lorsqu'un ordinateur a besoin de l'adresse IP correspondant à un nom, il envoie un message au serveur DNS (également appelé serveur de noms). Le serveur de noms cherche l'adresse IP et la renvoie à l'ordinateur. S'il ne la trouve pas en local, il envoie des messages à d'autres serveurs de noms sur Internet pour l'obtenir. Vous aurez besoin du serveur DNS si vous utilisez les services de courrier SMTP ou si vous souhaitez créer des sous-domaines dans votre domaine principal. Vous utiliserez également le service DNS si vous hébergez plusieurs sites Web. Si vous ne disposez pas d'un fournisseur d'accès à Internet (FAI) gérant le service DNS pour votre réseau, vous pouvez configurer un serveur DNS pour Mac OS X Server. Mac OS X Server fournit des outils d'administration pour la gestion de la configuration des services, le contrôle des zones et le suivi des événements. Il offre une interface graphique pour42 Chapitre 2 Services de Mac OS X Server • activer les transferts de zone et la récursion, • spécifier les interfaces sur lesquelles écouter les requêtes DNS, • gérer les listes d'hôtes bloqués, • travailler avec les fichiers d'historique, • gérer les zones et leurs fiches. Coupe-feu Le service de coupe-feu protège votre serveur et son contenu des intrus. Il assure un coupe-feu logiciel en analysant les paquets IP entrants et en les acceptant ou en les refusant en fonction des filtres que vous avez définis. Vous pouvez définir des restrictions sur l'ensemble du serveur pour les paquets provenant d'adresses IP spécifiques. Vous pouvez aussi limiter l'accès à chacun des services (Web, courrier, FTP…) en définissant des filtres pour les ports utilisés par ces derniers. Le coupe-feu IP peut être employé pour bloquer l'accès aux ports de certains services ou pour ne permettre l'accès qu'à certains ports. De plus, le coupe-feu IP est muni d'un mécanisme sophistiqué, l'inspection des paquets, permettant de s'assurer qu'un paquet entrant est bien une réponse légitime à une requête sortante ou qu'il fait partie d'une session en cours, ce qui permet d'accepter des paquets qui seraient refusés autrement. NAT La traduction d'adresses réseau (Network Address Translation ou NAT) est un moyen de connecter plusieurs ordinateurs à Internet (ou à tout autre réseau IP) à partir d'une seule adresse IP. Elle convertit les adresses IP que vous attribuez aux ordinateurs sur votre réseau interne en une adresse pouvant être utilisée pour les communications Internet. Ainsi, la borne d'accès AirPort utilise le service NAT. Par défaut, une borne affecte à l'aide du service DHCP des adresses IP aux ordinateurs du réseau Ethernet. Le service NAT convertit ensuite ces adresses lorsque l'un de ces ordinateurs cherche à accéder à Internet. Le service NAT est de plus en plus répandu parce qu'il permet de réduire le nombre d'adresses IP utilisées. Il augmente aussi la sécurité de l'accès Internet en n'acceptant que des connexions provenant du réseau interne. L'application Admin Serveur de Mac OS X Server vous permet d'administrer le service NAT. Vous pouvez aussi utiliser l'outil de ligne de commande ipfw ou le service Coupefeu pour configurer les traductions NAT spécifiques à votre réseau.Chapitre 2 Services de Mac OS X Server 43 VPN Mac OS X Server vous permet de mettre en place un réseau privé virtuel (Virtual Private Network ou VPN). Le protocole VPN est un protocole de transmission réseau utilisant le cryptage ainsi que d'autres technologies pour fournir des communications sécurisées sur un réseau public. En général, ce réseau public est l'Internet, mais les VPN sont également employés pour les connexions entre plusieurs intranets d'une même entreprise ou pour relier les réseaux de deux entreprises et former un extranet. Les VPN transmettent des paquets IP cryptés de telle manière que seuls les destinataires légitimes puissent les interpréter, protégeant ainsi le contenu des messages en cas d'interception des paquets. Mac OS X Server vous permet de définir et de gérer des politiques VPN qui acceptent différentes options d'authentification et d'autorisation et divers paramètres de connexion réseau. Le service VPN de Mac OS X Server est compatible avec les clients Mac OS X, Windows et UNIX et gère l'authentification forte avec MS-CHAP et IPSec. IP failover Vous pouvez configurer la fonction IP failover pour augmenter la disponibilité du serveur. Il s'agit d'un système qui permet de configurer un serveur de secours destiné à remplacer le serveur principal en cas de panne. Le serveur de secours prend en charge l'adresse IP du serveur en panne, qui la récupère à son tour dès qu'il est de nouveau en ligne. Le système IP failover s'avère très utile pour les serveurs DNS, les serveurs Web hébergeant des sites Web, les serveurs de diffusion de données et d'autres serveurs demandant une faible duplication de données. Diffusion de contenu multimédia Le Serveur Enchaînement QuickTime (QTSS), vous permet de diffuser du contenu multimédia en temps réel à l'aide des protocoles standard RTSP/RTP. QTSS gère les formats de fichier MPEG-4, MP3 et QuickTime. Vous pouvez envoyer via Internet des données, en direct ou préenregistrées, aux utilisateurs Macintosh et Windows ou en retransmettre à d'autres serveurs d'enchaînement. Vous pouvez choisir le flux monodiffusion, qui permet d'envoyer un flux à chaque client en particulier, ou une multidiffusion, qui envoie le flux à un groupe de clients. • Pour plus d'informations sur QTSS, consultez le site Web QuickTime (www.apple.com/fr/quicktime/products/qtss/). • Pour plus d'informations sur la gestion des services de diffusion en temps réel sur Mac OS X Server, reportez-vous au guide d'administration du Serveur Enchaînement QuickTime.44 Chapitre 2 Services de Mac OS X Server Deux applications QuickTime livrées avec Mac OS X Server permettent de préparer les contenus à diffuser : • QTSS Publisher permet d'envoyer le contenu au serveur de diffusion et de le préparer pour sa diffusion. Ses fonctions principales sont les suivantes : création et gestion de listes de lecture, génération de sites Web basés sur des répertoires de contenu et modification des annotations de contenu. Le guide d'administration du Serveur Enchaînement QuickTime décrit comment utiliser QTSS Publisher. • Quicktime Broadcaster permet une diffusion en direct. Il permet de diffuser des données audio et vidéo sur Internet et est fourni avec des paramètres de diffusion prédéfinis, tout en autorisant la création de réglages personnalisés. Construit sur l'architecture QuickTime, QuickTime Broadcaster vous permet de diffuser des données en direct au moyen de la majorité des codecs gérés par QuickTime. Pour plus d'informations sur QuickTime Broadcaster, ouvrez la page www.apple.com/fr/quicktime/ et cliquez sur le lien Quicktime Broadcaster. Gestion des serveurs d'applications Un serveur d'application est un logiciel qui exécute et gère d'autres applications, généralement des applications Web, auxquelles les utilisateurs accèdent via un navigateur Web. Les applications gérées se trouvent sur le même ordinateur que le serveur d'applications. L'une des fonctions du serveur d'applications est de s'assurer que les applications qu'il gère sont toujours disponibles. Par exemple, si une application échoue ou ne répond plus, le serveur d'applications la redémarre. Certains serveurs d'applications offrent un équilibrage des charges, en les répartissant entre deux ou plusieurs ordinateurs. Cette section traite de trois technologies serveur intégrées proposées par Mac OS X Serveur : Apache Tomcat, JBoss et WebObjects. Toutes trois sont préinstallées avec le serveur et peuvent être employées avec Apache Axis, également préinstallé. Axis est une plate-forme en code libre Java permettant la mise en œuvre de services Web via SOAP (Simple Object Access Protocol), un protocole basé sur XML. Pour plus d'informations sur SOAP, voir www.w3.org/TR/SOAP/ Le guide d'administration des technologies Web fournit plus d'informations sur les applications libres et les modules livrés avec Mac OS X Server. Apache Tomcat Tomcat est un conteneur en code libre JavaServer Pages (JSP)/servlet qui est employé dans l'implémentation de référence officielle pour les technologies Java Servlet et JavaServer Pages. • Les spécifications de Java Servlet se trouvent à l'adresse java.sun.com/products/servlets/ • Les spécifications de JavaServer Pages se trouvent à l'adresse java.sun.com/products/jsp/Chapitre 2 Services de Mac OS X Server 45 JBoss JBoss est un serveur d'applications Java complet couramment employé. Il fournit une plate-forme J2EE complète (Java 2 Enterprise Edition, avec des fonctions telles que : • un conteneur Enterprise Java Bean (EJB), • Java Management Extensions (JMX), • Java Connector Architecture (JCA). Mac OS X Server fournit des outils visuels simples d'emploi pour configurer et contrôler JBoss et pour simplifier le déploiement d'applications JBoss. Le guide d'administration de JBoss décrit comment gérer le serveur JBoss de Mac OS X Server. Si vous vous intéressez à la programmation en J2EE, consultez le document "Java Enterprise Applications", disponible à l'adresse www.apple.com/server/documentation/ (en anglais). • Pour plus d'informations sur J2EE, voir java.sun.com/j2ee/ • Pour plus d'informations sur JBoss, voir www.jboss.org/ Par défaut, JBoss utilise Tomcat en tant que conteneur d'applications Web, même si vous pouvez en utiliser d'autres, tels que Jetty. WebObjects WebObjects est la solution Apple pour le développement et le déploiement rapide d'applications e-commerce et d'autres applications Internet. Les applications WebObjects peuvent se connecter à plusieurs bases de données et générer des codes HTML de manière dynamique. WebObjects offre un ensemble complet d'outils et de bibliothèques d'exécution qui facilitent le développement de services Web basés sur les standards et d'applications serveur Java. Mac OS X Server est fourni avec les bibliothèques d'exécution WebObjects et une licence de déploiement illimitée, ce qui en fait la plate-forme idéale pour vos applications WebObjects compatibles J2EE. En option, vous pouvez acquérir les outils de développement WebObjects sur l'Apple Store (www.apple.com/francestore/), ainsi que dans les boutiques et chez les revendeurs Apple. Pour plus d'informations et de documentation à ce sujet, consultez la page Web de WebObjects à l'adresse : www.apple.com/fr/webobjects/ Intégration dans des environnements existants Il existe de nombreux moyens d'intégrer Mac OS X Server à un environnement existant. Open Directory offre plusieurs options pour utiliser des informations de répertoires : • Vous pouvez utiliser un centre de distribution de clés Kerberos ou Active Directory pour authentifier les utilisateurs. • Vous pouvez partager les informations stockées dans un système de répertoires LDAPv3 accessible à partir de votre serveur.46 Chapitre 2 Services de Mac OS X Server • Vous pouvez récupérer des informations de configuration à partir de fichiers de configuration Berkeley Software Distribution (BSD) ou de fichiers Network Information System (NIS) Sun Microsystems. Votre serveur peut offrir un service de réseau privé virtuel, le partage de fichiers et d'imprimantes et l'authentification Open Directory aux utilisateurs Windows. Vous pouvez également héberger des répertoires de départ d'utilisateurs Windows si vous installez un contrôleur de domaine principal sur Mac OS X Server. Plusieurs guides vous fourniront des instructions pour paramétrer un serveur afin qu'il fonctionne avec les produits d'autres éditeurs : • Le guide d'administration Open Directory fournit des instructions pour l'intégration dans des systèmes de répertoires existants. • Le guide d'administration des services Windows décrit comment configurer les services d'impression et de fichiers, ainsi que la gestion des contrôleurs de domaine principal pour les utilisateurs Windows. • Le guide de gestion des utilisateurs décrit comment configurer les options Windows pour chacun des utilisateurs. Haute disponibilité Les fonctions de Mac OS X Server qui favorisent une haute disponibilité sont les suivantes : • Réplique LDAP Apple Open Directory (voir le guide d'administration Open Directory) • IP failover (voir le guide d'administration de la ligne de commande) • Redémarrage automatique après un échec matériel ou logiciel • Contrôle de l'espace disque (voir le guide d'administration de la ligne de commande pour des informations sur les scripts de défilement et l'outil diskspacemonitor) • RAID logiciel (voir l'aide en ligne de l'Utilitaire de disque) • Disques HFS journalisés (voir le guide d'administration de la ligne de commandes pour savoir comment utiliser la journalisation des disques) • Contrôle à distance du serveur (voir le chapitre 3, “Administration du serveur”, à la page 47) Administration de serveur Mac OS X Server fournit une gamme complète d'outils et d'applications pour la gestion de vos serveurs. Tant pour l'installation initiale du serveur que pour la configuration des services ou sa gestion quotidienne, les administrateurs peuvent utiliser des interfaces graphiques ou des outils de ligne de commande à partir du serveur ou d'un ordinateur Mac OS X sur lequel vous avez installé les applications livrées avec le serveur. Consultez le chapitre 3, “Administration du serveur”, pour plus d'informations sur les outils et les applications de Mac OS X Server.3 47 3 Administration du serveur Administrez Mac OS X Server au moyen d'applications graphiques ou d'utilitaires de ligne de commande. Ces outils offrent diverses approches d'administration de serveur : • Vous pouvez administrer les serveurs en local (directement sur le serveur utilisé) ou à distance à partir d'un autre serveur, d'un ordinateur Mac OS X ou d'un poste de travail UNIX. • Les applications graphiques, comme Admin Serveur et Gestionnaire de groupe de travail, facilitent l'administration du serveur et sécurisent les communications pour l'administration du serveur à distance. Vous pouvez utiliser ces applications sur un ordinateur Mac OS X Server (elles se trouvent dans le répertoire /Applications/Server/) ou sur un ordinateur Mac OS X où vous les avez installées comme décrit dans “Configuration d'un ordinateur administrateur” à la page 49. • Des utilitaires de ligne de commande sont accessibles pour les administrateurs qui préfèrent administrer le serveur à l'aide de commandes. Pour l'administration du serveur à distance, vous pouvez soumettre les commandes dans une session SSH (Secure Shell). Vous pouvez entrer les commandes sur les ordinateurs Mac OS X Server et Mac OS X au moyen de l'application Terminal, qui se trouve dans le dossier / Applications/Utilities/. Vous pouvez également les soumettre depuis un ordinateur non Macintosh, comme décrit dans “Administration au moyen d'un ordinateur non Mac OS X” à la page 49. Utilisation des outils d'administration Les informations relatives à chaque outil d'administration sont disponibles aux pages indiquées dans le tableau ci-dessous. Application ou outil Sert à Pour plus d'informations, voir Programme d'installation Installer le logiciel serveur ou mettre à niveau la version 10.1 ou 10.2 la page 50 Assistant du serveur Configurer la version 10.3 du serveur pour la première fois la page 5048 Chapitre 3 Administration du serveur La section suivante décrit comment configurer un ordinateur sur lequel utiliser ces applications et outils. Ordinateurs permettant d'administrer un serveur Pour administrer un serveur local au moyen d'une application graphique (disponible dans le répertoire /Applications/Server/), ouvrez une session sur le serveur en tant qu'administrateur, puis démarrez l'application. Pour administrer un serveur distant, lancez l'application sur un ordinateur administrateur (tout ordinateur Mac OS X Server, Mac OS X 10.3 ou version supérieure sur lequel est installée l'application). Vous pouvez exécuter les utilitaires de ligne de commande à partir de l'application Terminal (dans le répertoire/Applications/Utilities/) et sur n'importe quel ordinateur Mac OS X Server ou Mac OS X. Vous pouvez également exécuter les utilitaires de ligne de commande depuis un poste de travail UNIX. Format de répertoire Configurer l'accès aux données dans les répertoires, définir une politique de recherche et activer les protocoles de détection de services la page 50 Gestionnaire de groupe de travail Administrer les comptes d'utilisateurs, de groupes et d'ordinateurs ainsi que les points partagés et la gestion des clients pour les utilisateurs Mac OS X la page 51 Admin Serveur Configurer et contrôler des services Configurer et administrer la diffusion multimédia QuickTime la page 56 la page 61 Outils d'image système Gérer les images de disque NetBoot et d'installation en réseau la page 60 Contrôle de serveur Contrôler l'équipement Xserve la page 60 Apple Remote Desktop Surveiller et contrôler d'autres ordinateurs Macintosh la page 61 Utilitaires de ligne de commande Administrer un serveur au moyen d'un shell de commande UNIX la page 62 Gestionnaire Macintosh Administrer la gestion des clients pour les utilisateurs Mac OS 9 la page 62 Application ou outil Sert à Pour plus d'informations, voirChapitre 3 Administration du serveur 49 Configuration d'un ordinateur administrateur Un ordinateur administrateur est équipé de Mac OS X ou Mac OS X Server version 10.3 ou supérieure, qui vous permet d'administrer les serveurs distants. Dès que vous avez installé et configuré un ordinateur Mac OS X Server doté d'un moniteur, un clavier et un lecteur optique, celui-ci est un ordinateur administrateur. Pour définir un ordinateur équipé de Mac OS X comme ordinateur administrateur, vous devez installer un autre logiciel. Dans la figure ci-dessous, les flèches vont des ordinateurs administrateurs vers les serveurs qu'ils permettent d'administrer. Pour définir un ordinateur équipé de Mac OS X comme ordinateur administrateur : 1 Assurez-vous que l'ordinateur Mac OS X possède la version 10.3 ou supérieure. En outre, vérifiez que l'ordinateur a au moins 128 Mo de RAM et 1 Go d'espace disque disponible. 2 Insérez le CD des outils d'administration Mac OS X Server. 3 Démarrez le programme d'installation (ServerAdmin.pkg) et suivez les instructions à l'écran. Administration au moyen d'un ordinateur non Mac OS X Vous pouvez utiliser un ordinateur non Mac OS X prenant en charge SSH (comme un poste de travail UNIX) pour administrer Mac OS X Server à l'aide des utilitaires de ligne de commande. Pour plus d'informations, consultez le guide d'administration des lignes de commande. Ordinateur administrateur Mac OS X Mac OS X Servers50 Chapitre 3 Administration du serveur Programme d'installation Exécutez le programme d'installation pour installer le logiciel serveur sur un serveur local à partir des CD d'installation fournis. Ce programme permet d'effectuer les tâches suivantes : • nouvelle installation de Mac OS X Server, qui installe la version 10.3 après effacement et formatage du disque de destination, • mise à niveau des versions 10.1 ou 10.2 vers la version 10.3 sans effacer aucune donnée. Pour des informations sur l'utilisation du programme d'installation, voir le chapitre 6, “Installation du logiciel serveur”. Assistant du serveur L'Assistant du serveur, qui se trouve dans le répertoire /Applications/Server/, est utilisé pour la première configuration du serveur et les installations distantes. Cette application flexible prend en charge divers scénarios de configuration : • Configurations locales et distantes • Installations du serveur à distance • Configurations d'un ou plusieurs serveurs • Préparation des données pour la configuration automatique du serveur Pour des informations sur l'utilisation de l'Assistant du serveur, voir le chapitre 7, “Configuration initiale du serveur”. Format de répertoire Format de répertoire est la principale application permettant de configurer les connexions à un ordinateur Mac OS X local ou distant avec des répertoires Open Directory, ainsi que de définir la stratégie de recherche de l'ordinateur et les protocoles de détection de services. L'application Format de répertoire est installée sur les ordinateurs Mac OS X Server et Mac OS X dans le répertoire /Applications/Utilities/ L'application Format de répertoire fournie avec la version 10.3 peut être utilisée pour configurer des ordinateurs versions 10.2 et 10.3. Pour des informations sur l'utilisation de Format de répertoire, voir le guide d'administration Open Directory.Chapitre 3 Administration du serveur 51 Gestionnaire de groupe de travail Le Gestionnaire des groupe de travail permet d'administrer des comptes d'utilisateurs, de groupes et d'ordinateurs, d'utiliser les préférences clients gérées pour les utilisateurs Mac OS X, d'administrer les points partagés et d'accéder à l'Inspecteur, fonction avancée autorisant des modifications brutes aux entrées Open Directory. Les informations relatives au Gestionnaire de groupe de travail sont disponibles dans de nombreux documents : • Le guide de gestion des utilisateurs décrit l'utilisation du Gestionnaire de groupe de travail pour l'administration des comptes et des préférences. • Le guide d'administration des services de fichiers décrit l'administration des points partagés à l'aide de la fonction de partage du Gestionnaire de groupe de travail. • Le guide d'administration Open Directory décrit l'utilisation de l'Inspecteur. • Le guide d'administration des services Windows décrit l'administration des utilisateurs de postes de travail Windows à l'aide du Gestionnaire de groupe de travail. • Le guide d'administration du service d’impression décrit la définition des quotas d'impression de chaque utilisateur à l'aide du Gestionnaire de groupe de travail. Ouverture de Gestionnaire de groupe de travail et authentification Le Gestionnaire de groupe de travail est installé dans le répertoire /Applications/Server/ Pour l'ouvrir, cliquez sur son icône dans le Dock ou dans la barre d'outils de l'application Admin Serveur : • Pour ouvrir le Gestionnaire de groupe de travail sur le serveur que vous utilisez sans authentification, choisissez Afficher les répertoires dans le menu du serveur lorsque la boîte de dialogue d'ouverture de session du Gestionnaire de groupe de travail s'affiche. Vous avez un accès en lecture seule aux informations qu'il contient. Pour apporter des modifications, cliquez sur l'icône symbolisant un verrou afin de vous authentifier en tant qu'administrateur. Cette procédure est la plus indiquée lorsque vous administrez différents serveurs et que vous travaillez avec divers domaines de répertoire. • Pour vous authentifier en tant qu'administrateur d'un serveur particulier, qu'il soit local ou distant, tapez l'adresse IP du serveur ou son nom DNS dans la fenêtre d'ouverture de session ou cliquez sur Parcourir pour effectuer votre sélection dans une liste de serveurs. Tapez le nom d'utilisateur et le mot de passe d'un administrateur du serveur, puis cliquez sur Se connecter. Procédez de cette manière si vous travaillez la plupart du temps avec le même serveur. Après avoir ouvert le Gestionnaire de groupe de travail, vous pouvez ouvrir l'une de ses fenêtres pour un autre ordinateur en cliquant sur Se connecter dans la barre d'outils ou en choisissant Serveur > Se connecter.52 Chapitre 3 Administration du serveur Utilisation du Gestionnaire de groupe de travail Une fois la session ouverte, une fenêtre affiche la liste des comptes d'utilisateurs. Il s'agit initialement des comptes stockés dans le dernier noeud de répertoire figurant dans le chemin de recherche du serveur. Voici comment s'initier aux principales tâches possibles avec cette application : • Pour administrer des comptes d'utilisateurs, de groupes ou d'ordinateurs, cliquez sur l'icône Comptes dans la barre d'outils. Dans la partie gauche, cliquez sur le bouton d'utilisateur, de groupe ou d'ordinateur pour afficher la liste des comptes qui existent actuellement dans le ou les répertoires que vous utilisez. Pour spécifier les répertoires dans lesquels sont stockés les comptes que vous voulez utiliser, cliquez sur l'icône en forme de globe au-dessus de la liste des comptes. Vous pouvez afficher la liste des comptes dans des répertoires dans le chemin de recherche du serveur auquel vous êtes connecté. Pour utiliser simultanément des comptes stockés dans différents répertoires ou utiliser différentes vues des comptes dans un même répertoire, ouvrez plusieurs fenêtres du Gestionnaire de groupe de travail en cliquant sur l'icône Nouvelle fenêtre dans la barre d'outils. Pour filtrer la liste des comptes à l'écran, utilisez la liste de recherche déroulante qui se trouve au-dessus de la liste des comptes. Pour actualiser la liste des comptes, cliquez sur le bouton Actualiser dans la barre d'outils.Chapitre 3 Administration du serveur 53 Pour simplifier la définition des attributs initiaux d'un compte à sa création, vous pouvez utiliser des préréglages. Un compte préréglé est un modèle de compte. Pour créer un préréglage, sélectionnez un compte, configurez toutes les valeurs à votre convenance, puis choisissez Enregistrer le préréglage dans le menu local Préréglages, au bas de la fenêtre. • Pour appliquer les préférences clients gérées aux comptes d'utilisateurs, de groupes ou d'ordinateurs, cliquez sur l'icône Préférences dans la barre d'outils. 54 Chapitre 3 Administration du serveur • Pour travailler avec des points partagés, cliquez sur l'icône Partage dans la barre d'outils. Chapitre 3 Administration du serveur 55 • Pour afficher l'Inspecteur, choisissez Gestionnaire de groupe de travail > Préférences. Activez l'affichage de l'Inspecteur puis cliquez sur OK. Ensuite, cliquez sur le bouton Tous les enregistrements (qui ressemble à un oeil de boeuf) pour accéder à l'Inspecteur. • Pour contrôler l'environnement du Gestionnaire de groupe de travail, vous avez le choix entre plusieurs options. Pour contrôler l'affichage des utilisateurs et des groupes dans le Gestionnaire de groupe de travail, que ce soit au moyen de transactions SSL ou autres, choisissez Gestionnaire de groupe de travail > Préférences. Pour personnaliser la barre d'outils, choisissez Affichage > Personnaliser la barre d'outils. • Pour importer ou exporter des comptes d'utilisateurs et de groupes, choisissez Serveur > Importer ou Serveur > Exporter, respectivement. • Pour récupérer des informations en ligne, utilisez le menu Aide. Vous y obtiendrez de l'aide sur les tâches d'administration que le Gestionnaire de groupe de travail permet d'effectuer, ainsi que d'autres rubriques relatives à Mac OS X Server. • Pour ouvrir Admin Serveur afin de contrôler et utiliser des services sur des serveurs particuliers, cliquez sur l'icône Admin dans la barre d'outils. 56 Chapitre 3 Administration du serveur Admin Serveur L'application Admin Serveur vous permet d'administrer des services sur un ou plusieurs ordinateurs Mac OS X Server. Ouverture de l'application Admin Serveur et authentification L'application Admin Serveur est installée dans le répertoire /Applications/Server/ Pour l'ouvrir, cliquez sur l'icône Admin Serveur dans le Dock ou sur le bouton Admin dans la barre d'outils du Gestionnaire de groupe de travail. Pour sélectionner un serveur à utiliser, tapez son adresse IP ou son nom DNS dans la fenêtre d'ouverture de session ou cliquez sur Parcourir pour le choisir dans une liste de serveurs. Tapez le nom d'utilisateur et le mot de passe d'un administrateur, puis cliquez sur Se connecter. Pour administrer plusieurs serveurs à partir d'une fenêtre Admin Serveur, il vous suffit de cliquer sur Ajouter un serveur dans la barre d'outils après avoir ouvert Admin Serveur, puis ouvrez une session sur le serveur. La prochaine fois que vous ouvrirez Admin Serveur, tout serveur ajouté apparaîtra dans la liste. Vous pouvez vous connecter à un serveur version 10.2 à l'aide de l'application Admin Serveur. Dans ce cas, vous ne pouvez pas modifier ses services mais vous pouvez en contrôler l'état.Chapitre 3 Administration du serveur 57 Utilisation de l'application Admin Serveur Voici quelques conseils généraux relatifs à l'utilisation de l'application Admin Serveur. Des instructions détaillées relatives à son utilisation pour gérer des services individuels sont disponibles dans le guide d'administration spécifique au service. • Les serveurs que vous pouvez administrer après l'ouverture de l'application Admin Serveur figurent dans la liste Ordinateurs & services. Pour ajouter un serveur à la liste Ordinateurs & services, cliquez sur Ajouter un serveur dans la barre d'outils, puis ouvrez une session sur le serveur. La prochaine fois que vous ouvrirez Admin Serveur, tout serveur ajouté apparaîtra dans la liste. Pour restreindre les éléments affichés dans la liste Ordinateurs & services, sélectionnez ceux que vous voulez afficher dans le menu local au-dessus de la liste. Pour modifier l'ordre des serveurs dans la liste, glissez-les à la nouvelle position de votre choix. Si un serveur dans la liste est grisé, double-cliquez dessus ou cliquez sur le bouton Se connecter dans la barre d'outils pour ouvrir une nouvelle session. Cochez la case Ajouter au trousseau lorsque vous ouvrez la session afin d'activer la reconnexion automatique à la prochaine ouverture d'Admin Serveur. Pour supprimer un serveur de la liste Ordinateurs & services, sélectionnez-le, choisissez Serveur > Se déconnecter, puis Serveur > Supprimer Serveur. • Vous pouvez définir le niveau de sécurité des communications entre Admin Serveur et les serveurs distants en choisissant Admin Serveur > Préférences.58 Chapitre 3 Administration du serveur Par défaut, l'option Utiliser des connexions sécurisées (SSL) est activée et toutes les communications avec les serveurs distants sont cryptées à l'aide de SSL. Cette option utilise un certificat auto-signé de 128 bits dans le répertoire /etc/servermgrd/ssl.crt/ à l'installation du serveur. Les communications utilisent le protocole HTTPS (port 311). Si cette option n'est pas activée, le protocole HTTP (port 687) est utilisé et le texte clair est échangé entre Admin Serveur et le serveur distant. Pour renforcer la sécurité, cochez également la case Exiger une signature numérique valide. L'option utilise un certificat SSL installé sur n'importe quel serveur distant à administrer au moyen de l'application Admin Serveur afin de vous assurer que le serveur distant est valide. Avant d'activer cette option, suivez les instructions décrites dans le guide d'administration des technologies Web, relatives à la création d'une demande de signature de certificat (CSR, Certificate Signing Request), l'obtention d'un certificat SSL auprès d'une autorité de certification et l'installation de celui-ci sur chaque serveur distant. Au lieu de placer les fichiers dans le répertoire /etc/httpd/, stockez-les dans /etc/servermgrd/ Si vous voulez définir des niveaux d'authentification SSL supérieurs, visitez le site www.modssl.org. • Pour utiliser les réglages généraux du serveur, sélectionnez un serveur dans la liste Ordinateurs & services. Cliquez sur Vue d'ensemble pour afficher les informations relatives au serveur. Cliquez sur Historiques pour afficher les journaux système, les mises à jour logicielles, etc. Cliquez sur Système pour afficher les informations relatives aux ports et aux volumes utilisés par le serveur. Cliquez sur Graphiques pour afficher l'historique graphique des activités du serveur. Cliquez sur Mise à jour pour mettre à jour le logiciel du serveur à l'aide de Mise à jour de logiciels. Cliquez sur Réglages pour modifier des valeurs comme le nom d'ordinateur du serveur et son numéro de série et activer les services SNMP, NTP et Gestionnaire Macintosh. • Pour utiliser un service particulier sur un serveur, cliquez dessus dans la liste affichée sous le serveur (Ordinateurs & services). Vous pouvez afficher les informations relatives à un service (historiques, graphiques, etc.) et gérer ses réglages. Vous trouverez des instructions détaillées dans les guides d'administration de chaque service. Pour démarrer ou arrêter un service, sélectionnez-le dans la liste Ordinateurs & services, puis cliquez sur Démarrer le service ou Arrêter le service dans la barre d'outils. • Pour copier les réglages du service d'un serveur à un autre ou pour les enregistrer dans un fichier de liste des propriétés en vue de leur réutilisation ultérieure, cliquez sur l'icône glisser-déposer lorsqu'elle est visible dans l'angle inférieur droit. Chapitre 3 Administration du serveur 59 Sélectionnez le service dont vous voulez copier les réglages, puis cliquez sur Réglages pour les afficher. Cliquez ensuite sur l'icône glisser-déposer. L'icône prend alors la forme d'une version miniature de la fenêtre Réglages. Pour enregistrer les réglages dans un fichier de liste des propriétés, faites glisser la fenêtre miniature sur votre Bureau ou dans un dossier. Pour appliquer les réglages sur un autre serveur, ouvrez une autre fenêtre Admin Serveur, puis faites glisser la fenêtre miniature des réglages vers le service qui doit hériter de ses valeurs. • Pour désactiver les modifications apportées aux réglages d'un service au-delà d'un certain délai d'inactivité, choisissez Admin Serveur > Préférences. Sélectionnez Verrouiller auto la vue après et indiquez la durée, par défaut de 60 minutes. Pour désactiver les modifications à la demande, choisissez Affichage > Verrouiller la vue. Pour activer de nouveau les modifications, choisissez Afficher > Déverrouiller la vue et réauthentifiez-vous en tapant le nom d'utilisateur et le mot de passe utilisés pour ouvrir la session. • Pour récupérer des informations en ligne, utilisez le menu Aide. Vous y obtiendrez de l'aide sur les tâches d'administration que l'application Admin Serveur permet d'effectuer, ainsi que d'autres rubriques relatives à Mac OS X Server. • Pour contrôler l'environnement d'administration, vous avez le choix entre plusieurs options. Pour contrôler l'apparence des listes Admin Serveur, la fréquence d'actualisation automatique et d'autres comportements, choisissez Admin Serveur > Préférences. Pour personnaliser la barre d'outils, choisissez Affichage > Personnaliser la barre d'outils. Pour ajouter dans la barre d'outils un raccourci vers une vue particulière de d'Admin Serveur, allez au volet de votre choix, puis choisissez Affichage > Ajouter un raccourci vers la vue. • Pour accéder au Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur l'icône de l'application dans la barre d'outils.60 Chapitre 3 Administration du serveur Administration des images système Pour créer et administrer les images NetBoot et d'installation en réseau, vous pouvez utiliser plusieurs applications : • NetBoot Desktop Admin vous permet de modifier des images Mac OS 9. • L'Utilitaire d'images de réseau vous permet de créer et de modifier des images Mac OS X, y compris les images de l'installation réseau qui recréent une partition ou un volume existant. • Admin Serveur vous permet d'organiser les images NetBoot et d'utiliser des filtres contrôlant la visibilité des images à partir des ordinateurs clients. • PackageMaker permet de créer des progiciels d'installation réseau. Le guide d'administration des images système contient des instructions sur l'utilisation de toutes ces applications. Contrôle de serveur Utilisez Contrôle de serveur pour contrôler le matériel Xserve et envoyer des notifications par courrier électronique lorsque les circonstances le requièrent. Contrôle de serveur vous offre des informations sur le système d'exploitation installé, les lecteurs, l'alimentation, la température du processeur et du boîtier, les ventilateurs, la sécurité et le réseau. Contrôle de serveur est installé dans le répertoire /Applications/Server/ lorsque vous installez votre serveur ou configurez un ordinateur administrateur. Pour ouvrir Contrôleur de serveur, cliquez sur l'icône de l'application dans le Dock ou doublecliquez sur son icône dans le répertoire /Applications/Server/. Utilisez cette application pour contrôler des serveurs Xserve locaux ou distants : Chapitre 3 Administration du serveur 61 • Pour identifier le serveur Xserve à contrôler, cliquez sur Ajouter un serveur, identifiez le serveur qui vous intéresse et tapez le nom d'utilisateur et le mot de passe d'un administrateur du serveur. • Sélectionnez la fréquence d'actualisation des données dans le menu local Mettre à jour tous les, dans le volet Infos. • Choisissez Fichier > Exporter ou Fichier > Importer pour gérer les différentes listes de serveurs Xserve à contrôler. Choisissez Fichier > Fusionner pour regrouper toutes les listes en une. • Les témoins LED des faces avant et arrière des serveurs Xserve s'allument lorsqu'une réparation est requise. Utilisez Contrôle de serveur pour savoir exactement pourquoi les témoins s'allument. Vous pouvez également allumer les témoins d'un serveur Xserve afin de l'identifier dans une baie de serveurs. Pour cela, sélectionnez le serveur et cliquez sur Témoin système dans le volet Infos. • Cliquez sur Modifier les notifications pour configurer l'application Contrôle de serveur de sorte qu'elle vous avertisse par courrier électronique de tout changement de l'état du serveur Xserve. Pour chaque serveur, configurez les conditions dont vous souhaitez être averti. Le message électronique peut provenir de Contrôle de serveur ou du serveur lui-même. • Contrôle de serveur conserve des historiques de l'activité sur chaque serveur Xserve. Cliquez sur Afficher l'historique pour afficher un journal. Les historiques indiquent par exemple le nombre de fois où Contrôle de serveur a tenté de contacter le serveur et quelles connexions ont réussi. Ils indiquent également les modifications de l'état du serveur. Ces historiques n'incluent pas l'activité du système sur le serveur. Administration des diffusions multimédias Le guide d'administration des services de diffusion QuickTime contient des instructions utiles sur le sujet. Pour administrer les services de diffusion QuickTime, vous devez utiliser l'application Admin Serveur. Apple Remote Desktop Apple Remote Desktop, que vous pouvez acheter en option, simplifie la modification des réglages de plusieurs ordinateurs clients. Par exemple, à partir d'un seul ordinateur administrateur dans un atelier, vous pouvez facilement configurer tous les clients pour utiliser une image NetBoot au démarrage. Pour plus d'informations sur Apple Remote Desktop, visitez le site www.apple.com/remotedesktop/62 Chapitre 3 Administration du serveur Utilitaires de ligne de commande Si vous êtes administrateur et préférez travailler dans un environnement de ligne de commande, Mac OS X Server s'y prête aisément. À partir de l'application Terminal dans Mac OS X, vous pouvez utiliser les shells UNIX intégrés (sh, csh, tsh, zsh, bash) afin d'utiliser les outils d'installation et de configuration du logiciel du serveur, ainsi que configurer et contrôler des services. Vous pouvez également soumettre des commandes à partir d'un ordinateur non Mac OS X. Lorsque vous administrez des serveurs distants, vous travaillez de façon sécurisée dans une session SSH (Secure Shell). Le guide d'administration des lignes de commande décrit les commandes et les fichiers de configuration des applications Terminal, SSH et Admin Serveur. Gestionnaire Macintosh Utilisez Gestionnaire Macintosh pour administrer la gestion des clients pour des ordinateurs clients Mac OS 9. Vous pouvez l'utiliser localement (au niveau du serveur) ou à distance (à partir d'un ordinateur Mac OS 9 ou Mac OS X sur le même réseau que Mac OS X Server). Ouvrez Gestionnaire Macintosh en cliquant sur son icône dans le Dock. Connectez-vous à l'aide d'un nom et d'un mot de passe d'utilisateur administrateur de serveur, du Gestionnaire Macintosh ou de groupe de travail. En tant qu'administrateur de serveur, vous bénéficiez automatiquement des autorisations d'administrateur global pour le Gestionnaire Macintosh. Admin Serveur assure également la prise en charge du Gestionnaire Macintosh. Pour des informations sur l'utilisation du Gestionnaire Macintosh, consultez le guide de gestion des utilisateurs. Utilisation de serveurs version 10.2 à partir de serveurs version 10.3 Lorsque vous avez ouvert une session sur Mac OS X Server 10.3, vous pouvez administrer un serveur version 10.2 : • Admin Serveur, qui se trouve dans le répertoire /Applications/Server/, vous permet de contrôler l'état d'un serveur version 10.2. • Format de répertoire, qui se trouve dans le répertoire /Applications/Utilities/, vous permet de configurer des serveurs et des ordinateurs version 10.2. • Gestionnaire de groupe de travail, qui se trouve dans le répertoire /Applications/ Server/, vous permet de gérer les comptes, préférences et réglages de partage version 10.2.II Partie II : Installation et configuration initiale Les chapitres de cette partie du guide décrivent l'installation du logiciel serveur et la première configuration d'un serveur. Chapitre 4 Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration Chapitre 5 Avant de commencer Chapitre 6 Installation du logiciel serveur Chapitre 7 Configuration initiale du serveur Annexe A Feuille de travail de Mac OS X Server Annexe B Exemple de configuration4 65 4 Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration Avant d'installer et de configurer Mac OS X Server, effectuez un minimum de planification et familiarisezvous avec les options possibles. Ce chapitre est une synthèse des informations contenues dans les chapitres suivants. Il passe en revue les étapes de l'installation et de la configuration initiale du serveur, ainsi que les options dont vous disposez à chaque étape. Planification Lors de la phase de planification, vous déterminez de quelle manière vous prévoyez d'utiliser Mac OS X Server et si des opérations s'avèrent nécessaires avant son installation. Il se peut par exemple que vous souhaitiez passer un serveur existant à la version 10.3 tout en continuant à héberger des services de répertoires, de fichiers et de courrier pour les clients de votre réseau. Avant d'installer votre logiciel serveur, vous devrez peut-être préparer les données à faire migrer vers votre nouveau serveur, et vous demander si le moment est opportun pour mettre en œuvre une nouvelle solution de services de répertoires. Le chapitre 5, “Avant de commencer”, à la page 75, vous aidera à comprendre ce que vous devez faire en premier lieu et ce que vous pouvez remettre à plus tard. Lors de la phase de planification, vous décidez aussi quelles options d'installation et de configuration du serveur sont les plus adaptées à vos besoins. L’annexe B, “Exemple de configuration”, à la page 127, présente un exemple illustrant l'installation et la configuration d'un serveur dans le contexte d'une petite entreprise. Plan Installer le logiciel serveur Configurer le serveur Configurer les services Se mettre à jour 66 Chapitre 4 Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration Installation du logiciel serveur Sur certains ordinateurs, Mac OS X Server version 10.3 est installé d'office. Toutefois, vous serez parfois amené à installer le logiciel serveur, par exemple pour effectuer une mise à jour à partir d'un serveur 10.1 ou 10.2, pour transformer en serveur un ordinateur équipé de Mac OS X ou pour restaurer entièrement votre environnement de serveur. Vous pouvez installer le logiciel du serveur • à partir des disques d'installation du serveur, • à partir d'une image d'installation que vous configurez et stockez sur le disque (installation automatisée). Le chapitre 6, “Installation du logiciel serveur”, à la page 83, fournit des instructions détaillées sur toutes les options d'installation résumées dans les sections suivantes. Installation locale à partir des disques d'installation du serveur Si le serveur cible dispose d'un clavier et d'un écran ainsi que d'un lecteur optique, vous pouvez lancer l'installation de Mac OS X Server en initialisant le serveur à partir d'un disque d'installation. Le programme d'installation, automatiquement lancé après le démarrage, permet d'installer le logiciel du serveur en se laissant guider par une interface graphique. Pour obtenir des instructions, consultez la section “Utilisation du programme d'installation pour une installation locale depuis les disques d'installation” à la page 87. Si vous préférez utiliser la ligne de commande, lancez l'application Terminal à partir du menu du programme d'installation et suivez les instructions dans “Installation du logiciel serveur à l'aide de l'outil de ligne de commande installer” à la page 90. >installer ouChapitre 4 Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration 67 Installation à distance à partir des disques d'installation du serveur Si le serveur cible ne dispose pas d'un clavier ou d'un écran ou s'il ne s'agit pas de l'ordinateur que vous utilisez, vous pouvez employer un ordinateur administrateur pour installer le logiciel du serveur à partir des disques d'installation du serveur. Un ordinateur administrateur est un ordinateur Mac OS X Server version 10.3 ou Mac OS version 10.3 sur lequel vous avez installé les logiciels de gestion de serveur. La section “Configuration d'un ordinateur administrateur” à la page 49 vous indique comment installer un ordinateur administrateur Mac OS X. Le serveur cible peut se trouver sur le même sous-réseau que l'ordinateur administrateur ou sur un autre. Si le serveur cible dispose d'un lecteur optique, initialisez-le en utilisant un disque d'installation du serveur puis utilisez l'Assistant du serveur de l'ordinateur administrateur pour démarrer l'installation. Si vous devez installer un logiciel serveur sur plusieurs ordinateurs, vous pouvez initialiser chacun d'eux à partir d'un disque d'installation, puis ouvrir une fenêtre d'Assistant du serveur pour chaque installation à effectuer. Voir “Utilisation de l'application Assistant du serveur pour une installation à distance depuis les disques d'installation” à la page 88 pour plus d'informations. Ordinateur administrateur Sous-réseau 1 Sous-réseau 2 Bienvenue >installer >installer68 Chapitre 4 Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration Vous pouvez également utiliser la ligne de commande. Après avoir initialisé le serveur cible, connectez-vous à lui avec SSH à partir d'un ordinateur administrateur et suivez les instructions à la section “Installation du logiciel serveur à l'aide de l'outil de ligne de commande installer” à la page 90. Si vous souhaitez installer le logiciel serveur sur plusieurs ordinateurs, initialisez-les à partir d'un disque d'installation, puis ouvrez une fenêtre de Terminal pour chaque installation. Si le serveur cible est un système XServe sans lecteur optique intégré, vous pouvez utiliser celui d'un ordinateur administrateur connecté au système via un câble FireWire. Démarrez le Xserve en mode disque cible, ce qui permet au serveur cible d'apparaître comme un disque dur FireWire sur l'ordinateur de l'administrateur. (Lorsque vous utilisez ce mode, une icône de disque s'affiche sur le bureau de l'ordinateur administrateur pour chaque partition du disque dur de Xserve.) À partir de l'ordinateur administrateur, procé- dez à l'installation depuis un disque d'installation sur l'un des volumes Xserve montés. Dans ce cas, vous devez terminer une installation avant d'en commencer une autre. Il existe d'autres modes d'installation sur un système Xserve dépourvu de lecteur optique interne. Vous pouvez par exemple initialiser le serveur à partir d'un lecteur optique externe relié au système Xserve via un câble FireWire. Vous pouvez aussi initialiser le serveur à l'aide du lecteur optique d'un deuxième système Xserve équipé. Dans les deux cas, après le démarrage, utilisez un ordinateur administrateur pour lancer l'installation du logiciel serveur. Vous trouverez des instructions pour l'utilisation du mode disque cible et de lecteurs optiques externes dans les documents "Introduction à Xserve" et "Guide de l'utilisateur Xserve" fournis avec les systèmes Xserve. Automatisation de l'installation de serveurs avec une image disque Si vous avez besoin d'installer le logiciel serveur sur un nombre important d'ordinateurs ou avez fréquemment besoin de réinstaller ce logiciel, vous pouvez automatiser l'installation en utilisant une image d'installation stockée sur un disque à la place des disques d'installation. Ordinateur administrateurChapitre 4 Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration 69 Consultez le guide d'administration des images système pour plus d'informations sur la manière de créer et de déployer des images d'installation en réseau à partir d'un CD, d'un DVD ou d'un volume ou d'une partition existants. Configuration initiale du serveur Après avoir installé le logiciel serveur, l'étape suivante consiste à configurer le serveur. C'est lors de configuration du serveur que ses caractéristiques de base sont définies. Par exemple : • Le choix la langue utilisée pour l'administration du serveur et le clavier de l'ordinateur. • La définition d'un utilisateur administrateur et la création du répertoire de départ de l'utilisateur. • La définition des points de partage AFP et FTP par défaut, tels que Éléments partagés, Utilisateurs et Groupes. • La configuration de base des informations Open Directory. Au moins un domaine local NetInfo est créé. Vous pouvez aussi configurer un domaine LDAP Apple. • Le choix des noms d'hôte, d'ordinateur et Rendezvous du serveur. • La configuration des interfaces réseau (ports). • La configuration éventuelle du service d'horloge réseau. • L'activation éventuelle de services ne nécessitant pas de configuration supplémentaire. Par défaut, pour renforcer la sécurité, les seuls processus du serveur en service sont ceux indispensables aux fonctions de base du système. Les services accessibles depuis l'extérieur, tels que courrier, Web et services de fichiers, sont désactivés par défaut et les ports correspondants fermés. Vous ne pouvez réaliser qu'une seule fois la configuration initiale du serveur sans réinstaller celui-ci. Si vous avez besoin de modifier l'un des réglages établis lors de la configuration, il existe d'autres moyens de le faire. Vous pouvez par exemple utiliser Admin Serveur ou Format de répertoire pour gérer les réglages Open Directory. Il y a plusieurs manières de configurer un serveur : • en configurant un ou plusieurs serveurs de manière interactive, • en automatisant la configuration des serveurs en enregistrant les données de configuration dans un fichier ou dans un répertoire. Les serveurs à configurer sont ensuite paramétrés de manière à accéder à ces données. Consultez Le chapitre 7, “Configuration initiale du serveur”, à la page 93, pour des informations détaillées sur toutes les options de configuration du serveur, résumées ci-dessous.70 Chapitre 4 Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration Configuration interactive des serveurs Le moyen le plus simple de configurer un petit nombre de serveurs est de faire appel au processus guidé d'Assistant du serveur, après avoir établi une connexion avec chacun des serveurs tour à tour. Vous fournissez alors les données de configuration des serveurs de manière interactive et démarrez ensuite immédiatement la configuration. Il s'agit de la technique utilisée pour configurer un serveur local, comme décrit à la section “Configuration interactive d'un serveur local” à la page 101. Vous pouvez également utiliser cette méthode interactive pour configurer un serveur distant à partir d'un ordinateur administrateur. Voir “Configuration interactive d'un serveur distant” à la page 102 pour plus de détails. Lorsque plusieurs serveurs distants peuvent utiliser les mêmes données de configuration, vous pouvez fournir celles-ci puis lancer la configuration simultanée de tous les serveurs : il est alors question d'une configuration par lot. Cette technique, représentée à gauche dans l'illustration ci-dessous, nécessite que les identifiants réseau de tous les serveurs cibles soient définis à l'aide de DHCP ou de BootP. Voir “Configuration interactive d'un lot de serveurs distants” à la page 103 pour plus d'instructions. Sous-réseau 1 Sous-réseau 2 Bienvenue Bienvenue BienvenueChapitre 4 Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration 71 Si vous souhaitez personnaliser la configuration des serveurs, vous pouvez gérer chacune d'elles séparément à partir d'une fenêtre distincte de l'Assistant du serveur. Cette manière de procéder est représentée à droite dans l'illustration ci-dessus. Voir “Configuration interactive de plusieurs serveurs distants tour à tour” à la page 105 pour plus de détails. Bien que l'illustration montre des serveurs cibles se trouvant sur le même sous-réseau que l'ordinateur administrateur dans un cas et sur un sous-réseau différent dans l'autre, les deux méthodes peuvent être employées indifféremment. Si le serveur cible est sur un sous-réseau différent, vous devez fournir son adresse IP. Les serveurs se trouvant sur le même sous-réseau sont indiqués par l'Assistant du serveur ; il suffit dans ce cas de sélectionner un ou plusieurs serveurs dans la liste. Automatisation de la configuration du serveur Si vous devez configurer un nombre plus important de serveurs, la configuration automatisée peut être la bonne solution. Cette méthode permet aussi d'enregistrer les données de configuration afin de les réutiliser pour réinstaller par la suite un logiciel serveur. Utilisez l'Assistant du serveur pour spécifier les données de configuration, puis enregistrez ces données dans un fichier ou un répertoire. Utilisation de données de configuration stockées dans un fichier Lorsque vous placez un fichier de configuration sur un volume (CD, iPod, "clé" USB, partition de disque) monté localement sur un serveur installé mais pas configuré, ce dernier détecte le fichier et l'utilise automatiquement pour se configurer. Ordinateur administrateur Données de configuration stockées dans un répertoire Données de configuration stockées dans un fichier72 Chapitre 4 Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration Vous pouvez par exemple stocker plusieurs fichiers de configuration sur un iPod, puis connecter l'iPod au premier serveur pour lequel existe un fichier de configuration, avant de le connecter au serveur suivant, et ainsi de suite. Chaque serveur reconnaît son propre fichier puisqu''il a été nommé en utilisant l'un de ses identifiants et que son emplacement est connu. Ainsi, un serveur dont les huit premiers caractères du numéro de série seraient WXYZ1234 utiliserait le fichier suivant pour s'autoconfigurer : /Volumes/MyIPod/Auto Server Setup/ WXYZ1234.plist. Une autre solution consiste à utiliser l'adresse IP d'un serveur comme identifiant. Un serveur dont l'adresse IP serait 10.0.0.4 utiliserait ainsi le fichier /Volumes/MyIPod/Auto Server Setup/10.0.0.4.plist. Vous pouvez aussi utiliser un seul fichier nommé “generique.plist” par exemple, pour configurer plusieurs serveurs si les données de configuration n'ont pas besoin d'être individualisées et que les identités réseau des serveurs sont fournies par DHCP. Voir “Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un fichier” à la page 106 pour plus de détails. iPod iPodChapitre 4 Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration 73 Utilisation de données de configuration stockées dans un répertoire Le serveur cible peut également se configurer à l'aide de données de configuration stockées dans un répertoire. Il doit alors être paramétré pour accéder à ce dossier. En fait, le serveur cherche des données de configuration dans tout dossier pour lequel il est paramétré avant de consulter des systèmes de fichiers montés localement. Bien que le stockage de données de configuration dans un dossier soit la manière la plus automatisée de configurer plusieurs serveurs, cette approche suppose au préalable une infrastructure afin que les serveurs cibles puissent trouver les données de configuration stockées dans le répertoire. Les composants essentiels de l'infrastructure sont les services DHCP et Open Directory, comme le montre l'illustration ci-dessous. Le serveur Open Directory de cet exemple héberge un répertoire LDAP dans lequel ont été enregistrées des données de configuration. L'adresse du serveur Open Directory est abonnée au service DHCP, exécuté sur un autre serveur dans le cas présent. Le service DHCP fournit l'adresse du serveur Open Directory aux serveurs cibles lorsqu'il affecte des adresses IP à ces serveurs. Les serveurs cibles détectent automatiquement les données de configuration qui ont été stockées à leur intention dans le répertoire LDAP et les utilisent pour s'autoconfigurer. Vous pouvez enregistrer les données de configuration dans un répertoire Apple OpenLDAP ou dans tout autre répertoire gérant le système d'extensions Apple pour les données de configuration enregistrées. Ce système d'extensions est documenté dans le guide d'administration Open Directory. Voir “Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un répertoire” à la page 109 pour plus de détails. Utilisation du cryptage Par défaut, les données de configuration enregistrées sont cryptées pour plus de sécurité. Avant qu'un serveur puisse s'autoconfigurer en utilisant des données cryptées, il doit pouvoir accéder à la phrase codée employée lors du cryptage des données. Serveur DHCP Serveur Open Directory 74 Chapitre 4 Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration La phrase codée peut être fournie soit de manière interactive (en utilisant l'Assistant du serveur), soit à partir d'un fichier sur un volume local du serveur cible. Vous pouvez par exemple stocker le fichier avec la phrase codée dans un dongle, puis connecter celui-ci à chacun des serveurs ayant besoin de la phrase codée. Un serveur avec l'adresse IP 10.0.0.4 utilisera le fichier /Volumes/MyIPod/SA_Keys/10.0.0.4.pass. Configuration des services Au terme de la configuration initiale du serveur, vous pouvez : • terminer la migration des données à partir d'un ancien serveur, si c'est nécessaire, • configurer les services que vous souhaitez fournir en utilisant les outils d'administration de serveur décrits dans Le chapitre 3, “Administration du serveur”, à la page 47. Rester à jour Lorsque des mises à jour de Mac OS X Server sont disponibles, utilisez l'onglet Mise à jour de logiciels des Préférences Système, l'outil de ligne de commande softwareupdate ou le bouton Mise à jour d'Admin Serveur pour vous les procurer.5 75 5 Avant de commencer Avant d'installer et de configurer Mac OS X Server, prenez le temps d'effectuer un minimum de planification. Les principaux objectifs de la phase de planification sont de s'assurer que : • les serveurs que vous déployez répondent aux besoins des utilisateurs et administrateurs, • les conditions préalables en matière de serveur et de services et qui affectent l'installation et la configuration initiale ont été identifiées. La planification de l'installation est particulièrement importante si vous intégrez Mac OS X Server dans un réseau existant, si vous migrez à partir de versions antérieures de Mac OS X Server ou si vous prévoyez de mettre en place plusieurs serveurs. Mais même dans un environnement à un serveur unique, il est préférable d'évaluer rapidement les besoins auxquels répondra le serveur. Ce chapitre pourra servir de base à votre réflexion. Il ne présente pas un algorithme de planification rigoureux. Il ne fournit pas non plus les détails nécessaires pour déterminer s'il faut implémenter un service donné ou évaluer les ressources qu'il nécessite. Considérez simplement ce chapitre comme une occasion de faire une pause et de réfléchir à la manière d'optimiser les avantages que présente Mac OS X Server dans votre environnement. Pas plus que la conception, la planification n'est forcément un processus linéaire. Sachez que l'un ordre des sections de ce chapitre n'est en rien obligatoire. Différentes sections offrent des suggestions qui peuvent être mises en œuvre de manière simultanée ou itérative. Mise en place d'une équipe de planification Impliquez dans le processus de planification de l'installation des personnes représentant différents points de vue :76 Chapitre 5 Avant de commencer • Quels sont les besoins au jour le jour que doit satisfaire un serveur ? Pour quelles activités les utilisateurs et les groupes de travail dépendront-ils du serveur ? Si le serveur doit être employé dans une salle de cours, veillez à ce que le formateur qui gérera ses services et l'administrera au quotidien ait son mot à dire. • Quels besoins devront être satisfaits en matière de gestion des utilisateurs ? L'initialisation des ordinateurs doit-elle se faire à l'aide de NetBoot ? Sera-t-il nécessaire de mettre en place une gestion des clients Macintosh et des répertoires de départ du réseau ? Les personnes ayant de l'expérience dans le domaine de l'administration de serveurs doivent discuter avec des utilisateurs du serveur n'ayant pas de compétences techniques particulières afin que ces derniers comprennent mieux l'intérêt de certains services. • Quels services existants non Apple, tel qu'Active Directory, le serveur devra-t-il intégrer ? Si vous avez prévu de remplacer un ordinateur Windows NT, envisagez d'utiliser pour cela Mac OS X Server, qui gère de manière complète les clients Windows. Assurez-vous que les administrateurs qui connaissent ces autres systèmes participent au processus de planification. • Quelles sont les caractéristiques du réseau dans lequel le serveur sera installé ? Devrez-vous mettre à jour les alimentations électriques, les commutateurs ou d'autres composants réseau ? Le moment est-il venu de réorganiser les infrastructures où sont hébergés vos serveurs ? Une personne ayant des connaissances en matière de systèmes et de réseaux pourra contribuer à la prise de décision et remplir la feuille de travail de la page 117. Identification des serveurs à mettre en place Effectuez un inventaire des serveurs : • De combien de serveurs disposez-vous actuellement ? • Comment sont-ils utilisés ? • Comment optimiser l'utilisation des serveurs que vous souhaitez garder ? • Y a-t-il des serveurs que vous souhaitez supprimer ? Lesquels peuvent être remplacés par Mac OS X Server? • Avec quels serveurs non Apple faudra-t-il intégrer Mac OS X Server ? Pourquoi ? • Y a-t-il des serveurs Mac OS X Server devant être passés à la version 10.3 ? • Combien de nouveaux ordinateurs Mac OS X devront être mis en place ? Chois des services à héberger sur chaque serveur Identifiez quels services vous voulez héberger sur chaque Mac OS X Server et sur chaque serveur non Apple que vous choisissez d'utiliser. Pour distribuer des services entre serveurs, vous devez connaître à la fois les utilisateurs et les services. Voici quelques exemples d'influence des options de services et des configurations matérielles et logicielles requises sur ce qui est installé sur chacun des serveurs :Chapitre 5 Avant de commencer 77 • Les implémentations de services de répertoires peuvent aller de l'utilisation des répertoires existants et d'une authentification Kerberos hébergée sur des serveurs non Apple à des répertoires Apple LDAP répliqués sur des serveurs situés partout dans le monde. Les services de répertoires, plus sans doute que n'importe quel autre type de service, demandent une analyse et une planification approfondie. Le guide d'administration Open Directory peut vous aider à comprendre les options et les possibilités. • Les répertoires de départ pour les utilisateurs du réseau peuvent être regroupés sur un seul serveur ou distribués sur plusieurs. Ils peuvent être déplacés en cas de besoin, mais vous risquez alors de devoir modifier un grand nombre de fiches d'utilisateurs et de points de partage. Par conséquent, développez une stratégie valable pendant une durée raisonnablement longue. Consultez le guide de gestion des utilisateurs pour plus d'informations sur les répertoires de départ. • Certains services permettent de limiter l'espace disque sollicité par chaque utilisateur. Vous pouvez par exemple mettre en place des quotas à la fois pour les répertoires de départ et pour le courrier des utilisateurs. Pensez aux quotas en tant que moyen d'augmenter l'espace disque disponible sur un serveur qui stocke des répertoires de départ et des bases de données de courrier. Les guides de gestion des utilisateurs et d'administration du service de courrier décrivent les quotas de répertoires de départ et de courrier, respectivement. • Les besoins en matière d'espace disque dépendent également des types de fichiers hébergés par le serveur. Pour les environnements créatifs, il est nécessaire de prévoir de très importantes capacités de stockage du fait du volume important des fichiers d'images, vidéo etc., alors qu'une école primaire aura des besoins beaucoup plus modestes. Le guide d'administration des services de fichiers décrit le partage de fichiers. • Si vous prévoyez de mettre en place un serveur de diffusion de données multimédias, vous devrez allouer un espace disque suffisant pour un certain nombre d'heures de diffusion de vidéo ou de son. Reportez-vous au guide d'administration du Serveur Enchaînement QuickTime pour connaître les configurations matérielles requises et obtenir un exemple de configuration. • Le nombre d'ordinateurs clients NetBoot que vous pouvez connecter à un serveur dépend du nombre de connexions Ethernet du serveur, de celui d'utilisateurs et d'autres facteurs, en particulier l'existence de services DHCP. Consultez le guide d'administration des images système pour des instructions concernant la planification des capacités de NetBoot. • Mac OS X Server offre une gestion complète des utilisateurs Windows. Vous pouvez regrouper les tâches de gestion sur des serveurs fournissant des services de contrôleur principal de domaine ou bien répartir les services sur différents serveurs. Le guide d'administration des services Windows décrit les options disponibles. • Si vous voulez utiliser un RAID logiciel pour segmenter des disques ou les mettre en miroir, vous aurez besoin de deux lecteurs non Firewire ou plus sur un serveur. Consultez l'aide en ligne de l'Utilitaire de disque pour plus d'informations.78 Chapitre 5 Avant de commencer Avant de prendre des décisions définitives quant à l'hébergement des services par les différents serveurs, familiarisez-vous avec les guides d'administration de chacun des services que vous souhaitez déployer. Définition d'une stratégie de migration Si vous utilisez des ordinateurs avec des versions de Mac OS X Server antérieures à 10.3, il est intéressant de les passer à la version 10.3. Si vous utilisez Mac OS X Server version 10.1 ou 10.2, vous pouvez souvent mettre à jour votre serveur pendant le processus d'installation. Cette approche s'avère simple car les données et les réglages que vous utilisiez auparavant sont automatiquement préservés. Lorsque cette approche est impossible, vous pouvez migrer les données et les réglages. Préférez la migration lorsque : • un disque dur d'un serveur version 10.1 ou 10.2 a besoin d'être reformaté ou ne satisfait à la configuration matérielle minimum de la version 10.3 (voir “Configuration système requise pour l'installation de Mac OS X Server” à la page 83) ; • vous souhaitez transférer sur un autre serveur les données et les réglages que vous utilisiez sur un serveur de version 10.1 ou 10.2 ; • vous utilisiez un serveur d'une version antérieure à 10.1. Lisez le guide de migration pour savoir quelles données et quels réglages de services peuvent être préservés et réutilisés dans la version 10.3. Le guide de migration fournit des instructions tant pour la réutilisation de matériel serveur existant (migration sur place) que pour la migration d'un ordinateur à un autre. Définition d'une stratégie d'intégration Il y a deux aspects à prendre en compte lorsque vous intégrez Mac OS X Server à un environnement hétérogène : • la configuration de Mac OS X Server de manière à exploiter les services existants, • la configuration d'ordinateurs non Apple pour l'utilisation de Mac OS X Server. Le premier aspect concerne principalement l'intégration des services de répertoires. Déterminez quels ordinateurs Mac OS X Server utiliseront des répertoires existants (Active Directory, LDAPv3, NIS) et des services d'authentification existants (tels que Kerberos). Reportez-vous au guide d'administration Open Directory pour les options disponibles et plus d'instructions. L'intégration peut simplement consister à activer une option dans Format de répertoire ou supposer la reconfiguration des services existants et des réglages de Mac OS X Server. Le deuxième aspect dépend largement du niveau de prise en charge que vous souhaitez offrir aux utilisateurs Windows de Mac OS Server. Le guide d’administration des services Windows vous dira quelles options sont disponibles. Chapitre 5 Avant de commencer 79 Définition de la configuration de l'infrastructure matérielle Déterminez s'il est nécessaire d'apporter des modifications au site ou à la topologie du réseau avant d'installer et de configurer les serveurs. • Qui administrera le serveur, et de quel type d'accès au serveur auront besoin les administrateurs ? Les serveurs de salles de classes doivent être facilement accessibles aux instructeurs alors que ceux qui hébergent des informations de répertoire pour tout le réseau doivent être sécurisés par un accès protégé dans des locaux. Les outils d'administration de Mac OS X Server offrant une solution complète d'administration du serveur à distance, il est très rare qu'un administrateur de serveur ait besoin d'accéder physiquement au serveur. • Certaines conditions de climatisation ou d'alimentation électriques doivent-elles être remplies ? Voyez la documentation livrée avec le serveur pour plus d'informations. • Avez-vous pensé à mettre à jour des éléments tels que câbles, commutateurs et alimentations électriques ? Le moment est peut-être adéquat pour le faire. • Votre réseau et vos sous-réseaux TCP/IP sont-ils configurés pour gérer les services et les serveurs que vous prévoyez de déployer ? Infrastructures de configuration du serveur Les infrastructures de configuration du serveur sont les services et les serveurs qui doivent être installés en premier car d'autres en dépendent. Par exemple, si vous souhaitez utiliser Mac OS Server pour fournir des services DHCP, une horloge réseau et BootP à d'autres serveurs que vous allez configurer par la suite, vous devez configurer et activer le ou les serveurs fournissant ces services avant de configurer ceux qui en dépendent. Par ailleurs, si vous voulez automatiser la configuration des serveurs en utilisant des données de configuration stockées dans un répertoire, les serveurs DHCP et de répertoires doivent être configurés au préalable. Le travail d'infrastructure de configuration requis dépend de la complexité de votre site et de vos objectifs. En général, les services DHCP, DNS et de répertoires sont souhaitables ou obligatoires pour un réseau moyen ou de grande taille : • La couche d'infrastructure la plus essentielle comprend des services de réseau tels que DHCP et DNS. Tous les services fonctionnent mieux si DNS se trouve sur le réseau. Si vous n'hébergez pas de service DNS, consultez l'administrateur responsable du serveur DNS lorsque vous configurez vos propres serveurs. La configuration de DHCP doit se faire en fonction de la topologie physique de votre réseau.80 Chapitre 5 Avant de commencer • Autre composant d'infrastructure essentiel : les services de répertoires, qui sont nécessaires pour le partage des données entre services, serveurs et ordinateurs. Le type de données le plus couramment partagé est celui employé par les utilisateurs et les groupes, même si les informations de configuration telles que les enregistrements de montage et les autres données de répertoires sont également partagées. Les infrastructures de services de répertoires sont nécessaires lorsque vous souhaitez héberger des services d'authentification multi-plateformes ou que plusieurs services doivent utiliser les mêmes noms et mots de passe. Voici un exemple d'ordre possible d'installation des infrastructures de serveur comprenant DNS, DHCP et services de répertoires ; ces services peuvent être installés sur un ou plusieurs serveurs : 1 Installez le serveur DNS. 2 Installez DHCP. 3 Configurez DHCP pour indiquer l'adresse du serveur DNS et que celui-ci offre ses services aux clients DHCP. 4 Installez un serveur de répertoires comprenant si besoin est un service de contrôleur principal de domaine Windows. 5 Ajoutez au répertoire des données sur les utilisateurs, groupes et répertoires de départ. Ce processus implique par exemple d'importer des utilisateurs et des groupes, de configurer des points de partage et des préférences gérées. 6 Configurez DHCP pour indiquer l'adresse du serveur de répertoires et que celui-ci offre ses services aux clients DHCP Vos besoins particuliers peuvent modifier cette séquence. Ainsi, si vous souhaitez utiliser des services tels que VPN, NAT ou coupe-feu IP, leur installation devra être prise en compte lors de la configuration de DNS et de DHCP. L’annexe B, “Exemple de configuration”, à la page 127 illustre les étapes possibles de configuration des infrastructures de répertoires et de réseau Mac OS X Server pour une petite entreprise. Vérification de la disponibilité du matériel nécessaire Il peut être préférable d'attendre que tout le matériel soit en place avant de commencer la configuration du serveur. Ainsi, évitez de configurer un serveur dont vous souhaitez stocker les données en miroir tant que tous les disques dont vous avez besoin ne sont pas disponibles. Il est également préférable d'attendre que le sous-système RAID soit en place avant d'installer un serveur de répertoires de départ ou tout serveur qui y fera appel.Chapitre 5 Avant de commencer 81 Définition de la stratégie d'installation et de configuration à utiliser Examinez les options d'installation et de configuration du serveur (voir le chapitre 4, “Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration”, à la page 65). Choisissez la ou les options que vous souhaitez utiliser, puis reportez-vous à la page 84 pour les conditions préliminaires à l'installation et à la page 94 pour la configuration initiale du serveur. Recherche et organisation des informations Pour chaque serveur que vous configurez, remplissez la feuille de travail de la page 117. Celle-ci regroupe toutes les données dont vous avez besoin pour parcourir rapidement les options d'installation et de configuration à utiliser.6 83 6 Installation du logiciel serveur Vous pouvez installer Mac OS X Server version 10.3 en tant que mise à jour de la version 10.1 ou 10.2 ou sa version complète. Consultez plus bas la configuration système requise ainsi que la section “Informations préalables” à la page 84 avant de suivre les instructions d'installation du tableau cidessous. Configuration système requise pour l'installation de Mac OS X Server Mac OS X Server version 10.3 peut être installé sur les ordinateurs suivants : • Xserve • G5 • Power Mac G4 • Macintosh Server G4 • Macintosh Server G3 • Power Mac G3 • iMac • eMac Les instructions concernant le sujet suivant Se trouvent Utilisation du programme d'installation pour une installation locale depuis les disques d'installation la page 87 Utilisation de l'Assistant du serveur pour une installation à distance depuis les disques d'installation la page 88 Installation du logiciel serveur sur un ordinateur avec Mac OS X version 10.3 préinstallé la page 89 Automatisation de l'installation du logiciel serveur la page 90 Utilisation de l'outil ligne de commande installer la page 90 Installation des logiciels serveur en option la page 9284 Chapitre 6 Installation du logiciel serveur L'ordinateur doit être équipé des éléments suivants : • 128 Mo minimum de mémoire vive (RAM), 256 Mo pour les serveurs fortement sollicités et exécutant de nombreux services, • 4 Go minimum d'espace disque disponible, • Un port USB intégré. Les moniteurs et claviers sont optionnels. Vous pouvez installer le logiciel serveur sur un ordinateur sans moniteur ni clavier à l'aide d'un ordinateur administrateur. La section “Configuration d'un ordinateur administrateur” à la page 49 décrit l'installation de ce type d'ordinateur. Informations préalables Utilisez l’annexe A, “Feuille de travail de Mac OS X Server”, à la page 117 pour consigner les informations relatives à chacun des serveurs que vous souhaitez installer. Les paragraphes suivants fournissent des explications complémentaires sur les éléments de la feuille de travail. Mise à jour depuis la version 10.1 ou 10.2 La version 10.3 peut être installée sur un ordinateur équipé de Mac OS X Server version 10.1 ou 10.2. Le processus de mise à jour installe et configure Mac OS X Server version 10.3 tout en préservant automatiquement les données et réglages de services existants. La mise à jour de la version 10.1 ou 10.2 vers la version 10.3 peut être réalisée dans les cas suivants : • Le disque dur du serveur actuel ne doit pas être reformaté. • La configuration matérielle du serveur actuel est conforme aux spécifications requises pour l'installation de la version 10.3. Pour plus de détails, consultez la section “Configuration système requise pour l'installation de Mac OS X Server” à la page 83. La mise à jour depuis la version 10.1 ou 10.2 porte automatiquement sur les éléments suivants : • Réglages DNS • Réglages coupe-feu • Réglages de la fonction IP failover • Réglages et base de données de courrier • Réglages et base de données MySQL • Réglages QTSS des listes de lecture, admin et serveur central • Réglages et fichiers de service Web • Réglages des services de répertoires, dont les services de mot de passe • Réglages de Format de répertoire, dont la politique de recherche et les configurations complémentaires • Répertoires de départ • Point de partageChapitre 6 Installation du logiciel serveur 85 • Réglages AFP • Réglages SMB • Réglages FTP • Données du Gestionnaire Macintosh • Réglages et images NetBoot • Réglages DHCP Préparation des disques pour l'installation de Mac OS X Server Lors de l'installation de la version complète, le contenu de la partition ou du disque de destination est écrasé et certaines tâches préparatoires sont nécessaires : • Sauvegardez toute information stockée sur le disque ou la partition de destination que vous souhaitez conserver. Pour plus d'informations sur la migration de données et réglages, reportez-vous au guide de migration. • Dans la plupart des cas, formatez l'unité de destination en utilisant le format Mac OS Étendu (journalisé). Vous pouvez également utiliser le format Mac OS Étendu ou le format HFS+ sensible aux différences de casse. Ce dernier est utile lorsque la casse des noms de fichiers est importante, notamment si Mac OS X Server doit être compatible avec des applications Unix existantes. Tous les disques formatés dans ce format sont également journalisés. • Une autre solution consiste à partitionner le disque de destination et configurer une des partitions en tant que destination du logiciel serveur. Le volume minimum recommandé pour une telle partition est de 4 Go. Important : ne stockez pas de données sur le disque dur ou la partition où est installé le système d'exploitation. De cette façon, vous évitez la perte de données dans l'éventualité d'une réinstallation ou d'une mise à niveau du système. • Vous pouvez éventuellement configurer le disque de destination pour une écriture miroir RAID, ce qui crée un disque de sauvegarde utilisé automatiquement en cas d'indisponibilité du disque principal. Vous pouvez formater un disque ou une partition au format Mac OS Étendu (journalisé) depuis le programme d'installation au format Mac OS Étendu depuis l'Utilitaire de disque. Pour formater un disque ou une partition au format HFS+ sensible à la casse, utilisez l'application Terminal. Par exemple : 1 Choisissez un volume Mac OS Étendu (par exemple /Volumes/MyHFSPlus) à convertir au format HFS sensible à la casse. 2 Ouvrez l'application Terminal. 3 Effacez puis reformatez le volume en tant qu'unité de démarrage ; dans l'exemple suivant MyCaseSensitive est le nouveau nom de volume : sudo diskutil eraseVolume "Case-sensitive HFS+" MyCaseSensitive bootable /Volumes/MyHFSPlus86 Chapitre 6 Installation du logiciel serveur Pour plus d'informations sur la création d'un volume HFS+ sensible à la casse, reportezvous à la page d'aide de diskutil et au guide d'administration de la ligne de commande. Les instructions fournies plus loin dans ce chapitre indiquent quand effectuer les tâches de préparation des disques. Instructions matérielles pour l'installation de Mac OS X Server Lors de l'installation du logiciel serveur sur un système Xserve, la procédure à suivre pour démarrer l'ordinateur en vue de l'installation dépend du type de matériel Xserve. Les procédures sont documentées dans le “Guide de l'utilisateur Xserve” et dans le “Introduction à Xserve” accompagnant le système Xserve. Identification du serveur distant lors de l'installation de Mac OS X Server Pour les installations de serveurs distants, vous devez connaître les informations suivantes concernant le serveur cible : • Son identité du serveur cible. Lors de l'utilisation de l'Assistant du serveur, vous devez pouvoir reconnaître le serveur cible parmi une liste de serveurs sur votre sous-réseau local, ou saisir son adresse IP (au format IPv4—000.000.000.000) s'il réside dans un autre sous-réseau. Les informations relatives aux serveurs répertoriés incluent l'adresse IP, le nom DNS et l'adresse MAC (Media Access Control), également appelée adresse matérielle ou adresse Ethernet. L'adresse IP est attribuée par un serveur DHCP sur le réseau ; s'il n'existe pas de serveur DHCP, le serveur cible utilise une adresse 169.xxx.xxx.xxx unique parmi les serveurs sur le sous-réseau local. Vous pouvez modifier l'adresse IP ultérieurement, lors de la configuration du serveur. • Le mot de passe prédéfini. Le mot de passe est constitué des huit premiers chiffres du numéro de série de matériel incorporé au serveur. Pour rechercher le numéro de série, cherchez une étiquette sur le serveur. Les ordinateurs plus anciens ne possèdent pas de numéro de série incorporé ; pour ces systèmes, utilisez la suite de chiffres 12345678. Installation interactive du logiciel serveur depuis les disques d'installation Vous pouvez installer le logiciel serveur de manière interactive via les disques d'installation : • Sur un serveur local • Sur un serveur distant • Sur un ordinateur avec Mac OS X préinstalléChapitre 6 Installation du logiciel serveur 87 Utilisation du programme d'installation pour une installation locale depuis les disques d'installation Mac OS X Server peut être installé directement sur un ordinateur muni d'un moniteur, d'un clavier et d'un lecteur de disque optique. Pour installer le logiciel serveur localement : 1 Si vous installez la version complète du logiciel plutôt que la mise à jour, sauvegardez au préalable toute information stockée sur le disque ou la partition de destination que vous souhaitez conserver. 2 Allumez l'ordinateur et insérez le premier disque d'installation de Mac OS X Server dans le lecteur de disque optique. 3 Redémarrez l'ordinateur en maintenant appuyée la touche C de votre clavier. L'initialisation de l'ordinateur s'effectue depuis le disque d'installation. Vous pouvez relâcher la touche C lorsque le logo Apple s'affiche. 4 Lorsque le programme d'installation s'ouvre, vous pouvez éventuellement, dans le cas d'une installation de la version complète, préparer le disque de destination à l'aide de l'application Utilitaire de disque ou Terminal du menu Installation. L'Utilitaire de disque permet de formater le disque au format Mac OS Étendu. La commande diskutil de Terminal formate le disque au format HFS+ sensible à la casse. Important : ne stockez pas de données sur le disque dur ou la partition où est installé le système d'exploitation. De cette façon, vous évitez la perte de données dans l'éventualité d'une réinstallation ou d'une mise à niveau du système. 5 Avancez dans les écrans d'installation en suivant les instructions affichées. 6 Lorsque l'écran Sélectionner une destination apparaît, choisissez un disque ou un volume (partition) de destination en vous assurant que celui-ci se trouve à l'état adéquat. En cas d'installation de la version complète, vous pouvez choisir Installation > Ouvrir Utilitaire de disque ou Installation > Ouvrir Terminal pour suivre une dernière fois les étapes préparatoires sur le disque avant de sélectionner le volume de destination et de cliquer sur Continuer. Vous pouvez également cliquer sur Options pour formater le disque ou volume de destination au format Mac OS Étendu (journalisé) ; sélectionnez alors Effacer et formater puis cliquez sur OK. En cas d'installation de la mise à jour sur un ordinateur équipé de Mac OS X Server version 10.1 ou 10.2, cliquez sur Options puis sélectionnez Ne pas effacer. Cliquez ensuite sur OK. 7 Au cours de l'installation, l'état d'avancement des opérations est affiché. Insérez le disque d'installation suivant lorsque le système vous y invite. Lorsque l'installation est terminée, le serveur redémarre automatiquement et vous pouvez procéder à la configuration initiale du serveur. Le chapitre 7, “Configuration initiale du serveur”, à la page 93 vous indique comment procéder.88 Chapitre 6 Installation du logiciel serveur Utilisation de l'application Assistant du serveur pour une installation à distance depuis les disques d'installation L'installation de Mac OS X Server sur un serveur distant depuis les disques d'installation requiert l'accès à l'ordinateur cible, ainsi qu'un ordinateur administrateur depuis lequel gérer l'installation. Pour installer le logiciel sur un serveur distant à l'aide des disques d'installation : 1 Si vous installez la version complète du logiciel plutôt que la mise à jour sur un ordinateur équipé de Mac OS X version 10.2, sauvegardez toute information stockée sur le disque ou la partition de destination que vous souhaitez conserver. Utilisez éventuellement l'application Utilitaire de disque ou Terminal localement (menu Applications/Utilitaires) pour préparer l'unité de destination. L'Utilitaire de disque permet de formater le disque au format Mac OS Étendu. La commande diskutil de Terminal formate le disque au format HFS+ sensible à la casse. Important : ne stockez pas de données sur le disque dur ou la partition où est installé le système d'exploitation. De cette façon, vous évitez la perte de données dans l'éventualité d'une réinstallation ou d'une mise à niveau du système. 2 Démarrez l'ordinateur cible depuis le premier disque d'installation. La procédure à suivre dépend du type de matériel cible. Si le serveur cible est muni d'un clavier et d'un lecteur de disque optique, insérez le premier disque d'installation dans le lecteur. Redémarrez ensuite l'ordinateur en maintenant appuyée la touche C de votre clavier. Si le serveur cible est un système Xserve équipé d'un lecteur de disque optique interne, démarrez le serveur depuis le premier disque d'installation en suivant les instructions du Guide de l'utilisateur Xserve relatives au démarrage depuis un disque système. Si le serveur cible est un système Xserve sans lecteur de disque optique interne, vous pouvez démarrer celui-ci en mode disque cible et insérer le disque d'installation dans le lecteur optique de votre ordinateur administrateur. Vous pouvez également utiliser un lecteur optique FireWire externe ou un autre système Xserve pour démarrer le serveur depuis le disque d'installation. Les instructions relatives à l'utilisation du mode disque cible et des lecteurs optiques externes sont fournies dans les documents Introduction à Xserve ou Guide de l'utilisateur Xserve accompagnant le serveur Xserve. 3 Sur un ordinateur administrateur, choisissez Applications/Server puis ouvrez Assistant du serveur. Sélectionnez l'option Installer le logiciel sur un serveur distant. 4 Identifiez le serveur cible. Si celui-ci se trouve sur le sous-réseau local, sélectionnez-le dans la liste. Sinon, cliquez sur Serveur à l'adresse IP puis saisissez une adresse IP au format IPv4 (000.000.000.000).Chapitre 6 Installation du logiciel serveur 89 5 Lorsque vous êtes invité à fournir un mot de passe, saisissez les huit premiers chiffres du numéro de série de matériel intégré au serveur. Pour rechercher le numéro de série, cherchez une étiquette sur le serveur. Si vous effectuez l'installation sur un ordinateur plus ancien ne disposant pas de numéro de série matériel intégré, tapez 12345678. 6 Avancez dans les écrans d'installation en suivant les instructions affichées. 7 Lorsque l'écran Sélectionner une destination apparaît, choisissez un disque ou un volume (partition) cible en vous assurant que celui-ci se trouve à l'état adéquat. Puis sélectionnez-le et cliquez sur Continuer. Si le volume sélectionné comporte Mac OS X Server version 10.1 ou 10.2 à mettre à jour, cliquez sur Options puis sélectionnez Ne pas effacer. Sinon, sélectionnez Effacer et formater pour formater le disque au format Mac OS X Étendu (journalisé). Cliquez ensuite sur OK. Au cours de l'installation, l'état d'avancement des opérations est affiché. Insérez le disque d'installation suivant lorsque le système vous y invite. Tandis que l'installation progresse, vous pouvez ouvrir une autre fenêtre Assistant du serveur pour installer le logiciel serveur sur un autre ordinateur ; choisissez pour cela Fichier > Nouvelle fenêtre. Lorsque l'installation est terminée, le serveur redémarre automatiquement et vous pouvez procéder à la configuration initiale du serveur. Le chapitre 7, “Configuration initiale du serveur”, à la page 93 vous indique comment procéder. Installation du logiciel serveur sur un ordinateur avec Mac OS X version 10.3 préinstallé Suivez les instructions ci-dessous pour installer le logiciel serveur sur un ordinateur livré équipé de Mac OS X version 10.3. Pour installer le logiciel serveur sur l'ordinateur : 1 Démarrez l'ordinateur depuis le disque dur, selon la procédure habituelle. N'utilisez pas le premier disque d'installation. 2 Insérez le deuxième disque d'installation, puis double-cliquez sur MacOSXServerInstall.mpkg pour lancer le programme d'installation. 3 Lorsque l'installation est terminée, votre ordinateur redémarre automatiquement et l'Assistant du serveur s'ouvre pour vous permettre de configurer le serveur. 4 Après redémarrage du serveur, installez, le cas échéant, toute mise à jour du logiciel serveur à l'aide de Mise à jour de logiciels dans les Préférences Système.90 Chapitre 6 Installation du logiciel serveur Automatisation de l'installation du logiciel serveur avec une image disque Si vous devez installer le logiciel serveur sur un grand nombre de serveurs ou le réinstaller fréquemment, vous pouvez automatiser l'installation via une image d'installation résidant sur le disque dur plutôt que sur les disques d'installation. Reportez-vous au guide d'administration des images système pour des instructions relatives à la création et au déploiement d'images d'Installation réseau créées depuis un CD, DVD, volume ou partition. Après initialisation d'un ordinateur Xserve depuis une image d'installation NetBoot, vous pouvez utiliser l'Assistant du serveur pour configurer le serveur à distance. Pour obtenir des instructions, consultez la section “Configuration interactive d'un serveur distant” à la page 102. Installation du logiciel serveur à l'aide de l'outil de ligne de commande installer L'outil installer permet d'installer le logiciel serveur sur un ordinateur local ou distant à partir de la ligne de commande. Pour plus d'informations sur installer : • Reportez-vous au guide d'administration de la ligne de commande. • Ouvrez l'application Terminal et saisissez installer, installer -help, ou man installer. Pour installer le logiciel serveur à l'aide de la commande installer : 1 Démarrez l'ordinateur cible depuis le premier disque d'installation. La procédure à suivre dépend du type de matériel cible. Si le serveur cible est muni d'un clavier et d'un lecteur de disque optique, insérez le premier disque d'installation dans le lecteur. Redémarrez ensuite l'ordinateur en maintenant appuyée la touche C de votre clavier. Si le serveur cible est un système Xserve équipé d'un lecteur de disque optique interne, démarrez le serveur depuis le premier disque d'installation en suivant les instructions du Guide de l'utilisateur Xserve relatives au démarrage depuis un disque système. Si le serveur cible est un système Xserve sans lecteur de disque optique interne, vous pouvez démarrer celui-ci en mode disque cible et insérer le disque d'installation dans le lecteur optique de votre ordinateur administrateur. Vous pouvez également utiliser un lecteur optique FireWire externe ou d'un autre système Xserve pour démarrer le serveur depuis le disque d'installation. Les instructions relatives à l'utilisation du mode disque cible et des lecteurs optiques externes sont fournies dans les documents Introduction à Xserve ou Guide de l'utilisateur Xserve accompagnant le serveur Xserve. 2 Avant de débuter l'installation, identifiez le volume du serveur cible où vous souhaitez installer le logiciel serveur.Chapitre 6 Installation du logiciel serveur 91 Pour afficher la liste des volumes disponibles pour l'installation du logiciel serveur, saisissez : /usr/sbin/installer -volinfo -pkg /Volumes/Mac\ OS\ X\ Server\ Install\ Disk\ 1/ System/Installation/Packages/OSInstall.mpkg La liste affichée dépend de votre environnement ; l'exemple ci-dessous présente trois volumes disponibles : /Volumes/Mount 01 /Volumes/Mount1 /Volumes/Mount02 3 Si le volume cible comporte Mac OS X Server version 10.1 ou 10.2, l'exécution de la commande installer met automatiquement le serveur à jour avec la version 10.3 tout en préservant les fichiers utilisateur. Si vous n'effectuez pas de mise à jour mais installez la version complète, sauvegardez les fichiers utilisateur à conserver, puis saisissez les commandes diskutil suivantes pour effacer le volume, le formater et autoriser la journalisation : /usr/sbin/diskutil eraseVolume HFS+ "Mount 01" "/Volumes/Mount 01" /usr/sbin/diskutil enableJournal "/Volumes/Mount 01" Par ailleurs, Diskutil permet de partitionner le volume et de configurer l'écriture miroir. Pour plus d'informations sur diskutil, consultez sa page d'aide. Important: ne stockez pas de données sur le disque dur ou la partition où est installé le système d'exploitation. De cette façon, vous évitez la perte de données dans l'éventualité d'une réinstallation ou d'une mise à niveau du système. 4 Si vous réalisez l'installation sur un serveur local, choisissez Installation > Ouvrir Terminal à l'ouverture de l'Assistant du serveur afin de lancer l'application Terminal. Si vous réalisez l'installation sur un serveur distant, depuis l'application Terminal sur un ordinateur administrateur ou depuis une station de travail Unix, établissez une session SSH avec le serveur comme utilisateur racine, en spécifiant pour le paramètre l'adresse IP du serveur cible : ssh root@ Si vous ignorez l'adresse IP et que le serveur distant réside dans le sous-réseau local, utilisez la commande sa_srchr pour identifier tous les ordinateurs du sous-réseau local : cd / /system/library/serversetup/sa_srchr 224.0.0.1 monordinateur.exemple.com#PowerMac4,4## #Mac OS X Server 10.3#RDY4PkgInstall#2.0#51292 Chapitre 6 Installation du logiciel serveur Vous pouvez également utiliser l'Assistant du serveur pour générer les informations relatives aux ordinateurs sur le sous-réseau local. Ouvrez Assistant du serveur, sélectionnez Installer le logiciel sur un ordinateur distant puis cliquez sur Continuer pour accéder à l'écran Destination et générer les informations. 5 Lorsque vous êtes invité à fournir un mot de passe, saisissez les huit premiers chiffres du numéro de série de matériel intégré au serveur. Pour rechercher le numéro de série, cherchez une étiquette sur le serveur. Si vous effectuez l'installation sur un ordinateur plus ancien ne disposant pas de numéro de série de matériel intégré, tapez 12345678. 6 Installez le système d'exploitation sur un volume de la liste obtenue à l'étape 2. Par exemple, pour utiliser Mount 01, saisissez : /usr/sbin/installer -verboseR -lang English -pkg /Volumes/Mac\ OS\ X\ Server\ Install\ Disk\ 1/ System/Installation/Packages/OSInstall.mpkg -target "/Volumes/Mount 01" 7 Au cours de l'installation, l'état d'avancement des opérations est affiché. Tandis que l'installation progresse, vous pouvez ouvrir une autre fenêtre Terminal pour installer le logiciel serveur sur un autre ordinateur. 8 Lorsque l'installation est terminée, redémarrez le serveur. Saisissez pour cela : /sbin/reboot ou /sbin/shutdown -r 9 Pour terminer l'installation à l'aide d'un disque d'installation complémentaire, utilisez la commande sa_srchr afin de localiser le serveur en attente. Spécifiez pour le paramètre l'adresse utilisée à l'étape 4 : /system/library/serversetup/sa_srchr 10 Lorsque la réponse sa_srchr inclut la chaîne “#InstallInProgress”, insérez le disque d'installation suivant pour terminer automatiquement l'installation : monordinateur.exemple.com#PowerMac4,4## #Mac OS X Server 10.3#InstallInProgress#2.0#2080 11 Lorsque l'installation est terminée, l'Assistant du serveur s'ouvre automatiquement. Installation de logiciels serveur en option Pour installer le Gestionnaire Macintosh, insérez le disque Outils d'administration Mac OS X Server et conformez-vous aux instructions d'installation fournies. Pour installer NetBoot pour Mac OS 9, téléchargez une copie de l'image du CD “NetBoot pour Mac OS 9” depuis le site www.info.apple.fr7 93 7 Configuration initiale du serveur Les caractéristiques élémentaires de Mac OS X Server sont définies lors de la configuration initiale du serveur. Reportez-vous à la section “Informations nécessaires” à la page 94 avant de suivre les instructions détaillées d'installation auxquelles renvoie le tableau suivant. Pour plus d'informations sur Voir ces instructions À Configuration interactive de serveurs Utilisation de la configuration interactive de serveur Configuration interactive d'un serveur local Report de la configuration de serveur local après l'installation Configuration interactive d'un serveur distant Configuration interactive d'un lot de serveurs distants Configuration interactive de plusieurs serveurs distants tour à tour la page 101 la page 101 la page 102 la page 102 la page 103 la page 105 Configuration automatique de serveurs Utilisation de la configuration automatique de serveur Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un fichier Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un répertoire la page 106 la page 106 la page 109 Contrôle et dépannage Détermination de l'état des configurations la page 112 Que faire après la configuration initiale Configuration des services la page 11294 Chapitre 7 Configuration initiale du serveur Informations nécessaires Reportez-vous à l’annexe A, “Feuille de travail de Mac OS X Server”, à la page 117 pour comprendre et consigner les informations pour chaque serveur à configurer. Les informations ci-dessous fournissent des explications supplémentaires sur certains éléments de la feuille de travail. Si vous effectuez une mise à jour de Mac OS X Serveur version 10.1 ou 10.2, l'Assistant du serveur affiche les réglages du serveur de la version 10.1 ou 10.2, qui restent modifiables. Consignez dans la feuille de travail les réglages à utiliser par le serveur version 10.3. Enregistrement des données de configuration Pour travailler à partir de données de configuration enregistrées, établissez une stratégie pour nommer, crypter et stocker les données. Procédure de recherche par un serveur de données de configuration enregistrées Un serveur récemment installé se règle lui-même en se basant sur les données de configuration enregistrées via la séquence de recherche ci-après. Lorsque le serveur trouve des données de configuration correspondant aux critères décrits, il interrompt la recherche et utilise ces données pour opérer ses réglages. 1 Un serveur cherche d'abord dans un répertoire pour lequel il est configuré un enregistrement de configuration, dans un chemin d'accès nommé “AutoServerSetup”. Il recherche des enregistrements nommés à partir de son adresse MAC, son adresse IP, son numéro de série matériel interne, son nom d'hôte ou “generique”. 2 Le serveur recherche ensuite des fichiers de configuration sur les volumes montés localement, dans /Volumes/*/Auto Server Setup/, où * est un nom de système de fichiers. Il recherche dans les volumes, par ordre alphabétique des noms de périphé- riques, un fichier d'extension “.plist” et nommé à partir de son adresse MAC, son adresse IP, son numéro de série matériel interne, son nom d'hôte ou generique.plist. Si les données de configuration sont cryptées, le serveur a besoin de la phrase codée correcte avant de pouvoir effectuer ses réglages. Vous pouvez employer l'Assistant du serveur pour fournir la phrase codée interactivement ou dans un fichier texte stocké dans /Volumes/*/SA_Keys/. Le serveur cible recherche dans les volumes, par ordre alphabétique des noms de système de fichiers, un fichier d'extension “.pass” et nommé à partir de son adresse MAC, son adresse IP, son numéro de série matériel interne, son nom d'hôte ou generique.pass, dans cet ordre. Les deux sections suivantes fournissent plus de détails sur l'emploi des données de configuration enregistrées.Chapitre 7 Configuration initiale du serveur 95 Utilisation de données de configuration enregistrées dans un fichier Lorsque vous enregistrez des données de configuration dans un fichier, un serveur cible détecte automatiquement celui-ci et l'utilise si : • Les données de configuration détectées par le serveur cible ne se trouvent pas dans un répertoire que le serveur peut exploiter. Reportez-vous à “Utilisation de données de configuration enregistrées dans un répertoire” à la page 96 pour plus d'informations sur la détection et l'utilisation de données de répertoire par un serveur pour se régler lui-même. • Le fichier de configuration se trouve sur un volume monté localement dans / Volumes/*/Auto Server Setup/, où * est tout périphérique monté sous /Volumes. Un serveur cible parcourt les volumes par ordre alphabétique des noms de périphériques. Le périphérique monté comme système de fichiers peut être le disque dur du serveur ou un iPod, un CD, un disque FireWire, un disque USB ou tout autre périphérique connecté au serveur. Par exemple, /Volumes/AdminiPod/Auto Server Setup/monserveur.exemple.com.plist. • Le nom du fichier de configuration est l'un de ceux qui suivent (lors de la recherche de fichiers de configuration, les serveurs cibles recherchent les noms dans l'ordre indiqué) : .plist (insérez les zéros à gauche mais omettez les deuxpoints). Par exemple, 0030654dbcef.plist. .plist. Par exemple, 10.0.0.4.plist. .plist. Par exemple, monserveur.plist. .plist (8 premiers caractères seulement). Par exemple, ABCD1234.plist. .plist. Par exemple, monserveur.exemple.com.plist. .plist. Par exemple, 10.0.plist (trouve 10.0.0.4 et 10.0.1.2). generique.plist (fichier que tout serveur reconnaîtra, utilisé pour configurer les serveurs qui nécessitent les mêmes valeurs de configuration). • La phrase codée correcte est fournie au serveur si les données de configuration sont cryptées. Vous pouvez employer l'Assistant du serveur pour fournir une phrase codée interactivement ou dans un fichier texte. Placez le fichier de phrase codée sur un volume monté localement du serveur cible, dans /Volumes/*/SA_Keys/. Le fichier de phrase codée peut porter l'un des noms ci-après (les serveurs cibles recherchent les noms dans l'ordre indiqué) :96 Chapitre 7 Configuration initiale du serveur .pass (insérez les zéros à gauche mais omettez les deux-points). Par exemple, 0030654dbcef.pass. .pass. Par exemple, 10.0.0.4.pass. .pass. Par exemple, monserveur.pass. .pass (8 premiers caractères seulement). Par exemple, ABCD1234.pass. .pass. Par exemple, monserveur.exemple.com.pass. .pass. Par exemple, 10.0.pass (trouve 10.0.0.4 et 10.0.1.2). generique.pass (un fichier que tout serveur reconnaîtra). Si vous voulez réutiliser les données de configuration enregistrées après réinstallation d'un serveur, vous pouvez stocker le ou les fichiers de configuration du serveur dans une petite partition locale qui ne sera pas effacée lorsque vous réinstallerez le serveur. Les fichiers de configuration sont automatiquement détectés et réutilisés après chaque réinstallation. Utilisation de données de configuration enregistrées dans un répertoire Cette démarche permet le moins d'intervention possible pour configurer plusieurs serveurs mais requiert une infrastructure DHCP et de répertoires. À l'aide de l'Assistant du serveur, vous enregistrez les données de configuration dans un répertoire existant, pour lequel l'ordinateur que vous utilisez est configuré et où les serveurs récemment installés doivent lire les données de configuration. Le système du répertoire doit accepter les données de configuration enregistrées. Les répertoires Apple OpenLDAP gèrent d'emblée les données de configuration enregistrées. Pour stocker des données de configuration dans un autre répertoire, vous devez d'abord étendre son système, comme décrit dans le guide d'administration Open Directory. Lorsque vous enregistrez des données de configuration dans un répertoire, un serveur cible les détecte automatiquement et les utilise si : • Le serveur cible obtient ses noms de réseau (nom d'hôte, nom d'ordinateur et nom Rendezvous) ainsi que sa configuration de port à partir d'un serveur DHCP. • Le serveur DHCP est configuré pour identifier l'adresse IP du serveur de répertoire où sont stockées les données de configuration. Reportez-vous au guide d'administration des services réseau pour des instructions de configuration de serveur DHCP. • Les serveurs de répertoire et DHCP sont en cours d'exécution. • Les données de configuration sont stockées dans le répertoire, dans le chemin d'accès /AutoServerSetup/ et un enregistrement portant l'un de ces noms (les serveurs cibles recherchent les noms dans l'ordre indiqué) :Chapitre 7 Configuration initiale du serveur 97 (insérez les zéros à gauche mais omettez les deux-points). Par exemple, 0030654dbcef. . Par exemple, 10.0.0.4. . Par exemple, monserveur. (8 premiers caractères seulement). Par exemple, ABCD1234. . Par exemple, monserveur.exemple.com. . Par exemple, 10.0 (trouve 10.0.0.4 et 10.0.1.2). generique (enregistrement que tout serveur reconnaîtra, utilisé pour configurer les serveurs qui nécessitent les mêmes valeurs de configuration). • La phrase codée correcte est fournie au serveur (les données de configuration stockées dans un répertoire doivent toujours être cryptées). Vous pouvez employer l'Assistant du serveur pour fournir une phrase codée interactivement ou dans un fichier texte. Placez le fichier de phrase codée sur un volume monté localement sur le serveur cible, dans /Volumes/*/SA_Keys/, où * correspond à tout périphérique monté sous /Volumes. Un serveur cible recherche dans les volumes par ordre alphabétique des noms de périphériques. Le fichier de phrase codée peut porter l'un des noms ci-après (les serveurs cibles recherchent les noms dans l'ordre indiqué) : .pass (insérez les zéros à gauche mais omettez les deuxpoints). Par exemple, 0030654dbcef.pass. .pass. Par exemple, 10.0.0.4.pass. .pass. Par exemple, monserveur.pass. .pass (8 premiers caractères seulement). Par exemple, ABCD1234.pass. .pass. Par exemple, monserveur.exemple.com.pass. .pass. Par exemple, 10.0.pass (trouve 10.0.0.4 et 10.0.1.2). generique.pass (un fichier que tout serveur reconnaîtra). Stockage de copies de sauvegarde des données de configuration enregistrées Les données de configuration enregistrées ne servent pas uniquement à l'automatisation de la configuration de plusieurs serveurs. Elles permettent également de reconfigurer les serveurs si vous avez besoin d'y réinstaller le logiciel serveur.98 Chapitre 7 Configuration initiale du serveur Il est possible de conserver des copies de sauvegarde des fichiers de données de configuration sur un serveur de fichiers du réseau. De la même façon, vous pouvez stocker les fichiers de données de configuration dans une partition locale qui ne sera pas effacée lorsque vous réinstallerez le logiciel serveur. Spécification de l'utilisation initiale d'Open Directory Lors de la configuration initiale d'un serveur, vous spécifiez sa configuration de services de répertoire. Voici les possibilités : • Aucune modification, disponible uniquement lors de la mise à jour de Mac OS X Server version 10.1 ou 10.2, • Serveur autonome, servant uniquement à configurer un domaine de répertoire NetInfo local sur le serveur, • Maître Open Directory, servant à configurer un domaine Apple LDAP sur le serveur pour un partage par les autres ordinateurs, • Connecté à un système de répertoire, servant à configurer le serveur pour obtenir les informations de répertoire d'un domaine de répertoire partagé déjà configuré sur un autre serveur. Dans toutes ces situations, l'authentification Open Directory est configurée sur le serveur et utilisée par défaut pour tout nouvel utilisateur ajouté aux domaines résidant sur le serveur. Si vous configurez plusieurs serveurs et qu'un ou plusieurs d'entre eux hébergent un répertoire partagé, configurez-les avant les serveurs qui utiliseront ces répertoires partagés. Après configuration, utilisez si nécessaire les applications Format de répertoire ou Admin Serveur pour affiner la configuration de répertoire du serveur. Format de répertoire permet de configurer les connexions avec plusieurs domaines de répertoire et de spécifier une politique de recherche (ordre dans lequel le serveur doit rechercher dans les domaines). Admin Serveur permet de configurer la réplique et de gérer d'autres aspects de la configuration de service de répertoire d'un serveur. Le guide d'administration Open Directory vous aidera à choisir les options adéquates de configuration d'utilisation de répertoire. S'il s'agit d'une mise à jour, le meilleur choix est habituellement Aucune modification. Si vous configurez un nouveau serveur, le choix le plus simple est Serveur autonome. Après la configuration initiale du serveur, vous pouvez employer Format de répertoire ou Admin Serveur pour ajuster et finaliser la configuration de répertoire. Mise à jour sans changer l'utilisation de répertoire Lorsque vous configurez un serveur passé de la version 10.1 ou 10.2 à la version 10.3 et désirez qu'il exploite la même configuration de répertoire qu'auparavant, choisissez Aucune modification dans le panneau Utilisation de répertoire de l'Assistant du serveur.Chapitre 7 Configuration initiale du serveur 99 Même lorsque vous voulez changer la configuration de répertoire du serveur, le choix le plus sûr reste Aucune modification, particulièrement si vous envisagez de modifier la configuration de répertoire partagé d'un serveur. Par exemple, vous pouvez passer de l'hébergement d'un répertoire à l'utilisation d'un répertoire partagé d'un autre serveur et vice versa ou migrez d'un domaine NetInfo partagé vers LDAP. Ces opérations sont à réaliser après la configuration serveur, de façon à préserver l'accès aux informations sur les répertoires en réseau. Reportez-vous au guide d'administration Open Directory pour en savoir plus sur les options d'utilisation de répertoire et l'emploi de Format de répertoire et d'Admin Serveur afin de modifier des répertoires. Reportez-vous à Migration vers Mac OS X Server Version 10.3 pour plus d'informations sur l'emploi de données de répertoire existantes lorsque vous changez les réglages de service de répertoire. Si vous choisissez Aucune modification, l'authentification Open Directory est configurée si l'option Serveur de mot de passe n'était pas utilisée sur le serveur. Lorsque vous ajoutez des utilisateurs à un domaine de répertoire Apple résidant sur le serveur, les mots de passe sont validés par défaut en utilisant l'authentification Open Directory. Configuration d'un serveur comme serveur autonome Lorsque vous ne désirez pas que le serveur que vous configurez héberge ou utilise des informations de répertoire partagé, choisissez l'option d'utilisation de répertoire Serveur autonome dans Assistant du serveur. Cette option concerne uniquement un domaine NetInfo local. S'agissant d'un domaine local, les données qui y sont stockées ne sont accessibles que par le serveur que vous configurez. L'authentification Open Directory est également configurée sur le serveur. Par défaut, elle est utilisée lorsqu'un utilisateur est ajouté au domaine local. Lorsqu'un utilisateur tente de se connecter au serveur ou d'utiliser l'un des services réclamant une authentification, le serveur authentifie l'utilisateur en consultant la base de données locale. Si l'utilisateur a un compte sur le système et fournit le mot de passe correct, l'authentification aboutit. Configuration d'un serveur pour héberger un maître Open Directory Si vous voulez que le serveur que vous configurez héberge un répertoire LDAP Apple pour son propre usage et celui d'autres ordinateurs, choisissez l'option d'utilisation de répertoire Maître Open Directory dans Assistant du serveur. Cette option : • configure le domaine LDAP Apple sur le serveur, • active l'authentification Open Directory pour la validation de tous les utilisateurs définis dans le domaine NetInfo local et le domaine LDAP Apple partagé, • configure un KDC Kerberos sur le serveur, • active éventuellement un contrôleur de domaine principal Windows sur le serveur, ce qui permet à votre serveur d'authentifier et fournir des répertoires de départ aux utilisateurs d'ordinateurs sous Windows NT4.x, Windows 9x et Windows XP.100 Chapitre 7 Configuration initiale du serveur Pour configurer la réplique pour le répertoire LDAP Apple, utilisez Admin Serveur une fois la configuration achevée. Pour définir des connexions de répertoire supplémentaires, utilisez Format de répertoire. Reportez-vous au guide d'administration Open Directory pour plus d'informations sur la configuration de répertoire. L'authentification Open Directory est configurée sur le serveur et utilisée par défaut pour tous les utilisateurs ajoutés aux domaines qui résident sur le serveur. Configuration d'un serveur pour la connexion à un système de répertoire Si vous voulez que le serveur que vous configurez emploie un répertoire partagé sur un autre ordinateur, choisissez l'option d'utilisation de répertoire Connecté à un système de répertoire dans Assistant du serveur. Choisissez ensuite l'une des options suivantes : • Tel que spécifié par le serveur DHCP, configurant un serveur pour recevoir l'identité d'un serveur de répertoire LDAP ou NetInfo partagé du serveur DHCP qui lui fournit son adresse IP. Le répertoire LDAP peut être un répertoire LDAP Apple ou un répertoire LDAP d'un autre éditeur. • Répertoire LDAP Apple, qui vous permet d'indiquer que l'adresse de Mac OS X Server hébergeant le répertoire LDAP doit être obtenue en utilisant DHCP, ou de spécifier l'adresse IP ou nom de domaine du serveur. • Répertoire NetInfo, qui vous permet d'indiquer comment le serveur en cours de configuration devra localiser le serveur hébergeant un domaine partagé. Choisissez l'une de ces options : Broadcast, DHCP, Adresse IP statique. Cette dernière suppose que vous fournissiez l'adresse IP du serveur NetInfo et la balise NetInfo du domaine de répertoire, habituellement “network”. • Autre système de répertoire, qui est l'option à choisir lorsque vous désirez employer une option de répertoire différente des trois ci-dessus. Après configuration du serveur, utilisez Format de répertoire pour spécifier la configuration de répertoire du serveur. Reportez-vous au guide d'administration Open Directory pour plus d'informations.Chapitre 7 Configuration initiale du serveur 101 Vous pouvez configurer un serveur pour qu'il utilise un répertoire NetInfo sur Mac OS X Server version 10.0 et ultérieure ou un répertoire LDAP sur la version 10.2. Cependant, il est possible que vous ne bénéficiez pas de certaines fonctions de la version 10.3 : • Le service PDC Windows nécessite un répertoire maître LDAP version 10.3. • VPN a besoin de la version 10.3 si vous voulez employer l'authentification MS-CHAP2. • La réplique de serveur de mot de passe est impossible sur la version 10.2. • La configuration Kerberos est beaucoup plus complexe dans la version 10.2. Utilisation de la configuration interactive de serveur La solution interactive est intéressante lorsque vous avez peu de serveurs à configurer. Pour exploiter cette démarche, ouvrez l'Assistant du serveur, connectez-vous à un ou plusieurs serveurs cibles, fournissez les données de configuration, puis démarrez immédiatement la configuration. La méthode interactive permet de configurer un serveur local ou un ou plusieurs serveurs distants. Configuration interactive d'un serveur local Une fois le logiciel serveur installé sur un serveur, la méthode interactive permet de le configurer en local si vous avez possibilité d'accéder physiquement à l'ordinateur. Pour configurer interactivement un serveur local : 1 Remplissez la feuille de travail Mac OS X Server qui se trouve à la page 117. Pour des informations supplémentaires, reportez-vous à “Informations nécessaires” à la page 94. 2 Au redémarrage du serveur, l'Assistant du serveur est automatiquement ouvert. 3 Entrez les données de configuration consignées sur la feuille de configuration au fur et à mesure de votre progression dans les panneaux de l'Assistant, en suivant les instructions affichées. Vérifiez que tout serveur DHCP ou DNS que doit employer le serveur que vous configurez est bien en cours d'exécution. 4 Une fois entrées les données de configuration, l'Assistant du serveur affiche un résumé des données. 5 Vérifiez les données de configuration que vous avez entrées. Cliquez éventuellement sur Revenir pour les modifier. 6 Pour enregistrer les données de configuration sous forme de fichier texte ou dans un format réutilisable (un fichier de configuration ou une fiche de répertoire enregistré), cliquez sur Enregistrer sous. Tous les réglages spécifiés sont enregistrés, hormis le numéro de série du serveur. Lorsque vous utilisez des données de configuration enregistrées dans un fichier ou répertoire pour configurer un serveur, vous devez employer Admin Serveur pour entrer le numéro de série une fois la configuration du serveur achevée.102 Chapitre 7 Configuration initiale du serveur Pour crypter le fichier, sélectionnez Enregistrer au format crypté, puis entrez et vérifiez une phrase codée. Vous devez fournir la phrase codée pour qu'un fichier de configuration crypté puisse être utilisé par un serveur cible. 7 Pour démarrer la configuration du serveur, cliquez sur Appliquer. Au terme de la configuration du serveur, cliquez sur Redémarrer. Vous pouvez maintenant ouvrir une session sous l'identité de l'administrateur créé pendant la configuration afin de configurer les services. Report de la configuration de serveur local après l'installation Une fois terminée l'installation du logiciel serveur sur un ordinateur local, l'ordinateur redémarre et l'Assistant du serveur s'ouvre automatiquement. Si vous désirez reporter la configuration du serveur à plus tard, appuyez sur les touches Commande-Q. L'ordinateur s'éteint. À son prochain démarrage, l'Assistant du serveur s'ouvrira automatiquement. Configuration interactive d'un serveur distant Une fois le logiciel serveur installé sur un serveur, la méthode interactive permet de le configurer à distance à partir d'un ordinateur administrateur capable de se connecter au serveur cible. Pour configurer interactivement un serveur distant : 1 Remplissez la feuille de travail de Mac OS X Server qui se trouve à la page 117. Pour des informations supplémentaires, reportez-vous à “Informations nécessaires” à la page 94. 2 Assurez-vous que le serveur cible est en cours d'exécution. 3 Sur un ordinateur administrateur, ouvrez Assistant du serveur dans /Applications/ Server/ 4 Dans le panneau Bienvenue, sélectionnez Configurer un serveur distant et cliquez sur Continuer. 5 Dans le panneau Destination, placez une marque de cochage dans la colonne Appliquer du serveur distant à configurer, puis tapez son mot de passe de préréglage dans la case Mot de passe et cliquez sur Continuer pour vous connecter au serveur. Si le serveur cible n'apparaît pas dans la liste, cliquez sur Ajouter pour l'ajouter ou Actualiser pour voir s'il est disponible. 6 Dans le panneau Langue, choisissez la langue à employer pour administrer le serveur cible, puis cliquez sur Continuer. 7 Suivez l'étape 8 si vous voulez utiliser des données de configuration enregistrées. Sinon, passez à l'étape 9.Chapitre 7 Configuration initiale du serveur 103 8 Dans le panneau Langue, choisissez Fichier > Ouvrir le fichier de configuration ou Fichier > Ouvrir la fiche de répertoire pour charger les données de configuration enregistrées à employer. Si les données de configuration enregistrées sont cryptées, tapez la phrase codée lorsque nécessaire. Choisissez éventuellement Présentation > Aller à Revoir pour vérifier les données de configuration, puis Revenir pour les modifier. 9 Entrez les données de configuration au fur et à mesure de votre progression dans les panneaux de l'Assistant, en suivant les instructions affichées. Vérifiez que tout serveur DHCP ou DNS que doit employer le serveur que vous configurez est bien en cours d'exécution. 10 Une fois toutes les données de configuration spécifiées, vérifiez le résumé affiché par l'Assistant du serveur et cliquez éventuellement sur Revenir pour modifier les données. 11 Pour enregistrer les données de configuration sous forme de fichier texte ou dans un format réutilisable (fichier de configuration ou fiche de répertoire), cliquez sur Enregistrer sous. Tous les réglages spécifiés sont enregistrés, hormis le numéro de série du serveur. Lorsque vous utilisez des données de configuration enregistrées dans un fichier ou répertoire pour configurer un serveur, vous devez employer Admin Serveur pour entrer le numéro de série une fois la configuration du serveur achevée. Pour crypter le fichier, sélectionnez Enregistrer au format crypté, puis entrez et vérifiez une phrase codée. Vous devez fournir la phrase codée avant qu'un fichier de configuration crypté puisse être utilisé par un serveur cible. 12 Pour démarrer la configuration du serveur, cliquez sur Appliquer. Au terme de la configuration du serveur, cliquez sur Continuer. Le serveur cible redémarre automatiquement et vous pouvez ouvrir une session sous l'identité de l'administrateur créé pendant la configuration afin de configurer les services. Configuration interactive d'un lot de serveurs distants Vous pouvez employer la méthode interactive pour configurer un lot de serveurs si : • tous les serveurs sont accessibles à partir d'un ordinateur administrateur, • tous les serveurs utilisent les même données de configuration à l'exception des identités réseau (nom d'hôte, nom d'ordinateur et nom Rendezvous) et du numéro de série du logiciel serveur, • les identités réseau sont fournies par un serveur DHCP ou BootP. Pour configurer plusieurs serveurs distants interactivement, par lot : 1 Remplissez la feuille de travail Mac OS X Server avec les réglages à employer pour tous les serveurs à configurer qui se trouve à la page 117. Pour des informations supplémentaires, reportez-vous à “Informations nécessaires” à la page 94. 2 Assurez-vous que les serveurs cibles et tous serveurs DHCP ou DNS qu'ils doivent employer sont en cours d'exécution.104 Chapitre 7 Configuration initiale du serveur 3 Sur un ordinateur administrateur capable de se connecter à tous les serveurs cibles, ouvrez Assistant du serveur dans /Applications/Server/ 4 Dans le panneau Bienvenue, sélectionnez Configurer un serveur distant et cliquez sur Continuer. 5 Dans le panneau Destination, placez une marque de cochage dans la colonne Appliquer des serveurs distants à configurer. Tapez ensuite le mot de passe de préréglage dans la case Mot de passe de chaque serveur et cliquez sur Continuer pour vous connecter aux serveurs. Si un serveur cible à configurer n'est pas dans la liste, cliquez sur Ajouter pour l'y ajouter. 6 Dans le panneau Langue, indiquez la langue à employer pour administrer les serveurs cibles, puis cliquez sur Continuer. 7 Suivez l'étape 8 si vous voulez utiliser des données de configuration enregistrées. Sinon, passez à l'étape 9. 8 Dans le panneau Langue, choisissez Fichier > Ouvrir le fichier de configuration ou Fichier > Ouvrir la fiche de répertoire pour charger les données de configuration enregistrées à employer. Si les données de configuration enregistrées sont cryptées, tapez la phrase codée lorsque nécessaire. Choisissez éventuellement Présentation > Aller à Revoir pour vérifier les données de configuration, puis Revenir pour les modifier. 9 Entrez les données de configuration au fur et à mesure de votre progression dans les panneaux de l'Assistant, en suivant les instructions affichées. Lorsque vous y êtes invité, entrez le numéro de série de chaque serveur cible. 10 Une fois toutes les données de configuration spécifiées, vérifiez le résumé affiché par l'Assistant du serveur et cliquez éventuellement sur Revenir pour modifier les données. 11 Pour enregistrer les données de configuration sous forme de fichier texte ou dans un format réutilisable (fichier de configuration ou fiche de répertoire), cliquez sur Enregistrer sous. Tous les réglages spécifiés sont enregistrés, hormis le numéro de série du serveur. Lorsque vous utilisez des données de configuration enregistrées dans un fichier ou répertoire pour configurer un serveur, vous devez employer Admin Serveur pour entrer le numéro de série une fois la configuration du serveur achevée. Pour crypter le fichier, sélectionnez Enregistrer au format crypté, puis entrez et vérifiez une phrase codée. Vous devez fournir la phrase codée avant qu'un fichier de configuration crypté ne puisse être utilisé par un serveur cible. 12 Pour démarrer la configuration du serveur, cliquez sur Appliquer. Lorsque la configuration du serveur est achevée, cliquez sur Continuer. Les serveurs cibles redémarrent automatiquement et vous pouvez ouvrir une session sous l'identité de l'administrateur créé pendant la configuration afin de configurer leurs services.Chapitre 7 Configuration initiale du serveur 105 Configuration interactive de plusieurs serveurs distants tour à tour Vous pouvez employer la méthode interactive pour configurer plusieurs serveurs en utilisant plusieurs fenêtres Assistant du serveur sur un ordinateur administrateur. Pour configurer interactivement plusieurs serveurs distants tour à tour : 1 Remplissez la feuille de travail Mac OS X Server pour chaque serveur à configurer qui se trouve à la page 117. Pour des informations supplémentaires, reportez-vous à “Informations nécessaires” à la page 94. 2 Assurez-vous que les serveurs cibles et tous serveurs DHCP ou DNS qu'ils doivent employer sont en cours d'exécution. 3 Sur un ordinateur administrateur capable de se connecter à tous les serveurs cibles, ouvrez Assistant du serveur dans /Applications/Server/ 4 Dans le panneau Bienvenue, sélectionnez Configurer un serveur distant et cliquez sur Continuer. 5 Dans le panneau Destination, cochez l'un des serveurs distants à configurer. Tapez ensuite le mot de passe de préréglage dans la case Mot de passe du serveur et cliquez sur Continuer pour vous connecter au serveur. Si le serveur à configurer n'est pas dans la liste, cliquez sur Ajouter pour l'y ajouter. 6 Dans le panneau Langue, choisissez la langue à employer pour administrer le serveur cible, puis cliquez sur Continuer. 7 Suivez l'étape 8 si vous voulez utiliser des données de configuration enregistrées. Sinon, passez à l'étape 9. 8 Dans le panneau Langue, choisissez Fichier > Ouvrir le fichier de configuration ou Fichier > Ouvrir la fiche de répertoire pour charger les données de configuration enregistrées à employer. Si les données de configuration enregistrées sont cryptées, tapez la phrase codée lorsque nécessaire. Choisissez éventuellement Présentation > Aller à Revoir pour vérifier les données de configuration, puis Revenir pour les modifier. 9 Entrez les données de configuration au fur et à mesure de votre progression dans les panneaux de l'Assistant, en suivant les instructions affichées. 10 Une fois toutes les données de configuration spécifiées, vérifiez le résumé affiché par l'Assistant du serveur et cliquez éventuellement sur Revenir pour modifier les données. 11 Pour enregistrer les données de configuration sous forme de fichier texte ou dans un format réutilisable (fichier de configuration ou fiche de répertoire), cliquez sur Enregistrer sous. Tous les réglages spécifiés sont enregistrés, hormis le numéro de série du serveur. Lorsque vous utilisez des données de configuration enregistrées dans un fichier ou répertoire pour configurer un serveur, vous devez employer Admin Serveur pour entrer le numéro de série une fois la configuration du serveur achevée.106 Chapitre 7 Configuration initiale du serveur Pour crypter le fichier, sélectionnez Enregistrer au format crypté, puis entrez et vérifiez une phrase codée. Vous devez fournir la phrase codée avant qu'un fichier de configuration crypté puisse être utilisé par un serveur cible. 12 Pour démarrer la configuration du serveur, cliquez sur Appliquer. 13 Pour travailler sur la configuration d'un autre serveur avant la fin de celle en cours, choisissez Fichier > Nouvelle fenêtre et répétez les étapes 4 à 12. Lorsque sa configuration est achevée, le serveur cible redémarre automatiquement et vous pouvez ouvrir une session sous l'identité de l'administrateur créé pendant la configuration afin de configurer ses services. Utilisation de la configuration automatique de serveur La méthode automatique est utile lorsque vous : • avez un nombre plus important de serveurs à configurer, • voulez préparer la configuration de serveurs pas encore disponibles, • voulez enregistrer des données de configuration à titre de sauvegarde, • devez réinstaller fréquemment des serveurs. Une manière d'employer cette méthode est d'utiliser le mode hors connexion de l'Assistant du serveur et travailler sur les données de configuration sans vous connecter à des serveurs particuliers. Vous spécifiez les données de configuration, puis les enregistrez dans un fichier ou dans un répertoire accessible depuis les serveurs cibles. Ceux sur lesquels le logiciel Mac OS X Server version 10.3 a été installé détectent automatiquement la présence des données de configuration enregistrées et les utilisent pour se configurer eux-mêmes. Il est possible de créer une configuration enregistrée générique pour configurer n'importe quel serveur, tel qu'un serveur en commande ou cinquante Xserve configurables à l'identique, initialement du moins. Vous pouvez aussi enregistrer des données de configuration adaptées à un serveur particulier. Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un fichier Une fois le logiciel serveur installé sur un serveur, vous pouvez le configurer automatiquement en utilisant des données enregistrées dans un fichier. Pour enregistrer et appliquer les données de configuration d'un fichier : 1 Remplissez la feuille de travail Mac OS X Server pour chaque serveur à configurer qui se trouve à la page 117. Pour des informations supplémentaires, reportez-vous à “Informations nécessaires” à la page 94. 2 Sur un ordinateur administrateur, ouvrez Assistant du serveur dans /Applications/Server/Chapitre 7 Configuration initiale du serveur 107 3 Dans le panneau Bienvenue, sélectionnez Enregistrer la configuration dans une fiche de répertoires ou fichiers pour travailler en mode hors connexion (connexion serveur inutile). 4 Dans le panneau Langue, spécifiez la langue à employer pour administrer le ou les serveurs cibles, puis cliquez sur Continuer. 5 Si vous voulez créer un nouveau fichier de configuration, suivez l'étape 6. Pour travailler avec un fichier de configuration existant, passez à l'étape 7. Si vous prévoyez de créer un fichier de configuration générique pour configurer plusieurs serveurs, vérifiez que vous ne spécifiez pas de noms de réseau (nom d'hôte, nom d'ordinateur et nom Rendezvous) et que l'interface réseau (port) est réglée pour être configurée via Utilisation de DHCP ou Utilisation de BootP. 6 Entrez les données de configuration au fur et à mesure de votre progression dans les panneaux de l'Assistant, en suivant les instructions affichées. 7 Dans le panneau Langue, choisissez Fichier > Ouvrir le fichier de configuration ou Fichier > Ouvrir la fiche de répertoire pour charger les données de configuration enregistrées sur lesquelles vous voulez travailler. Si les données de configuration enregistrées sont cryptées, tapez la phrase codée lorsque nécessaire. Choisissez éventuellement Présentation > Aller à Revoir pour vérifier les données de configuration, puis Revenir pour les modifier. 8 Dans le panneau Interfaces de réseau, cliquez sur Ajouter pour spécifier les interfaces de réseau. 9 Une fois spécifiées toutes les données de configuration, vérifiez le résumé affiché par l'Assistant du serveur et cliquez éventuellement sur Revenir pour modifier les données. 10 Cliquez sur Enregistrer sous, puis sélectionnez Fichier de configuration. Tous les réglages spécifiés sont enregistrés, hormis le numéro de série du serveur. Ultérieurement dans ce processus, vous utiliserez Admin Serveur pour entrer le numéro de série après configuration d'un serveur cible. 11 Pour crypter le fichier, sélectionnez Enregistrer au format crypté, puis entrez et vérifiez une phrase codée. Vous devez fournir la phrase codée avant qu'un fichier de configuration crypté puisse être utilisé par un serveur cible. 12 Cliquez sur OK, accédez à l'emplacement où vous voulez enregistrer le fichier, nommez celui-ci en utilisant l'une des options suivantes et cliquez sur Enregistrer (lors de la recherche de fichiers de configuration, les serveurs cibles recherchent les noms dans l'ordre indiqué) : .plist (insérez les zéros à gauche mais omettez les deuxpoints). Par exemple, 0030654dbcef.plist. .plist. Par exemple, 10.0.0.4.plist. .plist. Par exemple, monserveur.plist.108 Chapitre 7 Configuration initiale du serveur .plist (8 premiers caractères seulement). Par exemple, ABCD1234.plist. .plist. Par exemple, monserveur.exemple.com.plist. .plist. Par exemple, 10.0.plist (trouve 10.0.0.4 et 10.0.1.2). generique.plist (fichier que tout serveur reconnaîtra, utilisé pour configurer les serveurs qui nécessitent les mêmes valeurs de configuration). 13 Placez le fichier à un emplacement où le ou les serveurs cibles peuvent le détecter. Un serveur peut détecter un fichier de configuration s'il réside sur un volume monté localement dans /Volumes/*/Auto Server Setup/, où * correspond à tout périphérique monté sous /Volumes. Il peut s'agir du disque dur du serveur ou un iPod, CD, disque FireWire, disque USB ou autre périphérique connecté au serveur. Par exemple, si vous avez un iPod nommé AdminiPod, le chemin d'accès consulté sera /Volumes/AdminiPod/Auto Server Setup/. 14 Si les données de configuration sont cryptées, rendez accessible la phrase codée au(x) serveur(s) cible(s). Vous pouvez fournir la phrase codée interactivement, à l'aide de l'Assistant du serveur ou dans un fichier texte. Pour fournir la phrase codée dans un fichier, suivez l'étape 15. Pour la fournir interactivement, passez à l'étape 16. 15 Pour fournir une phrase codée dans un fichier, créez un fichier texte et tapez à la première ligne la phrase codée du fichier de configuration enregistré. Sauvegardez le fichier en utilisant l'un des noms suivants (les serveurs cibles recherchent les noms dans l'ordre indiqué) : .pass (insérez les zéros à gauche mais omettez les deuxpoints). Par exemple, 0030654dbcef.pass. .pass. Par exemple, 10.0.0.4.pass. .pass. Par exemple, monserveur.pass. .pass (8 premiers caractères seulement). Par exemple, ABCD1234.pass. .pass. Par exemple, monserveur.exemple.com.pass. .pass. Par exemple, 10.0.pass (trouve 10.0.0.4 et 10.0.1.2). generique.pass (un fichier que tout serveur reconnaîtra). Placez le fichier de phrase codée sur un volume monté localement sur le serveur cible, dans /Volumes/*/SA_Keys/, où * est tout périphérique monté sous /Volumes.Chapitre 7 Configuration initiale du serveur 109 16 Pour fournir interactivement une phrase codée, utilisez l'Assistant du serveur sur un ordinateur administrateur capable de se connecter au serveur cible. Dans le panneau Bienvenue, choisissez Fichier > Fournir la phrase codée. Dans le zone de dialogue, entrez l'adresse IP, le mot de passe et la phrase codée du serveur cible. Cliquez sur Envoyer. 17 Utilisez l'Assistant du serveur pour entrer le numéro de série du logiciel serveur du serveur cible. Reportez-vous au guide d'administration de la ligne de commande pour une description de l'organisation d'un fichier de configuration enregistré. Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un répertoire Une fois le logiciel serveur installé sur un serveur, vous pouvez le configurer automatiquement en utilisant des données enregistrées dans un répertoire. Cette méthode nécessite un répertoire et une infrastructure DHCP préexistants, comme décrit ci-dessous. Pour enregistrer et appliquer des données de configuration dans une fiche de répertoire : 1 Vérifiez que le répertoire dans lequel vous voulez enregistrer les données de configuration existe, que son système accepte les données de configuration enregistrées et qu'il est accessible depuis votre ordinateur administrateur. Le guide d'administration Open Directory décrit comment configurer et accéder aux répertoires. Il présente également le système pour les données de configuration enregistrées. La gestion des données de configuration enregistrées est intégrée aux répertoires Apple OpenLDAP mais le système des autres répertoires doit être étendu pour accepter ce type de données. 2 Remplissez la feuille de travail de Mac OS X Server pour chaque serveur à configurer qui se trouve à la page 117. Pour des informations supplémentaires, reportez-vous à “Informations nécessaires” à la page 94. 3 Sur un ordinateur administrateur, ouvrez Assistant du serveur dans /Applications/ Server/ 4 Dans le panneau Bienvenue, sélectionnez Enregistrer la configuration dans une fiche de répertoires ou fichiers pour travailler en mode hors connexion (connexion serveur inutile). 5 Dans le panneau Langue, spécifiez la langue à employer pour administrer le ou les serveurs cibles, puis cliquez sur Continuer. 6 Si vous voulez créer une nouvelle configuration, suivez l'étape 7. Pour travailler avec une configuration existante, passez à l'étape 8.110 Chapitre 7 Configuration initiale du serveur Si vous créez des données de configuration générique, vérifiez que vous ne spécifiez pas de noms de réseau (nom d'hôte, nom d'ordinateur et nom Rendezvous) et que l'interface de réseau (port) est réglée pour être configurée via Utilisation de DHCP ou Utilisation de BootP. 7 Entrez les données de configuration au fur et à mesure de votre progression dans les panneaux de l'Assistant, en suivant les instructions affichées. 8 Dans le panneau Langue, choisissez Fichier > Ouvrir le fichier de configuration ou Fichier > Ouvrir la fiche de répertoire pour charger les données de configuration enregistrées sur lesquelles vous voulez travailler. Si les données de configuration enregistrées sont cryptées, tapez la phrase codée lorsque nécessaire. Choisissez éventuellement Présentation > Aller à Revoir pour vérifier les données de configuration, puis Revenir pour les modifier. 9 Dans le panneau Interfaces de réseau, cliquez sur Ajouter pour spécifier les interfaces de réseau. 10 Une fois spécifiées toutes les données de configuration, vérifiez le résumé affiché par l'Assistant du serveur et cliquez éventuellement sur Revenir pour modifier les données. 11 Cliquez sur Enregistrer sous, puis sélectionnez Fiche de répertoire. Tous les réglages spécifiés sont enregistrés, hormis le numéro de série du serveur. Ultérieurement dans ce processus, vous utiliserez Admin Serveur pour entrer le numéro de série après configuration d'un serveur cible. 12 Pour crypter le fichier, sélectionnez Enregistrer au format crypté, puis entrez et vérifiez une phrase codée. Avant qu'un enregistrement de répertoire crypté soit utilisable par un serveur cible, vous devez fournir la phrase codée. 13 Accédez à /AutoServerSetup/ dans le répertoire où vous voulez enregistrer la configuration, nommez l'enregistrement de configuration et cliquez sur OK. Lorsque vous y êtes invité, entrez les informations requises pour vous authentifier comme administrateur de domaine. Les serveurs cibles recherchent les noms d'enregistrement dans l'ordre suivant : (insérez les zéros à gauche mais omettez les deux-points). Par exemple, 0030654dbcef. . Par exemple, 10.0.0.4. . Par exemple, monserveur. (8 premiers caractères seulement). Par exemple, ABCD1234. . Par exemple, monserveur.exemple.com. . Par exemple, 10.0 (trouve 10.0.0.4 et 10.0.1.2).Chapitre 7 Configuration initiale du serveur 111 generique (enregistrement que tout serveur reconnaîtra, utilisé pour configurer les serveurs qui nécessitent les mêmes valeurs de configuration). 14 Assurez-vous que l'infrastructure correcte est en place de façon à ce que les serveurs devant employer l'enregistrement de configuration stockée puissent le trouver. Le serveur de répertoire stockant l'enregistrement de configuration doit être en cours d'exécution. DHCP doit être configuré pour identifier le serveur de répertoire aux serveurs cibles en utilisant l'Option 95. De plus, il faudra éventuellement configurer DNS si vos données de répertoire comportent des noms d'hôtes. Reportez-vous à la section “Infrastructures de configuration du serveur” à la page 79 pour des informations supplémentaires sur l'infrastructure. Les guides d'administration Open Directory et des services de réseau fournissent des instructions pour configurer les répertoires et DHCP. 15 Si les données de configuration sont cryptées, rendez accessible la phrase codée au(x) serveur(s) cible(s). Vous pouvez fournir la phrase codée interactivement, à l'aide de l'assistant du serveur ou dans un fichier texte. Pour fournir la phrase codée dans un fichier, suivez l'étape 16. Pour la fournir interactivement, passez à l'étape 17. 16 Pour fournir une phrase codée dans un fichier, créez un fichier texte et tapez à la première ligne la phrase codée du fichier de configuration enregistré. Sauvegardez le fichier en utilisant l'un des noms suivants (les serveurs cibles recherchent les noms dans l'ordre indiqué) : .pass (insérez les zéros à gauche mais omettez les deuxpoints). Par exemple, 0030654dbcef.pass. .pass. Par exemple, 10.0.0.4.pass. .pass. Par exemple, monserveur.pass. .pass (8 premiers caractères seulement). Par exemple, ABCD1234.pass. .pass. Par exemple, monserveur.exemple.com.pass. .pass. Par exemple, 10.0.pass (trouve 10.0.0.4 et 10.0.1.2). generique.pass (un fichier que tout serveur reconnaîtra). Placez le fichier de phrase codée sur un volume monté localement sur le serveur cible, dans /Volumes/*/SA_Keys/, où * correspond tout périphérique monté sous /Volumes. 17 Pour fournir interactivement une phrase codée, utilisez l'Assistant du serveur sur un ordinateur administrateur capable de se connecter au serveur cible. Dans le panneau Bienvenue, choisissez Fichier > Fournir la phrase codée. Dans le zone de dialogue, entrez l'adresse IP, le mot de passe et la phrase codée du serveur cible.112 Chapitre 7 Configuration initiale du serveur Cliquez sur Envoyer. 18 Utilisez l'Assistant du serveur pour entrer le numéro de série du logiciel serveur du serveur cible. Reportez-vous au guide d'administration Open Directory pour une description du système de données de configuration enregistrées dans un répertoire. Détermination de l'état des configurations Il existe plusieurs manières d'afficher les informations d'état de configuration dans Assistant du serveur : • Après avoir démarré interactivement la configuration d'un ou plusieurs serveurs, des informations de progression sont affichées. Si la configuration aboutit, un serveur cible redémarre à la fin de la configuration. Si la configuration échoue, l'Assistant du serveur affiche des informations d'erreur. • Vous pouvez employer le panneau Destination disponible pendant les configurations interactives de serveur distant pour estimer si une configuration en cours nécessite votre attention. Si un serveur présente une icône d'erreur, cliquez dessus et lisez les informations. Par exemple, vous pouvez déterminez si un fichier de configuration enregistré n'a pas pu être utilisé par un serveur particulier du fait que les données de configuration sont cryptées et qu'une phrase codée n'a pas pu être trouvée. Vous pouvez enregistrer une liste de serveurs à contrôler dans le panneau Destination, en choisissant Fichier > Enregistrer la liste de serveurs. Lorsque vous voulez surveiller l'état de ces serveurs, utilisez Fichier > Charger la liste de serveurs. • Lorsqu'une configuration de serveur échoue, un historique d'erreurs est créé dans / System/Library/ServerSetup/Configured/POR.err sur le serveur cible. La configuration ne peut être redémarrée tant que ce fichier n'a pas été effacé. Le contenu de cet historique peut être affiché et le fichier d'historique effacé à l'aide de l'Assistant du serveur. Dans le panneau Bienvenue, sélectionnez Configurer un serveur distant et cliquez sur Continuer. Dans le panneau Destination, affichez la liste des serveurs en question. Si un historique d'erreurs existe pour un serveur, la ligne du serveur dans la liste contient une icône d'erreur. Sélectionnez la ligne et doublecliquez sur l'icône d'erreur. Si vous y êtes invité, fournissez le mot de passe de préréglage et cliquez sur Envoyer. Le contenu de l'historique est affiché et vous pouvez cliquer sur Supprimer pour effacer le fichier d'historique. Configuration des services Les sections suivantes abordent la configuration initiale de services individuels et vous indiquent où trouver des instructions complètes pour personnaliser les services en fonction des besoins.Chapitre 7 Configuration initiale du serveur 113 Configuration d'Open Directory À moins que votre serveur ne doive être intégré au système de répertoire d'un autre fabricant ou que l'architecture de répertoire d'un serveur que vous mettez à jour doive être immédiatement modifiée, vous pouvez tout de suite commencer à utiliser les répertoires que vous avez configurés pendant la configuration du serveur. Le guide d'administration Open Directory contient des instructions sur tous les aspects de la configuration de domaine Open Directory et de l'authentification : • configuration de l'accès d'un ordinateur client à des données de répertoire partagé, • réplique de répertoires LDAP et des informations d'authentification de maîtres Open Directory, • intégration avec Active Directory et autres répertoires non Apple, • configuration d'ouverture de session unique, • utilisation de Kerberos et autres techniques d'authentification. Configuration de la gestion des utilisateurs À moins d'utiliser un serveur exclusivement pour héberger du contenu Internet (comme des pages Web) ou de réaliser de la mise en grappe informatique, vous serez probablement amené à configurer des comptes utilisateurs en plus du compte administrateur créé pendant la configuration du serveur. Pour configurer un compte utilisateur : 1 Ouvrez Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur le petit globe en haut de la fenêtre d'application pour sélectionner le répertoire auquel ajouter des utilisateurs. 3 Cliquez sur le bouton Nouvel utilisateur. 4 Spécifiez les réglages d'utilisateur dans les différents panneaux. Le guide de gestion des utilisateurs indique comment gérer les utilisateurs en configurant les comptes de groupe et d'ordinateur. Il décrit également comment configurer les réglages pour les préférences, de façon à personnaliser les environnements de travail des utilisateurs Mac OS X et Mac OS 9.1. Configuration des services de fichiers Lorsque vous activez les services de partage de fichiers, les utilisateurs peuvent partager des éléments dans les dossiers sélectionnés. Si vous activez le service de fichiers Apple pendant la configuration du serveur, les utilisateurs en possession de comptes peuvent partager des éléments en les plaçant dans le dossier Public de leur répertoire de départ ou en copiant ces éléments dans le dossier Boîte de dépôt d'un dossier Public d'un autre utilisateur. Si vous n'avez pas encore activé le service de fichiers Apple ou d'autres services de fichiers disponibles, vous pouvez le faire à présent.114 Chapitre 7 Configuration initiale du serveur Pour configurer le partage de fichiers : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Dans la liste sous le serveur concerné, cliquez sur chaque service de fichiers à activer, puis sur le bouton Démarrer le service dans la barre d'outils. Pour un partage avec des ordinateurs Macintosh, activez le service de fichiers Apple. Pour un partage avec des ordinateurs Windows, activez les services Windows. Pour fournir l'accès File Transfer Protocol (FTP), activez le service FTP. Pour un partage avec des ordinateurs UNIX, activez le service NFS. 3 Ouvrez Gestionnaire de groupe de travail et cliquez sur Partage pour configurer un point de partage. 4 Sélectionnez un volume ou un dossier à partager dans l'onglet Tous. 5 Cliquez sur Général, puis sélectionnez Partager cet élément et son contenu. 6 Cliquez sur Protocoles, puis sélectionnez les protocoles à employer pour le partage. Le guide d'administration des services de fichiers contient des instructions pour la gestion des points de partage et la configuration du partage de fichiers avec tous les protocoles. Configuration du service d'impression Lorsque vous activez le service d'impression, les utilisateurs de serveurs peuvent partager des imprimantes réseau PostScript ou des imprimantes PostScript et non PostScript connectées directement au serveur. Lorsque vous activez le service d'impression dans Admin Serveur, une file d'attente est configurée pour toute imprimante USB connectée au serveur. Aucune file d'imprimante n'est automatiquement configurée pour les imprimantes réseau, mais il est facile d'en ajouter. Pour configurer une file d'imprimante partagée : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Dans la liste sous le serveur en question, cliquez sur le bouton du service d'impression. 3 S'il est pas en cours d'exécution, cliquez sur le bouton Démarrer le service dans la barre d'outils. 4 Cliquez sur le bouton Réglages en bas de la fenêtre d'application, puis sur l'onglet Files d'attente. 5 Cliquez sur le bouton Ajouter (+). 6 Choisissez un protocole de connexion, identifiez une imprimante, puis cliquez sur OK. Les utilisateurs d'ordinateurs Mac OS X peuvent désormais ajouter l'imprimante à l'aide du Centre d'impression. Les utilisateurs de Mac OS 9 le feront à l'aide du Sélecteur.Chapitre 7 Configuration initiale du serveur 115 Pour plus d'informations sur la configuration des services d'impression, reportez-vous au guide d'administration du service d'impression. Configuration de service Web Vous pouvez utiliser le serveur HTTP Apache fourni avec Mac OS X Server pour héberger des sites Web d'utilisateurs individuels ou de serveur. Si vous avez activé le service Web dans l'Assistant du serveur, votre serveur est prêt à fournir des pages HTML à partir des dossiers des sites du serveur et des utilisateurs individuels. • Pour visualiser le site de serveur principal, ouvrez un navigateur Web sur un ordinateur ayant accès au serveur et tapez l'adresse IP ou le nom de domaine du serveur. • Pour visualiser le site d'un utilisateur, ajoutez une barre oblique (/), un tilde (~) et le diminutif de l'utilisateur après l'adresse du serveur. Par exemple, tapez http://192.268.2.1/~utilisateur Pour activer le service Web s'il n'est pas en cours d'exécution : 1 Si vous disposez des fichiers HTML de votre site principal, copiez-les dans le dossier Documents du répertoire /Bibliothèque/WebServer. Si les fichiers de votre site sont organisés en dossiers, copiez la structure des dossiers entière dans le dossier Documents. Dans le cas d'un site utilisateur, les fichiers se placent dans le dossier Sites du répertoire de départ de l'utilisateur. Si vous ne disposez pas encore de vos fichiers HTML, vous pouvez toujours activer le service Web pour voir comment il fonctionne à l'aide des pages de démarrage par défaut fournies avec Mac OS X Server. 2 Ouvrez Admin Serveur. 3 Dans la liste sous le serveur en question, cliquez sur le bouton du service Web. 4 S'il est pas en cours d'exécution, cliquez sur le bouton Démarrer le service dans la barre d'outils. Le guide d'administration des technologies Web décrit les nombreuses fonctions de service Web, notamment comment configurer SSL sur un site, activer WebMail et utiliser WebDAV pour le partage de fichiers. Configuration du service de courrier Si vous n'avez pas activé le service de courrier dans l'Assistant du serveur, vous pouvez le démarrer à l'aide d'Admin Serveur, comme décrit ci-dessus pour les autres services. Pour que vos utilisateurs puissent utiliser la totalité des services de courrier disponibles, vous devez définir d'autres réglages. Le guide d'administration du service de courrier fournit des instructions détaillées pour configurer et gérer un serveur de courrier.116 Chapitre 7 Configuration initiale du serveur Configuration de services réseau Si vous voulez qu'un serveur héberge l'un des services réseau suivants, recherchez les instructions de configuration dans le guide d'administration des services réseau : • service DHCP • DNS • service de coupe-feu • NAT (Network Address Translation) • VPN • service d'horloge réseau Configuration des services d'image système Pour en savoir plus sur l'utilisation de NetBoot et d'installation en réseau afin de simplifier la gestion et l'installation de systèmes d'exploitation clients et autres logiciels, reportez-vous au guide d'administration des images système. Il indique comment créer des images disque et configurer Mac OS X Server de façon que d'autres ordinateurs Macintosh puissent démarrer ou installer via le réseau, à partir de ces images. Configuration de l'enchaînement et de la diffusion de données Pour en savoir plus sur le mode d'administration d'un serveur d'enchaînement diffusant des flux de données en temps réel ou à la demande vers des ordinateurs clients, reportez-vous au guide d'administration du Serveur Enchaînement QuickTime. Configuration d'un serveur d'applications Pour configurer un serveur d'applications Java, reportez-vous au guide d'administration JBoss. Il indique comment développer et déployer des servlets, des beans et des applications d'entreprise, mais aussi comment configurer et administrer un serveur d'applications Java. Utilisez Admin Serveur pour administrer JBoss et Tomcat. Pour activer JBoss s'il n'est pas en cours d'exécution : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Dans la liste sous le serveur en question, cliquez sur Serveur d'applications. 3 Cliquez sur Démarrer le service. 117 A Annexe A Feuille de travail de Mac OS X Server Identifiez le serveur dont les informations figurent dans le tableau ci-dessous : Élément Description Vos informations Identité du serveur en vue de son installation et sa configuration Pour l'installation et la configuration interactives d'un serveur sur le sous-réseau local, l'une de ces valeurs du serveur : - Adresse IP au format IPv4 (000.000.000.000) - Nom DNS (serveur.exemple.com) - Adresse MAC (00:03:93:71:26:52). Pour les installations et configurations à partir de la ligne de commande ou d'un sous-réseau distant, l'adresse IP du serveur cible au format IPv4. Mot de passe prédéfini (pour l'installation et la configuration à distance) Les 8 premiers chiffres du numéro de série du serveur cible, imprimé sur l'étiquette collée sur l'ordinateur. Pour les anciens ordinateurs ne portant pas ce type de numéro, entrez 12345678. Type d'installation Mise à niveau de la version 10.1 ou 10.2 ou nouvelle installation. Le volume (partition) cible est effacé lorsque vous effectuez une nouvelle installation. Disque ou partition cible Nom du disque ou de la partition (volume) cible118 Annexe A Feuille de travail de Mac OS X Server Format de disque (pour les nouvelles installations seulement) Dans la plupart des cas, utilisez Mac OS Étendu (journalisé). Vous pouvez également utiliser Mac OS Étendu ou HFS+ (sensible à la casse). Partitionnement de disque (pour les nouvelles installations seulement) La taille minimum recommandée d'une partition de disque cible est de 4 Go. Mise en miroir de disque (pour les nouvelles installations seulement) Si vous possédez un deuxième disque sur le serveur cible, vous pouvez mettre en miroir le disque de démarrage sur celuici. Ainsi, si le disque principal n'est pas disponible, le deuxième disque est utilisé. Enregistrement des données de configuration Si vous voulez utiliser les données de configuration enregistrées pour configurer ce serveur, identifiez le fichier ou le répertoire dans lequel elles sont stockées. Si les données sont cryptées, identifiez également la phrase codée. Si vous voulez enregistrer les données de configuration de ce serveur dans un fichier, identifiez le fichier de configuration et éventuellement le fichier des clés. Indiquez également l'emplacement de sauvegarde des fichiers. Si vous voulez enregistrer les données de configuration de ce serveur dans un répertoire, identifiez un répertoire, ainsi que le nom et l'emplacement du fichier des clés. Langue Langue à utiliser pour l'administration du serveur (anglais, japonais, français ou allemand). Configuration de clavier Clavier de l'ad ministration du serveur. Élément Description Vos informationsAnnexe A Feuille de travail de Mac OS X Server 119 Numéro de série Numéro de série de votre copie de Mac OS X Server. Consultez l'enveloppe de votre disque d'installation ou l'étiquette sur votre serveur, comme décrit dans la documentation. Nom complet de l'administrateur (parfois appelé nom complet ou nom réel) Le nom complet ne peut être composé de plus de 255 octets. Le nombre de caractères va de 255 caractères romains à 85 caractères de 3 octets. Ce nom peut comporter des espaces et respecte la casse dans la fenêtre d'ouverture de session, mais pas lors de l'accès aux serveurs de fichiers. Nom abrégé de l'administrateur Le nom abrégé peut contenir jusqu'à 255 caractères romains, même s'il se limite généralement à huit ou moins. Ce nom ne peut être composé que des caractères a à z, A à Z, 0 à 9 ou _ (trait de soulignement). Mot de passe de l'administrateur Si vous enregistrez cette valeur, veillez à conserver cette feuille de travail en lieu sûr. Cette valeur respecte la casse. Il s'agit également du mot de passe de l'utilisateur root. Élément Description Vos informations120 Annexe A Feuille de travail de Mac OS X Server Nom d'hôte Nom que DNS doit utiliser pour votre serveur. Vous indiquez la partie du nom DNS qui apparaît avant le nom de domaine (MonOrdinateur. ou MonOrdinateur.exemple.com). Le nom d'hôte doit commencer par une lettre et ne doit contenir que des caractères alphanumériques, un tiret (-) ou un point (.). Les clients Windows utilisent des noms d'hôte ne contenant pas plus de 15 caractères ASCII ; ces noms acceptent les caractères a-z, A-Z, 0-9, -, mais pas de point (.) ni d'espace. En outre, ils ne peuvent pas être composés de chiffres exclusivement. Nom de l'ordinateur Nom AppleTalk. Nom Rendezvous Nom apparaissant aux utilisateurs Mac OS X lorsqu'ils affichent les ordinateurs figurant sous /Network/Local/ Données d'interface réseau Votre serveur est équipé d'un port Ethernet intégré et de plusieurs autres installés sur une carte Ethernet. Enregistrez les informations de chaque port à activer. Enregistrez les données relatives à chaque port dans le tableau fourni plus loin dans cette feuille de travail. Élément Description Vos informationsAnnexe A Feuille de travail de Mac OS X Server 121 Utilisation d'Open Directory Sélectionnez l'un des éléments suivants : Serveur autonome (utilisez uniquement le domaine local). Connecté à un système de répertoires (obtenez les informations à partir d'un répertoire existant). Si vous sélectionnez cette option, utilisez l'une des quatre lignes suivantes dans ce tableau pour indiquer le mode de recherche du répertoire par le serveur. Maître Open Directory (fournissez les informations de répertoire aux autres ordinateurs). Si vous choisissez cette option, utilisez la ligne Utilisation du maître Open Directory. Aucune modification (pour les mises à niveau seulement). Utilisation de Tel que spécifié par le serveur DHCP Le répertoire à utiliser est identifié par un serveur DHCP. Utilisation de Répertoire LDAP Apple Le répertoire à utiliser sera LDAP Apple identifié par un serveur DHCP ou par la spécification d'une adresse IP ou d'un nom de domaine pour le serveur LDAP. Utilisation de Répertoire NetInfo Le répertoire ire à utiliser sera NetInfo. Choisissez une ou plusieurs des méthodes cidessous pour rechercher ce répertoire : - Diffusion - DHCP - Adresse IP statique (indiquez l'adresse IP et la balise NetInfo) Utilisation de Autre système de répertoire Le répertoire à utiliser sera configuré à l'aide de l'application Format de répertoire une fois que vous aurez configuré le serveur. Élément Description Vos informations122 Annexe A Feuille de travail de Mac OS X Server Utilisation de maître Open Directory Vous pouvez éventuellement indiquer que vous voulez activer un contrôleur de domaine principal Windows sur le serveur. Entrez le nom d'ordinateur et le nom de domaine du contrôleur. Le nom d'ordinateur peut être composé des caractères a-z, A-Z, 0-9, - mais n'accepte pas les points (.), ni les espaces et ne peut pas être composé de chiffres exclusivement. Terminez la configuration du répertoire à héberger à l'aide d'Admin Serveur une fois la configuration du serveur achevée. Automatisation du démarrage du service Indiquez si vous voulez lancer automatiquement l'un des services ci-après au démarrage du serveur. Ces services ne réclament aucune autre configuration : Service de fichiers Apple Service FTP Service de fichiers Windows Service de courrier Service Web WebDAV Service d'horloge réseau Service NetBoot Service de diffusion QuickTime Fuseau horaire Choisissez le fuseau horaire que le serveur doit utiliser. Horloge réseau Vous pouvez éventuellement indiquer un serveur d'horloge réseau à utiliser. Élément Description Vos informationsAnnexe A Feuille de travail de Mac OS X Server 123 Les données d'interface réseau de ce serveur figurent dans le tableau ci-dessous : Port Caractéristique Vos informations Ethernet intégré (en0) Utiliser ou non le port pour les connexions TCP/IP Utiliser ou non le port pour les connexions AppleTalk. Les clients Mac OS 9 utilisent AppleTalk pour la consultation du Sélecteur et parce que certaines imprimantes le requièrent. N'activez pas plus d'un port AppleTalk par réseau AppleTalk. Si l'adresse IP est configurée manuellement : Adresse IP Masque de sous-réseau Routeur (utilisez l'adresse IP du serveur en cas de doute ou laissez ce champ vide) Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Si l'adresse IP est configurée à l'aide de DHCP avec une adresse IP manuelle : Adresse IP Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Si l'adresse IP est configurée à l'aide de DHCP: ID client DHCP (facultatif) Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Si l'adresse IP est configurée à l'aide de BootP : Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Nom du port : Utiliser ou non pour TCP/IP Utiliser ou non pour AppleTalk 124 Annexe A Feuille de travail de Mac OS X Server Si la connexion TCP/IP est configurée manuellement : Adresse IP Masque de sous-réseau Routeur (utiliser l'adresse IP du serveur en cas de doute) Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Si la connexion TCP/IP est configurée à l'aide de DHCP avec une adresse IP manuelle : Adresse IP Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Si la connexion TCP/IP est configurée à l'aide de DHCP : ID client DHCP (facultatif) Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Si la connexion TCP/IP est configurée à l'aide de BootP : Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Nom du port : Utiliser ou non pour TCP/IP Utiliser ou non pour AppleTalk Si la connexion TCP/IP est configurée manuellement : Adresse IP Masque de sous-réseau Routeur (utiliser l'adresse IP du serveur en cas de doute) Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Si la connexion TCP/IP est configurée à l'aide de DHCP avec une adresse IP manuelle : Adresse IP Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Port Caractéristique Vos informationsAnnexe A Feuille de travail de Mac OS X Server 125 Si la connexion TCP/IP est configurée à l'aide de DHCP : ID client DHCP (facultatif) Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Si la connexion TCP/IP est configurée à l'aide de BootP : Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Nom du port : Utiliser ou non pour TCP/IP Utiliser ou non pour AppleTalk Si la connexion TCP/IP est configurée manuellement: Adresse IP Masque de sous-réseau Routeur (utiliser l'adresse IP du serveur en cas de doute) Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Si la connexion TCP/IP est configurée à l'aide de DHCP avec une adresse IP manuelle : Adresse IP Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Si la connexion TCP/IP est configurée à l'aide de DHCP : ID client DHCP (facultatif) Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Si la connexion TCP/IP est configurée à l'aide de BootP : Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Port Caractéristique Vos informations 127 B Annexe B Exemple de configuration L'exemple de configuration présenté dans cette annexe illustre une méthode de configuration de l'infrastructure réseau et de répertoires de Mac OS X Server dans le cas d'une petite entreprise. Mac OS X Server dans une petite entreprise Dans cet exemple, Mac OS X Server fournit des services de répertoire, réseau et de productivité aux employés d'une petite entreprise. Cette organisation utilisait jusqu'à présent un réseau local pour le partage des fichiers et d'une imprimante. L'acquisition de Mac OS X Server a permis d'implémenter un réseau intranet utilisant les services DSL et DNS d'un FAI. Voici le résumé des caractéristiques de ce scénario : Internet Coupe-feu Serveur DNS du FAI Client Mac OS X Commutateur Mac OS X Server (exemple.com) VPN DSL 192.168.0.1 Clients Windows Clients Mac OS X Imprimante partagée128 Annexe B Exemple de configuration • Un domaine LDAP Open Directory principal sur le serveur centralise la gestion des utilisateurs, y compris l'authentification des utilisateurs Mac OS X et Windows. • Le service DNS du FAI fournit le nom de domaine de l'entreprise (exemple.com). • Un serveur DNS exécutant Mac OS X Server fournit les services de nom pour le serveur, l'imprimante et tout autre périphérique intranet possédant une adresse IP statique. • Un coupe-feu entre le serveur et Internet protège le réseau intranet contre tout accès non autorisé. • Le service NAT permet aux utilisateurs du réseau intranet de partager l'adresse IP du FAI pour accéder à Internet, tandis que le service VPN permet aux employés d'accéder depuis Internet au réseau intranet en toute sécurité lorsqu'ils sont en déplacement. • Le service DHCP sur Mac OS X Server fournit les adresses IP dynamiques aux ordinateurs clients sur le réseau intranet. Le serveur et l'imprimante ont des adresses statiques, les ordinateurs clients des adresses dynamiques. Configuration du serveur Les instructions suivantes permettent de configurer Mac OS X Server dans cette petite entreprise hypothétique. Pour des informations complètes sur la configuration des services de répertoire, consultez le guide d'administration Open Directory. Pour en savoir plus sur la configuration des services réseau (coupe-feu IP, DHCP, etc.), consultez le guide d'administration des services réseau. Étape 1 : Configurer le réseau 1 Assurez-vous que le serveur a deux interfaces Ethernet (ports), l'une pour la connexion intranet (LAN) et l'autre pour la connexion du modem DSL. Utilisez l'interface la plus rapide pour la connexion du serveur. Une connexion à 10 Mbits suffit amplement pour la connexion DSL. 2 Connectez le serveur au réseau local (LAN) à l'aide de l'interface la plus rapide. Dans cet exemple, le serveur est connecté à un commutateur permettant de connecter les ordinateurs clients existants à l'imprimante partagée. Cette interface est qualifiée d'interne. Il est recommandé de connecter les périphériques à un concentrateur ou à un commutateur utilisant des câbles Ethernet CAT-5 de bonne qualité. Un commutateur grande vitesse de 10/100/1000 Mbits doit pouvoir prendre en charge les fonctions avancées du serveur, comme NetBoot, idéal sur les connexions rapides. 3 Connectez le serveur au modem DSL à l'aide de l'autre interface Ethernet. Celle-ci est qualifiée d'externe.Annexe B Exemple de configuration 129 Étape 2 : Configurez le serveur et le répertoire maître 1 Démarrez le serveur à partir du premier disque d'installation. La procédure utilisée varie selon le serveur. Dans cet exemple, imaginez que l'ordinateur est connecté à un moniteur, à un clavier et à un lecteur optique. Mettez l'ordinateur sous tension, insérez le premier disque d'installation dans le lecteur optique, puis redémarrez l'ordinateur tout en maintenant la touche C du clavier enfoncée. La section “Utilisation de l'application Assistant du serveur pour une installation à distance depuis les disques d'installation” à la page 88 décrit le démarrage d'autres types d'ordinateurs pour installer le logiciel serveur. 2 Lorsque le programme d'installation est lancé, suivez les instructions à l'écran. Si vous devez formater le disque de destination, consultez la section “Préparation des disques pour l'installation de Mac OS X Server” à la page 85 pour obtenir les instructions. Insérez le deuxième disque d'installation lorsque vous y êtes invité. Une fois l'installation terminée, le serveur redémarre et l'Assistant du serveur s'ouvre. 3 Complétez la feuille de travail qui se trouve à la page 117. Vous aurez besoin de ces informations à mesure que vous naviguerez dans les volets de l'Assistant. 4 Utilisez les volets Langue et Clavier pour sélectionner la langue d'administration du serveur. 5 Dans le volet Compte administrateur, entrez le nom et le mot de passe de l'administrateur du serveur. Cliquez sur Continuer. 6 Dans le volet Noms réseau, entrez le nom d'hôte, d'ordinateur et Rendezvous de votre serveur. Cliquez sur Continuer. Dans cet exemple, le nom d'hôte est censé être monserveur. 7 Assurez-vous que le volet Interfaces réseau affiche toutes vos interfaces Ethernet externes et internes. Si vous devez ajouter une interface, cliquez sur Ajouter. Assurez-vous aussi que l'interface externe est la première affichée dans le volet Interfaces réseau. L'interface en tête de liste est l'interface principale ou par défaut. Le service VPN l'utilise comme réseau public et traite ainsi toutes les autres comme des réseaux privés. Cliquez sur Continuer lorsque les deux interfaces s'affichent. 8 Un volet Connexion TCP/IP apparaît pour chaque interface Ethernet. Pour l'interface externe, choisissez Manuellement dans la liste déroulante Configurer, puis entrez l'adresse IP, le masque de sous-réseau et l'adresse ou les adresses DNS que votre FAI vous a communiquées. Cliquez sur Continuer. Pour l'interface interne, tapez les valeurs suivantes et cliquez sur Continuer : Configurer : Manuellement Adresse IP :192.168.0.1 (les valeurs 192.168 sont réservées aux LAN internes) Masque de sous-réseau : 255.255.0.0130 Annexe B Exemple de configuration Routeur : 192.168.0.1 Serveurs DNS : 192.168.0.1 9 Dans le volet Utilisation du répertoire, choisissez Maître Open Directory pour configurer un répertoire LDAP maître sur le serveur. Sélectionnez Activer le contrôleur de domaine Windows principal, puis tapez le nom d'un domaine/groupe de travail. Ces paramètres définiront un PDC Windows permettant aux utilisateurs de postes de travail Windows NT, Windows 2000 et Windows XP de s'y connecter, de modifier les mots de passe pendant une session et d'avoir des profils utilisateur itinérants et des répertoires de départ réseau sur le serveur. Un compte d'utilisateur unique suffit pour ouvrir une session sur un poste de travail Windows ou un ordinateur Mac OS X et accéder au même répertoire de départ réseau. Cliquez sur Continuer. 10 Complétez les autres volets de l'Assistant, puis cliquez sur Appliquer pour lancer la configuration du serveur. Une fois la configuration terminée, le serveur redémarre automatiquement. 11 Ouvrez une session sur le serveur avec le nom d'administrateur défini dans l'Assistant du serveur. Étape 3 : Configurer le coupe-feu 1 Ouvrez l'Admin Serveur en cliquant sur son icône dans le Dock. 2 Authentifiez-vous en tant qu'administrateur du serveur. 3 Dans la liste Ordinateurs & services, cliquez sur Coupe-feu. 4 Cliquez sur Démarrer le service dans la barre d'outils. 5 Sélectionnez le groupe d'adresses IP 192.168.0.0/16, puis cochez la case Autoriser en regard des services auxquels pourront accéder les employés au bureau. Vous devez au moins sélectionner les services DNS, DHCP et NetBoot. Le groupe comprend 255 adresses IP. La notation /16 est le raccourci du masque de sous-réseau 255.255.255.0. 6 Sélectionnez le groupe d'adresses IP Quelconque, puis cochez la case Autoriser en regard des services auxquels pourront accéder les clients externes derrière le coupe-feu. 7 Cliquez sur Enregistrer. Étape 4 : Configurer le service DNS 1 Dans Admin Serveur, sélectionnez DNS dans la liste Ordinateurs & services. 2 Cliquez sur Réglages. 3 Assurez-vous que l'option Transferts de zones n'est pas activée et que celle Récursion l'est.Annexe B Exemple de configuration 131 4 Cliquez sur Zones, puis sur le bouton Ajouter (+) sous la liste des zones afin de configurer une zone pour le réseau intranet. Tapez les valeurs suivantes, puis cliquez sur OK : Nom de zone : exemple.com. (Le point final est obligatoire.) Type : Principal SAO : monserveur.exemple.com. (Le point final est obligatoire.) E-mail admin : admin.exemple.com. (Le point final est obligatoire.) 5 Pour définir les enregistrements de la zone principale, sélectionnez-la dans la liste des zones. Vous observerez que l'enregistrement NS (serveur de noms) existe déjà. Il a été créé en même temps que la zone. Cliquez sur le bouton Ajouter (+) sous les enregistrements de la liste des zones afin d'ajouter un enregistrement d'adresse (A) pour votre serveur. Tapez les valeurs suivantes, puis cliquez sur OK : Mapper de : monserveur.exemple.com. (Le point final est obligatoire.) Mapper vers : 192.168.0.1 Créer un enregistrement de mappage inverse : activez cette option Ajoutez d'autres enregistrements d'adresse pour chaque périphérique intranet (autres serveurs, imprimantes, etc.) possédant une adresse IP statique. Veillez à activer l'option Créer un enregistrement de mappage inverse pour chaque enregistrement d'adresse supplémentaire. 6 Cliquez sur Enregistrer, puis sur Démarrer le service. Étape 5 : Configurer le service DHCP Ces instructions permettent de configurer un serveur DHCP fournissant aux ordinateurs des employés des adresses IP dynamiques ainsi que l'identité des serveurs DNS, LDAP et WINS à utiliser. Lorsque la stratégie de recherche d'un ordinateur client est réglée sur Automatique (à l'aide de l'application Format de répertoire sur l'ordinateur client), l'identité des serveurs DNS, LDAP et WINS est automatiquement fournie en même temps que l'adresse IP. 1 Dans Admin Serveur, assurez-vous que le service DNS est en cours d'exécution. 2 Sélectionnez DHCP dans la liste Ordinateurs & services. 3 Cliquez sur Réglages. 4 Activez l'interface Ethernet interne et sélectionnez-la. 5 Cliquez sur le bouton Modifier pour définir la plage d'adresses à affecter dynamiquement. Cette plage doit être suffisamment étendue pour prendre en charge les ordinateurs clients existants et futurs. Veillez toutefois à exclure certaines adresses (au début ou à la fin de la plage) de façon à les réserver pour les périphériques nécessitant des adresses IP statiques ou pour les utilisateurs VPN. La plupart des données sont déjà indiquées par le système. En voici quelques exemples :132 Annexe B Exemple de configuration Adresse IP de début : 198.168.0.2 Adresse IP de fin : 98.168.0.102 Masque de sous-réseau : 255.255.0.0 Routeur : 192.168.0.1 6 Cliquez sur DNS et assurez-vous que les valeurs suivantes sont affichées : Domaine par défaut : exemple.com Serveurs de noms : 198.168.0.1 7 Cliquez sur LDAP afin de configurer DHCP et identifier le serveur que vous configurez comme source des informations de répertoire pour les clients auxquels sont affectées des adresses IP dynamiques. Le serveur que vous configurez est automatiquement identifié dans le champ Nom du serveur car vous avez défini un domaine LDAP principal sur ce serveur dans l'Assistant du serveur. Les autres paramètres sont facultatifs dans cet exemple. 8 Cliquez sur WINS afin de configurer DHCP et affecter des paramètres spécifiques à Windows aux clients auxquels sont affectées les adresses IP dynamiques. Entrez les valeurs suivantes : Serveur principal WINS/NBNS : 198.168.0.1 Type de noeud NBDD : Diffusion (noeud b) 9 Cliquez sur Enregistrer, puis sur Démarrer le service. Étape 6 : Configurer le service NAT 1 Dans Admin Serveur, sélectionnez NAT dans la liste Ordinateurs & services. 2 Cliquez sur Réglages. 3 Sélectionnez l'interface externe dans le menu contextuel Partager votre connexion depuis. 4 Cliquez sur Enregistrer, puis sur Démarrer le service. Étape 7 : Configurer le service VPN 1 Dans Admin Serveur, sélectionnez VPN dans la liste Ordinateurs & services. 2 Cliquez sur Réglages. 3 Activez le protocole L2TP sur IPSec (Layer Two Tunneling Protocol, Secure Internet Protocol) pour les utilisateurs d'ordinateurs Mac OS X version 10.3, de postes de travail Linux ou UNIX et Windows XP. Bien qu'il soit également possible d'utiliser le protocole PPTP décrit à l'étape suivante, L2TP assure une meilleure sécurité car il s'exécute sur IPSec. Spécifiez le secret partagé en tapant une chaîne dans le champ Secret partagé IPsec. Entrez une chaîne non intuitive. Par exemple, tapez des combinaisons inhabituelles de chiffres, de symboles et de caractères majuscules et minuscules. Il est recommandé de taper une chaîne de 8 à 12 caractères.Annexe B Exemple de configuration 133 Pour limiter les connexions VPN aux membres d'un groupe, sélectionnez Restreindre l'accès au groupe, puis sélectionnez le groupe. Cliquez sur le bouton Utilisateurs & groupes pour ouvrir un tiroir à partir duquel vous pouvez faire glisser un nom de groupe vers le champ. Entrez une adresse IP de début et de fin pour indiquer les adresses que le serveur VPN peut attribuer aux clients. Évitez celles que le serveur DHCP peut affecter. Évitez également celles indiquées lorsque vous avez activé le protocole PPTP. 4 Activez le protocole PPTP (Point to Point Tunneling Protocol) si les employés doivent accéder au réseau intranet à partir de postes de travail Windows, autres que Windows XP, ou Mac OS X version 10.2 hors du bureau. Si vous devez prendre en charge les anciens clients Windows ne gérant pas le protocole PPTP 128 bits, sélectionnez Autorise les clés de cryptage 40 bits, outre celles de 128 bits. Pour limiter les connexions VPN aux membres d'un groupe, sélectionnez Restreindre l'accès au groupe, puis sélectionnez le groupe. Cliquez sur le bouton Utilisateurs & groupes pour ouvrir un tiroir à partir duquel vous pouvez faire glisser un nom de groupe vers le champ. Tapez une adresse IP de début et de fin pour indiquer les adresses que le serveur VPN peut attribuer aux clients. Évitez les adresses que le serveur DHCP est configuré pour affecter. Évitez également les adresses que vous avez spécifiées lorsque vous avez activé le protocole L2TP sur IPSec. 5 Cliquez sur Enregistrer, puis sur Démarrer le service. Étape 8 : Configurer les services de productivité L'infrastructure requise pour configurer les services de fichiers, d'imprimantes et autres services de productivité est désormais disponible. Suivez les instructions des guides d'administration respectifs indiqués à la page 9 pour configurer les services de votre choix. De nombreux services, comme celui de fichiers Apple, nécessitent une configuration minimale. Il vous suffit de les démarrer à l'aide du logiciel d'Admin Serveur. Étape 9 : Créer les comptes d'utilisateurs et les répertoires de départ 1 Ouvrez Gestionnaire de groupe de travail. Le répertoire LDAP Open Directory principal est automatiquement disponible pour modification. Vous ajouterez un compte pour chaque employé dans ce répertoire maître. 2 Cliquez sur le bouton Nouvel utilisateur. 3 Spécifiez les réglages de l'utilisateur dans les différents volets. Le guide de gestion des utilisateurs décrit la configuration de tous les attributs des comptes d'utilisateurs, y compris les répertoires de départ. Il décrit également la gestion des utilisateurs en configurant des comptes de groupes et d'ordinateurs et le réglage des préférences pour personnaliser les environnements de travail des clients Macintosh.134 Annexe B Exemple de configuration Le guide d'administration Windows s'intéresse principalement à l'implémentation de la prise en charge des utilisateurs Windows. Utilisez ce document en complément du guide de gestion des utilisateurs et du guide d'administration Open Directory si votre serveur doit prendre en charge les utilisateurs Windows. Étape 10 : Configurer les ordinateurs clients Les informations qui suivent s'appliquent aux ordinateurs Mac OS X version 10.3. Pour plus d'informations sur la prise en charge des ordinateurs clients Windows, consultez le guide d'administration Windows. 1 Si nécessaire, configurez les clients Mac OS X pour extraire les informations du serveur DHCP. Les ordinateurs Mac OS X version 10.3 sont préconfigurés pour obtenir des adresses au moyen du protocole DHCP et récupérer les informations relatives à un répertoire LDAP depuis le serveur DHCP. Après avoir configuré le service DHCP avec les données d'un répertoire LDAP, ces données sont automatiquement transmises aux clients Mac OS X lorsqu'ils reçoivent leurs adresses IP du serveur DHCP. Voici les réglages préconfigurés : Les préférences réseau sont configurées pour utiliser DHCP. Pour accéder à ce paramètre, sélectionnez Préférences Système, ouvrez les préférences Réseau, choisissez l'interface Ethernet interne, puis Utilisation de DHCP avec une adresse manuelle ou Via DHCP dans le menu local Configurer IPv4. La politique de recherche de l'ordinateur est configurée pour être définie automatiquement. Pour accéder à ce paramètre, ouvrez Format de répertoire (dans / Applications/Utilities/), puis cliquez sur Authentification. Si l'icône de verrouillage est verrouillée, cliquez dessus et authentifiez-vous en tant qu'administrateur. Dans le menu local Rechercher, choisissez Automatique, puis cliquez sur Appliquer. L'utilisation des informations LDAP fournies par le serveur DHCP est activée. Pour accéder à ce paramètre, ouvrez Format de répertoire puis cliquez sur Services. Si l'icône de verrouillage est verrouillée, cliquez dessus et authentifiez-vous en tant qu'administrateur. Sélectionnez LDAPv3 dans la liste des services, puis cliquez sur Configurer. Cliquez sur Utiliser le serveur LDAP fourni par DHCP, puis sur OK. 2 Configurer les clients Mac OS X de façon à utiliser le serveur VPN. Ouvrez l'application Connexion à Internet (dans /Applications/), puis cliquez sur VPN dans la barre d'outils. Sélectionnez le protocole L2TP sur IPSec ou PPP, puis cliquez sur Continuer. Choisissez Modifier les configurations dans le menu local Configurations. Tapez l'adresse IP externe fournie par le FAI, le nom et le mot de passe de l'utilisateur de l'ordinateur et (pour le protocole L2TP sur IPSec) le secret partagé. Cliquez sur OK. 135 Glossaire Glossaire administrateur Utilisateur disposant d'autorisations d'administration de serveur ou de domaine de répertoires. Les administrateurs sont toujours membres du groupe “admin” prédéfini. adresse IP Adresse numérique unique identifiant un ordinateur sur Internet. adresse IP statique Adresse IP affectée de manière permanente à un ordinateur ou un périphérique. Apache Serveur HTTP en code libre intégré à Mac OS X Server. Vous trouverez des informations détaillées sur Apache à l'adresse www.apache.org. authentification Processus de certification de l'identité d'un utilisateur, typiquement basé sur la validation d'un nom et d'un mot de passe utilisateur. L'authentification précède généralement le processus d'autorisation déterminant le niveau d'accès de l'utilisateur à une ressource. Par exemple, le service de fichiers autorise l'accès total aux dossiers et fichiers que possède un utilisateur authentifié. autorisation Processus par lequel un service détermine s'il doit permettre à un utilisateur l'accès à une ressource et quel degré d'accès il doit lui accorder. L'autorisation suit généralement le processus d'authentification prouvant l'identité de l'utilisateur. Par exemple, le service de fichiers autorise l'accès total aux dossiers et fichiers que possède un utilisateur authentifié. autorisations Réglages qui définissent le type d'accès aux éléments partagés dont bénéficient les utilisateurs. Vous pouvez attribuer quatre types d'autorisations d'accès à un point de partage, un dossier ou un fichier : lecture et écriture, lecture seule, écriture seule et aucune (pas d'accès). BIND (Berkeley Internet Name Domain) Programme livré avec Mac OS X Server et permettant l'implémentation du service DNS. Ce programme est également appelé démon lorsqu'il est en cours d'exécution. BSD (Berkeley System Distribution) Version d'UNIX sur laquelle repose le logiciel Mac OS X.136 Glossaire cache des préférences Emplacement de stockage servant à héberger les préférences de l'ordinateur et celles des groupes associés à cet ordinateur. Les préférences mises en cache vous aident à gérer des comptes d'utilisateurs locaux sur des ordinateurs portables. CGI (Common Gateway Interface) Script ou programme permettant d'ajouter des fonctions dynamiques à un site Web. Un script CGI transmet les informations entre un site Web et une application au service du site. Par exemple, si un utilisateur remplit un formulaire sur le site, un script CGI enverra le message à une application qui traitera les données et renverra une réponse à l'utilisateur. chemin de recherche Voir politique de recherche. client géré Utilisateur, groupe ou ordinateur dont les autorisations d'accès et/ou les préférences sont sous le contrôle d'un administrateur. clients sans système Ordinateurs ne disposant d'aucun système d'exploitation sur leurs disques durs locaux. Les ordinateurs sans système peuvent démarrer à partir d'une image disque installée sur un serveur NetBoot. compte d'ordinateurs Liste d'ordinateurs partageant les mêmes réglages de préférences et accessibles par les mêmes utilisateurs et groupes. comptes prédéfinis Comptes d'utilisateurs créés automatiquement lorsque vous installez Mac OS X. Certains comptes de groupes sont également prédéfinis. coupe-feu Logiciel destiné à protéger les applications réseau exécutées sur votre serveur. Le service de coupe-feu IP, intégré au logiciel Mac OS X Server, examine les paquets IP entrants et les refuse ou les accepte en fonction des filtres établis. délai de bail Période limitée durant laquelle les adresses IP sont affectées. Avec des baux courts, DHCP peut réaffecter des adresses IP sur des réseaux comptant plus d'ordinateurs que d'adresses disponibles. DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol) Protocole utilisé pour la répartition d'adresses IP entre les ordinateurs clients. Chaque fois qu'un ordinateur client démarre, le protocole recherche un serveur DHCP et demande une adresse IP au serveur DHCP rencontré. Ce serveur cherche une adresse IP disponible et l'envoie à l'ordinateur client accompagnée d'un délai de bail: période pendant laquelle l'ordinateur client est autorisé à utiliser l'adresse. DNS (Domain Name System) Base de données distribuée qui fait correspondre des adresses IP à des noms de domaines. Un serveur DNS, appelé également serveur de noms, conserve la liste des noms et des adresses IP associées à chaque nom. Glossaire 137 domaine de répertoire Base de données spécialisée qui stocke des informations de référence sur les utilisateurs et les ressources réseau nécessaires au logiciel système et aux applications. La base de données est optimisée pour gérer de nombreuses requêtes d'informations et trouver et obtenir rapidement ces informations. Le domaine de répertoires peut également être appelé nœud de répertoire ou simplement répertoire. domaine local Domaine de répertoires accessible uniquement à partir de l'ordinateur sur lequel il réside. DSL (digital subscriber line) Technologie de transmission de données à large bande via le réseau téléphonique. exportation Terme NFS (Network File System) désignant le partage. FAI (Fournisseur d'accès à Internet) Entreprise qui commercialise l'accès à Internet et fournit généralement un service d'hébergement de sites web pour le commerce électronique, ainsi que des services de courrier. filtre Méthode de filtrage utilisée pour contrôler l'accès à votre serveur. Un filtre est constitué d'une adresse IP, d'un masque de sous-réseau et parfois d'un numéro de port et d'un type d'accès. L'adresse IP et le masque de sous-réseau déterminent la plage d'adresses IP à laquelle s'applique le filtre. Finder simplifié Environnement utilisateur comportant tableaux et grandes icônes et qui offre aux débutants une interface conviviale et simple. Les volumes ou disques montés auxquels les utilisateurs ont accès apparaissent dans des tableaux plutôt que sur le bureau standard. FireWire Technologie matérielle pour l'échange de données avec des périphériques, définie par le standard IEEE 1394. FTP (File Transfer Protocol) Protocole permettant aux ordinateurs de transférer des fichiers sur un réseau. Les clients FTP dont le système d'exploitation gère le protocole FTP peuvent se connecter à un serveur de fichiers et télécharger des fichiers, en fonction des autorisations d'accès dont ils bénéficient. La plupart des navigateurs Internet et bon nombre d'applications gratuites peuvent être utilisés pour accéder à un serveur FTP. groupe Ensemble d'utilisateurs ayant les mêmes besoins. Les groupes simplifient l'administration des ressources partagées. groupe de travail Ensemble d'utilisateurs pour lesquels vous définissez des préférences et des autorisations de groupe. Toutes les préférences que vous définissez pour un groupe sont stockées dans le compte de groupe. groupe principal Groupe par défaut d'un utilisateur. Le système de fichiers utilise l'identifiant du groupe principal lorsqu'un utilisateur accède à un fichier dont il n'est pas le possesseur. 138 Glossaire hôte de courrier Ordinateur qui fournit le service de courrier. HTML (Hypertext Markup Language) Ensemble de symboles ou de codes insérés dans un fichier à afficher par un navigateur Web. Le balisage indique au navigateur Web comment afficher les mots et images d'une page Web pour l'utilisateur. HTTP (Hypertext Transfer Protocol) Protocole client/serveur pour le Web. Le protocole HTTP constitue pour un navigateur Web un moyen d'accès à un serveur Web et de requête de documents hypermedia HTML. IANA (Internet Assigned Numbers Authority) Organisation chargée d'attribuer des adresses IP et des paramètres de protocole, ainsi que de gérer des noms de domaines. ID utilisateur Numéro permettant d'identifier un utilisateur de manière unique. Les ordinateurs Mac OS X utilisent les identifiants d'utilisateurs pour contrôler l'appartenance de répertoires et de fichiers à un utilisateur. identifiant de groupe principal Numéro unique identifiant un groupe principal. IGMP (Internet Group Management Protocol) Protocole Internet utilisé par les hôtes et les routeurs pour envoyer des paquets à des listes d'hôtes volontaires, dans le cadre d'un processus appelé multidiffusion. Le Serveur Enchaînement QuickTime (QTSS) utilise l'adressage multidiffusion, de même que le protocole SLP (Service Location Protocol). image disque Une fois ouvert (à l'aide de l'utilitaire Images disques), fichier qui crée sur un bureau Mac OS une icône comparable à un véritable disque ou volume. Les ordinateurs clients peuvent, à l'aide de NetBoot, démarrer via le réseau à partir d'une image disque basée sur un serveur et contenant un logiciel système. image fantôme Fichier invisible pour les applications et le logiciel système standard et utilisé par NetBoot pour écrire des informations sur le système lorsqu'un ordinateur client fonctionne à partir d'une image disque système située sur un serveur. IMAP (Internet Message Access Protocol) Protocole client/serveur de courrier permettant aux utilisateurs de stocker leur courrier sur le serveur de courrier plutôt que de le télécharger sur l'ordinateur local. Le courrier demeure sur le serveur jusqu'à ce que l'utilisateur décide de l'effacer. installation en réseau Procédure d'installation de systèmes et de logiciels sur des ordinateurs clients Mac OS X via un réseau. L'installation de logiciels peut être effectuée sous la supervision d'un administrateur ou sans aucune surveillance. IP (Internet Protocol) Également désigné par IPv4. Méthode utilisée conjointement avec le protocole TCP (Transmission Control Protocol) pour envoyer des données d'un ordinateur à un autre via un réseau local ou via Internet. Le protocole IP envoie les paquets de données, alors que le protocole TCP se charge de leur suivi.Glossaire 139 JBoss Serveur d'applications Java gérant les applications Java 2 Platform, Enterprise Edition (J2EE). Kerberos Système d'authentification réseau sécurisé. Kerberos utilise des tickets, délivrés pour un utilisateur, un service et une période déterminés. Une fois l'utilisateur authentifié, celui-ci peut accéder à des services supplémentaires sans devoir resaisir de mot de passe (signature unique) pourvu que ces services aient été configurés pour accepter les tickets Kerberos. Mac OS X Server utilise Kerberos v5. LAN (local area network) Réseau installé au sein d'un même bâtiment, par opposition au réseau étendu (WAN, Wide Area Network), reliant des locaux géographiquement dispersés,. LDAP (Lightweight Directory Access Protocol) Protocole client/serveur standard pour accéder à un domaine de répertoires. LPR (Line Printer Remote) Protocole standard d'impression via TCP/IP. module de connexion Voir module de connexion WebDAV. module de connexion WebDAV Région d'un site Web, généralement un dossier ou un répertoire, destinée à offrir l'accès aux utilisateurs et groupes WebDAV. MTA (Mail Transfer Agent) Service de courrier qui envoie le courrier sortant, reçoit le courrier entrant à l'attention des destinataires locaux et fait suivre le courrier entrant des destinataires non locaux vers d'autres MTA. multi-adressage Capacité à gérer plusieurs connexions réseau. Lorsque plusieurs connexions sont disponibles, Mac OS X sélectionne celle adéquate en fonction de l'ordre spécifié dans les préférences réseau. MySQL Outil de gestion de bases de données relationnelles en code libre, pour les serveurs Web. NAT (Network Address Translation) Méthode de connexion de plusieurs ordinateurs à Internet (ou tout autre réseau IP) en utilisant une seule adresse IP. NAT convertit les différentes adresses IP attribuées aux ordinateurs sur le réseau privé interne en une adresse IP commune pour les communications Internet. NetInfo L'un des protocoles Apple d'accès à un domaine de répertoires. Network File System (NFS) Protocole client/serveur utilisant TCP/IP pour permettre aux utilisateurs distants d'accéder à des fichiers comme s'ils se trouvaient sur leur disque. Le service NFS exporte les volumes partagés vers les ordinateurs en fonction de l'adresse IP, plutôt que du nom et mot de passe utilisateur. nœud de répertoire Voir domaine de répertoire.140 Glossaire nom abrégé Abréviation du nom d'un utilisateur. Le nom abrégé est utilisé par Mac OS X pour les répertoires de départ, l'authentification et les adresses électroniques. nom complet Voir nom d'utilisateur. nom d'utilisateur Nom complet d'un utilisateur, parfois qualifié de réel. Voir également nom abrégé. Open Directory Architecture des services de répertoires Apple qui peut accéder à des informations de référence sur les utilisateurs et les ressources réseau à partir de domaines de répertoires utilisant les protocoles LDAP, NetInfo, ou Active Directory, les fichiers de configuration BSD et les services de réseau. ordinateur administrateur Ordinateur Mac OS X sur lequel vous avez installé les applications de serveur situées sur le CD Admin Serveur Mac OS X. ordinateur invité Ordinateur inconnu ne figurant sur aucun compte d'ordinateurs de votre serveur. PHP (PHP Hypertext Preprocessor) Langage de script incorporé au langage HTML et utilisé pour créer des pages Web dynamiques. point de partage Dossier, disque dur (ou partition de disque dur) ou CD accessible via le réseau. Un point de partage constitue le point d'accès situé au premier niveau d'un groupe d'éléments partagés. Les points de partage peuvent être partagés à l'aide des protocoles AFP, Windows SMB, NFS (exportation) ou FTP. politique de recherche Liste des domaines de répertoires parmi lesquels un ordinateur Mac OS X effectue ses recherches lorsqu'il a besoin d'informations de configuration. Désigne également l'ordre dans lequel les domaines sont pris en compte lors de la recherche. Parfois appelé “chemin de recherche”. POP (Post Office Protocol) Protocole destiné à récupérer le courrier entrant. Après récupération, le courrier est stocké sur l'ordinateur de l'utilisateur et généralement supprimé automatiquement du serveur de courrier. possesseur Personne qui a créé un fichier ou un dossier et qui, dès lors, peut attribuer aux autres utilisateurs des autorisations d'accès à ces éléments. Le possesseur d'un élément dispose automatiquement des autorisations de lecture et d'écriture pour cet élément. Il peut également en transférer la propriété à un autre utilisateur. préférences gérées Préférences système ou d'applications sous le contrôle d'un administrateur. Le Gestionnaire de groupe de travail permet aux administrateurs de contrôler les réglages de certaines préférences système pour les clients gérés Mac OS X. Le Gestionnaire Macintosh permet aux administrateurs de contrôler à la fois les préférences système et les préférences d'applications pour les clients gérés Mac OS 9 et Mac OS 8.Glossaire 141 préréglages Attributs d'origine par défaut que vous spécifiez pour les nouveaux comptes créés à l'aide du Gestionnaire de groupe de travail. Vous ne pouvez utiliser les préréglages que lors de la création d'un compte. protocole AFP (Apple Filing Protocol) Protocole client/serveur utilisé par le service de fichiers Apple sur les ordinateurs compatibles Macintosh pour partager des services de fichiers et de réseau. AFP utilise TCP/IP et d'autres protocoles pour les communications entre ordinateurs d'un réseau. QTSS (Serveur Enchaînement QuickTime) Technologie permettant de diffuser des données en temps réel sur Internet. RAID (Redundant Array of Independent Disks) Unité de disque dur qui augmente la vitesse de lecture/écriture sur disque et/ou double les données par écriture miroir. Les utilisateurs accèdent au disque RAID comme s'il s'agissait d'une seule unité, bien que celui-ci puisse être divisé en de nombreuses partitions. Rendezvous Protocole développé par Apple pour la détection automatique d'ordinateurs, de périphériques et de services sur les réseaux IP. Ce protocole Internet est parfois désigné par Configuration zéro ou Multidiffusion DNS. Pour plus d'informations, consultez le site www.apple ou www.zeroconf.org répartition de la charge Procédure de répartition entre plusieurs serveurs des demandes de services réseau provenant d'ordinateurs clients, ce qui permet d'optimiser les performances en utilisant la capacité globale de tous les serveurs disponibles. répertoire de départ Dossier destiné à l'usage personnel d'un utilisateur. Entre autres, Mac OS X utilise également le répertoire de départ pour stocker des préférences système et des réglages d'utilisateur gérés pour les utilisateurs Mac OS X. répertoire de départ local Répertoire de départ résidant sur le disque dur de l'ordinateur auquel est connecté un utilisateur. Il n'est accessible qu'en se connectant directement à l'ordinateur où il réside ou via une connexion SSH. répertoire de groupe Répertoire servant à organiser les documents et les applications d'un intérêt particulier pour les membres d'un groupe et leur permettant de s'échanger des informations. ROM de démarrage Instructions sur les exigences matérielles utilisées par un ordinateur au cours des premières étapes du démarrage. Secure Sockets Layer (SSL) Protocole permettant d'envoyer sur Internet des informations cryptées et authentifiées.142 Glossaire serveur d'applications Logiciel exécutant et gérant d'autres applications, généralement des applications Web, auxquelles vous accédez via un navigateur Web. Les applications gérées par le serveur résident sur le même ordinateur que celui-ci. serveur de noms Voir DNS (Domain Name System). serveur NetBoot Serveur Mac OS X sur lequel le logiciel NetBoot est installé et configuré pour autoriser les clients à démarrer à partir d'images disques situées sur le serveur. services de répertoire Services fournissant au logiciel système et aux applications un accès uniforme aux domaines de répertoire et autres sources d'informations sur les utilisateurs et les ressources. SMB (Server Message Block) Protocole permettant à des ordinateurs clients d'accéder à des fichiers et à des services de réseau. Il peut être utilisé via TCP/IP, Internet ou d'autres protocoles. Les services Windows utilisent le protocole SMB pour fournir l'accès aux serveurs, imprimantes et autres ressources en réseau. SMTP (Simple Mail Transfer Protocol) Protocole utilisé pour envoyer et transférer du courrier. Sa capacité à placer les messages entrants en file d'attente étant limitée, il n'est généralement utilisé que pour envoyer des messages, POP ou IMAP étant utilisés pour les recevoir. SNMP (Simple Network Management Protocol) Ensemble de protocoles standard utilisés pour gérer et contrôler des périphériques réseau sur plusieurs plates-formes. sous-réseau Regroupement d'ordinateurs clients faisant partie du même réseau, structuré en fonction de l'emplacement physique (les différents étages d'un bâtiment, par exemple) ou de l'utilisation (tous les élèves d'une même classe par exemple). L'utilisation de sous-réseaux permet de simplifier les tâches d'administration. sous-réseau IP Partie d'un réseau IP, pouvant être un segment de réseau physiquement indépendant, partageant une adresse réseau avec d'autres parties du réseau et identifiée par un numéro de sous-réseau. spam Courrier non sollicité, indésirable. TCP (Transmission Control Protocol) Méthode utilisée avec le protocole IP (Internet Protocol) pour envoyer, via Internet, des données sous forme d'unités de messages entre ordinateurs. Le protocole IP se charge de gérer le transfert des données, alors que le protocole TCP effectue le suivi individuel des unités de données (paquets). Chaque message est fractionné en plusieurs unités afin d'assurer un routage efficace via Internet. Tomcat Implémentation de référence officielle de Java Servlet 2.2 et JavaServer Pages 1.1, deux technologies complémentaires développées dans le cadre de Java Community Process.Glossaire 143 tous Tout utilisateur pouvant se connecter à un serveur de fichiers : utilisateur référencé ou invité, utilisateur FTP anonyme ou visiteur d'un site Web. URL (Uniform Resource Locator) Adresse d'un ordinateur, d'un fichier ou d'une ressource accessible sur un réseau local ou sur Internet. L'adresse URL se compose du nom du protocole utilisé pour accéder à la ressource, du nom de domaine qui identifie un ordinateur spécifique sur Internet et de la description hiérarchique de l'emplacement du fichier sur l'ordinateur. USB (Universal Serial Bus) Standard de communication entre un ordinateur et des périphériques externes utilisant un câble de connexion directe bon marché. utilisateur invité Utilisateur pouvant se connecter à votre serveur sans fournir de nom ni de mot de passe. utilisateur virtuel Autre adresse électronique (nom abrégé) d'un utilisateur. Similaire à un alias, mais impliquant la création d'un nouveau compte d'utilisateur. VPN (Virtual Private Network) Réseau privé virtuel utilisant le cryptage ainsi que d'autres technologies pour fournir des communications sécurisées sur un réseau public, en général Internet. Ces réseaux sont généralement moins onéreux que des réseaux privés réels qui recourent à des lignes privées, mais s'appuient sur le même système de cryptage aux deux extrémités de la ligne. Le cryptage peut être réalisé par des logiciels de coupe-feu ou par des routeurs. WAN, Wide Area Network Réseau reliant des sites géographiquement dispersés, par opposition au réseau local (LAN, Local Area Network), installé au sein d'un même groupe de bâtiments. L'interface WAN est généralement celle connectée à Internet. WebDAV (Web-based Distributed Authoring and Versioning) Environnement de création en direct permettant aux utilisateurs clients d'extraire des pages Web d'un site, de les modifier, puis de les replacer sur le site sans que ce dernier ne cesse de fonctionner. WINS (Windows Internet Naming Service) Service de résolution de noms utilisé par les ordinateurs Windows pour faire correspondre les noms des clients avec des adresses IP. Un serveur WINS peut se trouver soit sur le réseau local, soit sur Internet.145 Index Index A Active Directory 31 Admin de bureau NetBoot 60 administration d'un serveur version 10.2 62 Admin Serveur 56 ouverture et authentification 56 utilisation 57 AirPort 42 Apache 39 Apple File Service (AFP) 37 Apple LDAP 30 Apple Remote Desktop (ARD) 61 AppleTalk 32 Assistant serveur 50 automatisation de l'installation du logiciel serveur 90 automatisation de la configuration de serveur 106 B Berkeley Software Distribution (BSD) 29, 31 C cache Web 39 comptes de groupes 33 configuration de service 112 configuration serveur 65 configuration automatique utilisant des données d'un fichier 106 configuration automatisée avec des données de répertoire 109 configuration interactive de plusieurs serveurs distants 105 configuration interactive locale 101, 102 configuration interactive locale par lot 103 contrôle de l'état 112 enregistrement des données de configuration dans un fichier 95 enregistrement des données de configuration dans un répertoire 96 informations nécessaires 94 mode hors connexion 106 stockage de copies de sauvegarde des données de configuration enregistrées 97 utilisation Open Directory 98 configurer l'ordinateur administrateur 49 configurer un poste de travail non Mac OS X 49 contrôle de l'espace disque 46 contrôle de serveur 60 D Darwin 29 défilement 46 détection de services 30 diskspacemonitor (outil) 46 disques HFS journalisés 46 documentation 14 Domain Name System (DNS) 41 Dynamic Host Configuration Protocol (DHCP) 41 E exportation d'utilisateurs et de groupes 55 exporter des volumes NFS 38 F feuille de travail 117 fichiers partagés 36 fonction de reprise IP 46 format de répertoire 50 FTP (File Transfer Protocol) 38 G gestion des utilisateurs comptes de groupe 33 comptes utilisateurs 33 gestion des utilisateurs Macintosh 33 gestion des utilisateurs Windows 34 répertoires de départ 33 gestion des utilisateurs Macintosh comptes mobiles 34 gestion des préférences 33 Gestionnaire des groupes de travail utilisation 51, 52146 Index Gestionnaire Macintosh 62 guides d'administration du serveur 14 H haute disponibilité 46 I importation d'utilisateurs et de groupes 55 Inspecteur 55 installation 65 installation du logiciel serveur automatisation de l'installation 90 configuration système requise 83 informations préalables 84 installation des logiciels serveur en option 92 installation interactive à distance 88 instructions matérielles 86 mot de passe prédéfini 86 préparation des disques 85 sur un ordinateur équipé de Mac OS X version 10.3 89 utilisation de l'application Installation pour une installation locale 87 utilisation de l'outil de ligne de commande 90 installation en réseau 35 installation et configuration de la feuille de travail 117 intégration dans des réseaux existants 45 J J2EE 45 Java 40 JBoss 45 K Kerberos 32 L LDAP 30, 31 M migration 78 MySQL 40 N NAT (Network Address Translation) 42 NetBoot 35 NetInfo 30 Network Information System (NIS) 31 nouveau partage des montages NFS 38 nouveautés de la version 10.3 9 O Open Directory authentification Kerberos 32 découverte des services de réseau 32 définition 30 politiques de recherche 31 réplique LDAP 46 utilisation de répertoires Apple 30 utilisation des répertoires non Apple 31 validation de mots de passe 31 OpenLDAP 30 ouverture du Gestionnaire de groupe de travail et authentification 51 P PackageMaker 60 partage de fichiers 36 Perl 40 PHP 40 planification de l'installation définir une stratégie 81 définition d'une stratégie d'intégration 78 définition d'une stratégie de migration 78 définition de l'infrastructure matérielle 79 déterminer les services à héberger 76 disponibilité du matériel 80 identification des serveurs à mettre en place 76 infrastructures de configuration du serveur 79 mise en place d'une équipe 75 objectifs 75 recherche et organisation des informations 81 points de partage 36 points partagés 54 politiques de recherche 31 préparation des disques pour l'installation du logiciel serveur 85 préréglage 53 programme d'installation 50 Q QTSS Publisher 44 QuickTime Broadcaster 44 R RAID logiciel 46 redémarrage automatique 46 Rendezvous 32 répertoires d'accueil 33 S scenarios entreprises créatives 26 scénarios ateliers et classes K-12 22 cluster informatique 25 entreprises 20 établissements d'enseignement supérieur 21 fournisseurs de services Web 27Index 147 pme/pmi 24 scripts CGI 40 Serveur Enchaînement QuickTime (QTSS) 43 serveurs d'applications 44 AXIS 44 JBoss 45 SOAP 44 Tomcat 44 WebObjects 45 service d'impression 39 service de courrier authentification 40 Cyrus 40 filtres antispam et antivirus 40 Postfix 40 SquirrelMail 40 service Location Protocol (SLP) 32 service NFS (Network File System) 38 services d'images du système d'exploitation 35 services de fichier 36 services de fichiers Apple File Service (AFP) 37 File Transfer Protocol (FTP) 38 Network File System (NFS) 38 partage 36 Windows 37 services de répertoires 30 services de réseau 40 coupe-feu IP 42 DHCP 41 DNS 41 IP failover 43 NAT 42 VPN 43 services du noyau du système 29 service Web 39 service WINS (Windows Internet Naming Service) 37 shells UNIX 62 signature unique 32 sites Web dynamiques 40 SMB (Server Message Block) 32 SquirrelMail 40 SSH 62 T Terminal 62 Tomcat 44 U utilitaire d'images de réseau 60 utilitaire de disque 46 utilitaires de ligne de commande 62 V validation de mots de passe 31 validation de mots de passe "Basic" 31 validation de mots de passe Simple Authentication and Security Layer (SASL) 31 verrouillage opportuniste 37 verrouillage strict 37 Virtual Private Network (VPN) 43 W WebDAV (Web-based Distributed Authoring and Versioning) 39 Windows gestion des utilisateurs 34 intégration 46 navigation 37 services de fichiers 37 Boot Camp Installation & Setup Guide2 1 Contents 3 Boot Camp 3 Introduction 4 What You Need 4 If You’ve Already Used a Beta Version of Boot Camp 5 Upgrading Windows XP to Windows Vista 5 Installation Overview 6 Step 1: Run Boot Camp Assistant 6 Creating a Partition for Windows 8 Step 2: Install Windows 9 Selecting the Windows Partition 10 Formatting the Windows Partition 11 Setting Up Windows 12 Step 3: Install the Boot Camp Drivers for Windows 13 Starting Up Using Mac OS X or Windows 13 Setting the Default Operating System 14 Selecting an Operating System During Startup 15 Using Windows on Your Mac 15 Using an Apple Keyboard with Windows 16 Using the Function Keys on an Apple Keyboard 16 Right-Clicking 16 Scrolling with a Trackpad 17 Using an Apple Remote 18 Using Bluetooth Devices with Windows 19 Ejecting Discs 19 Setting Your Computer to Restart Automatically After a Power Failure 19 Using Third-Party Utilities 20 Removing Windows from Your Computer 21 Troubleshooting 25 Learning More, Support, and Feedback 3 1 Boot Camp Run Microsoft Windows on an Intel-based Mac computer. Introduction Boot Camp enables you to install Windows on your Intel-based Mac computer, using a Microsoft Windows install disc that you provide. Windows is installed on its own partition. After installation, you can use either Windows or Mac OS X on your Mac computer. The Boot Camp Assistant application helps you create the Windows partition and restart your Mac using your Windows installation disc. Then you can follow these instructions to install Windows and install software drivers that enable Windows to work with your Mac hardware. Important: Before you use Boot Camp Assistant, print this document. It contains information you’ll need while installing Windows. NOTICE: Make sure to back up all of your data before using Boot Camp, and regularly back up data while using the software.4 What You Need Here’s what you need to install and set up Windows on your Mac:  An Intel-based Mac computer, with:  a USB keyboard and mouse, or a built-in keyboard and trackpad  Mac OS X version 10.5 or later (the latest version of Mac OS X is strongly recommended)  a built-in optical disc drive, or, if your computer doesn’t have a built-in optical drive, a compatible external optical drive For information on using your computer with an external optical drive, see the documentation that came with your computer.  all firmware updates for your computer For information about updating your computer’s system software and firmware, see page 21.  A Mac OS X Leopard installation disc, which can be either of the following:  a Mac OS X Leopard disc (included with all purchased copies of Leopard)  a Mac OS X Install Disc 1 (included with all Macs that have Leopard preinstalled)  At least 10 GB of free space on the disk you’re installing on  Boot Camp Assistant (located in /Applications/Utilities/)  Windows XP Home Edition or Professional with Service Pack 2 or later, or Windows Vista Home Basic, Home Premium, Business, or Ultimate Important: You must use a single full-install Windows installation disc (Service Pack 2 is required for Windows XP installations). Do not use an upgrade version of Windows and do not install an earlier version of Windows XP and attempt to update it later to SP2 or later. Use only 32-bit versions of Windows. If you have a Mac Pro or a MacBook Pro introduced in early 2008 or later, you can use a 64-bit version of Windows Vista. If You’ve Already Used a Beta Version of Boot Camp If this is your first time using Boot Camp, skip this section and go to “Installation Overview” on page 5. If you’ve already installed Boot Camp Beta on your computer and used it to create a Windows partition and install Windows, you don’t need to repartition your hard disk or reinstall Windows. Follow the instructions below to install new and updated Mac drivers for Windows. Important: If you’ve customized your Windows environment, write down your settings before updating the drivers. To install new and updated Mac drivers for Windows: 1 Restart your Mac using Windows. 2 Insert your Mac OS X Leopard installation disc.5 If the installer doesn’t start automatically, browse the disc using Windows Explorer and double-click the setup.exe file in the Boot Camp directory. 3 Click Repair. Note: If you use MediaFour’s MacDrive application, you may not see the Boot Camp directory. To see it, right-click the CD drive in Windows Explorer and choose MacDrive > Show Windows Files. Upgrading Windows XP to Windows Vista You can upgrade Windows XP to Windows Vista using a licensed copy of Windows Vista Home Basic, Home Premium, Business, or Ultimate. After upgrading to Windows Vista, you must reinstall the Boot Camp drivers. To upgrade Windows XP to Windows Vista: 1 Restart your Mac using Windows. 2 Insert your Windows Vista installation or upgrade disc. 3 Follow the instructions that came with Windows Vista. 4 After completing the Windows Vista upgrade, insert your Mac OS X Leopard installation disc. If the installer doesn’t start automatically, browse the disc using Windows Explorer and double-click the setup.exe file in the Boot Camp directory. Installation Overview Installing Windows on your Mac computer involves the following steps: Step 1: Run Boot Camp Assistant. Boot Camp Assistant helps you with these tasks:  Creating a partition for Windows Boot Camp Assistant creates a partition for Windows on your computer’s startup or other internal disk.  Starting the Windows installation Boot Camp Assistant gets you started with the Windows installation. Step 2: Install Windows. Step 3: Install the Boot Camp drivers on your Windows volume. Important: Before you begin, make sure you have a backup of the important information on your computer.6 Step 1: Run Boot Camp Assistant Boot Camp Assistant helps you create a new partition for Windows and gets you started with the Windows installation. Important: If you are using a portable computer, connect the power adapter before continuing. To use Boot Camp Assistant: 1 Log in to an administrator account on your computer, quit all open applications, and log out any other users on your computer. 2 Open Boot Camp Assistant (located in /Applications/Utilities/) and follow the onscreen instructions. Refer to the following sections for more information. Creating a Partition for Windows Boot Camp Assistant helps you create a new partition for Windows on an internal disk. The assistant dynamically partitions your startup disk, creating a new partition for Windows without erasing your existing Mac OS X system. If you have a computer with multiple internal disks, you can create a second partition on any of those disks or use an entire disk for Windows. See “Creating a Partition on a Computer with Multiple Internal Disks” on page 7. When you create the Windows partition, you can choose to use 32 GB, use half of the disk for Windows, or set a custom size. The Windows partition must be at least 5 GB and leave at least 5 GB of free space on the Mac OS X partition.7 To create a partition for Windows: 1 Set the size of your Windows partition. Refer to your Windows installer documentation to help you determine the best partition size for your system. Windows Vista requires more disk space than Windows XP. Note: A partition larger than 32 GB cannot be formatted as a FAT volume. See “Formatting the Windows Partition” on page 10. 2 Click Partition. Boot Camp Assistant creates the new Windows partition. Your original Mac OS partition, with all your software and information, remains intact. You can use Boot Camp Assistant later to remove the partition if you want to restore the disk to a single-partition Mac OS X volume (see page 20). Creating a Partition on a Computer with Multiple Internal Disks If you are installing Windows on a computer with more than one internal disk, select which disk to partition for Windows. You can:  create a second partition for Windows on any internal disk  erase a non-startup disk and create a single partition for Windows If you have already partitioned a disk, you can restore it to a single Mac OS X partition. In the “Create or Remove a Windows Partition” window, select a disk to see the options available for that disk.8 Step 2: Install Windows Read and follow these instructions for installing Windows on your Mac computer. Refer to your Windows documentation for general information about installing and setting up Windows. Important: Unless you’re using a portable computer, you’ll need a USB keyboard and mouse during installation. Important: If your computer doesn’t have a built-in optical disc drive, you must install Windows and Windows drivers using a compatible external optical drive. You can install any of the following versions of Windows:  Windows XP Home Edition or Professional  Windows Vista Home Basic, Home Premium, Business, or Ultimate Important: You must use a single full-install Windows installation disc (Service Pack 2 or later is required for Windows XP installations). Do not install an earlier version of Windows XP and attempt to update it later to SP2. To install Windows on your Mac computer: 1 If you already quit Boot Camp Assistant without installing Windows: a Open Boot Camp Assistant. b Select “Start the Windows installer.” c Click Continue. 2 If you are using a computer with more than one internal disk, select the disk on which you want to install Windows, and then click Continue. 3 Insert your Windows installation disc. 4 In Boot Camp Assistant, click Start Installation.9 5 Your computer starts up from the Windows installation disc. Follow the onscreen instructions. Refer to the following sections for more information. Selecting the Windows Partition It is very important to select the correct partition when installing Windows so that you don’t overwrite Mac OS X on your computer. To select the correct partition for Windows XP: m Select “C: Partition3 [FAT32].” To select the correct partition for Windows Vista: m Select “Disk 0 Partition 3 BOOTCAMP.” NOTICE: Do not create or delete a partition, or select any partition other than as noted below. Doing so may delete the entire contents of your Mac OS X partition.10 Formatting the Windows Partition Even though Boot Camp pre-formats the Windows partition, this partition can’t be used to boot the computer. You must reformat the new Windows partition using the Windows installer. To format the partition for Windows XP: m Select an NTFS or FAT format:  NTFS—Provides better reliability and security, but you will not be able to save files to the Windows volume from Mac OS X.  FAT—Provides better compatibility, allowing you to read and write files on the Windows volume from Mac OS X. This option is available only if the Windows partition you created in Step 2 is 32 GB or smaller. Important: Do not select “Leave the current file system intact.” To successfully install Windows XP, you must select one of the other options.11 To format the partition for Windows Vista: 1 Click “Drive options (advanced).” 2 Click Format, and then click OK. 3 Click Next. The Windows Vista partition is formatted using the NTFS file system. Setting Up Windows After you install the Windows software, your computer automatically restarts using Windows. Use the Windows setup screens to configure Windows.12 Step 3: Install the Boot Camp Drivers for Windows After installing Windows, install Mac-specific drivers and other software for Windows using your Mac OS X Leopard installation disc. The Mac OS X disc installs drivers to support Mac components, such as:  graphics  networking  audio  AirPort wireless connectivity  Bluetooth®  Built-in iSight camera (external iSight cameras aren’t supported)  Apple keyboards  Apple Remote  brightness control for built-in displays The Mac OS X disc also installs the Boot Camp control panel for Windows and the Apple Boot Camp system tray item. To install the Boot Camp drivers: 1 Eject the Windows installation disc. a Go to My Computer. b Select the optical drive (D:). c Click “Eject this disk” in the System Tasks list. 2 Insert the Mac OS X disc. If the installer doesn’t start automatically, browse the disc using Windows Explorer and double-click the setup.exe file in the Boot Camp directory. 3 Follow the onscreen instructions. If a message appears that says the software you are installing has not passed Windows Logo testing, click Continue Anyway. Windows that appear only briefly during the installation don’t require your input. If nothing appears to be happening, there may be a hidden window that you must respond to. Check the taskbar and look behind open windows. Important: Do not click the Cancel button in any of the installer dialogs. 4 After your computer restarts, follow the instructions in the Found New Hardware Wizard to update your software drivers (Windows XP only). 5 Follow the instructions for any other wizards that appear.13 Note: Periodically, Apple may provide updated Boot Camp drivers, which you can download and install using Apple Software Update. To check for updated drivers manually, go to www.apple.com/support/bootcamp. Starting Up Using Mac OS X or Windows Once you’ve installed Windows and the Boot Camp drivers, you can start using Windows on your Mac. Boot Camp makes it easy to start up your computer using either Mac OS X or Windows. You can set the default operating system for your computer using Startup Disk preferences (Mac OS X) or the Boot Camp control panel (Windows). You can also select an operating system as your computer is starting up. Setting the Default Operating System You can use the Startup Disk pane of System Preferences in Mac OS X to set the default operating system for starting up your computer. Boot Camp also installs a Boot Camp control panel that lets you set the default operating system when you’re running Windows. To set the default operating system in Mac OS X: 1 In Mac OS X, choose Apple () > System Preferences. 2 Click Startup Disk. 3 Select the startup disk with the operating system you want to use by default. 4 If you want to start up that operating system now, click Restart.14 To set the default operating system in Windows: 1 In Windows, click the Boot Camp system tray item and choose Boot Camp Control Panel. Note: Your screen may look different, depending on which computer you’re using. 2 Select the startup disk with the operating system you want to use by default. 3 If you want to start up that operating system now, click Restart. To restart in Mac OS X using the Boot Camp system tray item: m In Windows, choose “Restart in Mac OS X” from the Boot Camp system tray item. Restarting in Mac OS X using the Boot Camp system tray item also sets the default operating system to Mac OS X. Selecting an Operating System During Startup You can select which operating system to use during startup by holding down the Option key. This displays icons for all available startup disks, and lets you override the default setting for the startup disk in Startup Disk preferences (Mac OS X) or the Boot Camp control panel (Windows) without changing that setting.15 To select an operating system during startup: 1 Restart your computer and hold down the Option key until disk icons appear onscreen. 2 Select the startup disk with the operating system you want to use, and then click the arrow beneath the icon. Using Windows on Your Mac The following sections provide information about running Windows on a Macintosh computer. If you’re not already familiar with how to use Windows, refer to the documentation that came with your Windows software. Using an Apple Keyboard with Windows Boot Camp sets the keys on your Apple keyboard to emulate a standard PC keyboard. This enables Control-Alt-Delete, Print Screen, and other common key commands to work with Windows. The following table tells you how to type PC key commands on an external Apple Keyboard, Apple Wireless Keyboard, and Mac portable computer built-in keyboards. For details, see: docs.info.apple.com/article.html?artnum=304270 PC key command Apple Keyboard Portable Mac built-in keyboard/ Apple Wireless Keyboard Control-Alt-Delete Control-Option-Delete ;1 Control-Option-Delete Alt Option Option AltGr Control-Option Control-Option Backspace Delete Delete Delete Delete ;1 Fn-Delete Enter Return Return Enter (numeric keypad) Enter Enter (with some built-in keyboards only)2 Insert Fn-Enter or Help Fn-Enter Num lock Clear Fn-F6 (with some built-in keyboards only) Pause/Break F16 Fn-Esc Print Screen F14 Fn-Shift-F11 Print active window Option-F14 Fn-Shift-Option-F11 Scroll/Lock F15 Fn-F12 Windows Command (x) Command (x) 1 Use the Delete key above the navigation keys. 2 Some Mac portable computers have a group of keys with small numbers on them that can be used as a numeric keypad. To use these keys as a keypad, press the F6 key to engage Num Lock, or hold down the Fn key while you press the keys in the keypad.16 Using the Function Keys on an Apple Keyboard Pressing function keys (F1–F12) on Mac portable built-in keyboards and on newer external Apple keyboards controls hardware features, such as volume, display brightness, and, on some keyboards, media playback. By holding down the Fn key as you press function keys, you can also use them to trigger application-specific software features. For example, if you open iTunes and press Fn-F1, iTunes Help opens. You can set the keyboard so that the function keys control application-specific features without pressing Fn. You then hold down Fn to use the function keys to control hardware features. To set whether the function keys control hardware or software features: 1 In Windows, click the Boot Camp system tray item and choose Boot Camp Control Panel. 2 Click the Keyboard tab. 3 Select or deselect “Use the F1–F12 keys to control software features.” Right-Clicking You can right-click when running Windows on your Mac using an Apple Mighty Mouse. If you are using a Mac portable computer, you can also right-click using the trackpad. To right-click using a Mighty Mouse: m Click the upper-right side of the mouse. To right-click using a trackpad: m Place two fingers on the trackpad and click the trackpad button. Scrolling with a Trackpad If you are using a Mac portable computer, you can use two fingers to scroll with the trackpad. To scroll using a trackpad: m Move two fingers on the trackpad simultaneously, vertically or horizontally. 17 Using an Apple Remote If your computer is equipped with a built-in infrared receiver, you can use an Apple Remote to control iTunes and Windows Media Player (not included with Boot Camp). The remote lets you change the sound volume, start or pause playback, and skip to the next or previous item. You can also use the remote to open iTunes in Windows. To open iTunes using an Apple Remote: m Press the Menu button. If iTunes is already open, you can press the Menu button to bring iTunes to the front. The Apple Remote uses an infrared transmitter, and works with Mac computers that have an infrared receiver. If the remote has an unobstructed line of sight to the receiver, it can work at a distance of up to 30 feet. Pairing Your Computer with an Apple Remote If you have more than one infrared-equipped computer at the same location, you can “pair” each computer with a specific Apple Remote. Otherwise, the computer takes commands from any remote within range. Pairing sets the computer to take commands only from the specified remote. You can pair your computer with only one remote at a time. To pair your computer with a remote: 1 Hold the remote close to the computer (3 to 4 inches) and point the remote at the front of the computer. 2 Press and hold both » and ‘ on the remote for about 5 seconds, until a chain link ( ) symbol appears onscreen. Unpairing Your Computer from an Apple Remote Pairing your computer with a remote tells the computer to take commands only from the specified Apple Remote. You can pair your computer with only one remote at a time. If you’ve paired your computer with an Apple Remote, you must unpair the computer before you can use the computer with a different remote. To unpair your computer from an Apple Remote: 1 In Windows, open the Boot Camp control panel and click the Remote tab. 2 Click Unpair.18 Disabling Remote Control You can use the Boot Camp control panel to disable the infrared receiver and prevent remote control of your computer. To disable the infrared receiver: 1 In Windows, open the Boot Camp control panel and click the Remote tab. 2 Select the “Disable remote control infrared receiver” checkbox. To turn infrared reception back on, deselect the option. Using Bluetooth Devices with Windows Before you can use a Bluetooth wireless device with Windows on your Mac, you must pair the device with your computer while running Windows. To pair a wireless Mighty Mouse or Apple keyboard with your Mac: 1 In Windows, open the Bluetooth Devices control panel. 2 In the Devices pane, click Add. 3 Follow the Bluetooth Device Wizard to set up your device. a To make your Apple wireless device discoverable, turn the device off and then on again. b In the passkey pane, select “Let me choose my own passkey” and enter a numeric code. Wireless Mighty Mouse: Enter four zeros (“0000”). Apple Wireless Keyboard: Enter six to sixteen digits. Passkeys for wireless devices are used to encrypt the information transmitted from the devices to your computer. You don’t need to remember the passkey.19 Ejecting Discs You can eject a CD or DVD using the Eject (C) key on an Apple keyboard. If your computer has an optical drive with a tray, use the Eject key to open or close the tray. You can also eject a disc by using Windows Explorer. To eject a disc, do one of the following: m Press and hold the Eject key on your Apple keyboard until the eject (C) symbol appears onscreen. m Right-click the disc icon in Windows Explorer and choose Eject from the menu that appears. m Select the disc icon in Windows Explorer and click Eject. m Hold down the primary mouse button as you start up your computer, until the disc ejects. If you have a Mac Pro computer, you can press Option-Eject to open or close the tray of an optional second optical drive. Setting Your Computer to Restart Automatically After a Power Failure Setting your computer to restart automatically after a power failure might be useful if you need to access your computer remotely. To set your computer to restart automatically after a power failure: 1 Click the Boot Camp system tray item and choose Boot Camp Control Panel. 2 Click the Power tab. 3 Select “Restart automatically after a power failure.” Using Third-Party Utilities Before installing and using a third-party disk utility for Windows, check with the vendor to make sure the utility is compatible with Boot Camp. NOTICE: Data loss can occur when using a disk utility that is not compatible with Boot Camp.20 Removing Windows from Your Computer How you remove Windows from your computer depends on whether you installed Windows on a single-volume disk or on a second disk partition. If you installed Windows on a second disk partition: Using Boot Camp Assistant as described below, remove Windows by deleting the Windows partition and restoring the disk to a single-partition Mac OS X volume. If your computer has multiple disks and you installed Windows on a disk that has only one partition: Start up in Mac OS X and use Disk Utility, in /Applications/Utilities, to erase the disk and reformat it as a Mac OS X volume. To delete Windows and the Windows partition: 1 Start up in Mac OS X. 2 Quit all open applications and log out any other users on your computer. 3 Open Boot Camp Assistant. 4 Select “Create or remove a Windows partition” and click Continue. 5 Do one of the following:  If your computer has a single internal disk, click Restore.  If your computer has multiple internal disks, select the disk with Windows on it, and then select “Restore to a single Mac OS partition” and click Continue. NOTICE: Make a backup of the important information on your computer before removing Windows. Windows software and all other information on the Windows partition will be erased.21 Troubleshooting If you’re having trouble partitioning a disk, using Boot Camp Assistant, or installing or running Windows on your Mac, check this section for possible solutions. For more troubleshooting information Go to www.apple.com/support/bootcamp. If Boot Camp Assistant won’t open because you haven’t updated your firmware or system software Boot Camp requires that you have Mac OS X v10.5 or later, and the latest firmware, installed on your computer. Some computers may require more than one firmware update. To update your computer’s system software: 1 From the Apple menu, choose Software Update. 2 If an update for Mac OS X appears in the list, select it. 3 Click Install. To update your computer’s firmware: 1 Go to www.apple.com/support/downloads. 2 Search for the firmware updates for your computer. For example, search for “Mac mini firmware update.” Important: Some computers may require more than one firmware update. See docs.info.apple.com/article.html?artnum=303880 for the current updates available for your computer. 3 Download all applicable firmware update packages. 4 Open each package and follow the onscreen instructions. If you can’t partition your disk In order to partition your disk and install Windows using Boot Camp Assistant, the disk must be a single partition, formatted as a Mac OS X Extended (Journaled) volume. If you have already partitioned your disk using Disk Utility or some other utility, you cannot use Boot Camp Assistant until you restore your disk to a single-partition Mac OS X volume. Boot Camp Assistant works only with internal disks. You cannot use Boot Camp Assistant to partition and install Windows on an external disk. 22 If a dialog appears saying “The disk cannot be partitioned because verification failed,” try repairing the disk using Disk Utility and running Boot Camp Assistant again. If that doesn’t work, back up all the information on your computer, start up from your Mac OS X Leopard installation disc, and erase the disk using Disk Utility. Restore the information to your computer from the backup and try running Boot Camp Assistant again. If you made the Windows partition too small First, back up all the information on your Windows partition. Then run Boot Camp Assistant to restore your disk to a single volume. Restart your computer and use Boot Camp Assistant to partition the disk again and reinstall Windows. Don’t forget to install the Boot Camp drivers after installing Windows. If you get a message saying “Installer Disc Not Found” when you try to install Windows Make sure you’re logged in to Mac OS X as an administrator. If the Windows installer isn’t responding If you’re using an Apple Mighty Mouse, the Windows installer may not respond if the mouse is connected directly to your computer. Connect the Mighty Mouse to the USB port on your keyboard. If Windows didn’t install properly Verify that you are using an original, full version of Windows XP Home Edition or Professional with Service Pack 2 or later, or Windows Vista Home Basic, Home Premium, Business, or Ultimate. Media Center, OEM, and upgrade versions of Windows XP are not recommended. Restart your computer and hold down the Option key until one or more disk icons appear on your screen. Insert the Windows installation disc. Select the Windows installation disc icon and then click the arrow beneath it. Quickly press any key on your keyboard to start the installer. Follow the onscreen instructions to repair or reinstall Windows. If you installed MediaFour MacDrive and you can’t find the Boot Camp drivers on the Mac OS X Leopard installation disc In Windows Explorer, right-click the CD drive and choose MacDrive > Show Windows Files. If the Boot Camp drivers weren’t successfully installed If it appears that the Boot Camp drivers weren’t successfully installed, try repairing them.23 To repair Boot Camp drivers: 1 Start up your computer in Windows. 2 Insert your Mac OS X Leopard installation disc. 3 If the installer doesn’t start automatically, browse the disc using Windows Explorer and double-click the setup.exe file in the Boot Camp directory. 4 Click Repair and follow the onscreen instructions. If a message appears that says the software you are installing has not passed Windows Logo testing, click Continue Anyway. If you need to reinstall specific drivers, you can install one driver at a time. For example, if your built-in iSight camera isn’t working, you can reinstall just the iSight driver. Individual drivers are in the Drivers folder on the Mac OS X Leopard installation disc. To reinstall a specific driver: 1 Insert your Mac OS X Leopard installation disc. 2 Quit AutoRun if it opens. 3 Using Windows Explorer, locate the driver that you want to reinstall. 4 Open the driver to start the installation. If you can’t eject a CD or DVD Most Apple keyboards have an Eject (C) key that ejects optical discs. To eject a CD or DVD: m Press and hold the Eject key until the eject (C) symbol appears onscreen. The Eject key on Apple keyboards works in Windows only after you have installed the Boot Camp drivers. See “Step 3: Install the Boot Camp Drivers for Windows” on page 12. You must be logged in to a user account to use the Eject key. The Eject key does not work when the Welcome Screen is displayed. If your keyboard doesn’t have an Eject key, you can eject a disc using Windows Explorer. Select the disc and click Eject. If you’re still having trouble ejecting the disc, click and hold down the primary mouse button as you restart your computer, until the disc ejects. If your computer doesn’t always show the correct date and time You must have an active Internet connection in order to maintain the correct date and time when going between Mac OS X and Windows. If you are not connected to the Internet, you need to set the date and time manually when you change operating systems.24 If you can’t adjust the brightness of your display You can adjust the brightness of Mac portable computer displays using function keys on the keyboard. Press the F1 key to dim the display, or the F2 key to brighten it. Or, if you have an Apple keyboard with brightness symbols on the F1 and F2 keys, you can use them. If the brightness keys don’t appear to work, try pressing and holding the Fn key while pressing the F1 or F2 key. If that doesn’t work, make sure you’ve installed the Boot Camp drivers. See “Step 3: Install the Boot Camp Drivers for Windows” on page 12. If you can’t adjust the sound volume You can adjust the sound volume in Windows by using the volume keys on your Apple keyboard. Press Volume Down (–) to lower the volume or Volume Up (-) to increase it. To mute the volume, press Mute (—). If the volume keys don’t appear to work, make sure you’ve installed the Boot Camp drivers. See “Step 3: Install the Boot Camp Drivers for Windows” on page 12. If the Windows desktop doesn’t fill the entire screen If the Windows desktop doesn’t fill the entire screen, make sure you’ve installed the Boot Camp drivers. See “Step 3: Install the Boot Camp Drivers for Windows” on page 12. If you installed the drivers and the desktop still doesn’t fill the entire screen, increase the desktop resolution setting in the Display control panel. If the screen is blank or distorted Some graphics cards may not work with both Mac OS X and Windows on a Mac computer. If you’re having trouble with your screen display when using Windows, try the following:  Use the graphics card that came with your Mac.  Make sure you’ve installed the Boot Camp drivers. See “Step 3: Install the Boot Camp Drivers for Windows” on page 12.  Adjust the screen resolution setting in the Display control panel. If you can’t rename the Windows partition If you installed Windows XP on an NTFS partition, or you installed Windows Vista, you can only rename the Windows partition in Windows. Start up in Windows and rightclick the C: drive in Windows Explorer. Then type a name. If you have a RAID configuration RAID configurations using Boot Camp are not supported. For more information, go to www.apple.com/support/bootcamp and search for “RAID.”Learning More, Support, and Feedback For more information about Boot Camp, go to www.apple.com/bootcamp. For Boot Camp support, go to www.apple.com/support/bootcamp. Apple welcomes your feedback on Boot Camp. To submit feedback, go to www.apple.com/macosx/feedback. Apple does not provide support for installing or running Microsoft Windows software. To find help for Windows issues, go to www.microsoft.com/windows. © 2008 Apple Inc. All rights reserved. Apple, the Apple logo, AirPort, FireWire, iSight, Mac, MacBook, and Mac OS are trademarks of Apple Inc., registered in the U.S. and other countries. Leopard is a trademark of Apple Inc. The Bluetooth® word mark and logos are registered trademarks owned by Bluetooth SIG, Inc. and any use of such marks by Apple Inc. is under license. Intel, Intel Core, and Xeon are trademarks of Intel Corp. in the U.S. and other countries. Mighty Mouse™ & © 2007 CBS Operations Inc. All rights reserved. Other company and product names mentioned herein may be trademarks of their respective companies. 019-1178 2008-01 Installation de votre logiciel Les informations ci-après vous permettent d’utiliser rapidement DVD Studio Pro et abordent les rubriques suivantes :  À propos du contenu du coffret DVD Studio Pro (p. 2)  À propos de l’aide à l’écran (p. 3)  Mise à niveau de Mac OS X et de QuickTime (p. 4)  Installation de DVD Studio Pro sur système Mac OS X 10.3 (Panther) (p. 5)  Installation de DVD Studio Pro sur système Mac OS X 10.4 (Tiger) (p. 8)  Enregistrement de DVD Studio Pro (p. 10)  Comment entrer en contact avec l’assistance AppleCare (p. 11) Veillez également à examiner le document À lire avant d’installer DVD Studio Pro 4 qui se trouve sur le disque d’installation de DVD Studio Pro 4. Pour connaître les toutes dernières informations sur DVD Studio Pro, rendez-vous sur le site Web de DVD Studio Pro à l’adresse http://www.apple.com/fr/dvdstudiopro. F42938INS Page 1 Thursday, April 14, 2005 1:41 PM2 À propos du contenu du coffret DVD Studio Pro Votre coffret DVD Studio Pro contient le logiciel et la documentation permettant d’enrichir votre production audio et vidéo. DVD Studio Pro 4 Installation Disc Ce disque contient l’ensemble des fichiers nécessaires à l’installation de DVD Studio Pro 4 et Compressor 2. Il comprend également les fichiers et répertoires suivants :  À lire avant d’installer DVD Studio Pro 4 : ce document contient des informations sur la configuration requise et les actions à prendre avant d’installer les applications et utilitaires qui l’accompagnent. Assurez-vous de l’avoir bien lu avant d’installer DVD Studio Pro 4.  Icône d’installation de DVD Studio Pro 4 : double-cliquez sur cette icône pour lancer le processus d’installation.  Icône d’installation du contenu de DVD Studio Pro : vous pouvez double-cliquer dessus pour commencer le processus d’installation des modèles et transitions de DVD Studio Pro si vous n’aviez pas souhaité les installer lors de l’installation initiale de DVD Studio Pro.  Dossier Documentation : il contient le document PDF Manuel de l’utilisateur de DVD Studio Pro ainsi qu’un dossier Compressor dans lequel vous trouverez les documents PDF Manuel de l’utilisateur de Compressor et Manuel de l’utilisateur de Apple Qmaster. Chacun de ces documents comprend une page d’accueil avec des liens vers des fichiers PDF supplémentaires, comme Nouvelles fonctionnalités et des liens vers des sites Web connexes d’Apple. Vous trouverez également dans ce dossier Documentation une version PDF du présent document Installation de votre logiciel.  Dossier Extras : il contient les programmes d’installation du système de traitement distribué Apple Qmaster que vous utilisez lors de la configuration d’un réseau d’encodage distribué. Suivez le lien de Configuration de traitement distribué sur la page d’accueil de Manuel de l’utilisateur de Compressor pour obtenir des informations sur l’installation et la configuration de Apple Qmaster. Le dossier Extras contient également une icône d’installation du contenu de DVD Studio Pro. Vous pouvez double-cliquer dessus pour commencer le processus d’installation des modèles et transitions DVD Studio Pro si vous n’aviez pas souhaité les installer lors de l’installation initiale de DVD Studio Pro.  Dossier Modèles de films d’introduction : il comprend de la documentation ainsi que les versions NTSC et PAL de différents films que vous pouvez utiliser avec les modèles Apple proposés dans DVD Studio Pro. Version imprimée de la documentation Ce coffret contient le Manuel de l’utilisateur de DVD Studio Pro 4. Ce document fournit des informations sur le processus de création de DVD, la planification de votre projet, la préparation des ressources et l’utilisation de DVD Studio Pro. F42938INS Page 2 Thursday, April 14, 2005 1:41 PM3 À propos de l’aide à l’écran L’aide à l’écran (accessible à partir du menu Aide) permet d’accéder directement aux informations à l’écran, lorsque vous utilisez DVD Studio Pro et Compressor. Vous pouvez également y consulter les manuels de l’utilisateur à l’écran ainsi que des liens vers d’autres documents et sites Web connexes d’Apple. Manuels à l’écran de l’utilisateur Vous pouvez accéder aux manuels à l’écran de l’utilisateur de DVD Studio Pro et Compressor à partir du menu d’Aide de chaque application. Pour accéder au manuel à l’écran de l’utilisateur d’une application : m Dans l’application concernée, choisissez Manuel de l’utilisateur dans le menu d’Aide. Informations de dernière minute Vous retrouverez aussi bien dans DVD Studio Pro que dans Compressor un document Informations de dernière minute contenant des indications sur les problèmes rencontrés avec les matériels et logiciels tierce partie ainsi que sur d’autres problèmes connus. Vous pouvez y accéder à partit du menu d’Aide. Remarque : pour pouvoir télécharger un document d’Informations de dernière minute, vous devez être connecté à Internet. Pour accéder au document Informations de dernière minute d’une application : m Dans l’application, sélectionnez Aide > Informations de dernière minute. Un fichier PDF de la version actuelle des Informations de dernière minute de l’application se télécharge alors sur votre disque dur puis s’ouvre dans l’application Aperçu. Nouvelles fonctionnalités Vous retrouverez aussi bien pour DVD Studio Pro que pour Compressor un document intitulé Nouvelles fonctionnalités reprenant toutes les fonctionnalités ajoutées et améliorées par rapport à la version précédente. Ces informations sont également disponibles dans la section Nouvelles fonctionnalités de l’aide à l’écran. Pour accéder au document Nouvelles fonctionnalités d’une application : m Dans l’application, sélectionnez Aide > Nouvelles fonctionnalités. F42938INS Page 3 Thursday, April 14, 2005 1:41 PM4 Mise à niveau de Mac OS X et de QuickTime Vous pouvez installer DVD Studio Pro 4 sur un ordinateur utilisant Mac OS X 10.3 (Panther) ou Mac OS X 10.4 (Tiger). Avant d’installer DVD Studio Pro, mettez à jour votre logiciel système pour vous assurer que vous bénéficiez bien de la dernière version de Panther ou Tiger. Vous devez également mettre á niveau QuickTime vers la dernière version. QuickTime est un produit de référence dans la manipulation de vidéo numérique et est requis par DVD Studio Pro. Remarque : pour connaître la configuration logicielle minimale requise, consultez le document À lire avant d’installer DVD Studio Pro 4 se trouvant sur le disque d’installation de DVD Studio Pro. Pour mettre à jour votre logiciel système : 1 Sélectionnez le menu Pomme > Mise à jour de logiciels. Une zone de dialogue affiche alors les nouveaux logiciels ou les mises à jour disponibles pour votre ordinateur. 2 Si nécessaire, suivez les instructions à l’écran pour mettre à jour Mac OS X et QuickTime et obtenir ainsi les dernières versions. Remarque : si vous n’avez pas mis à jour votre logiciel système ou QuickTime depuis un certain temps, il sera peut-être nécessaire de répéter cette opération plusieurs fois pour installer les dernières versions de Mac OS X et QuickTime. Important : l’installation de DVD Studio Pro 4 et la saisie du numéro de série débloquent automatiquement les capacités multimédia étendues de QuickTime Pro 7. F42938INS Page 4 Thursday, April 14, 2005 1:41 PM5 Installation de DVD Studio Pro sur système Mac OS X 10.3 (Panther) Lorsque vous installez DVD Studio Pro, ses composants sont placés dans le dossier Applications sur votre disque dur de démarrage. Remarque : avant d’installer le logiciel, vous devez vous connecter à votre ordinateur en tant qu’administrateur. Pour cela, vous devez taper le mot de passe administrateur. Pour plus d’informations, consultez la section “À propos de l’installation du logiciel et de l’enregistrement des fichiers” à la page 10. Important : l’installation de DVD Studio Pro doit se faire en deux étapes : la première est celle de l’installation de DVD Studio Pro et la seconde celle de l’installation du contenu complémentaire qui comprend notamment les modèles et transitions. Pour installer DVD Studio Pro et saisir le numéro de série : 1 Insérez le disque d’installation DVD Studio Pro 4 dans le lecteur DVD de votre ordinateur. 2 Double-cliquez sur l’icône d’installation DVD Studio Pro 4, puis suivez les instructions à l’écran. 3 Le programme d’installation exécute alors un programme pour déterminer si DVD Studio Pro peut être installé. Cliquez sur Continuer. 4 Lisez les informations de bienvenue, puis cliquez sur Continuer. 5 Lisez le Contrat de licence de logiciel, cliquez sur Continuer, puis sur Accepter. 6 Dans la zone de dialogue de licence, saisissez vos nom et prénom. Il n’est pas obligatoire de remplir le champ Entreprise. 7 Dans le champ de numéro de série, tapez le numéro de série de DVD Studio Pro figurant en couverture de ce document, puis cliquez sur OK. Prenez soin de recopier le numéro de série d’origine se trouvant sur l’étiquette apposée en couverture du présent document. Assurez-vous qu’il n’y a pas d’erreurs dans le champ de numéro de série. Veillez à ne pas confondre les caractères 0 (zéro) et O, 1 et L minuscule, le cas échéant. Vous devez également saisir les tirets figurant sur le numéro de série. Vérifiez qu’il n’y a pas d’espaces avant ou après le numéro de série. Remarque : si vous évoluez depuis une version antérieure de DVD Studio Pro, le programme d’installation recherche un numéro de série de DVD Studio Pro. S’il n’en trouve pas, vous êtes alors invité à le saisir. Important : veillez à saisir le numéro de série du logiciel et non l’identifiant d’assistance. Avertissement : si votre système ne répond pas à la configuration minimale requise, vous ne pourrez pas installer DVD Studio Pro. Consultez le document À lire avant d’installer DVD Studio Pro 4 se trouvant sur le disque d’installation de DVD Studio Pro 4 pour obtenir les détails de la configuration minimale requise. F42938INS Page 5 Thursday, April 14, 2005 1:41 PM6 8 Sélectionnez le disque de démarrage, puis cliquez sur Continuer. Votre disque de démarrage doit disposer de la dernière version de Panther. 9 Effectuez l’une des opérations suivantes :  Pour effectuer une installation simple, cliquez sur Installer ou sur Mettre à niveau.  Pour procéder à une installation personnalisée, cliquez sur le bouton Personnaliser et sélectionnez les éléments facultatifs que vous souhaitez installer, puis cliquez sur Installer ou sur Mettre à niveau. Important : si vous envisagez d’importer des fichiers de projet iDVD (à partir de iDVD 3 ou iDVD 4), iDVD doit être installé sur votre système ainsi que les correctifs d’iDVD. Remarque : l’installation de correctifs iDVD remplace les fichiers de correctif iDVD existants. Ces correctifs ne visent pas améliorer le fonctionnement d’iDVD ; ils servent uniquement à en augmenter les fonctionnalités pour pouvoir ouvrir des projets iDVD dans DVD Studio Pro. Important : il se peut d’ailleurs que vous constatiez la présence de l’option de mise à niveau sur des ordinateurs où aucune version de DVD Studio Pro n’a été installée auparavant. C’est parce que le programme d’installation a pu détecter sur votre ordinateur au moins un fichier commun aux fichiers à installer, ce qui est normal. 10 Une zone de dialogue vous invite alors à vous identifier en saisissant un nom et un mot de passe. Cliquez sur OK lorsque vous avez terminé. Le programme d’installation indique son état sur une barre de progression. Une zone de dialogue vous informe ensuite lorsque l’installation est terminée. Une fois DVD Studio Pro et Compressor installés, le programme d’installation du contenu se lance. Le contenu comprend notamment les modèles et transitions de DVD Studio Pro 3 et DVD Studio Pro 4. Remarque : les modèles et transitions de DVD Studio Pro 3 comprennent également ceux de DVD Studio Pro 2. F42938INS Page 6 Thursday, April 14, 2005 1:41 PM7 Si vous ne souhaitez pas installer le contenu de DVD Studio Pro, sélectionnez Programme d’installation > Quitter l’installation (ou appuyez sur Commande + Q) pour quitter le programme d’installation. Cela vous permet de fermer le programme d’installation sans installer les fichiers de contenu, vous pouvez dès lors commencer à utiliser DVD Studio Pro et Compressor. Consultez le document intitulé Manuel de l’utilisateur de DVD Studio Pro 4 et Manuel de l’utilisateur de Compressor 2 pour plus d’informations. Remarque : vous pouvez installer les fichiers de contenu ultérieurement à l’aide de l’icône d’installation de contenu DVD Studio Pro 4 se trouvant sur le disque d’installation de DVD Studio Pro 4. Pour installer le contenu de DVD Studio Pro : 1 Le programme d’installation exécute un programme pour déterminer si DVD Studio Pro peut être installé. Cliquez sur Continuer. 2 Lisez les informations de bienvenue, puis cliquez sur Continuer. 3 Lisez le Contrat de licence de logiciel, cliquez sur Continuer, puis sur Accepter. 4 Sélectionnez le disque sur lequel vous souhaitez installer le contenu. Contrairement à l’application, vous n’êtes pas obligé de choisir votre disque de démarrage. 5 Effectuez l’une des opérations suivantes :  Pour effectuer l’installation sur l’emplacement par défaut, cliquez sur Continuer. L’emplacement par défaut étant /[Disque de démarrage]/Bibliothèque/Application Support/DVD Studio Pro/Apple.  Pour procéder à une installation sur un emplacement personnalisé, cliquez sur le bouton Choisir, sélectionnez le dossier de destination de votre choix, cliquez sur Ouvrir puis sur Continuer. 6 Effectuez l’une des opérations suivantes :  Pour effectuer une installation simple, cliquez sur Installer ou sur Mettre à niveau.  Pour procéder à une installation personnalisée, cliquez sur le bouton Personnaliser et sélectionnez les éléments facultatifs que vous souhaitez installer, puis cliquez sur Installer ou sur Mettre à niveau. 7 Une zone de dialogue vous invite alors à vous identifier en saisissant un nom et un mot de passe. Cliquez sur OK lorsque vous avez terminé. Le programme d’installation indique son état sur une barre de progression. Une zone de dialogue vous informe ensuite lorsque l’installation est terminée. DVD Studio Pro et Compressor sont maintenant installés. Consultez le document intitulé Manuel de l’utilisateur de DVD Studio Pro 4 et Manuel de l’utilisateur de Compressor 2 pour plus d’informations. F42938INS Page 7 Thursday, April 14, 2005 1:41 PM8 Installation de DVD Studio Pro sur système Mac OS X 10.4 (Tiger) Lorsque vous installez DVD Studio Pro, ses applications sont placées dans le dossier Applications de votre disque dur de démarrage.Vous pouvez également choisir d’installer ou non le contenu de DVD Studio Pro 4 que vous pouvez installer sur l’emplacement par défaut, ou le dossier de destination de votre choix. Remarque : avant d’installer le logiciel, vous devez vous connecter à votre ordinateur en tant qu’administrateur. Pour cela, vous devez taper le mot de passe administrateur. Pour plus d’informations, consultez la section “À propos de l’installation du logiciel et de l’enregistrement des fichiers” à la page 10. Pour installer DVD Studio Pro et saisir le numéro de série : 1 Insérez le disque d’installation de DVD Studio Pro 4 dans le lecteur DVD de votre ordinateur. 2 Double-cliquez sur l’icône d’installation DVD Studio Pro 4, puis suivez les instructions à l’écran. 3 Le programme d’installation exécute alors un programme pour déterminer si DVD Studio Pro peut être installé. Cliquez sur Continuer. 4 Lisez les informations de bienvenue, puis cliquez sur Continuer. 5 Lisez le Contrat de licence de logiciel, cliquez sur Continuer, puis sur Accepter. 6 Sélectionnez le disque de démarrage, puis cliquez sur Continuer. Votre disque de démarrage doit disposer de la dernière version de Tiger. 7 Dans la zone de dialogue de licence, saisissez vos nom et prénom. Il n’est pas obligatoire de remplir le champ Entreprise. 8 Dans le champ de numéro de série, saisissez le numéro de série de DVD Studio Pro figurant en couverture de ce document, puis cliquez sur Continuer. Prenez soin de recopier le numéro de série d’origine se trouvant sur l’étiquette apposée en couverture du présent document. Assurez-vous qu’il n’y a pas d’erreurs dans le champ de numéro de série. Veillez à ne pas confondre les caractères 0 (zéro) et O, 1 et L minuscule, le cas échéant. Vous devez également saisir les tirets figurant sur le numéro de série. Vérifiez qu’il n’y a pas d’espaces avant ou après le numéro de série. Remarque : si vous évoluez depuis une version antérieure de DVD Studio Pro, le programme d’installation recherche un numéro de série de DVD Studio Pro. S’il n’en trouve pas, vous êtes alors invité à le saisir. Important : veillez à saisir le numéro de série du logiciel et non l’identifiant d’assistance. La fenêtre d’Installation standard s’affiche. Avertissement : si votre système ne répond pas à la configuration minimale requise, vous ne pourrez pas installer DVD Studio Pro. Consultez le document À lire avant d’installer DVD Studio Pro 4 se trouvant sur le disque d’installation de DVD Studio Pro 4 pour obtenir les détails de la configuration minimale requise. F42938INS Page 8 Thursday, April 14, 2005 1:41 PM9 9 Effectuez l’une des opérations suivantes :  Cliquez sur Installer ou Mettre à niveau pour effectuer une installation simple comprenant les applications et le contenu de DVD Studio Pro (installé à l’emplacement /[Disque de démarrage]/Bibliothèque/Application Support/DVD Studio Pro/Apple).  Cliquez sur Personnaliser pour n’installer que les éléments sélectionnés. Dans la fenêtre d’Installation personnalisée, sélectionnez les applications et le contenu à installer. Si vous choisissez d’installer le contenu multimédia de DVD Studio Pro, vous pouvez personnaliser l’emplacement dans lequel stocker les fichiers. Lorsque vous avez configuré la fenêtre d’Installation personnalisée, cliquez sur Installer ou Mettre à niveau. Remarque : il se peut que vous deviez agrandir la fenêtre et la colonne de Nom du paquet pour voir le nom complet de certains éléments dans leur intégralité. Le contenu de DVD Studio Pro comprend une icône de dossier dans la colonne Emplacement. Cliquez sur le dossier et choisissez Autre dans le menu local pour choisir un emplacement personnalisé pour le contenu de DVD Studio Pro. Important : il se peut que vous constatiez la présence de l’option de mise à jour sur des ordinateurs où aucune version de DVD Studio Pro n’a jamais été installée. C’est parce que le programme d’installation a pu détecter sur votre ordinateur au moins un fichier commun aux fichiers à installer, ce qui est normal. 10 Une zone de dialogue vous invite alors à vous identifier en saisissant un nom et un mot de passe. Cliquez sur OK lorsque vous avez terminé. Le programme d’installation indique son état sur une barre de progression. Une fois le disque installé, vous pouvez commencer à utiliser les applications de DVD Studio Pro et Compressor. F42938INS Page 9 Thursday, April 14, 2005 1:41 PM10 Enregistrement de DVD Studio Pro Lorsque vous ouvrez l’une des applications de DVD Studio Pro pour la première fois, l’application vous invite à renseigner les informations d’enregistrement. Par défaut, les informations de la fiche personnelle de votre Carnet d’adresses sont automatiquement insérées dans les champs correspondants. Pour enregistrer DVD Studio Pro pour un utilisateur autre que celui indiqué dans la fiche personnelle de votre Carnet d’adresses : 1 Remplissez les champs Nom, Adresse, Entreprise et Adresse électronique. 2 Si vous souhaitez recevoir des informations sur les nouveautés Apple et les mises à jour de logiciels sur votre messagerie électronique, sélectionnez la case appropriée. 3 Pour afficher la politique de confidentialité d’Apple, cliquez sur Confidentialité. 4 Une fois terminé, cliquez sur S’enregistrer. DVD Studio Pro est désormais enregistré. À propos de l’installation du logiciel et de l’enregistrement des fichiers Mac OS X offre un environnement multi utilisateurs. Cela signifie que plusieurs utilisateurs peuvent utiliser le même ordinateur mais que chacun dispose de son propre répertoire d’accueil où il peut enregistrer ses fichiers sans que les autres utilisateurs puissent y accéder. Si des utilisateurs travaillent sur certains projets communs, ils doivent enregistrer ou placer leurs fichiers dans un emplacement accessible par les autres utilisateurs. Lors de l’installation ou de l’enregistrement de fichiers, y compris les fichiers de projet et les configurations personnalisées, pensez aux personnes qui doivent avoir accès à ces éléments. Servez-vous des informations suivantes pour vous aider à choisir l’emplacement des fichiers :  Dossier Partagé du répertoire Utilisateurs : tous les utilisateurs pouvant accéder à ce dossier, il constitue un bon emplacement pour enregistrer et stocker les fichiers que vous souhaitez partager : /[Disque de démarrage]/Utilisateurs/Partagé  Dossier Public du répertoire de départ d’un utilisateur : l’utilisateur doit activer le partage de fichier dans la fenêtre Partage des Préférences Système pour permettre aux autres utilisateurs d’accéder au dossier : /[Disque de démarrage]/Utilisateurs/[Nom d’utilisateur]/Public (par ex. /[Départ]/Public)  Racines de volume : en règle générale, tous les utilisateurs ont accès aux niveaux racine de volume, celles-ci constituant tous les volumes ou disques durs connectés. Si tous les utilisateurs doivent pouvoir accéder à certains fichiers, assurez-vous de les placer dans un dossier accessible, au niveau de la racine du volume. F42938INS Page 10 Thursday, April 14, 2005 1:41 PM11 Remarque : si vous décidez de cliquer sur le bouton S’enregistrer plus tard, vous êtes alors invité à vous enregistrer à nouveau après cinq ouvertures de n’importe quelle application de DVD Studio Pro. Comment entrer en contact avec l’assistance AppleCare Dans votre coffret DVD Studio Pro vous trouverez de la documentation sur les options d’assistance disponibles auprès d’Apple. Divers niveaux d’assistance sont disponibles. Quel que soit votre problème, il est conseillé d’avoir les informations suivantes à portée de main lorsque vous contactez Apple pour obtenir de l’assistance. Plus vous pourrez fournir de renseignements aux techniciens d’assistance, plus rapide sera la gestion de votre problème.  L’identifiant d’assistance de DVD Studio Pro se trouvant à l’avant de ce document. Remarque : l’identifiant d’assistance à 11 chiffres est différent du numéro de série utilisé pour l’installation de DVD Studio Pro.  Version de Mac OS X installée. Pour connaître la version de Mac OS X, choisissez le menu Pomme > À propos de ce Mac.  La version de l’application installée à propos de laquelle vous avez une question. Vous pouvez voir le numéro de version de l’application en choisissant le menu Pomme > À propos de “Nom de l’application” (“Nom de l’application” représentant le nom de l’application).  Modèle d’ordinateur utilisé.  La quantité de RAM installée sur votre ordinateur. Pour la déterminer, choisissez le menu Pomme > À propos de ce Mac.  Tout matériel tiers connecté ou installé sur l’ordinateur, ainsi que le nom de son fabricant un disque dur, une carte vidéo, etc. L’assistance AppleCare est accessible en ligne à l’adresse suivante : http://www.apple.com/fr/support. Vous pouvez alors sélectionner l’application pour laquelle vous recherchez des informations. Vous pouvez également accéder directement au site Web AppleCare depuis le menu Aide de chacune des applications. Pour accéder au site Web AppleCare depuis une application : m Choisissez Aide > Assistance “Nom de l’application” (“Nom de l’application” représentant le nom de l’application). F42938INS Page 11 Thursday, April 14, 2005 1:41 PM© 2005 Apple Computer, Inc. Tous droits réservés. Apple, le logo Apple, DVD Studio Pro, Mac, Mac OS, Panther et QuickTime sont des marques d’Apple Computer, Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Finder, iDVD et Tiger sont des marques d’Apple Computer, Inc. AppleCare est une marque de service d’Apple Computer, Inc. déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. F42938INS Page 12 Thursday, April 14, 2005 1:41 PM Motion 3 Documentation supplémentaireK Apple Inc. Copyright © 2007 Apple Inc. Tous droits réservés. Vos droits sur le logiciel sont régis par le contrat de licence du logiciel annexé. Tout propriétaire ou utilisateur habilité d’une copie légale du logiciel Final Cut Studio est autorisé à reproduire cette publication, dans le but d’apprendre à l’utiliser. Toutefois, il est interdit de reproduire ou de transmettre à des fins commerciales tout ou partie de cette publication, ainsi que d’en vendre des exemplaires ou de la mettre à disposition dans le cadre de services d’assistance payants. Le logo Apple est une marque d’Apple Inc. déposée aux Etats-Unis et dans d’autres pays. L’utilisation du logo Apple « clavier » (Maj + Option + K) à des fins commerciales sans l’autorisation écrite préalable d’Apple peut constituer une contrefaçon de marque et une concurrence déloyale en violation des lois fédérales et nationales. Tous les efforts ont été mis en œuvre pour garantir l’exactitude des informations contenues dans le présent manuel. Apple Computer, Inc. ne saurait être tenu pour responsable des coquilles, ni des erreurs d’écriture. Remarque : Apple mettant fréquemment à disposition de nouvelles versions et des mises à jour de son logiciel système, de ses applications et de ses sites Internet, les illustrations présentes dans ce manuel peuvent présenter de légères différences avec ce qui apparaît sur votre écran. Apple Inc. 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014–2084 408-996-1010 www.apple.com Apple, le logo Apple, Final Cut, Final Cut Pro, Final Cut Studio, Mac et Mac OS sont des marques d’Apple Inc. déposées aux Etats-Unis et dans d’autres pays. Finder est une marque d’Apple Inc. Les autres noms de sociétés et de produits mentionnés dans le présent manuel sont des marques de leurs socié- tés respectives. La mention de produits tiers n’est proposée que dans un souci d’information et ne constitue en rien un cautionnement ou une recommandation. Apple n’assume aucune responsabilité en ce qui concerne les performances ou l’utilisation de ces produits. 3 1 Table des matières Chapitre 1 5 Compositing 3D 5 Coordonnées dans le monde réel 7 Outils de transformation 3D 17 Espace de travail et présentations 3D 26 Caméras 35 Interaction des groupes 2D et 3D 41 Éclairage Chapitre 2 49 Suivi de l’animation 49 À propos du suivi de l’animation 51 Fonctionnement d’un suiveur 52 Comportements Suivi de l’animation 54 Comportement Suivre les points d’une forme 55 Comportement Suivre le paramètre 55 Flux de travaux du suivi d’animation 82 Ajustement des suiveurs à l’écran 85 Stratégies pour un suivi amélioré 103 Paramètres des comportements de suivi d’animation1 5 1 Compositing 3D Créez des images 3D animées sophistiquées, intenses et plus réalistes dans un environnement de compositing multiplan. Déplacez des objets dans un espace en trois dimensions et ajoutez des caméras pour modifier l’endroit depuis lequel vous observez votre scène. Le compositing 3D introduit un certain nombre de nouveaux concepts dans l’art de l’animation. À première vue, ceux-ci peuvent paraître compliqués. Mais vous bénéficiez déjà d’un avantage : le monde réel dans lequel vous évoluez est un univers en trois dimensions, si bien qu’intuitivement, l’univers virtuel en 3D du Canevas de Motion vous semblera probablement familier. Coordonnées dans le monde réel Il est possible de décrire la position de n’importe quel objet du monde réel à l’aide d’un système simple de coordonnées . Par exemple, pour décrire la position de votre ordinateur, vous pourriez dire qu’il se trouve à 1,20 mètre de la porte, à 90 centimètres au-dessus du sol et à 1,50 mètre devant la fenêtre. Dans un système de coordonnées, chacune des trois valeurs utilisées pour décrire la position d’un objet correspond à un axe de coordonnées. Le point où les valeurs zéro de chaque axe se rencontrent s’appelle l’origine. Dans cet exemple, la valeur de X est égale à 1,2, celle de Y à 0,9 et celle de Z à 1,5.6 Chapitre 1 Compositing 3D Coordonnées et position des objet dans l’espace L’emplacement d’un objet dans Motion peut lui aussi être décrit de cette façon. Dans le système de coordonnées utilisé par Motion, les coordonnées du centre du Canevas sont 0, 0, 0. Le déplacement d’un objet vers la gauche entraîne une diminution de la valeur X, alors que le déplacement vers la droite correspond à une augmentation de cette valeur X. De la même façon, le déplacement d’un objet vers le haut a pour effet d’augmenter la valeur Y, alors que son déplacement vers le bas la diminue. Enfin, rapprocher un objet augmente la valeur Z, alors que l’éloigner la diminue. La principale différence entre une scène 2D et une scène 3D est que dans une scène 3D, vous avez la possibilité de changer de point de vue, de sorte que le déplacement d’un objet vers le haut ne se traduit pas toujours par une augmentation de sa valeur Y. Remarque : dans un nouveau projet, le Canevas est orienté de telle sorte que l’axe Z soit pointé directement vers vous. Cette orientation préserve l’orientation traditionnelle en deux dimensions des axes X et Y, qui s’étendent de gauche à droite (X) et de haut en bas (Y) sur le Canevas par défaut. Conventions 3D Quelques conventions sont couramment utilisées pour évoquer et afficher les environnements en trois dimensions.  Le mouvement d’un objet s’effectue le long d’un axe.  La rotation d’un objet s’effectue autour d’un axe.  Un code couleur est utilisé pour chaque axe : X en rouge, Y en vert et Z en bleu.  La rotation positive s’effectue autour d’un axe dans le sens contraire des aiguilles d’une montre.Chapitre 1 Compositing 3D 7 Outils de transformation 3D Il n’y a pas de différence inhérente entre les fichiers de projet 2D et 3D dans Motion. Vous pouvez à tout moment décider de commencer à travailler avec des groupes ou des couches en 3D, sans planification préalable. De fait, il est même possible de passer de la manipulation d’objets dans un espace 2D à la manipulation d’objets dans un espace 3D, et inversement. Cette section présente les outils que vous pouvez utiliser pour déplacer les objets sur le Canevas. L’image de la capture d’écran ci-dessus vient d’être importée dans la scène et est positionnée à l’origine de cette dernière. Pour déplacer l’image, utilisez l’outil de transformation 3D qui se trouve à droite de l’outil Sélectionner/Transformer dans la barre d’outils. Pou utiliser l’outil de transformation 3D : m Sélectionnez l’outil de transformation 3D dans la barre d’outils (appuyez sur Q). Deux choses se passent immédiatement lorsque vous sélectionnez l’outil de transformation 3D. Les contrôles à l’écran changent et la palette de l’objet change. Outil de transformation 3D8 Chapitre 1 Compositing 3D Contrôles à l’écran Lorsque vous sélectionnez l’outil de transformation 3D, trois flèches de couleur apparaissent dans le Canevas près du centre de l’image. Chaque flèche correspond à l’un des trois axes de coordonnées. Dans l’affichage par défaut, l’axe Z pointe directement vers vous, ce qui fait que seule la pointe de la flèche Z bleue est visible. Faites glisser l’une des flèches à l’écran pour déplacer l’image le long d’un axe particulier. Pour déplacer un objet à l’aide des contrôles à l’écran : 1 Sélectionnez l’objet à déplacer. 2 Faites glisser l’une des flèches de couleur représentant l’axe de déplacement souhaité. Pendant le glissement, la flèche active devient jaune et une fenêtre d’information affiche les coordonnées actuelles de l’objet ainsi que la distance de son déplacement. Comme toujours, les coordonnées sont données sous la forme X, Y et Z. Trois petits cercles apparaissent près des trois flèches de couleur. Il s’agit des poignées de rotation. Le fait de placer le pointeur sur l’un de ces cercles appelle un cercle de rotation pour un axe particulier. Pour faire pivoter un objet autour d’un seul axe à l’aide des contrôles à l’écran : 1 Sélectionnez l’objet que vous souhaitez faire pivoter. 2 Placez le pointeur sur la poignée de rotation (petit cercle) correspondant à l’axe de rotation souhaité. Le cercle de rotation apparaît. 3 Faites glisser le cercle pour appliquer une rotation à l’objet. Outil de transformation 3D actif Déplacement d’un objet le long de l’axe XChapitre 1 Compositing 3D 9 Une fenêtre d’informations affiche les valeurs de rotation actuelles ainsi que la distance sur laquelle l’objet a pivoté. Pour faire pivoter librement un objet autour de tous les axes à l’aide des contrôles à l’écran : 1 Sélectionnez l’objet que vous souhaitez faire pivoter. 2 Appuyez sur la touche Commande. Les trois cercles de rotation apparaissent. 3 Cliquez n’importe où à l’intérieur des cercles de rotation et faites glisser pour faire pivoter l’objet comme bon vous semble. Une fenêtre d’informations affiche les valeurs de rotation actuelles ainsi que la distance sur laquelle l’objet a pivoté. Important : la rotation effectuée avec l’outil 2D Sélectionner/Transformer ne concerne que l’axe Z. Poignée de rotation de l’axe X active Rotation de l’objet autour de l’axe X Rotation avec l’outil 3D autour de l’axe Z Rotation avec l’outil 2D Sélectionner/Transformer10 Chapitre 1 Compositing 3D Remarque : lorsque l’outil de transformation 3D est actif, un troisième ensemble de contrôles est disponible à l’écran : lespoignées d’échelle, qui apparaissent sur les bords du cadre de sélection entourant l’image sélectionnée. Contrôles de la palette de transformation 3D Outre les contrôles à l’écran, la palette fournit une autre méthode de transformation des objets dans un espace 3D. Déplacer Trois contrôles de la section Déplacer de la palette permettent de faire glisser l’objet sélectionné sur un axe ou sur plusieurs axes à la fois. Faites glisser à l’intérieur de l’un des contrôles Déplacer pour modifier les valeurs des paramètres d’objet concernés dans le Canevas : Affichage des contrôles à l’écran de l’outil de transformation 3D Il est possible d’activer ou de désactiver un sous-ensemble de contrôles de transformation 3D.  Appuyez sur la touche virgule (,) pour afficher les flèches des axes (mais pas les poignées de rotation, ni les poignées d’échelle).  Appuyez sur la touche point (.) pour afficher les poignées de rotation (mais pas les flèches des axes, ni les poignées d’échelle).  Appuyez sur la touche de barre oblique (\) pour afficher les poignées d’échelle (mais pas les flèches des axes, ni les poignées de rotation). Lorsque vous appuyez une seconde fois sur l’une des touches ci-dessus, l’affichage revient à la présentation par défaut, c’est-à-dire à celle dans laquelle les trois contrô- les à l’écran sont visibles. Choisissez un type d’axe. Faites glisser pour déplacer l’objet le long de l’axe Z. Faites glisser pour déplacer l’objet le long de l’axe X et de l’axe Y. Faites glisser pour déplacer l’objet le long de l’axe X et de l’axe Z.Chapitre 1 Compositing 3D 11  Déplacement Z : faites glisser ici pour déplacer l’objet sélectionné dans le Canevas le long de l’axe Z. Le glissement vers la droite augmente la valeur Z alors que le glissement vers la gauche la diminue. Maintenez la touche Commande enfoncée pendant le glissement afin d’augmenter ou de réduire simultanément l’échelle de l’objet lors de sa translation (c’est-à-dire, lors de son déplacement) pour conserver sa taille par rapport à la caméra.  Déplacement XY : faites glisser ici pour déplacer l’objet sélectionné dans le Canevas le long des axes X et Y. Le déplacement vers la droite ou vers la gauche augmente ou diminue la valeur X. Le déplacement vers le haut ou vers le bas augmente ou diminue la valeur Y. Ce contrôle produit le même résultat que lorsque vous déplacez un objet 2D directement dans le Canevas. Maintenez la touche Commande enfoncée pendant le glissement pour limiter le mouvement à l’axe qui correspond au sens initial du glissement.  Déplacement XZ : faites glisser ici pour déplacer l’objet sélectionné dans le Canevas le long des axes X et Z. Le glissement vers la droite ou vers la gauche augmente ou diminue la valeur X. Le glissement vers le haut ou vers le bas augmente ou diminue la valeur Z. Maintenez la touche Commande enfoncée pendant le glissement pour limiter le mouvement à l’axe qui correspond au sens initial du glissement. ∏ Astuce : tout comme dans l’Inspecteur, le fait de maintenir la touche Maj enfoncée pendant le glissement dans la palette donne lieu à des modifications plus importantes. À l’inverse, le fait de maintenir la touche Option enfoncée pendant le glissement entraîne des modifications de moindre importance. Rotation et Échelle La palette est munie de deux contrôles de glissement supplémentaires qui permettent de faire pivoter l’objet sélectionné et de le mettre à l’échelle dans le Canevas :  Rotation XYZ : faites glisser ici pour faire pivoter l’objet sélectionné dans le Canevas autour des trois axes. En partant de l’origine, le glissement vers le haut et vers le bas fait pivoter l’objet autour de l’axe X. Le glissement vers la gauche et vers la droite fait pivoter l’objet autour de l’axe Y. Maintenez la touche Commande enfoncée pendant le glissement pour limiter la rotation à l’axe Z.  Échelle : faites glisser ici pour mettre l’objet sélectionné dans le Canevas à l’échelle en respectant ses proportions. Le glissement vers la droite ou vers le haut, ou dans les deux directions à la fois, augmente la valeur d’échelle. Le glissement vers la gauche ou vers le bas, ou dans les deux directions à la fois, entraîne une diminution de la valeur d’échelle. Maintenez la touche Commande enfoncée pendant le glissement pour limiter la mise à l’échelle à l’axe qui correspond au sens initial du glissement.12 Chapitre 1 Compositing 3D Ajuster sur Le menu local Ajuster sur, situé sous les contrôles Déplacer, Rotation et Échelle de la palette, permet de sélectionner l’espace de coordonnées relatives utilisé pour les transformations. Il comporte trois options :  Axe local : il s’agit de l’option par défaut. Elle oriente les contrôles de transformation à l’écran en fonction des axes locaux de l’objet.  Axe mondial : cette option oriente les contrôles de transformation à l’écran en fonction des axes de la grille 3D du Canevas.  Axe de vue : cette option oriente les contrôles de transformation à l’écran en fonction de l’espace visuel de l’affichage actuel. L’axe Z est aligné sur la ligne de vision. Pour plus d’informations sur les présentations, reportez-vous à la section « Présentations » à la page 17. Coordonnées relatives Pour mieux comprendre le concept des coordonnées relatives, pensez à un système de satellites, tel que celui formé par la terre, la lune et le soleil. Le parent de la lune est la terre et le parent de la terre est le soleil. Généralement, lorsqu’on considère ces trois corps célestes, on définit la position de la lune par rapport à la terre (parent de la lune) et celle de la terre par rapport au soleil (parent de la terre). De même, dans Motion, la position et l’orientation d’un objet sont toujours déterminées par rapport au parent de ce dernier. Lorsque vous ajoutez un nouveau groupe à un projet Motion, ce groupe est créé aux coordonnées d’origine de son parent. Dans le cas d’un groupe de niveau racine (c’est-à-dire, un groupe qui n’est imbriqué dans aucun des autres groupes de la liste de couches), le parent est le projet lui-même. La position d’un objet placé à l’intérieur d’un groupe est décrite par rapport à son parent, c’est-à-dire le groupe. Groupe à X=50, Y=50, Z=50 Inspecteur des groupesChapitre 1 Compositing 3D 13 Dans l’exemple précédent, un groupe a été positionné aux coordonnées X, Y et Z de valeur 50, 50 et 50. Le groupe est situé à 50 unités de l’origine de son parent sur tous les axes (le parent étant le projet lui-même dans ce cas de figure). L’image à l’intérieur du groupe est positionnée aux coordonnées 0, 0, 0. Sa position étant relative à son parent (le groupe), l’image partage l’origine de son parent et a une position apparente de 50, 50, 50 dans le monde. Le fait de déplacer l’image vers la position 25, 25, 25 implique une translation de 25 unités par rapport à l’origine du groupe sur tous les axes. Bien que la position apparente de l’image par rapport au monde soit 75, 75, 75, ses valeurs de position dans l’Inspecteur sont 25, 25, 25, car sa position est toujours relative à son parent. Les valeurs de rotation sont également définies par rapport au parent d’un objet. Important : les transformations mondiales et de vue sont limitées à la palette et aux contrôles à l’écran ; toutes les transformations effectuées dans l’Inspecteur se font par rapport à l’espace du parent d’un objet. Image à l’intérieur d’un groupe à 25, 25, 25 Inspecteur d’images Groupe avec rotation Z définie à 45 degrés Image avec rotation Z définie à 90 degrés à l’intérieur d’un groupe dont la rotation Z est définie à 45 degrés14 Chapitre 1 Compositing 3D Ordre de couche et ordre de profondeur Pour le compositing en 2D, la Liste de couches montre l’ordre des couches, laquelle détermine les objets qui apparaissent au dessus d’autres objets. Les objets situés vers le haut de la liste apparaissent au dessus des objets qui se trouvent plus bas qu’eux dans la liste de couches. Important : le compositing des enfants des groupes 2D s’effectue toujours dans l’ordre de couche. Si vous déplacez le Groupe A au-dessous du Groupe B dans la Liste de couches, le Groupe B sera rendu au dessus du Groupe A. Groupe A en haut de la Liste de couches Résultat du compositing 2D dans le Canevas Groupe B en haut de la Liste de couches Résultat dans le CanevasChapitre 1 Compositing 3D 15 La Liste de couches montre également les relations parent-enfant des objets. à l’aide de retraits et de triangles d’affichage. La Liste de couches n’est pas le seul indicateur d’ordre utilisé pour les objets en 3D. En cas de tri par profondeur, un objet peut se trouver en bas de la liste de couches et néanmoins donner l’impression de se trouver au-dessus de tout le reste dans le Canevas parce que sa position est définie par rapport à la caméra actuelle. La méthode la plus courante d’ajustement de l’ordre de profondeur consiste à modifier la position Z d’une couche ou d’un groupe. Important : par défaut, le compositing des enfants des groupes 3D se fait dans l’ordre de profondeur. Dans le cas des groupes 3D ci-dessus, les objets sont composés dans l’ordre de profondeur ; leur position dans la liste de couches n’est pas en corrélation avec leur position dans l’espace 3D relatif à la caméra. Dans l’exemple ci-dessus, le groupe A bleu se trouve au-dessus du groupe A rouge dans la liste de couches, mais il apparaît derrière le groupe A rouge dans le Canevas parce qu’il est trié par ordre de profondeur. Le même principe s’applique aux groupes bleu B et rouge B. Enfant de Groupe éléphant Enfant de Groupe Parent de tous les objets situés au dessous Parent d’Éléphant Liste de couches Objets triés en fonction de l’ordre de profondeur dans le Canevas16 Chapitre 1 Compositing 3D Transformations 3D dans des groupes 2D Il est possible d’appliquer des transformations 3D à tous les objets, même lorsqu’ils se trouvent dans des groupes 2D. Vous pouvez tous les faire pivoter autour de n’importe quel axe et les déplacer le long de l’axe souhaité. N’oubliez pas que les objets qui se trouvent à l’intérieur des groupes 2D ne sont pas triés par profondeur et qu’ils ne peuvent pas se couper, quelle que soit leur position dans l’espace 3D. Ces deux groupes sont positionnés au même point dans l’espace 3D, mais du fait qu’ils sont triés par couche, le groupe A ne peut pas couper le groupe B. Si vous convertissez le groupe parent en 3D, les deux groupes auront une intersection. Remarque : si deux groupes sont coplanaires (occupent le même plan), leur compositing s’effectue dans l’ordre de couche, indépendamment du fait que le parent de l’objet soit un groupe 2D ou 3D. Dans un composite 2D, tous les objets sont coplanaires. Groupe parent 2D dans la Liste de couches Groupes triés en fonction de l’ordre de couche dans le Canevas Groupe parent 3D dans la Liste de couches Groupes triés en fonction de l’ordre de profondeur dans le CanevasChapitre 1 Compositing 3D 17 Espace de travail et présentations 3D Dans un espace de travail 3D, tout est observé du point de vue d’une caméra. Les présentations par défaut affichées dans l’espace de travail 3D sont des caméras de référence qui peuvent être utilisées et manipulées pour faciliter le placement et l’animation des objets, mais qui ne servent pas à rendre la sortie. Si vous souhaitez obtenir un rendu à partir d’une vue de caméra particulière, vous devez créer une caméra de scène. Pour plus d’informations sur les caméras, reportez-vous à la section « Caméras » à la page 26. Présentations Il existe plusieurs présentations d’affichage, chacune consistant en un agencement de fenêtres d’affichage(. Toutefois, toutes les présentations fonctionnent exactement de la même façon et toutes les présentations sont manipulées de manière absolument identique, quel que soit leur nombre. Chaque fenêtre d’affichage affiche la scène du point de vue d’une caméra. Les présentations des caméras de référence ont une position et une orientation par défaut particulières. Il existe deux types de caméras de référence par défaut :  les caméras orthogonales ;  les caméras de perspective. La caméra orthogonale permet de voir la scène en regardant directement le long de l’un des axes mondiaux : X, Y ou Z. Les « caméras » orthogonales par défaut n’apparaissent pas dans la Liste de couches, la Timeline ou le Canevas. Les caméras avant (frontale) et arrière regardent directement le long de l’axe Z. Les caméras du haut et du bas regardent directement le long de l’axe Y. Les caméras gauche et droite regardent directement le long de l’axe X. Aucune rotation18 Chapitre 1 Compositing 3D Les caméras orthogonales ne montrent aucune perspective. Les caméras de perspective (et les caméras de scène que vous ajoutez à un projet) déforment l’affichage de la même façon qu’une caméra réelle. Pour avoir accès aux vues des caméras de référence et aux commandes de caméra, vous devez tout d’abord ajouter une caméra à la scène. Pour ajouter une caméra de scène à un projet Motion : m Choisissez Objet > Nouvelle caméra (ou appuyez sur Commande + Option + C). Un objet caméra est ajouté dans la Liste de couches, la Timeline et le Canevas (dans ce dernier, la caméra apparaît sous la forme d’une icône fil de fer). L’outil de transformation 3D situé dans la barre d’outils devient actif, la palette de la caméra apparaît (si ce n’est pas le cas, appuyez sur F7) et l’onglet Caméra de l’Inspecteur devient disponible. Si vous ajoutez une caméra à un projet ne contenant aucun groupe 3D, la zone de dialogue suivante apparaît : Rotation dans une vue de caméra orthogonale Rotation dans une vue de caméra de perspectiveChapitre 1 Compositing 3D 19 Dès lors que vous ajoutez une caméra à un projet, le menu Caméra devient disponible dans le coin supérieur gauche du Canevas. Incrustations 3D Cinq types d’incrustations 3D peuvent apparaître dans le Canevas: les Outils de présentation 3D, la Boussole 3D, la Présentation cadre, la Grille 3D et les Icônes scène 3D. Vous pouvez passer d’une apparence à l’autre pour chaque incrustation dans le Canevas. Menu Caméra Boussole 3D Présentation cadre Outils Présentation 3D Menu Caméra Grille 3D affichée dans le Canevas20 Chapitre 1 Compositing 3D Pour changer l’apparence des incrustations 3D, effectuez l’une des opérations suivantes : m Choisissez Affichage > Incrustations 3D, puis choisissez le type d’incrustation 3D à afficher ou à masquer. m Dans le menu local Affichage de la barre d’outils, choisissez le type d’incrustation 3D à afficher ou à masquer. Outils de présentation 3D Menu Caméra Le menu Caméra, situé dans le coin supérieur gauche du Canevas, contient la liste des pré- sentations de caméra actives. Effectuez un choix dans une liste de caméras de référence et de caméras de scène et sélectionnez plusieurs commandes relatives aux présentations. Le menu Caméra se compose de trois sections :  La section supérieure permet de sélectionner la caméra active ainsi que toute autre caméra de scène que vous avez pu ajouter au projet. Si une scène contient plusieurs caméras, la caméra figurant le plus haut dans la Liste de couches et dans la Timeline sur l’image actuelle est la caméra active. Pour plus d’informations sur les caméras de scène, reportez-vous à la section « Caméras » à la page 26.  La partie du milieu permet de sélectionner une des caméras de référence par défaut : Perspective, Avant, Arrière, Gauche, Droite, En haut, En bas.  La partie du bas met deux commandes à votre disposition : Réinitialiser la présentation, qui réinitialise une caméra à sa présentation par défaut, et Encadrer les objets, qui encadre les objets sélectionnés dans la présentation active. Si aucun objet n’est sélectionné, Encadrer les objets réinitialise la caméra de référence pour afficher tous les objets de la scène. Menu CaméraChapitre 1 Compositing 3D 21 Outils de présentation 3D Les outils de présentation 3D peuvent servir à contrôler les caméras de référence et de scène. L’indicateur de caméra de scène apparaît à gauche des Outils de présentation 3D uniquement lorsqu’une caméra de scène est la caméra active. Il existe trois outils de pré- sentation 3D :  Balance : faites glisser cette zone pour déplacer la caméra le long des axes X et Y par rapport à la présentation actuelle.  Orbite : faites glisser cette zone pour que la caméra décrive une orbite autour de l’objet actuellement sélectionné dans la scène. Si aucun objet n’est sélectionné, la caméra tourne autour de son plan focal. Pour en savoir plus sur le plan focal d’une caméra, reportez-vous à la section « Commandes de caméra » à la page 27. L’orbite peut modifier les valeurs de position X, Y et Z, ainsi que les valeurs de rotation X et Y. Remarque : si vous utilisez l’outil Orbite pour modifier l’une des caméras orthogonales de référence, un astérisque apparaît en regard du nom de la présentation dans le menu Caméra. Il indique que la présentation n’est plus une véritable présentation orthogonale.  Travelling : faites glisser cette zone pour que la caméra effectue un travelling, c’est-à- dire, pour qu’elle se déplace le long de l’axe Z par rapport à la présentation actuelle. Outil Travelling Indicateur de caméra de scène Outil de panoramique Outil Orbite22 Chapitre 1 Compositing 3D Important : le fait de double-cliquer sur un outil de présentation 3D réinitialise tous les paramètres pouvant être modifiés par l’outil. Boussole 3D La Boussole 3D, qui apparaît dans le coin inférieur gauche du Canevas, sert de dispositif d’orientation et de raccourci. Elle peut être à l’état actif ou passif, selon que le pointeur se trouve dessus ou non. À l’état passif, elle indique l’orientation des trois axes mondiaux (X, Y et Z). À l’état actif, elle présente des raccourcis à code de couleurs pour les caméras (orthogonale et de perspective) de référence. Pour sélectionner une présentation de caméra de référence à l’aide de la Boussole 3D : 1 Placez le pointeur sur la boussole. La boussole passe à l’état actif, ce qui fait apparaître une icône avec libellé pour chaque présentation de caméra de référence. 2 Cliquez sur l’icône qui correspond à la caméra que vous souhaitez activer. La présentation qui est affichée dans le Canevas est mise à jour avec la présentation de la caméra de référence sélectionnée. Raccourcis des outils de présentation 3D Il est possible de se servir des outils Balance, Orbite et Travelling par l’intermédiaire des commandes du clavier et d’une souris à trois boutons :  Balance : faites glisser l’outil dans le Canevas tout en maintenant la touche Option et le bouton droit de la souris enfoncés.  Orbite: faites glisser l’outil dans le Canevas tout en maintenant la touche Commande et le bouton droit de la souris enfoncés.  Travelling : faites glisser l’outil dans le Canevas tout en maintenant la touche Commande, la touche Option et le bouton droit de la souris enfoncés. Boussole 3D à l’état passif Boussole 3D à l’état actifChapitre 1 Compositing 3D 23 Pour sélectionner une présentation de caméra de scène à l’aide de la Boussole 3D : 1 Placez le pointeur sur la Boussole 3D. La boussole passe à l’état actif. 2 Cliquez sur la Boussole 3D tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez une caméra de scène dans le menu contextuel. La présentation qui est affichée dans le Canevas change et laisse la place à la présentation de la caméra de scène sélectionnée. Remarque : vous pouvez aussi choisir une présentation de caméra de référence dans le menu contextuel Boussole 3D. Présentation cadre Lorsque vous déplacez un objet, une Présentation cadre apparaît dans le coin inférieur droit du Canevas. Elle montre la scène telle qu’elle peut être observée par une autre caméra. Si vous voyez actuellement la scène par l’intermédiaire de la caméra active, la Présentation cadre affiche le point de vue de la caméra de perspective. Si vous voyez la scène à l’aide de l’une des autres caméras, la Présentation cadre affiche la caméra active. Utilisez la Présentation cadre pour voir les résultats des modifications que vous effectuez dans les présentations orthogonales. Utilisez les préférences de Motion pour spécifier la taille de la Présentation cadre et le moment de son apparition dans le Canevas. Pour en savoir plus sur les propriétés de la présentation cadre, reportez-vous au chapitre 1, intitulé « Présentation de Motion », du Manuel de l’utilisateur de Motion 3. Présentation cadre24 Chapitre 1 Compositing 3D Grille 3D La Grille 3D montre le plan au sol du monde 3D. Le plan au sol est, comme son nom l’indique, un plan qui correspond au « sol » de la scène, dans lequel Y est égal à 0. Le plan au sol représente la ligne de division entre le « haut » et le « bas », entre les valeurs Y positives et les valeurs Y négatives. Son centre est le point de coordonnées 0, 0, 0. Icônes de scène 3D Les icônes de scène 3D sont les représentations à l’écran des caméras, des lumières et des lignes de bordure. Une ligne de bordure est dessinée lorsque le bord d’un objet fait face à la caméra, ce qui, en général, rend l’objet invisible. La ligne de bordure vous permet de sélectionner des objets qui, sans elle, ne seraient pas visibles. Aucune des icônes de scène 3D n’apparaît dans les images et les plans exportés. ∏ Astuce : double-cliquez sur une icône de caméra de scène pour la sélectionner et remplacer la présentation actuelle par celle de cette caméra. Grille 3D activée Caméra Indicateur de ligne de bordure Angle de vue de la caméra LumièreChapitre 1 Compositing 3D 25 Présentations d’affichage Motion permet de disposer de plusieurs présentations actives en même temps dans le Canevas pour faciliter l’animation et le positionnement des objets dans l’espace 3D. Le menu local View Layouts, situé dans la barre d’état, juste au-dessus des outils de présentation 3D, permet de choisir entre sept présentations d’affichage différentes. Chaque pré- sentation d’affichage est représentée par une icône dans le menu local :  Une seule fenêtre : sélection par défaut. Affiche une seule fenêtre dans le Canevas.  Deux fenêtres juxtaposées : affiche deux fenêtres dans le Canevas, l’une à côté de l’autre.  Deux fenêtres superposées : affiche deux fenêtres dans le Canevas, l’une au-dessus de l’autre.  Trois fenêtres, dont une grande en bas : affiche trois fenêtres, dont deux côte à côte en haut et une plus grande en bas.  Trois fenêtres, dont une grande à droite : affiche trois fenêtres, dont deux l’une sur l’autre du côté gauche et une plus grande occupant tout le côté droit.  Quatre fenêtres, dont une grande à droite : affiche quatre fenêtres, dont trois l’une sur l’autre du côté gauche et une plus grande occupant tout le côté droit.  Quatre fenêtres : affiche quatre fenêtres de même taille. Pour ouvrir plusieurs fenêtres dans le Canevas : m Choisissez une présentation dans le menu local View Layouts. Le Canevas affiche le layout (c’est-à-dire, la présentation) de votre choix. Menu local View Layouts 26 Chapitre 1 Compositing 3D Présentation active Lorsque vous travaillez avec plusieurs présentations, la présentation active est la dernière sur laquelle vous avez cliqué. La présentation active est indiquée par une bordure jaune. Seule la présentation active peut contenir des contrôles à l’écran. Caméras En mode 3D, tout ce que vous voyez dans le Canevas représente le point de vue d’une caméra, cette dernière pouvant être une caméra de référence par défaut ou une caméra de scène que vous créez. Vous pouvez créer des caméras pouvant être utilisées pour regarder la scène depuis différents points de vue. Vous pouvez placer, animer et appliquer des comportements aux caméras de la scène. Le fait de créer plusieurs caméras vous donne ensuite la possibilité d’activer des caméras différentes à des moments différents et donc de faire des coupes et passer à d’autres présentations au cours du projet. La présentation située dans le quart supérieur gauche est active.Chapitre 1 Compositing 3D 27 Création d’une caméra de scène Les caméras de scène que vous créez sont utilisées pour le rendu de la sortie. Les caméras de scène apparaissent dans le Canevas sous la forme d’icônes de caméra fil de fer et d’objets dans la Liste de couches et la Timeline. Pour ajouter une caméra de scène à un projet Motion : m Choisissez Objet > Nouvelle caméra (ou appuyez sur Commande + Option + C). Un objet caméra est ajouté dans la Liste de couches, la Timeline et le Canevas (dans ce dernier, l’objet est représenté par une icône fil de fer). L’outil de transformation 3D situé dans la barre d’outils devient actif, la palette de caméra apparaît (si elle n’est pas visible, appuyez sur la touche F7) et l’onglet Caméra de l’Inspecteur devient disponible. Commandes de caméra Vous pouvez modifier les propriétés d’une caméra de scène par le biais de la palette de caméra ou des onglets Caméra et Propriétés de l’Inspecteur. Paramètres dans l’Inspecteur L’onglet Caméra de l’Inspecteur propose six paramètres : Type de caméra : menu local qui définit le type de caméra utilisé. Deux options sont possibles : Cadrage (valeur par défaut) et Point de vue. L’origine de la caméra de type Cadrage se situe au plan focal. Le plan focal d’une caméra est un plan situé à une distance égale à la distance focale de la caméra le long de son axe Z local (ou ligne de vision) et orienté perpendiculairement à l’axe Z local de la caméra. L’origine de la caméra de type Point de vue se situe à son centre de projection. ∏ Astuce : la position de l’origine d’une caméra de type Cadrage est utile pour les mouvements orbitaux. La rotation de la caméra lui fait décrire une orbite, alors que la rotation d’une caméra de type Point de vue la fait pivoter. Caméra de type Cadrage Plan focal de caméra Angle de vue de la caméra Origine et centre de projection de la caméra de type Point de vue Origine de caméra de type Cadrage Angle de vue de la caméra28 Chapitre 1 Compositing 3D Angle de vue : curseur et curseur de valeur qui définissent l’angle de vue de la caméra, c’est-à-dire le nombre de degrés sur lesquels la caméra a une vue. La valeur d’angle peut être comprise entre 0 et 180 degrés. Remarque : lorsque vous animez le paramètre Angle de vue sur une caméra Cadrage, le résultat est un effet de travelling inverse. Le travelling inverse effectue un zoom avant dans la direction opposée au déplacement de la caméra. Lorsque vous animez le paramè- tre Angle de vue sur une caméra de type Cadrage, vous obtenez un zoom de caméra classique. Plan avant : curseur et curseur de valeur qui définissent la distance à laquelle la caméra commence à voir les objets. Les objets situés à une distance inférieure ne sont pas rendus par le point de vue de cette caméra. Plan arrière : curseur et curseur de valeur qui définissent la distance à laquelle la caméra cesse de voir des objets. Les objets situés à une distance supérieure ne sont pas rendus par le point de vue de cette caméra. Fondu avant : curseur et curseur de valeur qui définissent le facteur d’adoucissement pour le plan avant. Le facteur d’adoucissement définit une étendue limite sur laquelle un fondu entrant est effectué sur les objets proches. Angle de vue = 45˚ Angle de vue = 80˚ Angle de vue = 45˚ Angle de vue = 80˚ Caméra de type Cadrage Caméra de type Point de vueChapitre 1 Compositing 3D 29 Fondu arrière : curseur et curseur de valeur qui définissent le facteur d’adoucissement pour le plan arrière. Le facteur d’adoucissement définit une étendue limite sur laquelle un fondu sortant est effectué sur les objets éloignés. Positionnement des caméras Les caméras partagent les mêmes propriétés de transformation que tout autre objet dans Motion et peuvent être positionnées de la même façon, c’est-à-dire, à l’aide des contrôles à l’écran et par la modification des paramètres dans la palette ou l’Inspecteur. Pour en savoir plus sur les contrôles à l’écran, reportez-vous à la section « Outils de présentation 3D » à la page 21. En outre, les caméras peuvent être positionnées à l’aide de l’outil Orientation caméra. Remarque : pour plus de commodité, il est possible de déplacer une présentation de caméra orthogonale de manière à afficher la scène depuis une position et selon une orientation autres que celles par défaut. Outil Orientation caméra L’outil Orientation caméra permet de positionner la caméra dans l’espace 3D de la même façon que dans un jeu vidéo, en naviguant à l’aide du clavier et de la souris. Mise à l’échelle de caméra Vous pouvez utiliser le paramètre Échelle situé dans l’onglet Propriétés de l’Inspecteur pour mettre à l’échelle ce que voit la caméra. Le fait de changer la valeur d’échelle ne modifie pas le paramètre Angle de vue de la caméra. La modification de l’échelle n’a d’incidence que sur les caméras de type Cadrage. Imaginons que vous rapetissez pour ne plus mesurer que quelques centimètres de haut. Bien que votre environnement n’ait pas changé de taille, il vous paraîtra beaucoup plus grand. De même, si vous grandissez soudain jusqu’à mesurer 15 mètres de haut, le monde vous semblera beaucoup plus petit alors qu’il n’a subi aucune modification. L’augmentation ou la réduction de l’échelle d’une caméra produit le même effet. Outil Orientation caméra30 Chapitre 1 Compositing 3D Pour utiliser l’outil Orientation caméra : 1 Sélectionnez l’outil Orientation caméra dans la barre d’outils. Le pointeur change de forme pour indiquer que l’outil Orientation caméra est actif. 2 Utilisez les touches Flèche vers le haut, Flèche vers le bas, Flèche vers la gauche et Flèche vers la droite pour déplacer la caméra dans l’espace 3D. Pour un déplacement plus lent, faites de même en maintenant la touche Option enfoncée. 3 Faites glisser dans le Canevas pour orienter la caméra. Important : il n’est pas possible d’imbriquer une caméra dans un groupe 2D. Si vous essayez de créer ou d’ajouter une caméra à un groupe 2D, la zone de dialogue suivante apparaît : Les caméras ajoutées dans les groupes 2D sont automatiquement désactivées. Animation des caméras Les caméras peuvent être animées directement dans le Canevas de la même façon que tout autre objet d’un projet. Elles peuvent aussi être animées au moyen de comportements, notamment à l’aide des comportements de caméra spéciaux. Pour en savoir plus sur les comportements de caméra, reportez-vous à la section « Comportements de caméra » à la page 32. Caméra active Si une scène contient plusieurs caméras, celle qui apparaît le plus haut dans la Liste de couches et dans la Timeline correspondant à l’image actuelle est la caméra active. Bien que la caméra active soit la caméra par défaut utilisée pour l’exportation, vous pouvez sélectionner n’importe quelle caméra de scène pour l’exportation. La caméra 2 est la caméra active là où se trouve la tête de lecture.Chapitre 1 Compositing 3D 31 Isoler La commande Isoler (et le bouton Isoler) aligne provisoirement la présentation actuelle sur l’objet sélectionné et masque tous les autres objets de la scène. Cela permet d’accé- der plus facilement aux objets éloignés ou à ceux qui ne se distinguent pas bien. Pour isoler un objet : 1 Sélectionnez l’objet à isoler dans le Canevas, la Liste de couches ou la Timeline. 2 Procédez de l’une des manières suivantes :  Choisissez Objet > Isoler (ou appuyez sur Contrôle + I).  Dans l’onglet Couches ou dans la Timeline, cliquez sur le bouton Isoler. La présentation actuelle change pour s’aligner sur l’objet sélectionné, et tous les autres objets de la scène sont masqués. Lorsqu’un objet est isolé, une caméra temporaire est créée et apparaît dans le menu Caméra. La caméra porte le même nom que l’objet isolé. Pour quitter la présentation isolée, effectuez l’une des opérations suivantes : m Choisissez Objet > Isoler (ou appuyez sur Contrôle + I). m Dans l’onglet Couches ou dans la Timeline, cliquez sur le bouton Isoler. Bouton Isoler Objet dans le Canevas Objet après isolation32 Chapitre 1 Compositing 3D m Choisissez une autre caméra dans le menu Caméra. Comportements de caméra Bien que la plupart des types de comportements puissent être appliqués aux caméras dans Motion, il existe un ensemble supplémentaire de comportements de caméra spéciaux. Pour ajouter un comportement de caméra : 1 Sélectionnez une caméra de scène dans la Liste de couches, la Timeline ou le Canevas. 2 Cliquez sur l’icône Ajouter comportement dans la barre d’outils et maintenez le bouton de la souris enfoncée, choisissez Caméra dans le menu local, puis sélectionnez un élément du sous-menu. Quatre comportements spécifiques aux caméras sont proposés : Travelling, Balayage, Zoom avant/arrière et Couche de zoom. Travelling Déplace la caméra à une distance spécifiée le long de l’axe Z de la caméra. Paramètres dans l’Inspecteur Distance : curseur et curseur de valeur qui définissent la distance du mouvement de travelling. Vitesse : menu local qui définit le type d’interpolation utilisé pour le mouvement. Les options possibles sont Constante, Atténuation en entrée, Atténuation en sortie, Atténuation en entrée/sortie, Accélérer et Ralentir. Commandes disponibles dans la palette La palette et l’Inspecteur proposent exactement les mêmes commandes. Balayage Fait pivoter la caméra selon un arc spécifié. Paramètres dans l’Inspecteur Début : cadran et curseur de valeur qui définissent l’angle de départ de l’orientation de la caméra par rapport à l’orientation actuelle de la caméra. Si la valeur de début est diffé- rente de zéro, la caméra passe directement à cette valeur au début du comportement. Utilisation de plusieurs présentations avec la commande Isoler Vous pouvez isoler autant d’objets que vous disposez de présentations. Il est possible de modifier un objet dans une présentation isolée tout en observant les résultats au moyen d’une caméra de scène dans une autre présentation. Une fois qu’un objet est isolé dans une vue, vous pouvez activer une autre fenêtre d’affichage et isoler un autre objet.Chapitre 1 Compositing 3D 33 Fin : cadran et curseur de valeur qui définissent l’angle final de l’orientation de la caméra par rapport à la valeur du paramètre Début de la caméra. Vitesse : menu local qui définit le type d’interpolation utilisé pour la rotation. Les options possibles sont Constante, Atténuation en entrée, Atténuation en sortie, Atténuation en entrée/sortie, Accélérer ou Ralentir. Axe : menu local qui définit l’axe autour duquel le balayage est effectué. Les options possibles sont Inclinaison X, Pivotement Y et Roulement Z. Contrôles disponibles dans la palette La palette et l’Inspecteur proposent exactement les mêmes contrôles. Zoom avant/arrière Anime le paramètre Angle de vue de la caméra. Paramètres dans l’Inspecteur Zoom : curseur et curseur de valeur qui définissent une valeur proportionnelle utilisée pour modifier le paramètre Angle de vue de la caméra. Vitesse : menu local qui définit le type d’interpolation utilisé pour le mouvement. Les options possibles sont Constante, Atténuation en entrée, Atténuation en sortie, Atténuation en entrée/sortie, Accélérer et Ralentir. Commandes disponibles dans la palette La palette et l’Inspecteur proposent exactement les mêmes commandes. Couche de zoom Déplace la caméra vers la position du point d’ancrage d’un objet cible. Lorsque la caméra atteint le point d’ancrage de l’objet, l’angle de vue change tout en décalant la position de la caméra. Ce comportement vous permet d’animer l’angle de vue de la caméra pendant le mouvement de la caméra, en fonction de la valeur Transition du comportement. Il convient en particulier aux caméras de type Cadrage. Paramètres dans l’Inspecteur Objet : cadre d’image servant à définir la cible du mouvement de la caméra. Faites glisser un objet de la Liste de couches dans le cadre. Transition : curseur et curseur de valeur qui déterminent le point du comportement où la caméra cesse de se déplacer et où le paramètre Angle de vue de la caméra commence à s’animer.34 Chapitre 1 Compositing 3D Si la transition définie est de 50 % dans un comportement Couche de zoom d’une longueur de 300 images, la caméra se déplace sur 150 images avant d’arriver à la position de l’objet cible, puis elle reste immobile pendant le reste du comportement ; le paramè- tre Angle de vue de la caméra s’anime pendant la durée restante. Si la valeur de Transition est définie à 100 %, le déplacement de caméra s’effectue sur les 300 images jusqu’à parvenir à la position de l’objet cible et l’angle de vue de la caméra ne s’anime pas. Si la durée du comportement Couche de zoom est de 100 images et si la Transition est réglée sur 50 %, le déplacement de la caméra prend 50 images pour arriver à la position de l’objet cible. Vitesse : menu local qui définit le type d’interpolation utilisé pour la rotation. Les options possibles sont Constante, Atténuation en entrée, Atténuation en sortie, Atténuation en entrée/sortie, Accélérer et Ralentir. Zoom : curseur et curseur de valeur qui définissent une valeur proportionnelle utilisée pour modifier le paramètre Angle de vue de la caméra. Une valeur autre que zéro détermine l’ampleur de la modification de l’angle de vue (et donc de la perspective) par rapport à l’angle de vue initial de la caméra. La valeur zéro laisse le paramètre Angle de vue inchangé. Commandes disponibles dans la palette La palette et l’Inspecteur proposent exactement les mêmes commandes. Glisser-déposer dans le Canevas Le fait de faire glisser et déposer un objet dans le Canevas l’ajoute à la scène au plan focal de la caméra actuelle. Faire glisser un objet dans la Liste de couches ou cliquer sur le bouton Appliquer situé dans la zone de Preview du navigateur a pour effet de placer cet objet aux coordonnées 0,0,0. Utilisation de caméras pour la configuration de présentations de travail utiles Lorsque vous créez un projet 3D, il peut être utile de placer les caméras de façon à pouvoir examiner la présentation de votre projet depuis différents points de vue. Au lieu de déplacer la caméra Perspective à maintes reprises, vous pouvez ajouter des caméras de scène servant de « signets spatiaux ». Comme vous n’aurez pas besoin d’utiliser ces camé- ras pendant l’exportation, assurez-vous de les désactiver avant le rendu.Chapitre 1 Compositing 3D 35 Interaction des groupes 2D et 3D Le type de groupe 3D donne plus de souplesse à vos projets, mais crée aussi des interactions complexes entre les types de groupe. Les groupes peuvent être de type 2D ou 3D, et il est possible de changer le type d’un groupe à tout moment. Pour changer le type 2D/3D d’un groupe : m Dans l’onglet Couches ou dans la Timeline, sélectionnez le groupe à modifier, puis effectuez l’une des opérations suivantes :  Choisissez Objet > Groupe 3D (ou appuyez sur Contrôle + D).  Cliquez sur l’icône 2D/3D dans la colonne État de la Liste de couches. Comportement au niveau racine Au niveau racine du projet, les groupes 2D n’ont pas le même comportement que lorsqu’ils sont imbriqués dans des groupes 3D. (Pour en savoir plus sur les groupes au niveau racine, reportez-vous à la section « Coordonnées relatives » à la page 12.) Les groupes 2D au niveau racine sont verrouillés sur la caméra, même si celle-ci est animée. Les groupes 2D en haut de la Liste de couches sont toujours rendus au premier plan et les groupes 2D au bas de la Liste de couches sont toujours rendus à l’arrière-plan. Les groupes 3D du niveau racine adjacents peuvent se croiser en fonction de l’ordre de profondeur. Icône 2D Icône 3D Liste de couches Résultat dans le Canevas36 Chapitre 1 Compositing 3D Dans l’exemple ci-dessus, le compositing des deux balles grises de la couche de premier plan 2D s’effectue toujours au-dessus du reste de la scène. La couche d’arrière-plan 2D est toujours composée au-dessous du reste de la scène. Le Groupe A et le Groupe B se coupent parce que ce sont des groupes 3D, mais aucun des deux ne peut couper les groupes 2D du niveau racine. Comportement des groupes 2D et 3D Bien que les groupes 2D et 3D aient beaucoup de propriétés en commun, la façon dont eux et leurs enfants se comportent et interagissent avec les autres objets d’un projet n’est pas la même. Les groupes 2D et 3D peuvent être des parents ou des enfants les uns des autres ; il n’y a pas de restriction au mélange des types de groupe. Onglet Groupe de l’Inspecteur L’onglet Groupe apparaît dans l’Inspecteur lorsque l’objet sélectionné est un groupe. Cet onglet contient le paramètre Type qui permet de faire basculer un groupe entre le mode 2D et le mode 3D. Les groupes 2D et 3D mettent à disposition des paramètres différents. Lorsque le paramètre Type est défini à 3D, les paramètres Aplatir et Ordre de couche deviennent disponibles. Lorsque la case Aplatir est cochée, tous les éléments du groupe 3D sont aplatis comme une « carte » ou un « panneau d’affichage ». Lorsque la case Ordre de couche est cochée, les enfants du groupe sont triés en fonction de l’ordre dans lequel ils apparaissent dans la Liste de couches et non en fonction de l’ordre de profondeur (c’est-à-dire, de leur position sur l’axe Z). Pour en savoir plus, voir « Ordre de couche et ordre de profondeur » à la page 14. Lorsque le paramètre Type est défini à 2D, le paramètre Résolution fixe devient disponible et vous permet de définir manuellement la taille d’un groupe. Par défaut, l’option Résolution fixe est désactivée et la taille du groupe dépend des couches qu’il contient. Pour en savoir plus, reportez-vous à la section « Définition de la taille d’un groupe » dans le chapitre 2 du Manuel de l’utilisateur de Motion 3. Remarque : lorsqu’il est activé, le paramètre Résolution fixe rogne le groupe autour de son point d’ancrage afin de lui donner la taille spécifiée dans les paramètres Largeur fixe et Hauteur fixe.Chapitre 1 Compositing 3D 37 Propriétés des groupes 2D Un groupe 2D possède les propriétés suivantes :  Le compositing de ses enfants s’effectue dans l’ordre de couche.  Les filtres sont appliqués au groupe dans l’espace local, c’est-à-dire « à plat » sur l’image.  Le groupe est éclairé comme s’il s’agissait d’un seul objet ; ses enfants ne sont pas éclairés individuellement. Remarque : les groupes 2D au niveau racine ne sont pas éclairés.  Étant donné qu’il est toujours plat, un groupe 2D dispose des paramètres Rognage, Ombre portée et Quatre angles.  Sa résolution peut être fixe. Propriétés des groupes 3D Un groupe 3D possède les propriétés suivantes :  Le compositing de ses enfants s’effectue dans l’ordre de profondeur (conformément à leur position sur l’axe Z).  Les filtres sont appliqués au groupe dans l’espace de présentation. En d’autres termes, le filtre agit sur le groupe comme s’il était appliqué à l’objectif de la caméra qui observe le groupe. Damier d’un groupe 2D auquel le filtre Déformation en tourbillon est appliqué Damier d’un groupe 3D auquel le filtre Déformation en tourbillon est appliqué selon trois angles différents38 Chapitre 1 Compositing 3D  Ses enfants sont éclairés individuellement.  Seuls les groupes 3D pour lesquels le paramètre Aplatir est activé disposent des paramètres Rognage, Ombre portée et Quatre angles. Tramage Certaines opérations, tout comme l’application de divers filtres ou d’un masque, provoquent le tramage du groupe concerné. Lorsqu’il est tramé, un groupe est converti en image bitmap. Le tramage affecte les groupes 2D et 3D différemment. Lorsqu’un groupe 2D est tramé, les modes de fusion appliqués aux objets au sein du groupe n’ont plus aucune interaction avec les objets situés en dehors du groupe. Par ailleurs, si un groupe 3D est tramé, l’intégralité du groupe ne peut plus avoir aucune interaction avec les objets situés en dehors. Le groupe 3D tramé est traité comme s’il s’agissait d’un seul objet et utilise l’ordre de couche (dans l’onglet Couches) plutôt que l’ordre de profondeur (le long de l’axe Z) lors de son compositing avec le reste des éléments du projet. Remarque : même si un groupe 3D est tramé, les caméras et les lumières utilisées dans le projet ont toujours une interaction avec les objets situés au sein de ce groupe. Utilisation des objets à l’intérieur des groupes plats Lorsqu’un objet est déplacé le long de son axe Z à l’intérieur d’un groupe plat, ce qui inclut les groupes 2D et les groupes 3D aplatis, il semble plutôt grandir ou rapetisser que s’approcher ou s’éloigner de la caméra. Si vous ne parvenez pas à trouver un objet dans votre projet, vous pouvez le rechercher en redéfinissant son paramètre Position à 0, 0, 0. Cela a pour effet de centrer l’objet dans le groupe plat. Vous pouvez utiliser la commande Isoler pour aligner la présentation active sur l’axe du groupe plat. Elle facilite en effet l’ajustement des objets à l’intérieur du groupe. Pour en savoir plus sur la commande Isoler, reportez-vous à la section « Isoler » à la page 31.Chapitre 1 Compositing 3D 39 La modification des paramètres suivants déclenche le tramage d’un groupe : Groupes 2D  Modification des paramètres de fusion (Opacité, Mode de fusion, Conserver l’opacité)  Activation de l’option Ombre portée  Activation de l’option Quatre angles  Activation de l’option Rognage  Application de n’importe quel filtre  Ajout d’un masque  Ajout d’une lumière hors d’un groupe Groupes 3D  Modification des paramètres de fusion  Application de certains filtres  Ajout d’un masque  Ajout d’une lumière hors d’un groupe 3D avec le paramètre Aplatir activé Une fois le tramage déclenché par l’une de ces opérations, les événements suivants surviennent :  Un indicateur de tramage (semblable à un voyant) apparaît en regard du paramètre dans l’onglet Propriétés.  Un contour léger apparaît autour de l’icône représentant le groupe 2D ou 3D (à gauche de son nom) dans l’onglet Couches et la liste de couches de la Timeline. Important : les émetteurs de particules 3D, les réplicateurs 3D et les objets texte en relief sont traités comme des groupes 3D pour les besoins du tramage. Pas de tramage ; pas de voyant DEL Le mode de fusion normal produit un tramage ; voyant DEL allumé Pas de tramage Indicateur de tramage autour de l’icône de groupe40 Chapitre 1 Compositing 3D Exemples de tramage de groupe 2D et de groupe 3D L’exemple ci-dessus comprend deux groupes : le premier (le plus haut dans la Liste de couches) contient l’image d’un éléphant seul. Le second groupe contient l’image d’une famille d’éléphants. Dans l’exemple de gauche ci-dessus, le mode de fusion défini pour l’image représentant un éléphant seul (qui fait partie du groupe le plus haut dans la liste) est Lumière vive. Comme le groupe n’est pas tramé, le mode de fusion passe à travers le groupe et agit sur l’arrière-plan. Dans l’exemple de droite ci-dessus, le groupe le plus haut est tramé, de sorte que le mode de fusion de l’image de l’éléphant ne passe plus à travers. Dans l’exemple de gauche ci-dessus, le Groupe A et le Groupe B se coupent parce qu’ils ne sont pas tramés. Dans l’exemple de droite ci-dessus, le Groupe A a été tramé, de sorte que le Groupe A et le Groupe B ne se coupent plus. Important : si le mode de fusion défini pour un groupe est Pass Through et si un mode de fusion différent a été appliqué à l’un des enfants du groupe, les enfants ne sont pas tramés. Aucun groupe tramé Groupe du dessus tramé Aucun groupe tramé Groupe A traméChapitre 1 Compositing 3D 41 Éclairage L’éclairage peut être appliqué à un projet d’animation pour améliorer la profondeur et l’étendue du compositing. Il peut aussi contribuer à la création d’environnements réalistes pour les composites. Le système d’éclairage de Motion fonctionne uniquement sur les groupes 3D et leurs enfants. Pour ajouter une lumière à un projet : m Choisissez Objet > Nouvelle lumière (ou appuyez sur Commande + Maj + L). Un objet lumière est ajouté dans la Liste de couches, dans la Timeline et dans le Canevas (il est représenté dans ce dernier par une icône fil de fer) et l’outil de transformation 3D de la barre d’outils devient actif. Si vous ajoutez une lumière à un projet ne contenant aucun groupe 3D, la zone de dialogue suivante apparaît : Si vous sélectionnez Conserver en 2D, une lumière au niveau racine n’a aucun effet tant qu’il n’y a pas au moins un groupe 3D de niveau racine. Par défaut, les groupes et les objets affichent l’ombre résultant des lumières dès que ces dernières sont ajoutées. Processus d’activation des lumières Une lumière s’active lorsqu’elle est un enfant des objets suivants :  le projet (par exemple, une lumière se trouve au niveau racine du projet) ;  un groupe 3D aplati. Important : si vous déplacez un groupe 3D contenant une lumière dans un groupe 2D, la zone de dialogue suivante apparaît, sauf si le paramètre Aplatir du groupe est activé.42 Chapitre 1 Compositing 3D Propriétés modifiant l’apparence des lumières Lorsque vous ajoutez des lumières à une scène, deux groupes de propriétés contribuent à l’apparence des lumières : les propriétés de lumière et les propriétés d’éclairage des objets. Vous pouvez régler les propriétés de lumière en sélectionnant un objet lumière dans votre projet, puis en modifiant les valeurs de paramètre dans l’onglet Lumière de l’Inspecteur. Vous pouvez manipuler les propriétés d’éclairage des objets en sélectionnant un objet autre qu’un objet lumière dans le projet (une image, un plan vidéo, une forme, etc.), puis en ajustant les paramètres d’éclairage dans l’onglet Propriétés de cet objet. Les propriétés de lumière (c’est-à-dire, la qualité de la source lumineuse elle-même) sont réparties en plusieurs catégories : le type de lumière, son intensité et sa couleur. Par exemple, une ampoule électrique, le soleil et l’éclairage d’une discothèque ont chacun une apparence différente. Les propriétés d’éclairage peuvent être utilisées pour simuler ces différences. Paramètres de lumière Lorsque vous créez une lumière ou sélectionnez un objet lumière dans l’onglet Couches, l’onglet Lumière devient disponible dans l’Inspecteur. L’onglet Lumière contient les paramètres suivants : Type de lumière : menu local permettant de choisir entre quatre catégories de lumière.  Ambiance : une lumière ambiante émet de la lumière dans toutes les directions. Ce type de lumière n’a pas de position, ni de représentation dans le Canevas. La lumière ambiante éclaire tous les objets de la scène avec la même intensité de tous les côtés. Par ailleurs, les lumières ambiantes sont les seules à n’avoir aucune incidence sur les hautes lumières. Les lumières ambiantes sont le plus souvent utilisées pour ajouter un effet de remplissage global ou une dominante de couleur. Remarque : étant donné qu’il n’y a pas de propriété d’ambiance globale dans Motion, il se peut que vous deviez ajouter une lumière ambiante pour éviter l’obscurité totale. Combinaison de plusieurs types de lumière Chaque type de lumière possède ses propres attributs qui sont uniques. Il peut être nécessaire de combiner plusieurs types de lumière pour obtenir l’effet désiré. La plupart des scènes comportant des lumières doivent inclure une lumière ambiante pour ajouter de la profondeur ou éviter une obscurité totale. Comme pour les lumières du monde réel, vous pouvez utiliser plusieurs lumières pour mélanger des couleurs. Par exemple, un projecteur rouge et un projecteur bleu dirigés sur un objet blanc se mélangent pour produire du magenta.Chapitre 1 Compositing 3D 43  Directionnel : une lumière directionnelle émet des rayons de lumière parallèles dans une direction donnée à partir d’une source située à une distance infinie. Seule la rotation de cette lumière influe sur son effet. Une icône de lumière directionnelle peut être utilisée conjointement avec les contrôles de transformation pour mieux visualiser l’orientation de la lumière dans une scène. La lumière directionnelle apparaît sous la forme d’un cylindre dont l’une des extrémités a été retirée. Le cercle représente l’origine de la lumière et les lignes indiquent le sens dans lequel la lumière se propage.  Point : une lumière ponctuelle émet de la lumière dans toutes les directions à partir d’un seul point de l’espace 3D. Si vous le souhaitez, vous pouvez ajouter une atténuation en fonction de la proximité d’un objet par rapport à la lumière. La lumière ponctuelle est la lumière utilisée par défaut dans Motion. Elle produit un résultat semblable à celui obtenu avec une ampoule incandescente. Lumière directionnelle Exemple de lumière directionnelle Lumière ponctuelle Exemple de lumière ponctuelle44 Chapitre 1 Compositing 3D  Spot : un spot émet de la lumière depuis une source lumineuse de forme conique et projette une forme elliptique sur les objets frappés par cette lumière. L’utilisation d’un spot offre une grande précision lorsque vous souhaitez limiter la zone éclairée par la lumière. Couleur : ensemble standard de contrôles qui permettent de sélectionner la couleur de la lumière. Intensité : équivaut au « variateur d’ambiance » de l’éclairage. Si vous utilisez une lumière directionnelle avec une intensité de 100 % et que vous la dirigez directement sur un objet de couleur rouge, celui-ci paraît rouge. Si vous baissez l’intensité, l’objet et la scène deviennent plus foncés. En revanche, si vous augmentez l’intensité au-dessus de 100 %, la scène commence à être surexposée, et l’objet peut finalement paraître blanc. Le curseur de valeur d’intensité peut être utilisé pour définir une valeur comprise entre 0 et 400, mais il n’y a pas de limite maximale d’intensité (utilisez le curseur de valeur pour définir une valeur supérieure à 400). Remarque : plusieurs lumières en interaction avec un objet se combinent pour augmenter la luminosité apparente de cet objet. Si deux lumières de spot dont l’intensité est définie à 100 % se chevauchent dans l’espace et sont orientées dans le même sens, le résultat obtenu est identique à celui que produirait une seule lumière de spot d’une intensité de 200 %. Début d’atténuation : curseur et curseur de valeur permettant de définir le point où commence l’atténuation d’une lumière. Dans le monde réel, la lumière s’atténue, c’est-à-dire que son effet diminue, à mesure que la distance par rapport à cette lumière augmente. En général, l’atténuation commence au centre de la lumière. Si vous définissez Début d’atté- nuation, vous avez un plus grand contrôle sur l’éclairage du projet. Ce paramètre s’applique uniquement aux types de lumière qui utilisent un paramètre Position (Point et Spot). Lumière de spot Exemple de lumière de spotChapitre 1 Compositing 3D 45 Dans l’exemple ci-dessous, une lumière est placée légèrement au dessus de l’origine de la scène. Trois cercles de cartes sont disposés respectivement à une distance de 200, 500 et 1 000 unités de la lumière. (Dans cet exemple, une source de lumière visible, à savoir l’ampoule placée au centre des cercles de cartes, est simulée à des fins d’illustration.) L’intensité de la lumière est définie à 100 % et l’atténuation à 10 %. Lorsque Début d’atténuation est défini à 0 (à gauche, ci-dessous), la lumière a déjà commencer à s’atté- nuer lorsqu’elle frappe le cercle le plus proche du centre. Lorsque Début d’atténuation est défini à 200 (à droite, ci-dessous), le cercle le plus proche du centre est éclairé avec une intensité de 100 % et les cercles extérieurs sont légèrement plus lumineux. Lorsqu’on augmente la valeur de Début d’atténuation à 500 (à gauche, ci-dessous), le cercle intérieur et celui du milieu sont éclairés avec une intensité de 100 % et le cercle extérieur est plus lumineux qu’avant. Enfin, lorsque Début d’atténuation est défini à 1 000 (à droite, ci-dessous), tous les cercles sont éclairés avec une intensité de 100 %. Début d’atténuation défini sur 0 Début d’atténuation défini sur 200 Début d’atténuation défini sur 500 Début d’atténuation défini sur 100046 Chapitre 1 Compositing 3D Dans l’exemple suivant, l’image de gauche contient une lumière dont l’intensité est définie à 100 % et celle de droite une lumière dont l’intensité est de 500 %. Dans l’image de droite, les cercles extérieurs sont légèrement plus lumineux, mais le cercle le plus au centre est surexposé. Si le début d’atténuation de la lumière de l’image de droite était augmenté à 1 000, tous les cercles seraient surexposés. Atténuation : curseur et curseur de valeur permettant de contrôler le taux d’atténuation d’une lumière ponctuelle ou d’une lumière de spot en fonction du paramètre Début d’atténuation. Lorsque la valeur de l’atténuation est faible, la lumière s’atténue sur une longue distance à partir de la source de lumière, ce qui signifie qu’elle se propage plus loin dans l’image. Plus cette valeur est élevée, plus l’atténuation se produit rapidement. Angle du cône de spot : cadran et curseur de valeur devenant disponibles uniquement lorsque le Type de lumière est Spot. L’angle du cône est mesuré à partir du centre de la lumière vers l’extérieur. Sa valeur peut être comprise entre 0 et 90°. La distance entre la lumière et sa cible a une incidence sur le résultat de ce paramètre. Si la lumière est proche, un angle de cône plus large peut être nécessaire pour éclairer une plus grande partie de l’objet. Si la lumière est éloignée, un angle de cône plus réduit peut être nécessaire pour isoler les objets. Adoucissement du cône : cadran et curseur de valeur qui deviennent disponibles uniquement lorsque le Type de lumière est Spot. Tout comme pour le paramètre Angle du cône, la valeur peut être comprise entre 0 et 90°. Elle est mesurée à partir du bord extérieur de l’angle du cône de spot. Si cette valeur est définie à 0, les lumières de spot ont un bord dur. Les valeurs faibles produisent un léger effet d’adoucissement à la limite de la zone éclairée. Les valeurs plus élevées produisent un fondu plus large et plus naturel. Étant donné que l’ajout d’un adoucissement accroît la surface éclairée par la lumière, il se peut que vous deviez ajuster l’angle pour obtenir l’effet désiré. Intensité définie à 100 ; Début d’atténuation défini à 0 Intensité définie à 500 ; Début d’atténuation défini à 0Chapitre 1 Compositing 3D 47 Propriétés d’éclairage des objets Tous les objets « éclairables » disposent de propriétés qui permettent de contrôler la façon dont ils réagissent aux lumières d’une scène. Vous pouvez ajuster ces propriétés pour un objet donné dans la section Éclairage de l’onglet Propriétés. L’onglet Propriétés de l’Inspecteur contient les contrôles d’éclairage suivants : Ombres : menu local qui permet de définir la manière dont un objet réagit aux lumières de la scène. Si cette option est activée, l’objet peut être éclairé. Si elle est désactivée, l’objet ignore les lumières de la scène. Si elle est définie à Hérité (valeur par défaut), l’objet utilise la valeur Ombres de son parent. Remarque : il est possible de sélectionner Activé pour le paramètre Ombres de l’enfant d’un groupe (quel que soit son niveau d’imbrication). Ce réglage annule tous les réglages de groupe qui ont été appliqués à l’objet enfant auparavant. Hautes lumières : case permettant d’activer ou de désactiver l’affichage des hautes lumiè- res sur les objets éclairés. Ce paramètre est sans effet si Ombres est défini à Désactivé. Brillance : curseur et curseur de valeur qui définissent l’intensité des hautes lumières sur un objet. Les valeurs élevées donnent à l’objet un aspect plus brillant. Il se peut que vous deviez régler avec beaucoup de précision les propriétés de surface d’objet et les paramètres d’éclairage pour obtenir le résultat souhaité. Amélioration des effets d’éclairage Les lumières ne projettent pas d’ombres dans Motion. Dans certains cas, le paramètre Ombre portée d’un objet peut être un substitut efficace si la caméra est immobile. Simulation d’ombre créée à l’aide du paramètre Ombre portée48 Chapitre 1 Compositing 3D Il existe une autre méthode pour simuler les ombres qui consiste à modifier un double de l’objet éclairé. Les sources lumineuses ne sont pas visibles. Vous pouvez simuler une source lumineuse visible en combinant une lumière ponctuelle avec une image ou une forme. Remarque : utilisez le comportement Suivre le mouvement pour déplacer une source lumineuse simulée avec une lumière dans un plan vidéo. Pour en savoir plus sur le comportement Suivre le mouvement, reportez-vous à la section « Flux de travaux du comportement Suivre le mouvement » à la page 59. Ombre simulée créée avec un double modifié de l’objet texte Source lumineuse visible simulée créée par combinaison d’une lumière avec une forme2 49 2 Suivi de l’animation Les comportements de suivi permettent de suivre le mouvement des objets, de stabiliser les plans ou de suivre les effets des filtres. À propos du suivi de l’animation Le suivi de l’animation est une méthode consistant à enregistrer le mouvement d’un élé- ment (une forme ou un point de référence au sein d’un plan) dans le Canevas, puis à appliquer les données de mouvement enregistrées à un autre élément du Canevas. Vous pouvez, par exemple, utiliser les techniques du suivi de l’animation pour « épingler » un graphisme réalisé en postproduction sur le côté d’un bus en mouvement, pour « accrocher » un cercle flou au visage d’une personne afin de préserver son anonymat ou pour « remplacer » le visage d’un cascadeur intrépide par celui d’un acteur connu mais prudent. Motion comprend un ensemble de comportements de suivi automatisés qui permettent de réaliser toutes ces opérations et bien d’autres :  Suivi du mouvement d’éléments dans les plans : vous pouvez appliquer les données de suivi d’un élément à l’arrière-plan (tel qu’un panneau publicitaire) à un élément superposé au premier plan (tel qu’un graphisme de logo) de sorte que ces deux éléments semblent emboîtés. Cette technique est appelée suivre le mouvement.  Suivi du mouvement d’objets animés dans le Canevas : vous pouvez appliquer les données d’animation d’un objet animé à un autre objet du projet. Vous pouvez, par exemple, accrocher un émetteur de particules de fumée à un vaisseau spatial animé, de sorte qu’un panache de fumée d’échappement « suive » le vaisseau spatial dans tous ses déplacements.  Stabilisation du mouvement de la caméra dans les plans : vous pouvez appliquer des données de suivi pour supprimer des mouvements de caméra ou un tremblement indésirables dans un film ou une séquence d’images. Cela permet, par exemple, de corriger les prises de vue effectuées avec la caméra à l’épaule. 50 Chapitre 2 Suivi de l’animation  Déstabilisation des plans : vous pouvez restaurer les mouvements d’un plan stabilisé au préalable. Cette technique s’avère utile lorsque vous avez stabilisé un plan pour y ajouter un effet au premier plan, mais que vous souhaitez restaurer les mouvements originaux de la caméra dans le composite final.  Suivi du paramètre de position d’un filtre : vous pouvez appliquer des données de suivi au paramètre de position d’un filtre. Vous pouvez, par exemple, forcer le point central d’un filtre Rayons de lumière à suivre le faisceau d’une lampe de poche en mouvement dans un plan. Les données de suivi du faisceau de la lampe de poche sont appliquées à un seul paramètre du filtre (le paramètre Centre) plutôt qu’à l’ensemble du filtre.  Suivi des points de contrôle d’une forme ou d’un masque : vous pouvez appliquer les données de suivi de points de référence d’un plan aux points de contrôle d’une forme ou d’un masque. Cette technique permet, par exemple, d’attacher un masque à un élément en mouvement dans un plan afin d’isoler cet élément pour lui appliquer des effets supplémentaires. Motion permet de suivre une ou plusieurs caractéristiques de référence au sein d’un plan :  Suivi à un seul point : effectuez le suivi d’un seul motif de référence (une petite zone de pixels) au sein d’un plan afin d’enregistrer des données de position.  Suivi à deux points : effectuez le suivi de deux motifs de référence au sein d’un plan et utilisez la relation entre les deux points suivis pour enregistrer des données de position, d’échelle et de rotation.  Suivi à quatre points : également appelé déformation par les quatre angles. Effectuez le suivi de quatre motifs de référence au sein d’un plan afin d’enregistrer des données de position, d’échelle et de rotation. Les quatre suiveurs analysent la relation entre les quatre motifs de référence, par exemple les angles du cadre d’une image ou d’un écran de télévision. Ces données sont appliquées à chaque coin d’une image ou d’un plan pour « accrocher » le plan de telle sorte qu’il donne l’impression d’être fixé au cadre de l’image ou à l’écran du téléviseur.  Suivi à plusieurs points : effectuez le suivi d’autant de motifs de référence que vous le souhaitez au sein d’un plan. Il est possible d’ajouter manuellement des suiveurs aux comportements Analyser animation et Stabiliser. Si vous appliquez un comportement Suivre les points, tiré de la sous-catégorie de comportement Forme, à une forme ou à un masque, un suiveur est automatiquement affecté à chaque point de contrôle de la forme. Remarque : bien que Motion dispose d’un espace de travail en 3D, le suivi effectué dans Motion est planaire. En d’autres termes, le suivi ne se produit pas dans l’espace Z. Ainsi, si vous analysez deux caractéristiques au sein d’un plan, et que ce plan est en mouvement dans l’espace 3D, vous enregistrez les modifications de position, d’échelle ou de rotation au fil du temps dans le plan, mais pas la transformation 3D elle-même. L’objet suivi est appelé élément d’arrière-plan ou source. L’objet auquel les données de suivi sont appliquées est appelé élément de premier plan ou de destination.Chapitre 2 Suivi de l’animation 51 Fonctionnement d’un suiveur Chaque suiveur analyse une zone de pixels tout au long d’une série d’images au sein d’un plan pour « accrocher » un motif lors de son déplacement dans le Canevas. Vous spécifiez la zone de pixels concernée sur une ou plusieurs images de référence et Motion se charge de suivre cette zone pendant une période donnée. La durée de cette période dépend de la longueur du comportement de suivi, de la longueur de la plage de lecture définie ou de la longueur du plan. Dans Motion, cette zone de pixels est appelée motif de référence et elle est automatiquement définie autour du suiveur à l’écran. L’idéal est que le motif de référence soit un détail constant, facilement identifiable et présentant un contraste élevé, ce qui le rend plus facile à suivre. Le suiveur passe d’une image à l’autre en échantillonnant de nombreuses positions à l’intérieur de la zone de recherche autour de son point central. Certaines de ces positions « correspondent » de manière plus précise que d’autres au motif de référence désigné au préalable. Le suiveur trouve la position à laquelle la zone de recherche correspond le mieux au motif de référence, avec un degré de précision de l’ordre du sous-pixel. Le suiveur attribue une valeur de corrélation pour chaque image analysée en mesurant le degré de ressemblance de la meilleure correspondance. Le suiveur recherche non seulement la position du motif de référence, mais identifie aussi la manière dont le motif se transforme (par changement d’échelle, rotation ou déformation) d’une image à l’autre. Imaginez, par exemple, que vous effectuez le suivi d’un logo placé sur la manche de chemise d’une personne qui passe devant la caméra. Si cette personne se retourne légèrement au moment de passer devant la caméra, le motif de référence subit une rotation. Le suiveur détecte non seulement la position du motif de référence, mais aussi toute modification de l’échelle ou de la rotation de ce motif. Une fois que la position et les valeurs de corrélation ont été déterminées par le suiveur pour une image donnée, Motion enregistre ces informations dans des images clés. Ce processus est ensuite répété pour chaque image jusqu’à ce que la fin de la plage de suivi soit atteinte. Suiveur52 Chapitre 2 Suivi de l’animation Les données enregistrées sont stockées sous forme d’images clés dans le comportement de suivi. Elles vous permettent d’appliquer rapidement les suivis à de nombreux autres éléments du projet. Remarque : le comportement Stabiliser utilise une technologie avancée qui analyse l’animation de la totalité de l’image d’un plan sans avoir recours à des suiveurs. Motion compte six comportements de suivi répartis comme suit: quatre dans la sous-caté- gorie de comportement Suivi de l’animation, un dans la sous-catégorie de comportement Formes et un dans la sous-catégorie de comportement Paramètre. Comportements Suivi de l’animation Motion utilise des comportements pour collecter, stocker et appliquer des données d’animation. Comme les données sont stockées dans le comportement (sous forme d’images clés), elles peuvent facilement être appliquées à d’autres objets au sein d’un projet. Le comportement Suivi de l’animation peut également être utilisé pour partager des données d’animation créées par des comportements ou des images clés entre des objets. Les comportements Suivi de l’animation sont appliqués de la même manière que tous les autres comportements. Lorsqu’un comportement de suivi effectue son analyse, des points de suivi apparaissent dans le Canevas et des images clés de suivi sont créées dans le comportement. Ces images clés résident dans le comportement qui est appliqué à un objet, elles ne sont pas appliquées à l’objet lui-même. Remarque : les points de suivi à l’écran et les images clés de suivi ne sont pas créés lorsque vous utilisez l’analyse d’animation par défaut du comportement Stabiliser. Le cas échéant, vous pouvez convertir les données d’animation enregistrées ou référencées par le comportement Suivre le mouvement, Stabiliser ou Déstabiliser en images clés d’objets. Une fois converti, le comportement de suivi est supprimé et les images clés de transformation sont incorporées à l’objet. Pour en savoir plus sur la conversion des comportements, reportez-vous à la section « Conversion de suivis en images clés » à la page 87. Il existe quatre comportements Suivi de l’animation :  Analyser animation : ce comportement n’est utilisé que pour générer et contenir des informations de suivi provenant d’un plan. Contrairement aux comportements Suivre le mouvement et Stabiliser, Analyser animation est dépourvu de la capacité de modifier l’objet suivi. Les suivis collectés par le comportement Analyser animation peuvent être appliquées à d’autres éléments du projet à l’aide du comportement Suivre le mouvement.Chapitre 2 Suivi de l’animation 53 Remarque : le comportement Analyser animation ne peut être appliqué qu’à une séquence (séquence QuickTime ou séquence d’images). Le comportement Analyser animation peut générer autant de suiveurs que vous le souhaitez.  Comportement Suivre le mouvement : ce comportement est utilisé pour « relier » un élément du premier plan à un élément à l’arrière-plan de sorte qu’ils semblent ne faire qu’un seul bloc. Cet effet peut être obtenu de trois manières différentes :  Vous pouvez relier un élément du premier plan à un élément d’arrière-plan au moyen du suivi à un point (position), à deux points (position, échelle ou rotation) ou à quatre points (déformation par les angles). Contrairement aux autres comportements de suivi, Suivre le mouvement peut effectuer le compositing ou vous laisser apporter des modifications supplémentaires (flou, étalonnage, etc.) avant la création du composite final.  Vous pouvez faire référence à un suivi enregistré dans un autre comportement de suivi. Il est possible de sélectionner les suivis auxquels il est fait référence dans le menu local des comportements de suivi qui se trouve dans l’Inspecteur ou dans la palette du comportement.  Vous pouvez rapidement appliquer les données d’animation d’un objet, par exemple l’animation créée par des comportements ou des images clés, à un autre élément du projet sans analyser l’objet source. Faites glisser l’objet source animé et déposez-le dans le cadre Source situé dans l’Inspecteur ou dans la palette du comportement afin d’appliquer son mouvement à l’objet de destination. Remarque : le comportement Suivre le mouvement peut être appliqué à pratiquement tous les types d’objets.  Comportement Stabiliser : ce comportement permet de supprimer tout mouvement non souhaité dans un plan, tel que le tremblement de la caméra. La stabilisation peut être appliquée aux mouvement horizontaux ou verticaux du plan ou à une combinaison de mouvements horizontaux et verticaux. Il existe trois manières d’obtenir cet effet :  Motion peut analyser et stabiliser automatiquement un plan sans utiliser de suiveurs. Dans ce cas, le comportement Stabiliser évalue la totalité de l’image d’un plan en effectuant une analyse de l’animation visant à enregistrer le mouvement de la caméra. Il permet deux utilisations différentes des données enregistrées : le lissage du plan, qui élimine tout tremblement indésirable tout en conservant le mouvement général de la caméra, et le verrouillage du plan, qui stabilise un sujet. Ce comportement permet d’analyser et de modifier la position, l’échelle et la rotation.54 Chapitre 2 Suivi de l’animation  Outre l’analyse de l’animation sur toute l’image, vous avez la possibilité d’ajouter manuellement des suiveurs pour le suivi à un point (position) ou à deux points (position, échelle ou rotation). Par ailleurs, vous pouvez ajouter autant de suiveurs que vous le souhaitez. Lorsque vous ajoutez des suiveurs manuels au comportement Stabiliser, Motion stabilise le plan à l’aide de données qui proviennent des suiveurs plutôt que d’une analyse automatique de l’animation. Si cette méthode est utilisée, le suiveur déplace la totalité de l’image afin que le point de suivi se trouve exactement au même endroit dans chaque image successive.  Vous pouvez charger des suivis enregistrés dans un autre comportement Stabiliser. Pour charger un autre suivi, choisissez-le dans le menu local des comportements de suivi qui se trouve dans l’Inspecteur ou dans la palette de comportements de suivi. Remarque : le comportement Stabiliser ne peut être appliqué qu’à une séquence (séquence QuickTime ou séquence d’images).  Comportement Déstabiliser : ce comportement n’effectue aucun suivi. Il applique le mouvement enregistré par un autre comportement de suivi, tel que Stabiliser, à un plan ou à un objet. Cela vous permet de faire correspondre le tremblement de la caméra au sein d’un plan à des éléments du premier plan qui ont été ajoutés lors de la postproduction. Pour charger des données de suivi, choisissez un suivi dans le menu local des comportements de suivi qui se trouve dans l’Inspecteur ou dans la palette de comportements de suivi. Remarque : le comportement Déstabiliser peut être appliqué à pratiquement tous les types d’objets. Comportement Suivre les points d’une forme Le comportement Suivre les points, qui fait partie de la sous-catégorie de comportement Forme, permet de réaliser l’une des opérations suivantes :  relier les points de contrôle d’une forme ou d’un masque (y compris des traits de peinture) à des caractéristiques de référence situées dans un plan source. Vous pouvez, par exemple, dessiner un masque dans un plan autour d’une voiture, puis relier les points de contrôle du masque à la voiture en mouvement pour détacher cette dernière de l’arrière-plan. Vous pouvez ensuite appliquer des effets uniquement à la voiture sans toucher la zone de l’image qui se trouve autour ;  appliquer aux points de contrôle d’une forme ou d’un masque des données de suivi existantes enregistrées par le comportement de suivi Analyser animation, Suivre le mouvement ou Stabiliser. Remarque : le comportement Suivre les points ne peut être appliqué qu’aux formes (y compris les traits de peinture) et aux masques.Chapitre 2 Suivi de l’animation 55 Comportement Suivre le paramètre Le comportement Suivre le paramètre, qui fait partie de la sous-catégorie de comportement Paramètre, permet de relier un paramètre de filtre, tel que le paramètre Centre d’un filtre Flou circulaire, à une caractéristique de référence à l’intérieur d’un plan. Les données de suivi peuvent être obtenues de deux manières :  Une fois que le comportement Suivre le paramètre a été ajouté au paramètre de position d’un filtre, un plan peut être analysé depuis l’intérieur du comportement et les données enregistrées peuvent être appliquées au paramètre de position.  Les données de suivi obtenues à partir d’un autre comportement de suivi peuvent être référencées par le comportement Suivre le paramètre. Les données enregistrées provenant du comportement référencé sont appliquées au paramètre de position. Remarque : le comportement Suivre le paramètre est conçu pour une utilisation avec le paramètre de position d’un filtre. Flux de travaux du suivi d’animation Les sections ci-après donnent un aperçu général des étapes nécessaires à la création d’un suivi à l’aide des comportements Suivi de l’animation. Elles comprennent également une description détaillée de tous les paramètres. Il est rare d’obtenir des résultats parfaits avec le suivi dès le premier essai et des réglages de précision sont généralement nécessaires. Pour en savoir plus sur les diverses méthodes de suivi, reportez-vous à la section « Stratégies pour un suivi amélioré » à la page 85. Important : sauf dans le cas du mode d’analyse automatique du comportement Stabiliser, l’analyse de suivi commence à la position actuelle de la tête de lecture pour tous les flux de travaux. Pour définir une zone de suivi, définissez un point de sortie pour le plan faisant l’objet du suivi. Pour définir un point de sortie, placez la tête de lecture sur l’image adé- quate, sélectionnez le plan, puis choisissez Marquer > « Marquer le point de sortie de la plage de lecture » (ou appuyez sur Commande + Option + O). Flux de travaux général du suivi d’animation (avec Analyser animation) Cette section fournit une vue d’ensemble du flux de travaux commun à la plupart des comportements de suivi d’animation. Le comportement Analyser animation est utilisé dans cet exemple. Le comportement Analyser animation analyse et stocke les informations de suivi provenant d’un plan. Ce comportement ne transforme pas l’objet suivi. Les données peuvent servir de référence à d’autres comportements de suivi. Pour obtenir une description complète des paramètres Analyser animation, reportezvous à la section « Contrôles du comportement Analyser animation » à la page 103.56 Chapitre 2 Suivi de l’animation Pour générer un suivi pour un plan à l’aide du comportement Analyser animation : 1 Sélectionnez la séquence à utiliser dans la liste de couches, dans la Timeline ou dans le Canevas, cliquez sur l’icône Ajouter comportement dans la barre d’outils, puis choisissez Suivi de l’animation > Analyser animation dans le menu local. Remarque : vous pouvez aussi sélectionner la séquence, sélectionner le comportement dans la Bibliothèque, puis cliquer sur le bouton Appliquer dans la zone d’aperçu de la Bibliothèque ou faire glisser le comportement depuis la Bibliothèque jusque dans la séquence. Le suiveur est ajouté à la séquence. Par défaut, un seul suiveur apparaît au centre du Canevas. 2 Lisez votre plan d’arrière-plan plusieurs fois pour déterminer un bon point de suivi, puis placez la tête de lecture sur l’image à partir de laquelle vous voulez commencer le suivi. 3 Dans le Canevas, faites glisser le suiveur jusque sur le point de référence à utiliser. Remarque : pour en savoir plus sur l’utilisation du suiveur à l’écran, reportez-vous à la section « Ajustement des suiveurs à l’écran » à la page 82. Pour en savoir plus sur la sélection d’un bon point de référence pour le suivi, reportez-vous à la section « Stratégies pour un suivi amélioré » à la page 85. 4 Pour ajouter des suiveurs, cliquez sur le bouton Ajouter situé dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Chaque nouveau suiveur est ajouté au centre du Canevas.Chapitre 2 Suivi de l’animation 57 5 Faites glisser les suiveurs supplémentaires et déposez-les sur les points de référence à utiliser. 6 Pour effectuer le suivi d’une plage d’images donnée, ajustez les points de début et de fin du comportement de suivi dans la Timeline ou dans la mini-Timeline. 7 Cliquez sur le bouton Analyser dans la palette ou l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Lorsque l’analyse de suivi commence, une fenêtre de progression s’ouvre et des points de suivi sont affichés sur la trajectoire d’animation dans le Canevas. Le point de suivi pour l’emplacement actuel de la tête de lecture est mis en évidence. Les images clés de suivi que contient le comportement apparaissent dans l’Éditeur d’images clés. Bouton Analyser Point de suivi pour l’emplacement actuel de la tête de lecture58 Chapitre 2 Suivi de l’animation Étant donné que le comportement Analyser animation ne transforme pas l’objet source, seules les images clés de suivi apparaissent dans l’Éditeur d’images clés. Si vous utilisez un comportement Suivre le mouvement ou Stabiliser, vous pouvez voir les images clés de suivi et les courbes de transformation de l’objet source (pour le comportement Stabiliser) ou de l’objet de destination (pour le comportement Suivre le mouvement). Une courbe de « confiance » est également affichée dans l’Éditeur d’images clés. Cette courbe fournit une indication visuelle de la précision du suiveur par rapport aux réglages de ses paramètres dans l’Inspecteur. Elle n’a pas vocation à servir pour l’édition. 8 Pour arrêter une opération de suivi, cliquez sur le bouton Stop dans la fenêtre de progression ou appuyez sur la touche d’échappement (Échap). ∏ Astuce : s’il vous semble que le suiveur est en train de perdre son motif de référence, ne cliquez pas tout de suite sur le bouton Stop. Laissez l’analyse se poursuivre encore pendant quelques secondes. En cas d’échec du suiveur, la tête de lecture viendra se placer directement sur l’image exacte où le suiveur a été perdu. Le suivi analysé, qui est inclus dans le comportement Analyser animation, peut à présent être chargé dans d’autres comportements de suivi (par l’intermédiaire d’un menu local situé dans la palette ou l’Inspecteur des autres comportements de suivi). Courbe de position X Courbe de position Y Menu local de comportements de suivi de la palette Suivre le mouvementChapitre 2 Suivi de l’animation 59 Remarque : le comportement Stabiliser ne peut charger que les suivis issus d’autres comportements Stabiliser. Flux de travaux du comportement Suivre le mouvement Cette section fournit une vue d’ensemble de plusieurs flux de travaux de comportement Suivre le mouvement comprenant notamment la déformation par les quatre angles. Pour obtenir une description complète des paramètres Suivre le mouvement, reportez-vous à la section « Contrôles du comportement Suivre le mouvement » à la page 104. Pour utiliser un comportement Suivre le mouvement, il vous faut au minimum deux objets dans votre projet : un élément à l’arrière-plan (ou source) et un objet au premier plan (ou destination). L’objet source fournit le mouvement en tant qu’objet animé ou suivi enregistré. Le mouvement de l’objet source est appliqué à l’objet de destination. Chargement de données dans un comportement Si le projet contient une séquence ou des objets animés lorsqu’un comportement Suivre le mouvement, Stabiliser ou Déstabiliser est appliqué, la séquence ou l’objet animé le plus proche au-dessous du comportement dans la Liste de couches est automatiquement appliqué à ce comportement et apparaît dans le cadre Source de ce dernier. Les données sont normalement écrasées une fois l’analyse de suivi effectuée, mais vous pouvez choisir un autre suivi dans le menu local des comportements de suivi. Il existe quatre méthodes pour affecter un objet animé ou des données de suivi à un comportement de suivi :  Choisissez un autre comportement de suivi dans le menu local de comportements de suivi.  Faites glisser un comportement de suivi ou un objet séquence dans le cadre Source de la palette ou de l’onglet Comportements de l’Inspecteur.  Faites glisser un objet animé dans le cadre Source de la palette ou de l’onglet Comportements de l’Inspecteur. L’objet animé référencé est appliqué en tant que source au comportement actuel. Cette option ne concerne que les comportements Suivre le mouvement et Suivre les points.  Faites glisser un comportement de suivi ou un objet séquence directement sur le comportement de suivi actuel dans la Liste de couches. Le comportement de suivi ou l’objet séquence référencé est affecté en tant que source au comportement actuel. Remarque : pour effacer le contenu d’un cadre Source, faites glisser l’élément hors du cadre et relâchez le bouton de la souris.60 Chapitre 2 Suivi de l’animation Utilisation du comportement Suivre le mouvement pour effectuer le suivi d’un élément d’arrière-plan Le comportement Suivre le mouvement est appliqué à l’élément au premier plan et suit une caractéristique de l’élément à l’arrière-plan. Les donnée du suivi sont appliquées à l’élément du premier plan pour que ce dernier « suive » le mouvement de la caractéristique du plan d’arrière-plan qui fait l’objet du suivi. Pour faire « suivre le mouvement » à un objet du premier plan à l’aide du comportement Suivre le mouvement : 1 Lisez plusieurs fois votre plan d’arrière-plan afin de déterminer un bon point de suivi. 2 Appliquez un comportement Suivre le mouvement à un élément du premier plan. Un seul suiveur (la case à cocher Ancrage qui se trouve dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur) est activé. Le suiveur Ancrage enregistre les données de position. 3 Décidez s’il faut activer des suiveurs supplémentaires pour le suivi à deux ou à quatre points.  Pour le suivi à deux points, cochez la case Échelle de rotation qui se trouve dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur (sous la case à cocher Ancrage).  Pour le suivi à quatre points, choisissez Quatre angles dans le menu local Type de l’onglet Comportements de l’Inspecteur, puis reportez-vous à la section « Déformation par les quatre angles à l’aide du comportement Suivre le mouvement » à la page 64. 4 Placez la tête de lecture sur l’image à partir de laquelle vous souhaitez commencer le suivi. 5 Dans le Canevas, faites glisser le ou les suiveurs et déposez-le(s) sur le ou les points à suivre. Lorsque vous faites glisser le suiveur dans le Canevas, la zone autour du suiveur est agrandie pour vous aider à trouver un motif de référence approprié. L’émetteur de particules (qui émet des fleurs rouges) constitue l’élément au premier plan. La zone située autour du suiveur est agrandie lorsque vous faites glisser le point de suivi dans le Canevas.Chapitre 2 Suivi de l’animation 61 6 Cliquez sur le bouton Analyser dans la palette ou l’onglet Comportements de l’Inspecteur. L’élément au premier plan est aligné sur l’élément à l’arrière-plan. 7 Si vous utilisez le suivi à deux points, activez (ou désactivez) les boutons Position, Échelle ou Rotation (sur la ligne Ajuster) pour ajouter (ou supprimer) des paramètres de suivi. Dans l’exemple ci-dessous, seule l’option Position est activée sur la ligne Ajuster de l’onglet Comportements. Par conséquent, la forme elliptique blanche ne subit aucune modification d’échelle ou de rotation due à la position des deux suiveurs. Dans l’exemple suivant, les options Position, Échelle et Rotation sont activées sur la ligne Ajuster de l’onglet Comportements. Par conséquent, la forme elliptique blanche change de position, d’échelle et de rotation en fonction de la position des deux suiveurs, mais elle donne toujours l’impression d’être physiquement attachée au cadre de l’image. Remarque : si vous utilisez le suivi à quatre points, l’échelle et la rotation sont automatiquement appliquées à l’objet déformé par les angles. Utilisation du comportement Suivre le mouvement pour appliquer des données d’animation à un élément du projet Le comportement Suivre le mouvement permet d’appliquer instantanément l’animation d’un objet source à un objet de destination, sans analyse de suivi. L’objet source peut être animé à l’aide de comportements ou d’images clés. Dans l’exemple ci-après, une « baguette magique » (constituée de formes rectangulaires) est animée le long d’une trajectoire d’animation. L’animation de la baguette est ensuite reliée à un émetteur de particules pour donner l’illusion que des étincelles s’échappent de l’extrémité de la baguette.62 Chapitre 2 Suivi de l’animation Pour appliquer la transformation d’un objet source à un objet de destination : 1 Appliquez un comportement Suivre le mouvement à un élément du projet. Dans notre exemple, un comportement Suivre le mouvement est appliqué à un émetteur de particules qui n’est pas animé. Les données d’animation (telles que les changements de position ou de rotation provoqués par des images clés ou des comportements) les plus proches au-dessous du comportement Suivre le mouvement dans la Liste de couches sont automatiquement appliquées en tant que sources et apparaissent dans le cadre Source. Dans cet exemple, la baguette animée constitue l’animation source. Important : les objets animés, les comportements et les séquences peuvent être déposés dans les cadres Source. 2 Assurez-vous que le paramètre Type est défini à Transformation dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. 3 Positionnez l’objet auquel le comportement Suivre le mouvement est appliqué à l’endroit souhaité dans le Canevas. Comportement Suivre le mouvement Cadre SourceChapitre 2 Suivi de l’animation 63 Dans cet exemple, l’émetteur de particules est placé à l’extrémité de la baguette. L’émetteur de particules et la baguette partagent à présent la même trajectoire d’animation. 4 Lancez la lecture du projet. Les particules suivent le mouvement de la baguette.64 Chapitre 2 Suivi de l’animation Déformation par les quatre angles à l’aide du comportement Suivre le mouvement Le comportement Suivre le mouvement permet de suivre quatre points d’un plan d’arrièreplan et d’appliquer le mouvement aux quatre angles d’un élément au premier plan. Il existe deux flux de travaux possibles pour la déformation par les quatre angles. Dans le premier exemple, un élément au premier plan est accroché à un élément d’arrière-plan à l’aide des suiveurs de quatre angles. Dans le deuxième exemple, l’élément au premier plan est accrochée par les angles avant que les suiveurs de quatre angles ne soient utilisés. Remarque : vous pouvez également utiliser le comportement Analyser animation ou Stabiliser pour effectuer un suivi à quatre points. Pour en savoir plus, voir « Utilisation du suivi à quatre points sans suivre le mouvement pour effectuer une déformation par les angles » à la page 72. La déformation de groupes par les angles nécessite la prise en compte de considérations particulières. Pour en savoir plus, voir « Suivi et groupes » à la page 101. Option 1 : verrouillage de l’image déformée sur les points de référence Ce flux de travaux est idéal pour une déformation par les quatre angles dans laquelle l’image transformée ou « déformée » a la même taille que l’« image » (ou les motifs de référence) de l’arrière-plan à laquelle elle est reliée. Dans l’exemple qui suit, une image au premier plan est accrochée au plan d’arrière-plan d’un cadre d’image. À propos de l’animation des objets de destination Il est possible d’utiliser le comportement Suivre le mouvement pour appliquer instantanément l’animation d’un objet (appelé objet source) à un autre objet (appelé objet de destination). L’objet source peut être animé à l’aide de comportements ou d’images clés. L’objet de destination peut également être animé. Vous pouvez indiquer si l’animation de l’objet de destination doit être ignorée par le comportement Suivre le mouvement ou ajoutée au comportement Suivre le mouvement. Pour ce faire, choisissez une option dans le menu local Transformer qui se trouve dans l’onglet Comportements de l’objet de destination. Si vous choisissez « Attacher à la source » dans le menu local Transformer, toute animation de l’objet de destination est ignorée et l’objet est verrouillé sur l’animation de l’objet source. Si vous choisissez « Imiter la source », toute animation de l’objet de destination est ajoutée à l’animation de l’objet source (à partir de l’image 0). Pour en savoir plus sur les options « Attacher à la source » et « Imiter la source », reportez-vous à la section « Contrôles du comportement Suivre le mouvement » à la page 104.Chapitre 2 Suivi de l’animation 65 Pour suivre une image à l’aide de quatre suiveurs : 1 Faites glisser la tête de lecture jusque sur l’image à partir de laquelle vous voulez commencer le suivi et appliquez un comportement Suivre le mouvement à l’élément au premier plan. 2 Dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur, choisissez Quatre angles dans le menu local Type. Remarque : l’option Quatre angles n’est pas disponible si le comportement Suivre le mouvement est appliqué à un groupe 3D. Pour déformer un groupe 3D par les angles, cochez la case Aplatir située dans l’onglet Groupe de l’Inspecteur. Dans le Canevas, un suiveur apparaît à chaque angle de l’objet au premier plan. Dans l’Inspecteur, la liste de suivis par défaut (Ancrage et Échelle de rotation) est remplacée par les suiveurs En haut à gauche, En haut à droite, En bas à droite et En bas à gauche. 3 Dans le Canevas, faites glisser chaque suiveur sur un « angle » de l’élément d’arrière-plan (dans cet exemple, les angles du cadre de l’image constituent les quatre points de suivi). Comme pour les suiveurs Analyser animation, un agrandissement apparaît dans le Canevas lorsque vous faites glisser les suiveurs. 4 Cliquez sur le bouton Analyser dans la palette ou dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur.66 Chapitre 2 Suivi de l’animation L’élément au premier plan est « accroché » sur l’élément à l’arrière-plan. Remarque : dans cet exemple, un reflet est créé sur le tableau à l’aide d’une copie dupliquée et transformée de l’image suivie. Pour un réglage plus précis du suivi, il vous faudra peut-être effectuer de petits ajustements sur l’élément au premier plan, par exemple modifier son échelle ou sa rotation. Si vous choisissez l’option par défaut « Attacher à la source » dans le menu local Transformer de l’onglet Comportements de l’Inspecteur, l’objet suivi ne peut pas être transformé. Pour transformer l’objet suivi, choisissez Imiter la source dans le menu local Transformer. 5 Pour transformer l’élément au premier plan après avoir appliqué les données de suivi, choisissez Imiter la source dans le menu local Transformer de l’onglet Comportements de l’Inspecteur, puis effectuez vos ajustements dans l’onglet Propriétés de l’Inspecteur. Pour en savoir plus sur les options de transformation « Imiter la source » et « Attacher à la source », voir « Contrôles du comportement Suivre le mouvement » à la page 104. Option 2 : accrochage de l’objet par les angles avant le suivi Dans ce flux de travaux, un objet au premier plan est accroché au cadre d’une image d’arrière-plan à l’aide du paramètre Quatre angles de l’onglet Propriétés avant l’application du comportement Suivre le mouvement. Pour ajuster les quatre angles d’un élément, puis déformer cet élément par les angles : 1 Sélectionnez l’élément de premier plan que vous souhaitez déformer par les angles.Chapitre 2 Suivi de l’animation 67 2 Dans la barre d’outils, choisissez l’outil Quatre angles parmi les outils Sélectionner/Transformer. 3 Faites glisser chaque angle de l’élément au premier plan dans la position adéquate. Une fois que vous avez fait glisser un angle dans le Canevas, la case à cocher Quatre angles est activée dans l’onglet Propriétés. ∏ Astuce : il est recommandé de réduire l’opacité de l’objet au premier plan pour mieux distinguer les points de référence sur le plan à l’arrière-plan. Nous vous conseillons également de désactiver le magnétisme pour que l’image que vous êtes en train d’ajuster ne soit pas automatiquement alignée sur les guides du Canevas. 4 Placez la tête de lecture sur l’image à partir de laquelle vous voulez commencer le suivi et appliquez le comportement Suivre le mouvement à l’élément au premier plan. 5 Dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur, choisissez Quatre angles dans le menu local Type. Outil Quatre angles68 Chapitre 2 Suivi de l’animation Dans le Canevas, un suiveur apparaît sur chaque angle de l’objet au premier plan. Dans l’Inspecteur, la liste de suivis par défaut (Ancrage et Échelle de rotation) est remplacée par les suiveurs En haut à gauche, En haut à droite, En bas à droite et En bas à gauche. 6 Si nécessaire, faites glisser chaque suiveur dans le Canevas et réglez sa position avec précision dans la fenêtre Aperçu du suivi de l’Inspecteur. Important : pour régler les suiveurs avec précision ou les décaler sans modifier la forme de l’image au premier plan, choisissez Imiter la source dans le menu local Transformer. 7 Cliquez sur le bouton Analyser dans la palette ou dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. L’élément au premier plan est « accroché » sur l’élément à l’arrière-plan. Option 3 : transformation de l’objet avant la déformation par les angles Dans ce flux de travaux, un objet au premier plan est transformé à l’aide des paramètres Échelle, Rotation et Position de l’onglet Propriétés pour l’adapter au cadre d’une image d’arrière-plan avant l’application du comportement Suivre le mouvement. Pour transformer une image et la déformer par les angles : 1 Sélectionnez l’élément de premier plan que vous souhaitez déformer par les angles.Chapitre 2 Suivi de l’animation 69 2 À l’aide des contrôles de transformation à l’écran ou de l’onglet Propriétés de l’Inspecteur, ajustez l’échelle, la position ou la rotation de l’élément au premier plan en fonction de son « cadre ». 3 Placez la tête de lecture sur l’image à partir de laquelle vous voulez commencer le suivi et appliquez le comportement Suivre le mouvement à l’élément transformé. 4 Dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur, choisissez Quatre angles dans le menu local Type. 5 Procédez de l’une des manières suivantes :  Pour ajuster les suiveurs sans modifier l’image au premier plan, choisissez Imiter la source dans le menu local Transformer, puis positionnez les suiveurs sur les motifs de référence (dans cet exemple, il s’agit des quatre angles intérieurs du cadre de l’image).  Pour ajuster les suiveurs en modifiant l’image au premier plan, choisissez « Attacher à la source » dans le menu local Transformer, puis positionnez les suiveurs sur les motifs de référence. 6 Cliquez sur le bouton Analyser dans la palette ou dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. L’élément au premier plan est « accroché » sur l’élément à l’arrière-plan. Étant donné qu’il est possible que ce flux de travaux ne donne pas des résultats parfaits (par exemple, il se peut que l’élément au premier plan ne soit pas mis à l’échelle correcte ou ne se déplace pas avec l’image d’arrière-plan comme il le devrait), vous devrez peut-être appliquer un masque à l’image au premier plan ou la rogner.70 Chapitre 2 Suivi de l’animation Masquage et suivi Lorsqu’un masque est ajouté à un objet auquel des données de suivi ont été appliquées, ces données sont automatiquement appliquées au masque. Dans les images ci-dessous, l’image au premier plan est reliée à quatre points du plan d’arrière-plan, mais il faut encore lui appliquer un masque pour l’adapter au cadre de l’image (sans modifier irrégulièrement son échelle). Bien que le masque soit attaché à l’image au premier plan, il peut s’avérer nécessaire d’animer les modifications de la position et de l’échelle du masque pour tenir compte des modifications du plan d’arrière-plan au fil du temps. Remarque : une autre possibilité, si vous ne souhaitez pas utiliser un masque, consiste à rogner un objet auquel des données de suivi ont été appliquées en se servant des contrôles de rognage qui se trouvent dans l’onglet Propriétés de l’Inspecteur. Vous pouvez relier les points de contrôle d’un masque à un plan ou appliquer des données de suivi existantes aux points de contrôle d’un masque. Pour en savoir plus, voir « Flux de travaux du comportement Suivre les points » à la page 77. Élément de premier plan transformé et suivi Élément de premier plan transformé et suivi avec application d’un masqueChapitre 2 Suivi de l’animation 71 Déformation par quatre angles avec décalage En fonction de votre séquence source, il se peut que vous deviez déformer un élément par les angles en utilisant des points de référence décalés par rapport à la taille « déformée » finale de l’élément au premier plan. Pour ce faire, vous devez décaler les suiveurs à l’aide de l’option Imiter la source. Dans l’exemple simple ci-dessous, les motifs de référence à suivre sont situés à l’intérieur d’un cadre plutôt que sur ses angles. Étant donné que les points de référence de suivi ne se trouvent pas dans l’alignement du bord intérieur du cadre, vous devez décaler l’image par rapport aux quatre suiveurs. Sinon, l’image finale déformée par les angles semblera trop petite. L’exemple suivant montre comment décaler les suiveurs sans modifier l’image au premier plan. L’indicateur visuel de couleur orange (le contour orange) représente la taille finale de l’image déformée par les angles. Les indicateurs visuels orange encerclent les points de référence de suivi.72 Chapitre 2 Suivi de l’animation Pour suivre des points de référence décalés par rapport à l’image au premier plan : 1 Utilisez l’un des flux de travaux décrits ci-dessus pour préparer une déformation par les quatre angles à l’aide du comportement Suivre le mouvement. 2 Choisissez Imiter la source dans le menu local Transformer de l’onglet Comportements de l’Inspecteur. 3 Dans le Canevas, faites glisser les suiveurs jusque sur les points de référence décalés. L’image n’est pas modifiée et demeure verrouillée sur son emplacement original. 4 Cliquez sur le bouton Analyser dans la palette ou dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. L’élément au premier plan est « accroché » sur l’élément à l’arrière-plan. Utilisation du suivi à quatre points sans suivre le mouvement pour effectuer une déformation par les angles Cette section décrit un flux de travaux supplémentaire de déformation par les quatre angles faisant référence au suivi à quatre points provenant d’un comportement Analyser animation. Remarque : vous pouvez également effectuer ce flux de travaux avec le comportement Stabiliser.Chapitre 2 Suivi de l’animation 73 Pour enregistrer un suivi à quatre points à l’aide du comportement Analyser animation : 1 Placez la tête de lecture sur l’image à partir de laquelle vous voulez commencer le suivi et appliquez un comportement Analyser animation à l’élément d’arrière-plan. Par défaut, un seul suiveur apparaît dans le Canevas. Pour les opérations Analyser animation et Stabiliser à quatre points, les suiveurs doivent être positionnés dans le sens des aiguilles d’une montre en partant de l’angle supérieur gauche. Cette façon de procéder permet de s’assurer que l’élément est correctement aligné lorsque la transformation est appliquée. 2 Faites glisser le suiveur (Suivi 1) sur le motif de référence souhaité dans l’angle supérieur gauche de l’élément d’arrière-plan. 3 Dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur, cliquez sur Ajouter pour ajouter un deuxième suiveur, puis faites glisser ce deuxième suiveur (Suivi 2) sur le motif de référence souhaité dans l’angle supérieur droit de l’élément d’arrière-plan. 4 Ajoutez un autre suiveur (Suivi 3) et faites-le glisser sur le motif de référence souhaité dans l’angle inférieur droit de l’élément d’arrière-plan. 5 Ajoutez un autre suiveur (Suivi 4) et faites-le glisser sur le motif de référence souhaité dans l’angle inférieur gauche de l’élément d’arrière-plan. 6 Cliquez sur le bouton Analyser dans la palette ou dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Le suivi est généré et ses données sont enregistrées dans le comportement. Remarque : vous pouvez enregistrer des comportements de suivi dans la Bibliothèque pour les utiliser ultérieurement. Pour appliquer le suivi à quatre points enregistré à un élément de premier plan : 1 Appliquez un comportement Suivre le mouvement à l’élément de premier plan que vous voulez déformer par les angles. 2 Si les données Analyser animation ne sont pas automatiquement appliquées, choisissez le suivi Analyser animation à quatre points existant dans le menu local des comportements de suivi. Suivi 1 Suivi 2 Suivi 4 Suivi 374 Chapitre 2 Suivi de l’animation 3 Choisissez Quatre angles dans le menu local Type de la palette ou de l’onglet Comportements de l’Inspecteur. 4 Cliquez sur le bouton Analyser dans la palette ou dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Les données de suivi à quatre points du comportement Analyser animation sont appliquées à l’élément au premier plan. Remarque : lorsque vous utilisez le comportement Suivre le mouvement pour effectuer un suivi à quatre points, les suiveurs sont automatiquement placés selon l’ordre approprié dans le Canevas une fois l’option Quatre angles sélectionnée dans le menu local Type de l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Flux de travaux du comportement Stabiliser Cette section fournit une vue d’ensemble de l’utilisation du comportement de suivi Stabiliser pour stabiliser un film ou une séquence d’images. Pour obtenir une description complète des paramètres Stabiliser, reportez-vous à la section « Contrôles du comportement Stabiliser » à la page 109. Avec le comportement Stabiliser, trois méthodes sont possibles pour analyser un plan :  Utilisez la technique par défaut d’analyse avancée de l’animation qui évalue immé- diatement la totalité de l’image d’un plan pour en extraire les données d’animation sans utiliser de suiveurs à l’écran.  Utilisez des suiveurs à l’écran qui analysent un motif de référence (petit groupe de pixels) dans le Canevas. Ces suiveurs sont les mêmes que ceux utilisés par les comportements Suivre le mouvement et Analyser animation.  Utilisez une méthode combinant la technique d’analyse avancée de l’animation et les suiveurs à l’écran. Important : pour en savoir plus sur l’utilisation des suiveurs à l’écran avec le comportement Stabiliser, reportez-vous à la section « Ajout de suiveurs à la stabilisation » à la page 97. Lorsque vous disposez des résultats de l’analyse, vous pouvez les appliquer de deux maniè- res différentes. Le plan peut être soit lissé, pour éliminer tout tremblement indésirable mais en conservant le mouvement général de la caméra, soit verrouillé pour stabiliser le sujet. Le lissage peut avoir une incidence sur la translation, la rotation ou l’échelle, ce qui en fait un outil plus souple que les autres comportements de suivi pour certaines opérations. Le comportement Stabiliser est surtout utile pour supprimer le tremblement indésirable provoqué par un support de caméra instable, pour éliminer le vacillement de l’image dû aux prises de vue effectuées avec la caméra à l’épaule ou pour réduire les vibrations dans les scènes tournées depuis l’intérieur d’un véhicule.Chapitre 2 Suivi de l’animation 75 Remarque : aussi utile que soit le comportement Stabiliser, sachez que le flou d’animation présent dans l’image ne peut pas être éliminé, même si vous parvenez à lisser ou verrouiller correctement le sujet filmé. Ceci peut éventuellement avoir une incidence sur votre façon d’envisager la réalisation du composite. Pour stabiliser un plan à l’aide du comportement Stabiliser : 1 Appliquez un comportement Stabiliser au plan que vous souhaitez stabiliser. Remarque : contrairement aux flux de travaux des autres comportements, le mode automatique du comportement Stabiliser analyse la totalité du plan plutôt que la seule partie qui commence à l’emplacement actuel de la tête de lecture. 2 Définissez les options à utiliser pour l’analyse : a Choisissez une option dans le menu local Méthode de la palette ou de l’onglet Comportements de l’Inspecteur.  Choisissez Stabiliser pour verrouiller une image afin de supprimer les problèmes tels que le tremblement de la caméra.  Choisissez Lisser pour lisser le mouvement de la caméra dans le plan. b Choisissez une option dans le menu local Contours :  Choisissez Normale pour conserver la taille de la séquence stabilisée. Les transformations résultantes effectuées sur l’image stabilisée peuvent entraîner l’apparition de contours noirs mobiles autour du plan. Remarque : pour obtenir des suggestions concernant la correction des contours noirs, reportez-vous à la section « Suppression des contours noirs produits par la stabilisation » à la page 98. Les contours normaux conservent la taille du plan stabilisé, mais entraînent l’apparition de contours noirs autour du plan.76 Chapitre 2 Suivi de l’animation  Choisissez Zoom pour agrandir le plan afin qu’il remplisse le Canevas. Cela empêche l’apparition de contours noirs autour du plan stabilisé. c Choisissez une option dans le menu local Direction :  Choisissez Horizontal et Vertical pour appliquer la transformation de stabilisation aux dimensions X et Y.  Choisissez Horizontal pour appliquer la transformation de stabilisation à la dimension X.  Choisissez Vertical pour appliquer la transformation de stabilisation à la dimension Y. d Activez ou désactivez les options Ajuster :  Activez l’option Position pour appliquer les données de position analysées au plan.  Activez l’option Échelle pour appliquer toutes les données d’échelle analysées au plan. Remarque : l’option Échelle n’a aucun rapport avec l’option Zoom du menu local Contours. Remarque : vous pouvez modifier les paramètres Méthode, Contours, Direction et Ajuster avant ou après l’analyse du plan. 3 Cliquez sur le bouton Analyser dans la palette ou dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Remarque : le plan est stabilisé en fonction des paramètres définis. Contrairement aux suiveurs de Motion, l’analyse Stabiliser par défaut ne crée pas d’images clés dans l’Éditeur d’image clés. La transformation de l’objet stabilisé peut toutefois être convertie en images clés. Pour en savoir plus, voir « Conversion de suivis en images clés » à la page 87. Pour en savoir plus sur la correction des problèmes liés à la stabilisation, reportez-vous à la section « Dépannage des effets de stabilisation » à la page 96. L’option Zoom de Contours permet de redimensionner le plan stabilisé afin qu’il ne s’écarte pas des contours du Canevas.Chapitre 2 Suivi de l’animation 77 Remarque : comme dans le cas de la plupart des objets auxquels des comportements ont été appliqués, la trajectoire d’animation créée par la transformation est affichée dans le Canevas lorsque l’objet stabilisé est sélectionné. Flux de travaux du comportement Déstabiliser Cette section fournit une vue d’ensemble de l’utilisation du comportement de suivi Déstabiliser pour rétablir le tremblement ou le mouvement de la caméra dans un plan terminé. La seule fonction de ce comportement est d’appliquer un mouvement enregistré par un autre comportement de suivi (tel que Stabiliser) à un plan ou à un objet. Ceci vous permet soit de reproduire le mouvement de la caméra dans un plan d’arrière-plan sur les éléments situés au premier plan, soit de déstabiliser un plan stabilisé. Remarque : seul un projet comprenant un comportement de suivi avec des données d’animation enregistrées peut utiliser le comportement Déstabiliser. Pour utiliser le comportement Déstabiliser : 1 Sélectionnez l’objet à déstabiliser, cliquez sur l’icône Ajouter comportement dans la barre d’outils, puis choisissez Suivi de l’animation > Déstabiliser dans le menu local. 2 Procédez de l’une des manières suivantes :  Choisissez un comportement de suivi dans le menu local de la palette ou de l’onglet Comportements de l’Inspecteur.  Faites glisser un comportement de suivi analysé dans le cadre Source de la palette ou de l’onglet Comportements de l’Inspecteur. L’animation est appliquée à l’objet de destination. Flux de travaux du comportement Suivre les points Le comportement Suivre les points est prévu pour une utilisation avec des formes et des masques. Il peut être utilisé de différentes manières, en :  reliant les points de contrôle d’une forme ou d’un masque à un plan ;  appliquant des données de suivi provenant d’une autre analyse de suivi aux points de contrôle d’une forme ou d’un masque ;  appliquant l’animation d’un objet aux points de contrôle d’une forme ou d’un masque. Remarque : pour appliquer le mouvement analysé d’un objet à une forme ou à un masque dans son ensemble (et non aux points de contrôle de la forme ou du masque), utilisez le comportement Suivre le mouvement. Pour obtenir une description complète des paramètres Suivre les points, reportez-vous à la section « Contrôles du comportement Suivre les points » à la page 114. Établissement d’un lien entre les points de contrôle et un plan Cette section fournit un bref aperçu de l’utilisation du comportement Suivre les points pour relier les sommets d’une forme ou d’un masque à un plan.78 Chapitre 2 Suivi de l’animation Pour effectuer le suivi d’une forme ou d’un masque à l’aide du comportement Suivre les points : 1 Sélectionnez la forme ou le masque dont vous souhaitez effectuer le suivi, cliquez sur l’icône Ajouter comportement dans la barre d’outils, puis choisissez Formes > Suivre les points dans le menu local. Le comportement est ajouté à la forme et des suiveurs apparaissent pour chaque point de contrôle situé sur la forme. L’ordre des suiveurs correspond à l’ordre dans lequel la forme a été dessinée : le point de contrôle 1 correspond au Suivi 1, le point de contrôle 2 au Suivi 2, etc. Remarque : aucun suiveur n’est ajouté pour les points de contrôle de la forme qui sont désactivés. Vous conservez la possibilité d’activer et de désactiver les points de contrôle après l’application du comportement Suivre les points à une forme. Pour en savoir plus sur l’utilisation des points de contrôle des formes, reportez-vous au Chapitre 12, « Utilisation des formes et des masques », du Manuel de l’utilisateur de Motion 3. Dans cet exemple, le comportement Suivre les points est appliqué à un masque approximatif constitué de sept points de contrôle qui isolent une voiture dans un plan. Remarque : n’oubliez pas que les traits de peinture comprennent généralement un très grand nombre de points de contrôle. Nous vous conseillons de simplifier votre trait de peinture en supprimant ou en désactivant des points de contrôle avant de lui appliquer un comportement Suivre les points. Pour effectuer le suivi du trait dans son ensemble, plutôt que par ses points de contrôle, utilisez le comportement Suivre le mouvement. 2 Faites glisser les suiveurs et déposez-les sur leurs motifs de référence. Lorsque vous faites glisser un suiveur, une agrandissement de la zone située autour de celui-ci apparaît.Chapitre 2 Suivi de l’animation 79 3 Pour désactiver un suiveur, désélectionnez sa case dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Remarque : les points de contrôle auxquels aucun suiveur n’est associé ne sont pas modifiés. 4 Cliquez sur le bouton Analyser dans la palette ou dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Les points de contrôle du masque sont reliés aux motifs de référence. Dans cet exemple, le masque permet d’isoler la voiture en mouvement, ce qui permet ensuite d’appliquer des effets de flou et de désaturation à l’arrière-plan sans toucher à la voiture. Remarque : comme pour tous les comportements, vous pouvez faire glisser ou copier (Option + glisser) un comportement Suivre les points sur une nouvelle forme dans la Liste de couches. Le comportement est réinitialisé lorsque vous l’appliquez à une nouvelle forme. Utilisation d’un objet comme source d’animation Cette section fournit un bref aperçu de l’utilisation du comportement Suivre les points pour appliquer l’animation d’un objet aux sommets d’une forme ou d’un masque. Pour ce flux de travaux, votre projet doit contenir un objet animé à l’aide d’images clés ou de comportements. Pour appliquer l’animation d’un objet aux points de contrôle d’une forme ou d’un masque : 1 Appliquez le comportement Suivre les points à l’objet que vous voulez animer. S’il y a un objet animé au-dessous de l’objet auquel le comportement Suivre les points a été appliqué dans la Liste de couches, son animation est automatiquement appliquée au comportement Suivre les points, comme le montre le cadre Source de la palette et de l’Inspecteur. Plan original non modifié Un masque relié aux points de référence isole la voiture dans le plan et permet d’appliquer des effets distincts à celle-ci et à son arrière-plan.80 Chapitre 2 Suivi de l’animation Dans cet exemple, le comportement Suivre les points est appliqué à la forme de Bézier et une ligne utilisée comme animation source est animée à l’aide du comportement Rotation. Remarque : pour faire référence à un autre objet animé, faites glisser ce dernier dans cadre Source du comportement Suivre les points ou directement sur le comportement dans La liste de couches. L’animation de rotation de la ligne est appliquée à la forme de Bézier. Les tangentes conservent l’alignement déterminé par leurs angles originaux le long de la forme. 2 Pour aligner les tangentes en fonction de la transformation de l’objet source, cochez la case Aligner les tangentes dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. La forme de Bézier change de forme, car les tangentes au sommet correspondent à la transformation de l’animation source. Forme de Bézier à laquelle le comportement Suivre les points a été appliqué Objet source Le cadre Source de la palette affiche l’objet source référencé.Chapitre 2 Suivi de l’animation 81 Remarque : l’option « Attacher à la source » est sélectionnée par défaut dans le menu local Transformer. Pour en savoir plus sur l’utilisation du menu Transformer, reportez-vous à la section « Contrôles du comportement Suivre les points » à la page 114. Flux de travaux du comportement Suivre le paramètre Le comportement Suivre le paramètre permet de relier un paramètre de position d’un filtre à une caractéristique de référence dans un plan ou de lui appliquer des données de suivi existantes. Vous pouvez, par exemple, relier le centre d’un filtre Rayons de lumière à une lumière en mouvement dans un plan. Remarque : ce comportement n’est applicable qu’aux filtres dotés de paramètres de position, tels qu’Étalement, Anneaux concentriques, Rayons de lumière, Tunnel, etc. Pour obtenir une description complète du comportement Suivre le paramètre, reportezvous à la section « Contrôles du comportement Suivre le paramètre » à la page 115. Pour utiliser le comportement Suivre le paramètre : 1 Dans le Canevas, placez le point central du filtre sur le motif de référence. Dans cet exemple simple, le point central d’un flou est placé sur la plaque d’immatriculation d’une voiture. Remarque : pour utiliser les contrôles à l’écran d’un filtre, sélectionnez celui-ci dans la Liste de couches, puis choisissez l’outil Ajuster l’élément parmi les outils Sélectionner/ Transformer de la barre d’outils. Pour en savoir plus sur l’utilisation des filtres, reportezvous au Chapitre 10, « Utilisation des filtres », dans le Manuel de l’utilisateur de Motion 3. 2 Dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur, cliquez sur le paramètre Centre tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez Suivre dans le menu contextuel. Dans le Canevas, le contrôle à l’écran du filtre est remplacé par un suiveur. L’onglet Comportements devient actif et les paramètres de comportement Suivre sont affichés. Remarque : une icône de comportement apparaît à côté du paramètre Centre dans l’onglet Filtres. Elle indique que ce paramètre subi l’influence d’un comportement. Utilisez les contrôles à l’écran pour placer le point central d’un filtre sur le motif de référence du suivi.82 Chapitre 2 Suivi de l’animation Au besoin, vous pouvez ajuster le suiveur dans le Canevas. Si le motif de référence dont vous souhaitez effectuer le suivi est décalé par rapport au centre du filtre, servez-vous de la case Décaler la piste. Pour en savoir plus sur l’utilisation du paramètre Décaler la piste, reportez-vous à la section « Suivi de points cachés ou hors-cadre » à la page 94. 3 Cliquez sur le bouton Analyser dans la palette ou dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Le centre du filtre est relié au plan. Remarque : vous pouvez modifier les paramètres du filtre une fois l’analyse effectuée. Ajustement des suiveurs à l’écran Certains contrôles à l’écran et commandes de l’interface sont communs aux comportements Analyser animation, Stabiliser et Suivre le mouvement. Un suiveur consiste en une seule commande à l’écran : le suiveur. La couleur par défaut des suiveurs à l’écran est le jaune. Selon la couleur de votre sujet, vous serez parfois amené à changer la couleur des suiveurs afin de pouvoir les distinguer dans le Canevas. Lorsque l’analyse de suivi commence, une fenêtre de progression s’ouvre et des points de suivi apparaissent dans le Canevas. Ces points de suivi forment la trajectoire d’animation (trajectoire ayant l’apparence d’une chaîne de perles) qui apparaît dans le Canevas après l’analyse. Le point de suivi pour l’emplacement actuel de la tête de lecture est mis en évidence.Chapitre 2 Suivi de l’animation 83 Pour positionner le suiveur, procédez de l’une des manières suivantes : m Faites glisser le suiveur dans le Canevas. Lorsque vous faites glisser le suiveur, la zone qui se trouve autour dans le Canevas est agrandie et sa position est affichée dans une fenêtre d’informations. Cette zone est un indicateur visuel destiné à vous aider à positionner le suiveur, ce n’est pas une zone de recherche. Remarque : contrairement à de nombreux suiveurs de corrélation, il n’est pas nécessaire de spécifier manuellement une zone de recherche lorsque vous configurez un suiveur dans Motion. Motion effectue automatiquement des recherches (avec une précision de l’ordre du sous-pixel) dans une zone par défaut située autour du point de suivi. L’onglet Comportements de l’Inspecteur comprend une zone Aperçu du suivi qui est actualisée à mesure que vous faites glisser le suiveur dans le Canevas. m Faites glisser le pointeur dans la zone Aperçu du suivi pour régler avec plus de précision la position du suiveur. À mesure que vous faites glisser le pointeur dans la zone d’aperçu, le suiveur est également actualisé dans le Canevas. Faites glisser le pointeur où bon vous semble à l’intérieur de la zone Aperçu du suivi pour ajuster la position du suiveur. Vous n’êtes pas obligé de faire glisser le signe plus (+) rouge.84 Chapitre 2 Suivi de l’animation m Cliquez sur le triangle d’affichage du suiveur dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur, puis utilisez les contrôles de Position ajuster numériquement la position du suiveur. Pour déplacer plusieurs suiveurs à la fois : m Dans le Canevas, sélectionnez les suiveurs souhaités en les englobant dans un rectangle de sélection ou en cliquant sur le premier et sur le dernier tout en maintenant la touche Maj enfoncée, puis faites-les glisser jusqu’à une autre position. Les suiveurs sélectionnés apparaissent en blanc. Remarque : étant donné que vous risquez de déplacer les suiveurs à l’écran sans le vouloir si vous les sélectionnez à l’aide de la touche Maj, il est peut-être préférable de les sélectionner en traçant un rectangle de sélection autour. Pour désactiver des suiveurs à l’écran, procédez de l’une des manières suivantes : m Cliquez sur un suiveur dans le Canevas tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez « Masquer le comportement Suivre sélectionné » dans le menu contextuel. m Désélectionnez la case Suivre appropriée dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Une fois qu’un suiveur a été désactivé, il n’est plus utilisé lors de l’analyse. Pour activer des suiveurs à l’écran : m Cochez la case Suivre appropriée dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Pour changer la couleur du suiveur à l’écran : 1 Sélectionnez le suiveur, puis cliquez sur l’onglet Comportements dans l’Inspecteur. 2 Cliquez sur le triangle d’affichage du suiveur et utilisez les contrôles de Couleur pour modifier la couleur du suiveur. Contrôle Couleur du suiveurChapitre 2 Suivi de l’animation 85 Stratégies pour un suivi amélioré La sélection d’une bonne caractéristique de référence pour le suivi, dans un film ou dans une séquence d’images, est cruciale pour l’obtention d’un suivi précis. Le suivi est souvent une affaire de tâtonnement et, lorsqu’il concerne un seul motif de référence avec une seule analyse, il produit rarement un résultat parfait. Un processus réussi implique géné- ralement de combiner un suivi automatique et un suivi manuel, de faire des essais avec différents réglages de paramètres et de redéfinir certains points de référence à différents endroits du plan. Recherche d’un bon motif de référence La première étape du processus de sélection d’un bon motif de référence consiste à lire la séquence plusieurs fois. Lors du visionnage du plan, essayez de trouver un motif de référence qui respecte le plus grand nombre possible des règles indiquées ci-dessous :  Le motif contient des bords perpendiculaires, tels que des points, des intersections et des angles (il vaut mieux éviter les lignes et les bordures rectilignes comme motifs de référence de suivi).  Il s’agit d’un motif à contraste élevé.  Le motif contient des changements graduels de luminosité ou de couleur (exemple de changement brusques de luminosité ou de couleur : une ombre aux limites très marquées traversant votre motif de référence).  Le motif est présent dans toutes les images du plan (il ne sort pas de l’écran ou n’est pas caché par d’autres objets).  Le motif se distingue des autres motifs environnants dans le plan. Préparation manuelle de votre suivi Une autre technique possible est celle qui consiste à insérer manuellement des images clés de suivi. Ainsi, si vous disposez de 100 images à suivre, vous pouvez créer manuellement une image clé toutes les 10 images. Pour créer manuellement des images clés de suivi à l’aide du bouton Enregistrer : 1 Activez l’enregistrement (appuyez sur la touche A). 2 Dans le Canevas, placez le suiveur sur le point de référence à suivre. Une image clé de suivi est créée dans le comportement. Remarque : vous pouvez appuyer sur les touches Maj + Point pour faire un saut de 10 images en avant ou sur les touches Maj + Virgule pour faire un saut de 10 images en arrière. 3 Répétez l’étape 2 jusqu’à ce que vous ayez terminé le suivi.86 Chapitre 2 Suivi de l’animation Pour créer manuellement des images clés sans activer l’enregistrement : 1 Dans le Canevas, placez le suiveur sur le point de référence à suivre. 2 Procédez de l’une des manières suivantes :  Pour Analyser animation, Suivre le mouvement ou Stabiliser (avec suiveurs manuels), choisissez Objet > « Ajouter une image clé Position » ou Objet > « Ajouter une image clé Résultat » (ou appuyez sur Contrôle + K).  Pour Stabiliser (mode automatique), choisissez Objet > « Ajouter une image clé Vecteur d’animation ». Modification manuelle des suivis Vous pouvez modifier manuellement les points de suivi. Pour régler manuellement un point de suivi à l’écran : 1 Placez la tête de lecture sur l’image que vous souhaitez modifier. Le point de suivi situé à l’emplacement actuel de la tête de lecture est mis en surbrillance. 2 Procédez de l’une des manières suivantes :  Faites glisser le point de suivi mis en surbrillance dans le Canevas afin d’ajuster sa position.  Faites glisser le pointeur dans la zone Aperçu du suivi de l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Remarque : le paramètre Position du suiveur permet uniquement d’ajuster le suiveur à l’écran, il ne concerne pas les points de suivi à l’écran. Pour obtenir un réglage plus précis, vous pouvez utiliser l’outil Zoom pour effectuer un zoom avant ou arrière sur le plan. Comme le zoom suit le pointeur, placez ce dernier sur le point de suivi dans le Canevas, puis faites-le glisser vers la droite pour effectuer un zoom avant. Faites-le glisser vers la gauche pour effectuer un zoom arrière sur le plan. Pour revenir à l’affichage normal, choisissez 100 % dans le menu local Niveau de zoom (situé dans la section inférieure droite de la barre d’outils). Vous pouvez également ajuster une courbe de suivi dans l’Éditeur d’images clés. Pour en savoir plus sur l’utilisation de l’Éditeur d’images clés, reportez-vous au Chapitre 6, « Courbes et animation à l’aide d’images clés », du Manuel de l’utilisateur de Motion 3. Outil ZoomChapitre 2 Suivi de l’animation 87 Conversion de suivis en images clés Les données de suivi enregistrées ou référencées par les comportements Suivre le mouvement, Stabiliser ou Déstabiliser peuvent être « incorporées » aux images clés de l’objet transformé. Les images clés de suivi sont appliquées à l’objet suivi et le comportement est supprimé du projet. Vous pouvez ensuite modifier les courbes d’animation dans l’Éditeur d’images clés. Étant donné qu’ils ne transforment pas l’image, les suivis enregistrés par le comportement Analyser animation ne peuvent pas être convertis en images clés. Un comportement Suivre le mouvement ou Stabiliser faisant référence aux données d’un comportement Analyser animation peut toutefois être converti en images clés. Pour convertir un comportement de suivi en images clés : 1 Sélectionnez le comportement Suivre le mouvement, Stabiliser ou Déstabiliser à convertir. 2 Choisissez Objet > « Convertir en images clés » (ou appuyez sur Commande + K). Une zone de dialogue apparaît pour confirmer la conversion. 3 Cliquez sur OK. Le comportement est converti en images clés modifiables et le comportement de suivi est supprimé. Pour en savoir plus sur la conversion des comportements en images clés, reportez-vous au Chapitre 5, « Utilisation des comportements », dans le Manuel de l’utilisateur de Motion 3. Pour en savoir plus sur l’utilisation de l’Éditeur d’images clés, reportez-vous au Chapitre 6, « Courbes et animation à l’aide d’images clés », du Manuel de l’utilisateur de Motion 3. Détérioration des suivis Une fois qu’une analyse a été effectuée, il est parfois nécessaire de recommencer le suivi d’une partie du plan. Plutôt que d’utiliser à nouveau de mauvaises images clés, il est conseillé de supprimer celles-ci avant de recommencer le suivi. Si les « mauvaises » images clés ne sont pas supprimées, le suiveur risque de continuer à utiliser l’ancien point de référence. Pour supprimer de mauvaise images clés de suivi : 1 Positionnez la tête de lecture sur l’image dans laquelle vous voulez redéfinir le motif de référence.88 Chapitre 2 Suivi de l’animation 2 Dans l’Éditeur d’images clés, faites glisser le pointeur pour sélectionner les images clés à supprimer. 3 Cliquez dans l’Éditeur d’images clés en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez Couper dans le menu contextuel (ou appuyez sur la touche Suppr). 4 Dans le Canevas, faites glisser le suiveur sur le point de référence, puis cliquez sur Analyser. De nouvelles images clés de suivi sont créées. ∏ Astuce : si vous êtes confronté à plusieurs suiveurs problématiques, il peut s’avérer utile de désactiver les suiveurs que vous n’êtes pas en train de corriger afin de simplifier l’Éditeur d’images clés. De même, lorsque vous effectuez un réglage précis de suivis dans l’Éditeur d’images clés, il peut être pratique de simplifier ce qui est affiché dans le graphique. L’image ci-dessous montre les courbes d’une opération simple de déformation par quatre angles.Chapitre 2 Suivi de l’animation 89 Pour isoler rapidement une courbe, cliquez sur la case du paramètre dans la liste de paramètres de l’Éditeur d’images clés tout en maintenant la touche Option enfoncée. Lissage des courbes d’images clés de suivi Il est possible de lisser un suivi à l’aide de la fonction « Suppression d’images clés », disponible dans le menu Animation de la liste de paramètres de l’Éditeur d’images clés. Avant de lisser la courbe, il est conseillé de sauvegarder le comportement en le copiant dans la Bibliothèque ou en le dupliquant dans le projet. Pour lisser une courbe de suivi : 1 Dans l’Éditeur d’images clés, cliquez sur le menu Animation correspondant au suivi que vous souhaitez lisser, puis choisissez « Réduire les images clés » dans le menu local. Avant la simplification de la courbe, une image clé est affichée pour chaque image.90 Chapitre 2 Suivi de l’animation La zone de dialogue « Réduire les images clés » apparaît. L’option « Réduire les images clés » applique un algorithme de dilution aux images clés du paramètre choisi, ce qui réduit le nombre d’images clés dans ce paramètre tout en essayant de conserver une forme similaire pour la courbe. L’algorithme de dilution se règle de deux façons : l’augmentation de la tolérance maximale d’erreurs permet d’obtenir quelques images clés et l’augmentation du facteur de lissage rend les courbes plus lisses entre les valeurs d’images clés. Cet exemple utilise la valeur 5, ce qui signifie que 5 points de suivi concentrés sur le point actuellement évalué sont utilisés pour calculer la nouvelle valeur lissée du point actuel. Il s’agit d’un filtre gaussien (courbe en forme de cloche) standard. En d’autres termes, si vous conservez la valeur 5, les images 10, 11, 12, 13 et 14 sont prises en compte pour calculer la valeur de l’image 12. Si vous choisissez 3, les images 11, 12 et 13 sont utilisées. Plus le facteur de lissage est élevé, plus le nombre de points pris en compte pour chaque point de la courbe est important (et par conséquent, plus les calculs effectués sont nombreux). 2 Définissez les valeurs dans la zone de dialogue « Réduire les images clés ». La courbe est modifiée dans l’Éditeur d’images clés au fur et à mesure que vous ajustez les curseurs ou les curseurs de valeur dans la zone de dialogue. 3 Cliquez sur OK. Une fois simplifiée, la courbe est lissée et contient moins d’images clés.Chapitre 2 Suivi de l’animation 91 Calcul de la moyenne d’une courbe de suivi Une autre option de lissage possible consiste à appliquer le comportement de paramètre Moyenne à une courbe de suivi dans l’Éditeur d’images clés. Ce comportement a pour effet de lisser la transition d’une valeur d’image clé à l’autre. Les animations traitées à l’aide du comportement Moyenne sont plus fluides. Pour appliquer un comportement de paramètre Moyenne à une courbe de suivi : m Dans l’Éditeur d’images clés, cliquez sur la courbe de suivi en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez Moyenne dans le menu contextuel. La moyenne du suivi est calculée et le résultat apparaît sous la forme d’une courbe simplifiée affichée derrière les images clés dans l’Éditeur d’images clés. Pour en savoir plus sur l’utilisation des comportements de paramètre Moyenne, reportezvous au Chapitre 5, « Utilisation des comportements », dans le Manuel de l’utilisateur de Motion 3. Maintien de la qualité d’image Idéalement, le suivi d’une image doit être effectué en utilisant un maximum de données brutes. Plus la qualité de la séquence est élevée, plus la qualité du suivi le sera également. Demande d’un indice à Motion Motion est capable de vous « suggérer » de bons motifs de référence. Pour afficher les points de suivi suggérés : m Maintenez la touche Option enfoncée, cliquez sur un point de suivi dans le Canevas, puis maintenez le bouton de la souris enfoncé. Les points de suivi suggérés sont affichés sous forme de petits signes plus (+) jaunes. Tout suiveur que vous faites glisser vers l’un de ces points suggérés se place automatiquement sur ce point.92 Chapitre 2 Suivi de l’animation Les points suggérés ne constituent pas nécessairement des points de référence de suivi idéaux pour la caractéristique à suivre dans le plan. Il s’agit uniquement de zones de l’image actuelle choisies parce qu’elles correspondent aux critères indiqués pour les points de suivi, par exemple une zone à contraste élevé. Communication d’un indice à Motion Lorsque vous utilisez le comportement Analyser animation, vous pouvez indiquer à un suiveur la zone d’une image ultérieure dans laquelle il doit rechercher son motif de réfé- rence. Cet outil est idéal pour les types de plans suivants :  les plans contenant des caractéristiques qui se déplacent rapidement ;  les plans contenant des sujets se déplaçant le long d’un vecteur relativement droit (avec ou sans obstruction) ;  les plans contenant des panoramiques très rapides (il se peut que vous deviez redéfinir le suiveur « vers l’avant » à chaque changement de panoramique). Important : si votre opération de suivi échoue et que vous repositionnez votre suiveur, vous devez également redéfinir le suiveur vers l’avant dans le Canevas afin d’indiquer un nouveau vecteur d’animation à partir du nouveau point de référence. Pour définir des images vers l’avant : 1 Dans le Canevas, positionnez le suiveur sur le motif de référence souhaité. Dans l’image ci-dessous, le suiveur est positionné sur un motif de référence situé sur le pare-chocs avant de la voiture. SuiveurChapitre 2 Suivi de l’animation 93 2 Dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur, utilisez le curseur ou le curseur de valeur « Rechercher des images vers l’avant » pour spécifier le nombre d’images que votre suiveur doit anticiper. Remarque : le nombre maximum d’images pour le curseur « Rechercher des images vers l’avant » est 10. Vous pouvez toutefois saisir un nombre d’images plus important à l’aide du curseur de valeur adjacent. 3 Maintenez la touche Commande enfoncée, cliquez sur le suiveur dans le Canevas, puis faites glisser le pointeur dans le sens du déplacement du motif de référence dans le plan. Lorsque vous faites glisser le point de suivi en maintenant la touche Commande enfoncée, un cadre apparaît et montre un agrandissement de l’image spécifiée dans le paramètre « Rechercher des images vers l’avant ». 4 Relâchez le bouton de la souris une fois que le suiveur vers l’avant est positionné sur le motif de référence. Remarque : vous pouvez utiliser des images vers l’avant lorsque vous effectuez un suivi à l’envers, c’est-à-dire en regardant vers les images précédentes plutôt que vers les images suivantes. Suivi d’images avec modifications de la perspective, de l’échelle ou de la rotation Vous pouvez essayer plusieurs stratégies différentes pour les images contenant des modifications importantes de taille et d’angle. Essayez tout d’abord d’utiliser une zone de recherche plus importante. Bien que Motion ne vous permette pas d’ajuster une zone de recherche de suivi à l’écran, vous pouvez modifier sa taille de recherche par défaut à l’aide du paramètre Rechercher la taille dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Cliquez sur le triangle d’affichage du suivi (Suivi 1, par exemple) pour afficher le paramètre Rechercher la taille.94 Chapitre 2 Suivi de l’animation Une deuxième stratégie consiste à diminuer la valeur Tolérance d’échec. Une valeur Tolé- rance d’échec plus faible augmente la probabilité pour le suiveur de trouver une correspondance approximative. Avec une valeur plus élevée, le suiveur utilise des critères de concordance plus stricts. Cliquez sur le triangle d’affichage du suivi pour afficher le paramètre Tolérance d’échec. Une autre stratégie consiste à accéder directement à l’image située au milieu du plan et à effectuer un suivi vers l’avant jusqu’à la dernière image du plan. Vous pouvez ensuite revenir à l’image du milieu et effectuer un suivi à l’envers jusqu’au début du plan. Suivi de points cachés ou hors-cadre Outre l’expérimentation avec différents réglages de paramètres de suivi, il existe une technique élémentaire permettant de corriger les points de suivi qui sont cachés parce qu’ils sortent du cadre ou parce qu’un autre objet passe devant eux. La séquence ci-dessous est un exemple simple de plan nécessitant un suivi décalé. Une voiture en mouvement passe derrière un arbre qui cache temporairement le motif de référence. Lorsque le motif de référence est caché, la case Décaler la piste permet de déplacer le suiveur et de choisir un nouveau motif de référence situé dans une zone autre que celle du motif de référence initial. Le décalage entre le motif de référence initial et le nouveau motif est calculé de sorte que la continuité de la trajectoire de suivi obtenue soit maintenue. Dans l’exemple suivant, le suivi est caché par un arbre ; le suiveur est donc déplacé sur un motif de référence voisin et le suivi continue jusqu’à ce que le motif d’origine réapparaisse. Bien qu’une seule zone soit examinée, les points sont enregistrés dans une autre zone. Le deuxième motif de suivi doit se déplacer dans le même sens que le motif initial. Pour décaler (déplacer) le suiveur à l’écran et le placer sur une zone visible de l’image : 1 Placez la tête de lecture sur l’image à partir de laquelle vous voulez commencer le suivi décalé.Chapitre 2 Suivi de l’animation 95 Lorsqu’un suivi est perdu au cours d’une analyse, Motion revient automatiquement à l’image sur laquelle le suivi a échoué. Le « mauvais » point de suivi est signalé par un « x » dans le Canevas. Vous pouvez utiliser le mauvais point de suivi, ou tout point antérieur à l’image sur laquelle le suivi a échoué, pour placer le suiveur et sélectionner une nouvelle caracté- ristique de référence. Dans le Canevas, le point de suivi à l’emplacement actuel de la tête de lecture est mis en évidence. Le point de suivi correspondant à l’emplacement actuel de la tête de lecture est mis en surbrillance.96 Chapitre 2 Suivi de l’animation 2 Activez le bouton Décaler la piste dans la palette ou dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. 3 Faites glisser le suiveur pour le placer à un autre endroit du Canevas. 4 Cliquez sur Analyser pour recommencer l’analyse de l’animation. Motion continue d’ajouter des images clés sur la trajectoire du point de suivi initial en fonction du mouvement du nouveau motif de référence décalé. Remarque : lorsque vous utilisez l’option Décaler la piste, veillez à ce que le nouveau motif de référence soit placé aussi près que possible de la caractéristique de suivi initiale. Idéalement, la caractéristique décalée devrait partager la même animation que la caractéristique suivie à l’origine et apparaître sur le même sujet. Suivi d’une séquence resynchronisée Lorsque vous travaillez sur un projet qui comprend des tâches de suivi et de resynchronisation, suivez les indications ci-dessous pour obtenir de meilleurs résultats :  Étant donné que le suiveur Motion effectue son analyse à la fréquence d’images du projet, assurez-vous que la fréquence d’images de la séquence à traiter correspond à celle du projet. Par exemple, si vous voulez effectuer le suivi d’une séquence dont la fréquence d’images est de 24 images par seconde (ips), la fréquence d’images de votre projet doit également être de 24 ips. Une fois l’analyse de suivi terminée, resynchronisez le plan à l’aide des paramètres Resynchronisation de l’onglet Média de l’Inspecteur ou à l’aide des comportements Resynchronisation.  Ne resynchronisez pas la séquence avant l’analyse de suivi.  Ne resynchronisez pas la séquence. Effectuez une analyse de suivi, puis resynchronisez la séquence. Cela pourrait avoir un effet négatif sur votre suivi. Remarque : si vous voulez vraiment effectuer le suivi d’un plan après l’avoir resynchronisé, il est recommandé de le resynchroniser, de l’exporter, puis de l’importer et d’effectuer l’analyse de suivi. Bouton Décaler la pisteChapitre 2 Suivi de l’animation 97 Dépannage des effets de stabilisation Si le résultat d’une opération de stabilisation ne vous satisfait pas, il existe plusieurs moyens possibles d’améliorer le résultat. La stabilisation fonctionne mieux avec des images réelles L’analyse automatique d’animation (analyse sans suiveurs) utilisée par le comportement Stabiliser fonctionne mieux avec des images réelles. Les images artificielles, telles que celles qui sont dépourvues de texture, ne conviennent pas au mode automatique du comportement Stabiliser. Les scènes qui contiennent des mouvements de panoramique très importants ne sont pas recommandées non plus. Les images contenant des données de caméra redondantes donnent de très bons résultats. Ajout de suiveurs à la stabilisation Si un plan stabilisé présente une section particulièrement saccadée que vous ne parvenez pas à lisser, vous pouvez ajouter des suiveurs à des sections non contiguës du plan. Les données d’animation provenant de l’analyse automatique d’animation sont remplacées par les sections du plan analysées à l’aide des suiveurs à l’écran. Pour utiliser un suiveur sur une section d’opération de stabilisation : 1 Une fois l’analyse d’animation Stabiliser terminée, lisez le plan pour déterminer la section à suivre. Important : analysez toujours la totalité du plan avant d’ajouter des suiveurs. Pour obtenir un résultat optimal, le comportement Stabiliser requiert des données « significatives », c’est-à-dire, une plage d’images importante. 2 Définissez un point de sortie pour l’analyse des suiveurs : placez la tête de lecture sur l’image à laquelle vous voulez arrêter l’analyse, puis choisissez Marquer > « Marquer le point de sortie de la plage de lecture » (ou appuyez sur Commande + Option + O). 3 Placez la tête de lecture sur l’image à partir de laquelle vous voulez commencer le suivi, puis cliquez sur le bouton Ajouter dans l’Inspecteur. 4 Placez le suiveur sur le motif de référence à suivre dans le Canevas, puis cliquez sur le bouton Analyser dans la palette ou dans l’Inspecteur. La plage de lecture spécifiée est suivie, ce qui crée des points de suivi dans le Canevas et des images clés de suivi dans l’Éditeur d’images clés. Remarque : lorsque vous utilisez cette stratégie pour effectuer le suivi de plusieurs sections non contiguës du plan, utilisez autant que possible le même suiveur pour simplifier le suivi et éviter d’encombrer l’Éditeur d’images clés. Cette stratégie n’est pas recommandée pour de petites sections du plan. Par exemple, il vaut mieux ne pas y recourir pour la stabilisation par défaut de 25 images, une analyse de suivi sur 10 images, la stabilisation par défaut de 10 images, etc.98 Chapitre 2 Suivi de l’animation Modification des paramètres de lissage Si vous souhaitez lisser l’animation d’un plan, vous devriez tout d’abord essayer d’ajuster les paramètres de lissage. Ces paramètres sont Lissage de la conversion, Lissage de la rotation et Lissage de l’échelle. Le réglage des paramètres peut être effectué sans qu’il soit nécessaire d’analyser à nouveau le plan. Nouvelle analyse avec une qualité plus élevée Avant l’analyse, choisissez Mieux dans le menu local Qualité à l’intérieur de l’onglet Comportements de l’Inspecteur. L’analyse prendra plus de temps, mais sera de meilleure qualité. Modification des données d’analyse Si aucune des solutions ci-dessus ne donne des résultats satisfaisants, examinez le paramè- tre Confiance dans l’Éditeur d’images clés, puis recherchez les images pour lesquelles le paramètre Confiance présente des valeurs très faibles. Si la transformation de l’image est particulièrement visible au niveau de ces images, vous pouvez convertir le comportement Stabiliser en images clés. Cela permet de créer des images clés de transformation sur l’objet stabilisé qu’il sera ensuite possible de modifier dans l’Éditeur d’images clés. Essayez de supprimer les images clés qui provoquent des pics inhabituels au niveau des images pour lesquelles vous avez constaté une valeur faible de la courbe Confiance. Pour en savoir plus sur la transformation de comportements en images clés, consultez la section « Conversion de suivis en images clés » à la page 87. Suppression des contours noirs produits par la stabilisation Lorsque vous utilisez le comportement Stabiliser, les transformations obtenues, qui servent à lisser ou à stabiliser le plan, provoquent l’apparition de contours noirs mobiles sur les bords de l’image. Bien que ce phénomène soit nécessaire pour obtenir l’effet désiré, il n’est généralement pas souhaitable de conserver ces contours noirs dans le plan final. Vous disposez de plusieurs moyens pour traiter ces contours. Zoom sur le plan Vous pouvez utiliser le menu local Contours dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur pour effectuer un zoom sur le plan. Pour effectuer un zoom sur le plan : m Dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur, choisissez Zoom dans le menu local Contours. Le plan est agrandi pour occuper la totalité de l’espace du Canevas, ce qui empêche l’apparition de contours noirs sur les bords du plan stabilisé.Chapitre 2 Suivi de l’animation 99 Redimensionnement de l’image de sortie pour l’adapter à la taille de l’image originale Si l’image obtenue doit avoir la même taille que l’image originale, la solution la plus rapide consiste à redimensionner l’image après l’analyse Stabiliser. Vous devrez agrandir l’image jusqu’à ce que les contours noirs se trouvent hors de son cadre. Cette méthode a pour inconvénient d’adoucir l’image en fonction du facteur d’agrandissement nécessaire. Pour redimensionner l’image stabilisée : 1 Sélectionnez le plan, puis cliquez sur l’onglet Propriétés de l’Inspecteur. 2 Réglez le paramètre Échelle de sorte que les contours ne soient plus visibles sur les bords du plan. Distorsion des bords Une dernière suggestion consiste à essayer différents filtres pour étirer les bords de l’image afin de remplir les vides éventuels. Vous pouvez, par exemple, essayer d’utiliser le filtre Étalement pour étirer les bords de l’image. Cette solution dépend en grande partie du type d’image et peut introduire d’autres défauts dans l’image qui peuvent ou non être acceptables. Dans l’image ci-dessous, un contour important est créé lorsque le plan est stabilisé.100 Chapitre 2 Suivi de l’animation Un filtre Étalement est ensuite appliqué au groupe dans lequel se trouve le plan stabilisé. L’image de gauche montre le plan après la première application du filtre au groupe. À première vue, le filtre semble peu efficace. Dans l’image de droite, le centre et la rotation du filtre ont été ajustés et le contour noir a été supprimé en étirant le bord droit de l’image. Important : pour que cette technique produise des effets, vous devez appliquer le filtre au groupe du plan plutôt qu’au plan lui-même. Remarque : vous devrez peut-être cocher la case Résolution fixe dans l’onglet Groupe de l’Inspecteur pour éviter que l’effet du filtre Étalement ne soit rogné. Quelques indications générales Le suiveur Motion se sert de l’image source pour effectuer son analyse de suivi. Cela signifie qu’il utilise automatiquement la meilleure zone de recherche, la meilleure couleur, le meilleur contraste, une précision de l’ordre du sous-pixel, etc. dans le plan afin de générer des données de suivi optimales. Les stratégies de suivi habituelles, telles que l’utilisation d’astuces impliquant des filtres, le redimensionnement manuel d’une boîte de suivi ou de la zone de recherche ou la spécification d’une quantité d’échantillonnage de l’ordre du sous-pixel ne sont pas nécessaires. Toutefois, cela ne signifie pas que vous n’avez aucun effort à faire pour obtenir un suivi parfait. Les indications ci-dessous vous aideront à choisir ce qui est utile ou ce qui ne l’est pas pour votre analyse de suivi. Ce qui ne sera pas utile  Appliquer un filtre quelconque à un plan ou à un objet avant d’effectuer le suivi.  Isoler un plan suivi. Cela ne permet pas d’accélérer l’analyse de suivi.  Ajouter plusieurs comportements Stabiliser. Cela ne contribue pas à mieux stabiliser un plan analysé, car le suivi analyse la séquence source originale et non pas le résultat d’un plan analysé (ou d’un plan filtré).  Convertir un suivi en images clés et effectuer à nouveau la stabilisation.Chapitre 2 Suivi de l’animation 101  Sélectionner une caractéristique de référence de suivi qui ne change pas de perspective, d’échelle ou de rotation. Le suiveur Motion est conçu pour gérer de manière efficace les changements de perspective, d’échelle et de rotation. Ce qui sera utile  Supprimer l’entrelacement (les trames) de la séquence avant d’effectuer le suivi. Pour supprimer les trames de votre séquence, sélectionnez cette dernière dans l’onglet Média de la sous-fenêtre du projet, cliquez sur l’onglet Média dans l’Inspecteur, puis choisissez une option dans le menu local Ordre de trame. Remarque : l’entrelacement peut être présent dans les plans stabilisés à l’aide du mode d’analyse automatique du comportement Stabiliser.  Stabiliser un plan, l’exporter, l’importer, puis le stabiliser à nouveau.  Augmenter ou diminuer la netteté d’un plan ou d’un objet à l’aide d’un filtre, exporter le plan, importer le plan dans le même groupe que la séquence originale, effectuer le suivi du plan filtré, puis utiliser ces données de suivi comme source pour d’autres comportements de suivi. Remarque : d’autres astuces liées aux filtres peuvent également s’avérer utiles, telles que l’utilisation d’un filtre pour isoler un canal de couleur moins bruyant dans un plan ou un objet.  Régler la résolution d’affichage sur une valeur plus basse pour tenter d’accélérer l’analyse de suivi. Suivi et groupes Certains aspects particuliers doivent être pris en compte pour le suivi des groupes. Déformation de groupes par les angles Vous pouvez utiliser le comportement Suivre le mouvement pour déformer des groupes par les angles. Les indications ci-dessous vous permettront d’obtenir un résultat optimal :  Pour déformer un groupe 2D par les angles, il est recommandé de cocher la case Résolution fixe dans l’onglet Groupe de l’Inspecteur.  Pour déformer un groupe 3D par les angles, vous devez cocher la case Aplatir dans l’onglet Groupe de l’Inspecteur. Si l’option Aplatir n’est pas activée pour le groupe, l’option Quatre angles ne sera pas disponible dans le menu local Type des paramè- tres Suivre le mouvement. Une fois que vous avez choisi Quatre angles dans le menu local Type, l’option Quatre angles est activée dans l’onglet Propriétés de l’Inspecteur, ce qui entraîne le tramage du groupe. Pour en savoir plus sur le tramage, voir « Tramage » à la page 38. L’utilisation de l’une ou l’autre des techniques décrites ci-dessus peut toujours provoquer un redimensionnement dynamique. En cas de résultats non souhaités, exportez le groupe, importez-le, puis déformez l’objet par les angles.102 Chapitre 2 Suivi de l’animation Parallaxe dans les groupes 3D Lorsque vous suivez le mouvement de groupes 3D contenant des objets décalés dans l’espace Z, la parallaxe est simulée. La parallaxe désigne le déplacement apparent d’un objet par rapport à un arrière-plan distant, provoqué par une modification de la perspective, due par exemple à un changement de position de la caméra. Pour supprimer un effet de parallaxe, cochez la case Aplatir pour le groupe suivi dans l’onglet Groupe de l’Inspecteur. Enregistrement des suivis Comme c’est le cas pour tous les comportements dans Motion, vous pouvez enregistrer les comportements de suivi dans la Bibliothèque. Toutefois, n’oubliez pas qu’un comportement de suivi doit faire référence à l’objet source suivi. Il est par conséquent peut-être plus logique d’enregistrer la totalité du groupe contenant le comportement de suivi, avec la séquence source, dans la Bibliothèque. Pour enregistrer un groupe dans la Bibliothèque : 1 Ouvrez la Bibliothèque et sélectionnez la catégorie dans laquelle vous voulez enregistrer le groupe, telle que la catégorie Favoris, par exemple. 2 Faites glisser le groupe contenant le comportement de suivi et sa séquence source (suivie) depuis l’onglet Couches, la Timeline ou l’Inspecteur et déposez-le dans le bas de la Bibliothèque. Le groupe est ajouté à la catégorie Bibliothèque. Pour enregistrer un comportement dans la Bibliothèque : 1 Ouvrez la Bibliothèque, puis sélectionnez la catégorie Favoris, Menu Favoris ou Comportements. 2 Faites glisser le comportement personnalisé à enregistrer de l’onglet Couches, de la Timeline ou de l’Inspecteur dans la pile au bas de la Bibliothèque. Les éléments personnalisés que vous enregistrez dans la Bibliothèque sont stockés dans le dossier /Utilisateurs/nomd’utilisateur/Bibliothèque/Application Support/Final Cut Studio/ Motion/Library. Pour en savoir plus sur l’enregistrement des comportements dans la Bibliothèque, reportezvous au Chapitre 5, « Utilisation des comportements », du Manuel de l’utilisateur de Motion 3. Pour ajouter un groupe à un projet à partir de la Bibliothèque : 1 Ouvrez la Bibliothèque et sélectionnez la catégorie contenant le groupe. 2 Procédez de l’une des manières suivantes :  Pour imbriquer le groupe dans un groupe existant, faites-le glisser sur le groupe existant dans l’onglet Couches.  Pour créer un nouveau groupe, faites-le glisser sur une zone vide dans la partie inférieure de l’onglet Couches.Chapitre 2 Suivi de l’animation 103 Le groupe est ajouté au projet. Pour appliquer un comportement à un plan à partir de la Bibliothèque : 1 Ouvrez la Bibliothèque, puis sélectionnez la catégorie Favoris, Menu Favoris ou Comportements. 2 Faites glisser le comportement sur le plan dans la liste de couches, la Timeline ou le Canevas. Pour faire référence à un autre comportement de suivi au sein d’un projet : 1 Ajoutez un comportement Analyser animation, Suivre le mouvement, Stabiliser ou Déstabiliser. 2 Dans l’Inspecteur ou dans la palette du comportement de suivi, choisissez un suivi dans le menu local des comportements de suivi. Le suivi est appliqué au comportement de suivi. Paramètres des comportements de suivi d’animation La section suivante contient une description détaillée des paramètres disponibles dans les différents comportements de suivi. Remarque : il est impossible d’effectuer le suivi d’objets clonés. Contrôles du comportement Analyser animation Le comportement Analyser animation est conçu pour être utilisé avec des séquences (films ou séquences d’images). Ce comportement peut être considéré comme un suiveur de corrélation traditionnel : vous placez un suiveur à l’écran sur un motif de référence dans un plan. Le mouvement du plan au niveau du point de référence spécifié est analysé et les données analysées sont enregistrées dans le comportement. Les données enregistrées peuvent ensuite être appliquées à d’autres objets du projet. Le comportement Analyser animation ne transforme pas l’image de départ. Il sert uniquement à générer des suivis qui seront utilisées comme références par les comportements Suivre le mouvement et Stabiliser. Remarque : analyser animation ne peut pas faire référence à d’autres comportements de suivi. Important : le comportement Analyser animation ne peut être appliqué qu’à des objets séquence (séquence QuickTime ou séquence d’images).104 Chapitre 2 Suivi de l’animation Paramètres disponibles dans la palette La palette Analyser animation contient des contrôles permettant de lancer l’analyse de suivi d’animation (bouton Analyser), d’inverser le sens du suivi (case Inverser) et de spé- cifier un suivi décalé (case Décaler la piste). Le suivi décalé permet de repositionner le suiveur sur un nouveau motif de référence. Les paramètres de la palette, qui apparaissent également dans l’Inspecteur, sont décrits ci-dessous. Paramètres disponibles dans l’Inspecteur Mouvement : le paramètre Mouvement est muni de contrôles qui permettent de démarrer l’analyse de suivi et de spécifier la direction de l’analyse.  Analyser : cliquez sur le bouton Analyser pour lancer l’analyse de suivi d’animation. Une fois que vous avez cliqué sur le bouton Analyser, une fenêtre d’état apparaît pour indiquer la progression du suivi. Pour arrêter l’analyse, cliquez sur le bouton Stop de la fenêtre d’état ou appuyez sur la touche d’échappement (Échap). Le début du suivi correspond à la position actuelle de la tête de lecture et non au début du comportement dans la Timeline.  Inverser : si la case Inverser est sélectionnée, le plan est analysé à partir de la position actuelle de la tête de lecture jusqu’à la première image du plan (ou jusqu’à la première image du comportement de suivi). Remarque : vous devez placer la tête de lecture sur l’image à partir de laquelle vous voulez commencer l’analyse inversée. Suivre : cliquez sur le bouton Ajouter pour ajouter des suiveurs au comportement Analyser animation. Un seul suiveur est disponible par défaut. Les nouveaux suiveurs sont ajoutés au centre du Canevas. Pour obtenir une description des paramètres Aperçu du suivi, Décaler la piste, Zoom auto, Mode zoom auto, Rechercher des images vers l’avant, de ceux de la liste des suivis et des sous-paramètres de suiveur, reportez-vous à la section « Contrôles des suiveurs » à la page 117. Pour en savoir plus sur l’utilisation du comportement Analyser animation, voir « Flux de travaux général du suivi d’animation (avec Analyser animation) » à la page 55. Contrôles du comportement Suivre le mouvement Le comportement Suivre le mouvement peut être appliqué à différents types d’objets, tels que des groupes, des caméras, des formes, des émetteurs de particules, etc. Important : lorsque vous appliquez le comportement Suivre le mouvement à un groupe, assurez-vous que la séquence source faisant l’objet du suivi ne se trouve pas à l’intérieur de ce groupe.Chapitre 2 Suivi de l’animation 105 Paramètres disponibles dans la palette La palette Suivre le mouvement contient des contrôles permettant de charger dans le comportement un objet animé ou des données de suivi provenant d’un autre comportement de suivi (via le cadre Source ou le menu local des comportements de suivi), de lancer l’analyse d’animation (bouton Analyser), d’inverser le sens du suivi (case Inverser), de décaler le suivi (case Décaler la piste), de spécifier si l’objet de destination est déformé par les quatre angles (menu local Type) et de choisir la transformation appliquée à l’objet de destination (paramètre Ajuster). Les paramètres de la palette, qui apparaissent également dans l’Inspecteur, sont décrits ci-dessous. Paramètres disponibles dans l’Inspecteur Source : faites glisser l’objet source destiné au comportement Suivre le mouvement dans ce cadre. L’objet source peut-être un autre comportement de suivi, un objet animé ou un objet séquence. Lorsqu’un comportement Suivre le mouvement est ajouté à un objet, l’objet animé, le suivi enregistré ou l’objet séquence le plus proche du comportement dans la Liste de couches apparaît dans ce cadre. Pour effacer le contenu d’un cadre Source, faites glisser l’élément hors du cadre et relâchez le bouton de la souris. Si un objet n’appartenant pas à une séquence (tel qu’une forme ou un masque) est déposé dans le cadre Source, les suiveurs ne sont plus disponibles dans le comportement Suivre le mouvement. Remarque : si le comportement Suivre le mouvement est appliqué à un masque, l’objet masqué est automatiquement sélectionné en tant que source.  Menu local des comportements de suivi : faites un choix dans une liste de données de suivi (provenant d’autres comportements de suivi) à l’intérieur du projet. Mouvement : le paramètre Mouvement est muni de contrôles permettant de démarrer l’analyse de suivi et de spécifier la direction de l’analyse.  Analyser : cliquez sur le bouton Analyser pour lancer l’analyse de suivi d’animation. Une fois que vous avez cliqué sur le bouton Analyser, une fenêtre d’état apparaît pour indiquer la progression du suivi. Pour arrêter l’analyse, cliquez sur le bouton Stop de la fenêtre d’état ou appuyez sur la touche d’échappement (Échap). Le début du suivi correspond à la position actuelle de la tête de lecture et non au début du comportement dans la Timeline.  Inverser : si la case Inverser est sélectionnée, le plan est analysé depuis la position actuelle de la tête de lecture jusqu’à la première image du plan (ou jusqu’à la première image du comportement de suivi). Remarque : vous devez placer la tête de lecture sur l’image à partir de laquelle vous voulez commencer l’analyse inversée. Type : ce menu local permet de choisir entre le suivi à un point, le suivi à deux points et le suivi à quatre points.106 Chapitre 2 Suivi de l’animation  Transformation : cette option autorise le suivi à un ou deux points qui transforme l’objet de destination.  Quatre angles : cette option permet d’activer le suivi à quatre points qui déforme l’objet de destination par les angles. Les paramètres Direction et Ajuster ne sont plus disponibles lorsque cette option est sélectionnée. Remarque : l’option Quatre angles n’est pas disponible si le comportement Suivre le mouvement est appliqué à un groupe 3D. Pour déformer un groupe 3D par les angles, cochez la case Aplatir dans l’onglet Groupe de l’Inspecteur. Direction : ce menu local permet de spécifier la dimension sur laquelle le mouvement enregistré est appliqué à l’objet de destination : X et Y, seulement X ou seulement Y. Transformer : ce menu local permet de choisir la manière dont l’objet de destination (c’est-à-dire, l’objet auquel le comportement Suivre le mouvement est appliqué) se déplace.  Attacher à la source : cette option « colle » l’objet de premier plan au suivi enregistré ou à la source d’animation. Utilisez l’option « Attacher à la source » lorsque l’objet source change d’échelle ou subit une rotation et que vous voulez que l’objet de destination reste « collé » à un endroit particulier de l’objet source. Toute animation qui existait sur l’objet de destination avant l’application du suivi est effacée. Remarque : bien que l’objet de destination soit attaché au mouvement de l’objet source, il est possible de modifier la position de l’objet de destination (c’est-à-dire, de le décaler par rapport à l’objet source). Il est impossible de mettre l’objet de destination à l’échelle ou de le faire pivoter. Dans l’exemple ci-dessous, le comportement Suivre le mouvement est appliqué à la forme de « gélule » de couleur rouge et utilise la flèche blanche animée comme objet source. Un comportement Rotation a été appliqué à la flèche blanche qui tourne dans le sens des aiguilles d’une montre.Chapitre 2 Suivi de l’animation 107 Lorsque l’option « Attacher à la source » est sélectionnée dans le menu local Transformer, la forme rouge est verrouillée sur un endroit particulier de la flèche (dans cet exemple, il s’agit de sa pointe) lorsqu’elle suit le mouvement de cette dernière. Remarque : vous ne pouvez pas transformer un objet suivi si l’option « Attacher à la source » est sélectionnée. Il est, par exemple, impossible de modifier l’échelle, la position ou la rotation d’un objet déformé par les angles.  Imiter la source : cette option permet à l’objet de destination « d’imiter » le suivi enregistré ou la source d’animation. Toute animation qui existait sur l’objet au premier plan avant l’application du suivi est ajoutée à ce dernier. Remarque : comme pour l’option « Attacher à la source », vous pouvez modifier la position de l’objet de destination (c’est-à-dire, le décaler par rapport à l’objet source). Vous pouvez en outre redimensionner l’objet de destination ou le faire pivoter. Dans les images ci-dessous, l’option Imiter la source est sélectionnée dans le menu local Transformer. La forme rouge n’est verrouillée sur aucun point de la flèche blanche, mais elle imite l’animation de cette dernière. L’option Imiter la source permet de transformer un objet suivi dans l’onglet Propriétés de l’Inspecteur. Vous pouvez, par exemple, modifier l’échelle, la position ou la rotation d’un objet déformé par les angles. Si vous utilisez l’option Quatre angles, l’option Imiter la source permet en outre d’ajuster les suiveurs sans ajuster l’image au premier plan. Ajuster : ce paramètre permet de choisir le type de transformation appliqué à l’objet de destination.  Position : lorsque cette option est activée, la position de l’objet source (à l’arrière-plan) est appliquée à l’objet de destination (au premier plan). Lorsque l’option Position est sélectionnée, le suiveur Ancrage (position) est activé.108 Chapitre 2 Suivi de l’animation  Échelle : lorsque cette option est activée, l’échelle de l’objet source (à l’arrière-plan) est appliquée à l’objet de destination (au premier plan). La source du suivi doit contenir des données d’échelle pour que ce paramètre ait un effet. Lorsque l’option Échelle est sélectionnée, le suiveur Échelle de rotation est activé.  Rotation : lorsque cette option est activée, la rotation de l’objet source (arrière-plan) est appliquée à l’objet de destination (premier plan). La source du suivi doit contenir des données de rotation pour que ce paramètre ait un effet. Lorsque l’option Rotation est sélectionnée, le suiveur Échelle de rotation est activé. Ancrage : disponible si le suivi à un point ou à deux points est activé (lorsque Transformation est sélectionné dans le menu local Type), cette case permet d’activer ou de désactiver le suiveur Ancrage. Le suiveur Ancrage enregistre les données de position. Lorsque l’option Position est sélectionnée dans les paramètres Ajuster, le suiveur Ancrage est activé. Si le comportement Suivre le mouvement fait référence à un autre comportement, tel qu’Analyser animation, le suiveur Ancrage devient le suiveur Début. Les sous-paramètres du suiveur sont remplacés par un menu local qui permet de sélectionner le suiveur du comportement référencé que vous voulez appliquer comme suiveur Début. Par défaut, le Suivi 1 du comportement référencé est appliqué comme suiveur Début et le Suivi 2 est appliqué comme suiveur Échelle de rotation. S’il n’existe qu’un seul suiveur dans le comportement référencé, le Suivi 1 est appliqué aux deux suiveurs Suivre le mouvement. Échelle de rotation : disponible si le suivi à un point ou à deux points est activé (lorsque Transformation est sélectionné dans le menu local Type), cette case permet d’activer ou de désactiver le suiveur Échelle de rotation. Les données de rotation et d’échelle sont enregistrées en utilisant la relation entre les suiveurs Ancrage et Échelle de rotation. Lorsque l’option Échelle ou Rotation est sélectionnée dans les paramètres Ajuster, le suiveur Échelle de rotation est activé. Lorsque le comportement Suivre le mouvement fait référence à un autre comportement, les suiveurs du comportement référencé sont appliqués aux suiveurs Suivre le mouvement.Chapitre 2 Suivi de l’animation 109 Lorsque le comportement Suivre le mouvement fait référence à un autre comportement, tel qu’Analyser animation, les sous-paramètres du suiveur Échelle de rotation sont remplacés par un menu local qui permet de sélectionner le suiveur du comportement réfé- rencé que vous voulez appliquer comme suiveur Échelle de rotation. En haut à gauche : disponible si le suivi à quatre points est activé (lorsque Quatre angles est sélectionné dans le menu local Type), cette case permet d’activer ou de désactiver le suiveur supérieur gauche. En haut à droite : disponible si le suivi à quatre points est activé (lorsque Quatre angles est sélectionné dans le menu local Type), cette case permet d’activer ou de désactiver le suiveur supérieur droit. En bas à droite : disponible si le suivi à quatre points est activé (lorsque Quatre angles est sélectionné dans le menu local Type), cette case permet d’activer ou de désactiver le suiveur inférieur droit. En bas à gauche : disponible si le suivi à quatre points est activé (lorsque Quatre angles est sélectionné dans le menu local Type), cette case permet d’activer ou de désactiver le suiveur inférieur gauche. Lorsque le comportement Suivre le mouvement fait référence à un autre comportement, tel qu’Analyser animation, les sous-paramètres des suiveurs En haut à gauche, En haut à droite, En bas à droite et En bas à gauche sont remplacés par un menu local qui permet de sélectionner le suiveur du comportement référencé que vous voulez appliquer à chaque suiveur Suivre le mouvement. Pour obtenir une description des paramètres Aperçu du suivi, Décaler la piste, Zoom auto, Mode zoom auto, « Rechercher des images vers l’avant », de ceux de la liste de suivis et des sous-paramètres de suiveur, reportez-vous à la section « Contrôles des suiveurs » à la page 117. Pour en savoir plus sur l’utilisation du comportement Suivre le mouvement, voir « Flux de travaux du comportement Suivre le mouvement » à la page 59. Contrôles du comportement Stabiliser Le comportement Stabiliser a recours à une méthode différente de celle utilisée par les comportements Suivre le mouvement et Analyser animation pour analyser le mouvement dans un plan. Il n’est généralement pas nécessaire d’utiliser des suiveurs pour stabiliser un plan. La méthode sophistiquée qu’utilise ce comportement pour évaluer l’animation consiste à effectuer automatiquement le suivi de chaque pixel d’une image à la suivante. Un vecteur d’animation est ensuite calculé à partir de cette analyse. L’analyse peut être effectuée sur la totalité du plan ou sur une zone d’intérêt. Une zone d’intérêt est une zone du plan définie par l’utilisateur en vue de son analyse.110 Chapitre 2 Suivi de l’animation Si le résultat de l’analyse automatique requiert une correction supplémentaire, vous pouvez effectuer un suivi manuel sur des zones temporelles non contiguës du plan. Si vous constatez, par exemple, la présence d’un saut de caméra supplémentaire sur les images 350 à 380, vous pouvez ajouter un suiveur pour analyser uniquement cette portion du plan. Les données enregistrées à partir de l’analyse supplémentaire sont ajoutées aux données enregistrées par le suivi automatique et pour mieux lisser le plan. Outre la prise en compte du mouvement horizontal, vertical ou horizontal et vertical dans le plan, le comportement Stabiliser examine également la position, l’échelle et la rotation. Important : le comportement Stabiliser ne peut être appliqué qu’aux objets séquence (séquence QuickTime ou séquence d’images). Paramètres disponibles dans la palette La palette Stabiliser contient des contrôles permettant de charger un autre suivi de stabilisation dans le comportement (via le cadre Source ou le menu local des comportements de suivi), de lancer l’analyse d’animation (bouton Analyser), de spécifier si le plan doit être stabilisé ou lissé (menu local Méthode), de définir comment le plan stabilisé doit être « dimensionner » (menu local Contours) et de choisir le type de transformation à appliquer au plan analysé (paramètre Ajuster). Les paramètres de la palette, qui apparaissent également dans l’Inspecteur, sont décrits ci-dessous. Remarque : lorsque l’option Lissage est sélectionnée dans le menu local Méthode, des paramètres supplémentaires deviennent disponibles dans la palette et dans l’Inspecteur. Paramètres disponibles dans l’Inspecteur Source : faites glisser un objet source destiné au comportement dans ce cadre. L’objet source peut-être un autre comportement Stabiliser ou un objet séquence. Pour effacer le contenu d’un cadre Source, faites glisser l’élément hors du cadre et relâ- chez le bouton de la souris.  Menu local des comportements de suivi : faites un choix dans une liste de données de suivi (provenant d’autres comportements de suivi) au sein du projet. Remarque : lorsque vous sélectionnez une option dans le menu local des comportements de suivi, le bouton Ajouter, qui permet d’ajouter des suiveurs, n’est plus disponible. Mouvement : ce paramètre contient le bouton Analyser qui permet de lancer l’analyse de suivi. Filtre SmoothCam de Final Cut Pro Lorsqu’un plan ou une séquence Final Cut Pro contenant un filtre SmoothCam est exporté vers Motion, le filtre est converti en comportement Stabiliser dans Motion. L’option Lissage, plutôt que l’option par défaut Stabiliser, est sélectionnée dans le menu local Méthode.Chapitre 2 Suivi de l’animation 111  Analyser : cliquez sur le bouton Analyser pour lancer l’analyse de suivi d’animation. Une fois que vous avez cliqué sur le bouton Analyser, une fenêtre d’état apparaît pour indiquer la progression du suivi. Pour arrêter l’analyse, cliquez sur le bouton Stop de la fenêtre d’état ou appuyez sur la touche d’échappement (Échap). Si vous utilisez le comportement Stabiliser (sans suiveurs), le suivi commence au début du plan et non à l’emplacement actuel de la tête de lecture. Qualité : ce menu local permet de définir le niveau de précision de l’analyse d’animation. Il propose deux niveaux de qualité : Plus rapide et Mieux.  Plus rapide : cette option permet un fonctionnement plus rapide, mais l’analyse d’animation est moins détaillée.  Mieux : cette option est plus lente, mais donne lieu à une analyse plus détaillée. Il s’agit de l’option recommandée lorsque le plan contient des mouvements de rotation. Remarque : elle équivaut au réglage par défaut du filtre SmoothCam dans Final Cut Pro. Zone de détection : lorsque cette case est activée, une zone rouge apparaît dans le Canevas pour vous permettre de définir un sujet ou une zone à analyser. La partie du plan située en dehors de la zone de détection est ignorée. Les contrôles à l’écran de la zone de détection sont semblables à ceux utilisés pour les formes. Pour ajuster la zone de détection dans le Canevas, procédez de l’une des manières suivantes : m Faites glisser la zone pour modifier sa position. m Faites glisser une poignée pour redimensionner la zone. Les poignées situées sur les coins de la zone permettent de redimensionner simultanément la largeur et la hauteur. Celles situées au milieu des côtés en haut et en bas permettent de redimensionner la hauteur. Les poignées situées au milieu des côtés gauche et droit permettent de redimensionner la largeur. m Maintenez la touche option enfoncée lorsque vous faites glisser une poignée pour redimensionner la zone à partir de son centre. m Pour modifier l’angle de la zone, faites glisser la poignée de rotation qui se trouve au milieu de la zone. Poignée de rotation de la zone de détection112 Chapitre 2 Suivi de l’animation Méthode : ce menu local définit la manière dont la stabilisation est appliquée au plan.  Stabiliser : cette méthode tente de verrouiller l’animation du sujet principal du plan afin d’éliminer l’animation. L’arrière-plan donne alors l’impression de bouger autour du sujet faisant l’objet du suivi.  Lissage : cette méthode permet de lisser le mouvement apparent de la caméra en respectant le mouvement général de l’image. Elle est utile pour éliminer le tremblement qui accompagne parfois le mouvement de la caméra. Lorsqu’il est activé, ce mode propose trois curseurs correspondant à chacune des dimensions susceptibles d’être lissées.  Lissage de la conversion : permet de lisser le mouvement dans les dimensions X et Y.  Lissage de la rotation : permet de lisser la rotation de l’image.  Lissage de l’échelle : permet de lisser un zoom irrégulier. Remarque : ne définissez Lissage de l’échelle à plus de 0 que si vous êtes sûr qu’un zoom est effectué sur l’image. Contours : lorsqu’un plan est stabilisé, les transformations effectuées sur l’image stabilisée peuvent entraîner l’apparition de contours noirs mobiles autour du plan. Ce menu local définit la manière dont les bords sont traités.  Normale : conserve la taille de la séquence stabilisée. Les contours noirs mobiles sont maintenus sur les bords du plan.  Zoom : agrandit le plan de sorte qu’il occupe tout le Canevas. Cela empêche l’apparition des contours noirs sur les bords, mais l’échelle du plan stabilisé est augmentée. Direction : ce menu local permet de spécifier la dimension sur laquelle le mouvement enregistré est appliqué à l’image analysée : X et Y, seulement X ou seulement Y. Ajuster : ce paramètre permet de choisir la transformation à laquelle la stabilisation est appliquée.  Position : lorsque cette option est activée, la stabilisation est appliquée à la position de l’image analysée.Chapitre 2 Suivi de l’animation 113  Échelle : lorsque cette option est activée, la stabilisation est appliquée à l’échelle de l’image analysée.  Rotation : lorsque cette option est activée, la stabilisation est appliquée à la rotation de l’image analysée. Suivre : cliquez sur le bouton Ajouter pour ajouter des suiveurs au comportement Stabiliser. Par défaut, les nouveaux suiveurs sont ajoutés au centre du Canevas. Une fois qu’un suiveur a été ajouté à un comportement Stabiliser :  le paramètre Zone de détection n’est plus disponible ;  la case Inverser devient disponible pour vous permettre d’effectuer le suivi d’un plan à l’envers ;  les contrôles Aperçu du suivi, Décaler la piste, Zoom auto, Mode zoom auto, « Rechercher des images vers l’avant » et ceux de la liste de suivis deviennent disponibles. Remarque : vous ne pouvez pas ajouter de suiveurs au comportement Stabiliser si un autre comportement est utilisé comme source pour la stabilisation. Pour obtenir une description des paramètres Aperçu du suivi, Décaler la piste, Zoom auto, Mode zoom auto, « Rechercher des images vers l’avant », de ceux de la liste de suivis et des sous-paramètres de suiveur, reportez-vous à la section « Contrôles des suiveurs » à la page 117. Pour en savoir plus sur l’utilisation du comportement Stabiliser, voir « Flux de travaux du comportement Stabiliser » à la page 74. Contrôles du comportement Déstabiliser Le comportement Déstabiliser est utilisé pour appliquer à un objet un mouvement suivi dans un autre comportement de suivi. Ce comportement n’effectue aucune analyse de suivi. Le comportement Déstabiliser peut être appliqué à différents types d’objets, tels que des groupes, des caméras, des formes, des émetteurs de particules, etc. Paramètres disponibles dans la palette La palette Déstabiliser contient deux contrôles permettant de charger un autre suivi de stabilisation dans le comportement : le cadre Source ou le menu local des comportements de suivi. Ces contrôles sont identiques à ceux de l’Inspecteur, tels que décrits ci-dessous. Paramètres disponibles dans l’Inspecteur Source : faites glisser un comportement Stabiliser dans ce cadre pour charger les données dans le comportement Déstabiliser. Pour effacer le contenu d’un cadre Source, faites glisser l’élément hors du cadre et relâchez le bouton de la souris.  Menu local des comportements de suivi : faites un choix dans une liste de données de suivi (provenant d’autres comportements de suivi) au sein du projet.114 Chapitre 2 Suivi de l’animation Remarque : le comportement Déstabiliser peut être converti en images clés. Pour en savoir plus, voir « Conversion de suivis en images clés » à la page 87. Pour en savoir plus sur l’utilisation du comportement Déstabiliser, reportez-vous à la section « Flux de travaux du comportement Déstabiliser » à la page 77. Contrôles du comportement Suivre les points Le comportement Suivre les points permet d’associer les points de contrôle d’une forme ou d’un masque (y compris des traits de peinture) à des caractéristiques de réfé- rence situées dans un plan source. Il permet également d’appliquer aux points de contrôle d’une forme ou d’un masque des données de suivi existantes enregistrées par les comportements de suivi Analyser animation, Suivre le mouvement ou Stabiliser. Paramètres disponibles dans la palette La palette Suivre les points contient des contrôles permettant de charger un objet animé ou un comportement de suivi dans le comportement (via le cadre Source ou le menu local des comportements de suivi), de spécifier la manière dont l’objet de destination se déplace, de lancer l’analyse d’animation (bouton Analyser), d’inverser le sens du suivi (case Inverser) et de décaler le suivi (case Décaler la piste). Les paramètres de la palette, qui apparaissent également dans l’Inspecteur, sont décrits ci-dessous. Paramètres disponibles dans l’Inspecteur Source : faites glisser un objet source destiné au comportement Suivre les points dans ce cadre. L’objet source peut-être un autre comportement de suivi, un objet animé ou un objet séquence. Pour effacer le contenu d’un cadre Source, faites glisser l’élément hors du cadre et relâchez le bouton de la souris.  Menu local des comportements de suivi : faites un choix dans une liste de données de suivi (provenant d’autres comportements de suivi) au sein du projet. Transformer : ce menu local permet de choisir la manière dont l’objet de destination se déplace.  Attacher à la source : cette option « colle » l’objet de destination au suivi enregistré ou à la source d’animation. Utilisez l’option « Attacher à la source » lorsque l’objet source change d’échelle ou subit une rotation et que vous voulez que l’objet de destination reste « collé » à un endroit particulier de cet objet source. Toute animation qui existait sur l’objet de destination avant l’application du suivi est effacée. Remarque : bien que l’objet de destination soit attaché au mouvement de l’objet source, il est possible de décaler l’objet de destination par rapport à l’objet source.  Imiter la source : cette option permet à l’objet de destination « d’imiter » le suivi enregistré ou la source d’animation. Toute animation qui existait sur l’objet au premier plan avant l’application du suivi est ajoutée à ce dernier. Remarque : comme pour l’option « Attacher à la source », vous pouvez décaler l’objet de destination par rapport à l’objet source. Chapitre 2 Suivi de l’animation 115 Aligner les tangentes : si cette case est désactivée, les tangentes restent alignées en fonction de leurs angles d’origine. Si elle est activée, les tangentes sont adaptées à la transformation de l’animation source et la forme est modifiée. Mouvement : le paramètre Mouvement comporte des contrôles permettant de démarrer l’analyse de suivi et de spécifier la direction de l’analyse.  Analyser : cliquez sur le bouton Analyser pour lancer l’analyse de suivi d’animation. Une fois que vous avez cliqué sur le bouton Analyser, une fenêtre d’état s’affiche pour indiquer la progression du suivi. Pour arrêter l’analyse, cliquez sur le bouton Stop de la fenêtre d’état ou appuyez sur la touche d’échappement (Échap). Le début du suivi correspond à la position actuelle de la tête de lecture et non au début du comportement dans la Timeline.  Inverser : si la case Inverser est sélectionnée, le plan est analysé à partir de la position actuelle de la tête de lecture jusqu’à la première image du plan (ou jusqu’à la première image du comportement de suivi). Remarque : vous devez placer la tête de lecture sur l’image à partir de laquelle vous voulez commencer l’analyse inversée. Pour obtenir une description des paramètres Aperçu du suivi, Décaler la piste, Zoom auto, Mode zoom auto, « Rechercher des images vers l’avant », de ceux de la liste de suivis et des sous-paramètres de suiveur, reportez-vous à la section « Contrôles des suiveurs » à la page 117. Pour en savoir plus sur l’utilisation du comportement Suivre les points, voir « Flux de travaux du comportement Suivre les points » à la page 77. Contrôles du comportement Suivre le paramètre Le comportement Suivre le paramètre permet de relier un paramètre de position d’un filtre à une caractéristique de référence au sein d’un plan ou de lui appliquer des données de suivi existantes. Paramètres disponibles dans la palette La palette Suivre le paramètre contient des contrôles permettant de charger un comportement de suivi dans le comportement (via le cadre Comportement source ou le menu local des comportements de suivi), de spécifier la manière dont le paramètre de position se déplace, de lancer l’analyse d’animation (bouton Analyser), d’inverser le sens du suivi (case Inverser) et de décaler le suivi (case Décaler la piste). Les paramètres de la palette, qui apparaissent également dans l’Inspecteur, sont décrits ci-dessous.116 Chapitre 2 Suivi de l’animation Paramètres disponibles dans l’Inspecteur Source : faites glisser l’objet source du suivi dans ce cadre. L’objet source peut-être un autre comportement de suivi ou un objet séquence. Faites glisser un comportement dans le cadre Source pour charger ce suivi dans le comportement Suivre le paramètre. Pour effacer le contenu d’un cadre Source, faites glisser l’élément hors du cadre et relâ- chez le bouton de la souris. Remarque : les objets animés ne peuvent pas être utilisés comme sources pour le comportement Suivre le paramètre.  Menu local des comportements de suivi : faites un choix dans une liste de données de suivi (provenant d’autres comportements de suivi) au sein du projet. Transformer : ce menu local permet de choisir la manière dont le paramètre de position du filtre se déplace.  Attacher à la source : cette option « colle » le centre du filtre au suivi enregistré ou à la source d’animation. Utilisez l’option « Attacher à la source » lorsque l’objet source change d’échelle ou subit une rotation et que vous voulez que le centre du filtre reste « collé » à un endroit particulier de cet objet source. Toute animation qui existait sur le centre du filtre avant l’application du suivi est effacée. Remarque : bien que le centre du filtre soit attaché au mouvement de l’objet source, il est possible de le décaler par rapport à l’objet source.  Imiter la source : cette option permet au centre du filtre « d’imiter » le suivi enregistré ou la source d’animation. Toute animation qui existait sur le centre du filtre avant l’application du suivi est ajoutée à ce dernier. Remarque : comme pour l’option « Attacher à la source », vous pouvez décaler le centre du filtre par rapport à l’objet source. Mouvement : le paramètre Mouvement comporte des contrôles permettant de démarrer l’analyse de suivi et de spécifier la direction de l’analyse.  Analyser : cliquez sur le bouton Analyser pour lancer l’analyse de suivi d’animation. Une fois que vous avez cliqué sur le bouton Analyser, une fenêtre d’état s’affiche pour indiquer la progression du suivi. Pour arrêter l’analyse, cliquez sur le bouton Stop de la fenêtre d’état ou appuyez sur la touche d’échappement (Échap). Le début du suivi correspond à la position actuelle de la tête de lecture et non au début du comportement dans la Timeline.  Inverser : si la case Inverser est sélectionnée, le plan est analysé depuis la position actuelle de la tête de lecture jusqu’à la première image du plan (ou jusqu’à la première image du comportement de suivi). Remarque : vous devez placer la tête de lecture sur l’image à partir de laquelle vous voulez commencer l’analyse inversée.Chapitre 2 Suivi de l’animation 117 Pour obtenir une description des paramètres Aperçu du suivi, Décaler la piste, Zoom auto, Mode zoom auto, « Rechercher des images vers l’avant », de ceux de la liste de suivis et des sous-paramètres de suiveur, reportez-vous à la section « Contrôles des suiveurs » à la page 117. Pour en savoir plus sur l’utilisation du comportement Suivre le paramètre, voir « Flux de travaux du comportement Suivre le paramètre » à la page 81. Contrôles des suiveurs Tous les suiveurs à l’écran, quel que soit le comportement de suivi d’animation, ont en commun les paramètres suivants : Aperçu du suivi : cette zone d’aperçu offre un agrandissement du point de référence de suivi pour le suiveur sélectionné. L’aperçu est actualisé au fur et à mesure que vous ajustez la position du suiveur dans le Canevas. Vous pouvez également faire glisser le pointeur dans la zone d’aperçu pour ajuster la position du suiveur. Lorsque vous faites glisser le pointeur dans la zone d’aperçu, l’image bouge autour du viseur rouge dans l’aperçu et le suiveur se déplace dans le Canevas. Décaler la piste : si le point de référence d’un suiveur est temporairement masqué ou sort de l’écran, ce paramètre vous permet de sélectionner un autre point de référence qui poursuit la même trajectoire de suivi que le point de référence initial. Pour en savoir plus sur le suivi décalé, reportez-vous à la section « Suivi de points cachés ou horscadre » à la page 94. Zoom auto : choisissez une option de ce menu local pour régler le niveau d’agrandissement lorsque vous positionnez un suiveur dans le Canevas. Ce menu permet de faire un zoom avant sur le Canevas lorsque vous recherchez un motif de référence de suivi idéal. Vous disposez de quatre options :  Aucun : aucun agrandissement n’est effectué lorsque vous déplacez le suiveur dans le Canevas (seul le suiveur apparaît).  2x : lorsque vous déplacez le suiveur dans le Canevas, la zone autour du suiveur est agrandie selon un facteur d’agrandissement deux fois supérieur au niveau de zoom normal.  4x : lorsque vous déplacez le suiveur dans le Canevas, la zone autour du suiveur est agrandie selon un facteur d’agrandissement quatre fois supérieur au niveau de zoom normal.  8x : lorsque vous déplacez le suiveur dans le Canevas, la zone autour du suiveur est agrandie selon un facteur d’agrandissement huit fois supérieur au niveau de zoom normal. Mode zoom auto : choisissez une option de ce menu local pour régler l’affichage du suiveur automatiquement agrandi dans le Canevas. Trois possibilités s’offrent à vous :  Normal : affiche un motif normal.118 Chapitre 2 Suivi de l’animation  Contraste : affiche le motif du suiveur avec détection du contraste.  Bord : affiche le motif du suiveur avec détection des bords. Le mode Zoom auto ne concerne que les suiveurs dans le Canevas. Il n’apparaît pas dans l’Aperçu du suivi dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Remarque : le réglage Mode zoom auto n’a aucun effet si vous choisissez Aucun dans le menu local Zoom auto. Rechercher des images vers l’avant : ce curseur et ce curseur de valeur permettent de spé- cifier le nombre d’images « futures » que le suiveur devra analyser. En d’autres termes, vous pouvez indiquer au suiveur de rechercher son point de référence dans une zone particulière. Ce réglage est particulièrement utile pour les séquences contenant des objets qui se déplacent rapidement, car le point de référence peut rapidement s’éloigner du suiveur. Pour en savoir plus sur l’utilisation de « Rechercher des images vers l’avant », reportez-vous à la section « Communication d’un indice à Motion » à la page 92. Liste de suivis : affiche les suiveurs du comportement. Dans les comportements Analyser animation et Stabiliser, les suiveurs qui figurent dans cette liste sont appelés « Suivi 1 », « Suivi 2 », etc. Dans le comportement Suivre le mouvement, les suiveurs sont appelés « Ancrage » et « Échelle de rotation ». Si le suivi à quatre points est activé, les suiveurs sont appelés « En haut à gauche », « En haut à droite », « En bas à droite » et « En bas à gauche ». Pour désactiver un suiveur, désélectionnez la case correspondante. Pour supprimer un suiveur, cliquez sur le bouton Supprimer. Les suiveurs désactivés ne sont pas analysés avec le suivi. Remarque : il n’est pas possible de supprimer les suiveurs du comportement Suivre le mouvement. Cliquez sur le triangle d’affichage en regard du nom du suivi pour faire apparaître des paramètres supplémentaires :  Position : affiche les positions X et Y du suiveur. Les curseurs de valeur de gauche et de droite représentent respectivement les positions X et Y. Cliquez sur le triangle d’affichage pour afficher des curseurs de valeur de position avec libellé.  Rechercher la taille : utilisez ce curseur ou ce curseur de valeur pour augmenter ou réduire la taille de la zone de recherche du suiveur. Dans Motion, vous ne spécifier pas la taille d’une zone de recherche lorsque vous configurez vos suiveurs dans le Canevas. Utilisez le curseur ou le curseur de valeur pour modifier la taille de recherche par défaut. Si la taille de recherche est réglée sur 200 pour cent, la zone de recherche du suiveur est deux fois plus grande que la zone de recherche par défaut.Chapitre 2 Suivi de l’animation 119  Tolérance d’échec : ce paramètre définit le niveau de tolérance d’erreur, ou valeur de confiance, du suivi. En d’autres termes, il définit un « score » qui sera utilisé par le suiveur pour déterminer s’il est capable ou non de trouver une caractéristique de réfé- rence concordante. Si le résultat est supérieur à ce score, la concordance est acceptée par le suiveur. Si le résultat est inférieur à ce score, le suiveur rejette la concordance. Une fois qu’un résultat a été refusé, le Comportement d’échec est activé.  Comportement d’échec : ce menu local spécifie l’action à entreprendre si la valeur de confiance du suivi est inférieure à la valeur définie pour la Tolérance d’échec. Les options suivantes sont proposées :  Retentative intelligente : le suiveur essaye de trouver le motif de référence dans une zone de recherche plus étendue. Si le motif est introuvable, le suiveur passe à l’option Prédire. Retentative intelligente est le comportement d’échec par défaut.  Stop : arrête l’analyse dès que le suiveur perd le motif de référence. Vous pouvez également interrompre une analyse en cliquant sur ce bouton dans la zone de dialogue qui indique la progression du suivi ou en appuyant sur la touche Échappement (Échap).  Prédire : le suiveur prédit une nouvelle zone de recherche sans créer d’images clés jusqu’à ce qu’il trouve un élément correspondant au motif de référence. Cette option est particulièrement bien adaptée aux objets suivis qui passent derrière des objets au premier plan.  Prédire et tonalité : lorsqu’un échec est détecté, le suiveur prédit l’emplacement de l’image clé en fonction d’un vecteur déterminé à l’aide des deux dernières images clés, puis il continue le suivi dans la nouvelle zone.  Ne pas prédire : le suiveur reste à sa place et recherche les éléments concordants suivants à mesure que les images du plan défilent. Le suiveur ne crée pas d’images clés pendant sa recherche d’un élément concordant.  Utiliser les images clés existantes : cette option vous permet de créer manuellement des images clés sur la trajectoire de votre suivi. Vous pouvez ensuite revenir à l’image de départ et commencer le suivi. La logique de recherche cherche la trajectoire d’animation créée par les images clés existantes.  Couleur : cliquez (ou cliquez en maintenant la touche Contrôle enfoncée) sur le cadre de couleur pour définir une nouvelle couleur pour le suiveur à l’écran. Vous pouvez aussi cliquer sur la pipette et sélectionner une couleur dans le Canevas. Par défaut, les suiveurs sont affichés en jaune. Lorsqu’un suiveur est sélectionné, son point central est blanc et la couleur du cadre de la zone de recherche est celle qui est définie dans le cadre de couleur. Pour ajuster individuellement les canaux de couleur, y compris le canal alpha, cliquez sur le triangle d’affichage. Félicitations. Vous et votre iMac êtes faits l’un pour l’autre.Bienvenue sur votre iMac. www.apple.com/fr/imac Gestes Magic Mouse Utilisez ces gestes pour contrôler votre Mac. Centre d’aide gestes facetime Caméra FaceTime HD intégrée Passez des appels vidéos vers les derniers iPad, iPhone, iPod touch ou Mac. Centre d’aide Défilement Balayage à deux doigts Clic à deux Zoom d’écran boutons Clic à un bouton E/S à haut débit Thunderbolt Connectez des appareils et écrans hautes performances. Centre d’aide thunderboltMission Control Une vue d’ensemble de tout ce qui tourne sur votre Mac. Centre d’aide mission control OS X Lion www.apple.com/fr/macosx Plein écran Affichez les apps en plein écran d’un simple clic. Centre d’aide plein écran Mac App Store Le meilleur moyen de découvrir et télécharger des apps Mac. Centre d’aide launchpad mac app store Launchpad Bénéficiez d’un accès instantané et simplifié à toutes vos apps. Centre d’aide iPhoto Organisez, modifiez et partagez vos photos. Aide iPhoto photos iMovie Transformez vos vidéos perso en films cultes. Aide iMovie movie GarageBand Créez des morceaux sensationnels en toute simplicité. Aide GarageBand record Mail Regroupez vos messages par conversations. Centre d’aide mail HELLO FROM CUPERTINO, CATable des matières 5 Table des matières Chapitre 1 : Prêt, feu, configurez ! 9 Contenu du coffret 10 Configuration de l’iMac 16 Extinction ou suspension d’activité de votre iMac Chapitre 2 : Votre iMac au quotidien 20 Caractéristiques de base de votre iMac 22 Ports de votre iMac 24 Autres composants de votre iMac 26 Fonctionnalités du clavier Apple Wireless Keyboard et de la souris Apple Magic Mouse 28 Utilisation du clavier Apple Wireless Keyboard 30 Utilisation de la souris Apple Magic Mouse 32 Utilisation de la télécommande Apple Remote 34 Comment obtenir des réponses à vos doutes Chapitre 3 : Augmentez votre mémoire 39 Installation de mémoire 44 Reconnaissance de la nouvelle mémoire par l’iMac6 Table des matières Chapitre 4 : À tout problème sa solution 47 Une once de prévention 47 Problèmes vous empêchant d’utiliser votre iMac 50 Réparer, restaurer ou réinstaller des logiciels Mac OS X 56 Vérification d’un problème matériel 57 Remplacement des piles 60 Problèmes de connexion à Internet 62 Problèmes de communication sans fil 63 Maintien à jour de vos logiciels 64 Informations, services et assistance 66 Localisation du numéro de série de votre produit Chapitre 5 : Dernières recommandations 68 Informations importantes en matière de sécurité 72 Informations importantes sur la manipulation 74 Nettoyage de votre iMac 75 Ergonomie 77 Apple et l’environnementCentre d’aide Assistant migration www.apple.com/fr/imac Prêt, feu, configurez ! 18 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Votre iMac est conçu pour que vous puissiez le configurer facilement et commencer à travailler immédiatement. Si vous n’avez jamais utilisé d’iMac ou que vous n’êtes pas familiarisé avec les ordinateurs Mac, vous trouverez dans ce chapitre des informations qui vous aideront à débuter. Important : Lisez toutes les instructions d’installation, ainsi que les informations concernant la sécurité à la page 68 avant de brancher votre iMac sur une prise de courant. Si vous êtes un utilisateur expérimenté, peut-être êtes-vous déjà en mesure d’utiliser votre nouvel ordinateur.Veillez néanmoins à consulter les informations du chapitre 2, « Votre iMac au quotidien » à la page 19 pour découvrir les nouvelles fonctionnalités de cet iMac. Le Centre d’aide contient de nombreuses réponses aux questions concernant votre iMac. Pour en savoir plus sur le Centre d’aide, consultez la rubrique « Comment obtenir des réponses à vos doutes » à la page 34. Retirez tout film protecteur présent sur l’extérieur de votre iMac avant de configurer ce dernier.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 9 Contenu du coffret Votre iMac est fourni avec un clavier Apple Wireless Keyboard, une souris sans fil Apple Magic Mouse et un câble d’alimentation secteur CA. Si vous avez commandé une télécommande Apple Remote, elle est également présente dans le coffret. Câble d’alimentation secteur CA Clavier Apple Wireless Keyboard Souris Apple Magic Mouse10 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Configuration de l’iMac Suivez les étapes suivantes pour configurer votre iMac. Attendez l’étape 4 pour allumer votre iMac. Étape 1 : Faites passer le câble d’alimentation à travers le trou présent sur le socle, branchez-le sur le port d’alimentation au dos de votre iMac, puis insérez-le dans une prise de courant.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 11 Étape 2 : Pour accéder à Internet ou à un réseau, connectez l’une des extrémités d’un câble Ethernet au port Ethernet de votre iMac. Connectez l’autre extrémité à un modem câble, un modem DSL ou un réseau. Votre iMac est équipé de la technologie Wi-Fi 802.11n de mise en réseau sans fil. Pour en savoir plus sur la configuration d’une connexion sans fil, choisissez Aide dans la barre des menus, puis recherchez le terme « wi-fi ». Pour utiliser une connexion commutée, vous avez besoin d’un modem USB externe. Branchez le modem sur un port USB de votre iMac, puis utilisez un câble téléphonique pour connecter le modem à une prise de téléphone.12 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Étape 3 : Allumez votre clavier et votre souris sans fil. Appuyez sur le bouton de mise sous tension situé sur le côté droit du clavier Apple Wireless Keyboard et faites glisser le commutateur se trouvant sur la partie inférieure de la souris Apple Magic Mouse pour les activer. Votre clavier et votre souris sans fil, fournis avec des piles AA, sont déjà jumelés avec votre iMac. Le jumelage leur permet de communiquer sans fil avec votre iMac. Bouton Marche/Arrêt Lampe témoin Lampe témoin Interrupteur Marche/Arrêt Lorsque vous allumez votre clavier ou votre souris pour la première fois, le voyant reste allumé pendant 5 secondes, pour indiquer que les piles sont en bon état. Si votre clavier ou souris ne s’allume pas, vérifiez que les piles sont bien mises en place (voir « Remplacement des piles » à la page 57). Le voyant clignote ensuite jusqu’à ce que vous allumiez votre iMac et qu’une connexion soit établie. Remarque : Si vous avez acheté un clavier ou une souris USB, connectez le câble à un port USB (d) situé sur la partie arrière de votre iMac.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 13 Étape 4 : Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) situé au dos pour allumer votre iMac. Un signal sonore retentit lorsque vous allumez l’iMac. Cliquez avec votre souris pour établir une connexion avec votre iMac. ® ® ® Important : Si votre clavier ou votre souris n’est pas jumelé,suivez les instructions à l’écran pour les jumeler. Vous devrez peut-être cliquer une fois avec la souris pour établir une connexion. Pour en savoir plus sur le jumelage, consultez la section « Jumelage de votre clavier sans fil avec votre iMac » à la page 29.14 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Étape 5 : Configurez votre iMac. La première fois que vous démarrez votre iMac, l’Assistant réglages se met en route. Il vous aide à spécifier votre réseau Wi-Fi, à configurer un compte utilisateur ainsi qu’à transférer des informations depuis un autre Mac ou PC. Vous pouvez également transférer des informations à partir d’une copie de sauvegarde de Time Machine ou d’un d’autre disque. Si vous migrez depuis un autre Mac, vous devrez sans doute mettre à jour des logiciels si l’autre Mac ne possède pas Mac OS X 10.5.3 ou ultérieur. Pour migrer depuis un PC, téléchargez l’Assistant migration sur www.apple.com/fr/migrate-to-mac et installez-le sur le PC depuis lequel vous voulez migrer. Une fois l’Assistant réglages ouvert sur votre iMac, vous pouvez le laisser en milieu de processus sans le fermer, aller sur un autre ordinateur si vous avez besoin de mettre à jour les logiciels, puis retourner sur votre iMac pour terminer la configuration. Remarque : Si vous n’utilisez pas l’Assistant réglages pour transférer vos informations lors du premier démarrage de votre iMac, vous pouvez le faire ultérieurement à l’aide de l’Assistant migration. Ouvrez l’Assistant migration, situé dans le dossier Utilitaires du Launchpad. Pour obtenir de l’aide sur l’Assistant migration, ouvrez le Centre d’aide et rechercher le terme « Assistant migration ».Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 15 Pour configurer votre iMac : 1 Dans l’Assistant réglages, suivez les instructions jusqu’à arriver à l’écran « Transférer des données vers ce Mac ». 2 Effectuez une configuration de base, une configuration avec migration ou transférez des informations à partir d’une copie de sauvegarde de Time Machine ou d’un d’autre disque :  Pour effectuer une configuration de base, sélectionnez « Ne pas transférer maintenant », puis cliquez sur Continuer. Suivez les invites restantes pour sélectionner votre réseau câblé ou sans fil, configurer un compte puis quittez l’Assistant réglages.  Pour effectuer une configuration avec migration, sélectionnez « À partir d’un autre Mac ou d‘un PC » et cliquez sur Continuer. Suivez les instructions à l’écran pour sélectionner le Mac ou le PC depuis lequel effectuer la migration. Votre Mac ou PC doit se trouver sur le même réseau câblé ou sans fil. Suivez les instructions à l’écran.  Pour transférer des informations à partir d’une copie de sauvegarde de Time Machine ou d’un d’autre disque, sélectionnez « À partir d’une sauvegarde Time Machine ou d’un autre disque », puis cliquez sur Continuer. Sélectionnez la copie de sauvegarde ou l’autre disque à partir duquel vous souhaitez migrer. Suivez les instructions à l’écran. Si vous ne comptez pas conserver ou utiliser votre autre ordinateur, il est préférable de lui retirer son autorisation à lire la musique, les vidéos ou les livres audio achetés dans l’iTunes Store. Le retrait d’autorisation d’accès d’un ordinateur empêche qu’un autre utilisateur lise les morceaux, vidéos et livres audio que vous avez achetés et libère une autre autorisation pour en permettre l’utilisation. Pour en savoir plus sur le retrait de l’autorisation d’accès, choisissez Aide iTunes dans le menu Aide de l’application iTunes.16 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Étape 6 : Personnalisez votre bureau et réglez les préférences. Vous pouvez rapidement personnaliser le bureau en utilisant les Préférences Système, véritable centre de commande permettant de paramétrer la plupart des réglages sur votre iMac. Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système dans la barre des menus ou cliquez sur l’icône Préférences Système dans le Dock. Important : Vous pouvez configurer une option pour réinitialiser votre mot de passe dans les préférences Utilisateurs et groupes, au cas où vous oublieriez votre mot de passe d’ouverture de session. Pour obtenir de l’aide sur les Préférences Système, recherchez « Préférences Système » ou la préférence pour laquelle vous souhaitez de l’aide dans le Centre d’aide. Extinction ou suspension d’activité de votre iMac Lorsque vous avez terminé d’utiliser votre iMac, suspendez son activité ou éteignez-le. Suspension de l’activité de votre iMac Si vous envisagez de ne pas utiliser votre iMac pendant quelques jours, suspendezen l’activité. Lorsque l’activité de votre iMac est suspendue, son écran est noir. Vous avez la possibilité de réactiver votre iMac rapidement sans passer par la procédure de démarrage.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 17 Pour suspendre l’activité de votre iMac, procédez de l’une des manières suivantes :  Choisissez le menu Pomme () > Suspendre l’activité dans la barre des menus.  Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) situé à l’arrière de l’iMac.  Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système, cliquez sur Économiseur d’énergie, puis définissez un délai pour la suspension d’activité.  Maintenez enfoncé pendant 3 secondes le bouton Lecture/Pause (’) de la télécommande Apple Remote facultative. Pour réactiver votre iMac, procédez de l’une des manières suivantes :  Appuyez sur n’importe quelle touche du clavier.  Cliquez avec la souris.  Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) situé à l’arrière de l’iMac.  Appuyez sur un des boutons de la télécommande Apple Remote facultative. À la réactivation de votre iMac, vos applications, vos documents et vos réglages sont conservés tels que vous les aviez laissés. Extinction de votre iMac Si vous ne comptez pas utiliser votre iMac pendant plus que quelques jours, éteignezle. Choisissez le menu Pomme () > Éteindre. Pour rallumer votre iMac, appuyez sur le bouton (®) d’alimentation. AVIS : Éteignez votre iMac avant de le déplacer. Tout déplacement de votre iMac lorsque le disque dur est en train de tourner risque d’endommager ce dernier et d’entraîner une perte de données ou l’impossibilité de démarrer à partir du disque dur.www.apple.com/fr/macosx Centre d’aide Mac OS X Votre iMac au quotidien 220 Chapitre 2 Votre iMac au quotidien Caractéristiques de base de votre iMac Lecteur SuperDrive à chargement par fente Caméra FaceTime HD Capteur de lumière ambiante intégré Micro intégré Lampe témoin de la caméra Logement de la carte SD Haut-parleurs stéréo intégrés Récepteur à infrarouge (IR) intégréChapitre 2 Votre iMac au quotidien 21 Micro intégré Enregistrez des sons directement sur votre iMac ou utilisez l’application iChat incluse pour converser avec vos amis sur Internet. Caméra FaceTime HD intégrée et lampe témoin de la caméra Utilisez l’application FaceTime pour passer des appels vidéo vers d’autres utilisateurs de FaceTime (sur n’importe quel iPhone 4, iPad 2, nouvel iPod touch ou Mac dotés de FaceTime), prendre des photos avec Photo Booth ou capturer de la vidéo avec iMovie. La lampe témoin brille lorsque la caméra FaceTime HD fonctionne. Capteur de lumière ambiante intégré Ajustez automatiquement la luminosité de votre écran en fonction de la lumière ambiante. SuperDrive à chargement par fente Le lecteur SuperDrive à chargement par fente lit et écrit sur des CD et des DVD de taille standard. Logement de carte SD Transférez facilement vos photos, vidéos et données vers et à partir de votre iMac avec une carte SD. Haut-parleurs stéréo intégrés Permettent d’écouter de la musique, des films, des jeux et d’autres types de données multimédias. Récepteur à infrarouge (IR) intégré Associé à une télécommande Apple Remote (vendue séparément), le récepteur à infrarouge vous permet de contrôler, jusqu’à une distance de 9,1 mètres, l’application Keynote sur votre iMac.22 Chapitre 2 Votre iMac au quotidien Ports de votre iMac ® Port de sortie casque/audio numérique optique Port d’entrée audio/ audio numérique optique , f Port Thunderbolt (1 ou 2) d Ports USB 2.0 (4) Port Ethernet (10/100/1000 Base-T) G H Port FireWire 800Chapitre 2 Votre iMac au quotidien 23 G Port Ethernet (10/100/1000Base-T) Connectez-vous à un réseau Ethernet 10/100/1000 Base-T à haut débit ou à un modem câble ou DSL, ou bien connectez-vous à un autre ordinateur et transférez les fichiers. Le port Ethernet détecte automatiquement les autres périphériques Ethernet. Un ou deux ports Thunderbolt (données, vidéo et audio haut débit) Connectez-y des périphériques compatibles Thunderbolt pour des transferts de données haut débit, ou un moniteur externe utilisant un port Mini DisplayPort. Vous pouvez acheter des adaptateurs pour connecter des moniteurs DVI, HDMI ou VGA. L’iMac 21,5 pouces est doté d’un port Thunderbolt et l’iMac 27 pouces de deux. d Quatre ports USB (Universal Serial Bus) 2.0 à haut débit. Utilisez ces ports pour connecter un iPod, un iPhone, un iPad, une souris, un clavier, une imprimante, un lecteur de disque, une caméra numérique, une manette de jeu, un modem USB externe et bien plus encore. Vous pouvez également y brancher des périphériques USB 1.1. , Port d’entrée audio/entrée audio numérique optique Branchez-y un micro externe alimenté ou tout autre équipement audio numérique. Ce port peut également servir de mini-prise stéréo 3,5 mm S/PDIF. f Port de sortie casque/sortie audio numérique optique Branchez-y des écouteurs, des haut-parleurs amplifiés externes ou tout autre équipement audio numérique. Ce port peut également servir de mini-prise stéréo 3,5 mm S/PDIF. H Port FireWire 800 Connectez-y des périphériques externes tels que des caméras vidéo numériques et des périphériques de stockage. Ce port offre une puissance maximale de 7 watts.24 Chapitre 2 Votre iMac au quotidien Autres composants de votre iMac ® Bouton d’alimentation Port secteur ® Accès à la mémoire (par-dessous) Logement de sécuritéChapitre 2 Votre iMac au quotidien 25 Port secteur Utilisez-le pour brancher le câble d’alimentation à votre iMac. Logement de sécurité Attachez votre ordinateur à l’aide d’un câble et d’un cadenas pour décourager les tentatives de vol (disponibles séparément). ® Bouton d’alimentation Il permet d’allumer votre iMac ou de suspendre son activité. Maintenez ce bouton enfoncé pour redémarrer votre iMac lors des procédures de dépannage. Accès à la mémoire Installez de la mémoire supplémentaire. Votre iMac est équipé d’au moins 4 Go de mémoire installée sous la forme de deux modules de mémoire de 2 Go chacun. Z Wi-Fi 802.11n (à l’intérieur) Connectez-vous à un réseau sans fil grâce à la technologie Wi-Fi 802.11n intégrée. ◊ Technologie sans fil Bluetooth® (à l’intérieur) Connectez-y des appareils sans fil, tels que le clavier Apple Wireless Keyboard, la souris Apple Magic Mouse, les téléphones portables Bluetooth, les assistants numériques personnels et les imprimantes.26 Chapitre 2 Votre iMac au quotidien Fonctionnalités du clavier Apple Wireless Keyboard et de la souris Apple Magic Mouse Touches de réglage de luminosité Clavier Apple Wireless Keyboard Touches de réglage du volume - Souris Apple Magic Mouse Touches multimédias Touche Launchpad Touche Mission Control Touche d’éjection de disque CChapitre 2 Votre iMac au quotidien 27 Souris Apple Magic Mouse Intègre un moteur de suivi laser, la technologie sans fil Bluetooth, un interpréteur transparent qui utilise la technologie Multi-Touch pour prendre en charge plusieurs boutons, le défilement 360°, l’agrandissement écran et le contrôle du curseur de votre iMac. Utilisez les préférences Souris pour ajuster le suivi, les clics et la vitesse de défilement ou pour ajouter la prise en charge d’un bouton secondaire (voir page 31). Clavier Apple Wireless Keyboard Combinez la liberté du sans fil avec les fonctions clés préprogrammées pour fonctionner avec vos applications. C Touche d’éjection de disques Maintenez cette touche enfoncée pour éjecter un disque. Vous pouvez également éjecter un disque en faisant glisser son icône vers la Corbeille. Touches de réglage de luminosité (F1, F2) Permettent d’augmenter ( ) ou de réduire ( ) la luminosité de l’écran. Touche Mission Control (F3) Ouvrez Mission Control pour obtenir une vue globale des éléments en cours d’exécution sur votre iMac, tels que Dashboard, tous vos espaces et toutes vos fenêtres ouvertes. Touche Launchpad (F4) Ouvrez Launchpad pour afficher instantanément toutes les applications de votre iMac. Cliquez sur une application pour l’ouvrir. ’ Touches multimédias (F7, F8, F9) Retour rapide ( ), lecture ou pause (’) ou avance rapide ( ) d’un morceau de musique, d’un film ou d’un diaporama. - Touches de réglage du volume (F10, F11, F12) Coupez le son (—), baissez (–) ou augmentez (-) le volume du son diffusé par les hautparleurs ou par le port de sortie casque de votre iMac.28 Chapitre 2 Votre iMac au quotidien Utilisation du clavier Apple Wireless Keyboard Votre clavier Apple Wireless Keyboard, fourni avec deux piles AA, est déjà jumelé avec votre iMac. Le jumelage signifie que votre clavier et votre iMac sont connectés sans fil et peuvent communiquer entre eux. À propos du voyant lumineux Le voyant DEL de votre clavier sans fil fonctionne comme indicateur de piles et comme voyant d’état. Lorsque vous allumez votre clavier pour la première fois, le voyant reste allumé pendant 5 secondes, pour indiquer que les piles sont en bon état, puis il s’éteint. Si vous appuyez sur le bouton d’alimentation (®) de votre clavier sans fil et que le voyant lumineux ne s’allume pas, vous devez changer les piles. Consultez la section « Remplacement des piles » à la page 57. Lampe témoin Bouton Marche/ArrêtChapitre 2 Votre iMac au quotidien 29 Jumelage de votre clavier sans fil avec votre iMac Si votre clavier sans fil n’est pas jumelé avec votre , le voyant lumineux se met à clignoter. Cela indique que votre clavier est en mode découverte et qu’il est prêt pour le jumelage avec votre iMac. Pour jumeler votre clavier sans fil : 1 Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) pour allumer votre clavier sans fil. 2 Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système, puis cliquez sur Clavier. 3 Cliquez sur « Configurer le clavier Bluetooth… », dans l’angle inférieur droit. 4 Sélectionnez votre clavier sans fil, puis suivez les instructions à l’écran. Si vous ne jumelez pas votre clavier avec votre iMac en moins de 3 minutes, le voyant lumineux et le clavier s’éteignent pour économiser les piles. Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) pour allumer à nouveau votre clavier et le jumeler avec votre iMac. Une fois le jumelage entre votre clavier et votre iMac terminé, le voyant lumineux reste allumé pendant 3 secondes puis s’éteint. Utilisation du clavier Apple Wireless Keyboard Personnalisez votre clavier Apple Wireless Keyboard en utilisant les préférences Clavier. Vous pouvez notamment changer les touches de modification et assigner les raccourcis clavier aux commandes du menu liées à une application Mac OS X ou au Finder. Pour personnaliser votre clavier : 1 Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système. 2 Cliquez sur Clavier, puis sur Clavier ou Raccourcis clavier.30 Chapitre 2 Votre iMac au quotidien Utilisation de la souris Apple Magic Mouse Votre souris sans fil Apple Magic Mouse, fournie avec deux piles AA, est déjà jumelée avec votre iMac. Le jumelage signifie que votre Apple Magic Mouse et votre iMac peuvent communiquer grâce à une connexion sans fil établie entre eux. À propos du voyant lumineux Lorsque vous allumez votre souris Apple Magic Mouse pour la première fois, le voyant reste allumé pendant 5 secondes, indiquant que les piles sont en bon état. Lorsque vous allumez votre souris et que le voyant ne s’allume pas, vous devez changer les piles. Consultez la rubrique « Remplacement des piles » à la page 57. Lampe témoin Interrupteur Marche/ArrêtChapitre 2 Votre iMac au quotidien 31 Jumelage de votre souris Apple Magic Mouse avec votre iMac Si votre souris Apple Magic Mouse n’est pas jumelée avec votre iMac, le voyant lumineux se met à clignoter. Cela indique que votre souris est en mode découverte et qu’elle est prête pour le jumelage. Pour jumeler votre souris : 1 Allumez la souris en faisant glisser l’interrupteur Marche/Arrêt situé sur sa partie inférieure. 2 Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système, puis cliquez sur Souris. 3 Cliquez sur « Configurer la souris Bluetooth… », dans l’angle inférieur droit. 4 Sélectionnez votre souris sans fil, puis suivez les instructions à l’écran. Si vous ne jumelez pas votre souris avec votre iMac en moins de 3 minutes, le voyant lumineux et la souris s’éteignent pour économiser les piles. Faites glisser l’interrupteur Marche/Arrêt pour allumer à nouveau votre souris et la jumeler avec votre iMac. Une fois le jumelage entre votre souris et votre iMac terminé, le voyant reste allumé. Utilisation de la souris Apple Magic Mouse Pour en savoir plus sur les gestes Multi-Touch que vous pouvez faire avec votre souris Apple Magic Mouse ou pour modifier son fonctionnement, utilisez les Préférences Souris. Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système, puis cliquez sur Souris.32 Chapitre 2 Votre iMac au quotidien Utilisation de la télécommande Apple Remote Si votre iMac a été livré avec une télécommande Apple Remote, vous pouvez l’utiliser avec les produits Apple équipés d’un récepteur infrarouge (IR). Contrôlez et lisez un film DVD ou de la musique à partir de votre bibliothèque iTunes, regardez des diaporamas et des bandes-annonces de film, et plus encore. Haut Bas Menu Lecture/Pause Gauche Droite Sélection Pour utiliser votre télécommande : 1 Appuyez sur Lecture/Pause pour lire ou mettre en pause un morceau, un diaporama ou un film. 2 Appuyez sur Droite ou Gauche pour passer au morceau suivant ou précédent de votre bibliothèque iTunes ou au chapitre suivant ou précédent sur un DVD. 3 Maintenez le bouton Droite ou Gauche enfoncé pour effectuer une avance ou un retour rapide sur un morceau ou un film. 4 Appuyez sur Haut ou Bas pour régler le volume.Chapitre 2 Votre iMac au quotidien 33 Jumelage de votre télécommande Apple Remote Jumelez votre télécommande Apple Remote avec votre iMac ou tout autre produit Apple. Après le jumelage de votre iMac ou produit Apple, ce dernier est seulement commandé par la télécommande jumelée. Pour jumeler votre télécommande : 1 Rapprochez-vous jusqu’à 8 ou 10 cm de votre iMac ou produit Apple. 2 Pointez la télécommande en direction du récepteur infrarouge situé sur le devant de votre iMac ou produit Apple. 3 Maintenez les touches Droite et Menu enfoncées pendant 5 secondes. Une fois votre télécommande jumelée, un symbole de maillon apparaît à l’écran. Pour supprimer le jumelage de votre télécommande sur un iMac : 1 Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système dans la barre des menus. 2 Cliquez sur Sécurité puis sur Supprimer le jumelage. Pour l’Apple TV et d’autres produits Apple, maintenez Menu et Gauche enfoncés pour supprimer le jumelage.34 Chapitre 2 Votre iMac au quotidien Remplacement de la pile Pour remplacer la pile : 1 Utilisez une pièce pour retirer le couvercle du compartiment de la pile. Compartiment de la pile 2 Insérez une pile CR2032, face positive (+) vers le haut. 3 Replacez le couvercle et utilisez une pièce pour le visser. Comment obtenir des réponses à vos doutes De plus amples informations concernant votre iMac sont disponibles dans le Centre d’aide et sur Internet, à l’adresse www.apple.com/fr/support/imac. Pour obtenir de l’aide du Centre d’aide : 1 Cliquez sur l’icône du Finder dans le Dock (la barre des icônes située au bord de l’écran). 2 Cliquez sur le menu Aide dans la barre des menus et procédez de l’une des manières suivantes :  Saisissez une question ou un terme dans le champ de recherche, puis sélectionnez une rubrique dans la liste des résultats ou sélectionnez « Afficher toutes les rubriques d’aide » pour afficher toutes les rubriques.  Sélectionnez « Centre d’aide » pour ouvrir la fenêtre Centre d’aide et consulter ou rechercher des rubriques.Chapitre 2 Votre iMac au quotidien 35 Informations supplémentaires Pour en savoir plus sur l’utilisation de votre iMac, consultez le tableau suivant : Pour obtenir des informations sur : Reportez-vous aux sources suivantes : L’installation de mémoire « Augmentez votre mémoire » à la page 37. Le dépannage de votre iMac en cas de problème « À tout problème sa solution » à la page 45. L’obtention de services et d’une assistance pour votre iMac « Informations, services et assistance » à la page 64. Vous pouvez également consulter le site web d’assistance Apple à l’adresse www.apple.com/fr/support. L’utilisation de Mac OS X Site web de Mac OS X à l’adresse www.apple.com/fr/macosx. Vous pouvez également rechercher « Mac OS X » dans le Centre d’aide. La migration depuis un PC vers un Mac « Pourquoi vous adorerez le Mac » à l’adresse www.apple.com/fr/ getamac/whymac. L’utilisation des applications iLife Site web d’iLife à l’adresse www.apple.com/fr/ilife. Vous pouvez également ouvrir une application iLife, ouvrir l’Aide de cette application, puis saisir une question dans le champ de recherche. La modification des Préférences Système Préférences Système, accessibles en choisissant le menu Pomme (K) > Préférences Système. Vous pouvez également rechercher « préférences système » dans le Centre d’aide. L’utilisation de la caméra FaceTime HD Recherchez « FaceTime » dans le Centre d’aide. L’utilisation de votre clavier ou de votre souris Ouvrez les Préférences Système et choisissez Clavier ou Souris. Vous pouvez également ouvrir le Centre d’aide et rechercher le terme « clavier » ou « souris ». L’utilisation du Wi-Fi Recherchez le terme « wi-fi » dans le Centre d’aide.36 Chapitre 2 Votre iMac au quotidien Pour obtenir des informations sur : Reportez-vous aux sources suivantes : L’utilisation de la technologie sans fil Bluetooth Recherchez « Bluetooth » dans le Centre d’aide. Vous pouvez également consulter la page web d’assistance Bluetooth à l’adresse www.apple.com/fr/support/bluetooth. La connexion d’une imprimante Recherchez « impression » dans le Centre d’aide. Les connexions FireWire et USB Recherchez « FireWire » ou « USB » dans le Centre d’aide. Connexion à Internet Recherchez « Internet » dans le Centre d’aide. Moniteurs externes Recherchez les termes « port de sortie vidéo » ou « mode moniteur externe » dans le Centre d’aide. L’utilisation du port Thunderbolt Recherchez « Thunderbolt » dans le Centre d’aide. La télécommande Apple Remote Recherchez « remote » dans le Centre d’aide. L’utilisation du lecteur SuperDrive Recherchez « lecteur optique » dans le Centre d’aide. Les caractéristiques La page des Caractéristiques à l’adresse support.apple.com/ fr_FR/specs pour les caractéristiques techniques standard. Vous pouvez également ouvrir Informations Système en choisissant le menu Pomme (K) > « À propos de ce Mac » dans la barre des menus, puis en cliquant sur Plus d’infos. Le téléchargement de mises à jour logicielles pour Mac Mises à jour logicielles en choisissant le menu Pomme (K) > Mise à jour de logiciels. La recherche et le téléchargement d’apps Mac Mac App Store, accessible en choisissant le menu Pomme (K) > App Store. Vous pouvez également cliquer sur l’icône dans le Dock. Les instructions, l’assistance technique et les manuels des produits Apple Site web d’assistance Apple à l’adresse www.apple.com/fr/support.Centre d’aide RAM www.apple.com/fr/store Augmentez votre mémoire 338 Chapitre 3 Augmentez votre mémoire Votre iMac est équipé d’au moins 4 gigaoctets (Go) de mémoire DRAM (Dynamic Random Access) DDR 3 (Double Data Rate 3) installés sous la forme de deux modules de mémoire de 2 Go chacun. Vous pouvez augmenter la mémoire jusqu’à 16 Go en remplaçant ou en installant de la mémoire supplémentaire par des modules de mémoire de 2 ou 4 Go. Les modules de mémoire doivent être conformes aux spécifications suivantes :  format Small Outline Dual Inline Memory Module (SO-DIMM) ;  1 333 MHz, PC3-8500, compatible DDR3 (également appelé DDR3 1333) ;  sans tampon et non enregistrée. AVERTISSEMENT : Apple vous recommande de confier l’installation de mémoire à un technicien agréé Apple. Consultez la section « Service et assistance AppleCare » à la page 65 pour plus de renseignements sur la manière de contacter Apple pour toute demande de service. Les éventuels dommages causés à votre matériel en tentant d’installer vous-même de la mémoire ne sont pas couverts par la garantie limitée de votre iMac.Chapitre 3 Augmentez votre mémoire 39 Installation de mémoire Votre iMac possède quatre logements mémoire. Deux sont occupés respectivement par un module de mémoire d’au moins 2 Go. Vous pouvez installer de la mémoire supplémentaire dans les logements libres ou remplacer la mémoire des logements occupés par des modules de mémoire de 2 ou 4 Go, avec 16 Go au maximum. Vous pouvez acheter de la mémoire Apple supplémentaire chez un revendeur agréé Apple, dans un magasin Apple Store ou sur l’Apple Store en ligne à l’adresse www.apple.com/fr/store. AVERTISSEMENT : Éteignez toujours votre iMac et retirez le câble d’alimentation avant d’installer de la mémoire. N’essayez pas d’installer de la mémoire alors que votre iMac est branché. Pour installer de la mémoire : 1 Éteignez votre iMac en choisissant le menu Pomme () > Éteindre. 2 Débranchez tous les câbles de votre iMac, y compris le câble d’alimentation. 3 Placez un linge ou un chiffon propre et doux sur votre surface de travail. Tout en tenant votre iMac par les côtés, posez-le à plat de manière à faire reposer l’écran contre la surface de la table et à tourner la partie inférieure de l’ordinateur vers vous.40 Chapitre 3 Augmentez votre mémoire 4 Soulevez le socle et utilisez un tournevis cruciforme nº 2 pour desserrer les trois vis imperdables sur le cache d’accès à la mémoire. Faites-les tourner dans le sens inverse des aiguilles d’une montre. Tournevis cruciforme Soulevez le socle ® Cache d’accès à la mémoire 5 Retirez le cache d’accès à la mémoire et mettez-le de côté.Chapitre 3 Augmentez votre mémoire 41 6 Sortez les languettes du compartiment de mémoire. 7 Pour remplacer un module de mémoire, vous devez tirer sur la languette afin d’éjecter le module de mémoire installé. Retirez les modules de mémoire que vous souhaitez remplacer. ® Sortez la languette Sortez la languette42 Chapitre 3 Augmentez votre mémoire 8 Insérez les nouveaux modules de mémoire dans les logements, avec l’encoche tournée vers la droite, comme indiqué sur l’illustration.  Si vous installez des modules de mémoires supplémentaires, insérez-les dans les logements vides.  Si vous remplacez des modules de mémoires existants, insérez un nouveau module dans chacun des logements avants se trouvant le plus près du moniteur. 9 Enfoncez fortement chaque module de mémoire dans son logement. Vous entendrez un léger clic indiquant que le module de mémoire est correctement installé. 10 Remettez les languettes dans le compartiment de mémoire. ® Modules de mémoire Remettez la languetteChapitre 3 Augmentez votre mémoire 43 11 Remettez le cache d’accès à la mémoire en place et resserrez les trois vis imperdables à l’aide d’un tournevis cruciforme nº 2. AVERTISSEMENT : N’oubliez pas de remettre le cache d’accès à la mémoire en place après avoir installé la mémoire. Votre iMac ne fonctionnera pas correctement sans le cache d’accès à la mémoire. Tournevis cruciforme Soulevez le socle ® Cache d’accès à la mémoire 12 Tenez votre iMac par les côtés pour le remettre en position de marche. Reconnectez ensuite les câbles et le cordon d’alimentation. 13 Allumez votre iMac en appuyant sur le bouton d’alimentation (®) situé à l’arrière.44 Chapitre 3 Augmentez votre mémoire Reconnaissance de la nouvelle mémoire par l’iMac Après avoir installé la mémoire, assurez-vous que l’iMac la reconnaît. Pour vérifier la mémoire installée sur votre iMac : 1 Démarrez votre iMac. 2 Lorsque le bureau Mac OS X s’affiche, choisissez le menu Pomme () > À propos de ce Mac. La quantité totale de mémoire installée sur votre iMac s’affiche alors. Pour un aperçu plus détaillé de la quantité de mémoire installée, ouvrez Informations Système en cliquant sur Plus d’infos. Si la mémoire que vous avez installée n’atteint pas le niveau de la configuration requise (voir page 38), votre iMac sonnera trois fois toutes les cinq secondes. Si tel est le cas, éteignez votre iMac et vérifiez à nouveau les instructions d’installation pour vous assurer que la mémoire est compatible avec votre iMac et qu’elle est correctement installée. Si les problèmes persistent, retirez la mémoire et consultez les informations d’assistance technique fournies avec la mémoire ou contactez le fournisseur de la mémoire.www.apple.com/fr/macosx Centre d’aide aide www.apple.com/fr/support À tout problème sa solution 446 Chapitre 4 À tout problème sa solution Vous pouvez rencontrer, à titre exceptionnel, des problèmes en utilisant votre iMac. Lisez la suite pour obtenir des conseils de dépannage utiles en cas de problème. Vous trouverez également d’autres informations de dépannage dans le Centre d’aide et sur le site web d’assistance iMac à l’adresse www.apple.com/fr/support/imac. Il existe généralement une solution simple et rapide aux problèmes qui peuvent survenir au cours de l’utilisation de votre iMac. Si vous rencontrez un problème, essayez de noter les opérations que vous avez effectuées avant que le problème ne survienne. Ce récapitulatif permet de restreindre les causes possibles du problème et de trouver la solution. Les éléments à noter comprennent :  les applications que vous étiez en train d’utiliser quand le problème est apparu ; les problèmes qui ne surgissent qu’avec une application particulière peuvent indiquer que cette application n’est pas compatible avec la version de Mac OS installée sur votre iMac ;  tout logiciel que vous avez récemment installé ;  tout nouveau composant matériel connecté ou installé (mémoire supplémentaire ou périphérique, par exemple). AVERTISSEMENT : N’essayez pas d’ouvrir votre iMac,sauf pour y installer de la mémoire. Si votre iMac a besoin d’être inspecté, consultez la section « Informations,services et assistance » à la page 64 pour savoir comment contacter Apple ou un Centre de Services Agréé Apple. L’utilisateur ne peut remplacer aucune pièce de l’iMac excepté la mémoire.Chapitre 4 À tout problème sa solution 47 Une once de prévention Si vous rencontrez un problème avec votre ordinateur ou un logiciel, des copies de sauvegarde Time Machine à jour vous permettront d’éviter de perdre des données. Si vous effectuez fréquemment des copies de sauvegarde de Time Machine, vous pouvez restaurer votre logiciel et toutes vos données dans l’état lors de la copie de sauvegarde. Même les graves problèmes perdent de leur importance quand vous sauvegardez vos données avec Time Machine. Problèmes vous empêchant d’utiliser votre iMac Si votre iMac ne répond plus ou que le pointeur se fige  Vérifiez que votre clavier Apple Wireless Keyboard ou votre souris Apple Magic Mouse est activé et que les piles sont en état de marche. Consultez la section « Remplacement des piles » à la page 57. Si vous utilisez un clavier ou une souris USB, assurez-vous qu’ils sont connectés. Débranchez puis rebranchez les connecteurs et vérifiez qu’ils sont correctement mis en place.  Essayez de forcer la fermeture des applications qui posent problème. Maintenez les touches Option et Commande (x) enfoncées, puis appuyez sur esc. Si une zone de dialogue apparaît, sélectionnez-y l’application et cliquez sur Forcer à quitter. Enregistrez alors le travail de toute application ouverte, puis redémarrez l’iMac afin de vous assurer que le problème est entièrement réglé.  Si vous ne parvenez pas à forcer la fermeture de l’application, éteignez votre ordinateur en maintenant enfoncé le bouton d’alimentation (®) situé à l’arrière de votre iMac pendant cinq secondes. Débranchez le câble d’alimentation de l’iMac. Rebranchez ensuite le câble, puis appuyez sur le bouton d’alimentation (®) pour rallumer l’iMac.48 Chapitre 4 À tout problème sa solution Si le problème survient chaque fois que vous utilisez une application particulière, consultez le fabricant de cette application pour vérifier si elle est compatible avec votre ordinateur. Pour obtenir des informations concernant les logiciels fournis avec votre iMac, consultez la page www.apple.com/fr/downloads. Si vous rencontrez ce problème fréquemment, essayez de réparer votre disque, de restaurer votre logiciel depuis une copie de sauvegarde ou de réinstaller votre logiciel système à l’aide de la sous-fenêtre Utilitaires Mac OS X (voir la section « Réparer, restaurer ou réinstaller des logiciels Mac OS X » à la page 50). Si votre iMac se bloque au démarrage ou si un point d’interrogation clignotant apparaît  Patientez quelques secondes. Si votre iMac ne démarre pas dans un bref délai, éteignez l’iMac en maintenant le bouton d’alimentation (®) enfoncé pendant 5 secondes. Maintenez ensuite la touche Option enfoncée tout en appuyant à nouveau sur le bouton d’alimentation (®) pour démarrer votre iMac. Maintenez la touche Option enfoncée jusqu’au démarrage de votre iMac, puis cliquez sur la flèche située sous l’icône du disque dur que vous voulez utiliser. Une fois que l’iMac démarre, ouvrez Préférences Système et cliquez sur Disque de démarrage. Sélectionnez un dossier Système local de Mac OS X.  Si le problème se produit fréquemment, vous devrez peut-être réinstaller le logiciel système (consultez la rubrique « Réparer, restaurer ou réinstaller des logiciels Mac OS X » à la page 50). Si votre iMac ne s’allume ou ne démarre pas  Assurez-vous que le câble d’alimentation est correctement connecté à l’iMac et branché sur une prise électrique en état de marche.Chapitre 4 À tout problème sa solution 49  Redémarrez votre ordinateur tout en maintenant la touche Commande (x) et la touche R enfoncées, jusqu’au redémarrage de l’ordinateur. Lorsque la sous-fenêtre Utilitaires Mac OS X apparaît, sélectionnez une option pour réparer votre disque, restaurer votre logiciel ou réinstaller les applications Mac OS X et Apple. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Réparer, restaurer ou réinstaller des logiciels Mac OS X » à la page 50.  Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) et maintenez immédiatement les touches Commande (x), Option, P et R enfoncées jusqu’à entendre à nouveau le son de démarrage. Cette action réinitialise la RAM des paramètres (PRAM).  Si vous avez récemment installé de la mémoire et que votre iMac fait retentir une sonnerie toutes les cinq secondes, assurez-vous que la mémoire est correctement installée et qu’elle est compatible avec votre iMac. Vérifiez si le retrait de cette mémoire permet à l’iMac de démarrer (voir page 42).  Débranchez le câble d’alimentation et attendez au moins 30 secondes. Rebranchez le câble, puis appuyez sur le bouton d’alimentation (®) pour allumer votre iMac.  Si vous ne parvenez toujours pas à redémarrer votre iMac, consultez la rubrique « Informations, services et assistance » à la page 64 pour obtenir les coordonnées du service de réparation Apple. En cas de problèmes avec l’insertion d’un disque  En effectuant un mouvement continu, enfoncez le disque dans le lecteur jusqu’à ce que vos doigts touchent le bord de votre iMac  Utilisez uniquement un disque de taille standard.50 Chapitre 4 À tout problème sa solution En cas de problème à l’éjection d’un disque  Quittez toutes les applications susceptibles d’utiliser le disque, puis appuyez sur la touche d’éjection de disque (C) de votre clavier.  Ouvrez une fenêtre du Finder et cliquez sur l’icône d’éjection (située à côté de celle du disque dans la barre latérale), ou bien faites glisser l’icône du disque du bureau vers la Corbeille.  Fermez la session de votre compte utilisateur en choisissant le menu Pomme () > Fermer la session « Utilisateur » (le nom de votre compte apparaît dans le menu), puis appuyez sur la touche d’éjection de disque (C) de votre clavier.  Redémarrez votre iMac en maintenant le bouton de la souris enfoncé. En cas de problème de défilement avec votre souris  Si votre souris est dotée d’une bille de défilement et que celle-ci ne défile pas vers le haut, vers le bas, ou latéralement, retournez la souris et faites rouler la bille énergiquement tout en la nettoyant.  Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Entretien de votre souris » à la page 74. Si vous perdez fréquemment vos réglages de date et d’heure  La batterie de secours interne de votre ordinateur a peut-être besoin d’être remplacée. Consultez la section « Informations, services et assistance » à la page 64 pour contacter Apple à propos du service après-vente. Réparer, restaurer ou réinstaller des logiciels Mac OS X Mac OS X permet de réparer et de restaurer les utilitaires afin d’éliminer les problèmes avec les logiciels ou le matériel iMac. Mac OS X peut également restaurer vos logiciels avec les réglages d’origine (sortie d’usine). Vous pouvez accéder à ces utilitaires à l’aide de l’application Utilitaires Mac OS X, même si votre ordinateur ne démarre pas correctement.Chapitre 4 À tout problème sa solution 51 Utilisez les Utilitaires Mac OS X pour :  restaurer vos logiciels et vos données à partir d’une copie de sauvegarde Time Machine ;  réinstaller Mac OS X et des applications Apple ;  restaurer les réglages d’origine de votre ordinateur en effaçant son disque et en réinstallant Mac OS X et vos applications Apple ;  réparer le disque de votre ordinateur à l’aide d’Utilitaire de disque. Si votre ordinateur détecte un problème, l’application Utilitaires Mac OS X s’ouvre automatiquement. Vous pouvez également ouvrir l’application manuellement en redémarrant l’ordinateur.52 Chapitre 4 À tout problème sa solution Pour ouvrir l’application Utilitaires Mac OS X : m Redémarrez votre ordinateur en maintenant les touches Commande (x) et R enfoncées. Certains utilitaires de l’application Utilitaires Mac OS X nécessitent un accès à Internet et au Mac App Store. Vous pouvez vous assurer que votre ordinateur est connecté à Internet à l’aide de votre réseau Ethernet ou Wi-Fi. Se connecter à l’aide d’un réseau Wi-Fi : 1 Choisissez un réseau dans le menu d’état Wi-Fi situé dans le coin supérieur droit de l’écran. 2 Si nécessaire, saisissez le mot de passe du réseau. Pour vous connecter à un réseau fermé, choisissez Se connecter à un autre réseau. Saisissez le nom et le mot de passe du réseau. Réparation d’un disque avec Utilitaire de disque Si vous avez un problème avec votre ordinateur ou si, au démarrage, celui-ci affiche la sous-fenêtre Utilitaires Mac OS X, une réparation du disque de votre ordinateur peut être nécessaire. 1 Sélectionnez Utilitaire de disque dans la sous-fenêtre Utilitaires Mac OS X et cliquez sur Continuer. 2 Sélectionnez le disque ou la partition dans la liste de gauche, puis cliquez sur l’onglet S.O.S. 3 Cliquez sur Réparer le disque. Si Utilitaire de disque ne peut pas réparer le disque, sauvegardez autant d’informations que possible, puis suivez les instructions de la section « Réinstallation de Mac OS X et des applications Apple » à la page 54.Chapitre 4 À tout problème sa solution 53 Pour obtenir des informations sur Utilitaire de disque et ses options, consultez le Centre d’aide, ou ouvrez Utilitaire de disque (dans le dossier Utilitaires du Launchpad) et choisissez Aide > Aide Utilitaire de disque. Restauration d’informations depuis une copie de sauvegarde Time Machine Vous pouvez utiliser l’utilitaire Restauration pour tout restaurer sur votre ordinateur à l’état antérieur si vous possédez une copie de sauvegarde Time Machine. Utilisez la copie de sauvegarde Time Machine pour restaurer vos données uniquement sur l’ordinateur qui est à la source de la sauvegarde. Si vous voulez transférer des informations vers un nouvel ordinateur, utilisez l’Assistant migration (situé dans le dossier Utilitaires du Launchpad). 1 Si votre copie de sauvegarde se trouve sur une Time Capsule, assurez-vous que votre ordinateur est connecté à un réseau Ethernet ou Wi-Fi. (Pour vous connecter à un réseau Wi-Fi, suivez les instructions présentées à la page 52.) 2 Dans la sous-fenêtre Utilitaires Mac OS X, sélectionnez Restaurer à partir d’une sauvegarde Time Machine, puis cliquez sur Continuer. 3 Sélectionnez le disque qui contient la copie de sauvegarde Time Machine, puis suivez les instructions à l’écran.54 Chapitre 4 À tout problème sa solution Réinstallation de Mac OS X et des applications Apple La réinstallation de Mac OS X et des applications Apple peut parfois s’avérer nécessaire. Vous pouvez procéder à cette réinstallation tout en conservant vos fichiers et vos réglages utilisateur. 1 Assurez-vous que vous êtes connecté à Internet via un réseau Ethernet ou Wi-Fi. (Pour vous connecter à un réseau Wi-Fi, suivez les instructions présentées à la page 52.) 2 Dans la sous-fenêtre Utilitaires Mac OS X, sélectionnez Réinstaller Mac OS X, puis cliquez sur Continuer. 3 Dans la sous-fenêtre dans laquelle vous êtes invité à sélectionner un disque, sélectionnez votre disque Mac OS X actuel (il s’agit bien souvent du seul disque disponible). 4 Pour sélectionner ou désélectionner des logiciels facultatifs, cliquez sur Personnaliser. 5 Cliquez sur Installer. Vous pouvez soit installer Mac OS X sans effacer le disque, afin de conserver vos fichiers et réglages existants,soit effacer d’abord le disque pour supprimer toutes vos données et préparer l’ordinateur en vue de la réinstallation de Mac OS X et des applications Apple. Une fois Mac OS X réinstallé, vous pouvez télécharger à nouveau les applications Apple fournies avec votre iMac et les applications que vous avez achetées sur le Mac App Store. Vous pouvez restaurer vos autres données et applications depuis une copie de sauvegarde Time Machine ou autre. Important : Apple vous recommande de sauvegarder les données du disque avant de procéder à la restauration des logiciels. Apple décline toute responsabilité en cas de perte de données.Chapitre 4 À tout problème sa solution 55 Restauration des réglages d’origine de votre ordinateur Lorsque vous restaurez les réglages d’origine de votre ordinateur, tous les éléments présents sur ce dernier (vos comptes utilisateur, vos réglages réseau, ainsi que tous vos fichiers et dossiers) sont supprimés. Avant de procéder à une restauration, sauvegardez tous les fichiers que vous souhaitez conserver en les copiant sur un autre disque. Notez les réglages réseau enregistrés dans les préférences Réseau pour pouvoir vous reconnecter plus aisément après la réinstallation de Mac OS X. 1 Assurez-vous que vous êtes connecté à Internet via un réseau Ethernet ou Wi-Fi. (Pour vous connecter à un réseau Wi-Fi, suivez les instructions présentées à la page 52). 2 Dans la sous-fenêtre Utilitaires Mac OS X, sélectionnez Utilitaire de disque, puis cliquez sur Continuer. 3 Sélectionnez le disque dans la liste de gauche, puis cliquez sur l’onglet Effacer. 4 Sélectionnez « Mac OS étendu (journalisé) » dans le menu local Format, saisissez le nom du disque, puis cliquez sur Effacer. 5 Une fois le disque effacé, choisissez Utilitaire de disque > Quitter Utilitaire de disque. 6 Dans la sous-fenêtre Utilitaires Mac OS X, sélectionnez « Réinstaller Mac OS X », puis cliquez sur Continuer. 7 Pour réinstaller Mac OS X et vos applications, suivez les instructions du programme d’installation de Mac OS X. Une fois Mac OS X réinstallé, vous pouvez télécharger à nouveau les applications Apple fournies avec votre iMac et les applications que vous avez achetées sur le Mac App Store. Vous pouvez restaurer vos autres données et applications depuis une copie de sauvegarde Time Machine ou autre.56 Chapitre 4 À tout problème sa solution Vérification d’un problème matériel Si vous suspectez un problème matériel, utilisez l’application Apple Hardware Test pour vérifier si l’un des composants de l’iMac pose problème. Pour utiliser Apple Hardware Test : 1 Déconnectez tous les périphériques de votre iMac, excepté le clavier et la souris. Si un câble Ethernet est connecté, déconnectez-le. 2 Redémarrez votre iMac en maintenant la touche D enfoncée. 3 Lorsque l’écran de sélection de l’application Apple Hardware Test apparaît, sélectionnez la langue à utiliser. 4 Appuyez sur la touche Retour ou cliquez sur la flèche droite. 5 Lorsque l’écran principal d’Apple Hardware Test s’affiche (après 45 secondes environ), suivez les instructions à l’écran. 6 En cas de détection d’un problème, Apple Hardware Test affiche un code d’erreur. Notez le code d’erreur avant d’entreprendre les démarches d’assistance. Si Apple Hardware Test ne détecte aucune erreur matérielle, le problème est sans doute de type logiciel. Important : Si la fenêtre Apple Hardware Test n’apparaît pas après le redémarrage, maintenez les touches Commande (x), Option, et D enfoncées et redémarrez l’ordinateur pour accéder au logiciel Apple Hardware Test depuis Internet. Votre ordinateur doit être connecté à un réseau ayant accès à Internet.Chapitre 4 À tout problème sa solution 57 Remplacement des piles Votre clavier Apple Wireless Keyboard et votre souris Apple Magic Mouse sont fournis avec deux piles AA déjà installées. Il vous est possible de les remplacer par des piles AA alcalines, au lithium ou rechargeables. Gardez le cache du compartiment à piles et les piles hors de portée des enfants. AVERTISSEMENT : En cas de changement des piles, remplacez-les toutes. Ne mélangez pas des piles anciennes avec des nouvelles ou différents types de piles (par exemple, ne placez pas des piles alcalines et des piles au lithium). N’ouvrez pas et ne percez pas les piles, ne les insérez pas dans le sens contraire de la polarité et ne les exposez pas au feu, à des températures élevées ou à l’eau. Gardez les piles hors de portée des enfants.58 Chapitre 4 À tout problème sa solution Pour changer les piles de votre clavier sans fil Apple Wireless Keyboard : 1 Appuyez sur bouton d’alimentation (®) pour éteindre votre clavier. 2 Utilisez une pièce pour retirer le couvercle du compartiment des piles. Couvercle du compartiment des piles 3 Placez deux piles AA dans le compartiment des piles comme illustré ci-dessous. Insérez les piles 4 Replacez le couvercle du compartiment des piles. Pour contrôler l’état des piles, appuyez sur le bouton d’alimentation (®). Si le voyant lumineux ne s’allume pas, vous devez changer les piles. Vous pouvez contrôler l’état des piles dans les préférences Clavier. Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système puis cliquez sur Clavier. L’état des piles est indiqué dans le coin inférieur gauche.Chapitre 4 À tout problème sa solution 59 Pour remplacer les piles de la souris Apple Magic Mouse : 1 Éteignez votre souris en faisant glisser l’interrupteur marche/arrêt situé en bas de dernière. 2 Faites glisser le loquet vers le bas et retirez le cache du compartiment à piles. Loquet Piles 3 Insérez les piles, côté positif (+) vers le haut, comme illustré ci-dessus. 4 Replacez le cache et allumez votre souris. Vous devez cliquer une fois avec votre souris Apple Magic Mouse pour la reconnecter à votre iMac. Faites glisser l’interrupteur Marche/Arrêt situé sur la partie inférieure de la souris pour vérifier l’état des piles. Si le voyant lumineux ne s’allume pas, vous devez changer les piles. Vous pouvez contrôler l’état des piles dans les préférences Souris. Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système, puis cliquez sur Souris. Le niveau de charge des piles s’affiche dans le coin inférieur gauche.60 Chapitre 4 À tout problème sa solution Problèmes de connexion à Internet L’application Assistant réglages réseau de votre iMac peut vous guider tout au long de la configuration d’une connexion Internet. Ouvrez Préférences Système, puis cliquez sur Réseau. Cliquez sur le bouton « Assistant » pour ouvrir Assistant réglages de réseau. En cas de problème avec votre connexion à Internet, vous pouvez essayer les méthodes exposées dans cette rubrique pour votre type de connexion ou vous pouvez utiliser Diagnostic réseau. Pour utiliser Diagnostic réseau : 1 Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système. 2 Cliquez sur Réseau puis cliquez sur « Assistant ». 3 Cliquez sur Diagnostic pour lancer Diagnostic réseau. 4 Suivez les instructions à l’écran. Si Diagnostic réseau n’est pas en mesure de résoudre le problème, celui-ci se situe peut-être au niveau du fournisseur d’accès à Internet auquel vous essayez de vous connecter, du périphérique externe utilisé pour la connexion au fournisseur d’accès à Internet ou du serveur auquel vous essayez d’accéder. Vous pouvez essayer les instructions décrites dans les rubriques suivantes. Connexions à Internet par modem câble, modem DSL ou réseau local (LAN) Assurez-vous que tous les câbles du modem sont correctement branchés, y compris le câble d’alimentation du modem, le câble reliant le modem à l’ordinateur et le câble raccordant le modem à la prise murale. Vérifiez également les câbles et l’alimentation de vos éventuels routeurs et concentrateurs Ethernet.Chapitre 4 À tout problème sa solution 61 Éteignez le modem-câble ou DSL, puis rallumez-le après quelques minutes. Certains fournisseurs d’accès à Internet (FAI) conseillent de débrancher le câble d’alimentation du modem. Si votre modem dispose d’un bouton de réinitialisation, vous pouvez l’actionner avant ou après avoir éteint puis rallumé le modem. Important : les instructions relatives aux modems ne concernent pas les utilisateurs de réseau LAN. Ces derniers peuvent disposer de concentrateurs, de commutateurs, de routeurs ou de blocs de connexion que les utilisateurs de modem DSL ne possèdent pas. Ils doivent prendre contact avec leur administrateur réseau plutôt qu’avec un FAI. Connexions PPPoE Si vous ne parvenez pas à vous connecter à votre fournisseur d’accès à Internet via PPPoE (Point to Point Protocol over Ethernet), assurez-vous que les données saisies dans les préférences Réseau sont correctes. Pour saisir les réglages PPPoE : 1 Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système. 2 Cliquez sur Réseau. 3 Cliquez sur Ajouter (+) en bas de la liste des services de connexion réseau et choisissez PPPoE dans le menu local Interface. 4 Choisissez une interface pour le service PPPoE dans le menu local Ethernet. Choisissez Ethernet si vous vous connectez à un réseau câblé ou Wi-Fi si vous vous connectez à un réseau sans fil. 5 Cliquez sur Créer. 6 Saisissez les informations transmises par votre fournisseur d’accès, telles que le nom de compte, le mot de passe et le nom du service PPPoE (si votre fournisseur d’accès le demande). 7 Cliquez sur Appliquer pour activer les réglages.62 Chapitre 4 À tout problème sa solution Connexions réseau Assurez-vous que le câble Ethernet est branché sur l’iMac et sur le réseau. Vérifiez les câbles et l’alimentation de vos routeurs et concentrateurs Ethernet. Si vous disposez de plusieurs ordinateurs partageant une connexion à Internet, assurezvous que votre réseau est correctement configuré. Vous devez savoir si votre FAI fournit une seule ou plusieurs adresses IP, autrement dit, une pour chaque ordinateur. Si une seule adresse IP est fournie, vous devez disposer d’un routeur capable de partager la connexion ; on parle alors de conversion d’adresse réseau (NAT) ou de masquage d’adresses IP. Pour obtenir des informations sur la configuration, consultez la documentation fournie avec votre routeur ou contactez la personne qui a configuré votre réseau. La borne d’accès AirPort peut être utilisée pour que plusieurs ordinateurs partagent une adresse IP. Pour en savoir plus sur l’utilisation d’une borne d’accès AirPort, consultez le Centre d’aide (cliquez sur Aide dans la barre des menus et recherchez le terme « airport ») ou le site web AirPort d’Apple à l’adresse www.apple.com/fr/support/airport. Si ces méthodes s’avèrent insuffisantes pour résoudre les problèmes rencontrés, adressez-vous à votre fournisseur d’accès à Internet ou à votre administrateur réseau. Problèmes de communication sans fil En cas de problèmes avec les communications sans fil :  Vérifiez que l’ordinateur ou le réseau auquel vous souhaitez vous connecter est activé et dispose d’un point d’accès sans fil.Chapitre 4 À tout problème sa solution 63  Assurez-vous que le logiciel est correctement configuré conformément aux instructions incluses avec votre borne d’accès ou point d‘accès.  Assurez-vous que l’autre ordinateur ou le point d’accès au réseau se trouve dans la zone de couverture de l’antenne de votre iMac. Des appareils électroniques ou des structures métalliques se trouvant à proximité peuvent interférer avec les communications sans fil et réduire la portée de votre antenne. Vous pouvez éventuellement améliorer la réception en tournant et en réorientant votre iMac.  Vérifiez le menu d’état Wi-Fi (Z) dans la barre des menus. Jusqu’à quatre barres de mesure apparaissent pour afficher la puissance du signal. Si l’intensité du signal est faible, essayez de changer de place.  Consultez le Centre d’aide (cliquez sur Aide dans la barre des menus puis recherchez le terme « wi-fi ») ainsi que les instructions fournies avec votre appareil sans fil. Maintien à jour de vos logiciels Une fois connecté à Internet, « Mise à jour de logiciels » consulte régulièrement les mises à jour disponibles pour votre ordinateur. Vous pouvez télécharger et installer automatiquement les dernières versions de logiciels, gestionnaires et autres améliorations fournies par Apple. Il est possible de régler la fréquence de vérification des mises à jour dans les préférences « Mise à jour de logiciels ». Pour rechercher manuellement des mises à jour, choisissez le menu Pomme () > Mise à jour de logiciels. Pour plus d’informations sur la Mise à jour de logiciels, consultez le Centre d’aide (cliquez sur Aide dans la barre des menus puis recherchez le terme « Mise à jour de logiciels »).64 Chapitre 4 À tout problème sa solution Pour obtenir les toutes dernières informations sur Mac OS X, consultez la page www.apple.com/fr/macosx. Pour les problèmes liés aux logiciels provenant d’éditeurs tiers, contactez l’éditeur concerné. Les fabricants de logiciels proposent souvent des mises à jour de leurs produits sur leurs sites web. Informations, services et assistance Votre iMac ne contient aucune pièce susceptible d’être remplacée par l’utilisateur, à l’exception du clavier, de la souris et de la mémoire. Si vous avez besoin de services de réparation, adressez-vous à Apple ou portez votre iMac dans un Centre de Services Agréé Apple. Vous trouverez de plus amples informations sur votre iMac en ligne, dans l’aide à l’écran, dans Informations Système et via Apple Hardware Test. Iessources en ligne Pour obtenir des informations en ligne sur le service et l’assistance, consultez la page www.apple.com/fr/support. Vous pouvez faire des recherches dans la base de connaissances AppleCare, vérifier si de nouvelles mises à jour de logiciels sont disponibles ou obtenir de l’aide dans les forums de discussion Apple. Aide à l’écran Vous pouvez trouver des réponses à vos questions ainsi que des instructions et des informations concernant le dépannage dans le Centre d’aide. Choisissez Aide > Centre d’aide.Chapitre 4 À tout problème sa solution 65 Informations système Pour obtenir des informations sur votre iMac, utilisez Informations système. Cette application vous fournit la liste des composants matériels et des logiciels installés, le numéro de série et de version du système d’exploitation, la quantité de mémoire installée, etc. Pour ouvrir les Informations Système, choisissez le menu Pomme () > « À propos de ce Mac » dans la barre des menus, puis cliquez sur Plus d’infos. Service et assistance AppleCare Votre iMac s’accompagne d’une assistance technique de 90 jours et d’un an de couverture pour les réparations de matériel effectuées dans un Apple Store ou les centres de réparations agréés Apple, tel qu’un fournisseur de services agréé Apple (AASP). Vous avez la possibilité d’étendre la durée de cette couverture en adhérant à un programme AppleCare Protection Plan. Pour en savoir plus, consultez le site www.apple.com/fr/support/products ou bien visitez le site web de votre pays (dans la liste ci-dessous). Si vous avez besoin d’assistance, le personnel d’assistance par téléphone AppleCare peut vous aider à installer et à ouvrir les applications, et propose des services de dépannage élémentaires. Appelez le centre d’assistance le plus proche de chez vous (gratuit pendant les 90 premiers jours). Gardez la date d’achat et le numéro de série de votre iMac à portée de main lorsque vous appelez. Remarque : La période de 90 ours d’assistance gratuite par téléphone débute à la date d’achat. Des frais téléphoniques peuvent éventuellement s’appliquer.66 Chapitre 4 À tout problème sa solution Pays Téléphone Site web Allemagne (49) 01805 009 433 www.apple.com/de/support Autriche (43) 0810 300 427 www.apple.com/at/support Belgique (flamand) (français) (32) 070 700 772 (32) 070 700 773 www.apple.com/benl/support www.apple.com/befr/support France (Métropolitaine) (DOM-TOM) (33) 0805 540 003 (33) 0825 77 00 35 www.apple.com/fr/support Luxembourg (352) 800 24550 www.apple.com/lu/support Suisse (français) (allemand) (41) 0848 000 132 (41) 0848 000 132 www.apple.com/chfr/support www.apple.com/chde/support Les numéros de téléphone sont susceptibles d’être modifiés. Les tarifs téléphoniques locaux et nationaux peuvent s’appliquer. Une liste complète est disponible sur Internet : www.apple.com/support/contact/phone_contacts.html (en anglais) Localisation du numéro de série de votre produit Utilisez l’une des méthodes suivantes pour trouver le numéro de série de votre iMac :  Choisissez le menu Pomme () > À propos de ce Mac. Cliquez sur le numéro de version sous « Mac OS X » pour passer du numéro de version de Mac OS X au numéro de révision, puis au numéro de série.  Choisissez le menu Pomme () > « À propos de ce Mac », et cliquez sur Plus d’infos.  Regardez sous le socle de l’iMac.Centre d’aide ergonomie www.apple.com/fr/environment Dernières recommandations 568 Chapitre 5 Dernières recommandations Afin d’assurer votre sécurité et de préserver votre matériel, veillez à observer ces consignes concernant le nettoyage et la manipulation de votre iMac ainsi que l’aménagement d’un espace de travail confortable. Gardez ces instructions dans un endroit facile d’accès pour vous et pour les utilisateurs éventuels. AVIS : La garantie du fabricant pourra être annulée si votre ordinateur a été utilisé ou stocké de manière impropre. Informations importantes en matière de sécurité AVERTISSEMENT : Ne pas suivre ces consignes pourrait déclencher un feu, occasionner des décharges électriques ou entraîner tout type de blessure ou dommage. Manipulation correcte Installez votre iMac sur une surface de travail stable. N’introduisez jamais d’objets d’aucune sorte dans les ouvertures servant à la ventilation. Eau et endroits humides Évitez de placer votre iMac à proximité de sources de liquide telles que des boissons, un évier, un lavabo, une baignoire ou une douche, par exemple. Protégez votre iMac de l’humidité et des intempéries (neige, pluie et brouillard, par exemple). Alimentation La seule manière de couper complètement l’alimentation de l’ordinateur consiste à débrancher le câble d’alimentation. Veillez à tirer sur la fiche plutôt que sur le câble. Débranchez toujours le câble d’alimentation avant d’ouvrir l’iMac pour installer de la mémoire.Chapitre 5 Dernières recommandations 69 Débranchez le câble d’alimentation (en tirant sur la fiche plutôt que sur le câble) et déconnectez le câble Ethernet ou le cordon téléphonique si l’un des cas suivants se présente :  Vous souhaitez ajouter de la mémoire.  La prise ou le câble d’alimentation est endommagé.  Vous avez renversé quelque chose dans le boîtier de l’ordinateur.  Votre iMac est exposé à la pluie ou à une humidité excessive.  Votre iMac a subi une chute ou le boîtier a été endommagé.  Vous pensez que votre iMac a besoin d’être inspecté ou réparé.  Vous souhaitez nettoyer le boîtier (pour ce faire, suivez à la lettre les instructions fournies à la page 74). Important : La seule manière de couper complètement l’alimentation de l’ordinateur consiste à débrancher le câble d’alimentation. Assurez-vous qu’au moins une extrémité du cordon d’alimentation est à portée de main afin de pouvoir débrancher votre iMac lorsque vous en avez besoin. AVERTISSEMENT : Votre câble secteur dispose d’une fiche de terre à trois broches (fiche équipée d’une troisième broche de mise à la terre). Cette fiche ne peut être branchée que sur une prise secteur reliée à la terre. Si vous ne pouvez pas brancher la fiche car la prise n’est pas reliée à la terre, contactez un électricien agréé pour qu’il remplace cette prise par une prise correctement reliée à la terre. Ne dérogez en aucun cas à cette consigne.70 Chapitre 5 Dernières recommandations Spécifications de l’alimentation :  Tension : 100 à 240 V CA  Courant : 4 A, maximum  Fréquence : de 50 à 60 Hz Diminution de l’acuité auditive Vous risquez une perte d’audition irréparable si vous utilisez un casque ou des écouteurs à un volume sonore élevé. Réglez le volume à un niveau sans danger. L’oreille peut s’adapter petit à petit à des volumes sonores de plus en plus élevés qui peuvent sembler normaux, mais qui risquent à la longue d’endommager votre système auditif. En cas de sifflements ou de perte d’acuité auditive, arrêtez d’utiliser le casque ou les écouteurs et consultez un médecin. Plus le volume est élevé, plus votre audition risque d’être affectée rapidement. Pour protéger votre système auditif, les spécialistes conseillent de prendre les mesures suivantes :  Limitez la durée d’utilisation à volume élevé de vos écouteurs ou de votre casque d’écoute.  Évitez d’augmenter le volume afin de bloquer les bruits environnants.  Baissez le volume si vous ne parvenez pas à entendre une personne qui parle à côté de vous. Activités à haut risque Cet ordinateur n’est pas conçu pour être utilisé dans des installations nucléaires, pour la navigation ou la communication aérienne, pour le contrôle du trafic aérien, ni dans aucune autre situation où une panne du système informatique pourrait entraîner la mort, des blessures ou de graves dommages écologiques.Chapitre 5 Dernières recommandations 71 Informations sur le laser classe 1 de la souris La souris Apple Magic Mouse est un produit laser de classe 1 conformément aux directives IEC60825-1 A1 A2 et 21 CFR 1040.10 et 1040.11, sauf pour les déviations conformes à l’avis sur le laser No. 5, daté du 26 juillet 2001. Attention : Toute modification de cet appareil peut conduire à une exposition dangereuse à des radiations. Afin d’assurer votre sécurité, ce dispositif ne doit être réparé que par un Centre de Services Agréé Apple. Un laser de classe 1 ne présente pas de danger dans des conditions raisonnablement prévisibles, d’après les exigences des directives IEC 60825-1 et 21 CFR 1040. Il est cependant recommandé de ne pas diriger votre faisceau laser vers les yeux de quiconque. Informations concernant le laser pour lecteurs optiques AVERTISSEMENT : La mise en place de réglages ou la réalisation d’opérations qui ne sont pas spécifiées dans le manuel de votre appareil risque de vous exposer à des rayonnements dangereux. Le lecteur optique de votre iMac contient un laser qui est entièrement sans danger si l’on en fait un usage normal, mais qui peut s’avérer dangereux pour les yeux s’il est démonté. Afin d’assurer votre sécurité, ce dispositif ne doit être réparé que par un Centre de Services Agréé Apple. Important : Le matériel électrique peut s’avérer dangereux s’il n’est pas utilisé correctement. L’utilisation de ce produit ou de tout produit similaire doit toujours être supervisée par un adulte. Évitez que des enfants ne manipulent les composants internes ou les câbles de ces appareils.72 Chapitre 5 Dernières recommandations AVERTISSEMENT : N’introduisez jamais d’objets d’aucune sorte dans les ouvertures de ventilation du boîtier. Cela peut s’avérer dangereux et endommager votre ordinateur. Ne procédez à aucune réparation par vous-même Votre iMac ne contient aucune pièce susceptible d’être remplacée par l’utilisateur, à l’exception du clavier, de la souris et de la mémoire (voir « Installation de mémoire » à la page 39). N’essayez pas d’ouvrir votre iMac. Si votre iMac a besoin d’être réparé, contactez un Centre de Services Agréé Apple ou Apple. Consultez la rubrique « Informations, services et assistance » à la page 64. Si vous ouvrez votre iMac ou que vous installez d’autres éléments que la mémoire, vous risquez d’endommager votre matériel. Les dommages de ce type ne sont pas couverts par la garantie limitée de votre iMac. Informations importantes sur la manipulation AVIS : Ne pas suivre les présentes instructions sur la manipulation peut provoquer des dommages à votre iMac ou à d’autres objets. Environnement de fonctionnement L’utilisation de votre iMac en dehors des limites suivantes risque d’influer sur ses performances :  Température de fonctionnement : de 10 à 35 °C  Température de stockage : de -20 à 47 °C  Humidité relative : de 5 % à 95% (sans condensation)  Altitude maximale de fonctionnement : 3 048 mètresChapitre 5 Dernières recommandations 73 N’utilisez pas votre iMac à des endroits présentant des quantités importantes de poussière dans l’air ou de la fumée de cigarettes, cigares, cendriers, cuisinières ou cheminées, ni à proximité d’un humidificateur ultrasonique employant de l’eau du robinet non filtrée. Les minuscules particules en suspension dans l’air produites par la fumée, la cuisine, la combustion ou l’utilisation d’un humidificateur ultrasonique avec de l’eau non filtrée sont susceptibles, en de rares occasions, de pénétrer dans les orifices de ventilation de votre iMac et, dans certaines circonstances, provoquer une légère « brume » sur la surface interne du panneau de verre recouvrant l’écran de l’iMac. Mise sous tension de votre iMac N’allumez jamais votre iMac tant que tous ses composants internes et externes ne sont pas en place. L’utilisation de l’ordinateur alors que certains composants manquent peut s’avérer dangereuse et risque de l’endommager. Transport de votre iMac Veillez à éteindre votre iMac et à déconnecter tous les câbles et cordons qui y sont rattachés avant de le soulever ou de le changer de place. Pour soulever ou déplacer votre iMac, tenez-le par ses côtés. Utilisation des connecteurs et des ports Ne forcez jamais un connecteur à entrer dans un port. Lorsque vous branchez un appareil, assurez-vous que le port ne contient aucun résidu quelconque, que le connecteur correspond bien au port et qu’il est placé de manière à entrer correctement dans le port. Utilisation du lecteur optique Le lecteur SuperDrive de votre iMac prend en charge les disques standard de 12 cm. Les disques de forme irrégulière et de moins de 12 cm ne peuvent pas être lus. Rangement de votre iMac Si vous comptez ranger votre iMac pendant une longue période de temps, veillez à le conserver dans un endroit frais (idéalement, 22 °C).74 Chapitre 5 Dernières recommandations Nettoyage de votre iMac Respectez les règles suivantes lors du nettoyage de votre iMac et de ses composants :  Éteignez votre iMac et débranchez tous les câbles.  Pour nettoyer la partie extérieure de l’iMac, utilisez un chiffon doux, légèrement humide et non pelucheux. Évitez les infiltrations d’humidité par quelque ouverture que ce soit. Ne vaporisez jamais de liquide directement sur l’iMac.  N’utilisez ni aérosol, ni dissolvant, ni abrasif. Nettoyage de l’écran de votre iMac Utilisez un chiffon doux, légèrement humide et non pelucheux. Pour nettoyer l’écran de votre iMac, procédez comme suit :  Éteignez votre iMac et débranchez tous les câbles.  Humidifiez un chiffon doux et non pelucheux, uniquement avec de l’eau, puis essuyez l’écran. Ne vaporisez jamais de liquide directement sur l’écran. Entretien de votre souris Vous devez nettoyer votre souris de temps en temps pour éliminer la saleté et la poussière qui se sont accumulées. Utilisez un chiffon non pelucheux légèrement humidifié avec de l’eau. Évitez que la moindre humidité ne pénètre dans une ouverture et n’utilisez pas d’aérosols, de dissolvants ou d’abrasifs. Si vous utilisez une souris Apple câblée avec votre iMac, tenez celle-ci à l’envers et faites rouler vigoureusement la boule de défilement avec un chiffon propre, doux et non pelucheux, pour déloger les particules qui pourraient gêner le défilement.Chapitre 5 Dernières recommandations 75 Ergonomie Voici quelques conseils pour la mise en place d’un environnement de travail sain. Clavier Lorsque vous utilisez le clavier, vous devez avoir les épaules détendues. Votre bras et votre avant-bras doivent former un angle plus ou moins droit, tandis que votre poignet et votre main doivent se trouver sur une ligne à peu près droite. Modifiez fréquemment la position de vos mains pour éviter la fatigue. Après un travail continu et intensif sur ordinateur, certains utilisateurs peuvent ressentir des douleurs aux mains, aux poignets ou aux bras. Si ces douleurs persistent, consultez un spécialiste. Souris Placez la souris à la même hauteur que le clavier et à une distance confortable. Écran Placez le moniteur de manière que le haut de l’écran se trouve légèrement en dessous du niveau de vos yeux lorsque vous êtes assis au clavier. La distance idéale entre vos yeux et l’écran est une question d’appréciation personnelle, mais la plupart des utilisateurs semblent adopter une distance comprise entre 45 et 70 cm. Orientez l’écran de manière qu’il reflète le moins possible la lumière provenant de l’éclairage et des fenêtres proches. Le pied vous permet d’orienter l’écran de façon à obtenir un angle de vision idéal et de réduire ou d’éliminer ainsi les reflets provoqués par des sources lumineuses que vous ne pouvez pas déplacer.76 Chapitre 5 Dernières recommandations Cuisses légèrement inclinées Épaules détendues Écran positionné de façon à éviter tout reflet éblouissant Avant-bras et mains en ligne droite Avant-bras légèrement inclinés Bas du dos soutenu Pieds fixes au sol ou sur un repose-pied Haut de l'écran au niveau des yeux ou juste en dessous Côté inférieur du plan de travail dégagé 45–70 cm Siège Optez pour un siège de bureau réglable et offrant un dossier et une assise confortables. Réglez la hauteur du siège de telle sorte que vos cuisses reposent à l’horizontale et vos pieds à plat sur le sol. Le dossier du siège doit soutenir votre région lombaire, c’est-à- dire la partie inférieure de votre dos. Suivez les instructions du fabricant de sorte que le réglage du dossier soit parfaitement adapté à votre morphologie.Chapitre 5 Dernières recommandations 77 Au besoin, relevez le siège de manière à ce que vos avant-bras et vos mains soient placés correctement par rapport au clavier. Si, dans ce cas, vos pieds ne reposent plus à plat sur le sol, vous pouvez utiliser un repose-pieds inclinable et réglable en hauteur. Si vous disposez d’un bureau modulaire, vous pouvez abaisser le niveau du plan de travail pour éviter l’emploi d’un repose-pied. Une troisième solution consiste à utiliser un bureau dont le poste de saisie est situé plus bas que le plan de travail. Vous trouverez d’autres informations concernant l’ergonomie sur Internet : www.apple.com/about/ergonomics (en anglais) Apple et l’environnement Apple Inc. reconnaît sa responsabilité en matière de réduction de l’impact de ses produits et de ses activités sur l’environnement. Des informations supplémentaires sont disponibles sur Internet : www.apple.com/fr/environment78 Regulatory Compliance Information FCC Compliance Statement This device complies with part 15 of the FCC rules. Operation is subject to the following two conditions: (1) This device may not cause harmful interference, and (2) this device must accept any interference received, including interference that may cause undesired operation. See instructions if interference to radio or television reception is suspected. Radio and Television Interference This computer equipment generates, uses, and can radiate radiofrequency energy. If it is not installed and used properly—that is, in strict accordance with Apple’s instructions—it may cause interference with radio and television reception. This equipment has been tested and found to comply with the limits for a Class B digital device in accordance with the specifications in Part 15 of FCC rules. These specifications are designed to provide reasonable protection against such interference in a residential installation. However, there is no guarantee that interference will not occur in a particular installation. You can determine whether your computer system is causing interference by turning it off. If the interference stops, it was probably caused by the computer or one of the peripheral devices. If your computer system does cause interference to radio or television reception, try to correct the interference by using one or more of the following measures: • Turn the television or radio antenna until the interference stops. • Move the computer to one side or the other of the television or radio. • Move the computer farther away from the television or radio. • Plug the computer into an outlet that is on a different circuit from the television or radio. (That is, make certain the computer and the television or radio are on circuits controlled by different circuit breakers or fuses.) If necessary, consult an Apple Authorized Service Provider or Apple. See the service and support information that came with your Apple product. Or, consult an experienced radio/television technician for additional suggestions. Important: Changes or modifications to this product not authorized by Apple Inc. could void the EMC compliance and negate your authority to operate the product. This product has demonstrated EMC compliance under conditions that included the use of compliant peripheral devices and shielded cables between system components. It is important that you use compliant peripheral devices and shielded cables (including Ethernet network cables) between system components to reduce the possibility of causing interference to radios, television sets, and other electronic devices. Responsible party (contact for FCC matters only): Apple Inc. Corporate Compliance 1 Infinite Loop, MS 26-A Cupertino, CA 95014 Utilisation de la radio sans fil Cet appareil est restreint à un usage intérieur lorsqu’il fonctionne à des bandes de fréquence de 5,15 à 5,25 GHz. Cet appareil doit être utilisé à l’intérieur. この製品は、周波数帯域 5.18 ~ 5.32 GHz で動作しているときは、 屋内においてのみ使用可能です。 Exposure to Radio Frequency Energy The radiated output power of this device is well below the FCC and EU radio frequency exposure limits. However, this device should be operated with a minimum distance of at least 20 cm between its antennas and a person’s body and the antennas used with this transmitter must not be co-located or operated in conjunction with any other antenna or transmitter subject to the conditions of the FCC Grant. FCC Bluetooth Wireless Compliance The antenna used with this transmitter must not be colocated or operated in conjunction with any other antenna or transmitter subject to the conditions of the FCC Grant.79 Canadian Compliance Statement This device complies with Industry Canada license-exempt RSS standard(s). Operation is subject to the following two conditions: (1) this device may not cause interference, and (2) this device must accept any interference, including interference that may cause undesired operation of the device. Cet appareil est conforme aux normes CNR exemptes de licence d’Industrie Canada. Le fonctionnement est soumis aux deux conditions suivantes : (1) cet appareil ne doit pas provoquer d’interférences et (2) cet appareil doit accepter toute interférence, y compris celles susceptibles de provoquer un fonctionnement non souhaité de l’appareil. Bluetooth Industry Canada Statement This Class B device meets all requirements of the Canadian interference-causing equipment regulations. Cet appareil numérique de la Classe B respecte toutes les exigences du Règlement sur le matériel brouilleur du Canada. Industry Canada Statement Complies with the Canadian ICES-003 Class B specifications. Cet appareil numérique de la classe B est conforme à la norme NMB-003 du Canada. This device complies with RSS 210 of Industry Canada. Bluetooth Europe - Déclaration de conformité UE Cet appareil sans fil est conforme à la directive R&TTE. Europe : déclaration de conformité EU Consultez www.apple.com/euro/compliance (en anglais). Български Apple Inc. декларира, че това iMac е в съответствие със съществените изисквания и другите приложими правила на Директива 1999/5/ЕС. Česky Společnost Apple Inc. tímto prohlašuje, že tento iMac je ve shodě se základními požadavky a dalšími příslušnými ustanoveními směrnice 1999/5/ES. Dansk Undertegnede Apple Inc. erklærer herved, at følgende udstyr iMac overholder de væsentlige krav og øvrige relevante krav i direktiv 1999/5/EF. Deutsch Hiermit erklärt Apple Inc., dass sich das iMac in Übereinstimmung mit den grundlegenden Anforderungen und den übrigen einschlägigen Bestimmungen der Richtlinie 1999/5/EG befinden. Eesti Käesolevaga kinnitab Apple Inc., et see iMac vastab direktiivi 1999/5/EÜ põhinõuetele ja nimetatud direktiivist tulenevatele teistele asjakohastele sätetele. English Hereby, Apple Inc. declares that this iMac is in compliance with the essential requirements and other relevant provisions of Directive 1999/5/EC. Español Por medio de la presente Apple Inc. declara que este iMac cumple con los requisitos esenciales y cualesquiera otras disposiciones aplicables o exigibles de la Directiva 1999/5/CE. Ελληνικά Mε την παρούσα, η Apple Inc. δηλώνει ότι αυτή η συσκευή iMac συμμορφώνεται προς τις βασικές απαιτήσεις και τις λοιπές σχετικές διατάξεις της Οδηγίας 1999/5/ΕΚ. Français Par la présente Apple Inc. déclare que l’appareil iMac est conforme aux exigences essentielles et aux autres dispositions pertinentes de la directive 1999/5/CE. Islenska Apple Inc. lýsir því hér með yfir að þetta tæki iMac fullnægir lágmarkskröfum og öðrum viðeigandi ákvæðum Evróputilskipunar 1999/5/EC. Italiano Con la presente Apple Inc. dichiara che questo dispositivo iMac è conforme ai requisiti essenziali ed alle altre disposizioni pertinenti stabilite dalla direttiva 1999/5/CE. Latviski Ar šo Apple Inc. deklarē, ka iMac ierīce atbilst Direktīvas 1999/5/EK būtiskajām prasībām un citiem ar to saistītajiem noteikumiem. Lietuvių Šiuo „Apple Inc.“ deklaruoja, kad šis iMac atitinka esminius reikalavimus ir kitas 1999/5/EB Direktyvos nuostatas. Magyar Alulírott, Apple Inc. nyilatkozom, hogy a iMac megfelel a vonatkozó alapvetõ követelményeknek és az 1999/5/EC irányelv egyéb elõírásainak. Malti Hawnhekk, Apple Inc., jiddikjara li dan iMac jikkonforma mal-ħtiġijiet essenzjali u ma provvedimenti oħrajn relevanti li hemm fid-Dirrettiva 1999/5/EC.80 Nederlands Hierbij verklaart Apple Inc. dat het toestel iMac in overeenstemming is met de essentiële eisen en de andere bepalingen van richtlijn 1999/5/EG. Norsk Apple Inc. erklærer herved at dette iMac-apparatet er i samsvar med de grunnleggende kravene og øvrige relevante krav i EU-direktivet 1999/5/EF. Polski Niniejszym Apple Inc. oświadcza, że ten iMac są zgodne z zasadniczymi wymogami oraz pozostałymi stosownymi postanowieniami Dyrektywy 1999/5/EC. Português Apple Inc. declara que este dispositivo iMac está em conformidade com os requisitos essenciais e outras disposições da Directiva 1999/5/CE. Română Prin prezenta, Apple Inc. declară că acest aparat iMac este în conformitate cu cerinţele esenţiale şi cu celelalte prevederi relevante ale Directivei 1999/5/CE. Slovensko Apple Inc. izjavlja, da je ta iMac skladne z bistvenimi zahtevami in ostalimi ustreznimi določili direktive 1999/5/ES. Slovensky Apple Inc. týmto vyhlasuje, že toto iMac spĺňa základné požiadavky a všetky príslušné ustanovenia Smernice 1999/5/ES. Suomi Apple Inc. vakuuttaa täten, että tämä iMac tyyppinen laite on direktiivin 1999/5/EY oleellisten vaatimusten ja sitä koskevien direktiivin muiden ehtojen mukainen. Svenska Härmed intygar Apple Inc. att denna iMac står i överensstämmelse med de väsentliga egenskapskrav och övriga relevanta bestämmelser som framgår av direktiv 1999/5/EG. A copy of the EU Declaration of Conformity is available at: www.apple.com/euro/compliance This equipment can be used in the following countries: Korea Warning Statements B૶ૺૺ(ਜ਼ႜဧ෮໽ቛཅૺၴႁ) ၦૺૺ௴ਜ਼ႜဧ(B૶) ႖ၴኒ႕ጁૺૺച໏჎ച ਜ਼ႜ࿝໏ຫဧዻ௴ઇၕඛ႕ၒചዻඑ, ක౷ხ ࿦࿝໏ຫဧዾ༘ၰཀఁఋ. ෮ቛ၁ધགྷ࿝ಋ൏ધხຫጃ ጄఙඳ໓໕๗௴ဪဧთ႖ኒጯཅਜ਼௻ໜၦၰၗ ၦૺૺ௴ၨ඗ྦ႖઴શഏౘ໏๗༺࿝ຫဧዾ༘࿖ཀఁఋ ఝዽූ૑ ૬ႜ ෟ ა༘ Singapore Wireless Certification Taiwan Wireless Statements Taiwan Class B Statement81 Japan VCCI Class B Statement Russia Informations sur les modems USB externes Si vous connectez votre iMac à une ligne téléphonique par le biais d’un modem USB externe, veuillez vous reporter aux informations fournies par l’agence de télécommunications mentionnées dans la documentation livrée avec votre modem. ENERGY STAR ® Compliance As an ENERGY STAR ® partner, Apple has determined that standard configurations of this product meet the ENERGY STAR ® guidelines for energy efficiency. The ENERGY STAR ® program is a partnership with electronic equipment manufacturers to promote energyefficient products. Reducing energy consumption of products saves money and helps conserve valuable resources. This computer is shipped with power management enabled with the computer set to sleep after 10 minutes of user inactivity. To wake your computer, click the mouse or press any key on the keyboard. For more information about ENERGY STAR ® , visit: www.energystar.gov Informations sur l’élimination et le recyclage Le symbole ci-dessus signifie que vous devez vous débarrasser de votre produit selon les normes et la législation de votre pays. Lorsque votre produit n’est plus utilisable, contactez Apple ou les autorités locales afin de connaître les possibilités de recyclage. Pour en savoir plus sur le programme de recyclage Apple, consultez le site www.apple.com/fr/recycling. Union européenne : Informations sur l’élimination Le symbole ci-dessus signifie que vous devez vous débarrasser de votre produit sans le mélanger avec les ordures ménagères, selon les normes et la législation de votre pays. Lorsque ce produit n’est plus utilisable, portez-le dans un centre de traitement des déchets agréé par les autorités locales. Certains centres acceptent les produits gratuitement. Le traitement et le recyclage séparé de votre produit lors de son élimination aideront à préserver les ressources naturelles et à protéger l’environnement et la santé des êtres humains. Türkiye EEE yönetmeliğine (Elektrikli ve Elektronik Eşyalarda Bazı Zararlı Maddelerin Kullanımının Sınırlandırılmasına Dair Yönetmelik) uygundur. Brasil: Informações sobre eliminação e reciclagem O símbolo acima indica que este produto e/ou sua bateria não devem ser descartadas no lixo doméstico. Quando decidir descartar este produto e/ou sua bateria, faça-o de acordo com as leis e diretrizes ambientais locais. Para informações sobre o programa de reciclagem da Apple, pontos de coleta e telefone de informações, visite www.apple.com/br/environment.82 Informations sur l’enlèvement de la batterie Jetez vos batteries usagées en respectant les lois et les consignes environnementales de votre pays. Deutschland: Dieses Gerät enthält Batterien. Bitte nicht in den Hausmüll werfen. Entsorgen Sie dieses Gerätes am Ende seines Lebenszyklus entsprechend der maßgeblichen gesetzlichen Regelungen. Nederlands: Gebruikte batterijen kunnen worden ingeleverd bij de chemokar of in een speciale batterijcontainer voor klein chemisch afval (kca) worden gedeponeerd. California: The coin cell battery in the optional Apple Remote contains perchlorates. Special handling and disposal may apply. Refer to: www.dtsc.ca.gov/hazardouswaste/perchlorate Taiwan Battery Statement Chinese Battery StatementK Apple Inc. © 2011 Apple Inc. Tous droits réservés. En application des lois et conventions en vigueur, aucune reproduction totale ni partielle du manuel n’est autorisée, sauf consentement écrit préalable d’Apple. Tout a été mis en œuvre pour que les informations présentées dans ce manuel soient exactes. Apple n’est pas responsable des erreurs de reproduction ou d’impression. Apple 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014 408-996-1010 www.apple.com Le logo Apple est une marque d’Apple Inc. déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. En l’absence du consentement écrit d’Apple, l’utilisation à des fins commerciales de ce logo via le clavier (Option + Maj + K) peut constituer un acte de contrefaçon et de concurrence déloyale. Apple, le logo Apple, Apple TV, AirPort, FaceTime, Finder, FireWire, GarageBand, iChat, iLife, iMac, iMovie, iPhone, iPhoto, iPod, iPod touch, iTunes, Keynote, Mac, Mac OS, Photo Booth, QuickTime, Safari, SuperDrive, Time Capsule et Time Machine sont des marques d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Le logo FireWire, iPad et Multi-Touch sont des marques d’Apple Inc. Apple, AppleCare, Apple Store et iTunes Store sont des marques de service d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. App Store est une marque de service d’Apple Inc. ENERGY STAR ® est une marque déposée aux États-Unis. La marque et les logos Bluetooth ® sont des marques déposées appartenant à Bluetooth SIG, Inc., utilisées sous licence par Apple Inc. Thunderbolt et le logo Thunderbolt sont des marques d’Intel Corporation aux États-Unis et dans d’autres pays. Les autres noms de produits et de sociétés peuvent être des marques de leurs détenteurs respectifs. Les produits commercialisés par des entreprises tierces ne sont mentionnés que pour information, sans aucune intention de préconisation ni de recommandation. Apple décline toute responsabilité quant à l’utilisation et au fonctionnement de ces produits. Fabriqué sous licence de Dolby Laboratories. « Dolby », « Pro Logic » et le symbole double-D sont des marques déposées de Dolby Laboratories. Ouvrages confidentiels inédits. © 1992–1997 Dolby Laboratories, Inc. Tous droits réservés. Publié simultanément aux États-Unis et au Canada. iPhone Guide de l’utilisateur Pour le logiciel iOS 6Table des matières 7 Chapitre 1 : Vue d’ensemble de l’iPhone 7 Présentation de l’iPhone 5 7 Accessoires 8 Boutons 11 Icônes d’état 13 Chapitre 2 : Démarrage 13 Éléments nécessaires 13 Installation de la carte SIM 14 Configuration et activation de l’iPhone 14 Connexion de l’iPhone à votre ordinateur 15 Connexion à Internet 15 Configuration de Mail et d’autres comptes 15 Identifiant Apple 16 Gestion du contenu sur vos appareils iOS 16 iCloud 17 Synchronisation avec iTunes 18 Visualisation de ce guide de l’utilisateur sur l’iPhone 19 Chapitre 3 : Notions élémentaires 19 Utilisation des apps 22 Personnalisation de l’iPhone 24 Saisie de texte 27 Dictée 28 Contrôle vocal 29 Recherche 30 Notifications 31 Partage 33 Connexion de l’iPhone à un téléviseur ou un autre appareil 33 Impression à l’aide d’AirPrint 34 Casque d’écoute Apple 35 Appareils Bluetooth 36 Partage de fichiers 36 Fonctionnalités de sécurité 37 Batterie 39 Chapitre 4 : Siri 39 Qu’est-ce que Siri ? 39 Utilisation de Siri 43 Restaurants 44 Films 44 Sports 244 Dictée 45 Correction de Siri 46 Chapitre 5 : Téléphone 46 Appels téléphoniques 50 FaceTime 50 Messagerie vocale visuelle 51 Contacts 52 Renvoi d’appel, signal d’appel et identifiant de l’appelant 52 Sonneries, commutateur Sonnerie/Silence et vibration 52 Appels internationaux 53 Configuration d’options de Téléphone 54 Chapitre 6 : Mail 54 Lecture de courriers électroniques 55 Envoi de courrier électronique 56 Organisation du courrier électronique 57 Impression de messages et de pièces jointes 57 Comptes de messagerie et réglages 59 Chapitre 7 : Safari 62 Chapitre 8 : Musique 62 Obtenir de la musique 62 Lire de la musique 64 Cover Flow 64 Podcasts et livres audio 65 Listes de lecture 66 Genius 66 Siri et Contrôle vocal 67 iTunes Match 67 Partage à domicile. 68 Réglages de Musique 69 Chapitre 9 : Messages 69 Envoi et réception de messages 70 Gestion des conversations 70 Partage de photos, de vidéos et d’autres informations 71 Réglages de Messages 72 Chapitre 10 : Calendrier 72 En un coup d’œil 73 Utilisation de plusieurs calendriers 74 Partage des calendriers iCloud 74 Réglages des calendriers 75 Chapitre 11 : Photos 75 Visionnage de photos et de vidéos 76 Organisation de photos et de vidéos 76 Flux de photos 78 Partage de photos et de vidéos 78 Impression de photos Table des matières 379 Chapitre 12 : Appareil photo 79 En un coup d’œil 80 Photos HDR 81 Visionnage, partage et impression 81 Modification de photos et ajustement de vidéos 83 Chapitre 13 : Vidéos 86 Chapitre 14 : Plans 86 Recherche de lieux 87 Itinéraires 88 3D et Flyover 89 Réglages de Plans 90 Chapitre 15 : Météo 92 Chapitre 16 : Passbook 94 Chapitre 17 : Notes 96 Chapitre 18 : Rappels 98 Chapitre 19 : Horloge 99 Chapitre 20 : Bourse 101 Chapitre 21 : Kiosque 102 Chapitre 22 : iTunes Store 102 En un coup d’œil 103 Modification des boutons de navigation 104 Chapitre 23 : App Store 104 En un coup d’œil 105 Suppression d’apps 106 Chapitre 24 : Game Center 106 En un coup d’œil 107 Jeu avec des amis 107 Réglages Game Center 108 Chapitre 25 : Contacts 108 En un coup d’œil 109 Ajout de contacts 110 Réglages de Contacts 111 Chapitre 26 : Calculette 112 Chapitre 27 : Boussole 113 Chapitre 28 : Dictaphone 113 En un coup d’œil 114 Partage de mémos vocaux avec votre ordinateur Table des matières 4115 Chapitre 29 : Nike + iPod 117 Chapitre 30 : iBooks 117 En un coup d’œil 118 Lecture de livres 119 Organisation de l’étagère 119 Synchronisation de livres et de documents PDF 120 Impression ou envoi par courrier d’un document PDF 120 Réglages d’iBooks 121 Chapitre 31 : Podcasts 123 Chapitre 32 : Accessibilité 123 Fonctionnalités d’accessibilité 123 VoiceOver 133 Acheminement de l’audio des appels entrants 133 Siri 134 Triple clic sur le bouton principal 134 Zoom 135 Grande police 135 Inverser les couleurs 135 Énoncer la sélection 135 Énonciation auto 135 Audio mono 136 Appareils auditifs 137 Sonneries assignables et vibreur 137 Flash LED pour alertes 137 Accès guidé 138 AssistiveTouch 138 Accessibilité sous OS X 138 Assistance TTY 139 Taille minimale de police pour les messages Mail 139 Sonneries assignables 139 Messagerie vocale visuelle 139 Larges claviers à l’écran 139 Grand clavier téléphonique 139 Contrôle vocal 139 Sous-titres codés 140 Chapitre 33 : Réglages 140 Mode Avion 140 Wi-Fi 141 Bluetooth 141 VPN 142 Partage de connexion 142 Ne pas déranger et Notifications 144 Opérateur 144 Général 150 Sons 151 Luminosité et fond d’écran. 151 Confidentialité Table des matières 5152 Annexe A: L’iPhone au travail 152 Utilisation des profils de configuration 153 Configuration de comptes Microsoft Exchange 153 Accès par VPN 153 Comptes LDAP et CardDAV 154 Annexe B: Claviers internationaux 154 Utilisation de claviers internationaux 155 Méthodes de saisie spéciales 157 Annexe C: Sécurité, manipulation et assistance 157 Informations importantes concernant la sécurité 159 Informations importantes sur la manipulation 160 Site d’assistance iPhone 161 Redémarrage ou réinitialisation de l’iPhone 161 « Code incorrect » ou « iPhone désactivé » apparaît 161 « Cet accessoire n’est pas pris en charge par l’iPhone » apparaît 161 Impossible d’afficher les pièces jointes 162 Sauvegarde de l’iPhone 164 Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPhone 164 Informations relatives au logiciel et au service après-vente 165 Utilisation de l’iPhone dans un environnement d’entreprise 165 Utilisation de l’iPhone avec d’autres opérateurs 165 Informations concernant l’élimination et le recyclage 167 Apple et l’environnement Table des matières 61 7 Présentation de l’iPhone 5 Tiroir de carte SIM Tiroir de carte SIM Micro récepteur/ frontal Micro récepteur/ frontal Prise d’écouteurs Prise d’écouteurs Commutateur Sonnerie/ Silence Commutateur Sonnerie/ Silence Caméra FaceTime Caméra FaceTime Boutons de volume Boutons de volume Écran Multi-Touch Écran Multi-Touch Bouton principal Bouton principal Micro du bas Micro du bas Bouton Marche/Veille Bouton Marche/Veille Appareil photo iSight Appareil photo iSight Flash à diode Flash à diode Micro arrière Micro arrière Icônes d’app Icônes d’app Barre d’état Barre d’état Haut-parleur Haut-parleur Connecteur Lightning Connecteur Lightning Remarque : Les apps et fonctionnalités peuvent varier en fonction de votre région, de votre langue, de votre opérateur et du modèle de votre iPhone. Les apps qui envoient ou reçoivent des données sur un réseau cellulaire peuvent induire des frais supplémentaires. Contactez votre opé- rateur pour obtenir des informations sur votre plan de service et vos frais iPhone. Accessoires Les accessoires suivants sont fournis avec l’iPhone : Casque d’écoute Apple : Utilisez les écouteurs Apple EarPods avec télécommande et micro (iPhone 5, illustré ci-dessus) ou les écouteurs Apple avec télécommande et micro (iPhone 4S ou modèles antérieurs) pour écouter de la musique, lire des vidéos et passer des appels téléphoniques. Consultez la section Casque d’écoute Apple à la page 34. Vue d’ensemble de l’iPhoneChapitre 1 Vue d’ensemble de l’iPhone 8 Câble de connexion : Utilisez le câble Lightning vers USB (iPhone 5, illustré ci-dessus) ou le câble Dock Connector vers USB (iPhone 4S ou modèles antérieurs) pour connecter l’iPhone à votre ordinateur afin de le recharger et de le synchroniser. Vous pouvez également l’utiliser avec la station d’accueil iPhone Dock (vendue séparément). Adaptateur secteur USB Apple : Utilisez-le avec le câble Lightning vers USB ou avec le câble Dock Connector vers USB pour recharger la batterie de l’iPhone. Outil d’éjection de la carte SIM : Utilisez cet outil pour éjecter le plateau de la carte SIM. (Cette fonction n’est pas disponible dans toutes les régions.) Boutons Bouton Marche/Veille Lorsque vous n’utilisez pas l’iPhone, vous pouvez le verrouiller pour éteindre l’écran et économiser la batterie. Pour verrouiller l’iPhone : Appuyez sur le bouton Marche/Veille. Lorsque l’iPhone est verrouillé, il ne répond pas lorsque vous touchez l’écran. L’iPhone peut toujours recevoir des appels, des messages texte et d’autres mises à jour. Vous pouvez également : • écouter de la musique ; • ajuster le volume ; • utiliser le bouton central de vos écouteurs pour prendre des appels ou écouter de la musique. Bouton Marche/Veille Bouton Marche/Veille Pour déverrouiller l’iPhone : Appuyez sur le bouton Marche/Veille ou le bouton principal , puis faites glisser le curseur. Pour éteindre l’iPhone : Maintenez le bouton Marche/Veille enfoncé pendant quelques secondes jusqu’à ce qu’un curseur rouge apparaisse, puis faites glisser ce dernier. Pour allumer l’iPhone : Maintenez le bouton Marche/Veille enfoncé jusqu’à ce que le logo Apple apparaisse. Pour ouvrir l’appareil photo lorsque l’iPhone est verrouillé : Appuyez sur le bouton Marche/ Veille ou le bouton principal , puis faites glisser vers le haut. Pour accéder aux commandes audio lorsque l’iPhone est verrouillé : Touchez deux fois le bouton principal .Chapitre 1 Vue d’ensemble de l’iPhone 9 L’iPhone se verrouille si vous ne touchez pas l’écran pendant environ une minute. Vous pouvez ajuster la durée Verrouillage auto. (ou la désactiver) et exiger la saisie d’un code pour déverrouiller l’iPhone. Pour ajuster la durée Verrouillage auto. ou la désactiver : Consultez la section Verrouillage automatique à la page 147. Pour exiger la saisie d’un code pour déverrouiller l’iPhone : Consultez la section Verrouillage par code à la page 147. Bouton principal Appuyez sur le bouton principal pour revenir à l’écran d’accueil, peu importe l’action en cours. Il fournit également d’autres raccourcis pratiques. Pour atteindre l’écran d’accueil : Appuyer sur le bouton principal . Sur l’écran d’accueil, touchez une app pour l’ouvrir. Consultez la section Ouverture d’apps et basculement entre apps à la page 19. Pour afficher les apps utilisées récemment : Lorsque l’iPhone est verrouillé, touchez deux fois l’écran principal . La barre multitâche apparaît au bas de l’écran, avec les apps les plus récemment utilisées. Balayez la barre vers la gauche pour afficher d’autres apps. Pour afficher les commandes de lecture audio : • Lorsque l’iPhone est verrouillé : Touchez deux fois le bouton principal . Consultez la section Lire de la musique à la page 62. • Lorsque vous utilisez une autre app : Appuyez deux fois sur le bouton principal , puis balayez la barre multitâche de gauche à droite. Pour utiliser Siri (iPhone 4S ou ultérieur) ou Contrôle vocal : Maintenez le bouton principal enfoncé . Consultez les sections Chapitre 4, Siri, à la page 39 et Contrôle vocal à la page 28. Commandes de volume Pendant que vous téléphonez ou lisez des morceaux, des films ou tout autre contenu multimé- dia, les boutons situés sur le côté de l’iPhone permettent de régler le volume audio. À tout autre moment, ces boutons contrôlent le volume des sonneries, alarmes et autres effets sonores. AVERTISSEMENT : Pour obtenir des informations importantes sur la perte d’audition, consultez la section Informations importantes concernant la sécurité à la page 157. Augmenter le volume Augmenter le volume Baisser le volume Baisser le volume Pour verrouiller le volume de la sonnerie et des alertes : Accédez à Réglages > Sons, puis désactivez l’option « Utiliser les boutons ». Pour limiter le volume de la musique et des vidéos : Accédez à Réglages > Musique > Volume maximum.Chapitre 1 Vue d’ensemble de l’iPhone 10 Remarque : Dans certains pays, l’iPhone peut vous avertir lorsque vous dépassez le volume maximum établi par les directives de sécurité auditive de l’Union européenne. Pour augmenter le volume au-delà de cette limite, vous devrez peut-être relâcher brièvement la commande du volume. Vous pouvez également utiliser n’importe quel bouton du volume pour prendre une photo ou enregistrer une vidéo. Consultez la section Chapitre 12, Appareil photo, à la page 79. Commutateur Sonnerie/Silence Utilisez le commutateur Sonnerie/Silence pour placer l’iPhone en mode Sonnerie ou Silence . Sonnerie Sonnerie Silence Silence En mode Sonnerie, l’iPhone joue tous les sons. En mode Silence, l’iPhone ne sonne pas, et les alertes et effets sonores sont désactivés. Important : Les alarmes d’Horloge, les apps audio telles que Musique, mais aussi de nombreux jeux reproduisent néanmoins les sons via le haut-parleur intégré même si l’iPhone est en mode Silence. Dans certaines régions, les effets sonores d’Appareil photo et de Dictaphone sont émis, même si le commutateur Sonnerie/Silence est réglé sur Silence. Pour en savoir plus sur la modification des réglages de volume et de vibration, consultez la section Sons à la page 150. Vous pouvez utiliser le réglage Ne pas déranger pour ignorer les appels, les alertes et les notifications. Pour régler l’iPhone sur Ne pas déranger ( ) : Accédez à Réglages et activez Ne pas déranger. Le réglage Ne pas déranger empêche les appels, les alertes et les notifications de produire des sons ou de déclencher l’allumage du l’écran lorsque celui-ci est verrouillé. En revanche, les alarmes continuent à sonner et si l’écran est déverrouillé, le réglage Ne pas déranger n’a aucun effet. Pour planifier des périodes calmes, autoriser certaines personnes à appeler ou permettre aux appels répétés de sonner, accédez à Réglages > Notifications > Ne pas déranger. Consultez la section Ne pas déranger et Notifications à la page 142.Chapitre 1 Vue d’ensemble de l’iPhone 11 Icônes d’état Les icônes de la barre d’état située en haut de l’écran proposent des informations concernant l’iPhone : Icône d’état Signification Signal de cellule* Indique si vous êtes à portée du réseau de téléphonie mobile et passer et recevoir des appels. Le nombre de barres est proportionnel à la qualité du signal. S’il n’y a pas de signal, les barres sont remplacées par « Réseau indisp. ». Mode Avion Indique que le mode avion est activé et que vous ne pouvez pas utiliser le téléphone, accéder à Internet ou utiliser les appareils Bluetooth®. Les fonctionnalités qui ne sont pas liées au réseau sans fil sont disponibles. Consultez la section Mode Avion à la page 140. LTE Indique que le réseau LTE de votre opérateur est disponible et que l’iPhone peut se connecter à Internet via ce réseau. (iPhone 5. Cette fonction n’est pas disponible dans toutes les régions.) Consultez la section Cellulaire à la page 145. UMTS Indique que le réseau 4G UMTS (GSM) de votre opérateur est disponible et que l’iPhone peut se connecter à Internet via ce réseau. (iPhone 4S ou modèles ultérieurs. Cette fonction n’est pas disponible dans toutes les régions.) Consultez la section Cellulaire à la page 145. UMTS/EV-DO Indique que le réseau 3G UMTS (GSM) ou EV-DO (CDMA) de votre opérateur est disponible et que l’iPhone peut se connecter à Internet via ce réseau. Consultez la section Cellulaire à la page 145. EDGE Indique que le réseau EDGE (GSM) de votre opérateur est disponible et que l’iPhone peut se connecter à Internet via ce réseau. Consultez la section Cellulaire à la page 145. GPRS/1xRTT Indique que le réseau GPRS (GSM) ou 1xRTT (CDMA) de votre opérateur est disponible et que l’iPhone peut se connecter à Internet via ce réseau. Consultez la section Cellulaire à la page 145. Wi-Fi* Indique que l’iPhone est connecté à Internet par un réseau Wi-Fi. Le nombre de barres est proportionnel à la qualité de la connexion. Consultez la section Wi-Fi à la page 140. Ne pas déranger Indique que le réglage « Ne pas déranger » est activé. Consultez la section Sons à la page 150. Partage de connexion Indique que l’iPhone est connecté à un autre iPhone offrant un partage de connexion. Consultez la section Partage de connexion à la page 142. Synchronisation Indique que l’iPhone est en cours de synchronisation avec iTunes. Activité réseau Affiche l’activité réseau. Certaines apps tierces peuvent également utiliser cette icône pour indiquer un processus actif. Renvoi d’appel Indique que le renvoi d’appel est configuré sur l’iPhone. Consultez la section Renvoi d’appel, signal d’appel et identifiant de l’appelant à la page 52. VPN Indique que vous êtes connecté à un réseau en utilisant un VPN (réseau privé virtuel). Consultez la section Cellulaire à la page 145. Cadenas Indique que l’iPhone est verrouillé. Consultez la section Bouton Marche/Veille à la page 8. TTY Indique que l’iPhone est prêt à fonctionner avec une machine TTY. Consultez la section Assistance TTY à la page 138.Chapitre 1 Vue d’ensemble de l’iPhone 12 Icône d’état Signification Lecture Indique qu’un morceau, un livre audio ou un podcast est à l’écoute. Consultez la section Lire de la musique à la page 62. Verrouillage en orientation portrait Indique que l’écran de l’iPhone est verrouillé en orientation portrait. Consultez la section Orientations portrait et paysage à la page 21. Alarme Indique qu’une alarme est réglée. Consultez la section Chapitre 19, Horloge, à la page 98. Service de localisation Indique qu’un élément utilise le Service de localisation. Consultez la section Confidentialité à la page 151. Bluetooth* Icône bleue ou blanche : Bluetooth est activé et jumelé avec un appareil. Icône grise : Bluetooth est activé et jumelé avec un appareil, mais ce dernier est hors de portée ou éteint. Pas d’icône : Bluetooth n’est pas jumelé avec un appareil. Consultez la section Appareils Bluetooth à la page 35. Batterie Bluetooth Indique le niveau de batterie d’un appareil Bluetooth jumelé pris en charge. Batterie Indique le niveau de la batterie ou l’état de la charge. Consultez la section Batterie à la page 37. * Accessoires et performances sans fil : L’utilisation de certains accessoires avec l’iPhone peut altérer les performances sans fil. Tous les accessoires pour iPod ne sont pas totalement compatibles avec l’iPhone. Le fait d’activer le mode Avion sur l’iPhone peut permettre d’éliminer les interférences audio entre l’iPhone et un accessoire. Lorsque le mode Avion est activé, vous ne pouvez pas recevoir ou passer des appels ou utiliser les fonctions qui nécessitent une communication sans fil. Le fait de réorienter ou de déplacer l’iPhone et l’accessoire connecté peut améliorer les performances sans fil.2 13 · AVERTISSEMENT : Pour éviter les blessures, consultez la section Informations importantes concernant la sécurité à la page 157 avant d’utiliser l’iPhone. Éléments nécessaires Pour utiliser l’iPhone, vous avez besoin des éléments suivants : • un forfait de service sans fil auprès d’un opérateur offrant un service iPhone dans votre région ; • une connexion à Internet pour votre ordinateur (haut débit recommandé) ; • un identifiant Apple pour certaines fonctionnalités telles qu’iCloud, l’App Store et l’iTunes Store, et les achats en ligne. Un identifiant Apple peut être créé durant la configuration. Pour utiliser l’iPhone avec votre ordinateur, vous avez besoin des éléments suivants : • un Mac équipé d’un port USB 2.0 ou 3.0 ou un PC équipé d’un port USB 2.0 et de l’un des systèmes d’exploitation suivants : • Mac OS X version 10.6.8 ou ultérieur ; • Windows 7, Windows Vista, Windows XP Édition Familiale ou Windows XP Professionnel avec Service Pack 3 ou ultérieur; • iTunes 10.7 ou ultérieur (pour certaines fonctionnalités), disponible à la page www.itunes.com/fr/download. Installation de la carte SIM Si une carte SIM à installer vous a été remise, installez-la avant de configurer l’iPhone. Important : Une carte SIM est requise pour utiliser les services cellulaires lors des connexions aux réseaux GSM et à certains réseaux CDMA. Un iPhone 4S ou modèle ultérieur qui a été activé sur un réseau sans fil CDMA peut également utiliser une carte SIM pour se connecter à un réseau GSM, principalement pour les services d’itinérance. Votre iPhone est soumis aux politiques de votre fournisseur de service sans fil, qui peuvent inclure des restrictions quant au basculement entre fournisseurs de service et à l’itinérance, même après la conclusion de tout contrat de service minimum requis. Contactez votre fournisseur de service sans fil pour en savoir plus. La disponibilité des capacités cellulaires dépend du réseau sans fil. DémarrageChapitre 2 Démarrage 14 Installation de la carte SIM dans l’iPhone 5 Carte nano SIM Carte nano SIM Tiroir de carte nano SIM Tiroir de carte nano SIM Trombone ou outil d’éjection de la carte SIM Trombone ou outil d’éjection de la carte SIM Pour installer la carte SIM : Insérez l’extrémité d’un petit trombone ou l’outil d’éjection de carte SIM dans l’orifice du tiroir de carte SIM. Retirez le tiroir de carte SIM et placez-y la carte SIM comme illustré. Alignez le tiroir, la carte SIM sur le dessus, puis replacez-le soigneusement. Configuration et activation de l’iPhone Pour configurer et activer l’iPhone, allumez-le puis suivez l’Assistant réglages. Celui-ci vous guide lors de la configuration, notamment pour la connexion à un réseau Wi-Fi, la connexion avec un identifiant Apple ou la création d’un identifiant Apple gratuit, la configuration d’iCloud, l’activation de fonctionnalités recommandées telles que Service de localisation et Localiser mon iPhone, et l’activation de l’iPhone auprès de votre opérateur. Lors de la configuration, vous pouvez également restaurer à partir d’une sauvegarde iCloud ou iTunes. L’activation s’opère sur un réseau Wi-Fi ou, avec l’iPhone 4S ou ultérieur, sur le réseau cellulaire de votre opérateur (non disponible dans toutes les régions). Si aucun des réseaux n’est disponible, vous devez connecter l’iPhone à votre ordinateur en exécutant iTunes pour l’activation. Connexion de l’iPhone à votre ordinateur Vous pouvez être amené à connecter l’iPhone à votre ordinateur pour réaliser l’activation. La connexion de l’iPhone à votre ordinateur vous permet également de synchroniser des données, de la musique et d’autres contenus avec iTunes. Consultez la section Synchronisation avec iTunes à la page 17. Pour connecter l’iPhone à votre ordinateur : Utilisez le câble Lightning vers USB (iPhone 5) ou le câble Dock Connector vers USB (modèles d’iPhone antérieurs) fourni avec l’iPhone.Chapitre 2 Démarrage 15 Connexion à Internet L’iPhone se connecte à Internet lorsque c’est nécessaire, à l’aide d’une connexion Wi-Fi (le cas échéant) ou le réseau cellulaire de votre opérateur. Pour en savoir plus sur la connexion à un réseau Wi-Fi, consultez la section Wi-Fi à la page 140. Remarque : Si aucune connexion Wi-Fi à Internet n’est disponible, certaines apps et certains services de l’iPhone peuvent transférer des données sur le réseau cellulaire de votre opérateur, ce qui peut entraîner des frais supplémentaires. Contactez votre opérateur pour obtenir des informations sur les tarifs de vos forfaits de données cellulaires. Pour gérer l’utilisation des données cellulaires, consultez la section Cellulaire à la page 145. Configuration de Mail et d’autres comptes L’iPhone fonctionne avec iCloud, Microsoft Exchange et de nombreux fournisseurs de services de messagerie, de contacts et de calendriers populaires. Si vous ne possédez pas encore de compte de messagerie, vous pouvez configurer un compte iCloud gratuit lors de la première configuration de votre iPhone, ou ultérieurement dans Réglages > iCloud. Consultez la section iCloud à la page 16. Pour configurer un compte iCloud : Accédez à Réglages > iCloud. Pour configurer un autre compte : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier. Vous pouvez ajouter des contacts à l’aide d’un compte LDAP ou CardDAV, si votre entreprise ou organisation le prend en charge. Consultez la section Ajout de contacts à la page 109. Vous pouvez ajouter des calendriers à l’aide d’un compte de calendrier CalDAV et vous abonner à des calendriers iCalendar (.ics) ou les importer à partir de Mail. Consultez la section Utilisation de plusieurs calendriers à la page 73. Identifiant Apple Un identifiant Apple est le nom d’utilisateur d’un compte gratuit qui vous permet d’accéder à des services Apple, notamment l’iTunes Store, l’App Store et iCloud. Un seul identifiant Apple est nécessaire pour toutes vos opérations avec Apple. Les services et produits qu’il vous permet d’utiliser, d’acheter ou de louer peuvent être payants. Si vous possédez un identifiant Apple, utilisez lors de la configuration initiale de l’iPhone, et à chaque fois que vous devez ouvrir une session pour utiliser un service Apple. Si vous n’avez pas encore d’identifiant Apple, vous pouvez en créer un lorsqu’une ouverture de session est nécessaire. Pour en savoir plus, consultez la page support.apple.com/kb/he37?viewlocale=fr_FR.Chapitre 2 Démarrage 16 Gestion du contenu sur vos appareils iOS Vous pouvez transférer des données et des fichiers entre vos appareils iOS et vos ordinateurs à l’aide d’iCloud ou d’iTunes. • iCloud stocke votre contenu, par exemple votre musique, vos photos, vos calendriers, vos contacts, vos documents et plus encore, et le transfère vers d’autres appareils iOS et ordinateurs, maintenant ainsi toutes vos données à jour. Consultez la section iCloud ci-après. • iTunes permet de synchroniser de la musique, des vidéos, des photos et bien plus entre votre ordinateur et votre iPhone. Les modifications apportées à un appareil s’appliquent à l’autre appareil lors de la synchronisation. Vous pouvez aussi utiliser iTunes pour copier un fichier sur l’iPhone et l’utiliser dans une app ou copier un document crée sur l’iPhone sur votre ordinateur. Consultez la section Synchronisation avec iTunes à la page 17. Vous pouvez utiliser iCloud, iTunes ou les deux selon vos besoins. Par exemple, vous pouvez utiliser Flux de photos iCloud pour automatiquement disposer des photos que vous prenez avec l’iPhone sur vos autres appareils, et utiliser iTunes pour synchroniser vos albums photo de votre ordinateur vers l’iPhone. Important : Ne synchronisez pas des éléments de la sous-fenêtre Infos d’iTunes (tels que des contacts, des calendriers et des notes) tout en utilisant iCloud pour maintenir ces données à jour sur vos appareils. Autrement, vous risquez d’obtenir des données en double. iCloud iCloud stocke votre contenu, notamment la musique, les photos, les contacts, les calendriers ou les documents gérés. Le contenu stocké dans iCloud est transféré sans fil vers vos autres appareils iOS et ordinateurs configurés avec le même compte iCloud. iCloud est disponible sur les appareils iOS 5 ou une version ultérieure, sur les Mac avec OS X Lion 10.7.2 ou une version ultérieure, et sur les PC équipés du panneau de configuration iCloud pour Windows (Windows Vista Service Pack 2 ou Windows 7 sont requis). Parmi les fonctionnalités d’iCloud figurent : • iTunes dans le nuage : téléchargez des achats de séries TV et de musique effectués antérieurement sur iTunes vers l’iPhone gratuitement et à tout moment. • Apps et livres : téléchargez des achats effectués antérieurement dans l’App Store et l’iBookstore vers l’iPhone gratuitement et à tout moment. • Flux de photos : les photos que vous prenez sont affichées sur tous vos autres appareils. Vous pouvez aussi créer des flux de photos à partager. Consultez la section Flux de photos à la page 76. • Documents dans le nuage : pour les apps iCloud, maintenez à jour les documents et les données d’app sur tous vos appareils. • Mail, Contacts, Calendrier : maintenez à jour l’ensemble de vos contacts, calendriers, notes et rappels sur tous vos appareils. • Sauvegarde : sauvegardez l’iPhone vers iCloud automatiquement lorsqu’il est connecté à une source d’alimentation et à une connexion Wi-Fi. Consultez la section Sauvegarde de l’iPhone à la page 162. • Localiser mon iPhone : localisez votre iPhone sur un plan, affichez un message, faites sonner l’appareil, verrouillez l’écran ou effacez les données à distance. Consultez la section Localiser mon iPhone à la page 37.Chapitre 2 Démarrage 17 • Localiser mes amis : partagez votre emplacement avec les personnes que vous considérez importantes. Téléchargez l’app gratuite dans l’App Store. • iTunes Match : avec un abonnement à iTunes Match, toute votre musique, y compris celle que vous avez importée à partir de CD ou achetée ailleurs que sur iTunes, s’affiche sur tous vos appareils et peut être téléchargée et lue à la demande. Consultez la section iTunes Match à la page 67. • Onglets iCloud : affichez les pages web que vous avez ouvertes sur vos autres appareils iOS et ordinateurs OS X. Consultez la section Chapitre 7, Safari, à la page 59. iCloud vous donne accès à un compte de courrier électronique gratuit et à 5 Go de stockage pour le courrier électronique, les documents et les sauvegardes. Vos achats de musique, d’apps, de séries TV et de livres, ainsi que vos flux de photos, n’utilisent pas votre espace gratuit. Pour se connecter ou créer un compte iCloud, et régler les options iCloud : Accédez à Réglages > iCloud. Pour acheter davantage de capacité de stockage iCloud : Accédez à Réglages > iCloud > Stockage et sauvegarde, puis touchez Gérer le stockage. Pour en savoir plus sur l’achat d’espace de stockage iCloud, visitez la page help.apple.com/fr/icloud. Pour consulter et télécharger des achats antérieurs : • Achats sur l’iTunes Store : Accédez à iTunes, touchez Autre, puis touchez Achats. • Achats sur l’App Store : Accédez à l’App Store, touchez Mises à jour, puis touchez Achats. • Achats sur l’iBookstore : Accédez à iBooks, touchez Store, puis touchez Achats. Pour activer Téléchargements automatiques pour de la musique, des apps ou des livres : Accédez à Réglages > iTunes et App Stores . Pour en savoir plus sur iCloud, accédez à la page www.apple.com/fr/icloud. Pour obtenir des informations d’assistance, consultez la page www.apple.com/fr/support/icloud. Synchronisation avec iTunes La synchronisation avec iTunes copie des données à partir de votre ordinateur vers l’iPhone, et vice versa. Pour synchroniser, connectez l’iPhone à votre ordinateur ou configurez une synchronisation automatique d’iTunes avec le Wi-Fi. Vous pouvez régler iTunes de manière à synchroniser votre musique, vos photos, vos vidéos, vos podcasts, vos apps, etc. Pour en savoir plus sur la synchronisation de l’iPhone avec votre ordinateur, ouvrez iTunes, puis choisissez Aide iTunes dans le menu Aide. Pour configurer la synchronisation iTunes sans fil : Connectez l’iPhone à votre ordinateur. Sur votre ordinateur, sélectionnez l’iPhone dans iTunes (sous Appareils), cliquez sur Résumé, puis activez « Synchroniser par connexion Wi-Fi ». Lorsque la synchronisation Wi-Fi est activée, l’iPhone se synchronise chaque jour. L’iPhone doit être connecté à une source d’alimentation. L’iPhone et votre ordinateur doivent être connectés au même réseau sans fil, et iTunes doit être ouvert sur l’ordinateur. Pour en savoir plus, consultez la section Synchronisation Wi-Fi d’iTunes à la page 147. Astuces pour la synchronisation avec iTunes • Si vous utilisez iCloud pour stocker vos contacts, calendriers, signets et notes, ne les synchronisez pas à nouveau sur votre appareil à l’aide d’iTunes.Chapitre 2 Démarrage 18 • Les achats effectués dans l’iTunes Store ou l’App Store sur l’iPhone sont synchronisés vers votre bibliothèque iTunes. Vous pouvez également acheter ou télécharger du contenu et des apps depuis l’iTunes Store sur votre ordinateur, puis les synchroniser sur votre iPhone. • Dans la sous-fenêtre Résumé de l’appareil, vous pouvez configurer iTunes pour que la synchronisation s’effectue automatiquement lorsque votre appareil est connecté à votre ordinateur. Pour outrepasser temporairement ce réglage, maintenez enfoncées les touches Commande et Option (sur un Mac) ou Maj et Contrôle (sur un PC) jusqu’à ce que l’iPhone apparaisse dans la barre latérale. • Dans la sous-fenêtre Résumé de l’appareil, sélectionnez « Chiffrer la sauvegarde de l’iPhone » pour chiffrer les informations stockées sur votre ordinateur au moment où iTunes crée une sauvegarde. Les sauvegardes chiffrées sont identifiées par une icône de cadenas et un mot de passe à part est nécessaire pour restaurer les sauvegardes. Si vous ne sélectionnez pas cette option, les autres mots de passe (tels que ceux pour les comptes de messagerie) ne sont pas inclus dans la sauvegarde et devront être saisis à nouveau si vous utilisez la sauvegarde pour restaurer l’appareil. • Dans la sous-fenêtre Infos de l’appareil, lorsque vous synchronisez des comptes de messagerie, seuls les réglages sont transférés à partir de votre ordinateur vers l’iPhone. Les modifications apportées à un compte de messagerie sur l’iPhone n’ont aucun effet sur le compte de votre ordinateur. • Dans la sous-fenêtre Infos de l’appareil, cliquez sur Avancé pour sélectionner les options vous permettant de remplacer, lors de la prochaine synchronisation, les informations qui se trouvent sur l’iPhone par celles qui se trouvent sur votre ordinateur. • Si vous écoutez une partie d’un podcast ou d’un livre audio, l’endroit où vous vous êtes arrêté est inclus lors de la synchronisation du contenu avec iTunes. Si vous avez commencé l’écoute sur l’iPhone, vous pouvez reprendre où vous vous êtes arrêté dans iTunes sur votre ordinateur, et inversement. • Dans la sous-fenêtre Photos de l’appareil, vous pouvez synchroniser des photos et des vidéos à partir d’un dossier sur votre ordinateur. Visualisation de ce guide de l’utilisateur sur l’iPhone Le Guide de l’utilisateur de l’iPhone peut être affiché sur l’iPhone dans Safari et dans l’app iBooks gratuite. Pour consulter le guide de l’utilisateur dans Safari : Touchez , puis le signet Guide de l’utilisateur de l’iPhone. • Pour ajouter l’icône du guide à l’écran d’accueil : Touchez , puis touchez « Ajouter à l’écran d’accueil ». • Pour consulter le guide dans une autre langue : Touchez « Changer de langue » sur la page de contenu principale. Pour consulter le guide de l’utilisateur dans iBooks : Si vous n’avez pas installé iBooks, ouvrez l’App Store, recherchez « iBooks » puis installez-le. Ouvrez iBooks et touchez Store. Recherchez « Utilisateur de l’iPhone », puis sélectionnez et téléchargez le guide. Pour en savoir plus sur iBooks, consultez la section Chapitre 30, iBooks, à la page 117.3 19 Utilisation des apps Utilisez vos doigts pour toucher, toucher deux fois, balayer et pincer des objets sur l’écran tactile afin d’interagir avec l’iPhone. Ouverture d’apps et basculement entre apps Pour accéder à l’écran d’accueil, appuyez sur le bouton principal . Pour ouvrir une app : Touchez-la. Pour revenir à l’écran d’accueil, appuyez à nouveau sur le bouton principal . Pour afficher un autre écran d’accueil : Balayez vers la gauche ou la droite. Balayez vers la gauche ou la droite pour afficher un autre écran d’accueil. Balayez vers la gauche ou la droite pour afficher un autre écran d’accueil. Pour atteindre le premier écran d’accueil : Appuyer sur le bouton principal . Pour afficher les apps utilisées récemment : Appuyez deux fois sur le bouton principal pour afficher la barre multitâche. Notions élémentairesChapitre 3 Notions élémentaires 20 Touchez une app pour la réutiliser. Balayez vers la gauche pour afficher d’autres apps. Apps récemment utilisées Apps récemment utilisées Si vous disposez de nombreuses apps, il est préférable d’utiliser Spotlight pour les rechercher et les ouvrir. Consultez la section Recherche à la page 29. Défilement Faites glisser votre doigt vers le haut ou le bas pour faire défiler verticalement. Sur certains écrans, notamment les pages web, vous pouvez également faire défiler l’écran latéralement. Lorsque vous faites glisser votre doigt, vous ne choisissez ou n’activez aucune fonction sur l’écran. Feuilletez pour faire défiler l’affichage rapidement. Vous pouvez attendre que le défilement s’arrête ou toucher l’écran pour l’arrêter immédiatement. Pour défiler rapidement vers le haut de la page, touchez la barre d’état située en haut de l’écran.Chapitre 3 Notions élémentaires 21 Listes Selon la liste, la sélection d’un élément peut entraîner différentes actions, par exemple l’ouverture d’une autre liste, la lecture d’un morceau, l’ouverture d’un message électronique ou l’affichage des coordonnées d’une personne. Pour choisir un élément dans une liste : Touchez-le. Certaines listes comportent un index sur le côté pour vous aider à naviguer rapidement. Faites glisser votre doigt le long de l’index pour faire défiler rapidement. Touchez une lettre pour passer directement à la section. Faites glisser votre doigt le long de l’index pour faire défiler rapidement. Touchez une lettre pour passer directement à la section. Pour revenir à une liste précédente : Touchez le bouton Précédent en haut à gauche. Zoom avant ou arrière Selon l’app, il se peut que vous puissiez effectuer un zoom avant ou arrière pour agrandir ou réduire l’image à l’écran. Pendant la consultation de photos, de pages web, de messages électroniques ou de plans, par exemple, pincez avec deux doigts pour effectuer un zoom arrière ou écartez-les pour effectuer un zoom avant. Pour les photos et les pages web, vous pouvez également toucher deux fois (rapidement) pour effectuer un zoom avant, puis toucher à nouveau deux fois pour effectuer un zoom arrière. Sur les plans, touchez deux fois pour effectuer un zoom avant et touchez une fois avec deux doigts pour effectuer un zoom arrière. La fonction Zoom est également une fonction d’accessibilité spéciale avec laquelle vous pouvez agrandir l’écran de chaque app pour mieux voir ce qui est affiché. Consultez la section Zoom à la page 134. Orientations portrait et paysage Vous pouvez afficher la plupart des apps de l’iPhone en mode portrait ou paysage. Faites pivoter l’iPhone et l’affichage pivote également pour s’adapter à la nouvelle orientation.Chapitre 3 Notions élémentaires 22 Pour verrouiller l’écran en orientation portrait : Appuyez deux fois sur le bouton principal , balayez la barre multitâche de gauche à droite, puis touchez . L’icône de verrouillage de l’orientation apparaît dans la barre d’état lorsque l’orientation de l’écran est verrouillée. Réglage de la luminosité Vous pouvez régler manuellement la luminosité de l’écran ou activer l’option Réglage automatique pour que l’iPhone règle automatiquement la luminosité à l’aide du capteur de lumière ambiante intégré. Pour régler la luminosité de l’écran : Accédez à Réglages > Luminosité et fond d’écran, puis faites glisser le curseur. Pour activer ou désactiver l’option Réglage automatique : Accédez à Réglages > Luminosité et fond d’écran. Consultez la section Luminosité et fond d’écran. à la page 151. Personnalisation de l’iPhone Vous pouvez personnaliser la disposition de vos apps sur l’écran d’accueil, les organiser dans des dossiers et changer de fond d’écran. Réorganisation des apps Personnalisez votre écran d’accueil en réorganisant les apps, en plaçant des apps dans le Dock situé au bas de l’écran et en créant des écrans d’accueil supplémentaires. Pour réorganiser les apps : Touchez n’importe quelle app de l’écran d’accueil et maintenez le doigt dessus jusqu’à ce qu’elle bouge, puis déplacez-la en la faisant glisser. Appuyez sur le bouton principal pour enregistrer votre disposition. Pour créer un nouvel écran d’accueil : Pendant que vous disposez vos apps, faites-en glisser une vers le bord droit de l’écran le plus à droite jusqu’à ce qu’un nouvel écran apparaisse. Il est possible de créer jusqu’à 11 écrans d’accueil. Les points qui apparaissent au-dessus du Dock indiquent le nombre d’écrans disponibles et celui qui est actuellement affiché. Balayez vers la gauche ou la droite pour passer d’un écran à un autre. Pour accéder au premier écran d’accueil, appuyez sur le bouton principal .Chapitre 3 Notions élémentaires 23 Pour déplacer une app vers un autre écran : Pendant qu’elle bouge, faites glisser l’app vers le bord de l’écran. Pour personnaliser l’écran d’accueil à l’aide d’iTunes : Connectez l’iPhone à votre ordinateur. Sur votre ordinateur, sur iTunes, sélectionnez iPhone, puis cliquez sur le bouton Apps pour afficher l’image de l’écran d’accueil de l’iPhone. Pour rétablir la disposition d’origine de l’écran d’accueil : Dans Réglages, accédez à Général > Réinitialiser, puis touchez Réinitialiser l’écran d’accueil. La réinitialisation de l’écran d’accueil supprime les dossiers que vous avez créés et lui applique le fond d’écran par défaut. Organisation à l’aide de dossiers Utilisez des dossiers pour organiser les apps sur vos écrans d’accueil. À l’instar des apps, il est possible de réorganiser les dossiers en les faisant glisser sur les écrans d’accueil ou vers le Dock. Pour créer un dossier : Touchez une app jusqu’à ce que les icônes de l’écran d’accueil se mettent à bouger, puis faites glisser l’app sur une autre. L’iPhone crée un dossier contenant les deux apps et lui attribue un nom en fonction du type de celles-ci. Pour saisir un autre nom, touchez le champ de nom. Pour ouvrir un dossier : Touchez le dossier. Pour fermer un dossier, touchez à l’extérieur du dossier ou appuyez sur le bouton principal . Pour organiser les apps à l’aide de dossiers : Pendant que vous disposez vos apps (les icônes bougent) : • Pour ajouter une app à un dossier : Faites glisser l’app sur le dossier. • Pour supprimer une app d’un dossier : Si nécessaire, ouvrez le dossier, puis faites glisser l’app hors de celui-ci. • Pour supprimer un dossier : Déplacez toutes les apps hors du dossier. Ce dernier est automatiquement supprimé. • Pour renommer un dossier : Touchez le dossier pour l’ouvrir, puis touchez le nom et saisissez-en un nouveau. Lorsque vous avez terminé, appuyez sur le bouton principal .Chapitre 3 Notions élémentaires 24 Changement de fond d’écran Vous pouvez personnaliser l’écran verrouillé et l’écran d’accueil en utilisant une image ou une photo comme fond d’écran. Choisissez l’une des images fournies ou une photo de votre album Pellicule ou d’un autre album présent sur votre iPhone. Pour changer de fond d’écran : Accédez à Réglages > Luminosité et fond d’écran. Saisie de texte Le clavier à l’écran vous permet de saisir du texte quand vous en avez besoin. Saisie de texte Utilisez le clavier à l’écran pour saisir du texte, tel que des coordonnées, des messages électroniques et des adresses web. Selon l’app et la langue que vous utilisez, le clavier peut corriger les fautes d’orthographe, prédire ce que vous saisissez et même apprendre à mesure que vous l’utilisez. Vous pouvez également taper du texte sur un clavier sans fil Apple. Consultez la section Clavier sans fil Apple à la page 27. Pour utiliser la dictée au lieu de la saisie, consultez la section Dictée à la page 27. Pour saisir du texte : Touchez un champ de texte pour faire apparaître le clavier, puis touchez les touches de celui-ci. Lors de votre saisie, chaque lettre apparaît au-dessus de votre doigt. Si vous touchez la mauvaise touche, vous pouvez faire glisser votre doigt jusqu’à la bonne. La lettre n’est pas validée tant que vous n’éloignez pas votre doigt de la touche. • Pour écrire en majuscules : Touchez la touche Maj avant de toucher une lettre. Vous pouvez également maintenir la touche Maj enfoncée, puis faire glisser votre doigt sur une lettre. • Pour saisir rapidement un point et une espace : Touchez deux fois la barre d’espace. • Pour activer le verrouillage des majuscules : Touchez deux fois la touche Maj . Pour désactiver le verrouillage des majuscules, touchez la touche Maj. • Pour saisir des chiffres, des signes de ponctuation ou des symboles : Touchez la touche des chiffres . Pour afficher d’autres signes de ponctuation et symboles, touchez la touche des symboles .Chapitre 3 Notions élémentaires 25 • Pour saisir des lettres accentuées ou d’autres caractères secondaires : Maintenez le doigt sur une touche, puis faites glisser pour choisir l’une des options. Pour saisir un autre caractère, touchez une touche, maintenez le doigt dessus et faites glisser pour choisir l’une des options. Pour saisir un autre caractère, touchez une touche, maintenez le doigt dessus et faites glisser pour choisir l’une des options. Pour définir les options de saisie : Accédez à Réglages > Général > Clavier. Modification de texte Si vous devez modifier du texte, une loupe à l’écran vous aide à positionner le point d’insertion à l’endroit voulu. Vous pouvez sélectionner, couper, copier et coller du texte. Dans certaines apps, vous pouvez également couper, copier et coller des photos et des vidéos. Pour positionner le point d’insertion : Touchez l’écran et gardez le doigt dessus pour afficher la loupe, puis faites glisser le doigt pour positionner le point d’insertion. Pour sélectionner du texte : Touchez le point d’insertion pour afficher les boutons de sélection. Touchez Sélectionner pour sélectionner le mot attenant ou Tout sélectionner pour sélectionner tout le texte. Vous pouvez également toucher deux fois un mot pour le sélectionner. Faites glisser les poignées pour sélectionner plus ou moins de texte. Dans les documents en lecture seule, tels que les pages web, maintenez le doigt sur un mot pour le sélectionner. Pour couper ou copier du texte : Sélectionnez du texte, puis touchez Couper ou Copier. Pour coller du texte : Touchez le point d’insertion, puis touchez Coller pour insérer le dernier texte que vous avez coupé ou copié. Pour remplacer du texte, sélectionnez-le avant de toucher Coller. Pour annuler la dernière modification : Secouez l’iPhone, puis touchez Annuler. Pour mettre du texte en gras ou en italique, ou le souligner : Sélectionnez le texte, touchez , puis B/I/U (si disponible). Pour obtenir la définition d’un mot : Sélectionnez le mot, puis touchez Définition (si disponible). Pour obtenir des mots alternatifs : Sélectionnez un mot, puis touchez Suggérer (si disponible).Chapitre 3 Notions élémentaires 26 Correction automatique et vérification de l’orthographe Pour de nombreuses langues, l’iPhone utilise le dictionnaire actif pour corriger les fautes d’orthographe ou faire des suggestions pendant la saisie. Lorsque l’iPhone suggère un mot, vous pouvez accepter la suggestion sans interrompre la saisie. Pour obtenir la liste des langues prises en charge, consultez la page web www.apple.com/fr/iphone/specs.html. Mot suggéré Mot suggéré Pour accepter la suggestion : Saisissez une espace, un signe de ponctuation ou le caractère de retour. Pour refuser une suggestion : Touchez le « X » en regard de la suggestion. Chaque fois que vous rejetez une suggestion pour un même mot, il devient plus probable que l’iPhone accepte votre mot. L’iPhone peut également souligner des mots que vous avez déjà saisis et qui pourraient être mal orthographiés. Pour remplacer un mot mal orthographié : Touchez le mot souligné, puis touchez la bonne orthographe. Si le mot que vous souhaitez saisir n’apparaît pas, saisissez-le de nouveau. Pour activer ou désactiver la correction automatique ou la vérification orthographique : Accédez à Réglages > Général > Clavier. Raccourcis et votre dictionnaire personnel Les raccourcis vous permettent de ne saisir que quelques caractères à la place d’un mot ou d’une expression plus longs. Le texte complet apparaît dès que vous saisissez le raccourci. Par exemple, le raccourci « bjr » saisit le texte complet « bonjour ». Pour créer un raccourci : Accédez à Réglages > Général > Clavier, puis touchez Ajouter un raccourci. Pour empêcher l’iPhone de tenter de corriger un mot ou une expression : Créez un raccourci, mais laissez le champ Raccourci vide. Pour modifier un raccourci : Accédez à Réglages > Général > Clavier, puis touchez le raccourci. Pour utiliser iCloud pour maintenir votre dictionnaire personnel à jour sur vos autres appareils iOS : Accédez à Réglages > iCloud, puis activez « Documents et données ». Dispositions de clavier Vous pouvez utiliser Réglages pour définir les dispositions du clavier à l’écran ou d’un clavier sans fil Apple que vous utilisez avec l’iPhone. Les dispositions disponibles dépendent de la langue choisie. Consultez la section Clavier sans fil Apple ci-dessous et la section L’annexe B, Claviers internationaux, à la page 154. Pour sélectionner les dispositions des claviers : Accédez à Réglages > Général > International > Claviers, sélectionnez une langue, puis choisissez les dispositions.Chapitre 3 Notions élémentaires 27 Clavier sans fil Apple Vous pouvez utiliser un clavier sans fil Apple (vendu séparément) pour la saisie sur votre iPhone. Le clavier sans fil Apple se connecte via Bluetooth. Vous devez donc commencer par le jumeler avec l’iPhone. Consultez la section Jumelage d’appareils Bluetooth à la page 35. Une fois le clavier jumelé, il se connecte chaque fois qu’il est à portée de l’iPhone (jusqu’à 10 m). Lorsqu’un clavier sans fil est connecté, le clavier à l’écran n’apparaît pas quand vous touchez un champ de texte. Pour économiser la batterie, éteignez le clavier lorsque vous ne l’utilisez pas. Pour changer de langue lors de l’utilisation d’un clavier sans fil : Appuyez sur Commande + Barre d’espace pour afficher la liste des langues disponibles. Appuyez à nouveau sur la barre d’espace tout en maintenant enfoncée la touche Commande pour changer de langue. Pour éteindre un clavier sans fil : Maintenez enfoncé le bouton d’alimentation du clavier jusqu’à l’extinction du voyant vert. L’iPhone déconnecte le clavier lorsque celui-ci est éteint ou hors de portée. Pour annuler le jumelage d’un clavier sans fil : Accédez à Réglages > Bluetooth, touchez en regard du nom du clavier, puis touchez « Oublier cet appareil ». Dictée Sur l’iPhone 4S ou ultérieur, vous pouvez dicter du texte au lieu de le saisir. Pour pouvoir utiliser la dictée, l’option Siri doit être activée et l’iPhone doit être connecté à Internet. Vous pouvez insé- rer des signes de ponctuation et utiliser des commandes pour mettre en forme votre texte. Remarque : Des frais de données cellulaires peuvent s’appliquer. Pour activer la dictée : Accédez à Réglages > Général > Siri et activez Siri. Pour dicter du texte : Sur le clavier à l’écran, touchez , puis parlez. Lorsque vous avez fini, touchez Terminé. Touchez pour commencer la dictée. Touchez pour commencer la dictée. Ceci apparaît pendant que Siri rédige le texte que vous lui dictez. Ceci apparaît pendant que Siri rédige le texte que vous lui dictez. Pour ajouter du texte, touchez une nouvelle fois et continuez la dictée. Pour insérer du texte, commencez par toucher l’endroit où vous voulez placer le point d’insertion. Vous pouvez également remplacer le texte sélectionné en dictant. Vous pouvez placer l’iPhone sur votre oreille pour commencer la dictée, au lieu de saisir le texte sur le clavier. Pour terminer, replacez l’iPhone devant vous. Pour ajouter un signe de ponctuation ou mettre en forme du texte : Énoncez la commande de ponctuation ou de mise en forme. Par exemple, « Chère Caroline virgule le code se trouve dans le courrier électronique point » donne le texte suivant « Chère Caroline, le code se trouve dans le courrier électronique. »Chapitre 3 Notions élémentaires 28 Les commandes de ponctuation et de mise en forme incluent : • ouvrir les guillemets... fermer les guillemets ; • nouveau paragraphe ; • en maj, pour mettre en majuscule le premier caractère du mot suivant ; • activer maj... annuler maj, pour mettre en majuscule le premier caractère de chaque mot ; • toutes maj, pour mettre en majuscule tous les caractères du mot suivant ; • activer toutes maj... annuler toutes maj, pour mettre en majuscule tous les caractères des mots compris entre les deux commandes ; • activer min... annuler min, pour mettre en minuscule tous les caractères des mots compris entre les deux commandes ; • activer pas d’espace... annuler pas d’espace, pour coller une série de mots sans espaces ; • souriant, pour insérer :-) ; • renfrogné, pour insérer :-( ; • clin d’œil, pour insérer ;-). Contrôle vocal Contrôle vocal vous permet de téléphoner et de contrôler la lecture de musique à l’aide de commandes vocales. Sur l’iPhone 4S ou ultérieur, vous pouvez également utiliser Siri pour contrôler vocalement l’iPhone. Consultez la section Chapitre 4, Siri, à la page 39. Remarque : Contrôle vocal et les réglages de Contrôle vocal ne sont pas disponibles lorsque Siri est activé. Pour utiliser Contrôle vocal : Maintenez enfoncé le bouton principal jusqu’à l’ouverture de l’écran Contrôle vocal, signalée par un bip sonore. Vous pouvez également maintenir enfoncé le bouton central de vos écouteurs. Consultez la section Casque d’écoute Apple à la page 34. Pour obtenir les meilleurs résultats : • Parlez clairement et de manière naturelle. • Ne prononcez que des commandes iPhone, des noms et des chiffres. Faites de petites pauses entre les différentes commandes. • Utilisez les noms complets.Chapitre 3 Notions élémentaires 29 Contrôle vocal est configuré pour reconnaître les commandes vocales dans la langue définie pour l’iPhone (dans Réglages > Général > International > Langue). Les réglages de Contrôle vocal permettent de définir la langue dans laquelle doivent être dites les commandes vocales. Certaines langues sont disponibles dans différents dialectes ou accents. Pour changer de langue ou de pays : Accédez à Réglages > Général > International > Contrôle vocal, puis touchez la langue ou le pays. La fonction Contrôle vocal est toujours activée pour l’app Musique, mais vous pouvez désactiver la composition vocale lorsque l’iPhone est verrouillé. Pour désactiver la composition vocale lorsque l’iPhone est verrouillé : Accédez à Réglages > Général > Verrouillage par code, puis désactivez Composition vocale (disponible uniquement lorsque Siri est désactivé dans Réglages > Général > Siri.) Pour utiliser la composition vocale, vous devez d’abord déverrouiller l’iPhone. Si vous recherchez des commandes spécifiques, consultez les sections Émission d’appels à la page 46 et Siri et Contrôle vocal à la page 66. Pour en savoir plus sur l’utilisation de Commande vocale, notamment sur la manière de l’utiliser en différentes langues, consultez la page http://support.apple.com/kb/HT3597?viewlocale=fr_FR. Recherche Vous pouvez effectuer des recherches dans la plupart des apps installées sur l’iPhone, ainsi que sur Wikipédia et le Web. Effectuez une recherche dans une app particulière ou dans toutes les apps à la fois à l’aide de Spotlight. Spotlight recherche aussi les noms des apps installées sur l’iPhone. Si vous disposez d’un grand nombre d’apps, vous pouvez donc utiliser Spotlight pour les localiser et les ouvrir. Pour effectuer une recherche dans une app : Saisissez du texte dans le champ de recherche. Pour effectuer une recherche sur l’iPhone à l’aide de Spotlight : Balayez vers la droite depuis votre premier écran d’accueil, ou appuyez sur le bouton principal depuis n’importe quel écran d’accueil. Saisissez du texte dans le champ de recherche. Les résultats de la recherche apparaissent à mesure que vous tapez. Pour masquer le clavier et afficher plus de résultats, touchez Rechercher. Touchez un élément dans la liste pour l’ouvrir. Les icônes indiquent les apps dont proviennent les résultats. Chapitre 3 Notions élémentaires 30 L’iPhone peut afficher un meilleur résultat, en fonction des recherches précédentes. Spotlight recherche les éléments suivants : • Contacts : tout le contenu • Apps : titres • Musique : noms des morceaux, artistes et albums, ainsi que les titres des podcasts et des vidéos • Podcasts : titres • Vidéos : titres • Livres audio : titres • Notes : texte des notes • Calendrier (événements) : nom des événements, invités, lieux et notes • Mail : champs À, De et Objet de tous les comptes (le texte des messages est ignoré) • Rappels : titres • Messages : titre et texte des messages Pour effectuer une recherche sur le Web ou Wikipédia depuis Spotlight : Faites défiler jusqu’en bas de l’écran, puis touchez Rechercher sur le Web ou Rechercher dans Wikipedia. Pour ouvrir une app à partir de Recherche : Saisissez une partie ou la totalité du nom de l’app, puis touchez-la. Pour choisir les éléments à rechercher et l’ordre dans lequel ils doivent l’être : Accédez à Réglages > Général > Recherche Spotlight. Notifications Pour vous aider à vous souvenir des événements importants, de nombreuses apps iPhone peuvent vous fournir des alertes. Une alerte peut apparaître brièvement sous forme de bannière en haut de votre écran, qui disparaît si vous n’y répondez pas, ou sous forme de mention au centre de l’écran qui restera jusqu’à ce que vous ayez confirmé sa lecture. Certaines apps peuvent également afficher des pastilles sur les icônes correspondantes dans l’écran d’accueil pour vous informer du nombre d’éléments en attente (par exemple, le nombre de nouveaux courriers électroniques que vous avez reçus). En cas de problème (par exemple, un message qui ne peut pas être envoyé), un point d’exclamation apparaît sur la pastille. Une pastille numé- rotée sur un dossier indique le nombre total d’alertes pour l’ensemble des apps que contient ce dossier. Les alertes peuvent également apparaître sur l’écran verrouillé. Pour répondre à une alerte lorsque l’iPhone est verrouillé : Balayez l’alerte de gauche à droite. Le Centre de notifications affiche vos alertes dans un seul emplacement. Ainsi, si vous n’avez pas pu répondre à une alerte lorsque vous l’avez reçue, vous pouvez y répondre via le Centre de notifications lorsque vous êtes prêt. Parmi les alertes figurent : • Appels manqués et messages vocaux • Nouveaux courriers électroniquesChapitre 3 Notions élémentaires 31 • Nouveaux messages texte • Rappels • Événements de calendrier • Demandes d’amis (Game Center) Vous pouvez également accéder à la météo locale et afficher une version personnalisée des cotes de la bourse. Si vous êtes connecté sur vos comptes Twitter ou Facebook, vous pouvez tweeter et publier sur ces comptes à partir du Centre de notifications. Pour afficher le centre de notifications : Balayez vers le bas depuis le haut de l’écran. Faites défiler la liste pour afficher des alertes supplémentaires. • Pour répondre à une alerte : Touchez-la. • Pour supprimer une alerte : Touchez , puis touchez Effacer. Pour gérer les alertes pour les apps : Accédez à Réglages > Notifications. Consultez la section Ne pas déranger et Notifications à la page 142. Pour choisir les sons des alertes, régler le volume de l’alerte ou activer ou désactiver le mode vibration : Accédez à Réglages > Sons. Partage L’iPhone vous offre de nombreuses occasions de partager avec d’autres personnes.Chapitre 3 Notions élémentaires 32 Partage dans les apps De nombreuses apps affichent des options de partage ainsi que d’autres actions telles que l’impression ou la copie lorsque vous touchez . Les options varient en fonction de l’app utilisée. Facebook Connectez-vous à votre compte Facebook (ou créez un compte) dans Réglages pour pouvoir publier directement à partir de nombreuses apps sur l’iPhone. Pour se connecter à un compte Facebook ou en créer un : Accédez à Réglages > Facebook. Pour publier à partir du Centre de notifications : Touchez « Toucher pour publier ». Pour publier en utilisant Siri : Dites « Publier sur Facebook... ». Pour publier un élément d’une app : Dans la plupart des apps, touchez . Dans Plans, touchez , Envoyer ce lieu, puis Facebook. Pour régler les options de Facebook : Accédez à Réglages > Facebook pour : • mettre à jour les contacts de l’iPhone avec les noms et les photos Facebook ; • autoriser l’App Store, le Calendrier, les Contacts ou iTunes à utiliser votre compte. Pour installer l’app Facebook : Accédez à Réglages > Facebook, puis touchez Installer. Twitter Connectez-vous à votre compte Twitter (ou créez un compte) dans Réglages pour activer les Tweets avec des pièces jointes à partir de nombreuses apps sur l’iPhone. Pour se connecter à un compte Twitter ou en créer un : Accédez à Réglages > Twitter. Pour tweeter à partir du Centre de notifications : Touchez « Toucher pour tweeter ». Pour tweeter en utilisant Siri : Dites « Tweeter... ». Pour tweeter un élément d’une app : Affichez l’élément, touchez , puis touchez Twitter. Si n’apparaît pas, touchez l’écran. Pour ajouter votre localisation, touchez Ajouter le lieu. Pour envoyer une localisation dans Plans par Twitter : Touchez le repère, , Envoyer ce lieu, puis Twitter. Lorsque vous rédigez un Tweet, le chiffre présent dans l’angle inférieur droit de l’écran Tweet indique le nombre de caractères restants à saisir. Les pièces jointes utilisent une partie des 140 caractères d’un Tweet. Pour ajouter des noms d’utilisateur Twitter et des photos à vos contacts : Accédez à Réglages > Twitter, puis touchez Actualiser les contacts. Pour installer l’app Twitter : Accédez à Réglages > Twitter, puis touchez Installer. Pour apprendre comment utiliser l’app Twitter, ouvrez l’app, touchez Moi, puis Aide.Chapitre 3 Notions élémentaires 33 Connexion de l’iPhone à un téléviseur ou un autre appareil Vous pouvez utiliser AirPlay avec l’Apple TV pour diffuser du contenu sur un téléviseur HD ou connecter l’iPhone à votre téléviseur à l’aide de câbles. AirPlay AirPlay permet de diffuser de la musique, des photos et des vidéos sans fil sur l’Apple TV et d’autres appareils compatibles AirPlay. Les commandes AirPlay apparaissent lorsqu’un appareil compatible AirPlay est disponible sur le même réseau Wi-Fi que l’iPhone. Vous pouvez également effectuer une recopie vidéo de l’écran de l’iPhone sur un téléviseur. Pour diffuser un contenu vers un appareil compatible AirPlay : Touchez et choisissez l’appareil. Pour accéder à AirPlay et aux commandes de volume lors de l’utilisation d’une app : Lorsque l’écran est activé, appuyez deux fois sur le bouton principal et faites défiler vers l’extrémité gauche de la barre multitâche. Pour poursuivre la lecture sur l’iPhone : Touchez et choisissez iPhone. Pour effectuer une recopie vidéo de l’écran de l’iPhone sur un téléviseur : Touchez à l’extrémité gauche de la barre multitâche, choisissez une Apple TV, puis touchez Recopie vidéo. Une barre bleue apparaît dans la partie supérieure de l’écran de l’iPhone lorsque la recopie vidéo AirPlay est activée. Tout ce qui se trouve sur l’écran de l’iPhone apparaît sur le téléviseur. Connexion de l’iPhone à un téléviseur à l’aide d’un câble Les câbles et adaptateurs Apple (disponibles séparément) peuvent être utilisés pour connecter l’iPhone à un téléviseur, un projecteur ou tout autre moniteur externe. Pour en savoir plus, consultez la page http://support.apple.com/kb/TS2621?viewlocale=fr_FR. Impression à l’aide d’AirPrint AirPrint vous permet d’imprimer sans fil sur les imprimantes compatibles AirPrint depuis les apps iOS suivantes : • Mail : messages électroniques et pièces jointes qui s’ouvrent dans Coup d’œil ; • Photos et Appareil photo : photos ; • Safari : pages web, documents PDF et autres pièces jointes qui s’ouvrent dans Coup d’œil ; • iBooks : documents PDF ; • Plans : partie du plan affichée à l’écran ; • Notes : note actuellement affichée. D’autres apps disponibles sur l’App Store prennent également en charge AirPrint. L’iPhone et l’imprimante doivent se trouver sur le même réseau Wi-Fi. Pour en savoir plus sur AirPrint, consultez la page support.apple.com/kb/HT4356?viewlocale=fr_FR. Pour imprimer un document : Touchez ou (suivant l’app que vous utilisez), puis touchez Imprimer.Chapitre 3 Notions élémentaires 34 Pour consulter l’état d’une tâche d’impression : Appuyez deux fois sur le bouton principal , puis touchez Impression dans la barre multitâche. La pastille affichée sur l’icône indique combien de documents, y compris celui en cours, sont prêts à être imprimés. Pour annuler une tâche d’impression : Dans Impression, sélectionnez la tâche d’impression (si nécessaire), puis touchez Annuler l’impression. Casque d’écoute Apple Les écouteurs Apple EarPods avec télécommande et microphone (iPhone 5) et les écouteurs Apple avec télécommande et microphone (iPhone 4S ou modèles antérieurs) comprennent un microphone, des boutons de volume et un bouton intégré permettant de répondre aux appels et d’y mettre fin, et de contrôler la lecture audio et vidéo. Bouton central Bouton central Branchez le casque d’écoute pour écouter de la musique ou passer un appel. Appuyez sur le bouton central pour contrôler la lecture de la musique et répondre ou mettre fin à des appels, même lorsque l’iPhone est verrouillé. Pour régler le volume : Appuyez sur le bouton ou . Utilisez le bouton central pour contrôler la lecture de la musique : • Pour interrompre temporairement la lecture d’un morceau ou d’une vidéo : Appuyez sur le bouton central. Appuyez à nouveau pour reprendre la lecture. • Pour passer au morceau suivant : Appuyez deux fois rapidement sur le bouton central. • Pour revenir au morceau précédent : Appuyez trois fois rapidement sur le bouton central. • Pour avancer rapidement : Appuyez deux fois rapidement sur le bouton central et maintenezle enfoncé. • Pour effectuer un retour rapide : Appuyez trois fois rapidement sur le bouton central puis maintenez-le enfoncé. Utilisez le bouton central pour répondre à des appels téléphoniques ou en passer : • Pour répondre à un appel entrant : Appuyez sur le bouton central. • Pour mettre fin à l’appel en cours : Appuyez sur le bouton central. • Pour refuser un appel entrant : Maintenez le bouton central enfoncé durant deux secondes environ, puis relâchez-le. Deux bips de faible intensité confirment que vous avez refusé l’appel. • Pour répondre à un appel entrant ou en attente et mettre l’appel en cours en attente : Appuyez sur le bouton central. Appuyez à nouveau pour revenir au premier appel. • Pour répondre à un appel entrant ou en attente et mettre fin à l’appel en cours : Maintenez le bouton central enfoncé durant deux secondes environ, puis relâchez-le. Deux bips de faible intensité confirment que vous avez mis fin au premier appel.Chapitre 3 Notions élémentaires 35 Pour utiliser Siri ou Contrôle vocal : Maintenez enfoncé le bouton central. Consultez les sections Chapitre 4, Siri, à la page 39 ou Contrôle vocal à la page 28. Si vous recevez un appel pendant que le casque d’écoute est branché, vous pouvez entendre la sonnerie via le haut-parleur de l’iPhone et le casque. Appareils Bluetooth Vous pouvez utiliser l’iPhone avec le clavier sans fil Apple et d’autres appareils Bluetooth, notamment des casques, kits de voiture et oreillettes stéréo Bluetooth. Pour connaître les profils Bluetooth pris en charge, consultez la page support.apple.com/kb/HT3647?viewlocale=fr_FR. Jumelage d’appareils Bluetooth AVERTISSEMENT : Pour obtenir des informations importantes sur la perte d’audition et sur la concentration en voiture, consultez la section Informations importantes concernant la sécurité à la page 157. Avant de pouvoir utiliser un appareil Bluetooth avec l’iPhone, vous devez les jumeler. Jumeler un appareil Bluetooth avec l’iPhone : 1 Assurez-vous que l’appareil peut être détecté. Consultez la documentation fournie avec l’appareil. Pour un clavier sans fil Apple, appuyez sur le bouton d’alimentation. 2 Accédez à Réglages > Bluetooth et activez Bluetooth. 3 Sélectionnez l’appareil et tapez le code d’accès ou le code PIN qui vous est demandé, le cas échéant. Consultez les instructions relatives au mot de passe ou au code personnel fournies avec l’appareil. Pour en savoir plus sur l’utilisation d’un clavier sans fil Apple, consultez la section Clavier sans fil Apple à la page 27. Pour utiliser un casque d’écoute Bluetooth avec l’iPhone, reportez-vous à la documentation fournie avec l’appareil. Pour réactiver la sortie audio de l’iPhone lorsqu’un casque d’écoute Bluetooth est connecté : Éteignez l’appareil ou annulez son jumelage, ou désactivez le Bluetooth dans Réglages > Bluetooth. La sortie audio de l’iPhone est réactivée quand l’appareil est hors de portée. Vous pouvez également utiliser AirPlay pour réactiver la sortie audio de l’iPhone. Consultez la section AirPlay à la page 33. État Bluetooth Lorsqu’un appareil est jumelé avec l’iPhone, l’icône Bluetooth apparaît dans la barre d’état en haut de l’écran : • ou : Bluetooth est activé et jumelé avec un appareil. (La couleur dépend de la couleur actuelle de la barre d’état.) • : Bluetooth est activé et jumelé avec un appareil, mais ce dernier est hors de portée ou éteint. • Pas d’icône Bluetooth : Bluetooth n’est pas jumelé avec un appareil.Chapitre 3 Notions élémentaires 36 Suppression du jumelage d’un appareil Bluetooth avec l’iPhone Vous pouvez annuler le jumelage d’un appareil Bluetooth si vous ne souhaitez plus l’utiliser avec l’iPhone. Pour annuler le jumelage d’un appareil Bluetooth : Accédez à Réglages > Bluetooth et activez Bluetooth. Touchez situé à côté du nom de l’appareil et touchez « Oublier cet appareil ». Partage de fichiers Vous pouvez utiliser iTunes pour transférer des documents entre l’iPhone et votre ordinateur. Vous pouvez également afficher les fichiers reçus sous forme de pièces jointes sur l’iPhone. Consultez la section Lecture de courriers électroniques à la page 54. Si les mêmes apps sont compatibles avec iCloud sur plus d’un appareil, vous pouvez utiliser iCloud pour qu’il maintienne automatiquement vos documents à jour sur tous vos appareils. Consultez la section iCloud à la page 16. Pour transférer des fichiers à l’aide d’iTunes : Connectez l’iPhone à votre ordinateur à l’aide du câble fourni. Sur votre ordinateur, sélectionnez l’iPhone dans iTunes, puis cliquez sur le bouton Apps. Utilisez la section Partage de fichiers pour transférer des documents entre l’iPhone et votre ordinateur. Les apps qui prennent en charge le partage de fichiers figurent sur iTunes parmi la liste des apps compatibles avec le partage de fichiers. Pour supprimer un fichier, sélectionnez-le dans la liste Fichiers, puis appuyez sur la touche Supprimer. Fonctionnalités de sécurité Diverses fonctionnalités de sécurité protègent les informations qui se trouvent sur l’iPhone contre l’accès par des personnes non autorisées. Codes secrets et protection des données Par mesure de sécurité, vous pouvez définir un code à saisir chaque fois que vous allumez ou réactivez l’iPhone ou quand vous accédez aux réglages de verrouillage par code. La configuration d’un code active la protection des données, qui utilise votre code comme clé de chiffrement des messages électroniques et des pièces jointes stockés sur l’iPhone. (Certaines apps disponibles dans l’App Store utilisent également la protection des données.) Une mention située au bas de l’écran Verrouillage par code dans Réglages indique que la protection des données est activée. Important : Sur un iPhone 3GS non fourni avec iOS 4 ou une version ultérieure, vous devez également restaurer le logiciel iOS pour activer la protection des données. Consultez la section Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPhone à la page 164. Pour définir un code : Accédez à Réglages > Général > Verrouillage par code, touchez Activer le code, puis saisissez un code à 4 chiffres. Pour utiliser un code plus sécurisé : Pour augmenter la sécurité, désactivez Code simple et utilisez un code plus long combinant chiffres, lettres, signes de ponctuation et caractères spéciaux. Pour déverrouiller l’iPhone lorsqu’il est protégé par un code à combinaison, vous devez saisir ce dernier à l’aide du clavier. Si vous préférez déverrouiller l’iPhone à l’aide du clavier numérique, vous pouvez configurer un code plus long ne comportant que des chiffres. Pour empêcher l’accès à Siri lorsque l’iPhone est verrouillé : Accédez à Réglages > Général > Verrouillage par code, puis désactivez Siri.Chapitre 3 Notions élémentaires 37 Pour désactiver la composition vocale lorsque l’iPhone est verrouillé : Accédez à Réglages > Général > Verrouillage par code, puis désactivez Composition vocale. (Disponible uniquement lorsque Siri est désactivé dans Réglages > Général > Siri.) Consultez la section Verrouillage par code à la page 147. Localiser mon iPhone Localiser mon iPhone peut vous aider à situer et à protéger votre iPhone en utilisant un autre iPhone, iPad ou iPod touch avec l’app gratuite Localiser mon iPhone, ou un Mac ou PC avec un navigateur web connecté à www.icloud.com. Localiser mon iPhone inclut : • Faire sonner : Émet un son pendant deux minutes. • Mode Perdu : Vous pouvez immédiatement verrouiller l’iPhone perdu à l’aide d’un code et lui envoyer un message affichant un numéro de contact. L’iPhone suit et signale également son emplacement, ce qui vous permet de voir son parcours dans l’app Localiser mon iPhone. • Effacer l’iPhone : Préserve votre confidentialité en effaçant toutes les informations et données de votre iPhone et en rétablissant ses réglages d’origine. Important : Pour pouvoir utiliser ces fonctionnalités, Localiser mon iPhone doit avoir été activé dans les réglages iCloud de votre iPhone avant que celui-ci n’ait été perdu. De plus, il doit être connecté à Internet. Pour activer Localiser mon iPhone : Accédez à Réglages > iCloud, puis activez Localiser mon iPhone. Batterie L’iPhone est doté d’une batterie interne rechargeable au lithium-ion. Pour en savoir plus sur la batterie et découvrir des conseils pour prolonger sa durée de vie, consultez la page www.apple.com/fr/batteries. AVERTISSEMENT : Pour obtenir des informations importantes de sécurité sur la batterie et la recharge de l’iPhone, consultez la section Informations importantes concernant la sécurité à la page 157. Pour recharger la batterie : Branchez l’iPhone sur une prise secteur à l’aide du câble et de l’adaptateur secteur USB inclus. Remarque : Le branchement de l’iPhone sur une prise secteur peut lancer une sauvegarde iCloud ou une synchronisation iTunes sans fil. Consultez les sections Sauvegarde de l’iPhone à la page 162 et Synchronisation avec iTunes à la page 17.Chapitre 3 Notions élémentaires 38 Pour recharger la batterie et synchroniser l’iPhone à l’aide d’un ordinateur : Connectez l’iPhone à votre ordinateur à l’aide du câble fourni. Vous pouvez également connecter l’iPhone à votre ordinateur à l’aide du câble fourni et de la station d’accueil vendue séparément. À moins que votre clavier ne dispose d’un port USB 2.0 ou 3.0 à forte alimentation, vous devez connecter votre iPhone à un port USB 2.0 ou 3.0 de votre ordinateur. Important : Il est possible que la batterie de l’iPhone se décharge si l’iPhone est connecté à un ordinateur éteint, en mode de veille ou en suspension d’activité. L’icône représentant une batterie située dans le coin supérieur droit de l’écran indique le niveau de charge ou la progression de l’opération de recharge de la batterie. Charge en cours Charge en cours Chargé Chargé Pour afficher le pourcentage de charge de la batterie : Accédez à Réglages > Général > Utilisation, et activez le réglage sous Niveau de la batterie. Si vous chargez la batterie pendant qu’une synchronisation est en cours ou que vous utilisez l’iPhone, l’opération peut prendre plus de temps. Important : Si le niveau de la batterie de l’iPhone est très faible, l’une des images suivantes peut s’afficher pour indiquer que l’iPhone ne pourra être utilisé qu’après dix minutes de recharge. Si le niveau de la batterie de l’iPhone est extrêmement faible, il se peut que l’écran reste éteint. Jusqu’à deux minutes peuvent s’écouler avant qu’apparaisse l’une des images de faible charge. ouou Le nombre de cycles de recharge des batteries rechargeables reste limité et il peut s’avérer nécessaire de les remplacer. Pour remplacer la batterie : La batterie de l’iPhone ne peut pas être remplacée par l’utilisateur ; elle ne peut l’être que par un centre de service agréé. Consultez http://www.apple.com/fr/batteries/replacements.html.4 39 Qu’est-ce que Siri ? Siri est l’assistant personnel intelligent qui vous aide à accomplir des tâches ; il vous suffit de parler. Siri comprend la parole naturelle, ce qui vous évite d’apprendre des commandes spécifiques ou de retenir des mots-clés. Vous pouvez demander l’exécution de tâches de plusieurs manières. Par exemple, vous pouvez dire « Définir l’alarme pour 6 h 30 » ou « Me réveiller à 6 h 30 du matin ». Dans tous les cas, Siri comprend l’instruction. AVERTISSEMENT : Pour obtenir des informations importantes sur la concentration en voiture, consultez la section Informations importantes concernant la sécurité à la page 157. Remarque : Siri est disponible sur l’iPhone 4S et les modèles ultérieurs, et nécessite un accès à Internet. Des frais de données cellulaires peuvent s’appliquer. Siri vous permet d’écrire et d’envoyer un message, planifier une réunion, effectuer un appel téléphonique, obtenir une direction, définir un rappel, effectuer des recherches sur le Web, et beaucoup plus encore, simplement en parlant naturellement. Siri pose une question si une clarification ou plus d’informations sont requises. Siri utilise également des informations provenant de vos contacts, votre bibliothèque de musique, vos calendriers, vos rappels, etc. pour comprendre ce que vous dites. Siri fonctionne en toute facilité avec la plupart des apps intégrées sur l’iPhone. Par ailleurs, il utilise les Services de localisation et de Recherche lorsque nécessaire. Vous pouvez également demander à Siri d’ouvrir une app pour vous. Ce que vous pouvez demander à Siri est infini ! En voici quelques exemples, pour les débutants : • Appeler Jean • Définir le minuteur pour se déclencher dans 30 minutes • Itinéraire jusqu’à l’Apple Store le plus proche • Pleuvra-t-il demain ? • Ouvrir Passbook • Publier sur Facebook • Tweet Utilisation de Siri Démarrage de Siri Siri s’active grâce à un bouton. Pour démarrer Siri : Appuyez sur le bouton principal jusqu’à l’apparition de Siri. Si vous n’avez pas activé Siri lorsque vous avez configuré l’iPhone, accédez à Réglages > Général > Siri. SiriChapitre 4 Siri 40 Deux signaux sonores retentissent et le message « Que puis-je faire pour vous ? » s’affiche à l’écran. Commencez à parler. L’icône du microphone s’allume pour indiquer que Siri entend ce que vous dites. Après avoir commencé un dialogue avec Siri, touchez l’icône du microphone pour échanger un nouveau dialogue. Siri attend la fin de votre énoncé, mais vous pouvez également toucher l’icône du microphone pour indiquer à Siri que vous avez terminé. Cette fonction est utile lorsqu’il y a de nombreux bruits de fond. Elle permet également d’accélérer votre conversation avec Siri, puisque Siri n’est pas obligé d’attendre que vous arrêtiez de parler. Lorsque vous arrêtez de parler, Siri affiche ce qu’il a entendu et fournit une réponse. Le plus souvent, Siri inclut des informations associées qui peuvent être utiles. Si les informations concernent une app, par exemple, un message texte que vous avez rédigé ou un emplacement que vous avez demandé, il suffit de toucher l’écran pour ouvrir l’app afin d’avoir les détails et d’autres actions. Ce que Siri vous a entendu énoncer Ce que Siri vous a entendu énoncer Touchez pour parler à Siri. Touchez pour parler à Siri. Réponse de Siri Réponse de Siri Infos associées : touchez pour ouvrir l’app. Infos associées : touchez pour ouvrir l’app. Siri peut vous demander une clarification pour pouvoir fournir une réponse. Par exemple, dites à Siri « Me rappeler d’appeler ma mère » et Siri peut vous demander « À quelle heure voulez-vous que je déclenche le rappel ? » Pour annuler une requête : Dites « Annuler », touchez , ou appuyez sur le bouton principal . Pour mettre fin à un appel téléphonique que vous avez passé avec Siri : Avant l’ouverture de l’app Téléphone, appuyez sur le bouton principal . Si l’app Téléphone est déjà ouverte, touchez Terminer.Chapitre 4 Siri 41 Informations personnelles données à Siri Plus Siri vous connaît, plus il peut utiliser les informations vous concernant pour vous aider. Siri récupère les informations vous concernant à partir de votre fiche d’informations personnelles (« Mes infos ») dans Contacts. Pour indiquer à Siri qui vous êtes : Accédez à Réglages > Général > Siri > Mes infos, puis touchez votre nom. Indiquez votre adresse personnelle et votre adresse professionnelle sur la fiche, afin de pouvoir dire des phrases telles que « Comment rentrer à la maison ? » ou « Me rappeler d’appeler Boris lorsque j’arrive au travail ». Siri s’intéresse également aux personnes importantes dans votre vie. Indiquez donc ces relations sur votre fiche d’informations personnelle et Siri pourra vous aider. Par exemple, la première fois que vous demandez à Siri d’appeler votre sœur, Siri vous demande son identité (si cette information ne figure pas encore sur votre carte). Siri ajoute cette relation sur votre carte d’informations personnelle afin de ne plus demander cette information la prochaine fois. Créez des fiches dans Contacts pour toutes vos relations importantes et fournissez des informations telles que les numéros de téléphone, les adresses électroniques, les adresses personnelles et professionnelles ou les surnoms qui vous sont familiers. Guide à l’écran Siri vous donne des exemples de demandes, directement à l’écran. Dites « Que peux-tu faire ? » ou touchez lorsque Siri s’affiche la première fois. Siri affiche une liste des apps prises en charge, avec un exemple de demande. Touchez un élément dans la liste pour obtenir plus d’exemples. Élever pour parler Commencez à discuter avec Siri en collant l’iPhone contre votre oreille, comme si vous alliez effectuer un appel. Si l’écran n’est pas allumé, appuyez d’abord sur le bouton Marche/Veille ou sur le bouton principal. Deux signaux sonores retentissent pour indiquer que Siri écoute. Commencez alors à parler. Pour activer Élever pour parler : Accédez à Réglages > Général > Siri.Chapitre 4 Siri 42 Si Siri ne répond pas lorsque vous collez l’iPhone contre votre oreille, commencez par placer l’écran en face de vous, de manière à orienter votre main vers le haut. Siri en mains libres Vous pouvez utiliser Siri avec les écouteurs fournis avec l’iPhone et avec d’autres écouteurs Bluetooth ou à fil compatibles. Pour parler à Siri à l’aide d’écouteurs : Appuyez et maintenez le doigt sur le bouton central (ou le bouton appel sur un casque Bluetooth). Pour continuer une conversation avec Siri, maintenez le bouton enfoncé chaque fois que vous souhaitez parler. Lorsque vous utilisez des écouteurs, Siri vous énonce les réponses. Siri répète à haute voix les messages textes et les courriers électroniques que vous avez dictés avant de les envoyer. Cela vous permet de modifier le message si vous le souhaitez. Siri répète également les objets de rappels avant de les créer. Service de localisation Étant donné que Siri connaît les emplacements (iPhone 4S ou ultérieur) sous les termes « actuel », « domicile » et « bureau », il peut vous rappeler d’effectuer certaines tâches lorsque vous quittez un emplacement ou que vous y arrivez. Dites « Me rappeler d’appeler ma fille lorsque je quitte le bureau » et Siri exécute cette demande. Les informations de localisation ne sont pas suivies ni stockées en dehors de l’iPhone. Vous pouvez toujours utiliser Siri si vous désactivez le Service de localisation, mais Siri n’exécute aucune tâche qui nécessite des informations liées à la localisation. Pour désactiver le Service de localisation pour Siri : Accédez à Réglages > Confidentialité > Service de localisation. Accessibilité Siri est accessible pour les aveugles et les malvoyants grâce à VoiceOver, le lecteur d’écran inté- gré dans iOS. VoiceOver décrit à haute voix les informations présentées à l’écran, notamment les textes constituant les réponses de Siri, ce qui vous permet d’utiliser l’iPhone sans le regarder. Pour activer VoiceOver : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité. L’activation de VoiceOver permet la lecture à haute voix, même de vos notifications. Pour en savoir plus, consultez la section VoiceOver à la page 123.Chapitre 4 Siri 43 Configuration des options de Siri Pour activer ou désactiver Siri : Accédez à Réglages > Général > Siri. Remarque : La désactivation de Siri implique sa réinitialisation ; Siri oublie les informations acquises concernant votre voix. Pour régler les options de Siri : Accédez à Réglages > Général > Siri. • Langue : Sélectionnez la langue que vous souhaitez utiliser avec Siri. • Retour vocal : Par défaut, Siri énonce ses réponses uniquement lorsque vous maintenez l’iPhone contre votre oreille ou utilisez l’app avec des écouteurs. Si vous souhaitez programmer Siri de manière à toujours énoncer ses réponses, définissez cette option sur Toujours. • Mes infos : Indiquez à Siri la fiche dans Contacts qui contient vos informations personnelles. Consultez la section Informations personnelles données à Siri à la page 41. • Élever pour parler : Parlez avec Siri en collant votre iPhone à votre oreille lorsque l’écran est activé. Pour activer ou désactiver cette fonctionnalité, accédez à Réglages > Général > Siri. Pour autoriser ou empêcher l’accès à Siri lorsque l’iPhone est verrouillé à l’aide d’un code : Accédez à Réglages > Général > Verrouillage par code. Vous pouvez également désactiver Siri en activant les restrictions. Consultez la section Restrictions à la page 148. Restaurants Siri collabore avec Yelp, OpenTable et d’autres apps pour vous offrir des informations sur les restaurants et vous aider à faire une réservation. Demandez à trouver des restaurants en les classant par type de cuisine, prix, lieu, disponibilité de tables en extérieur ou en combinant ces options. Siri peut vous montrer les photos disponibles, les étoiles Yelp, la fourchette de prix et les avis. Accédez à plus d’informations en utilisant les apps Yelp et OpenTable. L’iPhone vous invite à les télécharger si vous ne les avez pas encore installées. Pour afficher des informations détaillées sur un restaurant : Touchez un restaurant suggéré par Siri. Trouvez l’emplacement dans Plans. Trouvez l’emplacement dans Plans. Consultez les avis Yelp. Consultez les avis Yelp. Appelez le restaurant. Appelez le restaurant. Consultez le site web. Consultez le site web. Effectuez une réservation avec OpenTable. Effectuez une réservation avec OpenTable.Chapitre 4 Siri 44 Films Demandez à Siri quels films sont actuellement sur les écrans, ou demandez-lui de trouver un cinéma pour voir un film en particulier. Découvrez quand a eu lieu la première d’un film, qui en est le directeur et quelles sont les récompenses obtenues. Siri fournit des adresses de cinémas, des horaires et des avis de Rotten Tomato. Pour afficher des informations détaillées sur un film : Touchez un film suggéré par Siri. Obtenez des informations sur les cinémas et les horaires des séances. Obtenez des informations sur les cinémas et les horaires des séances. Regardez la bande-annonce. Regardez la bande-annonce. Lisez les avis de Rotten Tomatoes. Lisez les avis de Rotten Tomatoes. Sports Siri en connait un rayon sur de nombreux sports, comme le baseball, le football, le soccer et le hockey. Demandez à Siri les horaires de matchs, les résultats des matchs de la saison en cours ou les résultats en temps réel des matchs en direct. Dites à Siri de vous montrer les statistiques des joueurs et de les comparer entre elles. Siri suit également les records des équipes. Voici quelques exemples de ce que vous pouvez demander à Siri : • Quel était le résultat du dernier match des Giants ? • Quel est le rang de la National League ? • Quand se déroule le premier match des Chicago Cubs de la saison ? Dictée Lorsque la fonctionnalité Siri est activée, vous pouvez également dicter du texte. Consultez la section Dictée à la page 27. Même si vous pouvez rédiger des courriers électroniques, des messages textes et d’autres textes en parlant directement avec Siri, vous préférez peut-être la dictée. La dictée vous permet d’éditer un message au lieu de remplacer l’ensemble du texte. La dictée vous donne également plus de temps pour réfléchir lors de la rédaction. Siri comprend les pauses comme une finalisation de l’énoncé et profite de cette opportunité pour répondre. Même si cela vous permet d’avoir une conversation naturelle avec Siri, il peut vous interrompre avant que vous n’ayez réellement terminé si la pause est trop longue. Avec la dictée, vous pouvez effectuer autant de pauses que vous le souhaitez et reprendre la parole lorsque vous êtes prêt.Chapitre 4 Siri 45 Vous pouvez également commencer à rédiger un texte à l’aide de Siri, puis continuer à l’aide de la dictée. Par exemple, vous pouvez créer un courrier électronique avec Siri, puis toucher le brouillon pour ouvrir le message dans Mail. Dans Mail, vous pouvez terminer ou éditer le message ou apporter d’autres modifications, par exemple l’ajout ou le retrait de destinataires, la révision de l’objet ou la modification du compte à partir duquel vous envoyez le courrier électronique. Correction de Siri Si Siri rencontre des problèmes Il arrive parfois que Siri ne parvienne pas à vous comprendre, par exemple dans un environnement bruyant. Si vous avez un accent, cela peut prendre du temps à Siri pour se familiariser avec votre voix. Si Siri ne vous entend pas parfaitement, vous pouvez apporter des corrections. Siri affiche ce qu’il a entendu et fournit une réponse. Pour corriger ce que Siri entend : Touchez la bulle indiquant ce que Siri a entendu. Modifiez votre requête par la saisie ou touchez sur le clavier pour dicter. Pour en savoir plus sur l’utilisation de la dictée, consultez la section Dictée à la page 44. Si une partie du texte est surlignée en bleu, touchez-la et Siri propose des alternatives. Touchez une des suggestions ou remplacez le texte par la saisie ou la dictée. Pour corriger Siri par la voix : Touchez , puis répétez ou clarifiez votre demande. Par exemple « Je voulais dire Boston ». Lorsque vous corrigez Siri, ne dites pas ce que vous ne souhaitez pas, dites simplement ce que vous souhaitez vraiment. Pour corriger un courrier électronique ou un message texte : Si Siri vous demande si vous souhaitez envoyer le message, vous pouvez dire par exemple : • Remplacer par : Appelle-moi demain. • Ajouter : On se voit là-bas point d’interrogation. • Non, l’envoyer à Bob. • Non. (pour conserver le message sans l’envoyer) • Annuler. Pour demander à Siri de vous lire le message, dites « Relire le message » ou « Me lire le message ». Si le message est correct, dites une phrase telle que « Oui, l’envoyer ». Environnements bruyants Dans un environnement bruyant, maintenez l’iPhone contre votre bouche, mais ne parlez pas directement sur le bord inférieur. Continuez à parler clairement et de manière naturelle. Touchez lorsque vous avez fini de parler. Vous pouvez également essayer de coller l’iPhone contre votre oreille pour parler à Siri. Connexion réseau Siri peut vous indiquer qu’il rencontre des problèmes de connexion réseau. En raison de la dépendance de Siri aux serveurs Apple pour la reconnaissance de voix et d’autres services, vous devez disposer d’une connexion cellulaire 3G, 4G ou LTE de bonne qualité ou une connexion Wi-Fi à Internet. 5 46 Appels téléphoniques Émission d’appels Pour émettre un appel sur l’iPhone, il suffit de toucher un nom ou un numéro dans vos contacts, d’utiliser Siri en disant « Appeler Bob » (iPhone 4S ou ultérieur), de toucher l’un de vos favoris ou de toucher un appel récent pour rappeler. Appelez l’un de vos favoris d’un seul toucher. Appelez l’un de vos favoris d’un seul toucher. Affichez vos appels entrants et sortants récents pour rappeler quelqu’un ou obtenir plus d’informations. La pastille rouge indique le nombre d’appels manqués. Affichez vos appels entrants et sortants récents pour rappeler quelqu’un ou obtenir plus d’informations. La pastille rouge indique le nombre d’appels manqués. Appelez, envoyez des courriers électroniques ou des messages texte à un contact dans votre liste. Appelez, envoyez des courriers électroniques ou des messages texte à un contact dans votre liste. Composez manuellement un numéro. Composez manuellement un numéro. Affichez une liste de vos messages vocaux. Affichez une liste de vos messages vocaux. AVERTISSEMENT : Pour obtenir des informations importantes sur la concentration, consultez la section Informations importantes concernant la sécurité à la page 157. Les boutons situés au bas de l’écran de Téléphone permettent un accès rapide à vos favoris, aux appels récents, à vos contacts et à un clavier numérique permettant de composer manuellement. TéléphoneChapitre 5 Téléphone 47 Pour composer un numéro manuellement : Touchez Clavier et saisissez le numéro, puis touchez Appel. • Pour coller un numéro dans le clavier : Touchez l’écran situé au-dessus du clavier, puis touchez Coller. • Pour entrer une pause logicielle (2 secondes) : Touchez « * » jusqu’à l’apparition d’une virgule. • Pour entrer une pause matérielle (afin de suspendre la composition jusqu’à ce que vous touchiez le bouton Composer) : Touchez « # » jusqu’à l’apparition d’un point-virgule. • Pour composer à nouveau le dernier numéro : Touchez Clavier, touchez Appeler pour afficher le numéro, puis touchez à nouveau Appeler. Pour ajouter un contact aux favoris : Dans Contacts, touchez « Ajouter aux favoris » au bas de la fiche d’un contact. Pour supprimer ou réorganiser votre liste de favoris, touchez Modifier. Pour utiliser Siri ou Contrôle vocal : Maintenez enfoncé le bouton principal , dites appeler ou composer, puis énoncez le nom ou le numéro. Vous pouvez ajouter à la maison, au bureau ou mobile. Consultez les sections Chapitre 4, Siri, à la page 39 et Contrôle vocal à la page 28. Pour de meilleurs résultats, dites le nom complet de la personne que vous voulez appeler. Lorsque vous composez un numéro vocalement, dites chaque chiffre séparément, par exemple, quatre un cinq, cinq cinq cinq, un deux un deux. Pour l’indicatif régional « 800 » des États-Unis, vous pouvez dire huit cents. Réception d’appels Pour répondre à un appel : Touchez Répondre. Si l’iPhone est verrouillé, faites glisser le curseur. Vous pouvez également appuyer sur le bouton central de vos écouteurs. Pour ignorer un appel : Appuyez sur le bouton Marche/Veille ou sur l’un des boutons de volume. Vous pouvez toujours répondre à l’appel après l’avoir ignoré, jusqu’à ce qu’il bascule sur la messagerie vocale. Pour répondre à un appel entrant avec un message texte : Balayez vers le haut, touchez « Répondre avec message », puis choisissez une réponse ou touchez Personnalisé. Pour créer vos propres réponses par défaut, accédez à Réglages > Téléphone > « Répondre avec message » et remplacez un des messages par défaut. Pour vous souvenir de rappeler quelqu’un : Balayez vers le haut, touchez Me rappeler plus tard, puis choisissez le moment du rappel. Pour refuser un appel et l’envoyer directement vers la messagerie vocale : Effectuez l’une des opérations suivantes : • Appuyez deux fois rapidement sur le bouton Marche/Veille. • Appuyez sur le bouton central des écouteurs et maintenez-le enfoncé pendant environ deux secondes. Deux bips de faible intensité confirment que l’appel a été refusé. • Touchez Refuser (si l’iPhone est en mode veille à l’arrivée de l’appel).Chapitre 5 Téléphone 48 Pour bloquer les appels et conserver un accès Wi-Fi à Internet : Accédez à Réglages et activez Mode Avion, puis touchez Wi-Fi pour l’activer. Pour régler l’iPhone sur Ne pas déranger ( ) : Accédez à Réglages et activez Ne pas déranger. Consultez la section Ne pas déranger et Notifications à la page 142. Lorsque l’iPhone est éteint, en mode Avion ou réglé sur Ne pas déranger, les appels entrants sont directement dirigés vers la messagerie vocale. En cours d’appel Lorsqu’un appel est en cours, l’écran affiche les options d’appel. Mettez votre ligne en mode Silence. iPhone 4 ou ultérieur : Touchez et maintenez enfoncé pour mettre votre appel en attente. Mettez votre ligne en mode Silence. iPhone 4 ou ultérieur : Touchez et maintenez enfoncé pour mettre votre appel en attente. Composez un numéro. Composez un numéro. Utilisez le haut-parleur ou un appareil Bluetooth. Utilisez le haut-parleur ou un appareil Bluetooth. Obtenez des informations de contact. Obtenez des informations de contact. Passez un appel FaceTime. Passez un appel FaceTime. Passez un autre appel. Passez un autre appel. Pour utiliser une autre app au cours d’un appel : Appuyez sur le bouton principal , puis ouvrez l’app. Pour revenir à l’appel, touchez la barre verte située en haut de l’écran. Pour mettre fin à un appel : Touchez Fin. Sinon, appuyez sur le bouton central des écouteurs. Pour répondre à un second appel entrant : • Pour ignorer l’appel et le transférer vers la messagerie vocale : touchez Ignorer. • Pour mettre le premier appel en attente et répondre au nouvel appel : touchez Suspendre et répondre. • Pour mettre fin au premier appel et répondre au nouvel appel : Sur un réseau GSM, touchez Raccr. et répondre. Sur un réseau CDMA, touchez Raccrocher et, lorsque le second appel recommence à sonner, touchez Répondre ou faites glisser le curseur si le téléphone est verrouillé. Pendant un appel vidéo FaceTime, vous pouvez mettre fin à l’appel vidéo pour répondre à un appel entrant, ou refuser ce dernier. Pour passer d’un appel à un autre : Touchez Permuter. L’appel actif est mis en attente. Avec le CDMA, vous ne pouvez pas basculer entre appels si le second appel était sortant, mais vous pouvez fusionner les appels. Si vous mettez fin au deuxième appel ou à l’appel fusionné, les deux appels sont terminés. Pour fusionner des appels : Touchez Conférence. Avec le CDMA, vous ne pouvez pas fusionner les appels si le second appel était entrant.Chapitre 5 Téléphone 49 Conférences téléphoniques Avec le GSM, vous pouvez organiser une conférence avec un maximum de cinq personnes à la fois, suivant votre opérateur. Pour créer une conférence téléphonique : Pendant un appel, touchez Nouvel appel, passez un autre appel, puis touchez Conférence. Répétez l’opération pour ajouter d’autres personnes à la conférence. • Pour retirer une personne : Touchez Conférence, en regard d’une personne, puis Raccrocher. • Pour parler en privé à une personne : Touchez Conférence, puis Privé en regard de la personne. Touchez Conférence pour reprendre la conférence. • Pour ajouter un appelant : Touchez Suspendre et Répondre, puis Conférence. Remarque : Il est impossible de passer un appel vidéo FaceTime pendant une conférence. Utilisation d’un appareil Bluetooth Pour en savoir plus sur l’utilisation d’un appareil Bluetooth, reportez-vous à la documentation fournie avec l’appareil. Consultez la section Jumelage d’appareils Bluetooth à la page 35. Pour ignorer l’appareil Bluetooth : • Répondez à un appel en touchant l’écran de l’iPhone. • Au cours d’un appel, touchez Audio puis choisissez iPhone ou Haut-parleur. • Désactivez Bluetooth dans Réglages > Bluetooth. • Éteignez l’appareil Bluetooth ou déplacez-vous hors de portée. Vous devez vous situer à moins d’une dizaine de mètres d’un appareil Bluetooth pour qu’il puisse être connecté à l’iPhone. Appels d’urgence Pour passer un appel d’urgence lorsque l’iPhone est verrouillé : Sur l’écran Saisissez le code, touchez Appel d’urgence. Important : L’iPhone peut être utilisé pour passer un appel d’urgence dans de nombreux endroits, si toutefois le service cellulaire est disponible, mais il ne saurait être perçu comme un moyen de communication sûr en cas d’urgence. Certains réseaux cellulaires peuvent ne pas accepter un appel d’urgence provenant de l’iPhone si l’iPhone n’est pas activé, si l’iPhone n’est pas compatible avec un réseau cellulaire particulier ou n’est pas configuré pour fonctionner sur celui-ci, ou (le cas échéant) si l’iPhone ne dispose pas d’une carte SIM ou si celle-ci est verrouillée par un code PIN. Aux États-Unis, des informations de localisation (le cas échéant) sont transmises aux fournisseurs des services d’urgence si vous composez le 911. Avec le CDMA, à la fin d’un appel d’urgence, l’iPhone passe en mode d’appel d’urgence pendant quelques minutes pour permettre aux services d’urgence de vous rappeler. Pendant ce temps, les transmissions de données et les messages texte sont bloqués. Pour sortir du mode d’appel d’urgence (CDMA) : Effectuez l’une des opérations suivantes : • Touchez le bouton de retour. • Appuyez sur le bouton Marche/Veille ou sur le bouton principal . • Utilisez le clavier numérique pour composer un numéro autre qu’un numéro d’urgence.Chapitre 5 Téléphone 50 FaceTime Avec l’iPhone 4 ou ultérieur, vous pouvez passer un appel vidéo à n’importe quel utilisateur doté d’un Mac ou d’un autre appareil iOS compatible FaceTime. La caméra FaceTime vous permet de parler en face à face. Sinon, passez à la caméra iSight située derrière pour partager ce que vous voyez autour de vous. Remarque : Vous devez disposer d’une connexion Wi-Fi à Internet avec un iPhone 3GS ou un iPhone 4. Sur l’iPhone 4S ou ultérieur, vous pouvez également passer des appels FaceTime par le biais d’une connexion de données cellulaires. Des frais de données cellulaires peuvent s’appliquer. Pour désactiver FaceTime s’utilisant avec des données cellulaires, accédez à Réglages > Général > Cellulaire. Pour passer un appel FaceTime : Dans Contacts, choisissez un nom, touchez FaceTime, puis touchez le numéro de téléphone ou l’adresse électronique que la personne utilise pour FaceTime. Pour appeler une personne qui dispose d’un iPhone 4 ou ultérieur, vous pouvez commencer par passer un appel vocal puis toucher FaceTime. Basculez entre les caméras. Basculez entre les caméras. Faites glisser votre image vers n’importe quel coin. Faites glisser votre image vers n’importe quel coin. Silence (vous pouvez entendre et voir ; l’interlocuteur peut voir, mais pas entendre). Silence (vous pouvez entendre et voir ; l’interlocuteur peut voir, mais pas entendre). Remarque : Avec FaceTime, votre numéro de téléphone est affiché même si vous avez bloqué ou désactivé la fonction d’identification de l’appelant. Pour utiliser Siri ou Contrôle vocal : Maintenez enfoncé le bouton principal , dites « FaceTime », puis le nom de la personne à appeler. Pour définir les options FaceTime : Accédez à Réglages > FaceTime pour : • activer ou désactiver FaceTime ; • préciser votre identifiant Apple ou une adresse électronique pour recevoir des appels FaceTime. Messagerie vocale visuelle La messagerie vocale visuelle vous permet d’afficher la liste de vos messages et de choisir lesquels écouter ou supprimer sans avoir à écouter les instructions ou les messages précédents. La pastille affichée sur l’icône de la messagerie vocale indique le nombre de messages que vous n’avez pas écoutés. Pour configurer la messagerie vocale visuelle : La première fois que vous touchez Messagerie, vous êtes invité à créer un mot de passe pour votre messagerie et à enregistrer votre annonce d’accueil.Chapitre 5 Téléphone 51 Pour consulter la messagerie vocale : Touchez Messagerie, puis touchez un message. Pour réé- couter un message, sélectionnez-le, puis touchez . Si votre service ne propose pas la messagerie vocale visuelle, touchez Messagerie et suivez les instructions vocales. Pour consulter la messagerie vocale à partir d’un autre téléphone : Composez votre propre numéro ou le numéro d’accès distant de votre opérateur. Faites glisser la tête de lecture pour passer directement à n’importe quel endroit d’un message. Faites glisser la tête de lecture pour passer directement à n’importe quel endroit d’un message. Messages non écoutés Messages non écoutés Lecture/pause Lecture/pause Informations de contact Informations de contact Haut-parleur (Audio, lorsqu’un appareil Bluetooth est connecté. Touchez pour choisir la sortie audio.) Haut-parleur (Audio, lorsqu’un appareil Bluetooth est connecté. Touchez pour choisir la sortie audio.) Rappelez. Rappelez. Les messages sont conservés jusqu’à ce que vous les supprimiez ou que votre opérateur les efface. Pour supprimer des messages : Balayez ou touchez le message, puis touchez Supprimer. Remarque : Dans certaines régions, les messages supprimés peuvent être définitivement effacés par votre opérateur. Pour gérer les messages supprimés : Touchez Messages supprimés (à la fin de la liste des messages), puis : • Pour écouter un message supprimé : Touchez le message. • Pour restaurer un message : Touchez le message, puis Restaurer. • Pour supprimer définitivement des messages : Touchez Tout effacer. Pour modifier votre annonce d’accueil : Touchez Messagerie, Annonce, Personnalisé, Enregistrer, puis dites votre annonce d’accueil. Pour utiliser l’annonce d’accueil générique de votre opérateur, vous pouvez également toucher Par défaut. Pour définir un son d’alerte pour les nouveaux messages vocaux : Accédez à Réglages > Sons, puis touchez Nouv. message vocal. Remarque : Si le commutateur Sonnerie/Silence est désactivé, l’iPhone ne produira aucun son d’alerte. Pour modifier le mot de passe de votre messagerie vocale : Accédez à Réglages > Téléphone > Code secret de messagerie. Contacts Depuis l’écran d’informations d’un contact, vous pouvez rapidement passer un appel, créer un message électronique, localiser l’adresse du contact, etc. Consultez la section Chapitre 25, Contacts, à la page 108.Chapitre 5 Téléphone 52 Renvoi d’appel, signal d’appel et identifiant de l’appelant Les informations suivantes s’appliquent seulement aux réseaux GSM. Dans le cas des réseaux CDMA, contactez votre opérateur pour obtenir des informations sur l’activation et l’utilisation de ces fonctionnalités. Consultez la page support.apple.com/kb/HT4486?viewlocale=fr_FR. Pour activer ou désactiver le renvoi d’appel : Accédez à Réglages > Téléphone > Renvoi d’appel. L’icône Renvoi d’appel ( ) apparaît dans la barre d’état lorsque le renvoi d’appel est activé. Vous devez être à portée du réseau cellulaire lorsque vous réglez l’iPhone pour le transfert d’appel, sinon les appels ne seront pas transférés. Les appels FaceTime ne sont pas transférés. Pour activer ou désactiver le signal d’appel : Accédez à Réglages > Téléphone > Signal d’appel. Si vous êtes au téléphone et que Signal d’appel est désactivé, les appels entrants sont dirigés vers la messagerie vocale. Pour activer ou désactiver l’identification de l’appelant : Accédez à Réglages > Téléphone > Afficher mon numéro. Remarque : Pour les appels FaceTime, votre numéro de téléphone est affiché même si vous avez désactivé la fonction d’identification de l’appelant. Sonneries, commutateur Sonnerie/Silence et vibration L’iPhone est livré avec des sonneries pour les appels entrants, les alarmes d’Horloge et le minuteur d’Horloge. Vous pouvez également acheter des sonneries à partir de morceaux sur iTunes. Consultez la section Chapitre 22, iTunes Store, à la page 102. Pour régler la sonnerie par défaut : Accédez à Réglages > Sons > Sonnerie. Pour activer et désactiver la sonnerie : Poussez le commutateur situé sur le côté de l’iPhone. Important : Les alarmes d’Horloge continuent à sonner même si vous réglez le commutateur Sonnerie/Silence sur Silence. Pour activer ou désactiver le mode vibration : Accédez à Réglages > Sons. Pour attribuer une sonnerie différente à un contact : Dans Contacts, choisissez un contact, touchez Modifier, puis touchez Sonnerie et choisissez une sonnerie. Pour en savoir plus, consultez la section Sons à la page 150. Appels internationaux Pour en savoir plus sur les appels internationaux à partir de votre zone d’origine, y compris les tarifs et autres frais applicables, contactez votre opérateur ou consultez son site web. À l’étranger, vous pouvez être en mesure d’utiliser l’iPhone pour passer des appels, envoyer et recevoir des messages texte et utiliser des apps requérant un accès à Internet, en fonction des réseaux disponibles. Pour activer l’itinérance : Contactez votre opérateur pour obtenir des informations sur la disponibilité du service et les tarifs appliqués. Important : Des frais d’itinérance voix, message texte et données peuvent s’appliquer. Pour éviter les frais pendant vos déplacements, désactivez Voix à l’étranger et Données à l’étranger.Chapitre 5 Téléphone 53 Si vous possédez un iPhone 4S ou ultérieur activé pour fonctionner sur un réseau CDMA, il est possible que vous puissiez utiliser des services à l’étranger sur des réseaux GSM si une carte SIM est installée dans le téléphone. Lors de l’utilisation des services à l’étranger sur un réseau GSM, l’iPhone a accès aux fonctionnalités du réseau GSM. Des frais peuvent s’appliquer. Contactez votre opérateur pour en savoir plus. Pour définir les options de réseau : Accédez à Réglages > Général > Cellulaire pour : • activer ou désactiver Données à l’étranger ; • activer ou désactiver Données cellulaires ; • activer ou désactiver Voix à l’étranger (CDMA) ; • utiliser des réseaux GSM à l’étranger (CDMA). Pour désactiver les services cellulaires : Accédez à Réglages, activez Mode Avion, touchez Wi-Fi, puis activez le Wi-Fi. Les appels entrants sont redirigés vers la messagerie vocale. Pour réactiver le service cellulaire, désactivez le mode Avion. Pour ajouter automatiquement le préfixe ou le code du pays pour les appels vers les ÉtatsUnis : (GSM) Accédez à Réglages > Téléphone, puis activez Dial Assist. Celle-ci vous permet d’utiliser vos contacts et vos favoris pour passer des appels lorsque vous êtes à l’étranger. Pour sélectionner un opérateur : Accédez à Réglages > Opérateur. Cette option n’est disponible que lorsque vous êtes en déplacement hors du réseau de votre fournisseur de services et pour les opérateurs disposant de contrats d’itinérance avec votre fournisseur. Consultez la section Opérateur à la page 144. Pour consulter la messagerie vocale lorsque la messagerie vocale visuelle n’est pas disponible : Composez votre propre numéro de téléphone (avec le CDMA, ajoutez # après votre numéro) ou maintenez le doigt sur la touche « 1 » du clavier numérique. Configuration d’options de Téléphone Accédez à Réglages > Téléphone pour : • afficher le numéro de téléphone de votre iPhone ; • modifier les réponses sous forme de messages texte par défaut pour les appels entrants ; • activer ou désactiver le renvoi d’appel, le signal d’appel et l’identification de l’appelant (GSM) ; • activer ou désactiver TTY ; • modifier votre mot de passe de messagerie vocale (GSM) ; • demander un code PIN pour déverrouiller votre carte SIM quand vous allumez l’iPhone (requis par certains opérateurs). Accédez à Réglages > FaceTime pour : • activer ou désactiver FaceTime ; • utiliser votre identifiant Apple pour FaceTime ; • ajouter une adresse électronique pour FaceTime ; • activer ou désactiver Données cellulaires. Accédez à Réglages > Sons pour : • régler les sonneries et le volume ; • définir des options de vibration ; • définir le son à émettre pour les nouveaux messages vocaux.6 54 Lecture de courriers électroniques Modifiez les boîtes aux lettres ou les comptes. Modifiez les boîtes aux lettres ou les comptes. Recherchez dans cette boîte aux lettres. Recherchez dans cette boîte aux lettres. VIP VIP Rédigez un message. Rédigez un message. Modifiez la taille de l’aperçu dans Réglages > Mail, Contacts, Calendrier. Modifiez la taille de l’aperçu dans Réglages > Mail, Contacts, Calendrier. Supprimez, déplacez ou marquez plusieurs messages. Supprimez, déplacez ou marquez plusieurs messages. Pour signaler un message ou le marquer comme non lu : Touchez . Pour marquer plusieurs messages à la fois, touchez Modifier dans la liste des messages. Pour identifier les messages qui vous sont spécifiquement adressés : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, puis activez ou désactivez l’option Vignettes À / Cc. Les messages avec votre adresse dans le champ À ou Cc sont signalés avec une icône dans la liste de messages. Pour afficher tous les destinataires d’un message : Touchez le mot Détails dans le champ De. Touchez un nom de destinataire ou une adresse électronique pour afficher les coordonnées du destinataire, ou ajoutez-les à Contacts ou à votre liste VIP. Pour empêcher le téléchargement des images : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, puis activez ou désactivez l’option Charger les images. Pour ouvrir un lien : Touchez le lien pour utiliser l’action par défaut, ou maintenez votre doigt dessus pour voir d’autres actions. Par exemple, dans le cas d’une adresse, vous pouvez afficher le lieu dans Plans ou l’ajouter à Contacts. Dans le cas d’un lien web, vous pouvez l’ajouter à la liste de lecture. Pour ouvrir une invitation à une réunion ou une pièce jointe : Touchez l’élément. Si la pièce jointe peut être ouverte par plusieurs apps, maintenez le doigt dessus pour choisir une app compatible avec le fichier. MailChapitre 6 Mail 55 Pour enregistrer une photo ou vidéo jointe : Touchez la photo ou la vidéo et maintenez votre doigt dessus, puis sélectionnez Enregistrer l’image ou la vidéo. Elle est alors enregistrée dans l’album Pellicule de l’app Photos. Pour charger de nouveaux messages : Tirez sur la liste de messages ou sur la boîte aux lettres pour rafraîchir la liste. • Pour définir le nombre de messages récupérés : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > Afficher. Pour désactiver les notifications de nouveau message pour un compte : Accédez à Réglages > Notifications > Mail > nom du compte, puis désactivez le Centre de notifications. Pour modifier les sons joués par Mail : Accédez à Réglages > Son. • Pour modifier les sons joués pour un nouveau message dans chaque compte : Accédez à Réglages > Notifications > Mail > nom de compte > Son de nouveau courrier. • Pour modifier les sons joués pour un nouveau message dans le compte VIP : Accédez à Réglages > Notifications > Mail > VIP > Son de nouveau courrier. Envoi de courrier électronique Touchez pour modifier les champs De, Cc ou Cci. Touchez pour modifier les champs De, Cc ou Cci. Modifiez votre signature dans Réglages > Mail, Contacts, Calendrier. Modifiez votre signature dans Réglages > Mail, Contacts, Calendrier. Touchez pour joindre une photo ou une vidéo. Touchez pour joindre une photo ou une vidéo. Pour rédiger un message : Touchez , puis saisissez un nom ou une adresse électronique. Après avoir saisi des destinataires, vous pouvez les faire glisser d’un champ à un autre, par exemple du champ À au champ Cc. Si vous possédez plusieurs comptes de courrier, touchez le champ De pour sélectionner le compte à partir duquel envoyer le message. Pour vous ajouter automatiquement en Cci dans les messages envoyés : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > M’ajouter en Cci. Pour enregistrer un brouillon d’un message : Touchez Annuler, puis Enregistrer. Le message est enregistré dans la boîte aux lettres Brouillons du compte. Touchez et maintenez le doigt dessus pour voir vos brouillons enregistrés. Pour répondre à un message : Touchez , puis touchez Répondre. Les fichiers ou images joints au message initial ne sont pas renvoyés. Pour inclure les pièces jointes, transférez le message plutôt que d’y répondre. Pour transférer un message : Ouvrez un message et touchez , puis touchez Transférer. Les pièces jointes du message sont également transférées. Pour citer une partie du message auquel vous répondez ou que vous transférez : Touchez le texte et maintenez le doigt dessus pour le sélectionner. Faites glisser les points d’accroche pour sélectionner le texte que vous souhaitez inclure dans votre réponse, puis touchez . • Pour modifier l’indentation : Sélectionnez le texte pour l’indentation, touchez au moins deux fois, puis touchez Indentation. • Pour augmenter automatiquement l’indentation : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier et activez Augmenter l’indentation.Chapitre 6 Mail 56 Pour envoyer une photo ou une vidéo dans un message : Touchez le point d’insertion pour afficher les boutons de sélection. Touchez , Insérer photo ou vidéo, puis choisissez une photo ou une vidéo dans un album. Vous pouvez également envoyer plusieurs photos par courrier électronique à l’aide de Photos : consultez la section Partage de photos et de vidéos à la page 78. Pour modifier votre signature de courrier électronique : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > Signature. Si vous avez plusieurs comptes de messagerie, touchez Par compte pour spécifier une signature différente pour chaque compte. Organisation du courrier électronique Pour afficher les messages des contacts VIP : Accédez à la liste de la boîte aux lettres, (touchez Boîtes aux lettres pour y accéder), puis touchez VIP. • Pour ajouter un contact à votre liste de VIP : Touchez le nom ou l’adresse de la personne dans le champ De, À ou Cc/Cci, puis touchez « Ajouter aux VIP ». Pour regrouper des messages associés : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, puis activez ou désactivez l’option Organiser par sujet. Pour rechercher des messages : Ouvrez une boîte aux lettres, faites-en défiler le contenu jusqu’au début, puis saisissez du texte dans le champ de recherche. Vous pouvez rechercher le champ De, À ou Objet dans la boîte aux lettres actuellement ouverte. Pour les comptes de messagerie qui prennent en charge la recherche de messages sur le serveur, touchez Tous pour rechercher De, À, Objet et le corps du message. Pour supprimer des messages : Si le message est ouvert, touchez . • Pour supprimer un message sans l’ouvrir : Balayez le titre du message, puis touchez Supprimer. • Pour supprimer plusieurs messages : Pendant la consultation de la liste de messages, touchez Modifier. • Pour désactiver la confirmation de suppression : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > Confirmer suppression. Pour récupérer un message : Accédez à la corbeille du compte, ouvrez le message, touchez , puis déplacez le message dans la boîte de réception du compte ou dans un autre dossier. • Pour définir la durée pendant laquelle les messages sont conservés dans la corbeille avant leur suppression définitive : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > nom de compte > Compte > Avancé. Pour activer ou désactiver l’archivage : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > nom de compte > Compte > Avancé. Lorsque vous archivez un message, il est déplacé vers la boîte aux lettres Tous les messages. Tous les comptes de messagerie ne gèrent pas l’archivage. Pour déplacer un message vers une autre boîte aux lettres : Pendant la consultation d’un message, touchez , puis choisissez une destination. Pour ajouter, renommer ou supprimer une boîte aux lettres : Dans la liste de la boîte aux lettres, touchez Modifier. Certaines boîtes aux lettres ne peuvent pas être renommées ou supprimées.Chapitre 6 Mail 57 Impression de messages et de pièces jointes Pour imprimer un message : Touchez , puis Imprimer. Pour imprimer une image dans le corps du texte : Touchez l’image et maintenez votre doigt dessus, puis touchez Enregistrer l’image. Ouvrez Photos et imprimez l’image à partir de votre album Pellicule. Pour imprimer une pièce jointe : Touchez la pièce jointe pour l’ouvrir dans Coup d’œil, puis touchez et touchez Imprimer. Pour en savoir plus sur l’impression, consultez la section Impression à l’aide d’AirPrint à la page 33. Comptes de messagerie et réglages Pour modifier les réglages de Mail et des comptes de courrier : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier. Vous pouvez configurer : • iCloud ; • Microsoft Exchange et Outlook ; • Google ; • Yahoo! ; • AOL ; • Microsoft Hotmail ; • d’autres comptes POP et IMAP. Les réglages varient en fonction du type de compte que vous configurez. Votre prestataire de service Internet ou administrateur système peut vous fournir les informations nécessaires. Pour cesser provisoirement d’utiliser un compte : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, choisissez un compte, puis désactivez le service de messagerie pour le compte. Lorsqu’un service est désactivé, l’iPhone n’affiche et ne synchronise pas les informations correspondantes tant que vous ne le réactivez pas. Il s’agit d’un bon moyen d’arrêter de recevoir des messages professionnels en vacances, par exemple. Pour supprimer un compte : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, choisissez un compte, puis faites défiler vers le bas et touchez Supprimer le compte. Toutes les informations synchronisées avec ce compte, telles que les signets, le courrier électronique et les notes, sont supprimées. Pour configurer les réglages Push : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > Nouvelles Données. Push envoie les nouvelles informations dès qu’elles apparaissent sur le serveur et qu’une connexion Internet est établie (il peut y avoir un certain décalage). Lorsque le mode Push est désactivé, utilisez le réglage Nouvelles données pour indiquer la fréquence à laquelle demander les données. Le réglage que vous choisissez ici l’emporte sur les réglages des diffé- rents comptes. Pour optimiser l’autonomie de la batterie, privilégiez une fréquence basse. Tous les comptes ne gèrent pas le mode Push. Pour envoyer des messages signés et chiffrés : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > nom de compte > Compte > Avancé. Activez S/MIME puis sélectionnez les certificats pour signer et chiffrer les messages envoyés. Pour installer des certificats, vous pouvez obtenir un profil de configuration de votre administrateur système, téléchargez les certificats à partir du site web de l’émetteur à l’aide de Safari ou recevez-les en pièces jointes.Chapitre 6 Mail 58 Pour définir des options avancées : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > nom de compte > Compte > Avancé. Les options varient en fonction du compte utilisé, et peuvent inclure : • Stocker les brouillons et les messages envoyés et supprimés sur l’iPhone • Définir la durée pendant laquelle les messages supprimés sont conservés avant leur suppression définitive • Ajuster les réglages de serveur Mail • Ajuster les réglages SSL et les réglages de mot de passe Contactez votre fournisseur de services Internet ou administrateur système si vous ne savez pas quels réglages utiliser pour votre compte.7 59 Parmi les fonctionnalités de Safari figurent : • Lecteur : consultez des articles sans publicités ni encombrement ; • Liste de lecture : rassemblez des articles à lire ultérieurement ; • Mode plein écran : lorsque vous affichez des pages web en orientation paysage. Utilisez iCloud pour consulter les pages que vous avez ouvertes sur d’autres appareils, et garder à jour vos signets et votre liste de lecture sur vos autres appareils. Effectuez des recherches sur le Web et dans la page actuelle. Effectuez des recherches sur le Web et dans la page actuelle. Feuilletez des pages web ouvertes ou ouvrez une nouvelle page. Feuilletez des pages web ouvertes ou ouvrez une nouvelle page. Touchez deux fois un élément ou pincez pour agrandir ou réduire. Touchez deux fois un élément ou pincez pour agrandir ou réduire. Saisissez une adresse web (URL). Saisissez une adresse web (URL). Ajoutez un signet, un élément de la liste de lecture ou une icône à la page d’accueil, ou bien partagez ou imprimez la page. Ajoutez un signet, un élément de la liste de lecture ou une icône à la page d’accueil, ou bien partagez ou imprimez la page. Pour faire défiler rapidement vers le haut de l’écran, touchez la barre d’état. Pour faire défiler rapidement vers le haut de l’écran, touchez la barre d’état. Affichez votre liste de lecture, votre historique et vos signets. Affichez votre liste de lecture, votre historique et vos signets. Pour afficher une page web : Touchez le champ d’adresse (dans la barre de titre), saisissez l’URL, puis touchez Aller. • Pour faire défiler une page web : Faites glisser la page vers le haut, le bas ou le côté. • Pour faire défiler le contenu d’un cadre : Faites glisser deux doigts à l’intérieur du cadre. • Pour afficher l’orientation paysage en plein écran : Faites pivoter l’iPhone, puis touchez . • Pour actualiser une page web : Touchez dans le champ d’adresse. Pour fermer une page web : Touchez , puis touchez à côté de la page. SafariChapitre 7 Safari 60 Pour afficher les pages web que vous avez ouvertes sur vos autres appareils : Touchez , puis touchez Onglets iCloud. Pour partager les pages web que vous avez ouvertes sur l’iPhone avec vos autres appareils à l’aide d’iCloud, accédez à Réglages > iCloud et activez Safari. Pour suivre un lien sur une page web : Touchez le lien. • Pour afficher la destination d’un lien : Touchez le lien et maintenez votre doigt dessus. • Pour ouvrir un lien dans un nouvel onglet : Maintenez le doigt sur le lien, puis touchez « Nouvelle fenêtre ». Les données détectées, telles que les numéros de téléphone et les adresses électroniques, peuvent également apparaître sous forme de liens dans les pages web. Maintenez le doigt sur un lien pour afficher les options disponibles. Pour afficher un article dans Lecteur : Touchez le bouton Lecteur s’il apparaît dans le champ d’adresse. • Pour ajuster la taille des caractères : Touchez . • Pour partager l’article : Touchez . Remarque : Lorsque vous envoyez un article par courrier électronique à partir du Lecteur, le texte de l’article entier est envoyé en plus du lien. • Pour revenir à la présentation normale : Touchez OK. Pour uiliser la liste de lecture pour rassembler des pages web et les lire ultérieurement : • Pour ajouter la page web en cours : Touchez , puis « Ajouter à la liste de lecture ». Avec l’iPhone 4 ou ultérieur, la page web est enregistrée ainsi que le lien, afin que vous puissiez la lire même lorsque vous ne pouvez pas vous connecter à Internet. • Pour ajouter la destination d’un lien : Maintenez le doigt sur le lien, puis touchez « Ajouter à la liste de lecture ». • Pour afficher votre liste de lecture : Touchez , puis touchez Liste de lecture. • Pour supprimer un élément de votre liste de lecture : Balayez l’élément, puis touchez Supprimer. Pour renseigner un formulaire : Touchez un champ de texte pour activer le clavier. • Pour passer à un autre champ de texte : Touchez le champ de texte, ou touchez Suivant ou Précédent. • Pour envoyer un formulaire : Touchez Aller, Rechercher ou le lien sur la page web pour envoyer le formulaire. • Pour activer le remplissage automatique : Accédez à Réglages > Safari > Remplissage. Pour effectuer une recherche sur le Web, dans la page web actuelle ou dans un document PDF interrogeable : Saisissez du texte dans le champ de recherche. • Poru effectuer des recherches sur le Web : Touchez l’une des suggestions qui apparaissent, ou touchez Rechercher. • Pour trouver le texte recherché sur la page web ou dans le document PDF en cours : Faites défiler vers le bas de l’écran, puis touchez l’entrée située sous Sur cette page. La première occurrence est surlignée. Pour trouver les occurrences suivantes, touchez . Pour placer un signet sur la page web en cours : Touchez , puis Signet. Lorsque vous enregistrez un signet, vous pouvez modifier son titre. Par défaut, les signets sont enregistrés dans le dossier de plus haut niveau de Signets. Pour choisir un autre dossier, touchez Signets dans l’écran Nouveaux signets.Chapitre 7 Safari 61 Pour créer une icône sur l’écran d’accueil : Touchez , puis touchez « Ajouter à l’écran d’accueil ». Safari ajoute à votre écran d’accueil une icône pour la page web actuelle. À moins que la page web dispose d’une icône personnalisée, cette image est également utilisée pour l’icône du clip web sur l’écran d’accueil. Les clips web sont sauvegardés par iCloud et iTunes, mais ils ne sont pas envoyés aux autres appareils par iCloud ni synchronisés par iTunes. Pour partager ou copier un lien pour la page web actuelle : Touchez , puis touchez Mail, Message, Twitter, Facebook ou Copier. Pour imprimer la page web en cours : Touchez , puis Imprimer. Consultez la section Impression à l’aide d’AirPrint à la page 33. Pour garder à jour vos signets et votre liste de lecture sur vos autres appareils à l’aide d’iCloud : Accédez à Réglages > iCloud, puis activez Safari. Consultez la section iCloud à la page 16. Pour régler les options de Safari : Accédez à Réglages > Safari. Les options incluent notamment : • un moteur de recherche ; • le remplissage automatique de formulaires ; • l’ouverture des liens dans une nouvelle page ou en arrière-plan ; • la navigation privée pour protéger vos informations privées et bloquer le suivi de vos actions pour certains sites web ; • la suppression de l’historique, des cookies et des données ; • des données cellulaires pour la liste de lecture ; • la prévention des fraudes.8 62 Obtenir de la musique Pour obtenir de la musique et d’autres contenus audio sur votre iPhone : • Achetez et téléchargez du contenu sur l’iTunes Store : Dans Musique, touchez Store. Consultez la section Chapitre 22, iTunes Store, à la page 102. • Téléchargez automatiquement la musique achetée sur vos autres appareils iOS et ordinateurs : Consultez la section iCloud à la page 16. • Effectuez une synchronisation avec iTunes sur votre ordinateur : Consultez la section Synchronisation avec iTunes à la page 17. • Utilisez iTunes Match pour stocker votre bibliothèque musicale dans iCloud : Consultez la section iTunes Match à la page 67. Lire de la musique AVERTISSEMENT : Pour obtenir des informations importantes sur la perte d’audition, consultez la section Informations importantes concernant la sécurité à la page 157. Vous pouvez écouter de l’audio via le haut-parleur intégré, des écouteurs connectés à la prise d’écouteurs ou des oreillettes stéréo Bluetooth sans fil jumelées avec l’iPhone. Lorsque des écouteurs sont connectés ou jumelés, aucun son ne provient du haut-parleur. Ouvrez l’iTunes Store. Ouvrez l’iTunes Store. Choisissez un mode de navigation. Choisissez un mode de navigation. Affichez des boutons de navigation supplémentaires. Affichez des boutons de navigation supplémentaires. Touchez pour écouter. Touchez pour écouter. MusiqueChapitre 8 Musique 63 Pour lire une piste : Parcourez votre bibliothèque par liste de lecture, artiste, morceau ou une autre catégorie, puis touchez la piste. • Pour afficher des boutons de navigation supplémentaires : Touchez Autre. • Pour changer les boutons de navigation affichés en bas : Touchez Autre puis Modifier, puis faites glisser une icône par-dessus celui que vous souhaitez remplacer. L’écran À l’écoute indique ce que vous écoutez et comporte des commandes de lecture. Suivant/Avance rapide Suivant/Avance rapide Lecture/Pause Lecture/Pause Liste de pistes Liste de pistes Retour Retour Précédent/ Volume Volume Retour rapide Précédent/ Retour rapide AirPlay AirPlay Les paroles apparaissent dans l’écran À l’écoute si vous les avez ajoutées au morceau à l’aide de la fenêtre d’informations du morceau dans iTunes et que vous avez synchronisé l’iPhone avec iTunes. Pour afficher des commandes supplémentaires (iPhone 4S ou antérieur) : Touchez l’illustration de l’album dans l’écran À l’écoute pour afficher la barre de défilement et la tête de lecture ainsi que les boutons Répéter, Genius et Aléatoire. Pour passer à n’importe quel point d’un morceau : Faites glisser la tête de lecture le long du défileur. Faites glisser votre doigt vers le bas pour ralentir la vitesse de défilement. Pour secouer et mélanger : Secouez l’iPhone pour activer la lecture aléatoire et changer de morceau. Pour activer ou désactiver Secouer et mélanger, accédez à Réglages > Musique. Pour afficher toutes les pistes de l’album dont est extrait le morceau à l’écoute : Touchez . Pour lire une piste, touchez-la. Touchez une étoile pour noter ce morceau et ainsi créer des listes de lecture intelligentes sur iTunes. Touchez une étoile pour noter ce morceau et ainsi créer des listes de lecture intelligentes sur iTunes. Revenez sur l’écran À l’écoute. Revenez sur l’écran À l’écoute. Pistes d’un album Pistes d’un albumChapitre 8 Musique 64 Pour rechercher de la musique (titres, artistes, albums et compositeurs) : Pendant la navigation, touchez la barre d’état pour faire apparaître le champ de recherche en haut de l’écran, puis saisissez le texte recherché. Vous pouvez aussi chercher du contenu audio dans l’écran d’accueil. Consultez la section Recherche à la page 29. Pour afficher les commandes audio depuis une autre app : Appuyez deux fois sur le bouton principal , puis balayez la barre multitâche vers la droite. Balayez à nouveau vers la droite pour afficher une commande de volume et le bouton AirPlay (lorsque vous êtes à portée d’une Apple TV ou de haut-parleurs AirPlay). App audio en cours ; touchez pour l’ouvrir. App audio en cours ; touchez pour l’ouvrir. Morceau en cours de lecture. Morceau en cours de lecture. Pour afficher les commandes audio lorsque l’écran est verrouillé : Touchez deux fois le bouton principal . Pour écouter de la musique sur des haut-parleurs AirPlay ou une Apple TV : Touchez . Consultez la section AirPlay à la page 33. Cover Flow Lorsque vous faites pivoter l’iPhone, le contenu de votre bibliothèque musicale s’affiche en mode Cover Flow. Pour parcourir les albums en mode Cover Flow : Feuilletez vers la gauche ou la droite. • Pour afficher les pistes d’un album : Touchez une illustration d’album ou . Faites glisser vers le haut ou le bas pour faire défiler, touchez une piste pour la lire. • Pour revenir à l’illustration : Touchez la barre de titre, ou touchez à nouveau . Podcasts et livres audio Sur l’iPhone 5, des commandes pour les podcasts et les livres audio, et des informations apparaissent dans l’écran À l’écoute lorsque vous commencez la lecture. Remarque : L’app Podcasts est disponible sur l’App Store. Consultez la section Chapitre 31, Podcasts, à la page 121. Si vous décidez d’installer l’app Podcasts, le contenu et les commandes du podcast sont supprimés de Musique.Chapitre 8 Musique 65 Pour afficher ou masquer les commandes et les informations (iPhone 4S ou antérieur) : Touchez le centre de l’écran. Tête de lecture Tête de lecture Barre de défilement Barre de défilement Vitesse de lecture Vitesse de lecture Avancez de 15 secondes. Avancez de 15 secondes. Répétez les 15  dernières secondes. Répétez les 15  dernières secondes. Courrier électronique Courrier électronique Pour obtenir d’autres épisodes d’un podcast : Touchez Podcasts (touchez d’abord Autre si l’option Podcasts n’est pas visible), puis touchez un podcast pour afficher les épisodes disponibles. Pour télécharger plus d’épisodes, touchez Obtenir plus d’épisodes. Pour masquer les paroles et les informations d’un podcast : Accédez à Réglages > Musique, puis désactivez Paroles et informations de podcast. Listes de lecture Pour créer une liste de lecture : Affichez Listes, touchez Nouvelle liste en haut de la liste, puis saisissez un titre. Touchez pour ajouter des morceaux et des vidéos, puis touchez OK. Pour modifier une liste de lecture : Sélectionnez la liste de lecture à modifier, puis touchez Modifier. • Pour ajouter d’autres morceaux : Touchez . • Pour supprimer un morceau : Touchez . Lorsque vous supprimez un morceau d’une liste de lecture, il n’est pas supprimé de l’iPhone. • Pour modifier l’ordre des morceaux : Faites glisser . Les nouvelles listes de lecture et les listes de lecture modifiées seront copiées dans votre bibliothèque iTunes lors de la prochaine synchronisation entre votre iPhone et votre ordinateur ou via iCloud si vous êtes abonné à iTunes Match. Pour effacer ou supprimer une liste de lecture : Sélectionnez la liste de lecture, puis touchez Effacer ou Supprimer. Pour supprimer un morceau de l’iPhone : Dans Morceaux, balayez le morceau, puis touchez Supprimer. Le morceau est supprimé de l’iPhone, mais pas de votre bibliothèque iTunes sur votre Mac ou PC ni d’iCloud. Lorsqu’iTunes Match est activé, vous ne pouvez pas supprimer de musique. Si vous manquez de place, iTunes Match supprime de la musique pour vous, en commençant par les morceaux les plus anciens et les moins joués.Chapitre 8 Musique 66 Genius Une liste Genius est une sélection de morceaux de votre bibliothèque qui s’accordent bien. Genius est un service gratuit, mais il requiert un identifiant Apple. Un mix Genius est une sélection de morceaux du même type de musique, recréée à partir de votre bibliothèque chaque fois que vous écoutez le mix. Pour utiliser Genius sur l’iPhone : Activez Genius dans iTunes sur votre ordinateur, puis synchronisez l’iPhone avec iTunes. Les mix Genius sont synchronisés automatiquement, sauf si vous gérez manuellement votre musique. Vous pouvez également synchroniser les listes Genius. Pour parcourir et lire les mix Genius : Touchez Genius (touchez d’abord Autre si l’option Genius n’est pas visible). Balayez vers la gauche ou la droite pour accéder à d’autres mix. Pour lire un mix, touchez . Pour créer une liste Genius : Affichez Listes, puis touchez Liste Genius et choisissez un morceau. Vous pouvez également créer une liste depuis l’écran À l’écoute en touchant celui-ci pour afficher les commandes, puis en touchant . • Pour remplacer la liste de lecture en utilisant un autre morceau : Touchez Nouveau, puis choisissez un morceau. • Pour actualiser la liste : Touchez Actualiser. • Pour enregistrer la liste : Touchez Enregistrer. La liste de lecture est enregistrée avec le titre du morceau que vous avez choisi et signalée par . Pour modifier une liste Genius enregistrée : Touchez la liste, puis Modifier. • Pour supprimer un morceau : Touchez . • Pour modifier l’ordre des morceaux : Faites glisser . Pour supprimer une liste Genius enregistrée : Touchez la liste Genius, puis touchez Supprimer. Les listes Genius créées sur l’iPhone sont copiées sur votre ordinateur lorsque vous effectuez une synchronisation avec iTunes. Remarque : Lorsqu’une liste Genius est synchronisée avec iTunes, vous ne pouvez pas la supprimer directement de l’iPhone. Utilisez iTunes pour modifier le nom de la liste de lecture, arrêter la synchronisation ou supprimer la liste de lecture. Siri et Contrôle vocal Vous pouvez utiliser Siri (iPhone 4S ou ultérieur) ou Contrôle vocal pour contrôler la lecture de la musique. Consultez les sections Chapitre 4, Siri, à la page 39 et Contrôle vocal à la page 28. Pour utiliser Siri ou Contrôle vocal : Maintenez le bouton principal enfoncé . • Pour lancer ou mettre en pause la lecture de la musique : Dites « écouter » ou « écouter la musique ». Pour mettre en pause la lecture, dites « mettre en pause », « mettre en pause la musique » ou « arrêter ». Vous pouvez également dire « morceau suivant » ou « morceau précédent ». • Pour lire les morceaux d’un album, d’un artiste ou d’une liste de lecture : Dites « lire », puis « album », « artiste » ou « liste de lecture » et le nom. • Pour lire la liste de lecture en cours dans un ordre aléatoire : Dites « ordre aléatoire ».Chapitre 8 Musique 67 • Pour en savoir plus sur le morceau en cours de lecture : Dites « quel est ce morceau », « qui chante » ou « de qui est ce morceau ». • Pour utiliser Genius pour lire des morceaux similaires : Dites « Genius » ou « écouter d’autres morceaux comme celui-ci ». iTunes Match iTunes Match stocke votre bibliothèque musicale dans iCloud, y compris les morceaux importés depuis des CD, et vous permet de profiter de votre collection sur votre iPhone et vos autres appareils iOS et ordinateurs. iTunes Match est disponible sous forme d’abonnement payant. Pour s’abonner à iTunes Match : Sur iTunes sur votre ordinateur, choisissez Store > Activer iTunes Match, puis cliquez sur le bouton S’abonner. Lorsque vous êtes abonné, iTunes ajoute votre musique, vos listes de lecture et vos mix Genius dans iCloud. Vos morceaux qui correspondent à de la musique déjà dans l’iTunes Store sont automatiquement disponibles dans votre bibliothèque iCloud. Les autres morceaux sont téléchargés. Vous pouvez télécharger et lire les morceaux disposant de correspondances jusqu’à une qualité iTunes Plus (AAC sans DRM à 256 kbit/s), même si votre original était de qualité inférieure. Pour en savoir plus, consultez la page www.apple.com/fr/icloud/features. Pour activer iTunes Match : Accédez à Réglages > Musique. L’activation d’iTunes Match supprime la musique synchronisée de l’iPhone et désactive les mix et les listes Genius. Remarque : Si l’option Données cellulaires est activée, des frais dus aux données cellulaires peuvent s’appliquer. Les morceaux sont téléchargés sur l’iPhone lorsque vous les écoutez. Vous pouvez également télécharger manuellement les morceaux. Pour télécharger un album sur l’iPhone : Pendant la navigation, touchez Album, puis touchez . Pour n’afficher que la musique téléchargée à partir d’iCloud : Accédez à Réglages > Musique, puis désactivez Afficher toute la musique (disponible uniquement lorsqu’iTunes est activé). Pour gérer vos appareils à l’aide d’iTunes Match ou de Téléchargements automatiques : Sur iTunes sur votre ordinateur, accédez à Store > Visualiser mon compte. Connectez-vous, puis cliquez sur Gérer les dispositifs dans la section « iTunes dans le nuage ». Partage à domicile. La fonction Partage à domicile vous permet de lire de la musique, des films et des séries TV depuis la bibliothèque iTunes de votre Mac ou PC. L’iPhone et votre ordinateur doivent se trouver sur le même réseau Wi-Fi. Remarque : Partage à domicile requiert iTunes 10.2 ou ultérieur, disponible à l’adresse www.itunes.com/fr/download. Il est impossible de partager le contenu en prime, notamment les livrets numériques et iTunes Extras. Pour lire de la musique sur votre iPhone à partir de votre bibliothèque iTunes : 1 Sur iTunes sur votre ordinateur, choisissez Avancé > Activer le partage à domicile. Connectezvous, puis cliquez sur Créer un partage à domicile.Chapitre 8 Musique 68 2 Sur l’iPhone, accédez à Réglages > Musique, puis ouvrez une session dans Partage à domicile à l’aide des mêmes identifiant Apple et mot de passe. 3 Dans Musique, touchez Plus, puis touchez Partagé et choisissez la bibliothèque de votre ordinateur. Pour revenir au contenu de l’iPhone : Touchez Partagé et choisissez Mon iPhone. Réglages de Musique Accédez à Réglages > Musique pour définir les options de Musique, notamment : • Secouer et mélanger ; • Égaliseur de volume (pour normaliser le volume de votre contenu audio) ; • l’égalisation ; Remarque : L’égaliseur influe sur toutes les sorties audio, y compris sur la prise d’écouteurs et AirPlay. Les réglages de l’égaliseur s’appliquent généralement seulement à la musique jouée à partir de l’app Musique. Le réglage Late Night s’applique à toutes les sorties audio, aux vidéos comme à la musique. Late Night compresse la plage dynamique de la sortie audio, en réduisant le volume pendant les passages forts et en l’augmentant pendant les passages plus bas. Vous pouvez utiliser ce réglage par exemple lorsque vous écoutez de la musique en avion ou dans tout autre environnement bruyant. • les paroles et les informations de podcast ; • le regroupement par artiste d’album ; • iTunes Match ; • Partage à domicile. Pour régler un volume maximal : Accédez à Réglages > Musique > Volume maximal, puis ajustez le curseur de volume. Remarque : Dans les pays de l’Union européenne, vous pouvez limiter le volume maximal des écouteurs au niveau recommandé par l’Union européenne. Accédez à Réglages > Musique > Volume maximal, puis activez le volume maximal pour l’UE. Pour restreindre les modifications au volume maximal : Accédez à Réglages > Général > Restrictions > Volume maximal, puis touchez N’autoriser aucun changement.9 69 Envoi et réception de messages AVERTISSEMENT : Pour obtenir des informations importantes sur la concentration en voiture, consultez la section Informations importantes concernant la sécurité à la page 157. Messages vous permet d’échanger des messages texte avec d’autres appareils SMS et MMS via votre connexion cellulaire, ainsi qu’avec d’autres appareils iOS utilisant iMessage. iMessage est un service Apple qui vous permet d’envoyer des messages en illimité à d’autres utilisateurs d’iOS et OS X Mountain Lion par le biais d’une connexion Wi-Fi (ou cellulaire). Avec iMessage, vous pouvez voir quand d’autres personnes saisissent du texte et informer les autres utilisateurs que vous avez lu leurs messages. Les messages iMessage étant affichés sur tous vos appareils iOS connectés au même compte, vous pouvez commencer une conversation sur l’un d’eux et la poursuivre sur un autre. Ces messages sont également chiffrés par sécurité. Touchez le bouton Joindre un fichier pour inclure une photo ou une vidéo. Touchez le bouton Joindre un fichier pour inclure une photo ou une vidéo. Touchez pour saisir du texte. Touchez pour saisir du texte. Une conversation iMessage est indiquée par la couleur bleue. Une conversation iMessage est indiquée par la couleur bleue. Pour commencer une conversation texte : Touchez , puis , et choisissez un contact, effectuez une recherche par nom dans vos contacts, ou saisissez un numéro de téléphone ou une adresse électronique manuellement. Saisissez un message, puis touchez Envoyer. MessagesChapitre 9 Messages 70 Une pastille d’alerte s’affiche si un message ne peut pas être envoyé. Touchez l’alerte dans une conversation pour essayer de renvoyer le message. Touchez deux fois pour envoyer le message en tant que message texte de type SMS. Pour reprendre une conversation : Touchez la conversation dans la liste Messages. Pour utiliser des caractères picturaux : Accédez à Réglages > Général > Clavier > Claviers > Ajouter un clavier, puis touchez Emoji pour rendre ce clavier disponible. Ensuite, lors de la rédaction d’un message, touchez pour faire apparaître le clavier Emoji. Consultez la section Méthodes de saisie spéciales à la page 155. Pour afficher les coordonnées d’une personne : Faites défiler l’écran jusqu’en haut (touchez la barre d’état) pour voir les actions que vous pouvez accomplir, comme passer un appel FaceTime par exemple. Pour afficher les messages précédents de la conversation : Faites défiler l’écran jusqu’en haut (touchez la barre d’état). Si nécessaire, touchez Charger les messages plus anciens. Pour envoyer des messages à un groupe (iMessage et MMS) : Touchez , puis saisissez plusieurs destinataires. Avec MMS, les messages collectifs doivent être activés dans Réglages > Messages . Les réponses ne sont envoyées qu’à vous, les autres personnes du groupe ne sont pas en copie. Gestion des conversations Les conversations sont enregistrées dans la liste Messages. Un point bleu indique vos messages non lus. Touchez une conversation pour la consulter ou la poursuivre. Pour transférer une conversation : Touchez Modifier, sélectionnez les parties à inclure, puis touchez Transférer. Pour modifier une conversation : Touchez Modifier, sélectionnez les parties à supprimer, puis touchez Supprimer. Pour effacer l’ensemble du texte et des pièces jointes sans supprimer la conversation, touchez Tout effacer. Pour supprimer une conversation : Dans la liste Messages, balayez la conversation, puis touchez Supprimer. Pour rechercher une conversation : Touchez le haut de l’écran pour afficher le champ de recherche, puis saisissez le texte à rechercher. Vous pouvez également chercher des conversations à partir de l’écran d’accueil. Consultez la section Recherche à la page 29. Pour ajouter quelqu’un à votre liste de contacts : Touchez un numéro de téléphone dans la liste Messages, puis touchez « Ajouter aux contacts ». Partage de photos, de vidéos et d’autres informations Avec iMessage ou MMS, vous pouvez envoyer et recevoir des photos et des vidéos, et envoyer des lieux, des coordonnées et des mémos vocaux. La taille maximale des pièces jointes dépend de votre fournisseur de services. Si nécessaire, l’iPhone peut compresser les photos et les vidéos en pièces jointes. Pour envoyer une photo ou une vidéo : Touchez . Pour envoyer un lieu : Dans Plans, touchez pour un lieu, touchez Envoyer ce lieu, puis touchez Message.Chapitre 9 Messages 71 Pour envoyer des coordonnées : Dans Contacts, sélectionnez un contact, touchez Envoyer cette fiche, puis touchez Message. Pour envoyer un mémo vocal : Dans Dictaphone, touchez , le mémo, Partager, puis Message. Pour enregistrer une photo ou une vidéo reçue dans votre album Pellicule : Touchez la photo ou la vidéo, puis . Pour copier une photo ou une vidéo : Touchez la pièce jointe et maintenez votre doigt dessus, puis sélectionnez Copier. Pour ajouter quelqu’un à vos contacts depuis la liste Messages : Touchez le numéro de télé- phone ou l’adresse électronique, touchez la barre d’état pour faire défiler vers le haut de l’écran, puis touchez « Ajouter contact ». Pour enregistrer des coordonnées que vous avez reçues : Touchez la bulle du contact, puis « Créer un nouveau contact » ou « Ajouter à un contact ». Réglages de Messages Accédez à Réglages > Messages pour définir les options de Messages, notamment : • activer ou désactiver iMessage ; • notifier les autres personnes lorsque vous avez lu leurs messages ; • spécifier un identifiant Apple ou une adresse électronique à utiliser avec Messages ; • les options SMS et MMS ; • afficher le champ Objet ; • afficher le comptage des caractères. Pour gérer les notifications pour les messages : Consultez la section Ne pas déranger et Notifications à la page 142. Pour définir le son d’alerte des messages texte entrants : Consultez la section Sons à la page 150.10 72 En un coup d’œil L’iPhone vous permet de facilement respecter votre planning. Vous pouvez afficher vos calendriers individuellement ou simultanément. Des événements sont associés aux jours dotés de points. Des événements sont associés aux jours dotés de points. Modifiez les calendriers ou les comptes. Modifiez les calendriers ou les comptes. Affichez les invitations. Affichez les invitations. Pour afficher ou modifier un événement : Touchez l’événement. Vous pouvez : • définir des alertes principale et secondaire ; • modifier la date, l’heure ou la durée de l’événement ; • déplacer l’événement vers un autre calendrier ; • inviter d’autres personnes à participer à l’événement via des calendriers iCloud, Microsoft Exchange et CalDAV ; • supprimer l’événement. Vous pouvez également déplacer un événement en maintenant le doigt dessus et en le faisant glisser vers un autre créneau, ou en ajustant les poignées. Pour ajouter un événement : Touchez et saisissez les informations sur l’événement, puis touchez OK. • Pour définir le calendrier par défaut pour les nouveaux événements : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > Calendrier par défaut. • Pour définir les notifications par défaut pour les anniversaires et les événements : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > Notifications par défaut. CalendrierChapitre 10 Calendrier 73 Pour rechercher des événements : Touchez Liste, puis saisissez le texte recherché dans le champ de recherche. La recherche porte sur les titres, les invités, les lieux et les notes des calendriers actuellement affichés. Vous pouvez également rechercher des événements Calendrier depuis l’écran d’accueil. Consultez la section Recherche à la page 29. Pour définir le son des alertes de calendrier : Accédez à Réglages > Sons > Alertes de calendrier. Pour afficher les événements par semaine : Faites pivoter l'iPhone sur le côté. Pour importer des événements à partir d’un fichier de calendrier : Si vous recevez un fichier de calendrier .ics dans Mail, ouvrez le message et touchez le fichier de calendrier pour importer tous les événements qu’il contient. Vous pouvez également importer un fichier .ics publié sur le Web en touchant un lien vers celui-ci. Certains fichiers .ics vous abonnent à un calendrier au lieu d’ajouter des événements à votre calendrier. Consultez la section Utilisation de plusieurs calendriers à la page 73. Si vous disposez d’un compte iCloud, Microsoft Exchange ou d’un compte CalDAV pris en charge, vous pouvez recevoir des invitations à des réunions envoyées par d’autres personnes de votre société, et y répondre. Pour inviter d’autres personnes à un événement : Touchez un événement, Modifier, puis Invités pour sélectionner des personnes dans Contacts. Pour répondre à une invitation : Touchez une invitation dans le calendrier. Vous pouvez également toucher pour afficher l’écran Événement, puis toucher une invitation. Vous pouvez afficher des informations concernant l’organisateur et les autres invités. Si vous ajoutez des commentaires, ce qui n’est pas forcément possible pour tous les types de calendriers, ils peuvent être consultés par l’organisateur, mais pas par les autres invités. Pour accepter un événement sans signaler le créneau comme réservé : Touchez l’événement, puis touchez Disponibilité et sélectionnez « disponible ». L’événement reste dans votre calendrier, mais le créneau n’est pas signalé comme occupé aux autres personnes qui vous envoient des invitations. Utilisation de plusieurs calendriers Vous pouvez afficher vos calendriers individuellement ou simultanément. Vous pouvez vous abonner à des calendriers iCloud, Google, Yahoo! ou iCalendar, ainsi qu’à vos événements et anniversaires Facebook. Pour activer les calendriers iCloud, Google, Exchange ou Yahoo! : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, touchez un compte, puis activez Calendrier. Pour ajouter un compte CalDAV : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, touchez Ajouter un compte, puis Autre. Sous Calendriers, touchez Ajouter un compte CalDAV. Pour afficher les événements Facebook : Accédez à Réglages > Facebook, puis connectez-vous à votre compte Facebook et activez l’accès au calendrier. Pour sélectionner les calendriers à afficher : Touchez Calendriers, puis touchez les calendriers que vous souhaitez afficher. Les événements de tous les calendriers sélectionnés apparaissent dans une même présentation. Pour afficher le calendrier des anniversaires : Touchez Calendriers, puis touchez Anniversaires pour inclure les anniversaires de vos contacts à vos événements. Si vous disposez d’un compte Facebook, vous pouvez inclure les anniversaires de vos amis Facebook.Chapitre 10 Calendrier 74 Vous pouvez vous abonner à des calendriers au format iCalendar (.ics). De nombreux services de calendrier, notamment iCloud, Yahoo!, Google et l’application Calendrier sous OS X, prennent en charge les abonnements aux calendriers. Les calendriers auxquels vous êtes abonné sont en lecture seule. Vous pouvez afficher les événements des calendriers auxquels vous êtes abonné sur l’iPhone, mais vous ne pouvez pas les modifier, ni en créer de nouveaux. Pour s’abonner à un calendrier : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, puis touchez Ajouter un compte. Touchez Autre, puis S’abonner à un calendrier. Saisissez le serveur et le nom du fichier .ics auquel vous souhaitez vous abonner. Vous pouvez également vous abonner à un calendrier iCalendar (.ics) publié sur le Web en touchant un lien vers celui-ci. Partage des calendriers iCloud Vous pouvez partager un calendrier iCloud avec d’autres utilisateurs iCloud. Lorsque vous partagez un calendrier, les autres utilisateurs peuvent le voir et vous pouvez aussi les autoriser à ajouter ou modifier des événements. Vous pouvez également partager une version en lecture seule que tout le monde peut voir. Pour créer un calendrier iCloud : Touchez Calendriers, Modifier, puis Ajouter calendrier. Pour partager un calendrier iCloud : Touchez Calendriers, Modifier, puis touchez le calendrier iCloud que vous souhaitez partager. Touchez Ajouter une personne, puis choisissez quelqu’un parmi vos contacts. La personne recevra une invitation par courrier électronique à rejoindre le calendrier, mais elle doit posséder un identifiant Apple et un compte iCloud pour pouvoir accepter l’invitation. Pour désactiver les notifications pour les calendriers partagés : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier et désactivez Alertes de calendrier partagé. Pour modifier l’accès d’une personne à un calendrier partagé : Touchez Calendriers, Modifier, puis touchez la personne avec qui vous partagez. Vous pouvez désactiver sa capacité à modifier le calendrier, lui envoyer à nouveau une invitation à rejoindre le calendrier ou cesser de partager avec cette personne. Pour partager un calendrier en lecture seule avec d’autres personnes : Touchez Calendriers, Modifier, puis touchez le calendrier iCloud que vous souhaitez partager. Activez Calendrier public, puis touchez Envoyer le lien pour copier ou envoyer l’URL du calendrier. Tout le monde peut utiliser l’URL pour s’abonner à votre calendrier en utilisant une app compatible telle que Calendrier pour iOS ou OS X. Réglages des calendriers Plusieurs réglages dans Réglages > Mail, Contacts, Calendrier ont un impact sur Calendrier et vos comptes de calendrier, notamment : • la synchronisation des événements passés (les événements futurs le sont toujours) ; • le son d’alerte pour les nouvelles invitations ; • les fuseaux horaires locaux des calendriers, pour afficher les dates et heures dans un fuseau horaire autre que le vôtre.11 75 Visionnage de photos et de vidéos Photos vous permet de visionner les photos et vidéos présentes sur votre iPhone dans : • votre album Pellicule : les photos et vidéos que vous avec prises avec l’iPhone, ou enregistrées à partir d’un courrier électronique, d’un message texte, d’une page web ou d’une capture d’écran ; • vos albums Flux de photos : les photos de Mon flux de photos et vos flux de photos partagés (consultez la section Flux de photos à la page 76) ; • votre photothèque et d’autres albums synchronisés à partir de votre ordinateur (consultez la section Synchronisation avec iTunes à la page 17) Modifiez la photo. Modifiez la photo. Supprimez la photo. Supprimez la photo. Touchez l’écran pour afficher les commandes. Touchez l’écran pour afficher les commandes. Partagez la photo, assignez-la à un contact, utilisez-la en fond d’écran ou imprimez-la. Partagez la photo, assignez-la à un contact, utilisez-la en fond d’écran ou imprimez-la. Visionnez un diaporama. Visionnez un diaporama. Diffusez des photos à l’aide d’AirPlay. Diffusez des photos à l’aide d’AirPlay. Pour visionner des photos et des vidéos : Touchez un album, puis une vignette. • Pour visionner la photo ou la vidéo précédente ou suivante : Balayez vers la gauche ou la droite. • Pour effectuer un zoom avant ou arrière : Pincez ou touchez deux fois. • Pour effectuer un panoramique d’une photo : Faites glisser celle-ci. • Pour visionner une vidéo : Touchez au centre de l’écran. Pour passer de la présentation plein écran à la présentation adaptée à la taille de l’écran, et inversement, touchez deux fois l’écran. PhotosChapitre 11 Photos 76 Les albums que vous synchronisez avec iPhoto 8.0 (iLife ’09) ou une version ultérieure, ou Aperture v3.0.2 ou une version ultérieure, peuvent être visionnés par événement ou par visage. Vous pouvez également visionner les photos par lieu si elles ont été prises avec un appareil photo prenant en charge la géolocalisation. Pour afficher un diaporama : Touchez une vignette, puis . Sélectionnez des options, puis touchez Démarrer le diaporama. Pour arrêter le diaporama, touchez l’écran. Pour définir d’autres options, accédez à Réglages > Photos et Appareil photo. Pour diffuser une vidéo ou un diaporama sur un téléviseur : Consultez la section AirPlay à la page 33. Organisation de photos et de vidéos Pour créer un album : Touchez Albums, touchez , saisissez un nom, puis touchez Enregistrer. Sélectionnez les éléments à ajouter à l’album, puis touchez OK. Remarque : Les albums créés sur l’iPhone ne sont pas synchronisés vers votre ordinateur. Pour ajouter des éléments à un album : Pendant la consultation des vignettes, touchez Modifier, sélectionnez des éléments, puis touchez Ajouter à. Pour gérer les albums : Touchez Modifier : • Pour renommer un album : Sélectionnez l’album, puis saisissez un nouveau nom. • Pour réorganiser les albums : Faites glisser . • Pour supprimer un album : Touchez . Seuls les albums créés sur l’iPhone peuvent être renommés ou supprimés. Flux de photos Avec Flux de photos, une fonctionnalité d’iCloud (consultez la section iCloud à la page 16), les photos que vous prenez sur l’iPhone apparaissent automatiquement sur vos autres appareils configurés avec Flux de photos, y compris votre Mac ou PC. Le Flux de photos vous permet aussi de partager des photos sélectionnées avec vos amis et votre famille, directement sur leurs appareils ou sur le Web. À propos de Flux de photos Lorsque le Flux de photos est activé, les photos que vous prenez sur l’iPhone (ainsi que toutes les autres photos ajoutées à votre Pellicule) apparaissent dans votre flux de photos lorsque vous quittez l’app Appareil photo et que l’iPhone est connecté à Internet via Wi-Fi. Ces photos apparaissent dans l’album Mon flux de photos sur l’iPhone et sur vos autres appareils configurés avec le Flux de photos. Pour activer Flux de photos : Accédez à Réglages > iCloud > Flux de photos. Les photos ajoutées à votre flux de photos à partir de vos autres appareils iCloud apparaissent également dans Mon flux de photos. L’iPhone et les autres appareils iOS peuvent conserver jusqu’à 1 000 de vos photos les plus récentes dans Mon flux de photos. Vos ordinateurs peuvent conserver toutes vos photos Flux de photos de manière définitive. Remarque : Les photos du Flux de photos n’utilisent pas votre espace iCloud.Chapitre 11 Photos 77 Pour gérer le contenu de Flux de photos : Dans un album Flux de photos, touchez Modifier. • Pour enregistrer des photos sur l’iPhone : Sélectionnez les photos, puis touchez Enregistrer. • Pour partager, imprimer, copier ou enregistrer des photos dans votre album Pellicule : Sélectionnez les photos, puis touchez Envoyer. • Pour supprimer des photos : Sélectionnez les photos, puis touchez Supprimer. Remarque : Même si les photos supprimées sont retirées des Flux de photos sur vos appareils, les originaux sont conservés dans l’album Pellicule sur l’appareil depuis lequel ils ont été transférés. Les photos enregistrées sur un appareil ou un ordinateur à partir d’un flux de photos ne sont pas non plus supprimées. Pour pouvoir supprimer des photos de Flux de photos, iOS 5.1 ou ultérieur doit être installé sur l’iPhone et vos autres appareils iOS. Consultez la page support.apple.com/kb/HT4486?viewlocale=fr_FR. Flux de photos partagés Les flux de photos partagés vous permettent de partager des photos sélectionnées avec les personnes que vous voulez. Les utilisateurs d’iOS 6 et OS X Mountain Lion peuvent s’abonner à vos flux de photos partagés, voir les dernières photos ajoutées, « aimer » des photos et laisser des commentaires, directement depuis leur appareil. Vous pouvez aussi créer un site web public dédié à un flux de photos partagé afin de partager vos photos avec d’autres personnes sur le Web. Remarque : Les flux de photos partagés fonctionnent avec les réseaux cellulaires et Wi-Fi. Des frais de données cellulaires peuvent s’appliquer. Pour activer Flux de photos partagés : Accédez à Réglages > iCloud > Flux de photos. Pour créer un flux de photos partagé : Touchez Flux de photos, puis touchez . Pour inviter d’autres utilisateurs d’iOS 6 ou d’OS X Mountain Lion à se connecter à votre flux de photo partagé, saisissez leurs adresses électroniques. Pour publier le flux de photos sur icloud.com, activez SIte web public. Nommez l’album, puis touchez Créer. Pour ajouter des photos à un flux de photos partagé : Sélectionnez une photo, touchez , touchez Flux de photos, puis sélectionnez un flux de photo partagé. Pour ajouter plusieurs photos d’un album, touchez Modifier, sélectionnez les photos, puis touchez Envoyer. Pour supprimer des photos d’un flux de photos partagé : Touchez le flux de photos partagé, touchez Modifier, sélectionnez les photos, puis touchez Supprimer. Pour modifier un flux de photos partagé : Touchez Flux de photos, puis touchez . Vous pouvez : • renommer le Flux de photos ; • ajouter ou supprimer des abonnés et envoyer à nouveau une invitation ; • créer un site web public et partager le lien ; • supprimer le flux de photos.Chapitre 11 Photos 78 Partage de photos et de vidéos Vous pouvez partager des photos par le biais de courriers électroniques, de messages texte (MMS ou iMessage), de flux de photos et de publications Twitter et Facebook. Les vidéos peuvent être partagées par courrier électronique, message texte (MMS ou iMessage) et sur YouTube. Pour partager ou copier une photo ou une vidéo : Choisissez une photo ou une vidéo, puis touchez . Si vous ne voyez pas , touchez l’écran pour afficher les commandes. La taille maximale des pièces jointes dépend de votre fournisseur de services. Si nécessaire, l’iPhone peut compresser les photos et les vidéos en pièces jointes. Vous pouvez également copier des photos et des vidéos, et les coller dans un courrier électronique ou un message texte (MMS ou iMessage). Pour envoyer ou copier plusieurs photos ou vidéos : Alors que les vignettes sont affichées, touchez Modifier, sélectionnez les photos ou les vidéos, puis touchez Partager. Pour enregistrer une photo ou une vidéo depuis : • Un message électronique : Touchez-le pour le télécharger si nécessaire, touchez la photo ou maintenez le doigt sur la vidéo, puis touchez Enregistrer. • Un message texte : Touchez l’élément dans la conversation, touchez , puis Enregistrer dans la pellicule. • Une page web (photo uniquement) : Touchez la photo et maintenez votre doigt dessus, puis sélectionnez Enregistrer l’image. Les photos et les vidéos que vous recevez ou que vous enregistrez à partir d’une page web sont enregistrées dans votre album Pellicule. Impression de photos Pour imprimer sur des imprimantes compatibles AirPrint : • Pour imprimer une seule photo : Touchez , puis Imprimer. • Pour imprimer plusieurs photos : Pendant la consultation d’un album photo, touchez Modifier, sélectionnez les photos, touchez Envoyer, puis Imprimer. Consultez la section Impression à l’aide d’AirPrint à la page 33.12 79 En un coup d’œil Pour ouvrir rapidement l’appareil photo lorsque l’iPhone est verrouillé, balayez vers le haut. L’iPhone vous permet à la fois de prendre des photos et de filmer des vidéos. Un appareil photo frontal pour les appels FaceTime et les autoportraits s’ajoute à l’appareil photo iSight situé à l’arrière. Un flash LED situé à l’arrière vous apporte un éclairage supplémentaire quand vous en avez besoin. Touchez la personne ou l’objet pour effectuer la mise au point et régler l’exposition. Touchez la personne ou l’objet pour effectuer la mise au point et régler l’exposition. Passez d’un appareil photo à l’autre. Passez d’un appareil photo à l’autre. Prenez une photo. Prenez une photo. Commutateur Appareil photo/ Vidéo Commutateur Appareil photo/ Vidéo Visionnez les photos et vidéos que vous venez d’enregistrer. Visionnez les photos et vidéos que vous venez d’enregistrer. Configurez le mode flash à diode. Configurez le mode flash à diode. Activez la grille ou le mode HDR ou bien prenez une photo panoramique. Activez la grille ou le mode HDR ou bien prenez une photo panoramique. Appareil photoChapitre 12 Appareil photo 80 Un rectangle apparaît brièvement sur la zone sur laquelle l’appareil photo fait la mise au point et règle l’exposition. Lorsque vous photographiez des personnes avec un iPhone 4S ou ultérieur, celui-ci utilise la détection des visages pour faire automatiquement la mise au point et équilibrer l’exposition sur 10 visages au maximum. Un rectangle apparaît sur chaque visage détecté. Pour prendre une photo : Touchez ou appuyez sur un des boutons du volume. • Pour effectuer un zoom avant ou arrière : Pincez l’écran (appareil photo iSight uniquement). Pour prendre une photo panoramique (iPhone 4S ou ultérieur) : Touchez Options, puis Panorama. Pointez l’iPhone dans la direction souhaitée pour commencer, puis touchez . Faites défiler lentement en direction de la flèche, en maintenant l’iPhone bien droit. Essayez de garder la flèche en haut de la ligne horizontale. Lorsque vous avez fini, touchez Terminé. • Pour inverser la direction du défilement : Touchez la flèche. Pour enregistrer une vidéo : Activez , puis touchez ou appuyez sur un des boutons du volume pour lancer ou arrêter l’enregistrement. • Pour prendre une photo pendant un enregistrement : Touchez . Lorsque vous prenez une photo ou lancez l’enregistrement d’une vidéo, l’iPhone émet un bruit d’obturateur. Vous pouvez contrôler le volume avec les boutons de volume ou désactiver le son à l’aide du commutateur Sonnerie/Silence. Remarque : Dans certains pays, le fait de désactiver le son n’empêche pas l’obturateur d’émettre un son. Si Service de localisation est activé, des données de localisation sont associées aux photos et vidéos, et elles peuvent être utilisées par d’autres apps et certains sites web de partage de photos. Consultez la section Confidentialité à la page 151. Pour régler la mise au point et l’exposition : • Pour régler la mise au point et l’exposition pour la prochaine prise de vue : Touchez l’objet sur l’écran. La détection des visages est temporairement désactivée. • Pour verrouiller la mise au point et l’exposition : Touchez l’écran et maintenez votre doigt jusqu’à ce que le rectangle clignote. Verrouillage AE/AF apparaît au bas de l’écran, et la mise au point et l’exposition restent verrouillées jusqu’à ce que vous touchiez à nouveau l’écran. Pour prendre une copie d’écran : Appuyez simultanément sur le bouton Marche/Veille et le bouton principal , puis relâchez-les. La copie d’écran est ajoutée à votre album Pellicule. Photos HDR Le mode HDR (iPhone 4 ou ultérieur) fusionne trois expositions différentes en une seule photo à « plage dynamique étendue ». Vous obtiendrez de meilleurs résultats si l’iPhone et l’objet sont immobiles. Pour activer le mode HDR : Touchez Option, puis configurez HDR. Lorsque le mode HDR est activé, le flash est désactivé. Pour conserver les photos normales en plus de la version HDR : Accédez à Réglages > Photos et Appareil photo Si vous conservez les deux versions, apparaît dans le coin supérieur gauche de la photo HDR lorsque vous la visionnez dans votre album Pellicule et que les commandes sont visibles.Chapitre 12 Appareil photo 81 Visionnage, partage et impression Les photos et vidéos que vous réalisez avec Appareil photo sont enregistrées dans votre album Pellicule. Si Flux de photos est activé, les nouvelles photos apparaissent également dans votre album Flux de photos et sont envoyées à vos autres appareils iOS et ordinateurs. Consultez la section Flux de photos à la page 76. Pour consulter votre album Pellicule : Balayez vers la droite ou touchez la vignette. Vous pouvez également afficher votre album Pellicule dans l’app Photos. • Pour afficher ou masquer les commandes lorsque vous regardez une photo ou une vidéo : Touchez l’écran. • Pour partager une photo ou une vidéo : Touchez . Pour envoyer plusieurs photos ou vidéos, touchez lorsque les vignettes sont affichées, sélectionnez les éléments, puis touchez Envoyer. • Pour imprimer une photo : Touchez . Consultez la section Impression à l’aide d’AirPrint à la page 33. • Pour supprimer une photo ou vidéo : Touchez . Pour revenir à l’appareil photo : Touchez . Pour télécharger des photos et des vidéos sur votre ordinateur : Connectez l’iPhone à votre ordinateur. • Mac : sélectionnez les photos et vidéos souhaitées, puis cliquez sur le bouton Importer ou Télécharger dans iPhoto ou toute autre application photo prise en charge sur votre ordinateur. • PC : suivez les instructions fournies avec votre application photo. Si vous supprimez des photos ou des vidéos de l’iPhone lors du téléchargement sur l’ordinateur, celles-ci sont supprimées de votre album Pellicule. Vous pouvez utiliser la sous-fenêtre de réglages Photos d’iTunes pour synchroniser des photos et vidéos avec l’app Photos de l’iPhone (les vidéos ne peuvent être synchronisées qu’avec un Mac). Consultez la section Synchronisation avec iTunes à la page 17. Modification de photos et ajustement de vidéos Pivoter Pivoter Améliorer automatiquement Améliorer automatiquement Supprimer les yeux rouges Supprimer les yeux rouges Rogner Rogner Modifier une photo : Lorsque la photo est affichée en plein écran, touchez Modifier, puis choisissez un outil. • Amélioration automatique : L’amélioration améliore la luminosité générale, la saturation des couleurs et d’autres qualités d’une photo. Si vous souhaitez annuler l’amélioration, touchez à nouveau l’outil (même si vous avez enregistré les modifications). • Supprimer les yeux rouges : Touchez chaque œil à corriger.Chapitre 12 Appareil photo 82 • Rogner : Faites glisser les angles de la grille, faites glisser la photo pour la repositionner, puis touchez Rogner. Pour définir un rapport précis, touchez Imposer un format. Raccourcir une vidéo : Lors de la lecture d’une vidéo, touchez l’écran pour afficher les commandes. Faites glisser l’une des deux extrémités du visualiseur d’image en haut, puis touchez Ajuster. Important : Si vous avez choisi Raccourcir l’original, les images supprimées de la vidéo d’origine le sont de manière permanente. Si vous avez choisi « Nouvel extrait », un nouveau clip vidéo raccourci est enregistré dans votre album Pellicule. La vidéo d’origine n’est pas modifiée.13 83 Utilisez l’app Vidéos pour regarder des films, des séries TV et des clips vidéo. Pour regarder des podcasts vidéo, installez l’app Podcasts gratuite dans l’App Store. Consultez la section Chapitre 31, Podcasts, à la page 121. Pour regarder des vidéos enregistrées avec l’Appareil photo sur l’iPhone, ouvrez l’app Photos. Balayez vers le bas pour rechercher. Balayez vers le bas pour rechercher. Affichez les épisodes supplémentaires d’une série. Affichez les épisodes supplémentaires d’une série. Touchez une vidéo pour la lire. Touchez une vidéo pour la lire. AVERTISSEMENT : Pour obtenir des informations importantes sur la perte d’audition, consultez la section Informations importantes concernant la sécurité à la page 157. Pour obtenir des vidéos : • Achetez ou louez des vidéos sur l’iTunes Store (non disponible dans toutes les régions) : Ouvrez l’app iTunes sur l’iPhone, puis touchez Vidéos. Consultez la section Chapitre 22, iTunes Store, à la page 102. • Transférez des vidéos de votre ordinateur : Connectez l’iPhone, puis synchronisez les vidéos avec iTunes sur votre ordinateur. Consultez la section Synchronisation avec iTunes à la page 17. • Diffusez des vidéos de votre ordinateur : Activez le Partage à domicile dans iTunes sur votre ordinateur. Puis, sur l’iPhone, accédez à Réglages > Vidéos et saisissez l’identifiant Apple et le mot de passe que vous avez utilisés pour configurer le Partage à domicile sur votre ordinateur. Ouvrez ensuite Vidéos sur l’iPhone, puis touchez Partagé en haut de la liste des vidéos. VidéosChapitre 13 Vidéos 84 Pour convertir une vidéo afin de pouvoir la lire sur l’iPhone : Si vous essayez d’ajouter une vidéo sur l’iPhone à partir d’iTunes et qu’un message indique qu’elle ne peut pas être lue sur l’iPhone, vous pouvez la convertir. Sélectionnez la vidéo dans votre bibliothèque iTunes et choisissez Avancé > « Créer une version iPod ou iPhone ». Ajoutez ensuite la vidéo convertie à l’iPhone. Touchez la vidéo pour afficher ou masquer les commandes. Touchez la vidéo pour afficher ou masquer les commandes. Regardez la vidéo sur un téléviseur avec une Apple TV. Regardez la vidéo sur un téléviseur avec une Apple TV. Faites glisser pour avancer ou reculer. Faites glisser pour avancer ou reculer. Choisissez un chapitre. Choisissez un chapitre. Faites glisser pour ajuster le volume. Faites glisser pour ajuster le volume. Pour regarder une vidéo : Touchez la vidéo dans la liste des vidéos. • Pour afficher la vidéo en plein l’écran ou l’adapter à la taille de l’écran : Touchez ou . Vous pouvez également toucher deux fois la vidéo pour la mettre à l’échelle sans afficher les commandes. • Pour reprendre depuis le début : Si la vidéo contient des chapitres, faites glisser la tête de lecture tout à fait vers la gauche sur la barre de défilement. Si la vidéo ne contient pas de chapitres, touchez . • Pour passer au chapitre suivant ou précédent (le cas échéant) : Touchez ou Vous pouvez aussi appuyer sur le bouton central (ou le bouton équivalent) d’une oreillette compatible deux fois (passer au suivant) ou trois fois (passer au précédent). • Pour effectuer un retour ou une avance rapide : Maintenez le doigt sur ou . • Pour sélectionner une autre langue audio (le cas échéant) : Touchez , puis choisissez une langue dans la liste Audio. • Pour afficher ou masquer les sous-titres (le cas échéant) : Touchez , puis choisissez une langue ou désactivez l’option dans la liste Sous-titres. • Pour afficher ou masquer les sous-titres codés (le cas échéant) : Accédez à Réglages > Vidéos. • Pour visionner la vidéo sur un téléviseur : Consultez la section Connexion de l’iPhone à un téléviseur ou un autre appareil à la page 33. Pour régler un minuteur de veille : Ouvrez l’app Horloge et touchez Minuteur, puis balayez pour régler le nombre d’heures et de minutes. Touchez Sonnerie et choisissez Arrêter la lecture ; touchez ensuite Choisir puis Démarrer pour lancer le minuteur. À l’expiration du délai choisi, l’iPhone interrompt la lecture de la musique ou de la vidéo, ferme les éventuelles apps ouvertes et se verrouille. Pour supprimer des vidéos : Balayez la vidéo dans la liste vers la gauche ou la droite. La suppression d’une vidéo (autre qu’un film en location) de l’iPhone ne la supprime pas de votre bibliothèque iTunes. Important : Si vous supprimez un film en location de l’iPhone, il est supprimé définitivement et ne peut pas être transféré à nouveau vers votre ordinateur.Chapitre 13 Vidéos 85 Lorsque vous supprimez une vidéo (autre qu’un film loué) de l’iPhone, elle n’est pas supprimée de votre bibliothèque iTunes sur votre ordinateur et vous pouvez synchroniser à nouveau la vidéo sur l’iPhone ultérieurement. Si vous ne voulez pas synchroniser à nouveau la vidéo sur l’iPhone, configurez iTunes pour ne pas synchroniser la vidéo. Consultez la section Synchronisation avec iTunes à la page 17.14 86 Recherche de lieux AVERTISSEMENT : Pour obtenir des informations importantes sur la navigation en toute sécurité et sur la concentration en voiture, consultez la section Informations importantes concernant la sécurité à la page 157. Imprimez, affichez la circulation, listez les résultats ou choisissez l’affichage. Imprimez, affichez la circulation, listez les résultats ou choisissez l’affichage. Touchez un repère pour afficher la bannière d’information. Touchez un repère pour afficher la bannière d’information. Itinéraires rapides par la route Itinéraires rapides par la route Obtenez plus d’informations. Obtenez plus d’informations. Touchez deux fois pour effectuer un zoom avant et touchez avec deux doigts pour effectuer un zoom arrière. Ou pincez. Touchez deux fois pour effectuer un zoom avant et touchez avec deux doigts pour effectuer un zoom arrière. Ou pincez. Emplacement actuel Emplacement actuel Saisissez le terme à rechercher. Saisissez le terme à rechercher. Affichez votre emplacement actuel. Affichez votre emplacement actuel. Survol (3D en affichage standard) Survol (3D en affichage standard) Obtenez des itinéraires. Obtenez des itinéraires. Important : Les apps cartographiques, géodépendantes, 3D, Flyover ou proposant des itinéraires reposent sur des services de données. Ces services de données sont susceptibles de changer et ne sont pas disponibles dans toutes les zones, ce qui rend indisponibles, inexacts ou incomplets les plans, itinéraires et informations 3D, Flyover ou dépendant de la position géographique. Comparez les renseignements fournis sur l’iPhone avec votre environnement et reportez-vous aux panneaux indicateurs pour résoudre toute différence existante. Certaines fonctionnalités de Plans requièrent le Service de localisation. Consultez la section Confidentialité à la page 151. PlansChapitre 14 Plans 87 Pour trouver un lieu : Touchez le champ de recherche, puis saisissez une adresse ou une autre information, par exemple : • une intersection (« 8th et market ») ; • un quartier (« greenwich village ») ; • un repère (« guggenheim ») ; • un code postal ; • une entreprise ou un commerce (« cinémas », « restaurants san francisco ca », « apple inc new york »). Sinon, touchez une des suggestions dans la liste située sous le champ de recherche. Pour naviguer sur les cartes : • Pour défiler vers le haut, le bas, la gauche ou la droite : Faites glisser l’écran. • Pour faire pivoter la carte : Faites pivoter deux doigts sur l’écran. Une boussole apparaît dans le coin supérieur droit de l’écran servant à indiquer l’orientation de la carte. • Pour retourner à l’orientation vers le nord : Touchez . Pour trouver la position d’un contact, ou une recherche récente ou enregistrée dans les signets : Touchez . Pour obtenir et partager des informations sur un lieu : Touchez le repère pour afficher la bannière d’information, puis touchez . Vous pouvez obtenir des avis et des photos avec Yelp, lorsque cette option est disponible. Vous pouvez également obtenir l’itinéraire, contacter le commerce (par téléphone, courrier électronique, SMS ou Twitter), visiter le site web, ajouter le commerce à vos contacts, partager le lieu ou l’enregistrer dans vos signets. • Pour lire des avis : Touchez Avis. Pour utiliser d’autres fonctionnalités Yelp, touchez les boutons situés sous les avis. • Pour voir les photos : Touchez Photos. • Pour envoyer un lieu par courrier électronique, message texte, Twitter ou Facebook : Touchez Envoyer ce lieu. Pour publier un Tweet ou une publication sur Facebook, vous devez être connecté à vos comptes. Consultez la section Partage à la page 31. Pour utiliser le repère pour marquer un lieu : Maintenez le doigt sur le plan jusqu’à l’apparition du repère. Pour choisir une vue standard, satellite ou mixte : Touchez le coin inférieur droit. Pour signaler un problème : Touchez le coin inférieur droit. Itinéraires Pour obtenir des itinéraires : Touchez , , saisissez les lieux de départ et d’arrivée, puis touchez Itinéraire. Sinon, choisissez un lieu ou un itinéraire dans la liste, lorsque cette option est disponible. Si plusieurs itinéraires apparaissent, touchez celui que vous souhaitez emprunter. Touchez Démarrer pour commencer. • Pour écouter les itinéraires étape par étape (iPhone 4S ou ultérieur) : Touchez Démarrer. L’app Plans suit votre avancée et énonce les itinéraires étape par étape jusqu’à votre destination. Pour afficher ou masquer les commandes, touchez l’écran. Si l’iPhone se verrouille automatiquement, Plans reste affiché à l’écran et continue à énoncer les instructions. Vous pouvez également ouvrir une autre app et continuer à obtenir les itiné- raires étape par étape. Pour revenir à Plans, touchez la bannière située en haut de l’écran.Chapitre 14 Plans 88 • Pour afficher les itinéraires étape par étape (iPhone 4 ou antérieur) : Touchez Démarrer, puis balayez vers la gauche pour afficher l’instruction suivante. • Pour retourner à l’aperçu du trajet : Touchez Aperçu. • Pour afficher l’itinéraire sous la forme d’une liste : Touchez sur l’écran Aperçu. • Pour arrêter les itinéraires étape par étape : Touchez Fin. Pour obtenir des itinéraires rapides à partir de votre lieu actuel : Touchez sur la bannière de votre destination, puis touchez Itinéraire vers ce lieu. Pour obtenir des itinéraires pour accès piéton : Touchez , , saisissez les lieux de départ et d’arrivée, puis touchez Itinéraire. Sinon, choisissez un lieu ou un itinéraire dans la liste, lorsque cette option est disponible. Touchez Démarrer, puis balayez vers la gauche pour afficher l’instruction suivante. Pour obtenir des itinéraires pour transport public : Touchez , , saisissez les lieux de départ et d’arrivée, puis touchez Itinéraire. Sinon, choisissez un lieu ou un itinéraire dans la liste, lorsque cette option est disponible. Téléchargez et ouvrez les apps de trajet pour les transports publics que vous souhaitez utiliser. Pour afficher l’état de la circulation : Touchez le coin inférieur droit de l’écran, puis touchez Afficher la circulation. Les points orange signalent les ralentissements et les points rouges, les embouteillages. Pour voir un rapport d’accident, touchez un marqueur. 3D et Flyover Sur l’iPhone 4S ou ultérieur, utilisez la 3D (vue standard) ou Flyover (vue satellite ou mixte) pour des vues en trois dimensions de nombreuses villes du monde entier. Vous pouvez naviguer comme d’habitude et effectuer un zoom avant pour voir les bâtiments. Vous pouvez également modifier l’orientation de la caméra. Transamerica Pyramid Building est une marque de service déposée de Transamerica Corporation. Transamerica Pyramid Building est une marque de service déposée de Transamerica Corporation. Pour utiliser la 3D et Flyover : Effectuez un zoom avant jusqu’à ce que ou soit activé, puis touchez le bouton. Sinon, faites glisser deux doigts vers le haut. Vous pouvez basculer entre la 3D et Flyover en touchant le coin inférieur droit et en modifiant les vues. Pour modifier l’angle de la caméra : Faites glisser deux doigts vers le haut ou vers le bas.Chapitre 14 Plans 89 Réglages de Plans Pour régler les options de Plans : Accédez à Réglages > Plans. Les réglages incluent notamment : • le volume de la voix de navigation (iPhone 4S ou ultérieur) ; • la distance en miles ou en kilomètres ; • la langue et la taille des vignettes.15 90 Accédez aux températures actuelles et aux prévisions à 6 jours pour une ou plusieurs villes du monde entier, avec des prévisions heure par heure pour les 12 prochaines heures. Météo utilise également les Services de localisation pour accéder aux prévisions de votre emplacement actuel. Conditions actuelles Conditions actuelles Ajoutez ou supprimez des villes. Ajoutez ou supprimez des villes. Température actuelle Température actuelle Prévisions météo horaires actualisées Prévisions météo horaires actualisées Nombre de villes enregistrées Nombre de villes enregistrées Si le tableau météo est bleu clair, il fait jour dans cette ville. S’il est violet foncé, il y fait nuit. Pour gérer votre liste de villes : Touchez , puis ajoutez une ville ou apportez d’autres modifications. Touchez OK lorsque vous avez fini. • Pour ajouter une ville : Touchez . Saisissez une ville ou un code postal, puis touchez Rechercher. • Pour modifier l’ordre des villes : Faites glisser vers le haut ou le bas. • Pour supprimer une ville : Touchez , puis touchez Supprimer. • Pour choisir entre degrés Fahrenheit ou Celsius : Touchez °F ou °C. Pour afficher la météo d’une autre ville : Balayez vers la gauche ou la droite. L’écran le plus à gauche affiche la météo locale. Pour afficher les prévisions horaires actuelles : • iPhone 5 : Balayez l’affichage heure par heure à gauche ou à droite. • iPhone 4S ou modèles antérieurs : Touchez Heure par heure. Pour activer ou désactiver Météo locale : Accédez à Réglages > Confidentialité > Service de localisation. Consultez la section Confidentialité à la page 151. MétéoChapitre 15 Météo 91 Pour consulter les informations à propos d’une ville sur yahoo.com : Touchez . Pour envoyer votre liste de villes à vos autres appareils iOS à l’aide d’iCloud : Accédez à Réglages > iCloud > Documents et données, puis activez Documents et données (activé par défaut). Consultez la section iCloud à la page 16.16 92 Passbook vous permet d’organiser tous vos coupons tels que vos cartes d’embarquement ou vos tickets de cinéma, en un seul endroit. Touchez un billet, une carte ou un coupon pour le consulter. Touchez un billet, une carte ou un coupon pour le consulter. Conservez vos cartes-cadeaux, coupons, tickets et autres sur Passbook. Lorsque vous avez besoin de consulter ou d’utiliser l’un d’entre eux, affichez-le dans Passbook ou sur l’écran verrouillé. Pour ajouter un coupon sur Passbook : Touchez Ajouter sur Passbook lorsque vous êtes sur un site web commercial ou que vous consultez un courrier électronique de confirmation. Vous pouvez aussi ajouter un coupon à partir d’une app compatible avec Passbook. Vous devez être connecté à votre compte iCloud pour ajouter des coupons à Passbook. Pour utiliser un coupon : Sélectionnez le coupon, puis pointez le code à barres vers le lecteur ou le scanner. PassbookChapitre 16 Passbook 93 Si le Service de localisation est activé et que le vendeur le prend en charge, un coupon apparaît sur votre écran verrouillé lorsque vous en avez besoin. Par exemple, lors de votre arrivée à l’aéroport, à votre hôtel ou au cinéma. Touchez pour afficher les détails. Touchez pour afficher les détails. Pour obtenir plus d’informations : Touchez . Pour supprimer un coupon : Touchez , puis . Pour empêcher les coupons d’apparaître sur votre écran verrouillé : Accédez à Réglages > Général > Verrouillage par code, touchez Activer code, puis accédez à Autoriser l’accès en mode verrouillage, et Désactiver Passbook. Pour transférer un coupon vers votre autre iPhone ou iPod touch : Accédez à Réglages > iCloud, puis activez Passbook. 17 94 Saisissez des notes sur l’iPhone, et elles sont disponibles sur tous vos autres appareils iOS et ordinateurs Mac grâce à iCloud. Vous pouvez également lire et créer des notes dans d’autres comptes, tels que Gmail ou Yahoo!. Touchez la note pour la modifier. Touchez la note pour la modifier. Supprimez la note. Supprimez la note. Envoyez la note par courrier électronique ou imprimez-la. Envoyez la note par courrier électronique ou imprimez-la. Ajoutez une note. Ajoutez une note. Affichez la liste de notes. Affichez la liste de notes. Affichez la note précédente ou suivante. Affichez la note précédente ou suivante. Pour maintenir vos notes à jour sur vos appareils iOS et vos ordinateurs Mac à l’aide d’iCloud : • Si vous utilisez une adresse électronique me.com ou mac.com pour iCloud : Accédez à Réglages > iCloud, puis activez Notes. • Si vous utilisez un compte Gmail ou un autre compte IMAP pour iCloud : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, puis activez Notes pour le compte. Pour sélectionner le compte par défaut pour les nouvelles notes : Accédez à Réglages > Notes. Pour créer une note dans un compte précis : Touchez Comptes et sélectionnez le compte, puis touchez pour créer la note. Si vous ne voyez pas le bouton Comptes, touchez d’abord le bouton Notes. Pour n’afficher que les notes d’un compte précis : Touchez Comptes et choisissez le compte. Si vous ne voyez pas le bouton Comptes, touchez d’abord Notes. Pour supprimer une note pendant la consultation de la liste des notes : Balayez la note dans la liste vers la gauche ou la droite. NotesChapitre 17 Notes 95 Pour rechercher des notes : Pendant la consultation de la liste des notes, faites défiler la liste jusqu’en haut pour faire apparaître le champ de recherche. Touchez le champ, puis saisissez le texte à rechercher. Vous pouvez également rechercher des notes depuis l’écran d’accueil. Consultez la section Recherche à la page 29. Pour imprimer ou envoyer une note par courrier électronique : Lorsque vous lisez la note, touchez . Pour pouvoir envoyer la note par courrier électronique, l’iPhone doit être configuré pour le courrier électronique. Consultez la section Configuration de Mail et d’autres comptes à la page 15. Pour changer de police : Accédez à Réglages > Notes.18 96 Rappels vous permet de garder la trace de toutes les choses que vous devez faire. Élément accompli Élément accompli Ajoutez un élément. Ajoutez un élément. Affichez les listes. Affichez les listes. Pour consulter les détails d’un rappel : Touchez un rappel. Vous pouvez : • le modifier ou le supprimer ; • définir une échéance ; • définir une priorité ; • ajouter des notes ; • le déplacer vers une autre liste. Rappels peut vous envoyer une alerte lorsque vous arrivez à un lieu ou que vous en partez. Pour ajouter une alerte de lieu : Lorsque vous entrez un rappel, touchez , puis activez « M’avertir à un lieu ». Pour utiliser un autre lieu, touchez votre lieu actuel. Les lieux proposés dans la liste incluent les adresses figurant dans votre fiche d’informations personnelle dans Contacts, par exemple les adresses de domicile et de bureau que vous avez ajoutées. Pour utiliser une autre adresse, touchez Saisir une adresse. Remarque : Les rappels de lieux ne sont pas disponibles sur l’iPhone 3GS. Vous ne pouvez pas régler des lieux pour les rappels dans les comptes Microsoft Exchange et Outlook. RappelsChapitre 18 Rappels 97 Pour effectuer une recherche dans vos rappels : Touchez pour afficher le champ de recherche, ou effectuez une recherche depuis l’écran d’accueil. La recherche dans les rappels est effectuée par nom. Vous pouvez également utiliser Siri pour ajouter ou rechercher des rappels. Pour désactiver les notifications de rappel : Accédez à Réglages > Notifications. Pour en savoir plus, consultez la section Ne pas déranger et Notifications à la page 142. Pour définir le son émis pour les notifications : Accédez à Réglages > Sons. Pour mettre à jour vos rappels sur d’autres appareils : Accédez à Réglages > iCloud, puis activez Rappels. Pour continuer à mettre à jour vos rappels sous OS X Mountain Lion, activez également iCloud sur votre Mac. D’autres types de comptes, comme Exchange, prennent également en charge Rappels. Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, puis activez Rappels pour les comptes à utiliser. Pour configurer une liste par défaut pour les nouveaux rappels : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, puis touchez Liste par défaut sous Rappels.19 98 Ajoutez une horloge. Ajoutez une horloge. Affichez les horloges, réglez une alarme, chronométrez un événement ou réglez un minuteur. Affichez les horloges, réglez une alarme, chronométrez un événement ou réglez un minuteur. Supprimez ou déplacez les horloges. Supprimez ou déplacez les horloges. Pour ajouter une horloge : Touchez , puis tapez le nom d’une ville ou choisissez une ville dans la liste. Si vous ne voyez pas la ville que vous recherchez, essayez une autre grande ville située dans le même fuseau horaire. Pour organiser les horloges : Touchez Modifier, puis faites glisser pour déplacer les horloges ou touchez pour les supprimer. Pour régler une alarme : Touchez Alarme, puis touchez . Pour modifier une alarme : Touchez Modifier, puis touchez pour modifier les réglages de l’alarme ou pour la supprimer. Pour définir un minuteur de veille pour l’iPhone : Définissez un minuteur, touchez Sonnerie, puis choisissez Arrêter la lecture. Horloge20 99 Suivez vos actions, consultez l’évolution du cours dans le temps et obtenez l’actualité de vos investissements. Touchez pour voir la variation en pourcentage. Touchez à nouveau pour afficher la capitalisation boursière. Touchez pour voir la variation en pourcentage. Touchez à nouveau pour afficher la capitalisation boursière. Personnalisez votre liste d’actions. Personnalisez votre liste d’actions. Consultez la page yahoo.fr pour plus d’informations. Consultez la page yahoo.fr pour plus d’informations. Balayez vers la gauche ou la droite pour afficher des statistiques ou des articles d’actualité. Balayez vers la gauche ou la droite pour afficher des statistiques ou des articles d’actualité. Pour gérer votre liste d’actions : Touchez , puis ajoutez des actions ou apportez d’autres modifications. Lorsque vous avez fini, touchez Terminé. • Pour ajouter un élément : Touchez . Saisissez un symbole boursier, le nom d’une société, le nom d’un fonds ou d’un indice, puis touchez Rechercher. • Pour supprimer un élément : Touchez . • Pour modifier l’ordre des éléments : Faites glisser vers le haut ou le bas. Pour afficher les informations boursières : • Pour afficher le pourcentage d’évolution, l’évolution du prix ou la capitalisation boursière : Touchez une valeur le long du bord droit de l’écran. • Pour afficher le récapitulatif, le graphique ou les actualités : Balayez les informations sous la liste des actions. Touchez le titre d’un article pour l’afficher dans Safari. Pour changer la période du graphique, touchez 1j, 1s, 1m, 3m, 6m, 1a ou 2a. • Pour ajouter un article d’actualité à votre liste de lecture : Touchez et maintenez votre doigt sur le titre de l’article, puis touchez « Ajouter à la liste de lecture ». • Pour afficher plus d’informations sur les actions sur yahoo.com : Touchez . BourseChapitre 20 Bourse 100 Les cours peuvent être décalés de 20 minutes ou plus, selon le service de publication. Pour afficher le cours de vos actions sous la forme d’un téléscripteur dans le Centre de notifications, consultez la section Notifications à la page 30. Pour afficher un graphique en plein écran : Faites pivoter l’iPhone en orientation paysage. • Pour afficher la valeur à une date ou une heure précise : Touchez le graphique avec un doigt. • Pour afficher l’évolution de la valeur dans le temps : Touchez le graphique avec deux doigts. Pour maintenir votre liste d’actions à jour sur vos appareils iOS à l’aide d’iCloud : Accédez à Réglages > iCloud > Documents et données, puis activez Documents et données (activé par défaut). Consultez la section iCloud à la page 16.21 101 Kiosque organise vos apps de magazines et journaux et vous prévient lorsque de nouveaux numéros sont disponibles. Touchez une publication et maintenez le doigt dessus pour réorganiser. Touchez une publication et maintenez le doigt dessus pour réorganiser. Trouvez des apps Kiosque. Trouvez des apps Kiosque. Kiosque dispose les apps de magazines et journaux sur une étagère pour vous permettre d’y accéder facilement. Pour trouver des apps Kiosque : Touchez Kiosque pour afficher l’étagère, puis touchez Store. Lorsque vous achetez une app de kiosque, elle est ajoutée à votre étagère. Après le téléchargement de l’app, ouvrez-la pour consulter ses publications et les options d’abonnement. Les abonnements sont des achats intégrés qui sont facturés à votre compte du Store. Pour désactiver les téléchargements automatiques de nouveaux numéros : Accédez à Réglages > Kiosque. Kiosque télécharge les nouveaux numéros lorsque vous êtes connectés au Wi-Fi, si cette option est prise en charge par l’app. Kiosque22 102 En un coup d’œil Utilisez l’iTunes Store pour ajouter de la musique, des séries TV et des podcasts. Navigation Navigation Consultez les achats, les téléchargements et plus encore. Consultez les achats, les téléchargements et plus encore. Utilisez l’iTunes Store pour : • trouver de la musique, des séries TV, des films, des sonneries et plus encore en naviguant ou en effectuant une recherche ; • consulter vos recommandations Genius personnelles ; • télécharger des achats antérieurs ; Remarque : Vous devez disposer d’une connexion Internet et d’un identifiant Apple pour utiliser l’iTunes Store. Pour parcourir du contenu : Touchez l’une des catégories. Touchez Genres pour affiner les listes. Pour afficher plus d’informations concernant un élément, touchez-le. Pour rechercher du contenu : Touchez Recherche puis le champ de recherche, saisissez un ou plusieurs mots, puis touchez Rechercher. Pour écouter un extrait : Touchez un morceau ou une vidéo pour lire un extrait. Pour acheter un article : Touchez le prix de l’élément (ou touchez Gratuit), puis touchez à nouveau pour l’acheter. Si vous avez déjà acheté l’élément, le mot « Télécharger » s’affiche à la place du prix et vous n’êtes pas facturé à nouveau. Pendant le téléchargement d’éléments, touchez Autre, puis Téléchargements pour afficher leur progression. iTunes StoreChapitre 22 iTunes Store 103 Pour louer un film : Dans certaines régions, des films sont disponibles à la location. Vous disposez de 30 jours pour commencer à visionner un film que vous avez loué. Une fois la lecture commencée, vous pouvez le regarder autant de fois que vous le souhaitez pendant 24 heures. Au-delà de ces limites, le film est supprimé. Pour télécharger un achat antérieur : Touchez Autre, puis Achats. Pour télécharger automatiquement les nouveaux achats effectués sur d’autres appareils, accédez à Réglages > iTunes et App Stores. Pour utiliser une carte-cadeau ou un code : Touchez n’importe quelle catégorie (par exemple, Musique), faites défiler l’écran jusqu’en bas, puis touchez Télécharger. Pour consulter ou modifier votre compte : Accédez à Réglages > iTunes et App Stores, touchez votre identifiant Apple, puis touchez Afficher l’identifiant Apple. Touchez un élément pour le modifier. Pour modifier votre mot de passe, touchez le champ Identifiant Apple. Pour activer ou désactiver iTunes Match : Accédez à Réglages > iTunes et App Stores. iTunes Match est un service sur abonnement qui stocke toute votre musique dans iCloud afin que vous puissiez y accéder de n’importe où. Pour ouvrir une session avec un autre identifiant Apple : Accédez à Réglages > iTunes et App Stores, touchez votre nom de compte, puis Déconnexion. La prochaine fois que vous téléchargerez une app, vous pourrez saisir un autre identifiant Apple. Pour télécharger les achats à l’aide du réseau cellulaire : Accédez à Réglages > iTunes et App Stores > Données cellulaires. Le téléchargement des achats et l’utilisation d’iTunes Match sur le réseau cellulaire peut induire des frais facturés par votre opérateur. Modification des boutons de navigation Vous pouvez remplacer et réorganiser les boutons au bas de l’écran. Supposons, par exemple, que vous téléchargiez souvent des sonneries, mais ne regardiez pas beaucoup de séries TV. Vous pouvez alors remplacer Séries TV par Sonneries. Pour modifier les boutons de navigation : Touchez Autre puis Modifier, puis faites glisser un bouton vers le bas de l’écran, par-dessus celui que vous souhaitez remplacer. Lorsque vous avez fini, touchez Terminé.23 104 En un coup d’œil L’App Store vous permet d’explorer, d’acheter et de télécharger des apps sur l’iPhone. Affichez une catégorie. Affichez une catégorie. Consultez les mises à jour et les achats antérieurs. Consultez les mises à jour et les achats antérieurs. Boutons de navigation Boutons de navigation Utilisez l’App Store pour : • trouver des apps gratuites ou payantes en naviguant ou en effectuant une recherche ; • télécharger des achats antérieurs et des mises à jour ; • utiliser une carte-cadeau ou un code de téléchargement ; • recommander une app à un ami ; • gérer votre compte App Store. Remarque : Vous devez disposer d’une connexion Internet et d’un identifiant Apple pour utiliser l’App Store. Pour acheter une app : Touchez le prix de l’app (ou touchez Gratuit), puis touchez Acheter. Si vous avez déjà acheté l’app, le mot « Installer » s’affiche à la place du prix. Vous n’êtes pas facturé si vous la téléchargez à nouveau. Pendant le téléchargement d’une app, l’icône de celle-ci s’affiche sur l’écran d’accueil avec une barre de progression. Pour télécharger un achat antérieur : Touchez Mises à jour, puis Achats. Pour télécharger automatiquement les nouveaux achats effectués sur d’autres appareils, accédez à Réglages > iTunes et App Stores. App StoreChapitre 23 App Store 105 Pour télécharger des apps mises à jour : Touchez Mises à jour. Touchez une app pour en savoir plus sur la nouvelle version, puis touchez Mettre à jour pour la télécharger. Vous pouvez également toucher Tout mettre à jour pour télécharger toutes les apps de la liste. Pour utiliser une carte-cadeau ou un code de téléchargement : Touchez Sélection, faites défiler l’écran jusqu’en bas, puis touchez Télécharger. Pour recommander une app à un ami : Trouvez l’app, puis touchez et sélectionnez la façon dont vous voulez la partager. Pour consulter et modifier votre compte : Accédez à Réglages > iTunes et App Stores, touchez votre identifiant Apple, puis touchez Afficher l’identifiant Apple. Vous pouvez vous inscrire aux newsletters iTunes et voir la politique de confidentialité Apple. Pour modifier votre mot de passe, touchez le champ Identifiant Apple. Pour ouvrir une session avec un autre identifiant Apple : Accédez à Réglages > iTunes et App Stores, touchez votre nom de compte, puis Déconnexion. La prochaine fois que vous téléchargerez une app, vous pourrez saisir un autre identifiant Apple. Pour créer un nouvel identifiant Apple : Accédez à Réglages > iTunes et App Stores, touchez Créer un nouvel identifiant Apple, puis suivez les instructions à l’écran. Pour télécharger les achats à l’aide du réseau cellulaire : Accédez à Réglages > iTunes et App Stores > Données cellulaires. Le téléchargement des achats sur le réseau cellulaire peut induire des frais facturés par votre opérateur. Les apps Kiosque ne peuvent être mises à jour que via Wi-Fi. Suppression d’apps Pour supprimer une app de l’App Store : Touchez son icône sur l’écran d’accueil et maintenez le doigt dessus jusqu’à ce qu’elle se mette à bouger, puis touchez . Vous ne pouvez pas supprimer les apps intégrées. Lorsque vous avez terminé, appuyez sur le bouton principal . La suppression d’une app entraîne également celle de toutes ses données. Vous pouvez télécharger à nouveau gratuitement chaque app achetée sur l’App Store. Pour en savoir plus sur la manière d’effacer l’ensemble de vos apps, données et réglages, consultez la section Réinitialisation à la page 150.24 106 En un coup d’œil Game Center vous permet de profiter de vos jeux préférés avec vos amis possédant eux aussi un iPhone, iPad, iPod touch ou un Mac avec OS X Mountain Lion. AVERTISSEMENT : Pour obtenir des informations importantes sur les troubles liés aux mouvements répétitifs, consultez la section Informations importantes concernant la sécurité à la page 157. Découvrez qui est le meilleur. Découvrez qui est le meilleur. Répondez à une demande d’amitié. Répondez à une demande d’amitié. Consultez une liste des objectifs du jeu. Consultez une liste des objectifs du jeu. Jouez. Jouez. Trouvez un adversaire. Trouvez un adversaire. Choisissez un jeu. Choisissez un jeu. Vérifiez les défis lancés par vos amis. Vérifiez les défis lancés par vos amis. Invitez des amis à jouer à un jeu. Invitez des amis à jouer à un jeu. Indiquez votre statut, modifiez votre photo ou déconnectez-vous. Indiquez votre statut, modifiez votre photo ou déconnectez-vous. Pour vous connecter : Ouvrez Game Center. Si vous voyez votre surnom et votre photo en haut de l’écran, vous êtes déjà connecté. Sinon, saisissez votre identifiant Apple et votre mot de passe, puis touchez Connexion. Vous pouvez vous servir de l’identifiant Apple que vous utilisez avec iCloud ou pour effectuer vos achats dans les Stores, ou toucher Créer un compte si vous souhaitez disposer d’un identifiant Apple différent pour les jeux. Pour acheter un jeu : Touchez Jeux, puis touchez un jeu recommandé, ou touchez Rechercher des jeux de Game Center. Pour jouer à un jeu : Touchez Jeux, puis touchez un jeu et touchez Jouer. Game CenterChapitre 24 Game Center 107 Pour revenir à Game Center après une partie : Appuyez sur le bouton principal , puis touchez Game Center sur l’écran d’accueil. Pour vous déconnecter : Touchez Moi, la bannière du compte, puis Déconnexion. Vous n’avez pas besoin de vous déconnecter chaque fois que vous utilisez Game Center. Jeu avec des amis Pour inviter des amis à jouer à un jeu multijoueur : Touchez Amis, choisissez un ami, choisissez un jeu et touchez Jouer. Si le jeu autorise ou nécessite des joueurs supplémentaires, choisissez d’autres joueurs, puis touchez Suivant. Envoyez votre invitation, puis attendez que les autres acceptent. Lorsque tout le monde est prêt, commencez le jeu. Si un ami n’est pas disponible ou qu’il ne répond pas à votre invitation, vous pouvez toucher Sélection auto. pour que Game Center trouve un autre joueur pour vous ou toucher Inviter un ami pour inviter quelqu’un d’autre. Pour envoyer une demande d’amitié : Touchez Amis ou Demandes, touchez et saisissez l’adresse électronique ou le surnom Game Center de votre ami. Pour parcourir vos contacts, touchez . Pour ajouter plusieurs amis dans une demande, touchez Retour après chaque adresse. Pour inviter quelqu’un à vous défier : Touchez un de vos scores ou réalisations, puis touchez Défier des amis. Pour voir les jeux auxquels un ami joue et consulter ses scores : Touchez Amis, le nom de l’ami, puis Jeux ou Points. Pour acheter un jeu que possède votre ami : Touchez Amis, puis le nom de votre ami. Touchez le jeu dans la liste des jeux de votre ami, puis touchez le prix en haut de l’écran. Pour afficher la liste des amis d’un ami : Touchez Amis, touchez le nom de l’ami et touchez Amis juste sous sa photo. Pour supprimer un ami : Touchez Amis, touchez un nom, puis touchez Supprimer. Pour maintenir la confidentialité de votre adresse électronique : Désactivez Profil public dans vos réglages de compte Game Center. Reportez-vous aux « Réglages Game Center » ci-dessous. Pour désactiver les activités multijoueurs ou les demandes d’amitié : Accédez à Réglages > Général > Restrictions > et désactivez Jeux multijoueurs ou Ajout d’amis. Si les sélecteurs sont désactivés, touchez d’abord Activer les restrictions (en haut). Pour signaler un comportement offensant ou inapproprié : Touchez Amis, touchez le nom de la personne, puis touchez Signaler un problème. Réglages Game Center Certains réglages de Game Center sont associés à l’identifiant Apple que vous utilisez pour vous connecter. D’autres se trouvent dans l’app Réglages de l’iPhone. Pour modifier les réglages de Game Center pour votre identifiant Apple : Connectez-vous avec votre identifiant Apple, touchez Moi, touchez la bannière du compte, puis choisissez Compte. Pour indiquer quelles notifications vous souhaitez pour Game Center : Accédez à Réglages > Notifications > Game Center. Si Game Center n’apparaît pas, activez Notifications. Pour modifier les restrictions concernant Game Center : Accédez à Réglages > Général > Restrictions.25 108 En un coup d’œil L’iPhone vous permet d’accéder aisément à vos listes de contacts, et de les modifier, depuis vos comptes personnels, professionnels et d’entreprise. Ouvrez dans Mail. Ouvrez dans Mail. Envoyez un Tweet. Envoyez un Tweet. Composez un numéro. Composez un numéro. Pour définir votre fiche Mes infos : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, touchez Mes infos, puis sélectionnez la fiche de contact portant votre nom et contenant vos informations. La fiche Mes infos est utilisées par Siri et d’autres apps. Utilisez les champs des personnes liées pour définir les relations dont vous souhaitez informer Siri, pour pouvoir utiliser des phrases telles que « appeler ma sœur ». Pour rechercher des contacts : Touchez le champ de recherche situé en haut de la liste des contacts, puis saisissez ce que vous recherchez. Vous pouvez également rechercher des contacts depuis l’écran d’accueil. Consultez la section Recherche à la page 29. Pour partager un contact : Touchez un contact, puis touchez Envoyer cette fiche. Vous pouvez envoyer les coordonnées par message électronique ou SMS. Pour ajouter un contact : Touchez . Vous ne pouvez pas ajouter de contacts à un répertoire en lecture seule, telle qu’une liste d’adresses globale Microsoft Exchange. Pour ajouter un contact à votre liste de favoris : Choisissez un contact, puis faites défiler vers le bas et touchez le bouton Ajouter aux favoris. La liste des favoris est utilisée par Ne pas Déranger. Consultez la section Ne pas déranger et Notifications à la page 142. ContactsChapitre 25 Contacts 109 Pour ajouter un numéro de téléphone à Contacts lors de la composition : Dans Téléphone, touchez Clavier, saisissez un numéro, puis touchez . Touchez « Créer un nouveau contact », ou « Ajouter à un contact » et choisissez un contact. Pour ajouter un appelant récent à Contacts : Dans Téléphone, touchez Récents, puis en regard du numéro. Touchez alors « Créer un nouveau contact », ou touchez « Ajouter à un contact » et choisissez un contact. Pour supprimer un contact : Choisissez un contact, puis touchez Modifier. Faites défiler vers le bas et touchez Supprimer le contact. Pour modifier un contact : Choisissez un contact, puis touchez Modifier. Vous pouvez : • Ajouter un nouveau champ : Touchez , puis choisissez ou saisissez un libellé pour le champ. • Modifier le libellé d’un champ : Touchez le libellé et choisissez-en un autre. Pour ajouter un nouveau champ, touchez Ajouter un libellé personnalisé. • Modifier la sonnerie ou le son SMS pour le contact : Touchez le champ de sonnerie ou de son SMS, puis touchez un nouveau son. Pour changer le son par défaut des contacts, accédez à Réglages > Sons. • Modifier la vibration de l’iPhone pour les appels et messages d’un contact : Touchez le champ de vibration de sonnerie ou de son SMS, puis sélectionnez un modèle de vibration. Si vous ne voyez pas le champ de vibration, touchez Modifier et ajoutez-le. Pour en savoir plus sur la création de modèles de vibration personnalisés, consultez la section Sons à la page 150. • Attribuer une photo au contact : Touchez Ajouter une photo. Vous pouvez prendre une photo avec l’appareil photo ou utiliser une photo existante. • Mettre à jour des coordonnées à l’aide de Twitter : Accédez à Réglages > Twitter > Actualiser les contacts. Les contacts sont triés à l’aide des adresses électroniques. La fiche de contact des amis que vous suivez est mise à jour avec leur nom d’utilisateur et leur photo Twitter. • Mettre à jour des coordonnées à l’aide de Facebook : Accédez à Réglages > Facebook > Actualiser les contacts. Les contacts sont triés à l’aide des adresses électroniques. La fiche de contact de chaque personne correspondante dans votre liste d’amis est mise à jour avec son nom d’utilisateur et sa photo Facebook. • Insérer une pause dans un numéro de téléphone : Touchez , puis touchez Pause ou Patienter. Chaque pause dure deux secondes. Chaque attente interrompt la composition jusqu’à ce que vous touchiez à nouveau Composer. Utilisez une pause ou une attente pour automatiser la composition d’un numéro de poste ou d’un code, par exemple. Ajout de contacts En plus d’ajouter des contacts sur l’iPhone, vous pouvez : • Utilisez vos contacts iCloud : Accédez à Réglages > iCloud, puis activez Contacts. • Importer vos amis Facebook : Accédez à Réglages > Facebook, puis activez Contacts dans la liste « Autoriser ces apps à utiliser vos comptes ». Un groupe Facebook dans Contacts est alors créé. • Accéder à une liste d’adresses globale Microsoft Exchange : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, touchez votre compte Exchange, puis activez Contacts. • Configurer un compte LDAP ou CardDAV pour accéder à des répertoires d’entreprise ou d’école : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > Ajouter un compte > Autre. Touchez ensuite « Ajouter un compte LDAP » ou « Ajouter un compte CardDAV » et saisissez les informations du compte.Chapitre 25 Contacts 110 • Synchroniser les contacts de votre ordinateur ou vos contacts Yahoo! ou Google : Sur votre ordinateur, activez la synchronisation des contacts dans la sous-fenêtre Infos de l’appareil d’iTunes. Pour en savoir plus, consultez l’Aide iTunes. • Importer des contacts à partir d’une carte SIM (GSM) : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > Importer les contacts SIM. • Importer des contacts à partir d’une vCard : Touchez une pièce jointe .vcf dans un courrier électronique ou un SMS, ou sur une page web. Effectuer une recherche sur un serveur GAL, CardDAV ou LDAP : Touchez Groupes, touchez le répertoire dans lequel vous voulez effectuer la recherche, puis saisissez ce que vous recherchez. Enregistrer des coordonnées depuis un serveur GAL, LDAP ou CardDAV : Recherchez les contacts que vous souhaitez ajouter, puis touchez Ajouter un contact. Afficher ou masquer un groupe : Touchez Groupes puis sélectionnez les groupes que vous voulez voir. Ce bouton apparaît seulement si vous avez plus d’une source de contacts. Lorsque vous avez des contacts provenant de plusieurs sources, vous risquez d’avoir plusieurs entrées pour la même personne. Pour éviter l’apparition de contacts redondants dans la liste Tous les contacts, les contacts de sources différentes dont le nom est identique sont associés et affichés sous forme de contacts unifiés. Lorsque vous consultez un contact unifié, le titre Infos unifiées apparaît en haut de l’écran. Associer un contact : Modifiez un contact, touchez Modifier, puis touchez et choisissez un nom de contact à associer. Les contacts associés ne sont pas combinés. Si vous modifiez les informations d’un contact unifié ou en ajoutez, les modifications sont appliquées à chaque compte source dans lequel les informations figurent déjà. Si vous associez des contacts dont les prénoms ou les noms sont différents, les noms des diffé- rentes fiches ne sont pas modifiés, mais un seul nom apparaît sur la fiche unifiée. Pour choisir quel nom apparaît lorsque vous consultez la fiche unifiée, touchez la fiche associée dont vous préférez le nom, puis touchez Utiliser ce nom pour la fiche unifiée Afficher les informations d’un compte source : Touchez l’un des comptes source. Dissocier un contact : Touchez Modifier, , puis Dissocier. Réglages de Contacts Pour modifier les réglages de Contacts, accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier. Les options disponibles vous permettent de : • modifier le mode de tri des contacts ; • trier les contacts selon leur prénom ou leur nom de famille ; • définir un compte par défaut pour les nouveaux contacts ; • définir votre fiche Mes infos.26 111 Touchez les chiffres et fonctions de la Calculette comme vous le feriez avec une véritable calculatrice. Mettez un numéro en mémoire. Mettez un numéro en mémoire. Effacez la mémoire. Effacez la mémoire. Effacez l’écran. Effacez l’écran. Retirez un numéro de la mémoire. Retirez un numéro de la mémoire. Obtenez un numéro à partir de la mémoire (un anneau blanc indique un numéro conservé en mémoire). Obtenez un numéro à partir de la mémoire (un anneau blanc indique un numéro conservé en mémoire). Pour utiliser la calculette scientifique : Faites pivoter l’iPhone en orientation paysage. Calculette27 112 Choisissez entre nord magnétique et nord géographique. Choisissez entre nord magnétique et nord géographique. Emplacement actuel Emplacement actuel Trouvez la direction dans laquelle votre iPhone est orienté. Trouvez la direction dans laquelle votre iPhone est orienté. Affichez l’endroit où vous vous trouvez dans Plans. Affichez l’endroit où vous vous trouvez dans Plans. Pour trouver la direction dans laquelle votre iPhone est orienté : Tenez l’iPhone à plat dans votre main, parallèlement au sol. Si Service de localisation est désactivé lorsque vous ouvrez Boussole, il peut vous être demandé de l’activer. Vous pouvez utiliser Boussole sans avoir activé Service de localisation. Consultez la section Confidentialité à la page 151. Important : La précision de la boussole peut être diminuée par des interférences magnétiques ou d’autres interférences environnementales. Même les aimants dont sont pourvus les écouteurs de l’iPhone peuvent entraîner une déviation. Utilisez la boussole numérique uniquement comme une aide élémentaire à la navigation, et ne vous fiez pas à elle pour déterminer avec précision une position, la proximité par rapport à un lieu, la distance ou la direction. Boussole28 113 En un coup d’œil Dictaphone vous permet d’utiliser l’iPhone comme un appareil d’enregistrement audio portable en utilisant le micro intégré, le micro externe des écouteurs de l’iPhone ou de votre oreillette Bluetooth, ou un micro externe pris en charge. Lancez, mettez en pause ou arrêtez l’enregistrement. Lancez, mettez en pause ou arrêtez l’enregistrement. Niveau d’enregistrement Niveau d’enregistrement Affichez votre liste d’enregistrements. Affichez votre liste d’enregistrements. Pour eEffectuer un enregistrement : Touchez ou appuyez sur le bouton central des écouteurs. Touchez pour mettre en pause ou pour arrêter l’enregistrement, ou appuyez sur le bouton central des écouteurs. Les enregistrements réalisés à l’aide du micro intégré sont en mono, mais vous pouvez enregistrer en stéréo à l’aide d’un micro stéréo externe compatible avec la prise d’écouteurs de l’iPhone ou le connecteur Lightning (iPhone 5) ou le connecteur Dock (modèles d’iPhone antérieurs). Recherchez les accessoires portant le logo Apple « Works with iPhone » ou « Made for iPhone ». Pour ajuster le niveau d’enregistrement : Rapprochez ou éloignez le micro de la source audio. Pour une meilleure qualité d’enregistrement, le niveau le plus élevé sur le VU-mètre doit être compris entre –3 dB et 0 dB. Pour lire ou couper le son de début/fin : Utilisez les boutons de volume de l’iPhone pour baisser entièrement le volume. Pour utiliser une autre app pendant l’enregistrement : Appuyez sur le bouton principal et ouvrez une app. Pour revenir à Dictaphone, touchez la barre rouge située en haut de l’écran. DictaphoneChapitre 28 Dictaphone 114 Pour lire un enregistrement : Touchez , un enregistrement, puis . Touchez pour mettre en pause. Raccourcissez ou renommez l’enregistrement. Raccourcissez ou renommez l’enregistrement. Écoutez l’enregistrement. Écoutez l’enregistrement. Joignez l’enregistrement à un courrier électronique ou à un message texte. Joignez l’enregistrement à un courrier électronique ou à un message texte. Faites glisser pour passer à un endroit quelconque. Faites glisser pour passer à un endroit quelconque. Passez du haut-parleur au récepteur. Passez du haut-parleur au récepteur. Pour raccourcir un enregistrement : Touchez situé à côté de l’enregistrement, puis touchez Raccourcir. Faites glisser les bords de la séquence audio, puis touchez pour obtenir un aperçu. Ajustez si nécessaire, puis touchez Raccourcir l’enregistrement pour l’enregistrer. Les parties que vous supprimez ne peuvent pas être récupérées. Partage de mémos vocaux avec votre ordinateur iTunes peut synchroniser les mémos vocaux avec votre bibliothèque iTunes lorsque vous connectez l’iPhone à votre ordinateur. Lorsque vous synchronisez des mémos vocaux vers iTunes, ils restent dans l’app Dictaphone jusqu’à ce que vous les supprimiez. Si vous supprimez un mémo vocal sur l’iPhone, il n’est pas supprimé de la liste de lecture Mémos vocaux dans iTunes. Par contre, si vous supprimez un mémo vocal dans iTunes, il sera supprimé de l’iPhone lors de la prochaine synchronisation avec iTunes. Pour synchroniser des mémos vocaux avec iTunes : Connectez votre iPhone à votre ordinateur et sélectionnez l’iPhone dans la liste des appareils d’iTunes. Sélectionnez Musique en haut de l’écran (entre Apps et Films), sélectionnez Synchroniser la musique, puis « Inclure les mémos vocaux », puis cliquez sur Appliquer. Les mémos vocaux de votre iPhone apparaissent dans la liste de lecture Mémos vocaux d’iTunes.29 115 Avec un capteur Nike + iPod (vendu séparément), l’app Nike + iPod fournit des informations vocales sur votre vitesse, la distance, le temps écoulé et les calories brûlées lorsque vous marchez ou courez. Visionnez l’historique de vos entraînements. Visionnez l’historique de vos entraînements. Personnalisez-le en fonction de votre dernier entraînement. Personnalisez-le en fonction de votre dernier entraînement. Choisissez un entraînement standard. Choisissez un entraînement standard. Choisissez un entraînement ou créez un entraînement personnalisé. Choisissez un entraînement ou créez un entraînement personnalisé. Choisissez un type d’entraînement. Choisissez un type d’entraînement. L’app Nike + iPod n’apparaît pas sur l’écran d’accueil tant que vous ne l’avez pas activée. Pour activer Nike + iPod : Accédez à Réglages > Nike + iPod. Nike + iPod recueille les données d’entraînement émises par un capteur sans fil (vendu séparé- ment) fixé sur votre chaussure. Avant la première utilisation, vous devez associer votre capteur à l’iPhone. Pour associer votre capteur à l’iPhone : Fixez le capteur à votre chaussure, puis accédez à Réglages > Nike + iPod > Capteur. Pour commencer un entraînement : Touchez Entraînements et choisissez un entraînement. • Pour suspendre un entraînement : Réactivez l’iPhone et touchez sur l’écran verrouillé. Touchez lorsque vous êtes prêt à continuer. • Pour terminer un entraînement : Réactivez l’iPhone, touchez , puis touchez Terminer. Pour modifier les réglages d’entraînement : Accédez à Réglages > Nike + iPod. Pour étalonner Nike + iPod : Enregistrez un entraînement sur une distance connue d’au moins 400 mètres. Ensuite, lorsque vous avez touché Terminer, touchez Étalonner sur l’écran de résumé de votre entraînement et saisissez la distance réelle parcourue. Nike + iPodChapitre 29 Nike + iPod 116 Pour réinitialiser l’étalonnage par défaut : Accédez à Réglages > Nike + iPod. Pour envoyer des données d’entraînement à nikeplus.com : Alors que l’iPhone est connecté à Internet, ouvrez Nike + iPod, touchez Historique, puis « Envoyer à Nike+ ». Pour consulter vos entraînements sur nikeplus.com : Dans Safari, accédez à nikeplus.com, connectez-vous à votre compte et suivez les instructions à l’écran.30 117 En un coup d’œil L’app iBooks est un excellent moyen de lire et d’acheter des livres. Téléchargez l’app iBooks gratuite sur l’App Store puis profitez des livres de tous les genres, des grands classiques aux best-sellers. Allez sur une autre page. Allez sur une autre page. Signet Signet Contenu, signets et notes Contenu, signets et notes L’app iBooks est un excellent moyen de se distraire avec des livres. Elle permet également de consulter des documents PDF. Téléchargez l’app iBooks gratuite sur l’App Store puis obtenez sur l’iBookstore intégré des livres de tous les genres, des grands classiques aux best-sellers. Pour télé- charger l’app iBooks et utiliser l’iBookstore, vous devez disposer d’une connexion Internet et d’un identifiant Apple. Pour visiter l’iBookstore : Dans iBooks, touchez Store pour : • trouver des livres en naviguant ou en effectuant une recherche ; • obtenir un extrait d’un livre pour savoir s’il vous plaît ; • lire et rédiger des avis, et voir quels sont les best-sellers du moment ; • recommander un livre à un ami par courrier électronique. Pour acheter un livre : Trouvez un livre qui vous intéresse, touchez le prix, puis touchez à nouveau pour obtenir le livre. Pour obtenir des informations sur un livre : Vous pouvez lire un résumé du livre, consulter un avis et lire un extrait du livre avant de l’acheter. Après avoir acheté un livre, vous pouvez donner votre propre avis. iBooksChapitre 30 iBooks 118 Pour télécharger un achat antérieur : Touchez Achats. Pour télécharger pendant que vous naviguez, touchez Télécharger là où apparaît normalement le prix. Vous n’êtes pas facturé à nouveau. Pour télécharger automatiquement les achats effectués sur d’autres appareils, accédez à Réglages > iTunes et App Stores. Lecture de livres Il est facile de lire un livre. Accédez à l’étagère et touchez le livre que vous souhaitez lire. Chaque livre propose un ensemble particulier de fonctionnalités, selon le contenu et le format. Certaines des fonctionnalités décrites ci-après peuvent ne pas être disponibles dans le livre que vous lisez. Pour ouvrir un livre : Touchez le livre que vous voulez lire. S’il ne figure pas sur l’étagère, balayez vers la gauche ou la droite pour afficher d’autres collections. • Pour afficher les commandes : Touchez à proximité du centre de la page. • Pour agrandir une image : Touchez deux fois l’image. Pour certains livres, touchez et maintenez appuyé pour afficher une loupe que vous pouvez utiliser pour regarder une image. • Pour ouvrir une page spécifique : Utilisez les commandes de navigation de page en bas de l’écran. Autrement, touchez et saisissez un numéro de page, puis touchez le numéro de la page dans les résultats de la recherche. • Pour rechercher un mot : Touchez deux fois un mot et réglez les points d’accroche pour ajuster la sélection puis touchez Définir dans le menu qui s’affiche. Les définitions ne sont pas disponibles dans toutes les langues. • Pour afficher la table des matières : Touchez . Dans certains livres, vous pouvez également pincer les doigts pour afficher la table des matières. • Pour ajouter ou supprimer un signet : Touchez . Touchez à nouveau pour supprimer le signet. Vous n’avez pas besoin d’ajouter un signet lorsque vous fermez le livre, car iBooks enregistre automatiquement votre avancement. Vous pouvez définir plusieurs signets ; pour les afficher tous, touchez , puis Signets. Pour annoter un livre : Vous pouvez ajouter des notes et des surlignages à un livre. • Pour ajouter un surlignage : Touchez deux fois un mot, ajustez la sélection à l’aide des poignées, puis touchez Surlignage et choisissez une couleur ou un souligné. • Pour supprimer un surlignage : Touchez le texte surligné, puis . • Pour ajouter une note : Touchez deux fois un mot, touchez Surligner, puis choisissez dans le menu qui s’affiche. • Pour supprimer une note : Supprimez son texte. Pour supprimer la note et le surlignage associé, touchez le texte surligné, puis touchez . • Pour voir toutes vos notes : Touchez , puis Notes. Touchez pour imprimer vos notes ou les envoyer par courrier électronique. Pour modifier l’apparence d’un livre : Certains livres permettent la modification de la taille des caractères, la police et la couleur de la page. • Pour modifier la police ou la taille des caractères : Touchez le centre d’une page pour afficher les commandes, puis touchez . Touchez Polices pour sélectionner un type de caractère. Certains livres vous permettent de modifier la taille des caractères uniquement lorsque l’iPhone est en orientation portrait. • Pour changer la couleur de la page et du texte : Touchez à proximité du centre de la page pour afficher les commandes, touchez , puis Thème. Ce réglage s’applique à tous les livres qui le prennent en charge.Chapitre 30 iBooks 119 • Pour modifier la luminosité : Touchez le centre d’une page pour afficher les commandes, puis touchez . Si vous ne voyez pas , touchez d’abord . • Pour activer ou désactiver la justification et la césure : Accédez à Réglages > iBooks. Il est impossible d’appliquer la justification ou la césure aux documents PDF et à certains livres. Organisation de l’étagère Utilisez l’étagère pour explorer vos livres et documents PDF. Vous pouvez également organiser les éléments en collections. Touchez un livre et maintenez le doigt dessus pour réorganiser. Touchez un livre et maintenez le doigt dessus pour réorganiser. Affichez les collections. Affichez les collections. Pour déplacer un livre ou un document PDF vers une collection : Touchez Modifier. Sélectionnez les éléments que vous souhaitez déplacer, puis touchez Déplacer et sélectionnez une collection. Pour afficher et gérer les collections : Touchez le nom de la collection en cours en haut de l’écran, par exemple Livres ou Documents PDF, afin d’afficher la liste des collections. Vous ne pouvez modifier ou supprimer les collections de livres et de documents PDF intégrées. Pour trier la bibliothèque : Touchez la barre d’état pour faire défiler jusqu’en haut de l’écran, puis touchez et sélectionnez un mode de tri au bas de l’écran. Pour supprimer un élément de l’étagère : Touchez Modifier, puis touchez chaque élément que vous souhaitez supprimer de manière qu’une coche apparaisse. Touchez Supprimer. Lorsque vous avez fini, touchez Terminé. Si vous supprimez un élément acheté, vous pouvez le télécharger à nouveau depuis l’onglet Achats de l’iBookstore. Pour rechercher un livre : Accédez à l’étagère. Touchez la barre d’état pour faire défiler jusqu’en haut de l’écran, puis touchez . La recherche concerne le titre et le nom de l’auteur. Synchronisation de livres et de documents PDF Utilisez iTunes pour synchroniser vos livres et documents PDF entre l’iPhone et votre ordinateur et pour acheter des livres dans l’iTunes Store. Lorsque l’iPhone est connecté à votre ordinateur, la sous-fenêtre Livres vous permet de choisir quels éléments synchroniser. Vous pouvez également trouver des livres ePub sans DRM et des documents PDF sur le Web et les ajouter à votre bibliothèque iTunes.Chapitre 30 iBooks 120 Pour synchroniser un livre ou un document PDF avec l’iPhone : Sur iTunes sur votre ordinateur, choisissez Fichier > Ajouter à la bibliothèque et sélectionnez le fichier. Lancez ensuite la synchronisation. Pour ajouter un livre ou un document PDF à iBooks sans effectuer de synchronisation : Si le livre ou le document PDF n’est pas trop volumineux, envoyez-vous le fichier par courrier électronique depuis votre ordinateur. Ouvrez le courrier électronique sur l’iPhone, puis maintenez le doigt sur la pièce jointe et choisissez Ouvrir dans iBooks à partir du menu qui apparaît. Impression ou envoi par courrier d’un document PDF Vous pouvez utiliser iBooks pour envoyer une copie d’un document PDF par courrier électronique ou pour l’imprimer en totalité ou en partie sur une imprimante AirPrint. Pour envoyer un document PDF par courrier électronique : Ouvrez le document PDF, touchez et choisissez Envoyer par courrier. Pour imprimer un document PDF : Ouvrez le document PDF, touchez et choisissez Imprimer. Pour en savoir plus, consultez la section Impression à l’aide d’AirPrint à la page 33. Réglages d’iBooks iBooks stocke vos collections, signets, notes et informations sur la page actuelle à l’aide de votre identifiant Apple, ce qui vous permet de lire des livres de manière continue sur tous vos appareils iOS. iBooks enregistre les informations concernant tous vos livres lorsque vous ouvrez ou quittez l’app. Les informations concernant les livres individuels sont également enregistrées lorsque vous ouvrez ou fermez ces derniers. Poiur activer ou désactiver la synchronisation : Accédez à Réglages > iBooks. Vous pouvez aussi synchroniser les collections et les signets. Certains livres peuvent accéder à du contenu vidéo ou audio stocké sur le web. Si l’iPhone dispose d’une connexion de données cellulaires, la lecture de ces fichiers peut engendrer l’application de frais par votre opérateur. Pour activer ou désactiver l’accès à du contenu vidéo ou audio en ligne : Accédez à Réglages > iBooks > Audio et vidéo en ligne. Pour modifier la direction dans laquelle la page se tourne lorsque vous touchez la marge gauche : Accédez à Réglages > iBooks > Toucher marge de gauche.31 121 Téléchargez l’app Podcasts gratuite sur l’App Store, explorez, abonnez-vous et lisez vos podcasts audio et vidéo préférés. Affichez les podcasts dans votre bibliothèque. Affichez les podcasts dans votre bibliothèque. Parcourez tous les podcasts disponibles. Parcourez tous les podcasts disponibles. Touchez un podcast pour afficher les épisodes disponibles. Touchez un podcast pour afficher les épisodes disponibles. Naviguez et écoutez un extrait des podcasts les plus populaires. Naviguez et écoutez un extrait des podcasts les plus populaires. Faites défiler pour afficher toute votre bibliothèque. Faites défiler pour afficher toute votre bibliothèque. Affichez les commandes de lecture. Affichez les commandes de lecture. Pour obtenir des podcasts : • Explorer le catalogue entier : Touchez Catalogue, puis un podcast qui vous intéresse. • Explorer les podcasts les plus populaires : Touchez Stations les mieux classées (si vous ne les voyez pas , touchez d’abord Bibliothèque). Balayez vers la gauche ou la droite pour changer de catégorie, ou balayez vers le haut ou vers le bas pour explorer la catégorie actuelle. Touchez un podcast pour afficher un aperçu du dernier épisode ou touchez pour afficher une liste d’épisodes. • Pour diffuser un épisode : Touchez un épisode. • Pour télécharger un épisode que vous pouvez écouter lorsque vous n’êtes pas connecté au Wi-Fi : Touchez en regard d’un épisode. • Pour vous abonner à un podcast afin de toujours obtenir le dernier épisode : Lorsque vous explorez le catalogue, touchez un podcast pour afficher la liste des épisodes, puis touchez S’abonner. Si vous avez déjà téléchargé un épisode, touchez le podcast dans votre bibliothèque, puis touchez-le à nouveau en haut de la liste des épisodes et activez Abonnement. • Pour obtenir automatiquement le dernier épisode d’un podcast auquel vous êtes abonné : Touchez le podcast dans votre bibliothèque, touchez-le à nouveau en haut de la liste des épisodes, puis activez Télécharger automatiquement. PodcastsChapitre 31 Podcasts 122 Pour contrôler la lecture audio : Balayez vers le haut l’illustration du podcast en cours de lecture pour afficher toutes les commandes de lecture. Visionnez l’épisode précédent. Visionnez l’épisode précédent. Partagez ce podcast. Partagez ce podcast. Passez à l’épisode suivant. Passez à l’épisode suivant. Avancez de 30  secondes. Avancez de 30  secondes. Réglez le minuteur de veille. Réglez le minuteur de veille. Faites glisser la tête de lecture pour écouter un autre passage du podcast. Faites glisser la tête de lecture pour écouter un autre passage du podcast. Balayez vers le haut ou vers le bas pour afficher ou masquer les commandes. Balayez vers le haut ou vers le bas pour afficher ou masquer les commandes. Ajustez la vitesse de lecture. Ajustez la vitesse de lecture. Pour contrôler la lecture vidéo : Touchez l’écran lorsque vous regardez un podcast vidéo.32 123 Fonctionnalités d’accessibilité L’iPhone intègre les fonctionnalités d’accessibilité suivantes : • VoiceOver • Acheminement de l’audio des appels • Assistant vocal Siri • Augmentation de l’agrandissement • Grande police • Inverser les couleurs • Énoncer la sélection • Énonciation auto • Audio mono et balance • Appareils auditifs et Mode appareil auditif • Sonneries assignables et vibreur • Flash LED pour alertes • Accès guidé • AssistiveTouch • Prise en charge des affichages Braille • Lecture de contenu avec sous-titres codés Activer les fonctions d’Accessibilité sur l’iPhone : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité. Activer les fonctions d’Accessibilité à l’aide d’iTunes : Connectez votre iPhone à votre ordinateur et sélectionnez l’iPhone dans la liste des appareils d’iTunes. Cliquez sur Résumé, puis sur Configurer Accès universel au bas de l’écran Résumé. Pour en savoir plus sur les fonctionnalités d’accessibilité de l’iPhone, consultez la page www.apple.com/fr/accessibility. Vous ne pouvez activer ou désactiver la fonctionnalité Grande police que dans les réglages de l’iPhone. Consultez la section Grande police à la page 135. VoiceOver VoiceOver décrit vocalement le contenu de l’écran, ce qui permet d’utiliser l’iPhone sans le voir. VoiceOver décrit chaque élément que vous sélectionnez à l’écran. Lorsque vous sélectionnez un élément, le curseur VoiceOver (un rectangle noir) l’entoure et VoiceOver énonce le nom de l’élé- ment ou le décrit. AccessibilitéChapitre 32 Accessibilité 124 Touchez l’écran ou faites glisser vos doigts pour énoncer les différents éléments à l’écran. Lorsque du texte est sélectionné, VoiceOver lit le texte. Si l’option Énoncer les conseils est activée, VoiceOver peut vous renseigner sur le nom de l’élément ou vous fournir des instructions, par exemple « toucher deux fois pour ouvrir ». Pour interagir avec des éléments de l’écran, tels que des boutons et des liens, utilisez les gestes décrits dans la section À propos des gestes de VoiceOver à la page 126. Lorsque vous accédez à un nouvel écran, VoiceOver émet un son, puis sélectionne et lit automatiquement le premier élément de l’écran (généralement celui situé dans le coin supérieur gauche). VoiceOver vous avertit également lorsque l’orientation de l’écran passe en orientation paysage ou portrait, ou lorsque l’écran se verrouille ou se déverrouille. Remarque : VoiceOver parle dans la langue définie dans les réglages International, qui peut dépendre du réglage Format régional dans Réglages > Général > International. VoiceOver est disponible dans de nombreuses langues, mais pas toutes. Notions élémentaires sur VoiceOver Important : VoiceOver change les gestes utilisés pour contrôler l’iPhone. Lorsque VoiceOver est activé, vous devez utiliser les gestes de VoiceOver pour contrôler l’iPhone, même pour désactiver à nouveau VoiceOver et revenir au mode de fonctionnement standard. Pour activer ou désactiver VoiceOver : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver. Vous pouvez également régler la fonction Triple clic sur le bouton principal de manière à activer ou désactiver VoiceOver. Consultez la section Triple clic sur le bouton principal à la page 134. Pour parcourir l’écran : Faites glisser votre doigt sur l’écran. VoiceOver énonce chaque élément que vous touchez. Levez le doigt pour laisser un élément sélectionné. • Pour sélectionner un élément : Touchez-le ou levez le doigt pendant que vous le faites glisser. • Pour sélectionner l’élément suivant ou précédent : Balayez vers la droite ou la gauche avec un doigt. Les éléments sont ordonnés de la gauche vers la droite et de haut en bas. • Pour sélectionner l’élément situé au-dessus ou au-dessous : Utilisez le rotor pour activer la navigation verticale, puis balayez vers le haut ou le bas avec un doigt. • Pour sélectionner le premier ou le dernier élément à l’écran : Balayez l’écran vers le haut ou le bas avec quatre doigts. • Pour sélectionner un élément par son nom : Touchez trois fois avec deux doigts n’importe où sur l’écran pour ouvrir le Sélecteur d’élément. Saisissez ensuite un nom dans le champ de recherche ou balayez vers la gauche ou vers la droite pour vous déplacer dans la liste par ordre alphabétique, ou touchez l’index du tableau à droite de la liste et balayez vers le haut ou le bas pour rapidement vous déplacer dans la liste des éléments. • Pour renommer l’élément sélectionné afin de le retrouver plus facilement : Touchez et maintenez appuyés deux doigts sur l’écran. • Pour lire le texte de l’élément sélectionné : Réglez le rotor de contrôle sur les caractères ou les mots, puis feuilletez vers le bas ou le haut avec un doigt. • Pour activer ou désactiver l’énonciation des conseils : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver. • Pour inclure la lecture phonétique : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Alphabet radio. • Pour énoncer tout le contenu de l’écran en partant du début : Balayez l’écran vers le haut avec deux doigts.Chapitre 32 Accessibilité 125 • Pour énoncer le contenu de l’élément actuel jusqu’au bas de l’écran : Balayez l’écran vers le bas avec deux doigts. • Pour arrêter l’énonciation : Touchez une fois avec deux doigts. Vous pouvez toucher à nouveau avec deux doigts pour reprendre l’énonciation. La lecture reprend lorsque vous sélectionnez un autre élément. • Pour désactiver le son VoiceOver : Touchez trois fois de suite avec trois doigts. Répétez l’action pour réactiver la fonction de lecture. Pour couper uniquement les sons VoiceOver, réglez le commutateur Sonnerie/Silence sur Silence. Si un clavier externe est connecté, vous pouvez également appuyer sur la touche Contrôle du clavier pour activer ou désactiver le son de VoiceOver. Pour régler la voix d’énonciation : Vous pouvez modifier les caractéristiques de la voix d’énonciation de VoiceOver pour la comprendre plus facilement : • Pour modifier le volume de l’énonciation : Utilisez les boutons de volume de l’iPhone. Vous pouvez également ajouter la fonctionnalité de réglage du volume au rotor, puis balayer vers le haut et le bas pour régler le volume ; consultez la section Utilisation du rotor de contrôle de VoiceOver à la page 128. • Pour modifier le débit de l’énonciation : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver, et déplacez le curseur Débit vocal. Vous pouvez également ajouter la fonction Débit vocal au rotor, puis balayer vers le haut ou le bas pour ajuster le réglage. • Pour utiliser le changement de ton : VoiceOver utilise une voix plus aiguë lorsqu’il énonce le premier élément d’un groupe (par exemple, une liste ou un tableau), et plus grave lorsqu’il en énonce le dernier. Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Changement de ton. • Pour changer la langue de l’iPhone : Accédez à Réglages > Général > International > Langue. Le réglage Réglages > Général > International > Format régional a un impact sur la prononciation de VoiceOver dans certaines langues. • Pour modifier la prononciation : Réglez le rotor sur Langue, puis balayez vers le haut ou le bas. Langue n’est disponible dans le rotor que si vous sélectionnez plusieurs prononciations. • Pour sélectionner les prononciations disponibles dans le rotor de langue : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Rotor de langue. Pour changer la position d’une langue dans la liste, faites glisser vers le haut ou le bas. • Pour modifier la voix d’énonciation de base : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Utiliser la voix compacte. Utilisation de l’iPhone avec VoiceOver Pour déverrouiller l’iPhone : Sélectionnez le curseur Déverrouiller, puis touchez deux fois l’écran. Pour « Toucher » pour activer l’élément sélectionné : Touchez deux fois n’importe quel endroit de l’écran. Pour « Toucher deux fois » l’élément sélectionné : Touchez trois fois n’importe quel endroit de l’écran. Pour régler un curseur : Sélectionnez le curseur, puis balayez vers le haut ou le bas avec un doigt. Pour utiliser un geste standard lorsque VoiceOver est activé : Touchez deux fois l’écran et maintenez votre doigt dessus. Une série de sons indique que les gestes normaux sont activés. Ils demeurent activés jusqu’à ce que vous leviez votre doigt ; les gestes VoiceOver sont alors réactivés.Chapitre 32 Accessibilité 126 Pour faire défiler une liste ou une zone de l’écran : Balayez l’écran vers le haut ou le bas avec trois doigts. Si vous faites défiler les pages d’une liste, VoiceOver énonce la plage d’éléments affichée (par exemple, « affichage des lignes 5 à 10 »). • Pour faire défiler une liste en continu : Touchez deux fois et maintenez votre doigt sur l’écran. Lorsque vous entendez une série de sons, déplacez votre doigt vers le bas ou le haut pour faire défiler la liste. Le défilement continu s’arrête lorsque vous retirez le doigt. • Pour utiliser un index de liste : Certaines listes présentent un index alphabétique sur le côté droit. Vous ne pouvez pas sélectionner l’index en balayant votre doigt entre les éléments ; vous devez toucher l’index directement pour cela. Lorsque l’index est sélectionné, balayez vers le haut ou le bas pour faire défiler. Vous pouvez également toucher deux fois, puis faire glisser votre doigt vers le haut ou le bas. • Pour réorganiser une liste : Vous pouvez modifier l’ordre des éléments dans certaines listes, tels que les réglages des listes Rotor et Rotor de langue dans les réglages Accessibilité. Sélectionnez à droite d’un élément, touchez deux fois et maintenez votre doigt dessus jusqu’à entendre un son, puis faites glisser vers le haut ou le bas. VoiceOver énonce l’élément déplacé vers le haut ou le bas en fonction de la direction de votre glissement. Pour réorganiser l’écran d’accueil : Sur l’écran d’accueil, sélectionnez l’icône que vous souhaitez déplacer. Touchez deux fois l’icône et maintenez votre doigt dessus, puis faites-la glisser. VoiceOver énonce la position (ligne et colonne) à mesure que vous faites glisser l’icône. Relâchez l’icône lorsqu’elle est placée où vous le souhaitez. Vous pouvez faire glisser d’autres icônes. Faites glisser un élément vers le bord gauche ou droit de l’écran pour le déplacer vers une autre page de l’écran d’accueil. Lorsque vous avez terminé, appuyez sur le bouton principal . Pour énoncer les informations sur l’état de l’iPhone : Touchez le haut de l’écran pour connaître l’heure, le niveau de charge de la batterie, la puissance du signal Wi-Fi, etc. Pour énoncer les notifications : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver et activez Lire les notifications. Les notifications, y compris le texte des messages texte entrants, sont énoncées au fur et à mesure qu’elles apparaissent, même si l’iPhone est verrouillé. Les notifications ignorées sont répétées lorsque vous déverrouillez l’iPhone. Pour activer ou désactiver le rideau d’écran : Touchez quatre fois avec trois doigts. Lorsque le rideau d’écran est activé, le contenu de l’écran est actif même si rien ne s’affiche. À propos des gestes de VoiceOver Lorsque le mode VoiceOver est activé, les gestes standard effectués sur l’écran tactile donnent des résultats différents. Ces gestes et d’autres permettent de se déplacer à l’écran et de contrôler les éléments sélectionnés. VoiceOver comprend des gestes de toucher ou de balayage à deux ou trois doigts. Pour de meilleurs résultats lors de l’utilisation de ces derniers, gardez les doigts détendus et écartez-les un peu lorsqu’ils touchent l’écran. Il existe plusieurs techniques pour utiliser des gestes dans VoiceOver. Vous pouvez par exemple utiliser deux doigts d’une main ou un doigt de chaque main pour toucher l’écran. Vous pouvez également utiliser vos pouces. « Toucher en deux temps » est souvent considéré comme très efficace : au lieu de sélectionner un élément puis de le toucher deux fois, vous pouvez toucher l’élément d’un doigt et maintenir le doigt dessus, puis toucher l’écran d’un autre doigt. Essayez différentes techniques pour découvrir celle qui vous convient le mieux. Si vos gestes ne fonctionnent pas, essayez des mouvements plus rapides, notamment pour toucher deux fois et balayer l’écran. Pour ce dernier geste, essayez de feuilleter rapidement l’écran d’un ou plusieurs doigts. Lorsque le mode VoiceOver est activé, le bouton Entraînement VoiceOver apparaît pour vous permettre de vous entraîner aux gestes VoiceOver avant de continuer.Chapitre 32 Accessibilité 127 Pour vous exercer aux gestes de VoiceOver : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver, puis touchez Entraînement VoiceOver. Lorsque vous avez fini de vous exercer, touchez Terminé. Si le bouton Entraînement VoiceOver n’est pas visible, assurez-vous que le mode VoiceOver est activé. Les principaux gestes VoiceOver sont : Naviguer et lire • Toucher : énonce l’élément. • Balayer vers la gauche ou la droite : sélectionne l’élément précédent ou suivant. • Balayer vers le haut ou le bas : varie selon le réglage du rotor de contrôle. Consultez la section Utilisation du rotor de contrôle de VoiceOver à la page 128. • Toucher avec deux doigts : arrête d’énoncer l’élément en cours. • Feuilleter vers le haut avec deux doigts : lit tout depuis le haut de l’écran. • Feuilleter vers le bas avec deux doigts : lit tout depuis la position actuelle. • Gratter avec deux doigts : déplacer deux doigts rapidement en dessinant un « z » fait disparaître une alerte ou revient à l’écran précédent. • Balayer vers le haut ou le bas avec trois doigts : fait défiler page par page. • Balayer vers la gauche ou la droite avec trois doigts : affiche la page précédente ou suivante (par exemple l’écran d’accueil, Bourse ou Safari). • Toucher avec trois doigts : énonce des informations supplémentaires, telles que la position dans une liste ou si le texte est sélectionné. • Toucher le haut de l’écran avec quatre doigts : sélectionne le premier élément de la page. • Toucher le bas de l’écran avec quatre doigts : sélectionne le dernier élément de la page. Activer • Toucher deux fois : active l’élément sélectionné. • Toucher trois fois : touche deux fois l’élément. • Toucher en deux temps : Au lieu de sélectionner un élément puis de le toucher deux fois pour l’activer, vous pouvez toucher l’élément d’un doigt et maintenir le doigt dessus, puis toucher l’écran d’un autre doigt. • Toucher deux fois et maintenir la position pendant 1 seconde + geste standard : utilise un geste standard. Lorsque vous touchez deux fois l’écran et maintenez la position, cela indique à l’iPhone que le prochain geste doit être interprété comme un geste standard. Par exemple, touchez deux fois l’écran et maintenez la position puis, sans soulever le doigt, faites-le glisser pour activer/désactiver un commutateur. • Toucher deux fois avec deux doigts : Permet de passer ou interrompre un appel. Lance la lecture ou la suspend dans Musique, Vidéos, Dictaphone ou Photos. Prend une photo dans Appareil photo. Démarre ou suspend l’enregistrement dans Appareil photo ou Dictaphone. Lance ou arrête le chronomètre. • Toucher deux fois avec deux doigts et maintenir la position : Modifie le libellé d’un élément afin de le retrouver plus facilement. • Toucher trois fois avec deux doigts : ouvre le Sélecteur d’élément. • Toucher trois fois avec trois doigts : active ou désactive le son VoiceOver. • Toucher quatre fois avec trois doigts : active ou désactive le rideau d’écran.Chapitre 32 Accessibilité 128 Utilisation du rotor de contrôle de VoiceOver Utilisez le rotor pour définir l’effet du balayage vers le haut ou le bas avec VoiceOver activé. Utiliser le rotor : Effectuez un mouvement circulaire avec deux doigts sur l’écran de l’iPhone autour d’un point entre vos doigts. Modifier les options incluses dans le rotor : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Rotor et sélectionnez les options dont vous souhaitez disposer dans le rotor. L’effet du réglage du rotor varie selon l’application ouverte. Par exemple, si vous lisez un message électronique, vous pouvez utiliser le rotor pour passer de la lecture mot à mot à la lecture caractère par caractère en balayant vers le haut ou le bas. Lorsque vous parcourez une page web, vous pouvez régler le rotor pour qu’il énonce tout le texte (mot à mot ou caractère par caractère) ou écouter seulement le texte d’un certain type, par exemple les titres ou les liens. Saisie et édition de texte avec VoiceOver Lorsque vous modifiez un champ de texte éditable, vous pouvez utiliser le clavier à l’écran ou un clavier externe connecté à l’iPhone pour saisir du texte. Saisir du texte : Sélectionnez un champ de texte éditable, touchez deux fois pour afficher le point d’insertion sur le clavier à l’écran, puis saisissez des caractères. • Saisie standard : sélectionnez une touche du clavier en balayant vers la gauche ou la droite, puis touchez deux fois pour saisir le caractère. Une autre solution consiste à faire glisser le doigt sur le clavier pour sélectionner une touche, puis à maintenir le doigt dessus et à toucher l’écran avec un autre doigt. VoiceOver énonce la touche lorsque vous la sélectionnez et de nouveau lorsque le caractère est saisi. • Saisie dactylographique : touchez une touche du clavier pour la sélectionner, puis levez votre doigt pour saisir le caractère. Si vous touchez une touche incorrecte, déplacez votre doigt jusqu’à sélectionner celle que vous souhaitez. VoiceOver énonce le caractère correspondant à la touche que vous touchez, mais ne le saisit que lorsque vous levez le doigt. La saisie dactylographique ne fonctionne que pour les touches qui saisissent du texte ; utilisez la saisie standard pour les autres touches, notamment Maj, Supprimer et Retour. • Pour choisir entre saisie standard et dactylographique : Activez VoiceOver et sélectionnez une touche du clavier, puis utilisez le rotor pour sélectionner Mode de saisie et balayez vers le haut ou le bas. Déplacer le point d’insertion : Balayez vers le haut ou le bas pour déplacer le point d’insertion vers l’avant ou l’arrière dans le corps du texte. Utilisez le rotor pour choisir si vous voulez déplacer le point d’insertion d’un caractère, d’un mot ou d’une ligne à l’autre. VoiceOver émet un son lorsque le point d’insertion se déplace et énonce le caractère, le mot ou la ligne sur lesquels il passe. Lorsque le déplacement est vers l’avant par mot, le point d’insertion est placé à la fin du mot traversé, avant l’espace ou le signe de ponctuation qui suit. Lorsque le déplacement est vers l’arrière, le point d’insertion est placé à la fin du mot précédent, avant l’espace ou le signe de ponctuation qui suit.Chapitre 32 Accessibilité 129 Pour placer le point d’insertion après le signe de ponctuation suivant un mot ou une phrase : utilisez le rotor pour basculer en mode caractère. Lorsque le point d’insertion est déplacé ligne par ligne, VoiceOver énonce chaque ligne sur laquelle il passe. Lorsque le déplacement est vers l’avant, le point d’insertion est placé au début de la ligne suivante (sauf lorsque vous avez atteint la dernière ligne d’un paragraphe, auquel cas le point d’insertion est placé à la fin de la ligne énoncée). Lorsque le déplacement est vers l’arrière, le point d’insertion est placé au début de la ligne énoncée. Pour changer le mode de lecture du texte saisi : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Énoncer la saisie. Pour utiliser l’alphabet radio dans la lecture du texte saisi : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Alphabet radio. Le texte est lu caractère par caractère. VoiceOver commence par énoncer le caractère, puis son équivalent phonétique (par exemple, « f » puis « foxtrot »). Pour supprimer un caractère : Sélectionnez et touchez deux fois ou touchez en deux temps. Vous devez effectuer cette opération même en saisie dactylographique. Pour supprimer plusieurs caractères, touchez la touche Supprimer, maintenez le doigt dessus puis touchez une fois l’écran d’un autre doigt pour chaque caractère à supprimer. VoiceOver énonce le caractère supprimé. Si vous avez activé la fonction Changement de ton, VoiceOver énonce les caractères supprimés d’une voix plus grave. Pour sélectionner du texte : Sélectionnez le rotor pour Modifier, puis balayez vers le haut ou le bas pour choisir Sélectionner ou Tout sélectionner, puis touchez deux fois l’écran. Si vous choisissez Sélectionner, le mot le plus proche du point d’insertion est sélectionné lorsque vous touchez deux fois. Si vous choisissez Tout sélectionner, le texte entier est sélectionné. Pincez les doigts pour augmenter ou réduire la sélection. Pour couper, copier ou coller : Assurez-vous que le rotor est réglé sur Modification. Sélectionnez du texte puis balayez vers le haut ou le bas pour choisir Couper, Copier ou Coller, puis touchez deux fois. Pour annuler : Secouez l’iPhone, balayez vers la gauche ou vers la droite pour choisir l’action à annuler, puis touchez deux fois. Pour saisir un caractère accentué : En mode de saisie standard, sélectionnez le caractère puis touchez-le deux fois et maintenez le doigt dessus jusqu’à entendre un son indiquant l’apparition d’autres caractères. Faites glisser vers la gauche ou vers la droite pour sélectionner et entendre les possibilités. Relâchez le doigt pour saisir la sélection en cours. Pour changer la langue du clavier : Réglez le rotor sur Langue, puis balayez vers le haut ou le bas. Choisissez « langue par défaut » pour utiliser la langue précisée dans les réglages International. Le rotor de langue apparaît seulement lorsque vous sélectionnez plusieurs langues dans Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Rotor de langue. Appels téléphoniques avec VoiceOver Pour passer ou interrompre un appel : Touchez l’écran deux fois de suite avec deux doigts. Lorsque le mode VoiceOver est activé et qu’un appel téléphonique est établi, l’écran affiche le clavier numérique par défaut et non les options d’appel. Pour afficher les options d’appel : Sélectionnez le bouton Menu en bas à droite et touchez deux fois. Pour afficher à nouveau le clavier numérique : Sélectionnez le bouton Clavier au centre de l’écran et touchez deux fois.Chapitre 32 Accessibilité 130 Utilisation de VoiceOver avec Safari Lorsque vous effectuez des recherches sur Internet dans Safari avec le mode VoiceOver activé, les éléments du rotor Résultats de recherche vous permettent d’entendre la liste des phrases de recherche suggérées. Pour effectuer des recherches sur le Web : Sélectionnez le champ de recherche, saisissez votre recherche, puis balayez vers la droite ou la gauche pour avancer ou reculer dans la liste des phrases de recherche suggérées. Touchez deux fois l’écran pour rechercher sur Internet en utilisant la phrase sélectionnée. Pour définir les options du rotor pour la navigation web : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Rotor. Touchez pour sélectionner ou désélectionner des options, ou faites glisser vers le haut pour repositionner un élément. Pour passer des images pendant la navigation : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Parcourir les images. Vous pouvez choisir de passer toutes les images ou seulement celles qui ne possèdent pas de descriptions. Pour réduire l’encombrement de la page et faciliter ainsi la lecture et la navigation : Sélectionnez Lecteur dans le champ d’adresse de Safari (cette fonctionnalité n’est pas disponible pour toutes les pages). Utilisation de VoiceOver avec Plan Vous pouvez utiliser VoiceOver pour explorer une région, parcourir des points d’intérêt, suivre des routes, effectuer un zoom avant ou arrière, sélectionner un repère ou obtenir des informations sur un lieu. Pour parcourir la carte : Faites glisser votre doigt sur l’écran ou balayez vers la gauche ou la droite pour passer à un autre élément. Pour effectuer un zoom avant ou arrière : Sélectionnez la carte, réglez le rotor sur Zoom, puis balayez vers le haut ou le bas avec un doigt. Pour effectuer un panoramique de la carte : Balayez l’écran avec trois doigts. Pour parcourir les points d’intérêt visibles : Réglez le rotor sur Points d’intérêt, puis balayez vers le haut ou le bas avec un doigt. Pour suivre une route : Maintenez votre doigt sur la route, attendez jusqu’à entendre « mettre en pause pour suivre », puis déplacez votre doigt le long de la route tout en écoutant le guide vocal. Le ton devient plus aigu lorsque vous vous écartez de la route. Pour sélectionner un repère : Touchez un repère ou balayez vers la gauche ou vers la droite pour sélectionner le repère. Pour obtenir des informations sur une position géographique : Lorsqu’un repère est sélectionné, touchez-le deux fois rapidement pour afficher l’écran d’informations. Balayez vers la gauche ou vers la droite pour sélectionner le bouton d’expansion, puis touchez deux fois l’écran pour afficher la page d’informations. Pour entendre les signaux de location lorsque vous vous déplacez : Activez le suivi avec direction pour entendre les noms de rue et les points d’intérêt lorsque vous vous en approchez.Chapitre 32 Accessibilité 131 Modification des vidéos et des mémos vocaux avec VoiceOver Vous pouvez utiliser des gestes VoiceOver pour raccourcir des vidéos d’Appareil photo et des enregistrements de Dictaphone. Pour raccourcir un mémo vocal : Sur l’écran Mémos vocaux, sélectionnez le bouton à droite du mémo que vous voulez raccourcir, puis touchez-le deux fois rapidement. Sélectionnez ensuite Raccourcir, puis touchez deux fois l’écran. Sélectionnez le début ou la fin de l’outil de raccourcissement. Balayez l’écran vers le haut pour faire défiler vers la droite ou balayez vers le bas pour le faire glisser vers la gauche. VoiceOver annonce la durée qui sera supprimée de l’enregistrement à partir de la position actuelle. Pour terminer le raccourcissement, sélectionnez Raccourcir l’enregistrement et touchez deux fois l’option. Pour raccourcir une vidéo : Lors de la lecture d’une vidéo dans Photos, touchez deux fois l’écran pour afficher les commandes vidéo puis sélectionnez le début ou la fin de l’outil de raccourcissement. Ensuite, balayez l’écran vers le haut pour faire défiler vers la droite ou balayez vers le bas pour le faire glisser vers la gauche. VoiceOver annonce la durée qui sera supprimée de l’enregistrement à partir de la position actuelle. Pour terminer le raccourcissement, sélectionnez Raccourcir et touchez deux fois. Contrôle de VoiceOver à l’aide d’un clavier sans fil Apple Vous pouvez contrôler VoiceOver en utilisant un clavier sans fil Apple jumelé à l’iPhone. Consultez la section Clavier sans fil Apple à la page 27. Les commandes VoiceOver au clavier vous permettent d’explorer l’écran, sélectionner des élé- ments, lire le contenu de l’écran, ajuster le rotor et effectuer d’autres actions VoiceOver. Toutes ces commandes (sauf une) comprennent les touches Contrôle + Option, représentées par « VO » dans le tableau ci-dessous. L’Aide VoiceOver énonce les touches ou commandes du clavier lorsque vous les tapez. Vous pouvez utiliser l’Aide VoiceOver pour apprendre la disposition du clavier et les actions associées aux combinaisons de touches. Commandes VoiceOver au clavier VO = Contrôle + Option • Pour tout lire depuis la position actuelle : VO + A • Pour lire à partir du haut : VO + B • Pour passer à la barre d’état : VO + M • Pour appuyer sur le bouton principal : VO + H • Pour sélectionner l’élément suivant ou précédent : VO + Flèche droite ou VO + Flèche gauche • Pour toucher un élément : VO + Barre d’espace • Pour toucher deux fois avec deux doigts : VO + Signe - • Pour choisir l’élément précédent ou suivant du rotor : VO + Flèche haut ou VO + Flèche bas • Pour choisir l’élément précédent ou suivant du rotor vocal : VO + Commande + Flèche gauche ou VO + Commande + Flèche droite • Pour ajuster l’élément du rotor vocal : VO + Commande + Flèche haut ou VO + Commande + Flèche bas • Pour activer ou désactiver le son VoiceOver : VO + S • Pour activer ou désactiver le rideau d’écran : VO + Maj-S • Pour activer l’Aide VoiceOver : VO + K • Pour revenir à l’écran précédent ou désactiver l’Aide VoiceOver : ÉchapChapitre 32 Accessibilité 132 Navigation rapide Activez Navigation rapide pour contrôler VoiceOver à l’aide des touches fléchées. • Pour activer ou désactiver Navigation rapide : Flèche gauche + Flèche droite • Pour sélectionner l’élément suivant ou précédent : Flèche droite ou Flèche gauche • Pour sélectionner l’élément précédent ou suivant indiqué par le réglage du rotor : Flèche haut ou Flèche bas • Pour sélectionner le premier ou dernier élément : Contrôle + Flèche haut ou Contrôle + Flèche bas • Pour « Toucher » un élément : Flèche haut + Flèche bas • Pour faire défiler vers le haut, le bas, la gauche ou la droite : Option + Flèche haut, Option + Flèche bas, Option + Flèche gauche, Option + Flèche droite • Pour modifier le rotor : Flèche haut + Flèche gauche ou Flèche haut + Flèche droite Vous pouvez également utiliser les touches numériques d’un clavier sans fil Apple pour composer un numéro dans Téléphone ou saisir des nombres dans Calculette. Navigation rapide à une lettre pour le Web Lorsque vous consultez une page web avec la fonctionnalité Navigation rapide activée, vous pouvez utiliser les touchez suivantes du clavier pour naviguer rapidement sur la page. Lorsque vous appuyez sur la touche, vous passez à l’élément suivant du type indiqué. Pour passer à l’élé- ment précédent, maintenez la touche Maj enfoncée lorsque vous appuyez sur la lettre. • En-tête : H • Lien : L • Champ de texte : R • Bouton : B • Contrôle de formulaire : C • Image : I • Tableau : T • Texte statique : S • Repère ARIA : W • Liste : X • Élément du même type : M • En-tête de niveau 1 : 1 • En-tête de niveau 2 : 2 • En-tête de niveau 3 : 3 • En-tête de niveau 4 : 4 • En-tête de niveau 5 : 5 • En-tête de niveau 6 : 6 Utilisation d’un afficheur Braille avec VoiceOver Un afficheur Braille Bluetooth actualisable vous permet de lire une sortie VoiceOver en mode braille. Vous pouvez également utiliser un afficheur Braille avec des touches d’entrée et d’autres commandes pour contrôler l’iPhone lorsque VoiceOver est activé. L’iPhone fonctionne avec de nombreux afficheurs Braille sans fil. Pour obtenir la liste des afficheurs Braille gérés, consultez la page web www.apple.com/fr/accessibility/iphone/braille-display.html.Chapitre 32 Accessibilité 133 Pour configurer un afficheur Braille : Activez l’afficheur, puis accédez à Réglages > Bluetooth et activez Bluetooth. Ensuite, accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Braille et choisissez l’afficheur. Pour activer ou désactiver le braille contracté ou à huit points : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Braille. Pour en savoir plus sur les commandes Braille courantes pour la navigation VoiceOver et obtenir des informations spécifiques à certains afficheurs, consultez la page support.apple.com/kb/HT4400?viewlocale=fr_FR. L’afficheur Braille utilise la langue définie pour Contrôle vocal. Il s’agit normalement de la langue définie pour l’iPhone dans Réglages > International > Langue. Vous pouvez utiliser le réglage de langue VoiceOver pour définir une langue différente pour VoiceOver et les afficheurs Braille. Pour régler la langue de VoiceOver : Accédez à Réglages > Général > International > Contrôle vocal, puis sélectionnez la langue. Si vous modifiez la langue de l’iPhone, vous devrez peut-être réinitialiser celle de VoiceOver et de votre afficheur Braille. Vous pouvez configurer la cellule la plus à gauche ou la plus à droite de votre afficheur Braille de manière à indiquer l’état du système et d’autres informations : • L’historique des annonces contient un message non lu • Le message actuel de l’historique des annonces n’a pas été lu • VoiceOver est inaudible • La charge de la batterie de l’iPhone est faible (inférieure à 20 %) • L’iPhone est en orientation paysage • L’écran est éteint • La ligne actuelle contient du texte supplémentaire sur la gauche • La ligne actuelle contient du texte supplémentaire sur la droite Pour configurer la cellule la plus à gauche ou la plus à droite de manière à indiquer des informations sur l’état : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Braille > Cellule d’état, puis touchez Gauche ou Droite. Pour voir une description étendue de la cellule d’état : Sur votre afficheur Braille, appuyez sur le bouton du routeur de la cellule d’état. Acheminement de l’audio des appels entrants Vous pouvez acheminer automatiquement l’audio des appels entrants vers l’oreillette ou le hautparleur, plutôt que le récepteur de l’iPhone. Pour réacheminer l’audio des appels entrants : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > Appels reçus et choisissez où vous souhaitez entendre vos appels. Siri Avec Siri, vous n’avez qu’à demander pour effectuer une action avec votre iPhone, comme ouvrir des apps par exemple, et VoiceOver peut lire les réponses de Siri pour vous. Pour en savoir plus, consultez la section Chapitre 4, Siri, à la page 39.Chapitre 32 Accessibilité 134 Triple clic sur le bouton principal La fonctionnalité Triple clic sur le bouton principal offre un moyen simple d’activer ou de désactiver certaines fonctionnalités d’Accessibilité lorsque vous appuyez rapidement sur le bouton principal à trois reprises. Vous pouvez utiliser le Triple clic sur le bouton principal pour : • VoiceOver • Inverser les couleurs • Zoom • AssistiveTouch • Contrôle Appareil auditif • Accès guidé (le triple clic sur le bouton principal permet de démarrer l’Accès guidé si ce dernier est déjà activé) Consultez la section Accès guidé à la page 137). Pour régler la fonction Triple clic sur le bouton principal : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > Triple clic sur le bouton principal. Si vous sélectionnez plus d’une fonctionnalité, vous devez choisir celle que vous voulez contrôler à chaque fois que vous utilisez le triple clic sur le bouton principal. Pour réduire la vitesse de clic : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > Vitesse de clic du bouton principal. Zoom De nombreuses apps vous permettent d’effectuer un zoom avant ou arrière sur des éléments spécifiques. Par exemple, vous pouvez toucher deux fois ou pincer pour développer les colonnes d’une page web dans Safari. La fonction Zoom est également une fonction d’accessibilité spé- ciale avec laquelle vous pouvez agrandir la fenêtre de chaque app que vous utilisez. De plus, vous pouvez utiliser Zoom et VoiceOver en même temps. Pour activer ou désactiver le zoom : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > Zoom. Vous pouvez également utiliser le Triple clic sur le bouton principal. Consultez la section Triple clic sur le bouton principal à la page 134. Pour effectuer un zoom avant ou arrière : Touchez l’écran deux fois de suite avec trois doigts. Pour modifier l’agrandissement : Avec trois doigts, touchez et faites glisser vers le haut ou le bas. Le geste du toucher-glisser est semblable au double toucher, sauf que vous ne relevez pas vos doigts au second toucher, mais les faites glisser sur l’écran. Lorsque vous commencez à faire défiler l’écran, vous pouvez utiliser un seul doigt pour voir le reste. L’iPhone revient à l’agrandissement ajusté lorsque vous effectuez à nouveau un zoom avant ou arrière en touchant deux fois avec trois doigts. Pour effectuer un panoramique sur l’écran : Lorsque vous avez fait un zoom avant, faites glisser l’écran avec trois doigts. Lorsque vous commencez à faire défiler l’écran, vous pouvez utiliser un seul doigt pour voir le reste. Vous pouvez aussi bien maintenir un seul doigt près du bord de l’écran pour faire défiler l’écran dans cette direction. Rapprochez le doigt du bord pour augmenter la vitesse du panoramique. Chaque fois que vous ouvrez un nouvel écran, la fonction Zoom affiche la partie supérieure du milieu de l’écran. Lorsque vous utilisez la fonction Zoom avec un clavier sans fil Apple (voir la section Clavier sans fil Apple à la page 27), l’image de l’écran suit le point d’insertion en le conservant au centre de l’affichage.Chapitre 32 Accessibilité 135 Grande police L’option Grande police vous permet d’agrandir le texte des alarmes, Calendrier, Contacts, Mail, Messages et Notes. Pour sélectionner la taille du texte : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Grande police. Inverser les couleurs Parfois, le fait d’inverser les couleurs de l’écran de l’iPhone peut permettre d’en faciliter la lecture. Lorsque la fonctionnalité Inverser les couleurs est activée, l’écran ressemble à un négatif photographique. Pour inverser les couleurs de l’écran : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > Inverser les couleurs. Énoncer la sélection Même lorsque VoiceOver est désactivé, l’iPhone peut énoncer tout le texte que vous sélectionnez. L’iPhone analyse le texte pour déterminer la langue, puis le lit à voix haute en utilisant la prononciation appropriée. Pour activer Énoncer la sélection : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Énoncer la sélection. Vous pouvez également : • régler le débit d’énonciation ; • choisir de faire apparaître en surbrillance les mots pendant qu’ils sont lus. Pour vous faire énoncer du texte : Sélectionnez le texte, puis touchez Énoncer. Énonciation auto Avec la fonction Énonciation, les corrections apportées au texte et les suggestions proposées par l’iPhone lors de la saisie sont lues à haute voix. Pour activer ou désactiver Énonciation auto : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Énonciation auto. La fonction Énonciation auto est également compatible avec les applications VoiceOver et Zoom. Audio mono La fonctionnalité Audio mono combine les canaux stéréo gauche et droit en un seul signal mono émis sur les deux canaux. Vous pouvez ajuster la balance du signal mono pour augmenter le volume à gauche ou à droite. Pour activer ou désactiver Audio mono et régler la balance : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Audio mono.Chapitre 32 Accessibilité 136 Appareils auditifs Appareils auditifs Made for iPhone Si vous possédez un appareil auditif Made for iPhone (disponible pour l’iPhone 4S et les modèles ultérieurs), vous pouvez modifier ses réglages sur l’iPhone pour qu’ils correspondent à vos besoins en matière d’écoute. Pour modifier les réglages d’appareil auditif : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > Appareils auditifs, ou paramétrez le Triple clic sur le bouton principal pour qu’il puisse ouvrir le contrôle Appareil auditif. Consultez la section Triple clic sur le bouton principal à la page 134. Compatibilité avec les appareils auditifs La FCC a adopté des règles concernant la compatibilité des appareils auditifs (HAC) pour les téléphones numériques sans fil. Ces règles forcent le test et l’évaluation de certains téléphones conformément aux normes ANSI (American National Standard Institute) C63.19-2007 de compatibilité des appareils auditifs. La norme ANSI de compatibilité des appareils auditifs comporte deux types de classement : • un « M » pour la réduction d’interférence de fréquence radio pour permettre un couplage acoustique avec les appareils auditifs qui ne fonctionnent pas en mode télébobine, • un « T » pour le couplage inductif avec les appareils auditifs fonctionnant en mode télébobine. Ces évaluations sont effectuées sur une échelle d’un à quatre, quatre représentant la meilleure compatibilité. Un téléphone est considéré comme compatible avec les appareils auditifs conformément aux normes FCC s’il est évalué M3 ou M4 pour le couplage acoustique et T3 ou T4 pour le couplage inductif. Pour connaître les évaluations de compatibilité avec les appareils auditifs, consultez la page www.apple.com/fr/support/hac. Les évaluations de compatibilité des appareils auditifs ne garantissent pas qu’un appareil auditif donné fonctionne avec un téléphone donné. Certains appareils auditifs peuvent bien fonctionner avec des téléphones qui n’atteignent pas une évaluation donnée. Pour garantir l’interopérabilité entre un appareil auditif et un téléphone, essayez de les utiliser ensemble avant l’achat. L’utilisation d’appareils auditifs a été testée et évaluée pour une partie des technologies sans fil utilisées par ce téléphone. En revanche, il est possible que certaines technologies sans fil utilisées par ce téléphone, notamment les plus récentes, n’aient pas encore été testées pour une utilisation avec les appareils auditifs. Il est primordial d’essayer plusieurs fois et en différents lieux les différentes fonctionnalités du téléphone, en utilisant votre appareil auditif ou votre implant cochléaire, afin de détecter toute interférence sonore éventuelle. Veuillez consulter votre prestataire de service ou Apple pour en savoir plus sur la compatibilité des appareils auditifs. Si vous avez des questions sur les politiques d’échange et de retour, veuillez consulter votre prestataire de service ou votre revendeur. Mode Appareil auditif L’iPhone possède un mode appareil auditif qui peut réduire les interférences avec certains appareils auditifs lorsqu’il est activé. Le mode appareil auditif réduit la puissance de transmission du téléphone portable dans la bande GSM 1900 MHz et peut aboutir à une perte de couverture réseau du téléphone portable 2G. Pour activer le Mode Appareil auditif : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > Appareils auditifs.Chapitre 32 Accessibilité 137 Sonneries assignables et vibreur Vous pouvez assigner des sonneries distinctives à des membres de votre liste de contact pour bénéficier d’une identification audible de l’appelant. Vous pouvez aussi assigner des modèles de vibration à des notifications d’apps spécifiques, aux appels téléphoniques, aux appels FaceTime ou à des messages de contacts spéciaux, et pour vous alerter sur un grand nombre d’autres évé- nements, tels qu’un nouveau message, un nouveau courrier électronique, un Tweet, une publication Facebook et des rappels. Choisissez parmi des modèles existants ou créez-en des nouveaux. Consultez la section Sons à la page 150. Vous pouvez acheter des sonneries à partir de l’iTunes Store sur l’iPhone. Consultez la section Chapitre 22, iTunes Store, à la page 102. Flash LED pour alertes Si vous ne pouvez pas entendre les sons annonçant des appels entrants ou d’autres alertes, la DEL de l’iPhone (à côté de l’objectif à l’arrière de l’appareil) peut clignoter. Cela fonctionne uniquement lorsque l’iPhone est verrouillé ou en veille. Disponible pour l’iPhone 4 ou les modèles ultérieurs. Pour activer la DEL clignotante pour les alertes : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > Flash LED pour alertes. Accès guidé L’Accès guidé permet à l’utilisateur de l’iPhone de rester concentré sur une tâche particulière. L’Accès guidé limite l’iPhone à une seule app, et vous permet de contrôler quelles fonctionnalités des apps sont disponibles. Utilisez l’Accès guidé pour : • restreindre temporairement l’iPhone à une app particulière ; • désactiver les zones de l’écran qui ne sont pas utiles pour une tâche ou les zones qui pourraient être perturbées par un geste accidentel ; • désactiver les boutons présents sur l’iPhone. Pour utiliser l’Accès guidé : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > Accès guidé, où vous pouvez : • activer ou désactiver Accès guidé ; • déterminer un mot de passe pour contrôler l’utilisation de l’Accès guidé et empêcher quiconque de laisser une session active ; • indiquer si l’iPhone peut passer en mode de veille pendant une session. Pour démarrer une session Accès guidé : Ouvrez les apps à exécuter, puis effectuez un triple clic sur le bouton principal. Ajustez les réglages pour la session, puis cliquez sur Démarrer. • Pour désactiver les commandes des apps et des zones de l’écran de l’app : Faites un cercle autour de la partie de l’écran que vous voulez désactiver. Vous pouvez utiliser les poignées pour ajuster la zone. • Pour ignorer tous les touchers d’écran : Désactivez Toucher. • Pour empêcher l’iPhone de basculer du mode portrait au mode paysage ou de réagir à tout autre mouvement : Désactivez Mouvement. Pour terminer une session Accès guidé : Effectuez un triple clic sur le bouton principal et saisissez le code de l’Accès guidé.Chapitre 32 Accessibilité 138 AssistiveTouch AssistiveTouch vous aide dans votre utilisation de l’iPhone si vous avez des difficultés à toucher l’écran ou à appuyer sur les boutons. Vous pouvez utiliser un accessoire adaptatif compatible (tel qu’une manette), ainsi que AssistiveTouch pour commander l’iPhone. Vous pouvez également utiliser AssistiveTouch sans accessoire pour effectuer des gestes qui vous sont compliqués. Pour activer AssistiveTouch : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > AssistiveTouch. Pour régler la fonction Triple clic sur le bouton principal de manière à activer ou désactiver AssistiveTouch : accédez à Réglages > Général > Accessibilité > Triple clic sur le bouton principal. Pour ajuster la vitesse de déplacement (avec utilisation d’accessoire) : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > AssistiveTouch > Vitesse de touche. Pour afficher ou masquer le menu AssistiveTouch : Cliquez sur le bouton secondaire de votre accessoire. Pour déplacer le bouton de menu : Faites-le glisser vers n’importe quel bord de l’écran. Pour masquer le bouton de menu (avec accessoire inclus) : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > AssistiveTouch > Toujours afficher le menu. Pour balayer ou faire glisser avec 2, 3, 4, ou 5 doigts : Touchez le bouton de menu, touchez Gestes, puis touchez avec le nombre de doigts requis pour l’action. Lorsque le cercle correspondant apparaît à l’écran, balayez ou faites glisser dans la direction requise par le geste. Lorsque vous terminez, touchez le bouton de menu. Pour pincer : Touchez le bouton de menu, touchez Favoris, puis touchez Pincer. Lorsque les cercles de pincement apparaissent, touchez l’écran pour les déplacer, puis faites-les glisser vers l’intérieur ou l’extérieur pour effectuer un geste de pincement. Lorsque vous terminez, touchez le bouton de menu. Pour créer votre propre geste : Touchez le bouton de menu, touchez Favoris, puis touchez un geste fictif vide. Vous pouvez également accéder à Réglages > Général > Accessibilité > AssistiveTouch > Créer un geste. Pour verrouiller ou faire pivoter l’écran, ajuster le volume de l’iPhone ou simuler la secousse de l’iPhone : Touchez le bouton de menu, puis touchez Appareil. Pour simuler l’appui sur le bouton principal : Touchez le bouton de menu, puis touchez Principal. Pour quitter un menu sans effectuer de geste : Touchez en dehors du menu. Accessibilité sous OS X Tirez parti des fonctionnalités d’accessibilité sous OS X lorsque vous utilisez iTunes pour synchroniser des informations et des contenus de votre bibliothèque iTunes vers votre iPhone. Dans le Finder, choisissez Aide > Centre d’aide, puis recherchez « accessibilité ». Pour en savoir plus sur les fonctionnalités d’accessibilité de l’iPhone et sous OS X, consultez la page www.apple.com/fr/accessibility. Assistance TTY Utilisez le câble d’adaptateur TTY pour l’iPhone (vendu séparément dans de nombreuses régions) pour connecter votre iPhone à un téléscripteur. Accédez à la page www.apple.com/fr/store (non disponible dans toutes les régions) ou consultez votre revendeur Apple local.Chapitre 32 Accessibilité 139 Pour connecter l’iPhone à un téléscripteur : Accédez à Réglages > Téléphone puis activez TTY. Connectez ensuite votre iPhone au téléscripteur à l’aide de l’adaptateur TTY pour l’iPhone. Lorsque TTY est activé sur l’iPhone, l’icône TTY apparaît dans la barre d’état en haut de l’écran. Pour en savoir plus sur l’utilisation d’un téléscripteur particulier (compatible TTY), reportez-vous à la documentation fournie avec l’appareil. Taille minimale de police pour les messages Mail Pour augmenter la lisibilité, vous pouvez choisir pour le texte des messages électroniques la taille de caractères minimum équivalente à Grande, Très grande ou Géante. Pour régler la taille de police minimale pour les messages : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > Taille des caractères. Le réglage Très grande outrepasse cette taille de caractères minimale. Sonneries assignables Vous pouvez assigner des sonneries distinctives à des membres de votre liste de contact pour bénéficier d’une identification audible de l’appelant. Vous pouvez acheter des sonneries à partir de l’iTunes Store sur l’iPhone. Consultez la section Chapitre 22, iTunes Store, à la page 102. Messagerie vocale visuelle Les commandes de lecture et de pause de la messagerie vocale visuelle permettent de contrôler la lecture des messages. Faites glisser la tête de lecture sur le défileur pour répéter une partie du message difficile à comprendre, par exemple. Consultez la section Messagerie vocale visuelle à la page 50. Larges claviers à l’écran De nombreuses apps dont Mail, Safari, Messages, Notes et Contacts vous permettent de faire pivoter l’iPhone lorsque vous tapez pour bénéficier d’un clavier plus grand. Grand clavier téléphonique Passez des appels simplement en touchant les entrées de vos listes de vos contacts et de favoris. Le grand clavier numérique de l’iPhone facilite la composition de numéros. Consultez la section Appels téléphoniques à la page 46. Contrôle vocal Contrôle vocal vous permet de téléphoner et de contrôler la lecture de la musique à l’aide de commandes vocales. Consultez les sections Émission d’appels à la page 46 et Siri et Contrôle vocal à la page 66. Sous-titres codés Pour activer le sous-titrage codé pour les vidéos : Accédez à Réglages > Vidéos > Accessibilité > Sous-titres codés. Tout le contenu vidéo ne contient pas des sous-titres codés.33 140 Réglages vous permet de configurer l’iPhone et les options des apps, d’ajouter des comptes et de régler d’autres préférences. Consultez les autres chapitres pour en savoir plus sur les réglages des apps intégrées. Par exemple, pour les réglages de Safari, consultez Chapitre 7, Safari, à la page 59. Mode Avion Le mode Avion désactive les fonctions sans fil pour réduire toute interférence potentielle avec le fonctionnement de l’appareil et d’autres équipements électriques. Pour activer le mode Avion : Accédez à Réglages et activez le mode Avion. Lorsque le mode Avion est activé, apparaît dans la barre d’état en haut de l’écran. Aucun signal téléphonique, Wi-Fi ou Bluetooth n’est émis à partir de l’iPhone et la réception GPS est désactivée. Vous ne pouvez pas utiliser des apps ou des fonctionnalités qui nécessitent ces signaux, telles que la connexion à Internet, l’appel, l’envoi de messages, la réception d’appels ou de messages, la messagerie vocale visuelle, etc. Si cela est permis par l’opérateur de l’avion et les lois et réglementations en vigueur, vous pouvez utiliser l’iPhone et les apps qui ne nécessitent pas ces signaux. Si le Wi-Fi est disponible et permis par l’opérateur de l’avion et les lois et réglementations en vigueur, accédez à Réglages > Wi-Fi pour l’activer. Vous pouvez aussi activer Bluetooth dans Réglages > Bluetooth. Wi-Fi Accès à des réseaux Wi-Fi Les réglages Wi-Fi déterminent si l’iPhone utilise des réseaux locaux Wi-Fi pour se connecter à Internet. Lorsque l’iPhone est connecté à un réseau Wi-Fi, l’icône Wi-Fi située dans la barre d’état en haut de l’écran indique la puissance du signal. Le nombre de barres affichées est proportionnel à la qualité du signal. Si aucun réseau Wi-Fi n’est disponible ou que vous avez désactivé le mode Wi-Fi, alors l’iPhone se connecte à Internet via votre réseau de données cellulaire, lorsque celui-ci est disponible. Lorsque vous avez rejoint un réseau Wi-Fi, l’iPhone s’y connecte chaque fois que le réseau est à portée. Si plusieurs réseaux déjà utilisés se trouvent à portée, l’iPhone se connecte au dernier réseau utilisé. Vous pouvez également utiliser l’iPhone pour configurer une borne d’accès AirPort qui fournit des services Wi-Fi chez vous ou au bureau. Consultez la section Configuration d’une borne d’accès AirPort à la page 141. RéglagesChapitre 33 Réglages 141 Pour activer et désactiver le mode Wi-Fi : Accédez à Réglages > Wi-Fi. Vous pouvez : • Pour configurer l’iPhone afin qu’il vous demande de confirmer l’accès à un nouveau réseau : Activez ou désactivez l’option « Confirmer l’accès ». Si l’option « Confirmer l’accès » est désactivée, vous devez rejoindre manuellement un réseau pour vous connecter à Internet lorsqu’aucun réseau déjà utilisé n’est disponible. • Pour oublier un réseau de sorte que l’iPhone ne s’y connecte plus : Touchez en regard d’un réseau auquel vous vous êtes connecté auparavant. Touchez ensuite « Oublier ce réseau ». • Pour rejoindre un réseau Wi-Fi fermé : Dans la liste des noms de réseau, touchez Autre, puis saisissez le nom du réseau fermé. Vous devez connaître le nom du réseau, le mot de passe et le type de sécurité afin de vous connecter à un réseau fermé. • Pour modifier les réglages de connexion à un réseau Wi-Fi : Touchez en regard d’un réseau. Vous pouvez configurer un proxy HTTP, définir des réglages réseau, activer BootP ou renouveler les réglages fournis par un serveur DHCP. Configuration d’une borne d’accès AirPort Une borne d’accès AirPort fournit une connexion Wi-Fi pour votre maison, votre école ou le réseau d’une petite entreprise. Configurez de nouvelles bornes d’accès AirPort Express, AirPort Extreme ou Time Capsule avec l’iPhone. Pour utiliser l’Assistant réglages AirPort : Accédez à Réglages > Wi-Fi. Sous « Configurer une borne d’accès AirPort », touchez le nom de la borne d’accès à configurer. Suivez ensuite les instructions à l’écran. Si la borne d’accès que vous souhaitez configurer ne figure pas dans la liste, assurez-vous qu’elle est alimentée, que vous êtes à portée et qu’elle n’a pas déjà été configurée. Vous ne pouvez configurer que de nouvelles bornes d’accès ou qui ont été réinitialisées. Certaines bornes d’accès AirPort plus anciennes ne peuvent pas être configurées à l’aide d’un appareil iOS. Pour obtenir les instructions de configuration, consultez la documentation fournie avec la borne d’accès. Pour gérer un réseau AirPort : Si l’iPhone est connecté à une borne d’accès AirPort, touchez en regard du nom du réseau. Si vous n’avez pas encore téléchargé Utilitaire AirPort, l’App Store s’ouvre pour que vous puissiez effectuer le téléchargement. Bluetooth L’iPhone peut se connecter sans fil à des appareils Bluetooth comme des oreillettes, des écouteurs et des kits de voiture pour écouter de la musique et dialoguer les mains libres. Vous pouvez également connecter le clavier sans fil Apple via Bluetooth. Consultez la section Clavier sans fil Apple à la page 27. Pour activer et désactiver le mode Bluetooth : Accédez à Réglages > Bluetooth. Pour vous connecter à un appareil Bluetooth : Touchez l’appareil dans la liste des appareils, puis suivez les instructions à l’écran pour vous y connecter. Consultez la documentation fournie avec l’appareil pour obtenir des informations sur le jumelage Bluetooth. VPN Votre organisation utilise peut-être un réseau VPN pour communiquer des informations privées de manière sécurisée sur un réseau non privé. Vous pouvez être amené à configurer un réseau VPN, notamment pour accéder à votre compte de courrier électronique professionnel. Ce réglage apparaît lorsque vous avez configuré un réseau virtuel (VPN) sur l’iPhone, ce qui vous permet d’activer ou désactiver le mode VPN. Consultez la section Cellulaire à la page 145.Chapitre 33 Réglages 142 Partage de connexion Vous pouvez utiliser le partage de connexion (iPhone 4 ou ultérieur) pour partager une connexion Internet avec un ordinateur ou un autre appareil, tel qu’un iPod touch, un iPad ou un autre iPhone, connecté à votre iPhone via Wi-Fi. Vous pouvez également utiliser le partage de connexion pour partager une connexion Internet avec un ordinateur connecté à l’iPhone via Bluetooth ou USB. Le partage de connexion fonctionne uniquement si l’iPhone est connecté à Internet par le biais du réseau de données cellulaire. Remarque : Cette fonctionnalité peut ne pas être disponible partout. Des frais supplémentaires peuvent s’appliquer. Contactez votre opérateur pour en savoir plus. Pour partager une connexion Internet : Accédez à Réglages > Général > Celulaire, et touchez Configurer Partage de connexion (si l’option apparaît) pour configurer le service avec votre opérateur. Après avoir activé Partage de connexion, d’autres appareils peuvent se connecter d’une des manières suivantes : • Via W-Fi : Sur l’appareil, choisissez votre iPhone dans la liste des réseaux Wi-Fi. • Via USB : Connectez votre iPhone à votre ordinateur à l’aide du câble fourni. Dans les préfé- rences Réseau de votre ordinateur, choisissez l’iPhone et configurez les réglages réseau. • Via Bluetooth : Sur l’iPhone, accédez à Réglages > Bluetooth et activez Bluetooth. Pour jumeler et connecter votre iPhone avec votre appareil, reportez-vous à la documentation fournie avec votre ordinateur. Une fois la connexion établie, une bande bleue apparaît en haut de l’écran de l’iPhone. Le partage de connexion demeure activé lorsque vous vous connectez via le port USB, même si vous n’utilisez pas activement la connexion à Internet. Remarque : L’icône Partage de connexion apparaît dans la barre d’état des appareils iOS qui utilisent Partage de connexion. Pour modifier le mot de passe Wi-Fi d’un iPhone : Accédez à Réglages > Partage de connexion > Mot de passe Wi-Fi, puis saisissez un mot de passer d’au moins 8 caractères. Pour contrôler l’utilisation du réseau de données cellulaires : Accédez à Réglages > Général > Utilisation > Utilisation cellulaire. Ne pas déranger et Notifications Les notifications Push apparaissent dans le Centre de notifications et vous préviennent de l’existence de nouvelles informations, même si l’app associée n’est pas ouverte. Les notifications varient d’une app à l’autre, mais il peut s’agir d’alertes texte ou sonores, et d’une pastille numérotée sur l’icône de l’app, sur l’écran d’accueil. Pour désactiver toutes les notifications : Accédez à Réglages et activez Ne pas déranger. Lorsque cette option est activée et que l’iPhone est verrouillé, l’ensemble des notifications et des appels sont silencieux, mais les alarmes continueront à sonner. Vous pouvez définir les options suivantes dans Réglages > Notifications > Ne pas déranger. • Pour activer automatiquement Ne pas déranger : Réglez les heures de début et de fin de la période durant laquelle vous ne voulez pas être dérangé. L’iPhone active Ne pas déranger pendant cette période chaque jour.Chapitre 33 Réglages 143 • Pour autoriser certains appels téléphoniques quand Ne pas déranger est activé : Lorsque Ne pas déranger est activé, les appels sont transférés en silence à la messagerie vocale. Pour autoriser quand même certains appelants à téléphoner, touchez Autoriser les appels de. Vous pouvez autoriser les appels de votre liste de Favoris ou de tout autre groupe que vous avez défini dans Contacts. Pour en savoir plus sur Favoris, consultez la section Chapitre 25, Contacts, à la page 108. • Pour autoriser les appels répétés à sonner : Activez Appels répétés. Si le même appelant (basé sur l’identification de l’appelant) vous appelle deux fois en moins de trois minutes, l’iPhone se met à sonner. Pour activer ou désactiver les notifications des apps : Accédez à Réglages > Notifications. Touchez un élément de la liste, puis activez ou désactivez les notifications pour cet élément. Les apps pour lesquelles les notifications sont désactivées apparaissent dans la liste Hors du Centre de notifications. Pour modifier la façon dont les notifications apparaissent : Accédez à Réglages > Notifications. Vous pouvez : • Modifier le nombre de notifications : Choisissez un élément dans la liste Dans le Centre de notifications. Pour définir le nombre de notifications du type devant apparaître dans le Centre de notifications, touchez Afficher. • Pour modifier les styles d’alerte : Choisissez un élément dans la liste Dans le Centre de notifications. Choisissez un type d’alerte ou sélectionnez Aucune pour désactiver les alertes et les bannières. Les notifications apparaissent toujours dans le Centre de notifications. • Pour modifier l’ordre des notifications : Touchez Modifier. Faites glisser les notifications pour les placer dans l’ordre souhaité. Pour désactiver une notification, faites-la glisser dans la liste Hors du Centre de notifications. • Pour afficher des pastilles numérotées sur les apps pour lesquelles des notifications sont disponibles : Choisissez un élément dans la liste Dans le Centre de notifications, puis activez Pastille sur icône d’app. • Pour masquer les alertes d’une app lorsque l’iPhone est verrouillé : Choisissez l’app dans la liste du Centre de notifications, puis désactivez « Sur l’écran verrouillé ». Certaines apps possèdent des options supplémentaires. Par exemple, Messages vous permet de préciser le nombre de répétitions de la sonnerie de l’alerte et si des aperçus des messages apparaissent dans la notification. Pour supprimer une publication ou un tweet du Centre de notifications : Ces options de partage apparaissent seulement si vous avez configuré vos comptes Facebook et Twitter. Pour supprimer ces boutons, accédez à Réglages > Notifications, puis désactivez l’option Widget Partager. Pour afficher les alertes gouvernementales dans le Centre de notifications : Choisissez les alertes que vous voulez voir dans la liste des alertes gouvernementales. Les alertes gouvernementales ne sont pas disponibles partout, varient en fonction de l’opérateur et du modèle de l’iPhone et ne fonctionnent pas sous toutes conditions. Par exemple, aux États-Unis, l’iPhone 4S ou modèle ultérieur peut recevoir des alertes présidentielles, et vous pouvez activer ou désactiver AMBER et les alertes d’urgence (comprenant les alertes de menaces imminentes extrêmes et de menaces sérieuses). Au Japon, l’iPhone 4S ou modèle ultérieur peut recevoir des alertes d’urgence pour les tremblements de terre envoyés par l’Agence météorologique du Japon.Chapitre 33 Réglages 144 Opérateur Ce réglage apparaît sur les réseaux GSM lorsque vous êtes hors du réseau de votre opérateur et que des réseaux de données d’autres opérateurs sont à votre disposition pour les appels télé- phoniques, les messages vocaux visuels et les connexions Internet à un réseau cellulaire. Vous ne pouvez passer des appels qu’avec les opérateurs disposant de contrats d’itinérance avec votre opérateur. Des frais supplémentaires peuvent s’appliquer. L’autre opérateur peut vous facturer des frais d’itinérance par le biais de votre opérateur. Pour sélectionner un opérateur : Accédez à Réglages > Opérateur et sélectionnez le réseau que vous souhaitez utiliser. Une fois que vous avez sélectionné un réseau, l’iPhone n’utilise que celui-ci. Si le réseau n’est pas disponible, Absence de service apparaît sur l’iPhone. Général Les réglages Général comprennent les réglages de réseau, de partage, de sécurité et d’autres réglages. Ils permettent également d’obtenir des informations concernant l’iPhone et de réinitialiser différents réglages de l’iPhone. Informations Pour afficher les Informations sur l’iPhone : Accédez à Réglages > Général > Informations. Les éléments que vous pouvez voir incluent : • l’espace de stockage disponible ; • le numéro de série ; • la version iOS ; • les adresses réseau ; • le code IMEI (International Mobile Equipment Identity) ; • le code ICCID (Integrated Circuit Card Identifier, ou Smart Card) pour les réseaux GSM ; • le code MEID (Mobile Equipment Identifier) pour les réseaux CDMA ; • les mentions légales, la licence et les marques réglementation. Pour copier le numéro de série et d’autres identifiants, touchez et maintenez le doigt sur l’identifiant jusqu’à ce que Copier apparaisse. Pour renommer l’appareil : Accédez à Réglages > Général > Informations, puis touchez Nom. Le nom de l’appareil apparaît dans la barre latérale lorsqu’il est connecté à iTunes. Ce nom est utilisé par iCloud. Afin d’aider Apple à améliorer ses produits et services, l’iPhone envoie des données d’utilisation et de diagnostic. Ces données ne vous identifient pas personnellement, mais peuvent inclure des informations de localisation. Pour afficher ou désactiver les informations de diagnostic : Accédez à Réglages > Général > Informations > Diagnostic et utilisation.Chapitre 33 Réglages 145 Mise à jour de logiciels Mises à jour de logiciels vous permet de télécharger et installer les mises à jour d’iOS provenant d’Apple. Pour mettre à jour avec la dernière version du logiciel : Accédez à Réglages > Général > Mise à jour de logiciels. Si une nouvelle version d’iOS est disponible, suivez les instructions à l’écran pour la télécharger et l’installer. Utilisation Pour afficher les informations d’utilisation : Accédez à Réglages > Général > Utilisation. Vous pouvez : • consulter l’utilisation cellulaire et réinitialiser les statistiques ; • afficher et supprimer les sauvegardes iCloud, désactiver la sauvegarde de l’album Pellicule et acheter de l’espace de stockage supplémentaire ; • afficher l’espace de stockage de chaque app ; • afficher le niveau de la batterie sous forme de pourcentage ; • consulter le temps écoulé depuis le dernier chargement de l’iPhone. Siri Pour activer Siri : Accédez à Réglages > Général > Siri. Pour en savoir plus sur l’utilisation et la modification des réglages de Siri, consultez la section Configuration des options de Siri à la page 43. Cellulaire Utilisez les réglages de l’option Cellulaire pour activer ou désactiver les données cellulaires et les services d’itinérance, pour régler le partage de connexion et pour régler les options de données cellulaires. Lorsqu’une app doit faire appel à Internet, l’iPhone effectue les opérations suivantes, dans cet ordre, jusqu’à établir la connexion : • se connecte au réseau Wi-Fi le plus récent ; • affiche une liste des réseaux Wi-Fi à portée et se connecte à celui que vous voulez ; • se connecte au réseau de données cellulaire, le cas échéant. Si l’iPhone est connecté à Internet par le biais du réseau de données cellulaires, l’icône , ou s’affiche dans la barre d’état.icône GPRS Les réseaux cellulaires GSM LTE, 4G et 3G prennent en charge les communications simultanées vocales et de données. Pour toutes les autres connexions cellulaires, vous ne pouvez pas utiliser les services Internet lorsque vous êtes au téléphone, sauf si l’iPhone est également connecté en Wi-Fi à Internet. Suivant le modèle de votre connexion réseau, vous risquez de ne pas pouvoir recevoir d’appels lorsque l’iPhone transfère des données sur le réseau cellulaire, par exemple lors du téléchargement d’une page web. Réseaux GSM : sur une connexion EDGE ou GPRS, les appels entrants peuvent être dirigés sur la messagerie vocale pendant les transferts de données. Pour les appels entrants auxquels vous répondez, les transferts de données sont mis en pause.Chapitre 33 Réglages 146 Réseaux CDMA : sur les connexions EV-DO, les transferts de données sont mis en pause pendant que vous répondez aux appels entrants. Sur les connexions 1xRTT, les appels entrants peuvent être dirigés sur la messagerie automatique pendant les transferts de données. Pour les appels entrants auxquels vous répondez, les transferts de données sont mis en pause. Le transfert de données reprend lorsque vous terminez l’appel. Si l’option Données cellulaires est désactivée, tous les services de données utilisent uniquement le Wi-Fi, y compris le courrier électronique, la navigation web, les notifications push et les autres services. Si l’option Données cellulaires est activée, votre opérateur peut vous facturer des frais. Par exemple, certaines fonctionnalités et certains services, tels que les données de transfert de Messages et Siri, et votre utilisation de ces fonctionnalités et services peuvent avoir un impact sur le coût de votre forfait de données. Pour activer ou désactiver l’option Données cellulaires : Accédez à Réglages > Général > Cellulaire, puis activez ou désactivez Données cellulaires. Les options suivantes peuvent également être disponibles : • Activer ou désactiver Voix à l’étranger (CDMA) : Désactivez Voix à l’étranger pour éviter les frais d’utilisation de réseaux différents de celui de votre opérateur. Lorsque le réseau de votre opé- rateur n’est pas disponible, l’iPhone ne dispose pas d’un service cellulaire (données ou voix). • Activer et désactiver l’option Données à l’étranger : Données à l’étranger permet d’accéder à Internet sur un réseau de données cellulaires lorsque vous vous trouvez dans une zone non couverte par le réseau de votre opérateur. Lorsque vous voyagez, vous pouvez désactiver le service Données à l’étranger pour éviter des frais liés à l’itinérance. Consultez la section Opérateur à la page 144. • Activer ou désactiver 3G : L’utilisation du mode 3G permet de charger les données Internet plus rapidement dans certains cas, mais elle risque de diminuer les performances de la batterie. Si vous effectuez beaucoup d’appels, il peut être utile de désactiver le mode 3G pour prolonger l’autonomie de la batterie. Cette option n’est pas disponible partout. Pour configurer le partage de connexion : Accédez à Réglages > Général > Cellulaire > Configurer le partage de connexion. Le partage de connexion partage la connexion Internet de l’iPhone avec votre ordinateur et vos autres appareils iOS. Consultez la section Partage de connexion à la page 142. Pour régler le moment d’utilisation des données cellulaires : Accédez à Réglages > Général > Cellulaire, puis activez ou désactivez les données cellulaires pour les documents iCloud, iTunes, FaceTime, les mises à jour Passbook ou la Liste de lecture. Lorsque ces réglages sont désactivés, l’iPhone utilise seulement le Wi-Fi. iTunes comprend iTunes Match et les téléchargements automatiques d’iTunes et de l’App Store. VPN Les connexions VPN utilisées au sein d’organisations vous permettent de communiquer des informations privées de manière sécurisée sur un réseau non privé. Vous pouvez être amené à configurer un réseau VPN, notamment pour accéder à votre compte de courrier électronique professionnel. Demandez à votre administrateur de réseau plus d’informations concernant les réglages nécessaires à la configuration des connexions VPN pour votre réseau. Une fois un ou plusieurs réglages des connexions VPN définis, vous pouvez : • Activer et désactiver l’option VPN : Accédez à Réglages > VPN. • Passer d’une connexion VPN à une autre : Accédez à Réglages > Général > VPN, puis choisissez une configuration. Consultez également la section L’annexe A, L’iPhone au travail, à la page 152.Chapitre 33 Réglages 147 Synchronisation Wi-Fi d’iTunes Synchronisez l’iPhone avec iTunes sur un ordinateur connecté au même réseau Wi-Fi. Pour activer la synchronisation Wi-Fi d’iTunes : Pour configurer une synchronisation Wi-Fi pour la première fois, connectez l’iPhone à l’ordinateur avec lequel effectuer la synchronisation. Pour obtenir des instructions, consultez la section Synchronisation avec iTunes à la page 17. Après la configuration de la synchronisation Wi-Fi, l’iPhone se synchronise automatiquement avec iTunes, une fois par jour, lorsque : • l’iPhone est connecté à une source d’alimentation ; • l’iPhone et votre ordinateur sont connectés au même réseau Wi-Fi ; • iTunes est ouvert sur votre ordinateur. Recherche Spotlight Le réglage Recherche Spotlight vous permet de déterminer les zones de contenu recherchées par Recherche et de réordonner les résultats. Pour définir le contenu sur lequel porte la recherche de Recherche : Accédez à Réglages > Général > Recherche Spotlight, puis sélectionnez les éléments à rechercher. Vous pouvez également modifier l’ordre des catégories de résultats. Verrouillage automatique Le verrouillage de l’iPhone désactive l’affichage de manière à économiser la batterie et à empê- cher toute utilisation de l’iPhone par inadvertance. Vous pouvez toujours recevoir des appels et des messages texte, régler le volume et utiliser le bouton du micro sur vos écouteurs lorsque vous écoutez de la musique ou au cours d’un appel. Pour régler la durée de déclenchement du verrouillage de l’iPhone : Accédez à Réglages > Général > Verrouillage auto., puis choisissez une durée. Verrouillage par code Par défaut, l’iPhone ne vous oblige pas à saisir un code pour le déverrouiller. Pour définir un code : Accédez à Réglages > Général > Verrouillage par code, puis définissez un code à 4 chiffres. Pour plus de sécurité, désactivez Code simple et utilisez un code plus long. Si vous oubliez votre code, vous devez restaurer le logiciel de l’iPhone. Consultez la section Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPhone à la page 164. Pour autoriser l’accès lorsque l’iPhone est verrouillé : Accédez à Réglages > Général > Verrouillage par code. Vous pouvez utiliser les options suivantes sans déverrouiller l’iPhone : • Siri (consultez la section Configuration des options de Siri à la page 43) ; • Composition vocale (ce réglage est disponible uniquement lorsque Siri est désactivé) ; • Répondre avec message (consultez la section Réception d’appels à la page 47) ; • Passbook (consultez la section Chapitre 16, Passbook, à la page 92). Pour effacer les données après dix tentatives de saisie infructueuses : Accédez à Réglages > Général > Verrouillage par code, puis touchez Effacer les données. Après dix tentatives de saisie infructueuses, vos réglages sont réinitialisés, et toutes les informations et tout le contenu sont effacés par la suppression de la clé de chiffrement des données (chiffrement AES 256 bits).Chapitre 33 Réglages 148 Restrictions Vous pouvez définir des restrictions pour certaines apps et pour le contenu acheté. Les parents peuvent ainsi restreindre dans les listes de lecture l’accès à la musique dont le contenu est explicite ou empêchez l’installation d’apps. Pour activer des restrictions : Accédez à Réglages > Général > Restrictions, puis touchez Activer les restrictions. Il vous sera demandé de définir un code de restriction, nécessaire à la modification des réglages que vous avez effectués. Ce code est différent de celui utilisé pour le déverrouillage de l’iPhone. Important : Si vous oubliez votre code de restriction, vous devez restaurer le logiciel de l’iPhone. Consultez la section Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPhone à la page 164. Vous pouvez définir des restrictions pour les apps suivantes : • Safari ; • Appareil photo (et les apps qui utilisent l’appareil photo) ; • FaceTime ; • iTunes Store ; • iBookstore ; • Siri (y compris la commande vocale et la dictée). Vous pouvez également définir les restrictions suivantes : • Ajout d’apps : L’App Store est désactivé et son icône est supprimée de l’écran d’accueil. Vous ne pouvez pas installer d’apps sur l’iPhone. • Suppr. d’apps : Vous ne pouvez pas supprimer d’apps de l’iPhone. n’apparaît pas sur les icônes d’app lorsque vous personnalisez l’écran d’accueil. • Langage explicite : Siri essaye de remplacer les mots explicites que vous prononcez par des astérisques et des bips. • Confidentialité : Les réglages de confidentialité actuels pour les Services de localisation, les Contacts, les Calendriers, les Rappels, les Photos, le Partage Bluetooth, Twitter et Facebook peuvent tous être verrouillés. • Comptes : Les réglages Mail, Contacts, Calendrier actuels sont verrouillés. Vous ne pouvez pas ajouter, modifier ou supprimer des comptes. De plus, vous ne pouvez pas modifier les réglages iCloud. • Localiser mes amis : Les réglages actuels de Localiser mes amis sont verrouillés. Cette option est disponible lorsque l’app Localiser mes amis est installée. • Volume maximum : Les réglages de Volume maximum actuels sont verrouillés. • Achats intégrés : Lorsque Achats intégrés est désactivé, vous ne pouvez pas acheter de contenu ni de fonctionnalités supplémentaires pour les apps que vous téléchargez de l’App Store. • Exiger des mots de passe : Exige que vous saisissiez un identifiant Apple pour les achats inté- grés après une durée spécifique. • Restrictions relatives au contenu : Touchez Classification, puis sélectionnez un pays dans la liste. Ensuite, définissez des restrictions pour la musique, les podcasts, les films, les séries TV et les apps. Le contenu n’atteignant pas vos critères de sélection n’apparaît pas sur l’iPhone. • Jeux multijoueurs : Lorsque l’option Jeux multijoueurs est désactivée, vous ne pouvez pas demander de match, envoyer ou recevoir des invitations à jouer ou ajouter des amis dans Game Center.Chapitre 33 Réglages 149 • Ajout d’amis : Lorsque la fonctionnalité Ajout d’amis est désactivée, vous ne pouvez ni envoyer ni recevoir de demande d’amitié dans Game Center. Si fonctionnalité Jeux multijoueurs est activée, vous pouvez continuer à jouer avec des amis existants. Date et heure Ces réglages ont un impact sur l’heure indiquée dans la barre d’état en haut de l’écran, et dans les horloges mondiales et calendriers. Définir le format 24 heures ou 12 heures de l’iPhone : Accédez à Réglages > Général > Date et heure, puis activez ou désactivez Affichage 24h. (L’option Affichage 24 h peut ne pas être disponible dans toutes les régions.) Pour définir la mise à jour automatique de la date et de l’heure sur l’iPhone : Accédez à Réglages > Général > Date et heure, puis activez ou désactivez Réglage automatique. Si vous réglez l’iPhone pour mettre automatiquement l’heure à jour, il recherche la bonne heure sur le réseau cellulaire et la met à jour pour la faire correspondre au fuseau horaire dans lequel vous vous trouvez. Certains opérateurs ne prenant pas en charge l’heure réseau, il se peut que l’iPhone ne parvienne pas à déterminer automatiquement l’heure locale. Pour régler manuellement la date et de l’heure : Accédez à Réglages > Général > Date et heure, puis désactivez Réglage automatique. Touchez Fuseau horaire pour définir votre fuseau horaire. Touchez le bouton Date et heure, puis touchez Régler la date et l’heure. Clavier Vous pouvez activer des claviers pour écrire dans différentes langues et activer ou désactiver des fonctionnalités de saisie telles que la correction orthographique. Pour en savoir plus sur le clavier, consultez la section Saisie de texte à la page 24. Pour en savoir plus sur les claviers internationaux, consultez la section L’annexe B, Claviers internationaux, à la page 154. International Accédez à Réglages > Général > International pour régler les fonctionnalités suivantes : • la langue de l’iPhone ; • le format du calendrier ; • la langue du Contrôle vocal ; • les claviers que vous utilisez ; • les formats de date, d’heure et de numéro de téléphone. Accessibilité Accédez à Réglages > Général > Accessibilité et activez les fonctionnalités souhaitées. Consultez la section Chapitre 32, Accessibilité, à la page 123. Profils Ce réglage apparaît lorsque vous installez un ou plusieurs profils sur l’iPhone. Touchez Profils pour afficher des informations au sujet des profils installés. Pour en savoir plus, consultez la section Utilisation des profils de configuration à la page 152.Chapitre 33 Réglages 150 Réinitialisation Vous pouvez réinitialiser le dictionnaire, les réglages réseau, la disposition de l’écran d’accueil et les alertes de localisation. Vous pouvez également effacer la totalité de vos contenus et réglages. Réinitialiser l’iPhone : Accédez à Réglages > Général > Réinitialiser, puis choisissez une option : • Réinitialiser tous les réglages : Vos préférences et réglages sont tous réinitialisés. • Effacer tout le contenu et les réglages : Vos données et réglages sont supprimés. Vous devez alors reconfigurer l’iPhone pour pouvoir le réutiliser. • Réinitialiser les réglages réseau : Lorsque vous réinitialisez les réglages réseau, la liste des réseaux utilisés précédemment et les réglages VPN qui ne sont pas installés par un profil de configuration sont supprimés. Wi-Fi est désactivé puis réactivé : vous êtes alors déconnecté de tout réseau, le cas échéant. Les réglages Wi-Fi et « Confirmer l’accès » restent activés. Pour supprimer les réglages VPN installés par un profil de configuration, accédez à Réglages > Général > Profil, puis sélectionnez le profil et touchez Supprimer. Cela supprime également tous les réglages ou comptes du profil. • Réinitialiser le dictionnaire clavier : Vous ajoutez des mots au dictionnaire clavier en refusant les mots que l’iPhone suggère lors de la frappe. La réinitialisation du dictionnaire clavier efface tous les mots que vous avez ajoutés. • Réinitialiser l’écran d’accueil : Rétablit la disposition d’origine des applications intégrées sur l’écran d’accueil. • Réinitialiser la localisation et la confidentialité : Réinitialise les services de localisation et les réglages de confidentialité à leurs paramètres par défaut d’origine. Sons Vous pouvez configurer l’iPhone de manière à émettre un son lorsque vous recevez un nouveau message, courrier électronique, appel, Tweet, publication Facebook, message vocal ou des rappels. Vous pouvez également configurer des sons pour les rendez-vous, l’envoi de message électronique, les touches sur le clavier et le verrouillage de l’iPhone. Pour en savoir plus sur les modes silencieux de l’iPhone, consultez la section Commutateur Sonnerie/Silence à la page 10. Pour modifier les réglages de son : Accédez à Réglages > Sons. Les options disponibles permettent notamment de : • définir si l’iPhone doit vibrer lorsque vous recevez un appel ; • définir si l’iPhone doit vibrer lorsque vous le passez en mode silencieux ; • régler le volume de la sonnerie et des alertes ; • empêcher les boutons latéraux de modifier le volume de la sonnerie ; • définir la sonnerie (pour définir une sonnerie pour une personne, accédez à sa fiche dans Contacts.) ; • régler le son des alertes et d’autres sons ; • activer les sons des touches sur le clavier et un son pour le verrouillage de l’iPhone. Pour définir des modèles de vibration : Accédez à Réglages > Sons, puis choisissez un élément dans la liste Modèles de sons et de vibration. Touchez Vibration pour choisir un modèle. • Pour définir un modèle de vibration personnalisé : Touchez un élément dans la liste Sons et vibrations, puis touchez Vibration. Touchez Créer nouvelle vibration, puis définissez le modèle en touchant l’écran. Chapitre 33 Réglages 151 Luminosité et fond d’écran. La luminosité de l’écran influe sur l’autonomie de la batterie. Baissez la luminosité de l’écran pour prolonger la période avant qu’une recharge de l’iPhone devienne nécessaire ou utilisez le mode Réglage automatique. Pour régler la luminosité de l’écran : Accédez à Réglages > Luminosité et fond d’écran, puis faites glisser le curseur. Si Réglage automatique est activé, l’iPhone ajuste la luminosité de l’écran en fonction des conditions d’éclairage actuelles à l’aide du capteur de lumière ambiante intégré. Les réglages Fond d’écran permettent de définir une image ou une photo comme fond d’écran de l’écran de verrouillage ou de l’écran d’accueil. Consultez la section Changement de fond d’écran à la page 24. Confidentialité Les réglages de confidentialité vous permettent de voir et de contrôler quels services de système et d’apps peuvent avoir accès aux Services de localisation, aux contacts, calendriers, rappels et photos. Service de localisation permet aux apps dépendantes de la localisation telles que Rappels, Plans et Appareil photo de recueillir et d’utiliser des données indiquant votre position. Votre position approximative est déterminée à l’aide des données disponibles transmises par le réseau de téléphonie mobile, les réseaux Wi-Fi locaux (si vous avez activé le Wi-Fi) et le système GPS (non disponible dans toutes les régions). Les données de localisation collectées par Apple le sont dans un format anonyme. Lorsqu’une app utilise Service de localisation, apparaît dans la barre de menus. Pour activer ou désactiver Service de localisation : Accédez à Réglages > Confidentialité > Service de localisation. Vous pouvez le désactiver pour l’ensemble ou la plupart des apps et services. Si vous désactivez Service de localisation, vous êtes invité à le réactiver la prochaine fois qu’une app ou un service tente de l’utiliser. Pour désactiver le service de localisation pour les services de système : Plusieurs services de système, comme l’étalonnage de la boussole et les iAds dépendantes de la localisation, utilisent les Services de localisation. Pour afficher leur statut, les activer ou les désactiver ou indiquer dans la barre des menus lorsque ces services utilisent votre localisation, accédez à Réglages > Confidentialité > Services de localisation > Services de système. Pour désactiver l’accès aux informations privées : Accédez à Réglages > Confidentialité. Vous pouvez voir quelles apps ont demandé et obtenu l’accès aux informations suivantes : • Contacts • Calendrier • Rappels • Photos • Partage Bluetooth • Twitter • Facebook Vous pouvez désactiver l’accès de chaque app à chaque catégorie d’informations. Passez en revue les conditions générales et la politique de confidentialité de chaque app tierce pour comprendre comment elles utilisent les données demandées.A 152 Avec la prise en charge d’un accès sécurisé aux réseaux d’entreprise, aux répertoires et à Microsoft Exchange, l’iPhone est prêt à se mettre au travail. Pour en savoir plus sur l’utilisation de l’iPhone au travail, consultez la page www.apple.com/fr/accessibility. Utilisation des profils de configuration Si vous évoluez dans un environnement d’entreprise, il se peut que vous puissiez paramétrer des comptes et d’autres éléments sur l’iPhone en installant un profil de configuration. Les profils de configuration permettent à votre administrateur de paramétrer votre iPhone afin d’utiliser les systèmes d’information dans votre entreprise, école ou organisation. Par exemple, un profil de configuration peut régler votre iPhone pour qu’il accède aux serveurs Microsoft Exchange au travail, et puisse ainsi atteindre ainsi les courriers électroniques, les calendriers et les contacts Exchange, tout en activant éventuellement un verrouillage par code afin de vous aider à assurer la sécurité des informations. Votre administrateur peut distribuer des configurations de profil par courrier électronique, les placer sur une page web sécurisée ou les installer directement sur l’iPhone pour vous. Votre administrateur peut vous faire installer un profil qui relie votre iPhone à un serveur de gestion de dispositifs mobiles, ce qui lui permet de configurer vos réglages à distance. Pour installer des profils de configuration : Sur l’iPhone, ouvrez le message électronique ou téléchargez les profils de configuration sur le site web que votre administrateur vous a fourni. Lorsque vous ouvrez un profil de configuration, l’installation commence. Important : Il vous sera peut-être demandé si vous faites confiance à tel ou tel profil de configuration. En cas de doute, demandez à votre administrateur avant d’installer le profil de configuration. Vous ne pouvez pas modifier les réglages définis par un profil de configuration. Si vous voulez modifier les réglages, vous devez d’abord supprimer le profil de configuration ou installer un nouveau profil de configuration avec de nouveaux réglages. Pour supprimer un profil de configuration : Accédez à Réglages > Général > Profil, puis sélectionnez le profil de configuration et touchez Supprimer. La suppression d’un profil de configuration supprime les réglages et toutes les autres informations installées par le profil. L’iPhone au travail AnnexeAnnexe A L’iPhone au travail 153 Configuration de comptes Microsoft Exchange Microsoft Exchange fournit des informations de courriers électroniques, de contacts, de tâches et de calendriers que vous pouvez synchroniser automatiquement sans fil vers l’iPhone. Vous pouvez configurer un compte Exchange directement sur l’iPhone. Pour configurer un compte Exchange sur l’iPhone : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier. Touchez Ajouter un compte puis Microsoft Exchange. Demandez à votre prestataire de services ou à votre administrateur quels réglages utiliser. Accès par VPN La norme VPN (réseau privé virtuel, en anglais « Virtual Private Network ») permet un accès sécurisé via Internet à des réseaux privés, comme le réseau de votre entreprise ou école. Utilisez les réglages Réseau sur l’iPhone pour configurer et activer une connexion VPN. Demandez à votre administrateur quels réglages utiliser. La connexion VPN peut aussi être configurée automatiquement à l’aide d’un profil de configuration. Lorsque la connexion VPN est configurée à l’aide d’un profil de configuration, l’iPhone peut activer la connexion VPN automatiquement lorsque nécessaire. Pour en savoir plus, contactez votre administrateur. Comptes LDAP et CardDAV Lorsque vous configurez un compte LDAP, vous pouvez voir et chercher des contacts sur le serveur LDAP de votre organisation. Le serveur apparaît comme un nouveau groupe dans les contacts. Les contacts LDAP ne sont pas téléchargés sur l’iPhone, c’est pour cela que vous devez disposer d’une connexion à Internet pour les consulter. Vérifiez auprès de votre administrateur les réglages de compte et autres paramètres (comme la connexion VPN). Lorsque vous configurez un compte CardDAV, vos contacts de compte sont synchronisés sans fil avec l’iPhone. Vous pouvez aussi rechercher des contacts sur le serveur CardDAV de votre organisation. Pour configurer un compte LDAP ou CardDAV : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, puis touchez Ajouter un compte. Touchez Autre. Demandez à votre prestataire de services ou à votre administrateur quels réglages utiliser.B 154 Les claviers internationaux vous permettent de saisir du texte dans de nombreuses langues, y compris les langues asiatiques et celles qui se lisent de la droite vers la gauche. Utilisation de claviers internationaux Les claviers internationaux vous permettent de saisir du texte dans de nombreuses langues, y compris les langues asiatiques et celles qui se lisent de la droite vers la gauche. Pour obtenir la liste complète des claviers pris en charge, consultez la page web www.apple.com/fr/iphone/specs.html. Pour gérer les claviers : Accédez à Réglages > Général > International > Claviers. • Pour ajouter un clavier : Touchez Ajouter un clavier, puis choisissez un clavier dans la liste. Répétez l’opération pour ajouter d’autres claviers. • Pour supprimer un clavier : Touchez Modifier, touchez en regard du clavier que vous souhaitez supprimer, puis touchez Supprimer. • Pour modifier votre liste de claviers : Touchez Modifier, puis faites glisser à côté d’un clavier vers une nouvelle position dans la liste. Pour saisir du texte dans une autre langue, changez de clavier. Pour changer de clavier en cours de saisie : Maintenez le doigt sur la touche de globe pour afficher tous vos claviers activés. Pour choisir un clavier, faites glisser votre doigt sur le nom du clavier, puis levez votre doigt. La touche de globe apparaît seulement si vous activez plusieurs claviers. Vous pouvez aussi toucher simplement . Lorsque vous touchez , le nom du clavier que vous venez d’activer apparaît brièvement. Continuez à toucher cette touche pour accéder à d’autres claviers activés. De nombreux claviers proposent des lettres, chiffres et symboles non visibles sur le clavier lui-même. Pour saisir des lettres accentuées ou d’autres caractères : Touchez la lettre, le chiffre ou le symbole le plus proche et maintenez le doigt dessus, puis faites glisser pour choisir une variante. Par exemple : • Sur un clavier thaïlandais : Pour choisir des chiffres natifs, vous pouvez toucher le chiffre arabe correspondant et maintenir le doigt dessus. • Sur un clavier chinois, japonais ou arabe : Des suggestions de caractères ou candidats apparaissent en haut du clavier. Touchez un candidat pour le saisir ou feuilletez vers la gauche pour afficher davantage de candidats. Pour utiliser la liste étendue des candidats : Touchez la flèche vers le haut située à droite pour afficher la liste complète des candidats. • Pour faire défiler la liste : Feuilletez vers le haut ou le bas. • Pour retourner à la liste abrégée : Touchez la flèche vers le bas. Claviers internationaux AnnexeAnnexe B Claviers internationaux 155 Lors de l’utilisation de certains claviers chinois ou japonais, vous pouvez créer un raccourci pour des mots et des paires d’entrées. Le raccourci est ajouté à votre dictionnaire personnel. Lorsque vous tapez un raccourci en utilisant un clavier pris en charge, l’entrée ou le mot associé est substitué au raccourci. Pour activer ou désactiver les raccourcis : Accédez à Réglages > Général > Clavier > Raccourcis. Les raccourcis sont disponibles pour : • Chinois simplifié : Pinyin • Chinois traditionnel : Pinyin et Zhuyin • Japonais : Romaji et 50 touches Méthodes de saisie spéciales Vous pouvez utiliser les claviers pour saisir certaines langues de différentes manières. Quelques exemples parmi d’autres sont le chinois Kanji et Wubihua, le japonais Kana et les smileys. Vous pouvez également utiliser votre doigt ou un stylet pour écrire des caractères chinois à l’écran. Pour construire des caractères chinois à partir des touches Kanji de composants : Au fur et à mesure que vous tapez, des suggestions de caractères apparaissent. Touchez un caractère pour le choisir ou continuez à saisir jusqu’à cinq composants pour afficher davantage d’options. Pour construire des caractères chinois Wubihua (traits) : Utilisez le clavier numérique pour construire des caractères chinois en utilisant jusqu’à cinq traits dans la séquence d’écriture correcte : horizontal, vertical, gauche vers le bas, droit vers le bas et crochet. Par exemple, le caractère chinois 圈 (cercle) doit commencer par le trait vertical 丨. • Au fur et à mesure que vous tapez, les caractères chinois suggérés apparaissent (en commen- çant par les plus communs). Touchez un caractère pour le choisir. • Si vous n’êtes pas sûr du trait, tapez un astérisque (*). Pour afficher davantage d’options de caractères, tapez un autre trait ou faites défiler la liste de caractères. • Touchez la touche correspondante (匹配) pour n’afficher que les caractères correspondant exactement à ce que vous avez tapé. Pour écrire des caractères chinois : Écrivez des caractères chinois directement sur l’écran avec votre doigt lorsque les formats manuscrits de chinois simplifié ou traditionnel sont activés. Tandis que vous tracez des traits, l’iPhone les reconnaît et propose une liste de caractères correspondants classés par ordre de similarité. Lorsque vous choisissez un caractère, ceux qui sont susceptibles de suivre apparaissent dans la liste en tant que choix supplémentaires. Pavé tactile Pavé tactileAnnexe B Claviers internationaux 156 Certains caractères complexes, comme 鱲 (une partie du nom de l’aéroport international de Hong Kong), 𨋢 (ascenseur) et 㗎 (particule utilisée en cantonnais), peuvent être saisis en écrivant à la suite deux caractères composants ou plus. Touchez le caractère pour remplacer les caractères que vous avez saisis. Les caractères romains sont également reconnus. Pour saisir du texte japonais avec le clavier Kana : Utilisez le clavier Kana pour sélectionner des syllabes. Pour obtenir plus d’options de syllabes, touchez la flèche et sélectionnez une autre syllabe ou un autre mot dans la fenêtre. Pour saisir du texte japonais avec le clavier Romaji : Utilisez le clavier Romaji pour saisir des syllabes. D’autres choix apparaissent en haut du clavier, touchez-en un pour le saisir. Pour obtenir plus d’options de syllabes, touchez la flèche et sélectionnez une autre syllabe ou un autre mot dans la fenêtre. Pour saisir des smileys ou des émoticônes : Sur le clavier japonais Kana, touchez la touche ^_^. Vous pouvez également : • utiliser le clavier japonais Romaji (disposition japonaise QWERTY) : touchez la touche des chiffres , puis la touche ^_^ ; • utiliser les claviers chinois Pinyin (simplifié ou traditionnel) ou Zhuyin (traditionnel) : touchez la touche des symboles , puis la touche ^_^.C 157 Informations importantes concernant la sécurité AVERTISSEMENT : Le fait de ne pas suivre les présentes instructions de sécurité peut provoquer un incendie, une électrocution ou d’autres blessures, ainsi que des dégâts à l’iPhone et d’autres propriétés. Consultez toutes les informations relatives à la sécurité ci-dessous avant d’utiliser l’iPhone. Manipulation Manipulez l’iPhone avec soin. Fabriqué en métal, en verre et en plastique, il contient des composants électroniques sensibles. L’iPhone peut s’abîmer s’il tombe, est brûlé, percé, écrasé ou s’il entre en contact avec un liquide. N’utilisez pas un iPhone endommagé, par exemple s’il présente un écran brisé, car cela pourrait causer des blessures. Si vous êtes soucieux de ne pas abîmer votre téléphone, pensez à utiliser une protection. Réparation N’ouvrez pas l’iPhone et n’essayez pas de réparer vous même l’iPhone. Le fait de démonter votre iPhone peut vous causer des blessures ou endommager l’iPhone. Si l’iPhone est endommagé, ne fonctionne pas correctement, ou entre en contact avec un liquide, contactez Apple ou un Centre de Services Agréé Apple. Vous pouvez obtenir plus d’informations sur nos services à l’adresse www.apple.com/fr/support/iphone/service/faq. Batterie N’essayez pas de remplacer la batterie de l’iPhone vous-même, vous pouvez endommager la batterie et provoquer ainsi une surchauffe et des blessures. La batterie lithium-ion de l’iPhone ne doit être remplacée que par Apple ou un Centre de Services Agréé Apple. Elle doit être recyclée ou mise au rebut séparément des ordures ménagères. N’incinérez pas la batterie. Pour en savoir plus sur le recyclage ou le remplacement de la batterie, consultez la page www.apple.com/fr/batteries. Distraction L’utilisation de l’iPhone dans certaines situations peut vous distraire et provoquer ainsi une situation dangereuse. Observez les règles qui interdisent ou limitent l’utilisation des téléphones portables ou des écouteurs (par exemple, évitez de rédiger des messages texte lorsque vous conduisez ou d’utiliser des écouteurs lorsque vous êtes à vélo). Navigation Les apps cartographiques, géodépendantes ou proposant des itinéraires reposent sur des services de données. Ces services de données sont susceptibles de changer et ne sont pas disponibles dans toutes les zones, ce qui rend indisponibles, inexacts ou incomplets les plans, itinéraires et informations Flyover ou dépendant de la position géographique. Comparez les renseignements fournis sur l’iPhone avec votre environnement et reportez-vous aux panneaux indicateurs pour résoudre toute différence existante. Certaines fonctionnalités de Plans requièrent le Service de localisation. Consultez la section Confidentialité à la page 151. Faites appel à votre bon sens lors de la navigation. Sécurité, manipulation et assistance AnnexeAnnexe C Sécurité, manipulation et assistance 158 Charge Chargez l’iPhone avec le câble USB et l’adaptateur secteur fournis, ou d’autres câbles et adaptateurs secteur tiers « Made for iPhone » compatibles avec USB 2.0, ou des adaptateurs secteur compatibles avec une ou plusieurs des normes suivantes : EN 301489-34, IEC 62684, YD/T 1591-2009, CNS 15285, ITU L.1000 ou une autre norme applicable relative à l’interopérabilité des adaptateurs secteurs pour téléphones portables. Un adaptateur micro USB iPhone (disponible séparément dans certaines régions) ou un autre adaptateur peuvent être nécessaires pour connecter l’iPhone à certains adaptateurs secteur compatibles. L’utilisation de câbles ou de chargeurs endommagés ou la recharge en présence d’humidité peut provoquer une électrocution. Lorsque vous utilisez l’adaptateur secteur Apple USB Power Adapter pour recharger votre iPhone, assurez-vous que la fiche ou le câble d’alimentation secteur CA soit totalement enclenché dans l’adaptateur avant de le brancher dans une prise de courant. Les adaptateurs secteur peuvent chauffer lors de leur usage normal ; un contact prolongé peut provoquer des blessures. Veillez à toujours prévoir une ventilation adéquate autour des adaptateurs secteur lorsque vous les utilisez. Remarque : Seuls les adaptateurs secteur micro USB de certaines régions, conformes aux normes applicables d’interopérabilité des adaptateurs secteur pour téléphones portables, sont compatibles. Veuillez contacter le fabricant de l’adaptateur secteur pour savoir si votre adaptateur secteur micro USB est conforme à ces normes. Perte d’audition L’écoute de musique à volume élevé peut endommager votre système auditif. Les bruits de fond et une exposition continue à des volumes élevés peuvent vous induire en erreur sur le volume réel qui semble moins élevé. Allumez votre appareil et vérifiez le volume avant de porter tout dispositif à vos oreilles. Pour plus de renseignements sur la perte d’audition accédez à la page www.apple.com/fr/icloud. Pour plus de renseignements sur la manière de régler un volume maximum sur l’iPhone, consultez Réglages de Musique à la page 68. AVERTISSEMENT : Pour éviter les pertes auditives, baissez le volume et utilisez vos écouteurs avec modération. Écouteurs Apple Les écouteurs vendus avec l’iPhone 4S ou ultérieur en Chine (identifiable par les anneaux isolants de couleur sombre sur la prise) sont fabriqués pour satisfaire aux normes chinoises et sont compatibles avec l’iPhone 4S ou ultérieur, l’iPad 2 ou ultérieur, et l’iPod touch de 5e génération. Utilisez uniquement des écouteurs compatibles avec votre appareil. Signaux radio L’iPhone utilise des signaux radio pour se connecter aux réseaux sans fil. Pour obtenir des informations sur la puissance nécessaire pour transmettre ces signaux et sur les actions que vous pouvez entreprendre pour minimiser l’exposition, accédez à Réglages > Général > Informations > Mentions légales > Exposition RF. Interférences de radiofréquences Respectez les pancartes et les instructions qui interdisent ou limitent l’utilisation des téléphones portables (par exemple, dans les établissements de santé ou les zones à explosion). L’iPhone a été créé, testé et fabriqué pour satisfaire aux règlementations en vigueur en matière d’émissions de radiofréquences. Toutefois, de telles émissions peuvent perturber le fonctionnement d’autres appareils électroniques et engendrer des dysfonctionnements. Éteignez l’iPhone ou utilisez le mode Avion qui permet de désactiver les émetteurs sans fil de l’iPhone en cas d’interdiction d’utilisation, par exemple lorsque vous voyagez en avion ou lorsque les autorités vous le demandent.Annexe C Sécurité, manipulation et assistance 159 Dispositifs médicaux L’iPhone contient des radios qui émettent des champs électromagné- tiques. Ces champs électromagnétiques peuvent interférer avec les stimulateurs cardiaques ou autres dispositifs médicaux. Si vous portez un stimulateur cardiaque, maintenez une distance d’au moins 15 cm entre le stimulateur cardiaque et l’iPhone. Si vous pensez que l’iPhone interfère avec votre stimulateur cardiaque ou autre dispositif médical, arrêtez d’utiliser l’iPhone et consultez votre médecin pour obtenir des informations spécifiques à votre dispositif médical. Le bas de l’iPhone ainsi que les oreillettes des écouteurs fournis contiennent des aimants qui peuvent interférer avec les stimulateurs cardiaques, les défibrillateurs ou d’autres dispositifs médicaux. Maintenez une distance d’au moins 15 cm entre votre stimulateur cardiaque ou défibrillateur et l’iPhone ou les écouteurs. Troubles médicaux Si vous pensez que l’utilisation de l’iPhone pourrait avoir une incidence sur un trouble médical dont vous souffrez (par exemple, crises d’épilepsie, malaises, fatigues oculaires ou maux de tête), consultez votre médecin avant d’utiliser l’iPhone. Atmosphères potentiellement explosives Ne chargez pas et n’utilisez pas l’iPhone dans les zones présentant une atmosphère potentiellement explosive, comme les zones de remplissage de combustible, ou d’autres zones où l’air contient des produits chimiques ou des particules (telles que grains, poussières ou poudres métalliques). Respectez toutes les pancartes et toutes les consignes. Mouvements répétitifs Lorsque vous effectuez des tâches répétitives telles que taper du texte ou jouer sur votre iPhone, vous êtes susceptible d’éprouver une gêne occasionnelle dans les mains, les bras, les poignets, les épaules, le cou ou d’autres parties du corps. Si vous éprouvez une gêne, cessez d’utiliser l’iPhone et consultez un médecin. Activités à haut risque Cet appareil n’est pas conçu pour être utilisé dans des situations où une panne de celui-ci pourrait entraîner la mort, des blessures ou de graves dommages écologiques. Risques d’étouffement Certains accessoires de l’iPhone peuvent représenter un risque d’étouffement pour les enfants en bas âge. Gardez ces accessoires à l’écart des jeunes enfants. Informations importantes sur la manipulation Nettoyage Nettoyez immédiatement l’iPhone s’il entre en contact avec une substance susceptible de faire des taches, notamment de la poussière, de l’encre, du maquillage ou encore une lotion. Pour procéder au nettoyage : • Déconnectez tous les câbles et éteignez l’iPhone (appuyez sur le bouton Marche/Veille, maintenez-le enfoncé, puis faites glisser le curseur à l’écran). • Utilisez un chiffon doux non pelucheux. • Évitez toute pénétration d’humidité dans les orifices de l’appareil. • N’utilisez pas de produits de nettoyage ni d’air comprimé. La partie avant ou arrière de l’iPhone peut être composée de verre et dotée d’un revêtement résistant aux empreintes de doigts et oléophobe (contre les taches d’huile). Ce revêtement s’use avec le temps dans le cadre d’une utilisation normale. Les produits de nettoyage et les matériaux abrasifs affaiblissent encore plus le revêtement et peuvent rayer le verre. Les matériaux abrasifs peuvent aussi rayer l’iPhone.Annexe C Sécurité, manipulation et assistance 160 Utilisation des connecteurs, ports et boutons Ne forcez jamais un connecteur dans un port et n’exercez pas de pression excessive sur un bouton, car cela pourrait entraîner des dommages non couverts par la garantie. Si le connecteur et le port ne se connectent pas facilement, c’est qu’ils ne coïncident probablement pas. Vérifiez l’absence de toute obturation et assurez-vous que le connecteur correspond au port et que vous avez correctement placé le connecteur par rapport au port. Lightning La décoloration de la prise Lightning suite à une utilisation classique est normale. La poussière, les résidus et l’exposition à des liquides peuvent causer une décoloration. Pour retirer la décoloration, ou si le câble se met à chauffer pendant l’utilisation, ne charge pas ou ne synchronise pas votre iPhone, déconnectez le câble Lightning de votre ordinateur ou de votre adaptateur secteur et nettoyez-le avec un chiffon doux, sec et sans peluche. N’utilisez ni liquides ni produits de nettoyage lorsque vous nettoyez le connecteur Lightning. Température de fonctionnement L’iPhone a été conçu pour fonctionner à des températures ambiantes comprises entre 0 et 35 °C et stocké à des températures comprises entre -20 et 45 °C. L’iPhone peut s’endommager et la durée de vie de la batterie peut être raccourcie s’ils sont rangés ou utilisés en dehors de ces fourchettes de températures. Évitez d’exposer l’iPhone à des changements brusques de température ou d’humidité. Lorsque vous utilisez l’iPhone ou rechargez sa batterie, il est normal que l’iPhone chauffe. Si la température intérieure de votre iPhone dépasse sa température normale de fonctionnement (par exemple dans un véhicule chaud ou sous les rayons directs du soleil pendant de longues périodes), vous risquez d’observer les comportements suivants tandis qu’il tente de réguler sa température : • La charge de l’iPhone est interrompue. • L’écran devient plus sombre. • Une fenêtre de mise en garde sur la température s’affiche. • Certaines applications peuvent quitter. Important : Il est possible que vous ne puissiez pas utiliser l’iPhone lorsque l’écran d’alerte de température est affiché. Si l’iPhone ne parvient pas à réguler sa température interne, il passe automatiquement en mode de sommeil profond jusqu’à ce qu’il refroidisse. Déplacez l’iPhone vers un endroit plus frais, à l’abri des rayons directs du soleil, et attendez quelques minutes avant d’essayer à nouveau d’utiliser votre iPhone. Pour en savoir plus, consultez la page support.apple.com/kb/HT2101?viewlocale=fr_FR. Site d’assistance iPhone Des informations d’assistance complètes sont disponibles en ligne à l’adresse www.apple.com/fr/support/iphone. Pour contacter Apple afin d’obtenir une assistance personnalisée (non disponible dans toutes les régions), consultez la page www.apple.com/fr/support/itunes.Annexe C Sécurité, manipulation et assistance 161 Redémarrage ou réinitialisation de l’iPhone En cas de mauvais fonctionnement, essayez de redémarrer l’iPhone, de forcer la fermeture d’une app ou de réinitialiser l’iPhone. Redémarrer l’iPhone : Maintenez le bouton Marche/Veille enfoncé jusqu’à ce que le curseur rouge apparaisse. Faites glisser votre doigt sur le curseur pour éteindre l’iPhone. Pour rallumer l’iPhone, appuyez sur le bouton Marche/Veille jusqu’à l’apparition du logo Apple. Forcer une app à quitter : Maintenez le bouton Marche/Veille enfoncé pendant quelques secondes jusqu’à l’apparition d’un curseur rouge, puis maintenez le bouton principal enfoncé jusqu’à la fermeture de l’app. Vous pouvez également supprimer une app de la liste des applications récentes pour en forcer la fermeture. Consultez la section Ouverture d’apps et basculement entre apps à la page 19. Si vous ne parvenez pas à éteindre l’iPhone ou que le problème persiste, il est peut-être nécessaire de réinitialiser l’iPhone. Ne réinitialisez l’iPhone que si son redémarrage ne permet pas de résoudre le problème. Réinitialiser l’iPhone : Maintenez simultanément enfoncés le bouton Marche/Veille et le bouton principal pendant au moins dix secondes jusqu’à l’apparition du logo Apple. « Code incorrect » ou « iPhone désactivé » apparaît Si vous oubliez votre code ou que l’iPhone affiche une alerte de désactivation, consultez la section « iOS : code incorrect et écran désactivé rouge » à l’adresse http://support.apple.com/kb/HT1212?viewlocale=fr_FR. « Cet accessoire n’est pas pris en charge par l’iPhone » apparaît L’accessoire que vous utilisez peut ne pas fonctionner avec l’iPhone. Assurez-vous que le câble USB et les connecteurs ne portent pas de résidus et reportez-vous à la documentation fournie avec l’accessoire. Impossible d’afficher les pièces jointes Si l’iPhone ne parvient pas à afficher les pièces jointes, essayez ce qui suit : • Pour afficher un fichier joint : Touchez la pièce jointe pour l’ouvrir dans Coup d’œil. Vous devez attendre qu’elle soit téléchargée pour l’afficher. • Pour enregistrer une photo ou vidéo jointe : Touchez la pièce jointe pour l’ouvrir dans Coup d’œil. Vous devez attendre qu’elle soit téléchargée pour l’afficher. Coup d’œil prend en charge les types de documents suivants : • .doc, .docx—Microsoft Word ; • .htm, .html—page web ; • .key—Keynote ; • .numbers—Numbers ; • .pages—Pages ; • .pdf—Aperçu, Adobe Acrobat ; • .ppt, .pptx—Microsoft PowerPoint ; • .rtf—Rich Text Format ;Annexe C Sécurité, manipulation et assistance 162 • .txt—texte ; • .vcf—coordonnées ; • .xls, .xlsx—Microsoft Excel. Pour obtenir plus d’informations de dépannage, consultez la page www.apple.com/fr/support/iphone. Sauvegarde de l’iPhone Vous pouvez également utiliser iCloud ou iTunes pour sauvegarder automatiquement l'iPhone. Si vous choisissez la sauvegarde à l’aide d’iCloud, vous ne pouvez pas également utiliser iTunes pour sauvegarder automatiquement votre ordinateur, mais plutôt manuellement. Copie de sauvegarde avec iCloud iCloud effectue une sauvegarde vers l'iPhone chaque jour via Wi-Fi lorsqu'il est connecté à une source d'alimentation et est verrouillé. La date et l’heure de la dernière sauvegarde apparaissent en bas de l’écran Stockage et sauvegarde. iCloud sauvegarde les éléments suivants : • vos achats de musique, de séries TV, d’apps et de livres ; • les photos et vidéos dans votre Pellicule ; • les réglages de l’iPhone ; • les données d’app ; • l’organisation de l’écran d’accueil et des apps ; • vos messages (iMessage, SMS et MMS) ; • vos sonneries. Remarque : La musique achetée n’est pas sauvegardée dans toutes les régions et les séries TV ne sont pas disponibles dans toutes les régions. Si vous n’avez pas activé la sauvegarde iCloud lors de la première configuration de votre iPhone, vous pouvez l’activer dans les réglages iCloud. Activer les sauvegardes iCloud : Accédez à Réglages > iCloud, puis connectez-vous avec votre identifiant Apple et votre mot de passe, si ceux-ci vous sont demandés. Accédez à Stockage et sauvegarde, puis activez Sauvegarde iCloud. Effectuer immédiatement une copie de sauvegarde : Accédez à Réglages > iCloud > Stockage et sauvegarde, puis touchez Sauvegarder. Gérer les copies de sauvegarde : Accédez à Réglages > iCloud > Stockage et sauvegarde, puis touchez Gérer le stockage. Touchez le nom de votre iPhone. Activer ou désactiver la sauvegarde de la Pellicule : Accédez à Réglages > iCloud > Stockage et sauvegarde, puis touchez Gérer le stockage. Touchez le nom de votre iPhone, puis activez ou désactivez la sauvegarde de la Pellicule. Consulter les appareils sauvegardés : Accédez à Réglages > iCloud > Stockage et sauvegarde > Gérer le stockage. Arrêter les sauvegardes iCloud : Accédez à Réglages > iCloud > Stockage et sauvegarde > Sauvegarde, puis désactivez Sauvegarde iCloud. La musique qui n’a pas été achetée sur iTunes n’est pas sauvegardée dans iCloud. Vous devez utiliser iTunes pour sauvegarder et restaurer le contenu. Consultez la section Synchronisation avec iTunes à la page 17.Annexe C Sécurité, manipulation et assistance 163 Important : La sauvegarde de la musique et des séries TV n’est pas disponible dans toutes les régions. Les achats antérieurs peuvent ne pas être disponibles s’ils ne sont plus présents dans l’iTunes store, l’App Store ou l’iBookstore. Le contenu acheté, ainsi que le contenu de Flux de photos, n’utilisent pas votre espace de stockage iCloud gratuit de 5 Go. Copie de sauvegarde avec iTunes iTunes crée une sauvegarde des photos de vos albums Pellicule ou Photos enregistrées, et des sauvegardes des messages texte, des notes, de l’historique d’appel, de votre liste de favoris, des réglages de son, etc. Les fichiers multimédias, tels que les morceaux, et certaines photos, ne sont pas sauvegardés, mais peuvent être restaurés par une synchronisation avec iTunes. Lorsque vous connectez l’iPhone à l’ordinateur que vous utilisez habituellement pour la synchronisation, iTunes créer une sauvegarde chaque fois que vous effectuez l’une des actions suivantes : • Synchroniser avec iTunes : iTunes synchronise l'iPhone chaque fois que vous connectez l'iPhone à votre ordinateur. iTunes ne sauvegarde pas automatiquement un iPhone qui n'est pas configuré pour être synchronisé avec cet ordinateur. Consultez la section Synchronisation avec iTunes à la page 17. • Mettre à jour ou restaurer l'iPhone : iTunes sauvegarde toujours l’iPhone avant la mise à jour et la restauration. iTunes peut également chiffrer les sauvegardes de l'iPhone pour protéger vos données. Chiffrer les sauvegardes de l'iPhone : Sélectionnez « Chiffrer la sauvegarde de l’iPhone » dans la sous-fenêtre Résumé d’iTunes. Restaurer les fichiers et les réglages de l’iPhone : Connectez l’iPhone à l’ordinateur que vous utilisez habituellement pour la synchronisation, sélectionnez l’iPhone dans la fenêtre iTunes et cliquez sur Restaurer dans la sous-fenêtre Résumé. Pour en savoir plus sur les sauvegardes, consultez la page support.apple.com/kb/HT4356?viewlocale=fr_FR. Suppression d’une copie de sauvegarde iTunes Vous pouvez supprimer une sauvegarde de l’iPhone de la liste des sauvegardes sur iTunes. Utilisez par exemple cette fonction si une sauvegarde a été créée sur un autre ordinateur que le vôtre. Supprimer une sauvegarde : 1 Sur iTunes, ouvrez les Préférences iTunes. • Mac : choisissez iTunes > Préférences. • Windows : choisissez Édition > Préférences. 2 Cliquez sur Appareils (il n’est pas nécessaire que l’iPhone soit connecté). 3 Sélectionnez la sauvegarde que vous souhaitez supprimer, puis cliquez sur Supprimer la sauvegarde. 4 Cliquez sur Supprimer, pour confirmer que vous souhaitez supprimer la sauvegarde sélectionnée, puis cliquez sur OK.Annexe C Sécurité, manipulation et assistance 164 Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPhone Vous pouvez mettre à jour le logiciel de l'iPhone dans Réglages ou à l'aide d'iTunes. Vous pouvez également supprimer ou restaurer l’iPhone et utiliser ensuite iCloud ou iTunes pour effectuer une restauration à partir d’une sauvegarde. Les données supprimées ne sont plus accessibles par le biais de l’interface utilisateur de l’iPhone, mais elles ne sont pas effacées de votre iPhone. Pour en savoir plus sur la manière d’effacer tout le contenu et les réglages, consultez la section Réinitialisation à la page 150. Mise à jour de l’iPhone Vous pouvez mettre à jour le logiciel dans les Réglages de l’iPhone ou à l’aide d’iTunes. Mettre à jour sans fil sur l’iPhone : Accédez à Réglages > Général > Mise à jour de logiciels. L’iPhone recherche les mises à jour de logiciels disponibles. Mettre à jour le logiciel sur iTunes : iTunes recherche les mises à jour de logiciels disponibles chaque fois que vous synchronisez l'iPhone à l'aide d'iTunes. Consultez la section Synchronisation avec iTunes à la page 17. Pour en savoir plus sur la mise à jour du logiciel de l’iPhone, consultez la page support.apple.com/kb/HT4623?viewlocale=fr_FR. Restauration de l’iPhone Vous pouvez utiliser iCloud ou iTunes pour restaurer l'iPhone à partir d'une sauvegarde. Restaurer à partir d’une sauvegarde iCloud : Réinitialisez l’iPhone pour effacer tout le contenu et les réglages. Connectez-vous à iCloud et choisissez Restaurer à partir d’une sauvegarde dans Assistant réglages. Consultez la section Réinitialisation à la page 150. Restaurer à partir d’une sauvegarde iTunes : Connectez l’iPhone à l’ordinateur que vous utilisez habituellement pour la synchronisation, sélectionnez l’iPhone dans la fenêtre iTunes et cliquez sur Restaurer dans la sous-fenêtre Résumé. Lorsque le logiciel de l’iPhone a été restauré, vous pouvez choisir de configurer votre appareil comme un nouvel iPhone, ou d’y restaurer votre musique, vos vidéos, les données de vos apps et le reste de votre contenu à partir d’une sauvegarde. Pour en savoir plus sur la restauration du logiciel de l’iPhone, consultez la page support.apple.com/kb/HT1414?viewlocale=fr_FR. Informations relatives au logiciel et au service après-vente Le tableau suivant indique où obtenir des informations sur l’iPhone en matière de sécurité, de logiciel et de réparations. Pour en savoir plus sur Procédez ainsi Utilisation de l’iPhone en toute sécurité Consultez la section Informations importantes concernant la sécurité à la page 157. Les réparations et l’assistance, les conseils, les forums de discussion et les téléchargements de logiciels Apple pour l’iPhone Consultez la page www.apple.com/fr/support/iphone. Service après-vente et assistance de votre opérateur Contactez votre fournisseur ou visitez son site web. Les toutes dernières informations sur l’iPhone Consultez la page www.apple.com/fr/iphone.Annexe C Sécurité, manipulation et assistance 165 Pour en savoir plus sur Procédez ainsi Gestion de votre compte à identifiant Apple Consultez la page appleid.apple.com/fr. Utilisation d’iCloud Consultez la page www.apple.com/fr/support/icloud. Utilisation d’iTunes Ouvrez iTunes et choisissez Aide > Aide iTunes. Pour accéder à un didacticiel iTunes en ligne (non disponible dans certaines régions), consultez la page www.apple.com/fr/support/itunes. Utilisation d’autres apps iOS Apple Consultez la page www.apple.com/fr/support/icloud. Recherche du numéro de série, du numéro IMEI, du numéro ICCID ou du numéro MEID de votre iPhone Vous pouvez trouver le numéro de série, le numéro IMEI (International Mobile Equipment Identity), le numéro ICCID ou le numéro MEID (Mobile Equipment Identifier) de votre iPhone sur l’emballage de votre iPhone. Sur l’iPhone, vous pouvez également choisir Réglages > Général > Informations. Pour en savoir plus, consultez la page http://support.apple.com/kb/TS2621?viewlocale=fr_FR. Obtention de réparations sous garantie Commencez par suivre les conseils prodigués dans ce guide. Puis, consultez la page www.apple.com/fr/support/iphone. Affichage des informations règlementaires sur l’iPhone. Sur l’iPhone, accédez à Réglages > Général > Informations > Mentions légales > Certification. Service de remplacement des batteries Consultez la page http://www.apple.com/fr/batteries/replacements.html. Utilisation de l’iPhone dans un environnement d’entreprise Consultez la page www.apple.com/fr/iphone/business pour en savoir plus sur les fonctions entreprise de l’iPhone, notamment : Microsoft Exchange, IMAP, CalDAV, CardDAV, VPN et bien plus. Utilisation de l’iPhone dans un environnement d’entreprise Consultez la page www.apple.com/fr/iphone/business pour en savoir plus sur les fonctions entreprise de l’iPhone, notamment : Microsoft Exchange, IMAP, CalDAV, CardDAV, VPN et bien plus. Utilisation de l’iPhone avec d’autres opérateurs Certains opérateurs vous autorisent à débloquer l’iPhone pour l’utiliser sur leur réseau. Pour déterminer si votre opérateur propose cette option, consultez la page support.apple.com/kb/HT1937?viewlocale=fr_FR. Contactez votre opérateur pour obtenir son autorisation et des informations de configuration. Vous devez connecter l’iPhone à iTunes pour terminer la procédure. Des frais supplémentaires peuvent s’appliquer. Pour obtenir plus d’informations de dépannage, consultez la page support.apple.com/kb/TS3198?locale=fr_FR&viewlocale=fr_FR. Informations concernant l’élimination et le recyclage Programme de recyclage Apple (disponible selon le lieu) : Pour recycler gratuitement votre télé- phone mobile usagé, et obtenir une étiquette d’expédition prépayée et des instructions, consultez la page www.apple.com/fr/recycling.Annexe C Sécurité, manipulation et assistance 166 Élimination et recyclage de l’iPhone : Vous devez éliminer votre iPhone conformément aux lois et réglementations en vigueur. Comme l’iPhone contient des composants électroniques et une batterie, l’iPhone ne peut pas être mis au rebut avec les déchets ménagers. Lorsque l’iPhone arrive en fin de vie, prenez contact avec les autorités locales pour découvrir les possibilités en matière de mise au rebut et de recyclage, déposez-le simplement dans le magasin Apple le plus proche ou renvoyez-le à Apple. La batterie sera retirée et recyclée de manière à ne pas nuire à l’environnement. Pour en savoir plus, consultez la page www.apple.com/fr/recycling. Remplacement des batteries : La batterie lithium-ion de l’iPhone ne doit être remplacée que par Apple ou un Centre de Services Agréé Apple. Elle doit être recyclée ou mise au rebut séparément des ordures ménagères. Pour en savoir plus sur les services de remplacement de la batterie, consultez la page www.apple.com/fr/batteries/replacements.html. Efficacité du chargeur de la batterie Türkiye Türkiye Cumhuriyeti : EEE Yönetmeliğine Uygundur. Union européenne : Information sur l’élimination du matériel électronique et des batteries : Le symbole ci-dessus signifie que, conformément aux lois et réglementations locales, vous devez mettre au rebut votre produit et/ou sa batterie séparément des ordures ménagères. Lorsque ce produit est arrivé en fin de cycle de vie, déposez-le dans un point de collecte désigné par les autorités locales. La collecte et le recyclage de votre produit et/ou de sa batterie lors de la mise au rebut aideront à préserver les ressources naturelles et à s’assurer qu’il est recyclé de manière à protéger la santé humaine et l’environnement. Union européenne—informations sur l’élimination : Le symbole ci-dessus signifie que, conformé- ment aux lois et réglementations locales, vous devez jeter votre produit et/ou sa batterie séparément des ordures ménagères. Lorsque ce produit arrive en fin de vie, apportez-le à un point de collecte désigné par les autorités locales. La collecte séparée et le recyclage de votre produit et/ou de sa batterie lors de sa mise au rebut aideront à préserver les ressources naturelles et à s’assurer qu’il est recyclé de manière à protéger la santé humaine et l’environnement. Europäische Union—Informationen zur Entsorgung: Das oben aufgeführte Symbol weist darauf hin, dass dieses Produkt und/oder die damit verwendete Batterie den geltenden gesetzlichen Vorschriften entsprechend und vom Hausmüll getrennt entsorgt werden muss. Geben Sie dieses Produkt zur Entsorgung bei einer offiziellen Sammelstelle ab. Durch getrenntes Sammeln und Recycling werden die Rohstoffreserven geschont und es ist sichergestellt, dass beim Recycling des Produkts und/oder der Batterie alle Bestimmungen zum Schutz von Gesundheit und Umwelt eingehalten werden.Annexe C Sécurité, manipulation et assistance 167 Unione Europea—informazioni per lo smaltimento: Il simbolo qui sopra significa che, in base alle leggi e alle normative locali, il prodotto e/o la sua batteria dovrebbero essere riciclati separatamente dai rifiuti domestici. Quando il prodotto diventa inutilizzabile, portalo nel punto di raccolta stabilito dalle autorità locali. La raccolta separata e il riciclaggio del prodotto e/o della sua batteria al momento dello smaltimento aiutano a conservare le risorse naturali e assicurano che il riciclaggio avvenga nel rispetto della salute umana e dell’ambiente. Europeiska unionen—information om kassering: Symbolen ovan betyder att produkten och/ eller dess batteri enligt lokala lagar och bestämmelser inte får kastas tillsammans med hushållsavfallet. När produkten har tjänat ut måste den tas till en återvinningsstation som utsetts av lokala myndigheter. Genom att låta den uttjänta produkten och/eller dess batteri tas om hand för återvinning hjälper du till att spara naturresurser och skydda hälsa och miljö. Brasil: Brasil—Informações sobre descarte e reciclagem: O símbolo acima indica que este produto e/ou sua bateria não devem ser descartadas no lixo doméstico. Quando decidir descartar este produto e/ou sua bateria, faça-o de acordo com as leis e diretrizes ambientais locais. Para informações sobre o programa de reciclagem da Apple, pontos de coleta e telefone de informações, visite www.apple.com/br/environment. Apple et l’environnement Apple est conscient de la responsabilité qui est la sienne de limiter l’impact écologique de ses produits et de son activité sur l’environnement. Pour en savoir plus, consultez la page www.apple.com/fr/environnement.KApple Inc. © 2012 Apple Inc. Tous droits réservés. Apple, le logo Apple, AirPlay, AirPort, AirPort Express, AirPort Extreme, Aperture, Apple TV, Cover Flow, FaceTime, Finder, iBooks, iCal, iLife, iMovie, iPad, iPhone, iPhoto, iPod, iPod touch, iSight, iTunes, Keynote, Mac, Mac OS, Numbers, OS X, Pages, Passbook, Safari, Siri, Spotlight, Time Capsule et le logo Works with iPhone sont des marques d’Apple Inc., déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. AirPrint, EarPods, Flyover, Guided Access, iMessage, le logo Made for iPhone et Multi-Touch sont des marques d’Apple Inc. Apple Store, Genius, iAd, iCloud, iTunes Extras, iTunes Plus et iTunes Store sont des marques de service d’Apple Inc., déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. App Store, iBookstore et iTunes Match sont des marques de service d’Apple Inc. IOS est une marque ou une marque déposée de Cisco aux États-Unis et dans d’autres pays, utilisée ici sous licence. NIKE et le logo Swoosh sont des marques de NIKE, Inc.et ses sociétés affiliées, utilisées ici sous licence. La marque et les logos Bluetooth® sont des marques déposées de Bluetooth SIG, Inc. dont l’utilisation par Apple Inc. est soumise à un accord de licence. Adobe et Photoshop sont des marques ou des marques déposées d’Adobe Systems Incorporated aux États-Unis et/ou dans d’autres pays. Les autres noms de sociétés et de produits mentionnés ici peuvent être des marques de leurs détenteurs respectifs. La mention de produits tiers n’est effectuée qu’à des fins informatives et ne constitue en aucun cas une approbation ni une recommandation. Apple n’assume aucune responsabilité vis- à-vis des performances ou de l’utilisation de ces produits. Tout arrangement, tout contrat ou toute garantie, le cas échéant, est réalisé directement entre les fournisseurs et les futurs utilisateurs. Tous les efforts nécessaires ont été mis en œuvre pour que les informations contenues dans ce manuel soient les plus exactes possible. Apple ne peut être tenu responsable des erreurs d’impression et d’écriture. F019-2344/2012-09-21 Félicitations. Vous et votre MacBook Air êtes faits l’un pour l’autre.Pincer pour zoomer Pivoter les images Faire défiler vers le haut ou vers le bas Afficher Mission Control Naviguer par balayage entre les applications plein écran Cliquez n’importe où Bienvenue sur votre MacBook Air. www.apple.com/fr/macbookair Trackpad multi-touch Utilisez ce type de gestes pour contrôler votre Mac. Centre d’aide gestes facetime Caméra FaceTime intégrée Passez des appels vidéos vers les derniers iPad, iPhone, iPod touch ou Mac. Centre d’aide E/S à haut débit Thunderbolt Connectez des appareil et écrans hautes performances. Centre d’aide thunderbolt MacBook Air Mission Control Une vue d’ensemble sur tout ce qui tourne sur votre Mac. Centre d’aide mission control OS X Lion www.apple.com/fr/macosx Plein écran Affichez les apps en plein écran d’un simple clic. Centre d’aide plein écran Mac App Store Le meilleur moyen de découvrir et télécharger des apps Mac. Centre d’aide launchpad mac app store Launchpad Bénéficiez d’un accès instantané et simplifié à toutes vos apps. Centre d’aide iPhoto Organisez, modifiez et partagez vos photos. Aide iPhoto photos iMovie Transformez vos vidéos perso en films cultes. Aide iMovie film GarageBand Créez des morceaux fabuleux en toute simplicité. Aide GarageBand enregistrement Mail Regroupez vos messages par conversations. Centre d’aide mail HELLO FROM CUPERTINO, CAMission Control Une vue d’ensemble sur tout ce qui tourne sur votre Mac. Centre d’aide mission control OS X Lion www.apple.com/fr/macosx Plein écran Affichez les apps en plein écran d’un simple clic. Centre d’aide plein écran Mac App Store Le meilleur moyen de découvrir et télécharger des apps Mac. Centre d’aide launchpad mac app store Launchpad Bénéficiez d’un accès instantané et simplifié à toutes vos apps. Centre d’aide iPhoto Organisez, modifiez et partagez vos photos. Aide iPhoto photos iMovie Transformez vos vidéos perso en films cultes. Aide iMovie film GarageBand Créez des morceaux fabuleux en toute simplicité. Aide GarageBand enregistrement Mail Regroupez vos messages par conversations. Centre d’aide mail HELLO FROM CUPERTINO, CATable des matières 5 Table des matières Chapitre 1 : Prêt, feu, configurez ! 8 Bienvenue 9 Contenu de la boîte 10 Configuration du MacBook Air 16 Pour obtenir des informations supplémentaires sur votre MacBook Air 20 Extinction ou suspension d’activité de votre MacBook Air Chapitre 2 : Votre MacBook Air au quotidien 24 Caractéristiques de base de votre MacBook Air 26 Fonctionnalités du clavier de votre MacBook Air 28 Ports présents sur votre MacBook Air 30 Utilisation du trackpad multi-touch 34 Fonctionnement de votre MacBook Air sur batterie 35 Comment obtenir des réponses à vos questions6 Table des matières Chapitre 3 : À tout problème sa solution 40 Quelque peu de prévention 41 Problèmes vous empêchant d’utiliser votre MacBook Air 44 Réparation, restauration et réinstallation du logiciel Mac OS X 50 Problèmes relatifs aux composants matériels 51 Problèmes de connexion à Internet 52 Problèmes avec la communication Wi-Fi 53 Maintien à jour de vos logiciels 54 Informations, services et assistance 57 Localisation du numéro de série de votre produit Chapitre 4 : Dernières recommandations 60 Informations importantes concernant la sécurité 65 Informations importantes sur la manipulation 67 Ergonomie 69 Apple et l’environnement 70 Regulatory Compliance InformationMac Help Migration Assistant www.apple.com/macosx Centre d’aide Assistant migration www.apple.com/fr/macbookair Prêt, feu, configurez ! 18 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Bienvenue Nous vous félicitons pour votre achat d’un MacBook Air. Votre MacBook Air est optimisé pour la portabilité et pour une expérience complètement sans fil. Lisez ce chapitre pour obtenir des conseils sur la configuration et l’utilisation de votre MacBook Air.  Si vous savez que vous n’effectuerez pas de migration d’informations à partir d’un autre Mac ou d’ordinateur Windows (PC) et que vous voulez commencer à utiliser votre MacBook Air tout de suite, vous pouvez suivre les instructions de l’Assistant réglages pour configurer rapidement votre MacBook Air. Pour plus de renseignements, consultez la page 13.  Si vous souhaitez migrer des informations à partir d’un autre Mac ou PC vers votre MacBook Air, vous pouvez utiliser l’Assistant réglages pour définir l’ordinateur à partir duquel vous souhaitez transférer des informations. Pour plus de renseignements, consultez la page 13.  Une fois votre MacBook Air configuré, si vous souhaitez passer du contenu de vos DVD ou CD sur votre MacBook Air, vous pouvez définir un ou plusieurs ordinateurs Mac ou Windows qui fonctionnent en partenariat avec votre MacBook Air. Pour plus de renseignements, consultez la page 16. Vous pouvez parcourir et télécharger des applications gratuites ou achetées dans le Mac App Store et les ouvrir depuis le Launchpad ou le Dock. Important : lisez attentivement toutes les instructions d’installation (et les consignes de sécurité débutant à la page 60) avant d’utiliser votre MacBook Air pour la première fois.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 9 Vous trouverez la plupart des réponses à vos questions concernant votre MacBook Air dans le Centre d’aide. Pour en savoir plus sur l’utilisation du Centre d’aide, consultez la rubrique « Comment obtenir des réponses à vos questions » à la page 35. Apple est susceptible de publier de nouvelles versions et mises à jour de ses logiciels système, il est possible que les images de ce manuel soient légèrement différentes de ce que vous voyez à l’écran. Contenu de la boîte Câble secteur Fiche CA Adaptateur secteur MagSafe de 45 W Important : retirez le film protecteur qui entoure l’adaptateur secteur MagSafe 45 W avant de configurer le MacBook Air.10 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Configuration du MacBook Air Votre MacBook Air est conçu pour pouvoir être configuré rapidement et utilisé immédiatement. Les pages suivantes contiennent des informations qui vous guideront tout au long du processus de configuration, notamment des opérations suivantes :  Le branchement de l’adaptateur secteur MagSafe 45 W.  Activation de votre MacBook Air.  L’utilisation d’Assistant réglages pour accéder à un réseau et configurer un compte utilisateur et d’autres réglages.  La configuration des préférences et du bureau Mac OS X. Étape 1 : Branchez l’adaptateur secteur MagSafe 45 W pour alimenter le MacBook Air et recharger sa batterie. Assurez-vous que la fiche CA est complètement insérée dans l’adaptateur et que les broches de la fiche sont complètement déployées. Branchez la fiche CA de votre adaptateur sur une prise secteur, puis branchez le connecteur MagSafe sur le port secteur MagSafe. En approchant le connecteur MagSafe du port, vous ressentirez la force d’un aimant l’attirant.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 11 ¯ Câble secteur Fiche CA Connecteur MagSafe Port secteur MagSafe Pour augmenter la portée de votre adaptateur secteur, remplacez la fiche CA par le câble d’alimentation secteur fourni. Tirez d’abord sur la fiche CA pour la retirer de l’adaptateur, puis branchez le câble d’alimentation secteur sur l’adaptateur, en vous assurant que tout est branché correctement. Branchez l’autre extrémité sur une prise de courant. Lorsque vous déconnectez l’adaptateur secteur d’une prise de courant ou de l’ordinateur, débranchez la prise et non le câble. Lorsque vous connectez l’adaptateur secteur à votre MacBook Air, un indicateur lumineux sur le connecteur MagSafe s’allume. Une lumière orange indique que la batterie est en charge. Une lumière verte indique que la batterie est complètement chargée. Si aucune lumière n’apparaît, assurez-vous que le connecteur est fermement branché et que l’adaptateur secteur est branché à une prise secteur en fonctionnement.12 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Étape 2 : Appuyez brièvement sur le bouton d’alimentation (®) pour allumer votre MacBook Air. Le bouton d’alimentation est situé dans le coin supérieur droit de votre clavier. Votre MacBook Air émet un son lorsqu’il démarre. ® Bouton d’alimentation Le démarrage du MacBook Air prend quelques instants. Après le démarrage, Assistant réglages s’ouvre automatiquement. Si le MacBook Air ne s’allume pas, consultez la page 42.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 13 Étape 3 : Configurez votre MacBook Air à l’aide d’Assistant réglages. La première fois que vous démarrez votre MacBook Air, Assistant réglages se met en route L’Assistant réglages vous aide à définir votre réseau Wi-Fi, configurer un compte utilisateur et transférer des données depuis un autre Mac ou PC. Vous avez également la possibilité transférer des données depuis une sauvegarde Time Machine ou un autre disque. Si vous procédez à une migration depuis un autre Mac, une mise à jour de logiciels peut être nécessaire si l’autre Mac ne dispose pas de Mac OS X version 10.5.3 ou ultérieure. Pour migrer depuis un PC, téléchargez l’Assistant de migration sur la page web www.apple.com/migrate-to-mac et installez-le sur le PC en question. Après avoir démarré Assistant réglages sur votre MacBook Air, vous pouvez l’abandonner en cours d’exécution sans quitter l’application, passer à l’autre ordinateur pour y mettre à jour les logiciels, puis revenir à votre MacBook Air pour terminer la configuration. Remarque : si vous n’utilisez pas Assistant réglages pour transférer des données lors du premier démarrage de votre MacBook Air, vous pourrez le faire ultérieurement. Ouvrez l’Assistant de migration dans le dossier Utilitaires du Launchpad. Pour obtenir de l’aide concernant l’utilisation de l’Assistant de migration, ouvrez le Centre d’aide et recherchez « Assistant de migration ». Pour configurer votre MacBook Air : 1 Dans Assistant réglages, suivez les instructions à l’écran jusqu’à ce que s’affiche « Transférer des données vers ce Mac ». 2 Effectuez une configuration de base, une configuration avec migration ou un transfert de données à partir d’une sauvegarde Time Machine ou d'un autre disque.14 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez !  Pour effectuer une configuration de base, sélectionnez « Ne pas transférer maintenant » et cliquez sur Continuer. Suivez le reste des indications à l’écran pour sélectionner votre réseau, configurer un compte puis quitter Assistant réglages.  Pour procéder à une configuration avec migration, sélectionnez « À partir d’un autre Mac ou d’un PC », puis cliquez sur Continuer. Suivez les instructions à l’écran pour sélectionner le Mac ou le PC depuis lequel vous souhaitez migrer des données. Votre Mac ou votre PC doit être connecté au même réseau que votre autre ordinateur. Suivez les instructions à l’écran pour effectuer la migration.  Pour transférer des données depuis une sauvegarde Time Machine ou un autre disque, sélectionnez « À partir d’une sauvegarde Time Machine ou d’un autre disque », puis cliquez sur Continuer. Sélectionnez la copie de sauvegarde ou le disque en question. Suivez les instructions à l’écran. Si vous ne comptez pas conserver ou utiliser votre autre ordinateur, il est préférable de lui retirer son autorisation à lire la musique, les clips vidéo ou les livres audio achetés sur l’iTunes Store. Le retrait de l’autorisation d’accès d’un ordinateur empêche la lecture par un tiers de tout morceau, vidéo ou livre audio acheté et permet de libérer l’autorisation afin qu’elle puisse être utilisée. Pour en savoir plus sur le retrait de l’autorisation d’accès, choisissez Aide iTunes dans le menu Aide de l’application iTunes.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 15 Étape 4 : Personnalisez le bureau Mac OS X et réglez les préférences. Vous pouvez personnaliser l’apparence du bureau en quelques clics à l’aide des Préférences Système, le centre de commandes où se trouvent la plupart des réglages de votre MacBook Air. Choisissez Pomme () > Préférences Système à partir de la barre des menus ou cliquez sur l’icône Préférences Système dans le Dock. Barre des menus Menu Aide Icône de recherche de Spotlight Icône du Finder Icône des Préférences Système Dock16 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Important : vous pouvez configurer une option permettant de réinitialiser votre mot de passe dans les préférences Utilisateurs et groupes au cas où vous oubliez votre mot de passe de connexion. Pour obtenir de l’aide concernant les Préférences Système, ouvrez le Centre d’aide et recherchez « Préférences Système » ou la préférence pour laquelle vous souhaitez obtenir des informations. Pour obtenir des informations supplémentaires sur votre MacBook Air Votre MacBook Air est fourni avec plusieurs applications préinstallées, notamment la suite iLife. De nombreuses autres applications peuvent être téléchargées depuis le Mac App Store ou Internet. Si vous souhaitez installer des applications tierces à partir de CD ou de DVD, vous pouvez :  Installer des applications sur votre MacBook Air ou partager des données à l’aide du lecteur de disque optique d’un autre ordinateur Mac ou PC (si le partage de DVD ou de CD est configuré et activé). Pour plus de renseignements, consultez la rubrique suivante.  Connectez un lecteur MacBook Air SuperDrive (lecteur de disque optique USB externe disponible séparément à la page www.apple.com/fr/store) au port USB de votre MacBook Air et insérez-y votre disque d’installation. Configuration du partage de CD ou DVD Vous pouvez créer un « partenariat » entre votre MacBook Air et un autre ordinateur Mac ou PC équipé d’un lecteur de disque optique et situé sur le même réseau câblé ou sans fil. Utilisez cet autre ordinateur pour :Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 17  Migrez des données vers votre MacBook Air une fois la configuration effectuée à l’aide de l’Assistant de migration (pour en savoir plus sur l’utilisation de l’Assistant de migration, ouvrez le Centre d’aide et recherchez « Assistant de migration »).  Partagez le contenu de DVD ou de CD ou installer des applications (voir la section suivante). L’ordinateur équipé du lecteur optique peut être un Mac disposant de Mac OS X 10.4.11 ou ultérieur ou un ordinateur exécutant Windows 7, Windows XP ou Windows Vista. Si le Mac dispose de Mac OS X 10.5.3 ou d’une version ultérieure, Partage de CD ou DVD est déjà installé. Vous pouvez créer des « partenariats » avec plusieurs ordinateurs, mais vous pouvez utiliser seulement un ordinateur partenaire à la fois. Ordinateur Mac ou Windows MacBook Air Si l’autre ordinateur est un PC ou un Mac avec une version Mac OS X antérieure à 10.5.3, téléchargez le logiciel de configuration du partage de DVD ou de CD pour votre ordinateur partenaire.18 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez !  Si l’autre ordinateur est un PC, allez à la page web support.apple.com/kb/DL112_?viewlocale=fr_FR et téléchargez le logiciel de configuration du partage de DVD ou de CD pour l’installation sous Windows. Si l’autre ordinateur est un Mac exécutant Mac OS X 10.4.11-10.5.2, allez à la page web support.apple.com/kb/DL113_?viewlocale=fr_FR et téléchargez le logiciel de configuration du partage de DVD ou de CD pour l’installation sous Mac OS X. Une fois le logiciel téléchargé, suivez les instructions des étapes présentées dans la section suivante pour activer le partage de DVD ou de CD ou consultez les instructions détaillées sur la page web support.apple.com/kb/HT1777?viewlocale=fr_FR. Important : après avoir installé le paquet Configuration du partage de CD ou DVD sur votre autre Mac, assurez-vous que vous disposez de la dernière version disponible du logiciel, en choisissant Apple () > Mise à jour de logiciels. Installez toutes les mises à jour de logiciels Mac OS X disponibles. Partage de disque grâce au partage de CD ou de DVD Vous pouvez activer le partage de CD ou de DVD sur un Mac ou un PC pour utiliser la fonctionnalité Disque distant de votre MacBook Air. Le disque distant vous permet de partager les disques que vous insérez dans le lecteur de disque optique de l’autre ordinateur. Certains disques, notamment les DVD ou les disques de jeu, peuvent être protégés en copie et donc inutilisables par le biais du partage de CD ou DVD. Assurez-vous d’avoir configuré le partage de CD ou de DVD sur tout ordinateur Mac ou Windows avec lequel vous souhaitez créer un partenariat. Pour plus de renseignements, consultez la page 16.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 19 Pour activer le partage de CD ou DVD, si l’autre ordinateur est un Mac : 1 Assurez-vous que votre MacBook Air et l’autre Mac sont sur le même réseau sans fil. Sur l’autre Mac, choisissez Pomme () > Préférences Système puis ouvrez Partage. 2 Dans le panneau Partage, sélectionnez « Partage DVD ou CD » dans la liste des services. Si vous souhaitez que les autres utilisateurs doivent demander la permission d’utiliser un DVD ou CD que vous partagez, cochez la case « Me demander avant d’autoriser l’utilisation de mon lecteur DVD ». Pour activer le partage de CD ou de DVD, si l’autre ordinateur est un PC : 1 Assurez-vous que votre MacBook Air et l’ordinateur Windows sont connectés au même réseau sans fil. 2 Sur l’ordinateur Windows, ouvrez le panneau de configuration Partage DVD ou CD. 3 Sélectionnez « Activer le DVD ou le CD à distance » Si vous souhaitez que les autres utilisateurs doivent demander la permission d’utiliser un DVD ou CD que vous partagez, cochez la case « Me demander avant d’autoriser l’utilisation de mon lecteur DVD ».20 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Pour utiliser un DVD ou CD partagé : 1 Sur l’autre ordinateur, insérez un DVD ou un CD dans le lecteur de disque optique. 2 Sur votre MacBook Air, sélectionnez le disque distant lorsqu’il apparaît dans Appareils dans la barre latérale du Finder. Si le bouton « Demander à utiliser » apparaît, cliquez dessus. 3 Sur l’autre ordinateur, lorsque vous y êtes invité, cliquez sur Accepter pour autoriser votre MacBook Air à utiliser le DVD ou CD. 4 Sur votre MacBook Air, utilisez le disque de la manière habituelle lorsqu’il devient disponible. Si vous essayez d’éteindre l’autre ordinateur ou d’éjecter le DVD ou le CD partagé pendant que votre MacBook Air l’utilise, un message vous indique que le disque est en cours d’utilisation. Pour continuer, cliquez sur Continuer. Extinction ou suspension d’activité de votre MacBook Air Lorsque vous avez terminé de travailler avec le MacBook Air, suspendez son activité ou éteignez-le. Suspension de l’activité de votre MacBook Air Suspendez l’activité de votre MacBook Air si vous ne comptez vous en éloigner que quelques instants. Vous pourrez ensuite le réactiver rapidement sans avoir à le redémarrer. Pour suspendre l’activité de votre MacBook Air, procédez de l’une des manières suivantes :  Rabattez l’écran.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 21  Choisissez Pomme () > Suspendre l’activité, dans la barre des menus.  Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) et cliquez sur Suspendre l’activité dans la zone de dialogue qui s’affiche.  Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système, cliquez sur Économiseur d’énergie et définissez un délai pour la minuterie de mise en veille. Pour réactiver le MacBook Air :  Si l’écran est fermé, il suffit de l’ouvrir pour réactiver votre MacBook Air.  Si l’écran est déjà ouvert, appuyez sur le bouton d’alimentation (®) ou sur l’une des touches du clavier. À la réactivation de votre MacBook Air, vos applications, documents et réglages sont conservés tels que vous les aviez laissés. Extinction de votre MacBook Air Si vous prévoyez de ne pas utiliser votre MacBook Air pendant une période prolongée, il est préférable de l’éteindre. Pour éteindre le MacBook Air, procédez de l’une des manières suivantes :  Choisissez Pomme () > Éteindre dans la barre des menus.  Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) et cliquez sur Éteindre dans la zone de dialogue qui apparaît. Si vous comptez ranger votre MacBook Air pour une durée prolongée, consultez la rubrique « Informations importantes sur la manipulation » à la page 65 afin d’obtenir des informations sur les mesures à prendre pour éviter que votre batterie ne se décharge complètement.www.apple.com/macosx Centre d’aide Mac OS X www.apple.com/fr/macosx Votre MacBook Air au quotidien 224 Chapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien Caractéristiques de base de votre MacBook Air Batterie (intégrée) Lampe témoin de la caméra Caméra FaceTime Haut-parleurs stéréo (sous le clavier) TrackpadChapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien 25 Caméra FaceTime intégrée et lampe témoin de la caméra Utilisez l’application FaceTime comprise pour effectuer des appels vidéo avec d’autres utilisateurs FaceTime (sur n’importe quel iPhone 4, iPad 2, iPod de nouvelle génération ou Mac disposant de FaceTime), prenez des photos avec Photo Booth ou enregistrez des vidéos avec iMovie. La lampe témoin s’illumine lorsque la caméra FaceTime est en cours de fonctionnement. Haut-parleurs stéréo intégrés Permettent d’écouter de la musique, des films, des jeux et d’autres types de données multimédias. Batterie rechargeable intégrée Utilisez la batterie lorsque vous n’êtes pas à proximité d’une prise de courant. Trackpad Vous pouvez cliquer ou double-cliquer n’importe où sur le trackpad. Touchez le trackpad avec un ou plusieurs doigts pour déplacer le pointeur ou utiliser les gestes Multi-Touch (voir la page 30).26 Chapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien Fonctionnalités du clavier de votre MacBook Air Touche de fonction (Fn) Touche Silence Touches multimédias Bouton d’alimentation Touche Mission Control Touche Launchpad Touches de réglage du volume Touches de réglage de la luminosité Touches d’illumination du clavierChapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien 27 Touche de fonction (Fn) Appuyez sur cette touche et maintenez-la enfoncée pour activer les actions personnalisées attribuées aux touches de fonction (F1 à F12). Pour découvrir comment personnaliser les touches de fonction, recherchez « touches de fonction » dans le Centre d’aide. Touches de réglage de la luminosité (F1, F2) Permettent d’augmenter ( ) ou de réduire ( ) la luminosité de l’écran. Touche Mission Control Ouvrez Mission Control pour obtenir une vue détaillée des applications exécutées sur votre MacBook Air, y compris le Dashboard, tous vos Spaces et toutes les fenêtre ouvertes. Touche Launchpad (F4) Ouvrez Launchpad pour voir instantanément toutes les applications sur votre MacBook Air. Cliquez sur une application pour l’ouvrir. o Touches d’illumination du clavier (F5, F6) Permettent d’augmenter (o) ou de diminuer (ø) la luminosité de l’éclairage du clavier. ’ Touches multimédias (F7, F8, F9) Vous permettent de rembobiner ( ), de lire ou de mettre en pause (’), ou encore d’effectuer une avance rapide ( ) dans un morceau, une vidéo ou un diaporama. — Touche Silence (F10) Permet de désactiver le son provenant des haut-parleurs intégrés et du port de sortie casque. - Touches de réglage du volume (F11, F12) Permettent d’augmenter (-) ou de baisser (–) le volume du son provenant des haut-parleurs intégrés ou du port de sortie casque. ® Bouton d’alimentation Permet d’allumer ou d’éteindre votre MacBook Air ou d’en suspendre l’activité.28 Chapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien Ports présents sur votre MacBook Air d Port USB 2.0 d Port USB 2.0 Microphone ¯Port d’adaptateur secteur MagSafe f Port casque Port ThunderboltChapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien 29 ¯ Port d’adaptateur secteur MagSafe Branchez l’adaptateur secteur MagSafe 45 W (inclus) pour recharger la batterie du MacBook Air. d Ports USB (Universal Serial Bus) 2.0 Connectez un MacBook Air SuperDrive, un adaptateur USB-Ethernet, un iPod, un iPhone, une souris, un clavier, une imprimante, une lecteur de disques, un appareil photo numérique, une manette de jeux, un modem et bien plus à votre MacBook Air. f Port casque Branchez des haut-parleurs externes ou un casque audio. Microphone intégré Capturez des sons avec le micro (situé sur le côté gauche, à côté du port casque) ou discutez avec des amis au moyen de l’application FaceTime fournie. Port Thunderbolt (données haute-vitesse, vidéo et audio) Connectez des appareils prenant en charge la technologie Thunderbolt pour bénéficier d’un transfert de données à haute-vitesse ou connectez un écran externe au moyen d’un port Mini Display. Vous pouvez acheter des adaptateur pour brancher des écrans à l’aide de connecteurs DVI, HDMI ou VGA. Remarque : les adaptateurs et autres accessoires sont vendus séparément sur www.apple.com/fr/store et dans votre magasin Apple Store.30 Chapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien Utilisation du trackpad multi-touch Le trackpad vous permet de déplacer le pointeur et de réaliser divers gestes multitouch. Contrairement aux trackpads habituels, celui du MacBook Air fonctionne comme un bouton en vous permettant de cliquer n’importe où sur sa surface. Pour activer les gestes multi-touch, visionnez les vidéos d’instruction à propos des gestes et définissez d’autres options pour le trackpad, choisissez Apple () > Préférences Système, puis cliquez sur Trackpad. Voici différentes manières d’utiliser le trackpad de votre MacBook Air.  Le défilement à deux doigts vous permet de faire défiler rapidement vers le haut, vers le bas ou vers les côtés dans la fenêtre active.Chapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien 31  Un clic secondaire ou « clic droit » vous permet d’accéder aux commandes du menu local. • Pour configurer le clic secondaire à deux doigts n’importe où sur le trackpad, sélectionnez Clic secondaire dans la sous-fenêtre Pointer et cliquer des Préférences Trackpad. • Pour configurer une zone de clic secondaire à un doigt dans le coin inférieur gauche ou droit du trackpad, sélectionnez Clic secondaire dans la sous-fenêtre Pointer et cliquer des Préférences Trackpad. Zone de clic secondaire Remarque : vous pouvez également effectuer un clic secondaire en maintenant enfoncée la touche Contrôle tout en cliquant.32 Chapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien Les commandes tactiles suivantes fonctionnent dans certaines applications. Lorsque vous les exécutez, faites glisser vos doigts doucement sur la surface du trackpad. Pour plus de renseignements, consultez les Préférences Trackpad ou choisissez Aide > Centre d’aide et recherchez le terme « trackpad ».  Le pincement à deux doigts vous permet d’effectuer un zoom avant ou arrière sur des fichiers PDF, des images, des photos, etc.  La rotation à deux doigts vous permet de faire pivoter photos, pages et autres éléments.Chapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien 33  Le balayage à trois doigts fonctionne dans le Finder et dans toutes les applications. En balayant trois doigts vers la droite ou la gauche, vous pouvez naviguer parmi les applications plein-écran. Le balayage à trois doigts vers le haut ouvre Mission Control. Vous avez la possibilité de configurer ces options pour les utiliser avec quatre doigts.  Le pincement à quatre doigts affiche le Launchpad lorsque vous rapprochez votre pouce et trois doigts. Écarter les mêmes doigts pour revenir au bureau.34 Chapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien Remarque : vous avez la possibilité de configurer d’autres fonctionnalités pour plusieurs gestes. Pour en savoir plus sur les gestes disponibles, sélectionnez Apple () > Préférences Système, puis cliquez sur Trackpad. Cochez les cases pour activer les gestes et parcourez les menus locaux pour découvrir les options existantes pour chaque geste. Fonctionnement de votre MacBook Air sur batterie Lorsque l’adaptateur secteur MagSafe n’est pas branché, le MacBook Air est alimenté par sa batterie intégrée. L’autonomie du MacBook Air varie en fonction des applications utilisées et des périphériques externes qui sont connectés à votre MacBook Air. La désactivation de fonctions comme le Wi-Fi ou la technologie sans fil Bluetooth® et la réduction de la luminosité de l’écran peuvent contribuer à économiser la batterie. De nombreuses Préférences Système sont automatiquement réglées pour optimiser l’autonomie de la batterie. Recharge de la batterie Pour déterminer si la batterie a besoin d’être rechargée, observez le témoin lumineux du connecteur MagSafe. Si le témoin est orange, la batterie a besoin d’être rechargée. Si le témoin est vert, la batterie est complètement chargée.Chapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien 35 Vous pouvez également vérifier la charge actuelle de la batterie en observant l’icône d’état de la batterie ( ) située dans la barre des menus. Le niveau affiché dépend de la quantité d’énergie restant dans la batterie, mais aussi des applications et des périphériques en cours d’utilisation, ainsi que des réglages actuels de votre système. Pour disposer de plus d’énergie, fermez des applications, déconnectez les périphériques non utilisés et réglez la fonction d’Économiseur d’énergie. Pour en savoir plus sur l’économie de la batterie et obtenir des astuces pour améliorer ses performances, consultez la page www.apple.com/fr/batteries/notebooks.html. Lorsque l’adaptateur secteur fourni avec le MacBook Air est branché, la batterie se recharge, que l’ordinateur soit éteint, allumé ou en suspension d’activité. La recharge sera toutefois plus rapide si l’ordinateur est éteint ou en veille. La batterie de votre MacBook Air peut être remplacée uniquement par un fournisseur de services agréé d’Apple ou dans un Apple Store. Comment obtenir des réponses à vos questions De plus amples informations sur l’utilisation de votre MacBook Air sont disponibles dans le Centre d’aide et sur Internet, à l’adresse www.apple.com/fr/support/macbookair. Pour obtenir de l’aide du Centre d’aide : 1 Cliquez sur l’icône du Finder dans le Dock (la barre d’icônes située au bord de l’écran).36 Chapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien 2 Cliquez sur le menu Aide dans la barre de menus et effectuez une des actions suivantes :  Tapez une question ou un terme dans le champ de recherche puis sélectionnez un sujet dans la liste de résultats ou sélectionnez « Afficher tous les résultats » pour voir toutes les rubriques.  Choisissez Centre d’aide pour ouvrir la fenêtre Centre d’aide dans laquelle vous pouvez parcourir les sujets ou effectuer des recherches. Informations supplémentaires Pour en savoir plus sur l’utilisation de votre MacBook Air, consultez le tableau suivant : Pour obtenir des informations sur : Voir Le dépannage de votre MacBook Air en cas de problème Le chapitre 3, « À tout problème sa solution » à la page 39. L’obtention de services et d’assistance pour votre MacBook Air « Informations, services et assistance » à la page 54. Vous pouvez également consulter le site web d’assistance Apple à l’adresse www.apple.com/fr/support/macbookair. Utilisation de Mac OS X Le site web de Mac OS X à l’adresse www.apple.com/fr/macosx. ou recherchez « Mac OS X » dans le Centre d’aide. Migration depuis un PC vers un Mac « Pourquoi vous adorerez le Mac » à l’adresse www.apple.com/fr/getamac/whyamac. Assistant de migration Dans le Centre d’aide, recherchez « Assistant de migration ».Chapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien 37 Pour obtenir des informations sur : Voir Utilisation des applications iLife Le site web d’iLife à la page www.apple.com/fr/ilife. Vous pouvez aussi ouvrir une application iLife, puis ouvrir l’Aide de l’application et saisir une question ou un terme dans le champ de recherche. La modification des Préférences Système Préférences Système en choisissant Apple (K) > Préférences Système. Vous pouvez également rechercher « préférences système » dans l’Aide Mac. Utilisation du trackpad Ouvrez Préférences Système, puis cliquez sur Trackpad. Utilisation du clavier Dans le Centre d’aide, recherchez « clavier ». Utilisation de la caméra FaceTime Dans le Centre d’aide, recherchez « caméra ». Utilisation de la technologie Wi-Fi Dans le Centre d’aide, recherchez « wi-fi ». Utilisation de la technologie sans fil Bluetooth Le site web d’assistance Bluetooth à l’adresse www.apple.com/fr/support/bluetooth. Vous pouvez également ouvrir l’application « Échange de fichiers Bluetooth » (qui se trouve dans le dossier Utilitaires du dossier Applications), puis choisir Aide > Aide Bluetooth. L’entretien de la batterie Dans le Centre d’aide, recherchez « batterie ». Connexion d’une imprimante Dans le Centre d’aide, recherchez « impression ». Connexions USB Dans le Centre d’aide, recherchez « USB ». Connexion à Internet Dans le Centre d’aide, recherchez « Internet ». Utilisation du port Thunderbolt Dans le Centre d’aide, recherchez « Thunderbolt ».38 Chapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien Pour obtenir des informations sur : Voir Connexion d’un moniteur externe Dans le Centre d’aide, recherchez « port affichage ». Caractéristiques Le site web des spécifications, à l’adresse support.apple.com/ specs (en anglais). Vous pouvez également ouvrir Informations Système en choisissant le menu Pomme (K) > « À propos de ce Mac » dans la barre des menus, puis en cliquant sur Plus d’infos. Actualités Apple Le site web d’Apple à l’adresse www.apple.com/fr. Téléchargements de logiciel Le Mac App Store (choisissez Apple (K) > App Store ou cliquez sur l’icône de l’App Store dans le Dock). Instructions, l’assistance technique et les manuels des produits Apple Le site web d’assistance Apple à l’adresse www.apple.com/fr/support.www.apple.com/macosx Centre d’aide aide www.apple.com/fr/support À tout problème sa solution 340 Chapitre 3 À tout problème sa solution Vous pouvez rencontrer, à titre exceptionnel, des problèmes en utilisant le MacBook Air. Lisez la suite pour obtenir des conseils de dépannage utiles en cas de problème. Vous trouverez aussi des informations supplémentaires concernant le dépannage dans le Centre d’aide et sur le site web d’assistance consacré au MacBook Air, à l’adresse www.apple.com/fr/support/macbookair. Il existe généralement une solution simple et rapide aux problèmes qui peuvent survenir au cours de l’utilisation de votre MacBook Air. Réfléchissez aux conditions qui ont entraîné l’apparition de ce problème. Ce récapitulatif de la totalité des opérations effectuées avant que le problème ne survienne permet de restreindre les causes possibles et de trouver la solution. Les éléments à noter comprennent :  les applications que vous étiez en train d’utiliser quand le problème est apparu (les problèmes qui n’apparaissent qu’avec une application spécifique peuvent indiquer que cette application n’est pas compatible avec la version de Mac OS installée sur votre MacBook Air) ;  les nouveaux logiciels installés, notamment ceux qui ont ajouté des éléments à votre dossier Système. Quelque peu de prévention Si vous rencontrez un problème avec votre ordinateur ou votre logiciel, posséder des copies de sauvegarde Time Machine à jour est la garantie de ne perdre aucune donnée. Si vous réalisez des sauvegardes Time Machine régulières, vous avez la possibilité de restaurer votre logiciel et toutes vos données pour les récupérer exactement au même état que lors de la sauvegarde. Même des problèmes importants ne sont plus une source de préoccupation si vous sauvegardez vos données au moyen de Time Machine.Chapitre 3 À tout problème sa solution 41 Problèmes vous empêchant d’utiliser votre MacBook Air Si votre MacBook Air ne répond plus ou que le pointeur se fige Il peut arriver, très rarement, qu’une application se « fige » à l’écran. Mac OS X permet de quitter une application figée sans redémarrer votre ordinateur. Pour forcer une application à se fermer : 1 Appuyez sur les touches Commande (x) + Option + Échap ou choisissez le menu Pomme () > Forcer à quitter dans la barre des menus. La boîte de dialogue « Forcer à quitter des applications » apparaît. L’application est sélectionnée. 2 Cliquez sur Forcer à quitter. L’application se ferme, en laissant toutes les autres applications ouvertes. Si nécessaire, vous pouvez également redémarrer le Finder à partir de cette zone de dialogue. Puis, redémarrez votre MacBook Air pour vous assurer que le problème est tout à fait résolu. Si le problème survient fréquemment, choisissez Aide > Centre d’aide dans la barre des menus en haut de l’écran. Recherchez le mot « bloquer » pour obtenir de l’aide en cas de blocage ou d’absence de réponse de l’ordinateur. Si le problème ne survient que lorsque vous utilisez une application particulière, vérifiez auprès de son éditeur qu’elle soit compatible avec votre MacBook Air. Pour obtenir des informations relatives aux logiciels fournis avec votre MacBook Air, consultez la page www.apple.com/guide.42 Chapitre 3 À tout problème sa solution Si vous savez qu’une application est compatible, vous devrez peut-être réinstaller l’application. Si le MacBook Air se bloque au démarrage, si un point d’interrogation clignotant apparaît ou si l’écran est éteint. Le point d’interrogation clignotant signifie généralement que votre MacBook Air ne parvient pas à localiser le logiciel système dans la mémoire flash interne ou sur tout disque externe relié à l’ordinateur. Patientez quelques secondes. Si votre MacBook Air ne démarre toujours pas, éteignezle en appuyant sur le bouton d’alimentation (®) et en le maintenant enfoncé pendant 8 à 10 secondes. Débranchez tous les périphériques externes puis tentez de redémarrer l’ordinateur en appuyant sur le bouton d’alimentation (®) tout en maintenant la touche Option enfoncée. Lorsque votre MacBook Air démarre, cliquez sur l’icône du disque dur, puis sur la flèche droite. Une fois que l’ordinateur a démarré, ouvrez Préférences Système et cliquez sur Démarrage. Sélectionnez un dossier système local de Mac OS X. Si votre MacBook Air ne s’allume ou ne démarre pas Tentez les opérations suivantes dans l’ordre jusqu’à ce que votre MacBook Air s’allume :  Assurez-vous que l’adaptateur secteur est connecté à votre MacBook Air et branché sur une prise de courant en état de marche. Veillez à utiliser l’adaptateur secteur MagSafe 45 W fourni avec le MacBook Pro. Si l’adaptateur secteur ne recharge plus l’ordinateur et que la lampe témoin de l’adaptateur secteur ne s’allume pas lorsque vous branchez le câble d’alimentation, essayez de le débrancher puis de le brancher à nouveau afin de le positionner correctement.Chapitre 3 À tout problème sa solution 43  Vérifiez si votre batterie a besoin d’être rechargée. Si le témoin de l’adaptateur secteur est orange, la batterie se recharge. Voir la rubrique « Recharge de la batterie » à la page 34.  Si le problème persiste, réinitialisez les réglages d’alimentation de votre MacBook Air (tout en conservant vos fichiers) en appuyant sur les touches Maj, Option gauche et Contrôle gauche tout en maintenant simultanément le bouton d’alimentation (®) enfoncé pendant cinq secondes jusqu’au redémarrage de l’ordinateur.  Appuyez puis relâchez le bouton d’alimentation (®) et maintenez immédiatement enfoncé les touches Commande (x), Option, P et R simultanément jusqu’à ce que vous entendiez à nouveau le son de démarrage de l’ordinateur. Cette action réinitialise la mémoire PRAM (RAM des paramètres).  Si vous ne parvenez toujours pas à démarrer le MacBook Air, consultez la rubrique « Informations, services et assistance » à la page 54 qui contient les informations nécessaires pour prendre contact avec Apple. Si l’écran devient subitement noir ou que votre MacBook Air se bloque Essayez de redémarrer votre MacBook Air. 1 Débranchez tout périphérique connecté à votre MacBook Air excepté l’adaptateur secteur. 2 Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) pour redémarrer le système. 3 Le niveau de charge de la batterie doit atteindre au moins 10 pour cent avant la connexion d’un périphérique et la reprise du travail. Pour vérifier le niveau de charge de la batterie, observez l’icône d’état de la batterie ( ) située dans la barre des menus.44 Chapitre 3 À tout problème sa solution L’écran pourrait également s’assombrir si les fonctions d’économie d’énergie de la batterie sont en place. Si votre MacBook Air ne parvient pas à se connecter au lecteur de disque optique d’un autre ordinateur Pour utiliser des services tels que l’Assistant Migration, le Partage de CD ou DVD et le partage de musique dans iTunes, votre MacBook Air et l’autre ordinateur doivent être connectés au même réseau. Si votre MacBook Air est connecté sans fil et que l’autre ordinateur est connecté à un routeur tiers par Ethernet, vérifiez la documentation de votre routeur pour vérifier qu’il peut gérer le pontage entre connexions avec et sans fil. Réparation, restauration et réinstallation du logiciel Mac OS X Si vous rencontrez un problème avec le logiciel ou le matériel Mac, Mac OS X possède des utilitaires de réparation et de restauration qui permettent d’éliminer les problèmes et de restaurer votre logiciel aux réglages d’origine. Vous pouvez accéder à ces utilitaires dans l’application Utilitaires de Mac OS X, même si votre ordinateur ne démarre pas correctement.Chapitre 3 À tout problème sa solution 45 Vous pouvez utiliser cette application Mac OS X pour :  réparer le disque de votre ordinateur à l’aide d’Utilitaire de disque ;  restaurer votre logiciel et vos données à partir d’une sauvegarde Time Machine ;46 Chapitre 3 À tout problème sa solution  réinstaller Mac OS X et les applications Apple ;  restaurer votre ordinateur aux réglages d’origine en effaçant le disque et en réinstallant Mac OS X et vos applications Apple. Si votre ordinateur détecte un problème, l’application Utilitaires de Mac OS X s’ouvre automatiquement. Vous pouvez également l’ouvrir manuellement en redémarrant votre ordinateur. Pour ouvrir l’application Utilitaires de Mac OS X : m redémarrez votre ordinateur en maintenant les touches Commande (x) et R enfoncées ; la sous-fenêtre Mac OS X s’affiche. Important : si l’application Utilitaires de Mac OS X ne s’ouvre pas après le redémarrage, maintenez les touches Commande (x) +Option + R enfoncées et redémarrez l’ordinateur pour accéder à Utilitaires depuis Internet. Votre ordinateur doit être connecté à un réseau possédant un accès à Internet. Certains utilitaires de l’application Utilitaires de Mac OS X requièrent un accès à Internet et au Mac App Store. Il peut être nécessaire de vérifier que votre ordinateur est connecté à Internet en utilisant un réseau Ethernet ou Wi-Fi. Pour vous connecter via un réseau Wi-Fi : 1 choisissez un réseau dans le menu d’état Wi-Fi situé dans le coin supérieur droit de l’écran. 2 Si nécessaire, saisissez le mot de passe du réseau. Pour vous connecter à un réseau privé, choisissez « Se connecter à un autre réseau… ». Saisissez le nom et le mot de passe du réseau.Chapitre 3 À tout problème sa solution 47 Réparation d’un disque avec Utilitaire de disque Si vous rencontrez un problème avec votre ordinateur ou si vous démarrez votre ordinateur et que l’application Utilitaires de Mac OS X s’affiche, il se peut que vous deviez réparer le disque de votre ordinateur. 1 Sélectionnez Utilitaire de disque dans la sous-fenêtre Utilitaires de Mac OS X et cliquez sur Continuer. 2 Sélectionnez le disque ou la partition dans liste sur la gauche, puis cliquez sur l’onglet S.O.S. 3 Cliquez sur Réparer le disque. Si Utilitaire de disque ne parvient pas à réparer le disque, sauvegardez toutes les données possibles, puis suivez les instructions fournies dans « Réinstallation de Mac OS X et des applications Apple » à la page 48. Pour plus d’informations à propos d‘Utilitaire de disque et de ses options, consultez le Centre d’aide ou ouvrez Utilitaire de disque (dans le dossier Utilitaires du Launchpad) et choisissez Aide > Aide Utilitaire de disque. Restauration des données à l’aide d’une sauvegarde Time Machine Si vous possédez une sauvegarde Time Machine, utilisez l’utilitaire Restaurer pour ramener tout le contenu de votre ordinateur à son état précédent. Utilisez votre sauvegarde Time Machine pour restaurer des données sur l’ordinateur depuis lequel la sauvegarde a été effectuée. Si vous souhaitez transférer des données vers un autre ordinateur, faites-le au moyen de l’Assistant de migration (dans le sousdossier Utilitaires du Launchpad).48 Chapitre 3 À tout problème sa solution 1 Si votre copie de sauvegarde est conservée sur une Time Capsule, assurez-vous d’être connecté à un réseau Ethernet ou Wi-Fi. (Pour vous connecter à un réseau Wi-Fi, suivez les instructions de la page 46.) 2 Dans la sous-fenêtre Utilitaires de Mac OS X, sélectionnez « Restaurer à partir d’une sauvegarde Time Machine » et cliquez sur Continuer. 3 Sélectionnez le disque contenant la sauvegarde Time Machine, puis suivez les instructions à l’écran. Réinstallation de Mac OS X et des applications Apple Il est possible, dans certains cas, que vous deviez réinstaller Mac OS X et les applications Apple. Vous pouvez le faire tout en conservant vos fichiers et réglages intacts. 1 Assurez-vous que votre MacBook Air est connecté à Internet en utilisant un réseau Ethernet ou Wi-Fi. (Pour vous connecter à un réseau Wi-Fi, suivez les instructions de la page 46.) 2 Dans la sous-fenêtre Utilitaires de Mac OS X, sélectionnez « Réinstaller Mac OS X » et cliquez sur Continuer. 3 Dans la sous-fenêtre où vous êtes invité à sélectionner un disque, choisissez votre disque Mac OS X (dans la plupart des cas, il s’agit du seul disque disponible). 4 Pour sélectionner ou annuler la sélection de logiciels facultatifs, cliquez sur Personnaliser. 5 Cliquez sur Installer. Vous avez la possibilité d’installer Mac OS X sans effacer le disque, en conservant vos fichiers et vos réglages, ou d’effacer le disque avant l’installation, ce qui supprime toutes vos données.Chapitre 3 À tout problème sa solution 49 Une fois Mac OS X installé, vous pouvez vous rendre dans le Mac App Store et retélécharger vos applications Apple. Important : Apple vous recommande de sauvegarder les données du disque avant de procéder à la restauration des logiciels. Apple décline toute en cas de perte de données. Rétablissement des réglages d’origine de l’ordinateur Lorsque vous rétablissez les réglages d’origine de l’ordinateur, toutes les données que celui-ci contient (comptes, réglages réseau, fichiers et dossiers) sont supprimées. Avant de rétablir les réglages d’origine, faites une copie de sauvegarde de tous les fichiers que vous souhaitez conserver sur un autre disque. Notez quels sont vos réglages réseau dans Préférences Réseau pour vous connecter plus facilement après avoir réinstallé Mac OS X. 1 Assurez-vous que votre MacBook Air est connecté à Internet en utilisant un réseau Ethernet ou Wi-Fi. (Pour vous connecter à un réseau Wi-Fi, suivez les instructions de la page 46.) 2 Dans la sous-fenêtre Utilitaires de Mac OS X, sélectionnez Utilitaire de disque et cliquez sur Continuer. 3 Sélectionnez le disque ou la partition dans liste sur la gauche, puis cliquez sur l’onglet Effacer. 4 Sélectionnez « Mac OS étendu (journalisé) » dans le menu local Format, puis saisissez un nom pour le disque et cliquez sur Effacer. 5 Une fois le disque effacé, choisissez Utilitaire de disque > « Quitter Utilitaire de disque ». 6 Dans la sous-fenêtre Utilitaires de Mac OS X, sélectionnez « Réinstaller Mac OS X » et cliquez sur Continuer.50 Chapitre 3 À tout problème sa solution 7 Pour réinstaller Mac OS X et vos applications, suivez les instructions du programme d’installation de Mac OS X. Après avoir restauré Mac OS X et vos applications Apple, vous pouvez choisir de restaurer vos autres données et applications depuis une sauvegarde Time Machine. Problèmes relatifs aux composants matériels Si vous pensez être en présence d’un problème lié aux composants matériels du MacBook Air, tels que la mémoire ou le processeur, vous pouvez utiliser l’application Apple Hardware Test pour savoir si c’est le cas. Pour utiliser Apple Hardware Test, procédez comme indiqué à continuation. 1 Débranchez tout périphérique connecté à votre MacBook Air excepté l’adaptateur secteur. 2 Redémarrez votre MacBook Air tout en maintenant enfoncée la touche D. 3 Lorsque l’écran principal d’Apple Hardware Test s’affiche, sélectionnez la langue que vous voulez utiliser. 4 Appuyez sur la touche Retour ou cliquez sur le bouton Flèche droite. 5 Lorsque l’écran principal Apple Hardware Test apparaît (environ 45 secondes plus tard), suivez les instructions affichées à l’écran. 6 En cas de détection d’un problème, Apple Hardware Test affiche un code d’erreur. Notez le code d’erreur avant d’entreprendre les démarches d’assistance. Si Apple Hardware Test ne détecte pas de panne matérielle, il est probable que le problème soit lié aux logiciels.Chapitre 3 À tout problème sa solution 51 Important : si l’application Apple Hardware Test ne s’ouvre pas après le redémarrage, maintenez les touches Option + D enfoncées et redémarrez l’ordinateur pour accéder à Apple Hardware Test depuis Internet. Votre ordinateur doit être connecté à un réseau possédant un accès à Internet. Problèmes de connexion à Internet Le MacBook Air est équipé de l’application Assistant réglages réseau, destinée à vous aider à configurer une connexion à Internet. Ouvrez Préférences Système, puis cliquez sur Réseau. Cliquez sur le bouton « Assistant » pour ouvrir Assistant réglages réseau. Si vous rencontrez des problèmes avec votre connexion Internet, essayez d’utiliser Diagnostics réseau. Pour utiliser Diagnostic réseau : 1 choisissez le menu Pomme () > Préférences Système ; 2 cliquez sur Réseau puis cliquez sur « Assistant » ; 3 cliquez sur Diagnostic pour lancer Diagnostic réseau ; 4 suivez les instructions à l’écran. Si Diagnostic réseau n’est pas en mesure de résoudre le problème, celui-ci se situe peut-être au niveau du fournisseur d’accès à Internet auquel vous essayez de vous connecter, du périphérique externe utilisé pour la connexion au fournisseur d’accès à Internet ou du serveur auquel vous essayez d’accéder.52 Chapitre 3 À tout problème sa solution Si vous disposez de plusieurs ordinateurs partageant une connexion à Internet, assurezvous que votre réseau sans fil est correctement configuré. Vous devez savoir si votre FAI fournit une seule ou plusieurs adresses IP, autrement dit, une pour chaque ordinateur. Si une seule adresse IP est fournie, vous devez disposer d’un routeur capable de partager la connexion ; on parle alors de conversion d’adresse réseau (NAT) ou de masquage d’adresses IP. Pour obtenir des informations sur la configuration, consultez la documentation fournie avec votre routeur ou contactez la personne qui a configuré votre réseau. Vous pouvez utiliser une borne d’accès AirPort pour partager une adresse IP unique entre plusieurs ordinateurs. Pour obtenir plus d’informations sur l’utilisation d’une borne d’accès AirPort, consultez le Centre d’aide ou rendez-vous sur le site web AirPort d’Apple, à l’adresse www.apple.com/fr/support/airport. Si ces méthodes s’avèrent insuffisantes pour résoudre les problèmes rencontrés, adressez-vous à votre fournisseur d’accès à Internet ou à votre administrateur réseau. Problèmes avec la communication Wi-Fi En cas de problèmes avec les communications Wi-FI (sans fil) :  vérifiez que l’ordinateur ou le réseau auquel vous souhaitez vous connecter est activé et dispose d’un point d’accès sans fil ;  assurez-vous que le logiciel est correctement configuré conformément aux instructions fournies avec votre borne d’accès ou point d‘accès ;Chapitre 3 À tout problème sa solution 53  assurez-vous que l’autre ordinateur ou le point d’accès au réseau se trouve dans la zone de couverture de votre ordinateur ; des appareils électroniques ou des structures métalliques se trouvant à proximité peuvent interférer avec les communications sans fil et réduire la portée de votre antenne ; vous pouvez éventuellement améliorer la réception en tournant et en réorientant l’ordinateur ;  vérifiez l’icône d’état AirPort (Z) dans la barre des menus ; jusqu’à quatre barres de mesure apparaissent pour afficher la puissance du signal ;si l’intensité du signal est faible, essayez de changer de place ;  obtenez de l’aide en ligne en choisissant Aide > Centre d’aide, et en cherchant « wi-fi » ; reportez-vous aux instructions fournies avec votre appareil sans fil pour plus d’information. Maintien à jour de vos logiciels Vous pouvez vous connecter à Internet pour télécharger et installer automatiquement les dernières versions de logiciels, gestionnaires et autres améliorations fournies par Apple. Chaque fois que vous vous connectez à Internet, « Mise à jour de logiciels » consulte les mises à jour disponibles pour votre ordinateur. Vous pouvez configurer votre MacBook Air afin qu’il recherche régulièrement des mises à jour, puis télécharger et installer les logiciels mis à jour. Pour rechercher des logiciels mis à jour : 1 choisissez le menu Pomme () > Préférences Système ; 2 cliquez sur l’icône « Mise à jour de logiciels » et suivez les instructions à l’écran.  Pour plus d’informations, recherchez « Mise à jour de logiciels » dans le Centre d’aide.54 Chapitre 3 À tout problème sa solution  Pour obtenir les toutes dernières informations sur Mac OS X, consultez la page www.apple.com/fr/macosx. Vous recevez aussi des notifications du Mac App Store lorsque des mises à jour des applications sont disponibles. Un petit numéro indiquant le nombre de mises à jour s’affiche dans le bord droit de l’icône de l’App Store. Vous pouvez mettre à jour une ou plusieurs applications à la fois. Informations, services et assistance L’utilisateur ne peut remplacer ni réparer aucune pièce du MacBook Air. Si vous avez besoin de services de réparation, adressez-vous à Apple ou portez votre MacBook Air chez un fournisseur de services agréé Apple. Vous trouverez de plus amples informations sur votre MacBook Air en ligne, dans l’aide à l’écran, dans Informations Système et via Apple Hardware Test. Informations en ligne Pour obtenir des informations en ligne sur le service et l’assistance, rendez-vous sur www.apple.com/fr/support et sélectionnez votre pays dans le menu local. Vous pouvez faire des recherches dans la base de données AppleCare Knowledge Base, vérifiez si de nouvelles mises à jour de logiciels sont disponibles ou obtenir de l’aide dans les forums de discussion Apple. Aide à l’écran Vous pouvez souvent trouver des réponses à vos questions ainsi que des instructions et des informations de dépannage dans le Centre d’aide. Choisissez Aide > Centre d’aide.Chapitre 3 À tout problème sa solution 55 Informations Système Pour obtenir des informations sur votre MacBook Air, servez-vous d’Informations Système. Cette application vous fournit la liste des composants matériels et des logiciels installés, le numéro de série et de version du système d’exploitation, la quantité de mémoire installée, etc. Pour ouvrir Informations Système, choisissez le menu Pomme () > « À propos de ce Mac » dans la barre des menus, puis cliquez sur Plus d’infos. Service et assistance AppleCare Le MacBook Air est fourni avec 90 jours d’assistance technique et un an de garantie sur les réparations de matériel effectuées dans les magasins Apple Store ou dans des centres agréés Apple. Vous avez la possibilité d’étendre la durée de cette couverture en adhérant à un programme AppleCare Protection Plan. Pour en savoir plus, rendezvous sur www.apple.com/fr/support/products ou consultez le site web de votre pays (indiqués plus loin dans cette section). Si vous avez besoin d’assistance, le personnel AppleCare d’assistance par téléphone peut vous aider à installer et à ouvrir les applications et offre des services de dépannage élémentaires. Appelez le centre d’assistance le plus proche de chez vous (gratuit pendant les 90 premiers jours). Gardez la date d’achat et le numéro de série de votre MacBook Air à portée de main lorsque vous appelez.56 Chapitre 3 À tout problème sa solution La période de 90 jours d’assistance gratuite par téléphone débute à la date d’achat. Pays Téléphone Site web Allemagne (49) 01805 009 433 www.apple.com/de/support Autriche (43) 0810 300 427 www.apple.com/at/support Belgique (flamand) (français) (32) 070 700 772 (32) 070 700 773 www.apple.com/benl/support www.apple.com/befr/support France (Metropolitain) (DOM-TOM) (33) 0805 540 003 www.apple.com/fr/support Luxembourg (352) 800 24550 www.apple.com/befr/support Suisse (français) (allemand) (41) 0848 000 132 (41) 0848 000 132 www.apple.com/chfr/support www.apple.com/chde/support Les numéros de téléphone sont susceptibles d’être modifiés. Des tarifs téléphoniques locaux et nationaux peuvent s’appliquer. Une liste complète est disponible sur Internet : www.apple.com/support/contact/phone_contacts.htmlChapitre 3 À tout problème sa solution 57 Localisation du numéro de série de votre produit Utilisez l’une des méthodes suivantes pour trouver le numéro de série de votre MacBook Air :  Retournez votre MacBook Air. Le numéro de série est gravé sur le boîtier, près de la charnière. Numéro de série  Choisissez Aide () > À propos de ce Mac. Cliquez sur le numéro de version sous les mots « Mac OS X » pour passer du numéro de version de Mac OS X à la version, puis au numéro de série.  Ouvrez Informations Système, dans le dossier Utilitaires du Launchpad. Dans la sous-fenêtre Contenu, cliquez sur Matériel.4 Dernières recommandations Centre d’aide ergonomie www.apple.com/fr/environment60 Chapitre 4 Dernières recommandations Afin d’assurer votre sécurité et de préserver votre matériel, veillez à observer les consignes suivantes concernant le nettoyage et la manipulation de votre MacBook Air ainsi que l’aménagement d’un espace de travail confortable. Gardez ces instructions dans un endroit facile d’accès pour vous et pour les utilisateurs éventuels. AVIS : la garantie du fabricant pourra être annulée si votre Mac Book Air a été utilisé ou stocké de manière impropre. Informations importantes concernant la sécurité AVERTISSEMENT : le non-respect de ces consignes pourrait déclencher un incendie, occasionner des décharges électriques ou entraîner des blessures ou dommages. Batterie intégrée Ne retirez pas la batterie de votre MacBook Air. La batterie ne peut être remplacé que par un fournisseur de services agréé Apple. Interrompez l’utilisation de votre MacBook Air s’il tombe ou semble cassé, tordu, déformé ou abîmé. N’exposez pas votre MacBook Air à des sources de forte chaleur, telles que des radiateurs ou des cheminées, où la température excéderait 100°C. Manipulation correcte La partie inférieure du MacBook Air peut chauffer au cours d’une utilisation normale de l’appareil. Le MacBook Air respecte les limites relatives à la température de la surface accessible à l’utilisateur définies par les normes de sécurité des matériels de traitement de l’information (IEC 60950-1) établies par la Commission électrotechnique internationale.Chapitre 4 Dernières recommandations 61 Pour utiliser votre ordinateur en toute sécurité et réduire le risque de brûlures, suivez les conseils à continuation.  Installez votre MacBook Air sur une surface de travail stable permettant une circulation d’air adéquate sous et autour de l’ordinateur.  N’utilisez pas le MacBook Air en le posant sur un coussin, une couverture ou tout autre objet de structure non solide car cela pourrait empêcher les conduits d’aération de fonctionner correctement.  Évitez également de placer des objets sur le clavier lorsque vous utilisez votre MacBook Air.  N’introduisez jamais d’objets d’aucune sorte dans les ouvertures servant à la ventilation.  Si votre MacBook Air est posé sur vos genoux et que la chaleur qu’il produit vous gêne, posez-le plutôt sur un plan de travail stable. Eau et endroits humides Évitez de placer votre MacBook Air à proximité de sources de liquide telles que des boissons, un évier, un lavabo, une baignoire ou une douche, par exemple. Protégez votre MacBook Air de l’humidité et des intempéries (neige, pluie et brouillard par exemple). Adaptateur secteur MagSafe 45W N’utilisez que l’adaptateur secteur qui accompagne le MacBook Air ou, au besoin, un adaptateur secteur agréé Apple compatible avec ce produit. Veillez à ce que la fiche ou le câble d’alimentation secteur CA soit totalement enclenché dans l’adaptateur secteur avant de brancher ce dernier sur une prise de courant.62 Chapitre 4 Dernières recommandations L’adaptateur secteur peut chauffer au cours d’une utilisation normale de l’appareil. L’adaptateur secteur MagSage respecte les limites relatives à la température de la surface accessible à l’utilisateur définies par les normes de sécurité des matériels de traitement de l’information (IEC 60950-1) établies par la Commission électrotechnique internationale. Pour réduire les risques de surchauffe de l’adaptateur secteur et de brûlures, effectuez l’une des opérations suivantes :  branchez l’adaptateur secteur directement sur une prise de courant ; Fiche CA Connecteur MagSafe Adaptateur secteur MagSafeChapitre 4 Dernières recommandations 63  si vous utilisez le câble d’alimentation CA, placez l’adaptateur secteur sur un bureau, sur une table ou sur le sol à un endroit bien ventilé. Connecteur MagSafe Adaptateur secteur MagSafe Câble d’alimentation CA Débranchez l’adaptateur secteur et tous les autres câbles si l’un des cas à continuation se présente.  Vous souhaitez nettoyer le boîtier (pour ce faire, suivez à la lettre les instructions fournies à la page 66).  La prise ou le câble d’alimentation est endommagé.  Le MacBook Air ou l’adaptateur secteur est exposé à la pluie ou à une humidité excessive, ou du liquide a été versé dans le boîtier.  Le MacBook Air ou l’adaptateur secteur a subi une chute, le boîtier a été endommagé ou vous pensez qu’une réparation est nécessaire. Le port secteur MagSafe contient un aimant qui peut effacer les données d’une carte de crédit, d’un iPod ou d’autres appareils. Pour protéger vos données, ne placez aucun de ces objets ou aucun matériau ou appareil à sensibilité magnétique à moins de 25 mm de ce port.64 Chapitre 4 Dernières recommandations Si des résidus quelconques se trouvent dans le port secteur MagSafe, enlevez-les doucement à l’aide d’un bâtonnet de coton. Spécifications de l’alimentation MagSafe :  Fréquence : phase unique de 50 à 60 Hz  Tension de secteur : de 100 à 240 V  Tension de sortie : 14,5 V CC, 3,1 A Diminution de l’acuité auditive Vous risquez une perte d’audition irréparable si vous utilisez un casque ou des écouteurs à volume sonore élevé. L’oreille peut s’adapter petit à petit à des volumes sonores de plus en plus élevés qui peuvent sembler normaux mais qui risquent à la longue d’endommager votre système auditif. En cas de sifflements ou de perte d’acuité auditive, arrêtez d’utiliser le casque ou les écouteurs et consultez un médecin. Plus le volume est élevé, plus votre audition risque d’être affectée rapidement. Pour protéger votre système auditif, les spécialistes conseillent de prendre les mesures suivantes :  Limitez la durée d’utilisation à volume élevé de vos écouteurs ou de votre casque d’écoute.  Évitez d’augmenter le volume afin de bloquer les bruits environnants.  Baissez le volume si vous ne parvenez pas à entendre une personne qui parle à côté de vous. Activités à haut risque Cet ordinateur n’est pas conçu pour être utilisé dans des installations nucléaires, pour la navigation ou la communication aérienne, pour le contrôle du trafic aérien ni dans aucune autre situation où une panne du système informatique pourrait entraîner la mort, des blessures ou de graves dommages écologiques.Chapitre 4 Dernières recommandations 65 Informations importantes sur la manipulation AVIS : le non-respect des présentes instructions sur la manipulation peut provoquer des dommages à votre MacBook Air ou à d’autres objets. Environnement d’utilisation L’utilisation de votre MacBook Air en dehors de ces plages peut gêner son bon fonctionnement.  Température de fonctionnement : de 10 à 35 C  Température de stockage : de -20 à 45 C  Humidité relative : de 5 % à 90 % (sans condensation)  Altitude de fonctionnement : de 0 à 3 048 mètres Transport du MacBook Air Si vous transportez le MacBook Air dans un sac ou dans un attaché-case, assurez-vous que ce dernier ne contient pas d’objets non attachés (des trombones ou des pièces de monnaie, par exemple) qui pourraient pénétrer accidentellement dans l’ordinateur par la fente du lecteur optique ou se coincer à l’intérieur d’un port. Maintenez également à l’écart du port secteur MagSafe tout objet à sensibilité magnétique. Utilisation des connecteurs et des ports Ne forcez jamais un connecteur à entrer dans un port. Lorsque vous branchez un appareil, assurez-vous que le port ne contient aucun résidu quelconque, que le connecteur correspond bien au port et qu’il est placé de manière à entrer correctement dans le port. Manipulation des parties en verre Votre MacBook Air contient des composants en verre, notamment l’écran et le trackpad. Si elles sont abîmées, n’utilisez pas votre MacBook Air tant qu’il na pas été réparé par un fournisseur de services agréé Apple.66 Chapitre 4 Dernières recommandations Stockage du MacBook Air Si vous décidez de ranger le MacBook Air pendant une longue période, placez-le dans un endroit frais (idéalement, à 22 C) et déchargez la batterie jusqu’à 50 pour cent. Avant de ranger votre ordinateur pour une période de temps supérieure à cinq mois, déchargez la batterie jusqu’à environ 50 pour cent. Pour conserver les capacités de la batterie, rechargez la batterie jusqu’à 50 pour cent tous les six mois environ. Nettoyage du MacBook Air Lorsque vous nettoyez le boîtier de votre MacBook Air et ses composants, éteignez d’abord l’ordinateur, puis débranchez l’adaptateur secteur. Utilisez ensuite un chiffon doux, humide et non pelucheux pour nettoyer le boîtier de l’ordinateur. Évitez les infiltrations d’humidité par quelque ouverture que ce soit. Ne vaporisez jamais de liquide directement sur l’ordinateur. N’utilisez ni aérosols, ni dissolvants, ni abrasifs qui pourraient endommager les finitions de l’appareil. Nettoyage de l’écran de votre MacBook Air Pour nettoyer l’écran de votre , commencez par éteindre votre ordinateur, puis débranchez l’adaptateur secteur. Utilisez ensuite un chiffon doux et non pelucheux humidifié d’eau uniquement pour nettoyer l’écran. Ne vaporisez jamais de liquide directement sur l’écran.Chapitre 4 Dernières recommandations 67 Ergonomie Voici quelques conseils pour la mise en place d’un environnement de travail sain. Clavier et trackpad Lorsque vous tapez au clavier ou que vous vous servez du trackpad, vos épaules doivent être détendues. Le bras et l’avant-bras doivent former un angle droit, la main étant placée dans le prolongement du poignet. Position à éviter Position recommandée Vous devez avoir les mains et les doigts détendus lorsque vous tapez au clavier ou que vous utilisez le trackpad. Évitez de replier les pouces à l’intérieur des paumes.68 Chapitre 4 Dernières recommandations Position à éviter Position recommandée Modifiez fréquemment la position de vos mains pour éviter la fatigue. Après un travail continu et intensif sur ordinateur, certains utilisateurs peuvent ressentir des douleurs aux mains, aux poignets ou aux bras. Si ces douleurs persistent, consultez un spécialiste. Souris externe Si vous utilisez une souris externe, veillez à ce qu’elle se trouve à hauteur du clavier. Ménagez un espace suffisant pour la manipuler avec aisance. Siège Optez pour un siège de bureau réglable et offrant un dossier et une assise confortables. Réglez la hauteur du siège de telle sorte que vos cuisses reposent à l’horizontale et que vos pieds soient à plat sur le sol. Le dossier du siège doit soutenir votre région lombaire, c’est-à-dire la partie inférieure de votre dos. Suivez les instructions du fabricant de sorte que le réglage du dossier soit parfaitement adapté à votre morphologie.Chapitre 4 Dernières recommandations 69 Au besoin, relevez le siège de manière que vos avant-bras et vos mains soient placés correctement par rapport au clavier. Si, dans ce cas, vos pieds ne reposent plus à plat sur le sol, utilisez un repose-pied inclinable et réglable en hauteur. Si vous disposez d’un bureau modulaire, vous pouvez abaisser le niveau du plan de travail pour éviter l’emploi d’un repose-pied. Une troisième solution consiste à utiliser un bureau dont le poste de saisie est situé plus bas que le plan de travail. Écran intégré Orientez l’écran de manière à réduire le plus possible les reflets de l’éclairage électrique et de la lumière du jour. Ne forcez pas l’écran si vous rencontrez une résistance. L’angle d’ouverture maximal de l’écran ne peut dépasser 135 degrés. Réglez la luminosité et le contraste de l’écran chaque fois que vous déplacez l’ordinateur ou que l’éclairage ambiant change. Vous trouverez d’autres informations concernant l’ergonomie sur Internet : www.apple.com/fr/about/ergonomics Apple et l’environnement Apple Inc. reconnaît sa responsabilité en matière de réduction de l’impact de ses produits et de ses activités sur l’environnement. Des informations supplémentaires sont disponibles sur Internet : www.apple.com/fr/environment70 Regulatory Compliance Information FCC Compliance Statement This device complies with part 15 of the FCC rules. Operation is subject to the following two conditions: (1) This device may not cause harmful interference, and (2) this device must accept any interference received, including interference that may cause undesired operation. See instructions if interference to radio or television reception is suspected. L‘utilisation de ce dispositif est autorisée seulement aux conditions suivantes: (1) il ne doit pas produire de brouillage et (2) l’utilisateur du dispositif doit étre prêt à accepter tout brouillage radioélectrique reçu, même si ce brouillage est susceptible de compromettre le fonctionnement du dispositif. Radio and Television Interference This computer equipment generates, uses, and can radiate radiofrequency energy. If it is not installed and used properly—that is, in strict accordance with Apple’s instructions—it may cause interference with radio and television reception. This equipment has been tested and found to comply with the limits for a Class B digital device in accordance with the specifications in Part 15 of FCC rules. These specifications are designed to provide reasonable protection against such interference in a residential installation. However, there is no guarantee that interference will not occur in a particular installation. You can determine whether your computer system is causing interference by turning it off. If the interference stops, it was probably caused by the computer or one of the peripheral devices. If your computer system does cause interference to radio or television reception, try to correct the interference by using one or more of the following measures: • Turn the television or radio antenna until the interference stops. • Move the computer to one side or the other of the television or radio. • Move the computer farther away from the television or radio. • Plug the computer in to an outlet that is on a different circuit from the television or radio. (That is, make certain the computer and the television or radio are on circuits controlled by different circuit breakers or fuses.) If necessary, consult an Apple Authorized Service Provider or Apple. See the service and support information that came with your Apple product. Or consult an experienced radio/television technician for additional suggestions. Important: Changes or modifications to this product not authorized by Apple Inc. could void the EMC compliance and negate your authority to operate the product. This product has demonstrated EMC compliance under conditions that included the use of compliant peripheral devices and shielded cables (including Ethernet network cables) between system components. It is important that you use compliant peripheral devices and shielded cables between system components to reduce the possibility of causing interference to radios, television sets, and other electronic devices. Responsible party (contact for FCC matters only): Apple Inc. Corporate Compliance 1 Infinite Loop, MS 26-A Cupertino, CA 95014 Wireless Radio Use This device is restricted to indoor use when operating in the 5.15 to 5.25 GHz frequency band. Cet appareil doit être utilisé à l’intérieur. Exposure to Radio Frequency Energy The radiated output power of the AirPort Extreme technology is below the FCC and EU radio frequency exposure limits. Nevertheless, it is advised to use the wireless equipment in such a manner that the potential for human contact during normal operation is minimized. FCC Bluetooth Wireless Compliance The antenna used with this transmitter must not be colocated or operated in conjunction with any other antenna or transmitter subject to the conditions of the FCC Grant.71 Bluetooth Industry Canada Statement This Class B device meets all requirements of the Canadian interference-causing equipment regulations. Cet appareil numérique de la Class B respecte toutes les exigences du Règlement sur le matériel brouilleur du Canada. Industry Canada Statement Complies with the Canadian ICES-003 Class B specifications. Cet appareil numérique de la classe B est conforme à la norme NMB-003 du Canada. This device complies with RSS 210 of Industry Canada. Bluetooth Europe—EU Declaration of Conformity This wireless device complies with the R&TTE Directive. Europe - Déclaration de conformité UE Български Apple Inc. декларира, че това MacBook Air е в съответствие със съществените изисквания и другите приложими правила на Директива 1999/5/ЕС. Česky Společnost Apple Inc. tímto prohlašuje, že tento MacBook Air je ve shodě se základními požadavky a dalšími příslušnými ustanoveními směrnice 1999/5/ES. Dansk Undertegnede Apple Inc. erklærer herved, at følgende udstyr MacBook Air overholder de væsentlige krav og øvrige relevante krav i direktiv 1999/5/EF. Deutsch Hiermit erklärt Apple Inc., dass sich das MacBook Air in Übereinstimmung mit den grundlegenden Anforderungen und den übrigen einschlägigen Bestimmungen der Richtlinie 1999/5/EG befinden. Eesti Käesolevaga kinnitab Apple Inc., et see MacBook Air vastab direktiivi 1999/5/EÜ põhinõuetele ja nimetatud direktiivist tulenevatele teistele asjakohastele sätetele. English Hereby, Apple Inc. declares that this MacBook Air is in compliance with the essential requirements and other relevant provisions of Directive 1999/5/EC. Español Por medio de la presente Apple Inc. declara que este MacBook Air cumple con los requisitos esenciales y cualesquiera otras disposiciones aplicables o exigibles de la Directiva 1999/5/CE. Ελληνικά Mε την παρούσα, η Apple Inc. δηλώνει ότι αυτή η συσκευή MacBook Air συμμορφώνεται προς τις βασικές απαιτήσεις και τις λοιπές σχετικές διατάξεις της Οδηγίας 1999/5/ΕΚ. Français Par la présente Apple Inc. déclare que l’appareil MacBook Air est conforme aux exigences essentielles et aux autres dispositions pertinentes de la directive 1999/5/CE. Islenska Apple Inc. lýsir því hér með yfir að þetta tæki MacBook Air fullnægir lágmarkskröfum og öðrum viðeigandi ákvæðum Evróputilskipunar 1999/5/EC. Italiano Con la presente Apple Inc. dichiara che questo dispositivo MacBook Air è conforme ai requisiti essenziali ed alle altre disposizioni pertinenti stabilite dalla direttiva 1999/5/CE. Latviski Ar šo Apple Inc. deklarē, ka MacBook Air ierīce atbilst Direktīvas 1999/5/EK būtiskajām prasībām un citiem ar to saistītajiem noteikumiem. Lietuvių Šiuo „Apple Inc.“ deklaruoja, kad šis MacBook Air atitinka esminius reikalavimus ir kitas 1999/5/EB Direktyvos nuostatas. Magyar Alulírott, Apple Inc. nyilatkozom, hogy a MacBook Air megfelel a vonatkozó alapvetõ követelményeknek és az 1999/5/EC irányelv egyéb elõírásainak. Malti Hawnhekk, Apple Inc., jiddikjara li dan MacBook Air jikkonforma mal-ħtiġijiet essenzjali u ma provvedimenti oħrajn relevanti li hemm fid-Dirrettiva 1999/5/EC. Nederlands Hierbij verklaart Apple Inc. dat het toestel MacBook Air in overeenstemming is met de essentiële eisen en de andere bepalingen van richtlijn 1999/5/EG. Norsk Apple Inc. erklærer herved at dette MacBook Air -apparatet er i samsvar med de grunnleggende kravene og øvrige relevante krav i EU-direktivet 1999/5/EF. Polski Niniejszym Apple Inc. oświadcza, że ten MacBook Air są zgodne z zasadniczymi wymogami oraz pozostałymi stosownymi postanowieniami Dyrektywy 1999/5/EC. 72 Português Apple Inc. declara que este dispositivo MacBook Air está em conformidade com os requisitos essenciais e outras disposições da Directiva 1999/5/CE. Română Prin prezenta, Apple Inc. declară că acest aparat MacBook Air este în conformitate cu cerinţele esenţiale şi cu celelalte prevederi relevante ale Directivei 1999/5/CE. Slovensko Apple Inc. izjavlja, da je ta MacBook Air skladne z bistvenimi zahtevami in ostalimi ustreznimi določili direktive 1999/5/ES. Slovensky Apple Inc. týmto vyhlasuje, že toto MacBook Air spĺňa základné požiadavky a všetky príslušné ustanovenia Smernice 1999/5/ES. Suomi Apple Inc. vakuuttaa täten, että tämä MacBook Air tyyppinen laite on direktiivin 1999/5/EY oleellisten vaatimusten ja sitä koskevien direktiivin muiden ehtojen mukainen. Svenska Härmed intygar Apple Inc. att denna MacBook Air står i överensstämmelse med de väsentliga egenskapskrav och övriga relevanta bestämmelser som framgår av direktiv 1999/5/EG. Une copie de la Déclaration de conformité UE est disponible sur la page web www.apple.com/euro/compliance (en anglais). Cet équipement peut être utilisé dans les pays suivants : Korea Warning Statements B૶ૺૺ(ਜ਼ႜဧ෮໽ቛཅૺၴႁ) ၦૺૺ௴ਜ਼ႜဧ(B૶) ႖ၴኒ႕ጁૺૺച໏჎ച ਜ਼ႜ࿝໏ຫဧዻ௴ઇၕඛ႕ၒചዻඑ, ක౷ხ ࿦࿝໏ຫဧዾ༘ၰཀఁఋ. ෮ቛ၁ધགྷ࿝ಋ൏ધხຫጃ ጄఙඳ໓໕๗௴ဪဧთ႖ኒጯཅਜ਼௻ໜၦၰၗ ၦૺૺ௴ၨ඗ྦ႖઴શഏౘ໏๗༺࿝ຫဧዾ༘࿖ཀఁఋ ఝዽූ૑ ૬ႜ ෟ ა༘ Singapore Wireless Certification Taiwan Wireless Statements Taiwan Class B Statement 警告 本電池如果更換不正確會有爆炸的危險 請依製造商說明書處理用過之電池 Japan VCCI Class B Statement73 Russia Informations sur les modems USB Si vous connectez votre MacBook Air à une ligne téléphonique par le biais d’un modem USB externe, veuillez vous reporter aux informations fournies par l’agence de télécommunications mentionnées dans la documentation livrée avec votre modem. ENERGY STAR ® Compliance As an ENERGY STAR ® partner, Apple has determined that standard configurations of this product meet the ENERGY STAR ® guidelines for energy efficiency. The ENERGY STAR ® program is a partnership with electronic equipment manufacturers to promote energyefficient products. Reducing energy consumption of products saves money and helps conserve valuable resources. This computer is shipped with power management enabled with the computer set to sleep after 10 minutes of user inactivity. To wake your computer, click the mouse or trackpad button or press any key on the keyboard. For more information about ENERGY STAR ® , visit: www.energystar.gov Informations sur l’élimination et le recyclage Ce symbole indique que vous devez suivre les normes et la législation de votre pays pour jeter ce produit. Lorsque ce produit n’est plus utilisable, contactez Apple ou les autorités locales pour en savoir plus sur les possibilités de recyclage. Pour en savoir plus sur le programme de recyclage d’Apple, consultez le site www.apple.com/fr/recycling. Union européenne—instructions concernant l’élimination des déchets : Le symbole ci-dessus signifie que vous devez vous débarrasser de votre produit séparément des ordures ménagères, selon les normes et la législation de votre pays. Lorsque ce produit n’est plus utilisable, portez-le dans un centre de traitement des déchets agréé par les autorités locales. Certains centres acceptent les produits gratuitement. Le traitement et le recyclage séparé de votre produit lors de son élimination aideront à préserver les ressources naturelles et à protéger l’environnement et la santé des êtres humains. Türkiye EEE yönetmeliğine (Elektrikli ve Elektronik Eşyalarda Bazı Zararlı Maddelerin Kullanımının Sınırlandırılmasına Dair Yönetmelik) uygundur. Brasil—Informações sobre descarte e reciclagem O símbolo acima indica que este produto e/ou sua bateria não devem ser descartadas no lixo doméstico. Quando decidir descartar este produto e/ou sua bateria, faça-o de acordo com as leis e diretrizes ambientais locais. Para informações sobre o programa de reciclagem da Apple, pontos de coleta e telefone de informações, visite www.apple.com/br/environment. Informations sur le retrait de la batterie Jetez vos batteries usagées en respectant les lois et les consignes environnementales de votre pays. Deutschland: Dieses Gerät enthält Batterien. Bitte nicht in den Hausmüll werfen. Entsorgen Sie dieses Gerät am Ende seines Lebenszyklus entsprechend der maßgeblichen gesetzlichen Regelungen. Nederlands: Gebruikte batterijen kunnen worden ingeleverd bij de chemokar of in een speciale batterijcontainer voor klein chemisch afval (kca) worden gedeponeerd.74 China Battery Statement Taiwan Battery Statement 020-5563-A EFUP15chinaK Apple Inc. © 2011 Apple Inc.Tous droits réservés. En application des lois et conventions en vigueur, aucune reproduction totale ni partielle du manuel n’est autorisée, sauf consentement écrit préalable d’Apple. Tout a été mis en œuvre pour que les informations présentées dans ce manuel soient exactes. Apple n’est pas responsable des erreurs de reproduction ou d’impression. Apple 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014 408-996-1010 www.apple.com Le logo Apple est une marque d’Apple Inc. déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. L’utilisation du logo Apple disponible par raccourci clavier (Option + 1) à des fins commerciales sans accord écrit préalable d’Apple peut constituer une violation de marque déposée et un délit de concurrence déloyale, enfreignant les lois fédérales et des États. Apple, le logo Apple, AirPort, AirPort Extreme, FaceTime, Finder, GarageBand, iChat, iLife, iMovie, iPhone, iPhoto, iPod, iTunes, Keynote, Mac, Mac OS, MacBook, MacBook Air, MagSafe, Photo Booth, Safari, SuperDrive, Time Capsule et Time Machine sont des marques d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. iPad et Multi-Touch sont des marques d’Apple Inc. Apple, AppleCare, Apple Store et iTunes Store sont des marques de service d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. App Store est une marque de service d’Apple Inc. ENERGY STAR® est une marque déposée aux États-Unis. Thunderbolt et le logo Thunderbolt sont des marques d’Intel Corp. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. La marque et les logos Bluetooth® sont des marques appartenant Bluetooth SIG, Inc. et sont utilisées sous licence par Apple Inc. Les autres noms de produit ou de société sont la propriété de leurs détenteurs respectifs. Les produits de tierce partie ne sont mentionnés que pour information, sans aucune intention de préconisation ni de recommandation. Apple décline toute responsabilité quant à l’utilisation et au fonctionnement de ces produits. Fabriqué sous licence de Dolby Laboratories. « Dolby », « Pro Logic » et le logo double-D sont des marques déposées de Dolby Laboratories. Ouvrages confidentiels inédits, © 1992–1997 Dolby Laboratories, Inc. Tous droits réservés. Publié simultanément aux États-Unis et au Canada. Félicitations pour l’achat d’un Mac Pro exécutant Mac OS X Lion ServerTable des matières 3 Chapitre 1 : Prêt, feu, configurez ! 8 Travailler avec Mac OS X Lion Server 9 Configuration de votre Mac Pro 16 Personnalisez votre bureau et réglez vos préférences 17 Vous avez besoin d’aide pour configurer votre ordinateur ? 18 Extinction de votre Mac Pro Chapitre 2 : Votre Mac Pro au quotidien 22 Éléments principaux se trouvant à l’avant de votre Mac Pro 24 Ports et connecteurs situés à l’arrière de votre Mac Pro 26 Autres ports et connecteurs à l’arrière 28 Options d’extension interne 30 Comment obtenir des réponses Chapitre 3 : Améliorations possibles 35 Ouverture de votre Mac Pro 39 Installation de la mémoire 58 Installation d’unités de stockage internes 72 Ajout de cartes PCI Express 77 Remplacement de la pile de secours interne Table des matières4 Table des matières Chapitre 4 : À tout problème sa solution 80 Une once de prévention 81 Problèmes du Mac Pro 84 Problèmes liés au logiciel 85 Réparation, restauration ou réinstallation de logiciels Mac OS X 90 Vérification d’un problème matériel 91 Problèmes de communication Wi-Fi 92 Problèmes de moniteur 94 Problèmes de connexion à Internet 97 Optimisation des performances Ethernet 98 Maintien à jour de vos logiciels 98 En savoir plus, service et assistance technique 101 Localisation du numéro de série Chapitre 5 : Sous le capot 104 SpécificationsTable des matières 5 Chapitre 6 : Dernières recommandations 116 Informations importantes en matière de sécurité 117 Entretien général 119 Ergonomie 122 Apple et l’environnement 123 Regulatory Compliance InformationAide application Serveur Assistant Serveur www.apple.com/fr/macpro Prêt, feu, configurez ! 18 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Votre Mac Pro est à la pointe de la technologie informatique, grâce notamment à la technologie sophistiquée de processeur multicœur, à la mémoire à haut débit, à sa carte graphique et ses ports d’extension PCI Express, et au stockage interne, le tout dans un châssis en aluminium anodisé permettant d’accéder facilement aux composants. AVERTISSEMENT : Afin d’éviter toute blessure, lisez attentivement les instructions d’installation dans leur intégralité (ainsi que les informations sur la sécurité à partir de la page 116) avant d’utiliser votre Mac Pro pour la première fois. Veillez à consulter les informations du chapitre 2, « Votre Mac Pro au quotidien, » pour découvrir les nouvelles fonctionnalités de ce Mac Pro. Vous trouverez la plupart des réponses à vos questions dans le Centre d’aide pour votre Mac Pro. Pour obtenir des informations sur le Centre d’aide, consultez la section « Comment obtenir des réponses » à la page 30. Travailler avec Mac OS X Lion Server Une fois votre Mac Pro configuré, il est prêt à héberger tous les services fournis par Mac OS X Lion Server. Vous pouvez utiliser l’Assistant Serveur pour configurer votre serveur et faire migrer des informations à partir d’un autre serveur Mac. Pour en savoir plus sur l’utilisation de votre serveur Mac ou de Lion Server, ouvrez l’application Serveur, puis choisissez Aide Serveur dans le menu Aide. Pour en savoir plus sur le logiciel Mac OS X Lion Server, consultez le site web de Lion Server à l’adresse www.apple.com/fr/ macosx/server.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 9 Configuration de votre Mac Pro Votre Mac Pro est conçu pour être configuré rapidement et utilisé immédiatement. Suivez les instructions présentées aux pages suivantes en guise d’introduction. Étape 1 : Positionnez votre Mac Pro. Soulevez le Mac Pro par ses deux poignées en utilisant des techniques de levage adaptées. Positionnez votre Mac Pro de sorte que :  il repose sur une surface plane et robuste ;  les fiches des câbles d’alimentation ne soient coincées ni contre un mur ni contre tout autre objet ;  l’air puisse circuler devant, derrière et sous votre Mac Pro (aucun obstacle) ;  les plateaux des lecteurs optiques aient suffisamment d’espace pour s’ouvrir. La seule façon de couper tout à fait le courant de votre Mac Pro consiste à débrancher les prises de courant. Assurez-vous que le câble d’alimentation de votre Mac Pro est facile d’accès afin que vous puissiez le débrancher facilement.10 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Étape 2 : Branchez le cordon d’alimentation. Enfoncez complètement le câble d’alimentation dans la prise encastrée au dos du Mac Pro et branchez l’autre extrémité sur une prise secteur avec mise à la terre ou une multiprise avec mise à la terre. Prise du câble d’alimentation Fiche du câble d’alimentationChapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 11 Étape 3 : Connectez le moniteur. Si vous connectez un moniteur à votre Mac Pro, procédez comme suit : En fonction de votre moniteur, vous devrez connecter un seul ou plusieurs câbles. Vérifiez les instructions fournies avec le moniteur pour d’autres informations sur sa configuration. Câble de l’écran Ports d’écran Port USB12 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Vous pouvez connecter jusqu’à trois moniteurs à l’aide de connecteurs Mini DisplayPort ou de connecteurs DVI (Digital Visual Interface) aux ports d’affichage à l’arrière de votre Mac Pro. Le port DVI constitue un port à double liaison ; vous pouvez ainsi y connecter un moniteur Apple Cinema HD Display de 30 pouces. Port de moniteur DVI Port Mini DisplayPort (2) Vous pouvez également connecter des moniteurs équipés d’un connecteur ADC (Apple Display Connector) ou VGA (Video Graphics Array) à l’aide d’un des adaptateurs suivants :  Pour connecter un moniteur VGA au port DVI ou à un port Mini DisplayPort, utilisez l’adaptateur moniteur DVI vers VGA ou l’adaptateur port Mini DisplayPort vers VGA (vendus séparément).  Pour brancher un moniteur ADC sur le port DVI, utilisez un adaptateur écran DVI vers ADC Apple (vendu séparément). Les sorties Mini DisplayPort assurent aussi bien la sortie vidéo que la sortie audio. Vous devez passer par le panneau Son situé dans les Préférences Système pour sélectionner l’appareil de sortie audio branché. Pour en savoir plus sur le branchement d’un équipement HDMI, recherchez le terme « HDMI » dans la page d’assistance Mac Pro à l’adresse www.apple.com/fr/support/macpro. Les adaptateurs écran et autres accessoires pour votre Mac Pro sont vendus séparément à l’adresse www.apple.com/fr/store.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 13 Étape 4 : Connectez un câble Ethernet. Pour accéder à Internet ou à un réseau par le biais d’un câble Ethernet, connectez l’extrémité du câble à l’un des ports Gigabit Ethernet situés à l’arrière de votre Mac Pro. Connectez l’autre extrémité à un modem câble, un modem DSL ou un réseau Ethernet. Ports Gigabit Ethernet14 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Étape 5 : Connectez le clavier et la souris. Si vous connectez un clavier ou une souris USB, connectez les câbles USB aux ports USB (d) situés sur votre Mac Pro ou votre écran. Clavier Souris Remarque : Vous pouvez configurer Mac OS X Lion Server à distance à partir d’un autre ordinateur. Pour en savoir plus, ouvrez l’application Serveur sur un autre ordinateur, puis choisissez Aide Serveur dans le menu Aide.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 15 Étape 6 : Allumez votre Mac Pro. Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) situé à l’avant de votre Mac Pro pour l’allumer. Si votre moniteur doit être allumé séparément, appuyez sur son bouton d’alimentation. Si vous avec connecté une souris, cliquez à l’aide de votre souris pour établir une connexion avec votre Mac Pro. Étape 7 : Configurez votre serveur Mac Pro à l’aide d’Assistant Serveur. La première fois que vous allumez votre Mac Pro avec Mac OS X Lion Server installé, l’Assistant Serveur vous demande des informations élémentaires dont Lion Server a besoin pour démarrer et se connecter au réseau. Soyez prêt à fournir les informations suivantes la première fois que vous allumez votre Mac Pro :  un nom de compte et un mot de passe ;  un nom d’organisation unique dans votre entreprise ;  un nom d’hôte pour le réseau local uniquement ou pour le réseau local et l’accès VPN à Internet, ou un nom d’hôte Internet acheté chez un revendeur de noms de domaine.  des réglages réseau détaillés dont une adresse IP, un masque de sous-réseau et des serveurs DNS. Les réglages réseau sont parfois fournis par votre routeur Internet ou par un serveur sur votre réseau. Si tel est le cas, il doit être configuré de façon à toujours fournir la même adresse IP à votre serveur (mappage statique ou réservation DHCP). Pour obtenir l’aide de l’Assistant Serveur, cliquez sur le bouton Aide dans une sous-fenêtre. Vous pouvez configurer Mac OS X Lion Server à distance à partir d’un autre ordinateur. Pour en savoir plus, ouvrez l’application Serveur sur un autre ordinateur, puis choisissez Aide Serveur dans le menu Aide. Pour en savoir plus sur le logiciel Mac OS X Lion Server, consultez le site web de Lion Server à l’adresse www.apple.com/fr/macosx/server.16 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Si vous avez déjà un Mac exécutant Mac OS X Server 10.5 ou ultérieur, l’Assistant Serveur peut vous aider à transférer automatiquement des réglages système, des réglages service, des comptes utilisateur, des fichiers, des applications et d’autres informations de votre ancien serveur Mac (tous les modèles) à votre Mac Pro. Utilisez une connexion Ethernet, FireWire ou sans fil pour transférer des informations. Pour en savoir plus sur l’utilisation de services avec Mac OS X Lion Server, ouvrez l’application Serveur, puis choisissez Aide Serveur dans le menu Aide. Personnalisez votre bureau et réglez vos préférences Vous pouvez facilement personnaliser l’aspect de votre bureau à l’aide des Préférences Système. Choisissez dans la barre des menus le menu Pomme () > Préférences Système, ou cliquez sur l’icône Préférences Système située dans le Dock. Préférences Système est le centre de commande de la plupart des réglages de votre Mac Pro. Pour en savoir plus, ouvrez le Centre d’aide et recherchez « Préférences Système » ou la préférence que vous souhaitez modifier. Remarque : Dans ce manuel, des instructions nécessitent un moniteur pour voir les commandes et les zones de dialogue. Si aucun moniteur ou clavier n’est connecté à votre Mac Pro, vous pouvez configurer Mac OS X Lion Server à distance à partir d’un autre ordinateur. Pour en savoir plus, ouvrez l’application Serveur sur un autre ordinateur, puis choisissez Aide Serveur dans le menu Aide.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 17 Vous avez besoin d’aide pour configurer votre ordinateur ? Si vous pensez que votre Mac Pro n’a pas démarré correctement, vérifiez les points suivants :  Votre Mac Pro est-il bien branché à une prise de courant ? S’il est connecté à une multiprise munie d’un interrupteur, est-elle allumée ?  Est-ce que le câble d’alimentation est bien branché à l’arrière de votre Mac Pro ?  Si vous avez connecté un clavier et un moniteur, les câbles sont-ils correctement connectés ?  Si vous avez connecté un moniteur, la luminosité et le contraste sont-ils correctement réglés ? Si l’écran dispose de commandes de luminosité, réglez-les. Si le moniteur dispose d’un bouton d’alimentation, vérifiez qu’il est allumé.  Si vous avez connecté un moniteur et ne voyez toujours rien à l’écran, redémarrez votre Mac Pro. Maintenez appuyé le bouton d’alimentation (®) de votre Mac Pro pendant 5 ou 6 secondes, jusqu’à ce qu’il s’éteigne. Rappuyez sur le bouton d’alimentation (®) pour redémarrer.  Si un point d’interrogation clignote à l’écran ou si le voyant d’état clignote plusieurs fois, reportez-vous au chapitre chapitre 4, « À tout problème sa solution » à la page 79.18 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Extinction de votre Mac Pro Si vous savez que vous n’allez pas utiliser votre Mac Pro pendant un certain temps, éteignez-le. Pour éteindre votre Mac Pro, procédez de l’une des façons suivantes :  Choisissez le menu Pomme () > Éteindre.  Appuyez sur les touches Contrôle et Éjecter, puis cliquez sur Éteindre dans la zone de dialogue qui apparaît. AVIS : N’éteignez pas votre Mac Pro en vous contentant d’appuyer sur son interrupteur ou en débranchant la fiche d’alimentation du Mac Pro (à moins que vous n’ayez plus d’autres moyens d’éteindre votre Mac Pro). Toute extinction incorrecte de votre Mac Pro risque d’endommager vos fichiers ou le logiciel système. AVIS : Éteignez votre Mac Pro avant de le déplacer. Tout déplacement de votre Mac Pro lorsque le disque dur est en train de tourner risque d’endommager ce dernier et d’entraîner une perte de données ou l’impossibilité de démarrer à partir du disque dur. Suspension de l’activité de votre Mac Pro Mac OS X Lion Server est normalement configuré pour empêcher votre Mac Pro de suspendre son activité, car sinon les utilisateurs ne peuvent pas se connecter aux services. Si cela est compatible avec les services fournis par votre Mac Pro, vous pouvez toutefois suspendre l’activité de votre Mac Pro à la demande, selon des réglages de temps.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 19 Pour suspendre l’activité de votre Mac Pro, procédez de l’une des manières suivantes :  Choisissez le menu Pomme () > « Suspendre l’activité » dans la barre des menus.  Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système, cliquez sur « Économiseur d’énergie », puis définissez un délai pour la suspension d’activité ou réglez les heures de suspension/d’activation. Pour réactiver le Mac Pro :  Appuyez sur n’importe quelle touche du clavier. À la réactivation de votre Mac Pro, vos applications, documents et réglages sont tels que vous les aviez laissés.Centre d’aide ports www.apple.com/fr/macpro Votre Mac Pro au quotidien 222 Chapitre 2 Votre Mac Pro au quotidien Éléments principaux se trouvant à l’avant de votre Mac Pro Lecteur optique Prise pour casque d’écoute Voyant d’état f ® Bouton d’alimentation Ports FireWire 800 (2) Deuxième lecteur optique (facultatif) Ports USB 2.0 (2)Chapitre 2 Votre Mac Pro au quotidien 23 Lecteur optique Votre Mac Pro est équipé d’un lecteur SuperDrive DVD±R DL/DVD±RW/CD-RW capable de lire les disques CD-ROM, CD de photos, disques audio et DVD. Le lecteur vous permet également de graver de la musique, des documents et d’autres fichiers sur des disques CD-R, CD-RW, DVD±R, DVD±RW et DVD±R double couche (DL). Pour ouvrir le lecteur, appuyez sur la touche d’éjection (C) située sur votre clavier Apple. Si votre Mac Pro est équipé d’un deuxième lecteur optique, appuyez sur les touches Option et Éjection (C) pour l’ouvrir. ® Bouton d’alimentation Appuyez sur ce bouton pour allumer votre Mac Pro. Pour redémarrer, maintenez ce bouton enfoncé pendant 5 ou 6 secondes jusqu’à l’extinction du Mac Pro, puis appuyez dessus une nouvelle fois pour le rallumer. H Deux ports FireWire 800 Connectez des périphériques externes à haute vitesse, comme des caméras vidéo numériques (DV), des scanners et des disques durs externes FireWire. Vous pouvez connecter et déconnecter les périphériques FireWire sans redémarrer. Chaque port prend en charge un débit de données pouvant atteindre 800 Mbit/s. d Deux ports USB 2.0 Connectez un iPod, un iPhone, un iPad, une souris, un clavier, une imprimante, un disque dur, un appareil photo numérique, un joystick, un modem USB externe ou autre dispositif. Vous pouvez aussi connecter des périphériques USB 1.1. Il est également possible que votre moniteur soit doté de ports USB. f Prise pour casque d’écoute Branchez un casque ou des écouteurs dotés d’un connecteur 3,5 mm standard. Voyant d’état Un témoin lumineux blanc indique que votre Mac Pro est allumé ; un témoin clignotant indique que son activité est suspendue. Pour obtenir des informations sur un voyant d’état clignotant, consultez la rubrique « Si le voyant d’état clignote et que l’ordinateur ne démarre pas » à la page 83.24 Chapitre 2 Votre Mac Pro au quotidien Ports et connecteurs situés à l’arrière de votre Mac Pro Prise d’alimentation Loquet de verrouillage Ports USB 2.0 (3) Ports FireWire 800 (2) G d ¥ H Ports Gigabit Ethernet (2)Chapitre 2 Votre Mac Pro au quotidien 25 Prise d’alimentation Connectez le câble d’alimentation fourni avec votre Mac Pro. N’utilisez pas de cordon d’alimentation ou de cordon d’extension normal. ¥ Loquet de verrouillage Soulevez le loquet pour ouvrir le panneau latéral et accéder aux éléments internes du Mac Pro. Si vous manipulez des éléments à l’intérieur de votre Mac Pro et que le loquet est abaissé, les disques durs sont verrouillés dans leur emplacement. Il est possible de placer un verrou (non fourni) sur ce loquet pour empêcher l’accès aux éléments internes et les sécuriser. Il est également possible de fixer un câble de sûreté au loquet ou de le passer à travers les poignées afin de protéger votre Mac Pro. d Trois ports USB 2.0 Connectez un iPod, un iPhone, un iPad, une souris, un clavier, une imprimante, un disque dur, un appareil photo numérique, un joystick, un modem USB externe ou autre dispositif. Vous pouvez aussi connecter des périphériques USB 1.1. Il est également possible que votre moniteur soit doté de ports USB. H Deux ports FireWire 800 Connectez des périphériques externes à haute vitesse, comme des caméras vidéo numériques (DV), des scanners et des disques durs externes FireWire. Vous pouvez connecter et déconnecter les périphériques FireWire sans redémarrer. Chaque port prend en charge un débit de données pouvant atteindre 800 Mbit/s. G Deux ports Gigabit Ethernet avec prise en charge de cadre de grande taille Connectez un réseau Ethernet haut débit, un modem câble ou DSL ou encore un autre ordinateur. Le port Ethernet détecte automatiquement les périphériques Ethernet sans avoir besoin de câble croisé Ethernet. Vous pouvez accéder à Internet ou des ressources réseau comme des imprimantes et serveurs et partager des informations sur le réseau en utilisant un câble catégorie 5.26 Chapitre 2 Votre Mac Pro au quotidien Autres ports et connecteurs à l’arrière Logements d’extension PCI Express Port Mini DisplayPort (2) - , Port optique de sortie audio numérique Port d’entrée audio analogique Port de sortie audio analogique Port optique d’entrée audio numérique Port de moniteur DVI £ £Chapitre 2 Votre Mac Pro au quotidien 27 Logements d’extension PCI Express (3) Étendez les capacités de votre Mac Pro en installant jusqu’à 3 cartes PCI (Peripheral Component Interconnect) Express dans les logements couverts numérotés 2, 3 et 4. £ Ports de sortie Mini DisplayPort Connectez un ou deux écrans qui utilisent un connecteur Mini DisplayPort, comme un moniteur Apple LED Cinema Display. Les sorties Mini DisplayPort assurent aussi bien la sortie vidéo que la sortie audio. Vous pouvez utiliser des adaptateurs pour relier votre ordinateur par ses ports de sortie Mini DisplayPort à des appareils tels que des HDTV et des récepteurs AV, pour la sortie audio. Vous trouverez des adaptateurs de moniteur pour votre Mac Pro sur l’Apple Store en ligne à l’adresse www.apple.com/fr/store. £ Port moniteur DVI (à double liaison) Connectez un écran utilisant un connecteur DVI (Digital Visual Interface), comme un moniteur Apple LED Cinema Display, sur le port de moniteur DVI. Vous trouverez des adaptateurs de moniteur pour votre Mac Pro sur l’Apple Store en ligne à l’adresse www.apple.com/fr/store. Ports d’entrée et de sortie audio numériques optiques Connectez platines, récepteurs, instruments numériques et chaînes Surround à l’aide de câbles TOSLINK standard ou fibre optique avec des prises optiques en plastique ou nylon de 3,5 mm. Vous pouvez transférer de l’audio stéréo ou encodée en Surround avec le protocole S/PDIF (Sony/Philips Digital Interface) et des câbles TOSLINK. , Port d’entrée audio analogique Connectez microphones auto-alimentés, lecteurs MP3 et CD et autres périphériques à capacité analogique. - Port de sortie audio analogique Connectez des haut-parleurs auto-alimentés et d’autres périphériques analogiques.28 Chapitre 2 Votre Mac Pro au quotidien Options d’extension interne Supports de disque dur (4) Support de lecteur optique Logement 1 : carte graphique PCI Express à double largeur (installée) Logements de mémoire (4 ou 8 logements selon le modèle) Logements 2 à 4 : PCI Express Pile (derrière la carte graphique)Chapitre 2 Votre Mac Pro au quotidien 29 Lecteurs optiques Votre Mac Pro est fourni avec un ou deux lecteurs SuperDrive DVD±R DL/DVD±RW/CDRW. Pour remplacer un lecteur optique, consultez la rubrique « Remplacement du lecteur optique » à la page 66. Disques durs ou lecteurs SSD Votre Mac Pro renferme au maximum quatre lecteurs. Pour installer ou remplacer des lecteurs, consultez la rubrique « Installation d’unités de stockage internes » à la page 58. Logements PCI Express Votre Mac Pro est doté de trois logements d’extension PCI Express. Pour installer des cartes PCI dans les logements 2 à 4, consultez la rubrique « À propos des cartes PCI Express » à la page 72. Pile Votre Mac Pro utilise une pile interne de secours. Si votre Mac Pro a des problèmes au démarrage ou que la date et l’heure du système sont souvent incorrectes, vous devrez peut-être remplacer la pile. Consultez la section « Remplacement de la pile de secours interne » à la page 77. Logement graphique PCI Express à double largeur Connectez jusqu’à deux moniteurs à la carte graphique insérée dans le logement graphique PCI Express (logement 1). Vous pouvez remplacer la carte qui se trouve dans ce logement et installer des cartes graphiques supplémentaires dans les logements PCI 2 à 4. Consultez la section « À propos des cartes PCI Express » à la page 72. Logements mémoire Votre Mac Pro comprend quatre ou huit ports d’extension mémoire, suivant le modèle. Pour rajouter de la mémoire, installez des modules UDIMM SRDRAM ECC de type PC3- 10600E cadencés à 1 333 MHz dans les logements prévus à cet effet. Pour en savoir plus sur le type de mémoire utilisé dans votre Mac Pro, consultez la rubrique « Installation de la mémoire » à la page 39.30 Chapitre 2 Votre Mac Pro au quotidien Comment obtenir des réponses Vous trouverez de plus amples informations sur l’utilisation de votre Mac Pro dans le Centre d’aide et sur Internet à l’adresse www.apple.com/fr/support/macpro. Pour ouvrir le Centre d’aide : 1 Cliquez sur l’icône du Finder dans le Dock (la barre des icônes située au bord de l’écran). 2 Cliquez sur le menu Aide dans la barre des menus et procédez de l’une des manières suivantes :  Saisissez une question ou un terme dans le champ de recherche et choisissez une rubrique dans la liste des résultats ou choisissez Afficher tous les résultats pour voir tous les articles.  Choisissez Centre d’aide pour ouvrir la fenêtre du Centre d’aide, dans laquelle vous pouvez naviguer ou chercher des rubriques. Informations supplémentaires Pour plus de renseignements sur l’utilisation de votre Mac Pro, consultez les sections suivantes :. Pour obtenir des informations sur : Reportez-vous aux sources suivantes : Installation de disques, mémoire, cartes d’extension ou d’une pile Chapitre 3, « Améliorations possibles » à la page 33. Dépannage de votre Mac Pro si vous rencontrez un problème Chapitre 4, « À tout problème sa solution » à la page 79.Chapitre 2 Votre Mac Pro au quotidien 31 Pour obtenir des informations sur : Reportez-vous aux sources suivantes : Service et l’assistance technique pour votre Mac Pro « En savoir plus,service et assistance technique » à la page 98. Site web d’assistance Mac Pro à l’adresse www.apple.com/fr/support/ macpro. Utilisation de Mac OS X Lion Server Site web de Lion Server à l’adresse www.apple.com/fr/macosx/ server. Ou bien, ouvrez l’application Serveur, puis choisissez Aide Serveur dans le menu Aide. Migration depuis un PC vers un Mac « Pourquoi un Mac » à l’adresse www.apple.com/fr/getamac/ whymac. Modification des Préférences Système Préférences Système, accessibles en choisissant le menu Pomme (K) > Préférences Système. Vous pouvez également rechercher « préférences système » dans le Centre d’aide. Utilisation de la souris ou du clavier Préférences Système et choisissez Clavier et souris. Vous pouvez également ouvrir le Centre d’aide et effectuer une recherche sur « souris » ou « clavier ». Utilisation de la technologie sans fil AirPort Extreme Page web d’assistance AirPort à l’adresse www.apple.com/fr/ support/airport. Vous pouvez également ouvrir le Centre d’aide et rechercher le terme « AirPort ». Utilisation de la technologie sans fil Bluetooth® Page web d’assistance Bluetooth à l’adresse www.apple.com/ fr/support/bluetooth. Vous pouvez également ouvrir le Centre d’aide et rechercher le terme « Bluetooth ». Connexion d’une imprimante Recherchez « impression » dans le Centre d’aide. Connexions FireWire et USB Recherchez « FireWire » ou « USB » dans le Centre d’aide Connexion à Internet Recherchez « Internet » dans le Centre d’aide. Utilisation d’un moniteur Recherchez « port affichage » dans le Centre d’aide. Gravure d’un CD ou DVD Recherchez « graver disque » dans le Centre d’aide.32 Chapitre 2 Votre Mac Pro au quotidien Pour obtenir des informations sur : Reportez-vous aux sources suivantes : Mac ProSpécifications Chapitre 5, « Sousle capot » à la page 103. La page web concernant les caractéristiques Mac Pro, à l’adresse www.apple.com/fr/ macpro/specs.html. Vous pouvez également ouvrir Informations Système (dans le dossier Utilitaires de Launchpad), puis cliquer sur Plus d’infos. Actualités Apple, téléchargements gratuits et catalogues en ligne Site web d’Apple à l’adresse www.apple.com/fr. Instructions, assistance technique et manuels des produits Site web d’assistance Apple à l’adresse www.apple.com/fr/support.Centre d’aide RAM www.apple.com/fr/store Améliorations possibles 334 Chapitre 3 Améliorations possibles Utilisez les informations de ce chapitre pour personnaliser et étendre votre Mac Pro afin qu’il réponde parfaitement à vos besoins. Vous trouverez des informations sur des procédures importantes dans les sections suivantes :  « Ouverture de votre Mac Pro » à la page 35  « Installation de la mémoire » à la page 39  « Installation d’unités de stockage internes » à la page 58  « Ajout de cartes PCI Express » à la page 72  « Remplacement de la pile de secours interne » à la page 77 AVERTISSEMENT : Apple recommande de faire appel à un technicien agréé Apple pour l’installation de barrettes de mémoire, de cartes d’extension PCI Express et d’unités de stockage internes. Pour contacter un Centre de maintenance agréé Apple ou Apple pour obtenir un service, consultez la section « En savoir plus, service et assistance technique » à la page 98. Tout dommage causé à votre matériel en installant vous-même ces éléments n’est pas couvert par la garantie limitée de votre ordinateur. Adressez-vous à un revendeur agréé Apple ou à un Centre de Maintenance Agréé Apple pour toute information complémentaire relative à la garantie.Chapitre 3 Améliorations possibles 35 Ouverture de votre Mac Pro 1 Avant d’ouvrir votre Mac Pro, éteignez-le en choisissant le menu Pomme () > Éteindre. AVIS : Veillez à toujours éteindre votre Mac Pro avant de l’ouvrir pour éviter d’endommager ses composants internes ou les composants à installer. N’ouvrez pas votre Mac Pro et n’essayez pas d’installer quoi que ce soit à l’intérieur lorsqu’il est branché. 2 Attendez 5 à 10 minutes pour permettre aux composants internes de votre Mac Pro de refroidir. AVERTISSEMENT : Laissez votre Mac Pro refroidir avant de toucher aux composants internes, car ces derniers pourraient être très chauds.36 Chapitre 3 Améliorations possibles 3 Touchez le châssis extérieur en métal de votre Mac Pro pour vous décharger de toute électricité statique. AVIS : Déchargez-vous toujours de votre électricité statique avant de toucher des pièces ou d’installer des composants dans votre Mac Pro. Pour éviter de générer de l’électricité statique, ne vous déplacez pas dans la pièce avant d’avoir achevé l’installation de la carte, de la mémoire ou du dispositif de stockage interne et d’avoir remis en place le panneau latéral. Touchez la paroi métallique pour ôter la charge électrostatique.Chapitre 3 Améliorations possibles 37 4 Débranchez tous les câbles et le câble d’alimentation de votre Mac Pro. AVERTISSEMENT : Débranchez toujours votre Mac Pro pour éviter d’endommager ses composants internes ou ceux que vous souhaitez installer. N’essayez pas d’y installer des composants lorsqu’il est branché. 5 Tenez le panneau latéral et soulevez le loquet situé à l’arrière.38 Chapitre 3 Améliorations possibles 6 Retirez le panneau latéral en retirant le haut de votre Mac Pro et en soulevant le panneau latéral. Important : Lorsque vous ôtez le panneau latéral, tenez-le fermement.Chapitre 3 Améliorations possibles 39 Installation de la mémoire Votre Mac Pro est livré avec au moins 8 Go de mémoire dans le cas du modèle simple processeur répartie en modules UDIMM ECC de 2 Go chacun. Toutes les barrettes UDIMM doivent être conformes aux spécifications suivantes :  Mémoire UDIMM SDRAM DDR3 PC3-10600E cadencée à 1 333 MHz  Code de correction d’erreur (ECC)  Modules ECC 240 broches 72 bits  36 IC maximum par mémoire UDIMM ECC AVIS : Apple recommande d’utiliser des barrettes DIMM approuvées par Apple. Les modules DIMM provenant d’anciens ordinateurs Mac ne peuvent pas être utilisés dans votre Mac Pro. Vous pouvez acheter de la mémoire de marque Apple dans l’Apple Store en ligne à l’adresse www.apple.com/fr/store. Lorsque vous achetez des DIMM destinés à un ordinateur Mac, assurez-vous que le fournisseur respecte bien la spécification JEDEC (Joint Electron Device Engineering Council). Vérifiez avec le fournisseur que les DIMM prennent bien en charge les bons modes de minutage et que la fonctionnalité Serial Presence Detect (SPD) a été programmée correctement comme décrit dans la spécification JEDEC. Remarque : Bien que le débit de données des modèles UDIMM soit de 1 333 MHz, celles-ci fonctionnent à 1 066 MHz ou à 1 333 MHz selon le processeur de l’ordinateur.40 Chapitre 3 Améliorations possibles Avant de mettre en place de la mémoire, informez-vous pour savoir si vous possédez un Mac Pro uniprocesseur ou biprocesseur. Retirez le panneau latéral en suivant les instructions de la rubrique « Ouverture de votre Mac Pro » à la page 35 pour avoir accès à l’intérieur :  Un Mac Pro quadruple cœur ou sextuple cœur possède un processeur et quatre logements de mémoire. Il est possible d’installer jusqu’à 16 Go de mémoire. Consultez la section « Installation de mémoire sur un Mac Pro quadruple ou sextuple cœur » à la page 42.  Un Mac Pro octuple ou duodécuple cœur possède deux processeurs et huit logements de mémoire. Il vous est possible d’installer jusqu’à 32 Go de mémoire. Consultez la section « Installation de mémoire sur un Mac Pro octuple ou duodécuple cœur » à la page 51.Chapitre 3 Améliorations possibles 41 Un processeur Deux processeurs Vous pouvez également déterminer le modèle de votre Mac Pro en choisissant, dans la barre des menus, le menu Pomme () > À propos de ce Mac. Cliquez sur Plus d’infos, choisissez dans la liste Contenu la rubrique Matériel, puis à droite dans Informations matériel, retrouvez le Nombre de processeurs. Les Mac Pro à quatre et six cœurs possèdent un processeur tandis que les Mac Pro à huit et douze cœurs disposent de deux processeurs.42 Chapitre 3 Améliorations possibles Installation de mémoire sur un Mac Pro quadruple ou sextuple cœur Le Mac Pro quadruple et sextuple cœur possède quatre logements de mémoire avec un minimum de quatre modules DIMM de 2 Go chacun. Vous avez la possibilité de changer ou d’installer des modules DIMM supplémentaires de 1 Go, de 2 Go ou 4 Go, pouvant totaliser jusqu’à 16 Go de mémoire. Il est primordial que tous les modules DIMM installés sur votre Mac Pro répondent aux spécifications. Suivez les instructions ci-après pour mettre en place des modules DIMM dans un Mac Pro quadruple ou sextuple cœur. Pour installer de la mémoire : 1 Éteignez votre Mac Pro, ouvrez-le et retirez le panneau latéral en suivant les instructions de la rubrique « Ouverture de votre Mac Pro » à la page 35. AVERTISSEMENT : Laissez refroidir votre Mac Pro pendant 5 à 10 minutes avant de toucher les composants internes ou de retirer le bloc processeur. Les éléments risquent effectivement d’être très chauds.Chapitre 3 Améliorations possibles 43 2 Poussez les loquets sur le processeur pour les ouvrir partiellement. Loquets44 Chapitre 3 Améliorations possibles 3 Tirez dessus pour les ouvrir complètement afin de libérer le bloc processeur.Chapitre 3 Améliorations possibles 45 4 Retirez le bloc processeur et posez-le sur un tissu doux et propre sur votre bureau ou plan de travail pour le protéger et évitez de gratter la surface de travail. Bloc processeur46 Chapitre 3 Améliorations possibles Si vous mettez en place des modules DIMM de taille égale (par exemple, tous les modules DIMM sont chacun de 1 Go ou de 2 Go) dans votre Mac Pro quadruple ou sextuple cœur, Apple vous conseille de remplir les logements dans l’ordre indiqué dans le tableau. Logement 4 Logement 3 Logement 2 Logement 1 Si vous avez Utilisez ces logements Deux modules DIMM 1 et 2 Trois modules DIMM 1, 2 et 3 Quatre modules DIMM 1, 2, 3 et 4 (tous) Remarque : Si vous installez des modules DIMM de tailles différentes sur votre Mac Pro, suivez l’ordre indiqué dans le tableau. Si la configuration des modules DIMM installés ne vous procure pas des performances optimales, l’utilitaire Logement mémoire apparaît à l’écran pour vous recommander une meilleure configuration. Pour réutiliser l’utilitaire, allez à l’emplacement /Système/Bibliothèque/CoreServices/ Utilitaire d’emplacement de mémoire.Chapitre 3 Améliorations possibles 47 5 Utilisez les boutons d’éjection des logements de module DIMM 1, 2 et 3 et poussez-les vers l’extérieur, sur les côtés. Retirez ensuite les modules DIMM des logements. 6 Installez les modules DIMM en les alignant dans les logements et en appuyant dessus, vers le bas jusqu’à ce que les pattes soient à la verticale et que les boutons d’éjection prennent leur place. AVIS : Pour ne pas endommager les modules DIMM, maintenez-les par les coins et ne touchez pas les connecteurs dorés ou d’autres composants. Connecteurs Encoche Boutons d’éjection48 Chapitre 3 Améliorations possibles 7 Réinstallez le bloc processeur en le poussant vers l’intérieur jusqu’à ce que les loquets soient à 90 degrés. Bloc processeur Loquet 8 Appuyez sur les loquets jusqu’au bout pour les fermer et mettre en place le bloc processeur.Chapitre 3 Améliorations possibles 49 9 Remettez le panneau latéral en place. Lorsque vous remettez en place le panneau latéral, vérifiez que le loquet est bien relevé. Tenez le panneau latéral fermement pour qu’il ne bouge pas lorsque vous abaisserez le loquet. Mettez le panneau latéral dans le logement puis appuyez pour fermer. AVIS : Remettez toujours en place le panneau latéral après avoir installé les composants. Dans le cas contraire, votre Mac Pro ne peut pas fonctionner correctement.50 Chapitre 3 Améliorations possibles 10 Maintenez le panneau latéral contre votre Mac Pro et poussez le loquet vers le bas pour fixer le panneau latéral. Vous pouvez attacher un cadenas ou faire passer un câble au travers de la boucle métallique (située sous le loquet) pour sécuriser votre Mac Pro. Renvoyez la boucle en métal vers le bas avant de refermer le loquet, fermez ce dernier, puis attachez-y le cadenas ou le câble à travers la boucle étendue.Chapitre 3 Améliorations possibles 51 Installation de mémoire sur un Mac Pro octuple ou duodécuple cœur Le Mac Pro octuple et duodecuple cœur est doté de huit logements pour la mémoire et en général d’au moins quatre modules DIMM de 2 Go. Il vous est possible d’installer jusqu’à 32 Go de mémoire. Il est primordial que tous les modules DIMM installés sur votre Mac Pro répondent aux spécifications. Suivez les instructions ci-après pour mettre en place des modules DIMM dans un Mac Pro octuple ou duodécuple cœur. Pour installer de la mémoire dans un Mac Pro biprocesseur : 1 Éteignez votre Mac Pro, ouvrez-le et retirez le panneau latéral en suivant les instructions de la rubrique « Ouverture de votre Mac Pro » à la page 35. AVERTISSEMENT : Laissez refroidir votre Mac Pro pendant 5 à 10 minutes avant de toucher les composants internes ou de retirer le bloc processeur. Les éléments risquent effectivement d’être très chauds.52 Chapitre 3 Améliorations possibles 2 Poussez les loquets sur l’assise du processeur pour les ouvrir légèrement. LoquetsChapitre 3 Améliorations possibles 53 3 Tirez dessus pour les ouvrir complètement afin de libérer le bloc processeur.54 Chapitre 3 Améliorations possibles 4 Retirez le bloc processeur et posez-le sur un tissu doux et propre sur votre bureau ou plan de travail pour le protéger et évitez de gratter la surface de travail. Bloc processeurChapitre 3 Améliorations possibles 55 Si vous mettez en place des modules DIMM de taille égale (par exemple, tous les modules DIMM étant de 1 Go ou de 2 Go, uniformément) dans votre Mac Pro octuple ou duodécuple cœur, Apple vous conseille de remplir les logements dans l’ordre indiqué dans le tableau. Logement 4 Logement 3 Logement 2 Logement 1 Logement 5 Logement 6 Logement 7 Logement 8 Si vous avez Utilisez ces logements Deux modules DIMM 1 et 2 Trois modules DIMM 1, 2 et 3 Quatre modules DIMM 1, 2 et 5, 6 Six modules DIMM 1, 2, 3 et 5, 6, 7 Huit modules DIMM 1, 2, 3, 4 et 5, 6, 7, 8 (tous)56 Chapitre 3 Améliorations possibles Remarque : Si vous installez des modules DIMM de tailles différentes sur votre Mac Pro, suivez l’ordre indiqué dans le tableau. Si la configuration des modules DIMM installés ne vous procure pas des performances optimales, Utilitaire d’emplacement de mémoire apparaît à l’écran pour vous recommander une meilleure configuration. Pour réutiliser l’utilitaire, allez à l’emplacement /Système/Bibliothèque/CoreServices/ Utilitaire d’emplacement de mémoire. 5 Installez les modules DIMM en les alignant dans les logements et en appuyant dessus, vers le bas jusqu’à ce que les pattes soient à la verticale et que les boutons d’éjection prennent leur place. AVIS : Pour ne pas endommager les modules DIMM, maintenez-les par les coins et ne touchez pas les connecteurs dorés ou d’autres composants. Connecteurs Encoche Boutons d’éjectionChapitre 3 Améliorations possibles 57 6 Réinstallez le bloc processeur en le poussant vers l’intérieur jusqu’à ce que les loquets soient à 90 degrés. 7 Appuyez sur les loquets jusqu’au bout pour les fermer et mettre en place le bloc processeur. Bloc processeur Loquet 8 Replacez le panneau latéral en suivant les instructions indiquées à la page 49. AVIS : Remettez toujours en place le panneau latéral après avoir installé les composants. Dans le cas contraire, votre Mac Pro ne peut pas fonctionner correctement.58 Chapitre 3 Améliorations possibles Installation d’unités de stockage internes Votre Mac Pro dispose d’emplacements pour six lecteurs internes : deux lecteurs optiques et quatre disques durs ou disques SSD. Dans la plupart des configurations, un seul lecteur occupe la première baie et un lecteur optique est installé dans la baie supérieure de lecteur optique. Vous pouvez ajouter jusqu’à trois disques durs Serial ATA (SATA) de 3,5 pouces sans câble dans les baies à lecteurs vides. Les disques durs doivent respecter les spécifications suivantes :  Type : SATA 3 Gb/s  Largeur : 102 mm  Profondeur : 147 mm  Hauteur : 25,4 mm Vous pouvez ajouter jusqu’à trois lecteurs SSD de 2,5 pouces dans les baies à lecteurs vides. Les disques durs doivent respecter les spécifications suivantes :  Type : SATA 3 Gb/s  Largeur : 63,5 mm Les lecteurs SSD sont livrés avec un adaptateur s’insérant parfaitement dans les baies à lecteurs de 3,5 pouces. Pour en savoir plus sur la configuration requise ou les périphériques pris en charge, rendez-vous chez un revendeur agréé Apple, sur l’Apple Store à l’adresse www.apple.com/ fr/store ou sur le site d’assistance Mac Pro à l’adresse www.apple.com/fr/support/macpro.Chapitre 3 Améliorations possibles 59 Installation de disques durs SATA Votre Mac Pro peut héberger jusqu’à quatre disques durs internes SATA de 1 po dans les baies à lecteurs. Si votre Mac Pro est fourni avec un seul disque dur installé, lequel se trouve dans la première baie à lecteur. Vous pouvez installer des disques durs dans la deuxième, la troisième et la quatrième baie. Pour installer un disque dur : 1 Ouvrez votre Mac Pro et retirez le panneau latéral en suivant les instructions de la rubrique « Ouverture de votre Mac Pro » à la page 35. 2 Levez le loquet pour déverrouiller les supports de lecteur. Remarque : Une fois le loquet abaissé, les supports sont verrouillés dans les baies à lecteurs et ne peuvent pas être retirés. 3 Sortez le support de la baie à lecteur. Support de disque dur60 Chapitre 3 Améliorations possibles 4 Placez le support au-dessus du disque dur avec les connecteurs placés à l’arrière. 5 Utilisez les quatre vis du support pour fixer le disque dur au support. AVIS : Prenez le disque dur par les côtés. Ne touchez pas la carte à circuit imprimé, car cela pourrait endommager le disque. ConnecteursChapitre 3 Améliorations possibles 61 6 Soulevez le loquet et faites glisser le support sur les guides dans la baie jusqu’à ce qu’il entre en contact avec les connecteurs du disque et qu’il adopte son assise dans la baie. Connecteurs de disque dur 7 Replacez le panneau latéral en suivant les instructions indiquées à la page 49. AVIS : Remettez toujours en place le panneau latéral après avoir installé les composants. Dans le cas contraire, votre Mac Pro ne peut pas fonctionner correctement.62 Chapitre 3 Améliorations possibles Installation d’un lecteur SSD Votre Mac Pro peut héberger jusqu’à quatre lecteurs SSD internes de 2,5 po dans les baies à lecteurs. Si votre Mac Pro est fourni avec un seul disque dur installé, celui-ci se trouve dans la première baie de disque dur. Vous pouvez installer des disques durs dans la deuxième, la troisième et la quatrième baie. Pour installer un lecteur SSD : 1 Ouvrez votre Mac Pro et retirez le panneau latéral en suivant les instructions de la rubrique « Ouverture de votre Mac Pro » à la page 35. 2 Levez le loquet pour déverrouiller les supports de lecteur. Remarque : Une fois le loquet abaissé, les supports sont verrouillés dans les baies à lecteurs et ne peuvent pas être retirés. 3 Sortez le support de la baie à lecteur.Chapitre 3 Améliorations possibles 63 Support de disque dur 4 Retirez les deux vis du support du lecteur comme indiqué. Fixez l’adaptateur SSD au support à l’aide des deux vis restantes. Serrez les deux vis que vous avez conservées après les avoir retirées.64 Chapitre 3 Améliorations possibles Connecteurs Crochets Vis non utilisées (2) Vis 5 Alignez le support du lecteur sur l’adaptateur SSD avec les connecteurs de lecteur à l’arrière, tel qu’illustré. Insérez les deux crochets situés sur la partie supérieure de l’adaptateur dans les orifices du support. Serrez les deux vis au-dessus du support pour fixer la fermeture SSD sur le support.Chapitre 3 Améliorations possibles 65 6 Soulevez le loquet et faites glisser le support sur les guides dans la baie jusqu’à ce qu’il entre en contact avec les connecteurs du disque et qu’il adopte son assise dans la baie. Connecteurs de disque dur 7 Replacez le panneau latéral en suivant les instructions indiquées à la page 49. AVIS : Remettez toujours en place le panneau latéral après avoir installé les composants. Dans le cas contraire, votre Mac Pro ne peut pas fonctionner correctement.66 Chapitre 3 Améliorations possibles Remplacement du lecteur optique Votre Mac Pro est fourni avec un ou deux lecteurs SuperDrive installés dans les baies de lecteur optique. Suivez ces instructions pour remplacer un lecteur optique. Remarque : Contactez le fabricant du lecteur ou consultez le site web du fabricant pour déterminer si votre lecteur est réglé sur le mode de sélection de câble. Avant d’installer un lecteur, réglez celui-ci sur le mode de sélection par câble si cela n’a pas été fait par le fabricant. Pour remplacer le lecteur optique : 1 Ouvrez votre Mac Pro et retirez le panneau latéral en suivant les instructions de la rubrique « Ouverture de votre Mac Pro » à la page 35. 2 Levez le loquet pour déverrouiller les supports de lecteur optique. Une fois le loquet abaissé, les lecteurs et supports sont verrouillés dans les baies à lecteurs optiques et ne peuvent pas être retirés.Chapitre 3 Améliorations possibles 67 3 Sortez le support hors de la baie à lecteur optique jusqu’à sa moitié.68 Chapitre 3 Améliorations possibles 4 Déconnectez le câble du lecteur optique et retirez le support de la baie pour disque. AVIS : Lorsque vous installez ou remplacez des lecteurs optiques, utilisez les câbles Apple d’origine fournis avec votre Mac Pro.Chapitre 3 Améliorations possibles 69 5 Retirez le lecteur optique du support en dévissant les quatre vis de fixation. 6 Utilisez les quatre vis imperdables du lecteur optique d’origine pour fixer le lecteur de remplacement au support.70 Chapitre 3 Améliorations possibles 7 Faites glisser le lecteur optique et le support sur les guides et insérez-les partiellement dans la baie à lecteur optique. 8 Attachez le câble à l’arrière du lecteur optique. Connecteur intermédiaire du câble d'alimentation Connecteur de l'extrémité du câble platChapitre 3 Améliorations possibles 71 9 Soulevez le loquet et faites glisser le support dans la baie à lecteur optique en le poussant jusqu’à sa position finale. 10 Replacez le panneau latéral en suivant les instructions indiquées à la page 49. AVIS : Remettez toujours en place le panneau latéral après avoir installé les composants. Dans le cas contraire, votre Mac Pro ne peut pas fonctionner correctement.72 Chapitre 3 Améliorations possibles Ajout de cartes PCI Express Vous pouvez augmenter les capacités de votre Mac Pro en installant des cartes dans les logements PCI (Peripheral Component Interconnect) Express. Votre Mac Pro dispose d’un logement graphique PCI Express à double largeur et de trois logements d’extension PCI Express, soit quatre logements au total. Ces logements acceptent des cartes graphiques PCI Express et des cartes d’extension. À propos des cartes PCI Express Votre Mac Pro est fourni avec une carte graphique PCI Express hautes performances, qui contient le processeur graphique et fournit les ports destinés à connecter l’écran de l’ordinateur. La carte graphique est installée dans le logement 1. Vous pouvez installer des cartes graphiques et d’extension PCI Express supplémentaires. Avant d’installer une carte, vérifiez-en les spécifications pour vous assurer qu’elle puisse fonctionner sur votre Mac Pro :  Les logements 1 et 2 sont des logements PCI Express 2.0 x16  Les logements 3 et 4 sont des logements PCI Express 2.0 x4 Les quatre logements sont compatibles avec les cartes 16 voies AVIS : La consommation de courant combinée des quatre logements PCI Express ne doit pas dépasser 300 watts (W).Chapitre 3 Améliorations possibles 73 Pour installer une carte PCI Express : 1 Ouvrez votre Mac Pro et retirez le panneau latéral en suivant les instructions de la rubrique « Ouverture de votre Mac Pro » à la page 35. AVERTISSEMENT : Veillez à toujours éteindre puis débrancher votre Mac Pro pour éviter d’endommager ses composants internes ou ceux que vous souhaitez installer. N’essayez pas d’y installer des composants lorsqu’il est branché. Laissez refroidir votre Mac Pro pendant 5 à 10 minutes avant de toucher les composants internes qui pourraient être très chauds. 2 Dévissez les vis imperdables du support PCI puis enlevez le support. Cache d’accès aux ports Support PCI 3 Enlevez le cache d’accès aux ports du logement où vous souhaitez installer la carte.74 Chapitre 3 Améliorations possibles 4 Appuyez sur le bouton du curseur PCI et déplacez le curseur vers la gauche pour déplacer la barre de rétention. Curseur PCI Bouton Barre de rétention 5 Enlevez la nouvelle carte de son sachet antistatique et tenez-la par les coins. Ne touchez pas les connecteurs dorés ou les composants de la carte. Si vous procédez à l’installation d’une carte PCI complète Il peut s’avérer plus simple d’installer une carte PCI si vous retirez les disques durs et supports (voir page 59), ainsi que les cartes adjacentes. Assurez-vous que l’extrémité de la carte pénètre bien dans les bons guides de carte avant d’aligner la carte avec le logement PCI et de terminer l’installation.Chapitre 3 Améliorations possibles 75 6 Alignez le connecteur de la carte sur le logement d’extension, puis enfoncez la carte dans le logement. Curseur PCI Crochet d’arrimage Barre de rétention Logement PCI Express 7 Appuyez délicatement, mais fermement sur la carte jusqu’à ce que le connecteur soit complètement enclenché. Appuyez seulement sur les parties vides de la carte pour éviter d’endommager les composants. N’enfoncez pas la carte dans le logement en exerçant des pressions successives sur ses côtés ou en forçant. Si vous rencontrez une résistance, vérifiez si le connecteur et le logement sont endommagés ou obstrués, puis essayez à nouveau. 8 Tirez légèrement sur la carte pour vous assurer qu’elle est correctement connectée. Si elle reste en place et que ses connecteurs dorés sont à peine visibles, la carte est connectée. 9 Déplacez le curseur PCI vers la droite pour enclencher.76 Chapitre 3 Améliorations possibles 10 Remettez en place le support PCI sous l’attache puis serrez les vis pour maintenir la carte en place. AVIS : Si vous retirez une carte sans en installer une autre, recouvrez le logement vide au moyen d’un cache d’accès aux ports pour éviter que des corps étrangers ne pénètrent dans le boîtier. Un logement non couvert peut modifier la circulation d’air qui refroidit les composants internes de l’ordinateur et causer des dommages. Attache Support PCI 11 Replacez le panneau latéral en suivant les instructions indiquées à la page 49. AVIS : Remettez toujours en place le panneau latéral après avoir installé les composants. Dans le cas contraire, votre Mac Pro ne peut pas fonctionner correctement.Chapitre 3 Améliorations possibles 77 Remplacement de la pile de secours interne Le Mac Pro utilise une pile au lithium BR 2032 qui permet de stocker certains réglages, comme l’heure et la date, quand le Mac Pro est éteint. Si vous remarquez des problèmes intermittents au démarrage de votre Mac Pro ou des modifications dans les réglages de date et heure, changez la pile. Important : Jetez la pile usagée en respectant les lois environnementales locales. Pour remettre la pile en place : 1 Ouvrez votre Mac Pro et retirez le panneau latéral en suivant les instructions de la rubrique « Ouverture de votre Mac Pro » à la page 35. 2 Retirez toute carte PCI Express qui bloquerait l’accès à la pile. Consultez la rubrique « Ajout de cartes PCI Express » à la page 72 pour obtenir des instructions. 3 Retirez l’ancienne pile de son compartiment. AVERTISSEMENT : L’installation incorrecte de la pile peut provoquer une explosion. Utilisez uniquement une pile de type identique ou une pile équivalente recommandée par le fabricant de la pile d’origine.78 Chapitre 3 Améliorations possibles 4 Insérez la nouvelle pile dans son compartiment, son côté positif (+) tourné vers l’extérieur. 5 Replacez les cartes PCI Express que vous avez retirées (reportez-vous à la rubrique « Ajout de cartes PCI Express » à la page 72). 6 Replacez le panneau latéral et poussez le loquet vers le bas pour le verrouiller.Centre d’aide aide www.apple.com/fr/support À tout problème sa solution 480 Chapitre 4 À tout problème sa solution Vous pouvez parfois rencontrer des problèmes en travaillant sur votre Mac Pro. Lisez la suite pour obtenir des conseils de dépannage utiles en cas de problème. Vous pouvez également trouver plus d’informations de dépannage dans le Centre d’aide ou sur le site web d’assistance Mac Pro à l’adresse www.apple.com/fr/support/macpro. Il existe généralement une solution simple et rapide aux problèmes que vous pouvez rencontrer lors de l’utilisation de votre Mac Pro. Réfléchissez aux conditions qui ont entraîné l’apparition de ce problème. Faire un récapitulatif de la totalité des opérations effectuées avant que le problème ne survienne permet de restreindre les causes possibles et de trouver la solution. Les éléments à noter comprennent :  Tout logiciel récemment installé.  Tout nouveau matériel installé (par exemple de la mémoire, une carte graphique, une carte PCI Express, un disque dur) ou tout périphérique connecté. Une once de prévention Si vous rencontrez un problème avec votre ordinateur ou un logiciel, des copies de sauvegarde à jour permettront d’éviter de perdre des données. Si vous effectuez des copies de sauvegarde Time Machine régulières, vous pouvez restaurer vos logiciels ainsi que l’ensemble de vos données tels qu’ils se trouvaient au moment de la sauvegarde. Même les problèmes les plus graves sont moins sérieux lorsque vous sauvegardez vos informations avec Time Machine. Pour en savoir plus sur la sauvegarde des données du serveur, consultez le site web de Lion Server à l’adresse www.apple.com/fr/macosx/server.Chapitre 4 À tout problème sa solution 81 Problèmes du Mac Pro Si votre Mac Pro ne répond ou ne s’allume pas, un disque ne s’éjecte pas ou le voyant d’état clignote, essayez les procédures de cette section. Si l’ordinateur ne répond pas ou si le pointeur ne bouge pas  Assurez-vous que le clavier est connecté. Pour cela, débranchez puis rebranchez-le sur son connecteur en vous assurant que le câble est bien enfoncé.  Appuyez simultanément sur les touches Commande (x) et Q pour essayer de fermer l’application en cours d’exécution.  Appuyez simultanément sur les touches Commande (x) et point. Si une zone de dialogue apparaît, cliquez sur Annuler.  Choisissez Pomme () > Forcer à quitter, puis sélectionnez l’application à fermer. Vous pouvez aussi forcer l’application à quitter en appuyant simultanément sur les touches Esc, Option et Commande (x). Redémarrez votre Mac Pro en sélectionnant le menu Pomme () > Redémarrer, pour être certain que le problème est entièrement résolu. Vous pouvez également redémarrer l’ordinateur en appuyant sur le bouton d’alimentation (®) pendant 5 à 6 secondes jusqu’à ce que le Mac Pro s’éteigne. Appuyez à nouveau sur le bouton d’alimentation (®) pour allumer votre Mac Pro.  Si le problème ne survient qu’avec une application particulière, consultez l’éditeur de l’application concernée afin de vérifier si elle est compatible avec votre ordinateur.  Si le problème survient fréquemment, sélectionnez Aide > Centre d’aide et recherchez « problèmes ».82 Chapitre 4 À tout problème sa solution Si l’ordinateur ne s’allume pas ou ne démarre pas  Assurez-vous que le câble d’alimentation est branché sur une prise électrique en état de fonctionnement. La fiche du câble d’alimentation doit être totalement insérée dans la prise de l’ordinateur.  Redémarrez votre ordinateur en maintenant les touches Commande (x) et R enfoncées, jusqu’à ce qu’il redémarre. Lorsque l’application Utilitaires Mac OS X apparaît, sélectionnez une option pour réparer votre disque, restaurer vos logiciels, ou réinstaller Mac OS X et les applications Apple à partir de la sous-fenêtre Utilitaires Mac OS X. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Réparation, restauration ou réinstallation de logiciels Mac OS X » à la page 85.  Si votre ordinateur ne démarre toujours pas, essayez de réinitialiser la mémoire à accès aléatoire des paramètres (PRAM). Allumez l’ordinateur et maintenez immédiatement les touches Commande (x), Option, P, et R enfoncées jusqu’à entendre une deuxième fois le son du démarrage. Relâchez les touches. La mémoire PRAM est réinitialisée à ses valeurs par défaut et vos réglages d’horloges auront peut- être besoin d’être refaits. • Si votre ordinateur ne redémarre pas après réinitialisation de la PRAM, redémarrezle en maintenant la touche Option enfoncée afin de choisir le disque de démarrage. • Si cela ne donne pas de résultats, redémarrez l’ordinateur tout en maintenant la touche Majuscule enfoncée. Si vous ne parvenez pas à éjecter un disque Un fichier est peut-être en cours d’utilisation sur ce disque. Quittez toutes les applications ouvertes, puis essayez à nouveau.Chapitre 4 À tout problème sa solution 83 Si cela ne fonctionne pas, sélectionnez le menu Pomme () > Redémarrer, puis maintenez enfoncé soit le bouton de la souris, soit la touche d’éjection (C) du clavier Apple. Si le problème persiste : 1 Éteignez l’ordinateur et retirez le panneau latéral (consultez les instructions à la page 35). 2 Retirez le support du lecteur optique de sa baie (consultez la rubrique « Remplacement du lecteur optique » à la page 66). 3 Insérez doucement le bout d’un trombone aplati dans le petit trou à l’avant du lecteur optique. 4 Appuyez fermement jusqu’à ce que la porte s’ouvre, enlevez le disque et refermez le lecteur en poussant. 5 Remettez en place le support du lecteur optique et le panneau latéral (consultez la rubrique « Remplacement du lecteur optique » à la page 66). Si le voyant d’état clignote et que l’ordinateur ne démarre pas  Si vous avez récemment ajouté de la mémoire, une carte d’extension PCI ou tout autre composant interne, assurez-vous qu’il est correctement installé et compatible avec votre ordinateur. Essayez de l’enlever pour savoir si l’ordinateur peut démarrer.  Si le voyant d’état continue à clignoter, déterminez le nombre de clignotements pour identifier le problème : • Une lumière courte suivie d’une extinction plus longue du voyant :  pas de mémoire valide. • Trois lumières courtes suivies d’une extinction plus longue du voyant : défaillance de la mémoire.84 Chapitre 4 À tout problème sa solution Problèmes liés au logiciel Lorsqu’une application se fige ou ne répond pas, Mac OS X offre une façon de quitter l’application sans redémarrer l’ordinateur. Pour forcer la fermeture d’une application : 1 Appuyez sur les touches Commande (x) + Option + Esc ou choisissez le menu Pomme () > Forcer à quitter dans la barre des menus. 2 Sélectionnez le nom de l’application que vous souhaitez quitter dans la zone de dialogue « Forcer des applications à quitter ». 3 Cliquez sur Forcer à quitter. L’application se ferme, en laissant toutes les autres applications ouvertes. En cas de problème avec un logiciel  Utilisez Mise à jour de logiciels afin de vous assurer que vous disposez des tout derniers gestionnaires, résolutions de problèmes et autres mises à jour.  Pour les problèmes liés aux logiciels provenant d’éditeurs tiers, contactez l’éditeur concerné. Si vous rencontrez des problèmes avec votre ordinateur ou Mac OS X Lion Server  Consultez le Centre d’aide (dans le menu Aide) pour obtenir des instructions et des renseignements de dépannage.  Pour obtenir les derniers renseignements de dépannage et des mises à jour de logiciels, consultez le site web d’assistance de Lion Server à l’adresse www.apple.com/ fr/support/server.Chapitre 4 À tout problème sa solution 85 Réparation, restauration ou réinstallation de logiciels Mac OS X Si vous avez un problème avec vos logiciels ou votre matériel Mac, Mac OS X fournit des utilitaires de réparation et de restauration qui peuvent supprimer les problèmes et même restaurer les réglages d’origine de vos logiciels. Vous pouvez accéder à ces utilitaires depuis l’application Utilitaires Mac OS X, même si votre ordinateur ne démarre pas correctement. Utilisez l’application Utilitaires Mac OS X pour :  réparer le disque de votre ordinateur au moyen d’Utilitaire de disque ;  restaurer vos logiciels et vos données depuis une copie de sauvegarde Time Machine ;  réinstaller Mac OS X Lion, Lion Server et les applications Apple ;86 Chapitre 4 À tout problème sa solution  restaurer les réglages d’origine de votre ordinateur en effaçant son disque et en réinstallant Mac OS X Lion, Lion Server et vos applications Apple. Votre ordinateur ouvre automatiquement l’application Utilitaires Mac OS X s’il détecte un problème. Vous pouvez également ouvrir la sous-fenêtre manuellement en redémarrant l’ordinateur. Pour ouvrir l’application Utilitaires Mac OS X : m Redémarrez votre ordinateur en maintenant les touches Commande (x) et R enfoncées. Certains des utilitaires de la sous-fenêtre Utilitaires Mac OS X nécessitent un accès à Internet et au Mac Apple Store. Vous devrez peut-être vérifier que votre ordinateur est connecté à Internet par votre réseau Ethernet ou Wi-Fi. Pour vous connecter via un réseau Wi-Fi : 1 Choisissez un réseau dans le menu d’état Wi-Fi situé dans le coin supérieur droit de l’écran. 2 Si nécessaire, saisissez le mot de passe du réseau. Pour vous connecter à un réseau fermé, choisissez Se connecter à un autre réseau. Saisissez le nom et le mot de passe du réseau. Réparation d’un disque avec Utilitaire de disque Si vous avez un problème avec votre ordinateur ou si, au démarrage, celui-ci affiche la sous-fenêtre Utilitaires Mac OS X, une réparation du disque de votre ordinateur peut être nécessaire. 1 Sélectionnez Utilitaire de disque dans la sous-fenêtre Utilitaires Mac OS X et cliquez sur Continuer.Chapitre 4 À tout problème sa solution 87 2 Sélectionnez le disque ou la partition dans la liste de gauche, puis cliquez sur l’onglet S.O.S. 3 Cliquez sur Réparer le disque. Si Utilitaire de disque ne peut pas réparer le disque, sauvegardez autant d’informations que possible, puis suivez les instructions de la section « Réinstallation de Mac OS X Lion Server et des applications Apple » à la page 88. Pour obtenir des informations sur Utilitaire de disque et ses options, consultez le Centre d’aide, ou ouvrez Utilitaire de disque (dans le dossier Utilitaires du Launchpad) et choisissez Aide > Aide Utilitaire de disque. Restauration d’informations depuis une copie de sauvegarde Time Machine Si vous avez précédemment créé une copie de sauvegarde Time Machine, utilisez l’utilitaire Restaurer pour restaurer tous les éléments de votre ordinateur à leur état précédent. N’utilisez votre sauvegarde Time Machine que pour restaurer des informations sur l’ordinateur sur lequel la sauvegarde a été effectuée. Si vous souhaitez transférer des informations sur un nouvel ordinateur, utilisez Assistant migration. 1 Si votre copie de sauvegarde se trouve sur une Time Capsule, assurez-vous que votre Mac Pro est connecté à un réseau Ethernet ou Wi-Fi. (Pour vous connecter à un réseau Wi-Fi, suivez les instructions présentées à la page 86.) 2 Dans la sous-fenêtre Utilitaires Mac OS X, sélectionnez Restaurer à partir d’une sauvegarde Time Machine, puis cliquez sur Continuer. 3 Sélectionnez le disque qui contient la copie de sauvegarde Time Machine, puis suivez les instructions à l’écran.88 Chapitre 4 À tout problème sa solution Réinstallation de Mac OS X Lion Server et des applications Apple La réinstallation de Mac OS X Lion Server et des applications Apple peut parfois s’avérer nécessaire. Vous pouvez procéder à cette réinstallation tout en conservant vos fichiers et vos réglages utilisateur. Important : L’application Utilitaires Mac OS X réinstalle et restaure les logiciels Mac OS X et Mac OS X Lion Server. 1 Vérifiez que votre Mac Pro est connecté à Internet via un réseau Ethernet ou Wi-Fi. (Pour vous connecter à un réseau Wi-Fi, suivez les instructions présentées à la page 86.) 2 Dans la sous-fenêtre Utilitaires Mac OS X, sélectionnez Réinstaller Mac OS X, puis cliquez sur Continuer. 3 Lorsque vous êtes invité à sélectionner un disque, sélectionnez votre disque Mac OS X actuel (il s’agit bien souvent du seul disque disponible). 4 Pour installer des logiciels facultatifs, cliquez sur Personnaliser. 5 Cliquez sur Installer. Vous pouvez soit installer Mac OS X et Lion Server sans effacer le disque, afin de conserver vos fichiers et réglages existants, soit effacer d’abord le disque pour supprimer toutes vos données et préparer l’ordinateur en vue de la réinstallation de Mac OS X, Lion Server et des applications Apple. Lorsque Mac OS X est réinstallé, vous pouvez accéder au Mac App Store pour télécharger à nouveau les applications livrées avec votre Mac et les autres applications que vous avez achetées dans le Mac App Store. Chapitre 4 À tout problème sa solution 89 Important : Apple vous recommande de sauvegarder les données du disque avant de procéder à la restauration des logiciels. Apple décline toute responsabilité en cas de perte de données. Restaurer les réglages d’origine de votre ordinateur Lorsque vous restaurez les réglages d’origine de votre ordinateur, tous les éléments présents sur ce dernier (vos comptes utilisateur, vos réglages réseau, ainsi que tous vos fichiers et dossiers) sont supprimés. Avant de procéder à une restauration, sauvegardez tous les fichiers que vous souhaitez conserver en les copiant sur un autre disque. Notez les réglages réseau enregistrés dans les préférences Réseau pour pouvoir vous reconnecter plus aisément après la réinstallation de Mac OS X Lion Server. 1 Vérifiez que votre Mac Pro est connecté à Internet via un réseau Ethernet ou Wi-Fi. (Pour vous connecter à un réseau Wi-Fi, suivez les instructions présentées à la page 86.) 2 Dans la sous-fenêtre Utilitaires Mac OS X, sélectionnez Utilitaire de disque, puis cliquez sur Continuer. 3 Sélectionnez le disque dans la liste de gauche, puis cliquez sur l’onglet Effacer. 4 Choisissez « Mac OS étendu (journalisé) » à partir du menu local Format, saisissez le nom du disque, puis cliquez sur Effacer. 5 Une fois le disque effacé, choisissez Utilitaire de disque > Quitter Utilitaire de disque. 6 Dans la sous-fenêtre Utilitaires Mac OS X, sélectionnez Réinstaller Mac OS X, puis cliquez sur Continuer. 7 Pour réinstaller Mac OS X et les applications Apple, suivez les instructions du programme d’installation de Mac OS X.90 Chapitre 4 À tout problème sa solution Lorsque Mac OS X Lion Server et les applications Apple sont restaurés, vous pouvez restaurer de façon sélective vos autres données et applications depuis une sauvegarde Time Machine. Vérification d’un problème matériel Si vous pensez que le problème est d’origine matérielle, utilisez l’application Apple Hardware Test pour vous aider à déterminer si l’un des composants du Mac Pro présente un problème. Pour utiliser Apple Hardware Test : 1 Déconnectez tous les périphériques externes de votre Mac Pro, à l’exception de l’écran, du clavier et de la souris. Si un câble Ethernet est connecté, déconnectez-le. 2 Redémarrez votre Mac Pro tout en maintenant la touche D enfoncée. 3 Lorsque la fenêtre de sélection de l’utilitaire Apple Hardware Test apparaît, sélectionnez la langue que vous voulez utiliser. 4 Appuyez sur la touche Retour ou cliquez sur la flèche droite. 5 Lorsque l’écran principal d’Apple Hardware Test s’affiche (après 45 secondes environ), suivez les instructions à l’écran. 6 En cas de détection d’un problème, Apple Hardware Test affiche un code d’erreur. Notez le code d’erreur avant d’entreprendre les démarches d’assistance. Si Apple Hardware Test ne détecte pas de panne matérielle, il est probable que le problème soit lié aux logiciels.Chapitre 4 À tout problème sa solution 91 Problèmes de communication Wi-Fi En cas de problème avec les communications Wi-Fi :  Assurez-vous que le logiciel est correctement configuré conformément aux instructions incluses avec votre borne d’accès.  Vérifiez que l’ordinateur ou le réseau auquel vous souhaitez vous connecter est activé et dispose d’un point d’accès sans fil.  Assurez-vous que votre Mac Pro se trouve dans le champ de détection de l’autre ordinateur ou du point d’accès au réseau. Des appareils électroniques ou des structures métalliques se trouvant à proximité peuvent interférer avec les communications sans fil et réduire la portée de votre antenne. Vous pouvez éventuellement améliorer la réception en réorientant l’ordinateur.  Assurez-vous que le panneau latéral est fermé (suivez les instructions commençant à la page 49) et que les caches d’accès aux ports PCI sont en place (consultez la rubrique « Ajout de cartes PCI Express » à la page 72). La réception de l’antenne se trouve réduite lorsque votre Mac Pro n’est pas fermé correctement.  Vérifiez la puissance du signal Wi-Fi. Il est possible que l’icône d’état Wi-Fi (Z) de la barre des menus indique quatre barres.  Pour en savoir plus sur le Wi-Fi, choisissez Aide > Centre d’aide, puis effectuez une recherche sur le mot « Wi-Fi ». Consultez également les instructions fournies avec votre appareil sans fil.92 Chapitre 4 À tout problème sa solution Problèmes de moniteur AVIS : Si vous rencontrez un problème avec un moniteur Apple Display et que vous ne parvenez pas à le résoudre à l’aide de ce manuel, contactez un fournisseur de services agréé Apple ou Apple. Si vous tentez de le réparer vous-même, les dommages éventuels ne seront pas couverts par la garantie limitée de votre moniteur. Adressezvous à un revendeur agréé Apple ou à un Centre de Maintenance Agréé Apple pour tout renseignement complémentaire relatif à la garantie. Si aucune image n’apparaît à l’écran  Assurez-vous que l’ordinateur est allumé. Si l’écran est doté d’un voyant de mise sous tension, vérifiez qu’il est bien allumé.  Vérifiez que les câbles sont correctement connectés à l’ordinateur et au moniteur.  Si votre carte graphique dispose d’un câble d’alimentation interne, assurez-vous qu’il est connecté à la carte et à la carte logique.  Assurez-vous que votre ordinateur n’est pas en veille. Appuyez sur le bouton d’alimentation ou sur n’importe quelle touche pour voir si cela réactive l’ordinateur.  Assurez-vous que la luminosité et le contraste du moniteur sont réglés correctement. Utilisez les touches de luminosité de votre clavier Apple Keyboard. Sur certains moniteurs, les commandes de luminosité et de contraste se trouvent sur la face avant ou sur le côté.  Réinitialisez la mémoire des paramètres (PRAM) en redémarrant l’ordinateur tout en maintenant les touches Commande (x) + Option + P + R enfoncées, jusqu’à entendre une deuxième fois le signal de démarrage.Chapitre 4 À tout problème sa solution 93 Si l’image du moniteur est faible ou scintille  Réglez la luminosité et le contraste. Utilisez les touches de luminosité de votre clavier Apple Keyboard. Certains écrans présentent également des commandes de luminosité et de contraste à l’avant. Vous pouvez peut-être également ajuster la luminosité ou le contraste de votre moniteur dans la fenêtre Moniteurs de Préférences Système.  Calibrez le moniteur en sélectionnant le menu Pomme () > Préférences Système. Cliquez sur Moniteurs, sélectionnez Couleur puis cliquez sur Calibrer. Consultez le Centre d’aide pour en savoir plus sur les couleurs et sur votre moniteur.  Il se peut que le vacillement soit dû à des interférences provoquées par la proximité d’une ligne électrique, d’une lampe fluorescente ou d’un appareil électrique tel qu’une radio, un four à micro-ondes ou un autre ordinateur. Essayez de trouver un autre endroit pour les appareils électriques situés à proximité ou de déplacer le moniteur et l’ordinateur. Si aucune couleur n’apparaît ou si les couleurs ne sont pas correctes  Assurez-vous que le moniteur est correctement connecté à l’ordinateur.  Calibrez votre moniteur comme indiqué dans la rubrique « Si l’image du moniteur est faible ou scintille » à la page 93. Si les icônes du bureau bougent après avoir modifié la résolution Toute modification de la résolution d’écran a une influence sur l’affichage des informations à l’écran. Une fois la résolution d’écran modifiée, le système d’exploitation est susceptible de réorganiser les icônes.94 Chapitre 4 À tout problème sa solution Si l’écran se bloque  Forcer l’application bloquée à quitter. Maintenez les touches Commande (x) et Option enfoncées et appuyez sur la touche Esc. Sélectionnez ensuite l’application dans la liste et cliquez sur Forcer à quitter.  Si cela ne fonctionne pas, forcez l’ordinateur à redémarrer en appuyant sur son bouton d’alimentation (®) pendant 5 ou 6 secondes jusqu’à l’extinction de votre Mac Pro. Appuyez à nouveau sur le bouton d’alimentation (®) pour allumer votre Mac Pro. S’il y a une lumière à l’avant du moniteur et qu’elle clignote Sur certains moniteurs à écran plat d’Apple, le témoin d’alimentation clignote rapidement pendant quelques instants lorsqu’une erreur est détectée.  Si vous voyez une séquence répétée de trois clignotements courts, cela signifie que le moniteur détecte un signal en entrée dont le format vidéo est incorrect. Assurez-vous que votre moniteur est compatible avec la carte graphique et que vous avez installé le bon pilote (si le moniteur a été fourni avec un logiciel d’installation).  Si vous voyez une séquence répétée de deux clignotements courts et un clignotement long, le moniteur détecte un problème de lampe de rétro-éclairage. Contactez un revendeur agréé Apple ou un Centre de Maintenance Agréé Apple. Problèmes de connexion à Internet En cas de problèmes avec votre connexion à Internet, vous pouvez suivre les recommandations de cette section, en commençant par Diagnostic réseau. Pour utiliser Diagnostic réseau : 1 Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système. 2 Cliquez sur Réseau et sur Assistant en bas de la page.Chapitre 4 À tout problème sa solution 95 3 Cliquez sur Diagnostic pour lancer Diagnostic réseau. 4 Suivez les instructions à l’écran. Si Diagnostic réseau n’est pas en mesure de résoudre le problème, celui-ci se situe peut-être au niveau du fournisseur d’accès à Internet auquel vous essayez de vous connecter, du périphérique externe utilisé pour la connexion au fournisseur d’accès à Internet ou du serveur auquel vous essayez d’accéder. Vous pouvez également essayer les méthodes suivantes. Connexions à Internet par modem câble, DSL et réseau local (LAN) Assurez-vous que tous les câbles du modem sont complètement branchés, y compris le câble d’alimentation du modem, le câble reliant le modem à l’ordinateur et le câble raccordant le modem à la prise murale. Vérifiez les câbles et l’alimentation des routeurs et des concentrateurs Ethernet. Éteignez le modem câble ou DSL, puis rallumez-le après quelques minutes. Certains fournisseurs d’accès à Internet conseillent de débrancher le câble d’alimentation du modem. Si votre modem dispose d’un bouton de réinitialisation, vous pouvez l’actionner avant ou après avoir éteint puis rallumé le modem. Connexions PPPoE Si vous ne parvenez pas à vous connecter à votre fournisseur d’accès à Internet via PPPoE, assurez-vous que les informations correctes ont été saisies dans les préférences Réseau. Pour définir des réglages PPPoE : 1 Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système. 2 Cliquez sur Réseau.96 Chapitre 4 À tout problème sa solution 3 Cliquez sur Ajouter (+) en bas de la liste des services de connexion réseau et choisissez PPPoE dans le menu local Interface. 4 Choisissez une interface pour le service PPPoE dans le menu local Ethernet. Choisissez Ethernet si vous vous connectez à un réseau câblé ou Wi-Fi si vous vous connectez à un réseau sans fil. 5 Cliquez sur Créer. 6 Saisissez les informations que vous avez reçues de votre fournisseur d’accès, telles que le nom du compte, le mot de passe et le nom du service PPPoE (si votre fournisseur d’accès le demande). 7 Cliquez sur Appliquer pour activer les réglages. Connexions au réseau Assurez-vous que le câble Ethernet est branché dans votre ordinateur et au réseau. Vérifiez les câbles et l’alimentation de vos routeurs et concentrateurs Ethernet. Si vous disposez de plusieurs ordinateurs partageant une connexion Internet, assurez-vous que votre réseau est correctement configuré. Vous devez savoir si votre fournisseur d’accès à Internet fournit une seule ou plusieurs adresses IP, autrement dit, une pour chaque ordinateur. Si une seule adresse IP est utilisée, vous devez disposer d’un routeur capable de partager la connexion ; on parle alors de conversion d’adresse réseau (NAT) ou de masquage d’adresses IP. Pour obtenir des informations sur la configuration, consultez la documentation fournie avec votre routeur ou contactez la personne qui a configuré votre réseau. La borne d’accès AirPort peut servir à partager une adresse IP entre plusieurs ordinateurs.Chapitre 4 À tout problème sa solution 97 Pour en savoir plus sur l’utilisation d’une borne d’accès AirPort, recherchez « AirPort » dans le Centre d’aide ou rendez-vous sur le site web d’assistance AirPort, à l’adresse www.apple.com/fr/support/airport. Si ces méthodes s’avèrent insuffisantes pour résoudre les problèmes rencontrés, contactez votre fournisseur d’accès à Internet ou votre administrateur réseau. Optimisation des performances Ethernet Les performances de votre ordinateur sont optimales lorsque le port Ethernet auquel il est connecté est réglé sur la négociation automatique. Demandez à votre administrateur de réseau de vérifier ce réglage. Remarque : Si vous rencontrez des problèmes de connexion sur votre réseau, vérifiez si possible que le commutateur de réseau est réglé sur la négociation automatique. Si le port du commutateur ne fonctionne pas en négociation automatique, votre ordinateur détecte la vitesse appropriée, mais se règle par défaut sur le mode semiduplex. Si le port du commutateur à l’autre extrémité de la liaison est configuré en mode bidirectionnel simultané (full duplex), un grand nombre d’événements retardés peuvent se produire sur la liaison. S’il n’est pas possible de régler le commutateur sur la négociation automatique, réglez alors le port du commutateur sur semi-duplex. Pour plus de renseignements, reportez-vous à la documentation fournie avec le commutateur Ethernet.98 Chapitre 4 À tout problème sa solution Maintien à jour de vos logiciels Vous pouvez vous connecter à Internet pour télécharger et installer automatiquement les dernières versions de logiciels, gestionnaires et autres améliorations fournies par Apple. Chaque fois que vous vous connectez à Internet, « Mise à jour de logiciels » consulte les mises à jour disponibles pour votre ordinateur. Vous pouvez régler votre Mac Pro de façon à ce qu’il recherche régulièrement des mises à jour pour pouvoir télécharger et installer des logiciels toujours à jour. Pour rechercher des logiciels mis à jour : 1 Choisissez le menu Pomme () > Mise à jour de logiciels. 2 Suivez les instructions à l’écran.  Pour en savoir plus, recherchez « Mise à jour de logiciels » dans le Centre d’aide.  Pour obtenir les dernières informations sur Mac OS X Lion Server, consultez le site web de Lion Server à l’adresse www.apple.com/fr/macosx/server.  Pour obtenir les toutes dernières informations sur Mac OS X, consultez la page www.apple.com/fr/macosx. En savoir plus, service et assistance technique Si votre Mac Pro a besoin d’un service, apportez-le à un Centre de Services Agréé Apple (CSAA) ou contactez Apple. Pour en savoir plus sur votre Mac Pro, consultez les ressources en ligne, l’aide à l’écran ou Informations Système.Chapitre 4 À tout problème sa solution 99 Ressources en ligne Pour obtenir des informations en ligne sur le service et l’assistance, consultez la page www.apple.com/fr/support. Choisissez votre pays dans le menu local. Vous pouvez effectuer des recherches dans la base de connaissances AppleCare, rechercher des mises à jour de logiciels ou obtenir de l’aide par le biais des forums de discussion Apple. Aide à l’écran Vous pouvez trouver des réponses à vos questions ainsi que des instructions et des informations concernant le dépannage dans le Centre d’aide. Dans le Finder, choisissez Aide > Centre d’aide. Informations système Pour obtenir des informations sur votre ordinateur, utilisez Informations système. Informations système vous indique par exemple le matériel et les logiciels installés, le numéro de série et la version du système d’exploitation et la quantité de mémoire installée. Ouvrez Informations système (dans le dossier Utilitaires du Launchpad). Vous pouvez accéder aux Informations Système en choisissant le menu Pomme > À propos de ce Mac. Service et assistance AppleCare Votre Mac Pro comprend une assistance technique de 90 jours et une garantie d’un an couvrant les réparations matérielles dans un magasin Apple Store ou un centre de réparation agréé Apple, par exemple un Centre de Services Agréé Apple. Vous avez la possibilité d’étendre la durée de cette couverture en souscrivant à l’AppleCare Protection Plan. Pour en savoir plus, consultez la page www.apple.com/fr/support/products ou visitez le site web de votre pays indiqué dans le tableau.100 Chapitre 4 À tout problème sa solution Si vous avez besoin d’aide, les représentants de l’assistance téléphonique AppleCare peuvent vous aider à installer et ouvrir des applications, et à exécuter des dépannages simples. Appelez le centre d’assistance le plus proche de chez vous (gratuit pendant les 90 premiers jours). Gardez à portée de main la date d’achat et le numéro de série de votre Mac Pro lorsque vous appelez. Remarque : La période de 90 jours d’assistance téléphonique gratuite débute à la date d’achat. Des frais téléphoniques peuvent éventuellement s’appliquer. Apple offre également l’aide d’experts pour Mac OS X Lion Server. Une fois les 90 jours d’assistance gratuite écoulés, ces produits disposent d’une garantie problème technique d’un an. L’assistance AppleCare OS Support fournit une assistance téléphonique et par courrier électronique pour les problèmes de réseau et de flux de travail avec Mac OS X Lion Server. Le service d’assistance (Help Desk Support) d’AppleCare fournit de l’aide pour les problèmes d’interface graphique de l’utilisateur pour les configurations réseau Mac OS X Server et l’administration du serveur. L’assistance AppleCare OS Support fournit également une assistance pour les outils de ligne de commande et les plateformes d’intégration mixtes. Choisissez parmi les trois niveaux d’assistance OS AppleCare : Select, Preferred ou Alliance. Pour en savoir plus, consultez la page www.apple.com/fr/support/products/enterprise ou visitez le site web de votre pays indiqué dans le tableau.Chapitre 4 À tout problème sa solution 101 Pays Téléphone Site web Allemagne (49) 01805 009 433 www.apple.com/de/support Autriche (43) 0810 300 427 www.apple.com/at/support Belgique (flamand) (français) (32) 070 700 772 (32) 070 700 773 www.apple.com/benl/support www.apple.com/befr/support France (Metropolitain) (33) 0805 540 003 www.apple.com/fr/support Luxembourg (352) 800 24550 www.apple.com/lu/support Suisse (français) (allemand) (41) 0848 000 132 (41) 0848 000 132 www.apple.com/chfr/support www.apple.com/chde/support Les numéros de téléphone sont susceptibles d’être modifiés. Les tarifs téléphoniques locaux et nationaux peuvent s’appliquer. Une liste complète est disponible sur Internet : www.apple.com/support/contact/phone_contacts.html (en anglais) Localisation du numéro de série Pour trouver le numéro de série de votre Mac Pro choisissez l’une des méthodes suivantes :  Dans la barre des menus, choisissez le menu Pomme (), puis choisissez « À propos de ce Mac ». Cliquez sur le numéro de version en dessous des mots Mac OS X pour voir le numéro de version de Mac OS X, la version d’installation et le numéro de série.  Ouvrez Informations Système (dans le dossier Utilitaires du Launchpad), puis cliquez sur Matériel.  Regardez l’étiquette de configuration située à l’arrière du Mac Pro à côté des ports vidéo.Centre d’aide Informations Système www.apple.com/fr/macpro Sous le capot 5104 Chapitre 5 Sous le capot Les spécifications techniques de votre Mac Pro sont reprises dans cette rubrique. Spécifications Utilisez Informations système pour obtenir des informations détaillées sur votre Mac Pro, par exemple, la quantité de mémoire mise en place, la taille du disque dur, les périphériques connectés et le numéro de série du produit. Pour ouvrir Informations Système, choisissez le menu Pomme () > À propos de ce Mac dans la barre des menus, puis cliquez sur Plus d’infos. Spécifications des processeurs et de la mémoire Mac Pro quadruple cœur  Un processeur de la série Intel Xeon quadruple cœur  8 Mo de mémoire cache partagée niveau 3 par processeur  Mémoire vive SDRAM DDR3 ECC 1066 MHz Mac Pro sextuple cœur  Un processeur de la série Intel Xeon sextuple cœur  12 Mo de mémoire cache partagée niveau 3 par processeur  Mémoire vive SDRAM DDR3 ECC 1 333 MHz Mac Pro octuple cœur  Deux processeurs quadruple cœur de la série Intel Xeon  12 Mo de mémoire cache partagée niveau 3 par processeur  Mémoire vive SDRAM DDR3 ECC 1 066 MHzChapitre 5 Sous le capot 105 Mac Pro duodécuple cœur  Deux processeurs sextuple cœur de la série Intel Xeon  12 Mo de mémoire cache partagée niveau 3 par processeur  Mémoire vive SDRAM DDR3 ECC 1 333 MHz Mémoire vive (RAM)  Mémoire UDIMM  PC3-10600E, 1 333 MHz, modules UDIMM SDRAM DDR3 (mémoire fonctionnant à 1 066 MHz ou à 1 333 MHz, en fonction du processeur)  Logements pour module DIMM • Quatre logements disponibles sur un Mac Pro monoprocesseur • Huit logements disponibles sur un Mac Pro double-processeur  Code de correction d’erreur (ECC)  Modules ECC 240 broches 72 bits  36 IC maximum par mémoire UDIMM ECC  Doit satisfaire aux spécifications JEDEC (reportez-vous à la rubrique « Installation de la mémoire » à la page 39)  Sans parité Carte graphique Carte graphique PCI Express 2.0 avec connecteur DVI (Digital Visual Interface) à double liaison, dotée de deux connecteurs Mini DisplayPort. Sortie audio par port Mini DisplayPort :  jusqu’à 8 canaux (7.1), audio 24 bits, fréquence d’échantillonnage maximale de 192,0 kHz106 Chapitre 5 Sous le capot Modes d’affichage Pour obtenir des spécifications techniques sur votre écran :  Moniteurs Apple :  accéder à www.apple.com/fr/displays Stockage  4 baies à attachement direct sans câble pour disques durs Serial ATA (SATA) 3,5 pouces à 3 Gb/s • Type :  SATA 3 Gb/s • Largeur de baie :  102 mm • Profondeur de baie :  147 mm • Hauteur de baie :  25,4 mm  Quatre boîtiers de lecteur internes (des lecteurs SSD (Solid State Drive) de 2,5 pouces sont livrés en option avec des adaptateurs conçus pour pouvoir y monter des boîtiers 3,5 pouces) Extension PCI Express  Quatre logements d’extension PCI Express (le logement 1 contenant la carte graphique) • Les logements 1 et 2 sont des logements PCI Express 2.0 x16 • Les logements 3 et 4 sont des logements PCI Express 2.0 x4  Les quatre logements sont compatibles avec les cartes 16 voies.  Maximum 300 W combinés pour tous les logements PCI ExpressChapitre 5 Sous le capot 107 Spécifications SuperDrive (DVD±R DL/DVD±RW/CD-RW)  Diamètres de disque pris en charge :  12 cm et 8 cm  Formats de données : • CD-ROM • CD Audio • CD-R • CD-RW • CD-I • CD-I Bridge • CD Extended (CD étendu) • CD Mixed Mode (CD en mode mixte) • CD Photo • CD Vidéo • CD Extra • DVD Vidéo • DVD±R • DVD±RW • DVD±R DL108 Chapitre 5 Sous le capot Spécifications USB  Gestion des normes USB (Universal Serial Bus) 2.0 et 1.1  Cinq ports USB externes de type A • Deux ports USB 2.0 sur la face avant • Trois ports USB 2.0 à l’arrière  Chaque port USB (avant et arrière) correspond à un canal USB à 480 Mbit/s distinct  500 milliampères (mA) disponibles pour un total de 1,5 A à l’arrière et 1,0 A à l’avant Spécifications FireWire  Quatre ports FireWire externes :  deux ports FireWire 800 (9 broches) à l’avant et deux à l’arrière  Débit de transfert de données :  100, 200, 400 et 800 Mbit/s Puissance  Tension de sortie :  12 V environ  Puissance en sortie :  jusqu’à 28 W entre les 4 ports ou 12 W pour chaque port Spécifications Ethernet  Conforme à la directive IEEE 802.3  Longueur de câble maximale :  100 mètres  Connecteur :  RJ-45 pour 10Base-T, 100Base-TX et 1000Base-T  Données, 10Base-T :  câble UTP de catégorie (CAT) 3 ou supérieure, sur 2 paires et jusqu’à 100 m  Données, 100Base-TX :  câble UTP de CAT 5e, sur 2 paires et jusqu’à 100 m  Données, 1000Base-T :  câble UTP de CAT 5e, sur 4 paires et jusqu’à 100 m  Débits des canaux :  auto-négociation IEEE de 10Base-T, 100Base-TX et 1000Base-TChapitre 5 Sous le capot 109 Spécifications Bluetooth 2.1+EDR  Débit des données sans fil :  jusqu’à 3 Mbit/s  Portée :  jusqu’à 10 mètres (le débit peut varier en fonction de l’environnement)  Bande de fréquence :  2,4 gigahertz (GHz) Spécifications de l’AirPort Extreme  Bande de fréquence :  2,4 et 5 gigahertz (GHz)  Puissance radio en sortie :  20 dBm (nominal) Compatibilité  802.11a, b, g et n Spécifications audio numérique optique  Format de données :  protocole S/PDIF (Sony/Phillips Digital Interface, IEC60958-3)  Type de connecteur :  TOSLINK optique (IEC60874-17)  Bits par échantillon :  16 bits, 20 bits ou 24 bits Sortie audio numérique optique Sauf mention contraire ci-dessous, d’après une situation de type lecture d’une onde sinusoïdale 1 kHz, 0 dBFS 24 bits, à une fréquence d’échantillonnage de sortie de 44,1 kHz.  Fréquence d’échantillonnage en sortie :  44,1 kHz, 48 kHz ou 96 kHz  Rapport signal/bruit :  supérieur à 130 dB  Distorsion harmonique totale + bruit :  inférieure à -130 dB (0,00003 pour cent)110 Chapitre 5 Sous le capot Entrée audio numérique optique Sauf mention contraire ci-dessous, d’après une situation de type lecture d’une onde sinusoïdale 1 kHz, 0 dBFS 24 bits.  Fréquence d’échantillonnage en entrée :  44,1 kHz, 48 kHz ou 96 kHz  Rapport signal/bruit :  supérieur à 130 dB  Distorsion harmonique totale + bruit :  inférieure à -130 dB (0,00003 pour cent) Spécifications audio analogique  Fréquence d’échantillonnage :  44,1 kHz, 48 kHz ou 96 kHz  Type de prise :  mini-jack 1/8 po  Bits par échantillon :  16 bits, 20 bits ou 24 bits  Réponse en fréquence :  20 Hz à 20 kHz, + 0,5 dB/-3 dB Sortie audio analogique par la prise casque (valeurs types) Sauf mention contraire ci-dessous, d’après une situation de type lecture d’une onde sinusoïdale 1 kHz, -3 dBFS 24 bits, à une fréquence d’échantillonnage de sortie de 44,1 kHz en 150 ohms.  Tension de sortie :  1,3 volts (valeur efficace) (Vrms ) (+4,5 dBu)  Impédance en sortie :  55 ohms  Puissance en sortie :  53 milliwatts (mW) en 32 ohms  Rapport signal/bruit :  supérieur à 90 dB  Distorsion harmonique totale + bruit :  inférieure à -70 dB (0,03 pour cent)  Séparation des canaux :  supérieure à 50 dBChapitre 5 Sous le capot 111 Ligne d’entrée audio analogique (valeurs types) Sauf mention contraire ci-dessous, d’après une situation de type lecture d’une onde sinusoïdale 1 kHz, -3 dBFS 24 bits, à une fréquence d’échantillonnage de sortie de 44,1 kHz.  Tension en entrée maximale :  2 Vrms (+ 8,2 dBu)  Impédance en entrée :  supérieure à 17 kilohms  Rapport signal/bruit :  supérieur à 90 dB  Distorsion harmonique totale + bruit :  inférieure à -85 dB (0,006 pour cent)  Séparation des canaux :  supérieure à 85 dB Sortie audio analogique (valeurs typiques) Sauf mention contraire ci-dessous, d’après une situation de type lecture d’une onde sinusoïdale 1 kHz, -3 dBFS 24 bits, à une fréquence d’échantillonnage de sortie de 44,1 kHz en 100 kilohms.  Tension de sortie :  2 Vrms (+ 8,2 dBu)  Impédance en sortie :  33 ohms  Rapport signal/bruit :  supérieur à 90 dB  Distorsion harmonique totale + bruit :  inférieure à -85 dB (0,006 pour cent)  Séparation des canaux :  supérieure à 85 dB Entrée microphone externe par la prise casque (valeurs types) Sauf mention contraire ci-dessous, les données présentées s’appuient sur un cas type de lecture d’une onde sinusoïdale de 1 kHz, 28 mVrms , avec un échantillonnage de 24 bits et une fréquence d’échantillonnage de sortie de 44,1 kHz.  Tension en entrée maximale :  39 mVrms (-26 dBu)112 Chapitre 5 Sous le capot  Impédance en entrée :  supérieure à 1 kilohm  Rapport signal/bruit :  supérieur à 60 dB  Distorsion harmonique totale + bruit :  inférieure à -60 dB (0,1 pour cent)  Réponse en fréquence :  100 Hz à 8,2 kHz, + 0,5 dB/-3 dB Alimentation Entrée de ligne, courant alternatif  Plages de tension :  courant alternatif (CA) de 100 à 240 V  Courant :   maximum de 12 A (plage basse tension) ou de 5 A (plage haute tension)  Fréquence :  phase unique de 50 à 60 Hz Alimentation requise pour les cartes d’extension et les périphériques Cartes d’extension La consommation de courant combinée des quatre logements PCI Express ne doit pas dépasser 300 watts (W). Périphériques USB Chacun des ports USB intégrés à l’ordinateur dispose de 500 mA. Périphériques FireWire L’ordinateur peut fournir un total de 28 W aux ports FireWire. Horloge système et batterie Votre ordinateur est équipé d’un circuit CMOS personnalisé avec une pile longue durée. Pile Utiliser une pile de remplacement au lithium BR 2032 de 3 V (reportez-vous à la rubrique « Remplacement de la pile de secours interne » à la page 77).Chapitre 5 Sous le capot 113 Dimensions et environnement d’utilisation Dimensions  Poids :   18,1 kg Le poids est fonction de la configuration. Le poids indiqué ci-dessus correspond à la configuration de base et peut être supérieur si des périphériques facultatifs sont installés.  Hauteur :  51,1 cm  Largeur :  20,6 cm  Profondeur :  47,5 cm Environnement d’utilisation  Température de fonctionnement :  de 10 à 35 °C  Température de stockage :  de -40 à 47 °C  Humidité relative :  de 5 % à 95 % (sans condensation)  Altitude maximale :  3 048 mètresCentre d’aide ergonomie www.apple.com/fr/environment Dernières recommandations 6116 Chapitre 6 Dernières recommandations Ce chapitre contient des informations importantes sur les procédures de sécurité, la maintenance de routine et des considérations ergonomiques pour l’utilisation de votre Mac Pro et de l’écran. Pour votre sécurité et celle de votre équipement, respectez ces règles lorsque vous manipulez et nettoyez votre Mac Pro et pour travailler de façon plus confortable. Gardez ces instructions dans un endroit facile d’accès pour vous et pour les utilisateurs éventuels. AVIS : La garantie du fabricant pourra être annulée si votre ordinateur a été utilisé ou stocké de manière impropre. Informations importantes en matière de sécurité AVERTISSEMENT : Ne pas suivre ces consignes pourrait déclencher un feu, occasionner des décharges électriques ou entraîner tout type de blessure ou dommage. Le seul moyen de couper totalement l’alimentation de votre Mac Pro consiste à débrancher le câble d’alimentation de la source d’alimentation principale. Pour déconnecter complètement un moniteur, vous devez également débrancher le câble d’alimentation qui le raccorde à l’ordinateur ou à la source d’alimentation. Pour pouvoir débrancher l’ordinateur ou le moniteur en cas de besoin, veillez à pouvoir accéder facilement à l’une des extrémités du câble d’alimentation de l’appareil.Chapitre 6 Dernières recommandations 117 Prenez toujours les précautions suivantes. Déconnectez l’alimentation (en tirant sur la fiche et non sur le cordon) de votre ordinateur ou moniteur, et débranchez le cordon téléphonique si l’une des affirmations suivantes s’avère :  Le câble ou la fiche d’alimentation est usé ou endommagé.  Vous avez renversé quelque chose dans le boîtier de l’ordinateur.  L’ordinateur a été exposé à la pluie ou à une humidité excessive.  L’ordinateur est tombé ou son boîtier a été endommagé.  Vous pensez que votre ordinateur a besoin d’être inspecté ou réparé.  Vous voulez nettoyer l’ordinateur ou le boîtier. Si vous ne pensez pas utiliser votre ordinateur durant une période prolongée, retirez la pile. Pour des réparations ou des questions liées à votre garantie, contactez un CMAA (Centre de maintenance agréé Apple) ou Apple. Consultez la section « En savoir plus, service et assistance technique » à la page 98. Entretien général Pour nettoyer votre ordinateur de manière plus complète, procédez comme suit : 1 Éteignez l’ordinateur et le moniteur si ce dernier est connecté. 2 Déconnectez le câble d’alimentation de l’ordinateur du côté de la prise ou multiprise électrique. Si votre moniteur est branché sur une prise, débranchez-le également. 3 Débranchez les câbles du moniteur du côté de l’ordinateur.118 Chapitre 6 Dernières recommandations 4 Nettoyez délicatement le boîtier de l’ordinateur à l’aide d’un chiffon propre, doux et humide. AVIS : N’utilisez pas d’alcool, d’aérosol ni de produit solvant ou abrasif susceptible d’endommager la finition du boîtier. Protection de votre lecteur optique Pour garantir le bon fonctionnement de votre lecteur optique :  Placez votre ordinateur de telle sorte que le plateau du lecteur ne heurte aucun obstacle lors de son ouverture.  Laissez le lecteur fermé lorsque vous ne l’utilisez pas.  Ne placez aucun objet sur le plateau du lecteur lorsqu’il est ouvert.  Ne touchez pas la lentille du lecteur optique avec vos doigts. N’essuyez pas la lentille du lecteur avec un mouchoir en papier ni aucune autre matière abrasive. Si vous devez la nettoyer, procurez-vous les produits adéquats auprès d’un Centre de maintenance agréé Apple.  Maintenez votre ordinateur à l’écart de toute source d’humidité. Informations relatives au laser du lecteur de disque optique Pour votre sécurité, ne tentez pas de réparer le lecteur optique vous-même ; demandez à un fournisseur de services agréé Apple.Chapitre 6 Dernières recommandations 119 AVERTISSEMENT : La mise en place de réglages ou la réalisation d’opérations qui ne sont pas spécifiées dans le manuel de votre appareil risque de vous exposer à des rayonnements dangereux. Le lecteur optique de votre ordinateur contient un laser qui est entièrement sans danger si l’on en fait un usage normal, mais qui peut s’avérer dangereux pour les yeux s’il est démonté. Ergonomie Voici quelques conseils pour la mise en place d’un environnement de travail sain. Clavier Lorsque vous utilisez le clavier, vous devez avoir les épaules détendues. Le bras et l’avant-bras doivent former un angle droit, ou presque, et votre main doit être dans le prolongement du poignet. Modifiez fréquemment la position de vos mains pour éviter la fatigue. Après un travail continu et intensif sur ordinateur, certains utilisateurs peuvent ressentir des douleurs aux mains, aux poignets ou aux bras. Si ces douleurs persistent, consultez un spécialiste. Souris Placez la souris à la même hauteur que le clavier et à une distance confortable.120 Chapitre 6 Dernières recommandations Siège Optez pour un siège de bureau réglable et offrant un dossier et une assise confortables. Réglez la hauteur du siège de telle sorte que vos cuisses reposent à l’horizontale et vos pieds à plat sur le sol. Le dossier du siège doit soutenir votre région lombaire, c’est-à- dire la partie inférieure de votre dos. Suivez les instructions du fabricant de sorte que le réglage du dossier soit parfaitement adapté à votre morphologie. Au besoin, relevez le siège de manière à ce que vos avant-bras et vos mains soient placés correctement par rapport au clavier. Si, dans ce cas, vos pieds ne reposent plus à plat sur le sol, vous pouvez utiliser un repose-pieds inclinable et réglable en hauteur. Si vous disposez d’un bureau modulaire, vous pouvez abaisser le niveau du plan de travail pour éviter l’emploi d’un repose-pied. Une troisième solution consiste à utiliser un bureau dont le poste de saisie est situé plus bas que le plan de travail. Écran Placez le moniteur de manière à ce que le haut de l’écran se trouve légèrement en dessous du niveau des yeux lorsque vous êtes assis à votre poste de travail. Il vous appartient de juger de la meilleure distance entre vos yeux et l’écran. Elle se situe en général entre 45 et 70 cm. Positionnez le moniteur de façon à éviter que la réflexion sur sa surface de l’éclairage au plafond ou de la lumière des fenêtres de la pièce ne vous éblouisse. Si possible, utilisez un support d’écran réglable. Cela vous permet d’orienter l’écran dans la meilleure position pour le regarder, vous aidant ainsi à réduire ou éliminer les reflets des sources lumineuses que vous ne pouvez pas régler.Chapitre 6 Dernières recommandations 121 Cuisses légèrement inclinées Épaules détendues Écran orienté de manière à réduire les reflets Mains dans le prolongement des avant-bras Avant-bras à l’horizontale ou légèrement relevés Dossier soutenant la région lombaire Pieds à plat sur le sol ou sur un repose-pied Haut de l’écran au niveau des yeux ou légèrement en dessous. (Vous devrez peut-être ajuster la hauteur du moniteur en surélevant votre plan de travail ou le moniteur lui-même) Espace dégagé sous le plan de travail 45–70 cm Vous trouverez d’autres informations concernant l’ergonomie sur Internet : www.apple.com/about/ergonomics (en anglais)122 Chapitre 6 Dernières recommandations Prévention des dommages auditifs AVERTISSEMENT : l’utilisation d’écouteurs ou d’un casque d’écoute à un niveau de volume trop élevé peut provoquer une perte permanente d’acuité auditive. L’oreille peut s’adapter petit à petit à des volumes sonores de plus en plus élevés qui peuvent sembler normaux, mais qui risquent à la longue d’endommager votre système auditif. En cas de sifflements ou de perte d’acuité auditive, arrêtez d’utiliser le casque ou les écouteurs et consultez un médecin. Plus le volume est élevé, plus votre audition risque d’être affectée rapidement. Pour protéger votre système auditif, les spécialistes conseillent de prendre les mesures suivantes :  Limitez la durée d’utilisation à volume élevé de vos écouteurs ou de votre casque d’écoute.  Évitez d’augmenter le volume pour ne pas entendre les bruits environnants.  Baissez le volume si vous ne parvenez pas à entendre une personne qui vous parle. Apple et l’environnement Apple Inc. reconnaît sa responsabilité en matière de réduction de l’impact de ses produits et de ses activités sur l’environnement. Des informations supplémentaires sont disponibles sur Internet : www.apple.com/fr/environment123 Regulatory Compliance Information FCC Compliance Statement This device complies with part 15 of the FCC rules. Operation is subject to the following two conditions: (1) This device may not cause harmful interference, and (2) this device must accept any interference received, including interference that may cause undesired operation. See instructions if interference to radio or television reception is suspected. Radio and Television Interference This computer equipment generates, uses, and can radiate radiofrequency energy. If it is not installed and used properly—that is, in strict accordance with Apple’s instructions—it may cause interference with radio and television reception. This equipment has been tested and found to comply with the limits for a Class B digital device in accordance with the specifications in Part 15 of FCC rules. These specifications are designed to provide reasonable protection against such interference in a residential installation. However, there is no guarantee that interference will not occur in a particular installation. You can determine whether your computer system is causing interference by turning it off. If the interference stops, it was probably caused by the computer or one of the peripheral devices. If your computer system does cause interference to radio or television reception, try to correct the interference by using one or more of the following measures: • Turn the television or radio antenna until the interference stops. • Move the computer to one side or the other of the television or radio. • Move the computer farther away from the television or radio. • Plug the computer into an outlet that is on a different circuit from the television or radio. (That is, make certain the computer and the television or radio are on circuits controlled by different circuit breakers or fuses.) If necessary, consult an Apple Authorized Service Provider or Apple. See the service and support information that came with your Apple product. Or, consult an experienced radio/television technician for additional suggestions. Important: Changes or modifications to this product not authorized by Apple Inc. could void the EMC compliance and negate your authority to operate the product. This product has demonstrated EMC compliance under conditions that included the use of compliant peripheral devices and shielded cables between system components. It is important that you use compliant peripheral devices and shielded cables (including Ethernet network cables) between system components to reduce the possibility of causing interference to radios, television sets, and other electronic devices. Responsible party (contact for FCC matters only): Apple Inc. Corporate Compliance 1 Infinite Loop, MS 26-A Cupertino, CA 95014 Utilisation de la radio sans fil This device is restricted to indoor use due to its operation in the 5.15 to 5.25 GHz frequency range to reduce the potential for harmful interference to co-channel Mobile Satellite systems. Cet appareil doit être utilisé à l’intérieur. Exposure to Radio Frequency Energy The radiated output power of the AirPort Card in this device is below the FCC and EU radio frequency exposure limits for uncontrolled equipment. This device should be operated with a minimum distance of at least 20 cm between the AirPort Card antennas and a person’s body and must not be co-located or operated with any other antenna or transmitter. FCC Bluetooth Wireless Compliance The antenna used with this transmitter must not be colocated or operated in conjunction with any other antenna or transmitter subject to the conditions of the FCC Grant.124 Canadian Compliance Statement This device complies with Industry Canada license-exempt RSS standard(s). Operation is subject to the following two conditions: (1) this device may not cause interference, and (2) this device must accept any interference, including interference that may cause undesired operation of the device. Cet appareil est conforme aux normes CNR exemptes de licence d’Industrie Canada. Le fonctionnement est soumis aux deux conditions suivantes : (1) cet appareil ne doit pas provoquer d’interférences et (2) cet appareil doit accepter toute interférence, y compris celles susceptibles de provoquer un fonctionnement non souhaité de l’appareil. Bluetooth Industry Canada Statement This Class B device meets all requirements of the Canadian interference-causing equipment regulations. Cet appareil numérique de la Classe B respecte toutes les exigences du Règlement sur le matériel brouilleur du Canada. Industry Canada Statement Complies with the Canadian ICES-003 Class B specifications. Cet appareil numérique de la classe B est conforme à la norme NMB-003 du Canada. This device complies with RSS 210 of Industry Canada. Bluetooth Europe - Déclaration de conformité UE Cet appareil sans fil est conforme à la directive R&TTE. Europe : déclaration de conformité EU Voir www.apple.com/euro/compliance. Български Apple Inc. декларира, че това Mac Pro е в съответствие със съществените изисквания и другите приложими правила на Директива 1999/5/ЕС. Česky Společnost Apple Inc. tímto prohlašuje, že tento Mac Pro je ve shodě se základními požadavky a dalšími příslušnými ustanoveními směrnice 1999/5/ES. Dansk Undertegnede Apple Inc. erklærer herved, at følgende udstyr Mac Pro overholder de væsentlige krav og øvrige relevante krav i direktiv 1999/5/EF. Deutsch Hiermit erklärt Apple Inc., dass sich das Mac Pro in Übereinstimmung mit den grundlegenden Anforderungen und den übrigen einschlägigen Bestimmungen der Richtlinie 1999/5/EG befinden. Eesti Käesolevaga kinnitab Apple Inc., et see Mac Pro vastab direktiivi 1999/5/EÜ põhinõuetele ja nimetatud direktiivist tulenevatele teistele asjakohastele sätetele. English Hereby, Apple Inc. declares that this Mac Pro is in compliance with the essential requirements and other relevant provisions of Directive 1999/5/EC. Español Por medio de la presente Apple Inc. declara que este Mac Pro cumple con los requisitos esenciales y cualesquiera otras disposiciones aplicables o exigibles de la Directiva 1999/5/CE. Ελληνικά Mε την παρούσα, η Apple Inc. δηλώνει ότι αυτή η συσκευή Mac Pro συμμορφώνεται προς τις βασικές απαιτήσεις και τις λοιπές σχετικές διατάξεις της Οδηγίας 1999/5/ΕΚ. Français Par la présente Apple Inc. déclare que l’appareil Mac Pro est conforme aux exigences essentielles et aux autres dispositions pertinentes de la directive 1999/5/CE. Islenska Apple Inc. lýsir því hér með yfir að þetta tæki Mac Pro fullnægir lágmarkskröfum og öðrum viðeigandi ákvæðum Evróputilskipunar 1999/5/EC. Italiano Con la presente Apple Inc. dichiara che questo dispositivo Mac Pro è conforme ai requisiti essenziali ed alle altre disposizioni pertinenti stabilite dalla direttiva 1999/5/CE. Latviski Ar šo Apple Inc. deklarē, ka Mac Pro ierīce atbilst Direktīvas 1999/5/EK būtiskajām prasībām un citiem ar to saistītajiem noteikumiem. Lietuvių Šiuo „Apple Inc.“ deklaruoja, kad šis Mac Pro atitinka esminius reikalavimus ir kitas 1999/5/EB Direktyvos nuostatas. Magyar Alulírott, Apple Inc. nyilatkozom, hogy a Mac Pro megfelel a vonatkozó alapvetõ követelményeknek és az 1999/5/EC irányelv egyéb elõírásainak. Malti Hawnhekk, Apple Inc., jiddikjara li dan Mac Pro jikkonforma mal-ħtiġijiet essenzjali u ma provvedimenti oħrajn relevanti li hemm fid-Dirrettiva 1999/5/EC.125 Nederlands Hierbij verklaart Apple Inc. dat het toestel Mac Pro in overeenstemming is met de essentiële eisen en de andere bepalingen van richtlijn 1999/5/EG. Norsk Apple Inc. erklærer herved at dette Mac Pro-apparatet er i samsvar med de grunnleggende kravene og øvrige relevante krav i EU-direktivet 1999/5/EF. Polski Niniejszym Apple Inc. oświadcza, że ten Mac Pro są zgodne z zasadniczymi wymogami oraz pozostałymi stosownymi postanowieniami Dyrektywy 1999/5/EC. Português Apple Inc. declara que este dispositivo Mac Pro está em conformidade com os requisitos essenciais e outras disposições da Directiva 1999/5/CE. Română Prin prezenta, Apple Inc. declară că acest aparat Mac Pro este în conformitate cu cerinţele esenţiale şi cu celelalte prevederi relevante ale Directivei 1999/5/CE. Slovensko Apple Inc. izjavlja, da je ta Mac Pro skladne z bistvenimi zahtevami in ostalimi ustreznimi določili direktive 1999/5/ES. Slovensky Apple Inc. týmto vyhlasuje, že toto Mac Pro spĺňa základné požiadavky a všetky príslušné ustanovenia Smernice 1999/5/ES. Suomi Apple Inc. vakuuttaa täten, että tämä Mac Pro tyyppinen laite on direktiivin 1999/5/EY oleellisten vaatimusten ja sitä koskevien direktiivin muiden ehtojen mukainen. Svenska Härmed intygar Apple Inc. att denna Mac Pro står i överensstämmelse med de väsentliga egenskapskrav och övriga relevanta bestämmelser som framgår av direktiv 1999/5/EG. A copy of the EU Declaration of Conformity is available at: www.apple.com/euro/compliance This equipment can be used in the following countries: Korea Warning Statements B૶ૺૺ(ਜ਼ႜဧ෮໽ቛཅૺၴႁ) ၦૺૺ௴ਜ਼ႜဧ(B૶) ႖ၴኒ႕ጁૺૺച໏჎ച ਜ਼ႜ࿝໏ຫဧዻ௴ઇၕඛ႕ၒചዻඑ, ක౷ხ ࿦࿝໏ຫဧዾ༘ၰཀఁఋ. ෮ቛ၁ધགྷ࿝ಋ൏ધხຫጃ ጄఙඳ໓໕๗௴ဪဧთ႖ኒጯཅਜ਼௻ໜၦၰၗ ၦૺૺ௴ၨ඗ྦ႖઴શഏౘ໏๗༺࿝ຫဧዾ༘࿖ཀఁఋ ఝዽූ૑ ૬ႜ ෟ ა༘ Singapore Wireless Certification Taiwan Wireless Statements Taiwan Class B Statement 警告 本電池如果更換不正確會有爆炸的危險 請依製造商說明書處理用過之電池126 Japan VCCI Class B Statement Russia Informations sur les modems USB externes Lors de la connexion de votre Mac Pro sur une ligne téléphonique par le biais d’un modem USB externe, reportez-vous aux informations communiquées par l’agence de télécommunications fournies dans la documentation accompagnant votre modem. Informations sur l’élimination et le recyclage Le symbole ci-dessus signifie que vous devez vous débarrasser de votre produit selon les normes et la législation de votre pays. Lorsque votre produit n’est plus utilisable, contactez Apple ou les autorités locales afin de connaître les possibilités de recyclage. Pour en savoir plus sur le programme de recyclage Apple, consultez le site www.apple.com/fr/recycling/. Union européenne : Informations sur l’élimination Le symbole ci-dessus signifie que vous devez vous débarrasser de votre produit sans le mélanger avec les ordures ménagères, selon les normes et la législation de votre pays. Lorsque ce produit n’est plus utilisable, portez-le dans un centre de traitement des déchets agréé par les autorités locales. Certains centres acceptent les produits gratuitement. Le traitement et le recyclage séparé de votre produit lors de son élimination aideront à préserver les ressources naturelles et à protéger l’environnement et la santé des êtres humains. Türkiye EEE yönetmeliğine (Elektrikli ve Elektronik Eşyalarda Bazı Zararlı Maddelerin Kullanımının Sınırlandırılmasına Dair Yönetmelik) uygundur. Brasil: Informações sobre descarte e reciclagem. O símbolo acima indica que este produto e/ou sua bateria não devem ser descartadas no lixo doméstico. Quando decidir descartar este produto e/ou sua bateria, faça-o de acordo com as leis e diretrizes ambientais locais. Para informações sobre o programa de reciclagem da Apple, pontos de coleta e telefone de informações, visite www.apple.com/br/environment. Informations sur l’enlèvement de la batterie Jetez vos batteries usagées en respectant les lois et les consignes environnementales de votre pays. Deutschland: Dieses Gerät enthält Batterien. Bitte nicht in den Hausmüll werfen. Entsorgen Sie dieses Gerätes am Ende seines Lebenszyklus entsprechend der maßgeblichen gesetzlichen Regelungen. Nederlands: Gebruikte batterijen kunnen worden ingeleverd bij de chemokar of in een speciale batterijcontainer voor klein chemisch afval (kca) worden gedeponeerd.127 Taiwan Battery Statement Chinese Battery StatementK Apple Inc. © 2011 Apple Inc. Tous droits réservés. En application des lois et conventions en vigueur, aucune reproduction totale ni partielle du manuel n’est autorisée, sauf consentement écrit préalable d’Apple. Tout a été mis en œuvre pour que les informations présentées dans ce manuel soient exactes. Apple n’est pas responsable des erreurs de reproduction ou d’impression. Le logo Apple est une marque d’Apple Inc. déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. En l’absence du consentement écrit d’Apple, l’utilisation à des fins commerciales de ce logo via le clavier (Option + Maj + K) peut constituer un acte de contrefaçon et de concurrence déloyale. Apple 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014 408-996-1010 www.apple.com Apple, le logo Apple, Apple Cinema Display, AirPort, AirPort Extreme, Finder, FireWire, iPhone, iPod, Mac, Mac OS, SuperDrive, Time Capsule et Time Machine sont des marques d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Le logo FireWire et iPad sont des marques d’Apple Inc. AppleCare et Apple Store sont des marques de service d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. App Store est une marque de service d’Apple Inc. Intel, Intel Core et Xeon sont des marques d’Intel Corp. aux ÉtatsUnis et dans d’autres pays. La marque et les logos Bluetooth sont la propriété de Bluetooth SIG, Inc. et sont concédés sous licence par Apple Inc. Ce produit comprend des logiciels développés par l’université de Californie, Berkeley, FreeBSD, Inc., The NetBSD Foundation, Inc. et leurs collaborateurs respectifs. Les autres noms de produits et de sociétés sont la propriété de leurs détenteurs respectifs. Les produits commercialisés par des entreprises tierces ne sont mentionnés que pour information, sans aucune intention de préconisation ni de recommandation. Apple décline toute responsabilité quant à l’utilisation et au fonctionnement de ces produits. Fabriqué sous licence de Dolby Laboratories. « Dolby », « Pro Logic » et le logo double-D sont des marques déposées de Dolby Laboratories. Ouvrages confidentiels inédits, © 1992–1997 Dolby Laboratories, Inc. Tous droits réservés. Publié simultanément aux États-Unis et au Canada. Fondamentaux de l'intégration Mac 10.6 Ajouter un Mac à un environnement Windows ou tout autre environnement normalisé© 2010 Apple Inc. Tous droits réservés. Conformément aux lois sur les droits d'auteur, vous n'êtes pas autorisé à copier tout ou partie de ce manuel sans le consentement préalable et écrit d'Apple. Le logo Apple est une marque d'Apple Inc., déposée aux États-Unis et dans d'autres pays. L'utilisation du caractère logo Apple au clavier (Option + Maj + K) à des fins commerciales sans le consentement préalable et par écrit d'Apple peut constituer une violation des lois applicables en matière de propriété intellectuelle et de concurrence déloyale. Une attention particulière a été portée à la rédaction de ce manuel et à l'exactitude de son contenu. Apple ne peut être tenue pour responsable des erreurs typographiques ou de saisie. Apple publie régulièrement de nouvelles versions et des mises à jour de ses logiciels, et les images reproduites dans ce manuel peuvent donc présenter des différences avec ce que vous voyez sur votre écran. Apple 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014-2084 408-996-1010 www.apple.com/fr Apple, le logo Apple, AirPort, Bonjour, FireWire, iCal, iPod, Keychain, Keynote, Mac, Mac OS, Macintosh, QuickTime et Snow Leopard sont des marques d'Apple Inc., déposées aux États-Unis et dans d'autres pays. Finder, Safari et Spotlight sont des marques d'Apple Inc. Adobe et PostScript sont des marques d'Adobe Systems Incorporated. Intel, Intel Core et Xeon sont des marques d'Intel Corp. aux États-Unis et dans d'autres pays. UNIX est une marque déposée de The Open Group aux États-Unis et dans d'autres pays. Les autres noms de produits et de sociétés mentionnés dans ces pages sont des marques de leurs sociétés respectives. Les mentions de produits tiers sont indiquées à titre purement indicatif et ne constituent en aucun cas une recommandation ou une approbation de la part d'Apple. Apple n'assume aucune responsabilité quant aux performances et à l'utilisation de ces produits.5 Chapitre 1 : Introduction 5 Présentation 5 Connaissances requises 6 Chapitre 2 : Intégration d'un Mac 6 Connexion à un serveur de comptes réseau 6 Présentation 6 Configuration d'un Mac pour la connexion à un serveur de comptes réseau 11 Utilisation d'un compte réseau 12 Récapitulatif 12 Informations complémentaires 12 Partage de fichiers entre ordinateurs Mac OS X et Windows 12 Présentation 12 Connexion aux serveurs de fichiers 15 Partage de fichiers 19 Récapitulatif 19 Informations complémentaires 19 Courrier électronique, calendriers et contacts 19 Présentation 19 Courrier électronique 22 Contacts 24 Calendriers 27 Récapitulatif 27 Informations complémentaires 28 Sécurité 28 Présentation 28 Sécurité du compte utilisateur 34 Sécurité de l'ordinateur 35 Sécurité réseau 41 Récapitulatif 42 Informations complémentaires 3 Table des matières4 Table des matières 42 Impression 42 Présentation 42 Connexion à une imprimante USB 45 Impression vers une imprimante réseau 49 Utilisation des documents PPD 50 Récapitulatif 50 Informations complémentaires 51 Messagerie instantanée 51 Présentation 51 Configuration d'iChat 54 Autres services de messagerie instantanée 60 Récapitulatif 60 Informations complémentaires 60 Gestion et sauvegarde de données 60 Présentation 60 Migration de données de Windows vers un Mac 61 Sauvegarde de données 65 Récapitulatif 65 Informations complémentaires 66 Compatibilité multiplate-forme 66 Présentation 66 Compatibilité multiplate-forme 67 Exécution de Windows sur Mac 71 Récapitulatif 71 Informations complémentaires 72 Chapitre 3 : Ressources complémentaires 72 Examen Fondamentaux de l'intégration Mac 72 Formation et certification Mac OS X 73 Manuels 74 Assistance 5 Présentation Ce cours s'adresse aux personnes qui souhaitent intégrer un ordinateur Mac au sein d'une PME/PMI utilisant principalement Windows. Ces entreprises sont généralement équipées du serveur Windows Small Business. Ce cours s'adresse également aux utilisateurs qui remplacent un ordinateur Windows par un Mac, et peut servir de référence aux administrateurs système de leur entreprise. Au fil de ce cours, vous découvrirez les différentes manières d'intégrer un Mac au sein de l'environnement réseau de votre organisation, et notamment comment configurer votre Mac pour exploiter Active Directory, ainsi que les services réseau comme le partage de fichiers, l'impression, la messagerie instantanée, le courrier électronique, les calendriers et les contacts. Ce cours décrit également la sécurité au niveau de l'utilisateur, du réseau local et des réseaux distants. Il présente la gestion des données, dont la migration de vos données depuis un ordinateur Windows, ainsi que la sauvegarde de vos données importantes. Enfin, vous apprendrez comment exécuter des programmes Windows directement sur votre Mac, pour profiter d'une compatibilité et d'une interopérabilité parfaites avec vos collègues utilisateurs de Windows. Connaissances requises Ce cours nécessite une connaissance élémentaire de Mac OS X et de la terminologie associée. Si vous découvrez le Mac, consultez l'une des deux ressources d'assistance Apple en ligne présentant l'utilisation du Mac : Passage à Mac 1 2 3 Conçu pour l'utilisateur PC qui vient de passer au Mac et qui souhaite adapter ses anciennes habitudes de travail à Mac OS. Passage à Mac 1 2 3 est disponible en ligne à l'adresse http://www.apple.com/fr/support/switch101/. Mac 1 2 3 Conçu pour ceux qui achètent leur premier ordinateur ou qui ont simplement besoin d’un cours de remise à niveau pour tirer le meilleur parti d'un Mac. Mac 1 2 3 est disponible en ligne à l'adresse http://www.apple.com/fr/support/mac101/. Introduction 16 Connexion à un serveur de comptes réseau Présentation Microsoft Small Business Server et Windows Server s'appuient sur Active Directory pour fournir des comptes, des services d'authentification et d'autres services réseau aux utilisateurs. Open Directory est un autre serveur d'annuaire qui permet l'exploitation des services d'annuaire LDAP. Quel que soit le protocole de service d'annuaire utilisé par votre structure, les utilisateurs Mac peuvent rejoindre les réseaux existants sans effort, tout en respectant les règles de l'entreprise en matière d'authentification forte et d'accès protégé par mot de passe aux ressources réseau. L'ajout d'un Mac à un réseau qui exploite un service d'annuaire est une procédure très simple, grâce à la prise en charge des comptes réseau intégrée à Mac OS X Snow Leopard. Configuration d'un Mac pour la connexion à un serveur de comptes réseau Pour autoriser votre Mac à utiliser un compte réseau, vous devez d'abord configurer son accès à un serveur d'annuaire. Cette procédure de configuration est appelée liaison. La liaison est effectuée dans le volet Comptes des Préférences Système. Vous devez vous authentifier en tant qu'administrateur pour lancer la procédure. Les étapes suivantes décrivent comment créer une liaison à un serveur Active Directory ou Open Directory/LDAP. Pour relier un Mac à un serveur Active Directory : Pour relier un Mac à un serveur Active Directory, vous devez obtenir les informations suivantes auprès de l'administrateur du serveur : • Le nom de domaine, généralement au format : example.com. • Un nom d'utilisateur administrateur Active Directory. • Le mot de passe de cet utilisateur. Remarque : votre administrateur serveur peut également spécifier l'identifiant que doit utiliser votre ordinateur. Pour lier un Mac à un serveur Active Directory, procédez de la manière suivante : Intégration d'un Mac 2Chapitre 2 Intégration d'un Mac 7 1 Ouvrez Préférences Système, soit en cliquant sur son icône dans le Dock, soit en sélectionnant Préférences Système dans le menu Pomme. 2 Cliquez sur Comptes. 3 Cliquez sur Options. 4 Cliquez sur le bouton Joindre.Si vous êtes déjà lié à un serveur d'annuaire, cliquez sur le bouton Modifier au lieu du bouton Joindre. Dans la zone de dialogue qui apparaît, cliquez sur le bouton Ajouter (+) sous la liste des serveurs déjà connus. 5 Entrez le nom de domaine Active Directory fourni par l'administrateur du serveur. La zone de dialogue révèle alors les réglages Active Directory. 6 Entrez le nom d'utilisateur et mot de passe Active Directory fournis par l'administrateur du serveur. 8 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 9 7 Si besoin, modifiez l'identifiant qui sera utilisé par Active Directory pour votre ordinateur. Par défaut, l'identifiant de l'ordinateur client correspond au nom de l'ordinateur (il s'agit du nom utilisé par le Mac dans le volet Partage des préférences). Vous pouvez le modifier pour suivre les règles établies par votre organisation pour la dénomination des ordinateurs qui appartiennent au domaine Active Directory. En cas de doute, consultez l'administrateur du serveur. 8 Cliquez sur OK. Votre Mac est alors enregistré sur le domaine Active Directory. Pour relier un Mac à un serveur Open Directory/LDAP : Lorsque vous ajoutez un serveur Open Directory, vous devez connaître le nom ou l'adresse IP du serveur, et savoir si le serveur exige l'utilisation du protocole SSL (Secure Sockets Layer). Pour ajouter un serveur LDAP, procédez de la manière suivante : : 1 Ouvrez Préférences Système et cliquez sur Comptes. 2 Si l'icône de cadenas est verrouillée, cliquez sur celui-ci et entrez le nom et le mot de passe d'un compte administrateur local.3 Cliquez sur Options. 4 Cliquez sur le bouton Joindre. Si vous êtes déjà lié à un serveur d'annuaire, cliquez sur le bouton Modifier au lieu du bouton Joindre. Dans la zone de dialogue qui apparaît, cliquez sur le bouton Ajouter (+) sous la liste des serveurs déjà connus. 5 Vous pouvez choisir un serveur dans le menu déroulant, ou saisir manuellement le nom de domaine (ou l'adresse IP) du serveur. 1010 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 11 6 Si votre administrateur serveur vous a informé qu'une connexion SSL est requise, cochez la case « Requiert une connexion sécurisée (SSL) ». 7 Cliquez sur OK pour revenir au volet Comptes. Votre Mac est alors lié à un serveur LDAP. Utilisation d'un compte réseau Maintenant que vous avez configuré le Mac pour une connexion à un serveur d'annuaire, vous pouvez ouvrir une session sur votre Mac avec votre compte utilisateur réseau. Pour vous connecter, vous devez d'abord obtenir un nom d'utilisateur et mot de passe réseau auprès de l'administrateur du serveur. Pour les comptes Active Directory, le nom d'utilisateur utilise l'un des trois formats suivants : • nomcourt • nomcourt@domaine.com • DOMAINE\nomcourt Pour ouvrir une session avec un compte réseau : 1 Si vous avez ouvert une session sur votre Mac, sélectionnez Fermer la session dans le menu Pomme. Mac OS X ferme la session et affiche la fenêtre d'ouverture de session qui présente la liste des comptes utilisateur locaux, suivis par l'option « Autre ». 2 Cliquez sur Autre et saisissez le nom d'utilisateur et le mot de passe réseau fournis par l'administrateur du serveur. 3 Cliquez sur le bouton Ouvrir une session. Vous avez alors ouvert une session sur votre Mac en utilisant le compte fourni par le serveur d'annuaire. Votre Mac est désormais entièrement intégré au réseau.Récapitulatif Dans cette section, vous avez appris à configurer un Mac pour une connexion à un serveur d'annuaire. À l'issue de cette section, vous devez pouvoir effectuer les tâches suivantes : • Obtenir les informations nécessaires auprès de l'administrateur du serveur pour relier un Mac à un serveur d'annuaire. • Relier un Mac à un serveur d'annuaire. • Ouvrir une session sur un Mac avec un compte utilisateur réseau. Une fois ces tâches effectuées, votre Mac peut exploiter l'authentification utilisateur et les ressources réseau fournies par le serveur d'annuaire de votre organisation. Grâce à la prise en charge intégrée à Mac OS X, le processus est on ne peut plus simple. Informations complémentaires Consultez les ressources suivantes pour en savoir plus sur la configuration de Mac OS X pour la connexion à un serveur d'annuaire : • “Managing Directory Clients Using Accounts Preferences” (Gestion des clients d'annuaires avec les préférences de comptes), dans Mac OS X Server : Open Directory Administration (Administration Open Directory) sur http://www.apple.com/fr/server/ macosx/resources/documentation.html • “Network Services” (Services réseau) dans Mac OS X Support Essentials v10.6, Peachpit Press, 2010 Partage de fichiers entre ordinateurs Mac OS X et Windows Présentation Les ordinateurs reliés au réseau d'une entreprise partagent constamment des fichiers et des ressources. Mac OS X Snow Leopard prend en charge un vaste éventail de protocoles de partage de fichiers. Dans cette section, vous allez d'abord apprendre à connecter votre Mac aux serveurs de fichiers de différents réseaux. Ensuite, vous apprendrez à configurer le partage de fichiers pour autoriser d'autres utilisateurs du réseau à accéder aux fichiers stockés sur votre Mac. Connexion aux serveurs de fichiers Vous pouvez vous connecter aux ordinateurs Mac et Windows qui ont activé le partage de fichiers, ainsi qu'aux serveurs de fichiers utilisant les protocoles AFP, SMB/ CIFS, NFS, WebDAV et FTP. Pour accéder aux fichiers partagés stockés sur les serveurs de fichiers sur votre réseau, vous pouvez parcourir les serveurs par nom dans une fenêtre du Finder, ou directement saisir leur adresse IP. Dans certains cas, vous devez également savoir à quel groupe de travail ou zone réseau le serveur appartient. Pour vous connecter directement à un serveur de fichiers, vous devez aussi connaître son adresse IP. Enfin, vous devez obtenir un nom d'utilisateur et mot de passe auprès de l'administrateur du serveur pour accéder aux serveurs de fichiers du réseau. Pour rechercher les serveurs de fichiers : Pour parcourir les serveurs de fichiers et vous connecter à un serveur, procédez comme suit : 1212 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 13 1 Dans le Finder, sélectionnez Aller > « Se connecter au serveur », puis cliquez sur Parcourir. 2 Recherchez le nom du serveur. 3 Une fois que vous avez repéré l'ordinateur partagé ou le serveur, sélectionnez-le et cliquez sur « Se connecter comme... ». 4 Sélectionnez « Se connecter » comme Utilisateur référencé, et saisissez le nom et le mot de passe fournis par l'administrateur du serveur.Remarque : pour simplifier les connexions suivantes, cochez « Garder ce mot de passe dans mon trousseau » pour ajouter le nom d'utilisateur et le mot de passe de l'ordinateur à votre trousseau d'accès. Le nom d'utilisateur et le mot de passe autorisés pour accéder au serveur de fichiers sont alors enregistrés dans votre trousseau d'accès sur votre Mac. Lors de la prochaine connexion à ce serveur de fichiers, vos identifiants mémorisés seront utilisés pour vous y connecter automatiquement. Pour se connecter directement à un serveur de fichiers Windows : Pour se connecter directement à un serveur de fichiers en indiquant son adresse réseau, de la manière suivante : : 1 Dans le Finder, sélectionnez Aller > « Se connecter au serveur ». 2 Entrez l'adresse réseau de l'ordinateur ou du serveur dans le champ Adresse du serveur en respectant les formats suivants : smb://nomDNS/nompartage smb://adresseIP/nompartage où nomDNS correspond au nom de domaine du serveur, adresseIP à l'adresse IP du serveur et nompartage au nom du dossier partagé à monter. Remarque : SMB (Server Message Block) est un protocole utilisé principalement par les ordinateurs sous Windows pour partager un accès réseau. SMB est également connu sous l'appellation CIFS (Common Internet File System). Si vous vous êtes récemment connecté au serveur de fichiers, vous pouvez également le sélectionner dans le menu déroulant « Serveurs récents ». Pour ajouter un ordinateur ou un serveur à votre liste de Serveurs favoris, cliquez sur le bouton Ajouter (+) une fois que vous avez saisi l'adresse. Si vous avez ajouté un serveur à la liste Serveurs favoris, vous pouvez cliquer deux fois sur son adresse dans la liste. 3 Cliquez sur « Se connecter ». 1414 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 15 4 Sélectionnez « Se connecter » comme Utilisateur référencé, et saisissez le nom et le mot de passe fournis par l'administrateur du serveur. Vous avez maintenant configuré votre Mac pour accéder aux fichiers stockés sur des serveurs de fichiers du réseau. Vous pouvez également configurer votre Mac pour autoriser l'accès à vos fichiers par d'autres utilisateurs du réseau en activant le partage de fichiers. La section suivante décrit comment activer le partage de fichiers sur votre Mac. Partage de fichiers Pour autoriser d'autres utilisateurs du réseau à se connecter à votre Mac, vous devez activer le partage de fichiers dans les Préférences Système. Songez à créer un compte dédié au partage de fichiers sur votre Mac, afin d'assurer la sécurité des fichiers que vous ne souhaitez pas partager. Vous devrez alors fournir les informations suivantes aux utilisateurs avec qui vous souhaitez partager vos fichiers : • L'adresse IP ou Bonjour (la fonctionnalité de découverte réseau automatique du Mac) de votre Mac • Le nom de compte utilisateur sur votre Mac pour lequel vous avez activé le partage de fichiers • Le mot de passe du compte de partage de fichiers sur votre Mac Remarque : si vous souhaitez utiliser un compte utilisateur créé avant l'installation de la dernière version de Mac OS X, vous devez parfois réinitialiser le mot de passe du compte concerné dans les préférences de Comptes. Avant de configurer le partage, commencez par choisir les dossiers à partager avec les utilisateurs du réseau, et les autorisations dont ils disposeront. Par défaut, le compte administrateur du Mac dispose d'un accès complet en lecture et en écriture, tandis que tous les autres utilisateurs n'ont qu'un accès en lecture. Pour choisir les dossiers à partager : Pour définir le partage de certains dossiers et les autorisations correspondantes, procédez de la manière suivante : :1 Choisissez le menu Pomme > Préférences Système, puis cliquez sur Partage. 2 Sélectionnez « Partage de fichiers » dans la liste. 3 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) sous « Dossiers partagés » pour sélectionner les dossiers que vous souhaitez partager avec d'autres utilisateurs du réseau. Commencez par exemple par partager votre dossier Public. 4 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) sous Utilisateurs pour choisir les utilisateurs à qui vous souhaitez accorder des droits d'accès particuliers aux dossiers partagés. 5 Cliquez sur « Lecture seule » de chaque utilisateur pour afficher les autres options d'autorisation. Vous pouvez leur accorder les droits « Écriture seulement » ou « Lecture et écriture ». 6 Donnez aux utilisateurs autorisés l'adresse IP ou Bonjour de votre ordinateur, l'adresse de nom d'utilisateur et le nom d'utilisateur et mot de passe qu'ils devront utiliser pour accéder aux fichiers de votre ordinateur. L'adresse Bonjour de votre ordinateur est affichée dans le volet Partage des préférences. 1616 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 17 Maintenant que vous avez accordé un accès aux utilisateurs et configuré les autorisations des dossiers, vous pouvez activer le partage de fichiers par FTP (File Transfer Protocol) ou SMB. Mac OS X utilise SMB pour partager les fichiers avec les utilisateurs Windows, et FTP pour les utilisateurs qui n'utilisent pas Windows. La section suivante explique comment activer le partage SMB sur votre Mac. Vous apprendrez ensuite à activer le partage par FTP. Pour activer le partage de fichiers avec les utilisateurs Windows : Pour configurer le partage de fichiers avec Windows, procédez comme suit : 1 Choisissez le menu Pomme > Préférences Système, puis cliquez sur Partage. 2 Sélectionnez « Partage de fichiers » dans la liste, puis cliquez sur Options. 3 Sélectionnez « Partager les fichiers et dossiers via SMB ». 4 Cochez la case devant le compte utilisateur utilisé pour partager les fichiers avec les utilisateurs Windows, entrez le mot de passe pour cet utilisateur, puis cliquez sur OK. Pour assurer la sécurité de votre ordinateur, songez à créer un compte dédié pour les utilisateurs Windows dans les préférences de Comptes. Remarque : les mots de passe des comptes utilisés pour le partage Windows sont parfois stockés de manière moins sécurisée. Désactivez donc le compte lorsqu'il n'est pas utilisé. Avant de désactiver le partage Windows, désactivez tous les comptes que vous avez activés. Sinon les mots de passe seront toujours stockés de manière moins sécurisée. 5 Cliquez sur Fermer. Vous avez activé l'accès à vos fichiers pour les utilisateurs Windows par le biais du protocole SMB. Vous souhaitez peut-être partager des fichiers avec des ordinateurs qui ne fonctionnent pas sous Windows. Dans ce cas, vous pouvez utiliser le serveur FTP intégré à votre ordinateur pour fournir un accès à ces utilisateurs. Pour activer l'accès par FTP à votre ordinateur : Pour activer l'accès par FTP, procédez de la manière suivante : :1 Choisissez le menu Pomme > Préférences Système, puis cliquez sur Partage. 2 Sélectionnez « Partage de fichiers » dans la liste, puis cliquez sur Options. 3 Cochez la case « Partager les fichiers et les dossiers via FTP ». Lorsque l'accès par FTP est activé, les utilisateurs qui disposent d'un compte sur votre Mac peuvent accéder aux fichiers et dossiers à l'aide d'un navigateur web ou d'un logiciel client FTP. 1818 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 19 Remarque : lorsqu'un utilisateur se connecte ou transfère des fichiers par FTP, la connexion n'est pas chiffrée, et elle est donc moins sécurisée. Félicitations ! Vous avez activé le partage de fichiers sur votre Mac pour les ordinateurs sous Windows et autres systèmes d'exploitation. Les utilisateurs autorisés peuvent désormais accéder aux fichiers et volumes que vous avez choisi de partager. Récapitulatif Dans cette section, vous avez découvert comment partager des fichiers entre un Mac et un serveur de fichiers. À l'issue de cette section, vous devez pouvoir effectuer les tâches suivantes : • Accéder aux fichiers partagés sur un réseau avec un Mac en parcourant les serveurs et par connexion directe. • Configurer les autorisations d'accès au niveau des dossiers et des utilisateurs pour le partage de fichiers. • Activer le partage de fichiers par SMB et FTP sur un Mac. • Fournir aux utilisateurs du réseau un nom d'utilisateur et mot de passe afin qu'ils puissent accéder aux fichiers stockés sur votre Mac. Informations complémentaires Consultez les ressources suivantes pour en savoir plus sur la configuration de Mac OS X pour la connexion à un serveur de fichiers et le partage de fichiers : • “Network Services” (Services réseau) dans Mac OS X Support Essentials v10.6, Peachpit Press, 2010 Courrier électronique, calendriers et contacts Présentation Mac OS X prend directement en charge le courrier électronique, les contacts et les calendriers par le biais de serveurs normalisés, comme Microsoft Exchange Server 2007, POP, IMAP et SMTP entre autres. Mac OS X Snow Leopard vous permet de vous connecter facilement aux services partagés, comme le courrier électronique, les invitations de calendriers et les listes d'adresses globales. Il suffit d'utiliser Mail, iCal et Carnet d'adresses pour profiter de fonctionnalités performantes du Mac, comme Spotlight, Coup d'œil, les détecteurs de données, et bien plus. Dans cette section, vous allez apprendre à configurer l'application Mail de Mac OS X pour envoyer et recevoir du courrier électronique en exploitant différents types de serveurs courants. Vous apprendrez ensuite à configurer Carnet d'adresses pour accéder aux contacts partagés. Enfin, vous découvrirez comment configurer iCal pour accéder aux services de calendriers partagés. Courrier électronique Dans cette section, vous allez apprendre à configurer Mac OS X Mail pour accéder directement à un serveur Exchange, puis vous verrez comment accéder à des serveurs de messagerie courants qui n'utilisent pas Windows.Connexion à un serveur Exchange 2007 Pour connecter un Mac à un serveur Exchange, vous devez obtenir les informations suivantes auprès de l'administrateur du serveur : • Le nom de domaine complet du serveur CAS (Client Access Server) de votre organisation, généralement au format suivant : exchange01.exemple.com. • Le nom d'utilisateur Exchange, créé pour chaque utilisateur par l'administrateur. • Le mot de passe Exchange, également créé pour chaque utilisateur. Une fois que vous avez obtenu les informations requises auprès de l'administrateur du serveur, vous pouvez passer à l'étape suivante et configurer votre Mac pour une utilisation avec Exchange. Cette tâche peut être effectuée manuellement ou à l'aide du service Autodiscover s'il a été activé. Pour se connecter à un serveur Exchange lorsque le service Autodiscover est activé : Le moyen le plus simple de configurer l'accès à Exchange depuis Mail, Carnet d'adresses et iCal consiste à utiliser le service Autodiscover. Lorsque cette fonction est activée, il suffit d'ouvrir le volet Ajouter un compte dans Mail, puis de saisir votre adresse e-mail et mot de passe Exchange. Mail utilise le service Autodiscover d'Exchange pour obtenir les informations pertinentes, et vous permet d'utiliser les services Exchange immédiatement. Pour configurer Mail manuellement afin d'accéder à un compte Exchange : Pour configurer Mail manuellement afin d'accéder à un serveur Exchange 2007, procédez de la manière suivante : : 1 Dans Mail, sélectionnez Mail > Préférences, puis cliquez sur Comptes. 2 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) dans le coin inférieur gauche pour ajouter un compte. 3 Sélectionnez Exchange 2007 dans le menu déroulant « Type de compte ». 4 Saisissez une description du compte (comme Bureau, ou Exchange). 2020 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 21 5 Entrez le nom de domaine complet du Client Access Server Exchange de votre organisation. 6 Entrez le nom d'utilisateur et le mot de passe Exchange fournis par l'administrateur du serveur. 7 Veillez à cocher les cases Carnet d'adresses et iCal pour configurer automatiquement ces applications. Si vous n'avez pas pu configurer Carnet d'adresses et iCal automatiquement à ce niveau, reportez-vous aux étapes de configuration manuelle supplémentaires présentées dans les sections suivantes. Remarque : pour accéder à un serveur Exchange 2007 avec un Mac en dehors du réseau de l'entreprise, vérifiez auprès de l'administrateur que le port 443 est ouvert et que l'option EWS (Exchange Web Services) est activée. Vous avez configuré Mail pour accéder à Exchange 2007. Pour confirmer que tout fonctionne, relevez vos messages et envoyez un e-mail à un collègue depuis votre nouveau compte Exchange. Courrier électronique avec serveurs POP et IMAP Si votre organisation n'utilise pas un serveur Windows pour la gestion des services de messagerie, vous pouvez tout aussi facilement configurer l'accès depuis Mail. Les protocoles de serveur de messagerie les plus courants sont POP (Post Office Protocol) et IMAP (Internet Message Access Protocol) qui permettent aux ordinateurs client d'accéder aux messages sur le serveur de messagerie, et SMTP (Simple Mail Transfer Protocol) pour l'envoi de messages. Mac OS X Snow Leopard propose l'option « Configurer le compte automatiquement ». Cette option configure les réglages pour différents fournisseurs de services de messagerie courants. Remarque :si cette option n'est pas disponible, cela signifie que le fournisseur de service que vous avez indiqué n'est pas reconnu. Vérifiez que le nom de domaine (la partie après le symbole "@") est correctement orthographié. Si l'orthographe est exacte, il vous faudra configurer le compte manuellement dans Mail. Pour configurer la connexion automatique dans Mail : Pour configurer Mac OS X Mail pour une connexion automatique aux services de messagerie, procédez de la manière suivante : : 1 Ouvrez Mail. 2 Si l'assistant "Bienvenue dans Mail" n'apparaît pas, sélectionnez Ajouter un compte dans le menu Fichier. 3 Saisissez le nom complet, l'adresse électronique et le mot de passe que vous avez dû recevoir de votre fournisseur de service de messagerie. 4 Sélectionnez "Configurer le compte automatiquement". 5 Cliquez sur "Créer" pour terminer la procédure. Pour configurer Mail manuellement : Avant de configurer manuellement votre compte, vous devez disposer de votre nom d'utilisateur, mot de passe, type de compte, des réglages de sécurité et des serveurs de réception et d'envoi, disponibles auprès de votre fournisseur de service de courrier électronique..Pour configurer manuellement Mac OS X Mail pour une connexion à un service de messagerie courant, procédez comme suit : 1 Ouvrez Mail. 2 Si l'assistant "Bienvenue dans Mail" n'apparaît pas, sélectionnez Fichier > Ajouter un compte. 3 Entrez le nom complet, l'adresse électronique et le mot de passe fournis par votre fournisseur d'accès. 4 Décochez l'option "Configurer le compte automatiquement" si elle est cochée. Cliquez sur Continuer. 5 Sélectionnez le type de compte adéquat. Il s'agit du protocole utilisé par le service de messagerie, comme IMAP, POP, etc. 6 Donnez une description pertinente pour ce compte.. 7 Saisissez le serveur de réception, le nom d'utilisateur et le mot de passe. Cliquez sur Continuer. 8 Si vous y êtes invité, entrez les réglages de sécurité du courrier reçu. Cliquez sur Continuer. 9 Saisissez une description du serveur d'envoi. 10 Saisissez les paramètres du serveur d'envoi. 11 Si besoin, sélectionnez « Activer l'authentification » et entrez votre nom d'utilisateur et votre mot de passe. Cliquez sur Continuer. 12 Si vous y êtes invité, entrez les réglages de sécurité du courrier expédié. Cliquez sur Continuer. 13 Vérifiez les réglages dans le résumé du compte. Cochez « Se connecter à ce compte ». 14 Cliquez sur "Créer" pour terminer la procédure. Félicitations ! Vous avez configuré Mail pour exploiter différents protocoles de messagerie courants. Vous pouvez vérifier que tout fonctionne en relevant votre courrier et en envoyant un message de test à vous-même ou à un collègue. Contacts Les contacts de Carnet d'adresses peuvent être configurés automatiquement pour accéder à Exchange lors des étapes de configuration de Mail décrites dans la section Courrier électronique, mais il se peut que vous souhaitiez les configurer manuellement. Ce sera le cas si vous n'utilisez pas l'application Mail de Mac OS X avec Exchange, mais que vous souhaitez malgré tout synchroniser vos contacts avec Exchange. Pour configurer un compte Exchange dans Carnet d'adresses : Pour configurer Carnet d'adresses pour accéder à Exchange 2007, procédez de la manière suivante : : 2222 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 23 1 Ouvrez Carnet d'adresses, allez dans Carnet d'adresses > Préférences, puis cliquez sur l'onglet Comptes. 2 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) en bas à gauche pour ajouter un compte. 3 Sélectionnez Exchange 2007 dans le menu déroulant « Type de compte », et entrez le nom d'utilisateur et le mot de passe Exchange fournis par l'administrateur du serveur. 4 Cliquez sur le bouton Créer pour créer le compte et revenir à la fenêtre Comptes. Vous avez configuré Carnet d'adresses pour accéder à Exchange. L'accès à vos contacts existants peut améliorer considérablement votre productivité et simplifier votre transition vers le Mac. La section suivante décrit comment configurer iCal pour exploiter les services de calendriers partagés. Calendriers iCal sur votre Mac permet d'afficher en temps réel la disponibilité de vos collègues et salles de réunions depuis une liste d'adresses globale, et de compléter les noms lorsque vous les invitez à des réunions. Vous pouvez aussi recevoir des invitations à des réunions par e-mail et les gérer, de même que vous pouvez envoyer des invitations à des personnes extérieures à votre entreprise. Dans cette section, vous allez apprendre à configurer un compte Exchange dans iCal. Vous découvrirez ensuite comment configurer iCal pour accéder à d'autres services de calendrier, dont ceux de Google et Yahoo. Pour configurer un compte Exchange dans iCal : iCal peut être configuré automatiquement pour accéder à Exchange 2007 lors des étapes de configuration de Mail décrites dans la section Courrier électronique, mais vous pouvez aussi être amené à le faire manuellement. 1 Ouvrez iCal. 2 Sélectionnez iCal > Préférences et cliquez sur Comptes. 3 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) dans le coin inférieur gauche pour ajouter un compte. 2424 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 25 4 Sélectionnez Exchange 2007 dans le menu déroulant « Type de compte », et entrez le nom d'utilisateur et le mot de passe Exchange fournis par votre administrateur. Pour configurer iCal pour Google Calendar : Pour utiliser iCal avec Google Calendar, vous devez d'abord créer un compte Google gratuit. Une fois que vous avez créé un compte et un calendrier Google, vérifiez que le partage est activé dans les réglages de calendrier en ligne avant de continuer. Pour configurer iCal afin d'accéder à Google Calendar, procédez de la manière suivante 1 Ouvrez iCal. 2 Sélectionnez iCal > Préférences et cliquez sur Comptes.3 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) dans le coin inférieur gauche pour ajouter un compte. 4 Sélectionnez le type de compte Google, puis entrez l'adresse électronique et le mot de passe d'accès à votre compte Google. 5 Cliquez sur le bouton Créer pour créer le compte et revenir à la fenêtre Comptes. 6 Cliquez sur l'onglet Délégation et sélectionnez d'autres calendriers de votre compte Google, si nécessaire. Pour configurer iCal pour Yahoo! Calendar : Pour utiliser iCal avec Yahoo! Calendar, vous devez d'abord créer un compte Yahoo! gratuit. Une fois que vous avez créé un compte et un calendrier Yahoo!, vérifiez que le partage est activé dans les réglages en ligne avant de continuer. Pour configurer iCal afin d'accéder à Yahoo! Calendar, procédez de la manière suivante : 1 Ouvrez iCal. 2 Sélectionnez iCal > Préférences et cliquez sur l'onglet Comptes. 3 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) dans le coin inférieur gauche. 2626 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 27 4 Sélectionnez le type de compte Yahoo!, puis entrez l'adresse électronique et le mot de passe d'accès à votre compte Yahoo! Calendar. Félicitations ! Vous avez configuré iCal pour exploiter différents services de calendrier normalisés. Testez votre configuration en sélectionnant Calendrier > Tout actualiser, pour télécharger la dernière version de tous vos calendriers partagés. Récapitulatif Dans cette section, vous avez appris à configurer le Mac pour accéder à des services normalisés de messagerie, de calendrier et de contacts. À l'issue de cette section, vous devez pouvoir effectuer les tâches suivantes : • Configurer l'application Mail de Mac OS X pour envoyer et recevoir des messages électroniques avec différents types de serveurs de messagerie. • Configurer l'application Carnet d'adresses pour accéder aux contacts partagés sur un serveur Exchange 2007. • Configurer l'application iCal pour accéder à des services de calendriers partagés, dont Exchange, Google Calendar et Yahoo. Informations complémentaires Consultez les ressources suivantes pour en savoir plus sur la configuration de Mac OS X pour accéder à un serveur réseau afin d'exploiter des services de messagerie, de calendrier et de contacts : • Informations complémentaires sur la configuration de comptes de messagerie Yahoo, http://support.apple.com/kb/HT3376?viewlocale=fr_FR.Sécurité Présentation Mac OS X Snow Leopard fournit des outils robustes et conviviaux dédiés à toutes les facettes de la sécurité réseau et informatique. Il est essentiel d'assurer une sécurité élevée à tous les niveaux, qu'il s'agisse de protéger vos données, de protéger le système Mac dans son ensemble ou de la sécurité du réseau. La sécurité est un vaste sujet et ce manuel n'est pas exhaustif en la matière. Veuillez donc consulter les ressources complémentaires proposées en fin de section pour en savoir plus. Dans cette section, vous allez sécuriser vos données en choisissant un mot de passe fiable, en configurant les autorisations de votre dossier de départ, et en activant FileVault. Ensuite, vous protégerez votre Mac en activant un mot de passe de programme interne, et en installant un logiciel antivirus. Enfin, vous renforcerez la sécurité réseau en configurant le coupe-feu de Mac OS X et les services d'accès par VPN (réseau privé virtuel). Sécurité du compte utilisateur Choisir un mot de passe Il est essentiel que tous les employés d'une organisation créent un mot de passe fiable. Un mot de passe faible peut être menacé et permettre un accès illicite à votre Mac, à vos fichiers, à votre compte de messagerie personnel, ainsi qu'aux données confidentielles de l'entreprise. Le mot de passe que vous choisissez est très important pour assurer la sécurité de votre ordinateur, car il sert à installer les logiciels, créer les comptes, accéder à l'utilitaire « Trousseau d'accès » et ouvrir une session sur votre ordinateur. Les mots de passe les plus résistants utilisent une combinaison de lettres majuscules, lettres minuscules, de caractères spéciaux (comme $@!#) et de chiffres. Par exemple, p0$teL1quide est un bon mot de passe car il s'agit d'une phrase inhabituelle qui est longue mais facile à mémoriser, et dans laquelle certaines lettres sont remplacées par des caractères spéciaux et des chiffres. Snow Leopard inclut l'Assistant mot de passe, une application qui analyse la complexité d'un mot de passe et qui peut générer un mot de passe complexe. Vous pouvez spécifier la longueur et le type de mot de passe à créer. Les méthodes suivantes sont disponibles pour définir un mot de passe : Manuel Vous entrez un mot de passe, puis l'Assistant mot de passe indique sa fiabilité sous forme de jauge. Si le mot de passe est faible, l'Assistant mot de passe suggère des manières d'améliorer sa fiabilité. Mémorisable Vous indiquez la longueur souhaitée, puis l'Assistant mot de passe génère une liste de mots de passe mémorisables dans le menu Suggestion. Lettres et chiffres Vous indiquez la longueur souhaitée, puis l'Assistant mot de passe génère une liste de mots de passe composés de chiffres et de lettres. Chiffres seulement Vous indiquez la longueur souhaitée, puis l'Assistant mot de passe génère une liste de mots de passe composés uniquement de chiffres. 2828 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 29 Aléatoire Vous indiquez la longueur souhaitée, puis l'Assistant mot de passe génère une liste de mots de passe composés de caractères aléatoires. Conforme à FIPS-181 Vous indiquez la longueur souhaitée, puis l'Assistant mot de passe crée un mot de passe conforme à la norme FIPS-181 (qui mélange lettres majuscules et minuscules, ponctuation et chiffres). Vous pouvez, par exemple, créer un mot de passe aléatoire ou conforme à la norme FIPS-181 d'une longueur de 12 caractères. Pour utiliser l'Assistant mot de passe lors du changement d'un mot de passe : Pour utiliser l'Assistant mot de passe, procédez de la manière suivante :: 1 Choisissez le menu Pomme > Préférences Système, cliquez sur Comptes, puis sur le bouton « Modifier le mot de passe ». 2 Ouvrez l'Assistant mot de passe en cliquant sur l'icône clé à droite du champ «Nouveau mot de passe». 3 Dans le menu déroulant Type, sélectionnez Mémorisable, Manuel ou le type de mot de passe le plus conforme aux règles de sécurité de votre entreprise. Vous pouvez également choisir le nombre de caractères souhaité pour les mots de passe créés automatiquement en déplaçant le curseur Longueur vers la droite ou vers la gauche. 4 Cliquez sur le bouton « Modifier le mot de passe ». En définissant un mot de passe fiable, vous avez protégé vos données personnelles contre des accès non autorisés.Verrouiller l'écran de l'ordinateur Si vous souhaitez conserver la session ouverte lorsque vous vous éloignez de votre ordinateur, tout en empêchant son utilisation par d'autres, vous pouvez verrouiller l'écran. Lorsque vous revenez à votre poste, il suffit de saisir votre nom et mot de passe d'ouverture de session pour reprendre le travail. Pour exiger une authentification pour sortir votre ordinateur de veille : 1 Choisissez le menu Pomme > Préférences Système, cliquez sur Sécurité, puis sur Général. 2 Cochez la case « Exiger le mot de passe... après la suspension d'activité ou le lancement de l'économiseur d'écran ». Utilisez le menu déroulant pour régler le délai avant l'entrée en vigueur de la demande de mot de passe. Les utilisateurs qui disposent de comptes administrateur peuvent utiliser leur nom et leur mot de passe pour déverrouiller l'écran. Le verrouillage de l'écran n'empêche pas qu'un autre utilisateur éteigne l'ordinateur et le redémarre, puis ouvre une session avec son propre compte. Si ce scénario est envisageable, veillez à enregistrer votre travail avant de vous éloigner de votre ordinateur. Pour verrouiller rapidement votre écran lorsque la permutation rapide d'utilisateur est activée, sélectionnez Fenêtre d'ouverture de session dans le menu qui porte votre nom. Vos applications restent ouvertes, mais votre ordinateur est verrouillé. Désactiver l'ouverture de session automatique Si votre ordinateur démarre sans afficher la fenêtre d'ouverture de session, c'est qu'il est configuré pour ouvrir automatiquement une session pour un compte utilisateur particulier. Lorsqu'un ordinateur est partagé par plusieurs utilisateurs, il est conseillé de créer un compte pour chaque utilisateur et de désactiver l'ouverture de session automatique. L'utilisation de comptes distincts protège les données de chaque utilisateur et renforce la sécurité de l'ordinateur. Important : l'ouverture de session automatique permet à n'importe qui d'accéder à votre Mac en le redémarrant. Il convient donc de la désactiver pour sécuriser votre ordinateur. Si l'ouverture de session automatique est activée, vérifiez que votre ordinateur n'ouvre pas une session d'un compte doté de droits d'administrateur. Pour désactiver l'ouverture de session automatique : 1 Choisissez le menu Pomme > Préférences Système, puis cliquez sur Comptes. 3030 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 31 2 Cliquez sur le cadenas pour le déverrouiller, puis entrez un nom et mot de passe d'administrateur. 3 Cliquez sur Options. 4 Sélectionnez Désactivé dans le menu local « Ouverture de session automatique ». Lors du prochain démarrage de votre ordinateur, la fenêtre d'ouverture de session sera affichée, et un nom et un mot de passe seront exigés pour ouvrir une session. FileVault FileVault stocke votre dossier de départ dans une image disque chiffrée. Le chiffrement brouille les données dans votre dossier de départ, afin que les utilisateurs, applications ou utilitaires non autorisés ne puissent pas accéder à vos données sans votre mot de passe ou le mot de passe principal. Dans cette section, vous allez configurer FileVault et définir un mot de passe principal, qui permet de réinitialiser le mot de passe d'ouverture de session de n'importe quel compte. Pour configurer FileVault, vous devez ouvrir une session avec un compte administrateur. Avant de commencer, vérifiez que vous disposez de suffisamment d'espace sur le disque dur qui contient votre dossier de départ. Vous devez disposer d'au moins autant d'espace que celui actuellement occupé par votre dossier de départ. Par exemple, si votre dossier de départ occupe 20 Mo, vérifiez que vous disposez d'au moins 20 Mo d'espace disque disponible. Cet espace est utilisé à titre temporaire durant le processus de chiffrement. Pour configurer FileVault : Pour configurer FileVault et renforcer la sécurité, procédez de la manière suivante : : 1 Ouvrez une session avec le compte que vous souhaitez protéger avec FileVault. Remarque : FileVault peut chiffrer le dossier de départ d'un compte administrateur ou standard.2 Choisissez le menu Pomme > Préférences Système, puis cliquez sur Sécurité. 3 Ouvrez le volet FileVault des préférences de sécurité. 4 Si le volet de préférences Sécurité est verrouillé, cliquez sur l'icône de cadenas, et authentifiez-vous en tant qu'administrateur. 3232 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 33 5 Si les préférences de sécurité indiquent qu'aucun mot de passe principal n'est défini, cliquez sur le bouton Définir, puis tapez un mot de passe dans le champ « Mot de passe principal ». Le mot de passe principal sert à réinitialiser le mot de passe d'ouverture de session de n'importe quel compte, y compris des comptes protégés par FileVault. 6 Entrez le mot de passe à nouveau dans le champ Confirmer. 7 Tapez un indice dans la zone Indice pour vous aider à vous souvenir du mot de passe. AVERTISSEMENT : n'oubliez pas votre mot de passe principal. Si vous activez FileVault et que vous oubliez votre mot de passe d'ouverture de session et votre mot de passe principal, vous ne pourrez pas vous connecter à votre compte, et vos fichiers et réglages seront perdus à jamais. 8 Cliquez sur OK. 9 Cliquez sur « Activer FileVault ».Vous avez activé FileVault et sécurisé le contenu de votre dossier de départ. Grâce au chiffrement FileVault et à un mot de passe principal fiable, les données de votre dossier de départ sont inaccessibles, même si une personne non autorisée dispose d'un accès physique à votre ordinateur ou disque dur. Sécurité de l'ordinateur La sécurité ne se limite pas aux mots de passe et au chiffrement des données. Mac OS X prend en charge des méthodes supplémentaires conçues pour sécuriser l'ordinateur lui-même. La définition d'un mot de passe au niveau du micrologiciel ou programme interne empêche le contournement de la sécurité au niveau du système d'exploitation en démarrant sur un périphérique non autorisé. La protection antivirus quant à elle empêche les virus provenant d'autres systèmes d'exploitation utilisés sur le réseau de menacer vos données. Mot de passe de programme interne Vous pouvez configurer un mot de passe de programme interne pour activer une protection au niveau matériel de votre Mac. Le mot de passe de programme interne empêche un utilisateur non autorisé de démarrer votre Mac à partir d'un disque externe, d'un disque optique ou d'une clé USB. Pour effectuer cette tâche, vous devez disposer du DVD d'installation de Snow Leopard. Pour définir un mot de passe de programme interne : Pour définir un mot de passe de programme interne, procédez de la manière suivante. : 1 Ouvrez une session avec un compte administrateur et lancez « Utilitaire de mot de passe du programme interne » (situé dans le menu Utilitaires lorsque vous démarrez sur le disque d'installation de Mac OS X). 2 Cochez « Mot de passe exigé pour démarrer cet ordinateur depuis une autre source ». 3 Entrez un mot de passe dans les champs « Mot de passe » et Confirmer. 4 Cliquez sur OK. Une confirmation apparaît. 5 Cliquez sur l'icône de cadenas pour empêcher toute modification ultérieure. Vous pouvez tester vos réglages en tentant de démarrer en mode "single-user" (utilisateur individuel). Redémarrez le Mac en maintenant les touches Commande et S enfoncées. Si le Mac affiche la fenêtre d'ouverture de session au démarrage, cela signifie que les modifications effectuées avec « Utilitaire de mot de passe du programme interne » ont été prises en compte. Pour réinitialiser le mot de passe du programme interne : Pour réinitialiser le mot de passe du programme interne si vous l'avez perdu ou oublié, vous devez accéder à l'intérieur du Mac (comme sur un PC où vous devez retirer la pile de la carte mère pour réinitialiser le mot de passe du BIOS). Pour réinitialiser le mot de passe de programme interne, procédez de la manière suivante : : 1 Éteignez le Mac. 2 Modifiez la configuration de la mémoire en ajoutant ou retirant de la RAM. 3 Démarrez le Mac. Le mot de passe de programme interne est alors effacé. 3434 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 35 4 Éteignez à nouveau le Mac. 5 Rétablissez la configuration mémoire d'origine. 6 Démarrez le Mac. Remarque : Pour plus d'informations sur la réinitialiser d'unmot de passe de programme interne sur un MacBook Air (fin 2010), se référer à http://support.apple. com/kb/TS3554?viewlocale=fr_FR. Protection antivirus Sans que vous n'ayez à intervenir, Mac OS X vous offre un système de défense multicouche contre les virus et autres logiciels malveillants. Ainsi, il empêche le piratage de vos logiciels au moyen d'un « bac à sable », un mécanisme qui restreint les actions que les programmes peuvent effectuer sur votre Mac, les fichiers auxquels ils peuvent accéder et les autres programmes qu'ils peuvent lancer. Parmi les autres fonctions de sécurité automatiques, citons aussi la fonction «Library Randomization», qui empêche les logiciels malveillants d'atteindre leur cible, et «Execute Disable» qui protège la mémoire de votre Mac des attaques les plus diverses. Les virus sont rares sous Mac OS X, mais il convient de rester vigilant, surtout lorsque vous échangez des fichiers avec des ordinateurs qui utilisent d'autres systèmes d'exploitation. L'utilisation de logiciels antivirus du commerce comme Norton Antivirus ou Intego VirusBarrier peut contribuer à freiner la propagation des virus. Sécurité réseau En complément de la sécurité des comptes utilisateurs et des ordinateurs, la sécurité réseau est essentielle en entreprise. Le coupe-feu de Mac OS X protège votre Mac des accès entrants non autorisés provenant d'autres ordinateurs situés sur un réseau local ou sur Internet. Par ailleurs, un service de réseau privé virtuel (VPN) permet à votre ordinateur d'accéder à des réseaux distants de manière sécurisée. Coupe-feu de Mac OS X Le coupe-feu personnel de Mac OS X peut servir à bloquer les connexions entrantes indésirables. Un coupe-feu protège les services exécutés sur votre ordinateur depuis d'autres ordinateurs du réseau ou d'Internet. Les services activés dans les préférences de partage apparaissent dans la liste des services accessibles par d'autres ordinateurs. Pour empêcher les connexions entrantes pour l'un de ces services, vous devez désactiver les services concernés dans les préférences de partage. Pour activer le coupe-feu de Mac OS X : Pour activer le coupe-feu de Mac OS X, procédez de la manière suivante : :1 Choisissez le menu Pomme > Préférences Système, puis cliquez sur Sécurité. 2 Cliquez sur l'onglet Coupe-feu. 3636 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 37 3 Cliquez sur le cadenas dans le coin inférieur gauche, puis entrez le nom et le mot de passe d'un administrateur local.. 4 Cliquez sur Démarrer pour activer le coupe-feu. Pour configurer les options avancées de coupe-feu : Pour activer les options avancées de coupe-feu, procédez de la manière suivante dans l'onglet Coupe-feu : 1 Cliquez sur Avancé.2 Trois options de coupe-feu avancées sont disponibles : • Cochez la case « Bloquer toutes les connexions entrantes » pour n'autoriser les connexions entrantes que pour les fonctions Internet de base. Vous pourrez toujours relever votre courrier électronique et naviguer sur le Web, mais ce mode empêche tous les services de partage, comme le partage de fichiers ou d'écran disponibles dans le volet Partage des Préférences Système, d'accepter des connexions entrantes. Si vous souhaitez utiliser ces services, désactivez cette option. • Cochez la case « Autoriser automatiquement les logiciels signés à recevoir des connexions entrantes » pour autoriser l'ajout automatique des applications déjà signées par une autorité de certification reconnue à la liste des applications autorisées, et éviter que vous soyez invité à les autoriser. Par exemple, l'application iTunes est déjà signée par Apple, et sera automatiquement autorisée à recevoir les connexions entrantes via le coupe-feu. • Cochez la case « Activer le mode furtif » pour empêcher votre Mac de répondre aux sondes non autorisées ou inattendues. Votre ordinateur continuera à répondre aux requêtes émises par les applications autorisées, mais les requêtes imprévues, comme les ping réseau provenant d'ordinateurs tiers tentant de découvrir votre Mac, ne recevront pas de réponse. 3 Cliquez sur OK lorsque vous avez terminé de paramétrer les réglages avancés. Vous avez configuré le service de coupe-feu intégré à votre Mac et renforcé la sécurité des connexions réseau entrantes. Réseau privé virtuel L'accès par réseau privé virtuel (VPN) vous permet de profiter de services réseau de votre entreprise lorsque vous êtes en déplacement, tout en empêchant son accès aux personnes non autorisées. Mac OS X prend en charge les protocoles normalisés L2TP sur IPSec, PPTP et iPSec de Cisco pour créer des connexions VPN chiffrées grâce au client VPN intégré. Pour vous connecter à un VPN, vous devez obtenir l'adresse du serveur VPN, le type de VPN, le nom de compte VPN, et les données d'authentification utilisateur auprès de votre administrateur réseau. 3838 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 39 Pour configurer une connexion VPN : Pour configurer une connexion VPN, procédez de la manière suivante : 1 Choisissez le menu Pomme > Préférences Système, puis cliquez sur Réseau. 2 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) au bas de la liste des services de connexion réseau, puis sélectionnez VPN dans le menu local Interface. 3 Sélectionnez le type de connexion VPN que vous souhaitez configurer dans le menu déroulant « Type de VPN », puis nommez le service.4 Entrez l'adresse du serveur et le nom du compte de la connexion VPN. 5 Cliquez sur « Réglages d'authentification » et entrez les informations demandées. 4040 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 41 6 Cliquez sur OK, puis sur « Se connecter ». 7 Cochez « Afficher l'état VPN dans la barre des menus » afin d'utiliser l'icône d'état VPN pour vous connecter au réseau et basculer entre différents services VPN. Vous avez configuré votre Mac pour accéder à un VPN, qui vous permet de vous connecter à distance à votre réseau professionnel, tout en assurant une sécurité renforcée. Récapitulatif Dans cette section, vous avez appris comment sécuriser un Mac au niveau des données utilisateur, de l'ordinateur et du réseau. À l'issue de cette section, vous devez pouvoir effectuer les tâches suivantes : • Activer la sécurité d'un compte utilisateur sur votre Mac en utilisant un mot de passe fiable. • Configurer FileVault et définir un mot de passe principal pour empêcher les accès non autorisés aux données stockées dans votre dossier de départ. • Définir le mot de passe de programme interne de votre Mac pour une protection au niveau matériel de votre ordinateur. • Configurer le coupe-feu de Mac OS X pour limiter les accès réseau entrants aux services et données par d'autres ordinateurs. • Configurer un Mac pour accéder à un réseau distant de manière sécurisée à l'aide d'un service de VPN.Informations complémentaires Consultez les ressources suivantes pour en savoir plus sur la sécurité sur Mac : • Configuration de la protection par mot de passe du programme interne sous Mac OS X, http://support.apple.com/kb/HT1352?viewlocale=fr_FR • “User Accounts” (Comptes utilisateur) dans Mac OS X Support Essentials v10.6, Peachpit Press, 2010 • “Virtual Private Networks” (Réseaux privés virtuels) dans Mac OS X Security and Mobility v10.6, Peachpit Press, 2010 • Mac OS X Security Guide for Mac OS X Version 10.6 Snow Leopard, Apple Inc., 2010 sur http://www.apple.com/support/security/guides/ Impression Présentation Mac OS X Snow Leopard vous permet de vous connecter rapidement à une imprimante locale et de la partager, ainsi que d'utiliser des imprimantes distantes sur le réseau. Les ordinateurs Mac peuvent partager les ressources d'impression avec les ordinateurs Windows de manière relativement simple, afin d'assurer un accès aux imprimantes depuis différentes plates-formes. Dans cette section, vous allez apprendre à configurer votre Mac pour imprimer sur une imprimante connectée en local. Ensuite, vous apprendrez à partager l'imprimante avec les utilisateurs Windows et autres sur le réseau. Enfin, vous verrez comment configurer votre Mac pour accéder aux imprimantes réseau par le biais de différents protocoles d'impression courants, et comment optimiser les imprimantes réseau. Connexion à une imprimante USB Par défaut, Mac OS X Snow Leopard installe le logiciel nécessaire pour la prise en charge des imprimantes déjà connectées à votre Mac, des imprimantes à proximité sur le réseau, et les modèles d'imprimantes et de scanner les plus courants. Pour imprimer sur une imprimante en local, vous devez d'abord vérifier qu'elle soit bien connectée à votre ordinateur, puis l'ajouter à la liste des imprimantes disponibles. La plupart des imprimantes USB sont automatiquement ajoutées à la liste lorsque vous les connectez. Pour ajouter une imprimante USB à votre liste d'imprimantes : Pour imprimer sur une imprimante USB, vérifiez d'abord qu'elle soit connectée à votre ordinateur, puis ajoutez-la à la liste des imprimantes disponibles. La plupart des imprimantes USB sont automatiquement ajoutées à la liste lorsque vous les connectez. 1 Suivez les instructions livrées avec l'imprimante pour la configurer et la connecter à votre ordinateur. 2 Ouvrez un document à imprimer, puis sélectionnez Fichier > Imprimer. 3 Sélectionnez votre imprimante dans le menu local Imprimante. 4242 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 43 4 Si vous n'y voyez pas votre imprimante, sélectionnez « Ajouter une imprimante », puis cliquez le bouton « Plus d'imprimantes ». Si vous ne voyez pas le bouton « Plus d'imprimantes », consultez le fabricant de votre imprimante pour la marche à suivre. 5 Sélectionnez le type de l'imprimante dans le menu déroulant. Par exemple, si vous utilisez une imprimante USB Epson, essayez l'option Epson USB. 6 Dans la colonne « Nom de l'imprimante », sélectionnez l'imprimante et cliquez sur Ajouter. Pour partager votre imprimante avec des utilisateurs Windows par SMB : Vous pouvez partager votre imprimante USB avec les utilisateurs Windows du réseau par le biais du même protocole SMB/CIFS qui sert à partager les fichiers. Pour partager une imprimante connectée à votre Mac, procédez dde la manière suivante : 1 Choisissez le menu Pomme > Préférences Système, puis cliquez sur Partage. 2 Cochez la case « Partage d'imprimantes ». 3 Sélectionnez les imprimantes que vous souhaitez partager.4 Cochez la case « Partage de fichiers ». 5 Si vous ne souhaitez pas partager un dossier, sélectionnez-le dans la liste des dossiers partagés, puis cliquez sur le bouton Supprimer (-) en dessous de la liste. Vous pouvez supprimer tous les dossiers si vous ne souhaitez partager que votre imprimante. 6 Cliquez sur Options. 7 Sélectionnez « Partager les fichiers et dossiers via SMB ». 8 Sélectionnez le nom du compte qui partagera l'imprimante, puis entrez le mot de passe de ce compte. 9 Cliquez sur le bouton Fermer. Vous avez partagé votre imprimante locale avec les utilisateurs Windows et autres. 4444 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 45 Pour imprimer sur votre imprimante par SMB/CIFS, un utilisateur doit ouvrir une session en tant qu'administrateur sur un ordinateur Windows, puis configurer une imprimante réseau SMB/CIFS utilisant le pilote d'impression PostScript, même si l'imprimante concernée n'est pas une imprimante PostScript. Votre Mac convertira les données PostScript en données compatibles avec l'imprimante. L'utilisateur Windows peut se reporter à la documentation Windows pour en savoir plus sur l'ajout d'une imprimante réseau. Impression vers une imprimante réseau Mac OS X peut non seulement se connecter aux imprimantes locales, mais également à différentes imprimantes réseau courantes. De nombreuses imprimantes réseau prennent en charge le protocole Bonjour (la fonction de découverte réseau automatique du Mac), et vous permettent ainsi d'ajouter automatiquement une imprimante réseau en suivant les mêmes étapes que pour une imprimante locale (voir la section précédente). Pour ajouter une imprimante IP à votre liste d'imprimantes, vous devez connaître l'adresse IP ou le nom DNS de votre imprimante réseau. Vous pouvez également saisir d'autres informations utiles sur l'imprimante, comme son emplacement et le nom de sa file d'attente. Dans cette section, vous allez d'abord apprendre à accéder à une imprimante partagée en réseau. Ensuite, vous apprendrez à utiliser les fichiers PPD (PostScript Printer Description) pour tirer le meilleur parti des fonctionnalités des imprimantes partagées en réseau. Pour connecter une imprimante réseau par LPR : Dans un environnement multiplate-forme, le protocole d'impression en réseau LPR (Line Printer Remote) est couramment utilisé. Vous pouvez utiliser les préférences « Imprimantes et fax » pour ajouter une imprimante LPR à la liste des imprimantes de votre ordinateur. Vérifiez que vous disposez de l'adresse IP ou du nom DNS de l'imprimante avant de continuer. Pour accéder à une imprimante IP par LPR, procédez de la manière suivante : 1 Choisissez le menu Pomme > Préférences Système, puis cliquez sur « Imprimantes et fax ».2 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) pour ajouter une imprimante. 3 Cliquez sur l'onglet IP et sélectionnez « Line Printer Daemon - LPD » dans le menu déroulant Protocole. 4646 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 47 4 Entrez le nom DNS ou l'adresse IP de l'imprimante dans le champ Adresse. 5 Entrez le nom de l'imprimante. Si vous le souhaitez, indiquez l'emplacement de l'imprimante dans le champ Emplacement. 6 Cliquez sur le bouton Ajouter. 7 Ouvrez n'importe quel document et sélectionnez Fichier > Imprimer.Votre nouvelle imprimante doit normalement figurer dans le menu déroulant Imprimante. Pour imprimer vers une imprimante partagée par un ordinateur Windows : Vous pouvez également imprimer sur une imprimante compatible SMB/CIFS connectée à un ordinateur Windows. Le propriétaire de l'imprimante doit la configurer pour le partage, et n'utiliser que les caractères suivants dans le nom de l'imprimante et de l'ordinateur : A-Z, a-z, 0-9, !, $, *, (, ), _, +, -, ‘, et . (point). Veillez à obtenir le nom d'utilisateur et le mot de passe de l'imprimante avant de continuer. Pour accéder à une imprimante Windows par SMB/CIFS, procédez de la manière suivante : : 1 Choisissez le menu Pomme > Préférences Système, puis cliquez sur « Imprimantes et fax ». 2 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) pour ajouter une imprimante. 3 Cliquez sur l'onglet Windows. 4848 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 49 4 Sélectionnez l'imprimante dans le navigateur. 5 Si vous y êtes invité, entrez le nom d'utilisateur et mot de passe de l'imprimante. 6 Entrez le nom et l'emplacement de l'imprimante. 7 Cliquez sur le bouton Ajouter. 8 Ouvrez n'importe quel document et sélectionnez Fichier > Imprimer. Votre nouvelle imprimante Windows partagée doit normalement figurer dans le menu déroulant Imprimante. Utilisation des documents PPD Les fichiers PPD ou PostScript Printer Description contiennent des données techniques sur un modèle d'imprimante particulier. Vous devez disposer du fichier PPD adapté pour profiter de toutes les fonctionnalités d'une imprimante donnée. Par exemple, en l'absence du bon fichier PPD, vous ne pourrez pas accéder aux différents bacs, utiliser différents formats de papier, ou imprimer en recto verso. Mac OS X est livré avec des fichiers PPD préinstallés pour les imprimantes les plus courantes. Lorsque vous ajoutez une imprimante, Mac OS X sélectionne automatiquement un fichier PPD pour celle-ci. Vous pouvez changer de fichier PPD pour en utiliser un qui vous semble mieux correspondre à votre imprimante. Utilisez alors un fichier PPD livré avec Mac OS X, ou téléchargez-en un sur Internet. Pour choisir un fichier PPD : Pour changer de fichier PPD pour une imprimante que vous avez déjà ajoutée, procédez de la manière suivante : : 1 Choisissez le menu Pomme > Préférences Système, puis cliquez sur « Imprimantes et fax ».2 Sélectionnez l'imprimante dans la liste de gauche, cliquez sur « Options et fournitures », puis cliquez sur Pilote. 3 Dans le menu déroulant « Imprimer via », sélectionnez l'une des options suivantes : • Pour choisir un fichier PPD que vous avez téléchargé, sélectionnez « Autre ». • Pour choisir un fichier PPD livré avec Mac OS X, sélectionnez « Sélectionnez le logiciel de l'imprimante ». 4 Sélectionnez le fichier PPD et cliquez sur OK ou Ouvrir. 5 Vérifiez que les options du menudéroulant « Imprimer via » correspondent aux fonctionnalités de votre imprimante, puis cliquez sur OK. Récapitulatif Dans cette section, vous avez découvert les différentes manières d'utiliser les imprimantes locales et distantes avec un Mac. Mac OS X prend intégralement en charge la majorité des imprimantes les plus courantes. Il suffit généralement de connecter une imprimante USB à votre Mac pour pouvoir l'utiliser. L'accès aux imprimantes partagées en réseau, dont les imprimantes Windows, est également simple et intuitif. Enfin, les utilisateurs Windows peuvent imprimer sur une imprimante USB partagée en réseau par un Mac en exploitant les fonctions de partage d'imprimantes de Mac OS X. À l'issue de cette section, vous devez pouvoir effectuer les tâches suivantes : • Configurer un Mac pour imprimer sur une imprimante USB. • Partager une imprimante locale avec les utilisateurs du réseau et Windows. • Configurer un Mac pour imprimer sur une imprimante réseau ou Windows. • Configurer un fichier PPD pour une imprimante réseau. Informations complémentaires Consultez les ressources suivantes pour en savoir plus sur l'impression de documents sur Mac : • “Peripherals and Printing” (Périphériques et impression) dans Mac OS X Support Essentials v10.6, Peachpit Press, 2010 • Enterprise Printing with Mac OS X (Impression en entreprise avec Mac OS X) sur http:// images.apple.com/business/solutions/it/docs/ L418078A-US_Enterprise_Printing_with_Mac_OS_X_Technical_White_Paper-1.pdf • Print Server Administration Version 10.6 Snow Leopard, Apple Inc., 2010 sur http://images.apple.com/server/macosx/docs/Print_Server_Admin_v10.6.pdf 5050 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 51 Messagerie instantanée Présentation En entreprise, la messagerie instantanée permet aux membres dispersés d'une équipe de garder le contact. iChat est l'application de messagerie instantanée de Mac OS X qui prend en charge les comptes MobileMe, .Mac, AIM, Jabber et Google Talk. Votre message instantané apparaît dans une fenêtre sur l'écran de votre collègue dès que vous l'envoyez, et celui-ci peut vous répondre instantanément. Vous pouvez utiliser iChat pour envoyer des fichiers à vos interlocuteurs sur Internet ou votre réseau local. Vous pouvez aussi mener des conférences audio ou vidéo pour communiquer avec vos collègues aux quatre coins de la planète. iChat prend en charge le protocole XMPP (Extensible Messaging and Presence Protocol) également connu sous le nom de Jabber, ce qui lui permet de communiquer directement avec divers services de messagerie courants. Il prend également en charge le protocole Bonjour pour découvrir automatiquement les utilisateurs iChat sur votre réseau d'entreprise. iChat prend en charge le codec vidéo haute qualité H.264/ AVC pour la visioconférence. Dans cette section, vous découvrirez comment configurer le Mac pour la messagerie instantanée avec iChat et MobileMe. Vous apprendrez ensuite à utiliser iChat avec d'autres services de messagerie instantanée comme AIM, Jabber et Google Talk. Configuration d'iChat Le service MobileMe vous permet d'échanger des messages instantanés à l'aide d'iChat avec d'autres utilisateurs MobileMe et .Mac. Vous pouvez également communiquer avec les utilisateurs d'AIM (America Online Instant Messenger). Pour configurer iChat : Pour configurer la messagerie instantanée MobileMe dans iChat, procédez de la manière suivante : : 1 Ouvrez iChat depuis le Dock ou le dossier Applications.2 Sélectionnez iChat > Préférences et cliquez sur Comptes. 3 Cliquez sur le bouton Ajouter (+). 5252 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 53 4 Sélectionnez MobileMe dans le menu « Type de compte ». 5 Si vous ne disposez pas d'un compte MobileMe, cliquez sur « Ouvrir un compte iChat » pour vous inscrire. 6 Entrez votre nom et votre mot de passe MobileMe. 7 Cliquez sur Terminé. iChat se connecte alors au service iChat et affiche la liste des contacts de votre Carnet d'adresses qui ont des comptes AIM ou iChat. Si vous n'avez pas de contacts qui disposent de comptes AIM ou iChat, votre liste de contacts reste vide. Vous avez configuré iChat pour la messagerie instantanée avec MobileMe, ce qui vous permet de garder le contact avec vos collègues, qu'ils soient dans le même immeuble ou à l'autre bout du monde. Autres services de messagerie instantanée Dans cette section, vous allez configurer iChat pour d'autres services de messagerie instantanée, comme AIM, Jabber et Google Talk. Pour configurer un compte AIM dans iChat : Pour configurer la messagerie instantanée AIM dans iChat, procédez de la manière suivante : 1 Ouvrez iChat depuis le Dock ou le dossier Applications. 2 Sélectionnez Préférences > Comptes et cliquez sur le bouton Ajouter (+). 5454 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 55 3 Sélectionnez AIM dans le menu « Type de compte ». 4 Si vous ne disposez pas déjà d'un compte AIM, cliquez sur « Ouvrir un compte iChat » pour vous inscrire. Vous êtes alors redirigé sur le site web d'AOL. 5 Entrez votre pseudonyme et votre mot de passe AIM et cliquez sur Terminé. iChat se connecte alors au service iChat et affiche la liste des contacts de votre Carnet d'adresses qui disposent de comptes AIM ou iChat.Pour configurer un compte Jabber dans iChat : Un compte Jabber peut être configuré pour communiquer avec des membres d'autres services de messagerie instantanée, comme Yahoo! Messenger, MSN et ICQ. Pour en savoir plus sur la configuration de votre compte Jabber pour utiliser ces systèmes de messagerie, consultez le site www.jabber.com. Votre organisation peut également disposer de son propre serveur Jabber. Pour configurer l'utilisation de Jabber dans iChat, de la manière suivante : 1 Ouvrez iChat depuis le Dock ou le dossier Applications. 2 Sélectionnez Préférences > Comptes et cliquez sur le bouton Ajouter (+). 5656 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 57 3 Sélectionnez Jabber dans le menu « Type de compte ». 4 Si vous ne disposez pas déjà d'un compte Jabber, allez sur www.jabber.com pour en créer un. 5 Entrez le nom du compte et le mot de passe Jabber. 6 Le cas échéant, cliquez sur le triangle d'affichage situé devant « Options du serveur » et entrez le nom du serveur et le port obtenus lors de votre inscription à Jabber. 7 Cliquez sur Terminé. Pour confirmer le bon fonctionnement du compte, essayez d'ajouter d'autres contacts Jabber à votre liste de contacts en sélectionnant Contacts > Ajouter un contact. Pour configurer un compte Google Talk dans iChat : Pour configurer la messagerie instantanée Google Talk dans iChat, procédez de la manière suivante :1 Ouvrez iChat depuis le Dock ou le dossier Applications. 2 Sélectionnez Préférences > Comptes et cliquez sur le bouton Ajouter (+). 5858 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 59 3 Sélectionnez Google Talk dans le menu « Type de compte ». 4 Si vous ne disposez pas déjà d'un compte Google Talk, allez sur www.google.com pour en créer un. 5 Entrez le nom et le mot de passe de votre compte Google et cliquez sur Terminé. Pour confirmer le bon fonctionnement du compte, essayez d'ajouter des contacts Google Talk à votre liste de contacts en sélectionnant Contacts > Ajouter un contact.Récapitulatif Dans cette section, vous avez appris à utiliser la messagerie instantanée sur votre Mac pour collaborer en temps réel avec vos collègues. iChat prend en charge les principaux services de messagerie instantanée, comme MobileMe et AIM. Il permet également d'accéder à différents services courants comme Jabber et Google Talk. La prise en charge complète de ces messageries par Mac OS X vous permet ainsi de communiquer en temps réel avec vos collègues, indépendamment du système d'exploitation et du service de messagerie qu'ils utilisent. À l'issue de cette section, vous devez pouvoir effectuer les tâches suivantes : • Configurer la messagerie instantanée MobileMe dans iChat. • Configurer iChat pour d'autres services de messagerie comme AIM, Jabber et Google Talk. Informations complémentaires Consultez les ressources suivantes pour en savoir plus sur la messagerie instantanée sur Mac : • Articles et informations utiles relatifs à iChat, http://support.apple.com/kb/ ht2008?viewlocale=fr_FR Gestion et sauvegarde de données Présentation Lorsque vous passez d'un ordinateur Windows à un Mac, vous pouvez transférer la plupart de vos fichiers PC et continuer à les utiliser comme avant. Les formats de fichiers Windows courants, dont les documents au format texte et PDF, les images et les fichiers audio et vidéo, peuvent être facilement ouverts sous Mac OS X. La première étape consiste à faire migrer vos fichiers de l'ordinateur Windows vers votre Mac. En plus de la migration de vos données, il est important de protéger celles-ci. Il est conseillé de procéder à des sauvegardes régulières de votre système et de conserver plusieurs sauvegardes de vos fichiers importants. Votre organisation vous oblige peut- être à suivre des règles de sauvegarde particulières, mais même si ce n'est pas le cas, rien ne vous empêche d'adopter une stratégie de sauvegarde personnelle. Dans cette section, vous allez apprendre à migrer vos données Windows vers un Mac à l'aide de différentes méthodes de transfert. Vous verrez ensuite comment mettre en œuvre une stratégie de sauvegarde pour protéger vos données importantes contre les risques de perte. Migration de données de Windows vers un Mac Vous pouvez copier les fichiers de votre PC sur un disque ou support de stockage externe, puis l'utiliser sur votre Mac. Vous pouvez également envoyer vos fichiers Windows vers votre Mac par e-mail, ou relier le Mac et le PC en réseau et recourir au partage de fichiers. 6060 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 61 Copie de fichiers sur un support de stockage externe Un disque dur ou support de stockage externe constitue un moyen pratique de faire migrer des quantités importantes de données d'un ordinateur Windows vers un Mac. Si votre ordinateur Windows est équipé d'un lecteur de CD ou DVD ou d'un port USB, sélectionnez l'une des options suivantes : • Copiez les fichiers du PC vers un disque dur ou dispositif de stockage externe, puis connectez le lecteur en question à votre Mac et transférez les fichiers sur le disque dur de votre Mac. Vérifiez que le disque est formaté sur le PC. En effet, si votre Mac peut lire les disques formatés nativement sur un ordinateur Windows, l'inverse n'est pas supporté par défaut. • Gravez les fichiers sur un CD ou un DVD sur votre PC, puis utilisez ces mêmes disques sur votre Mac pour transférer les fichiers sur le disque dur de votre ordinateur. Migration des fichiers par e-mail Si vous avez moins de 5 Mo de données à transférer depuis votre ordinateur Windows, vous pouvez les envoyer par e-mail. Pour transférer des fichiers par e-mail : Procédez de la manière suivante pour faire migrer les fichiers d'un ordinateur Windows vers votre Mac par e-mail : 1 Créez des fichiers zip sur le PC pour regrouper vos fichiers. 2 Envoyez ces fichiers à vous-même par e-mail sous Windows. 3 Récupérez les fichiers envoyés à l'aide de Mail sur le Mac. Sauvegarde de données Les sauvegardes fréquentes constituent le meilleur moyen de prévenir le risque de perte de données suite à une défaillance matérielle, une erreur de manipulation, la corruption des données ou même un vol de matériel. Mac OS X Snow Leopard inclut Time Machine, une application qui peut automatiquement sauvegarder votre ordinateur et vos fichiers importants et irremplaçables sur un disque dur externe ou un volume réseau. Sauvegarde de données avec Time Machine Time Machine est doté d'une interface intuitive pour restaurer vos fichiers ou votre ordinateur tout entier. Par défaut, Time Machine conserve une copie à jour des données importantes stockées sur votre Mac : applications, photos numériques, musique, films, documents, etc. Vous pouvez facilement « remonter le temps » pour restaurer des fichiers en cas de besoin. À noter que certains types de fichiers sont ignorés par Time Machine, comme les caches Safari et certains fichiers système. La configuration de Time Machine revient tout simplement à relier un disque dur externe USB, FireWire ou eSata à votre Mac. Vous pouvez également utiliser un deuxième disque interne dans un Mac de bureau (un disque que votre ordinateur Mac n'utilise pas en tant que disque de démarrage).Pour configurer Time Machine : Pour effectuer la configuration initiale de Time Machine, procédez de la manière suivante : : 1 Reliez un disque dur FireWire ou USB à l'ordinateur. Si vous n'avez pas encore spécifié de disque de sauvegarde, Time Machine vous demande si vous souhaitez utiliser le disque que vous venez de connecter en tant que disque de sauvegarde. 2 Cliquez sur « Utiliser comme disque de sauvegarde » pour confirmer que vous souhaitez utiliser le disque pour les sauvegardes Time Machine. Les préférences de Time Machine sont alors affichées, et le disque concerné est sélectionné en tant que périphérique de sauvegarde. Vous n'avez rien d'autre à faire pour que Time Machine sauvegarde automatiquement votre Mac. La première sauvegarde peut durer longtemps. Pensez à configurer Time Machine en fin de journée, afin d'effectuer la sauvegarde initiale pendant la nuit. Par défaut, Time Machine conserve une sauvegarde horaire des 24 dernières heures, une sauvegarde quotidienne pour le mois écoulé, et des sauvegardes hebdomadaires de tout ce qui est antérieur à un mois, jusqu'à ce que le disque de sauvegarde soit saturé. 6262 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 63 Pour sélectionner manuellement un disque de sauvegarde Time Machine : Vous pouvez sélectionner manuellement un disque de sauvegarde Time Machine en procédant de la manière suivante : : 1 Choisissez le menu Pomme > Préférences Système, puis cliquez sur Time Machine. 2 Cliquez sur « Choisir un disque de sauvegarde ». Tous les volumes compatibles, à l'exception de votre disque de démarrage, sont affichés. 3 Choisissez le disque sur lequel vous souhaitez stocker vos sauvegardes, puis cliquez sur Sélectionner.Autres méthodes de sauvegarde En plus des disques durs, d'autres méthodes sont disponibles pour sauvegarder vos données, dont les sauvegardes sur un serveur réseau ou sur un service dans le nuage comme MobileMe. Pour sauvegarder sur un serveur : Pour sauvegarder sur un disque en réseau, le serveur réseau doit utiliser le partage de fichiers AFP (Apple File Protocol) et votre ordinateur ainsi que le disque de sauvegarde en réseau doivent être équipés de Mac OS X 10.5.6 ou une version ultérieure. Pour que le serveur réseau soit disponible dans Time Machine, vérifiez que vous l'avez monté en tant que volume partagé sur votre Mac à l'aide de la commande du Finder Aller > Se connecter au serveur. Pour sauvegarder sur un serveur réseau, procédez de la manière suivante : 1 Choisissez le menu Pomme > Préférences Système, puis cliquez sur Time Machine. 2 Cliquez sur « Choisir un disque de sauvegarde ». 3 Choisissez le serveur réseau sur lequel vous souhaitez stocker vos sauvegardes, puis cliquez sur Sélectionner. 6464 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 65 Une autre méthode est disponible si vous utilisez un dossier de départ en réseau dans votre organisation. Tous les fichiers que vous stockez dans votre dossier de départ en réseau seront sauvegardés, puisque votre dossier de départ est stocké sur un serveur, et que tous les fichiers du serveur sont sauvegardés. Pour sauvegarder sur MobileMe : Si vous êtes abonné à MobileMe, vous pouvez utiliser l'application « Backup » pour sauvegarder les fichiers importants de votre dossier de départ, comme les fichiers et dossiers sur votre Bureau, ou stockés dans les dossiers Documents, Vidéos, Musique et Images. Si vous n'avez pas installé Backup sur votre Mac, vous pouvez le télécharger depuis le dossier Software de votre iDisk. Remarque : MobileMe Backup n'est pas conçu pour sauvegarder l'intégralité de votre disque dur ou les fichiers qui ne résident pas dans votre dossier de départ. Généralement, le dossier de départ sert à stocker vos fichiers les plus importants. Mac OS X et les applications tierces peuvent être réinstallés à partir des disques ou images disque d'origine en cas de besoin. Récapitulatif Dans cette section, vous avez découvert la gestion des données et différentes manières de transférer vos fichiers d'un ordinateur Windows sur votre Mac. Vous avez également appris à sauvegarder vos données avec votre Mac afin de vous protéger des pertes de données et des coûts associés. Avec Time Machine, la procédure est on ne peut plus simple. À l'issue de cette section, vous devez pouvoir effectuer les tâches suivantes : • Faire migrer des données d'un ordinateur Windows vers votre Mac en utilisant un disque externe, par e-mail ou par partage de fichiers. • Faire migrer vos données d'un ordinateur Windows vers votre Mac à l'aide d'autres méthodes. • Configurer Time Machine pour une utilisation avec un disque dur externe. • Sauvegarder vos données à intervalles réguliers avec Time Machine. • Sauvegarder vos données sur un serveur ou sur un service dans le nuage comme MobileMe. Informations complémentaires Consultez les ressources suivantes pour en savoir plus sur la gestion et les sauvegardes de données sur Mac : • Mac 1-2-3 : Time Machine, http://support.apple.com/kb/HT1427?viewlocale=fr_FR • Passage à Mac 1-2-3 : faire migrer vos fichiers ou votre système Windows, http:// support.apple.com/kb/HT2518?viewlocale=fr_FR • MobileMe : conseils de dépannage pour Backup, http://support.apple.com/kb/ TS1716?viewlocale=fr_FRCompatibilité multiplate-forme Présentation Mac OS X vous permet d'intégrer de manière transparente votre Mac au sein d'environnements Windows ou multiplates-formes en réseau. Vous pouvez utiliser Microsoft Office, connecter la plupart des imprimantes et appareils photo, rejoindre des réseaux PC et même exécuter Windows sur votre Mac. Avec Snow Leopard, le Mac est le seul ordinateur avec prise en charge intégrée de la dernière version de Microsoft Exchange Server. Ainsi, vous pouvez utiliser votre Mac (et toutes les fonctionnalités et applications que vous aimez) chez vous et au bureau et centraliser tous vos messages, rendez-vous et contacts dans un seul emplacement. Une version native de Microsoft Office est disponible pour Mac OS X. Elle intègre une interface Mac conviviale qui vous permet de créer des documents dans Word, des présentations dans PowerPoint et des feuilles de calcul dans Excel exactement comme sur un PC Windows. Votre Mac est également compatible avec Microsoft Office pour Windows, pour vous permettre d'échanger facilement des documents avec vos amis et collègues. Même si Microsoft Office n'est pas installé sur votre Mac, vous pouvez utiliser la fonctionnalité « Coup d'oeil » pour consulter des documents Office sans ouvrir d'application. Mac OS X prend également en charge les fichiers de type PDF, TXT, JPEG, PNG et même PSD au niveau du système d'exploitation. Tout nouveau Mac vous permet d'installer un système d'exploitation Windows comme Vista et Windows 7 et de les exécuter à pleine vitesse, grâce à Boot Camp, un utilitaire intégré. L'installation est simple et sûre pour vos fichiers Mac. Une fois l'installation effectuée, vous pouvez démarrer votre Mac sous Mac OS X ou sous Windows. Si vous souhaitez exécuter des applications Windows et Mac en même temps sans redémarrer, vous pouvez installer Windows au sein de Mac OS X au moyen des logiciels VMware ou Parallels. Dans cette section, vous découvrirez les applications disponibles à la fois sous Mac et Windows. Vous découvrirez également des applications Mac qui prennent en charge les fichiers Windows. Ensuite, vous apprendrez à configurer votre Mac pour exécuter les systèmes d'exploitation Windows en mode natif avec Boot Camp, ou en mode virtuel avec VMware Fusion et Parallels Desktop. Compatibilité multiplate-forme Vous pouvez utiliser les fichiers Windows sous Mac OS X à l'aide d'applications disponibles sur les deux plates-formes. Par ailleurs, de nombreuses applications Mac permettent d'importer des fichiers créés aux formats Windows. Applications multiplates-formes Certains éditeurs offrent des versions de leurs applications à la fois pour Windows et Mac OS X, pour prendre en compte les environnements multiplates-formes déployés dans de nombreuses organisations. 6666 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 67 Voici quelques exemples d'applications bureautiques multiplates-formes : • Microsoft Office, avec Word, Excel, Outlook, Communicator, Messenger et PowerPoint • Adobe Acrobat, Photoshop, Illustrator, InDesign, After Effects, Premiere Pro • QuickBooks d'Intuit • FileMaker Types de fichiers multiplates-formes De nombreuses applications Mac natives permettent d'importer des fichiers créés sous Windows. Elles vous permettent également d'afficher les types de fichier les plus courants, comme les documents Office, PDF, les images, fichiers texte, MP3, vidéos, fichiers ZIP, etc. Exemples d'applications Mac qui prennent en charge les fichiers Windows : • Pages peut importer les fichiers Microsoft Word et la plupart des formats texte Windows. • Numbers peut importer les fichiers Excel, les fichiers Open Financial Exchange créés par Quicken, ainsi que les fichiers au format texte séparé par des virgules ou des tabulations. • Keynote peut importer les présentations PowerPoint. • Toutes les applications compatibles QuickTime peuvent importer les fichiers vidéo .AVI et les fichiers audio .WAV. Exécution de Windows sur Mac Les Mac équipés de processeurs Intel utilisent les mêmes processeurs que les ordinateurs sous Windows, et peuvent ainsi exécuter directement les logiciels Windows de différentes manières. Vous pouvez démarrer sous un système d'exploitation Windows en mode natif sur un Mac en installant le logiciel Boot Camp d'Apple, inclus avec Mac OS X. Ou exécutez Windows directement sur Mac OS X grâce à une application de virtualisation comme VMware Fusion ou Parallels Desktop, qui créent des machines virtuelles Windows exécutées au sein de l'environnement Mac. Dans cette section, vous allez apprendre à configurer Boot Camp, puis découvrir la virtualisation. Boot Camp Boot Camp vous permet d'exécuter un système d'exploitation Windows sur votre Mac à pleine vitesse. Les applications Windows accèdent directement aux processeurs et aux cœurs multiples, aux cartes graphiques 3D accélérées, aux ports haut débit et aux connexions USB, FireWire, Wi-Fi, AirPort et Ethernet Gigabit, etc. Les pilotes Boot Camp pour Windows qui permettent d'exploiter ces fonctionnalités sont disponibles sur le DVD d'installation de Mac OS X, tout comme les pilotes audio et Bluetooth. Ces pilotes sont automatiquement installés lorsque vous insérez le disque dans votre Mac, une fois que vous avez installé Windows. En plus de votre DVD d'installation, vous devez disposer d'un disque d'installation de la version de Windows de votre choix.Pour configurer Boot Camp : Pour configurer Windows avec Boot Camp, procédez de la manière suivante : : 1 Ouvrez une session administrateur sur votre ordinateur, quittez toutes les applications ouvertes, et fermez la session de tout autre utilisateur. 2 Lancez l'Assistant Boot Camp (situé dans /Applications/Utilitaires/) et suivez les instructions à l'écran. Vous devez ensuite créer une partition pour Windows. 3 Réglez la taille de votre partition Windows. Reportez-vous à la documentation d'installation Windows pour déterminer la taille de partition adaptée. 6868 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 69 4 Cliquez sur Partitionner. L'Assistant Boot Camp crée la partition Windows. La partition Mac OS d'origine, ainsi que toutes vos applications et données, ne sont pas affectées. Utilisez à nouveau l'Assistant Boot Camp si vous souhaitez plus tard supprimer la partition et rétablir un volume Mac OS X à une seule partition. 5 Sélectionnez « Lancer l'installation ». 6 Si vous utilisez un ordinateur équipé de plusieurs disques internes, sélectionnez le disque sur lequel vous souhaitez installer Windows, puis cliquez sur Continuer. 7 Insérez votre disque d'installation Windows, et cliquez sur Lancer l'installation. Votre Mac redémarre alors sur le disque d'installation Windows. Suivez les instructions à l'écran. 8 Sélectionnez une partition Windows. Pour Windows XP, sélectionnez « C: Partition3 [FAT32] ». Pour Windows Vista, sélectionnez « Disk 0 Partition 3 BOOTCAMP ». 9 Formatez la partition Windows. • Pour Windows XP, sélectionnez NTFS pour plus de fiabilité et de sécurité, même si vous ne pourrez alors pas enregistrer de fichiers sur la partition Windows depuis Mac OS X. Sélectionnez FAT pour une partition accessible par Mac OS X, mais limitée à 32 Go. • Pour Windows Vista/7, cliquez sur « Options de lecteurs (avancées) ». Cliquez sur Formater, puis sur OK, puis sur Suivant (Windows Vista et Windows 7 exigent le format NTFS). Remarque : Mac OS X peut accéder aux partitions FAT en lecture et en écriture, mais ne peut accéder aux partitions NTFS qu'en lecture seule. Vous devez ensuite installer des pilotes propres au Mac et d'autres logiciels pour Windows à partir de votre disque d'installation Mac OS X Snow Leopard. 10 Éjectez le disque d'installation Windows et insérez votre DVD d'installation Mac OS X.11 Suivez les instructions à l'écran. Votre Mac redémarre et Windows lance alors son Assistant Ajout de nouveau matériel détecté. Suivez les instructions à l'écran de tout autre assistant qui apparaît. Une fois que vous avez installé Windows et les pilotes Boot Camp, vous pouvez commencer à utiliser Windows sur votre Mac. Boot Camp simplifie le choix de Mac OS X ou de Windows au démarrage de votre ordinateur. Vous pouvez définir le système d'exploitation par défaut pour votre ordinateur avec le volet de préférences Disque de démarrage (Mac OS X) ou le panneau de configuration Boot Camp (Windows). Ou sélectionnez un système d'exploitation au démarrage de votre ordinateur. Virtualisation Si vous n'utilisez les applications Windows qu'occasionnellement, ou si vous n'avez pas besoin des performances optimales de Boot Camp, la virtualisation offre un accès immédiat à Windows sans quitter Mac OS X. VMware Fusion et Parallels Desktop sont deux solutions de virtualisation Windows tierces très prisées. Mware Fusion Pour acheter et télécharger VMware Fusion, rendez-vous sur le site http://www. vmware.com/fr/products/fusion/. En plus de l'application Fusion et d'un numéro de série valable, vous devrez disposer d'un disque d'installation de la version complète de Windows que vous souhaitez utiliser. VMware Fusion installe Windows, ce qui peut prendre jusqu'à 45 minutes. Une fois Windows installé, VMware Fusion installe les pilotes VMware Tools et démarre la machine virtuelle. Vous pouvez dès lors installer et exécuter des applications Windows natives sans quitter Mac OS X. Parallels Desktop Pour acheter et télécharger Parallels Desktop, rendez-vous sur le site http://www. parallels.com/fr/products/desktop/. En plus de l'application Desktop et d'un numéro de série valable, vous devrez disposer d'un disque d'installation de la version complète de Windows que vous souhaitez utiliser. 7070 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 71 Récapitulatif Dans cette section, vous avez découvert les options de compatibilité multiplateforme de votre Mac, vous permettant de travailler de manière transparente avec les utilisateurs Windows. De nombreux programmes Windows comme Microsoft Word et Adobe Photoshop sont également disponibles pour Mac. Les applications Mac OS X comme iWork sont compatibles avec des formats de fichiers Windows courants. Vous pouvez exécuter Windows en mode natif sur un Mac avec Boot Camp, ou dans une fenêtre Mac OS X grâce à une application de virtualisation comme VMware Fusion ou Parallels Desktop. À l'issue de cette section, vous devez pouvoir effectuer les tâches suivantes : • Indiquer les applications disponibles à la fois sous Windows et Mac OS X. • Indiquer les applications Mac natives compatibles avec les formats de fichiers Windows. • Configurer un Mac pour exécuter Windows en mode natif avec Boot Camp. • Indiquer les options de virtualisation tierces pour exécuter Windows. Informations complémentaires Consultez les ressources suivantes pour en savoir plus sur l'utilisation des fichiers et applications Windows sur Mac : • Boot Camp Guide d'installation et de configuration, Apple Inc., 2010 sur http://manuals.info.apple.com/fr_FR/Boot_Camp_Guide_d_installation_10.6.pdf • Mac 1-2-3 : utiliser Windows sur votre Mac à l'aide de Boot Camp, http://support.apple. com/kb/HT1461?viewlocale=fr_FR • “Applications and Boot Camp,” Mac OS X Support Essentials v10.6, Peachpit Press, 2010Examen Fondamentaux de l'intégration Mac Optez pour la certification Apple Certified Associate - Mac Integration 10.6. La marche à suivre pour passer l'examen en ligne est disponible sur : http://training.apple.com/ itpro/fr/macinteg/exam. Formation et certification Mac OS X Apple propose des programmes de certification complets pour les professionnels de l'informatique travaillant en entreprise, dans l'éducation ou d'autres secteurs. Consultez les options de formation et de certification Apple ci-dessous pour identifier celles qui correspondent à vos aspirations. Cours sur Mac OS X Les cours sont dispensés par des formateurs certifiés Apple dans un réseau mondial de centres de formation agréés Apple (AATC). Mac OS X Support Essentials 10.6 : formation intensive et approfondie sur le dépannage de l'ensemble des fonctionnalités et systèmes Mac OS X. Mac OS X Server Essentials 10.6 : apporte aux coordinateurs techniques et administrateurs système débutants les connaissances requises pour mettre en œuvre un système sous Mac OS X Server. Mac OS X Directory Services 10.6 : enseigne les techniques de configuration des ordinateurs Mac OS X pour accéder aux services d'annuaire, et de configuration de Mac OS X Server pour fournir des services d'annuaires dans un environnement multiplate-forme. Mac OS X Deployment 10.6 : s'intéresse aux solutions de déploiement et de maintenance de logiciels, de l'installation de fichiers individuels au déploiement d'images système sur plusieurs ordinateurs. Mac OS X Security and Mobility 10.6 : enseigne les techniques de configuration de Mac OS X Server pour fournir des services réseau afin que les ordinateurs et appareils mobiles comme l'iPhone puissent accéder aux réseaux et services privés en toute sécurité. 3 Ressources complémentaires 7272 Chapitre 2 Intégration d'un Mac 7373 Certifications Mac OS X Les certifications Mac OS X d'Apple sont conçues pour les professionnels de l'informatique qui : • Fournissent une assistance aux utilisateurs Mac OS X en entreprise ou dans le secteur de l'enseignement • Gèrent des réseaux d'ordinateurs Mac OS X au sein d'une organisation, comme un professeur ou responsable technique qui gère un réseau dans une classe ou une salle informatique • Gèrent des réseaux multiplates-formes complexes, qui intègrent des systèmes Mac OS X La certification Apple Certified Associate - Mac Integration 10.6 valide la maîtrise des différentes manières d'intégrer un Mac au sein d'un réseau Windows ou autre réseau normalisé. La certification ACSP (Apple Certified Support Professional) constitue l'étape de certification suivante, et valide les compétences d'assistance et de dépannage de base de Mac OS X. La certification ACTC (Apple Certified Technical Coordinator) complète la certification ACSP en validant des compétences essentielles en matière d'assistance et de dépannage de Mac OS X Server. Certification suprême sur Mac OS X, la certification ACSA (Apple Certified System Administrator) répond aux besoins des administrateurs système et des ingénieurs professionnels chargés de gérer des réseaux de systèmes dans des environnements multiplates-formes complexes. Les professionnels techniques spécialisés dans certains aspects de l'administration système peuvent obtenir des certifications Apple Certified Specialist en matière de services d'annuaire, de déploiement et de sécurité et mobilité. Pour en savoir plus sur les certifications Apple disponibles, rendez-vous sur le site http://training.apple.com. Manuels Les manuels de la série Apple Training Series constituent un élément clé du programme officiel d'Apple concernant Mac OS X et Mac OS X Server. Ces manuels proposent une approche indépendante à la formation et la certification, en guidant les étudiants pas à pas lors de projets concrets. Ils sont également une excellente référence pour fournir de l'assistance, effectuer certaines tâches ou utiliser des technologies particulières. Cinq manuels sont disponibles dans la collection Apple Training Series. Ils s'adressent aux professionnels de l'assistance et de l'administration système : • Mac OS X Support Essentials 10.6 • Mac OS X Server Essentials 10.6 • Mac OS X Directory Services 10.6• Mac OS X Deployment 10.6 • Mac OS X Security and Mobility 10.6 Pour en savoir plus sur ces manuels, consultez le site de Peachpit Press à l'adresse http:// www.peachpit.com. Assistance En plus des offres AppleCare pour les produits, Apple offre une assistance en ligne sur http://www.apple.com/fr/support où vous pouvez consulter des articles techniques, télécharger des manuels et participer aux forums de discussion. Le site d'assistance d'Apple propose également des ressources de formation en ligne pour les utilisateurs qui découvrent Mac OS X : Passage à Mac 1 2 3 : Trouvez vos repères et accédez à tout ce qui figure sur votre Mac ; découvrez comment transférer les fichiers de votre ancien PC vers l'environnement Mac OS ; découvrez comment connecter votre imprimante, iPod, appareil photo numérique ou autre appareil ; découvrez comment accomplir les tâches que vous réalisiez sur votre PC sur le Mac ; découvrez comment utiliser les logiciels livrés avec votre Mac ; et découvrez même comment réagir si les choses ne se passent pas comme prévu. Passage à Mac 1 2 3 est disponible en ligne sur http://www.apple.com/fr/support/switch101/. Mac 1-2-3 : Découvrez comment explorer le bureau de votre Mac (ou découvrez ce qu'est le Bureau) ; découvrez comment connecter votre imprimante, iPod, appareil photo numérique ou autre appareil ; découvrez l'e-mail et Internet ; apprenez à réaliser différentes tâches ; apprenez à utiliser les logiciels livrés avec votre Mac ; et découvrez même comment réagir si les choses ne se passent pas comme prévu. Mac 1-2-3 est disponible en ligne sur http://www.apple.com/fr/support/mac101/. 7474 Chapitre 3 Ressources complémentaires Final Cut Server Guide de configuration et d’administration K Apple Inc. Copyright © 2008 Apple Computer, Inc. Tous droits réservés. Vos droits sur ce logiciel sont régis par la licence d’utilisation qui l’accompagne. Le propriétaire ou l’utilisateur autorisé d’une copie valide du logiciel Final Cut Server peut reproduire cet exemplaire pour en apprendre le fonctionnement. En revanche, il est interdit de reproduire ou de transmettre cette publication, même partiellement, à des fins commerciales telles que la vente de copies ou la prestation de services d’assistance payants. Le logo Apple est une marque d’Apple Computer Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. En l’absence du consentement écrit d’Apple, l’utilisation à des fins commerciales de ce logo via le clavier (Option-1) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Tous les efforts nécessaires ont été mis en œuvre pour que les informations contenues dans ce manuel soient les plus exactes possibles. Apple n’est pas responsable des erreurs survenues lors de l’impression ou de la copie. Remarque : comme Apple met régulièrement sur le marché de nouvelles versions et des mises à jour de son logiciel système, de ses applications et de ses sites Internet, les images qui illustrent le présent ouvrage peuvent différer légèrement de ce que vous voyez à l’écran. Apple Inc. 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014–2084 408-996-1010 www.apple.com Apple, le logo Apple, Final Cut, Final Cut Pro, Final Cut Studio, FireWire, Mac, Macintosh, Mac OS, QuickTime, Tiger, Xsan et Xserve sont des marques d’Apple Inc., déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Finder, Leopard et Spotlight sont des marques d’Apple Inc. AppleCare est une marque de service d’Apple Inc. déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. Intel, Intel Core et Xeon sont des marques d’Intel Corp. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. PowerPC est une marque d’International Business Machines Corporation, utilisée sous licence. Java et toutes les marques Java ainsi que les logos sont des marques ou des marques déposées de Sun Microsystems, Inc. aux États-Unis et dans d’autres pays. UNIX est une marque déposée de The Open Group. Les autres noms de produits et de sociétés mentionnés dans ce document sont des marques appartenant à leurs détenteurs respectifs. Toute mention de produits de tierce partie n’est qu’à titre informatif et ne constitue ni une approbation, ni une recommandation. Apple se dégage de toute responsabilité en ce qui concerne les performances ou l’usage de ces produits. Ducati et le logo Ducati sont des marques déposées de Ducati Motor Holding S.p.A. Utilisés avec leur aimable autorisation. Photos de production du film « Koffee House Mayhem » utilisées avec l’aimable autorisation de Jean-Paul Bonjour. « Koffee House Mayhem » © 2004 Jean-Paul Bonjour. Tous droits réservés. http://www.jbonjour.com Photos de production du film « Les Poupets » utilisées avec l’aimable autorisation de Jean-Paul Bonjour. « Les Poupets » © 2006 Jean-Paul Bonjour. Tous droits réservés. http://www.jbonjour.com 3 1 Table des matières Préface 7 Bienvenue dans l’administration de Final Cut Server 7 Bienvenue dans Final Cut Server 8 Ressources sur l’apprentissage de Final Cut Server 10 Contact de l’assistance AppleCare Partie I Installation et configuration Chapitre 1 13 Vue d’ensemble de Final Cut Server 13 À propos des serveurs et des clients 15 Mise en place d’un système Final Cut Server 16 Stratégie en matière de périphériques de stockage 18 Tâches élémentaires d’administration de Final Cut Server Chapitre 2 21 Utilisation du programme d’installation 21 À propos de l’installation et de la configuration de Final Cut Server 23 Utilisation du programme d’installation de Final Cut Server 32 À propos des profils personnalisés 34 À propos de Final Cut Server et Compressor 38 Mise à jour de votre licence 39 Enregistrement de Final Cut Server Chapitre 3 41 Configuration des Préférences Système 41 Introduction aux Préférences Système de Final Cut Server 42 Réglages de la sous-fenêtre General 44 Réglages de la sous-fenêtre Group Permissions 45 Réglages de la sous-fenêtre Devices 46 Réglages de la sous-fenêtre Automations 47 Réglages de la sous-fenêtre Backup Chapitre 4 49 Ajout d’utilisateurs et de groupes 49 À propos des utilisateurs et des groupes 51 Utilisation de la sous-fenêtre Comptes des Préférences Système 55 Utilisation du Gestionnaire de groupe de travail de Mac OS X Server4 Table des matières 58 Ajout de groupes à Final Cut Server 60 À propos des ensembles d’autorisations Chapitre 5 63 Utilisation de Device Setup Assistant 63 Introduction aux périphériques 64 À propos de la création de périphériques 65 À propos des périphériques par défaut 66 Ajout d’un périphérique 72 Configuration des types de périphériques 77 Modification d’un périphérique 78 Suppression d’un périphérique Chapitre 6 81 Utilisation de l’Assistant réglages d’automatisation 81 À propos de la création d’automatisations 82 À propos des automatisations par défaut 83 Création d’automatisations 93 Modification d’une automatisation 94 Suppression d’une automatisation Chapitre 7 95 Sauvegarde de Final Cut Server 95 Introduction à la sauvegarde de votre système 96 Stratégies de sauvegarde 98 Sauvegarde du catalogue Final Cut Server 99 À propos des fichiers de sauvegarde 100 Restauration du catalogue Final Cut Server Chapitre 8 103 Installation de clients Final Cut Server 103 Introduction au client Final Cut Server 104 Utilisation de Java Web Start 107 À propos des fichiers du client Java Web StartTable des matières 5 Partie II Administration générale Chapitre 9 111 Réglages généraux et préférences 111 Vue d’ensemble de l’administration de Final Cut Server 117 Utilisation de la fenêtre Administration 119 Réglages de préférences dans la fenêtre Administration du client Final Cut Server 125 Réglages des préférences personnalisables 127 Fonctions client uniquement accessibles par l’administrateur 128 À propos de la prise en charge Unicode Chapitre 10 129 Groupes et autorisations 129 À propos des groupes et autorisations 130 Ajout de groupes à Final Cut Server 132 Ajout et gestion d’ensembles d’autorisations Chapitre 11 141 Gestion des métadonnées 141 Introduction aux métadonnées 144 Champs de métadonnées 149 Groupes de métadonnées 155 Mappage de métadonnées 157 Références aux métadonnées 161 Gestion des ensembles de métadonnées 163 Règles de synchronisation des métadonnées 165 Utilisation de métadonnées pour la configuration de l’interface utilisateur 168 À propos des métadonnées QuickTime Chapitre 12 171 Gestion des périphériques 171 À propos des périphériques 173 Ajout d’un périphérique à partir de la fenêtre Administration 176 Modification d’un périphérique à partir de la fenêtre Administration 176 Suppression d’un périphérique par le biais de la fenêtre Administration 177 À propos des périphériques spécialisés 182 Informations détaillées sur le type de périphérique 191 Recherche de périphériques Chapitre 13 197 Gestion des réglages de transcodage 197 À propos des réglages de transcodage 198 Ajout de réglages de transcodage 200 Affectation de réglages de transcodage aux périphériques Chapitre 14 203 Gestion des automatisations 203 À propos de l’automatisation dans Final Cut Server 205 Astuces générales en matière d’automatisation 207 Sous-fenêtre et fenêtre Response6 Table des matières 223 Sous-fenêtre et fenêtre Watcher 226 Sous-fenêtre et fenêtre Subscription 228 Sous-fenêtre et fenêtre Schedule Chapitre 15 231 À propos des tâches et des historiques 231 Visualisation de l’état de Final Cut Server 232 À propos des tâches et de la fenêtre Search All Jobs 237 À propos de la sous-fenêtre Log 238 À propos de la fenêtre Log Glossaire 239 Index 245 7 Préface Bienvenue dans l’administration de Final Cut Server Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  Bienvenue dans Final Cut Server (p. 7)  Ressources sur l’apprentissage de Final Cut Server (p. 8)  Contact de l’assistance AppleCare (p. 10) Bienvenue dans Final Cut Server Final Cut Server est un logiciel performant en matière de gestion de ressources multimédia et pour l’automatisation des flux de production. Final Cut Server permet de gérer facilement de groupes conséquents de fichiers de données. Ses capacités s’étendent également au suivi de l’état des tâches, à l’organisation des passages en revue et des approbations, et à l’automatisation de séquences de tâches complexes, le tout regroupé en un même produit conçu pour utiliser Final Cut Pro de façon transparente. Final Cut Server installe également Compressor. Cette application de transcodage puissante apporte à Final Cut Server un grand nombre de réglages de transcodage préconfigurés, utilisables lors du téléchargement ou de la copie de fichiers de données sur des périphériques Final Cut Server. Vous pouvez également créer des réglages personnalisés dans Compressor et les ajouter à la liste de réglages de transcodage de Final Cut Server.8 Préface Bienvenue dans l’administration de Final Cut Server Ressources sur l’apprentissage de Final Cut Server Un grand nombre de ressources dans le cadre de la prise en main de votre système Final Cut Server vous est proposé. Documentation imprimée de Final Cut Server Ce guide est l’un des deux documents imprimés fournis avec Final Cut Server.  Guide de configuration et d’administration de Final Cut Server : ce guide décrit les tâches d’installation, de configuration et d’administration de la plupart des composants du système Final Cut Server. Il ne décrit pas l’utilisation quotidienne du système, telle que l’exploration des ressources et la gestion des tâches, ou encore les productions et les commandes décrites dans le Manuel de l’utilisateur de Final Cut Server. Important : vous devez comprendre parfaitement les sujets abordés dans le Guide de l’utilisateur de Final Cut Server avant d’aborder le Guide de configuration et d’administration de Final Cut Server.  Manuel de l’utilisateur de Final Cut Server : ce document décrit l’utilisation du client Final Cut Server dans le cadre des opérations quotidiennes du système, telles que l’exploration des ressources, la gestion des tâches et la gestion des productions. Manuels Final Cut Server consultables à l’écran Chaque document imprimé possède une version consultable à l’écran, accessible pendant l’utilisation et l’administration de Final Cut Server.  À partir du client Final Cut Server : le Manuel de l’utilisateur de Final Cut Server est disponible pour tous les utilisateurs dans le menu Aide du client. Le Guide de configuration et d’administration de Final Cut Server est également accessible à partir du menu Aide du client si vous avez ouvert une session avec des autorisations d’administration.  À partir des Préférences Système du serveur Final Cut Server : le Guide de configuration et d’administration de Final Cut Server est consultable à partir des Préférences Système du serveur Final Cut Server, d’un simple clic sur le point d’interrogation situé en bas à droite. Le contenu de ces documentions est identique pour les deux versions, qu’elles soient à l’écran ou imprimées. Cependant, les versions à l’écran comportent de nombreux liens hypertexte et certaines fonctionnalités qui permettent un accès simple et rapide aux informations :  la page d’accès fournit un accès rapide à des fonctionnalités variées, comprenant l’index et d’autres documents et sites web pertinents ;  une liste de signets complète vous permet d’accéder rapidement aux pages à l’aide d’un simple lien. Préface Bienvenue dans l’administration de Final Cut Server 9 En plus de ces outils de navigation, les documents à l’écran proposent d’autres moyens d’accéder rapidement aux informations :  Toutes les références croisées sont reliées. Vous pouvez cliquer sur n’importe quelle référence croisée pour l’atteindre instantanément. Vous pouvez ensuite revenir à l’emplacement initial en cliquant sur le bouton Preview Back.  La table des matières et l’index possèdent également des liens. Si vous cliquez sur l’entrée d’une de ces rubriques, vous accédez directement à la rubrique en question dans le document.  La zone de dialogue Rechercher permet de rechercher des expressions ou de mots particuliers. Sites web Apple Apple vous propose de nombreux sites web afin d’accéder à des informations complémentaires. Site web de Final Cut Server Accédez à ce site pour obtenir des informations générales, des mises à jour et l’actualité de Final Cut Server. Pour accéder au site web de Final Cut Server, rendez-vous à l’adresse suivante :  http://www.apple.com/fr/finalcutserver Il existe également divers forums de discussion et des ressources à but pédagogique sur le web, relatifs à Final Cut Server. Site web de service et d’assistance d’Apple Accédez à ce site pour obtenir des mises à jour de logiciels et retrouver les réponses aux questions les plus fréquemment posées concernant tous les produits Apple, notamment Final Cut Server. Vous y trouverez également les spécifications des produits, de la documentation de référence et des articles techniques sur les produits Apple et de tierce partie. Pour accéder à la page web de service et d’assistance d’Apple, rendez-vous à l’adresse suivante :  http://www.apple.com/fr/support Pour accéder à la page d’assistance de Final Cut Server, rendez-vous à l’adresse suivante :  http://www.apple.com/fr/support/finalcutserver Pour accéder aux pages de discussion d’Apple, rendez-vous à l’adresse :  http://discussions.info.apple.com10 Préface Bienvenue dans l’administration de Final Cut Server Contact de l’assistance AppleCare Des informations sur les options d’assistance proposées par Apple sont disponibles dans le coffret de Final Cut Server. Plusieurs niveaux d’assistance sont proposés. Quelle que soit la nature de votre problème, il est conseillé de disposer des informations ci-dessous lorsque vous contactez l’assistance d’Apple. Plus vous disposez d’informations, plus les agents de l’assistance Apple sera en mesure de résoudre rapidement votre problème.  L’identifiant d’assistance de Final Cut Server figure sur la feuille du numéro de série incluse dans le coffret de Final Cut Server. Remarque : l’identifiant d’assistance à 11 chiffres est différent du numéro de série de produit utilisé pendant l’installation de Final Cut Server.  La version de Mac OS X 10.5 ou Mac OS X Server 10.5 installée (pour la retrouver, sélectionnez le menu Pomme > À propos de ce Mac).  La version de Final Cut Server installée pour laquelle vous avez une question (pour connaître la version de Final Cut Server sur votre ordinateur, choisissez Final Cut Server > À propos de Final Cut Server.  Le modèle d’ordinateur utilisé.  La capacité de RAM installée sur votre ordinateur (pour obtenir cette information, sélectionnez le menu Pomme > À propos de ce Mac).  Quels autres matériels tiers sont installés sur votre ordinateur ou branchés sur celui-ci, et qui est leur fabricant (cela comprend les disques durs, les cartes vidéo, etc.). Pour accéder à la page d’assistance AppleCare de Final Cut Server, rendez-vous à l’adresse suivante :  http://www.apple.com/fr/support/finalcutserver Dans chaque menu Aide du client Final Cut Server, un élément se trouve également pour vous diriger directement sur le site web d’AppleCare. Pour accéder au site web d’AppleCare à partir d’un client Final Cut Server : m Choisissez Help > Final Cut Server Support.I Partie I : Installation et configuration Cette partie du manuel contient les instructions nécessaires à l’installation et la configuration de Final Cut Server sur un système standard. Chapitre 1 Vue d’ensemble de Final Cut Server Chapitre 2 Utilisation du programme d’installation Chapitre 3 Configuration des Préférences Système Chapitre 4 Ajout d’utilisateurs et de groupes Chapitre 5 Utilisation de Device Setup Assistant Chapitre 6 Utilisation de l’Assistant réglages d’automatisation Chapitre 7 Sauvegarde de Final Cut Server Chapitre 8 Installation de clients Final Cut Server 1 13 1 Vue d’ensemble de Final Cut Server Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  À propos des serveurs et des clients (p. 13)  Mise en place d’un système Final Cut Server (p. 15)  Stratégie en matière de périphériques de stockage (p. 16)  Tâches élémentaires d’administration de Final Cut Server (p. 18) Ce chapitre fournit une vue d’ensemble de Final Cut Server, y compris des renseignements sur les stratégies de stockage et sur les tâches d’administration élémentaires. À propos des serveurs et des clients Final Cut Server s’appuie sur un modèle client-serveur. Cela permet à plusieurs clients Final Cut Server d’accéder simultanément au catalogue de Final Cut Server qui contient tous les fichiers de données et toutes les informations sur les ressources et les productions que Final Cut Server gère. Les clients peuvent verrouiller et réserver les ressources utilisées dans les productions, regroupées en collections de ressources et de projets Final Cut Pro, empêchant ainsi les autres utilisateurs d’y apporter des modifications non prévues.14 Partie I Installation et configuration L’ordinateur serveur Final Cut Server doit fonctionner sous Mac OS X v10.5 ou Mac OS X Server v10.5 ou ultérieur. Cet ordinateur peut être utilisé pour stocker vos ressources et vos productions ou être branchés sur divers périphériques externes qui hébergent les ressources, comme des serveurs de données ou un volume Apple Xsan. Les clients Final Cut Server constituant une application Java, ces ordinateurs peuvent correspondre à de nombreux types. De plus, selon ce que l’utilisateur doit faire avec le client (par exemple, utiliser Final Cut Studio avec une connexion directe à un serveur Xsan, ou utiliser uniquement le client pour passer en revue des ressources), les ordinateurs clients ne doivent pas nécessairement être aussi puissants que l’ordinateur serveur. Vous pouvez installer les clients sous un système d’exploitation autre que Mac OS X ; les clients Final Cut Server sont en outre compatibles avec les systèmes d’exploitation Windows XP et Windows Vista. Il existe deux versions de Final Cut Server : l’une prend en charge jusqu’à dix clients connectés simultanément, l’autre prend en charge un nombre illimité de connexions clients simultanées. Pour le reste, ces deux versions de Final Cut Server restent identiques. Le présent manuel s’applique d’ailleurs aux deux versions. Périphérique FireWire Client 1 Client 2 Client 3 Client 4 Client 5 Périphérique du serveur multimédia Volume Xsan Système Final Cut Server Ordinateur Final Cut Server Les clients 1, 2 et 3 n’ont pas accès directement au volume Xsan et doivent y accéder de manière indirecte via Final Cut Server. Les clients 4 et 5 bénéficient d’un accès direct et peuvent profiter des améliorations des performances de la modification sur place.Chapitre 1 Vue d’ensemble de Final Cut Server 15 I Mise en place d’un système Final Cut Server Un système Final Cut Server requiert un ordinateur Macintosh, comme un Xserve à processeur Intel ou un ordinateur Mac Pro, sous Mac OS X v10.5 ou Mac OS X Server v10.5 ou ultérieur. En général, bien que Mac OS X 10.5 propose suffisamment d’outils d’administration pour les petits systèmes Final Cut Server, Mac OS X 10.5 Server est recommandé pour la plupart des configurations. Ce dernier possède en effet plus d’outils d’administration et répond mieux aux besoins généraux en matière de serveur. Pour optimiser les performances, l’ordinateur utilisé comme serveur ne doit pas servir à d’autres fins. La gestion de ressources, en particulier le transcodage de ressources et la création des fichiers proxy (copies en faible résolution des ressources d’origine), peut accaparer vos ressources informatiques. Vous pouvez toutefois utiliser l’ordinateur serveur pour d’autres tâches, comme les applications Final Cut Studio, le cas échéant. Gardez simplement à l’esprit que les performances de l’ordinateur sont affectées par toute activité liée à Final Cut Server. De plus, il peut s’avérer utile de configurer Spotlight pour lui laisser le soin des recherches dans les dossiers que vous utilisez comme périphériques : cela peut avoir un impact positif sur les performances. edit ProxiesC’est particulièrement vrai pour les périphériques Proxies et Modifier les proxys, qui peuvent être soumis à une utilisation intense, ce qui oblige Spotlight à consacrer beaucoup de temps à gérer toutes ces modifications. Vous pouvez utiliser la sous-fenêtre Spotlight des Préférences Système pour identifier les dossiers et les volumes destinés à un usage privé. Prévoyez l’accès à un espace de stockage conséquent pour les données que Final Cut Server gèrent. Vous pouvez utiliser les lecteurs internes et externes de l’ordinateur mais aussi opter pour des périphériques réseau et de formats de fichier parmi les nombreux pris en charge. Les studios plus importants peuvent faire appel à une zone de stockage réseau Apple Xsan (SAN) pour le stockage des ressources et des productions. Consultez la rubrique « Stratégie en matière de périphériques de stockage, » qui suit pour en savoir plus. Vous pouvez exploiter des clients Final Cut Server sur les ordinateurs et systèmes d’exploitation suivants :  Tout ordinateur sous Mac OS X 10.4 ou ultérieur.  Tout ordinateur sous Microsoft Windows XP ou Windows Vista. Consultez la première partie du présent manuel, « Installation et configuration, », pour en savoir plus sur l’installation et la configuration de votre système Final Cut Server. Consultez aussi le document Avant d’installer Final Cut Server, qui se trouve sur le disque d’installation de Final Cut Server, pour en savoir plus sur les ordinateurs et les systèmes d’exploitation pris en charge.16 Partie I Installation et configuration Stratégie en matière de périphériques de stockage Avant d’installer Final Cut Server, vous devez songer au mode de stockage de vos données. À propos des périphériques Final Cut Server utilise le terme de périphérique pour faire référence à des emplacements de stockage de données configurés pour l’utilisation par Final Cut Server. Il peut s’agir de dossiers sur le disque dur de démarrage de l’ordinateur, d’un second disque dur, d’un lecteur ou d’un volume connecté au réseau. En installant Final Cut Server, plusieurs périphériques par défaut sont créés. Une fois le programme d’installation terminé, vous pouvez aussi configurer d’autres périphériques. Il peut, par exemple, s’agir de dossiers existants sur des volumes qui contiennent déjà des données à inclure dans le catalogue de Final Cut Server. À l’aide de l’Assistant Réglages d’un périphérique, vous pouvez configurer l’analyse automatique permettant d’ajouter les données existantes d’un périphérique au catalogue de Final Cut Server. Il est bon de noter toutefois qu’utiliser des disques durs peut s’avérer plus efficace pour certains périphériques. Par exemple, lorsque vous téléchargez des ressources dans le catalogue, une série de fichiers proxy sont créés et placés dans le périphérique Proxies que le programme d’installation a créé. Si le périphérique Proxies se trouve sur un autre disque dur physique du périphérique sur lequel la ressource est stockée (et pas seulement sur une autre partition du même disque dur), le processus de transcodage des proxys est généralement plus efficace car un des disques durs peut se consacrer à la lecture de la ressource pendant qu’un autre à l’écriture du proxy (un même disque dur doit en fait alterner entre l’écriture et la lecture). À propos des systèmes RAID et des SAN Tandis que Final Cut Server peut utiliser une grande variété de volumes locaux et réseau, comme les périphériques pour le stockage et l’utilisation de vos données, quelques solutions de stockage fonctionnent particulièrement bien avec Final Cut Server. Un réseau redondant de disques indépendants, ou système RAID (de l’anglais « Redundant Array of Independent Disks »), peut présenter certains avantages :  Performances accrues : l’un des principaux facteurs limitatifs du transfert de fichiers de données en masse est la vitesse d’entrée/sortie du disque dur. En répartissant les données sur plusieurs disques durs, vous pouvez réduire l’impact de cette limitation.  Meilleure fiabilité : Les disques durs peuvent tomber en panne à tout moment. Les systèmes RAID peuvent être configurés de façon à assurer une certaine protection contre les pannes de disque dur rendant possible la récupération des données perdues en cas de panne.Chapitre 1 Vue d’ensemble de Final Cut Server 17 I Disposer d’un système RAID rapide et fiable branché directement sur le serveur Final Cut Server lui permet de bénéficier des performances du système RAID ; les clients Final Cut Server, pour leur part, continuent cependant à recevoir les données vidéo à travers un simple câble Ethernet. C’est dans un tel cas qu’un SAN peut s’avérer utile. Un réseau de stockage SAN (de l’anglais « Storage Area Network ») permet à plusieurs ordinateurs d’accéder à un périphérique de stockage comme s’il s’agissait d’un périphérique branché localement. Cela vous permet d’exploiter les données qui se trouvent sur le périphérique de stockage (généralement un système RAID) exactement comme si elles se trouvaient sur un disque dur local. Final Cut Server permet de configurer un périphérique de stockage faisant partie d’un réseau de stockage SAN comme un périphérique de montage à la volée. Les clients branchés sur les périphériques de montage à la volée peuvent accéder directement aux données du périphérique. Ils n’ont pas besoin de mettre en cache une copie locale d’une ressource pour pouvoir l’utiliser dans un projet Final Cut Pro. Cela peut s’avérer énormément avantageux lorsque l’on utilise des fichiers vidéo volumineux. Remarque : les périphériques connectés à un réseau de stockage SAN ne sont pas les seuls qui peuvent être configurés comme périphériques de montage à la volée. Ils correspondent cependant au type de périphériques le plus courant, répondant aux besoins en performances élevées. Apple dispose d’un ensemble de produits pouvant être configurés facilement pour offrir ces fonctionnalités. Parmi ceux-ci, l’on retrouve Xserve, Xserve RAID et Xsan. Consultez http://www.apple.com/fr/xserve/ pour en savoir plus. Consultez « Utilisation du programme d’installation de Final Cut Server » à la page 23 pour en savoir plus sur la création des périphériques par défaut à l’aide du programme d’installation de Final Cut Server, le chapitre 5, « Utilisation de Device Setup Assistant », à la page 63 pour obtenir des informations sur la création de périphériques à l’aide des Préférences Système de Final Cut Server et le chapitre 12, « Gestion des périphériques », à la page 171 pour effectuer cette création à travers la fenêtre Administration du client Final Cut Server.18 Partie I Installation et configuration Tâches élémentaires d’administration de Final Cut Server Un administrateur doit configurer une série de réglages dans Final Cut Server avant que le système ne puisse être utilisé. De plus, d’autres réglages sont à modifier si des utilisateurs, des ressources et des productions sont ajoutés à votre flux de production. Citons, par exemple, les réglages relatifs aux tâches suivantes :  Installation et configuration de Final Cut Server : consultez la première partie du pré- sent manuel, « Installation et configuration, », pour en savoir plus sur l’installation et la configuration de Final Cut Server.  Gestion des utilisateurs et des groupes : Final Cut Server peut gérer soit des utilisateurs et des groupes locaux, soit des groupes Open Directory Mac OS X pour valider les utilisateurs. La fenêtre Comptes de Préférences Système ou le Gestionnaire de groupe de travail de Mac OS X Server vous permettent indifféremment d’ajouter des utilisateurs et des groupes à l’ordinateur. Importez ensuite les groupes dans Final Cut Server en leur appliquant un ensemble d’autorisations qui convient à chacun d’eux pour définir leur niveau d’accès au catalogue Final Cut Server. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 4, « Ajout d’utilisateurs et de groupes », à la page 49 et le chapitre 10, « Groupes et autorisations », à la page 129.  Gestion des périphériques : Final Cut Server s’appuie sur des périphériques pour stocker toutes les ressources et productions de son catalogue. Les périphériques peuvent correspondre à de simples dossiers se trouvant sur le disque dur interne de l’ordinateur ou provenir d’une série d’ordinateurs en réseau. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 12, « Gestion des périphériques », à la page 171.  Gestion des métadonnées et des ensembles de métadonnées : la possibilité d’utiliser des métadonnées pour vous aider à gérer une grande collection de ressources et de productions est une fonctionnalité très puissante de Final Cut Server. Vous avez la possibilité d’utiliser des formats de métadonnées par défaut, d’ajouter des champs personnalisés et de créer des groupes personnalisés de champs de métadonnées. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 11, « Gestion des métadonnées », à la page 141.  Gestion des comportements en matière de surveillance et de réponse : Final Cut Server comporte une série de fonctionnalités destinées à vous aider à automatiser vos flux de production. Parmi celles-ci, la configuration des dossiers surveillés vous permet de d’ajouter le contenu automatiquement au catalogue. Final Cut Server dispose aussi de fonctionnalités de programmation, d’abonnement et de réponse. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 14, « Gestion des automatisations », à la page 203.Chapitre 1 Vue d’ensemble de Final Cut Server 19 I L’on utilise quatre zones principales pour assurer l’administration d’un système Final Cut Server. Celle que vous devez utiliser dépend de ce qui est à modifier. Dans certains cas, vous pouvez effectuer la même tâche d’administration à travers plusieurs zones.  Sous-fenêtre Comptes des Préférences Système : si vous utilisez Final Cut Server sous Mac OS X 10.5 ou Mac OS X Server 10.5, vous pouvez utiliser les réglages utilisateur et de groupe que vous avez configurés.  Gestionnaire de groupe de travail de Mac OS X Server : si vous utilisez Final Cut Server sous Mac OS X Server 10.5, vous pouvez utiliser les réglages utilisateur et de groupe que vous avez configurés.  Préférences Système de Final Cut Server : ces fenêtres vous permettent de configurer les réglages de Final Cut Server les plus courants. Elles comportent aussi plusieurs Assistants réglages destinés à faciliter l’ajout de périphériques et leur automatisation.  Fenêtre Administration de Final Cut Server : cette fenêtre, accessible à partir d’un client Final Cut Server lorsque vous avez ouvert une session en tant qu’administrateur, comporte des réglages et des configurations très détaillés couvrant tous les aspects de Final Cut Server. Vous ne devez toutefois accéder à cette fenêtre que pour vos configurations les plus complexes. Consultez le chapitre 9, « Réglages généraux et préférences », à la page 111 pour en savoir plus sur l’utilisation de ces zones.2 21 2 Utilisation du programme d’installation Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  À propos de l’installation et de la configuration de Final Cut Server (p. 21)  Utilisation du programme d’installation de Final Cut Server (p. 23)  À propos des profils personnalisés (p. 32)  À propos de Final Cut Server et Compressor (p. 34)  Mise à jour de votre licence (p. 38)  Enregistrement de Final Cut Server (p. 39) À propos de l’installation et de la configuration de Final Cut Server La première étape de l’implémentation complète de Final Cut Server consiste à utiliser le programme d’installation de Final Cut Server. Avant d’utiliser le programme d’installation de Final Cut Server, assurez-vous de vous être familiarisé avec la configuration requise de l’application. À ce propos, lisez la documentation Avant d’installer Final Cut Server qui figure sur le disque d’installation de Final Cut Server. Important : Final Cut Server ne peut s’installer que sur un système Mac OS X Server v10.5 ou Mac OS X v10.5. Remarque : le disque d’installation contient tous les fichiers nécessaires à l’installation de Final Cut Server sur un ordinateur Macintosh à processeur PowerPC ou à processeur Intel fonctionnant sous Mac OS X 10.5 ou sous Mac OS X Server 10.5. Le processus d’installation est le même sur les deux systèmes. Vous devez également vous être familiarisé avec tous les chapitres figurant dans cette partie (Partie I) du Guide de configuration et d’administration de Final Cut Server. De manière générale, vous devez installer et configurer Final Cut Server dans l’ordre suivant :22 Partie I Installation et configuration Étape 1 : Exécutez le programme d’installation Celui-ci installe Final Cut Server sur votre système. Il configure également Final Cut Server et l’adapte au profil sélectionné. Ces profils personnalisent l’installation de sorte que Final Cut Server inclut automatiquement les éléments les mieux adaptés aux besoins de votre flux de production et omet ceux qui ne sont pas nécessaires. Pour en savoir plus sur les profils personnalisés parmi lesquels choisir, consultez la rubrique « À propos des profils personnalisés » à la page 32. Important : assurez-vous du profil à utiliser avant de lancer le programme d’installation de Final Cut Server. Il est en effet impossible de modifier ce choix ultérieurement. Vous pouvez cependant effectuer des modifications et des ajouts manuellement dans l’application Final Cut Server une fois le programme d’installation terminé, ce qui vous permet de combiner des attributs issus des divers profils. Étape 2 : Configurez les Préférences Système Une fois le programme d’installation de Final Cut Server terminé, vous pouvez configurer les sous-fenêtres des Préférences Système de Final Cut Server. Celles-ci comprennent :  General : cette sous-fenêtre comporte plusieurs réglages généraux de Final Cut Server ;  Permissions : cette sous-fenêtre vous permet d’ajouter des groupes Mac OS X à Final Cut Server. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 4, « Ajout d’utilisateurs et de groupes », à la page 49.  Devices : cette sous-fenêtre comporte un assistant automatisé pour vous aider tout au long du processus d’ajout de périphériques à votre système Final Cut Server. Ces périphériques comptent plusieurs systèmes de stockage de fichiers courants. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 12, « Gestion des périphériques », à la page 171.  Automations : cette sous-fenêtre comporte un assistant automatisé pour vous aider tout au long de configuration des dossiers de surveillance et des comportements de réponse. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 14, « Gestion des automatisations », à la page 203. Pour en savoir plus sur les réglages des Préférences Système de Final Cut Server, consultez le chapitre 3, « Configuration des Préférences Système », à la page 41. Étape 3 : Ajoutez des utilisateurs et des groupes Final Cut Server emploie des comptes d’utilisateur et de groupe à configurer dans la sous-fenêtre Comptes des Préférences Système ou dans le Gestionnaire de groupe de travail de Mac OS X Server 10.5. Vous pouvez également affecter un ensemble d’autorisations à chaque groupe. La création de groupes d’utilisateur et l’application de divers ensembles d’autorisations permet de contrôler le niveau d’accès des utilisateurs. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 4, « Ajout d’utilisateurs et de groupes », à la page 49.Chapitre 2 Utilisation du programme d’installation 23 I Étape 4 : Installez les clients Final Cut Server sur d’autres ordinateurs Une fois configuré les Préférences Système de Final Cut Server et ajouté des utilisateurs et des groupes, vous pouvez installer le logiciel client de Final Cut Server sur l’ordinateur des utilisateurs. Installez le client à travers une connexion réseau. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 8, « Installation de clients Final Cut Server », à la page 103. Utilisation du programme d’installation de Final Cut Server Pour installer Final Cut Server, insérez le disque d’installation de Final Cut Server dans l’ordinateur assurant le rôle de serveur Final Cut Server. Remarque : vous devez installer Final Cut Server directement sur l’ordinateur destiné à assurer les fonctions de serveur. Il est impossible d’installer l’application à distance sur un autre ordinateur. Important : le programme d’installation de Final Cut Server active les services web de l’ordinateur (lors de l’installation sous Mac OS X Server v10.5) ainsi que le partage web (dans le cas d’une installation sous Mac OS X v10.5), si ceux-ci ne sont pas encore activés. À propos du disque d’installation de Final Cut Server Le disque d’installation de Final Cut Server contient :  Avant d’installer Final Cut Server : ce document fournit la configuration requise et les opérations à effectuer avant d’installer Final Cut Server et le contenu l’accompagnant. Important : lisez ce document avant de lancer le processus d’installation pour vous assurer que votre système satisfait à la configuration minimale requise.  Programme d’installation de Final Cut Server : double-cliquez sur l’icône du programme d’installation de Final Cut Server pour lancer le processus d’installation.  Dossier Documentation : le dossier contient le Guide de configuration et d’administration de Final Cut Server (document au format PDF) et le Manuel de l’utilisateur Final Cut Server.24 Partie I Installation et configuration Avant d’installer Final Cut Server Avant d’installer Final Cut Server, vous devez vous assurer que vous disposez bien des dernières versions de Mac OS X 10.5 ou de Mac OS X Server 10.5 et de QuickTime installées. Important : même si vous achetez et installez Mac OS X 10.5 ou Mac OS X Server 10.5 pour utiliser Final Cut Server, lancez l’utilitaire Mise à jour de logiciels pour vous assurer que votre ordinateur possède bien la dernière version. Pour mettre à jour Mac OS X 10.5 ou Mac OS X Server 10.5 et QuickTime : 1 Choisissez le menu Pomme > Mise à jour de logiciels. Une zone de dialogue apparaît affichant les nouveaux logiciels ou ceux mis à jour disponibles pour votre ordinateur. 2 Suivez les instructions à l’écran pour installer les dernières mises à jour de Mac OS X 10.5 ou Mac OS X Server 10.5 et de QuickTime. Il est également conseillé d’installer et de mettre à jour Final Cut Studio et les autres applications si vous avez l’intention de les utiliser sur l’ordinateur faisant office de serveur Final Cut Server. Avez-vous mis à niveau votre ordinateur de Mac OS X Server 10.4 à Mac OS X Server 10.5 ? Lorsque vous mettez à niveau un ordinateur de Mac OS X Server 10.4 à Mac OS X Server 10.5, Apache ne l’est pas automatiquement. Vous pouvez vérifier sa version et le mettre à niveau manuellement, le cas échéant. Important : Apache 2.2 doit être installé sur un ordinateur sous Mac OS X Server 10.5 avant l’installation de Final Cut Server. Dans le cas contraire, vous ne serez pas en mesure d’installer de client Final Cut Server. Remarque : si vous installez Final Cut Server sous une version non-serveur de Mac OS X 10.5, vous pouvez passer cette rubrique.Chapitre 2 Utilisation du programme d’installation 25 I Pour vérifier et mettre à niveau Apache sur un ordinateur Mac OS X Server 10.5 : 1 Ouvrez l’application Admin Serveur. 2 Cliquez sur le triangle d’affichage en regard du nom de l’ordinateur, examinez à gauche de la fenêtre si un élément intitulé Web est mentionné, puis effectuez l’une des opérations suivantes :  Si Web y est repris, passez à l’étape 4.  Si Web n’est pas répertorié, passez à l’étape suivante. 3 Pour que l’élément Web apparaisse, cliquez sur l’icône Réglages, ouvrez la sous-fenêtre Services, puis sélectionnez l’élément Web. Cliquez sur l’icône Réglages. Cliquez sur Services pour accéder à la sous-fenêtre du même nom. Sélectionnez Web pour configurer les services web.26 Partie I Installation et configuration L’élément Web apparaît sur le côté gauche de la fenêtre. 4 Sélectionnez l’élément Web, puis cliquez sur l’icône Vue d’ensemble. La version d’Apache apparaît dans la liste. S’il s’agit de la version 1.3, vous devez dans ce cas la mettre à niveau en cliquant sur le bouton « Mettre à niveau la version d’Apache ». S’il s’agit de la version 2.2, vous pouvez procéder à l’installation de Final Cut Server. Démarrage du programme d’installation de Final Cut Server En installant Final Cut Server, le système se configure en fonction du profil personnalisé choisi. Important : reportez-vous au document Avant d’installer Final Cut Server accessible depuis le disque d’installation de Final Cut Server pour obtenir une liste reprenant la configuration minimale requise pour Final Cut Server. Remarque : avant de pouvoir installer le logiciel, vous devez ouvrir une session sur votre ordinateur sous un compte administrateur de l’ordinateur, en utilisant son mot de passe. Pour en savoir plus, consultez l’Aide Mac. Important : ne supprimez pas le compte de l’administrateur permettant d’installer Final Cut Server depuis le serveur. Final Cut Server a besoin de ce compte pour fonctionner sur l’ordinateur. Pour limiter les risques que ce compte soit supprimé (par exemple, en cas de changement parmi le personnel), vous pouvez créer un compte utilisateur local dédié possédant des privilèges d’administration pour installer Final Cut Server. Cliquez sur Web pour configurer les réglages du service web. Vérifiez la version Apache. Il doit s’agir de la version 2.2. Cliquez sur « Mettre à niveau la version d’Apache » si vous utilisez actuellement la version 1.3. Cliquez sur l’icône Vue d’ensemble.Chapitre 2 Utilisation du programme d’installation 27 I Pour saisir le numéro de série et installer Final Cut Server : 1 Insérez le disque d’installation de Final Cut Server dans le lecteur DVD de votre ordinateur. 2 Double-cliquez sur l’icône « Install Final Cut Server », puis suivez les instructions à l’écran. 3 Le programme d’installation effectue une vérification de la configuration requise pour déterminer si Final Cut Server peut être installé. Cliquez sur Continue. 4 Lisez le texte de bienvenue, puis cliquez sur Continue. 5 Lisez le Contrat de licence de logiciel, cliquez sur Continue, puis, si vous acceptez, cliquez sur Agree. 6 Sélectionnez le disque de démarrage, puis cliquez sur Continue. 7 Dans la sous-fenêtre User Information, saisissez vos prénom et nom. La saisie du nom de l’entreprise est facultative. 8 Dans le champ Serial number, saisissez le numéro de série de Final Cut Server imprimé sur l’étiquette du numéro de série du logiciel, collée sur la feuille de numéro de série incluse dans le coffret de Final Cut Server, puis cliquez sur Continue. Les astuces pour saisir correctement votre numéro de série sont les suivantes :  assurez-vous d’avoir copié le numéro de série d’origine qui se situe sur la feuille de numéro de série ;  vérifiez que vous avez effectivement saisi le numéro de série logiciel et non l’identifiant d’assistance ;  contrôlez la saisie des caractères, par exemple, un zéro et non pas la lettre « O » ou un 1 et non pas la lettre « L » minuscule ;  n’oubliez pas les traits d’union dans le numéro de série ;  n’ajoutez pas d’espaces avant et après le numéro de série ;  vérifiez que vous avez saisi le numéro de série correctement.28 Partie I Installation et configuration Important : après trois tentatives de saisie infructueuses, le programme quitte l’installation. Pour recommencer le processus d’installation, retournez à l’étape 2. La sous-fenêtre Customer Profile Selection s’ouvre. 9 Sélectionnez l’un des profils personnalisés, puis cliquez sur Continue. Pour en savoir plus sur les profils personnalisés, consultez la rubrique « À propos des profils personnalisés » à la page 32. La sous-fenêtre Settings for Profile s’ouvre.Chapitre 2 Utilisation du programme d’installation 29 I 10 Saisissez les informations suivantes, puis cliquez sur Continue.  Proxy Media Location : emplacement de stockage des fichiers proxy créés pour les ressources de données. Les fichiers proxy étant moins volumineux que les fichiers de données d’origine, cet emplacement contient les fichiers proxy de tous les périphériques. Assurez-vous que l’emplacement choisi dispose d’un espace disque suffisant. Important : il est fortement recommandé de ne pas choisir un emplacement sur le disque de démarrage du serveur. Les périphériques générés par ce réglage et l’emplacement des données de production contiennent des fichiers multimédia volumineux et peuvent occuper tout l’espace disponible sur leur disque dur, ce qui peut présenter de sérieux problèmes si le disque dur fait également office de disque de démarrage. Pour en savoir plus sur le choix des emplacements pour ces réglages, consultez la rubrique « Stratégie en matière de périphériques de stockage » à la page 16.  Production Media Location : emplacement de stockage de vos données de production. Il peut s’agir d’un dossier sur cet ordinateur ou un périphérique en réseau, tel qu’un Xsan ou un Xserve RAID. Le programme d’installation crée les périphériques suivants d’après cet emplacement : Library, Watchers, Media, Edit Proxies et Version. Remarque : vous pouvez créer les emplacements de proxy et de données de production au même endroit, si cela vous semble plus adapté à votre cas. N’oubliez pas que l’emplacement des données de production peut nécessiter un espace disque consé- quent. Vous pouvez dans ce cas ajouter des emplacements pour le stockage des données, une fois le programme d’installation terminé. Important : il est difficile de modifier les emplacements de proxy et de données de production ultérieurement.  Outgoing Mail Server (SMTP) : adresse du serveur de messagerie électronique sortante. Vous pouvez la modifier dans les Préférences Système de Final Cut Server ultérieurement. Remarque : si aucune adresse n’est saisie, le réglage par défaut « localhost » s’applique, lequel peut être précisé également si l’ordinateur fonctionne sous Mac OS X Server v10.5. Il est alors configuré en tant que serveur de messagerie électronique SMTP.  Enable Version Control : case indiquant à Final Cut Server d’activer automatiquement le suivi des versions de ressources et de projets Final Cut Pro téléchargés dans le catalogue Final Cut Server. Important : ce réglage ne s’applique pas aux ressources et aux projets Final Cut Pro ajoutés au catalogue par une réponse par analyse créée à l’aide des Préférences Système de Final Cut Server. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « À propos des réponses par analyse » à la page 210. Pour en savoir plus sur la configuration d’un périphérique Version, consultez la rubrique « Configuration du périphérique Version » à la page 178.30 Partie I Installation et configuration  Enable Edit Proxies : indique à Final Cut Server de générer automatiquement des fichiers proxy Apple ProRes 422 (en plus des fichiers proxy habituels stockés à l’emplacement des données de proxy), chaque fois qu’un projet Final Cut Pro est ajouté en tant que ressource. En raison de la taille potentiellement importante de ces fichiers, les fichiers du codec Apple ProRes 422 sont stockés sur un périphérique particulier intitulé Edit Proxies à l’emplacement des données de production. Le codec Apple ProRes 422 permettant d’atteindre des fichiers de taille fortement réduite tout en gardant une qualité proche de celle des données d’origine, cette option s’avère très pratique lorsque vous manipulez des projets Final Cut Pro comportant du contenu HD ou SD non compressé. Vous pouvez modifier ce réglage dans la sous-fenêtre Préférences de la fenêtre Administration du client Final Cut Pro. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Réglages des préférences Proxys » à la page 121.  Catalog Media device automatically : case permettant à Final Cut Server de configurer et d’activer automatiquement une programmation prévoyant une analyse complète et différentielle du périphérique Media. Dans le cas contraire, la programmation et les réponses ne sont pas créées. Vous pouvez cependant passer par l’Assistant réglages de périphérique dans les Préférences Système de Final Cut Server ou la fenêtre Administration du client Final Cut Pro pour créer ces automatisations. Pour en savoir plus sur l’utilisation de l’Assistant réglages de périphérique, reportez-vous à la rubrique « Modification d’un périphérique » à la page 77. Pour en savoir plus sur l’utilisation de la fenêtre Administration, consultez le chapitre 14, « Gestion des automatisations », à la page 203. Important : assurez-vous de ne pas cocher cette case si vous installez Final Cut Server dans le cadre d’un processus de récupération où vous rétablirez le système à partir d’une copie de sauvegarde. Cela empêche en effet l’automatisation de tenter l’analyse d’un périphérique Media vide, ce qui peut entraîner des erreurs avec les proxys et le catalogue de Final Cut Server. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 7, « Sauvegarde de Final Cut Server », à la page 95. La sous-fenêtre Standard Install apparaît.Chapitre 2 Utilisation du programme d’installation 31 I 11 Effectuez l’une des opérations ci-dessous.  Cliquez sur Install ou Upgrade. Cette opération installe automatiquement Final Cut Server sur le disque de démarrage de l’ordinateur. Important : l’option de mise à niveau reste visible sur les ordinateurs qui n’ont pas installé une version précédente de Final Cut Server. Cela est normal et se produit lorsque le programme d’installation détecte sur votre système au moins un fichier commun à l’un de ceux qu’il installe.  Cliquez sur Change Install Location. Une sous-fenêtre vous permet alors de choisir le volume sur lequel installer Final Cut Server. Ce volume doit correspondre au disque de démarrage de l’ordinateur. 12 La zone de dialogue qui apparaît vous demande ensuite de vous authentifier en saisissant vos nom et mot de passe. Une fois terminé, cliquez sur OK. Le programme d’installation affiche une barre de progression du processus. Un fois l’installation terminée, une sous-fenêtre confirme la fin du processus. 32 Partie I Installation et configuration 13 Cliquez sur Close pour quitter le programme d’installation. Vous pouvez alors passer à la configuration des Préférences Système de Final Cut Server. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 3, « Configuration des Préférences Système », à la page 41. À propos des profils personnalisés Pendant le processus d’installation, vous devez sélectionner un profil personnalisé qui répond au mieux à l’utilisation que vous comptez faire de Final Cut Server. Ces profils personnalisés sont destinés a personnaliser votre installation de Final Cut Server en ajoutant des éléments qui vous seront probablement nécessaires (ensembles de métadonnées, ensembles d’autorisations et automatisations) et en éliminant ceux dont vous n’aurez pas besoin. Important : il est impossible de sélectionner un autre profil ultérieurement. Cependant, une fois l’installation terminée, vous pouvez personnaliser Final Cut Server manuellement afin qu’il comporte d’autres réglages dont vous avez spécifiquement besoin. Vous trouverez ci-dessous une liste des cinq profils personnalisés parmi lesquels choisir, ainsi qu’une liste des ensembles de métadonnées de production utilisés par chacun d’eux (pour en savoir plus sur les ensembles de métadonnées de production, consultez la rubrique « À propos des ensembles de métadonnées de production, ») :  Television Station : ce profil concerne la vidéo et les images. Il fournit des outils pour le transcodage de format, le passage en revue et l’approbation, la livraison et le catalogage de contenu. Le profil Television Station utilise les ensembles de métadonnées de production Show, Promotion, Commercial, et Package.  Video Production : ce profil concerne la vidéo. Il propose la création de ressources, le passage en revue et l’approbation, l’intégration d’applications, le catalogage de contenu et l’archivage. Le profil personnalisé Video Production exploite les ensembles de métadonnées de production Show et Package.  Film Post Production : ce profil concerne les séquences d’images et vidéo. Il apporte des moyens pour la création de ressources, la création de productions, l’intégration d’applications, le passage en revue et l’approbation, la conversion de séquences d’images et le catalogage de contenu. Le profil personnalisé Film Post Production utilise les ensembles de métadonnées de production Trailer et Package.  Education : ce profil concerne la vidéo. Il apporte des moyens pour la création de ressources, la création de productions, l’intégration d’applications, le passage en revue et l’approbation (c’est-à-dire l’évaluation), la conversion de séquences d’images, l’archivage, la déconnexion de fichiers et le catalogage de contenu. Le profil personnalisé Education exploite les ensembles de métadonnées de production Commercial et Package.Chapitre 2 Utilisation du programme d’installation 33 I  Autre : ce profil concerne le catalogage général. Il propose des outils pour la création de ressources, la création de productions et l’intégration d’applications. Le profil personnalisé Other exploite les ensembles de métadonnées de production Article, Commercial et Package. À propos des ensembles de métadonnées de production La principale différence entre les profils personnalisés réside dans les ensembles de métadonnées de production qu’ils proposent. Tous les autres aspects, tels que les périphériques, les automatisations, les ensembles d’autorisations et les ensembles de métadonnées des ressources sont identiques. Le programme d’installation peut créer six ensembles de métadonnées de production. Chaque ensemble de métadonnées de production se compose d’un ou de plusieurs groupes de métadonnées. Tous les groupes de métadonnées sont installés sur tous les systèmes Final Cut Server, quel que soit le profil personnalisé choisi. Cela signifie que vous pouvez créer facilement l’un de ces ensembles de production et leur ajouter des groupes de métadonnées appropriés. En outre, vous pouvez créer le cas échéant vos propres groupes et ensembles de métadonnées de production personnalisés. Pour en savoir plus sur la création d’ensembles de métadonnées, consultez la rubrique « Gestion des ensembles de métadonnées » à la page 161. Remarque : le nom des groupes de métadonnées est souvent repris. Assurez-vous de reprendre correctement l’identifiant du groupe de métadonnées (par exemple, PA_GRP_CUST_PRODUCTION_RIGHTS) pour pouvoir utiliser le bon nom du groupe de métadonnées et faire correspondre correctement l’un de ces ensembles de métadonnées. Ensemble de métadonnées de production Package Cet ensemble de métadonnées de production est proposé dans les cinq profils personnalisés. Il comporte deux groupes de métadonnées :  Production (PA_GRP_CUST_PRODUCTION_PACKAGE)  Rights (PA_GRP_CUST_PRODUCTION_RIGHTS) Ensemble de métadonnées de production Show Cet ensemble est proposé dans les profils personnalisés Television Station et Video Production. Il comporte deux groupes de métadonnées :  Show (PA_GRP_CUST_PRODUCTION_SHOW)  Rights (PA_GRP_CUST_PRODUCTION_RIGHTS) Ensemble de métadonnées de production Promotion L’ensemble de métadonnées de production Promotion est proposé uniquement par le profil personnalisé Television Station. Il comporte deux groupes de métadonnées :  Promotion (PA_GRP_CUST_PRODUCTION_PROMOTION)  Rights (PA_GRP_CUST_PRODUCTION_RIGHTS)34 Partie I Installation et configuration Ensemble de métadonnées de production Commercial Cet ensemble est utilisé par les profils personnalisés Television Station, Education et Other. Il comprend un seul groupe de métadonnées, à savoir :  Commercial (PA_GRP_CUST_PRODUCTION_COMMERCIAL) Ensemble de métadonnées de production Trailer L’ensemble de métadonnées de production Trailer est proposé uniquement par le profil personnalisé Film Post Production. Il comporte deux groupes de métadonnées :  Trailer (PA_GRP_CUST_PRODUCTION_TRAILER)  Rights (PA_GRP_CUST_PRODUCTION_RIGHTS) Ensemble de métadonnées de production Article L’ensemble de métadonnées de production Article est proposé uniquement par le profil personnalisé Other. Il comprend un seul groupe de métadonnées, à savoir :  Article (PA_GRP_CUST_PRODUCTION_ARTICLE) À propos de Final Cut Server et Compressor Final Cut Server dépend de Compressor pour la plupart de ses besoins de transcodage. Ceux-ci comprennent des tâches évidentes comme la conversion d’un fichier de données dans un format de taille réduite plus facile à passer en revue. Cependant, l’on retrouve également un ensemble de tâches qui se déroulent en arrière-plan, telles que la création de fichiers proxy de plans utilisés pour prévisualiser une ressource. Pour cette raison, il est essentiel de vérifier que Final Cut Server et Compressor sont configurés pour fonctionner de concert de manière efficace et fiable. Le programme d’installation de Final Cut Server se charge d’installer Final Cut Server, Compressor et Apple Qmaster sur l’ordinateur. Une fois l’installation terminée, vous pouvez envisager l’utilisation de Final Cut Server avec Compressor de deux manières :  Utiliser la grappe de serveurs This Computer : Compressor crée une grappe de serveurs intitulée This Computer, lors de son installation, qui devient la grappe de serveurs par défaut que Final Cut Server utilise. Celle-ci s’avère suffisante pour certaines installations mais elle présente plusieurs inconvénients. Pour en savoir plus, consultez la rubrique suivante intitulée « À propos de la grappe de serveurs This Computer, ».  Créer un QuickCluster propre à Final Cut Server : cette méthode requiert l’utilisation de la sous-fenêtre Préférences Système d’Apple Qmaster afin de créer un QuickCluster personnalisé. Employée au cours de la configuration initiale de votre système Final Cut Server, cette méthode réduit ensuite les risques ultérieurs de problèmes inattendus. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « À propos de la création d’un QuickCluster personnalisé » à la page 36.Chapitre 2 Utilisation du programme d’installation 35 I À propos de la grappe de serveurs This Computer Final Cut Server utilise par défaut la grappe de serveurs This Computer créée lors de l’installation de Compressor. Vous devez connaître les problèmes inhérents à l’utilisation de cette grappe de serveurs.  Problèmes d’autorisation : Final Cut Server mémorise et utilise le nom de l’utilisateur dont la session est ouverte, au moment de son installation. Pour cette raison, il est vivement recommandé de créer un compte utilisateur local dédié qui possède des autorisations d’administration afin d’utiliser ce compte lorsque vous installez Final Cut Server. Cela réduit les risques que ce compte soit supprimé lors d’un changement de personnel ultérieurement. Cette grappe de serveurs fonctionne sous l’identité de l’utilisateur dont la session est ouverte sur l’ordinateur. Il se peut par conséquent que Final Cut Server et Compressor n’aient pas les mêmes autorisations d’accès à un dossier ou à un fichier, ce qui peut entraîner des problèmes, tels que l’impossibilité pour Compressor d’accéder à un fichier nécessaire à Final Cut Server pour le transcodage. Si vous comptez utiliser la grappe de serveurs This Computer avec Final Cut Server, il est conseillé de toujours ouvrir une session sur l’ordinateur serveur sous le compte utilisé lors de l’installation de Final Cut Server.  La grappe de serveurs This Computer requiert que vous ouvriez une session : la grappe de serveurs This Computer fonctionnant sous l’identité de l’utilisateur dont la session est ouverte, l’application ne peut pas s’exécuter tant qu’un utilisateur n’ouvre pas une session. En d’autres termes, si votre serveur est redémarré, par exemple après une coupure de courant, Final Cut Server ne peut pas exploiter Compressor. Si vous créez un QuickCluster personnalisé, comme il est décrit plus loin dans cette rubrique, cette grappe de serveurs reprend le nom de l’utilisateur qui l’a créée. Cela signifie que la grappe reste exploitable même si aucun utilisateur n’a ouvert de session sur l’ordinateur.  Le nom This Computer peut prêter à confusion : vous devez en fait choisir la grappe de serveurs à utiliser avec Final Cut Server dans la sous-fenêtre Préférences Compressor de la fenêtre Administration du client. Le nom de cette grappe de serveurs est toujours This Computer, quel que soit l’ordinateur utilisé pour sélectionner la grappe de serveurs. Elle fait donc toujours référence à l’ordinateur sur lequel est installé Final Cut Server. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Réglages des préférences de Compressor » à la page 121.36 Partie I Installation et configuration À propos de la création d’un QuickCluster personnalisé La création d’un QuickCluster personnalisé dans Apple Qmaster évite les problèmes rencontrés avec la grappe de serveurs This Computer. Pour créer un QuickCluster, ouvrez la sous-fenêtre Apple Qmaster des Préférences Système, une fois l’installation de Final Cut Server terminée. Important : installez Final Cut Server avant de poursuivre cette procédure. Remarque : les étapes suivantes décrivent une procédure simple permettant la configuration d’une grappe de serveurs à utiliser avec Final Cut Server. Vous pouvez créer des grappes de serveurs bien plus complexes, prévoyant la protection par mot de passe ou faisant appel à d’autres fonctionnalités. Pour en savoir plus, consultez le document Configuration du traitement distribué, accessible depuis le menu Aide de Compressor. Pour créer un QuickCluster personnalisé : 1 Ouvrez une session sur le serveur à travers le compte utilisateur ayant servi à installer Final Cut Server. Important : pour la création de ce QuickCluster, vous devez posséder les mêmes autorisations que celles attribuées à Final Cut Server. Il est par conséquent essentiel d’ouvrir une session à l’aide du compte utilisateur ayant servi à installer Final Cut Server. 2 Ouvrez les Préférences Système, puis cliquez sur l’icône Apple Qmaster dans la section Autre située en bas de la fenêtre. La sous-fenêtre Préférences Système de Apple Qmaster s’ouvre alors. Cochez les cases souhaitées de la colonne Géré. Saisissez un nom pour ce QuickCluster le cas échéant. Cliquez sur Démarrer le partage afin de mettre à disposition de Final Cut Server ce QuickCluster.Chapitre 2 Utilisation du programme d’installation 37 I 3 Pour vous assurer que les services de la grappe de serveurs seront utilisés uniquement par cet ordinateur, cochez les cases de la colonne Managed correspondant à Compressor et à Rendering. 4 Saisissez le nom à utiliser par cette grappe de serveurs dans le champ « Identify this QuickCluster as ». Il s’agit du nom qui apparaît dans la sous-fenêtre Préférences Compressor de la fenêtre Administration du client Final Cut Server. Le nom par défaut correspond au nom de votre ordinateur indiqué dans la sous-fenêtre Partage des Préférences Système. 5 Cliquez sur Start Sharing. Le QuickCluster personnalisé est désormais disponible dans la sous-fenêtre Préférences Compressor de la fenêtre Administration du client Final Cut Server. Vous pouvez maintenant indiquer à Final Cut Server que ce QuickCluster est celui à utiliser. Important : ce QuickCluster utilisant par défaut les autorisations de l’utilisateur qui l’a configuré, il reconfigure les autorisations de tout utilisateur qui démarre manuellement le QuickCluster ultérieurement pour adopter celles-ci. Si vous êtes amené à redé- marrer ce QuickCluster, vous devez ouvrir une session sous le compte utilisateur ayant servi à installer Final Cut Server. Pour sélectionnez le QuickCluster personnalisé dans Final Cut Server : 1 Sur un client Final Cut Server, sélectionnez Administration dans le menu local Server (le menu local de la fenêtre principale de Final Cut Server qui apparaît lorsque vous cliquez sur le bouton Server) pour ouvrir la fenêtre Administration. Important : vous devez ouvrir au préalable une session en tant qu’utilisateur possé- dant des autorisations administrateur pour que l’élément Administration apparaisse dans le menu local Server. 2 Cliquez sur Preferences dans la colonne de gauche pour ouvrir la sous-fenêtre du même nom. 3 Cliquez sur Compressor pour ouvrir la sous-fenêtre Compressor. 4 Sélectionnez le nouveau QuickCluster dans le menu local Compressor Cluster Name. 5 Cliquez sur le bouton Save pour enregistrer les modifications. Pour en savoir plus sur le réglage des préférences de Final Cut Server, consultez la rubrique « Réglages de préférences dans la fenêtre Administration du client Final Cut Server » à la page 119. Sélectionnez le nouveau QuickCluster dans le menu local.38 Partie I Installation et configuration Mise à jour de votre licence Il existe deux versions de Final Cut Server : l’une prenant en charge jusqu’à 10 clients, l’autre, un nombre illimité de clients. Il se peut que vous soyez amené à passer d’une version à l’autre pour modifier votre système, si votre cas a connu des changements. Par exemple, si vous avez tout d’abord installé la version autorisant jusqu’à 10 clients, vous pouvez effectuer ultérieurement la mise à jour à la version de licence illimitée en achetant la mise à niveau appropriée et en saisissant le nouveau numéro de série fourni avec celle-ci. La mise à jour de votre licence Final Cut Server s’effectue à travers les Préférences Système de Final Cut Server sans passer par le disque d’installation de Final Cut Server ou le programme d’installation. Pour mettre à jour votre licence Final Cut Server : 1 Ouvrez les Préférences Système sur l’ordinateur où Final Cut Server est installé. 2 Cliquez sur l’élément Final Cut Server dans la section Autre. La sous-fenêtre Préférences Système de Final Cut Server s’ouvre alors. 3 Sélectionnez la sous-fenêtre General (le cas échéant). 4 Cliquez sur le cadenas dans le coin inférieur gauche et authentifiez-vous. 5 Cliquez sur le bouton Update License. La sous-fenêtre qui apparaît vous permet de saisir votre nom, la désignation de votre entreprise et le nouveau numéro de série. 6 Saisissez ces renseignements, puis cliquez sur OK. Vous devez cliquer sur le cadenas et vous authentifier pour effectuer des modifications dans l’une ou l’autre de ces sous-fenêtres. Cliquez sur Update License pour saisir le nouveau numéro de série.Chapitre 2 Utilisation du programme d’installation 39 I Enregistrement de Final Cut Server Après avoir installé Final Cut Server, vous devez l’enregistrer. L’opération d’enregistrement de Final Cut Server s’effectue à l’aide des Préférences Système de Final Cut Server. Pour enregistrer votre installation Final Cut Server : 1 Ouvrez les Préférences Système sur l’ordinateur où Final Cut Server est installé. 2 Cliquez sur Final Cut Server dans la section Autre. La sous-fenêtre Préférences Système de Final Cut Server s’ouvre alors. 3 Sélectionnez la sous-fenêtre General (le cas échéant). 4 Cliquez sur le cadenas dans le coin inférieur gauche et authentifiez-vous. 5 Cliquer sur le bouton Registrer. La zone de dialogue d’enregistrement s’ouvre. 6 Saisissez votre nom, la dénomination de votre entreprise, son adresse et vos données de messagerie électronique. Par défaut, les renseignements de votre fiche personnelle figurant dans votre carnet d’adresses sont saisis automatiquement dans les champs appropriés. 7 Cochez la case si vous désirez recevoir les nouveautés Apple et que les mises à jour de logiciels soient envoyées à votre compte de messagerie. 8 Si vous souhaitez revoir le contrat de confidentialité Apple, cliquez sur Privacy Policy. 9 Une fois terminé, cliquez sur Register now. Final Cut Server est désormais enregistré. Vous devez cliquer sur le cadenas et vous authentifier pour effectuer des modifications dans l’une ou l’autre de ces sous-fenêtres. Cliquez sur Register pour ouvrir la zone de dialogue d’enregistrement.3 41 3 Configuration des Préférences Système Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  Introduction aux Préférences Système de Final Cut Server (p. 41)  Réglages de la sous-fenêtre General (p. 42)  Réglages de la sous-fenêtre Group Permissions (p. 44)  Réglages de la sous-fenêtre Devices (p. 45)  Réglages de la sous-fenêtre Automations (p. 46)  Réglages de la sous-fenêtre Backup (p. 47) Après avoir installé Final Cut Server, vous pouvez configurer les Préférences Système de Final Cut Server. Introduction aux Préférences Système de Final Cut Server Après avoir installé Final Cut Server, un élément Final Cut Server est ajouté à la section Other des Préférences Système. En cliquant sur l’élément, la sous-fenêtre General (ou la sous-fenêtre que vous avez sélectionnée la dernière fois) des Préférences Système Final Cut Server s’ouvre. Cliquez sur le cadenas pour vous authentifier et effectuer des modifications dans l’une ou l’autre de ces sous-fenêtres. Cliquez sur le point d’interrogation pour afficher la version PDF de ce manuel. Cliquez sur l’un de ces boutons pour sélectionner la sousfenêtre à configurer.42 Partie I Installation et configuration La partie supérieure de la sous-fenêtre comprend des boutons pour sélectionner la sous-fenêtre à configurer de Final Cut Server. Le point d’interrogation dans l’angle inférieur droit de la fenêtre permet d’ouvrir le manuel au format PDF. Le cadenas dans l’angle inférieur gauche permet de vous authentifier. Vous devez vous identifier pour pouvoir modifier les réglages de Final Cut Server. Le programme d’installation de Final Cut Server applique à ces sous-fenêtres les réglages par défaut. Vérifiez ces réglages avant d’ouvrir tout client Final Cut Server. Réglages de la sous-fenêtre General La sous-fenêtre General comporte des réglages élémentaires de Final Cut Server. Remarque : la plupart de ces réglages se retrouvent dans la fenêtre Administration du client. La seule différence concerne les boutons Stop/Start, Update License et Register.Chapitre 3 Configuration des Préférences Système 43 I Les réglages de la sous-fenêtre General sont les suivants :  Bouton Stop/Start : le bouton Stop permet d’interrompre les services de Final Cut Server. Son intitulé se transforme en Start pour que vous puissiez lancer les services de Final Cut Server. Remarque : vous ne pouvez apporter aucune modification à Final Cut Server quand ces services sont interrompus.  Image Sequence Video Frame Rate : fréquence d’images à employer avec des séquences d’images fixes.  Outgoing Mail Server (SMTP) : nom du serveur SMTP sortant utilisé pour envoyer les courriers électroniques. Ce réglage est également configuré au cours du processus d’installation de Final Cut Server. si vous n’avez rempli ce champ lors de l’installation, le réglage par défaut « localhost » s’applique, lequel peut être précisé également si l’ordinateur fonctionne sous Mac OS X Server v10.5. Il est alors configuré en tant que serveur de messagerie électronique SMTP. Final Cut Server peut être configuré de façon à envoyer des notifications sous forme de courrier électronique pour diverses raisons, telles que la disponibilité d’un ensemble de ressources pour leur passage en revue. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « À propos des réponses par courrier électronique » à la page 220.  Maximum Running Jobs : nombre maximal de tâches pouvant s’exécuter simultanément sur Final Cut Server. La plupart des équipements limiteront ce réglage à 20 tâches.  Retry Count : nombre de tentatives de relance d’une tâche échouée.  Retry Timeout : durée, exprimée en secondes, avant un nouvel essai.  Create Support Profile : en cas de besoin d’assistance, AppleCare peut vous demander des informations sur votre ordinateur et sur la configuration spécifique de cette application. Cliquez sur le bouton Create Support Profile pour créer un fichier contenant les informations nécessaires, que vous pouvez envoyer par courrier électronique à AppleCare. Remarque : cette fonction n’est en général pas nécessaire, sauf en cas de demande expresse de la part d’un représentant AppleCare.  Update License : permet de mettre à jour les informations de la licence Final Cut Server, saisies lors de l’installation de départ. Par exemple, si vous faites l’acquisition d’une licence client illimitée, cliquez sur ce bouton pour taper le nouveau numéro de série.  Register : permet de saisir les informations d’enregistrement.44 Partie I Installation et configuration Réglages de la sous-fenêtre Group Permissions La sous-fenêtre Group Permissions permet de sélectionner les groupes Mac OS X pouvant accéder à Final Cut Server. En outre, vous pouvez affecter des ensembles d’autorisations à chaque groupe pour contrôler leur accès aux différents modules de Final Cut Server. Par défaut, le groupe « admin » est ajouté avec l’ensemble d’autorisations « admin » associé par défaut. Si vous avez déjà configuré des groupes locaux depuis la sous-fenê- tre Comptes des Préférences Système ou depuis le Gestionnaire de groupe de travail de Mac OS X Server 10.5, ou encore si ce serveur se trouve sur un réseau Open Directory, vous pouvez ajouter des groupes et affecter des ensembles d’autorisations. Consultez le chapitre 4, « Ajout d’utilisateurs et de groupes », à la page 49 pour en savoir plus sur la gestion des utilisateurs et des groupes Final Cut Server. Pour ajouter un groupe et lui affecter un ensemble d’autorisations : 1 Cliquez sur le bouton Ajouter (+). Remarque : le cas échéant, cliquez sur le cadenas, puis authentifiez-vous au préalable. Une liste de groupes s’affiche. 2 Sélectionnez le groupe à ajouter. Le nouveau groupe apparaît dans la liste de la sous-fenêtre Group Permissions.Chapitre 3 Configuration des Préférences Système 45 I 3 Cliquez sur la zone Permission Set en regard du nom du groupe, puis sélectionnez un ensemble d’autorisations à affecter au groupe. Pour en savoir plus sur les ensembles d’autorisations créés par le programme d’installation pour le profil personnalisé sélectionné, consultez la rubrique « À propos des profils personnalisés » à la page 32. Pour en savoir plus sur l’utilisation du Gestionnaire de groupe de travail et sur la création d’ensembles d’autorisations, consultez le chapitre 4, « Ajout d’utilisateurs et de groupes », à la page 49. Réglages de la sous-fenêtre Devices Les périphériques sont des emplacements de stockage où Final Cut Server peut interagir avec les ressources et les productions. Au moment de l’installation de Final Cut Server, vous avez saisi l’emplacement des données de production. Par défaut, Final Cut Server crée trois périphériques à cet emplacement : Library, Watchers et Media. La sous-fenêtre Devices des Préférences Système comprend un Assistant réglages de périphérique permettant de modifier ces périphériques par défaut ou d’en ajouter. Pour en savoir plus sur l’ajout et la gestion d’autres périphériques, consultez le chapitre 5, « Utilisation de Device Setup Assistant », à la page 63.46 Partie I Installation et configuration Réglages de la sous-fenêtre Automations La sous-fenêtre Automations permet de créer, de modifier et d’activer des dispositifs de surveillance et des abonnements.  Les dispositifs de surveillance (Watchers) sont des éléments de Final Cut Server que vous pouvez configurer de façon à contrôler un périphérique. Lorsqu’un événement contrôlé par le dispositif de surveillance se produit, par exemple l’ajout d’un fichier multimédia au périphérique ou sa suppression de ce dernier, le dispositif exécute une réponse, telle que la copie du fichier multimédia à un autre endroit ou l’envoi d’un courrier électronique.  Les abonnements (Subscriptions) sont des éléments de Final Cut Server que vous pouvez configurer pour contrôler les modifications apportées aux métadonnées. Lorsqu’un événement surveillé par l’abonnement se produit, par exemple le passage de l’état actif d’une ressource à Ready for Review, l’abonnement exécute une réponse, telle que l’envoi d’un courrier électronique au réviseur. Vous pouvez configurer deux types d’automatisations à l’aide de la sous-fenêtre Automation de l’Assistant réglages d’automatisation : un dispositif de surveillance de système de fichiers qui réagit à tout changement de fichier à un emplacement spécifié et un abonnement de métadonnées qui réagit à tout changement de métadonnées spécifique. Dans chaque cas, la réponse du dispositif de surveillance ou de l’abonnement peut être la copie d’un fichier, l’envoi d’un courrier électronique à une adresse spécifiée ou l’archivage d’un fichier.Chapitre 3 Configuration des Préférences Système 47 I Le programme d’installation crée des dispositifs de surveillance et des abonnements par défaut en fonction du profil personnalisé sélectionné. En voici deux exemples :  Dispositif de surveillance Watcher Media to Library [Copy] : ce dispositif de surveillance de système de fichiers surveille le dossier Media (créé par le programme d’installation) du périphérique Watchers et copie automatiquement toute nouvelle ressource qu’il contient dans le périphérique Library, sans conversion.  Abonnement Assets Ready for Review [Email] : cet abonnement de métadonnées surveille toutes les ressources du catalogue et envoie un courrier électronique dès que l’état des métadonnées d’une ressource quelconque passe à Ready for Review. Cet abonnement (et tout autre utilisant une réponse par courrier électronique) utilise les adresses électroniques que vous avez saisies ou celles enregistrées sous forme de réviseurs requis pour une ressource. L’Assistant réglages d’automatisation permet de modifier ou supprimer les nouvelles automatisations ou celles créées par défaut. Vous pouvez activer ou désactiver ces automatisations en cochant ou en décochant les cases On correspondantes. Pour en savoir plus sur la modification de ces automatisations ou la création de nouvelles, consultez le chapitre 6, « Utilisation de l’Assistant réglages d’automatisation », à la page 81. Réglages de la sous-fenêtre Backup La sous-fenêtre Backup permet de créer des fichiers de sauvegarde contenant toutes les données du catalogue Final Cut Server, notamment les préférences et les données de configuration du système. Pour en savoir plus sur la fenêtre Backup, consultez le chapitre 7, « Sauvegarde de Final Cut Server », à la page 95.4 49 4 Ajout d’utilisateurs et de groupes Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  À propos des utilisateurs et des groupes (p. 49)  Utilisation de la sous-fenêtre Comptes des Préférences Système (p. 51)  Utilisation du Gestionnaire de groupe de travail de Mac OS X Server (p. 55)  Ajout de groupes à Final Cut Server (p. 58)  À propos des ensembles d’autorisations (p. 60) À propos des utilisateurs et des groupes Pour utiliser Final Cut Server, vous devez généralement ajouter au moins un groupe contenant au moins un utilisateur. Dans la plupart des cas, vous serez toutefois amené à créer plusieurs groupes, chacun configuré avec des autorisations différentes, puis ajouterez les utilisateurs appropriés aux différents groupes. Le programme d’installation Final Cut Server ajoute automatiquement le groupe Administrateurs de l’ordinateur, intitulé « admin », et applique l’autorisation « admin » par défaut associée à celui-ci. La création à proprement dit des groupes et des utilisateurs peut se faire sur un autre ordinateur faisant office de serveur par le biais d’Open Directory, ou sur l’ordinateur sur lequel vous avez installé Final Cut Server par le biais de la sous-fenêtre Comptes des Préférences Système ou le Gestionnaire de groupe de travail de Mac OS X Server (si l’utilitaire est installé sur un système Mac OS X Server 10.5). Dans Final Cut Server, vous pouvez sélectionner les groupes à utiliser, créer des ensembles d’autorisations et affecter ces ensembles à chaque groupe.50 Partie I Installation et configuration Final Cut Server prend en charge aussi bien les groupes et utilisateurs Open Directory que ceux créés en local. Si vous disposez d’un équipement réduit, vous pouvez créer des groupes et des utilisateurs locaux. Si vous bénéficiez d’une plus grande configuration exploitant déjà l’architecture Open Directory de Mac OS X Server, Final Cut Server peut facilement l’utiliser comme base de configuration des utilisateurs et des groupes. Important : si vous utilisez un autre ordinateur en tant que serveur Open Directory, il doit être équipé de Mac OS X Server v10.5 et non de Mac OS X Server v10.4. Les groupes permettent d’assurer la sécurité des ressources de plusieurs manières. Vous pouvez ainsi :  définir des filtres limitant l’affichage des ressources et des productions par un groupe ;  contrôler l’accès aux données multimédia se trouvant sur des périphériques connectés à Final Cut Server ;  contrôler l’accès à des fonctions de l’interface utilisateur. Remarque : un utilisateur peut appartenir à plusieurs groupes, chacun ayant un niveau d’autorisation spécifique. Lorsque ces autorisations sont définies sur le niveau de priorité le plus élevé, l’utilisateur peut alors accéder aux éléments dans Final Cut Server. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « À propos des ensembles d’autorisations » à la page 60. Les étapes de création de groupes et d’utilisateurs dans Final Cut Server sont les suivantes : Étape 1 : Créez des utilisateurs à partir de la sous-fenêtre Comptes des Préférences Système ou du Gestionnaire de groupe de travail Vous pouvez créer des utilisateurs locaux ou passer cette étape si vous avez déjà créé des comptes utilisateur par le biais d’Open Directory. Étape 2 : Créez des groupes à partir de la sous-fenêtre Comptes des Préférences Système ou du Gestionnaire de groupe de travail Vous devez créer des groupes à partir de la sous-fenêtre Comptes des Préférences Système ou du Gestionnaire de groupe de travail. Vous pouvez passer cette étape si vous avez déjà créé les groupes qui conviennent par le biais d’Open Directory. Étape 3 : Ajoutez des utilisateurs aux groupes dans la sous-fenêtre Comptes des Préférences Système ou du Gestionnaire de groupe de travail Après avoir créé les groupes, vous pouvez leur ajouter des utilisateurs. Il est possible de mélanger des utilisateurs locaux et Open Directory. Étape 4 : Ajoutez les groupes à Final Cut Server Après avoir créé les groupes et leur avoir ajouté des utilisateurs, vous devez ajouter les groupes à Final Cut Server. Chapitre 4 Ajout d’utilisateurs et de groupes 51 I Étape 5 : Créez des ensembles d’autorisations personnalisés pour les groupes (le cas échéant) En fonction du profil sélectionné lors de l’installation de Final Cut Server, votre système peut déjà disposer de plusieurs ensembles d’autorisations. Ces derniers proposent un large éventail de réglages relatifs aux autorisations, à travers lesquels vous pouvez contrôler l’accès au catalogue de Final Cut Server. Vous pouvez créer d’autres ensembles d’autorisations, le cas échéant. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Ajout et gestion d’ensembles d’autorisations » à la page 132. Étape 6 : Affectez des ensembles d’autorisations à des groupes L’affectation d’ensembles d’autorisations aux groupes est la dernière étape permettant à vos utilisateurs d’accéder à Final Cut Server. Ce chapitre aborde les tâches d’ajout et de configuration de groupes les plus courantes. consultez le chapitre 10, « Groupes et autorisations », à la page 129 pour en savoir plus sur la création d’ensembles d’autorisations et sur l’utilisation de la fenêtre Administration du client pour gérer les autorisations. Utilisation de la sous-fenêtre Comptes des Préférences Système La sous-fenêtre Comptes des Préférences Système contient tout ce dont vous avez de besoin pour créer et gérer des groupes et des utilisateurs locaux. Cette méthode s’applique aux utilisateurs de Mac OS X 10.5 et de Mac OS X Server 10.5. Pour ouvrir la sous-fenêtre Comptes des Préférences Système : 1 Effectuez l’une des opérations ci-dessous.  Sélectionnez le menu Pomme > Préférences Système.  Cliquez sur Préférences Système dans le Dock. La fenêtre Préférences Système s’ouvre alors. Cliquez sur Comptes pour ouvrir la sous-fenê- tre du même nom.52 Partie I Installation et configuration 2 Cliquez sur le bouton Comptes dans la catégorie Système. La sous-fenêtre Comptes s’ouvre. Remarque : pour apporter des modifications à la sous-fenêtre Comptes, vous devez d’abord vous authentifier en cliquant sur le cadenas puis en tapant les nom et mot de passe d’un utilisateur bénéficiant d’autorisations d’administration. Comptes d’utilisateur local Compte sous lequel l’utilisateur a ouvert une session Groupes locaux Cliquez sur ce bouton pour ajouter des utilisateurs et des groupes locaux. Cliquez sur le cadenas pour vous authentifier. Liste des comptesChapitre 4 Ajout d’utilisateurs et de groupes 53 I Création d’utilisateurs La création d’utilisateurs locaux dans la sous-fenêtre Comptes requiert la saisie d’un nom d’utilisateur et d’un mot de passe et la sélection de certaines options s’appliquant à l’utilisateur en question. Pour créer un compte utilisateur local : 1 Cliquez sur le bouton Ajouter (+). 2 Sélectionnez le type de compte à créer dans le menu local Nouveau compte, accessible depuis la zone de dialogue qui s’affiche.  Administrateur : un administrateur peut créer et supprimer des comptes, installer des logiciels, modifier les réglages du système et ceux d’autres utilisateurs.  Standard : il s’agit d’un compte utilisateur courant. Un utilisateur standard ne peut installer de logiciels que pour le compte utilisateur en question. En revanche, il ne peut ni apporter de modifications aux Préférences Système verrouillées, ni créer de comptes.  Géré avec Contrôles parentaux : compte disposant d’autorisations limitées gérées par les Contrôles parentaux.  Partage uniquement : compte utilisateur ne pouvant accéder qu’aux fichiers se trouvant à un emplacement spécifié. Ce compte utilisateur ne permet ni de modifier les fichiers de l’ordinateur, ni de se connecter par le biais de la fenêtre d’ouverture de session.  Groupe : compte constitué d’utilisateurs sélectionnés. Pour en savoir plus sur cette option, consultez la rubrique suivante « Création de groupes et configuration de leur adhésion, ». La création d’un compte Standard convient dans la plupart des cas.54 Partie I Installation et configuration 3 Tapez le nom d’utilisateur et le mot de passe. Le nom abrégé se crée automatiquement, mais vous pouvez le modifier dans cette zone de dialogue, le cas échéant. Remarque : vous ne pouvez pas modifier le nom abrégé une fois le compte créé. 4 Définissez les autres attributs selon vos besoins. 5 Cliquez sur Créer le compte. Le nouvel utilisateur s’affiche dans la liste des comptes. Vous pouvez modifier un compte utilisateur en le sélectionnant dans la liste des comptes. Création de groupes et configuration de leur adhésion La création de groupes locaux dans la sous-fenêtre Comptes requiert la saisie d’un nom de groupe. Pour créer un compte de groupe local : 1 Cliquez sur le bouton Ajouter (+). 2 Sélectionnez Groupe dans le menu local Nouveau, à partir de la zone de dialogue qui s’affiche. Remarque : le menu local Nouveau peut s’intituler Nouveau compte selon le type du dernier compte créé. 3 Tapez le nom du compte. 4 Cliquez sur Créer un groupe. Le nouveau groupe s’affiche dans la liste des comptes. Vous pouvez modifier un groupe en le sélectionnant dans la liste des comptes.Chapitre 4 Ajout d’utilisateurs et de groupes 55 I Pour définir les membres d’un groupe : 1 Cliquez sur le nom du groupe dans la liste des comptes. 2 Cochez la case de tous les comptes utilisateur et groupes que vous souhaitez associer à ce groupe. Utilisation du Gestionnaire de groupe de travail de Mac OS X Server Le Gestionnaire de groupe de travail sous Mac OS X Server se trouve dans le dossier Applications/Server/. Le gestionnaire de groupe de travail contient tout ce dont vous avez de besoin pour créer et gérer des groupes et des utilisateurs locaux et Open Directory. Sélectionnez les comptes et les groupes que vous souhaitez convertir en membres de ce groupe. Modifiez le nom de ce groupe (le cas échéant). Liste des comptes Cliquez sur le globe pour sélectionner un domaine d’annuaire. Bouton Utilisateurs Bouton Groupes56 Partie I Installation et configuration Important : ce manuel n’aborde que les processus de base du Gestionnaire de groupe de travail et s’adresse aux personnes ayant déjà utilisé le Gestionnaire de groupe de travail. En outre, il part du principe que vous bénéficiez d’autorisations d’accès administrateur. Pour connaître les procédures détaillées pour vous préparer à ces étapes, consultez la documentation de Mac OS X Server. Création d’utilisateurs La création d’utilisateurs locaux dans le Gestionnaire de groupe de travail requiert la saisie d’un nom d’utilisateur et d’un mot de passe et la sélection de certaines options s’appliquant à l’utilisateur en question. Pour créer un compte utilisateur local : 1 Cliquez sur le bouton Comptes dans la barre d’outils. 2 Cliquez sur le globe, situé sous le bouton Admin dans la barre d’outils, pour sélectionner le domaine d’annuaire local. 3 Cliquez sur le bouton Utilisateurs situé au-dessus de la liste des comptes. La liste des comptes répertorie tous les utilisateurs locaux déjà sur le serveur. 4 Cliquez sur le bouton Nouvel utilisateur dans la barre d’outils. 5 Tapez le nom d’utilisateur et le mot de passe. 6 Définissez les autres attributs selon vos besoins. 7 Cliquez sur Enregistrer. Le nouvel utilisateur s’affiche dans la liste des comptes. Vous pouvez modifier un compte utilisateur en le sélectionnant dans la liste des comptes. Remarque : vous pouvez aussi créer des comptes utilisateur locaux à partir de la sousfenêtre Comptes des Préférences Système. Création de groupes La création de groupes locaux dans le Gestionnaire de groupe de travail requiert la saisie d’un nom de groupe. Pour créer un compte de groupe local : 1 Cliquez sur le bouton Comptes dans la barre d’outils. 2 Cliquez sur le globe pour sélectionner le domaine d’annuaire local. 3 Cliquez sur le bouton Groupes situé au-dessus de la liste des comptes. La liste des comptes répertorie tous les groupes locaux déjà sur le serveur. 4 Cliquez sur le bouton Nouveau groupe dans la barre d’outils. 5 Tapez le nom du compte. 6 Définissez les autres attributs selon vos besoins.Chapitre 4 Ajout d’utilisateurs et de groupes 57 I 7 Cliquez sur Enregistrer. Le nouveau groupe s’affiche dans la liste des comptes. Vous pouvez modifier un groupe en le sélectionnant dans la liste des comptes. Ajout d’utilisateurs à un groupe Après avoir créé des comptes utilisateur et de groupe, vous pouvez ajouter des utilisateurs aux groupes. Pour ajouter des utilisateurs à un groupe : 1 Sélectionnez le groupe dans la liste des comptes. 2 Cliquez sur le bouton Membres. 3 Cliquez sur le bouton Ajouter (+). Un volet s’ouvre contenant une liste de comptes utilisateur. Vous pouvez cliquer sur le globe se trouvant dans le volet pour sélectionner un autre domaine d’annuaire. Vous pouvez ainsi ajouter aussi bien des utilisateurs locaux que d’autres utilisateurs à un groupe. Sélectionnez un groupe. Cliquez sur le bouton Ajouter pour ajouter des membres au groupe. Cliquez sur le bouton Groupes. Cliquez sur Membres. Cliquez sur le globe pour sélectionner un domaine d’annuaire.58 Partie I Installation et configuration 4 Sélectionnez une des méthodes ci-dessous pour ajouter des utilisateurs depuis le volet à la liste des membres du groupe :  en faisant glisser le nom d’un utilisateur depuis le volet vers la liste des membres du groupe ;  en double-cliquant directement sur le nom mentionné dans le volet. 5 Cliquez sur Enregistrer. Ajout de groupes à Final Cut Server Une fois terminé la configuration de vos groupes, vous pouvez enfin les ajouter à Final Cut Server. Vous pouvez ajouter les groupes à l’aide des Préférences Système de Final Cut Server sur le serveur ou passer par la fenêtre Administration du client. Remarque : pour en savoir plus sur l’utilisation de la fenêtre Administration du client pour gérer les autorisations, consultez la rubrique « Ajout de groupes à Final Cut Server » à la page 130. Pour en savoir plus sur les ensembles d’autorisations, consultez la rubrique « Ajout et gestion d’ensembles d’autorisations » à la page 132. Pour ajouter un groupe à Final Cut Server par le biais des Préférences Système : 1 Ouvrez les Préférences Système sur l’ordinateur équipé de Final Cut Server. 2 Cliquez sur l’icône Final Cut Server dans la section Other. La sous-fenêtre Final Cut Server s’ouvre. 3 Cliquez sur Group Permissions pour afficher les réglages du groupe. Cliquez sur le bouton Ajouter pour ajouter un groupe.Chapitre 4 Ajout d’utilisateurs et de groupes 59 I La partie gauche compile la liste des groupes actifs de Final Cut Server. La partie droite indique l’ensemble d’autorisations affecté à chaque groupe. 4 Si le cadenas (situé dans l’angle inférieur gauche) est verrouillé, cliquez dessus et authentifiez-vous. 5 Cliquez sur le bouton Ajouter (+). La liste de tous les groupes, qu’ils soient Open Directory ou locaux, s’affiche. 6 Sélectionnez le groupe à ajouter à partir du menu local qui s’affiche. Remarque : si la liste est longue, vous pouvez taper les premières lettres pour afficher uniquement les groupes commençant par ces lettres. Le groupe s’ajoute alors à la liste Groupe. 7 Cliquez dans la zone Permission Set du nouveau groupe et sélectionnez un ensemble d’autorisations dans le menu local. Groupe ajouté Cliquez sur l’ensemble d’autorisations par défaut du groupe (admin) pour sélectionner un nouvel ensemble d’autorisations.60 Partie I Installation et configuration À propos des ensembles d’autorisations Le programme d’installation de Final Cut Server crée automatiquement six ensembles d’autorisations.  admin : seul ensemble d’autorisations permettant d’ouvrir la fenêtre Administration du client Final Cut Server. Il donne accès à tous les aspects du système Final Cut Server. Il est recommandé de ne l’affecter qu’à des groupes d’utilisateurs capables d’administrer l’intégralité du système Final Cut Server.  artist, manager et editor : ensembles d’autorisations tous identiques et permettant l’accès à tous les aspects du système Final Cut Server à l’exception de ceux dédiés à l’ensemble d’autorisations admin. Ces trois ensembles d’autorisations sont destinés à vous donner un point de départ pour la création d’ensembles d’autorisations spécifiques à différents groupes d’utilisateurs. Par exemple, il peut s’avérer judicieux de modifier l’ensemble d’autorisations Artist de façon à ce que ses utilisateurs ne puissent accéder qu’aux périphériques qui contiennent les images sur lesquelles ils travaillent.  reviewer : ensemble d’autorisations ne permettant pas la création, la suppression, le catalogage ou la modification des ressources du catalogue Final Cut Server. L’ensemble d’autorisations reviewer ne peut afficher que des ressources dont l’état est Approved, Ready for Review, Rejected ou Completed.  browser : ensemble d’autorisations ne permettant pas la création, la suppression, le catalogage, la modification ou la copie des ressources du catalogue Final Cut Server, ainsi que la modification de leurs détails. L’ensemble d’autorisations autorise uniquement l’affichage des ressources dont l’état est Approved. Vous pouvez créer d’autres ensembles d’autorisations par le biais de la fenêtre Administration du client Final Cut Server. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Ajout et gestion d’ensembles d’autorisations » à la page 132. Du fait qu’un utilisateur peut appartenir à plusieurs groupes et que chaque groupe peut avoir un ensemble d’autorisations différent, Final Cut Server vous permet de définir le niveau de priorité de chaque ensemble d’autorisations. Celui dont le niveau de priorité est le plus élevé est celui qui s’applique lorsque l’utilisateur appartient à plusieurs groupes. Important : même s’il est normal d’attribuer le niveau de priorité le plus élevé aux ensembles d’autorisations bénéficiant des autorisations les plus larges, cela n’est pas requis. Chapitre 4 Ajout d’utilisateurs et de groupes 61 I Pour définir la priorité des ensembles d’autorisations : 1 Cliquez sur Set Priorities dans la sous-fenêtre Permissions des Préférences Système de Final Cut Server. Une sous-fenêtre reprend les ensembles d’autorisations triés par ordre de priorité, les ensembles d’autorisations de priorité maximale (généralement « admin ») se situant en premier. 2 Modifiez l’ordre des ensembles d’autorisations en les faisant glisser. 3 Cliquez sur OK pour fermer la sous-fenêtre. Vous pouvez également définir le niveau de priorité des ensembles d’autorisations depuis la sous-fenêtre Permission de la fenêtre Administration. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Modify » à la page 135. Faites glisser un ensemble d’autorisations verticalement pour définir sa priorité par rapport aux autres ensembles d’autorisations. Cliquez sur le bouton Set Priorities pour définir le niveau de priorité des ensembles d’autorisations.5 63 5 Utilisation de Device Setup Assistant Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  Introduction aux périphériques (p. 63)  À propos de la création de périphériques (p. 64)  À propos des périphériques par défaut (p. 65)  Ajout d’un périphérique (p. 66)  Configuration des types de périphériques (p. 72)  Modification d’un périphérique (p. 77)  Suppression d’un périphérique (p. 78) Introduction aux périphériques Les périphériques sont simplement des emplacements de stockage de fichiers que Final Cut Server utilise pour stocker et gérer vos ressources et vos productions. Le programme d’installation de Final Cut Server crée différents périphériques dont certains sont spécialisés dans des fonctions telles que le stockage de proxys et le suivi de versions des ressources. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « À propos des périphériques par défaut » à la page 65. Outre ces périphériques par défaut, vous serez normalement amené à créer d’autres périphériques selon votre configuration système. Par exemple, si vous possédez un volume hébergeant vos ressources, vous pouvez créer un périphérique qui l’analyse et ajoute automatiquement ses ressources au catalogue Final Cut Server. (Notez que ce processus ne modifie en rien le contenu d’un volume que vous introduisez dans un périphérique : les ressources du volume et la structure demeurent inchangés. Le catalogue de Final Cut Server ajoute des entrées pour chacune des ressources, puis des fichiers proxy appropriés sont créés et stockés dans le périphérique Proxy.) Device Setup Assistant (l’Assistant réglages de périphérique) permet d’ajouter, de supprimer et de configurer des périphériques que Final Cut Server peut exploiter. Ces périphériques peuvent aller du simple dossier sur un ordinateur équipé de Final Cut Server, au serveur FTP ou au volume Apple Xsan.64 Partie I Installation et configuration À propos de la création de périphériques Vous pouvez ajouter et modifier des périphériques dans Final Cut Server de deux façons : l’Assistant réglages de périphérique dans les Préférences Système de Final Cut Server et la sous-fenêtre Devices dans la fenêtre Administration du client. À propos de la création de périphériques par le biais de l’Assistant réglages de périphérique L’Assistant réglages de périphérique, accessible depuis les Préférences Système de Final Cut Server est simple d’utilisation et contient des fonctionnalités complémentaires, notamment la configuration des réglages d’analyse et de transcodage. La configuration manuelle de fonctionnalités semblables supposerait l’utilisation de plusieurs sous-fenêtres Administration. L’Assistant réglages de périphérique facilite également l’installation de certains types de périphériques, notamment les périphériques réseau et les volumes Xsan, en limitant le nombre de réglages. En outre, il vérifie tous les réglages que vous établissez avant de passer à l’étape suivante (les périphériques créés par le biais de la fenêtre Administration ne sont pas vérifiés tant que vous ne les utilisez pas). L’Assistant réglages de périphérique présente quelques inconvénients : vous ne pouvez pas accéder aux réglages les plus inhabituels ou configurer plusieurs types de périphérique, par exemple un périphérique exploitant un système de fichiers Contentbase ou un périphérique de montage à la volée n’utilisant pas un volume Xsan. Vous pouvez cependant modifier un périphérique créé à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique, configurant ainsi les réglages les moins courants de la fenêtre Administration. Important : les périphériques Contentbase ne figurent pas dans la fenêtre Devices des Préférences Système de Final Cut Server. Tous les autres périphériques, y compris ceux créés par le programme d’installation et utilisant la fenêtre Administration du client, apparaissent dans la fenêtre Devices des Préférences Système de Final Cut Server. À propos de la création de périphériques à l’aide de la fenêtre Administration La sous-fenêtre Devices de la fenêtre Administration permet d’accéder à plus de réglages de périphérique que l’Assistant réglages de périphérique. La plupart des utilisateurs n’ont pas à modifier ces réglages, mais cela peut s’avérer utile dans certains cas. La fenêtre Administration est la seule zone où vous pouvez configurer des périphériques en utilisant le système de fichiers Contentbase ou des périphériques de montage à la volée non-Xsan. Bien que vous puissiez configurer des périphériques réseau par le biais de la fenêtre Administration, cela s’avère plus difficile en raison de ses nombreux réglages. Pour en savoir plus sur l’utilisation de la fenêtre Administration pour la gestion de vos périphériques, consultez le chapitre 12, « Gestion des périphériques », à la page 171. Pour en savoir plus sur les périphériques de montage à la volée, consultez la rubrique « À propos des périphériques de montage à la volée » à la page 180.Chapitre 5 Utilisation de Device Setup Assistant 65 I À propos des périphériques par défaut Au moment de l’installation de Final Cut Server, vous avez saisi l’emplacement des données de production. Par défaut, Final Cut Server crée trois périphériques à cet emplacement : Library, Watchers et Media. Les périphériques par défaut Library, Watchers et Media ne sont en fait que des sousdossiers de Final Cut Server créés à l’emplacement des données de production. Les utilisateurs peuvent exploiter ces périphériques pour y ajouter des ressources et des productions, par exemple. Le périphérique Watchers est destiné aux automatisations créées par le programme d’installation. Par exemple, vous pouvez ajouter des données à ce dossier ou à l’un de ses sous-dossiers, puis charger une automatisation de les répertorier pour les copier vers un autre périphérique, les transcoder et les ajouter le cas échéant au catalogue de Final Cut Server. Les automatisations par défaut sont toutes configurées pour assurer le contrôle des dossiers de ce périphérique. Les périphériques Library et Media sont destinés à servir d’emplacements génériques de stockage de données. Les automatisations par défaut sont toutes configurées pour copier des données sur le périphérique Library. Chacun de ces périphériques possède les configurations suivantes :  Les réglages d’analyse (Scan settings) permettent à Final Cut Server de vérifier le périphérique automatiquement à intervalles réguliers afin de détecter si des ressources ont été créées, modifiées ou supprimées. Seul le périphérique Media peut posséder des réglages d’analyse configurés par le programme d’installation à l’aide du réglage « Catalog Media device automatically ». Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Démarrage du programme d’installation de Final Cut Server » à la page 26.66 Partie I Installation et configuration  Les réglages de transcodage (Transcode settings) servent à sélectionner un format pour convertir une ressource lorsque celle-ci est téléchargée ou copiée dans un périphérique. Aucun réglage de transcodage n’est affecté au périphérique Watchers car ce dernier ne s’illustre pas lors du téléchargement ou de la copie de ressources dans Final Cut Server ; son but est d’être le périphérique source des opérations de télé- chargement. Les périphériques Library et Media se voient affectés tous les réglages de transcodage, ce qui facilite et rendent plus souples la copie et le téléchargement de ressources dans ces périphériques. À l’aide de l’Assistant réglages de périphérique, vous pouvez modifier ces périphériques afin d’inclure les réglages de transcodage et d’analyse. Vous pouvez également l’utiliser pour modifier les réglages de transcodage et d’analyse de ces périphériques ou d’autres que vous pouvez ajouter à Final Cut Server à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique ou de la fenêtre Administration du client. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Modification d’un périphérique » à la page 77. Ajout d’un périphérique Final Cut Server prend en charge six types de périphérique lors de l’utilisation de l’Assistant réglages de périphérique dans les Préférences Système de Final Cut Server :  Local : les périphériques locaux comptent parmi eux les disques branchés directement sur l’ordinateur Final Cut Server. Ils peuvent être des disques durs internes supplémentaires ainsi que des lecteurs FireWire ou USB branchés.  Network AFP : il s’agit de partages réseau connectés par le biais du protocole AFP (Apple Filing Protocol).  Network SMB/CIFS : il s’agit de partages réseau connectés par le biais des protocoles SMB (Server Message Block) et CIFS (Common Internet File System). Ce sont généralement des serveurs Windows.  Network NFS : il s’agit de partages réseau connectés par le biais du protocole NFS (Network File System).  Network FTP : il s’agit de partages réseau connectés par le biais du protocole FTP (File Transfer Protocol).  Xsan : ce sont des périphériques situés sur un réseau de stockage Xsan Apple. Tout périphérique peut être configuré avec des réglages de transcodage et d’analyse.Chapitre 5 Utilisation de Device Setup Assistant 67 I Les réglages d’analyse (Scan settings) définissent la fréquence selon laquelle Final Cut Server examine le périphérique afin de détecter d’éventuelles modifications. Ce réglage est facultatif. Remarque : les réglages d’analyse configurés à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique créent les programmations et les réponses par analyse qui s’imposent. Ces programmations et ces réponses figurent respectivement dans les sous-fenêtres Schedule et Response de la fenêtre Administration du client Final Cut Server. Important : les réglages d’analyse configurés à l’aide de l’Assistant réglages de périphé- rique s’appliquent de façon générale au périphérique : vous ne pouvez pas vous limiter à l’analyse de dossiers en particulier. Vous pouvez créer des programmations et des réponses par analyse qui s’appliquent à des dossiers spécifiques d’un périphérique à l’aide de la fenêtre Administration, ou créer des périphériques à partir de ces dossiers à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique. Les réglages de transcodage définissent les différents formats vidéo et audio que le périphérique peut utiliser lors du transcodage d’une ressource. Bien que l’un des réglages soit No conversion, vous devez choisir au moins un réglage de transcodage. Ces réglages sont accessibles lorsque vous téléchargez une ressource dans le périphérique. Pour ajouter un périphérique à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique : 1 Dans les Préférences Système de Final Cut Server, cliquez sur Devices. Cette sous-fenêtre répertorie les périphériques actifs.68 Partie I Installation et configuration Important : si vous créez des périphériques à l’aide de la fenêtre Administration du client, ceux-ci apparaissent alors dans cette liste (hormis les périphériques Contentbase). Si certains ne s’affichent pas, quittez la fenêtre des Préférences Système, puis rouvrez-la afin d’actualiser la liste. 2 Cliquez sur le cadenas, puis authentifiez-vous en tant qu’administrateur. 3 Cliquez sur le bouton Ajouter (+). L’Assistant réglages de périphérique se lance. 4 Sélectionnez un des trois choix proposés, puis cliquez sur Continue :  Local : sélectionnez cette option lorsque vous créez un périphérique stocké sur un disque local.  Network : sélectionnez cette option si vous créez un périphérique stocké sur un périphérique en réseau.  Xsan : sélectionnez cette option lorsque vous créez un périphérique placé sur un réseau de stockage Xsan. Selon le choix effectué ci-dessus, une sous-fenêtre apparaît pour vous permettre de configurer le périphérique. Pour retrouver des détails spécifiques à chaque type de périphérique, consultez la rubrique « Configuration des types de périphériques » à la page 72.Chapitre 5 Utilisation de Device Setup Assistant 69 I 5 Configurez la sous-fenêtre Device Type, puis cliquez sur Continue. La sous-fenêtre Archive Device s’ouvre. 6 Cochez la case « Enable as an Archive Drive » si vous souhaitez que ce périphérique soit utilisé comme périphérique d’archivage. Les périphériques d’archivage servent au stockage à long terme de ressources et de productions. Ce sont généralement des lecteurs de disques externes lents ou volumineux, ou des connexions réseau ouvertes à un ordinateur uniquement lorsque cela s’avère nécessaire. Lorsque vous archivez une ressource ou une production, son fichier de données est copié sur le périphérique d’archivage, puis supprimé de son périphérique actuel, libérant ainsi de l’espace disque sur celui-ci. La ressource ou la production, qui demeure dans le catalogue de Final Cut Server, peut être restaurée ultérieurement le cas échéant.70 Partie I Installation et configuration 7 Cliquez sur Continue.  Si vous cochez la case « Enable as an Archive Device », la sous-fenêtre Conclusion apparaît, tel qu’il est décrit dans l’étape 11.  Dans le cas contraire, c’est la sous-fenêtre Scan Settings qui apparaît. 8 Configurez les réglages d’analyse. Vous pouvez configurer deux types d’analyse : l’analyse complète ou l’analyse différentielle.  Les analyses complètes (Full scan) examinent toute modification survenue sur le périphérique, que ce soit l’ajout de fichiers, la modification ou la suppression de fichiers. Toutes ces modifications sont ensuite répercutées dans le catalogue de Final Cut Server. Les analyses complètes sollicitent intensivement le processeur et requièrent des ressources informatiques importantes. Pour cette raison, leur exécution n’est prévue qu’une fois par jour ou hebdomadairement, généralement à une heure de faible activité telle que 24 h 00 (minuit), correspondant à l’heure par défaut.  Les analyses différentielles (Add Only Scan) ne sont pas aussi approfondies que les analyses complètes. En effet, l’analyse différentielle localise uniquement les fichiers ayant une date de création ou de modification comprise entre l’heure à laquelle la dernière analyse a été effectuée et l’heure actuelle (les fichiers ayant une date de création ou de modification antérieure à la dernière analyse ne sont pas pris en compte, par exemple, des fichiers que vous faites glisser du Finder vers le périphérique). Ces modifications sont ensuite répercutées dans le catalogue de Final Cut Server. À la différence des analyses complètes, les analyses différentielles ne sollicitent pas intensivement le processeur, c’est pourquoi elles sont configurées pour s’exécuter souvent : toutes les 15 minutes est la fréquence par défaut.Chapitre 5 Utilisation de Device Setup Assistant 71 I Remarque : l’Assistant réglages de périphérique implique que vous configuriez une analyse complète avant de pouvoir configurer une analyse différentielle. Pour en savoir plus sur la configuration des réponses par analyse, consultez la rubrique « Astuces générales en matière d’automatisation » à la page 205. Important : la gestion des versions des réponses par analyse créées pour un périphé- rique à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique est désactivée indépendamment de l’activation ou non du contrôle de versions au moment de l’installation de Final Cut Server. Vous pouvez modifier la réponse à l’aide de la fenêtre Administration du client Final Cut Server. 9 À partir du menu local Metadata Set, choisissez un ensemble de métadonnées à affecter aux ressources ajoutées au catalogue de Final Cut Server par ces analyses. Les ensembles de métadonnées, qui sont composés de champs et de groupes de métadonnées, définissent les types de métadonnées que vous pouvez ajouter à une ressource. Vous pouvez créer des ensembles de métadonnées, des groupes et des champs personnalisés à l’aide de la fenêtre Administration du client Final Cut Server. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 11, « Gestion des métadonnées », à la page 141. Important : il est impossible d’affecter un autre ensemble de métadonnées à une ressource ultérieurement. 10 Cliquez sur Continue. La sous-fenêtre Transcode Settings s’ouvre.72 Partie I Installation et configuration 11 Sélectionnez les réglages de transcodage pour ce périphérique afin de l’utiliser chaque fois qu’une ressource est à transcoder, puis cliquez sur Continue. L’élément No Conversion est sélectionné par défaut. Remarque : vous pouvez gérer la liste des réglages de transcodage à l’aide de la sousfenêtre Transcode Settings dans la fenêtre Administration du client. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 13, « Gestion des réglages de transcodage », à la page 197. La sous-fenêtre Conclusion apparaît. 12 Vérifiez les réglages de configuration pour le périphérique, puis cliquez sur Done pour le créer. L’Assistant réglages de périphérique se ferme, et le nouveau périphérique s’ajoute dans la sous-fenêtre Devices des Préférences Système de Final Cut Server. Configuration des types de périphériques L’Assistant réglages de périphérique affiche différentes sous-fenêtres selon le type de périphérique choisi. Pour obtenir la définition de ces types de périphérique, consultez la rubrique « Ajout d’un périphérique » à la page 66. Périphériques locaux Les périphériques locaux comptent parmi eux les disques branchés directement sur l’ordinateur Final Cut Server. Ils peuvent être des disques durs internes supplémentaires ainsi que des lecteurs FireWire ou USB branchés. Les grappes Xserve RAID directement branchées sont particulièrement utiles. Important : il est fortement recommandé de ne pas créer de périphérique sur le disque de démarrage du serveur. Les périphériques contiennent des fichiers multimédia volumineux et peuvent utiliser tout l’espace disque disponible sur leur disque dur, ce qui peut présenter de sérieux problèmes si le disque dur fait également office de disque de démarrage.Chapitre 5 Utilisation de Device Setup Assistant 73 I La sous-fenêtre dédiée aux périphériques locaux contient les réglages suivants :  Device Name : nom pour le périphérique.  Location : emplacement pour le périphérique. Il peut s’agir d’un dossier, de tout lecteur de disque interne ou de tout lecteur externe branché par un port FireWire ou USB. Cliquez sur Parcourir pour localiser le lecteur et le dossier à utiliser comme périphérique. Périphériques réseau Vous pouvez ajouter quatre types de périphérique réseau. La sous-fenêtre Network Device Type contient un menu local Network Protocol dans lequel vous pouvez choisir le type de lecteur réseau à utiliser. Important : tous les périphériques réseau AFP, SMB et FTP créés à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique requièrent un mot de passe. Cependant, vous pouvez les créer sans mot de passe à travers la fenêtre Administration du client Final Cut Server afin qu’ils ne demandent pas de mot de passe. Réseaux AFP et SMB La sous-fenêtre ci-dessous apparaît avec les protocoles de partages réseau connectés AFP (Apple Filing Protocol), SMB (Server Message Block) et CIFS (Common Interface File System). Les périphériques AFP et SMB/CIFS possèdent les réglages suivants :  Device Name : nom pour le périphérique.  Network Protocol : type de connexion réseau requise pour ce périphérique. Dans ce cas, choisissez entre AFP ou SMB/CIFS, correspondant à votre connexion réseau.  File Server : nom d’hôte du serveur.  Path : chemin d’accès du serveur correspondant au chemin d’accès racine. Choisissez AFP ou SMB/CIFS.74 Partie I Installation et configuration  User Name : nom d’utilisateur à saisir dans ce champ pour vous connecter automatiquement au serveur chaque fois, par exemple lorsque vous effectuez une recherche et une copie.  Password : mot de passe associé au champ User Name. Laissez ce champ vide si le champ User Name l’est également. Les périphériques SMB/CIFS possèdent un réglage supplémentaire :  Workgroup : nom du groupe de travail. Réseaux NFS La sous-fenêtre ci-dessous apparaît avec les partages réseau NFS (Network File System). Le champ Workgroup apparaît lorsque vous sélectionnez le protocole réseau SMB/CIFS. Sélectionnez NFS.Chapitre 5 Utilisation de Device Setup Assistant 75 I Les périphériques réseau NFS possèdent les réglages suivants :  Device Name : nom pour le périphérique.  Network Protocol : type de connexion réseau requise pour ce périphérique. Dans ce cas, choisissez NFS pour indiquer le type de votre connexion réseau.  File Server : nom d’hôte du serveur.  Mount Point : chemin d’accès où le serveur procède à l’exportation, servant de chemin d’accès racine.  Subpath : chemin vers le dossier que le périphérique doit utiliser comme chemin racine. Réseaux FTP La sous-fenêtre ci-dessous apparaît avec les partages réseau FTP (File Transfer Protocol). Les périphériques réseau FTP possèdent les réglages décrits dans la sous-fenêtre suivante :  Device Name : nom pour le périphérique.  Network Protocol : type de connexion réseau requise pour ce périphérique. Dans ce cas, choisissez FTP pour indiquer le type de votre connexion réseau.  File Server : nom d’hôte du serveur.  Absolute Path : chemin d’accès du serveur correspondant au chemin d’accès racine. Si ce chemin d’accès commence par une barre oblique (/), cela signifie qu’il fait réfé- rence au dossier racine du serveur. Dans le cas contraire, il se rapporte au dossier par défaut du serveur auquel se connecte l’utilisateur (il s’agit généralement du dossier de départ de l’utilisateur).  Use Passive FTP Mode : case permettant d’activer les transferts FTP en mode passif. Sélectionnez FTP.76 Partie I Installation et configuration  User Name : nom d’utilisateur à saisir dans ce champ pour vous connecter automatiquement au serveur FTP chaque fois, par exemple lorsque vous effectuez une recherche et une copie. Laissez ce champ vide pour afficher la page d’ouverture de session à chaque tentative d’accès au serveur FTP.  Password : mot de passe associé au champ User Name. Laissez ce champ vide si le champ User Name l’est également. Périphériques Xsan Les périphériques réseau Apple Xsan pour le stockage fournissent un accès rapide aux fichiers de données. Les périphériques Xsan sont automatiquement configurés avec un chemin de montage à la volée. Cela permet aux clients Final Cut Server ayant accès au même volume Xsan de bénéficier de transferts de fichiers très performants. En revanche, ceux qui n’ont pas accès au volume Xsan se limitent aux performances réseau habituelles pour de tels transferts. Important : les volumes Xsan doivent être montés localement sur le serveur à l’aide de l’application d’administration Xsan avant de pouvoir les configurer en tant que périphériques Final Cut Server. La sous-fenêtre Xsan Device Directory contient les réglages suivants :  Device Name : nom pour le périphérique.  Location : emplacement pour le périphérique. Cliquez sur Parcourir pour localiser le volume Xsan et le dossier à utiliser comme racine du périphérique.Chapitre 5 Utilisation de Device Setup Assistant 77 I Modification d’un périphérique Vous pouvez modifier l’emplacement ainsi que les réglages de transcodage et d’analyse de tout périphérique créé à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique. Vous avez également la possibilité de modifier l’emplacement et les réglages de transcodage, et ajouter des réglages pour l’analyse aux périphériques créés à l’aide de la fenêtre Administration du client. Important : les réglages de périphérique qui ne sont pas accessibles dans la fenêtre Administration du client sont modifiables à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique. De ce fait, ces réglages uniques sont laissés tels quels par l’assistant. Pour modifier un périphérique à l’aide des Préférences Système : 1 Cliquez sur Devices dans la sous-fenêtre Final Cut Server des Préférences Système. 2 Dans la sous-fenêtre Devices, effectuez l’une des opérations suivantes :  Double-cliquez sur le périphérique à modifier.  Sélectionnez le périphérique, puis cliquez sur le bouton Edit. Remarque : vous devez déverrouiller les Préférences Système pour activer le bouton Edit. Important : si vous avez créé des périphériques à l’aide de la fenêtre Administration du client, ils apparaissent dans la liste de la sous-fenêtre Devices (hormis les périphériques Contentbase). Si certains ne s’affichent pas, verrouillez la sous-fenêtre, puis déverrouillezla afin d’actualiser la liste. L’Assistant réglages de périphérique qui apparaît affiche la sous-fenêtre Directory. 3 Configurez la sous-fenêtre Directory, puis cliquez sur Continue. La sous-fenêtre Scan Settings s’ouvre. 4 Configurez la sous-fenêtre Scan Settings, puis cliquez sur Continue. La sous-fenêtre Transcode Settings s’ouvre. 5 Sélectionnez tous les réglages de transcodage que ce périphérique doit prendre en charge, puis cliquez sur Continue. La sous-fenêtre Summary qui apparaît reprend les modifications que vous avez effectuées. 6 Cliquez sur Done pour appliquer les modifications au périphérique.78 Partie I Installation et configuration Suppression d’un périphérique Vous pouvez supprimer tout périphérique existant en accédant aux Préférences Système de Final Cut Server, à la sous-fenêtre Devices, puis en cliquant sur le bouton Supprimer (-). Important : si vous avez créé des périphériques à l’aide de la fenêtre Administration du client, ils apparaissent dans la liste de la sous-fenêtre Devices (hormis les périphériques Contentbase). Si certains ne s’affichent pas, verrouillez la sous-fenêtre, puis déverrouillezla afin d’actualiser la liste. Pour supprimer un périphérique à l’aide des Préférences Système : 1 Sélectionnez le périphérique dans la sous-fenêtre Devices. 2 Effectuez l’une des opérations ci-dessous.  Appuyez sur la touche Supprimer.  Cliquez sur le bouton Supprimer (-). Une zone de dialogue vous avertit que toutes les tâches en cours sont sur le point d’être annulées et que cette suppression est irréversible. En outre, elle répertorie le nombre de réponses et de dispositifs de surveillance sur le point d’être supprimés avec le périphérique. 3 Cliquez sur OK. Le périphérique est supprimé de la liste des périphériques. Vous devez tenir compte des points suivants lors de la suppression d’un périphérique :  La suppression d’un périphérique entraîne également celle de toutes les ressources correspondantes dans le catalogue Final Cut Server. Cela comprend la suppression de tous les fichiers proxy du périphérique Proxy et de toutes les versions du périphé- rique Version. Remarque : si le périphérique supprimé reprend de nombreuses ressources figurant dans le catalogue de Final Cut Server, il est possible que la suppression prenne du temps. Vous ne pouvez pas utiliser les Préférences Système tant que la suppression n’est pas terminée.  La suppression d’un périphérique n’a aucun effet sur le contenu en cours du volume du périphérique.  Si une tâche relative au périphérique est en cours lorsque vous supprimez ce dernier, vous devez attendre qu’elle se termine avant de pouvoir supprimer le périphérique (toutes les autres tâches en attente sont annulées). Si vous ne souhaitez pas attendre, vous pouvez annuler la tâche dans la fenêtre Search All Jobs du client.  Si vous utilisez l’Assistant réglages de périphérique pour ajouter des analyses au périphérique, les programmations et les réponses créées pour ces analyses sont supprimées en même temps que le périphérique.Chapitre 5 Utilisation de Device Setup Assistant 79 I  Si vous utilisez la fenêtre Administration du client pour configurer toute programmation ou réponse pour un périphérique, seules les réponses par copie et par analyse y faisant référence sont supprimées en même temps que le périphérique. La fenêtre Administration du client vous permet de supprimer manuellement toute programmation prévue pour le périphérique supprimé.  Tout dispositif de surveillance faisant référence au périphérique en cours de suppression est également supprimé. Les réponses qui prennent en charge les dispositifs de surveillance supprimés ne le sont pas mais doivent l’être manuellement par le biais de la fenêtre Administration du client. ∏ Conseil : pour identifier aisément les relations entre réponses, dispositifs de surveillance et périphériques, assurez-vous de leur donner un nom suffisamment explicite.6 81 6 Utilisation de l’Assistant réglages d’automatisation Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  À propos de la création d’automatisations (p. 81)  À propos des automatisations par défaut (p. 82)  Création d’automatisations (p. 83)  Modification d’une automatisation (p. 93)  Suppression d’une automatisation (p. 94) À propos de la création d’automatisations La sous-fenêtre Automations permet de créer, de modifier et d’activer des dispositifs de surveillance et des abonnements automatisés.  Les Watchers sont des éléments de Final Cut Server que vous pouvez configurer de façon à contrôler un périphérique. Lorsqu’un événement contrôlé par le dispositif de surveillance se produit, par exemple l’ajout d’un fichier multimédia au périphérique ou sa suppression de ce dernier, le dispositif exécute une réponse, telle que la copie du fichier multimédia à un autre endroit ou l’envoi d’un courrier électronique.  Les Subscriptions sont des éléments de Final Cut Server que vous pouvez configurer pour contrôler les modifications apportées aux métadonnées. Lorsqu’un événement surveillé par l’abonnement se produit, par exemple le passage de l’état actif d’une ressource à Ready for Review, l’abonnement exécute une réponse, telle que l’envoi d’un courrier électronique au réviseur. Final Cut Server propose deux méthodes de création d’automatisations : Automation Setup Assistant (l’Assistant réglages d’automatisation, décrit dans ce chapitre) et la fenêtre Administration du client. À propos de la création d’automatisations par le biais de l’Assistant réglages d’automatisation L’Assistant réglages d’automatisation simplifie la création des automatisations les plus courantes. En outre, vous pouvez modifier toute automatisation, y compris celles créées par défaut par le programme d’installation de Final Cut Server.82 Partie I Installation et configuration À propos de la création d’automatisations à l’aide de la fenêtre Administration La fenêtre Administration du client Final Cut Server contient des sous-fenêtres qui rendent possible la création d’automatisations extrêmement complexes. L’inconvénient réside dans le fait que la configuration d’automatisations simples reste quelque peu compliquée. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 14, « Gestion des automatisations », à la page 203. À propos des automatisations par défaut Le programme d’installation crée des dispositifs de surveillance par défaut en fonction du profil personnalisé sélectionné. En voici deux exemples :  Dispositif de surveillance Media to Library [Copy] : ce dispositif de surveillance de système de fichiers surveille le dossier Media (créé par le programme d’installation) du périphérique Watchers et copie automatiquement toute nouvelle ressource qu’il contient dans le périphérique Library, sans conversion. En outre, il supprime les ressources du dossier Media du périphérique Watchers. Ces dispositifs de surveillance scruptent tous les sous-dossiers du périphérique Watchers. Le nom du dispositif est répertorié au préalable dans le nom du dossier. En fonction du profil personnalisé sélectionné au cours de l’installation, les dossiers Graphic et Media peuvent apparaître. En outre, ces dispositifs de surveillance appliquent les ensembles de métadonnées qui conviennent à chaque ressource de dossier. Toutes ces automatisations sont configurées de façon à copier sans transcodage tout fichier multimédia ajouté à ces dossiers dans le périphérique Library.  Abonnement Assets Ready for Review [Email] : cet abonnement de métadonnées surveille toutes les ressources du catalogue et envoie un courrier électronique dès que l’état des métadonnées d’une ressource quelconque passe à Ready for Review. Cet abonnement (et tout autre utilisant une réponse par courrier électronique créé par le programme d’installation) utilise les adresses électroniques que vous avez saisies ou celles enregistrées sous forme de réviseurs requis pour une ressource. La sous-fenêtre Automations permet de créer des automatisations ou modifier celles créées par défaut. Vous pouvez activer ou désactiver ces automatisations en cochant ou en décochant les cases On (décochées par défaut). Pour en savoir plus sur la modification d’une automatisation, consultez la rubrique « Modification d’une automatisation » à la page 93.Chapitre 6 Utilisation de l’Assistant réglages d’automatisation 83 I Création d’automatisations Vous pouvez configurer deux types d’automatisations à l’aide de l’Assistant réglages d’automatisation : un dispositif de surveillance de système de fichiers qui réagit à tout changement de fichier à un emplacement spécifié et un abonnement de métadonnées qui réagit à tout changement de métadonnées spécifique. Dans chaque cas, la réponse de l’automatisation peut être la copie d’un fichier, l’envoi d’un courrier électronique à une adresse spécifiée ou l’archivage d’un fichier. Pour créer une automatisation : 1 Déverrouillez la sous-fenêtre Final Cut Server dans les Préférences Système. 2 Cliquez sur Automations pour afficher la sous-fenêtre du même nom. Celle-ci dresse la liste des dispositifs de surveillance et des abonnements actifs. Important : si vous avez créé des dispositifs de surveillance et des abonnements par le biais de la fenêtre Administration du client, ceux-ci doivent figurer dans la liste. Si certains ne s’affichent pas, verrouillez la sous-fenêtre, puis déverrouillez-la afin d’actualiser la liste. 84 Partie I Installation et configuration 3 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) pour ouvrir l’Assistant réglages d’automatisation. 4 Sélectionnez File System Watcher de système de fichiers ou Metadata Subscription, puis cliquez sur Continue. Une sous-fenêtre s’affiche où vous pouvez définir le type d’automatisation sélectionné. Pour en savoir plus sur ces deux méthodes, consultez les rubriques « Informations détaillées sur le dispositif de surveillance de système de fichiers » à la page 86 et « Informations détaillées sur l’abonnement de métadonnées » à la page 87. 5 Configurez le type d’automatisation choisi et cliquez sur Continue. La sous-fenêtre Responses s’ouvre. Cette sous-fenêtre est identique pour les deux types d’automatisation. Vous pouvez ainsi ajouter des réponses à l’automatisation. Cliquez sur le bouton Ajouter, puis sélectionnez le type de réponse à utiliser. Chapitre 6 Utilisation de l’Assistant réglages d’automatisation 85 I 6 Cliquez sur le bouton Ajouter (+), puis sélectionnez un type de réponse à ajouter à l’automatisation :  Copy Response : permet de copier des éléments vers l’emplacement spécifié dans cette réponse. En outre, vous pouvez transcoder les éléments lors de la copie. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Informations détaillées sur la réponse par copie » à la page 89.  Email Response : permet d’envoyer un courrier électronique aux adresses saisies. Vous devez pour cela ajouter les adresses électroniques, l’objet et le texte du message. Il existe différents codes utiles que vous pouvez saisir pour inclure automatiquement le nom des ressources et d’autres informations. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Informations détaillées sur la réponse par courrier électronique » à la page 90.  Archive Response : archive les éléments. L’archivage copie le fichier principal de la ressource sur le périphérique d’archivage sélectionné (si un périphérique de ce type a été configuré) et le supprime de son emplacement d’origine. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Informations détaillées sur la réponse par archivage » à la page 92.  Delete Response : réponse généralement utilisée avec les dispositifs de surveillance qui utilisent également une réponse par copie. Une fois que la réponse copie les ressources du dossier que le dispositif de surveillance a en charge de contrôler, la réponse par suppression les supprime du dossier surveillé. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Informations détaillées sur la réponse par suppression » à la page 93. Remarque : si vous utilisez des réponses par suppression, elles doivent correspondre aux derniers éléments de la sous-fenêtre Responses. 7 Cliquez sur Continue après avoir ajouté et configuré toutes les réponses dont vous avez besoin. La sous-fenêtre Summary s’affiche. 86 Partie I Installation et configuration 8 Vérifiez que les réglages sont correctement définis, cliquez sur Done pour fermer l’Assistant réglages d’automatisation et ajouter la nouvelle automatisation à la liste dans la sous-fenêtre Automations. Informations détaillées sur le dispositif de surveillance de système de fichiers La configuration des réglages d’un dispositif de surveillance de système de fichiers suppose que vous sélectionniez le périphérique à surveiller, saisissiez un emplacement spécifique sur ce périphérique et que vous ajoutiez éventuellement les extensions des formats multimédia à surveiller. Pour en savoir plus sur l’ouverture de l’Assistant réglages d’automatisation et sur la manière d’accéder à cette sous-fenêtre en sélectionnant File System Watcher, consultez la rubrique « Création d’automatisations » à la page 83. Pour configurer les informations détaillées d’un dispositif de surveillance de système de fichiers : 1 Attribuez un nom à l’automatisation. Il s’agit du nom qui apparaît dans la sous-fenêtre Watcher de la fenêtre Administration du client. 2 Choisissez un périphérique dans le menu local Device. 3 Cochez la case Watch Subfolder pour indiquer le sous-dossier à surveiller. Ne cochez pas cette case si vous ne souhaitez analyser que le dossier racine du périphérique. 4 Saisissez l’emplacement du sous-dossier du périphérique à surveiller (le cas échéant). 5 Vous pouvez éventuellement cliquez sur le bouton Ajouter (+) pour spécifier les types de fichier à surveiller d’après leur extension.Chapitre 6 Utilisation de l’Assistant réglages d’automatisation 87 I 6 Cliquez sur Continue pour accéder à la sous-fenêtre Responses. Pour en savoir plus sur la sous-fenêtre Responses, consultez la rubrique « Création d’automatisations » à la page 83. Informations détaillées sur l’abonnement de métadonnées La configuration des réglages pour une automatisation d’abonnement de métadonnées suppose que vous effectuiez le suivi des ressources ou des productions et que vous définissiez des règles spécifiques à rechercher. Pour en savoir plus sur l’ouverture de l’Assistant réglages d’automatisation et sur la manière d’accéder à cette sous-fenêtre en sélectionnant Metadata Subscription, consultez la rubrique « Création d’automatisations » à la page 83. Pour configurer une automatisation d’abonnement de métadonnées : 1 Attribuez un nom à l’automatisation. Il s’agit du nom qui apparaît dans la sous-fenêtre Subscription de la fenêtre Administration du client. 2 Indiquez si vous voulez que le contrôle des ressources ou des productions se fasse. 3 Configurez la zone Metadata pour indiquer les métadonnées à surveiller. Vous pouvez ajouter plusieurs lignes dans la zone Métadonnées pour préciser l’abonnement. Cliquez sur le bouton Ajouter (+) pour ajouter une ligne, ou sur Supprimer (-) pour en supprimer une (possible à partir de deux lignes). 4 Cliquez sur Continue. La sous-fenêtre Responses s’ouvre. Pour en savoir plus sur la sous-fenêtre Responses, consultez la rubrique « Création d’automatisations » à la page 83.88 Partie I Installation et configuration Chaque ligne de la zone Metadata comporte au moins deux menus locaux :  Le premier menu local de la ligne indique le champ de métadonnées à surveiller. En général, vous ne pouvez pas ajouter plusieurs lignes dont le même champ de métadonnées est sélectionné. Une exception à cela : lorsque l’opérateur (correspondant au second menu local) d’une des lignes est défini sur Changes.  Le second menu local permet de définir l’opérateur à utiliser lors de la surveillance du champ de métadonnées du premier menu local. Cela permet de savoir si un troisième élément apparaît dans la ligne ; il peut s’agir d’un champ de texte ou un troisième menu local. Par exemple, si vous souhaitez que l’automatisation surveille une ressource dont l’état passe à Approved, vous pouvez utiliser deux lignes.  Choisissez Status dans la première ligne du premier menu local, puis sélectionnez Changes dans le second menu local. Cela permet de configurer cette automatisation pour qu’elle ne s’active que si le champ de métadonnées Status d’une ressource change.  Ajoutez une deuxième ligne, puis sélectionnez Status dans le premier menu local correspondant, Matches dans le deuxième et Approved dans le troisième. Cela permet de configurer cette automatisation pour qu’elle ne prenne en compte que les ressources dont l’état passe à Approved et qu’elle ignore les ressources précédemment définies sur Approved.Chapitre 6 Utilisation de l’Assistant réglages d’automatisation 89 I Informations détaillées sur la réponse par copie Utilisez une réponse par copie lorsque vous souhaitez copier les éléments identifiés par l’automatisation. Les réglages d’une réponse par copie sont les suivants :  Name : nom de la réponse. C’est le nom qui s’affiche dans la sous-fenêtre Responses de la fenêtre Administration.  Destination Device : périphérique où vous souhaitez copier les éléments.  Destination Subfolder : permet d’activer le bouton Parcourir pour sélectionner un sous-dossier sur le périphérique de destination indiqué dans le champ Destination Device.  Transcode source to : réglage du transcodage à utiliser lors de la copie. Les éléments de cette liste varient en fonction des réglages de transcodage affectés au périphérique sélectionné.  Metadata Set : ensemble de métadonnées à appliquer aux ressources copiées. Sélectionnez None pour que le fichier multimédia soit copié mais pas ajouté en tant que ressource au catalogue Final Cut Server. Les ensembles de métadonnées, qui sont composés de champs et de groupes de métadonnées, définissent les types de métadonnées que vous pouvez ajouter à une ressource. Vous pouvez créer des ensembles de métadonnées, des groupes et des champs personnalisés à l’aide de la fenêtre Administration du client Final Cut Server. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 11, « Gestion des métadonnées », à la page 141.90 Partie I Installation et configuration Important : si le périphérique de destination contient déjà un fichier portant le même nom que celui en cours de copie, les réponses par copie n’écrasent alors pas par défaut le fichier existant mais lui affectent une extension numérotée. Les réponses par copie créées par le biais de la fenêtre Administration du client Final Cut Server peuvent être éventuellement configurées de façon à écraser un fichier portant le même nom qu’un fichier existant. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « À propos des réponses par copie » à la page 218. Informations détaillées sur la réponse par courrier électronique Utilisez une réponse par courrier électronique lorsque vous souhaitez envoyer un courrier électronique chaque fois que l’automatisation a détecté un élément qu’elle est censée détecter. Les réglages d’une réponse par courrier électronique sont les suivants :  Name : nom de la réponse. C’est le nom qui s’affiche dans la sous-fenêtre Responses de la fenêtre Administration.  To : adresses électroniques auxquelles le courrier électronique doit être envoyé. Utilisez une virgule pour séparer les adresses, par exemple, rev1@apple.com,rev2@apple.com.  From : adresse électronique de laquelle le courrier électronique doit être envoyé. Il s’agit de l’adresse de réponse à laquelle le destinataire du courrier électronique peut envoyer un courrier électronique, le cas échéant.  Subject : objet du courrier électronique. Vous pouvez saisir des codes pour ajouter automatiquement certaines informations au sujet du courrier électronique.  Body : texte du corps du courrier électronique. Vous pouvez saisir des codes pour ajouter automatiquement certaines informations au courrier électronique.Chapitre 6 Utilisation de l’Assistant réglages d’automatisation 91 I  Insert Metadata Field : nom de champ de métadonnées dont les données sont à ajouter au courrier électronique. Ces champs sont indiqués sous forme de texte entre crochets au point d’insertion dans cette sous-fenêtre. Les données d’origine du champ sont remplacées lorsque le courrier électronique est créé et envoyé. Par exemple, vous pouvez ajouter le champ de métadonnées Required reviewers au champ To (il s’affiche alors sous la forme [Required reviewers]) ; lorsque le courrier électronique est envoyé, toutes les adresses électroniques ajoutées au champ Required reviewers de la ressource sont insérées automatiquement dans le champ To. Vous devez prendre en compte les points suivants lorsque vous utilisez la fonction Insert Metadata Field :  Vous pouvez ajouter des champs de métadonnées aux champs To, Subject et Body du courrier électronique.  Si un champ de métadonnées d’une ressource, ajouté au courrier électronique, ne contient aucune donnée, le nom du champ s’affiche entre crochets dans le courrier électronique à la place des données.  Vous pouvez créer des champs de métadonnées personnalisés qui s’affichent dans le menu local Insert Metadata Field. Pour cela, il suffit de les ajouter à un groupe de métadonnées par le biais de la fenêtre Administration. Les champs de métadonnées qui figurent dans cette liste sont les mêmes que ceux se trouvant dans les groupes de métadonnées de la catégorie Custom Metadata (c’est-à-dire, tout groupe pouvant être ajouté à un ensemble de métadonnées). Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Champs de métadonnées » à la page 144.  Outre la possibilité d’ajouter un champ de métadonnées depuis ce menu local, vous pouvez taper manuellement le nom du champ de métadonnées (entre crochets). Pensez à respecter les majuscules lors de la saisie du nom du champ de métadonnées.92 Partie I Installation et configuration Informations détaillées sur la réponse par archivage Utilisez une réponse pour archiver des éléments précis. Les réglages d’une réponse par archivage sont les suivants :  Name : nom de la réponse. C’est le nom qui s’affiche dans la sous-fenêtre Responses de la fenêtre Administration.  Destination Archive Device : périphérique d’archivage à sélectionner dans ce menu local.  Destination Subfolder : permet d’activer le bouton Browse pour sélectionner un sous-dossier sur le périphérique d’archivage de destination indiqué dans le champ Destination Archive Device.Chapitre 6 Utilisation de l’Assistant réglages d’automatisation 93 I Informations détaillées sur la réponse par suppression Utilisez une réponse par suppression pour supprimer des ressources du dossier de surveillance après qu’ils aient été copiés par une réponse par copie. Il n’existe aucun réglage en ce qui concerne la réponse par suppression. Remarque : si vous utilisez des réponses par suppression, elles doivent correspondre aux derniers éléments de la sous-fenêtre Responses. Modification d’une automatisation Vous pouvez modifier un dispositif de surveillance ou une automatisation d’abonnement en utilisant l’Assistant réglages d’automatisation. Cela comprend ceux créés par le biais de l’Assistant réglages d’automatisation et ceux créés par le biais de la fenêtre Administration du client. Par exemple, il peut s’avérer nécessaire de modifier une adresse électronique. Important : si vous avez créé des dispositifs de surveillance et des abonnements par le biais de la fenêtre Administration du client, ceux-ci doivent figurer dans la liste de la sous-fenêtre Automations. Si certains ne s’affichent pas, quittez la fenêtre des Préférences Système, puis rouvrez-la afin d’actualiser la liste. 94 Partie I Installation et configuration Pour modifier une automatisation : 1 Identifiez-vous le cas échéant. 2 Effectuez l’une des opérations ci-dessous.  Double-cliquez sur une automatisation.  Sélectionnez une automatisation, puis cliquez sur le bouton Modifier. L’automatisation s’ouvre dans l’Assistant réglages d’automatisation où vous pouvez apporter les modifications nécessaires. Remarque : vous ne pouvez pas modifier le type d’automatisation (dispositif de surveillance de système de fichiers ou abonnement de métadonnées). Important : en cas de modification d’une automatisation créée par le biais de la fenê- tre Administration du client, vous ne pouvez modifier que les réponses affectées à l’automatisation, limitées à celles par courrier électronique, celles par copie et celles par archivage. Vous pouvez cependant supprimer n’importe quelle réponse (modifiable ou non) depuis l’automatisation. Suppression d’une automatisation Vous pouvez supprimer toute automatisation existante en accédant aux Préférences Système de Final Cut Server, à la sous-fenêtre Automations, puis en cliquant sur le bouton Supprimer (-). Pour supprimer une automatisation à l’aide des Préférences Système : 1 Sélectionnez l’automatisation dans la sous-fenêtre Automations. 2 Effectuez l’une des opérations ci-dessous.  Appuyez sur la touche Supprimer.  Cliquez sur le bouton Supprimer (-). Une zone de dialogue vous avertit que la suppression est irréversible. En outre, elle indique le nombre d’éléments sur le point d’être supprimés. 3 Cliquez sur OK. L’automatisation est supprimée de la liste des périphériques. Vous devez tenir compte des points suivants lors de la suppression d’une automatisation :  Lorsque vous supprimez une automatisation créée à l’aide de l’Assistant réglages d’automatisation, toute réponse créée pour cette automatisation, par l’Assistant réglages d’automatisation, est également supprimée. En revanche, toute réponse que vous créez et ajoutez manuellement à l’automatisation par le biais de la fenêtre Administration du client n’est pas supprimée.  Si vous supprimez une automatisation créée par le biais de la fenêtre Administration du client, aucune réponse s’y rapportant n’est alors supprimée pour autant. 7 95 7 Sauvegarde de Final Cut Server Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  Introduction à la sauvegarde de votre système (p. 95)  Stratégies de sauvegarde (p. 96)  Sauvegarde du catalogue Final Cut Server (p. 98)  À propos des fichiers de sauvegarde (p. 99)  Restauration du catalogue Final Cut Server (p. 100) Introduction à la sauvegarde de votre système Final Cut Server comprend une fonction de sauvegarde du catalogue Final Cut Server. La possibilité de restaurer le catalogue à partir de la copie de sauvegarde peut vous aider à refaire fonctionner votre système si vous deviez réinstaller Final Cut Server. La sous-fenêtre Backup permet de créer facilement, manuellement ou automatiquement, des copies de sauvegarde de votre catalogue Final Cut Server. Important : la fonction de sauvegarde se limite au catalogue Final Cut Server ; elle ne sauvegarde pas les ressources ou les projets stockés sur vos périphériques.96 Partie I Installation et configuration Stratégies de sauvegarde Un système Final Cut Server se compose de nombreux fichiers stockés sur divers ordinateurs et périphériques. La sauvegarde de tout le système Final Cut Server peut parfois être difficile, en raison plus particulièrement des fichiers volumineux qu’il peut gérer. Sauvegarde des périphériques La sauvegarde des ressources de vos périphériques n’a rien de compliqué. Vous pouvez utiliser n’importe quel système de sauvegarde pour créer des copies de vos ressources. Si vous sauvegardez vos périphériques et le catalogue Final Cut Server, il est conseillé de les sauvegarder en même temps. De cette manière, vous êtes sûr que les données de la copie de sauvegarde du catalogue correspondent aux ressources des sauvegardes des périphériques. Il est particulièrement important de sauvegarder les périphériques Proxies et Version lors de la sauvegarde du catalogue Final Cut Server. En effet, ces deux périphériques contiennent des ressources particulières exploitées par Final Cut Server et les deux utilisent le système de fichiers Contentbase. Lors de la sauvegarde, il est conseillé de sauvegarder au préalable le catalogue Final Cut Server et de placer le fichier de sauvegarde obtenu sur le même volume que les périphériques Proxies et Version. Une fois le catalogue sauvegardé, vous pouvez le sauvegarder en même temps que les deux périphériques, en suivant les procédures de sauvegarde habituelles. Sauvegarde du catalogue Final Cut Server La sauvegarde du catalogue Final Cut Server ne se limite pas à un ou deux fichiers. C’est pourquoi, Final Cut Server prévoit une fonction de sauvegarde pour automatiser le processus. À la fin de la sauvegarde du catalogue Final Cut Server, vous obtenez un fichier .zip contenant un instantané de tous les paramètres du catalogue Final Cut Server. Cet instantané contient :  tous les groupes et toutes les autorisations associées ;  toutes les métadonnées de toutes les ressources et de tous les projets ;  toutes les automatisations, qu’elles soient créées avec l’Assistant réglages d’automatisation ou par le biais de la fenêtre Administration du client ;  la liste de tous les périphériques et les réglages correspondants, qu’ils soient créés avec l’Assistant réglages de périphérique ou par le biais de la fenêtre Administration du client ;  tous les historiques et toutes leurs entrées relatives aux tâches ;  tous les réglages des préférences. L’objectif de la sauvegarde du catalogue Final Cut Server est de pouvoir restaurer un état antérieur opérationnel en cas de panne sérieuse, telle que la défaillance d’un disque dur. Voici un exemple des étapes à suivre pour récupérer le serveur suite à une panne de disque dur.Chapitre 7 Sauvegarde de Final Cut Server 97 I Étape 1 : Réinstallez Mac OS X sur l’ordinateur La première étape à suivre pour récupérer le système suite à une panne du disque consiste à réinstaller le système d’exploitation Mac OS X v10.5 ou Mac OS X Server v10.5. Étape 2 : Configurez vos groupes tels qu’ils étaient auparavant Une fois restauré, Final Cut Server compte sur les mêmes groupes que ceux disponibles avant la panne. Étape 3 : Restaurez les fichiers Proxy et Version Si vous avez sauvegardé les fichiers Proxy et Version au même moment que vous avez sauvegardé le catalogue Final Cut Server pour la dernière fois (comme cela est recommandé plus haut dans ce manuel), vous devez restaurer ces fichiers. Ils doivent être exactement dans le même état que celui dans lequel ils se trouvaient la dernière fois que vous avez sauvegardé Final Cut Server et dans le même dossier par rapport au dossier racine du disque dur. Final Cut Server se reconnecte automatiquement à ces fichiers lorsque le catalogue est restauré. Étape 4 : Installez Final Cut Server Vous devez réinstaller Final Cut Server en utilisant le disque d’installation original. Tout réglage défini lors du processus d’installation, notamment l’emplacement du serveur proxy, est remplacé par la dernière version enregistrée des réglages lorsque vous restaurez le catalogue Final Cut Server. Important : les fichiers de sauvegarde sont spécifiques à la version de Final Cut Server utilisée lorsque les fichiers sont enregistrés. Avant de restaurer un fichier de sauvegarde, vous devez vérifier que la version de Final Cut Server est exactement identique à celle utilisée lors de la création du fichier de sauvegarde. Cela signifie qu’il peut être nécessaire d’utiliser Mise à jour de logiciels après avoir installé Final Cut Server depuis le disque d’installation original. Veillez à décocher l’élément « Catalog Media device automatically » dans la sous-fenê- tre Profile des réglages du programme d’installation de Final Cut Server pour s’assurer qu’aucune automatisation ne s’exécute pendant le processus de restauration du catalogue. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Démarrage du programme d’installation de Final Cut Server » à la page 26. Étape 5 : Restaurez le catalogue Final Cut Server Une fois l’installation de Final Cut Server terminée, vous pouvez cliquer sur le bouton Restore de la sous-fenêtre Backup des Préférences Système de Final Cut Server. Cela rétablit l’état dans lequel Final Cut Server se trouvait lors du processus de sauvegarde. Remarque : il peut s’avérer nécessaire de réinitialiser les mots de passe réseau des périphériques pour lesquels ils sont requis.98 Partie I Installation et configuration Sauvegarde du catalogue Final Cut Server La fonction de sauvegarde est accessible depuis les Préférences Système de Final Cut Server. Vous pouvez sauvegarder le catalogue Final Cut Server de deux façons : immédiatement ou automatiquement à intervalle régulier. Pour sauvegarder immédiatement le catalogue Final Cut Server : 1 Sélectionnez la sous-fenêtre Backup des Préférences Système de Final Cut Server. 2 Cliquez sur le bouton Back Up Now. Une zone de dialogue s’affiche pour saisir le nom et l’emplacement du fichier de sauvegarde. Important : il est fortement recommandé de ne pas sélectionner un emplacement du fichier de sauvegarde situé sur le même lecteur où Final Cut Server est installé. 3 Cliquez sur le bouton Back Up. Un fichier comprimé portant l’extension « .zip » est créé à l’emplacement spécifié. Chapitre 7 Sauvegarde de Final Cut Server 99 I Pour planifier la sauvegarde du catalogue Final Cut Server : 1 Sélectionnez la sous-fenêtre Backup des Préférences Système de Final Cut Server. 2 Cliquez sur le bouton Ajouter (+). Cela ajoute une sauvegarde programmée d’après les réglages par défaut. 3 Sélectionnez la sauvegarde programmée dans la liste Scheduled Backups et configurez les réglages de la manière suivante :  Cliquez sur Browse pour ouvrir une zone de dialogue où vous pouvez sélectionner l’emplacement du fichier de sauvegarde. Important : il est fortement recommandé de ne pas sélectionner un emplacement des fichiers de sauvegarde, situé sur le même lecteur où Final Cut Server est installé.  Sélectionnez Day (le catalogue est sauvegardé tous les jours) ou Week (le catalogue est sauvegardé une fois par semaine) dans le menu local Every.  Tapez une heure dans le champ At.  Si vous voulez sauvegarder le catalogue une fois par semaine, sélectionnez le jour de la sauvegarde dans le menu local On. Un fichier comprimé intitulé « Final Cut Server DB Backup on [dossier sélectionné] at [date et heure].zip » est créé à l’emplacement spécifié, à la date et à l’heure spécifiées. Une fois une sauvegarde programmée terminée, le bouton View Log de la sous-fenêtre Backup s’active. Cliquez dessus pour consulter l’historique des sauvegardes programmées ayant eu lieu. À propos des fichiers de sauvegarde Les fichiers de sauvegarde de Final Cut Server n’étant pas des fichiers multimédia, ceux-ci sont relativement peu encombrants. Il est fortement recommandé de sauvegarder les périphériques Proxies et Versions ainsi que le fichier de sauvegarde du catalogue Final Cut Server, peu après avoir sauvegardé le catalogue Final Cut Server. Ces périphériques utilisent le format de système de fichiers Contentbase et comptent sur le fait que le catalogue Final Cut Server reflète exactement leur contenu. La restauration des périphériques et du catalogue à partir de fichiers créés au même moment permet aux données du catalogue Final Cut Server et à celles de ces périphériques de correspondre exactement. Remarque : il est également recommandé de sauvegarder les ressources et les projets de vos autres périphériques.100 Partie I Installation et configuration Restauration du catalogue Final Cut Server La restauration du catalogue Final Cut Server n’est pas compliquée ; cependant, vous devez prendre en compte certains points. À propos de la restauration du catalogue La restauration du catalogue peut entraîner la perte de données.  Si vous restaurez le catalogue sur une nouvelle installation de Final Cut Server, il n’existe pour ainsi dire pas de catalogue et la restauration peut se faire sans risque.  En revanche, si vous restaurez le catalogue sur une installation existante, le catalogue présent est entièrement supprimé avant le début de la restauration. Si les fichiers de restauration ne contiennent pas les données prévues ou ne fonctionnent pas correctement, vous risquez d’aggraver encore votre situation. Pour cette raison, il est fortement recommandé de sauvegarder le Final Cut Server en cours avant de restaurer un fichier de sauvegarde antérieur. Avant de restaurer le catalogue La remise en état du système peut ne pas se limiter à la simple restauration du catalogue. Si vous effectuez une restauration suite à la défaillance d’un disque dur, vous serez amené à reconfigurer certains réglages pour que Final Cut Server fonctionne correctement à nouveau. Utilisateurs et groupes Vous devez configurer les utilisateurs et groupes de votre ordinateur. Si les utilisateurs et les groupes sont configurés sur un autre ordinateur, vous devez simplement vérifier que cet ordinateur a accès à ces informations. La fonction de restauration tente d’affecter les ensembles d’autorisations aux mêmes groupes pour respecter la configuration en place au moment où le fichier de sauvegarde a été créé. Si les utilisateurs et les groupes sont configurés localement sur l’ordinateur, vous devez les reconfigurer de la même manière qu’ils étaient configurés au moment où le fichier de sauvegarde a été créé. Les groupes indisponibles lors du processus de restauration ne sont pas en mesure d’utiliser Final Cut Server tant que vous ne les ajoutez pas manuellement dans les Préférences Système de Final Cut Server. Périphériques Vous devez configurer l’ordinateur de sorte qu’il prenne en charge tout disque dur interne, système Xsan, configuration RAID, volume réseau et lecteur externe que Final Cut Server exploite pour ses périphériques. Si le moindre périphérique se trouve sur un volume protégé par mot de passe, vous devez configurer manuellement ces mots de passe en utilisant l’Assistant réglages de périphérique après avoir restauré le fichier de sauvegarde de Final Cut Server.Chapitre 7 Sauvegarde de Final Cut Server 101 I Remarque : n’oubliez pas qu’une fois la restauration terminée, les périphériques, pour lesquels les automatisations d’analyse complète sont configurées, effectueront cette analyse à la date et à l’heure programmées. Si le périphérique n’est ni disponible, ni configuré correctement, l’analyse risque de vider les ressources du catalogue. Restauration du catalogue La restauration du catalogue Final Cut Server se fait simplement en sélectionnant le fichier de sauvegarde. Pour restaurer le catalogue : 1 Sélectionnez la sous-fenêtre Backup des Préférences Système de Final Cut Server. 2 Cliquez sur le bouton Restore. Une zone de dialogue de sélection de fichier s’affiche. 3 Sélectionnez le fichier de sauvegarde servant à la restauration, puis cliquez sur le bouton Restore. Important : une fois que vous avez cliqué sur le bouton Restore, vous ne pouvez plus annuler le processus. Le catalogue Final Cut Server actuel est supprimé et le catalogue issu du fichier de sauvegarde est ajouté. 8 103 8 Installation de clients Final Cut Server Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  Introduction au client Final Cut Server (p. 103)  Utilisation de Java Web Start (p. 104)  À propos des fichiers du client Java Web Start (p. 107) Introduction au client Final Cut Server Le client Final Cut Server est ce qui permet aux utilisateurs d’interagir avec le catalogue Final Cut Server. En outre, il comprend une fenêtre Administration contenant d’autres commandes de configuration du système Final Cut Server (présentées dans la seconde partie de ce manuel, « Administration générale »). Le client Final Cut Server est une application Java compatible avec les systèmes d’exploitation Mac OS X, Windows XP et Windows Vista. Vous pouvez installer le client par le biais d’un processus Java Web Start en saisissant l’emplacement réseau de l’ordinateur Final Cut Server dans un navigateur web. Le navigateur télécharge et installe automatiquement le client. Important : même si le client Final Cut Server peut s’utiliser aussi bien sur des ordinateurs Mac OS X que Windows, certains codecs QuickTime peuvent poser problème. Plusieurs codecs QuickTime sont compatibles avec Mac OS X ou Windows, mais pas avec les deux systèmes d’exploitation. Si ce cas se présente, le fichier multimédia peut ne pas être reconnu ou lu par l’ordinateur du client. Pour obtenir des résultats optimaux, enregistrez et encodez les fichiers multimédia à l’aide de codecs pris en charge par tous les systèmes d’exploitation sur lesquels vous comptez exécuter le client Final Cut Server.104 Partie I Installation et configuration Utilisation de Java Web Start Les clients Final Cut Server s’installent par le biais de Java Web Start. Important : si plusieurs utilisateurs doivent se servir de l’ordinateur sur lequel vous installez le client Final Cut Server, chacun doit installer sa propre copie du client. Installation du client à l’aide de Java Web Start La méthode Java Web Start consiste à saisir une adresse URL dans le navigateur de l’ordinateur. Le format de l’URL est http://nomhôte/FinalCutServer, où nomhôte correspond à l’adresse IP ou au nom de l’ordinateur sur lequel vous avez installé Final Cut Server. Pour installer le client Final Cut Server à l’aide de Java Web Start : 1 Tapez l’adresse URL de l’ordinateur Final Cut Server dans le navigateur de l’ordinateur. Le navigateur affiche une page dotée de boutons et permettant de démarrer le télé- chargement du client Final Cut Server ou d’obtenir des informations complémentaires sur l’installation du client. 2 Cliquez sur le bouton Download pour télécharger le client. Remarque : si vous ne parvenez pas à installer le client Final Cut Server, cliquez sur le bouton Help pour que le navigateur affiche une page contenant d’autres informations d’installation. Un fichier intitulé finalcutserver.jnlp est copié dans le dossier de téléchargement ou dans le dossier temporaire du navigateur, selon la configuration du navigateur. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « À propos des fichiers du client Java Web Start » à la page 107. En outre, le navigateur accède à une page illustrant le processus d’installation du client. Une fois le téléchargement terminé, une zone de dialogue vous demande si l’application téléchargée provient d’une source fiable.Chapitre 8 Installation de clients Final Cut Server 105 I Remarque : double-cliquez sur le fichier finalcutserver.jnlp pour ouvrir manuellement Java Web Start si l’application ne s’ouvre pas automatiquement. 3 Cliquez sur Se fier pour poursuivre l’installation du client. ∏ Conseil : vous pouvez configurer cet ordinateur pour qu’il fasse automatiquement confiance à ce certificat en cliquant sur le bouton Afficher le certificat, sur le triangle d’affichage Réglages de confiance et en sélectionnant Toujours approuver dans le menu local When using this certificate. Une zone de dialogue vous demande si souhaitez créer un raccourci sur le bureau pour le client Final Cut Server. Important : l’installation du client Final Cut Server ne peut se faire que par l’utilisateur dont la session est actuellement ouverte sur cet ordinateur. Il n’est pas recommandé d’ajouter un raccourci d’accès au dossier Applications de l’ordinateur car le raccourci ne peut pas fonctionner pour les autres utilisateurs qui ouvrent une session sur cet ordinateur.106 Partie I Installation et configuration 4 Effectuez l’une des opérations ci-dessous.  Pour créer un raccourci : cliquez sur Yes. Une nouvelle zone de dialogue s’ouvre où vous devez saisir un nom et un emplacement pour le raccourci. Vous pouvez faire glisser ce raccourci sur le Dock pour pouvoir ouvrir le client Final Cut Server plus facilement.  Pour poursuivre l’installation sans créer de raccourci : cliquez sur No. Dans ce cas, vous devez utiliser le navigateur ou double-cliquer sur le fichier finalcutserver.jnlp pour lancer le client Final Cut Server. Pour en savoir plus sur le fichier finalcutserver.jnlp, consultez la rubrique « À propos des fichiers du client Java Web Start » à la page 107.  Pour configurer la fenêtre des préférences Java : cliquez sur Configure. Remarque : il n’est en général pas nécessaire de modifier les préférences Java ; cela est réservé aux utilisateurs expérimentés. La fenêtre d’ouverture de session du client Final Cut Server s’ouvre. Remarque : si le client est lancé pour la première fois sur cet ordinateur, une zone de dialogue de contrat de licence s’affiche. Cliquez sur Agree pour accéder à la fenêtre d’ouverture de session du client. 5 Le cas échéant, tapez le nom de l’ordinateur équipé de Final Cut Server dans le champ Server. Le nom s’affiche généralement automatiquement dans ce champ. 6 Tapez votre nom d’utilisateur dans le champ Username. 7 Tapez votre mot de passe dans le champ Password. 8 Cliquez sur Log In. Le client Final Cut Server s’ouvre. Pour en savoir plus sur l’utilisation du client, consultez le Manuel de l’utilisateur de Final Cut Server.Chapitre 8 Installation de clients Final Cut Server 107 I À propos des fichiers du client Java Web Start Lors de l’installation du client Final Cut Server par la méthode Java Web Start, un ou deux fichiers sont installés sur votre système :  finalcutserver.jnlp : ce fichier est automatiquement copié dans le dossier de téléchargement ou dans le dossier temporaire du navigateur. Ce fichier permet de créer le fichier Final Cut Server.app. Vous pouvez double-cliquer sur le fichier finalcutserver.jnlp pour ouvrir le client Final Cut Server si vous ne souhaitez pas créer de raccourci vers Final Cut Server. Si vous avez créé des raccourcis Final Cut Server, vous pouvez supprimer ces éléments. Remarque : ce fichier est téléchargé chaque fois que vous utilisez votre navigateur pour installer le client ; un tiret et un chiffre sont ajoutés au nom du fichier s’il est déjà emprunté. Important : si le réglage du navigateur qui désactive l’exécution des fichiers de source fiable après leur téléchargement est activé, vous devez double-cliquer sur le fichier finalcutserver.jnlp pour installer le client.  Final Cut Server.app : il s’agit du fichier du raccourci créé par le programme d’installation du client si vous avez indiqué de créer le raccourci, par exemple, dans le but de renommer le fichier. Vous pouvez double-cliquer sur ce fichier pour ouvrir le client Final Cut Server. Vous pouvez également faire glisser ce raccourci sur le Dock pour pouvoir ouvrir le client plus facilement. Chaque fois que vous ouvrez le client Final Cut Server, il vérifie auprès du serveur s’il existe une version plus récente du client. Dans le cas contraire, le client téléchargé s’ouvre. Si une version plus récente est disponible, elle est automatiquement téléchargée et ouverte.II Partie II : Administration générale Cette partie du manuel traite en détail la personnalisation de Final Cut Server afin de l’adapter à vos besoins. Chapitre 9 Réglages généraux et préférences Chapitre 10 Groupes et autorisations Chapitre 11 Gestion des métadonnées Chapitre 12 Gestion des périphériques Chapitre 13 Gestion des réglages de transcodage Chapitre 14 Gestion des automatisations Chapitre 15 À propos des tâches et des historiques Glossaire Index9 111 9 Réglages généraux et préférences Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  Vue d’ensemble de l’administration de Final Cut Server (p. 111)  Utilisation de la fenêtre Administration (p. 117)  Réglages de préférences dans la fenêtre Administration du client Final Cut Server (p. 119)  Réglages des préférences personnalisables (p. 125)  Fonctions client uniquement accessibles par l’administrateur (p. 127)  À propos de la prise en charge Unicode (p. 128) Vue d’ensemble de l’administration de Final Cut Server La configuration et l’administration de Final Cut Server s’exercent dans trois domaines principaux. Important : ce manuel suppose que vous êtes familiarisé avec les opérations Final Cut Server. Pour connaître tous les détails sur l’utilisation de Final Cut Server, consultez le Manuel de l’utilisateur de Final Cut Server.112 Partie II Administration générale Sous-fenêtre Comptes des Préférences Système La sous-fenêtre Comptes des Préférences Système sur l’ordinateur hébergeant Final Cut Server permet de gérer les groupes et les comptes utilisateurs locaux. Après avoir ajouté des utilisateurs et formé des groupes dans la sous-fenêtre Comptes, vous pouvez les ajouter à Final Cut Server, puis affecter leurs autorisations soit à l’aide des Préférences Système de Final Cut Server, soit à l’aide de la fenêtre Administration du client. Réglages de Mac OS X Server Dans Mac OS X Server, le Gestionnaire de groupe de travail permet de gérer les groupes et les comptes utilisateurs de Final Cut Server. Après avoir ajouté des utilisateurs et formé des groupes à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail, vous pouvez les ajouter à Final Cut Server, puis affecter leurs autorisations soit à l’aide des Préférences Système de Final Cut Server, soit à l’aide de la fenêtre Administration du client.Chapitre 9 Réglages généraux et préférences 113 II Pour en savoir plus, consultez le chapitre 4, « Ajout d’utilisateurs et de groupes », à la page 49. Préférences Système de Final Cut Server Les Préférences Système de Final Cut Server vous permettent de configurer les réglages Final Cut Server les plus courants. Plusieurs sous-fenêtres comportent des assistants réglages qui vous aident à ajouter des périphériques et des dispositifs de surveillance. Important : pour vos tâches d’administration, il est fortement recommandé d’utiliser autant que possible les réglages issus des Préférences Système de Final Cut Server. Les Préférences Système de Final Cut Server comportent les groupes de réglages suivants :  General : les réglages généraux comportent le bouton Final Cut Server Start/Stop et d’autres réglages de base dont la plupart se retrouvent dans la fenêtre Administration du client. Pour en savoir plus sur les réglages généraux, consultez « Réglages de la sous-fenêtre General » à la page 42.114 Partie II Administration générale  Group Permissions : les réglages Autorisations de groupe permettent de choisir les groupes Mac OS X qui utiliseront Final Cut Server. Pour en savoir plus sur la configuration des groupes, consultez le chapitre 4, « Ajout d’utilisateurs et de groupes », à la page 49.  Devices : les réglages Devices permettent d’ajouter et de configurer des périphériques à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique. Pour en savoir plus sur la gestion de périphériques, consultez le chapitre 5, « Utilisation de Device Setup Assistant », à la page 63 et le chapitre 12, « Gestion des périphériques », à la page 171.Chapitre 9 Réglages généraux et préférences 115 II  Automations : les réglages Automations permettent d’ajouter et de configurer les actions des dispositifs de surveillance et des réponses à l’aide de l’Assistant réglages d’automatisation. Pour en savoir plus sur l’automatisation de Final Cut Server, consultez le chapitre 6, « Utilisation de l’Assistant réglages d’automatisation », à la page 81 et le chapitre 14, « Gestion des automatisations », à la page 203.  Backup : les réglages Backup permettent d’ajouter et de configurer des opérations de sauvegarde automatique du catalogue de Final Cut Server. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 7, « Sauvegarde de Final Cut Server », à la page 95.116 Partie II Administration générale Fenêtre Administration du client Final Cut Server La fenêtre Administration du client Final Cut Server contient des réglages extrêmement détaillés ainsi que des configurations couvrant tous les aspects de Final Cut Server. Vous ne devez toutefois accéder à cette fenêtre que dans les cas de configurations avancées. Lorsque vous ouvrez une session sur un client Final Cut Server par le biais de privilèges administrateur, un élément Administration apparaît dans le menu local Server (il s’agit du menu local de la fenêtre principale de Final Cut Server qui apparaît lorsque vous cliquez sur le bouton Server). L’élément Administration ouvre la fenêtre du même nom. Un avertissement vous demande de confirmer l’accès à la fenêtre. Cliquez sur Continue pour l’ouvrir. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Utilisation de la fenêtre Administration, ». Cliquez sur le bouton Server et choisissez Administration dans le menu local.Chapitre 9 Réglages généraux et préférences 117 II Utilisation de la fenêtre Administration La fenêtre Administration comprend plusieurs sous-fenêtres permettant de configurer votre système Final Cut Server. La colonne située à gauche contient une liste de sous-fenêtres auxquelles vous pouvez accéder et dans lesquelles vous pouvez configurer ce qui suit :  Group Permissions : permet de définir des groupes d’utilisateurs et des autorisations de sécurité.  Permission Set : configure les réglages d’autorisation.  Metadata Field : définit le champ des métadonnées utilisées partout dans Final Cut Server.  Metadata Group : définit des groupes de champs de métadonnées connexes.  Metadata Map : permet de maintenir à jour les associations entre les champs de métadonnées standard et les champs personnalisés.  Lookup : définit la valeur des références permettant de valider les champs de métadonnées.  Devices : définit les périphériques de création, de montage, de stockage ou de lecture et sortie, connectés à Final Cut Server.  Metadata Sets : définit les différents ensembles de métadonnées à appliquer aux ressources et aux productions.  Transcode Settings : permet de définir des réglages de transcodage de copie de données et les affecter aux périphériques.  Log : entraîne l’affichage des historiques de Final Cut Server.  Watcher : définit des dossiers de surveillance utilisés pour automatiser le transfert de données. Employez ces commandes de présentation de page lorsque vous utilisez des listes longues. Sélectionnez dans cette liste une sous-fenêtre à configurer. La plupart des sous-fenêtres possèdent le bouton Créer pour vous permettre d’ajouter des éléments à la sous-fenêtre. Vous pouvez utiliser le champ de recherche et diverses commandes pour répertorier des éléments particuliers.118 Partie II Administration générale  Subscription : définit des règles d’abonnement utilisées pour personnaliser le flux de production dans Final Cut Server.  Schedule : définit des événements programmés.  Response : définit des réponses Final Cut Server aux événements programmés, aux abonnements et aux dispositifs de surveillance.  Preferences : permet de définir des réglages de préférences d’administration Final Cut Server. Si certaines sous-fenêtres comportent peu d’éléments, d’autres en incluent beaucoup. Dans le cas de ces dernières, la fenêtre Administration répartit les éléments sur plusieurs pages et prévoit des boutons supplémentaires pour la navigation entre les pages. La plupart des sous-fenêtres comportent un bouton Créer qui vous permet d’ajouter des éléments. La fenêtre Administration comporte également une fonction de recherche. La recherche vous permet de trouver rapidement des éléments spécifiques dans la liste. Vous pouvez cliquer sur le triangle d’affichage pour visualiser les options de recherche avancée. Ces options varient selon la sous-fenêtre utilisée. Utilisez ce menu local pour choisir la page à atteindre répertoriant les éléments. La plupart des sous-fenê- tres possèdent le bouton Créer pour vous permettre d’ajouter des élé- ments à la sous-fenêtre. Utilisez ces flèches pour afficher la page suivante ou la page précédente de la liste. Options de recherche avancée Cliquez sur cette croix pour effacer le champ de recherche. Saisissez le texte à rechercher dans ce champ. Cliquez sur le triangle d’affichage pour visualiser les options de recherche avancée.Chapitre 9 Réglages généraux et préférences 119 II Remarque : les réglages de préférences utilisateur définissent le nombre d’éléments trouvés lorsque vous effectuez une recherche, ainsi que le nombre d’éléments qui apparaissent dans chaque page. Il est possible d’augmenter ces réglages pour afficher un plus grand nombre d’éléments, ce qui s’avère pratique lorsque vous utilisez des champs de métadonnées et des groupes. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Réglages des préférences personnalisables » à la page 125. Important : certaines modifications effectuées dans la fenêtre Administration n’apparaissent pas immédiatement dans le client Final Cut Server. Pour qu’elles prennent effet, vous devez fermer la session puis la rouvrir pour entraîner l’ouverture d’un nouveau client Final Cut Server. Remarque : les éléments signalés d’un astérisque (*) demandent à être configurés. Réglages de préférences dans la fenêtre Administration du client Final Cut Server La sous-fenêtre des préférences de la fenêtre Administration du client Final Cut Server reprend la plupart des réglages de la sous-fenêtre General des Préférences Système de Final Cut Server. Elle comporte également un grand nombre de réglages supplémentaires. Sélectionnez Preferences pour visualiser la sousfenêtre du même nom. Choisissez un ensemble de préférences à afficher dans la sous-fenêtre.120 Partie II Administration générale Réglages des préférences globales La sous-fenêtre Global Preferences contient les réglages les plus courants. Nombre de ces réglages sont ceux de la sous-fenêtre General des Préférences Système de Final Cut Server. Les réglages de la sous-fenêtre Global Preferences sont les suivants :  SMTP Server : nom du serveur SMTP sortant utilisé pour envoyer les courriers électroniques. Ce réglage est également configuré au cours du processus d’installation de Final Cut Server. si vous n’avez rempli ce champ lors de l’installation, le réglage par défaut « localhost » s’applique, lequel peut être précisé également si l’ordinateur fonctionne sous Mac OS X Server v10.5. Il est alors configuré en tant que serveur de messagerie électronique SMTP. Final Cut Server peut être configuré de façon à envoyer des notifications sous forme de courrier électronique pour diverses raisons, telles que la disponibilité d’un ensemble de ressources pour leur passage en revue. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « À propos des réponses par courrier électronique » à la page 220.  Max Running Jobs : nombre maximal de tâches pouvant s’exécuter simultanément sur Final Cut Server. La plupart des équipements limiteront ce réglage à 20 tâches.  Retry Count : nombre de tentatives de relance d’une tâche échouée.  Retry Timeout : durée, exprimée en secondes, avant un nouvel essai.  Image Sequence Video Frame Rate : fréquence d’images à employer avec des séquences d’images fixes.  Default Media Metadata Set : sélectionnez l’ensemble de métadonnées par défaut à appliquer aux données du projet Final Cut Pro.Chapitre 9 Réglages généraux et préférences 121 II Réglages des préférences de Compressor La sous-fenêtre Compressor comporte un menu local qui permet de choisir la grappe de serveurs à utiliser pour toute opération de transcodage. Les choix disponibles dépendent de votre configuration Compressor. Pour en savoir plus sur la configuration de grappes de serveurs, consultez la documentation de Compressor accessible depuis le menu Aide de Compressor. Pour en savoir plus sur la création d’un QuickCluster personnalisé à utiliser avec Final Cut Server, consultez également la rubrique « À propos de Final Cut Server et Compressor » à la page 34. Remarque : le champ Compressor Cluster Password s’active uniquement si vous choisissez une grappe de serveurs protégée par mot de passe. Important : dans le menu local Compressor Cluster Name, l’élément This Computer ne se réfère pas en fait à l’ordinateur utilisé par le client Final Cut Server mais à l’ordinateur installé sur Final Cut Server. Réglages des préférences Proxys La sous-fenêtre Proxys comporte des menus locaux permettant de choisir les périphériques qui stockent vos proxys habituels et éventuellement les proxys de codec Apple ProRes 422. Chacun de ces périphériques est en fait créé au cours du processus d’installation. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Démarrage du programme d’installation de Final Cut Server » à la page 26.122 Partie II Administration générale Les réglages de la sous-fenêtre Proxies sont les suivants :  Proxy Device : périphérique à sélectionner dans le menu local pour le stockage des fichiers proxy habituels (périphériques Contentbase uniquement).  Enable Edit Proxies : case indiquant à Final Cut Server de créer automatiquement des fichiers proxy Apple ProRes 422 (en plus des fichiers proxy normaux), chaque fois que vous téléchargez un projet Final Cut Pro dans le catalogue Final Cut Server. Le codec Apple ProRes 422 permettant d’atteindre des fichiers de taille fortement réduite tout en gardant une qualité proche de celle des données d’origine, cette option s’avère très pratique lorsque vous manipulez des projets Final Cut Pro comportant du contenu HD ou SD non compressé. Remarque : ce réglage est issu du processus d’installation de Final Cut Server.  Edit Proxy Device : sélectionnez un périphérique dans le menu local pour le stockage des fichiers proxy Apple ProRes 422 (périphériques Contentbase uniquement). Important : si vous modifiez l’un des réglages de périphérique, assurez-vous que les périphériques d’origine restent accessibles. Dans le cas contraire, vous devez recréer les fichiers proxy qui y sont stockés à l’aide de la fonction d’analyse, ce qui peut prendre du temps. Il est recommandé de ne modifier ces périphériques qu’en cas de nécessité absolue. Une autre méthode consiste à déplacer le périphérique Proxies ou Edit Proxies vers un autre emplacement, sur un disque dur plus grand par exemple, puis à modifier le réglage Local Directory du périphérique, accessible depuis la fenêtre Administration du client Final Cut Server, dans la sous-fenêtre Devices. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Modification d’un périphérique à partir de la fenêtre Administration » à la page 176. Remarque : la fenêtre Administration du client permet de créer, dans votre système de fichiers, des périphériques qui conviennent à l’utilisation d’Edit Proxy. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Contentbase » à la page 182. À propos du périphérique Proxy Le périphérique Proxy par défaut s’intitule Proxies et se situe à l’emplacement spécifié par l’entrée Proxy Media Location dans le programme d’installation. Chaque fois que vous téléchargez une ressource dans le catalogue Final Cut Server, un ensemble de fichiers en faible résolution est créé. Les vignettes, les affiches et les proxy des plans sont stockés dans le périphérique Proxies. Ils sont utilisés à la place des ressources normales en pleine résolution lorsque leur version en faible résolution est suffisante. Pour en savoir plus sur la configuration des formats de proxy, consultez la rubrique « Réglages des préférences Analyze » à la page 124.Chapitre 9 Réglages généraux et préférences 123 II À propos du périphérique Edit Proxy Le périphérique Edit Proxy par défaut s’intitule Edit Proxies et se situe à l’emplacement spécifié par l’entrée Production Media Location dans le programme d’installation. Chaque fois que vous téléchargez un projet Final Cut Pro, Final Cut Server peut créer des proxys à l’aide du format vidéo Apple ProRes 422 (selon que la case Edit Proxies est cochée ou non). Ces fichiers proxy sont stockés sur le périphérique Edit Proxies. Lorsque vous exportez ou réservez l’usage d’un projet Final Cut Pro du catalogue Final Cut Server qui possède des fichiers codec Apple ProRes 422, vous pouvez indiquer de télécharger les fichiers de données d’origine ou les fichiers proxy Apple ProRes 422. Réglages des préférences du contrôle des versions La sous-fenêtre Version Control comporte des réglages pour la configuration de Final Cut Server, permettant de gérer les versions des ressources et des productions. Les réglages de la sous-fenêtre Version Control sont les suivants :  Control Device : périphérique à choisir dans le menu local pour le stockage des copies de sauvegarde des ressources (périphériques Contentbase uniquement). Le programme d’installation de Final Cut Server crée automatiquement un périphérique Version qui est sélectionné d’office ici. Pour en savoir plus, consultez « Configuration du périphérique Version » à la page 178.  Control Limit : nombre maximal de versions associables à une ressource. Une fois la limite atteinte, les copies les plus anciennes sont supprimées au fur et à mesure que vous en ajoutez des nouvelles. Important : n’oubliez pas que chaque version requiert un espace disque égal à celui de la version d’origine. Des versions en grand nombre peuvent nécessiter un espace disque non négligeable, particulièrement lorsque vous manipulez des fichiers vidéo volumineux.124 Partie II Administration générale Réglages des préférences Analyze La sous-fenêtre Analyze permet de configurer les différents types de format de proxy lorsqu’une ressource est ajoutée au catalogue. Pour chaque élément de la liste, vous pouvez choisir un format à utiliser pour la repré- sentation de cette ressource. Il existe deux types de données : image et plan vidéo. Les réglages de la sous-fenêtre Analyze sont les suivants :  Thumbnails : petites images qui apparaissent dans la présentation en vignette de la fenêtre principale du client.  Poster Frame : images en pleine résolution qu’un utilisateur peut exporter à partir de la fenêtre principale. Une affiche sert de version générique, par exemple une version JPEG. Vous pouvez l’utiliser à la place de la ressource d’origine. Celles-ci sont particulièrement utiles lorsque la ressource d’origine est encodée dans un format proprié- taire et que vous souhaitez la visualiser sur un ordinateur ne prenant pas en charge ce format.  Key-channel Poster Frame : pour des images uniquement. Celles-ci sont identiques aux affiches normales, sauf qu’elles contiennent un canal alpha.  Clip Proxy : pour les plans vidéo uniquement. Les proxys de plan sont des représentations en faible résolution des ressources, utilisées chaque fois qu’il n’est pas nécessaire de recourir à la copie en pleine résolution de la ressource. Ces proxys de plans sont copiés sur votre système lorsque vous prévisualisez une ressource dans la fenê- tre principale. Final Cut Server détecte automatiquement les proportions de la vidéo et ajuste celles du plan vidéo proxy en conséquence. Remarque : les options disponibles pour le transcodage du plans vidéo sont déterminées par les réglages mis en place dans Compressor. Vous pouvez créer des réglages supplémentaires dans Compressor afin de personnaliser vos options de transcodage. Pour en savoir plus, consultez la documentation de Compressor accessible depuis le menu Aide de Compressor.Chapitre 9 Réglages généraux et préférences 125 II  Clip Edit Proxy : pour les plans vidéo téléchargés à l’aide d’un projet Final Cut Pro uniquement. Ce réglage fournit un format de proxy à utiliser lors de l’exportation ou du retrait d’un projet Final Cut Pro. Le réglage par défaut est Apple ProRes 422 Clip Edit Proxy ; ce codec de qualité moyenne prend en charge des formats de haute définition. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Réglages des préférences Proxys » à la page 121. Réglages des préférences personnalisables Outre les Préférences Système de Final Cut Server et les sous-fenêtres Preferences de la fenêtre Administration du client, il existe un troisième ensemble de préférences destinées aux utilisateurs pour les aider à personnaliser leur utilisation de Final Cut Server. Ces préférences s’appliquent uniquement à un seul utilisateur, pour un client spécifique sur un ordinateur précis (si l’utilisateur ouvre une session client sur un autre ordinateur, les réglages des préférences utilisateur ne sont pas répercutés). Pour configurer les réglages des préférences utilisateur, procédez de l’une des manières suivantes : m Sélectionnez Final Cut Server > Preferences. m Choisissez Preferences dans le menu local Server (celui qui apparaît dans la fenêtre principale de Final Cut Server lorsque vous cliquez sur le bouton Server). La fenêtre Preferences se compose de deux sections : Searching et Local Media Storage. Après avoir configuré les réglages, cliquez sur le bouton Apply Changes pour les enregistrer.126 Partie II Administration générale Réglages de Searching Les réglages de Searching permettent à l’utilisateur de personnaliser l’affichage des résultats. Cela peut s’avérer utile selon la taille de votre écran. Les réglages de la section Searching sont les suivants :  Maximum # of Search Results : valeur représentant le nombre maximal d’éléments qui apparaissent après une recherche.  Items Per Page : résultats de la recherche répartis sur plusieurs pages afin de rendre l’affichage plus efficace. Vous pouvez saisir une valeur qui définit le nombre d’élé- ments présentés sur chaque page.  Remember the last search : case indiquant à Final Cut Server de mémoriser la dernière recherche effectuée pour l’exécuter à l’ouverture de session suivante. Réglages de Local Media Storage Les réglages Local Cache permettent à un utilisateur de choisir un emplacement de disque pour les opérations relatives au cache :  Save cached files to : le bouton Choose permet de sélectionner un emplacement pour le stockage de vos caches. Les emplacements par défaut sont /nom d’utilisateur/ Bibliothèque/Caches/ lorsque le client s’exécute sur un ordinateur Macintosh et le répertoire \nom d’utilisateur\AppData\Roaming/com.apple.FinalCutServer/cache sur un ordinateur Windows. Dans les deux cas, les fichiers cache figurent à cet emplacement dans un dossier portant le nom de l’ordinateur serveur. Important : le changement de l’emplacement du cache conduit à l’indisponibilité de tous les caches actifs.  Maximum Cache Size : valeur définissant la taille maximale de cache.  Current Cache Size : taille actuelle du cache.  Clear Cache : cette option permet de supprimer tous les caches de l’emplacement.  Saved aliases for prepared media files : le bouton Choose permet de sélectionner un emplacement pour le stockage d’alias dans les fichiers cache. Cet emplacement est utilisé lorsque vous choisissez l’option « Prepare for Disconnected Use » pour des ressources. Remarque : les ressources de l’ordinateur client gérées par Final Cut Server sont stockées à l’emplacement spécifié en tant qu’emplacement de cache. Cet emplacement sert à Final Cut Server uniquement. Ainsi, il peut s’avérer difficile d’y retrouver des ressources. L’option « Prepare for Disconnected Use » crée des alias pointant vers les ressources dans le cache, il est ainsi beaucoup plus facile de les ajouter aux projets Final Cut Pro lorsque vous n’êtes pas connecté à Final Cut Server.  Clear Aliases : cette option permet de supprimer tous les alias de l’emplacement.Chapitre 9 Réglages généraux et préférences 127 II Fonctions client uniquement accessibles par l’administrateur La fenêtre Administration comporte d’autres fonctions client Final Cut Server que seul un utilisateur connecté avec des privilèges d’administration peut effectuer. Analyse manuelle des ressources Lorsque des ressources sont ajoutées au catalogue Final Cut Server, elles sont automatiquement analysées. Ce processus extrait différentes métadonnées de la ressource et crée les fichiers proxy de la ressource (copies en faible résolution). Il peut être parfois nécessaire d’analyser à nouveau une ressource. Par exemple, vous pouvez modifier les réglages dans la sous-fenêtre Analyze des préférences de la fenê- tre Administrator. Si l’utilisateur, dont la session est ouverte, possède des privilèges d’administration, il peut analyser une ressource à partir de la fenêtre principale du client. Pour analyser manuellement une ressource : 1 Dans la fenêtre principale du client, sélectionnez la ressource à analyser. 2 Cliquez sur la ressource tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Analyze dans le menu contextuel. Lors de l’analyse, des fichiers proxy sont créés pour la ressource. Pour en savoir plus sur la sous-fenêtre Analyze Preferences, consultez la rubrique « Réglages des préférences Analyze » à la page 124. Annulation de la réservation ou du verrouillage d’une ressource De manière générale, l’utilisateur qui réserve l’usage d’une ressource est le seul qui puisse la libérer ou annuler la réservation de son usage exclusif. De même, si un utilisateur verrouille une ressource, il est le seul à pouvoir la déverrouiller. Il existe cependant une exception à cela : lorsque l’utilisateur bénéficie de privilèges d’administration. En effet, l’utilisateur peut dans ce cas passer outre la réservation ou le verrou le cas échéant. Pour passer outre la réservation ou le verrou appliqué à une ressource : 1 Double-cliquez sur la ressource pour ouvrir la fenêtre de ses détails. 2 Cliquez sur le bouton Locks pour accéder à la sous-fenêtre du même nom. 3 Cliquez sur le bouton Cancel. Les administrateurs peuvent cliquer sur ce bouton pour annuler ce verrou. Cliquez sur Locks pour visualiser l’état de verrouillage d’une ressource.128 Partie II Administration générale À propos de la prise en charge Unicode Final Cut Server peut stocker des métadonnées texte sous forme de caractères Unicode encodés en UTF-8. Cela signifie qu’il peut prendre en charge un grand nombre de jeux de caractères multi-octets, notamment les jeux de caractères chinois, japonais et coréens. Les métadonnées Unicode peuvent être stockées, modifiées et faire l’objet de recherches par le biais de l’interface utilisateur de Final Cut Server. De plus, le client Final Cut Server peut utiliser les réglages locaux du système d’exploitation sur lequel il est installé. En plus de l’affichage des caractères chinois, japonais et coréens, le client Final Cut Server utilise des réglages régionaux tels que des formats de dates et de nombres lors de l’affichage des données. Lors de l’écriture de données sur des périphériques de stockage, Final Cut Server se limite aux capacités et à ce que propose l’API (Application Programming Interface) de chaque périphérique. À l’heure actuelle, Final Cut Server prend en charge les caractè- res Unicode sur les périphériques Filesystem et Contentbase. Pour en savoir plus sur ces types de périphériques, consultez la rubrique « Informations détaillées sur le type de périphérique » à la page 182. D’un point de vue technique, le serveur Final Cut Server utilise l’encodage UTF-32 en interne pour représenter toutes ses métadonnées, puis les convertit en UTF-8 pour l’écriture dans le catalogue, pour la transmission des métadonnées à l’interface utilisateur du client ou pour l’interaction des agents avec les périphériques (si ces derniers prennent en charge l’encodage Unicode). Lors des échanges avec les périphériques, le serveur Final Cut Server transcode les fichiers dans le format d’encodage spécifié à chaque fois que ceux-ci sont déplacés. La prise en charge de l’encodage pour les périphériques comprend tous les types Unicode, les encodages Windows et les encodages courants chinois, japonais et coréens. Remarque : il est essentiel d’installer la version native du langage Java sur tout ordinateur qui requiert la prise en charge d’Unicode dans l’interface utilisateur. Il est également important que le système d’exploitation prenne en charge la langue et le jeu de caractères. Pour en savoir plus, consultez l’Aide Mac et les sites web Sun relatifs à Java.10 129 10 Groupes et autorisations Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  À propos des groupes et autorisations (p. 129)  Ajout de groupes à Final Cut Server (p. 130)  Ajout et gestion d’ensembles d’autorisations (p. 132) À propos des groupes et autorisations Pour être en mesure d’utiliser Final Cut Server, vous devez ajouter au moins un groupe contenant au moins un utilisateur. Dans la plupart des cas, vous serez toutefois amené à créer plusieurs groupes, chacun configuré avec des autorisations différentes, puis ajouterez les utilisateurs appropriés aux différents groupes. La création des groupes et des utilisateurs se fait soit dans la sous-fenêtre Comptes des Préférences Système de Mac OS X Server, soit dans le Gestionnaire de groupe de travail. Dans Final Cut Server, vous pouvez choisir les groupes à utiliser et affecter un ensemble d’autorisations à chacun des groupes. Consultez le chapitre 4, « Ajout d’utilisateurs et de groupes », à la page 49 pour en savoir plus sur l’utilisation de la sous-fenêtre Comptes des Préférences Système, le Gestionnaire de groupe de travail de Mac OS X Server et sur l’utilisation des Préférences Système de Final Cut Server pour ajouter des groupes et leur affecter des ensembles d’autorisations. Le présent chapitre couvre l’ajout de groupes et l’affectation d’ensembles d’autorisations à l’aide de la fenêtre Administration du client de Final Cut Server. Il couvre aussi la création d’ensembles d’autorisations personnalisés, ce qui vous permet de définir exactement l’accès de chaque groupe au catalogue Final Cut Server. 130 Partie II Administration générale Ajout de groupes à Final Cut Server Une fois terminé la configuration de vos groupes dans le Gestionnaire de groupe de travail, vous pouvez enfin les ajouter à Final Cut Server. Vous pouvez ajouter les groupes à l’aide des Préférences Système de Final Cut Server sur le serveur ou passer par la fenêtre Administration du client. Consultez la rubrique « Ajout de groupes à Final Cut Server » à la page 58 pour en savoir plus sur l’utilisation des Préférences Système de Final Cut Server pour l’ajout de groupes à Final Cut Server et l’affectation d’ensembles d’autorisations à ces groupes. Pour ajouter un groupe à Final Cut Server par le biais de la fenêtre Administration : 1 Ouvrez un client Final Cut Server et ouvrez une session en tant qu’utilisateur possédant des autorisations administrateur. 2 Choisissez Administration dans le menu local Server (celui qui apparaît dans la fenêtre principale de Final Cut Server lorsque vous cliquez sur le bouton Server). La fenêtre Administration apparaît. Cliquez sur le bouton Server et choisissez Administration dans le menu local.Chapitre 10 Groupes et autorisations 131 II 3 Cliquez sur Group Permissions dans la colonne de gauche pour ouvrir la sous-fenêtre Group Permissions. La sous-fenêtre Group Permissions répertorie les groupes Final Cut Server existants et le numéro de l’ensemble d’autorisations qui leur a été affecté. 4 Cliquez sur le bouton Create pour ajouter un nouveau groupe. La fenêtre Group Permissions apparaît. 5 Choisissez le groupe à ajouter à l’aide du menu local Name. 6 Choisissez un ensemble d’autorisations dans le menu local Permission Set. 7 Cliquez sur Save Changes. La fenêtre Group Permissions se ferme. Pour afficher le nouveau groupe dans la sousfenêtre Group Permissions, cliquez sur le bouton Search. Cliquez sur Group Permissions pour afficher la sous-fenêtre du même nom. Cliquez sur le bouton Create pour ajouter un nouveau groupe et définir ses autorisations.132 Partie II Administration générale Ajout et gestion d’ensembles d’autorisations Un ensemble d’autorisations est affecté à chaque groupe. Un ensemble d’autorisations définit une grande variété de réglages en matière d’autorisations, notamment pour le filtrage des ressources et des productions. Important : l’ensemble d’autorisations « admin » est le seul qui donne accès à la fenê- tre Administration du client. Même si vous dupliquez l’ensemble d’autorisations « admin », cette copie n’a pas non plus accès à la fenêtre Administration. À propos des ensembles d’autorisations par défaut Le programme d’installation de Final Cut Server crée automatiquement six ensembles d’autorisations.  admin : seul ensemble d’autorisations permettant d’ouvrir la fenêtre Administration du client Final Cut Server. Il donne accès à tous les aspects du système Final Cut Server. Il est recommandé de ne l’affecter qu’à des groupes d’utilisateurs capables d’administrer l’intégralité du système Final Cut Server.  artist, manager et editor : ensembles d’autorisations tous identiques et permettant l’accès à tous les aspects du système Final Cut Server à l’exception de ceux dédiés à l’ensemble d’autorisations admin. Ces trois ensembles d’autorisations sont destinés à vous donner un point de départ pour la création d’ensembles d’autorisations spécifiques à différents groupes d’utilisateurs. Par exemple, il peut s’avérer judicieux de modifier l’ensemble d’autorisations Artist de façon à ce que ses utilisateurs ne puissent accéder qu’aux périphériques qui contiennent les images sur lesquelles ils travaillent.  reviewer : ensemble d’autorisations ne permettant pas la création, la suppression, le catalogage ou la modification des ressources du catalogue Final Cut Server. L’ensemble d’autorisations reviewer ne peut afficher que des ressources dont l’état est Approved, Ready for Review, Rejected ou Completed.  browser : ensemble d’autorisations ne permettant pas la création, la suppression, le catalogage, la modification ou la copie des ressources du catalogue Final Cut Server, ainsi que la modification de leurs détails. L’ensemble d’autorisations autorise uniquement l’affichage des ressources dont l’état est Approved.Chapitre 10 Groupes et autorisations 133 II Utilisation d’ensembles d’autorisations Les ensembles d’autorisations sont créés et configurés dans la fenêtre Administration d’un client Final Cut Server. Pour afficher les ensembles d’autorisations existants : 1 Sur un client Final Cut Server, choisissez Administration dans le menu local Server pour ouvrir la fenêtre Administration. Important : vous devez ouvrir au préalable une session en tant qu’utilisateur possé- dant des autorisations administrateur pour que l’élément Administration apparaisse dans le menu local Server. 2 Cliquez sur Permission Set dans la colonne de gauche pour ouvrir la sous-fenêtre Permission Set. La liste des ensembles d’autorisations existants apparaît. Par défaut, l’un d’entre eux s’intitule « admin » et est complété de ceux que le programme d’installation crée en fonction du profil de client sélectionné. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « À propos des profils personnalisés » à la page 32. Trois colonnes apparaissent :  Name : nom de l’ensemble d’autorisations. C’est aussi le nom qui apparaît lorsque vous gérez des groupes.  Perm ID : numéro que Final Cut Server affecte aux ensembles d’autorisations selon l’ordre de leur création. Cliquez sur le bouton Duplicate pour ajouter une copie de l’ensemble d’autorisations sélectionné. Cliquez sur le bouton Create pour ajouter un nouvel ensemble d’autorisations. Cliquez sur Permission Set pour afficher la sousfenêtre du même nom.134 Partie II Administration générale  Priority : numéro qui détermine le niveau de priorité de l’ensemble d’autorisations. Les numéros supérieurs sont consultés en premier pour définir les autorisations des utilisateurs affectés à plusieurs groupes. Par exemple, si un utilisateur appartient à un groupe possédant un ensemble d’autorisations présentant une priorité de niveau 3 ainsi qu’à un second groupe ayant la priorité 4, c’est l’ensemble d’autorisations du second groupe (celui qui a la priorité 4) qui est alors utilisée. Pour ajouter un ensemble d’autorisations : 1 Cliquez sur le bouton Create. La fenêtre Permission Set apparaît. 2 Dans la colonne de gauche, cliquez sur Create, Asset Filter et Production Filter pour ouvrir et configurer les sous-fenêtres correspondantes. Consultez « Réglages relatifs aux ensembles d’autorisations » à la page 135 pour en savoir plus sur les réglages de ces sous-fenêtres. 3 Cochez la case All Permissions pour que cet ensemble d’autorisations ait les mêmes autorisations qu’« admin », sans accès cependant à la fenêtre Administration. C’est souvent la meilleure façon de créer un ensemble d’autorisations. Il est plus facile de commencer avec tous les réglages activés et de désactiver quelques réglages spécifiques que de commencer avec un ensemble d’autorisations dans lequel rien n’est activé et de devoir activer de nombreux réglages. Important : l’ensemble d’autorisations « admin » est le seul qui donne accès à la fenêtre Administration du client. 4 Cliquez sur Save Changes. 5 Cliquez sur le bouton Search de la fenêtre Administration pour afficher le nouvel ensemble d’autorisations dans la sous-fenêtre Permission Set. Dans de nombreux cas, il est plus facile de dupliquer un ensemble d’autorisations puis d’y apporter les modifications souhaitées. Pour dupliquer un ensemble d’autorisations : 1 Sélectionnez l’ensemble d’autorisations à dupliquer. 2 Cliquez sur le bouton Duplicate. 3 Cliquez sur le bouton Search de la fenêtre Administration. Un nouvel ensemble d’autorisations nommé Clone of [ensemble d’autorisations dupliqué] s’ajoute à la liste. Chapitre 10 Groupes et autorisations 135 II Pour modifier un ensemble d’autorisations : 1 Double-cliquez sur un ensemble d’autorisations dans la sous-fenêtre Permission Set. La fenêtre Permission Set apparaît. 2 Cliquez sur Metadata, Trait Permissions et Device Permissions pour configurer chaque groupe de réglages. Consultez la rubrique « Réglages relatifs aux ensembles d’autorisations, » qui suit pour en savoir plus sur les réglages de ces sous-fenêtres. 3 Cliquez sur Save Changes. La fenêtre se fermant, l’ensemble d’autorisations apparaît dans la sous-fenêtre Permission Set en prenant en compte vos modifications. Réglages relatifs aux ensembles d’autorisations Trois sous-fenêtres principales permettent la configuration d’un ensemble d’autorisations :  Sous-fenêtre Metadata  Sous-fenêtre Trait Permissions  Sous-fenêtre Device Permissions Remarque : les sous-fenêtres Trait Permissions et Device Permissions ne sont proposées que si vous modifiez un ensemble d’autorisations. Réglages relatifs aux métadonnées La colonne de gauche vous permet de sélectionner le type de métadonnées pour configurer leurs autorisations. Modify Contient des réglages pour l’attribution de nom et de priorité. Le réglage de priorité détermine l’ordre dans lequel les ensembles d’autorisations sont consultés lorsqu’un utilisateur appartient à plusieurs groupes possédant des ensembles d’autorisations différents. Les valeurs supérieures sont consultées en premier. Par exemple, si un utilisateur appartient à un groupe possédant un ensemble d’autorisations présentant une priorité de niveau 3 ainsi qu’à un second groupe ayant la priorité 4, c’est l’ensemble d’autorisations du second groupe (celui qui a la priorité 4) qui est alors utilisée.136 Partie II Administration générale Asset Filter Sélectionnez Asset Filter pour définir le filtre de métadonnées à appliquer à toutes les recherches de ressources effectuées par les membres du groupe. Vous pouvez, par exemple, créer un filtre pour le groupe Newsroom afin que les membres de ce groupe ne voient que les ressources dont l’état est Completed. Production Filter Sélectionnez Production Filter pour définir le filtre de métadonnées à appliquer à toutes les recherches de productions effectuées par les membres du groupe. Cliquez sur Asset Filter pour configurer des réglages relatifs aux recherches de ressources pour cet ensemble d’autorisations. Cliquez sur Production Filter pour configurer des réglages relatifs aux recherches de productions pour cet ensemble d’autorisations.Chapitre 10 Groupes et autorisations 137 II Réglages relatifs aux autorisations de trait Cliquez sur le bouton Trait Permissions pour configurer l’accès à une série de domaines de Final Cut Server, notamment aux ressources, aux productions, aux tâches, aux utilisateurs, etc. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Définition d’autorisations de trait et de périphérique » à la page 138. Important : la plupart des réglages de la sous-fenêtre Trait Permissions sont très spécialisés et ne sont à modifier que si vous avez des besoins particuliers et êtes disposé à passer du temps à tester les modifications pour vous assurer qu’elles ne provoquent pas d’effets secondaires indésirables. La plupart des éléments qui apparaissent dans la colonne Name sont réservés à un usage interne par Final Cut Server. Modifier ces réglages n’a pas d’incidence sur la façon dont l’ensemble d’autorisations fonctionne. Il s’agit de tous les éléments dont le nom contient « Tab ». Les éléments le plus souvent configurés sont les ensembles de métadonnées de ressources de données et de production. Le nom de tous ces éléments se termine par « (Media Asset) » ou « (Production) ». Par exemple, vous pourriez être amené à interdire l’accès à des ressources qui utilisent l’ensemble de métadonnées Graphic à un groupe d’utilisateurs.138 Partie II Administration générale Réglages relatifs aux autorisations de périphérique Cliquez sur le bouton Device Permissions pour configurer la capacité d’un groupe à effectuer une opération sur le périphérique sélectionné. Les autorisations attribuées au groupe s’appliquent à tous les membres du groupe. Consultez la rubrique « Définition d’autorisations de trait et de périphérique, » qui suit pour en savoir plus. Définition d’autorisations de trait et de périphérique Les sous-fenêtres Trait Permissions et Device Permissions affichent respectivement les traits ou les périphériques en lignes et les opérations en colonnes. Pour chaque trait ou périphérique, cliquez sur la cellule et choisissez une option dans la liste pour définir l’autorisation en matière de sécurité :  Permit : permet d’autoriser les opérations.  Forbid : entraîne le refus des opérations.  Inherit : dans le cadre d’autorisations de périphérique, permet d’hériter les autorisations de trait pour ce périphérique. Dans le cas d’autorisations de trait, fonctions d’héritage identiques à Forbid. (Inherit n’est pas conçu pour servir avec les réglages d’autorisation de trait.) Chapitre 10 Groupes et autorisations 139 II Le tableau qui suit décrit toutes les colonnes d’opération ainsi que leurs relations avec des autorisations de trait et de périphérique. Colonne Autorisations de trait Autorisations de périphérique Visible Affichent des onglets dans l’interface utilisateur ou contrô- lent l’accès à certains types de ressources ou de productions. Sélectionnent un périphérique lors de la recherche. View details Affichent des détails sur l’élément sélectionné. Affichent des détails sur le périphérique. Create Créent des éléments avec ce trait, par exemple, des utilisateurs, des ressources de type Commercial ou des productions de type Promotion. Créent ou copient des éléments sur le périphérique. Edit details Modifient des détails sur l’élément sélectionné. n/d Search Recherchent des éléments dans les traits, par exemple, All Assets et All Productions. Recherchent sur le périphérique. Delete Suppriment des éléments. Suppriment des éléments du périphérique. Copy from Copient des éléments d’un périphérique vers un autre endroit. Copient des éléments d’un périphérique vers un autre endroit. Catalogue n/d Cataloguent des éléments du périphérique, par exemple des ressources Final Cut Server. Edit hints Modifient les conseils sur les champs. n/d Start n/d n/d Arrêt n/d n/d Edit media Autorisent la réservation et le verrouillage de ressources. Modifient directement les élé- ments de données d’un périphé- rique Contentbase. 11 141 11 Gestion des métadonnées Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  Introduction aux métadonnées (p. 141)  Champs de métadonnées (p. 144)  Groupes de métadonnées (p. 149)  Mappage de métadonnées (p. 155)  Références aux métadonnées (p. 157)  Gestion des ensembles de métadonnées (p. 161)  Règles de synchronisation des métadonnées (p. 163)  Utilisation de métadonnées pour la configuration de l’interface utilisateur (p. 165)  À propos des métadonnées QuickTime (p. 168) Introduction aux métadonnées Les métadonnées correspondent au cœur de Final Cut Server. Final Cut Server utilise les métadonnées pour pratiquement tous les aspects de la gestion des ressources ainsi que pour la configuration de nombreux aspects du client. Final Cut Server configure automatiquement les réglages relatifs aux métadonnées en fonction du profil sélectionné au cours de l’installation de Final Cut Server. Vous pouvez toutefois personnaliser les réglages pour les métadonnées afin d’améliorer vos flux de production.142 Partie II Administration générale Les métadonnées servent à décrire, à rechercher, à utiliser et à réorienter du contenu. Parmi les principales difficultés inhérentes à la gestion des métadonnées, l’on retrouve :  l’exploitation d’un groupe de métadonnées adapté à votre environnement ;  la réduction du nombre de saisie des métadonnées :  l’interopérabilité entre les différentes normes en matière de métadonnées. Final Cut Server relève ses défis par les points suivants :  Personnalisation des métadonnées : vous pouvez définir, regrouper et stocker des métadonnées pour différents types de ressources et de productions de la façon la plus adaptée.  Utilisation des métadonnées disponibles sur les périphériques connectés ou dans un format pris en charge : Final Cut Server vous permet de faire correspondre des métadonnées et des formats, par exemple le format IPTC et les métadonnées personnalisées que vous avez définies, et ce, dans les deux sens. (Le mappage vous permet de copier l’entrée d’un champ de métadonnées pour la coller dans un autre champ de métadonnées.) Final Cut Server contient un ensemble de champs, de groupes, d’ensembles et de mappages de métadonnées standard facilement personnalisables pour répondre à des besoins particuliers, des façons suivantes :  Définition des types de ressources stockées, par exemple, les nouvelles images, les séquences de promotion, les nouveaux éléments, les intercalaires, les premiers tiers, etc.  La configuration des métadonnées stockées pour chaque type de ressource en regroupant les métadonnées en onglets, en spécifiant l’ordre d’affichage, en définissant les champs obligatoires et en indiquant des menus locaux pour assurer une qualité optimale des données et en faciliter la saisie.  La définition de différents types de productions, par exemple, les séquences de promotions et les films publicitaires.  Configuration des métadonnées de chaque type de production à l’aide d’un même cadre flexible d’applications que les ressources.  Le mappage des métadonnées aux formats (certains formats de fichier et certains périphériques prennent en charge leurs propres métadonnées, par exemple, les métadonnées IPTC) ; Final Cut Server vous permet d’utiliser toutes les métadonnées disponibles en les mappant à des champs de métadonnées Final Cut Server que vous aurez définis.  La personnalisation de présentations (Vous pouvez changer la façon dont les champs de métadonnées sont affichés, changer l’ordre d’affichage et même fournir des indications sur l’aspect des champs. Par exemple, vous pouvez spécifier qu’un champ de notes doit avoir une hauteur de 5 lignes.) Chapitre 11 Gestion des métadonnées 143 II Les relations entre les différents éléments de métadonnées pour les ressources et les productions sont les suivantes : Chacun des éléments de métadonnées suivants est configuré dans sa propre sous-fenêtre :  Sous-fenêtre Metadata Field : c’est là que vous créez les champs de métadonnées ou modifiez ceux existants. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Champs de métadonnées » à la page 144.  Sous-fenêtre Lookup : c’est là que vous créez des menus locaux servants dans les champs de métadonnées. L’utilisation de menus locaux plutôt que des champs de texte ou de nombres simplifie la saisie de métadonnées et la rend plus précise. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Références aux métadonnées » à la page 157.  Sous-fenêtre Metadata Group : elle vous permet de créer des groupes de champs de métadonnées. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Groupes de métadonnées » à la page 149.  Sous-fenêtre Metadata Map : c’est là que vous pouvez relier les champs de métadonnées entre eux afin de simplifier l’extraction d’informations de métadonnées sous un grand nombre de formats. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Mappage de métadonnées » à la page 155. Ressources Productions Mappes de métadonnées Un ensemble de métadonnées est attribué à chaque ressource ou production. Des groupes de métadonnées sont ajoutés à chaque ensemble de métadonnées. Des champs de métadonnées sont ajoutés à chaque groupe de métadonnées. Chaque champ de métadonnées peut utiliser un menu local contenant des éléments du même type de données. Les données d’un champ de métadonnées peuvent être mappées sur un champ de métadonnées différent. Ensemble de métadonnées de production Ensembles de métadonnées multimédia Ressources multimédia Ressources de production Recherches de métadonnées (menus locaux) Champs de métadonnées Ensembles de métadonnées Groupes de métadonnées144 Partie II Administration générale  Sous-fenêtre Metadata Set : la sous-fenêtre est prévue pour affecter les groupes de métadonnées aux ensembles de métadonnées. Ajouter des ressources ou des productions à Final Cut Server revient à sélectionner l’ensemble de métadonnées à leur affecter. Cet ensemble applique à son tour le groupe de métadonnées et ses champs. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Gestion des ensembles de métadonnées » à la page 161. Remarque : consultez « Réglages relatifs aux ensembles d’autorisations » à la page 135 pour en savoir plus sur la configuration des réglages de métadonnées pour un ensemble d’autorisations. Important : dans les différentes sous-fenêtres servant à gérer vos métadonnées, de nombreux réglages, options et listes destinés à une utilisation interne uniquement dans Final Cut Server sont à votre disposition. La plupart d’entre eux sont décrits ci-après. Si les métadonnées vous permettent d’ajouter des informations à vos ressources et à vos productions, vous pouvez aussi les utiliser pour modifier d’autres zones dans Final Cut Server. Par exemple, vous pouvez ajouter des champs de métadonnées au groupe de métadonnées Thumbnails pour contrôler l’affichage des champs à reprendre dans la présentation du même nom. Consultez « Utilisation de métadonnées pour la configuration de l’interface utilisateur » à la page 165 pour en savoir plus. Champs de métadonnées Les champs de métadonnées sont les différents éléments de métadonnées stockés avec les éléments de données gérés par Final Cut Server. Il existe deux types de champs de métadonnées :  Required metadata : champs obligatoires servant à décrire les périphériques pris en charge par Final Cut Server ainsi que les métadonnées relatives au format de fichier, telles que les métadonnées IPTC.  Custom metadata : elles peuvent être définies par un administrateur sur une valeur libre requise par le site ou l’installation. Remarque : un même champ de métadonnées est utilisable dans plusieurs groupes de métadonnées. Chapitre 11 Gestion des métadonnées 145 II La sous-fenêtre Metadata Field de la fenêtre Administration du client Final Cut Server affiche la liste des champs de métadonnées existants. La sous-fenêtre Metadata Field reprend les colonnes suivantes :  Name : nom du champ de métadonnées saisi à sa création.  Field ID : nom de champ généré automatiquement. Ce champ n’a qu’un usage interne.  Category : famille de champ de métadonnées affectée automatiquement. Tous les champs de métadonnées que vous créez appartiennent à la famille Custom Metadata. Remarque : cette colonne n’est pas liée au réglage Category du champ de métadonnées.  Description : description du champ de métadonnées saisie à sa création.  Data Type : type de données sélectionné lors de la création du champ de métadonnées. Le type de données définit ce qui peut être saisi dans le champ de métadonnées (par exemple, une date, un numéro de timecode ou une chaîne de texte). Remarque : vous ne pouvez plus modifier le type de données une fois qu’il a été défini. Cliquez sur le bouton Create pour ajouter un nouveau champ. Cliquez sur Metadata Field pour accéder à la sous-fenêtre du même nom.146 Partie II Administration générale Ajout ou modification de champs de métadonnées Vous pouvez ajouter ou modifier des champs de métadonnées personnalisés. Pour ajouter un champ de métadonnées personnalisé : 1 Cliquez sur le bouton Create, accessible par le biais de la fenêtre Administration du client, dans la sous-fenêtre Metadata Field. La fenêtre Metadata Field apparaît. 2 Configurez les réglages relatifs au champ de métadonnées. Consultez la rubrique « Réglages relatifs aux champs de métadonnées » à la page 147 pour en savoir plus sur ces réglages. 3 Cliquez sur Save Changes pour enregistrer le champ de métadonnées personnalisé. Le nouveau champ apparaît dans la sous-fenêtre Metadata Field. Vous pouvez aussi ouvrir la fenêtre Metadata Field et modifier ainsi les champs. Remarque : vous ne pouvez pas modifier les champs de métadonnées obligatoires. En général, vous ne pouvez modifier que les champs de la catégorie Custom Metadata dans la sous-fenêtre Metadata Field (mais il est à noter que certains d’entre eux ne sont pas modifiables). Pour modifier un champ de métadonnées : 1 Double-cliquez sur le champ de métadonnées dans la sous-fenêtre Metadata Field. La fenêtre Metadata Field apparaît, reprenant les réglages relatifs à ce champ. 2 Apportez toutes les modifications souhaitées puis cliquez sur Save Changes. La fenêtre Metadata Field se ferme. Consultez la rubrique « Réglages relatifs aux champs de métadonnées, » qui suit pour en savoir plus sur ces réglages.Chapitre 11 Gestion des métadonnées 147 II Réglages relatifs aux champs de métadonnées Chaque champ de métadonnées dispose d’un certain nombre de réglages. Les réglages disponibles pour un champ dépendent du réglage Data Type. Les réglages ci-après reprennent les réglages communs (ceux qui sont disponibles dans tous les champs de métadonnées) et les réglages spécialisés (ceux qui ne sont disponibles que pour certains types de données). La fenêtre Metadata Field comporte les réglages suivants. Réglages communs Les réglages suivants s’appliquent à tous les champs de métadonnées :  Name : saisissez le nom du champ de métadonnées.  Data Type : sélectionnez le type de champ dans le menu local. La liste des réglages configurables pour un champ de métadonnées donné dépend du type de données sélectionné. Consultez la rubrique « Types de données des champs de métadonnées » à la page 149 pour en savoir plus sur les types de données. Remarque : vous ne pouvez définir le type de données que lors de la création d’un champ de métadonnées. De plus, si vous comptez utiliser un élément de référence (un menu local) sur le champ, vous devez reprendre le même type de données dans la référence que celui du champ de métadonnées.  Description : description plus détaillée du champ de métadonnées. 148 Partie II Administration générale  Category : catégorie du champ dans le menu local. Les valeurs possibles comptent parmi les suivantes :  Aucune  Name  Date  Number  Filename  Filesize  TypeSelect  Order Attach  Restriction Le réglage None sert pour pratiquement toutes les métadonnées personnalisées, les autres réglages étant réservés à un usage interne.  Suffix : suffixe à afficher après le champ. Vous pouvez, par exemple, saisir « par heure ».  Display hints : largeur de ce champ, exprimé en pixels. Réglages spécialisés Les réglages suivants ne s’appliquent qu’à certains types de données.  Default Value : valeur facultative par défaut pour le champ. Selon le type de données, il peut s’agir d’une case à cocher ou d’une entrée de valeur spécialisée, par exemple, une date, une valeur de timecode ou même deux valeurs.  Lookup Values : référence à sélectionner dans la liste pour afficher le champ de métadonnées sous la forme d’un menu local avec un ensemble de valeurs. Seules les réfé- rences du même type de données sont reprises. Consultez « Références aux métadonnées » à la page 157 pour en savoir plus sur la création de références.  Date Only : permet de limiter la saisie aux dates.  Scale Numbers : case permettant d’exprimer les nombres sur trois chiffres (999 maximum) avec le suffixe approprié. Par exemple, 1000 devient 1K.  Don’t Format Numbers : permet de forcer le champ de métadonnées à utiliser des nombres bruts sans format, par exemple, sans espace séparant les groupes de milliers.  Multiline : permet la saisie de plusieurs lignes de texte dans le champ de métadonnées.  Hide Field Lookup in Filter : case pour omettre la valeur de référence lorsqu’elle est reprise dans une liste. Elle est généralement cochée lors de la définition de proprié- tés de champ au sein d’un groupe de métadonnées, son activation n’étant pas désirable pour toutes les utilisations. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Propriétés des champs » à la page 154.Chapitre 11 Gestion des métadonnées 149 II Types de données des champs de métadonnées Voici la liste des types de données disponibles. Le type de données détermine celui des métadonnées (par exemple, le type texte, nombres uniquement ou date) que les utilisateurs peuvent saisir dans un champ de métadonnées. Pour pratiquement tous les champs de métadonnées que vous créez, vous devez utiliser le type de données Unicode String offrant une certaine flexibilité et compatibilité avec un grand nombre de langues encodées sur plusieurs octets.  Boolean : valeur Vrai ou Faux  Date : champ de date et d’heure  Floating Point Number : nombre à virgule flottante  Integer : champ pour nombres entiers prenant en charge les nombres jusqu’à 32 bits  Large Integer : champ pour nombres entiers prenant en charge les nombres jusqu’à 64 bits (généralement non requis pour les métadonnées personnalisées)  Timecode : valeur de timecode vidéo de la forme hh:mm:ss:ii  Unicode String : chaîne Unicode alphanumérique Groupes de métadonnées Les groupes de métadonnées constituent un moyen d’organiser des champs de métadonnées en relation les uns aux autres. La plupart des informations affichées dans Final Cut Server s’appuient sur un groupe de métadonnées, par exemple :  Les champs de métadonnées repris dans une ressource ou une production doivent faire partie d’un groupe, ce dernier devant faire partie d’un ensemble de métadonnées appliqué à cette ressource ou production.  Toutes les informations affichées dans les résultats de recherche de la présentation Thumbnails ou List sont définies par des groupes de métadonnées. Les groupes de métadonnées définissent aussi toutes les options de recherche avancée. Le contenu de nombreux groupes peut être configuré. Par exemple, pour afficher le type Mime de chaque ressource dans la présentation Thumbnails, ajoutez le champ Mime Type au groupe de métadonnées Thumbnails qui s’applique aux ressources. Certains groupes sont indispensables aux fonctions Final Cut Server internes et ne sont pas modifiables. La plupart des réglages au sein d’un groupe le sont toutefois, afin que vous puissiez définir l’apparence du groupe. 150 Partie II Administration générale La capture d’écran suivante illustre la sous-fenêtre Metadata Group. La sous-fenêtre Metadata Group reprend les colonnes suivantes :  Name : nom du groupe de métadonnées.  Metadata Group ID : nom du groupe généré automatiquement. Ce champ n’a qu’un usage interne.  Category : famille de groupes de métadonnées affectée automatiquement. Tous les groupes de métadonnées que vous créez appartiennent à la famille Custom Metadata. Cliquez sur le bouton Create pour ajouter un nouveau groupe. Cliquez sur Metadata Group pour accéder à la sous-fenêtre du même nom.Chapitre 11 Gestion des métadonnées 151 II Ajout ou modification de groupes de métadonnées Vous pouvez ajouter ou modifier des groupes de métadonnées personnalisés. Pour ajouter un groupe de métadonnées personnalisé : 1 Cliquez sur le bouton Create, accessible depuis la fenêtre Administration du client, dans la sous-fenêtre Metadata Group. La fenêtre Metadata Group apparaît. 2 Configurez les réglages relatifs au groupe de métadonnées. Consultez la rubrique « Réglages relatifs aux groupes de métadonnées » à la page 152 pour en savoir plus sur ces réglages. 3 Cliquez sur Save Changes pour enregistrer le groupe de métadonnées personnalisé. Le nouveau groupe apparaît dans la sous-fenêtre Metadata Group. Vous pouvez aussi ouvrir la fenêtre Metadata Group et modifier ainsi les groupes. Remarque : vous ne pouvez pas modifier les groupes de métadonnées obligatoires. Pour modifier un groupe de métadonnées : 1 Double-cliquez sur le groupe de métadonnées dans la sous-fenêtre Metadata Group. La fenêtre Metadata Group apparaît, reprenant les réglages relatifs à ce groupe. 2 Apportez toutes les modifications souhaitées puis cliquez sur Save Changes. La fenêtre Metadata Group se ferme. Consultez la rubrique « Réglages relatifs aux groupes de métadonnées, » qui suit pour en savoir plus sur ces réglages.152 Partie II Administration générale Réglages relatifs aux groupes de métadonnées Chaque groupe de métadonnées dispose d’une panoplie complète de réglages en plus des champs de métadonnées que vous affectez au groupe. La fenêtre Metadata Group comporte les réglages suivants.  Category : catégorie générée automatiquement pour le groupe. Elle n’apparaît que si vous modifiez un groupe de métadonnées.  Metadata Group ID : nom du groupe généré automatiquement. Il n’apparaît que si vous modifiez un groupe de métadonnées et ne sert qu’à un usage interne.  Name : nom du groupe. Ce nom correspond au titre du bouton sur lequel s’affichent les métadonnées.  Fields : sélectionnez les champs de métadonnées que ce groupe contient.  Selected : compile la liste des champs de métadonnées du groupe.  Available : reprend la liste des champs de métadonnées disponibles pour le groupe. Les champs disponibles dépendent de la catégorie du groupe. Dans la plupart des cas, il s’agit de champs de métadonnées personnalisés. Utilisez les boutons Add et Remove pour modifier les champs du groupe. Utilisez les boutons Up et Down pour modifier l’ordre dans lequel les champs s’affichent dans le groupe. Si vous cliquez sur un champ dans la liste Selected, des options supplémentaires apparaissent. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Propriétés des champs » à la page 154.Chapitre 11 Gestion des métadonnées 153 II  Actions : répertorie les opérations pour lesquelles le groupe de métadonnées doit servir. Par exemple, ajoutez l’opération Create à ce groupe de métadonnées si vous voulez que les champs de métadonnées de ce groupe soient proposés lors de la création d’une ressource. (Pour ce faire, il faut que ce groupe de métadonnées fasse partie de l’ensemble de métadonnées que vous affectez à la ressource que vous êtes en train de créer.)  Selected : répertorie les opérations pour lesquelles ce groupe doit servir.  Available : reprend toutes les opérations proposées. Utilisez les boutons Add et Remove pour changer les opérations. Les nouveaux groupes utilisent en général les opérations View Details, Edit Details et Create. Ces dernières permettent de s’assurer que les champs du groupe de métadonnées sont proposés lors de la création et de l’affichage des détails d’une ressource. Important : apportez des modifications à des opérations d’autres groupes de métadonnées avec soin. De nombreux groupes sont exploités en interne par Final Cut Server et peuvent provoquer de graves problèmes en cas de modification.  Metadata Sets : affecte ce groupe de métadonnées à un ensemble de métadonnées. Vous devez affecter un groupe de métadonnées à un ensemble de métadonnées pour pouvoir accéder aux champs de métadonnées du groupe lors de la création ou de l’affichage des détails d’une ressource à laquelle l’ensemble de métadonnées est affecté.  Selected : reprend les ensembles de métadonnées auxquels ce groupe est affecté.  Available : répertorie tous les ensembles de métadonnées proposés. Utilisez les boutons Add et Remove pour modifier les affectations des ensembles de métadonnées. Remarque : vous pouvez aussi affecter un groupe à un ensemble de métadonnées dans la fenêtre Metadata Set. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Réglages relatifs aux ensembles de métadonnées » à la page 163.  Display Priority : ordre dans lequel les groupes doivent s’afficher lorsqu’ils font partie d’un ensemble de métadonnées. Les nombres inférieurs s’affichent en priorité. La plage s’étend en général de 1 à 5, 1 apparaissant en premier.  Display hints : les réglages suivants contrôlent l’affichage de ce groupe dans Final Cut Server. Il est aussi possible de saisir des conseils d’affichage pour les champs de métadonnées.  Show Thumbnail : case permettant d’afficher les vignettes du groupe. Les vignettes sont utilisées dans les présentations par liste et les présentations de modification (par exemple, lors de l’affichage des détails d’une ressource).  Table View : case permettant d’afficher les champs du groupe sous forme de tableau. la plupart des groupes utilisés lors de l’affichage du contenu dans la fenêtre Administration de Final Cut Server sont agencés en tableau. 154 Partie II Administration générale  Hide Field Labels : case permettant de masquer l’étiquette des champs en cas d’affichage d’un groupe, par exemple, dans les présentations sous forme de vignettes.  Arrange Vertically : case pour organiser les champs du groupe verticalement plutôt que pour utiliser un algorithme de positionnement automatique, par exemple dans les présentations sous forme de vignettes. Propriétés des champs Pour chaque champ de métadonnées du groupe, vous pouvez redéfinir les propriétés des types de données du champ. Cliquez sur un champ de métadonnées dans la liste Selected pour retrouver ses propriétés. Remarque : vous ne pouvez pas changer le type de données affecté au champ de métadonnées, mais uniquement ses réglages. Les propriétés affichées dépendent du type de données du champ de métadonnées. Les deux réglages suivant apparaissent toujours :  Mandatory : case pour indiquer que ce champ doit être complété lorsqu’il est utilisé avec ce groupe.  Editable : case permettant la modification des réglages affichés sous la case pour les types de données de ce champ, utilisés avec ce groupe. Consultez la rubrique « Réglages spécialisés » à la page 148 pour en savoir plus sur les autres réglages répertoriés. Cliquez sur un champ relatif aux métadonnées pour ouvrir la section Field Properties.Chapitre 11 Gestion des métadonnées 155 II Mappage de métadonnées Le mappage de métadonnées simplifie votre flux de production en copiant les métadonnées d’un champ de métadonnées à l’autre. Par exemple, si vous importez un ensemble d’images fixes comportant des champs de métadonnées IPTC, vous pouvez mettre en correspondance les données de certains de ces champs avec des champs de métadonnées personnalisés. Le mappage de métadonnées permet de traduire les métadonnées entre Final Cut Server et des périphériques, des formats de fichier et des métadonnées intégrées. De nombreux mappages de métadonnées standard sont fournis avec Final Cut Server. Il est possible de créer des mappages supplémentaires ou d’apporter des modifications aux mappages proposés à l’aide de la sous-fenêtre Metadata Map. La sous-fenêtre Metadata Map comporte les colonnes suivantes :  From Field : affiche le champ de métadonnées à l’origine du mappage.  To Field : affiche le champ de métadonnées auquel le mappage pointe.  Priority : affiche la priorité de mappage, dont la valeur est généralement comprise entre 1 et 3. La priorité de mappage sert à résoudre des conflits là où plusieurs champs sont mappés à la même cible. Le cas échéant, c’est le nombre supérieur qui a la priorité, 1 correspondant à la plus priorité la plus faible. Cliquez sur le bouton Create pour ajouter un nouveau mappage de métadonnées.156 Partie II Administration générale Ajout ou modification de mappages de métadonnées Vous pouvez ajouter ou modifier des mappages de métadonnées personnalisés. Pour ajouter un mappage de métadonnées personnalisé : 1 Cliquez sur le bouton Create, accessible depuis la fenêtre Administration du client, dans la sous-fenêtre Metadata Map. La fenêtre Metadata Map apparaît. 2 Configurez les réglages relatifs au mappage de métadonnées. Consultez la rubrique « Réglages relatifs aux mappages de métadonnées, » qui suit pour en savoir plus sur ces réglages. 3 Cliquez sur Save Changes pour enregistrer le mappage de métadonnées personnalisé. Le nouveau mappage apparaît dans la sous-fenêtre Metadata Map. Vous pouvez aussi ouvrir la fenêtre Metadata Map et modifier ainsi les mappages. Remarque : vous ne pouvez pas modifier les mappages de métadonnées obligatoires. Pour modifier un mappage de métadonnées : 1 Double-cliquez sur le mappage de métadonnées dans la sous-fenêtre Metadata Map. La fenêtre Metadata Map apparaît, reprenant les réglages relatifs à ce mappage. 2 Apportez toutes les modifications souhaitées puis cliquez sur Save Changes. La fenêtre Metadata Map se ferme. Consultez la rubrique « Réglages relatifs aux mappages de métadonnées, » qui suit pour en savoir plus sur ces réglages.Chapitre 11 Gestion des métadonnées 157 II Réglages relatifs aux mappages de métadonnées La fenêtre Metadata Map comprend les contrôles permettant de créer ou de modifier un mappage de métadonnées. La fenêtre Metadata Map comporte les réglages suivants.  From Field : dans la liste des champs de métadonnées, sélectionnez le champ d’origine du mappage.  To Field : dans la liste des champs de métadonnées, sélectionnez le champ cible du mappage.  Priority : priorité du mappage. la valeur est généralement comprise entre 1 et 3. La priorité de mappage sert à résoudre des conflits là où plusieurs champs sont mappés à la même cible. Le cas échéant, c’est le nombre supérieur qui a la priorité, 1 correspondant à la plus priorité la plus faible.  Two-way map : cochez la case pour créer deux mappages miroirs. Cela a pour effet de créer un second mappage de métadonnées dans lequel les champs de métadonnées d’origine et cible sont inversés. Références aux métadonnées Les références sont des menus locaux compilant des listes de valeurs servant aux utilisateurs pour saisir les données d’un champ de métadonnées. Voici quelques exemples :  une liste de catégories,  une liste de productions,  une liste de priorités. Les valeurs dépendent du type de données et peuvent correspondre à du texte, des dates, des nombres ou des valeurs de timecode. Le tableau qui suit reprend quelques exemples de références : Nom de la référence Type de données Saisie du nom Saisie de la valeur Fréquence d’échantillonnage audio Entier 32 kHz 44,1 kHz 32 000 44100 Commande ouverte Booléen Ouverte Fermée Vrai Faux Année calendaire Date Début d’année Fin d’année 1/1/2008 00:00 31/12/2008 23:59 158 Partie II Administration générale De nombreuses références à des métadonnées standard sont fournies avec Final Cut Server. Des références supplémentaires peuvent être définies à l’aide de la sous-fenêtre Lookup. La sous-fenêtre Lookup comporte les colonnes suivantes :  Name : nom de la référence saisie à sa création.  Lookup ID : nom généré automatiquement pour la référence à usage interne uniquement  Data Type : type de données sélectionné pour la référence Remarque : le type de données de la référence doit correspondre à celui du champ de métadonnées à utiliser avec la référence. Clap Timecode Clap de début Clap de fin 00:00:25.00 00:00:26.10 Liste d’adresses électroniques Chaîne Unicode Monteur 1 Groupe de révision monteur1@entreprise.com grouprev@entreprise.com Nom de la référence Type de données Saisie du nom Saisie de la valeur Cliquez sur le bouton Create pour ajouter une nouvelle référence.Chapitre 11 Gestion des métadonnées 159 II Ajout ou modification de références Vous pouvez ajouter ou modifier des références personnalisées. Pour ajouter une référencepersonnalisée : 1 Cliquez sur le bouton Create, accessible depuis la fenêtre Administration du client, dans la sous-fenêtre Lookup. La fenêtre Lookup apparaît. 2 Configurez les réglages relatifs à la référence. Consultez la rubrique « Réglages relatifs aux références, » qui suit pour en savoir plus sur ces réglages. 3 Cliquez sur Save Changes pour enregistrer la référence personnalisée. La nouvelle référence apparaît dans la sous-fenêtre Lookup. Vous pouvez aussi ouvrir la fenêtre Lookup et modifier ainsi les références. Remarque : de nombreuses références proposées ne sont pas modifiables. Pour modifier une référence : 1 Double-cliquez sur la référence de métadonnées dans la sous-fenêtre Lookup. La fenêtre Lookup apparaît, reprenant les réglages relatifs à cette référence. 2 Apportez toutes les modifications souhaitées puis cliquez sur Save Changes. La fenêtre Lookup se ferme. Consultez la rubrique « Réglages relatifs aux références, » qui suit pour en savoir plus sur ces réglages.160 Partie II Administration générale Réglages relatifs aux références La fenêtre Lookup prévoit des contrôles permettant de créer ou de modifier une référence. La fenêtre Lookup comporte les réglages suivants :  Name : nom de la référence.  Data Type : type de référence à choisir dans le menu local. Le type de valeurs que vous pouvez ajouter à une référence dépend du type de données que vous sélectionnez. Consultez la rubrique « Types de données pour les références, » qui suit pour en savoir plus sur les types de données.  Options : nom et valeur correspondante de chaque valeur de référence.  Name : nom de l’élément, par exemple, 32 kHz. Ce nom est celui que l’utilisateur retrouve dans le menu local lors de la saisie de métadonnées.  Value : valeur de l’élément, par exemple, 32 000. C’est la valeur de métadonnées stockée servant aux recherches. Pour les champs texte (c’est-à-dire de type Unicode String), la valeur est généralement identique au nom. Cliquez sur le bouton Add pour ajouter la paire nom/valeur aux références, ou sur une paire nom/valeur puis sur le bouton Remove pour supprimer la paire. Types de données pour les références Le type de données que vous sélectionnez détermine celui des valeurs saisissables dans une liste de références. Cette dernière correspond à celle utilisée lors de la création d’un champ de métadonnées. Voici la liste des types de données disponibles.  Boolean : valeur vrai ou faux Ce type de données n’a généralement que deux éléments dans sa liste : vrai (lorsque la case Value est cochée) et faux (lorsque la case Value n’est pas cochée). Par exemple, vous pouvez entrer « État de la commande ouvert » comme nom avec la case Value cochée et « État de la commande fermé » comme nom avec la case Value décochée.  Date : champ de date et d’heure  Floating Point Number : nombre à virgule flottante  Integer : champ pour nombres entiers prenant en charge les nombres jusqu’à 32 bits  Large Integer : champ pour nombres entiers prenant en charge les nombres jusqu’à 64 bits (généralement non requis pour les métadonnées personnalisées) Chapitre 11 Gestion des métadonnées 161 II  Timecode : valeur de timecode vidéo de la forme hh:mm:ss:ii  Unicode String : chaîne Unicode alphanumérique Gestion des ensembles de métadonnées Il existe différents types de ressources et de productions dans Final Cut Server. Les ensembles de métadonnées (qui contiennent les groupes de métadonnées possédant chacun leurs propres champs de métadonnées) vous permettent d’affecter différents groupes de métadonnées à chaque type de ressource ou de production. Par exemple, vous pouvez stocker des métadonnées différentes pour les images fixes et pour les fichiers vidéo HD, ou pour les séquences de promotion et les films publicitaires. Important : lors de l’ajout de ressources au catalogue Final Cut Server, que ce soit par le téléchargement manuel ou à l’aide d’une automatisation (telle qu’une analyse), un ensemble de métadonnées doit leur être affecté. Par la suite, vous ne pourrez plus changer l’ensemble de métadonnées affecté à une ressource. Vous pouvez cependant modifier un ensemble de métadonnées pour lui adjoindre de nouveaux champs et groupes de métadonnées. Vous pouvez aussi copier une ressource dans le catalogue Final Cut Server et affecter un autre ensemble de métadonnées à la copie. Le profil du client que vous avez sélectionné lors de l’installation de Final Cut Server régit les ensembles de métadonnées par défaut de votre système. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « À propos des profils personnalisés » à la page 32. Un administrateur peut obliger à l’indication des nouveaux ensembles de métadonnées et préciser quels groupes de métadonnées s’appliquent à chacun des ensembles. Cliquez sur le bouton Create pour ajouter un nouvel ensemble de métadonnées.162 Partie II Administration générale La sous-fenêtre Metadata Set comporte les colonnes suivantes :  Name : nom de l’ensemble de métadonnées saisi à sa création  Trait ID : nom généré automatiquement pour l’ensemble de métadonnées à usage interne uniquement  Class : type d’éléments auquel l’ensemble de métadonnées peut s’appliquer, qu’il s’agisse de ressources de données ou de productions Ajout ou modification d’ensembles de métadonnées Vous pouvez ajouter ou modifier des ensembles de métadonnées personnalisés. Pour ajouter un ensemble de métadonnées personnalisé : 1 Cliquez sur le bouton Create, accessible depuis la fenêtre Administration du client, dans la sous-fenêtre Metadata Set. La fenêtre Metadata Set apparaît. 2 Configurez les réglages relatifs à l’ensemble de métadonnées. Consultez la rubrique « Réglages relatifs aux ensembles de métadonnées, » qui suit pour en savoir plus sur ces réglages. 3 Cliquez sur Save Changes pour enregistrer l’ensemble de métadonnées personnalisé. Le nouvel ensemble apparaît dans la sous-fenêtre Metadata Set. Vous pouvez aussi ouvrir la fenêtre Metadata Set et modifier ainsi les ensembles. Pour modifier un ensemble de métadonnées : 1 Double-cliquez sur l’ensemble de métadonnées dans la sous-fenêtre Metadata Set. La fenêtre Metadata Set apparaît, reprenant les réglages relatifs à ce champ. 2 Apportez toutes les modifications souhaitées puis cliquez sur Save Changes. La fenêtre Metadata Set se ferme. Consultez la rubrique « Réglages relatifs aux ensembles de métadonnées, » qui suit pour en savoir plus sur ces réglages.Chapitre 11 Gestion des métadonnées 163 II Réglages relatifs aux ensembles de métadonnées La fenêtre Metadata Set comporte les réglages suivants.  Name : saisissez le nom de l’ensemble de métadonnées.  Trait ID : nom généré automatiquement pour l’ensemble de métadonnées à usage interne uniquement  Class : choisissez Media Asset ou Production dans ce menu local. Remarque : vous ne pouvez pas modifier ce réglage lors de la modification d’un ensemble de métadonnées.  Md Groups : sélectionnez les groupes de métadonnées que cet ensemble contient.  Selected : compile la liste des groupes de métadonnées de l’ensemble.  Available : reprend la liste des groupes de métadonnées disponibles pour l’ensemble. Les groupes proposés dépendent de la classe de l’ensemble. Utilisez les boutons Add et Remove pour modifier les groupes de l’ensemble. Remarque : l’ordre des groupes de métadonnées dans la liste Selected n’affecte pas l’ordre dans lequel ils apparaissent lors de l’application de l’ensemble de métadonnées à une ressource ou production. C’est le réglage Display Priority de chaque groupe de métadonnées influe sur cet ordre. Consultez « Réglages relatifs aux groupes de métadonnées » à la page 152 pour en savoir plus. Règles de synchronisation des métadonnées Les métadonnées sont synchronisées entre Final Cut Server et le périphérique selon les règles choisies dans le menu local Metadata Sync Policy lors de la création d’un périphérique, dans la fenêtre Devices. Choisissez les règles de synchronisation des métadonnées lors de la création d’un périphérique dans la fenêtre Devices.164 Partie II Administration générale Le choix des règles de synchronisation en vigueur dépend de ce que l’on considère généralement comme propriétaire ou responsable du périphérique :  Si Final Cut Server est le propriétaire du périphérique, il est recommandé d’utiliser les règles de synchronisation « Final Cut Server is master » ou « Two way ».  Si un autre domaine est propriétaire du périphérique et Final Cut Server bénéficie uniquement de l’accès à son contenu, il est recommandé d’utiliser les règles de synchronisation « Device is master ». Device is master Ces règles de synchronisation partent du principe que le périphérique est l’autorité contrôlant les métadonnées. Les métadonnées du périphérique sont mappées à des métadonnées personnalisées. Les modifications ultérieures apportées aux métadonnées qui se trouvent sur le périphérique sont mappées aux métadonnées personnalisées lorsqu’elles sont détectées. Les champs de métadonnées personnalisés mappés à des métadonnées du périphérique peuvent être modifiées mais ces modifications ne sont alors pas mappées au périphérique. Remarque : cette valeur est celle par défaut. Elle est utilisée pour tous les périphériques créés par le programme d’installation de Final Cut Server et par l’Assistant réglages du périphérique dans les Préférences Système de Final Cut Server. Final Cut Server is master Ces règles de synchronisation partent du principe que Final Cut Server est l’autorité contrôlant les métadonnées. Lors du premier catalogage de la ressource, les métadonnées du périphérique sont mappées à des métadonnées personnalisées. À chaque modification apportée ultérieurement aux métadonnées personnalisées, ces dernières sont mappées et enregistrées dans les métadonnées du périphérique en écrasant toutes les autres modifications du périphérique. Toute modification apportée aux métadonnées du périphérique n’est cependant pas mappée aux métadonnées personnalisées. No sync Lors du premier catalogage de la ressource, les métadonnées du périphérique sont mappées à des métadonnées personnalisées. Toutes les modifications apportées ulté- rieurement aux métadonnées personnalisées ou à celles du périphérique ne sont pas mappées et diffèrent par conséquent entre Final Cut Server et le périphérique. Chapitre 11 Gestion des métadonnées 165 II Two way Lors du premier catalogage de la ressource, les métadonnées du périphérique sont mappées à des métadonnées personnalisées. Toutes les modifications apportées ultérieurement aux métadonnées personnalisées ou à celles du périphérique sont mappées et synchronisées entre Final Cut Server et le périphérique. Consultez la rubrique « Ajout d’un périphérique à partir de la fenêtre Administration » à la page 173 pour en savoir plus sur l’utilisation de la fenêtre Devices. Utilisation de métadonnées pour la configuration de l’interface utilisateur Final Cut Server utilise une série de groupes de métadonnées pour définir de nombreux aspects de l’interface utilisateur du client Final Cut Server. Par exemple, vous pouvez ajouter des champs de métadonnées au groupe de métadonnées Thumbnails pour contrôler l’affichage des champs à reprendre dans la présentation du même nom. Voici des détails sur les zones les plus souvent personnalisées. Important : toute modification que vous apportez peut avoir une incidence sur tous les clients connectés au serveur. Dans de nombreux cas toutefois, vous devez fermer le client et ouvrir une nouvelle session pour activer les modifications. Remarque : soyez prudent lorsque vous modifiez des groupes de métadonnées. De nombreux groupes ou champs de métadonnées portent le même nom ou des noms similaires. Vérifiez que vous avez sélectionné les bons éléments avant de les modifier. Modifier un groupe de métadonnées peut aussi avoir une incidence sur plus d’une zone de l’interface utilisateur. Modification d’un groupe de métadonnées La modification de l’un de ces groupes de métadonnées est identique à la procédure décrite dans la rubrique « Groupes de métadonnées » à la page 149. La rubrique qui suit détaille le processus pour chaque groupe ayant une incidence sur l’interface utilisateur. Pour modifier un groupe de métadonnées : 1 Double-cliquez sur le nom du groupe de métadonnées, accessible depuis de la fenêtre Administration, dans la sous-fenêtre Metadata Group. Le groupe de métadonnées s’ouvre dans une fenêtre à part. Remarque : il est plus facile de retrouver le groupe de métadonnées par le biais d’une recherche. 2 Dans la section Fields de la fenêtre, notez les éléments de la liste Selected et leur ordre, et comparez-les avec la zone de l’interface utilisateur à modifier. Ceux-ci doivent correspondre. Si ce n’est pas le cas, cela signifie que vous n’avez pas sélectionné le bon groupe de métadonnées.166 Partie II Administration générale 3 Dans ce cas, effectuez l’une des opérations suivantes :  Supprimez un élément de la liste Selected en le sélectionnant puis en cliquant sur Remove.  Ajoutez un élément à la liste Selected en le sélectionnant dans la liste Available puis en cliquant sur Add.  Changez l’emplacement d’un élément de la liste Selected en le sélectionnant puis en cliquant sur les boutons Up et Down. 4 Cliquez sur Save Changes. La fenêtre se ferme. Vos modifications sont alors enregistrées. Dans de nombreux cas toutefois, vous devez fermer le client et ouvrir une nouvelle session pour que les modifications prennent effet. Personnalisation de recherches avancées Plusieurs emplacements dans le client Final Cut Server sont prévus pour vous permettre de configurer des options de recherche avancée afin d’affiner les résultas de vos recherches. En modifiant des groupes de métadonnées sélectionnés, vous pouvez ajouter et supprimer des champs de métadonnées et changer l’ordre dans lequel ils apparaissent. Par exemple, vous pouvez ajouter un champ de métadonnées Réviseurs obligatoires à vos recherches portant sur les ressources. Les groupes de métadonnées de recherche avancée, généralement modifiés, sont les suivants :  Groupe de métadonnées Asset Filter : ce groupe de métadonnées détermine les options de recherche avancée proposées dans la sous-fenêtre Assets de la fenêtre principale. Il influe également sur les champs qui apparaissent dans la sous-fenêtre Asset Filter lorsque vous configurez un abonnement à une ressource et dans la sousfenêtre Asset Filter lorsque vous configurez un ensemble d’autorisations.  Groupe de métadonnées Production Filter : ce groupe de métadonnées détermine les options de recherche avancée proposées dans la sous-fenêtre Productions de la fenê- tre principale. Il influe également sur les champs qui apparaissent dans la sous-fenê- tre Production Filter lorsque vous configurez une production à une ressource et dans la sous-fenêtre Production Filter lorsque vous configurez un ensemble d’autorisations.  Groupe de métadonnées Job Filter : ce groupe de métadonnées détermine les options de recherche avancée proposées dans la fenêtre Search All Jobs qui apparaît lorsque vous sélectionnez Search All Jobs dans le menu du serveur. Il influe également sur les champs qui apparaissent dans la sous-fenêtre Job Filter lorsque vous configurez un abonnement à une tâche.Chapitre 11 Gestion des métadonnées 167 II Personnalisation des présentations Les groupes de métadonnées déterminent les informations qui apparaissent dans la fenêtre principale lorsque vous choisissez les présentations Thumbnail, Tile ou List. Il peut s’avérer utile de personnaliser ces présentations pour qu’elles affichent les informations qui vous sont importantes. Par exemple, il peut s’avérer judicieux de retrouver le type Mime des ressources dans la présentation Thumbnail. Il peut s’avérer difficile d’identifier les bons groupes de métadonnées à modifier car de nombreux groupes portent le même nom. Vous devez par conséquent vous assurer que vous avez bien sélectionné le groupe portant le bon identifiant de groupe de métadonnées (voir ci-après). Les groupes de métadonnées de présentation, généralement modifiés, sont les suivants :  Groupe de métadonnées Thumbnails, identifiant de groupe ASSET_THUMBNAILS_VIEW : ce groupe de métadonnées détermine quels champs apparaissent dans la présentation Thumbnails de la sous-fenêtre Assets de la fenêtre principale.  Groupe de métadonnées Thumbnails, identifiant de groupe PROJECT_THUMBNAILS_VIEW : ce groupe de métadonnées détermine quels champs apparaissent dans la présentation Thumbnails de la sous-fenêtre Productions de la fenêtre principale.  Groupe de métadonnées Thumbnails, identifiant de groupe ELEMENT_THUMBNAILS_VIEW : ce groupe de métadonnées détermine quels champs apparaissent dans la présentation Thumbnails de la fenêtre d’information accessible en double-cliquant sur un projet Final Cut Pro dans la fenêtre principale.  Groupe de métadonnées Tiles, identifiant de groupe ASSET_INFO_VIEW : ce groupe de métadonnées détermine quels champs apparaissent dans la sous-fenêtre Information de la fenêtre principale, lorsque vous consultez les ressources.  Groupe de métadonnées Tiles, identifiant de groupe PROJECT_INFO_VIEW : ce groupe de métadonnées détermine quels champs apparaissent dans la sous-fenêtre Information de la fenêtre principale, lorsque vous consultez les productions.  Groupe de métadonnées Tiles, identifiant de groupe ASSET_TILES_VIEW : ce groupe de métadonnées détermine quels champs apparaissent dans la fenêtre Information accessible en double-cliquant sur une ressource ou un projet Final Cut Pro dans la fenêtre principale.  Groupe de métadonnées Tiles, identifiant de groupe PROJECT_TILES_VIEW : ce groupe de métadonnées détermine quels champs apparaissent dans la fenêtre Information accessible en double-cliquant sur une production.  Groupe de métadonnées Tiles, identifiant de groupe ELEMENT_TILES_VIEW : ce groupe de métadonnées détermine quels champs apparaissent dans la fenêtre Element Details, accessible en double-cliquant sur un élément dans la fenêtre Information (celle qui s’affiche en double-cliquant sur un projet Final Cut Pro dans la fenêtre principale).168 Partie II Administration générale  Groupe de métadonnées List, identifiant de groupe ASSET_LIST_VIEW : ce groupe de métadonnées détermine quels champs apparaissent dans la présentation List de la sous-fenêtre Assets de la fenêtre principale.  Groupe de métadonnées List, identifiant de groupe PROJECT_LIST_VIEW : ce groupe de métadonnées détermine quels champs apparaissent dans la présentation List de la sous-fenêtre Productions de la fenêtre principale.  Groupe de métadonnées List, identifiant de groupe ELEMENT_LIST_VIEW : ce groupe de métadonnées détermine quels champs apparaissent dans la présentation List de la fenêtre d’information accessible en double-cliquant sur un projet Final Cut Pro dans la fenêtre principale. À propos des métadonnées QuickTime Il est possible d’ajouter une grande variété de métadonnées aux fichiers de données QuickTime. Vous pouvez, par exemple, ajouter des notes (par exemple, un titre, l’auteur et des mots-clés) à un fichier de données QuickTime à l’aide de la sous-fenêtre Notes de la fenêtre Player Movie Properties de QuickTime. Un fichier de données QuickTime pouvant contenir des champs de métadonnées personnalisés, Final Cut Server est incapable de mapper tous les champs de métadonnées à des champs de métadonnées utilisés dans ses groupes par défaut. Cela signifie que si vous utilisez des champs de métadonnées personnalisés dans vos séquences QuickTime, vous devez dans ce cas mapper ces champs manuellement à des champs utilisés dans des groupes de métadonnées existants ou ajouter ces champs à des groupes de métadonnées personnalisés. Pour accéder aux métadonnées d’une séquence QuickTime : 1 Choisissez Search Devices dans le menu local Server du client. La fenêtre Search Devices s’ouvre. Cliquez ici pour ouvrir le menu local Server.Chapitre 11 Gestion des métadonnées 169 II 2 Choisissez le périphérique qui contient la séquence souhaitée dans le menu local Device puis cliquez sur le bouton Search. 3 Double-cliquez sur le fichier de données QuickTime qui contient les métadonnées à consulter. Une fenêtre reprenant les détails relatifs au fichier s’ouvre. 4 Cliquez sur Dynamic Metadata dans la colonne de gauche. Les détails des métadonnées du fichier sont affichés. Remarque : il se peut que certains champs de métadonnées contiennent des réglages en double. Final Cut Server affiche les anciennes entrées d’identification FOURCC (dont le nom des champs est limité à quatre caractères) et les nouvelles entrées d’identification.12 171 12 Gestion des périphériques Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  À propos des périphériques (p. 171)  Ajout d’un périphérique à partir de la fenêtre Administration (p. 173)  Modification d’un périphérique à partir de la fenêtre Administration (p. 176)  Suppression d’un périphérique par le biais de la fenêtre Administration (p. 176)  À propos des périphériques spécialisés (p. 177)  Informations détaillées sur le type de périphérique (p. 182)  Recherche de périphériques (p. 191) À propos des périphériques Final Cut Server s’appuie sur des périphériques pour stocker et gérer vos ressources et vos productions. Il existe également des périphériques permettant des fonctions spécialisées, par exemple le stockage de proxy, l’archivage et le suivi des versions des ressources. Vous pouvez ajouter, supprimer et configurer des périphériques que Final Cut Server peut exploiter tout en gérant votre système. Ces périphériques peuvent aller du simple dossier sur un ordinateur équipé de Final Cut Server, au serveur FTP ou au volume Apple Xsan. Vous pouvez ajouter et modifier des périphériques dans Final Cut Server de deux façons : l’Assistant réglages de périphérique dans les Préférences Système de Final Cut Server et la sous-fenêtre Devices dans la fenêtre Administration du client. 172 Partie II Administration générale À propos de la création de périphériques par le biais de l’Assistant réglages de périphérique L’Assistant réglages de périphérique, accessible depuis les Préférences Système de Final Cut Server est simple d’utilisation et contient des fonctionnalités complémentaires, notamment la configuration des réglages d’analyse et de transcodage. La configuration manuelle de fonctionnalités semblables supposerait l’utilisation de plusieurs sous-fenêtres de la fenêtre Administration. L’Assistant réglages de périphérique facilite également l’installation de certains types de périphériques, notamment les périphériques réseau et les volumes Xsan, en limitant le nombre de réglages. En outre, il vérifie tous les réglages que vous établissez avant de passer à l’étape suivante (les périphériques créés par le biais de la fenêtre Administration ne sont pas vérifiés tant que vous ne les utilisez pas). L’Assistant réglages de périphérique présente quelques inconvénients : vous ne pouvez pas accéder aux réglages les plus inhabituels ou configurer plusieurs types de périphérique, par exemple un système de fichiers Contentbase ou un périphérique de montage à la volée n’utilisant pas un volume Xsan. Pour en savoir plus sur l’Assistant réglages de périphérique, consultez le chapitre 5, « Utilisation de Device Setup Assistant », à la page 63. À propos de la création de périphériques à l’aide de la fenêtre Administration La sous-fenêtre Devices de la fenêtre Administration permet d’accéder à bien plus de réglages de périphérique que l’Assistant réglages de périphérique. La plupart des utilisateurs n’ont pas à modifier ces réglages, mais cela peut s’avérer utile dans certains cas. La fenêtre Administration est la seule zone où vous pouvez configurer des périphériques en utilisant le système de fichiers Contentbase ou un périphérique de montage à la volée n’utilisant pas de volume Xsan. Bien que vous puissiez configurer des périphériques réseau par le biais de la fenêtre Administration, cela s’avère plus difficile en raison de ses nombreux réglages. Chapitre 12 Gestion des périphériques 173 II Ajout d’un périphérique à partir de la fenêtre Administration Vous pouvez ajouter un périphérique par le biais de l’Assistant réglages de périphérique accessible depuis les Préférences Système de Final Cut Server, ou manuellement par le biais de la fenêtre Administration du client. Pour en savoir plus sur l’Assistant réglages de périphérique, consultez la rubrique « Ajout d’un périphérique » à la page 66. L’ajout d’un périphérique par le biais de la fenêtre Administration diffère un peu de l’ajout par les Préférences Système:  Vous devez configurer manuellement le périphérique car aucun Assistant réglages de périphérique n’est proposé comme dans les Préférences Système.  Vous ne pouvez pas ajouter directement des réglages de transcodage au périphérique à partir de la sous-fenêtre Devices. Vous devez en fait affecter des périphériques aux réglages de transcodage depuis la sous-fenêtre Transcode Settings de la fenêtre Administration. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 13, « Gestion des réglages de transcodage », à la page 197.  Vous ne pouvez pas ajouter directement des réglages d’analyse au périphérique à partir de la sous-fenêtre Devices. Vous devez en fait créer les réglages d’analyse depuis les sous-fenêtres Response et Schedule. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 14, « Gestion des automatisations », à la page 203.  Vous disposez de bien plus d’options et de réglages. La configuration manuelle d’un périphérique offre plus de souplesse.  Vous n’êtes pas en mesure d’ajouter facilement certains types de périphériques, notamment Xsan, NFS ou SMB/CIFS. Vous pouvez les ajouter beaucoup plus facilement par le biais de l’Assistant réglages de périphérique. Important : lorsque vous ajoutez un périphérique par le biais de la fenêtre Administration, Final Cut Server ne les vérifie qu’au moment où vous les utilisez pour la première fois. Pensez à tester le bon fonctionnement de tout nouveau périphérique. Un bon moyen de procéder est de passer par l’option Search Devices. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Recherche de périphériques » à la page 191. Remarque : il est fortement recommandé de ne pas créer de périphérique sur le disque de démarrage du serveur. Les périphériques contiennent des fichiers multimédia volumineux et peuvent utiliser tout l’espace disque disponible de leur disque dur, ce qui peut présenter de sérieux problèmes si le disque dur fait également office de disque de démarrage.174 Partie II Administration générale Pour ajouter un périphérique par le biais de la fenêtre Administration : 1 Ouvrez un client Final Cut Server et ouvrez une session en tant qu’utilisateur possédant des autorisations administrateur. 2 Choisissez Administration dans le menu local Server (celui qui apparaît dans la fenêtre principale de Final Cut Server lorsque vous cliquez sur le bouton Server). La fenêtre Administration apparaît. 3 Cliquez sur Devices dans la colonne de gauche pour ouvrir la sous-fenêtre du même nom. 4 Cliquez sur le bouton Create pour ajouter un nouveau périphérique. La fenêtre Devices s’ouvre. Cliquez sur le bouton Server et choisissez Administration dans le menu local. Cliquez sur le bouton Create pour ajouter un nouveau périphérique.Chapitre 12 Gestion des périphériques 175 II 5 Sélectionnez le type de périphérique à ajouter depuis le menu local Device Type :  Contentbase : système de fichiers propre à Final Cut Server servant à renommer chaque ressource et à la placer dans un dossier contenant également un fichier portant le nom d’origine. L’avantage de Contentbase est que vous pouvez y ajouter des fichiers sans créer de conflit de nom de fichier (ce qui peut s’avérer utile lorsque de nombreux fichiers d’images partagent le même nom). L’inconvénient réside dans le fait que vous ne pouvez pas créer de structure de dossiers ; il se peut en outre que les fichiers renommés soient difficiles à manipuler en dehors de Final Cut Server. Important : les périphériques Proxies, Edit Proxies et Version doivent utiliser le système de fichiers Contentbase. En outre, les périphériques Contentbase ne peuvent pas faire l’objet d’un contrôle de la part d’un dispositif de surveillance automatisé.  FTP Server : type de périphérique exploitant le protocole FTP pour transférer des fichiers multimédia vers ou depuis le périphérique.  Filesystem : il s’agit d’un système de fichiers traditionnel utilisé par la plupart des ordinateurs. Il prend en charge les noms standard de sous-dossiers et de fichier. La fenêtre Devices s’adapte en fonction du type de périphérique sélectionné. Vous pouvez sélectionner un autre type de périphérique, le cas échéant. 6 Configurez les réglages du type de périphérique, puis cliquez sur Save Changes. Vous pouvez sélectionner d’autres types de périphérique pour afficher les réglages correspondants.176 Partie II Administration générale Modification d’un périphérique à partir de la fenêtre Administration La fenêtre Administration ne peut modifier que les périphériques qu’elle crée ou ceux générés par l’Assistant réglages de périphérique. Pour en savoir plus sur la modification des périphériques en utilisant l’Assistant réglages de périphérique, consultez la rubrique « Modification d’un périphérique » à la page 77. Pour modifier les réglages d’un périphérique par le biais de la fenêtre Administration : 1 Double-cliquez sur le périphérique dans la sous-fenêtre Devices. La fenêtre Devices qui s’ouvre affiche les réglages actuels du périphérique en question. 2 Modifiez les réglages le cas échéant, puis cliquez sur Save Changes. The fenêtre Devices se ferme et les nouveaux réglages du périphérique sont pris en compte. Pour en savoir plus sur les réglages relatifs aux périphériques, consultez la rubrique « Informations détaillées sur le type de périphérique » à la page 182. Suppression d’un périphérique par le biais de la fenêtre Administration Il est absolument impossible de supprimer un périphérique à travers la sous-fenêtre Devices. Pour supprimer un périphérique par le biais de la fenêtre Administration : 1 Sélectionnez le périphérique dans la sous-fenêtre Devices. 2 Cliquez sur le périphérique tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Delete dans le menu contextuel. Une zone de dialogue de confirmation s’affiche. 3 Cliquez sur Delete. Le périphérique est supprimé de la liste des périphériques. Prenez en compte les points suivants lors de la suppression d’un périphérique :  Vous ne pouvez pas annuler la suppression d’un périphérique.  La suppression d’un périphérique entraîne également celle de toutes les ressources correspondantes dans le catalogue Final Cut Server. Cela comprend la suppression de tous les fichiers proxy du périphérique Proxy et de toutes les versions du périphé- rique Version.  La suppression d’un périphérique n’a aucun effet sur le contenu en cours du volume du périphérique. La seule exception concerne les périphériques Contentbase : la suppression d’un tel périphérique a pour effet de supprimer également tous les données correspondantes.Chapitre 12 Gestion des périphériques 177 II  Si une tâche est en cours lorsque vous supprimez le périphérique, vous devez attendre qu’elle se termine avant de pouvoir supprimer le périphérique (toutes les autres tâches en attente sont annulées). Si vous ne souhaitez pas attendre, vous pouvez annuler la tâche dans la fenêtre Search All Jobs du client.  Toute réponse ou tout dispositif de surveillance qui dépend du périphérique supprimé l’est également. Toute programmation ou automatisation utilisée par ces réponses n’est pas supprimée. Vous devez donc les supprimer manuellement. À propos des périphériques spécialisés Il existe un certain nombre de périphériques spécialisés utilisables par Final Cut Server. Certains d’entre eux, notamment les périphériques Proxies et Version, sont configurés lors de l’installation de Final Cut Server. D’autres, par exemple les périphériques d’archivage, doivent être configurés manuellement. Configuration du périphérique Proxies Chaque configuration Final Cut Server dispose d’un périphérique Proxies. Chaque fois que vous téléchargez une ressource dans le catalogue Final Cut Server, un ensemble de fichiers en faible résolution est créé. Les vignettes, les affiches et les proxy des plans sont stockés dans le périphérique Proxies. Ils sont utilisés à la place des ressources normales en pleine résolution lorsque leur contrepartie en faible résolution est suffisante. Pour en savoir plus sur la configuration des formats de proxy, consultez la rubrique « Réglages des préférences Analyze » à la page 124. Le périphérique Proxies est créé à l’endroit spécifié lors de l’installation de Final Cut Server. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Utilisation du programme d’installation de Final Cut Server » à la page 23. Pour en savoir plus sur la sélection d’un périphérique proxy, consultez la rubrique « Réglages des préférences Proxys » à la page 121. Le périphérique Proxies est un périphérique de type Contentbase. Configuration du périphérique Edit Proxies Chaque configuration Final Cut Server dispose d’un périphérique Edit Proxies. Chaque fois que vous téléchargez un projet Final Cut Pro dans le catalogue Final Cut Server, vous pouvez créer un ensemble de fichiers au format Apple ProRes 422 ainsi qu’un ensemble de fichiers en faible résolution stockés sur le périphérique Proxies. Vous pouvez utiliser ces fichiers à place des ressources d’origine lorsque vous exportez ou vérifiez un projet Final Cut Pro. Le périphérique Edit Proxies est créé à l’endroit spécifié lors de l’installation de Final Cut Server. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Utilisation du programme d’installation de Final Cut Server » à la page 23. Pour en savoir plus sur la sélection d’un périphérique Edit Proxies, consultez la rubrique « Réglages des préférences Proxys » à la page 121. Le périphérique Edit Proxies est un périphérique de type Contentbase.178 Partie II Administration générale Configuration du périphérique Version Lors de l’utilisation des ressources Final Cut Server, vous pouvez être amené à contrô- ler plusieurs versions d’une même ressource. En effet, il se peut que vous ayez par exemple plusieurs versions d’une même image, utilisant des réglages de police diffé- rents. Final Cut Server contient une fonction de suivi de versions simplifiant l’utilisation de plusieurs copies d’une ressource. Le programme d’installation de Final Cut Server crée automatiquement un périphérique Version à l’emplacement spécifié pour le fichier multimédia de production. Dans la plupart des configurations, ce périphérique est particulièrement adapté au stockage des versions de vos ressources et de vos productions. Vous pouvez cependant être amené à créer un périphérique avec plus d’espace pour stocker vos versions. C’est particulièrement le cas si vous comptez conserver plus de trois ou quatre copies de vos ressources et qu’il s’agit de fichiers vidéo volumineux. Si vous cherchez à créer manuellement un périphérique Version, le périphérique doit être de type Contentbase. Il ne doit alors pas être utilisé pour autre chose. Pour indiquer le périphérique à utiliser pour le stockage des versions des ressources et des productions, utilisez la sous-fenêtre Préférences de la fenêtre Administration. Pour sélectionner le périphérique Version : 1 Dans la sous-fenêtre Preferences de la fenêtre Administration, cliquez sur Version Control pour accéder aux préférences applicables aux versions. 2 Sélectionnez un périphérique dans le menu local Version Control Device. Remarque : le périphérique utilisé pour stocker les versions étant de type Contentbase, le bouton Choose n’est par conséquent pas accessible. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Contentbase » à la page 182. 3 Tapez le nombre maximal de versions à associer à une ressource dans le champ Version Control Limit. Une fois la limite atteinte, les copies les plus anciennes sont supprimées au fur et à mesure que vous en ajoutez des nouvelles. 4 Cliquez sur Save Changes. Pour en savoir plus sur les réglages des préférences dans les autres parties de la sousfenêtre Préférences, consultez la rubrique « Réglages de préférences dans la fenêtre Administration du client Final Cut Server » à la page 119.Chapitre 12 Gestion des périphériques 179 II Configuration d’un périphérique Archive En archivant une ressource, vous pouvez la mettre hors ligne tout en conservant un lien vers celle-ci pour pouvoir y accéder à tout moment. Cela s’avère particulièrement utile pour les fichiers vidéo volumineux que vous n’utilisez pas actuellement et qui occupe beaucoup d’espace disque sur un périphérique. L’archivage de la ressource permet de la copier sur un autre périphérique, par exemple, un lecteur FireWire ou un disque dur lent mais de grande capacité que vous pouvez déconnecter. Final Cut Server conserve un lien vers la ressource ce qui facilite toute restauration ultérieure. Important : l’archivage ne s’applique pas aux éventuelles versions d’une ressource. Seule la version active est archivée. Final Cut Server prend en charge plusieurs périphériques d’archivage. La plupart des périphériques peuvent en outre être définis comme périphérique d’archivage. Les périphériques Archive peuvent utiliser le type de périphérique Final Cut Server Contentbase ou Filesystem. Important : les ressources d’un périphérique de type Contentbase ne peuvent être archivées que si le périphérique est également de ce type. Si vous créez au moins un périphérique de type Contentbase pour stocker des ressources, pensez à créer un périphérique Archive utilisant également un périphérique Contentbase. Remarque : en outre, vous pouvez créer des périphériques à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Ajout d’un périphérique » à la page 66. Pour convertir un périphérique en périphérique Archive : 1 Double-cliquez sur le périphérique dans la sous-fenêtre Devices de la fenêtre Administration. Le périphérique s’ouvre dans une fenêtre indépendante. 2 Cochez la case Archive Device. 3 Cliquez sur Save Changes. Ce périphérique s’affiche alors dans la liste des périphériques Archive dans le menu contextuel de la fenêtre principale. Pour en savoir plus, reportez-vous au Manuel de l’utilisateur de Final Cut Server.180 Partie II Administration générale À propos du périphérique Export Un utilisateur peut exporter une ressource depuis le catalogue Final Cut Server vers son ordinateur local. Lorsque l’utilisateur, sur un client Final Cut Server, clique sur une ressource tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, l’option Export s’affiche dans le menu contextuel. La sélection de l’option Export ouvre une zone de dialogue où l’utilisateur définit le nom du fichier, son chemin de destination et éventuellement le type de transcodage, pour permettre la conversion de la ressource sous un autre codec au fur et à mesure que celle-ci se télécharge. Final Cut Server crée un périphérique masqué, intitulé Export, pour stocker les réglages de transcodage qu’un utilisateur peut sélectionner à l’aide de l’option Export. Par défaut, le périphérique Export se limite à certains réglages de transcodage les plus courants. Vous pouvez ajouter des réglages de transcodage au périphérique Export depuis la sousfenêtre Transcode Settings de la fenêtre Administration. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Affectation de réglages de transcodage aux périphériques » à la page 200. Aucun autre réglage n’existe pour le périphérique Export. À propos des périphériques de montage à la volée En fonction de la configuration de votre système, il se peut que vous puissiez bénéficier de la fonction de montage à la volée de Final Cut Server, laquelle simplifie et accélère l’utilisation des ressources du catalogue. Rôle du montage à la volée Généralement, lorsque vous utilisez un client Final Cut Server, vous devez disposer d’une copie locale de toutes les ressources que vous souhaitez utiliser sur l’ordinateur client. Par exemple, pour ajouter une des ressources Final Cut Server à un projet Final Cut Pro située sur l’ordinateur du client, vous devez créer une copie de la ressource à partir du périphérique correspondant à placer sur votre ordinateur avant de pouvoir l’ajouter au projet. Cliquer sur « Add to Local Cache » dans la fenêtre principale entraîne la création d’une copie de la ressource et la place dans le fichier cache de l’ordinateur (d’après ce qui est précisé dans la fenêtre Préférences ; pour en savoir plus, consultez la rubrique « Réglages des préférences personnalisables » à la page 125). L’image vignette de la ressource adopte une couleur plus claire une fois que la ressource a été copiée sur l’ordinateur du client. Vous pouvez ensuite déposer la ressource sur votre projet Final Cut Pro, le bureau ou tout autre emplacement où vous souhaitez l’utiliser, en la faisant glisser depuis la fenêtre principale. Il se peut cependant que l’ordinateur client de Final Cut Server bénéficie d’un accès direct au périphérique contenant la ressource requise. Dans ce cas, vous pouvez configurer le périphérique de sorte à exploiter directement les ressources qu’il contient sans avoir à en créer une copie locale au préalable. Un périphérique accessible directement par un client Final Cut Server est un périphérique de montage à la volée.Chapitre 12 Gestion des périphériques 181 II Votre système prend-il en charge le montage à la volée ? Les périphériques de montage à la volée s’adaptent particulièrement bien à deux configurations système courantes : lorsque l’ordinateur client est connecté à volume Xsan à travers un réseau Fibre Channel, ou lorsque le périphérique correspond en fait à un disque dur directement branché sur l’ordinateur client. Dans les deux cas, vous devez disposer d’une bande passante suffisamment élevée pour pouvoir travailler en temps réel sur les ressources afin d’éviter les pertes d’images et les problèmes inhérents à l’utilisation d’une faible bande passante. Important : en général, les périphériques connectés à l’ordinateur du client par le biais d’une connexion sans fil ou Ethernet standard ne sont pas adaptés à l’usage de périphériques de montage à la volée du fait d’une bande passante relativement faible pour permettre de travailler directement sur les fichiers vidéo. En outre, vous ne devez jamais configurer le disque de démarrage de l’ordinateur sur lequel Final Cut Server est installé, comme périphérique de montage à la volée. Création de périphériques de montage à la volée Vous pouvez ajouter et modifier des périphériques à votre système Final Cut Server de deux façons : l’Assistant réglages de périphérique et la fenêtre Administration du client Final Cut Server. Les réglages de montage à la volée de la plupart des périphériques créés avec l’Assistant réglages de périphérique, ne sont pas configurés. Une exception à cela concerne le périphérique Xsan, qui configure automatiquement les réglages de montage à la volée correspondants. La seule manière de créer manuellement un périphérique de montage à la volée consiste à créer le périphérique dans la fenêtre Administration. Lorsque vous créez ainsi un périphérique, vous pouvez configurer plusieurs réglages relatifs au montage à la volée.  Macintosh edit-in-place URI : URI (Uniform Resource Identifier) permettant l’édition de données depuis un client Macintosh directement sur le périphérique, plutôt que de les télécharger et de les éditer sur le client. Le périphérique doit également être accessible en tant que système de fichiers monté depuis le client. Le format est le suivant :  file:///Volumes/NomVolume/Sous-dossierFacultatif/ Par exemple :  file:///Volumes/ServeurDonnées/Images/  Windows edit-in-place URI : URI permettant l’édition de données depuis un client Windows directement sur le périphérique, plutôt que de les télécharger et de les éditer sur le client. Le périphérique doit également être accessible en tant que partage réseau depuis le client. Le format est le suivant :  file:////NomHôte/Chemin/ Par exemple :  file:////ServeurDonnées/Images/ 182 Partie II Administration générale Pour en savoir plus sur les volumes Xsan, consultez la rubrique « Stratégie en matière de périphériques de stockage » à la page 16. Informations détaillées sur le type de périphérique Les périphériques pris en charge par Final Cut Server sont répertoriés et décrits ci-dessous :  Contentbase : consultez la rubrique « Contentbase, » ci-dessous.  FTP Server : consultez la rubrique « FTP Server » à la page 184.  Filesystem (notamment local, Xsan, NFS, AFP et SMB/CIFS) : consultez la rubrique « Filesystem » à la page 188. Contentbase Contentbase est un système de stockage de fichiers géré par Final Cut Server sur ou connecté au serveur Final Cut Server. Les fichiers multimédia sont stockés sur un système de fichiers, notamment un espace de stockage NAS (Network-Attached Storage) ou SAN (Storage Area Network). Contentbase est un système de fichiers propre à Final Cut Server qui place chaque ressource dans un dossier unique. L’avantage de Contentbase est que vous pouvez y ajouter des fichiers sans créer de conflit de nom de fichier (ce qui peut s’avérer utile lorsque de nombreux fichiers d’images partagent le même nom). L’inconvénient réside dans le fait que vous ne pouvez pas créer de structure de dossiers ; il se peut en outre que les fichiers soient difficiles à manipuler en dehors de Final Cut Server. Remarque : les périphériques Proxies, Edit Proxies et Version doivent utiliser le système de fichiers Contentbase. Important : les périphériques de type Contentbase ne sont pas utilisables par un dispositif de surveillance de système de fichiers. Pour accéder aux réglages de périphérique Contentbase : 1 Cliquez sur le bouton Create, accessible depuis la Administration, dans la sous-fenêtre Devices, pour créer un périphérique.Chapitre 12 Gestion des périphériques 183 II 2 Sélectionnez Contentbase dans le menu local Device Type. La sous-fenêtre Configuration, correspondant au type de périphérique Contentbase, reprend les éléments suivants :  Device Name : tapez un nom de périphérique descriptif.  Local Directory : chemin d’accès racine du périphérique tel qu’il apparaît sur le serveur Final Cut Server. Par exemple : /Volumes/Macintosh HD/Final Cut Server/ Contentbase Device/.  Macintosh edit-in-place URI : URI (Uniform Resource Identifier) permettant l’édition de données depuis un client Macintosh directement sur le périphérique, plutôt que de les télécharger et de les éditer sur le client. Le périphérique doit également être accessible en tant que système de fichiers monté depuis le client. Le format est le suivant :  file:///Volumes/NomVolume/Sous-dossierFacultatif/ Par exemple :  file:///Volumes/ServeurDonnées/Images/ Remarque : pour en savoir plus sur les périphériques de montage à la volée, consultez la rubrique « À propos des périphériques de montage à la volée » à la page 180.  Windows edit-in-place URI : URI permettant l’édition de données depuis un client Windows directement sur le périphérique, plutôt que de les télécharger et de les éditer sur le client. Le périphérique doit également être accessible en tant que partage réseau depuis le client. Le format est le suivant :  file:////NomHôte/Chemin/ Par exemple :  file:////ServeurDonnées/Images/  Archive Device : case permettant d’ajouter le périphérique à la liste des emplacements d’archivage proposés à l’utilisateur. Sélectionnez Contentbase.184 Partie II Administration générale FTP Server Final Cut Server prend en charge l’accès à tout serveur FTP (File Transfer Protocol) standard, par exemple un hôte Microsoft Windows, Macintosh ou UNIX. D’autres périphériques peuvent être configurés en suivant cette procédure, par exemple les serveurs de fichiers Macintosh, Windows NT/2000 et UNIX. Pour accéder aux réglages de périphérique FTP Server : 1 Cliquez sur le bouton Create, accessible depuis la Administration, dans la sous-fenêtre Devices, pour créer un périphérique. 2 Sélectionnez FTP Server dans le menu local Device Type. La sous-fenêtre Configuration, correspondant au type de périphérique de serveur FTP, reprend les éléments suivants :  Device Name : tapez un nom de périphérique descriptif.  Hostname / IP Address : nom d’hôte DNS (par exemple, ftp.tv1.com) ou l’adresse IP du serveur (par exemple, 10.1.101.7).  FTP Root Path : chemin d’accès par défaut des fichiers sur le serveur (par exemple, /public/images/). Si ce chemin d’accès commence par une barre oblique (/), cela signifie qu’il fait référence au dossier racine du serveur. Dans le cas contraire, il se rapporte au dossier par défaut du serveur auquel se connecte l’utilisateur (il s’agit généralement du dossier de départ de l’utilisateur).  User : nom d’utilisateur à saisir dans ce champ pour vous connecter automatiquement au serveur FTP chaque fois, par exemple lorsque vous effectuez une recherche et une copie.  Password : mot de passe associé au champ User. Laissez ce champ vide si le serveur FTP ne requiert aucun mot de passe.  Verify : confirmation du mot de passe.  Passive Mode : case permettant d’activer les transferts FTP en mode passif. Sélectionnez FTP Server.Chapitre 12 Gestion des périphériques 185 II  Port : numéro du port (laissez ce champ vide pour utiliser le numéro de port par défaut).  Show Dot-files : case permettant d’afficher tous les fichiers commençant par un point (.) dans les listes de répertoires et les recherches. Dans le cas contraire, ces fichiers n’apparaissent pas. Important : ne cochez cette option que si cela est absolument nécessaire.  ls -a : case permettant d’afficher dans la liste des fichiers du serveur ceux dont le nom commence par un point. Important : ne cochez cette option que si cela est absolument nécessaire.  Search Cache Time : durée en minutes pour le maintien des résultats de recherche en mémoire cache dans Final Cut Server. La valeur saisie varie entre 0 (les résultats ne sont mis en mémoire cache) et 7 (les résultats sont mis en mémoire cache pendant 7 minutes). La mémoire cache de Final Cut Server est interrogée pendant la période spécifiée. Au-delà, le périphérique est de nouveau interrogé. Cela améliore les performances mais les résultats de la recherche risquent d’être anciens, de la période spécifiée. La mise en mémoire cache des résultats de la recherche pendant plusieurs minutes s’illustre pleinement en cas de connexion à un serveur lent ou d’une connexion réseau lente.  Text encoding : sélectionnez dans le menu local le type d’encodage texte utilisé sur le périphérique. Final Cut Server prend en charge une large gamme d’encodages texte, notamment la plupart des encodages chinois, coréens et japonais. L’encodage Unicode UTF-8 est celui utilisé par défaut dans Mac OS X. Si vous ne savez pas quel encodage texte utiliser, vous pouvez sélectionner un réglage et utiliser la fenêtre Search Devices (expliquée dans la rubrique « Recherche de périphériques » à la page 191) pour vérifier si le nom des fichiers s’affiche correctement. Dans le cas contraire, essayez avec un autre réglage. Important : si, après avoir ajouté au catalogue Final Cut Server les ressources d’un périphérique, vous modifiez le réglage en question, le nouvel encodage n’est alors pas appliqué aux ressources. Veillez à vérifier l’encodage avant d’analyser le périphérique.186 Partie II Administration générale Pour en savoir plus, consultez la rubrique « À propos de la prise en charge Unicode » à la page 128.  Metadata Sync Policy : règles de synchronisation des métadonnées entre Final Cut Server et le périphérique, à sélectionner dans ce menu local. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Règles de synchronisation des métadonnées » à la page 163.  Generate Thumbnails : case permettant d’afficher des vignettes lorsque vous sélectionnez Search Devices dans le menu local Server (celui de la fenêtre principale de Final Cut Server qui s’affiche lorsque vous cliquez sur le bouton Server). Les images s’affichent sous forme de vignettes lorsque vous accédez aux détails de celle-ci, en double-cliquant sur le nom de son fichier ou en cliquant sur celui-ci tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée puis en sélectionnant View Details dans le menu contextuel. Cela vous permet de visualiser l’image sans avoir à créer de ressource dans le catalogue Final Cut Server. Pour en savoir plus sur l’utilisation de la fonction Search Devices, consultez la rubrique « Recherche de périphériques » à la page 191.  Max Connections : nombre maximal de connexions entre Final Cut Server et le périphérique. Laissez ce champ vide ou défini par défaut sur zéro (0) (les connexions sont alors illimitées) sauf si, pour une raison particulière, vous souhaitez limiter le nombre de connexions.  Macintosh edit-in-place URI : URI (Uniform Resource Identifier) permettant l’édition de données depuis un client Macintosh directement sur le périphérique, plutôt que de les télécharger et de les éditer sur le client. Le périphérique doit également être accessible en tant que système de fichiers monté depuis le client. Le format est le suivant :  file:///Volumes/NomVolume/Sous-dossierFacultatif/ Par exemple :  file:///Volumes/ServeurDonnées/Images/ Remarque : pour en savoir plus sur les périphériques de montage à la volée, consultez la rubrique « À propos des périphériques de montage à la volée » à la page 180.Chapitre 12 Gestion des périphériques 187 II  Windows edit-in-place URI : URI permettant l’édition de données depuis un client Windows directement sur le périphérique, plutôt que de les télécharger et de les éditer sur le client. Le périphérique doit également être accessible en tant que partage réseau depuis le client. Le format est le suivant :  file:////NomHôte/Chemin/ Par exemple :  file:////ServeurDonnées/Images/  Analyze Mode : l’analyse crée des proxy distincts pour le fichier des plans et des images. Sélectionnez une option dans le menu local pour déterminer le mode de gestion par Final Cut Server des fichiers identifiées comme étant des images ou des plans vidéo, par exemple, pour les fichiers sans extension.  [None] : permet de ne pas analyser les fichiers ou ne pas créer de proxy pour les fichiers sans extension ou sans extension connue. Déduit le type de fichier d’après l’extension (valeur par défaut).  Assume Stills : permet d’indiquer que les fichiers sans extension ou sans extension connue sont en fait des images.  Ignore : permet de ne pas analyser les fichiers ou ne pas créer de proxy pour les fichiers sans extension ou sans extension connue. Devine le type de fichier d’après son extension.  Case insensitive filesystem : permet d’indiquer si les périphériques FTP ne suivent pas les majuscules (par exemple, FICHIER.mov et fichier.mov correspondent au même fichier).  Archive Device : case permettant d’ajouter le périphérique à la liste des emplacements d’archivage proposés à l’utilisateur.188 Partie II Administration générale Filesystem Ce type de périphérique est destiné au stockage de tout élément sur le serveur de Final Cut Server ou qui peut être monté depuis celui-ci. Ce type de périphérique est utilisé pour les systèmes de fichiers AFP, Xsan, NFS et SMB/CIFS. Remarque : même si tous les champs sont visibles, le système de fichiers détermine ceux réellement utilisés. Pour accéder aux réglages de périphérique Filesystem : 1 Cliquez sur le bouton Create, accessible depuis la Administration, dans la sous-fenêtre Devices, pour créer un périphérique. 2 Sélectionnez Filesystem dans le menu local Device Type. La sous-fenêtre Filesystem Configuration, correspondant au type de périphérique Filesystem, reprend les éléments suivants :  Device Name : tapez un nom de périphérique descriptif.  Local Directory : chemin d’accès racine du périphérique tel qu’il apparaît sur le serveur Final Cut Server. Ce chemin d’accès est considéré comme étant la racine relative (/) lors de la copie de fichiers sur le périphérique. Tous les fichiers placés sous sa hiérarchie sont alors accessibles (par exemple : /Volumes/Macintosh HD/ Final Cut Server/shared/).  Server URL : tapez l’URL du serveur. Cela ne s’applique qu’aux périphériques non locaux. Concernant les périphériques Windows SMB/CIFS, tapez le chemin d’accès racine UNC (Uniform Naming Convention) qui comprend le groupe de travail et l’utilisateur. Il s’exprime de la forme suivante : smb://groupetravail;utilisateur@nomserveur/shared. Vous devez également saisir le nom d’utilisateur dans le champ User. Remarque : l’Assistant réglages de périphérique de la sous-fenêtre Préférences Système de Final Cut Server comprend une entrée de groupe de travail. Il peut s’avé- rer plus simple de passer par l’Assistant réglages de périphérique pour configurer les périphériques SMB/CIFS. Sélectionnez Filesystem.Chapitre 12 Gestion des périphériques 189 II Important : effectuez votre saisie dans le champ Local Directory ou dans le champ Server URL, jamais dans les deux à la fois.  Server Path : chemin d’accès où le serveur procède à l’exportation, servant de chemin d’accès racine. Cela ne s’applique qu’aux périphériques non locaux.  User : nom d’utilisateur à saisir dans ce champ pour vous connecter automatiquement au serveur chaque fois, par exemple lorsque vous effectuez une recherche et une copie.  Password : mot de passe associé au champ User. Laissez ce champ vide si le champ User l’est également.  Verify : confirmation du mot de passe.  Show Dot-files : case permettant d’afficher tous les fichiers commençant par un point (.) dans les listes de répertoires et les recherches. Dans le cas contraire, ces fichiers n’apparaissent pas. Important : ne cochez cette option que si cela est absolument nécessaire.  Text encoding : sélectionnez dans le menu local le type d’encodage texte utilisé sur le périphérique. Final Cut Server prend en charge une large gamme d’encodages texte, notamment la plupart des encodages chinois, coréens et japonais. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « À propos de la prise en charge Unicode » à la page 128.  Metadata Sync Policy : règles de synchronisation des métadonnées entre Final Cut Server et le périphérique, à sélectionner dans ce menu local. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Règles de synchronisation des métadonnées » à la page 163.  Generate Thumbnails : cochez cette case pour afficher les images sous forme de vignette lorsque vous sélectionnez Search Devices dans le menu local Server (celui de la fenêtre principale de Final Cut Server qui s’affiche lorsque vous cliquez sur le bouton Server). Les images s’affichent sous forme de vignettes lorsque vous accédez aux détails de celleci, en double-cliquant sur le nom de son fichier ou en cliquant sur celui-ci tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée puis en sélectionnant View Details dans le menu contextuel. Cela vous permet de visualiser l’image sans avoir à créer de ressource dans le catalogue Final Cut Server. Pour en savoir plus sur l’utilisation de la fonction Search Devices, consultez la rubrique « Recherche de périphériques » à la page 191.  Macintosh edit-in-place URI : URI (Uniform Resource Identifier) permettant l’édition de données depuis un client Macintosh directement sur le périphérique, plutôt que de les télécharger et de les éditer sur le client. Le périphérique doit également être accessible en tant que système de fichiers monté depuis le client. Le format est le suivant :  file:///Volumes/NomVolume/Sous-dossierFacultatif/ Par exemple :  file:///Volumes/ServeurDonnées/Images/ 190 Partie II Administration générale Remarque : pour en savoir plus sur les périphériques de montage à la volée, consultez la rubrique « À propos des périphériques de montage à la volée » à la page 180.  Windows edit-in-place URI : URI permettant l’édition de données depuis un client Windows directement sur le périphérique, plutôt que de les télécharger et de les éditer sur le client. Le périphérique doit également être accessible en tant que partage réseau depuis le client. Le format est le suivant :  file:////NomHôte/Chemin/ Par exemple :  file:////ServeurDonnées/Images/  Analyze Mode : l’analyse crée des proxy distincts pour le fichier des plans et des images. Sélectionnez une option dans le menu local pour déterminer le mode de gestion par Final Cut Server des fichiers identifiées comme étant des images ou des plans vidéo, par exemple, pour les fichiers sans extension.  [None] : permet de ne pas analyser les fichiers ou ne pas créer de proxy pour les fichiers sans extension ou sans extension connue. Déduit le type de fichier d’après l’extension (valeur par défaut).  Assume Stills : permet d’indiquer que les fichiers sans extension ou sans extension connue sont en fait des images.  Ignore : permet de ne pas analyser les fichiers ou ne pas créer de proxy pour les fichiers sans extension ou sans extension connue. Devine le type de fichier d’après son extension.  Archive Device : case permettant d’ajouter le périphérique à la liste des emplacements d’archivage proposés à l’utilisateur.  Post-archive Command : ne s’applique que si la case Archive Device est cochée. Tapez le chemin d’accès et le nom du script ou de tout autre fichier exécutable à exécuter après l’archivage d’une ressource. Cela permet d’activer l’intégration à d’autres systè- mes d’archivage externes. Le fichier d’accès complet apparaît comme premier argument du script sur la ligne de commande.Chapitre 12 Gestion des périphériques 191 II  Pre-restore Command : ne s’applique que si la case Archive Device est cochée. Tapez le chemin d’accès et le nom du script ou de tout autre fichier exécutable à exécuter avant la restauration d’une ressource. Cela permet d’activer l’intégration à d’autres systèmes d’archivage externes. Le fichier d’accès complet apparaît comme premier argument du script sur la ligne de commande. Recherche de périphériques Final Cut Server comprend une fonction de recherche de n’importe quel périphérique connecté. Cela permet d’examiner le contenu d’un périphérique, notamment les élé- ments qui n’ont pas été ajoutés au catalogue Final Cut Server. Ouverture de la fenêtre Search Devices La fenêtre Search Devices s’ouvre depuis le menu local Server du client Final Cut Server. Pour ouvrir la fenêtre Search Devices : 1 Choisissez Search Devices dans le menu local Server (celui qui apparaît dans la fenêtre principale de Final Cut Server lorsque vous cliquez sur le bouton Server). Cliquez sur le bouton Server et choisissez Search Devices dans le menu local.192 Partie II Administration générale La fenêtre s’ouvre alors. Recherche d’un périphérique Vous pouvez rechercher n’importe quel périphérique Final Cut Server. Pour rechercher parmi le contenu d’un périphérique : 1 Sélectionnez le périphérique à rechercher, à partir du menu local Device. 2 Cliquez sur Search. Par défaut, le bouton Search entraîne une recherche à partir du niveau racine du périphérique. Vous pouvez saisir le texte à rechercher dans le champ de recherche. Vous pouvez cliquer sur le bouton Catalog une fois sélectionné des fichiers. Cela a pour effet d’ajouter les ressources au catalogue de Final Cut Server. Cliquez sur Choose pour sélectionner un dossier spécifique à partir duquel vous souhaitez effectuer la recherche. Cliquez sur le triangle pour afficher les options de recherche avancée. Indiquez si vous souhaitez rechercher tous les fichiers, les plans composites ou les séquences d’images. Cliquez sur l’en-tête de la colonne servant de critère au tri. Sélectionnez le périphérique à rechercher.Chapitre 12 Gestion des périphériques 193 II Important : veillez à taper des mots complets dans le champ de recherche. À la diffé- rence du champ de recherche de la fenêtre principale de Final Cut Server, le champ de recherche Search Devices recherche exactement des mots entiers correspondant à votre saisie. Par exemple, si vous recherchez toutes les ressources contenant le mot « image », vous devez taper le mot complet. Si vous recherchez « ima », seules les ressources contenant le mot « ima » s’affichent mais pas celles contenant le mot « image ». Vous pouvez également cliquer sur Choose pour ouvrir une zone de dialogue de sélection du dossier où vous souhaitez effectuer la recherche. Cette zone de dialogue affiche les dossiers du périphérique situés à la racine. Vous pouvez double-cliquer sur un dossier pour en afficher le contenu. Après avoir sélectionné le dossier où vous souhaitez effectuer la recherche, cliquez sur Open pour fermer la zone de dialogue et revenir à la fenêtre Search Devices. Vous pouvez également cliquer sur les boutons de la partie supérieure pour gérer la zone de dialogue. Ce bouton permet de revenir au dossier immé- diatement supérieur. Cliquez ici pour sélectionner l’affichage de dossier List ou Details. Cliquez ici pour accéder au niveau racine du périphérique. Cliquez pour ajouter un dossier à l’endroit sélectionné.194 Partie II Administration générale Gestion des éléments de périphérique La fenêtre Search Devices permet de manipuler les éléments qu’elle contient de plusieurs façons. Notamment, le bouton Catalog et le menu contextuel s’affichent lorsque vous cliquez sur un élément tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée. À propos du bouton Catalog Dès que vous sélectionnez des éléments dans la fenêtre Search Devices, le bouton Catalog s’active. Cliquer sur ce bouton vous permet d’ajouter la ressource au catalogue Final Cut Server. Remarque : il est possible que l’élément sélectionné ait déjà été ajouté en tant que ressource dans le catalogue Final Cut Server. Vous pouvez déterminer si l’élément se trouve dans le catalogue, soit en le recherchant dans la sous-fenêtre Assets, soit en sélectionnant le menu contextuel (décrit ci-après) pour le supprimer. Lorsque vous sélectionnez Delete dans le menu contextuel, une zone de dialogue affiche l’élément que vous êtes sur le point de supprimer, et notamment si cet élément se trouve dans le catalogue. À propos du menu contextuel Vous pouvez cliquer sur un élément tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée pour afficher un menu contextuel proposant plusieurs options. Même si de nombreuses options ressemblent à celles qui s’affichent lorsque vous cliquez sur une ressource tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée dans la sous-fenêtre Assets, leur comportement peut s’avérer différent. Cliquez sur le bouton Catalog pour ajouter l’élément sélectionné comme ressource au catalogue de Final Cut Server.Chapitre 12 Gestion des périphériques 195 II  Catalog asset : ajoute l’élément au catalogue de Final Cut Server, tout comme le bouton Catalogue.  Get Info : ouvre une fenêtre affichant des informations sur l’élément sélectionné. Elles comprennent certaines métadonnées qui ne s’affichent pas lorsque vous consultez la ressource depuis la sous-fenêtre Assets. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « À propos des métadonnées QuickTime » à la page 168.  View Image : ouvre une fenêtre dans l’application par défaut de l’élément pour afficher l’image. Contrairement à l’élément View du menu contextuel de la sous-fenêtre Assets, vous ne pouvez afficher que les images d’origine mais pas les fichiers proxy. Dans le cas de fichiers vidéo volumineux, le processus peut prendre du temps car vous devez d’abord copier les fichiers multimédia d’origine depuis le périphérique vers la zone cache pour pouvoir les visualiser.  Export : permet d’exporter une copie locale de l’élément sélectionné. Vous pouvez sélectionner l’emplacement et le réglage de transcodage à utiliser (le cas échéant) lors de l’exportation.  Duplicate : permet de créer une copie de l’élément sélectionné sur n’importe quel périphérique Final Cut Server. La copie de l’élément n’est pas ajoutée au catalogue Final Cut Server, que l’élément d’origine se situe ou non dans le catalogue.  Delete : permet de supprimer l’élément sélectionné depuis le périphérique. Cette option supprime définitivement le fichier. Lorsque vous sélectionnez Delete, une zone de dialogue affiche la liste des éléments à supprimer, y compris les ressources du catalogue Final Cut Server si un des éléments à supprimer en fait partie. Remarque : il peut s’avérer utile de sélectionner l’option Delete pour déterminer si un élément se trouve ou non dans le catalogue Final Cut Server. Veillez cependant à ne pas supprimer d’élément par erreur.13 197 13 Gestion des réglages de transcodage Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  À propos des réglages de transcodage (p. 197)  Ajout de réglages de transcodage (p. 198)  Affectation de réglages de transcodage aux périphériques (p. 200) À propos des réglages de transcodage Les réglages de transcodage simplifient la copie de fichiers multimédia entre différents systèmes en masquant les informations complexes de codec audio et vidéo à la plupart des utilisateurs. Par exemple, si vous utilisez un périphérique pour passer en revue des ressources ou des productions, vous pouvez affecter des réglages de transcodage au périphérique. En outre, ces réglages peuvent servir à convertir la vidéo en un format plus adapté à la lecture. Les réglages de transcodage sont affectés à des périphériques de sorte que lorsque vous téléchargez ou copiez des fichiers multimédia dans un périphérique, vous pouvez sélectionner un réglage de transcodage à partir d’un menu local. Remarque : si aucun réglage de transcodage n’est affecté à un périphérique, vous ne pouvez pas effectuer de conversion lorsque vous téléchargez ou copiez des ressources dans le périphérique. Final Cut Server est proposé avec un certain nombre de réglages de transcodage préconfigurés, établis à partir des réglages de Compressor et des réglages internes de Final Cut Server. Vous pouvez également créer des réglages personnalisés dans Compressor et les intégrer aux réglages de transcodage de Final Cut Server. Toute personne configurant les réglages doit avoir les connaissances suffisantes des problè- mes de format vidéo et audio spécifiques. Pour en savoir plus, consultez la documentation relative à Compressor, accessible puis le menu Aide de Compressor.198 Partie II Administration générale La sous-fenêtre Transcode Settings de la fenêtre Administration du client Final Cut Server reprend la liste des réglages de transcodage. Ajout de réglages de transcodage Final Cut Server inclut une large gamme de réglages de transcodage. Tous les réglages de transcodage de plans sont inspirés des réglages de Compressor et la plupart des réglages de transcodage d’images sont établis à partir des réglages internes de Final Cut Server. Pour ajouter des réglages personnalisés, vous devez d’abord créer des réglages personnalisés dans Compressor. Pour en savoir plus sur la création de réglages personnalisés, consultez la documentation de Compressor accessible depuis le menu Aide de Compressor. Une fois créé un réglage personnalisé dans Compressor, vous pouvez l’ajouter à Final Cut Server. Pour ajouter un nouveau réglage de transcodage : 1 Cliquez sur le bouton Create dans la sous-fenêtre Transcode Settings. La fenêtre Transcode Settings s’ouvre alors. 2 Attribuez un nom au réglage de transcodage dans le champ Name. Cliquez sur le bouton Create pour ajouter un nouveau réglage de transcodage.Chapitre 13 Gestion des réglages de transcodage 199 II 3 Cliquez sur Parameters dans la colonne de gauche. 4 Sélectionnez le type de réglage de transcodage à créer, à partir du menu local Media Type. Ce réglage contrôle les éléments proposés dans le menu local Compressor Settings.  Si vous sélectionnez Video Clip : seuls les éléments vidéo s’affichent dans le menu local Compressor Settings.  Si vous sélectionnez Audio Clip : seuls les éléments audio s’affichent dans le menu localCompressor Settings.  Si vous sélectionnez Image : la fenêtre répertorie une série de formats d’image. 5 Sélectionnez votre réglage personnalisé dans le menu local Compressor Settings ou, s’il s’agit d’images, cliquez sur les éléments repris dans la liste Available et cliquez sur le bouton Add pour les déplacer vers la liste Selected. 6 Cliquez sur Save Changes. Le nouveau réglage de transcodage est ajouté à la sous-fenêtre Transcode Settings.200 Partie II Administration générale Affectation de réglages de transcodage aux périphériques Vous pouvez affecter des réglages de transcodage à un périphérique de deux façons : à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique des Préférences Système de Final Cut Server, ou par le biais de la fenêtre Transcode Settings. Vous disposez de deux méthodes ; cependant, la plus appropriée dépend de ce que comptez faire :  Si vous cherchez à ajouter plusieurs réglages de transcodage à un seul périphérique, il est plus rapide de modifier le périphérique à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique. Celui-ci contient la liste de tous les réglages de transcodage en regard desquels correspond une case. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Modification d’un périphérique » à la page 77. Remarque : vous ne pouvez pas modifier les périphériques Contentbase à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique.  Si vous cherchez à ajouter un seul réglage de transcodage à plusieurs périphériques, il est plus rapide de passer par la sous-fenêtre Transcode Settings de la fenêtre Administration du client, en suivant la méthode décrite ci-après. En outre, vous pouvez vous servir de la sous-fenêtre Transcode Settings pour gérer les réglages de transcodage du périphérique Export. Ce périphérique fournit la liste des réglages de transcodage parmi lesquels choisir pour l’option Export du menu contextuel qui s’affiche quand vous cliquez sur une ressource, tout en maintenant la touche Contrôle à partir du client. Le périphérique Export qui figure en premier dans la liste des périphériques proposés (décrits ci-après) est celui utilisé lors des opérations de téléchargement. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « À propos du périphérique Export » à la page 180.Chapitre 13 Gestion des réglages de transcodage 201 II Pour affecter un réglage de transcodage à un périphérique : 1 Dans la sous-fenêtre Transcode Settings de la fenêtre Administration, double-cliquez sur le réglage de transcodage à affecter aux périphériques voulus. La fenêtre Transcode Settings s’ouvre alors. 2 Cliquez sur Modify dans la colonne de gauche. La colonne Available compile la liste de tous les périphériques proposés. La colonne Selected répertorie les périphériques auxquels ce réglage de transcodage est affecté. 3 Sélectionnez des périphériques dans la liste Available et cliquez sur le bouton Add pour les ajouter à la liste Selected. 4 Tapez un chiffre dans le champ Priority pour définir l’ordre d’affichage des réglages de transcodage dans le menu local servant lorsque vous affectez ces réglages à une ressource de périphérique. Les nombres inférieurs s’affichent en priorité. La plage s’étend en général de 1 à 5, 1 apparaissant en premier. 5 Cliquez sur Parameters dans la colonne de gauche pour modifier le réglage Compressor affecté à ce réglage de transcodage. 6 Cliquez sur Save Changes pour enregistrer les affectations des réglages de transcodage.14 203 14 Gestion des automatisations Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  À propos de l’automatisation dans Final Cut Server (p. 203)  Astuces générales en matière d’automatisation (p. 205)  Sous-fenêtre et fenêtre Response (p. 207)  Sous-fenêtre et fenêtre Watcher (p. 223)  Sous-fenêtre et fenêtre Subscription (p. 226)  Sous-fenêtre et fenêtre Schedule (p. 228) À propos de l’automatisation dans Final Cut Server Configurer les fonctionnalités d’automatisation de Final Cut Server peut vous aider à optimiser votre flux de production de plusieurs façons. Deux d’entre elles sont importantes : l’envoi de messages électroniques lorsque des événements précis se produisent, comme la modification de l’état d’une ressource ou l’échec d’une tâche, et la copie automatique de ressources vers des périphériques spécifiés. Final Cut Server fournit deux méthodes de configuration de l’automatisation de votre système : l’Assistant réglages d’automatisation dans les Préférences Système de Final Cut Server et un groupe de sous-fenêtres dans la fenêtre Administration du client Final Cut Server. Utilisation de l’Assistant réglages d’automatisation L’Assistant réglages d’automatisation accessible depuis les Préférences Système de Final Cut Server constitue la méthode la plus simple pour configurer rapidement les fonctions d’automatisation les plus fréquemment utilisées. Selon le profil sélectionné lors de l’installation de Final Cut Server, des automatisations sont créées automatiquement. Il vous suffit de les personnaliser (le cas échéant) et de les activer en fonction de vos besoins. Consultez la rubrique « À propos des profils personnalisés » à la page 32 pour en savoir plus sur les profils personnalisés du programme d’installation. Consultez le chapitre 6, « Utilisation de l’Assistant réglages d’automatisation », à la page 81 pour en savoir plus sur l’usage de ces profils pour configurer vos automatisations.204 Partie II Administration générale Création d’automatisations à l’aide des sous-fenêtres de la fenêtre Administration L’utilisation des sous-fenêtres d’automatisation de la fenêtre Administration vous offre une flexibilité et une puissance maximales pour la configuration de vos automatisations. Cela rend toutefois le processus un peu plus complexe. Remarque : dans la plupart des cas, vous constaterez qu’il est plus facile d’utiliser l’Assistant réglages d’automatisation, ce dernier proposant les types d’automatisation dont vous avez besoin. Toutes les automatisations que vous configurez s’appuient sur l’une des trois opérations suivantes, dont l’objectif est de fournir des réponses au bon moment :  Dispositifs de surveillance : les dispositifs de surveillance de système de fichiers surveillent un périphérique à la recherche de changements spécifiques selon un intervalle à configurer. Quand le changement spécifié se produit, par exemple, l’ajout d’un ensemble d’images à un dossier du périphérique en question, le dispositif de surveillance produit une ou plusieurs réponses. Les réponses peuvent exécuter toute une série de fonctions. Dans notre exemple d’ajout d’un ensemble d’images fixes, les réponses peuvent transcoder les images dans un autre format, les copier sur un second périphérique et envoyer un courrier électronique à l’éditeur qui répertorie les images.  Programmations : les programmations produisent des réponses à intervalle prédé- fini. Elles servent généralement à analyser un périphérique et à y détecter des changements nécessitant une réponse. Par exemple, imaginons une programmation qui efface les entrées de la fenêtre Log tous les jours à 2 heures du matin pour recommencer à zéro tous les jours.  Abonnements : les abonnements à des métadonnées produisent des réponses d’après des opérations déterminées. Contrairement aux dispositifs de surveillance et aux programmations, les abonnements ne sont pas exécutés à intervalle prédéfini, mais réagissent directement à des événements Final Cut Server. Un abonnement peut, par exemple, surveiller la fenêtre Search All Jobs et envoyer comme réponse un courrier électronique si la tâche échoue. Chacun des types d’automatisation cités dispose d’une sous-fenêtre propre dans la fenê- tre Administration. Une sous-fenêtre Response pour la configuration des réponses utilisées par ces types d’automatisation est également prévue. Les réponses ne peuvent pas s’exécuter comme automatisation autonome ; elles sont en effet exploitées par les dispositifs de surveillance, par les programmations et par les abonnements pour que ces derniers réalisent leurs tâches en matière d’automatisation. Il existe un grand nombre de types de réponses, allant de la copie, du transcodage et de la suppression de ressources à l’envoi de courriers électroniques et à l’analyse de périphériques donnés.Chapitre 14 Gestion des automatisations 205 II Astuces générales en matière d’automatisation Les automatisations configurables pour Final Cut Server peuvent indifféremment être très simples ou très complexes. Dans les deux cas, il existe des situations à connaître car elles peuvent donner des résultats inattendus. À propos des fichiers QuickTime de référence Les fichiers QuickTime de référence sont des fichiers de données qui ne contiennent pas toutes les données mais des références aux fichiers de données proprement dits. Si vous téléchargez manuellement un fichier QuickTime de référence, une zone de dialogue vous demandant si vous voulez que Final Cut Server aplatisse le fichier (le convertisse en un fichier QuickTime autonome) avant de le télécharger dans le catalogue apparaît. Les réponses par analyse et par copie ne présentent pas cette option mais téléchargent simplement le fichier de référence sans les fichiers externes référencés. C’est la raison pour laquelle vous devez aplatir manuellement les fichiers QuickTime de référence avant d’utiliser l’automatisation pour les ajouter au catalogue Final Cut Server. Il existe toutefois une exception à ce principe : lorsque toutes les personnes susceptibles d’accéder à un fichier QuickTime de référence se connectent à un réseau de stockage SAN, comme un système Xsan. Dans ce cas, lorsqu’un utilisateur réserve ou exporte un fichier de données de référence, le fichier a accès aux fichiers de données dont le fichier de référence a besoin. À propos des projets Final Cut Pro Les fichiers de projet Final Cut Pro contiennent les chemins aux données du projet dans les fichiers. Final Cut Server localise les données du projet à l’aide des chemins de fichier stockés dans le fichier de projet Final Cut Pro. Un problème peut toutefois se présenter lorsque le projet Final Cut Pro et ses données sont déplacés de leur emplacement d’origine vers un périphérique pour lequel une réponse par analyse ou par copie est configurée de façon à télécharger automatiquement les nouveaux fichiers dans le catalogue Final Cut Server. Dans ce cas, les chemins aux fichiers, stockés dans le projet Final Cut Pro, ne pointent plus vers l’endroit où les données se trouvent. Vous pouvez corriger cela en ouvrant le projet dans Final Cut Pro après qu’il ait été déplacé et en reconnectant les fichiers de données (il se peut que cela reste facultatif car, dans certains cas, Final Cut Pro peut corriger les chemins de fichier tout seul), puis en enregistrant le projet avant d’utiliser une automatisation pour ajouter les fichiers au catalogue Final Cut Server.206 Partie II Administration générale À propos des dossiers de téléchargement Lorsque vous téléchargez manuellement un dossier contenant des fichiers de données vers le catalogue Final Cut Server, Final Cut Server traite le dossier de deux façons :  Upload the folder as a bundle : traite le dossier et son contenu comme une seule et même ressource. Vous n’avez pas accès aux différentes ressources au sein du dossier.  Upload the folder’s contents as individual assets : télécharge tous les fichiers de données qui se trouvent dans le dossier comme des ressources distinctes. Il n’est pas contrôlé s’ils se trouvaient dans un même dossier lors du téléchargement. Si vous optez pour le téléchargement du dossier et de son contenu sous la forme d’un lot, dans le périphérique qui dispose d’une automatisation (par exemple, une réponse par analyse) configurée pour surveiller l’ajout de fichiers de données, les fichiers de données du dossier risquent de s’ajouter au catalogue Final Cut Server sous la forme de ressources distinctes. Il peut se présenter ainsi, intentionnellement ou non, le risque de télécharger un dossier sous la forme d’un lot mais être toujours en mesure de manipuler les différentes ressources du lot. Si vous ne voulez pas que les différents fichiers de données soient ajoutés au catalogue, téléchargez le lot dans un périphérique sur lequel l’ajout de nouvelles ressources n’est pas analysé automatiquement. À propos des fichiers de données sans extension Dans certains cas, les automatisations deFinal Cut Server peuvent identifier, télécharger et traiter correctement les fichiers de données qui ne possèdent pas d’extension. Pour être sûr que tous les fichiers sont téléchargés et traités correctement, assurez-vous qu’ils portent une extension. Cela se justifie particulièrement si les fichiers sont téléchargés sur un périphérique FTP. Les fichiers sans extension non reconnus correctement sont téléchargés et ajoutés au catalogue Final Cut Server sous forme de ressources, mais aucune vignette ou fichier proxy dépendant n’est généré.Chapitre 14 Gestion des automatisations 207 II Sous-fenêtre et fenêtre Response La sous-fenêtre Response contient les réglages permettant de créer une grande variété d’opérations préconfigurées. Ces réponses servent aux dispositifs de surveillance, aux abonnements et aux programmations lorsque ces derniers détectent qu’une opération doit s’exécuter. Les réponses sont configurées séparément des dispositifs de surveillance, des abonnements et des programmations parce qu’une même réponse peut s’avérer nécessaire dans plusieurs situations. La sous-fenêtre Response répertorie les réponses existantes. La sous-fenêtre Response comporte les colonnes suivantes :  Name : nom de la réponse saisie à sa création.  Response Action : opération élémentaire que la réponse exécute.  Description : description saisie à la création de la réponse. La fenêtre Response apparaît lorsque vous cliquez sur le bouton Create. Les réglages repris dans la fenêtre, tout comme les éléments qui apparaissent dans la zone de gauche, dépendent de l’opération sélectionnée dans le menu local Response Action. Remarque : si vous modifiez une réponse en double-cliquant dessus dans la sous-fenêtre Response, vous ne pouvez pas modifier son réglage Response Action. Cliquez sur le bouton Duplicate pour ajouter une copie de la réponse sélectionnée. Cliquez sur le bouton Create pour ajouter une réponse. Cliquez sur Response pour afficher la sousfenêtre du même nom.208 Partie II Administration générale Opérations en réponse Ce que vous sélectionnez dans le menu local Response Action définit l’objectif principal de la réponse. Certaines opérations par réponse disposent de réglages supplémentaires pouvant être configurés dans une seconde sous-fenêtre ajoutée à la colonne de gauche. Opération en réponse Déclenchée par Description Check the disk space of the database volume Programmation Détermine l’espace disque minimal avant qu’un avertissement ne soit émis pour signaler que l’espace dédié à la base de données arrive à saturation. Clean Jobs Programmation Détermine les périodes pendant lesquelles des tâches sont archivées puis supprimées. Clean Logs Programmation Détermine les périodes pendant lesquelles des historiques sont archivés puis supprimés. Copy Dispositif de recensement ou abonnement à une ressource Copie des données vers tout périphérique Final Cut Server connecté, avec ou sans transcodage. Crée éventuellement une ressource dans Final Cut Server et vous permet de définir les métadonnées de celle-ci. Delete Dispositif de recensement ou abonnement à une ressource Supprime l’élément. Vous pouvez exécuter cette réponse même si d’autres réponses de la liste échouent. Email Dispositif de recensement ou abonnement à une ressource, à une production ou à une tâche Envoie un courrier électronique. Vous devez dans ce cas configurer les réglages des courriers électroniques (destinataire, expéditeur, sujet et message). Log Abonnement à une ressource, à une production ou à une tâche Aucune option supplémentaire. Ajoute une entrée dans l’historique. Measure database size Programmation Aucune option supplémentaire. Vous pouvez l’utiliser pour déterminer l’espace disque occupé par la base de données du catalogue (les résultats s’affichent dans la sous-fenêtre Log). Cette opération évalue uniquement l’espace de la base de données et non celui des ressources auxquelles le catalogue fait référence. Monitor Scan Dispositif de recensement Recherche certains réglages de métadonnées. Move to Archive Abonnement à une ressource Aucune option supplémentaire. Déplace les données vers le périphérique d’archivage sélectionné. Purge Subscriptions Programmation Supprime les abonnements inactifs depuis un certain nombre de jours. Read XML Dispositif de recensement Aucune option supplémentaire. Lit les données XML à partir d’un système externe. Est utilisé avec l’opération en réponse Write XML.Chapitre 14 Gestion des automatisations 209 II Restore from Archive Abonnement à une ressource Aucune option supplémentaire. Restaure les élé- ments à partir d’un périphérique d’archivage. Run an external script or command Dispositif de recensement ou abonnement à une ressource, à une production ou à une tâche Exécute un script ou une commande externe. Vous pouvez aussi définir des paramètres particuliers à appliquer au script ou à la commande. Scan Programmation Analyse le périphérique Final Cut Server spécifié. Une analyse sert à synchroniser le contenu du catalogue Final Cut Server avec les données qui se trouvent sur un périphérique. Cela s’avère nécessaire si vous comptez modifier les données du périphérique directement sans passer par Final Cut Server. Vous pouvez sélectionner le périphérique et le dossier de ce périphérique à analyser et spécifier des réglages de métadonnées. Vous pouvez aussi préciser d’autres détails relatifs à l’analyse, par exemple, s’il faut purger (c’est-à-dire supprimer) les éléments du catalogue qui sont supprimés du périphérique. Scan Productions Programmation Recherche d’éventuelles productions sur un périphérique Final Cut Server. Similaire à l’opération Scan en réponse, mais avec en outre des réglages de métadonnées de production entraînant la création d’une production avec ses ressources. Search Expired Programmation Recherche des éléments arrivés à expiration. Crée des événements d’après un champ d’horodatage (par exemple, le champ Last Accessed) et d’après une valeur précisant le nombre de jours passés qu’il faut rechercher. Peut être utilisé pour identifier les éléments à archiver. Set Asset Metadata Abonnement à une ressource Saisit des données dans les champs de métadonnées spécifiés. Vous devez sélectionner l’ensemble de métadonnées de la ressource avec les champs à modifier. Set Production Metadata Abonnement à une production Saisit des données dans les champs de métadonnées spécifiés. Vous devez sélectionner l’ensemble de métadonnées de la production avec les champs à modifier. Write XML Abonnement à une ressource ou à une production Crée un fichier XML à partir des métadonnées de la ressource. Cela permet à une personne qui utilise un système externe de modifier les métadonnées, par exemple, pour ajouter des commentaires de révision qui peuvent ensuite être réimportés dans la ressource et appliqués à cette dernière à l’aide de l’opération Read XML en réponse. Opération en réponse Déclenchée par Description210 Partie II Administration générale À propos des réponses par analyse Les réponses par analyse constituent l’un des types de réponse personnalisée les plus utilisés. Pour accéder aux réglages relatifs aux réponses par analyse : 1 Cliquez sur le bouton Create, accessible depuis la Administration, dans la sous-fenêtre Responses, pour créer une réponse. 2 Choisissez Scan dans le menu local Response Action. Cette sous-fenêtre, accessible depuis la fenêtre Réponse, comporte des réglages qui déterminent ce qu’il faut analyser, les métadonnées à appliquer aux éléments trouvés lors de l’analyse, ainsi que le mode d’analyse et les réglages qui s’y rapportent. Section Scan Source Cette section vous permet de sélectionner le périphérique à analyser et d’indiquer le dossier de ce périphérique à analyser. Sélectionnez Scan. Cliquez sur Scan pour afficher la sous-fenêtre du même nom.Chapitre 14 Gestion des automatisations 211 II Section Metadata Set Cette section vous permet de sélectionner l’ensemble de métadonnées à appliquer à toute nouvelle ressource trouvée lors de l’analyse. Les réglages sous le menu local Metadata Set vous permettent de saisir, entre autres, les descriptions et des mots-clés par défaut, à appliquer aux nouvelles ressources. Remarque : le contrôle de versions des réponses par analyse, créées à l’aide de la fenê- tre Administration du client, se définit d’après la configuration du programme d’installation de Final Cut Server. Toutefois, le contrôle de versions, pour toutes les réponses par analyse créées à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique, est désactivé, et ce quelle que soit la configuration du programme d’installation de Final Cut Server. Cela signifie que toutes les ressources et tous les projets Final Cut Pro ajoutés au catalogue Final Cut Server suite à une réponse par analyse n’effectueront pas par défaut de suivi des versions. Vous pouvez vérifier et modifier le contrôle de versions pour une réponse par analyse en sélectionnant le groupe de métadonnées Versioning (dans le menu local qui se trouve juste sous le menu local Metadata Set) et en cochant la case Version. Consultez la rubrique « Utilisation du programme d’installation de Final Cut Server » à la page 23 pour en savoir plus sur le réglage relatif au contrôle de versions du programme d’installation. Section Scan Metadata Cette section vous permet de configurer les opérations d’analyse. 212 Partie II Administration générale Cette section contient les réglages suivants :  Scan Mode : type d’opération d’analyse à effectuer.  Add Only : effectue une analyse ne localisant que les fichiers nouveaux et modifiés dont la date de création ou de modification se situe entre la date et l’heure à laquelle cette analyse fut effectuée pour la dernière fois et la date et l’heure actuelle (passe outre les nouveaux fichiers dont les date et heure de création ou de modification sont antérieures à celles de dernière analyse : par exemple, les fichiers que vous avez fait glisser vers le périphérique à partir du Finder). Le mode différentiel sert généralement dans les analyses programmées à exécuter souvent, par exemple, toutes les 5 ou 15 minutes.  Full : effectue une analyse complète qui, en plus d’ajouter les nouvelles ressources au catalogue, supprime les ressources du catalogue si elles ne se trouvent plus sur le périphérique. Le mode Full ne s’utilise généralement que sur les analyses programmées destinées à s’exécuter au plus une fois par jour ; elles sont en effet les plus détaillées et nécessitent plus de temps.  Purge Only : effectue une analyse complète se contentant de supprimer les ressources du catalogue si elles ne se trouvent plus sur le périphérique. N’ajoute pas de nouvelles ressources au catalogue. Important : il est recommandé de ne programmer de réponses par analyse différentielle que sur les périphériques pour lesquels une réponse par analyse complète est aussi programmée. De plus, vérifiez que tous les réglages des réponses par analyse différentielle et par analyse complète sont identiques.  Recursion Limit : nombre de niveaux de dossiers sur lequel l’analyse doit porter. La valeur 0 signifie qu’un nombre illimité de niveaux de sous-dossiers fait l’objet de l’analyse. La valeur 1 signifie que seul le dossier spécifié dans le menu local Scan Source est à analyser.  Background Analyze : crée les éléments de proxy de la ressource dans une tâche d’arrière-plan. Normalement, les ressources sont analysées dans des tâches d’avantplan, une à la fois. L’analyse en tâche d’arrière-plan permet d’exécuter plusieurs tâches en même temps, ce qui peut s’avérer utile mais peut aussi limiter les ressources de l’ordinateur. En général, il est recommandé de ne pas sélectionner cette option si vous ne savez pas bien comment surveiller les ressources de votre ordinateur.  Always Update : définit l’analyse de façon à ce qu’elle tente continuellement de créer des fichiers proxy pour les ressources qui n’en disposent pas encore. Ne sélectionnez pas cette option sauf si un problème est connu à l’avance avec un périphérique et si vous comptez générer des fichiers proxy à partir de ses ressources.  Purge Unfiltered Assets : définit l’analyse de façon à ce qu’elle purge les ressources qui ne répondent pas aux réglages Wildcard Include Filter et Wildcard Exclude Filter. Chapitre 14 Gestion des automatisations 213 II  Wildcard Include Filter : option permettant de définir les types de fichiers que l’analyse doit traiter. Le filtre par défaut est l’astérisque (*), correspondant au caractère de remplacement. Un seul astérisque indique que tous les fichiers doivent être traités. Si vous voulez que l’analyse ne traite que les fichiers JPEG et les fichiers de séquence QuickTime, vous pouvez remplacer l’astérisque par deux éléments : *.jpg et *.mov (ce qui signifie que tous les fichiers portant l’extension .jpg et .mov doivent être traités).  Wildcard Exclude Filter : option permettant de définir les types de fichiers que l’analyse ne doit pas traiter. Par exemple, si le dossier à analyser contient des documents PDF que vous ne voulez pas traiter ou ajouter en tant que ressources, vous pouvez saisir *.pdf (ce qui signifie que tous les fichiers portant l’extension .pdf sont exclus du traitement). Réponses par analyse créées par l’Assistant réglages de périphérique Une ou deux réponses par analyse sont créées lorsque vous configurez les réglages d’analyse d’un périphérique à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique dans les Préférences Système de Final Cut Server :  Device Scan [Full Scan] : créé lorsque vous configurez une analyse complète dans l’Assistant réglages de périphérique. Cette réponse utilise le réglage Purge du menu local Scan Mode avec un réglage Recursion Limit égal à 0 (accès aux sous-dossiers illimité).  Device Scan [Add Only] : créé lorsque vous configurez une analyse différentielle dans l’Assistant réglages de périphérique. Cette réponse utilise le réglage Add Only du menu local Scan Mode avec un réglage Recursion Limit égal à 0. À propos des productions d’analyse La réponse par analyse de production vous permet d’automatiser une grande partie de votre processus de flux de production pour l’ajout de ressources et de productions au catalogue Final Cut Server. La plupart des réglages relatifs aux réponses par analyse de production sont les mêmes que ceux des réponses par analyse. La différence réside en une section qui vous permet de spécifier des réglages de production.214 Partie II Administration générale Pour accéder aux réglages relatifs aux réponses par analyse de production : 1 Cliquez sur le bouton Create, accessible depuis la Administration, dans la sous-fenêtre Responses, pour créer une réponse. 2 Choisissez Scan Productions dans le menu local Response Action. Cette sous-fenêtre, accessible depuis la fenêtre Réponse, comporte des réglages qui déterminent ce qu’il faut analyser, les métadonnées à appliquer aux éléments trouvés lors de l’analyse, des réglages de métadonnées de production, ainsi que le mode d’analyse et les réglages qui s’y rapportent. Section Scan Source Cette section vous permet de sélectionner le périphérique à analyser et d’indiquer le dossier de ce périphérique à analyser. Cliquez sur Production Scan pour afficher la sous-fenêtre du même nom. Sélectionnez Scan Productions.Chapitre 14 Gestion des automatisations 215 II Section Metadata Set Cette section vous permet de sélectionner l’ensemble de métadonnées à appliquer à toute nouvelle ressource trouvée lors de l’analyse. Les réglages sous le menu local Metadata Set vous permettent de saisir, entre autres, les descriptions et des mots-clés par défaut, à appliquer aux nouvelles ressources. Remarque : par défaut, le contrôle de versions est activé pour toutes les réponses par analyse de production en fonction de la configuration du programme d’installation de Final Cut Server. Vous pouvez vérifier et modifier le contrôle de versions pour une réponse par analyse de production en sélectionnant le groupe de métadonnées Versioning (dans le menu local qui se trouve juste sous le menu local Metadata Set) et en cochant la case Version. Consultez la rubrique « Utilisation du programme d’installation de Final Cut Server » à la page 23 pour en savoir plus sur le réglage relatif au contrôle de versions du programme d’installation. Section Production Metadata Cette section vous permet de sélectionner l’ensemble de métadonnées à appliquer à la production. Les réglages sous le menu local Metadata Set vous permettent de saisir, entre autres, les descriptions et des mots-clés par défaut, à appliquer aux productions.216 Partie II Administration générale Le réglage de métadonnées Title, faisant partie de l’ensemble de métadonnées sélectionné, peut être utilisé de deux façons :  Pour saisir un nom spécifique à la production à utiliser. Si la production existe déjà, les nouvelles ressources y sont ajoutées. Dans le cas contraire, elle est créée avant que les ressources y soient ajoutées.  Pour utiliser le nom du dossier analysé comme nom de production. En saisissant [0] dans le champ Title, une production se crée chaque fois qu’un nouveau sous-dossier est trouvé dans le dossier analysé. Cette nouvelle production reprend alors le nom du dossier. Par exemple, imaginons que vous créez un dossier nommé Productions dans un périphérique et que vous utilisiez une automatisation programmée pour surveiller ce dossier par le biais d’une réponse par analyse de production. Chaque fois qu’une production Final Cut Server doit être créée et que des ressources doivent y être ajoutées, un utilisateur n’a alors qu’à ajouter un sous-dossier portant le nom de la nouvelle production au dossier surveillé et à copier toutes les ressources destinées à cette production dans ce nouveau sous-dossier. La réponse par analyse de production crée alors une production Final Cut Server reprenant le nom du dossier, et ajoute toutes les ressources qui se trouvent dans ce sous-dossier à la nouvelle production. Section Scan Metadata Cette section vous permet de configurer les opérations d’analyse. Chapitre 14 Gestion des automatisations 217 II Cette section contient les réglages suivants :  Scan Mode : type d’opération d’analyse à effectuer.  Add Only : effectue une analyse qui ajoute de nouvelles ressources au catalogue et qui met à jour le catalogue si des ressources ont été modifiées. Le mode différentiel sert généralement dans les analyses programmées à exécuter souvent, par exemple, toutes les 15 minutes.  Full : effectue une analyse complète qui, en plus d’ajouter les nouvelles ressources au catalogue, supprime les ressources du catalogue si elles ne se trouvent plus sur le périphérique. Le mode Full ne s’utilise généralement que sur les analyses programmées destinées à s’exécuter au plus une fois par jour ; elles sont en effet les plus détaillées et nécessitent plus de temps.  Purge Only : effectue une analyse complète se contentant de supprimer les ressources du catalogue si elles ne se trouvent plus sur le périphérique. N’ajoute pas de nouvelles ressources au catalogue.  Production Depth : profondeur des sous-dossiers ajoutés aux productions. La valeur 0 correspond au premier niveau de sous-dossiers. La valeur 1 correspond pour sa part au second niveau de sous-dossiers.  Reset Production Metadata : case permettant de remplacer les métadonnées d’une production par les nouvelles métadonnées générées à partir de cette réponse par analyse de production.  Recursion Limit : nombre de niveaux de dossiers sur lequel l’analyse doit porter lors de la recherche de ressources. La valeur 0 signifie qu’un nombre illimité de niveaux de sous-dossiers fait l’objet de l’analyse. La valeur 1 signifie que seul le dossier spécifié dans le menu local Scan Source est à analyser.  Background Analyze : crée les éléments de proxy de la ressource dans une tâche d’arrière-plan. Normalement, les ressources sont analysées dans des tâches d’avantplan, une à la fois. L’analyse en tâche d’arrière-plan permet d’exécuter plusieurs tâches en même temps, ce qui peut s’avérer utile mais peut aussi limiter les ressources de l’ordinateur. En général, il est recommandé de ne pas sélectionner cette option si vous ne savez pas bien comment surveiller les ressources de votre ordinateur.  Always Update : définit l’analyse de façon à ce qu’elle tente continuellement de créer des fichiers proxy pour les ressources qui n’en disposent pas encore. Ne sélectionnez pas cette option sauf si un problème est connu à l’avance avec un périphérique et si vous comptez générer des fichiers proxy à partir de ses ressources.  Purge Unfiltered Assets : définit l’analyse de façon à ce qu’elle purge les ressources qui ne répondent pas aux réglages Wildcard Include Filter et Wildcard Exclude Filter. 218 Partie II Administration générale  Wildcard Include Filter : option permettant de définir les types de fichiers que l’analyse doit traiter. Le filtre par défaut est l’astérisque (*), correspondant au caractère de remplacement. Un seul astérisque indique que tous les fichiers doivent être traités. Si vous voulez que l’analyse ne traite que les fichiers JPEG et les fichiers de séquence QuickTime, vous pouvez remplacer l’astérisque par deux éléments : *.jpg et *.mov (ce qui signifie que tous les fichiers portant l’extension .jpg et .mov doivent être traités).  Wildcard Exclude Filter : option permettant de définir les types de fichiers que l’analyse ne doit pas traiter. Par exemple, si le dossier à analyser contient des documents PDF que vous ne voulez pas traiter ou ajouter en tant que ressources, vous pouvez saisir *.pdf (ce qui signifie que tous les fichiers portant l’extension .pdf sont exclus du traitement). À propos des réponses par copie Les réponses par copie constituent l’un des types de réponse personnalisée les plus utilisés. Important : si le périphérique de destination contient déjà un fichier portant le même nom que celui en cours de copie, les réponses par copie n’écrasent alors pas par défaut le fichier existant mais lui attribuent une extension numérotée. Il est possible d’utiliser éventuellement le réglage Overwrite pour écraser un fichier portant le même nom. La copie vers des périphériques ContentBase dans lesquelles chaque fichier est placé dans un dossier distinct constitue toutefois une exception à ce principe. Pour accéder aux réglages relatifs aux réponses par copie : 1 Cliquez sur le bouton Create, accessible depuis la Administration, dans la sous-fenêtre Responses, pour créer une réponse. 2 Choisissez Copy dans le menu local Response Action. Cette sous-fenêtre reprend les réglages de métadonnées relatifs à la destination, au transcodage et à la destination. Réglages relatifs à la destination Choisissez le périphérique, vers lequel vous voulez copier des ressources, dans le menu local Destination. Vous pouvez aussi saisir ou sélectionner le sous-dossier dans lequel vous voulez copier la ressource. Sélectionnez Copy. Cliquez sur Copy pour afficher la sous-fenêtre du même nom.Chapitre 14 Gestion des automatisations 219 II Réglage relatif au transcodage Vous pouvez choisir n’importe lequel des réglages de transcodage affectés au périphé- rique que vous avez sélectionné comme destination. Cela s’avère pratique si vous cherchez à vous assurer que toutes les ressources qui se trouvent sur ce périphérique exploitent le même codec. Réglages de métadonnées relatifs à la destination Ces réglages définissent les métadonnées à appliquer à la ressource copiée :  Job Priority : choisissez dans le menu local la priorité de la tâche copiée.  Copy Metadata : la case « Run in parallel » permet à cette réponse de s’exécuter en même temps que d’autres réponses par copie dans un dispositif ou un abonnement. Lorsque cette case n’est pas cochée, la réponse s’exécute séquentiellement, en fonction de l’ordre établit dans le dispositif ou l’abonnement. Cochez la case Overwrite pour écraser un fichier de destination si ce dernier porte le même nom que le fichier en cours de copie. Remarque : les réponses par suppression s’exécutent toujours séquentiellement, après les réponses par copie.  Create Asset : case permettant à la ressource copiée d’être ajoutée au catalogue Final Cut Server. Cette case active les réglages de sélection Metadata Set et Production.  Metadata Set : section permettant de sélectionner l’ensemble de métadonnées à appliquer à toute nouvelle ressource trouvée lors de l’analyse. Les réglages sous le menu local Metadata Set vous permettent de saisir, entre autres, les descriptions et des mots-clés par défaut, à appliquer aux nouvelles ressources.  Production : nom de production à laquelle ajouter les ressources. Vous pouvez aussi cliquer sur Select pour rechercher la production à laquelle vous voulez ajouter les ressources.  Overwrite : option pour indiquer si vous voulez que la ressource copiée remplace un fichier existant si ce dernier porte le même nom.220 Partie II Administration générale À propos des réponses par courrier électronique Les réponses par courrier électronique sont généralement utilisées avec des dispositifs de surveillance de métadonnées qui observent le changement d’état particulier d’une ressource, par exemple, Ready for Review. Pour accéder aux réglages relatifs aux réponses par courrier électronique : 1 Cliquez sur le bouton Create, accessible depuis la Administration, dans la sous-fenêtre Responses, pour créer une réponse. 2 Choisissez Email dans le menu local Response Action. Cette sous-fenêtre comporte les réglages relatifs à la configuration du courrier électronique. Consultez « Informations détaillées sur la réponse par courrier électronique » à la page 90 pour en savoir plus sur les codes que vous pouvez saisir pour ajouter des données automatisées au courrier électronique, illustrées ci avant par le texte entre crochets ([ ]). La sous-fenêtre Email contient les réglages suivants :  To : adresse électronique à laquelle le courrier électronique est destiné. Utilisez une virgule (sans espace après) pour séparer les adresses, par exemple, rev1@apple.com,rev2@apple.com.  Sender : adresse électronique de laquelle le courrier électronique doit être envoyé. Il s’agit de l’adresse de réponse à laquelle le destinataire du courrier électronique peut envoyer un courrier électronique, le cas échéant. Si vous laissez ce champ vide, l’adresse par défaut « finalcutserver@nom_serveur » est alors utilisée.  Subject : objet du courrier électronique. Vous pouvez saisir des codes pour ajouter automatiquement certaines informations au sujet du courrier électronique.  Message : texte du corps du courrier électronique. Vous pouvez saisir des codes pour ajouter automatiquement certaines informations au courrier électronique. Cliquez sur Email pour afficher la sous-fenêtre du même nom. Sélectionnez Email.Chapitre 14 Gestion des automatisations 221 II À propos de l’exécution de scripts externes et de réponses par commandes Les scripts externes et les réponses par commandes sont pratiques lorsque vous devez exécuter des opérations d’une réponse au-delà de celles que Final Cut Server propose. Par exemple, vous pouvez créer un script qui ajoute un nouveau dossier à un périphérique chaque fois qu’une nouvelle production est créée. Vous pouvez même spécifier des paramètres pour donner au dossier le même nom que le titre de la production. Vous pouvez utiliser cette réponse pour exécuter des programmes plus élaborés que de simples scripts, à savoir pratiquement tout fichier exécutable. Pour accéder aux réglages relatifs à l’exécution d’un script externe ou d’une réponse par commandes : 1 Cliquez sur le bouton Create, accessible depuis la Administration, dans la sous-fenêtre Responses, pour créer une réponse. 2 Choisissez « Run an external script or command » dans le menu local Response Action. Cette sous-fenêtre comporte les réglages relatifs à la configuration du script à exécuter. La sous-fenêtre Run Script contient les réglages suivants :  Command Path : chemin et nom du script ou de tout autre fichier exécutable que cette réponse doit exécuter.  Command Parameters : paramètres particuliers permettant de personnaliser le script à exécuter. Par exemple, vous pouvez indiquer des codes, par exemple [Title], que le script peut utiliser. L’on retrouve un tel comportement avec les réponses par courrier électronique. Cliquez sur Run Script pour afficher la sousfenêtre du même nom. Choisissez « Run an external script or command ».222 Partie II Administration générale À propos des réponses par vérification de l’espace disque pour le volume de la base de données Les réponses par vérification de l’espace disque pour le volume de la base de données s’avèrent pratiques pour s’assurer d’être informé si la base de données du catalogue Final Cut Server manque d’espace disque. Important : cela ne s’applique qu’à la base de données du catalogue et non aux ressources stockées sur les différents périphériques. L’usage typique de cette réponse consiste à créer une programmation quotidienne pour exploiter cette réponse et vérifier ainsi l’espace disque disponible pour la base de données. La réponse écrit dans l’historique une valeur indiquant l’espace disque libre. Si cette valeur est inférieure au niveau défini dans la réponse, un avertissement est émis. Vous pouvez en outre disposer d’un abonnement qui vous prévient par courrier électronique lorsque cet avertissement se produit. Pour accéder aux réglages relatifs à la réponse par vérification de l’espace disque pour le volume de la base de données (option « Check the disk space of the database volume ») : 1 Cliquez sur le bouton Create, accessible depuis la Administration, dans la sous-fenêtre Responses, pour créer une réponse. 2 Choisissez « Check the disk space of the database volume » dans le menu local Response Action. Cette sous-fenêtre comprend les réglages suivants :  Disk space warning level : saisissez une valeur (en octets) qui définit le seuil minimal d’espace disque disponible pour la base de données du catalogue Final Cut Server. Si vous n’entrez pas de valeur, la valeur par défaut est de 500 Mo (si la valeur 0 est indiquée). Par exemple, pour définir un seuil minimal de 50 Mo, saisissez la valeur 50000000. Cliquez sur « Check Database Disk Space » pour accéder à la sous-fenêtre du même nom. Sélectionnez « Check the disk space of the database volume ».Chapitre 14 Gestion des automatisations 223 II Sous-fenêtre et fenêtre Watcher Final Cut Server propose une infrastructure de dossiers de surveillance qui détecte et traite le nouveau contenu selon des règles configurées. Les types de réponse utilisés le plus couramment avec les dispositifs de surveillance sont les copies, les suppressions, les envois de courriers électroniques et les lectures XML. La sous-fenêtre Watcher répertorie les dispositifs de surveillance existants. La sous-fenêtre Watcher comporte les colonnes suivantes :  Name : nom du dispositif saisi à sa création.  Enabled : affiche soit vrai (si le dispositif s’exécute), soit faux (s’il est arrêté).  Description : description saisie à la création du dispositif.  Monitor Address : le cas échéant, affiche le périphérique surveillé. Cliquez sur Watcher pour afficher la sous-fenêtre du même nom. Cliquez sur le bouton Create pour ajouter un dispositif.224 Partie II Administration générale La fenêtre Watcher apparaît lorsque vous cliquez sur le bouton Create. Les éléments de gauche dépendent du type de dispositif sélectionné. Vous avez le choix entre le recensement et l’abonnement.  Un dispositif de recensement vérifie le périphérique à intervalles réguliers. C’est le type de dispositif le plus fréquent.  Un dispositif de surveillance d’abonnement n’a qu’un usage interne. Remarque : si vous modifiez un dispositif de surveillance en double-cliquant dessus dans la sous-fenêtre Watcher, vous ne pouvez pas modifier son réglage Watcher Type.Chapitre 14 Gestion des automatisations 225 II Réglages relatifs aux dispositifs de surveillance de recensement Lorsque vous sélectionnez le type de dispositif de recensement, un élément Poll Watcher apparaît dans la colonne dans la partie gauche de la fenêtre. Cliquez sur Poll Watcher pour accéder aux réglages relatifs au recensement. Les réglages suivants sont proposés :  Listing frequency : fréquence de surveillance du dossier (exprimé en secondes).  Listing multiple : nombre de fois qu’un fichier doit être détecté avec le même horodatage et la même taille avant d’être considéré comme étant un nouveau fichier prêt à être traité. Cela permet d’éviter qu’un fichier en cours de copie soit traité prématurément.  Wildcard Include Filter : définit les types de fichiers que le dispositif de surveillance doit contrôler. Le filtre par défaut est l’astérisque (*), correspondant au caractère de remplacement. Un seul astérisque indique que tous les fichiers doivent être contrôlés. Si vous voulez que le dispositif de surveillance ne contrôle que les fichiers JPEG et les fichiers de séquence QuickTime, vous pouvez remplacer l’astérisque par deux éléments : *.jpg et *.mov (ce qui signifie que tous les fichiers portant l’extension .jpg et .mov doivent être contrôlés).  Wildcard Exclude Filter : option permettant de définir les types de fichiers que le dispositif de surveillance ne doit pas contrôler. Par exemple, si le dossier à traiter par le dispositif de surveillance contient des documents PDF que vous ne voulez pas contrôler, vous pouvez saisir *.pdf (ce qui signifie que tous les fichiers portant l’extension .pdf sont exclus du contrôle).226 Partie II Administration générale Sous-fenêtre et fenêtre Subscription Final Cut Server dispose d’un moteur puissant pour adapter son comportement aux besoins de chaque client. Les administrateurs peuvent créer et modifier des règles d’abonnement. Une règle d’abonnement se compose d’un événement, par exemple, le changement d’état d’une ressource, et de réponses à exécuter suite à l’événement. Les types de réponse les plus fréquemment utilisés avec les abonnements sont les copies, les suppressions, les envois de courriers électroniques, les historiques, les déplacements vers une archive, les restaurations à partir d’archives, les définitions de métadonnées et les écritures XML. La sous-fenêtre Subscription répertorie les abonnements existants. La sous-fenêtre Subscription comporte les colonnes suivantes :  Name : nom de l’abonnement saisi à sa création.  Enabled : affiche soit vrai (si l’abonnement est activé), soit faux (si l’abonnement est désactivé).  Description : description saisie à la création de l’abonnement. Cliquez sur le bouton Create pour ajouter un abonnement. Cliquez sur Subscription pour afficher la sousfenêtre du même nom.Chapitre 14 Gestion des automatisations 227 II La fenêtre Subscription apparaît lorsque vous cliquez sur le bouton Create. Les éléments de gauche dépendent du réglage « Subscribe to ». Ces options comptent parmi les suivantes :  Asset : permet de définir un abonnement qui détecte les champs de métadonnées associés à une ressource. Par exemple, vous pouvez configurer la sous-fenêtre Asset Filter (qui apparaît si vous choisissez Asset dans le menu local « Subscribe to ») pour activer cet abonnement si l’état passe à Ready for Review pour une ressource quelconque sur un périphérique donné.  Job : permet de définir un abonnement qui détecte les champs de métadonnées associés à une tâche. Par exemple, vous pouvez configurer la sous-fenêtre Job Filter (qui apparaît si vous choisissez Job dans le menu local « Subscribe to ») pour activer cet abonnement si l’état passe à FAIL pour une tâche quelconque.  Production : permet de définir un abonnement qui détecte les champs de métadonnées associés à une production. Par exemple, vous pouvez configurer la sous-fenêtre Production Filter (qui apparaît si vous choisissez Production dans le menu local « Subscribe to ») pour activer cet abonnement si l’état passe à Approved pour une production quelconque. Remarque : si vous modifiez un abonnement en double-cliquant dessus dans la sousfenêtre Subscription, vous ne pouvez pas modifier son réglage Subscribe to.228 Partie II Administration générale Sous-fenêtre et fenêtre Schedule Des événements sont programmables, par exemple, analyser la zone de stockage d’images dans une zone de contrôle toutes les 5 minutes pour s’assurer que le catalogue Final Cut Server est à jour. Une programmation sert généralement à analyser ou à répertorier un périphérique. Les réponses les plus fréquemment utilisées de façon programmées sont les réponses aux tâches d’optimisation, aux historiques d’optimisation, à la mesure de la taille des catalogues, aux abonnements de purge, à l’analyse (de tout type) et à la recherche d’éléments arrivés à expiration. La sous-fenêtre Schedule répertorie les programmations existantes. La sous-fenêtre Schedule comporte les colonnes suivantes :  Name : nom de la programmation saisie à sa création.  Enabled : affiche soit vrai (si la programmation s’exécute), soit faux (si la programmation est arrêtée).  Schedule : unité de temps élémentaire sur laquelle la programmation est basée. Quatre options sont disponibles :  weekly : vous permet de définir quand la programmation doit s’exécuter en indiquant le jour de la semaine et l’heure d’exécution dans la journée.  daily : vous permet de définir quand la programmation doit s’exécuter en indiquant l’heure d’exécution (exprimée sur 24 heures) dans la journée.  hourly : vous permet de définir quand la programmation doit s’exécuter en spécifiant les minutes de chaque heure d’exécution.  periodically : vous permet de définir quand la programmation doit s’exécuter en précisant le nombre de minutes entre deux exécutions de la programmation. Cliquez sur Schedule pour afficher la sousfenêtre du même nom. Cliquez sur le bouton Create pour ajouter une programmation.Chapitre 14 Gestion des automatisations 229 II  Day : jour de la semaine auquel la programmation s’exécute en cas de périodicité hebdomadaire (weekly). Par exemple, Monday dans la colonne Day signifie que la réponse s’exécute tous les lundis.  Hour : heure de la journée (exprimée sur 24 heures) à laquelle la programmation doit s’exécuter en cas de périodicité horaire ou journalière (respectivement, hourly ou daily). Par exemple, 15 dans la colonne Hour signifie que la réponse s’exécute à 3 h de l’après-midi.  Minute : la signification de ce nombre dépend de la périodicité sélectionnée pour la programmation :  Pour les périodicités hebdomadaire, journalière ou horaire (respectivement, weekly, daily et hourly), il s’agit des minutes de l’heure d’exécution de la programmation. Par exemple, 30 dans la colonne Minute signifie que la réponse se lance à la 30e minute de l’heure.  Pour la période periodically (programmation régulière), il s’agit du nombre de minutes entre deux exécutions de la programmation. Par exemple, 30 dans la colonne Minute signifie que la réponse s’exécute toutes les 30 minutes.  Description : description saisie à la création de la programmation. La fenêtre Schedule apparaît lorsque vous cliquez sur le bouton Create. Les éléments de la colonne de gauche dépendent de l’élément sélectionné dans le menu local Period. Les choix possibles sont Weekly, Daily, Hourly et Periodically. Remarque : si vous modifiez une programmation en double-cliquant dessus dans la sous-fenêtre Schedule, vous ne pouvez pas modifier son réglage Period.15 231 15 À propos des tâches et des historiques Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  Visualisation de l’état de Final Cut Server (p. 231)  À propos des tâches et de la fenêtre Search All Jobs (p. 232)  À propos de la sous-fenêtre Log (p. 237)  À propos de la fenêtre Log (p. 238) Visualisation de l’état de Final Cut Server Final Cut Server dispose de deux moyens pour informer de son état lorsqu’il effectue ses tâches : la fenêtre Search All Jobs et la sous-fenêtre Log. La fenêtre Search All Jobs est accessible à tous les utilisateurs à partir du menu local Server dans la fenêtre principale de Final Cut Server. Elle compile la liste des tâches que Final Cut Server propose ou en cours d’exécution. Elle permet également de relancer des tâches échouées et de visualiser les détails d’une tâche. La sous-fenêtre Log est accessible aux administrateurs uniquement, à partir de la fenê- tre Administration. La sous-fenêtre Log répertorie toutes les tâches de la fenêtre Search All Jobs, accompagnées d’autres éléments, tels que l’heure d’ouverture de la session d’un utilisateur. Ces deux fenêtres s’avèrent très utiles lors du test de nouvelles automatisations ou lorsqu’il est nécessaire de vérifier l’état général du système.232 Partie II Administration générale À propos des tâches et de la fenêtre Search All Jobs Final Cut Server exécute des tâches pour chaque sous-tâche qu’il effectue. Le nombre de tâches qui s’exécutent dépend du type d’opération lancée. Voici quelques exemples de tâches :  la copie d’un fichier d’un emplacement vers un autre lance une tâche ;  la création d’une ressource exécute des tâches pour effectuer la copie initiale, créer la ressource et ses métadonnées, puis créer une vignette, une affiche et les proxys du plan ;  l’analyse lance plusieurs tâches pour créer la vignette et l’affiche, puis parcourir les proxys. Chaque tâche crée également dans des historiques plusieurs entrées pour chaque étape de l’opération. Si vous souhaitez contrôler ce que Final Cut Server manipule, ouvrez simplement la fenêtre Search All Jobs. Vous pouvez alors y rechercher des tâches spécifiques, puis consulter les détails d’une tâche en particulier. Vous pouvez configurer un abonnement afin que celui-ci vous envoie un courrier électronique chaque fois qu’une de vos tâches échoue. Important : Final Cut Server comporte une programmation intitulée Scheduled Maintenance qui efface le contenu de la fenêtre Search All Jobs une fois par jour. Vous pouvez modifier cette programmation pour répondre au mieux à vos besoins. Ouverture de la fenêtre Search All Jobs La fenêtre Search All Jobs contient un historique détaillé des tâches effectuées par Final Cut Server. Pour accéder à l’historique des tâches exécutées (jusqu’à présent) : m Choisissez Search All Jobs dans le menu local Server (celui qui apparaît dans la fenêtre principale de Final Cut Server lorsque vous cliquez sur le bouton Server). Cliquez sur le bouton Server et choisissez Search All Jobs dans le menu local.Chapitre 15 À propos des tâches et des historiques 233 II La fenêtre Search All Jobs apparaît. Les définitions de progression et d’état possibles sont les suivantes : La fenêtre Search All Jobs comporte d’autres champs :  Title : détails de la tâche.  Owner : nom de l’utilisateur chargé d’effectuer la tâche.  From Device : périphérique source, dans le cas d’une copie.  To Device : périphérique de destination, dans le cas d’une copie.  Updated : date et heure de la dernière actualisation de l’état.  Job Type : Copy correspond au seul type de tâche affiché dans la fenêtre Search All Jobs. Progression État Description Barre verte sur toute la largeur DONE La tâche s’est correctement effectuée (remarque : certaines tâches se décomposent en étapes, par exemple, le téléchargement simultané de plusieurs fichiers se décompose en fichiers). Barre verte progressive RUN Tâche en cours d’exécution. Champ vide ou texte RUN Tâche en cours d’exécution. Champ vide WAIT La tâche est en attente d’une entrée utilisateur ou d’une place dans la file d’attente. Barre rouge sur toute la largeur FAIL La tâche a échoué suite à une erreur.234 Partie II Administration générale Recherche de tâches La fonction de recherche de la fenêtre Search All Jobs opère de la même manière que les autres fonctions de recherche dans Final Cut Server : vous pouvez rechercher par nom ou ouvrir le triangle d’affichage et lancer une recherche à l’aide des paramètres de recherche avancée. Voici des exemples de recherche les plus fréquentes :  Your own jobs : il s’agit d’une simple recherche de votre nom d’utilisateur ou d’une recherche avancée de votre nom d’utilisateur à l’aide du champ et du menu local Owner.  Failed jobs : il s’agit d’une recherche simple d’échecs (« fail ») ou d’une recherche avancée de la valeur « fail » à l’aide du champ et du menu local Status.  Jobs to or from particular device : il s’agit d’une recherche avancée à l’aide des champs et des menus locaux From Device et To Device.Chapitre 15 À propos des tâches et des historiques 235 II Diagnostic de problème à l’aide de la fenêtre Search All Jobs En plus de suivre les tâches que Final Cut Server exécute, cette fenêtre vous offre la possibilité de visualiser les détails de chaque étape d’une tâche et de diagnostiquer les problèmes. Pour diagnostiquer un problème à l’aide de la fenêtre Search All Jobs : 1 Double-cliquez sur la tâche en échec ou inactive que vous souhaitez diagnostiquer à partir de la fenêtre Search All Jobs. Dans la fenêtre qui apparaît, vous pouvez afficher les métadonnées de la tâche (dans deux sous-fenêtres : Job Details et Job Copy Params) ou de visualiser la tâche telle qu’elle se présente dans la sous-fenêtre Log de la fenêtre Administration. 2 Cliquez sur Metadata (dans la partie supérieure de la fenêtre), puis sur Job Details dans la colonne de gauche pour afficher la sous-fenêtre Job Details. La sous-fenêtre Job Details affiche tous les détails de la tâche, incluant un identifiant de tâche unique, le type de tâche et des instructions de tâche spécifiques. Le dernier élément affiche un message d’erreur associé à cette tâche.236 Partie II Administration générale 3 Cliquez sur Job Copy Params dans la colonne de gauche. La sous-fenêtre Job Copy Params affiche des paramètres spécifiques à la copie. Remarque : si la tâche est une copie sans transcodage, aucun paramètre ne s’affiche. 4 Cliquez sur Logs dans la partie supérieure de la fenêtre. La sous-fenêtre Logs affiche des détails pour chaque étape de la tâche, tout comme les détails de l’étape s’affichent dans la sous-fenêtre Log de la fenêtre Administration. Le message ERROR dans la colonne Detail explique les raisons de l’échec de la tâche. À l’aide de ces informations, vous pouvez corriger le problème, puis réexécuter la tâche. Vous avez la possibilité de double-cliquer sur une entrée pour l’ouvrir dans une fenêtre distincte, ce qui peut faciliter la visualisation des détails. Les tâches peuvent échouer pour diverses raisons telles qu’un fichier source endommagé, des problèmes réseau ou un périphérique indisponible. Il peut s’agir aussi de problèmes sur le périphérique source ou cible, tels que les limitations de ressources ou un codec non pris en charge.Chapitre 15 À propos des tâches et des historiques 237 II Nouvelle tentative d’exécution de tâches échouées Lorsqu’une tâche échoue temporairement, elle est réexécutée automatiquement. Vous pouvez définir le nombre de nouvelles tentatives pour une tâche échouée, ainsi que la durée entre les essais dans la sous-fenêtre General des Préférences Système de Final Cut Server et dans la sous-fenêtre Preferences de la fenêtre Administration. Pour en savoir plus, consultez les rubriques « Réglages de la sous-fenêtre General » à la page 42 et « Réglages de préférences dans la fenêtre Administration du client Final Cut Server » à la page 119. Vous pouvez aussi réexécuter la tâche manuellement. Pour réexécuter une tâche échouée : m Cliquez sur la tâche tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Retry dans le menu contextuel. Important : seule la personne à l’origine d’une tâche ou l’administrateur peut réexécuter la tâche en question. En outre, il est impossible de réexécuter des tâches en échec permanent. À propos de la sous-fenêtre Log La sous-fenêtre Log de la fenêtre Administration répertorie les événements Final Cut Server, ce qui peut être utile lorsque vous tentez de vérifier quelles automatisations s’exécutent correctement ou quels utilisateurs ont ouvert une session. L’historique contient généralement un grand nombre d’entrées ; c’est pourquoi il est très utile d’employer la fonction de recherche pour retrouver les informations dont vous avez besoin. Par exemple, vous pouvez saisir un nom d’utilisateur afin de répertorier toutes les tâches achevées par cette personne. Vous pouvez cliquer tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée sur une tâche en échec, puis sélectionner Retry dans le menu contextuel pour réexécuter la tâche.238 Partie II Administration générale Important : Final Cut Server comporte une programmation intitulée Scheduled Maintenance qui efface le contenu de la fenêtre Log une fois par jour. Vous pouvez modifier cette programmation pour répondre au mieux à vos besoins. La sous-fenêtre Log comporte les colonnes suivantes :  Timestamp : date et heure auxquelles l’entrée a été enregistrée dans l’historique ;  Summary : résumé de l’entrée dans l’historique ;  Detail : détails de l’entrée dans l’historique ;  Username : utilisateur dont la session est ouverte au moment où l’entrée est créée ;  Job : si l’entrée dans l’historique est produite à la suite d’une tâche, l’identifiant de la tâche s’affiche. Vous pouvez trouver davantage d’informations sur le problème en recherchant les détails de la tâche ;  Status : état de l’entrée dans l’historique, généralement l’état de la tâche associée à l’heure de l’entrée ;  Log Type : type d’opération consignée ;  Log Asset ID : identifiant global unique (GUID) ou identifiant de toute ressource associée à l’événement. À propos de la fenêtre Log Vous pouvez double-cliquer sur tout élément répertorié dans la sous-fenêtre Log pour visualiser de plus amples détails dans la fenêtre Log. Cliquez sur Log pour ouvrir la sous-fenêtre du même nom. 239 Glossaire Glossaire Abonnement Un abonnement est un type d’automatisation de Final Cut Server qui s’exécute en cas de modification particulière de métadonnées. Par exemple, un abonnement génère une réponse par courrier électronique lorsqu’une ressource passe à l’état Ready ou Review. Voir aussi Automatisation ; Réponse ; Abonnement ; Dispositif de surveillance. Administration, fenêtre La fenêtre Administration, accessible depuis le client Final Cut Server par les utilisateurs bénéficiant d’autorisations d’accès administrateur, permet de contrôler de nombreux aspects de votre système Final Cut Server. Elle comporte des sous-fenêtres pour configurer les réglages des préférences, pour l’automatisation, les périphériques et les métadonnées. Vous pouvez également utiliser les réglages relatifs aux métadonnées dans la fenêtre Administration afin de personnaliser les options et les informations affichées aux utilisateurs de Final Cut Server. AFP AFP (Apple Filing Protocol) est un protocole réseau pris en charge par les ordinateurs Macintosh. Analyser Final Cut Server analyse les ressources dans le but de créer des proxys et en extraire des métadonnées. Voir aussi proxy ; Edit proxy. Archiver Une fois qu’une production ou un projet est terminé, vous pouvez utiliser la fonction d’archivage pour déplacer les ressources de leur périphérique vers un périphé- rique d’archivage, tel qu’un lecteur FireWire, un lecteur plus lent mais de grande capacité ou tout autre volume pour lequel l’espace disque ne présente pas un problème. Les ressources restent à l’état inactif dans le catalogue Final Cut Server. Elles peuvent être restaurées ultérieurement si nécessaire. Assistant réglages d’automatisation Les Préférences Système de Final Cut Server comportent une sous-fenêtre Automation pour la gestion des automatisations les plus fréquentes. Cette sous-fenêtre fait appel à l’Assistant réglages d’automatisation pour créer et modifier des automatisations. En général, il est plus facile de créer des automatisations à l’aide de l’Assistant réglages d’automatisation que d’utiliser la fenêtre Administration du client. Toutefois, cette dernière permet de créer des automatisations extrêmement personnalisées à travers des réglages qui ne sont pas proposés dans l’Assistant réglages d’automatisation. Voir aussi Administration, fenêtre ; Automatisation.240 Glossaire Assistant réglages de périphérique Les Préférences Système de Final Cut Server comporte une sous-fenêtre Devices pour la gestion des types de périphériques les plus courants. Cette sous-fenêtre fait appel à l’Assistant réglages de périphérique pour créer et modifier des périphériques. En général, il est plus facile de créer des périphériques à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique que d’utiliser la fenêtre Administration du client, d’autant que vous pouvez configurer des réponses par analyse en même temps. Toutefois, cette dernières permet de créer des périphériques plus personnalisés, avec des réglages qui ne sont pas proposés dans l’Assistant réglages de périphérique. Voir aussi Administration, fenêtre ; Périphérique. Automatisation Final Cut Server prend en charge un grand nombre de fonctionnalités d’automatisation, ce qui permet de configurer Final Cut Server pour l’automatisation de nombreuses sous-tâches. Il existe trois types d’automatisation : les dispositifs de surveillance, les abonnements et les programmations. Chacune de ces automatisations génère des réponses lorsqu’un événement se produit. Voir aussi Dispositif de surveillance ; Abonnement ; Programmation ; Réponse. Cache Pour utiliser une ressource du catalogue Final Cut Server, l’ordinateur client doit posséder une copie locale de la ressource. Final Cut Server conserve une zone de cache sur l’ordinateur client pour stocker les copies locales des ressources. Vous pouvez définir l’emplacement et la taille du cache dans la fenêtre Préférences du client. Client Un utilisateur communique avec le catalogue Final Cut Server par le biais d’un client Final Cut Server. Les clients Final Cut Server sont des applications Java qui peuvent s’exécuter sur des ordinateurs fonctionnant sous le système d’exploitation Mac OS X, Windows XP ou Windows Vista. Un système Final Cut Server peut prendre en charge plusieurs clients qui s’exécutent simultanément. Pour cela, deux licences sont proposées : l’une prenant en charge jusqu’à 10 clients, l’autre acceptant un nombre illimité de clients. Codec Apple ProRes 422 Lorsque vous téléchargez un projet Final Cut Pro, Final Cut Server peut, le cas échéant, créer une version Edit Proxy des données vidéo du projet par le biais du codec Apple ProRes 422. Ce codec fonctionne avec les normes vidéo HD (haute définition) et SD (définition standard), ce qui réduit significativement la taille des fichiers et la bande passante requise. Il est particulièrement utile lorsque votre support d’origine correspond à une vidéo sans compression. Lorsque vous exportez ou réservez l’usage d’un projet Final Cut Pro, vous pouvez utiliser le support vidéo d’origine ou les copies Edit Proxy les plus efficaces qui exploitent le codec Apple ProRes 422. Voir aussi Edit proxy. Contentbase Contentbase est un système de fichiers propre à Final Cut Server, qui place chaque ressource dans un dossier unique. L’avantage de ce système est qu’il n’y a aucun risque d’écraser des fichiers portant le même nom. Pour utiliser le stockage de fichiers Contentbase, Final Cut Server requiert les périphériques Proxies et Version. Glossaire 241 Dispositif de surveillance Un dispositif de surveillance est un type d’automatisation de Final Cut Server qui contrôle continuellement un périphérique spécifique et génère une réponse chaque fois qu’une ressource apparaît. Un exemple de cette opération consiste à surveiller un dossier dans lequel le service graphisme ajoute de nouvelles images. Lorsqu’une nouvelle image apparaît, le dispositif de surveillance la copie sur un périphérique, l’ajoute au catalogue Final Cut Server, puis envoie un courrier électronique à l’éditeur. Voir aussi Automatisation ; Réponse ; Programmation ; Abonnement. Edit proxy Les ressources liées à un projet Final Cut Pro téléchargé peuvent éventuellement (en s’appuyant sur un réglage issue des préférences) entraîner la création de fichiers proxy particuliers au cours de leur analyse. Ces fichiers proxy exploitent le codec Apple ProRes 422. Lorsque vous réservez l’usage du projet ou l’exportez, vous pouvez indiquer si vous souhaitez l’exporter avec ces fichiers Edit proxy ou avec ses données d’origine. Voir Analyser ; Codec Apple ProRes 422 ; Proxy. Éléments Les projets Final Cut Pro contiennent une liste d’éléments. La liste d’éléments affiche les connexions que le fichier de projet gère avec ses ressources de données liées. Les éléments Final Cut Pro peuvent comporter des fichiers de données et des séquences Final Cut Pro. Ensembles d’autorisations Les ensembles d’autorisations servent à définir la façon dont un groupe d’utilisateurs peut communiquer avec le catalogue Final Cut Server. Par exemple, vous pouvez créer un groupe d’utilisateurs qui passe en revue des ressources, puis appliquer un ensemble d’autorisations qui empêche ces utilisateurs de supprimer les ressources. Filesystem Système de fichiers le plus courant, utilisé pour tout périphérique installé en local sur l’ordinateur serveur de Final Cut Server ou monté par celui-ci. Le système de fichiers peut être de type AFP, Xsan, NFS ou SMB. Voir aussi AFP ; NFS ; SMB ; Xsan. FTP FTP (File Transfer Protocol) est un protocole d’échange de fichiers sur des réseaux qui prennent en charge le protocole TCP/IP. Groupes Pour accéder au catalogue Final Cut Server, les utilisateurs doivent appartenir à un groupe possédant un ensemble d’autorisations Final Cut Server qui lui est affecté. Les groupes peuvent être créés localement sur le serveur ou provenir d’une liste Open Directory. Voir Ensembles d’autorisations ; Utilisateurs.242 Glossaire Métadonnées Chaque fichier contient un minimum de métadonnées, telles que son type, sa taille, son nom et sa date de création. En ajoutant des fichiers au catalogue Final Cut Server, il s’avère pratique d’ajouter des champs de métadonnées pour le tri ou la localisation de ressources particulières. Le pilier de Final Cut Server est sa capacité à manipuler des métadonnées. L’application propose de nombreux modules pour ajouter des métadonnées à vos ressources, soit à l’aide des champs de métadonnées qu’il fournit, soit à l’aide des champs personnalisés créés pour des besoins particuliers. Ceux-ci comprennent des éléments tels que des mots-clés, des réglages d’état et des descriptions. Chaque ressource ou production se voit attribuée un ensemble de métadonnées, lequel se compose de groupes de métadonnées, chacun d’eux contenant des champs de métadonnées. Voir aussi Ressource ; Production. Montage à la volée Pour utiliser une ressource du catalogue Final Cut Server, l’ordinateur client doit habituellement posséder une copie locale de la ressource. Une exception à cette règle : cela ne s’applique pas si le périphérique qui contient la ressource est configuré en tant que périphérique de montage à la volée et que l’ordinateur client l’a monté en tant que volume. L’exemple le plus courant s’illustre dans un système Xsan puisqu’il prend en charge une bande passante de données suffisamment élevée pour transférer des données vidéo en temps réel. Voir aussi SAN ; Xsan. NFS NFS (Network File System) est un système de fichiers servant généralement utilisé par un client pour accéder à des fichiers à travers un réseau. Périphérique Dans Final Cut Server, les périphériques sont des emplacements de stockage que vous définissez et configurez. Il peut s’agir de dossiers dans un volume local sur l’ordinateur serveur, de volumes réseau ou de dossiers d’un volume Xsan. Production Pour faciliter l’organisation des ressources dans votre catalogue Final Cut Server, vous pouvez créer des productions. Chaque production peut contenir des ressources. En outre, une ressource peut appartenir à plusieurs productions. Vous pouvez posséder une production qui contient tous les fichiers de l’un de vos clients et une autre qui comporte uniquement les fichiers que ce client utilise dans un épisode ou une publicité spécifique. Voir aussi Ressource ; Métadonnées. Programmation Une programmation est un type d’automatisation de Final Cut Server qui s’exécute à des heures prédéfinies et génère des réponses. Par exemple, une programmation peut analyser un périphérique une fois par jour afin de mettre à jour ses entrées dans le catalogue. Voir aussi Automatisation ; Réponse ; Abonnement ; Dispositif de surveillance.Glossaire 243 Proxy En raison de leur volume important, les fichiers d’images et de vidéo peuvent être très difficiles à manipuler. Final Cut Server crée automatiquement des fichiers proxy en faible résolution au cours du processus d’analyse lorsque vous ajoutez des ressources à son catalogue. Ces fichiers proxy sont de taille réduite, ce qui facilite leur utilisation. Ils peuvent substituer les fichiers d’origine lors des opérations de passage en revue et de montage. Voir Analyser ; Edit proxy. Référence Les champs de métadonnées peuvent s’appuyer sur un ensemble complet de méthodes d’entrée de données. Une référence correspond à un menu local limitant l’utilisateur à sélectionner les données dans une liste d’éléments fournie. Réglages de transcodage Final Cut Server utilise les réglages de transcodage pour convertir une ressource de son codec actuel vers un autre. Le plus souvent, les réglages de transcodage permettent de convertir une ressource dans un format plus maniable ou plus facile à lire. Les réglages de transcodage pour les ressources vidéo et audio proviennent de Compressor (installé sur le serveur). Les réglages de transcodage pour les images sont internes à Final Cut Server. Réponse Toutes les automatisations Final Cut Server génèrent des réponses qui satisfont à leurs critères. Il existe un grand nombre de réponses configurables, telles que l’analyse d’un périphérique, l’envoi d’un courrier électronique à un utilisateur ou la copie d’une ressource sur un périphérique. Voir Automatisation. Représentation principale Il s’agit du fichier de données d’origine téléchargé dans Final Cut Server. Ressource Chaque élément d’un catalogue Final Cut Server est une ressource, que ce soit un fichier de données, un document PDF ou un dossier enregistré en tant que lot. Toutes les ressources sont stockées sur des périphériques Final Cut Server et peuvent s’intégrer dans des productions de Final Cut Server. Final Cut Server permet d’ajouter une grande variété de métadonnées à chaque ressource. Voir aussi Périphérique ; Métadonnées ; Production. SAN Un SAN (Storage Area Network, réseau de stockage) permet à plusieurs ordinateurs de se connecter à un périphérique de stockage comme s’il s’agissait d’un périphérique branché en local. Vous pouvez ainsi utiliser les données du périphérique de stockage comme si elles résidaient sur un disque dur local. Voir aussi Montage à la volée ; Xsan. SMB SMB (server message block) est un protocole réseau principalement utilisé par les ordinateurs Windows. Il est souvent appelé Réseau Microsoft Windows. Tâches Toute opération effectuée par Final Cut Server sur une ressource est une tâche. Ces opérations peuvent comprendre l’envoi par téléchargement, la réception par télé- chargement, la copie et le transcodage d’une ressource.244 Glossaire Utilisateurs Une personne qui cherche à se connecter au catalogue Final Cut Server doit posséder un compte utilisateur sur le serveur. Ce compte utilisateur doit faire partie d’un groupe détenant un ensemble d’autorisations Final Cut Server qui lui est affecté. Voir Groupes ; Ensemble d’autorisations. version Final Cut Server peut conserver des versions des ressources sélectionnées. Il est ainsi possible de restaurer une copie antérieure au besoin. Si vous réservez une ressource du catalogue Final Cut Server, la modifiez puis la réintégrez au catalogue, Final Cut Server copie tout d’abord la version actuelle sur le périphérique Version, puis la nouvelle version à l’emplacement de l’actuelle. Xsan Un réseau de stockage (SAN) Apple Xsan correspond à un périphérique fournissant un accès rapide aux fichiers de données. Les périphériques Xsan prennent en charge la fonction de montage à la volée lorsque vous êtes connecté à travers un réseau Fibre Channel. Voir Montage à la volée. 245 Index Index A abonnements à propos 81, 204 créés par le programme d’installation 82 administration fonctions client accessibles uniquement par l’administrateur 127 introduction 18 vue d’ensemble 111–116 Administration, fenêtre ajout de groupes 130 astérisques 119 ouverture 116 Permission Set, sous-fenêtre 132–139 Préférences, sous-fenêtre 119–125 recherche 118 redémarrage du client 119 utilisation 117–119 affiches 124 aide, utilisation à l’écran 8 alias 126 alias de fichier 126 analyse manuelle de ressources 127 analyses complètes 70 analyses différentielles 70 Analyze, réglages de la sous-fenêtre des préférences 124 annulation de réservation ou de verrouillage 127 Apple Qmaster, création d’un QuickCluster 36 assistance AppleCare 10 Assistant réglages d’automatisation informations détaillées sur la réponse par archivage 92 informations détaillées sur la réponse par copie 89 informations détaillées sur la réponse par courrier électronique 90 informations détaillées sur la réponse par suppression 93 informations détaillées sur le dispositif de surveillance d’abonnement aux métadonnées 87 informations détaillées sur le dispositif de surveillance de système de fichiers 86 introduction 81 modification d’une automatisation 93 suppression d’une automatisation 94 Assistant réglages de périphérique AFP, réglages 73 ajout de périphériques à l’aide de 66–72 avantages et inconvénients 64, 172 modification des réglages de périphérique 77 NFS, réglages 74 réglages d’analyse 70 réglages de périphérique local 72 réglages de périphérique réseau 73 réglages de périphérique Xsan 76 réglages de transcodage 72 réglages FTP 75 réponses par analyse créées 213 SMB/CIFS, réglages 73 suppression de périphériques 78 astérisques 119 Automations, sous-fenêtre actualisation 83 présentation 46 utilisation 81–94 automatisations à propos 203–204 à propos des sous-fenêtres Administration 204 astuces générales 205–206 extensions de fichier 206 fichiers QuickTime de référence 205 par défaut, créées par le programme d’installation 82 projets Final Cut Pro 205 téléchargement de lots et de dossiers 206 autorisations de périphérique à propos 138 réglage 138 autorisations de trait à propos 137 réglage 138 B Backup, sous-fenêtre configuration 98246 Index présentation 47 C cache à propos 240 emplacements par défaut 126 préférences 126 catalogue à propos de la sauvegarde 96 restauration 101 sauvegarde 98 vérification de l’espace disque disponible 222 champs de métadonnées ajout ou modification 146 réglages 147–149 types de données 149 clients à propos 13 codecs 103 fichiers créés 107 installation 103–107 introduction 103 Java Web Start 104 ordinateurs Windows 103 codec Apple ProRes 422 240 Compressor ajout de réglages de transcodage à Final Cut Server 198 configuration de grappe de serveurs 34–37 création d’un QuickCluster 36 grappe de serveurs This Computer 35, 121 installation avec Final Cut Server 7, 34–37 mots de passe de grappe de serveurs 121 Préférences, réglages de la sous-fenêtre 121 Comptes, sous-fenêtre création d’utilisateurs 53 création d’utilisateurs et de groupes, à propos de l’utilisation 51–55 création de groupes 54 Contentbase, périphériques 182 contrôle des versions 29 D Devices, sous-fenêtre actualisation de la liste de périphériques 68 présentation 45 utilisation 63–79 dispositifs de surveillance à propos 81, 204 créés par le programme d’installation 82 dossiers, téléchargement par le biais d’automatisations 206 E edit proxies activation dans la fenêtre Administration 122 activation dans le programme d’installation 30 modalités d’utilisation 30 emplacement des données de production 29 emplacement des données de proxy 29 ensembles d’autorisations affichage 133 à propos d’admin 134 autorisations de périphérique 138 autorisations de trait 137 création 134 par défaut 60, 132 priorité 60, 134 réglages 135 réglages relatifs aux métadonnées 135 ensembles de métadonnées ajout ou modification 162 réglages 163 exécution de scripts externes et réponses par commandes 221 Export, périphérique 180 extensions de fichier et automatisations 206 F fichier finalcutserver.jnlp 107 fichiers QuickTime de référence 205 Filesystem, périphériques 188 Final Cut Server aide 8 arrêt et démarrage 43 configuration de l’interface utilisateur 165–168 configuration requise 15 documentation imprimée 8 enregistrement 39, 43 groupes, ajout 58, 130–131 installation de clients 103–107 introduction aux clients 103 introduction aux Préférences Système 41 introduction aux tâches d’administration 18 manuels consultables à l’écran 8 mise à niveau de la licence 38, 43 numéro de série 27 profils personnalisés 32–34 programme d’installation, démarrage 23–32 sauvegarde 95 sites web 9 stratégie en matière de stockage 16–17 visualisation de l’état 231 vue d’ensemble de l’installation 21 G General, réglages de la sous-fenêtre 42 Gestionnaire de groupe de travail 55–58 ajout d’utilisateurs aux groupes 57 création d’utilisateurs 56Index 247 création de groupes 56 Global Preferences, réglages de la sous-fenêtre 120 groupes de métadonnées ajout ou modification 151 modification 165 priorité sur les propriétés des champs 154 réglages 152 utilisation pour la configuration de présentations 167 utilisation pour la configuration de recherches 166 groupes et utilisateurs ajout de groupes à Final Cut Server 58, 130–131 à propos 49–51 Comptes, création d’utilisateurs à partir de la sous-fenêtre 53 Comptes, création de groupes dans la sousfenêtre 54 Comptes, utilisation de la sous-fenêtre 51–55 création d’utilisateurs par le biais du Gestionnaire de groupe de travail 56 création de groupes par le biais du Gestionnaire de groupe de travail 56 Gestionnaire de groupe de travail 55–58 Group Permissions, sous-fenêtre 58 Administration, fenêtre 130 présentation 44 I installation activer les Edit Proxies 30 catalogue du périphérique Media 30 clients 104 contrôle des versions 29 démarrage du programme d’installation 23–32 emplacements des données de production et de proxy 29 mise à jour de Mac OS X et QuickTime 24 mise à niveau de Mac OS X 10.4 24 numéro de série 27 profils personnalisés 32–34 serveur de messagerie 29 vue d’ensemble 21 interface utilisateur, configuration à l’aide de métadonnées 165–168 J Java Web Start 104 confiance 105 fichiers créés 107 L Log, fenêtre 238 Log, sous-fenêtre 237–238 Lookup, sous-fenêtre 158 lots, téléchargement par le biais d’automatisations 206 M mappages de métadonnées ajout ou modification 156 réglages 157 Metadata Field, sous-fenêtre 145 Metadata Group, sous-fenêtre 150 Metadata Map, sous-fenêtre 155 Metadata Sets, sous-fenêtre 162 métadonnées à propos 242 autres utilisations 144 champs, ajout ou modification 146 champs, à propos 144–149 configuration de l’interface utilisateur 165–168 ensembles, ajout ou modification 162 ensembles, à propos 161–163 groupes, ajout ou modification 151 groupes, à propos 149–154 insertion de champs dans les réponses par courrier électronique 91 introduction 141–144 mappage, à propos 155–157 mappages, ajout ou modification 156 QuickTime 168 références, ajout ou modification 159 références, à propos 157–161 règles de synchronisation 163 relations entre les sous-fenêtres 143 métadonnées dynamiques 168 métadonnées QuickTime 168 montage à la volée 17, 180–182 P périphérique AFP à propos 66 Assistant réglages de périphérique, réglages 73 périphérique Archive configuration 179 et périphériques Contentbase 179 et versions 179 périphérique archive configuration à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique 69 périphérique Edit Proxies à propos 123 configuration 177 modification 122 périphérique FTP 66 Assistant réglages de périphérique, réglages 75 lots et dossiers 76 périphérique Library 65 périphérique local248 Index à propos 66 Assistant réglages de périphérique, réglages 72 périphérique Media à propos 65 configuration du programme d’installation 30 périphérique NFS à propos 66 Assistant réglages de périphérique, réglages 74 périphérique Proxies à propos 122 configuration 177 modification 122 périphérique réseau, Assistant réglages de périphérique, réglages 73 périphériques affectation de réglages de transcodage 200 ajout à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique 66–72 ajout par le biais de la fenêtre Administration 173–175 à propos de l’exportation 180 à propos de la création 64 Archive, configuration 179 archive, configuration à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique 69 Contentbase, à propos 182 créés par défaut par le programme d’installation 65 Edit Proxies, configuration 177 et disque de démarrage 173 Filesystem, à propos 188 introduction 16, 171 Library 65 Media 65 modification par le biais de la fenêtre Administration 176 montage à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique 77 montage à la volée 17, 180–182 Proxies, configuration 177 recherche 191 sauvegarde 96 serveur FTP, à propos 184 suppression à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique 78 suppression par le biais de la fenêtre Administration 176 types 182–191 vérifcation des réglages 173 Version, configuration 178 Watchers 65 périphériques Contentbase et proxys 122 Préférences Système, et 64 périphériques de serveur FTP 184 périphérique SMB/CIFS Assistant réglages de périphérique, réglages 73 périphérique Version, configuration 178 périphérique Watchers 65 périphérique Xsan à propos 66 Assistant réglages de périphérique, réglages 76 Permission Set, sous-fenêtre 132–139 Préférences, sous-fenêtre 119–125 Analyze, réglages 124 Global Preferences, réglages 120 réglages de Compressor 121 réglages de proxy 121 Version Control, réglages 123 préférences d’alias 126 préférences de recherche 126 Préférences Système ajout de groupes 58 Assistant réglages de périphérique 66–72 Automations, sous-fenêtre 81–94 Backup, sous-fenêtre 98 bouton illustré par un point d’interrogation 42 Devices, sous-fenêtre 63–79 General, réglages de la sous-fenêtre 42 Group Permissions, sous-fenêtre 58 introduction 41 serveur de messagerie 43 verrouillage et déverrouillage 42 vue d’ensemble 113–115 prise en charge Unicode 128 profils à propos 32–34 ensembles de métadonnées de production 33 profils personnalisés à propos 32–34 ensembles de métadonnées de production 33 programmations 204 programme d’installation automatisations créées 82 périphériques créés 65 projets Final Cut Pro et automatisations 205 proxys configuration 124 Préférences, réglages de la sous-fenêtre 121 R recherche de périphériques 191 références 157–161 ajout ou modification 159 réglages 160 types de données 160 réglages d’analyse analyses complètes 70 analyses différentielles 70 à propos 67 Assistant réglages de périphérique 70Index 249 réglages des préférences Administration, fenêtre 119–125 personnalisables 125 recherche 126 réglages de cache et d’alias 126 réglages de transcodage affectation aux périphériques 200 ajout depuis Compressor 198 à propos 67, 197 Assistant réglages de périphérique 72 proxys 124 Réponse, sous-fenêtre et fenêtre 207–222 réponse par analyse à propos 210 fichiers QuickTime de référence 205 types (modes) 212 réponse par analyse de production 213 réponse par archivage, Assistant réglages d’automatisation, informations détaillées 92 réponse par copie à propos 218 Assistant réglages d’automatisation, informations détaillées 89 écrasement de fichiers 90 fichiers QuickTime de référence 205 réponse par courrier électronique à propos 220 Assistant réglages d’automatisation, informations détaillées 90 insertion de champs de métadonnées 91 réponse par suppression, Assistant réglages d’automatisation, informations détaillées 93 réponses analyse, à propos 210 à propos 204 copie, à propos 218 courrier électronique, à propos 220 exécution de scripts externes et réponses par commandes 221 opérations 208 productions d’analyse, à propos 213 réponses par analyse créées par l’Assistant réglages de périphérique 213 vérification de l’espace disque attribué à la base de données 222 réseau redondant de disques indépendants (RAID) 16 S SAN 17 sauvegarde de Final Cut Server 95 à propos des fichiers de sauvegarde 99 Backup, sous-fenêtre 98 catalogue 96 périphériques 96 restauration 100 Schedule, sous-fenêtre et fenêtre 228 scripts, exécution d’après une réponse 221 Search All Jobs, fenêtre 232–237 à propos 232 diagnostic de problèmes 235 ouverture 232 recherche 234 Search Devices, fenêtre accès aux métadonnées QuickTime 168 à propos de la recherche 193 catalogage d’éléments 194 menu contextuel 194 ouverture et utilisation 191 Server, menu local 116 serveur de messagerie 43 serveurs 13 Sites Web Apple 9 SMTP Server, réglage 120 Spotlight 15 stratégie en matière de périphériques de stockage 16–17 Subscription, sous-fenêtre et fenêtre 226 T tâches définitions de progression et d’état 233 nouvelle tentative après échec 237 Transcode Settings, sous-fenêtre 198 types de périphérique 182–191 U utilisateurs et groupes ajout d’utilisateurs aux groupes par le biais du Gestionn 57 ajout d’utilisateurs aux groupes par le biais du Gestionnaire de groupe de travail 57 ajout de groupes à Final Cut Server 58, 130–131 à propos 49–51 Comptes, création d’utilisateurs à partir de la sous-fenêtre 53 Comptes, création de groupes dans la sousfenêtre 54 Comptes, utilisation de la sous-fenêtre 51–55 création d’utilisateurs par le biais du Gestionnaire de groupe de travail 56 création de groupes par le biais du Gestionnaire de groupe de travail 56 Gestionnaire de groupe de travail 55–58 V verrou, annulation 127 Version Control, réglages de la sous-fenêtre 123 versions d’Apache 24 vignettes250 Index à propos du contrôle des métadonnées 144 configuration 124 W Watcher, sous-fenêtre et fenêtre à propos 223 réglages relatifs aux dispositifs de surveillance de recensement 225 websites 9 iPod shuffle Guide de l’utilisateur5 Chapitre 1 :  À propos de l’iPod shuffle 6 Nouveautés de l’iPod shuffle 7 Chapitre 2 :  Notions élémentaires de l’iPod shuffle 7 Vue d’ensemble de l’iPod shuffle 8 Utilisation des commandes de l’iPod shuffle 9 Connexion et déconnexion de l’iPod shuffle 11 À propos de la batterie de l’iPod shuffle 14 Chapitre 3 :  Configuration de l’iPod shuffle 14 À propos d’iTunes 15 Configuration de votre bibliothèque iTunes 16 Organisation de votre musique 18 Première connexion de l’iPod shuffle à un ordinateur 18 Ajout de musique à l’iPod shuffle 26 Chapitre 4 :  Écouter de la musique 26 Lecture de musique 28 Utilisation de VoiceOver 30 Lecture des pistes au même volume 31 Activation du volume maximum 32 Verrouillage et déverrouillage des boutons de l’iPod shuffle 33 Chapitre 5 :  Stockage de fichiers sur l’iPod shuffle 33 Utilisation de l’iPod shuffle en tant que disque externe 35 Chapitre 6 :  Astuces et dépannage 38 Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod shuffle 40 Chapitre 7 :  Sécurité et manipulation 40 Informations importantes relatives à la sécurité 42 Informations importantes sur le maniement 2 Table des matières44 Chapitre 8 :  En savoir plus, service et assistance 45 Regulatory Compliance Information     3 5 Apple vous félicite pour l’acquisition de votre iPod shuffle. ± ATTENTION: afin d’éviter toute blessure, consultez avant d’utiliser l’iPod shuffle toutes les consignes d’utilisation de ce guide et les informations relatives à la sécurité du chapitre 7, « Sécurité et manipulation ». Pour utiliser l’iPod shuffle, vous devez au préalable charger des morceaux et autres fichiers audio de votre ordinateur sur l’iPod shuffle. Vous pouvez utiliser l’iPod shuffle pour :  synchroniser des morceaux et des listes de lecture en vue de les écouter lorsque vous êtes en déplacement ;  écouter des podcasts, sorte d’émissions téléchargeables de type radiophoniques, proposés sur Internet ;  écouter des livres audio achetés sur l’iTunes Store ou audible.com ;  stocker ou sauvegarder des fichiers et autres données en utilisant l’iPod shuffle comme disque externe. 1 À propos de l’iPod shuffleNouveautés de l’iPod shuffle  Un bouton VoiceOver qui annonce le titre des morceaux et le nom des artistes, vous permet de basculer entre listes de lecture et indique l’état de la batterie.  Commandes faciles et intuitives  Synchronisation de mix Genius.  Synchronisation de collections iTunes U 6 Chapitre 1    À propos de l’iPod shuffle 7 Lisez ce chapitre pour en savoir plus sur les fonctionnalités de l’iPod shuffle, sur la manière d’utiliser ses commandes et plus encore. Le coffret de votre iPod shuffle comprend l’iPod shuffle lui-même, les écouteurs Apple Earphones et un câble USB 2.0 pour connecter l’iPod shuffle à votre ordinateur. Vue d’ensemble de l’iPod shuffle Voyant d’état Port d’écouteurs Précédent/Retour rapide Lecture/Pause Diminuer le volume Bouton VoiceOver Commutateur à trois positions Augmenter le volume Attache Suivant/Avance rapide Pour utiliser les écouteurs Apple Earphones : m Connectez les écouteurs sur le port écouteurs de l’iPod shuffle. Placez ensuite les écouteurs dans vos oreilles comme illustré. Le cordon des écouteurs est réglable. 2 Notions élémentaires de l’iPod shuffleWARNING: avant d’utiliser l’iPod shuffle, lisez toutes les consignes de sécurité de la rubrique “Informations importantes relatives à la sécurité” à la page 40 pour savoir comment éviter toute perte d’audition. Vous avez la possibilité d’acheter d’autres accessoires, tels que les écouteurs Apple Earphones avec télécommande et micro, et les écouteurs intraauriculaires Apple Earphones avec télécommande et micro, à l’adresse www.apple.com/fr/ipodstore. Le microphone n’est pas pris en charge sur l’iPod shuffle. Utilisation des commandes de l’iPod shuffle Les commandes frontales, le bouton VoiceOver et le commutateur à trois positions facilitent la lecture de morceaux, de livres audio, de podcasts audio et de collections iTunes U sur l’iPod shuffle. Pour Procédez comme suit : Allumer ou éteindre l’iPod shuffle Faites glisser le commutateur à trois positions (le voyant vert du commutateur indique que l’iPod shuffle est allumé). Lire ou mettre en pause Appuyez sur Lecture/Pause (’). Augmenter ou diminuer le volume Appuyez sur Augmenter le volume (∂) ou Diminuer le volume (D). Appuyez sur les boutons et maintenez-les enfoncés pour augmenter ou réduire rapidement le volume. Définir l’ordre de lecture Faites glisser le commutateur à trois positions pour lancer la lecture séquentielle (⁄) ou aléatoire (¡). Passer à la piste suivante Appuyez sur Suivant/Avance rapide (‘). Revenir à la piste précédente Appuyez sur Précédent/Retour rapide (]) dans les 6 premières secondes de la piste. Après 6 secondes, appuyez sur Précédent/Retour rapide (]) pour recommencer la piste en cours de lecture. Avancer rapidement Appuyez et maintenez enfoncé Suivant/Avance rapide (‘). Retour rapide Appuyez et maintenez enfoncé Précédent/Retour rapide (]). Entendre le titre du morceau et le nom de l’artiste Appuyez sur le VoiceOver ( ). 8 Chapitre 2    Notions élémentaires de l’iPod shuffleChapitre 2    Notions élémentaires de l’iPod shuffle 9 Pour Procédez comme suit : Entendre un menu des listes de lecture parmi lesquelles choisir Appuyez sur le bouton VoiceOver ( ) et maintenez-le enfoncé. Appuyez sur Suivant/ Avance rapide (‘) ou sur Précédent/Retour rapide (]) pour faire défiler le menu des listes de lecture. Appuyez sur le bouton VoiceOver ( ) ou sur Lecture/Pause (’) pour sélectionner une liste de lecture. Appuyez à nouveau sur le bouton VoiceOver ( ) et maintenez-le enfoncé pour quitter sans effectuer de sélection. Verrouillez les boutons de l’iPod shuffle (pour ne pas les activer par mégarde) Maintenez enfoncé le bouton Lecture/Pause (’) jusqu’à ce que le voyant d’état orange clignote trois fois. Répétez l’opération pour déverrouiller les boutons. Réinitialiser l’iPod shuffle (si l’iPod shuffle ne répond pas ou que le voyant d’état rouge s’allume) Éteignez l’iPod shuffle, attendez 10 secondes puis rallumez-le. Rechercher le numéro de série de l’iPod shuffle Regardez sous l’attache de l’iPod shuffle. Vous pouvez également sélectionner dans iTunes l’iPod shuffle dans la liste des appareils (lorsque l’iPod shuffle est connecté à l’ordinateur) et cliquer sur l’onglet Résumé. Connexion et déconnexion de l’iPod shuffle Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur pour synchroniser des morceaux et autres fichiers audio mais aussi pour recharger sa batterie. Déconnectez l’iPod shuffle lorsque vous avez terminé. Important: n’utilisez que le câble USB 2.0 fourni avec l’iPod shuffle pour connecter ce dernier à votre ordinateur. Connexion de l’iPod shuffle Pour connecter l’iPod shuffle à votre ordinateur : m Connectez une extrémité du câble USB fourni au port écouteurs de l’iPod shuffle et l’autre à un port USB 2.0 à forte alimentation de votre ordinateur. Note: Ne connectez pas l’iPod shuffle à un port USB de votre clavier pour le recharger. Un câble USB plus long est disponible séparément à l’adresse www.apple.com/fr/ ipodstore. La première fois que vous connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur, iTunes vous aide à configurer l’iPod shuffle et à le synchroniser avec votre bibliothèque iTunes. Par défaut, iTunes synchronise automatiquement les morceaux sur l’iPod shuffle lorsque vous le connectez à votre ordinateur. Vous pouvez synchroniser des morceaux pendant que la batterie se recharge. Si vous connectez l’iPod shuffle à un autre ordinateur et que l’iPod shuffle est configuré pour synchroniser de la musique automatiquement, iTunes vous demande de confirmer la synchronisation de tout morceau. Si vous cliquez sur Oui, les morceaux et autres fichiers audio se trouvant déjà sur l’iPod shuffle sont alors effacés et remplacés par les morceaux et les fichiers audio de l’ordinateur auquel est connecté l’iPod shuffle. Pour plus de renseignements sur l’ajout de musique sur l’iPod shuffle ou l’utilisation de l’iPod shuffle avec plusieurs ordinateurs, consultez la rubrique Chapter 4,“Écouter de la musique,” à la page 26. Déconnexion de l’iPod shuffle Il est important de ne pas déconnecter l’iPod shuffle de votre ordinateur lorsque des fichiers audio sont en cours de synchronisation ou que l’iPod shuffle est utilisé en tant que disque externe. Vous pouvez déconnecter l’iPod shuffle si le voyant d’état orange ne clignote pas ou que le message « Déconnexion autorisée » s’affiche en haut de la fenêtre iTunes. Important: si le message « Ne pas déconnecter » s’affiche dans iTunes ou que le voyant d’état orange de l’iPod shuffle clignote, vous devez éjecter l’iPod shuffle avant de le déconnecter. Ne pas suivre ces indications peut entraîner la détérioration de fichiers sur l’iPod shuffle et vous obliger à restaurer l’iPod shuffle dans iTunes. Pour plus de renseignements sur la restauration, consultez la section “Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod shuffle” à la page 38. Si vous activez le mode disque de l’iPod shuffle (voir la section Utilisation de l’iPod shuffle en tant que disque externe à la page 33), vous devrez toujours éjecter l’iPod shuffle avant de le déconnecter. Pour éjecter l’iPod shuffle : m Dans iTunes, cliquez sur le bouton Éjecter (C) situé à côté de l’iPod shuffle dans la liste des appareils. Si vous utilisez un Mac, vous pouvez également éjecter l’iPod shuffle en faisant glisser l’icône iPod shuffle du bureau vers la Corbeille. 10 Chapitre 2    Notions élémentaires de l’iPod shuffleChapitre 2    Notions élémentaires de l’iPod shuffle 11 Si votre ordinateur est un PC sous Windows, vous pouvez aussi éjecter l’iPod shuffle dans « Poste de travail » ou en cliquant sur l’icône « Supprimer le périphérique en toute sécurité » située dans la zone de notification du PC puis en sélectionnant votre iPod shuffle. Pour déconnecter l’iPod shuffle : m Déconnectez le câble USB de l’iPod shuffle et de l’ordinateur. À propos de la batterie de l’iPod shuffle iPod shuffle dispose d’une batterie interne rechargeable qui ne doit être remplacée que par un Centre de service agréé Apple. Pour obtenir des résultats optimum, à la première utilisation de l’iPod shuffle, rechargez entièrement sa batterie pendant environ trois heures. Il faut environ deux heures pour recharger la batterie à 80 %, et trois heures pour la recharger complètement. Si l’iPod shuffle n’a pas été utilisé pendant un moment, il est possible qu’une recharge de sa batterie soit nécessaire. Vous pouvez synchroniser de la musique pendant que la batterie se recharge. Vous pouvez déconnecter et utiliser l’iPod shuffle avant qu’il ne soit complètement rechargé. Recharge de la batterie de l’iPod shuffle Il vous est possible de recharger la batterie de l’iPod shuffle de deux façons :  Connecter l’iPod shuffle à votre ordinateur  Utilisez l’adaptateur secteur USB Apple (vendu séparément). Pour recharger la batterie via votre ordinateur : m Connecter l’iPod shuffle à un port USB 2.0 à forte alimentation de votre ordinateur à l’aide du câble USB iPod shuffle fourni. L’ordinateur doit alors être sous tension et non en mode veille (certains modèles de Mac peuvent recharger l’iPod shuffle sans sortir du mode veille). Le voyant d’état orange de l’iPod shuffle s’allume lorsque la batterie se recharge. Une fois la batterie complètement rechargée, le voyant passe au vert. Dans iTunes, l’icône représentant une batterie située à côté du nom de votre iPod shuffle indique son état. Cette icône signale un boulon s’éclaircissant lorsque la batterie est en phase de recharge et une prise de courant une fois la batterie entièrement rechargée. Si vous utilisez l’iPod shuffle en tant que disque dur ou que vous procédez à sa synchronisation avec iTunes, le voyant d’état orange clignote pour vous indiquer qu’il convient d’éjecter l’iPod shuffle avant de le déconnecter. Dans ce cas, votre batterie peut être toujours en phase de recharge, ou entièrement rechargée. Si le voyant d’état ne s’allume pas, il est possible que l’iPod shuffle ne soit pas connecté à un port USB 2.0 à forte alimentation. Essayez de le connecter à un autre port USB 2.0 de votre ordinateur. Si vous comptez recharger la batterie sans disposer de votre ordinateur, vous pouvez connecter l’iPod shuffle à un adaptateur secteur USB Apple, disponible séparément. Pour acheter des accessoires iPod shuffle, consultez la page www.apple.com/fr/ ipodstore. Pour charger la batterie à l’aide de l’adaptateur secteur USB Apple : 1 Connectez le câble USB iPod shuffle fourni à l’adaptateur secteur, puis connectez l’autre extrémité à l’iPod shuffle. 2 Connectez l’adaptateur secteur à une prise de courant en état de fonctionnement. Adaptateur secteur Apple USB Power Adapter (votre adaptateur peut avoir un aspect différent) Câble USB de l’iPod shuffle WARNING: assurez-vous que l’adaptateur secteur est en une seule pièce avant de le brancher sur une prise de courant. Avant tout usage, consulté l’intégralité des consignes de sécurité spécifiques à l’utilisation de l’adaptateur secteur USB Apple à la rubrique Chapter 7,“Sécurité et manipulation,” à la page 40. Les batteries rechargeables ont un nombre limité de cycles de recharge. La durée de vie de la batterie et le nombre de cycles de recharge varient en fonction de l’utilisation et des réglages de l’iPod. Pour plus d’informations, consultez le site www.apple.com/fr/ batteries. Vérification de la batterie état Vous avez la possibilité de vérifier l’état de la batterie de l’iPod shuffle, qu’il soit connecté à votre ordinateur ou déconnecté. Le voyant d’état vous indique le niveau de charge approximatif de la batterie. Si l’iPod shuffle est allumé sans être connecté à un ordinateur, vous pouvez utiliser VoiceOver pour entendre l’état de la batterie en appuyant deux fois sur le bouton VoiceOver. 12 Chapitre 2    Notions élémentaires de l’iPod shuffleChapitre 2    Notions élémentaires de l’iPod shuffle 13 Voyant d’état une fois déconnecté Message VoiceOver Vert continu Charge correcte « Batterie pleine » ou « Batterie à 75 % » ou « Batterie à 50% » Orange continu Charge faible « Batterie à 25% » Rouge continu Charge très faible « Batterie vide » Voyant d’état une fois connecté à un ordinateur Vert continu Entièrement rechargé Orange continu En cours de recharge Orange clignotant Ne pas déconnecter (iTunes est en cours de synchronisation ou l’iPod shuffle est activé en mode disque) ; il se peut que l’appareil soit toujours en phase de recharge ou entièrement rechargé14 Utilisez iTunes sur votre ordinateur pour configurer l’iPod shuffle de manière à lire de la musique et d’autres contenus audio. Connectez ensuite l’iPod shuffle à votre ordinateur et lancez sa synchronisation avec votre bibliothèque iTunes. Lisez ce qui suit pour en savoir plus sur l’utilisation de l’iPod shuffle, notamment sur :  le transfert de musique à partir de votre collection de CD, votre disque dur ou l’iTunes Store (qui fait partie d’iTunes et n’est disponible que dans certains pays) vers l’application iTunes de votre ordinateur ;  l’organisation de votre musique et des autres fichiers audio en liste de lectures ;  la synchronisation avec l’iPod shuffle de morceaux, de livres audio, de podcasts et de collections iTunes U de votre bibliothèque iTunes ;  l’écoute de musique ou de tout autre fichier audio lorsque vous êtes en déplacement. À propos d’iTunes iTunes est l’application gratuite qui vous permet de configurer, organiser et gérer votre contenu sur l’iPod shuffle. Vous devez passer par iTunes pour synchroniser de la musique, des livres audio et des podcasts audio avec l’iPod shuffle. Si vous n’avez pas déjà installé sur votre ordinateur iTunes 10 ou ultérieur (nécessaire pour l’iPod shuffle), vous devez télécharger ce logiciel à la page www.itunes.com/fr/download. Une fois que vous avez installé iTunes, l’application s’ouvre automatiquement quand vous connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur. Vous pouvez utiliser iTunes pour importer de la musique à partir de CD ou d’Internet, acheter des morceaux et d’autres fichiers audio sur l’iTunes Store, créer des compilations personnalisées de vos morceaux préférés (appelées listes de lecture), synchroniser l’iPod shuffle et définir les réglages de l’iPod shuffle. 3 Configuration de l’iPod shuffleChapitre 3    Configuration de l’iPod shuffle 15 iTunes dispose également d’une fonctionnalité appelée Genius, laquelle crée instantanément des listes de lecture et des mix compilant des morceaux issus de votre bibliothèque iTunes qui vont bien ensemble. Vous synchroniser des mix Genius et des listes de lecture iTunes avec l’iPod shuffle. Pour utiliser Genius, vous avez besoin d’un compte iTunes. Pour savoir comment configurer Genius, consultez la rubrique “Fonction Genius dans iTunes” à la page 17. iTunes possède de nombreuses autres fonctionnalités. Vous pouvez graver vos propres CD lisibles sur des lecteurs CD standard (si votre ordinateur possède un graveur de CD), écouter de la radio diffusée sur Internet, regarder des vidéos et des émissions de télévision, classer vos morceaux selon vos préférences et bien plus encore. Pour en savoir plus sur ces fonctionnalités, ouvrez iTunes puis choisissez Aide > Aide iTunes. Si vous disposez déjà d’iTunes 10 ou ultérieur sur votre ordinateur et que vous avez configuré votre bibliothèque iTunes, vous pouvez passer à la rubrique suivante, “Première connexion de l’iPod shuffle à un ordinateur” à la page 18. Configuration de votre bibliothèque iTunes Pour écouter de la musique sur l’iPod shuffle, il vous faut tout d’abord la transférer depuis la bibliothèque iTunes de votre ordinateur. Il existe trois façons d’importer de la musique et autres supports audio dans la bibliothèque iTunes :  en achetant de la musique et des livres audio, ou en téléchargeant des podcasts en ligne à partir de l’iTunes Store ;  en important de la musique et autres fichiers audio extraits de CD audio ;  en ajoutant à votre bibliothèque iTunes de la musique et d’autres contenus audio déjà stockés sur votre ordinateur. Achat de morceaux et téléchargement de podcasts sur l’iTunes Store Si vous disposez d’une connexion à Internet, vous pouvez facilement acheter et télécharger des morceaux, des albums et des livres audio en ligne via l’iTunes Store (disponible dans certains pays). Vous pouvez également vous abonner à des podcasts audio et en télécharger, et télécharger du contenu éducatif gratuit sur iTunes U. Il est impossible de synchroniser des podcasts vidéo sur l’iPod shuffle.Pour acheter de la musique en ligne via l’iTunes Store, vous devez configurer un compte iTunes gratuit dans iTunes, rechercher les morceaux voulus, puis les acheter. Si vous avez déjà un compte iTunes, vous pouvez l’utiliser pour ouvrir une session sur l’iTunes Store et acheter des morceaux. Vous n’avez pas besoin d’un compte iTunes Store pour lire ou télécharger des podcasts ou des classes iTunes U. Pour visiter l’iTunes Store, ouvrez iTunes et cliquez sur iTunes Store (sous Store) dans la partie gauche de la fenêtre iTunes. Ajout de morceaux stockés sur votre ordinateur à la bibliothèque iTunes Si votre ordinateur contient des morceaux encodés dans des formats de fichier pris en charge par iTunes, vous pouvez facilement les ajouter à iTunes. Pour savoir comment importer des morceaux de votre ordinateur dans iTunes, ouvrez iTunes et choisissez Aide > Aide iTunes. Si vous utilisez iTunes pour Windows, vous pouvez convertir les fichiers WMA non protégé au format AAC ou MP3. Cela peut être utile si vous disposez d’une bibliothèque de musique encodée au format WMA. Pour en savoir plus, ouvrez iTunes, puis choisissez Aide > Aide iTunes. Importation de musique dans iTunes à partir de CD audio iTunes permet d’importer de la musique et d’autres données audio à partir de vos CD audio. Si vous disposez d’une connexion à Internet, iTunes obtient le nom des morceaux sur Internet (s’ils sont disponibles) et les affiche dans la fenêtre. Lorsque vous ajoutez les morceaux à l’iPod shuffle, les informations sur le morceau sont incluses. Pour savoir comment importer des morceaux depuis vos CD dans iTunes, ouvrez iTunes et choisissez Aide > Aide iTunes. Saisie du nom des morceaux et autres informations Si vous ne possédez pas de connexion à Internet et si les informations de morceaux ne sont pas disponibles pour la musique que vous importez, ou si vous voulez inclure des informations supplémentaires (comme les noms des compositeurs), vous pouvez saisir des informations manuellement. Pour savoir comment saisir des informations sur les morceaux, ouvrez iTunes, puis choisissez Aide > Aide iTunes. Organisation de votre musique Dans iTunes, vous pouvez organiser à votre guise des morceaux et d’autres éléments dans des listes appelées listes de lecture. Vous pouvez par exemple créer des listes de lecture comprenant des morceaux à écouter pendant vos séances d’entraînement ou qui correspondent à une ambiance particulière. 16 Chapitre 3    Configuration de l’iPod shuffleChapitre 3    Configuration de l’iPod shuffle 17 Vous pouvez également élaborer des listes de lecture intelligentes qui se mettent automatiquement à jour selon les règles que vous aurez établies. Lorsque vous ajoutez à iTunes des morceaux qui correspondent à ces règles, ils seront automatiquement ajoutés à la liste de lecture intelligente. Vous pouvez activer Genius dans iTunes et créer des listes de lecture comportant des morceaux qui vont bien ensemble et sont basées sur un morceau que vous sélectionnez. Genius peut également organiser automatiquement votre bibliothèque iTunes en triant et groupant les morceaux en collections nommées mix Genius. Vous pouvez créer autant de listes de lecture que vous voulez à l’aide de n’importe quels morceaux de votre bibliothèque iTunes. Vous ne pouvez pas créer de liste de lecture sur l’iPod shuffle lorsque ce dernier est déconnecté d’iTunes. Si vous ajoutez un morceau à une liste de lecture ou que vous l’en supprimez plus tard, il n’est pas supprimé de votre bibliothèque iTunes. Les listes de lecture que vous écoutez sur l’iPod shuffle et avez créées dans iTunes se comportent de façon identique. Vous pouvez toujours les choisir par leur nom sur votre iPod shuffle. Pour savoir comment configurer des listes de lecture dans iTunes, ouvrez iTunes, puis choisissez Aide > Aide iTunes. Fonction Genius dans iTunes Genius recherche les morceaux de votre bibliothèque iTunes qui vont bien ensemble et les utilise pour créer des listes de lecture Genius et des mix Genius. Genius est un service gratuit, mais vous devez posséder un compte iTunes Store pour l’utiliser. Si vous n’en avez pas, vous pouvez en créer un à l’activation de Genius. Une liste de lecture Genius est basée sur un morceau que vous sélectionnez. iTunes compose alors une liste de lecture formée de morceaux qui vont bien avec celui que vous avez sélectionné. Les mix Genius sont des compilations présélectionnées de morceaux qui vont bien ensemble. Elles sont créées pour vous par iTunes à l’aide de morceaux de votre bibliothèque iTunes. Chaque mix Genius est conçu pour offrir une expérience d’écoute différente chaque fois que vous le lancez. iTunes en crée jusqu’à 12 en fonction de la variété de la musique que comporte votre bibliothèque iTunes. Pour créer des listes de lecture Genius et des mix Genius, vous devez activer Genius dans iTunes. Pour plus de détails, ouvrez iTunes et choisissez Aide > Aide iTunes. Les listes de lecture Genius créées dans iTunes sont synchronisables sur l’iPod shuffle comme toute autre liste de lecture iTunes. Vous ne pouvez pas ajouter manuellement de mix Genius sur l’iPod shuffle.Première connexion de l’iPod shuffle à un ordinateur La première fois que vous connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur après avoir installé iTunes, ce logiciel s’ouvre et l’Assistant réglages apparaît. Si iTunes ne s’ouvre pas automatiquement, faites-le manuellement. Pour utiliser l’Assistant réglages iPod shuffle : 1 Saisissez un nom pour votre iPod shuffle. Ce nom apparaîtra dans la liste d’appareils à gauche de la fenêtre iTunes. 2 Sélectionnez vos réglages. La synchronisation automatique est configurée par défaut. Si vous la laissez activée, iTunes synchronise les mix Genius de votre bibliothèque iTunes avec votre iPod shuffle. Si Genius n’est pas activé, iTunes remplit l’iPod shuffle de morceaux de votre bibliothèque iTunes et les place dans la liste de lecture « Tous les morceaux ». Pour plus d’informations sur la synchronisation automatique et manuelle, consultez la section suivante. VoiceOver est également sélectionné par défaut. Laissez cette option activée pour entendre le titre des pistes et le nom des artistes, changer de liste de lecture et entendre l’état de la batterie lorsque vous écoutez votre iPod shuffle. Pour plus d’informations, consultez la section “r” à la page 28. 3 Cliquez sur Terminé. Vous pouvez modifier le nom et les réglages de l’appareil chaque fois que vous connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur. Lorsque vous avez cliqué sur Terminé, la sous-fenêtre Résumé apparaît. Si vous avez sélectionné la synchronisation automatique, l’iPod shuffle commence à se synchroniser. Ajout de musique à l’iPod shuffle Une fois votre musique importée et organisée dans iTunes, vous pouvez facilement l’ajouter à l’iPod shuffle. Pour gérer la manière dont les morceaux et les autres éléments audio sont ajoutés à l’iPod shuffle depuis votre ordinateur, vous devez connecter l’iPod shuffle à votre ordinateur puis utiliser les préférences iTunes et sélectionner les réglages de l’iPod shuffle. 18 Chapitre 3    Configuration de l’iPod shuffleChapitre 3    Configuration de l’iPod shuffle 19 Ajout de contenu automatiquement ou manuellement Vous pouvez configurer iTunes pour ajouter de la musique à l’iPod shuffle, de deux façons :  Synchronisation automatique : lorsque vous connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur, l’appareil s’actualise automatiquement en fonction des morceaux et autres éléments se trouvant dans votre bibliothèque iTunes. Si Genius est activé la première fois que vous synchronisez l’iPod shuffle, iTunes utilise jusqu’à quatre mix Genius créés dans votre bibliothèque pour remplir l’iPod shuffle. S’il reste de la place, iTunes synchronise d’autres morceaux de votre bibliothèque iTunes. Si Genius n’est pas activé, iTunes synchronise des morceaux et listes de lecture de votre bibliothèque iTunes pour remplir l’iPod shuffle. Vous pouvez ultérieurement modifier les options de synchronisation automatique de manière à inclure les listes de lecture, artistes, albums et genres que vous sélectionnez. Vous pouvez également synchroniser automatiquement d’autres éléments audio, notamment des podcasts, livres audio et collections iTunes U. Reportez-vous aux rubriques suivantes pour en savoir plus.  Gestion manuelle de la musique : lorsque vous connectez l’iPod shuffle, vous pouvez faire glisser des morceaux et listes de lecture un par un sur l’iPod shuffle et en supprimer de l’iPod shuffle. Cette option vous permet d’ajouter des morceaux de plusieurs ordinateurs sans pour autant effacer ceux qui se trouvent sur l’iPod shuffle. Lorsque vous gérez manuellement votre musique, vous devez toujours éjecter l’iPod shuffle d’iTunes avant de le déconnecter. Reportez-vous à la rubrique “fle” à la page 23. Synchronisation automatique de la musique Par défaut, l’iPod shuffle est configuré pour synchroniser tous les morceaux et listes de lecture dès que vous le connectez à votre ordinateur. C’est la manière la plus simple d’ajouter du contenu audio à l’iPod shuffle : connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur, laissez-le ajouter automatiquement morceaux, livres audio, podcasts audio et collections iTunes U, puis déconnectez-le et emportez-le avec vous. Tout morceau que vous aurez ajouté à iTunes depuis la dernière connexion de l’iPod shuffle se synchronise alors sur l’iPod shuffle si l’espace disponible est suffisant. Si vous avez supprimé des morceaux d’iTunes, ceux-ci sont alors également supprimés de l’iPod shuffle. Pour synchroniser de la musique avec l’iPod shuffle : m Connectez simplement l’iPod shuffle à votre ordinateur. Si l’iPod shuffle est configuré pour la synchronisation automatiquement, la mise à jour commence alors.Important: la première fois où vous connectez l’iPod shuffle à un ordinateur, un message vous invite à indiquer si vous comptez synchroniser automatiquement les morceaux. Si vous acceptez, tous les morceaux et autres éléments audio sont alors effacés de l’iPod shuffle et remplacés par ceux de l’ordinateur. Si vous refusez, vous avez toujours la possibilité d’ajouter manuellement des morceaux sur l’iPod shuffle sans effacer ceux qui s’y trouvent déjà. Au cours de la synchronisation de la musique de votre ordinateur avec l’iPod shuffle, la fenêtre d’état d’iTunes indique la progression de l’opération et une icône de synchronisation s’affiche à côté de l’iPod shuffle dans la liste des appareils. Une fois la mise à jour terminée, le message « La synchronisation de l’iPod est terminée » apparaît dans iTunes. Une barre en bas de la fenêtre iTunes affiche l’espace disque utilisé par les différents types de contenu. Si vous n’avez pas choisi de synchroniser automatiquement la musique sur l’iPod shuffle pendant la configuration, vous pouvez toujours le faire ultérieurement. S’il n’y a pas assez d’espace sur l’iPod shuffle pour toute votre musique, vous pouvez configurer iTunes de manière à ne synchroniser que les listes de lecture, artistes, albums et genres sélectionnés. Pour configurer iTunes de manière à synchroniser de la musique sur l’iPod shuffle à partir de listes de lecture, artistes, albums et genres sélectionnés : 1 Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur. 2 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils, puis cliquez sur l’onglet Musique. 3 Sélectionnez « Synchroniser la musique » puis choisissez « Synchroniser les listes de lecture, artistes, albums et genres sélectionnés » : 4 Sélectionnez les listes de lecture, artistes, genres et albums souhaités. 5 Pour configurer iTunes de manière à remplir automatiquement tout l’espace restant sur votre l’iPod shuffle, sélectionnez « Remplir automatiquement l’espace libre avec des morceaux ». Si vous avez des mix Genius, iTunes commence par les utiliser pour remplir l’espace. S’il reste suffisamment d’espace pour un mix Genius, iTunes remplit l’espace restant sur l’iPod shuffle avec d’autres morceaux. 6 Cliquez sur Appliquer. La mise à jour commence automatiquement. Si vous sélectionnez « Ne synchroniser que les morceaux cochés » dans le volet Résumé, iTunes ne synchronise que les éléments cochés. 20 Chapitre 3    Configuration de l’iPod shuffleChapitre 3    Configuration de l’iPod shuffle 21 Synchronisation de mix Genius avec l’iPod shuffle Vous pouvez régler iTunes de manière à synchroniser les mix Genius avec l’iPod shuffle. Les mix Genius ne peuvent être synchronisés qu’automatiqument, de sorte que vous ne pouvez en ajouter à l’iPod shuffle si vous gérez manuellement votre contenu. Si vos mix Genius ne remplissent pas l’espace disponible et que vous avez sélectionné l’option Remplir automatiquement l’espace avec des morceaux, iTunes sélectionne des morceaux supplémentaires à partir de votre bibliothèque iTunes et les synchronise. Pour configurer iTunes de manière à synchroniser les mix Genius avec l’iPod shuffle : 1 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils, puis cliquez sur l’onglet Musique. 2 Sélectionnez « Synchroniser la musique » puis choisissez « Synchroniser les listes de lecture, artistes, albums et genres sélectionnés » : 3 Sous Listes de lecture, sélectionnez les mix Genius souhaités. 4 Cliquez sur Appliquer. Si l’option « Ne synchroniser que les morceaux cochés » est sélectionné dans le volet Résumé, iTunes ne synchronise que les éléments cochés. Synchronisation automatique de podcasts Les réglages d’ajout de podcasts sur l’iPod shuffle sont indépendants de ceux portant sur les morceaux. Les réglages relatifs aux podcasts n’influent donc en rien sur les morceaux, et inversement. Vous pouvez configurer iTunes pour synchroniser automatiquement tous les podcasts ou seulement les podcasts sélectionnés. Vous pouvez en outre ajouter manuellement des podcasts à l’iPod shuffle. Pour configurer iTunes de façon à mettre automatiquement à jour les podcasts sur l’iPod shuffle : 1 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils, puis cliquez sur l’onglet Podcasts. 2 Dans la sous-fenêtre Podcasts, sélectionnez « Synchroniser les podcasts ». 3 Sélectionnez les podcasts, les épisodes et les listes de lecture que vous voulez et définissez vos options de synchronisation. 4 Cliquez sur Appliquer. Si vous configurez iTunes de façon à synchroniser les podcasts automatiquement, l’iPod shuffle se met à jour chaque fois que vous le connectez à votre ordinateur. Si l’option « Ne synchroniser que les morceaux cochés » est sélectionné dans le volet Résumé, iTunes ne synchronise que les éléments cochés.Ajout de collections iTunes U à l’iPod shuffle iTunes U est une section de l’iTunes Store qui propose gratuitement des cours, des cours de langues, des livres audio, etc. que vous pouvez télécharger et synchroniser avec l’iPod shuffle. Les réglages concernant l’ajout de collections iTunes U à l’iPod shuffle sont indépendants de ceux concernant l’ajout d’autre contenu. Les réglages iTunes U n’ont aucun effet sur les autres réglages, et vice versa. Vous pouvez configurer iTunes de manière à synchroniser automatiquement toutes les collections iTunes U ou uniquement celles sélectionnées, ou ajouter manuellement du contenu iTunes U à l’iPod shuffle. Pour configurer iTunes de manière à synchroniser automatiquement le contenu iTunes U’ : 1 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils, puis cliquez sur l’onglet iTunes U. 2 Dans la sous-fenêtre iTunes U, sélectionnez « Synchroniser iTunes U ». 3 Sélectionnez les collections et éléments souhaités puis configurez vos options de synchronisation. 4 Cliquez sur Appliquer. Si vous configurez iTunes de façon à synchroniser le contenu iTunes U automatiquement, l’iPod shuffle se met à jour chaque fois que vous le connectez à votre ordinateur. Si l’option « Ne synchroniser que les morceaux cochés » est sélectionné dans le volet Résumé, iTunes ne synchronise que les éléments cochés. Ajout de livres audio à l’iPod shuffle Vous pouvez acheter et télécharger des livres audio sur l’iTunes Store ou sur audible. com, ou en importer à partir de CD, puis les écouter sur votre iPod shuffle. Utilisez iTunes pour ajouter des livres audio à l’iPod shuffle. Si vous synchronisez automatiquement l’iPod shuffle, chaque livre audio de votre bibliothèque iTunes est synchronisé sous forme de liste de lecture séparée que vous pouvez sélectionner à l’aide de VoiceOver. Si vous gérez manuellement votre contenu sur l’iPod shuffle, vous pouvez ajouter individuellement des livres audio. Pour synchroniser des livres audio avec l’iPod shuffle : 1 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils, puis cliquez sur l’onglet Livres. 2 Sélectionnez Synchroniser les livres audio, puis procédez de l’une des manières suivantes :  Sélectionnez « Tous les livres audios ». 22 Chapitre 3    Configuration de l’iPod shuffleChapitre 3    Configuration de l’iPod shuffle 23  Sélectionnez « Les livres audios sélectionnés », puis précisez les livres audio souhaités : 3 Cliquez sur Appliquer. La mise à jour commence automatiquement. Gestion manuelle de l’iPod shuffle Si vous gérez manuellement l’iPod shuffle, vous pouvez ajouter et supprimer des morceaux, des listes de lecture, des podcasts et des livres audio spécifiques à loisir. De même, vous pouvez ajouter de la musique et autre contenu audio de plusieurs ordinateurs sur l’iPod shuffle, sans pour autant effacer d’élément stocké sur l’iPod shuffle. Vous pouvez ajouter manuellement des listes de lecture Genius mais non des mix Genius sur l’iPod shuffle. Si vous configurez l’iPod shuffle de manière à gérer la musique manuellement, les options de synchronisation automatique sont désactivées dans les volets Musique, Podcasts et iTunes U d’iTunes. Vous ne pouvez pas à la fois gérer certains contenus manuellement et synchroniser automatiquement d’autres contenus. Si vous configurez iTunes de manière à gérer le contenu manuellement, vous pouvez configurer ultérieurement l’application pour une synchronisation automatique. Pour gérer manuellement le contenu audio sur l’iPod shuffle : 1 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils, puis cliquez sur l’onglet Résumé. 2 Dans la section Options, sélectionnez « Gérer manuellement la musique ». 3 Cliquez sur Appliquer. Si vous gérez manuellement l’iPod shuffle, vous devez toujours éjecter l’iPod shuffle d’iTunes avant de le déconnecter. Pour ajouter un morceau ou un autre élément à l’iPod shuffle : 1 Dans iTunes, cliquez sur Musique ou sur un autre élément de la liste Bibliothèque. 2 Faites glisser un morceau ou un autre élément vers l’iPod shuffle dans la liste des appareils. Vous pouvez également faire glisser des listes de lecture entières pour les synchroniser avec l’iPod shuffle ou sélectionner plusieurs éléments et les faire tous glisser en une seule fois sur l’iPod shuffle. Pour supprimer un morceau ou un autre élément de l’iPod shuffle : 1 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils. 2 Sélectionnez Musique, Livres audio ou Podcasts sous la section iPod shuffle.3 Sélectionnez un morceau ou autre élément puis appuyez sur la touche Suppr ou Arrière de votre clavier. Si vous supprimez un morceau ou un autre élément de l’iPod shuffle, il n’est pas pour autant supprimé de votre bibliothèque iTunes. Pour créer une liste de lecture sur l’iPod shuffle par le biais d’iTunes : 1 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils, puis cliquez sur le bouton Ajouter (∂) ou choisissez Fichier > Nouvelle liste de lecture. 2 Tapez le nom de la liste de lecture. 3 Cliquez sur Musique ou sur un autre élément de la liste Bibliothèque, puis faites glisser des morceaux ou d’autres éléments sur la liste de lecture. Si vous apportez des modifications à une de vos listes de lecture iTunes, n’oubliez pas de faire glisser la liste de lecture modifiée sur l’iPod shuffle lorsqu’il est connecté à iTunes. Pour ajouter des morceaux ou pour en retirer d’une liste de lecture sur l’iPod shuffle : m Faites glisser un morceau sur une liste de lecture de l’iPod shuffle pour l’y ajouter. Sélectionnez un morceau d’une liste de lecture et appuyez sur la touche Suppr de votre clavier pour supprimer le morceau. Pour configurer iTunes de manière à synchroniser automatiquement la musique et les autres contenus audio : 1 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils, puis cliquez sur l’onglet Résumé. 2 Désélectionnez Gérer manuellement la musique. 3 Cliquez sur Appliquer. La mise à jour commence automatiquement. Comment faire tenir davantage de morceaux sur l’iPod shuffle Si votre bibliothèque iTunes contient des morceaux stockés dans un format au débit élevé, notamment iTunes Plus, Apple Lossless ou WAV, vous pouvez configurer iTunes convertisse les morceaux en fichiers AAC à 128 kbit/s lors de leur synchronisation vers l’iPod shuffle. Cela n’influe pas sur la qualité et sur la durée des morceaux dans iTunes. Pour convertir des morceaux au débit élevé en fichiers AAC : 1 Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur. 2 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils. 3 Cliquez sur l’onglet Résumé. 4 Sélectionnez « Convertir en AAC 128 kbps les morceaux dont le débit est supérieur ». 5 Cliquez sur Appliquer. 24 Chapitre 3    Configuration de l’iPod shuffleChapitre 3    Configuration de l’iPod shuffle 25 Note: Les morceaux aux formats non pris en charge par l’iPod shuffle doivent être convertis pour pouvoir être synchronisés avec l’iPod shuffle. Pour en savoir plus sur les formats pris en charge par l’iPod shuffle, consultez la rubrique “uffle” à la page 36.26 Lisez ce chapitre pour savoir comment utiliser votre iPod shuffle en déplacement. Après avoir déconnecté l’iPod shuffle de votre ordinateur, vous pouvez le clipser et écouter de la musique, des livres audio, des podcasts et du contenu iTunes U. VoiceOver vous permet d’entendre le titre de la piste (morceau ou chapitre d’un livre audio ou podcast) en cours de lecture, choisir une liste de lecture différente ou entendre l’état de la batterie. Lecture de musique Vous pouvez écouter de la musique et autres contenus audio après les avoir synchronisés au préalable sur votre iPod shuffle. WARNING: avant d’utiliser l’iPod shuffle, lisez toutes les consignes de sécurité de la rubrique Chapter 7,“Sécurité et manipulation,” à la page 40, notamment celles concernant les pertes d’audition. Pour écouter des morceaux et autres éléments audio avec l’iPod shuffle : 1 Connectez les écouteurs à l’iPod shuffle et placez-les dans vos oreilles. 2 Faites glisser le commutateur à trois positions de l’iPod shuffle de la position OFF à la position lecture séquentielle (⁄) ou aléatoire (¡). La lecture commence dès lors. Pour préserver la durée de vie de la batterie si vous n’utilisez pas l’iPod shuffle, faites glisser le commutateur à trois positions sur la position OFF. 4 Écouter de la musiqueChapitre 4    Écouter de la musique 27 Pour Procédez comme suit : Lecture ou pause Appuyez sur Lecture/Pause (’). Augmenter ou diminuer le volume Appuyez sur Augmenter le volume (∂) ou Diminuer le volume (D). Un signal sonore indique chaque changement de volume lorsque l’iPod shuffle est en pause. Passer à la piste suivante Appuyez sur Suivant/Avance rapide (‘). Revenir à la piste précédente Appuyez sur Précédent/Retour rapide (]) dans les 6 premières secondes de la piste. Après 6 secondes, appuyez sur Précédent/Retour rapide ] recommence la piste en cours de lecture. Avance rapide Appuyez et maintenez enfoncé Suivant/Avance rapide (‘). Retour rapide Appuyez et maintenez enfoncé Précédent/Retour rapide (]). Entendre le titre du morceau et le nom de l’artiste Appuyez sur le VoiceOver ( ). Entendre le menu des listes de lecture Appuyez sur le bouton VoiceOver ( ) et maintenez-le enfoncé. À l’écoute du nom de la liste de lecture voulue, cliquez sur le bouton VoiceOver ( ) ou Lecture/Pause (’) pour la sélectionner. Appuyez sur Suivant/Avance rapide (‘) ou sur Précédent/Retour rapide (]) pour faire défiler rapidement vos listes de lecture. Quitter le menu des listes de lecture Appuyez sur le bouton VoiceOver ( ) et maintenez-le enfoncé. Le voyant d’état vert clignote une fois en réponse à la majorité de vos actions (lecture, retour rapide, avance rapide, utilisation de VoiceOver, changement du volume, etc.). Si vous mettez l’iPod shuffle en pause, le voyant vert d’état clignote pendant 30 secondes. Lorsque la limite inférieure ou supérieure du volume est atteinte, le voyant orange clignote trois fois. Les voyants d’état de la batterie sont décrits à la rubrique “Vérification de la batterie état” à la page 12. Réglage de l’iPod shuffle pour la lecture séquentielle ou aléatoire de morceaux Vous pouvez configurer l’iPod shuffle pour lire les morceaux de façon aléatoire ou selon l’ordre dans lequel ils sont organisés dans iTunes. Lorsque vous activez la lecture aléatoire, les livres, podcasts et mix Genius sont toujours lus dans leur ordre iTunes. Pour que l’iPod shuffle lise les morceaux dans l’ordre : m Faites glisser le commutateur à trois positions pour lancer la lecture séquentielle (⁄).À l’issue de la lecture du dernier morceau, l’iPod shuffle recommence au premier morceau. Pour que l’iPod shuffle lise les morceaux dans un ordre aléatoire : m Faites glisser le commutateur à trois positions sur le mode de lecture aléatoire (¡). Pour réinitialiser l’ordre de lecture aléatoire, faites glisser le commutateur à trois positions du mode de lecture aléatoire (¡) à celui de lecture séquentielle (⁄) puis revenez au mode aléatoire. Utilisation de VoiceOver L’iPod shuffle peut offrir un contrôle supplémentaire sur vos options de lecture, en disant à voix haute le titre des morceaux et le nom des artistes, et annonce les listes de lecture parmi lesquelles choisir. VoiceOver vous indique également l’état de la batterie et propose d’autres messages. Pour les écouter, activez VoiceOver dans iTunes. Vous pouvez activer VoiceOver lors de la première configuration de l’iPod shuffle ou ultérieurement. VoiceOver est disponible dans plusieurs langues. Les options de VoiceOver se définissent dans iTunes, sous l’onglet Résumé. Les rubriques suivantes décrivent l’activation et la personnalisation de VoiceOver. Pour activer VoiceOver au moment où vous configurez l’iPod shuffle : 1 Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur. 2 Suivez les instructions à l’écran dans iTunes. L’option Activer VoiceOver est sélectionné par défaut. 3 Cliquez sur Continuer. 4 Dans l’onglet Résumé, sous la section Synthèse vocale, choisissez la langue dans le menu local. La langue est à présent définie pour vos messages système vocaux et le nom de vos listes de lecture, ainsi que pour de nombreux titres de morceaux et noms d’interprètes. Note: pour choisir une autre langue pour des pistes données, sélectionnez-les dans iTunes, choisissez Fichier > Lire les informations, choisissez une langue pour VoiceOver dans le menu local de l’onglet Options, puis cliquez sur OK. 5 Cliquez sur Appliquer. Une fois la configuration terminée, VoiceOver est activé sur l’iPod shuffle. Pour activer VoiceOver lorsque vous le souhaitez : 1 Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur. 2 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils, puis cliquez sur l’onglet Résumé. 28 Chapitre 4    Écouter de la musiqueChapitre 4    Écouter de la musique 29 3 Sous Infos vocales, sélectionnez Activer VoiceOver. 4 Cliquez sur Appliquer. 5 Choisissez la langue voulue dans le menu local Synthèse vocale. 6 Cliquez sur Appliquer. Lorsque la synchronisation est terminée, VoiceOver est activé. Pour désactiver VoiceOver : 1 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils, puis cliquez sur l’onglet Résumé. 2 Sous Infos vocales, désélectionnez Activer VoiceOver. 3 Cliquez sur Appliquer. Lorsque la synchronisation est terminée, VoiceOver est désactivé. Vous entendrez néanmoins quelques annonces système en anglais sur l’iPod shuffle, notamment l’état de la batterie, les messages d’erreur et le menu générique des listes de lecture numérotées. Vous n’entendrez plus cependant le titre des morceaux et le nom des interprètes. Informations sur la piste VoiceOver permet de dire le titre et le nom de l’interprète du morceau en cours de lecture sur l’iPod shuffle. Pour écouter des informations sur la piste en cours de lecture : m Appuyez sur le bouton VoiceOver ( ) pendant la lecture. Vous entendez alors le titre du morceau en cours de lecture et le nom de son interprète. Vous pouvez utiliser VoiceOver pour passer à un autre titre. Pour naviguer en utilisant les informations sur les pistes :  Si l’iPod shuffle est en cours de lecture, appuyez sur le bouton VoiceOver ( ) pour entendre des informations sur la piste actuelle ; appuyez sur Suivant/Avance rapide (‘) pour passer à la piste suivante et écouter ses informations ; appuyez sur Précédent/Retour rapide(]) pour passer à la piste précédente et écouter ses informations.  Si l’iPod shuffle est en pause, appuyez sur le bouton VoiceOver ( ) pour entendre des informations sur la piste actuelle ; appuyez sur Suivant/Avance rapide (‘) pour écouter les informations sur la piste suivante ; appuyez sur Précédent/Retour rapide (]) pour écouter les informations sur la piste précédente. Appuyez sur le bouton VoiceOver ou sur Lecture/Pause (’) pour lire la piste.Changement de liste de lecture Lorsque VoiceOver est activé, vous pouvez entendre le nom des listes de lecture et choisir toute liste de lecture que vous avez synchronisée sur l’iPod shuffle. Si des livres audio ou des podcasts audio sont synchronisés sur l’iPod shuffle, leur titre est également lu dans le menu des listes de lecture. Si VoiceOver est désactivé dans iTunes, les listes de lecture sont identifiées par leur ordre numérique (« Liste de lecture 1, Liste de lecture 2 », et ainsi de suite) plutôt que par leur nom. Le menu des listes de lecture annonce les éléments dans l’ordre suivant :  la liste de lecture en cours de lecture (le cas échéant) ;  « Tous les morceaux » (liste de lecture reprenant tous les morceaux de l’iPod shuffle) ;  Toutes les listes de lecture, y compris les listes de lecture Genius, par ordre alphabétique  Tous les mix Genius, par ordre alphabétique  Tous les podcasts, par ordre alphabétique  Toutes les collections iTunes U, par ordre alphabétique  Tous les livres audio, par ordre alphabétique Pour choisir un élément dans le menu des listes de lecture : 1 Appuyez sur le bouton VoiceOver ( ) et maintenez-le enfoncé. Vous entendez alors le nom de vos listes de lecture. 2 À l’écoute du nom de la liste de lecture voulue, cliquez sur le bouton VoiceOver ( ) ou Lecture/Pause (’) pour la sélectionner. Le premier élément de votre liste de lecture est lancé. Lorsque vous écoutez le menu des listes de lecture, vous pouvez appuyer sur Suivant/ Avance rapide (‘) ou sur Précédent/Retour rapide (]) pour avancer ou reculer dans le menu des listes de lecture. Pour recommencer une liste de lecture, suivez les étapes ci-dessus pour sélectionner la liste de lecture voulue. Pour fermer le menu des listes de lecture : m Appuyez sur le bouton VoiceOver ( ) et maintenez-le enfoncé. Lecture des pistes au même volume L’intensité sonore de morceaux et autres supports audio peut varier en fonction du moyen d’enregistrement ou du mode d’encodage des pistes. Vous pouvez configurer iTunes de manière à adapter automatiquement le volume des morceaux de façon à les lire au même volume relatif, et pouvez configurer l’iPod shuffle de manière à reprendre les mêmes réglages de volume issus d’iTunes. L’égaliseur de volume est activé par défaut dans iTunes, mais pas sur l’iPod shuffle. 30 Chapitre 4    Écouter de la musiqueChapitre 4    Écouter de la musique 31 Pour régler iTunes de sorte que les pistes se reproduisent au même volume : 1 Dans iTunes, sélectionnez iTunes > Préférences, si vous utilisez un Mac, ou Édition > Préférences, si vous utilisez un PC Windows. 2 Cliquez sur Lecture puis choisissez Égaliseur de volume. Pour régler l’iPod shuffle de manière qu’il utilise les réglages de volume d’iTunes : 1 Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur. 2 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils. 3 Cliquez sur l’onglet Résumé. 4 Dans la section Options, sélectionnez « Activer l’Égaliseur de volume ». 5 Cliquez sur Appliquer. Si vous n’avez pas activé l’option Égaliseur de volume dans iTunes, la configurer sur l’iPod shuffle n’a aucun effet. Activation du volume maximum Vous pouvez définir un volume maximum sur votre iPod shuffle. mais aussi de définir un mot de passe dans iTunes afin d’empêcher toute autre personne de modifier ce réglage. Si vous avez mis en place un volume maximum sur l’iPod shuffle, le voyant d’état passe à l’orange et clignote trois fois si vous essayez de monter le son au-delà de la limite établie. Pour définir un volume maximum sur votre iPod shuffle : 1 Réglez le son de l’iPod shuffle sur le niveau que vous souhaitez établir comme volume maximum. 2 Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur. 3 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils, puis cliquez sur l’onglet Résumé. 4 Dans la section Options, sélectionnez « Limiter le volume maximum ». 5 Faites alors glisser le curseur pour définir le niveau sonore maximum. L’emplacement initial du curseur représente le volume établi sur l’iPod shuffle lors de sa connexion à votre ordinateur. WARNING: Le niveau sonore peut varier selon le type d’écouteurs ou de casque utilisé.Pour supprimer le volume maximum : 1 Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur. 2 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils, puis cliquez sur l’onglet Résumé. 3 Dans la section Options, désélectionnez « Limiter le volume maximum ». Verrouillage et déverrouillage des boutons de l’iPod shuffle Vous pouvez verrouiller les boutons de l’iPod shuffle pour ne pas les activer par mégarde. Cette fonction requiert le logiciel de version 1.0.1 ou ultérieur (connectez l’iPod shuffle à iTunes pour mettre le logiciel à jour). Pour verrouiller les boutons de l’iPod shuffle: m Maintenez enfoncé le bouton Lecture/Pause (’) pendant trois secondes. Le voyant d’état orange s’allume clignote trois fois lorsque les boutons se verrouillent. Si vous appuyez sur un bouton pendant que les boutons sont verrouillés, le voyant d'état orange clignote une fois. Pour déverrouiller les boutons: m Maintenez à nouveau enfoncé le bouton Lecture/Pause (’) pendant trois secondes. Le voyant d’état orange s’allume clignote trois fois lorsque les boutons se déverrouillent. Si vous portez des écouteurs, vous entendez un son lors du verrouillage et du déverrouillage des boutons. 32 Chapitre 4    Écouter de la musique33 L’iPod shuffle vous permet de transportez votre musique ainsi que vos données. Lisez ce chapitre pour savoir comment utiliser l’iPod shuffle en tant que disque externe. Utilisation de l’iPod shuffle en tant que disque externe Vous pouvez utiliser l’iPod shuffle comme disque externe pour y stocker des fichiers de données. Pour synchroniser de la musique et autres supports audio à écouter sur l’iPod shuffle, vous devez passer par l’application iTunes. L’iPod shuffle ne peut pas lire les fichiers audio copiés à l’aide du Finder de Macintosh ou de l’explorateur Windows. Pour utiliser l’iPod shuffle comme disque externe : 1 Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur. 2 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils, puis cliquez sur l’onglet Résumé. 3 Dans la section Options, sélectionnez « Activer l’utilisation comme disque dur ». Il vous sera peut-être nécessaire de faire défiler les éléments pour arriver aux réglages concernant le disque. 4 Cliquez sur Appliquer. Si vous utilisez l’iPod shuffle en tant que disque externe, l’icône de disque de l’iPod shuffle apparaît sur le bureau dans le cas d’un ordinateur Macintosh ou sous la lettre d’unité suivante disponible dans l’explorateur Windows dans le cas d’un PC sous Windows. Quand l’iPod shuffle est activé en tant que disque dur et que vous le connectez à votre ordinateur, le voyant d’état orange clignote de façon continue. Il est important d’éjecter l’iPod shuffle dans iTunes avant de le déconnecter de votre ordinateur. 5 Stockage de fichiers sur l’iPod shuffleCopie de fichiers entre ordinateurs Lorsque l’utilisation de l’iPod shuffle en tant que disque dur est activée, vous pouvez copier des fichiers d’un ordinateur à un autre. L’iPod shuffle est formaté sous forme de volume FAT-32, format pris en charge par les Mac et les PC. Cela vous permet d’utiliser l’ pour copier des fichiers entre ordinateurs de systèmes d’exploitation différents. Pour copier des fichiers entre ordinateurs : 1 Après avoir activé la fonction d’utilisation de l’iPod shuffle en tant que disque dur, connectez-le à l’ordinateur qui contient les fichiers à copier. Important: Si l’iPod shuffle est configuré de façon à assurer sa synchronisation automatiquement et que vous le connectez à un autre ordinateur ou compte utilisateur, un message vous demande si vous souhaitez effacer l’iPod shuffle et le synchroniser avec la nouvelle bibliothèque iTunes. Cliquez sur Annuler si vous ne voulez pas effacer ce qui se trouve sur l’iPod shuffle. 2 Faites glisser les fichiers désirés sur votre iPod shuffle en utilisant le système de fichiers de l’ordinateur (le Finder sur un Mac ou l’explorateur Windows sur un PC). 3 Déconnectez ensuite l’iPod shuffle puis connectez-le à l’autre ordinateur. Là encore, cliquez sur Annuler si vous ne voulez pas effacer ce qui se trouve sur l’iPod shuffle. 4 Faites glisser les fichiers de l’iPod shuffle vers l’un des dossiers de l’autre ordinateur. Comment empêcher l’ouverture automatique d’iTunes Il est possible d’empêcher iTunes de s’ouvrir automatiquement quand vous connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur. Pour empêcher iTunes de s’ouvrir automatiquement : 1 Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur. 2 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils, puis cliquez sur l’onglet Résumé. 3 Dans la section Options, désélectionnez « Ouvrir iTunes à la connexion de cet iPod ». 4 Cliquez sur Appliquer. 34 Chapitre 5    Stockage de fichiers sur l’iPod shuffle35 La plupart des problèmes de l’iPod shuffle peuvent être rapidement résolus si vous suivez les conseils de ce chapitre. Les 5 R : réinitialiser, réessayer, redémarrer, réinstaller, restaurer Souvenez-vous de ces conseils élémentaires si un problème survient avec l’iPod shuffle. Essayez de réaliser ces opérations l’une après l’autre jusqu’à ce que le problème soit résolu. Si les solutions suivantes ne suffisent pas, lisez plus loin pour apprendre à résoudre des problèmes spécifiques.  Réinitialisez l’iPod shuffle de la manière suivante : éteignez-le, attendez 10 secondes, puis rallumez-le.  Réessayez sur un autre port USB 2.0 si l’iPod shuffle n’apparaît pas dans iTunes.  Redémarrez votre ordinateur et assurez-vous que les mises à jour de logiciels les plus récentes sont installées.  Réinstallez le logiciel iTunes à partir de la dernière version disponible sur le web.  Restaurez l’iPod shuffle. Reportez-vous à la rubrique “Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod shuffle” à la page 38. Si le voyant d’état reste rouge ou si le message d’erreur vocal « Utilisez iTunes pour restaurer » retentit Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur et procédez à sa restauration dans iTunes. Reportez-vous à la rubrique “Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod shuffle” à la page 38. Si l’iPod shuffle ne s’allume ou ne répond pas  Connectez l’iPod shuffle à un port USB 2.0 à forte alimentation de votre ordinateur. La batterie de votre iPod shuffle peut avoir besoin d’être rechargée.  Éteignez l’iPod shuffle, attendez 10 secondes puis rallumez-le.  Il est possible que le logiciel de l’iPod shuffle ait besoin d’être restauré. Reportezvous à la rubrique “Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod shuffle” à la page 38. 6 Astuces et dépannageSi l’iPod shuffle ne lit pas de musique  L’iPod shuffle peut ne pas disposer de musique. Si le message vocal « Utilisez iTunes pour restaurer » se fait entendre, connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur pour y synchroniser de la musique.  Faites glisser le commutateur à trois positions sur OFF, puis rallumez le dispositif.  Assurez-vous que le connecteur du casque ou des écouteurs est complètement enfoncée dans la prise casque.  Assurez-vous que le volume est correctement réglé. Il est possible qu’un niveau de volume maximum ait été mis en place. Reportez-vous à la rubrique “m” à la page 31.  Il se peut que l’iPod shuffle soit en pause. Essayez d’appuyer sur Lecture/Pause (’). Si rien ne se produit lorsque vous connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur  Connectez l’iPod shuffle à un port USB 2.0 à forte alimentation de votre ordinateur. La batterie de votre iPod shuffle peut avoir besoin d’être rechargée.  Assurez-vous que vous avez installé la dernière version d’iTunes disponible à l’adresse http://www.itunes.com/fr/download.  Réessayez en connectant le câble USB à un autre port USB 2.0 de votre ordinateur. Assurez-vous que le câble USB est bien enfiché sur l’iPod shuffle et correctement relié à l’ordinateur. Vérifiez que le connecteur USB est orienté correctement. Il ne peut être inséré que dans un sens.  L’iPod shuffle a peut-être besoin d’être réinitialisé. Éteignez l’iPod shuffle, attendez 10 secondes puis rallumez-le.  Si l’iPod shuffle n’apparaît pas dans iTunes ou dans le Finder, il se peut que batterie soit complètement déchargée. Laissez l’iPod shuffle se recharger pendant plusieurs minutes pour voir si cela lui permet de se réactiver.  Assurez-vous que vous disposez de l’ordinateur et du logiciel requis. Reportez-vous à la rubrique “ise” à la page 37.  Essayez de redémarrer votre ordinateur.  Il est possible que vous deviez restaurer le logiciel de l’iPod. Reportez-vous à la rubrique “uffle” à la page 38.  L’iPod shuffle a peut-être besoin d’une réparation. Vous pouvez obtenir des services en consultant le site web de service et d’assistance de l’iPod shuffle à l’adresse www.apple.com/fr/support/ipodshuffle/service. Si vous ne parvenez pas à synchroniser un morceau ou un autre élément sur l’iPod shuffle Le morceau peut être encodé dans un format que l’iPod shuffle ne prend pas en charge. Les formats de fichier audio suivants sont pris en charge par l’iPod shuffle. Ils comprennent les formats des livres audio et des podcasts :  AAC (M4A, M4B, M4P) (de 8 à 320 kbit/s) 36 Chapitre 6    Astuces et dépannageChapitre 6    Astuces et dépannage 37  AAC protégé (de l’iTunes Store)  Apple Lossless (format de compression haute qualité)  MP3 (de 8 à 320 kbit/s)  MP3 Variable Bit Rate (VBR)  Audible (formats 2, 3, 4, Audible Enhanced Audio, AAX et AAX+)  WAV  AA (texte lu audible.com, formats 2, 3 et 4)  AIFF Un morceau encodé au format Apple Lossless présente un son proche de la qualité CD, mais n’occupe que la moitié environ de l’espace utilisé par un morceau encodé au format AIFF ou WAV. Le même morceau encodé au format AAC ou MP3 utilise encore moins de place. Lorsque vous importez de la musique depuis un CD à l’aide d’iTunes, elle est convertie par défaut au format AAC. Vous pouvez configurer l’iPod shuffle pour qu’il convertisse automatiquement les fichiers encodés à un débit plus élevé en fichiers AAC de 128 kbit/s au cours de leur synchronisation avec l’iPod shuffle. Reportez-vous à la rubrique “shuffle” à la page 24. Si vous utilisez iTunes pour Windows, vous pouvez convertir les fichiers WMA non protégés en fichiers AAC ou MP3. Cela peut être utile si vous disposez d’une collection de musique encodée au format WMA. iPod shuffle L’ ne prend pas en charge les fichiers audio WMA, MPEG Layer 1, MPEG Layer 2 ou le format 1 d’audible.com. Si vous possédez dans iTunes un morceau qui n’est pas pris en charge par l’iPod shuffle, vous pouvez le convertir en un format que l’iPod shuffle prend en charge. Pour en savoir plus, ouvrez iTunes, puis choisissez Aide > Aide iTunes. Si vous souhaitez effectuer une double vérification de la configuration requise Pour utiliser l’iPod shuffle, vous devez disposer des éléments suivants :  Une des configurations d’ordinateur suivantes :  Un ordinateur Macintosh doté d’un port USB 2.0  Un PC Windows équipé d’un port USB 2.0 ou d’une carte USB 2.0  L’un des systèmes d’exploitation suivants : Mac OS X 10.5.8 ou ultérieur, Windows Vista ou Windows XP Édition Familiale ou Professionnel avec Service Pack Service Pack 3 ou ultérieur  Un accès à Internet (une connexion à haut débit est recommandée).  iTunes 10 ou ultérieur (vous pouvez télécharger iTunes à la page www.itunes.com/ fr/download)Si votre PC sous Windows n’est pas doté de port USB 2.0 à forte alimentation, vous pouvez acheter et installer une carte d’extension USB 2.0. Port USB 2.0 à forte alimentation Si vous souhaitez utiliser l’iPod shuffle avec un Mac et un PC sous Windows Si votre iPod shuffle est configuré de sorte à vous laisser gérer manuellement la musique, vous avez la possibilité d’y ajouter du contenu à partir de plusieurs bibliothèques iTunes, indépendamment du système d’exploitation de l’ordinateur. Si votre iPod shuffle est configuré de façon à assurer sa synchronisation automatiquement et que vous le connectez à un autre ordinateur ou compte utilisateur, un message vous demande si vous souhaitez effacer l’iPod shuffle et le synchroniser avec la nouvelle bibliothèque iTunes. Si vous voulez conserver le contenu audio sur l’iPod shuffle, cliquez sur Annuler. Il est possible d’utiliser l’iPod shuffle comme disque externe aussi bien avec un ordinateur Macintosh qu’avec un PC sous Windows, ce qui vous permet de copier des fichiers d’un système d’exploitation à l’autre. Reportez-vous à la rubrique Chapter 5,“ shuffle,” à la page 33. Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod shuffle Vous pouvez utiliser iTunes pour mettre à jour ou restaurer le logiciel de l’iPod shuffle. Il est recommandé de mettre à jour l’iPod shuffle et d’utiliser le logiciel le plus récent. Vous pouvez également restaurer le logiciel et rétablir ainsi l’iPod shuffle à son état d’origine.  Si vous optez pour la mise à jour, le logiciel conserve vos réglages, vos morceaux et toute autre donnée.  Si vous choisissez de restaurer, toutes les données sont effacées de l’iPod shuffle, y compris les morceaux et toutes les autres données. Tous les réglages d’origine de l’iPod shuffle seront rétablis. Pour mettre à jour ou restaurer l’iPod shuffle : 1 Assurez-vous que vous disposez d’une connexion Internet et avez installé la dernière version d’iTunes à la page www.itunes.com/fr/download. 2 Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur. 3 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils, puis cliquez sur l’onglet Résumé. La section Version indique si l’iPod shuffle est à jour ou nécessite une version plus récente du logiciel. 38 Chapitre 6    Astuces et dépannageChapitre 6    Astuces et dépannage 39 4 Procédez de l’une des manières suivantes :  Pour installer la toute dernière version du logiciel, cliquez sur Mettre à jour.  Pour restaurer l’iPod shuffle et rétablir ses réglages d’origine, cliquez sur Restaurer. Cette opération efface toutes les données de l’iPod shuffle. Suivez les instructions à l’écran pour terminer la restauration.40 Ce chapitre contient des informations importantes sur la sécurité et la manipulation de l’iPod shuffle. ± Afin d’éviter toute blessure, consultez avant d’utiliser l’iPod shuffle les informations relatives à la sécurité ci-dessous, ainsi que les consignes d’utilisation. Conservez ce Guide de l’utilisateur de l’iPod shuffle à portée de main pour pouvoir vous y reporter facilement. Informations importantes relatives à la sécurité WARNING: Ne pas suivre les présentes instructions relatives à la sécurité pourrait provoquer un incendie, un choc électrique ou un autre dommage. Manipulation correcte  Ne laissez pas tomber, ne désassemblez pas, n’ouvrez pas, n’écrasez pas, ne tordez pas, ne déformez pas, ne perforez pas, ne réduisez pas en morceaux, ne mettez pas dans un four à micro-ondes, ne mettez pas au feu, ne peignez pas ou n’insérez pas de corps étranger dans l’iPod shuffle. Eau et humidité  N’utilisez pas l’iPod shuffle sous la pluie, à proximité d’un évier ou de tout autre lieu humide. Veillez à ne pas renverser d’aliments ou de liquides sur l’iPod shuffle. Si l’iPod shuffle venait à être en contact avec de l’humidité, débranchez tous les câbles, puis éteignez-le (en faisant glisser le commutateur à trois positions sur OFF) avant de procéder au nettoyage. Laissez-le ensuite sécher complètement avant de le rallumer. N’essayez jamais de sécher l’iPod shuffle à l’aide d’une source externe de chaleur telle qu’un four à micro-ondes ou un sèche-cheveux. 7 Sécurité et manipulationChapitre 7    Sécurité et manipulation 41 Réparations de l’iPod shuffle  N’essayez jamais de réparer ou de modifier l’iPod shuffle vous-même. Si l’iPod shuffle a été immergé, perforé ou sujet à une chute, ne l’utilisez pas tant que vous ne l’avez pas fait examiner par un Centre de service agréé Apple. L’iPod shuffle ne contient aucune pièce démontable par l’utilisateur. Le démontage de l’iPod shuffle, notamment le retrait de sa face arrière, peut provoquer des dégâts non couverts par la garantie. Pour des informations sur le service après-vente, choisissez Aide iPod dans le menu Aide d’iTunes ou consultez la page www.apple.com/fr/ support/ipod/service. La batterie rechargeable de l’iPod shuffle ne doit être remplacée que par un Centre de service agréé Apple. Pour plus d’informations sur les batteries, consultez la page www.apple.com/fr/support/ipod/service/battery. Adaptateur secteur USB Apple  Lorsque vous utilisez l’adaptateur secteur Apple USB Power Adapter (disponible séparément à la page www.apple.com/fr/ipodstore) pour recharger votre iPod shuffle, assurez-vous qu’il est correctement assemblé avant de le brancher dans une prise de courant. Insérez ensuite fermement l’adaptateur secteur Apple USB Power Adapter dans la prise de courant. Ne branchez ni ne débranchez en aucun cas l’adaptateur secteur Apple USB Power Adapter lorsque vous avez les mains mouillées. N’utilisez aucun adaptateur secteur autre que l’adaptateur Apple USB Power Adapter pour recharger votre iPod shuffle. Il se peut que l’adaptateur secteur USB Apple chauffe pendant une utilisation normale. Veillez à toujours assurer une ventilation correcte autour de lui et à toujours le manipuler avec précaution. Débranchez l’adaptateur secteur USB Apple si l’une des conditions suivantes se présente :  Le câble d’alimentation ou la prise est effiloché ou endommagé.  L’adaptateur est exposé à la pluie, à des liquides ou à une humidité excessive.  Le boîtier de l’adaptateur est endommagé.  Vous pensez que l’adaptateur doit être réparé.  Vous voulez nettoyer l’adaptateur. Perte d’audition  Vous risquez une perte auditive irréversible si vous réglez votre casque ou vos écouteurs sur un volume sonore trop élevé. Réglez le volume à un niveau raisonnable. Vous pouvez vous habituer petit à petit à un volume de son plus élevé qui peut vous paraître normalmais entraîner une détérioration de votre audition. Si vos oreilles bourdonnent ou si les sons vous semblent sourds, arrêtez l’écoute et rendez-vous chez votre médecin pour vérifier votre audition. Plus le volume est élevé, plus vous risquez d’abîmer rapidement votre audition. Les spécialistes de l’audition suggèrent de protéger votre audition de la façon suivante :  Limitez la durée d’utilisation d’un casque à volume sonore élevé.  Évitez de monter le son pour filtrer les bruits extérieurs  Diminuez le volume si vous ne pouvez plus entendre les personnes parler autour de vous.Pour plus de renseignements sur la manière de régler un volume maximum sur l’iPod shuffle, consultez la rubrique “Activation du volume maximum” à la page 31. Sécurité liée aux écouteurs  L’utilisation des écouteurs (même dans le cas d’une utilisation avec une seule oreille) lors de la conduite d’un véhicule ou de l’utilisation d’une bicyclette n’est pas recommandée, et elle est illégale dans certaines zones géographiques. Consultez et respectez les lois et réglementations applicables en matière d’utilisation d’écouteurs et de dispositifs mobiles comme l’iPod shuffle à l’endroit où vous conduisez. Soyez prudent et attentif au volant. Cessez d’utiliser l’iPod shuffle si vous vous rendez compte que cela vous distrait ou vous dérange lorsque vous conduisez ou lorsque vous réalisez toute autre activité nécessitant toute votre attention. Informations importantes sur le maniement NOTICE: Ne pas suivre les présentes instructions sur la manipulation peut provoquer des dommages à l’iPod shuffle ou à d’autres objets. Transport de l’iPod shuffle  Certains composants de l’iPod shuffle sont délicats. Ne tordez pas l’iPod shuffle, ne l’écrasez et ne le laissez pas tomber. Utilisation des connecteurs et des ports  Ne forcez jamais un connecteur à entrer dans un port. Vérifiez que rien ne bloque l’entrée au port. Si le connecteur et le port ne s’assemblent pas facilement, c’est probablement parce qu’ils ne sont pas compatibles. Assurez-vous que le connecteur est compatible avec le port et que vous l’avez positionné correctement par rapport à ce dernier. Maintien de l’iPod shuffle dans une gamme de températures acceptables  Utilisez toujours l’iPod shuffle dans des endroits où la température se situe entre 0 ºC et 35 ºC. L’autonomie de lecture de l’iPod shuffle peut se réduire temporairement lorsque la température est basse. Rangez l’iPod shuffle dans un endroit où la température est toujours comprise entre -20 ºC et 45 ºC. Ne laissez pas l’iPod shuffle dans une voiture en stationnement, car la température pourrait dépasser cette plage de températures. Lorsque vous utilisez l’iPod shuffle ou rechargez sa batterie, il est normal qu’il chauffe. La partie extérieure de l’iPod shuffle agit en tant que surface de refroidissement qui transfère la chaleur de l’intérieur de l’unité vers l’air qui l’entoure. Propreté de l’extérieur de l’iPod shuffle  Pour nettoyer l’iPod shuffle, débranchez tous les câbles, éteignez-le (en faisant glisser le commutateur à trois positions sur la position OFF) et utilisez un chiffon doux, légèrement humide et non pelucheux. Évitez toute pénétration d’humidité dans les orifices de l’appareil. N’utilisez pas de produit lave-vitre, de détergent domestique, d’aérosol, de solvant, d’alcool, d’ammoniac ou de produit abrasif pour nettoyer l’iPod shuffle. 42 Chapitre 7    Sécurité et manipulationChapitre 7    Sécurité et manipulation 43 Élimination correcte de l’iPod shuffle  Pour obtenir des renseignements sur l’élimination correcte de l’iPod shuffle, notamment des informations importantes concernant la conformité aux réglementations, consultez la rubrique “Informations concernant l’élimination et le recyclage” à la page 46. Informations sur la conformité  Pour plus de renseignements sur la conformité de l’iPod shuffle, consultez la section “Regulatory Compliance Information” à la page 45. A pleine puissance, l'écoute prolongée du baladeur peut endommager l'oreille de l'utilisateur. Déclaration de Conformité Utiliser cet iPod avec les écouteurs inclus ou les écouteurs actuellement commercialisés sous la marque Apple, sous la marque iPod ou revétus du logo Apple permet d'assurer le respect de la puissance sonore maximale fixée par l'article L5232-1 du Code de la Santé Publique français. Pour en savior plus sur l'écoute sans risque consultez les directives de sécurité dans la documentation de l'iPod.44 Vous trouverez plus d’informations sur l’utilisation de l’iPod shuffle dans l’aide à l’écran et sur le web. Le tableau suivant décrit à quel endroit trouver des informations sur les services et les logiciels pour iPod. Pour en savoir plus sur : Procédez comme suit : Les services et l’assistance, les forums de discussion, les guides d’initiation et les téléchargements de logiciels Apple Allez sur www.apple.com/fr/support/ipodshuffle L’utilisation d’iTunes Ouvrez iTunes et choisissez Aide > Aide iTunes. Pour consulter le guide d’initiation iTunes en ligne (uniquement disponible dans certains pays), rendez-vous sur www.apple.com/fr/itunes/ tutorials Les toutes dernières informations sur l’ iPod shuffle Allez sur www.apple.com/fr/ipodshuffle Enregistrement de l’iPod shuffle Installez iTunes sur votre ordinateur et connectez l’iPod shuffle. Emplacement du numéro de série de l’iPod shuffle Regardez sous l’attache de l’iPod shuffle. Vous pouvez également sélectionner dans iTunes l’iPod shuffle dans la liste des appareils (lorsque l’iPod shuffle est connecté à l’ordinateur) et cliquer sur l’onglet Résumé. Obtention de réparations sous garantie Suivez d’abord les conseils qui figurent dans le présent fascicule, l’aide à l’écran et les ressources en ligne, puis allez sur www.apple.com/fr/ support/ipodshuffle/service 8 En savoir plus, service et assistanceRegulatory Compliance Information FCC Compliance Statement This device complies with part 15 of the FCC rules. Operation is subject to the following two conditions: (1) This device may not cause harmful interference, and (2) this device must accept any interference received, including interference that may cause undesired operation. See instructions if interference to radio or television reception is suspected. Radio and TV Interference This computer equipment generates, uses, and can radiate radio-frequency energy. If it is not installed and used properly—that is, in strict accordance with Apple’s instructions—it may cause interference with radio and television reception. This equipment has been tested and found to comply with the limits for a Class B digital device in accordance with the specifications in Part 15 of FCC rules. These specifications are designed to provide reasonable protection against such interference in a residential installation. However, there is no guarantee that interference will not occur in a particular installation. You can determine whether your computer system is causing interference by turning it off. If the interference stops, it was probably caused by the computer or one of the peripheral devices. If your computer system does cause interference to radio or television reception, try to correct the interference by using one or more of the following measures:  Turn the television or radio antenna until the interference stops.  Move the computer to one side or the other of the television or radio.  Move the computer farther away from the television or radio.  Plug the computer into an outlet that is on a different circuit from the television or radio. (That is, make certain the computer and the television or radio are on circuits controlled by different circuit breakers or fuses.) If necessary, consult an Apple-authorized service provider or Apple. See the service and support information that came with your Apple product. Or, consult an experienced radio/television technician for additional suggestions. Important: Changes or modifications to this product not authorized by Apple Inc. could void the EMC compliance and negate your authority to operate the product. This product was tested for EMC compliance under conditions that included the use of Apple peripheral devices and Apple shielded cables and connectors between system components. It is important that you use Apple peripheral devices and shielded cables and connectors between system components to reduce the possibility of causing interference to radios, television sets, and other electronic devices. You can obtain Apple peripheral devices and the proper shielded cables and connectors through an Apple Authorized Reseller. For non-Apple peripheral devices, contact the manufacturer or dealer for assistance. Responsible party (contact for FCC matters only): Apple Inc. Corporate Compliance 1 Infinite Loop, MS 26-A Cupertino, CA 95014 Industry Canada Statement This Class B device meets all requirements of the Canadian interference-causing equipment regulations. Cet appareil numérique de la classe B respecte toutes les exigences du Règlement sur le matériel brouilleur du Canada. VCCI Class B Statement Korea Class B Statement Russia European Community Complies with European Directives 2006/95/EEC and 89/336/EEC. 45Informations concernant l’élimination et le recyclage Vous devez respecter les lois et réglementations locales lors de l’élimination de votre iPod. Étant donné que ce produit contient une batterie, il doit être éliminé séparément des déchets ménagers. Lorsque votre iPod atteint la fin de sa vie, contactez Apple ou les autorités locales pour en savoir plus à propos des options de recyclage. Pour plus d’informations sur le programme de recyclage d’Apple, consultez la page : www.apple. com/fr/environment/recycling Informations concernant le remplacement et l’élimination de la batterie la batterie rechargeable de l’iPod shuffle ne doit être remplacée que par un prestataire de services agréé. Pour en savoir plus sur les services de remplacement de la batterie, consultez la page : www.apple.com/fr/ batteries/replacements.html Votre iPod shuffle contient une batterie. Jetez votre iPod shuffle en conformité avec les lois et dispositions légales environnementales de votre pays ou région. Deutschland: Dieses Gerät enthält Batterien. Bitte nicht in den Hausmüll werfen. Entsorgen Sie dieses Gerätes am Ende seines Lebenszyklus entsprechend der maßgeblichen gesetzlichen Regelungen. Nederlands: Gebruikte batterijen kunnen worden ingeleverd bij de chemokar of in een speciale batterijcontainer voor klein chemisch afval (kca) worden gedeponeerd. Taiwan: Türkiye: EEE yönetmeliğine (Elektrikli ve Elektronik Eşyalarda Bazı Zararlı Maddelerin Kullanımının Sınırlandırılmasına Dair Yönetmelik) uygundur. European Union—Disposal Information: This symbol means that according to local laws and regulations your product should be disposed of separately from household waste. When this product reaches its end of life, take it to a collection point designated by local authorities. Some collection points accept products for free. The separate collection and recycling of your product at the time of disposal will help conserve natural resources and ensure that it is recycled in a manner that protects human health and the environment. Union Européenne—informations sur l’élimination Le symbole ci-dessus signifie que vous devez vous débarasser de votre produit sans le mélanger avec les ordures ménagères, selon les normes et la législation de votre pays. Lorsque ce produit n’est plus utilisable, portez-le dans un centre de traitement des déchets agréé par les autorités locales. Certains centres acceptent les produits gratuitement. Le traitement et le recyclage séparé de votre produit lors de son élimination aideront à préserver les ressources naturelles et à protéger l’environnement et la santé des êtres humains. Europäische Union—Informationen zur Entsorgung Das Symbol oben bedeutet, dass dieses Produkt entsprechend den geltenden gesetzlichen Vorschriften und getrennt vom Hausmüll entsorgt werden muss. Geben Sie dieses Produkt zur Entsorgung bei einer offiziellen Sammelstelle ab. Bei einigen Sammelstellen können Produkte zur Entsorgung unentgeltlich abgegeben werden. Durch das separate Sammeln und Recycling werden die natürlichen Ressourcen geschont und es ist sichergestellt, dass beim Recycling des Produkts alle Bestimmungen zum Schutz von Gesundheit und Umwelt beachtet werden. Unione Europea—informazioni per l’eliminazione Questo simbolo significa che, in base alle leggi e alle norme locali, il prodotto dovrebbe essere eliminato separatamente dai rifiuti casalinghi. Quando il prodotto diventa inutilizzabile, portarlo nel punto di raccolta stabilito dalle autorità locali. Alcuni punti di raccolta accettano i prodotti gratuitamente. La raccolta separata e il riciclaggio del prodotto al 46momento dell’eliminazione aiutano a conservare le risorse naturali e assicurano che venga riciclato in maniera tale da salvaguardare la salute umana e l’ambiente. Europeiska unionen—uttjänta produkter Symbolen ovan betyder att produkten enligt lokala lagar och bestämmelser inte får kastas tillsammans med hushållsavfallet. När produkten har tjänat ut måste den tas till en återvinningsstation som utsetts av lokala myndigheter. Vissa återvinningsstationer tar kostnadsfritt hand om uttjänta produkter. Genom att låta den uttjänta produkten tas om hand för återvinning hjälper du till att spara naturresurser och skydda hälsa och miljö. Brasil—Informações sobre descarte e reciclagem O símbolo indica que este produto e/ou sua bateria não devem ser descartadas no lixo doméstico. Quando decidir descartar este produto e/ou sua bateria, faça-o de acordo com as leis e diretrizes ambientais locais. Para informações sobre o programa de reciclagem da Apple, pontos de coleta e telefone de informações, visite www.apple.com/ br/environment. Apple et l’environnement À Apple, nous sommes conscients de la responsabilité qui nous incombe de réduire les impacts écologiques de nos activités et de nos produits. Pour en savoir plus, rendez-vous à l’adresse www.apple.com/fr/environment © 2010 Apple Inc. Tous droits réservés. Apple, le logo Apple, iPod, iTunes, Mac, Macintosh et Mac OS sont des marques d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Finder et Shuffle sont des marques d’Apple Inc. Apple Store et iTunes Store sont des marques de service d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Les autres noms de société ou de produit mentionnés dans ce document peuvent être des marques de leurs sociétés respectives. Les produits commercialisés par des entreprises tierces ne sont mentionnés que pour information, sans aucune intention de préconisation ni de recommandation. Apple décline toute responsabilité quant à l’utilisation et au fonctionnement de ces produits. Tout arrangement, accord ou garantie, le cas échéant, s’applique directement entre le revendeuret les utilisateurs potentiels. Tout a été mis en œuvre pour que les informations présentées dans ce manuel soient exactes. Apple n’est pas responsable des erreurs de reproduction ou d’impression. F019-1974/2010-11 47 iPod nano User GuideContents 5 Chapter 1: iPod nano at a Glance 5 iPod nano overview 5 Accessories 6 The Home screen 7 Status icons 8 Chapter 2: Getting started 8 Setting up iPod nano 10 Chapter 3: Basics 10 Using Multi-Touch 12 Getting information about iPod nano 12 Connecting and disconnecting iPod nano 13 About the battery 15 Setting preferences 16 Organizing icons on the Home screen 17 Chapter 4: Syncing with iTunes 17 Syncing the first time 17 Syncing automatically or manually 19 Transferring purchased content to another computer 20 Chapter 5: Music and Other Audio 20 Playing music 22 Playing podcasts, audiobooks, and iTunes U collections 24 Controlling the volume 25 Creating playlists on iPod nano 28 Using Apple earphones 29 Chapter 6: FM Radio 29 Listening to FM radio 30 Tuning the FM radio 31 Pausing live radio 32 Tagging songs to sync to iTunes 32 Setting your radio region 34 Chapter 7: Fitness 35 Using iPod nano to count steps 36 Creating workouts with music 37 Calibrating iPod nano 38 Viewing and managing fitness data 240 Chapter 8: Photos 40 Syncing photos 42 Viewing photos on iPod nano 44 Chapter 9: Other Features 44 Tracking time 46 Recording voice memos 47 Using iPod nano as an external disk 48 Using the Apple Earphones with Remote and Mic 49 Chapter 10: Accessibility 49 Universal Access features 49 VoiceOver 51 Mono Audio 51 White on Black 52 Chapter 11: Tips and Troubleshooting 52 General suggestions 56 Updating and restoring iPod software 57 Chapter 12: Safety and Cleaning 57 Important safety and handling information 60 Chapter 13: Learning More, Service, and Support 61 Regulatory Compliance Information 63 Index Contents 3iPod nano at a Glance 1 iPod nano overview Menu and app icons Dock connector Earphone port Volume Down Volume Up Clip Sleep/Wake Status bar Multi-Touch screen To Do this Turn the screen on or off while you listen to music or other audio Press the Sleep/Wake button. Turn iPod nano off completely, or to turn it back on Hold down the Sleep/Wake button for a few seconds. Adjust the volume while listening to songs or other media Press the Volume Up or Volume Down button. These buttons also control the volume for alerts and other sounds. Accessories The following accessories come with iPod nano: Apple Earphones Apple Dock Connector to USB Cable Use the Apple Dock Connector to USB Cable to connect iPod nano to your computer, sync content, and charge the battery. You can also use the cable with the Apple USB Power Adapter (sold separately). Use the Apple Earphones to listen to music, audiobooks, and podcasts. They also double as an antenna for listening to radio broadcasts. 5The Home screen When you turn on iPod nano, you see the Home screen. Each icon on the Home screen represents choices for listening to music or podcasts, or for using features like recording voice memos or viewing photos. Tap an icon to open it, then use gestures to navigate (see “Using Multi-Touch” on page 10). You’ll see these Home screen icons when you first turn on iPod nano: Icon Function Now Playing Provides quick access to the currently playing audio. Music Provides quick access to your music and other audio content organized by playlists, artists, songs, and more. Radio Opens the FM radio tuner, if earphones are connected to iPod nano. Fitness Opens the Fitness feature, where you can count your steps for walks or runs and track time, distance, pace, and calories burned for workouts. Clock Opens the clock, stopwatch, and timer. Photos Displays the photos synced from your computer. Audiobooks Lists audiobooks synced from your iTunes library (it doesn’t appear if you have no audiobooks). Podcasts Lists the podcasts synced from your iTunes library. iTunes U Lists iTunes U collections synced from your iTunes library (it doesn’t appear if you have no collections). Voice Memos Opens the controls for recording and managing voice memos. It’s visible only if a microphone is connected to iPod nano, or if there are voice memo recordings on iPod nano. Settings Opens settings for iPod nano and many of its features. 6 Chapter 1 iPod nano at a GlanceYou can add these icons to your Home screen by turning them on in Settings: Icon Function Genius Mixes Lists the Genius Mixes synced from your iTunes library. Playlists Lists the playlists synced from your iTunes library or created on iPod nano. Artists Lists songs synced from your iTunes library, organized by artist. Albums Lists albums synced from your iTunes library, in alphabetical order. Songs Lists songs synced from your iTunes library, in alphabetical order. Genres Lists songs synced from your iTunes library, by genre. Composers Lists songs synced from your iTunes library, by composer. You can customize the layout of the icons on your Home screen by moving them (see “Setting preferences” on page 15). You can also create Home screens with small icons (see “Organizing icons on the Home screen” on page 16). Status icons The icons in the status bar at the top of the screen give information about iPod nano: Icon What it means A song, podcast, audiobook, or iTunes U episode is playing. A song, podcast, audiobook, iTunes U episode, or radio broadcast is paused. The radio is playing. Steps are being counted. Shows the battery level or charging status. Chapter 1 iPod nano at a Glance 7Getting started 2 WARNING: To avoid injury, read all operating instructions and safety information in this guide · before using iPod nano. Setting up iPod nano Before you can use iPod nano, you must set it up in iTunes. During setup, you can create an iTunes Store account or specify an existing account. (The iTunes Store may not be available in all countries or regions.) iTunes also displays and records the serial number of your iPod nano when it’s connected, in case you need it. Set up iPod nano: 1 Download and install the latest version of iTunes from www.itunes.com/download. 2 Connect iPod nano to a high-power USB 2.0 port on your Mac or PC, using the cable that came with iPod nano. 3 Follow the onscreen instructions in iTunes to register iPod nano and sync iPod nano with songs from your iTunes library. If you need help using the iPod nano Setup Assistant, see “Set up iTunes syncing the first time:” on page 17. When iPod nano is syncing with your computer, iPod nano shows “Sync in Progress.” When syncing is complete, iTunes shows “iPod sync is complete.” For information about syncing, see Chapter 4,“Syncing with iTunes,” on page 17. 4 Leave iPod nano connected to your computer for up to three hours, to fully charge the battery. You can disconnect iPod nano before the battery is fully charged, and you can sync while the battery charges. For more information, see “About the battery” on page 13. If iPod nano is connected to the USB port of a Windows PC, the battery may not charge while the computer is asleep. 85 Disconnect the cable from iPod nano when you’re ready to use it. Don’t disconnect iPod nano if you see the “Connected” or “Synchronizing” message. To avoid damaging files on iPod nano, eject iPod nano before disconnecting. For more information about safely disconnecting iPod nano, see “Disconnecting iPod nano from your computer” on page 13. Chapter 2 Getting started 9Basics 3 Using Multi-Touch The Multi-Touch screen and simple finger gestures make it easy to use iPod nano. Tap and double-tap Tap an icon to open it, or to select an item in a menu or list. Tap a photo twice quickly to zoom in, then double-tap again to quickly zoom out. Touch and hold Touch and hold anywhere on the screen (except on an icon or control) to return to the Home screen. Touch and hold an icon to rearrange icons on Home screens—when the icons begin to jiggle, drag them into a new order, then press the Sleep/Wake button to save. Swipe Swipe sideways to move to the next or previous screen. 10Drag Drag over scrubber bars or sliders to move their controls. Drag icons to rearrange them. Flick Flick your finger quickly up or down to scroll rapidly. You can wait for scrolling to stop, or touch anywhere on the screen to stop it immediately. Touching the screen won’t choose or activate anything. In some lists, such as Playlists, you can flick down to show editing controls at the top. Rotate You can rotate the screen so it’s easier to see when you clip iPod nano to something. Place two fingers on the screen and rotate in the direction you want the screen to move, until the screen faces the way you want. Here are more iPod nano controls and gestures: To Do this Turn iPod nano off completely, or turn it on again Hold down the Sleep/Wake button for several seconds to turn iPod nano off completely. Any audio that’s playing is turned off. To turn iPod nano back on after turning it off this way, hold down the Sleep/Wake button for a few seconds. To use this feature, you must be using iPod software version 1.1 or later. Wake iPod nano from sleep Press the Sleep/Wake button. Turn off the screen Press the Sleep/Wake button. Music or any other audio that’s playing continues to play. Turn on the backlight Tap the screen if the backlight is dimmed. Chapter 3 Basics 11To Do this Reset iPod nano (if it isn’t responding) Press and hold the Sleep/Wake button and the Volume Down button until the screen goes dark. The Apple logo appears after a few seconds, and then the Home screen. Choose an item Tap the item. Go to the previous screen Swipe right. Go to the next screen Swipe left. Go to the top of a list Tap the status bar at the top of the screen. See all of a song, artist, or album name Swipe left across the name. Go directly to the Home screen Swipe right, or touch and hold anywhere except on an icon or control. Start a workout On the Home screen, tap Fitness, then tap Walk or Run. Record a voice memo Connect the Apple Earphones with Remote and Mic (sold separately). Then, on the Home screen, tap Voice Memos. Find the iPod nano serial number On the Home screen, tap Settings, then tap About. Look under the open edge of the iPod nano clip. Getting information about iPod nano You can get these details about your iPod nano in Settings:  Capacity and amount of space available  Number of songs and photos  Serial number, model, and software version  Copyright and legal information Get information about iPod nano: m On the Home screen, tap Settings, and then tap About. Connecting and disconnecting iPod nano You connect iPod nano to your computer to sync files and charge the iPod nano battery. You can sync songs and charge the battery at the same time. Important: The battery doesn’t charge while your computer is in sleep or standby mode. Connecting iPod nano to your computer iTunes syncs songs on iPod nano automatically when you connect it to your computer, unless you select other sync settings in iTunes. Connect iPod nano to your computer: m Connect the included Apple Dock Connector to USB Cable to a high-power USB 2.0 port on your computer. Connect the other end to iPod nano. If you have an iPod dock, you can connect the cable to a USB 2.0 port on your computer, connect the other end to the dock, and then put iPod nano in the dock. Note: The USB port on most keyboards doesn’t provide enough power to charge iPod nano. 12 Chapter 3 BasicsDisconnecting iPod nano from your computer It’s safe to disconnect iPod nano if you see the Home screen on iPod nano, or a message that says it’s OK to disconnect. If the backlight is off, press the Sleep/Wake button to turn on the backlight, so you can see if it’s safe to disconnect. Disconnect iPod nano: m Disconnect the cable from iPod nano, or, if iPod nano is in the dock, remove iPod nano from the dock. Don’t disconnect iPod nano if you see the “Connected” or “Synchronizing” message. To avoid damaging files on iPod nano, you must eject iPod nano before disconnecting when you see these messages. Eject iPod nano: m In iTunes, click the Eject (C) button next to iPod nano in the device list on the left side of the iTunes window. m If you’re using a Mac, you can eject iPod nano by dragging the iPod nano icon on the desktop to the Trash. m If you’re using a Windows PC, you can eject iPod nano in My Computer or by clicking the Safely Remove Hardware icon in the Windows system tray and selecting iPod nano. If you accidentally disconnect iPod nano without ejecting it, reconnect iPod nano to your computer and sync again. About the battery iPod nano has an internal, non–user-replaceable battery. For best results, the first time you use iPod nano, let it charge for about three hours or until the battery icon shows that the battery is fully charged. The iPod nano battery is 80-percent charged in about one and a half hours, and fully charged in about three hours. If you charge iPod nano while adding files, playing music, listening to the radio, or viewing a slideshow, it might take longer. Charging the battery You can charge the iPod nano battery by connecting iPod nano to your computer, or by using the Apple USB Adapter (available separately). Charge the battery using your computer: m Connect iPod nano to a USB 2.0 port on your computer. The computer must be turned on and not in sleep. Important: If a “Charging, Please Wait” or “Connect to Power” message appears on the iPod nano screen, the battery needs to be charged before iPod nano can communicate with your computer. See “If iPod nano displays a “Connect to Power” message” on page 53. If you want to charge iPod nano when you’re away from your computer, you can purchase the Apple USB Power Adapter. Chapter 3 Basics 13Charge the battery using the Apple USB Power Adapter: 1 Connect the Dock Connector to USB Cable to the Apple USB Power Adapter. 2 Connect the other end of the Dock Connector to USB Cable to iPod nano. 3 Plug the Apple USB Power Adapter into a working electrical outlet. Apple USB Power Adapter (your adapter may look different) Dock Connector to USB Cable Understanding battery states When iPod nano isn’t connected to a power source, a battery icon in the upper-right corner of the iPod nano screen shows approximately how much charge is left. Battery less than 20% charged Battery about halfway charged Battery fully charged When iPod nano is connected to a power source, the battery icon changes to show that the battery is charging or fully charged. Battery charging (lightning bolt) Battery fully charged (plug) You can disconnect and use iPod nano before it’s fully charged. Note: Rechargeable batteries have a limited number of charge cycles and might eventually need to be replaced by an Apple Authorized Service Provider. Battery life and number of charge cycles vary by use and settings. For information, go to www.apple.com/batteries. Conserving power iPod nano intelligently manages battery life while you listen to audio or work out. To save power, the iPod nano screen dims if you don’t touch it for twenty seconds, and then turns off. To turn the screen on when it turns off this way, or to turn the screen off manually, press the Sleep/Wake button. When there is no activity on iPod nano (no audio is playing and no motion is detected if steps are being counted), it turns off automatically. To turn iPod nano back on when it turns off this way, press the Sleep/Wake button. You can also turn off iPod nano completely by holding down the Sleep/Wake button for a few seconds. When you turn iPod nano off this way, hold down the Sleep/Wake button for a few seconds to turn it back on. 14 Chapter 3 BasicsTurning iPod nano off:  Stops music or other audio that’s playing  Clears paused radio  Stops a slideshow if one is playing  Saves a voice memo if one is being recorded  Stops counting steps  Stops and saves Nike+ workout data While iPod nano is turned off, you won’t hear any alarm if a timer expires. When you turn iPod nano on again, alarms that haven’t expired will occur as scheduled. You must be using iPod software version 1.1 or later to use this feature. Setting preferences Settings let you change the appearance of the Home screen and set other preferences for iPod nano. To set preferences, tap the Settings icon on the Home screen. General settings Here are the General preferences you can set: Use this preference To do this Brightness Adjust the screen brightness. Set a lower brightness to use less battery power. Wallpaper Set the background image for the Home screen. Tap a pattern to see how it looks onscreen, then tap Cancel or Set. Home Screen Show or remove icons on the Home screen. Change the Home screen to display large or small icons. Date & Time Set the date, time, and time zone. Change the time display to a 24-hour clock. Show the clock (instead of Now Playing) on waking. Choose a clock face (see “Changing the clock face” on page 44). Accessibility Turn on VoiceOver and mono audio. Change the screen to white on black. For information about accessibility features, see “Universal Access features” on page 49. Language Set the language for iPod nano. Music settings Music settings let you customize how you listen to and play back music on iPod nano. To see these settings, tap the Settings icon on the Home screen and then tap Music. Here are the Music preferences you can set: Use this preference To do this Shake to Shuffle Turn off or on the ability to give iPod nano a quick shake to skip to a random song. Sound Check Automatically adjust the volume of songs, so they play at the same relative volume level. Sleep/Wake Button Choose whether double-clicking the Sleep/Wake button pauses or plays the current track, or plays the next track. EQ Choose an equalizer setting. Chapter 3 Basics 15Use this preference To do this Volume Limit Set a maximum volume limit on iPod nano, and assign a passcode to prevent the setting from being changed without your knowledge. Audio Crossfade Automatically fade out at the end and fade in at the beginning of each song. Group Compilations Group together songs from compilations. Compilations are shown as subcategories under Artists and specific Genres, in Music. Other settings You can set preferences for how you view photos, listen to radio, and track workouts in Settings. For more information, see:  Chapter 6,“FM Radio,” on page 29.  Chapter 7,“Fitness,” on page 34.  Chapter 8,“Photos,” on page 40. You can reset iPod nano to its default settings without affecting your synced content. Reset all settings: 1 From the Home screen, tap Settings. 2 Flick up, then tap Reset Settings. 3 Tap Reset, or tap Cancel if you change your mind. 4 Tap your language, and then tap Done. Organizing icons on the Home screen You can rearrange icons on the Home screen to make frequently used items easier to find. For example, if you use iPod nano every day while working out, you can move the Fitness icon to the first position to make it easier to access. Rearrange Home screen icons: 1 Touch and hold the icon you want to move, until all the icons begin to jiggle. 2 Drag the icon to its new location. Dragging left or right scrolls the icons. For small icons, dragging left or right moves to another screen. 3 When the icon is in position, lift your finger from the screen. 4 Press the Sleep/Wake button, or tap and hold the icon again, to save your changes. You can also change the Home screen to show four small icons instead of one large icon. Dots at the bottom of the Home screen indicate how many screens there are. Show small icons on the Home screen: 1 Tap Settings, and then tap General. 2 Tap Home Screen. 3 Tap next to Small Icons. 16 Chapter 3 BasicsSyncing with iTunes 4 Syncing the first time iTunes is the free software application you use to sync music, audiobooks, podcasts, photos, and iTunes U collections between your computer and iPod nano, and to send workouts to the Nike+ website. If you don’t already have content in iTunes, you can preview and download content from the iTunes Store (available in selected countries) to iTunes on your computer. To learn about iTunes and the iTunes Store, open iTunes and choose Help > iTunes Help. Set up iTunes syncing the first time: 1 Connect iPod nano to your computer, and open iTunes. 2 Enter a name for iPod nano. You enter a name the first time you connect iPod nano. This name appears in the device list on the left side of the iTunes window, after you enter it. 3 Select options for syncing music and photos automatically. If you need help choosing options, choose Help > iTunes Help in the menu bar. 4 Select the language you want to use on iPod nano from the pop-up menu. You only need to do this the first time, or when you restore iPod nano to its factory settings. 5 Click Done. If you selected to sync songs or photos automatically, syncing begins immediately. Syncing automatically or manually There are two ways to add content to iPod nano:  Automatic syncing: When you connect iPod nano to your computer, iPod nano is automatically updated to match the items in your iTunes library. You can sync iPod nano automatically with only one computer at a time.  Manually managing iPod nano: When you connect iPod nano, you can drag individual items to iPod nano and delete individual items from iPod nano. You can add songs from more than one computer without erasing songs from iPod nano. When you manage music yourself, you must always eject iPod nano from iTunes before you disconnect it (see “Connecting and disconnecting iPod nano” on page 12). Automatic syncing iPod nano normally syncs whenever you connect it to iTunes. While music is being synced from your computer to iPod nano, the iTunes status window shows progress, and you see a sync icon next to the iPod nano icon in the device list. When the update is done, a message in iTunes says “iPod update is complete,” and a bar at the bottom of the iTunes window displays how much disk space is used by different types of content. 17Important: The first time you connect iPod nano to a computer that it’s not synced with, a message asks if you want to sync songs automatically. If you accept, all songs, audiobooks, and other content are erased from iPod nano and replaced with songs and other items from that computer. You can prevent iPod nano from syncing when you connect it to a computer other than the one you usually sync with. Turn off automatic syncing for iPod nano: m In the iTunes Summary tab, deselect “Open iTunes when this iPod is connected,” and then click Apply. If you turn off automatic syncing, you can still sync by clicking the Sync button. Managing iPod nano manually If you manage iPod nano manually, you can add and remove individual songs and other content. You can also add content from multiple computers to iPod nano without erasing items already on iPod nano. Setting iPod nano to manually manage music turns off the automatic sync options in the Music, Podcasts, iTunes U, and Photos panes. You can’t manually manage some and automatically sync others at the same time. Note: Genius Mixes don’t work if you manually manage content. You can still manually sync Genius playlists to iPod nano, and create Genius playlists on the iPod after a manual sync of Genius content. See “Playing Genius Mixes” on page 27. Set iTunes to manage content manually: 1 In iTunes Preferences, click Devices, and then select “Prevent iPods, iPhones, and iPads from syncing automatically.” 2 In iTunes, select iPod nano in the device list and click the Summary tab. 3 In the Options section, select “Manually manage music.” 4 Click Apply. When you manually manage content on iPod nano, you must always eject iPod nano from iTunes before you disconnect it. See “Eject iPod nano:” on page 13. Add a song or other item manually: 1 In iTunes, click Music or another item below Library on the left side of the iTunes window. 2 Drag a song or other item to iPod nano in the device list. Remove a song or other item from iPod nano: 1 In iTunes, select iPod nano in the device list. 2 Select a song or other item on iPod nano, then press the Delete or Backspace key on your keyboard. If you remove a song or other item from iPod nano, it isn’t deleted from your iTunes library. You can reset iPod nano to sync automatically at any time. Reset iTunes to sync automatically: 1 In iTunes, select iPod nano in the device list and click the Summary tab. 2 Deselect “Manually manage music.” 3 Select the Music and Podcasts tabs, and select your sync options. 4 Click Apply. The update begins automatically. 18 Chapter 4 Syncing with iTunesTransferring purchased content to another computer Content that you purchase in iTunes on one computer can be transferred from iPod nano to an iTunes library on another computer. The other computer must be authorized to play content from your iTunes Store account. Authorize another computer: m Open iTunes on the other computer and choose Store > Authorize This Computer. Transfer purchased content to another computer: 1 Open iTunes on the other computer and choose Store > Authorize This Computer. 2 Connect iPod nano to the newly authorized computer. 3 In iTunes, choose File > Transfer Purchases from iPod. Chapter 4 Syncing with iTunes 19Music and Other Audio 5 Playing music iPod nano makes it easy to find and listen to songs. You can repeat songs, fast-forward, shuffle, and create playlists using the Multi-Touch screen. To play a song, do one of the following: m Tap Music on the Home screen, tap a category (Playlists, Albums, or another grouping), and then tap a song. m On the Home screen, tap Now Playing to play shuffled songs or resume a paused song. m Give iPod nano a quick shake to play shuffled songs. While a song plays, its album artwork (if available) is displayed on the Now Playing screen, and a Play ( ) or Pause ( ) icon appears in the status bar at the top of other screens. You can browse music and other content on iPod nano, change settings, and arrange icons while you listen to music or other audio content. Here are some ways to navigate your music library:  Flick to scroll quickly through song and album lists, and tap the menu bar to return to the top of the list.  Add icons for Playlists, Albums, or other lists to your Home screen. Tap Settings > General > Home Screen > Music, and then tap next to the icons you want to add.  If the list you’re browsing has an index, drag your finger down the index to show a large letter superimposed over the list. When you reach the letter you want, lift your finger. 20Controlling playback with song controls The album artwork for the song that’s playing appears on the Now Playing screen. Tap the screen once to show the song controls, and then swipe left to see additional controls and song lyrics (if you added them in iTunes). The dots at the bottom of the screen indicate the number of screens available. Here’s what you can do with the iPod nano song controls: To Do this Pause a song Tap or disconnect your earphones. Play a paused song Tap . iPod nano must be ejected from your computer to play songs and other audio. Start a song over Tap . Play the previous song Tap twice. Skip to the next song Tap . Fast-forward or rewind a song Press and hold or . Repeat songs Tap . Tap again for more options: = Repeat all songs in the current album or list. = Repeat only the current song over and over. Create a Genius playlist Play a song, and then tap . Shuffle songs Tap . Skip to any point in a song Drag the playhead along the scrubber bar. Slide your finger up to slow the scrub rate for greater precision. The farther up you slide your finger, the smaller the increments. Rate songs Tap on the song controls screen, then drag your finger across the dots at the top of the screen. See songs from an album Tap on the song controls screen, or tap the album in the Albums list. Controlling playback with the Sleep/Wake button You can double-click the Sleep/Wake button to play the next track, or change the setting so that double-clicking pauses or plays the current track. Set the Sleep/Wake button preference: 1 On the Home screen, tap Settings. 2 Tap Music, and then tap Sleep/Wake Button. 3 Tap to turn it On. 4 Tap either Next Track or Play/Pause. If you turn off iPod nano while music or other audio is playing (pressing and holding the Sleep/Wake button), iPod nano begins playing where you left off, when you turn iPod nano back on. Chapter 5 Music and Other Audio 21Shuffling songs You can play songs, albums, or playlists in random order, and set iPod nano to shuffle songs when you give it a quick shake. The table below describes different ways to shuffle your music: To Do this Shuffle and play all your songs Tap Shuffle at the top of the Songs list. iPod nano begins playing songs from your iPod nano music library in random order, skipping audiobooks, podcasts, and iTunes U collections. You can also tap Now Playing on the Home screen when no music is playing. Shuffle songs from the Now Playing screen Tap Now Playing, and then tap the album artwork. Swipe left along the bottom of the screen, and then tap . Use “Shake to Shuffle” When the screen is on, you can give iPod nano a quick shake to skip to a random song. If the screen is off, press the Sleep/Wake button before you shake. “Shake to Shuffle” is on by default, but you can turn it off in Settings > Music. Playing podcasts, audiobooks, and iTunes U collections Podcasts are free, downloadable shows available in the iTunes Store. Podcasts are organized by shows, episodes within shows, and chapters within episodes. If you stop playing a podcast and return to it later, the podcast begins playing where you left off. iTunes U is a part of the iTunes Store featuring free lectures, language lessons, and more, which you can download and enjoy on iPod nano. iTunes U content is organized by collections, items within collections, authors, and providers. You only see an iTunes U icon on the Home screen if you synced iTunes U content from your iTunes Library. Podcast shows and iTunes U collections appear in chronological order, so you can play them in the order in which they were released. A blue dot marks unplayed shows and episodes. When you finish listening to a podcast episode or iTunes U program, the next unplayed or partially played episode begins automatically. 22 Chapter 5 Music and Other AudioYou can purchase and download audiobooks from the iTunes Store and listen to them on iPod nano. When you listen to audiobooks purchased from the iTunes Store or audible.com, you can adjust the playback speed to be faster or slower than normal. Play podcasts, audiobooks, and iTunes U Collections: 1 On the Home screen, tap Podcasts (or Audiobooks, or iTunes U), and then tap a show or title. Podcasts, Audiobooks, and iTunes U are also listed in Music. 2 Tap an episode or chapter to play it. The Now Playing screen displays the audiobook, podcast, or iTunes U artwork (if any is available). 3 Tap the Now Playing screen to see the playback controls.  Tap to pause, and to resume. The podcast, audiobook, or iTunes U collection begins playing where you left off. For audiobooks, you can tap Resume in the chapter list.  Tap or to skip to the next chapter or the beginning of the current chapter in the podcast, audiobook, or iTunes U collection. 4 Swipe left to see the additional playback controls described in the following table. To Do this Skip to any point in a podcast, audiobook, or iTunes U collection Drag the playhead along the scrubber bar. Slide your finger up to slow the scrub rate for greater precision. The farther up you slide your finger, the smaller the increments. Play back the last 30 seconds Tap . Set the playback speed Tap . Tap again to change the speed. = Play at double speed. = Play at normal speed. = Play at half speed. See episodes or chapters for podcasts, iTunes U, or audiobooks Tap on the first control screen. See information about podcasts, iTunes U, or audiobooks Tap the Now Playing screen, and then swipe left to the final control screen. For more information about downloading and listening to podcasts, open iTunes and choose Help > iTunes Help. Then search for “podcasts.” Rating audiobooks You can assign a rating to an audiobook (from zero to five stars) to indicate how much you like it. The ratings you assign to audiobooks on iPod nano are transferred to iTunes when you sync. Rate an audiobook: 1 Tap the book cover on the Now Playing screen, and then tap . 2 Drag your finger along the dots at the top of the screen to add or remove stars. 3 Lift your finger when you’re done. Chapter 5 Music and Other Audio 23Controlling the volume The volume buttons are on the top of iPod nano. Press Volume Up or Volume Down to adjust the volume as you listen. The following sections describe other adjustments you can make to limit the maximum volume and enhance audio quality. Setting the maximum volume limit You can set a limit for the maximum volume on iPod nano, and assign a passcode to prevent the setting from being changed without your knowledge. Note: Accessories that connect using the dock connector don’t support volume limits. Set the maximum volume limit for iPod nano: 1 On the Home screen, tap Settings. 2 Tap Music, and then tap Volume Limit. The volume control shows the maximum volume limit. 3 Drag the slider left to lower the maximum volume limit, or right to raise the limit. Require a passcode to change the volume limit: 1 After setting the maximum volume, tap Lock Volume Limit. 2 In the screen that appears, tap a four-digit passcode. If you tap a number by mistake, tap and then tap the number you intended. You can keep tapping to erase all numbers and return to the Volume Limit screen without setting a passcode. 3 When you’re prompted to reenter the passcode, tap the numbers again. Remove the volume limit: 1 On the Home screen, tap Settings. 2 Tap Music, then tap Volume Limit. 3 Drag the slider all the way to the right. If you set a passcode, tap Unlock Volume Limit first, enter your passcode, and then drag the slider. If you forget the passcode, you can restore iPod nano. See “Updating and restoring iPod software” on page 56. Playing songs at the same volume level The volume of songs and other audio may vary depending on how the audio was recorded or encoded. The volume level may also vary if you use different earphones or headphones. You can set iTunes to automatically adjust the volume of songs, so they play at the same relative volume level. Then you can set iPod nano to use the same iTunes volume settings. 24 Chapter 5 Music and Other AudioSet songs to play at the same volume level: 1 In iTunes, choose iTunes > Preferences if you’re using a Mac, or choose Edit > Preferences if you’re using a Windows PC. 2 Click Playback and select Sound Check, and then click OK. 3 On the iPod nano Home screen, tap Settings. 4 Tap Music. 5 Tap next to Sound Check to turn it on. If you haven’t turned on Sound Check in iTunes, setting it on iPod nano has no effect. Using the equalizer You can use equalizer presets to change the sound on iPod nano to suit a particular music genre or style. For example, to make rock music sound better, set the equalizer to Rock. Set the equalizer on iPod nano: 1 On the Home screen, tap Settings. 2 Tap Music, and then tap EQ. 3 Tap an equalizer preset (flick up to see more choices). If you assigned an equalizer preset to a song in iTunes and the iPod nano equalizer is set to Off, the song plays using the iTunes setting. For more information, open iTunes and choose Help > iTunes Help. Crossfading between songs You can set iPod nano to fade out at the end of each song and fade in at the beginning of the song following it. Turn on crossfading: 1 From the Home screen, tap Settings. 2 Tap Music, and then tap next to Audio Crossfade. Creating playlists on iPod nano You can create your own playlists of songs, podcasts, and audiobooks; or use Genius to create Genius playlists, even when iPod nano isn’t connected to your computer. Playlists you create on iPod nano are synced back to iTunes the next time you connect. Creating and editing playlists Create a playlist: 1 On the Home screen, tap Music, and then tap Playlists. 2 Flick down, and then tap Add. 3 Tap a category (Songs, Albums, Podcasts, and so on), and then tap the items you want to add. Chapter 5 Music and Other Audio 25Don’t tap Done until you’ve added everything you want to include in the playlist. 4 Swipe left to continue adding content. You can add content from any category. For example, you can mix podcasts with songs in a single playlist. 5 When you finish, tap Done. The new playlist is named New Playlist 1 (or New Playlist 2, and so on). The next time you sync, you can change the title in iTunes. When you sync again, the playlist title on iPod nano is updated. Remove items from a playlist: 1 Tap Playlists, and then tap the playlist you want to edit. 2 Flick down, and then tap Edit. 3 Tap next to the item you want to delete, and then tap Delete when it appears on the right. 4 When you finish, tap Done. Delete a playlist: 1 Tap Playlists. 2 Flick down and tap Edit. 3 Tap next to the playlist you want to delete, and then tap Delete when it appears next to the playlist. If you tapped the wrong playlist, tap the one you want to remove. 4 Tap Delete, or tap Cancel if you change your mind. 5 When you finish, flick up and tap Done (or swipe right to return to the Home screen if you cancel). Rating songs to create Smart Playlists You can assign a rating to a song (from zero to five stars) to indicate how much you like it. The ratings you assign to songs on iPod nano are transferred to iTunes when you sync. You can use song ratings to help you create Smart Playlists automatically in iTunes. Rate a song: 1 Start playing the song. 2 On the Now Playing screen, tap the album artwork. 3 Tap in the lower-right corner. 4 Tap or drag over the ratings bullets at the top of the screen ( ) to assign the number of stars. 26 Chapter 5 Music and Other AudioCreating Genius playlists A Genius playlist is a collection of songs that go with a song you choose from your library. You can create Genius playlists on iPod nano, and sync Genius playlists you create with iTunes. Genius is a free service, but you need an iTunes Store account to use it. To learn how to set up Genius in iTunes, open iTunes and choose Help > iTunes Help. Create a Genius playlist on iPod nano: 1 Play a song, and then tap the album artwork on the Now Playing screen. 2 Swipe left, and then tap . The new playlist appears. You see a message if:  You didn’t turn Genius on in iTunes.  Genius doesn’t recognize the song you select.  Genius recognizes the song, but there aren’t at least ten similar songs in your library. 3 Flick up or down to see the songs in the playlist. 4 Tap Save. The playlist is saved with the artist name and song title of the song you used to make the playlist. To change the playlist to a new one based on the same song, tap Refresh. If you refresh a saved playlist, the new playlist replaces the previous one, and you can’t recover the previous playlist. Genius playlists saved on iPod nano are synced back to iTunes when you connect iPod nano to your computer. Playing Genius Mixes iTunes automatically creates Genius Mixes that contain songs from your library that go great together. Genius Mixes provide a different listening experience each time you play one. Play a Genius Mix: 1 Tap Genius Mixes. 2 Swipe left or right to browse the Genius Mixes. The dots at the bottom of the screen indicate how many Genius Mixes are on iPod nano. 3 Tap on the Genius Mix you want to play. Chapter 5 Music and Other Audio 27Using Apple earphones WARNING: Permanent hearing loss may occur if the earbuds or headphones are used at high volume. Use only compatible earbuds or headphones with iPod nano. Turn on the audio and check the volume before inserting anything in your ear. You can adapt over time to a higher volume of sound that may sound normal but can be damaging to your hearing. If you experience ringing in your ears or muffled speech, stop listening and have your hearing checked. The louder the volume, the less time is required before your hearing could be affected. Hearing experts suggest that to protect your hearing:  Limit the amount of time you use earbuds or headphones at high volume.  Avoid turning up the volume to block out noisy surroundings.  Turn the volume down if you can’t hear people speaking near you. For information about setting a maximum volume limit on iPod, see “Setting the maximum volume limit” on page 24. The Apple earphones that came with your iPod nano connect to the earphone port on the bottom of iPod nano. Place the earbuds in your ears as shown. The earphone cord is adjustable. If you have the Apple Earphones with Remote and Mic or the In-Ear Headphones with Remote and Mic, you can also navigate playlists. For information, see the documentation for those accessories, or “Using the Apple Earphones with Remote and Mic” on page 48. 28 Chapter 5 Music and Other AudioFM Radio 6 Listening to FM radio iPod nano uses the earphone or headphone cord as an antenna, so you must connect earphones or headphones to iPod nano in order to receive a radio signal. When you tune to a station that supports RDS (Radio Data System), the song title, artist name, and station information appear in the display. Important: Radio frequencies shown in this chapter are for illustration purposes only, and are not available in all areas. Listen to the radio: 1 Connect earphones or headphones to iPod nano, and then tap Radio on the Home screen. 2 Tap the Now Playing screen to see the radio controls, and then swipe left to see the Live Pause controls. Here’s what you can do with radio controls: To Do this Listen to FM radio On the Home screen, tap Radio. You must connect earphones to receive a radio signal. Turn off the radio Tap , or disconnect the earphones or headphones. Open the Radio menu Tap . The Radio menu is where you can find local stations, set favorite stations, tag songs, and see a list of recent songs. Tune to an FM station Tap the radio station screen, and then swipe the radio tuner. Tap or to go to favorites (if you set any). If no favorites are set, you hear the previous or next tunable station. Seek FM stations When the radio tuner is visible, tap or to go to the next or previous tunable station. If you saved any stations as favorites, this cycles through those stations. Scan FM stations When the radio tuner is visible, touch and hold or until the screen shows “Scanning.” Tap an empty spot on the screen to stop scanning, then tap to listen. Save an FM station as a favorite With the radio tuner visible, tap . Favorite stations are marked on the radio tuner with a yellow triangle, and changes to when you tune to a favorite station. 29Remove an FM station from favorites Tune in to the station and then tap on any radio screen. Pause and resume live radio Tap Now Playing or Radio, swipe left across the top of the screen, and then tap . Tap to resume playing. Changing the radio station clears paused radio. Tap to listen to the last thirty seconds of paused radio. Switch between the radio tuner and the Live Pause screen Swipe left across the top or middle of the screen. Tag a song on the radio Tap on the Now Playing screen. Tagging is available only for radio stations that support iTunes Tagging. Sync with iTunes to preview and purchase tagged songs. You can double-click the Sleep/Wake button to skip to the next radio station, or change the Sleep/Wake setting so that double-clicking pauses or plays live radio. See “Controlling playback with the Sleep/Wake button” on page 21. Tuning the FM radio You can tune the FM radio by browsing stations, seeking or scanning available stations, or saving your favorite stations and tuning to them directly. To start, use iPod nano to find local stations. Note: For better reception, make sure the earphone cords aren’t tangled or coiled. Find local stations: 1 On the Home screen, tap Radio. 2 Tap . 3 Tap Local Stations. iPod nano scans the available frequencies and lists the local stations. 4 Tap next to a station to listen to the station without leaving the menu, or tap the station to tune to that station and return to the radio controls. 5 When you finish, tap to return to the radio controls. If you want to update the list, tap Refresh. Remove all stations from Favorites: 1 Tap on any radio screen to show the Radio menu. 2 Tap Favorites. 3 Flick down to show the Edit button, and then tap it. 4 Tap Clear All if you want to clear the entire list. 5 When you finish, tap Done. 30 Chapter 6 FM RadioPausing live radio You can pause a radio broadcast and resume playing it from the same point up to 15 minutes later. Drag the progress bar to resume listening at any point in the paused broadcast, or to quickly catch up to the live broadcast. The progress bar is completely filled when Live Pause reaches the 15-minute limit. Anything earlier than 15 minutes is cleared to make room for the continuing broadcast. Paused radio is cleared automatically if:  You change stations.  You turn off iPod nano.  You play other media content or record a voice memo.  The battery is very low and needs to be charged.  You pause the radio for 15 minutes without resuming play. Pause or resume live radio: 1 While the radio is playing, tap Now Playing or Radio. 2 Swipe left to the Live Pause controls on the last screen, and then tap . The icon changes to . As Live Pause continues, a yellow triangle indicates where the broadcast was paused. The progress bar continues to fill up, indicating the time that’s passed since you paused. 3 To resume playing the program, tap to start at the point where you paused. Then do any of the following:  Tap to skip back by 30-second increments.  Tap to skip forward by 30-second increments.  Touch and hold to skip forward by ten-second increments. You can navigate paused radio only when the progress bar appears, not the radio tuner. Live Pause uses some battery power. You can turn off Live Pause to conserve the battery. Turn off Live Pause: 1 On the Home screen, tap Settings. 2 Tap Radio. 3 Tap next to Live Pause to turn it Off. Chapter 6 FM Radio 31Tagging songs to sync to iTunes If a radio station supports iTunes Tagging, you can tag a song you hear, so you can preview and purchase it later in the iTunes Store. Songs that can be tagged are marked with a tag icon on the Now Playing screen. Tag a song: m Tap in the lower-left corner of the Now Playing screen. Your tagged songs appear in the Radio menu under Tagged Songs. The next time you sync iPod nano to iTunes, your tagged songs are synced and removed from iPod nano. They appear in iTunes, where you can preview and purchase them on the iTunes Store. Note: This feature may not be available with all radio stations. Preview and purchase tagged songs in iTunes: 1 Sync iPod nano with your computer. 2 On your computer, click Tagged below Store, on the left side of the iTunes window. 3 Click the View button for the song you want. 4 To preview the song, double-click it or click the preview button. To buy the song, click the Buy button. If the radio station doesn’t support tagging, you can also see a list of songs you listened to recently. Later, you can use this information to find and purchase the song. See recent songs: m Tap on any Radio screen, and then tap Recent Songs. You’ll see the song title, artist name, and the radio station where you heard the song. Setting your radio region iPod nano can be used in many countries to receive FM radio signals. It comes with five preset signal ranges, identified by region: The Americas, Asia, Australia, Europe, and Japan. Select a radio region: 1 On the Home screen, tap Settings. 2 Tap Radio, and then tap Radio Regions. 3 Tap your region. A check appears next to the region you select. Region settings are determined by international radio standards, not by actual geographic region. If you live in a country not listed in the Radio Regions menu, choose a region that best matches the radio frequency specifications in your country. 32 Chapter 6 FM RadioImportant: iPod nano is intended for the reception of public broadcasts only. Listening to transmissions that are not intended for the public is illegal in some countries and violators may be prosecuted. Check and obey the laws and regulations in the areas where you plan to use iPod nano. The following table specifies the radio frequency range of each region in the Radio Regions menu, along with the increments between stations (indicated by a ± sign). Radio region Radio frequency specifications Americas 87.5–107.9 MHz/ ± 200 kHz Asia 87.5–108.0 MHz/ ± 100 kHz Australia 87.5–107.9 MHz/ ± 200 kHz Europe 87.5–108.0 MHz/ ± 100 kHz Japan 76.0–90.0 MHz/ ± 100 kHz Chapter 6 FM Radio 33Fitness 7 iPod nano comes with built-in features to help you make the most of your fitness routines:  Set a Daily Step Goal and let iPod nano count your steps while you walk, and track your progress and calories burned over time.  Create Run workouts set to your favorite music and track your time, pace, and distance with real time motivational feedback.  Connect iPod nano to Nike + iPod compatible gym equipment and track your progress from one workout to the next.  Use iTunes to upload all your steps and workout data to the Nike+ website. Set a goal, track your progress, and compete with other Nike+ users. You can set these preferences for your workouts in Fitness Settings (tap Settings on the Home screen, and then tap Fitness): Walk Set the number of steps you want to take for your Daily Step Goal. See “Using iPod nano to count steps” on page 35. PowerSong Choose a song to use for motivation during a workout. You can quickly switch to your PowerSong whenever you need a boost. Spoken Feedback Choose a male or female voice to give you feedback during a workout, or turn Spoken Feedback off. Units of Measure Use English or metric for weights and measurements. Distances Measure distances in miles or kilometers. Height Set your height for distance accuracy. Weight Set your weight for calorie accuracy. Reset Calibration Reset the calibration. See “Calibrating iPod nano” on page 37. 34Using iPod nano to count steps iPod nano counts steps in the background, so you can listen to music or use iPod nano for other things at the same time. The Walk icon ( ) appears in the status bar while steps are being counted. Starting at midnight, any steps you take are automatically tracked for the day, so you don’t need to do anything to get an accurate daily count. Use iPod nano to count steps for a walk: 1 On the Home screen, tap Fitness, and then tap Walk. 2 If you’re using Fitness for the first time, flick the dials to set your height and weight. If you skip setting your height and weight now, you can do it later in Settings > Fitness. You only need to set your height and weight once, unless your weight changes. 3 Tap Save. 4 Tap Start to begin counting steps. 5 Clip iPod nano to your waistband for better accuracy. iPod nano counts steps whether you walk or run. 6 At the end of the session, tap Stop. Set a Daily Step Goal: 1 On the Home screen, tap Settings, and then tap Fitness. 2 Tap Walk, and then tap . 3 Use the dial to set the desired number of steps. 4 Tap Done. Counting won’t begin until you start it in Fitness. 5 Press and hold the screen to return to the Home screen, and then tap Fitness. 6 Tap Walk, and then tap Start. Steps you take during a Run workout (or when using Nike + iPod-compatible workout equipment) aren’t counted toward your Daily Step Goal. Chapter 7 Fitness 35Creating workouts with music You can create workouts on iPod nano to reach fitness goals of distance, time, or calories burned. Then add the music, podcast, audiobook, or radio station that gets you moving. iPod nano keeps a record of all your workout data, which you can upload to the Nike+ website if you wish. While you’re working out, iPod nano gives spoken feedback when you pause or resume your workout. Set up a Run workout: 1 On the Home screen, tap Fitness. 2 Tap Run, and then tap one of the workout types (Basic, Time, Distance, or Calorie). 3 Tap a preset goal, or tap Custom. 4 Choose the audio content you want to listen to during your workout. If you create a custom workout, you’re asked to set a time, distance, or calorie goal before you see the audio choices. 5 Tap Start Workout. Clip iPod nano to your waistband for better accuracy. You can run or walk during your workout and iPod nano will calculate the distance you traveled. If you set a Daily Step Goal, steps taken during a Run workout or while using Nike + iPod-compatible gym equipment won’t count toward your Daily Step Goal total. Workouts you create on iPod nano are saved so you can use them again. Use a saved workout: 1 On the Home screen, tap Fitness, and then tap Run. 2 Flick up, and tap My Workouts. 3 Tap a saved workout, and then tap Start Workout. Controlling iPod nano during a workout You can use the iPod nano controls to pause and resume your workout, change songs, hear spoken feedback, or switch to a PowerSong for extra motivation. If you use Apple headphones with a remote, you can control your workout with the remote. The most efficient way to control your workout is by setting iPod nano to pause and resume your workout when you double-click the Sleep/Wake button. For example, if you’re stopped at a traffic light, double-click the Sleep/Wake button to pause, then double-click to resume once the light turns green. Or, if you’re running a marathon and arrive at the finish line, a quick double-click pauses the workout so you can catch your breath before turning the screen on and ending your workout. 36 Chapter 7 FitnessSet the Sleep/Wake button to pause a workout: 1 On the Home screen, tap Settings. 2 Tap Music, and then tap Sleep/Wake Button. 3 Tap to turn it On. 4 Tap Play/Pause. The table below describes how to control iPod nano during a workout: To Do this Pause a workout Tap the screen, then tap (if the screen is dark, click the Sleep/Wake button first). Double-click the Sleep/Wake Button if you set the preference to Play/Pause. Resume a paused workout Tap the screen, then tap Resume (if the screen is dark, click the Sleep/Wake button first). Double-click the Sleep/Wake Button if you set the preference to Play/Pause. Choose a different song Tap the screen, then tap (if the screen is dark, click the Sleep/Wake button first). Then tap Change Music and make a selection. Double-click the Sleep/Wake Button if you set the preference to Next Track. Play your PowerSong Tap the screen, then tap PowerSong (if the screen is dark, click the Sleep/Wake button first). You can also press and hold two fingers on the screen to play your PowerSong. Set your PowerSong in Settings > Fitness before you start the workout. End a workout Tap the screen (if the screen is dark, click the Sleep/Wake button first), tap , and then tap End Workout. Hear spoken feedback Stop your workout. iPod nano speaks your workout statistics for quick reference. If you're using Apple earphones that have a remote, you can press and hold the center button to hear current statistics such as pace, distance, and calories burned as you’re working out. Calibrating iPod nano For more accurate workout statistics, make sure your height and weight are set accurately and calibrate iPod nano more than one time. Each time you calibrate iPod nano, its accuracy improves. Calibrate iPod nano: 1 Tap Run, and then set your height and weight if you haven’t already done so. 2 Tap a workout type (see “Set up a Run workout:” on page 36). 3 Walk or run for at least one-quarter mile (0.4 kilometers). 4 End your workout, and then tap Calibrate. The Calibrate button appears at the bottom of the workout summary if the workout qualified for calibration. You can calibrate or recalibrate any time the Calibrate button appears at the bottom of a workout summary. If you want to start over, you can reset calibration. Chapter 7 Fitness 37Reset calibration: 1 On the Home screen, tap Settings. 2 Tap Fitness, and then swipe up. 3 Tap Reset Calibration, and then tap Walk Calibration or Run Calibration. Choose the option that best reflects which pace you want to recalibrate. For example, if you mostly walked during calibration, choose that option. 4 Tap Reset Calibration again, or tap Cancel if you change your mind. 5 Start a Run workout and tap the Calibrate button when it appears. If your weight has changed, you can update it in Fitness Settings. Update your weight: 1 On the Home screen, tap Settings. 2 Tap Fitness, and then tap Weight. 3 Flick the dials to set your new weight, and then tap Done. Viewing and managing fitness data iPod nano tracks a range of exercise statistics, so you can monitor progress on your fitness goals. You can use iTunes to upload your steps and other workout information to the Nike+ website, where you can set a goal, challenge your friends, and track your progress. View your step totals: 1 On the Home screen, tap Fitness, and then tap Walk. The first Walk screen shows these statistics:  Calories burned  Total time iPod nano has been tracking your steps  Your daily goal, if you set one  Distance covered 2 Swipe left to see step counts for the day, week, month, and total overall. Note: Calories burned are estimates, and actual calories may vary. For more information, consult your physician. History provides more detail about your walks and workouts. View your exercise history: 1 On the Home screen, tap Fitness, and then tap History. 2 Tap an option:  Personal Bests lists best times for runs of different distances, from one kilometer to a marathon.  Workout Totals shows the total number of workouts tracked, and gives the greatest distance run, total distance run, total time, and total calories burned.  Date listings at the bottom give all your walk and workout totals by date. Walks and workouts are grouped by type, so you can find them easily. 38 Chapter 7 FitnessClear workout data from iPod nano: 1 On the Home screen, tap Fitness, and then tap History. 2 Tap the month you want to clear. 3 Flick down, and then tap Clear. A dialog asks if you want to clear the workout history for the month. 4 Tap Delete All, or tap Cancel if you change your mind. You can use iTunes to upload your steps and other workout information to the Nike+ website. You need a Nike+ account, which you can set up the first time you sync workout data in iTunes. Upload your steps or workout information to Nike+: 1 Connect iPod nano to your computer and open iTunes. 2 Click Send in the dialog that appears, and then follow the onscreen instructions to set up your Nike+ account. Once you set up your account, a Nike + iPod tab appears in the iTunes window. 3 Click the Nike + iPod tab, and then select “Automatically send workout data to Nike+” if it isn’t selected already. 4 Click Apply. To view and share your information on the Nike website, click Visit Nike+ in the Nike + iPod pane when iPod nano is connected to your computer, or go to www.nikeplus.com and log in to your account. With a Nike + iPod Sport Kit (sold separately), you can set up and use a compatible heart rate monitor to track your heart rate on iPod nano as you exercise. When you connect iPod nano to a Nike + iPod compatible cardio machine, you may be able to control iPod nano from the equipment and save your workout data on iPod nano. Set up the Nike + iPod Sport Kit on iPod nano: 1 Connect a Nike + iPod receiver to the dock connector on iPod nano. 2 On the Home screen, tap Settings. 3 Tap Fitness, and then tap Nike + iPod Sport Kit. You see this option in Settings only when the receiver is connected to iPod nano. 4 Tap the accessory you want to set up (Sensor, Remote, or Heart Rate Monitor). For information about setting up and using Nike + iPod, see the Nike + iPod documentation. Chapter 7 Fitness 39Photos 8 Syncing photos iPod nano lets you carry photos with you, so you can share them with your family, friends, and associates. You can sync photos from your computer, and view them as a slideshow on iPod nano or on your TV. Adding photos from your computer If you have a Mac and iPhoto 8.0 (part of iLife ’09) or later, you can view your photos by events and faces you’ve identified. If you have a PC or Mac, you can also add photos to iPod nano from a folder on your hard disk. Adding photos to iPod nano the first time might take some time, depending on how many photos are in your photo library. Sync photos from a Mac to iPod nano using iPhoto: 1 In iTunes, select iPod nano in the device list and click the Photos tab. 2 Select “Sync Photos …,” and then choose iPhoto from the pop-up menu. 3 Select whether you want to include all of your photos, or only selected ones. If you choose the second option, click the pop-up menu to make further refinements. Then select the Albums, Events, and Faces to sync. 4 Click Apply. Each time you connect iPod nano to your computer, photos are synced automatically. Add photos from a folder on your hard disk to iPod nano: 1 Drag the images to a folder on your computer. If you want images to appear in separate photo albums on iPod nano, create folders within the main image folder and drag images to the new folders. 2 In iTunes, select iPod nano in the device list and click the Photos tab. 3 Select “Sync Photos …” 4 Select “Choose Folder …” from the pop-up menu, and then select the image folder. 5 Select either “All folders” or “Selected folders.” If you choose the second option, select the folders that you want to sync. 6 Click Apply. 40Adding full-resolution image files to iPod nano When you add photos to iPod nano, iTunes optimizes the photos for viewing. Full-resolution image files aren’t transferred by default. Adding full-resolution image files is useful if you want to move them from one computer to another, but it isn’t necessary for viewing the images on iPod nano. Add full-resolution image files to iPod nano: 1 In iTunes, select iPod nano in the device list and click the Photos tab. 2 Select “Include full-resolution photos.” 3 Click Apply. iTunes copies the full-resolution versions of the photos to the Photos folder on iPod nano. To retrieve them, see the following section, “Adding photos from iPod nano to a computer.” Adding photos from iPod nano to a computer If you add full-resolution photos from your computer to iPod nano, they’re stored in a Photos folder on iPod nano. You can connect iPod nano to a computer and add these photos to the computer. Add photos from iPod nano to a computer: 1 Connect iPod nano to the computer. 2 In iTunes, select iPod nano in the device list and click the Summary tab. 3 In the Options section, select “Enable disk use.” 4 Click Apply. When you use iPod nano as an external disk, the iPod nano disk icon appears on the desktop (Mac), or as the next available drive letter in Windows Explorer (Windows PC). 5 Drag image files from the Photos folder on iPod nano to the desktop or to a photo editing application on the computer. You can also use a photo editing application, such as iPhoto, to add photos stored in the Photos folder on iPod nano. See the documentation that came with the application for more information. Removing photos from iPod nano If iPod nano is being used as an external disk, you can delete full resolution images from the Photos folder on iPod nano. Delete photos from only the Photos folder on iPod nano: 1 Connect iPod nano to the computer. 2 Navigate to the Photos folder on iPod nano and delete the photos you no longer want. 3 Eject iPod nano before disconnecting. You can change sync settings to remove all photos from iPod nano, including full resolution images. Delete all photos from iPod nano: 1 In iTunes, select iPod nano in the device list and click the Photos tab. 2 Select “Sync photos from: …” The checkbox is already selected, and clicking it again deselects it. A dialog appears asking for verification. 3 Click Remove Photos in the dialog that appears. No photos are removed until you click Apply. If you change your mind, select Sync Photos again. 4 Click Apply. Chapter 8 Photos 41Delete selected photos: 1 In iTunes, select iPod nano in the device list and click the Photos tab. 2 Select “Selected albums, events, and faces …” 3 Deselect the items you want to remove from iPod nano, and then click Apply. Viewing photos on iPod nano You can view photos on iPod nano individually, or as a slideshow. Viewing individual photos Your photos are grouped into albums for easy browsing on iPod nano. If you use iPhoto, you can also sync Events and Faces, and then view photos this way. When you view individual photos, you can zoom in or out and move a zoomed photo around to display a particular part of the image. View photos on iPod nano: 1 On the Home screen, tap Photos. 2 Tap an album or other group of photos (flick to see all the albums). 3 Flick up or down to see thumbnail images of your photos. Tap a thumbnail to view the full-size image. 4 Swipe left or right to scroll through all the photos in the album. 5 Tap a photo to see controls, and tap to return to the thumbnail view. 42 Chapter 8 PhotosHere are ways you can view and manipulate your photos: To Do this Quickly find a photo in the thumbnail view Flick up or down. View a photo thumbnail at full size Tap the photo thumbnail. See the next or previous photo in an album Tap the photo in the album, swipe left or right across the photo, and then tap or . Quickly enlarge or reduce a photo Double-tap the full size photo to zoom in. Double-tap again to zoom out. If you use Faces in iPhoto, double-tapping zooms in on the subject’s face. View a different part of a zoomed photo Drag the photo on the screen. Return to the album thumbnail view Tap . View the album as a slideshow Tap a photo in the album, and then tap . If music is playing, it becomes the slideshow soundtrack. Pause and resume a slideshow Tap the screen to pause, then tap to resume. Change slideshow settings On the Home screen, tap Settings, and then tap Photos. Tap the settings you want to change. You can set the slideshow speed and choose a transition style, shuffle the photos, and have the slideshow repeat. You can also set the TV signal if you want to view the slideshow on your TV. Chapter 8 Photos 43Other Features 9 Tracking time You can use the clock on iPod nano to keep track of time, count down to an event, or set an alarm. Changing the clock face iPod nano comes with different clock faces that change the function or style of the clock. Some clock faces even reflect the color of your iPod nano case. Change the clock face: 1 On the Home screen, tap Settings. 2 Tap General, and then tap Date & Time. 3 Tap Clock Face, and then flick down to see more choices. 4 Tap a clock face, and then tap Set. If Time On Wake is not turned on in Settings, you can also tap the clock face when it’s visible, then tap the left and right arrows to scroll through all the available clock faces. Stop when you see the one you want, and it becomes the default clock face until you change it. Here are some more ways to change how you view time on iPod nano: To Do this Set the time, date, and time zone On the Home screen, tap Settings > General > Date & Time, and then tap the setting you want to change (Date, Time, or Time Zone). Show time with a 24-hour clock On the Home screen, tap Settings > General > Date & Time, and then tap next to 24 Hour Clock, to turn it On. Show the clock face when iPod nano wakes from sleep On the Home screen, tap Settings > General > Date & Time, and then tap next to Time On Wake, to turn it On. Remove the clock icon from the Home screen On the Home screen, tap Settings > General > Home Screen, and then tap next to Clock, to turn it Off. If you’ve set the clock to show on waking, you can click the Sleep/Wake button to see the time, and you can change the clock face or set other Clock preferences in Settings. 44Using the stopwatch iPod nano has a stopwatch for timing events and tracking intervals, such as laps. You can play music or other audio while you use the stopwatch. Use the stopwatch: 1 On the Home screen, tap Clock. 2 Swipe left to see the stopwatch controls. 3 Tap Start.  To record laps, tap Lap after each lap.  To pause the stopwatch, tap Stop, and then tap Start to resume. 4 Tap Stop when you finish, and then tap next to the time in the status bar, to review lap times. iPod nano stores the last session’s lap statistics. Be sure to review lap times before you start a new session. Tapping Reset deletes the information. Using the timer You can use the countdown timer on iPod nano to set an alarm, or to set a sleep timer that turns off iPod nano automatically. The timer continues to run while iPod nano is turned off, but you won’t hear the alarm sound. Use iPod nano as an alarm clock: 1 On the Home screen, tap Clock. 2 Swipe left twice to see the timer controls. 3 Flick to set the hours and minutes until the alarm goes off, and then tap . 4 Tap an alert sound, and then tap Set. 5 Tap Start when you’re ready to start the timer. Chapter 9 Other Features 45Delete an alarm: 1 On the Home screen, tap Clock. 2 Swipe left twice to see the timer controls. 3 Tap Stop. You can set a sleep timer to turn off iPod nano automatically after playing music or other content for a specified period of time. Set the sleep timer: 1 On the Home screen, tap Clock. 2 Swipe left twice to see the timer controls. 3 Flick to set the hours and minutes, and then tap . 4 Tap Sleep iPod, and then tap Set. 5 Tap Start when you’re ready. Recording voice memos You can record voice memos using the optional Apple Earphones with Remote and Mic (available for purchase at www.apple.com/ipodstore). The Voice Memo icon appears on the Home screen when you have saved Voice Memos on iPod nano, unless you turn this off in Settings. Connect Apple Earphones with Remote and Mic (or a supported third-party accessory) to the iPod nano earphone port, and then tap Voice Memos on the Home screen. Here are ways to record and play back your recordings: To Do this Start recording, or resume after pausing Tap to begin recording. The status bar shows the elapsed time. Pause recording Tap . Stop recording Tap . Play back a recording Tap on the Voice Memos screen. Tap a recording, and then tap next to the memo. 46 Chapter 9 Other FeaturesYour saved recordings are listed by date and time, but you can label recordings to help you identify them. Label a recording: 1 On the Voice Memos screen, tap . 2 Tap a recording in the list. 3 Tap Label, and then tap one of the choices. You can choose Memo, Podcast, Interview, Lecture, Idea, or Meeting. The recording appears in the list with the label you chose, along with the date and time of the recording. Delete a recording: 1 Tap on the Voice Memos screen. 2 Tap Edit. 3 Tap next to the recording, and then tap Delete. 4 When you finish, tap Done. Sync voice memos with your computer: m If iPod nano is set to sync songs automatically: Voice memos on iPod nano are synced to a playlist in iTunes named Voice Memos (and removed from iPod nano) when you connect iPod nano. See “Automatic syncing” on page 17. m If iPod nano is set to sync songs manually: iTunes asks if you want to sync new voice memos the next time you sync. See “Managing iPod nano manually” on page 18. Voice memos are saved as M4A files in a Recordings folder on iPod nano. If you enable iPod nano for disk use, you can copy voice memos from the folder. For information about using iPod nano as an external disk, see the following section, “Using iPod nano as an external disk.” Using iPod nano as an external disk You can use iPod nano as an external disk to store data files. The iPod nano disk icon appears on the desktop (Mac), or as the next available drive letter in Windows Explorer (Windows PC). Drag files to or from iPod nano to copy them. In external disk mode, you don’t see songs you added using iTunes. And if you drag files to iPod nano in the Mac Finder or Windows Explorer, you won’t be able to play them on iPod nano. Enable iPod nano as an external disk: 1 In iTunes, select iPod nano in the device list and click the Summary tab. 2 In the Options section, select “Enable disk use.” 3 Click Apply. Chapter 9 Other Features 47If you use iPod nano primarily as an external disk, you might want to keep iTunes from opening automatically when you connect iPod nano to your computer. Prevent iTunes from opening automatically when you connect iPod nano to your computer: 1 In iTunes, select iPod nano in the device list and click the Summary tab. 2 In the Options section, deselect “Open iTunes when this iPod is connected.” 3 Click Apply. Using the Apple Earphones with Remote and Mic The Apple Earphones with Remote and Mic (shown here) are available separately. They feature a microphone, volume buttons, and an integrated button that let you control audio playback and hear track announcements. Mic button Connect the earphones to listen to music, or record a voice memo using the built-in microphone. Press the center button on the mic to control music playback and hear track announcements. To Do this Pause a song or workout Press the center button. Press again to resume playback. Skip to the next song Press the center button twice quickly. Skip to the previous song Press the center button three times quickly. Fast-forward Press the center button twice quickly and hold. Rewind Press the center button three times quickly and hold. Adjust the volume Press the + or – button. Hear the current track announcement Press and hold the center button until you hear the current song title and artist name. If you’re listening to an audiobook, podcast, or iTunes U, you hear the book title and author’s name or episode information. Choose a different playlist Press and hold the center button through the announcement of the current song title and artist name, until you hear the first playlist. Click the + or – button to move forward or backward through the list of playlists. When you hear the one you want, click the center button. 48 Chapter 9 Other FeaturesAccessibility 10 Universal Access features Accessibility features make it easier for users with visual, auditory, or other physical disabilities to use iPod nano. These features include:  VoiceOver  Mono Audio  White on Black You can turn these features on or off on iPod nano, or in iTunes. Turn on accessibility features in iTunes: 1 In iTunes, select iPod nano in the device list and click the Summary tab. 2 In the Options section, select Configure Universal Access. 3 Select the options you want to use, and then click OK. 4 Click Apply. See the sections below for information about turning accessibility features on or off on iPod nano. For more information about accessibility features on your Mac and iPod nano, go to www.apple.com/accessibility. VoiceOver VoiceOver describes aloud what appears onscreen, so that you can use iPod nano without seeing the screen. VoiceOver speaks the language you specify in Accessibility settings on iPod nano. VoiceOver is available for many languages, but not all. VoiceOver tells you about each element on the screen as it’s selected. When an element is selected, it’s enclosed by a black rectangle and VoiceOver speaks the name or describes the item. The rectangle is referred to as the VoiceOver cursor. If text is selected, VoiceOver reads the text. If a control (such as a button or switch) is selected, VoiceOver may tell you the action of the item or provide instructions—for example, “double-tap to open.” Set up VoiceOver on iPod nano: 1 Connect earphones or headphones to iPod nano. 2 On the Home screen, tap Settings, and then tap General. 3 Flick up, and then tap Accessibility. 494 Tap VoiceOver, then flick up to set any of these options:  Speak Hints: Explains how to interact with the item in the VoiceOver cursor. You may want to turn this on to help you learn how to use iPod nano, and turn it off later.  Speaking Rate: Increases or decreases the rate of speech for VoiceOver. This does not affect the speech rate for audiobooks or podcasts.  Language: Sets the language for VoiceOver. It should match the language set for iPod nano. 5 Tap VoiceOver, and then tap the On/Off switch to turn VoiceOver On. If this is the first time you turned on VoiceOver on iPod nano, a dialog appears. 6 Tap OK in the dialog, and then double-tap OK to confirm. If you can’t see the screen, move your finger until you hear “OK button,” and then double-tap with one finger. If you do nothing for 15 seconds, the dialog disappears and VoiceOver turns off. When VoiceOver is on, you use a different set of gestures to control iPod nano. If you change your mind and want to turn VoiceOver off, double-tap with two fingers to move the switch to Off. If you navigate away from the Settings screen, you need to use VoiceOver gestures to return to the setting and turn it off. Turn off VoiceOver on iPod nano using VoiceOver gestures: 1 Swipe right or left with two fingers until you see or hear “Home. Settings.” If the icons have been rearranged, or if there are more than four Home screens, you may hear something different. 2 Slide one finger around the screen until you hear “Settings.” 3 Double-tap to open Settings. 4 Slide your finger up or down the screen until you see or hear General, and then double-tap. 5 Slide your finger up or down the screen until you see or hear “Accessibility,” and then double-tap. 6 Slide your finger up or down the screen until you see or hear VoiceOver, and then double-tap. 7 Double-tap when you hear “VoiceOver switch button on.” You hear “VoiceOver off” to confirm the setting. You can once again use standard gestures to control iPod nano. 50 Chapter 10 AccessibilityVoiceOver gestures When VoiceOver is turned on, use the following gestures to control iPod nano: To Do This Read the screen starting at the top Flick up with two fingers. Read the screen from the current selection Flick down with two fingers. Pause or continue speech when reading dialogs and other text Tap the screen with one finger. Select the item in the VoiceOver cursor Tap the screen with one finger. Activate the item in the VoiceOver cursor Double-tap with one finger. Scroll left one screen Swipe right with two fingers. Scroll right one screen Swipe left with two fingers. Scroll up one screen in a list or menu Flick down with one finger. Scroll down one screen in a list or menu Flick up with one finger. Start or stop the current action Tap with two fingers. Increase or decrease the value of a selected control Flick up with one finger to increase the value, or flick down with one finger to decrease the value. Return to the Home screen Double-tap with one finger and hold. Mono Audio Mono Audio combines the sound of the left and right channels into a monaural signal that plays through both sides of your earphones. This enables users with a hearing impairment in one ear to hear both channels with the other ear. Turn Mono Audio on or off: 1 On the Home screen, tap Settings, and then tap General. 2 Tap Accessibility. 3 Tap the On/Off switch next to Mono Audio. White on Black Use White on Black to invert the colors on the iPod nano screen, which may make it easier to read. When White on Black is on, the screen looks like a photographic negative. Turn “White on Black” on or off: 1 On the Home screen, tap Settings, and then tap General. 2 Tap Accessibility. 3 Tap the On/Off switch next to “White on Black.” Chapter 10 Accessibility 51Tips and Troubleshooting 11 Most problems with iPod nano can be solved quickly by following the advice in this chapter. The 5 Rs: Reset, Retry, Restart, Reinstall, Restore Remember these five basic suggestions if you have a problem with iPod nano. Try these steps one at a time until your issue is resolved. If one of the following doesn’t help, read on for solutions to specific problems.  Reset iPod nano. See “General suggestions,” below.  Retry with a different USB port if you cannot see iPod nano in iTunes.  Restart your computer, and make sure you have the latest software updates installed.  Reinstall iTunes software from the latest version on the web.  Restore iPod nano. See “Updating and restoring iPod software” on page 56. General suggestions Most problems with iPod nano can be solved by resetting it. Reset iPod nano: m First, make sure iPod nano is charged. Then press the Sleep/Wake button and the Volume Down button for 6 seconds, until the Apple logo appears. If iPod nano won’t turn on or respond m The iPod nano battery might need to be recharged. Connect iPod nano to a USB 2.0 port on your computer or to an Apple USB Power Adapter and let the battery recharge. Look for the lightning bolt icon on the iPod nano screen to verify that iPod nano is receiving a charge. Note: The USB port on most keyboards doesn’t provide enough power to charge iPod nano. Connect iPod nano to a USB 2.0 port on your computer. m Try the 5 Rs, one by one, until iPod nano responds. If you want to disconnect iPod nano, but you see the message “Connected” or “Sync in Progress” m If iPod nano is syncing music, wait for it to finish. m Select iPod nano in the iTunes device list and click the Eject (C) button. m If iPod nano disappears from the device list in iTunes, but you still see the “Connected” or “Sync in Progress” message on the iPod nano screen, disconnect iPod nano. 52m If iPod nano doesn’t disappear from the device list in iTunes, drag the iPod nano icon from the desktop to the Trash if you’re using a Mac. If you’re using a Windows PC, eject the device in My Computer or click the Safely Remove Hardware icon in the system tray and select iPod nano. If you still see the “Connected” or “Sync in Progress” message, restart your computer and eject iPod nano again. If iPod nano isn’t playing music m Make sure the earphone or headphone connector is pushed in all the way. To see an illustration, go to support.apple.com/kb/ts3700. m Make sure the volume is adjusted properly. A maximum volume limit might be set. You can change or remove it in Settings. See “Setting the maximum volume limit” on page 24. m Make sure you’re using iTunes 10.0 or later (available at www.itunes.com/downloads). Songs purchased from the iTunes Store using earlier versions of iTunes won’t play on iPod nano until you upgrade iTunes. m If you’re using the Apple Universal Dock, make sure iPod nano is seated firmly in the dock and make sure all cables are connected properly. If you connect iPod nano to your computer and nothing happens m Make sure you have installed the latest iTunes software from www.itunes.com/downloads. m Try connecting to a different USB port on your computer. Note: A USB 2.0 port is recommended to connect iPod nano. USB 1.1 is significantly slower than USB 2.0. If you have a Windows PC that doesn’t have a USB 2.0 port, in some cases you can purchase and install a USB 2.0 card. m iPod nano might need to be reset (see page 52). m If you’re connecting iPod nano to a portable computer using the Apple Dock Connector to USB Cable, connect the computer to a power outlet before connecting iPod nano. m Make sure you have the required computer and software. See “If you want to check the system requirements” on page 55. m Check the cable connections. Disconnect the cable at both ends and make sure no foreign objects are in the USB ports. Then reconnect the cable. Make sure the connectors on the cables are oriented correctly. They can be inserted only one way. m Try restarting your computer. m If none of the previous suggestions solves your problems, you might need to restore iPod nano software. See “Updating and restoring iPod software” on page 56. If music stops when the iPod nano screen turns off m Make sure the earphone port is free of debris. m Make sure the earphone or headphone connector is pushed in all the way. To see an illustration, go to support.apple.com/kb/ts3700. If iPod nano displays a “Connect to Power” message m This message may appear if iPod nano is exceptionally low on power and the battery needs to be charged before iPod nano can communicate with your computer. To charge the battery, connect iPod nano to a USB 2.0 port on your computer. Leave iPod nano connected to your computer until the message disappears and iPod nano appears in iTunes or the Finder. Depending on how depleted the battery is, you may need to charge iPod nano for up to 30 minutes before it will start up. To charge iPod nano more quickly, use the optional Apple USB Power Adapter. Chapter 11 Tips and Troubleshooting 53If iPod nano displays a “Use iTunes to restore” message m Make sure you have the latest version of iTunes on your computer (download it from www.itunes.com/downloads). m Connect iPod nano to your computer. When iTunes opens, follow the onscreen prompts to restore iPod nano. m If restoring iPod nano doesn’t solve the problem, iPod nano may need to be repaired. You can arrange for service at the iPod Service & Support website at www.apple.com/support/ipod. If you can’t add a song or other item to iPod nano m The song may be in a format that iPod nano doesn’t support. The following audio file formats are supported by iPod nano. These include formats for audiobooks and podcasting:  AAC (M4A, M4B, M4P, up to 320 Kbps)  Apple Lossless (a high-quality compressed format)  MP3 (up to 320 Kbps)  MP3 Variable Bit Rate (VBR)  WAV  AA (audible.com spoken word, formats 2, 3, and 4)  AIFF A song encoded using Apple Lossless format has CD-quality sound, but takes up only about half as much space as a song encoded using AIFF or WAV format. The same song encoded in AAC or MP3 format takes up even less space. When you import music from a CD using iTunes, it’s converted to AAC format by default. If you have a song in iTunes that isn’t supported by iPod nano, you can convert it to a format iPod nano supports. For more information, see iTunes Help. Using iTunes for Windows, you can convert nonprotected WMA files to AAC or MP3 format. This can be useful if you have a library of music encoded in WMA format. iPod nano doesn’t support audible.com format 1, MPEG Layer 1, MPEG Layer 2, or WMA audio files. If iPod nano displays a “Connect to iTunes to activate Genius” message m You haven’t turned on Genius in iTunes, or you haven’t synced iPod nano since you turned on Genius in iTunes. See “Creating Genius playlists” on page 27. If iPod nano displays a “Genius is not available for the selected song” message m Genius is on but is unable to make a Genius playlist using the selected song. New songs are regularly added to the iTunes Store Genius database, so try again soon. If iPod nano can’t receive a radio signal m Make sure the earphones or headphones are fully connected. m Try relocating the earphone or headphone cord, and make sure the cord isn’t coiled or twisted. m Move to an area with better reception, such as near a window or outside. If you accidentally set iPod nano to use a language you don’t understand m You can reset the language: 1 From the Home screen, tap Settings. 2 Tap the third menu item from the top (General). 3 Flick to the end of the list and tap the last menu item (Language). 4 Tap your language, and then tap the button at the top of the menu (Done). 54 Chapter 11 Tips and Troubleshootingm You can also reset all settings (your synced content isn’t deleted or modified). Tap Settings, then tap the last item in the menu (Reset Settings), and then tap the red button (Reset). m If you can’t recognize the Reset Settings menu item, you can restore iPod nano to its original state and choose a language. See “Updating and restoring iPod software” on page 56. If iPod nano is unresponsive and you see a box around items on the screen m VoiceOver may be turned on, and you must use VoiceOver gestures to turn it off (see “Turn off VoiceOver on iPod nano using VoiceOver gestures:” on page 50). If iPod nano speaks the text on the screen m VoiceOver may be turned on, and you must use VoiceOver gestures to turn it off (see “Turn off VoiceOver on iPod nano using VoiceOver gestures:” on page 50). If you want to check the system requirements To use iPod nano, you must have: m One of the following computer configurations:  A Mac with a USB 2.0 port  A Windows PC with a USB 2.0 port or a USB 2.0 card installed m One of the following operating systems:  Mac OS X v10.5.8 or later  Windows 7  Windows Vista  Windows XP Home or Professional with Service Pack 3 or later m iTunes 10.0 or later (download it from www.itunes.com/downloads) If your Windows PC doesn’t have a USB 2.0 port, you can purchase and install a USB 2.0 card. For more information about cables and compatible USB cards, go to www.apple.com/ipod. On the Mac, iPhoto 8.1 or later is required in order to use all iPod nano photo features. This software is optional. iPhoto might already be installed on your Mac, so check in the Applications folder. On both Mac and Windows PC, iPod nano can sync digital photos from folders on your computer’s hard disk. If you want to use iPod nano with both a Mac and a Windows PC m If you’re using iPod nano with a Mac and you want to use it with a Windows PC, you must restore the iPod software for use with the PC (see “Updating and restoring iPod software” on page 56). Restoring the iPod software erases all data from iPod nano, including all songs. Important: Restoring the iPod software erases all data from iPod nano, including songs. You cannot switch from using iPod nano with a Mac to using it with a Windows PC, without erasing all data on iPod nano. Chapter 11 Tips and Troubleshooting 55Updating and restoring iPod software You can use iTunes to update or restore iPod software. You should update iPod nano to use the latest software. You can also restore the software, which puts iPod nano back to its original state.  If you choose to update, the software is updated, but your settings and songs aren’t affected.  If you choose to restore, all data is erased from iPod nano, including songs, videos, files, photos, and any other data. All iPod nano settings are restored to their original state. Update or restore iPod software: 1 Make sure you have an Internet connection and have installed the latest version of iTunes from www.itunes.com/downloads. 2 Connect iPod nano to your computer. 3 In iTunes, select iPod nano in the device list and click the Summary tab. The Version section tells you whether iPod nano is up to date or needs a newer version of the software. 4 Click Update to install the latest version of the software. Important: Restoring the iPod software erases all data from iPod nano, including songs. 5 If necessary, click Restore to restore iPod nano to its original settings (this erases all data from iPod nano). Follow the onscreen instructions to complete the restore process. 56 Chapter 11 Tips and TroubleshootingSafety and Cleaning 12 WARNING: To avoid injury, read all operating instructions and safety information in this guide · before using iPod nano. Keep this safety information and the iPod nano User Guide handy for future reference. For downloadable versions of the iPod nano User Guide and the latest safety information, visit support.apple.com/manuals/ipod. Important safety and handling information WARNING: Failure to follow these safety instructions could result in fire, electric shock, or other injury or damage. Carrying and handling iPod nano iPod nano contains sensitive components. Do not drop, disassemble, microwave, burn, paint, or insert foreign objects into iPod nano. Do not use iPod nano if it has been damaged—for example, if iPod nano is cracked, punctured, or damaged by water. The front cover of iPod nano is made of glass. This glass could break if iPod nano is dropped on a hard surface or is subjected to a substantial impact or is crushed, bent, or deformed. If the glass chips or cracks, do not touch or attempt to remove the broken glass. Stop using iPod nano until the glass is replaced by Apple or an Apple Authorized Service Provider. Glass cracked due to misuse or abuse is not covered under the warranty. If you are concerned about scratching or abrasion, use a case, sold separately. Avoiding water and wet locations Do not expose iPod nano to water or rain, or handle iPod nano near wet locations—for example, near washbasins or toilets. Take care not to spill any food or liquid on iPod nano. In case iPod nano gets wet, unplug all cables, turn off iPod nano before cleaning, and allow it to dry thoroughly before turning it on again. Do not attempt to dry iPod nano with an external heat source, such as a microwave oven or hair dryer. Damage to iPod nano caused by contact with liquid is not covered under the warranty. Repairing or modifying iPod nano Never attempt to repair or modify iPod nano by yourself. iPod nano does not contain any user-serviceable parts. Disassembling iPod nano may cause damage that is not covered under the warranty. If iPod nano has been submerged in water, punctured, or subjected to a severe fall, do not use it until you take it to an Apple Authorized Service Provider. Service should only be provided by Apple or an Apple Authorized Service Provider. For service information, go to www.apple.com/support/ipod. Replacing the battery Do not attempt to replace the rechargeable battery in iPod nano yourself. The rechargeable battery should be replaced only by Apple or an Apple Authorized Service Provider. For more information about battery replacement services, go to www.apple.com/batteries/replacements.html. 57Keeping the outside of iPod nano clean Clean iPod nano immediately if it comes into contact with any contaminants that may cause stains, for example, ink, dyes, makeup, dirt, food, oils, and lotions. To clean iPod nano, unplug all cables and turn off iPod nano (press and hold the Sleep/Wake button). Then use a soft, slightly damp, lint-free cloth. Avoid getting moisture in openings. Don't use window cleaners, household cleaners, aerosol sprays, solvents, alcohol, ammonia, or abrasives to clean iPod nano. Charging iPod nano To charge iPod nano, use only the included Apple Dock Connector to USB Cable with an Apple USB Power Adapter, or a high-power USB port on another device that is compliant with the USB 2.0 standard; another Apple branded product or accessory designed to work with iPod nano; or a third-party accessory certified to use Apple’s “Made for iPod” logo. Read all safety instructions for any products and accessories before using with iPod nano. Apple is not responsible for the operation of third-party accessories or their compliance with safety and regulatory standards. When you use the Apple USB Power Adapter to charge iPod nano, make sure that the power adapter is fully assembled before you plug it into a power outlet. Then insert the Apple USB Power Adapter firmly into the power outlet. Do not connect or disconnect the Apple USB Power Adapter with wet hands. The Apple USB Power Adapter may become warm during normal use. Always allow adequate ventilation around the Apple USB Power Adapter and use care when handling. Unplug the Apple USB Power Adapter if any of the following conditions exist:  The power cord or plug has become frayed or damaged.  The adapter is exposed to rain, liquids, or excessive moisture.  The adapter case has become damaged.  You suspect the adapter needs service or repair.  You want to clean the adapter. Avoiding hearing damage Permanent hearing loss may occur if the earbuds or headphones are used at high volume. Use only compatible earbuds or headphones with iPod nano. Turn on the audio and check the volume before inserting anything in your ear. You can adapt over time to a higher volume of sound that may sound normal but can be damaging to your hearing. If you experience ringing in your ears or muffled speech, stop listening and have your hearing checked. The louder the volume, the less time is required before your hearing could be affected. Hearing experts suggest that to protect your hearing:  Limit the amount of time you use earbuds or headphones at high volume.  Avoid turning up the volume to block out noisy surroundings.  Turn the volume down if you can’t hear people speaking near you. For information about how to set a maximum volume limit on iPod nano, see “Setting the maximum volume limit” on page 24. Driving and riding safely Use of iPod nano while driving a vehicle or riding a bicycle may be distracting. If you find using iPod nano disruptive or distracting while driving or riding, pull off the road and park before using iPod nano. Use of iPod nano alone or with headphones (even if used only in one ear) while driving or riding is not recommended and is illegal in some areas. Check and obey the laws and regulations on the use of mobile devices like iPod nano in areas where you drive or ride. For vehicles equipped with an air bag An air bag inflates with great force. Do not store iPod nano or any of its accessories in the area over the air bag or in the air bag deployment area. Aircraft Use of iPod nano may be prohibited while traveling in aircraft. 58 Chapter 12 Safety and CleaningExercising Before starting any exercise program, you should consult with a physician and have a complete physical examination. Do a warmup or stretching exercise before beginning any workout. Be careful and attentive while exercising. Slow down, if necessary, before adjusting your device while running. Stop exercising immediately if you feel pain, or feel faint, dizzy, exhausted, or short of breath. By exercising, you assume the risks inherent in physical exercise, including any injury that may result from such activity. Using connectors and ports Never force a connector into a port or apply excessive pressure to a button because this may cause damage that is not covered under warranty. If the connector and port don’t join with reasonable ease, they probably don’t match. Check for obstructions and make sure that the connector matches the port and that you have positioned the connector correctly in relation to the port. Keeping iPod nano within acceptable temperatures iPod nano is designed to be operated in temperatures between 0º and 35º C (32º to 95º F) and stored in temperatures between -20º and 45º C (-4º to 113º F). Low- or high-temperature conditions might temporarily shorten battery life or cause iPod nano to temporarily stop working properly. Leaving iPod nano in a parked vehicle or in direct sunlight can cause iPod nano to exceed these storage or operating temperature ranges. Avoid dramatic changes in temperature or humidity when using iPod nano as condensation may form on or within iPod nano. When you’re using iPod nano or charging the battery, it is normal for iPod nano to get warm. The exterior of iPod nano functions as a cooling surface that transfers heat from inside the unit to the cooler air outside. Potentially explosive atmospheres Turn off iPod nano when in any area with a potentially explosive atmosphere. Do not charge iPod nano, and obey all signs and instructions. Sparks in such areas could cause an explosion or fire resulting in serious injury or even death. Areas with a potentially explosive atmosphere are often, but not always, marked clearly. Potential areas may include: fueling areas (such as gas stations); fuel or chemical transfer or storage facilities; vehicles using liquefied petroleum gas (such as propane or butane); areas where the air contains chemicals or particles (such as grain, dust, or metal powders); and any other area where you would normally be advised to turn off your vehicle engine. Disposing of iPod nano properly For information about the proper disposal of iPod nano, including other important regulatory compliance information, see “Disposal and Recycling Information” on page 61. Chapter 12 Safety and Cleaning 59Learning More, Service, and Support 13 Look here for iPod-related software and service information. To learn about Do this Service and support, discussions, tutorials, and Apple software downloads Go to: www.apple.com/support/ipodnano Using iTunes Open iTunes and choose Help > iTunes Help. For an online iTunes tutorial (available in some areas only), go to: www.apple.com/support/itunes Using iPhoto (on Mac OS X) Open iPhoto and choose Help > iPhoto Help. The latest information about iPod nano Register iPod nano. To register, install iTunes on your computer and connect iPod nano. Finding the iPod nano serial number Look at the inside clip edge of iPod nano, or tap Settings > About and flick down. In iTunes (with iPod nano connected to your computer), select iPod nano in the device list and click the Summary tab. Obtaining warranty service First follow the advice in this guide, the onscreen help, and online resources. Then go to: www.apple.com/support/ipodnano 60Regulatory Compliance Information FCC Compliance Statement This device complies with part 15 of the FCC rules. Operation is subject to the following two conditions: (1) This device may not cause harmful interference, and (2) this device must accept any interference received, including interference that may cause undesired operation. See instructions if interference to radio or TV reception is suspected. Radio and TV Interference This computer equipment generates, uses, and can radiate radio-frequency energy. If it is not installed and used properly—that is, in strict accordance with Apple’s instructions—it may cause interference with radio and TV reception. This equipment has been tested and found to comply with the limits for a Class B digital device in accordance with the specifications in Part 15 of FCC rules. These specifications are designed to provide reasonable protection against such interference in a residential installation. However, there is no guarantee that interference will not occur in a particular installation. You can determine whether your computer system is causing interference by turning it off. If the interference stops, it was probably caused by the computer or one of the peripheral devices. If your computer system does cause interference to radio or TV reception, try to correct the interference by using one or more of the following measures:  Turn the TV or radio antenna until the interference stops.  Move the computer to one side or the other of the TV or radio.  Move the computer farther away from the TV or radio.  Plug the computer in to an outlet that is on a different circuit from the TV or radio. (That is, make certain the computer and the TV or radio are on circuits controlled by different circuit breakers or fuses.) If necessary, consult an Apple Authorized Service Provider or Apple. See the service and support information that came with your Apple product. Or, consult an experienced radio/TV technician for additional suggestions. Important: Changes or modifications to this product not authorized by Apple Inc. could void the EMC compliance and negate your authority to operate the product. This product was tested for EMC compliance under conditions that included the use of Apple peripheral devices and Apple shielded cables and connectors between system components. It is important that you use Apple peripheral devices and shielded cables and connectors between system components to reduce the possibility of causing interference to radios, TV sets, and other electronic devices. You can obtain Apple peripheral devices and the proper shielded cables and connectors through an Apple Authorized Reseller. For non-Apple peripheral devices, contact the manufacturer or dealer for assistance. Responsible party (contact for FCC matters only): Apple Inc. Corporate Compliance 1 Infinite Loop, MS 26-A Cupertino, CA 95014 Industry Canada Statement This device complies with Industry Canada license- exempt RSS standard(s). Operation is subject to the following two conditions: (1) this device may not cause interference, and (2) this device must accept any interference, including interference that may cause undesired operation of the device. Cet appareil est conforme aux normes CNR exemptes de licence d’Industrie Canada. Le fonctionnement est soumis aux deux conditions suivantes : (1) cet appareil ne doit pas provoquer d’interférences et (2) cet appareil doit accepter toute interférence, y compris celles susceptibles de provoquer un fonctionnement non souhaité de l’appareil. European Community Japan VCCI Class B Statement Korea Class B Statement B ( ) (B ) , . Russia Battery Replacement The rechargeable battery should be replaced only by Apple or an Apple Authorized Service Provider. For more information about battery replacement services, go to www.apple.com/batteries/replacements.html. Disposal and Recycling Information Your iPod must be disposed of properly according to local laws and regulations. Because this product contains a battery, the product must be disposed of separately from household waste. When your iPod reaches its end of life, contact Apple or your local authorities to learn about recycling options. For information about Apple’s recycling program, go to: www.apple.com/recycling Deutschland: Dieses Gerät enthält Batterien. Bitte nicht in den Hausmüll werfen. Entsorgen Sie dieses Gerätes am Ende seines Lebenszyklus entsprechend der maßgeblichen gesetzlichen Regelungen. Nederlands: Gebruikte batterijen kunnen worden ingeleverd bij de chemokar of in een speciale batterijcontainer voor klein chemisch afval (kca) worden gedeponeerd. 61China Battery Statement Taiwan Battery Statement Turkiye: EEE yönetmeliğine (Elektrikli ve Elektronik Eşyalarda Bazı Zararlı Maddelerin Kullanımının Sınırlandırılmasına Dair Yönetmelik) uygundur. European Union—Disposal Information: This symbol means that according to local laws and regulations your product should be disposed of separately from household waste. When this product reaches its end of life, take it to a collection point designated by local authorities. Some collection points accept products for free. The separate collection and recycling of your product at the time of disposal will help conserve natural resources and ensure that it is recycled in a manner that protects human health and the environment. Union Européenne—informations sur l’élimination Le symbole ci-dessus signifie que vous devez vous débarasser de votre produit sans le mélanger avec les ordures ménagères, selon les normes et la législation de votre pays. Lorsque ce produit n’est plus utilisable, portez-le dans un centre de traitement des déchets agréé par les autorités locales. Certains centres acceptent les produits gratuitement. Le traitement et le recyclage séparé de votre produit lors de son élimination aideront à préserver les ressources naturelles et à protéger l’environnement et la santé des êtres humains. Europäische Union—Informationen zur Entsorgung Das Symbol oben bedeutet, dass dieses Produkt entsprechend den geltenden gesetzlichen Vorschriften und getrennt vom Hausmüll entsorgt werden muss. Geben Sie dieses Produkt zur Entsorgung bei einer offiziellen Sammelstelle ab. Bei einigen Sammelstellen können Produkte zur Entsorgung unentgeltlich abgegeben werden. Durch das separate Sammeln und Recycling werden die natürlichen Ressourcen geschont und es ist sichergestellt, dass beim Recycling des Produkts alle Bestimmungen zum Schutz von Gesundheit und Umwelt beachtet werden. Unione Europea—informazioni per l’eliminazione Questo simbolo significa che, in base alle leggi e alle norme locali, il prodotto dovrebbe essere eliminato separatamente dai rifiuti casalinghi. Quando il prodotto diventa inutilizzabile, portarlo nel punto di raccolta stabilito dalle autorità locali. Alcuni punti di raccolta accettano i prodotti gratuitamente. La raccolta separata e il riciclaggio del prodotto al momento dell’eliminazione aiutano a conservare le risorse naturali e assicurano che venga riciclato in maniera tale da salvaguardare la salute umana e l’ambiente. Europeiska unionen—uttjänta produkter Symbolen ovan betyder att produkten enligt lokala lagar och bestämmelser inte får kastas tillsammans med hushållsavfallet. När produkten har tjänat ut måste den tas till en återvinningsstation som utsetts av lokala myndigheter. Vissa återvinningsstationer tar kostnadsfritt hand om uttjänta produkter. Genom att låta den uttjänta produkten tas om hand för återvinning hjälper du till att spara naturresurser och skydda hälsa och miljö. Brasil—Informações sobre descarte e reciclagem O símbolo acima indica que este produto e/ou sua bateria não devem ser descartadas no lixo doméstico. Quando decidir descartar este produto e/ou sua bateria, faça-o de acordo com as leis e diretrizes ambientais locais. Para informações sobre o programa de reciclagem da Apple, pontos de coleta e telefone de informações, visite www.apple.com/br/environment. Apple and the Environment At Apple, we recognize our responsibility to minimize the environmental impacts of our operations and products. For more information, go to www.apple.com/environment. 62Index A accessibility Mono Audio 15, 51 VoiceOver 15, 49 White on Black 15, 16, 51 adding music from more than one computer 17 manually 18 methods 17 tutorial 60 adding photos about 40 all or selected photos 40 from computer to iPod 40 from iPod to computer 41 full-resolution images 41 alarms deleting 46 setting 45 sleep timer 46 albums viewing songs from 21 Apple USB Power Adapter charging the battery 13 safety 58 audiobooks adding to iPod 17 playback controls 23 rating 23 automatic syncing 17 B backlight turning on 11 battery charge states when disconnected 14 charging 13, 58 rechargeable 14 replacing 13, 14, 61 very low 53 brightness 15 buttons Eject 13 Sleep/Wake 5, 11, 15, 21, 36 volume 5 C calibrating for counting steps 37 charging the battery about 13, 58 using the Apple USB Power Adapter 14, 58 using your computer 13 when battery very low 53 while computer is asleep 12 cleaning iPod 58 clock 24-hour 15, 44 changing the face 15, 44 compilations of songs 16 computer adding photos to iPod 40 getting photos from iPod 41 problems connecting iPod 53 requirements 55 connecting iPod about 12 charging the battery 13 converting unprotected WMA files 54 crossfading 25 D date and time settings 15, 44 digital photos. See photos disconnecting iPod about 13 during music update 13 troubleshooting 52 disk, using iPod as 47 disposal and recycling 61 Dock Connector to USB Cable 5, 12 downloading. See adding E earphones 5, 28 with remote and mic 48 Eject button 13 ejecting before disconnecting 13, 18 equalizer 15 exercise. See Fitness exercise warning 59 external disk, using iPod as 47 F file formats, supported 54 Fitness 6 calibrating iPod nano for accuracy 37 counting steps 34 Nike + iPod 39 settings 34 weight setting 38 workout history 38 See also workouts full-resolution images 41 Index 63G Genius Mixes playing 7, 27 Genius playlist creating 21, 27 saving 27 using on iPod 27 gestures double-tap 10 flick 11 rotate 11 swipe 10 tap 10 touch and hold 10 getting help 57, 60 getting started with iPod 55 glass screen 57 H handling information 57 hearing loss warning 28, 58 height setting 35 help, getting 57, 60 Home screen about 6 customizing 15, 16 icons 6, 15 navigating 6 returning to 12 I iPhoto getting help 60 recommended version 55 iPod Dock 12 iPod Updater application 56 iTunes U playback controls 23 syncing 22 iTunes ejecting iPod 13 getting help 60 setting not to open automatically 48 Sound Check 24 L language, resetting 54 languages, resetting 15 lists navigating quickly 12, 20 Live Pause 31 lyrics viewing on iPod 21 M Mac OS X operating system 55 managing iPod manually 18 manually managing content 17 memos, recording 12, 46 menu items choosing 12 reading shortened 12 returning to previous menu 12 Mono Audio 51 Multi-Touch screen 10 music iPod not playing 53 rating 21, 26 tutorial 60 See also adding music; songs N Nike + iPod 39 Now Playing 6 O operating system requirements 55 operating temperatures 59 P pausing a song 15, 21, 22 pedometer. See workouts photo library 40 photos adding to iPod 40 deleting 41 full-resolution 41 importing 40 syncing 40 viewing on iPod 42 zooming 43 playlists making on iPod 25, 27 podcasts listening 22 playback controls 23 ports USB 12, 55 power adapter. See Apple USB Power Adapter PowerSong 37 previous menu, returning to 12 problems. See troubleshooting R radio 6 antenna 5, 29, 54 finding local stations 30 Live Pause 31 menu 29, 30 screens 29 setting radio regions 32 tagging songs 32 tuning 30 rating songs 21, 26 rechargeable batteries 14, 57 recording voice memos 46 registering iPod 60 repairing iPod 57 replacing battery 14, 61 requirements computer 55 operating system 55 resetting iPod 12, 52 resetting the language 54 restoring iPod software 56 rewinding a song 21 S Safely Remove Hardware icon 13 safety information 57 serial number 12, 60 64 Indexservice and support 57, 60 sets of songs. See playlists setting up 8 settings 24-hour clock 15 accessibility 15, 16, 49 alarm 45 brightness 15 clock face 15 compilations 16 date and time 15 distance 34 equalizer 15, 25 icons 15 language 15 playing songs at relative volume 15, 24 PowerSong 37 resetting all 16 shuffle songs 15, 22 sleep timer 46 spoken feedback 34 units of measure 34 VoiceOver 15, 16, 49 volume limit 16, 24 wallpaper 15 weight 38 shuffling songs 21, 22 sleep mode and charging the battery 8, 13 sleep timer 46 Sleep/Wake button 5, 11, 15, 21, 36 slideshows settings 43 viewing on iPod 43 software iPhoto 55 iPod Updater 56 songs crossfading 16 fast-forwarding 21 pausing 15, 21, 22, 37 playing 21, 22 playing at relative volume 15, 24 rating 21, 26 repeating 21 replaying 21 rewinding 21 shuffling 15, 21, 22 skipping ahead 15, 21 viewing lyrics 21 Sound Check 15, 24 stopwatch 45 syncing music 17 photos 40 to Nike+ website 39 system requirements 55 T tagging radio songs 32 timer. See alarms troubleshooting connecting iPod to computer 53 cross-platform use 55 disconnecting iPod 52 iPod not playing music 53 resetting iPod 52 restore message 54 safety considerations 57 setting incorrect language 54 software update and restore 56 unresponsive iPod 52 turning backlight on or off 11 turning iPod on or off 5, 11 turning the screen on or off 5, 11 tutorial 60 U unsupported audio file formats 54 updating and restoring software 56 USB 2.0 port recommendation 12, 55 USB port on keyboard 12, 52 V viewing lyrics 21 photos 42 Voice Memos deleting 47 labeling 47 playing 46 recording 46 syncing with your computer 47 VoiceOver about 49 gestures 51 setting up 49 volume changing 24 hearing safety 58 relative 24 setting maximum limit 16, 24 W wallpaper 15 warranty service 60 weight resetting 38 setting 35, 38 White on Black 51 Windows supported operating systems 55 troubleshooting 55 WMA files, converting 54 workouts counting steps 35 Daily Step Goal 35 gym equipment 39 heart monitor 39 history 38 Nike + iPod 39 pausing and resuming 37 recording 36, 38 saved 36 sending to Nike+ website 39 setting up 36 Sleep/Wake button settings 36 spoken feedback 37 viewing on the Nike+ website 39 See also Fitness Index 65K Apple Inc. © 2011 Apple Inc. All rights reserved. Apple, the Apple logo, Finder, iLife, iPhoto, iPod, iPod nano, iTunes, Mac, Macintosh, Mac OS, the Made for iPod logo, and QuickTime are trademarks of Apple Inc., registered in the U.S. and other countries. Multi-Touch and Shuffle are trademarks of Apple Inc. iTunes Store is a service mark of Apple Inc., registered in the U.S. and other countries. NIKE and the Swoosh design are trademarks of NIKE, Inc. and its affiliates and are used under license. Other company and product names mentioned herein may be trademarks of their respective companies. Mention of third-party products is for informational purposes only and constitutes neither an endorsement nor a recommendation. Apple assumes no responsibility with regard to the performance or use of these products. All understandings, agreements, or warranties, if any, take place directly between the vendors and the prospective users. Every effort has been made to ensure that the information in this manual is accurate. Apple is not responsible for printing or clerical errors. 019-2083/2011-10 World Travel Adapter Kit2 English English 3 Apple World Travel Adapter Kit You can use the Apple World Travel Adapter Kit in most countries and regions. To charge iPod or iPhone: 1 Choose the correct plug adapter for the country or region you’re in (see the illustrations on the next page), and connect it to the included power adapter. 2 Connect the USB cable to the power adapter, extend the electrical prongs (if necessary), and plug the power adapter into a power outlet. 3 Connect iPod or iPhone to the other end of the cable. You can also connect the cable to an iPod or iPhone dock, and you can use the cable to sync iPod or iPhone with your computer. To use with compatible Mac power adapters or AirPort Express: 1 Choose the correct plug adapter for the country or region you’re in (see the illustrations on the next page), and connect it to the power adapter or AirPort Express. 2 Extend the electrical prongs (if necessary), and plug the power adapter or AirPort Express into a power outlet.2 English English 3 Safety Information  Use plug adapters only with Apple power adapters.  Use the correct plug adapter for the country or region you’re in. See the illustrations above.  Never force the AC plug adapter into a power outlet. If the plug adapter and socket don’t join with reasonable ease, they probably don’t match.  When connecting or disconnecting your power adapter, always hold the power adapter by its sides. Keep your fingers away from the AC blades or pins.  Always leave space around your power adapter to allow air flow to cool the adapter.  Don’t use your power adapter in wet locations, such as near washbasins, bathtubs, shower stalls, and so on.  The power adapter and plug adapters are high-voltage components and should not be opened for any reason.  If the power adapter or plug adapter appears to be damaged, discontinue use immediately. Three-Prong Blades UK, Hong Kong, Singapore Flat Angled Blades Australia, New Zealand Flat Parallel Blades Without Holes China Flat Parallel Blades With Holes North America, Japan Round Thick Pins Korea Round Thin Pins Continental Europe4 5 1 2 3 1 24 5        Â6 Français Français 7 Kit de voyage Apple Vous pouvez utiliser le kit de voyage Apple dans la plupart des pays et des zones géographiques. Pour recharger votre iPod ou votre iPhone : 1 Choisissez l’adaptateur de prise adéquat pour le pays (ou la zone géographique) dans lequel vous vous trouvez (voir les illustrations à la page suivante) et branchez-le sur l’adaptateur secteur fourni avec votre matériel. 2 Connectez le câble USB à l’adaptateur secteur, étendez les broches électriques (si nécessaire) et branchez la prise de l’adaptateur secteur dans une prise de courant. 3 Connectez votre iPod ou votre iPhone à l’autre extrémité du câble. Vous pouvez également brancher le câble au dock de l’iPod ou de l’iPhone et utiliser le câble pour synchroniser l’iPod ou l’iPhone avec votre ordinateur.6 Français Français 7 Pour utiliser les adaptateurs avec des adaptateurs secteur Mac compatibles ou AirPort Express : 1 Choisissez l’adaptateur de prise adéquat pour le pays (ou la zone géographique) dans lequel vous vous trouvez et branchez-le sur l’adaptateur secteur fourni avec votre matériel ou AirPort Express. 2 Étendez les broches électriques (si nécessaire) et branchez la prise de l’adaptateur secteur ou AirPort Express dans une prise de courant. Informations concernant la sécurité  Utilisez les adaptateurs de prise uniquement avec les adaptateurs secteur Apple.  Utilisez l’adaptateur de prise adéquat pour le pays (ou la zone géographique) dans lequel vous vous trouvez. Voir les illustrations ci-dessus.  Ne forcez jamais l’introduction de l’adaptateur CA dans la prise de courant. Si l’adaptateur ne s’insère pas facilement dans la prise, cela signifie qu’ils ne sont pas compatibles. Prises à trois fiches Royaume-Uni, Hong-Kong, Singapour Prises à fiches plates Australie, Nouvelle-Zélande Prises à fiches plates parallèles sans trou Chine Prises à fiches plates parallèles avec trous Amérique du Nord, Japon Prises à broches rondes épaisses Corée Prises à broches rondes fines Europe continentale8 Français Deutsch 9  Lorsque vous branchez ou débranchez votre adaptateur secteur, maintenez toujours l’adaptateur secteur par les côtés. Gardez vos doigts éloignés des lames de contact CA ou des broches.  Laissez toujours de l’espace autour de votre adaptateur secteur pour permettre la circulation d’air nécessaire au refroidissement de l’adaptateur.  N’utilisez pas votre adaptateur secteur dans des lieux humides, comme à proximité de lavabos, baignoires, cabines de douche, etc.  L’adaptateur secteur et les adaptateurs de prise sont des éléments à haute tension qu’il ne faut ouvrir sous aucun prétexte.  Si l’adaptateur secteur ou l’adaptateur de prise paraît endommagé, arrêtez immédiatement de les utiliser.8 Français Deutsch 9 Apple-Reise-Adapter-Kit Sie können das Apple-Reise-Adapter-Kit in den meisten Ländern und Regionen verwenden. Gehen Sie wie folgt vor, um iPod oder iPhone aufzuladen: 1 Wählen Sie den korrekten Steckeradapter für das Land oder die Region, in dem/der Sie sich aufhalten (vgl. Abbildung auf der nächsten Seite). Verbinden Sie den Adapter mit dem mitgelieferten Netzteil. 2 Schließen Sie das USB-Kabel an das Netzteil an und klappen Sie die Steckerstifte (falls erforderlich) heraus. Schließen Sie das Netzteil dann an eine Steckdose an. 3 Verbinden Sie iPod oder iPhone mit dem anderen Kabelende. Wenn Sie das Kabel an ein iPod- oder iPhone-Dock anschließen, können Sie iPod oder iPhone über das Kabel mit Ihrem Computer synchronisieren.10 Deutsch Deutsch 11 Gehen Sie wie folgt vor, um den Steckeradapter mit kompatiblen Mac-Netzteilen oder einer AirPort Express-Basisstation zu verwenden: 1 Wählen Sie den korrekten Steckeradapter für das Land oder die Region, in dem/der Sie sich aufhalten (vgl. Abbildung oben). Verbinden Sie den Adapter mit dem Netzteil oder der AirPort Express-Basisstation. 2 Klappen Sie die Steckerstifte (falls erforderlich) heraus und schließen Sie das Netzteil oder die AirPort Express-Basisstation an eine Steckdose an. Informationen zur Sicherheit  Verwenden Sie die Steckeradapter nur mit Apple-Netzteilen.  Verwenden Sie den korrekten Steckeradapter für das Land oder die Region, in dem/der Sie sich aufhalten (vgl. Abbildung oben).  Versuchen Sie niemals, das Netzteil mit Gewalt an eine Steckdose anzuschließen. Wenn sich das Netzteil nicht relativ einfach mit der Steckdose verbinden lässt, passen Stecker und Anschluss möglicherweise nicht zueinander. Drei flache Stifte GB, Hongkong, Singapur Flache schräggestellte Stifte Australien, Neuseeland Flache parallele Stifte ohne Löcher China Flache parallele Stifte mit Löchern Nordamerika, Japan Runde dicke Stifte Korea Runde dünne Stifte KontinentalEuropa10 Deutsch Deutsch 11  Halten Sie das Netzteil an den Seiten, wenn Sie es am Stromnetz anschließen oder davon trennen. Achten Sie darauf, die Metallstifte des Steckers nicht zu berühren.  Achten Sie darauf, dass um das Netzteil ausreichend Freiraum vorhanden ist. Verwenden Sie es nur in Umgebungen, in denen eine ausreichende Luftzirkulation zur Kühlung des Netzteils gewährleistet ist.  Verwenden Sie Ihr Netzteil nicht in feuchten Umgebungen etwa in der Nähe von Waschbecken, Bade- und Duschwannen und anderen Feuchtigkeitsquellen.  Bei Netzteil und Steckeradaptern handelt es sich um Hochspannungsbauteile, die unter keinen Umständen geöffnet werden dürfen.  Wenn Netzteil oder Steckeradapter beschädigt sind, stellen Sie sofort deren Verwendung ein.12 Español Español 13 Juego de adaptadores de viaje Apple Puede utilizar el juego de adaptadores de viaje Apple en la mayor parte de regiones y países del mundo. Para cargar su iPod o iPhone: 1 Elija el adaptador correcto para el país o región en el que se encuentre (véanse las ilustraciones de la página siguiente) y conéctelo al adaptador de corriente incluido. 2 Conecte el cable USB al adaptador de corriente, despliegue las clavijas eléctricas (en caso necesario) y conecte el adaptador de corriente a una toma de alimentación. 3 Conecte el iPod o iPhone al otro extremo del cable. También puede conectar el cable a una base de conexión del iPod o iPhone y utilizarlo para sincronizar el iPod o el iPhone con su ordenador.12 Español Español 13 Para utilizar el juego de adaptadores con adaptadores de corriente de ordenadores Mac compatibles o con la AirPort Express: 1 Elija el adaptador correcto para el país o región en el que se encuentre y conéctelo al adaptador de corriente o a la AirPort Express. 2 Despliegue las clavijas eléctricas (en caso necesario) y conecte el adaptador de corriente o la AirPort Express a una toma de alimentación. Información de seguridad  Este juego de adaptadores solo puede utilizarse con adaptadores de corriente Apple.  Utilice el adaptador correcto para el país o región en el que se encuentre (véanse las ilustraciones anteriores).  Al enchufar el adaptador de CA a una toma de corriente, no lo fuerce. Si la conexión entre el adaptador y el enchufe no es razonablemente fácil, seguramente no se correspondan.  Al conectar o desconectar el adaptador de corriente, sosténgalo por los lados procurando no tocar las clavijas. Tres clavijas Reino Unido, Hong Kong, Singapur Clavijas planas en ángulo Australia, Nueva Zelanda Clavijas planas paralelas sin orificios China Clavijas planas paralelas con orificios Norteamérica, Japón Clavijas redondas gruesas Corea Clavijas redondas finas Europa continental14 Español Italiano 15  Deje siempre espacio libre alrededor del adaptador de corriente para evitar que se sobrecaliente.  No utilice el adaptador cerca de lugares con agua o excesiva humedad (bañeras, lavabos, duchas, etc.).  El adaptador de corriente y el juego de clavijas son componentes de alta tensión que no deben ser abiertos por ningún motivo.  Si el adaptador de corriente o las distintas clavijas han sufrido algún tipo de daño, deje de usarlos inmediatamente.14 Español Italiano 15 Kit di adattatori da viaggio Apple Puoi utilizzare il kit di adattatori da viaggio Apple nella maggior parte dei paesi e delle regioni. Per caricare iPod o iPhone: 1 Scegli l’adattatore corretto per il paese o la regione in cui ti trovi (fai riferimento alle figure nella pagina successiva), quindi collegalo all’alimentatore di corrente incluso. 2 Collega il cavo USB dell’alimentatore di corrente, estendi i fermi elettrici (se necessario) e inserisci l’alimentatore di corrente in una presa. 3 Collega iPod o iPhone all’altra estremità del cavo. Puoi anche collegare il cavo ad un dock per iPod o iPhone e utilizzare il cavo per sincronizzare iPod o iPhone con il computer.16 Italiano Italiano 17 Per utilizzarlo con degli alimentatori di corrente compatibili con Mac o AirPort Express: 1 Scegli l’adattatore corretto per il paese o la regione in cui ti trovi, quindi collegalo all’alimentatore di corrente o a AirPort Express. 2 Estendi i fermi elettrici (se necessario) e inserisci l’alimentatore di corrente o AirPort Express in una presa di corrente. Informazioni sulla sicurezza  Utilizza gli adattatori solamente con alimentatori di corrente Apple.  Utilizza l’adattatore corretto per il paese o la regione in cui ti trovi. Fai riferimento alle illustrazioni qui sopra.  Non forzare mai un adattatore AC in una presa di corrente. Se l’adattatore e la presa non combaciano facilmente, probabilmente non sono compatibili.  Quando colleghi o scolleghi l’alimentatore di corrente, tienilo sempre dalle estremità. Mantieni le dita lontane dai contatti CA della spina.  Lascia sempre dello spazio attorno all’alimentatore di corrente per consentire il flusso d’aria necessario al raffreddamento dell’adattatore. Tre contatti Regno Unito, Hong Kong, Singapore Contatti piatti angolari Australia, Nuova Zelanda Contatti piatti paralleli senza buchi Cina Contatti piatti paralleli con buchi America del Nord, Giappone Contatti arrotondati spessi Corea Contatti arrotondati sottili Europa continentale16 Italiano Italiano 17  Non utilizzare l’alimentatore di corrente in luoghi umidi, come ad esempio in prossimità di lavandini, vasche da bagno, docce, ecc.  L’alimentatore di corrente e gli adattatori sono componenti ad alto voltaggio e non devono essere aperti per nessuna ragione.  Se l’alimentatore di corrente o l’adattatore sembrano danneggiati, interrompine immediatamente l’uso.18 19 Disposal and Recycling Information When this product has reached the end of its useful life, please dispose of it according to your local environmental laws and guidelines. For information about Apple’s recycling program, go to: www.apple.com/environment/recycling European Union—Disposal Information: The symbol above means that according to local laws and regulations your product should be disposed of separately from household waste. When this product reaches its end of life, take it to a collection point designated by local authorities. Some collection points accept products for free. The separate collection and recycling of your product at the time of disposal will help conserve natural resources and ensure that it is recycled in a manner that protects human health and the environment. Union Européenne: informations sur l’élimination Le symbole ci-dessus signifie que vous devez vous débarasser de votre produit sans le mélanger avec les ordures ménagères, selon les normes et la législation de votre pays. Lorsque ce produit n’est plus utilisable, portez-le dans un centre de traitement des déchets agréé par les autorités locales. Certains centres acceptent les produits gratuitement. Le traitement et le recyclage séparé de votre produit lors de son élimination aideront à préserver les ressources naturelles et à protéger l’environnement et la santé des êtres humains. Europäische Union – Informationen zur Entsorgung Das Symbol oben bedeutet, dass dieses Produkt entsprechend den geltenden gesetzlichen Vorschriften und getrennt vom Hausmüll entsorgt werden muss. Geben Sie dieses Produkt zur Entsorgung bei einer offiziellen Sammelstelle ab. Bei einigen Sammelstellen können Produkte zur Entsorgung unentgeltlich abgegeben werden. Durch das separate Sammeln und Recycling werden die natürlichen Ressourcen geschont und es ist sichergestellt, dass beim Recycling des Produkts alle Bestimmungen zum Schutz von Gesundheit und Umwelt beachtet werden. Unione Europea: informazioni per lo smaltimento Il simbolo qui sopra significa che, in base alle leggi e alle norme locali, il prodotto dovrebbe essere smaltito separatamente dai rifiuti casalinghi. Quando il prodotto diventa inutilizzabile, portalo nel punto di raccolta stabilito dalle autorità locali. Alcuni punti di raccolta accettano i prodotti gratuitamente. La raccolta separata e il riciclaggio del prodotto al momento dello smaltimento aiutano a conservare le risorse naturali e assicurano che venga riciclato nel rispetto della salute umana e dell’ambiente. Europeiska unionen—uttjänta produkter Symbolen ovan betyder att produkten enligt lokala lagar och bestämmelser inte får kastas tillsammans med hushållsavfallet. När produkten har tjänat ut måste den tas till en återvinningsstation som utsetts av lokala myndigheter. Vissa återvinningsstationer tar kostnadsfritt hand om uttjänta produkter. Genom att låta den uttjänta produkten tas om hand för återvinning hjälper du till att spara naturresurser och skydda hälsa och miljö.18 19 Apple and the Environment At Apple, we recognize our responsibility to minimize the environmental impacts of our operations and products. For more information, go to: www.apple.com/environment © 2009 Apple Inc. All rights reserved. Apple, the Apple logo, AirMac, AirPort Express, iPod, and Mac are trademarks of Apple Inc., registered in the U.S. and other countries. iPhone is a trademark of Apple Inc.www.apple.com/support/ipod www.apple.com/support/iphone ZM034-4845-A Printed in XXXX サービス利用規約 Apple Japan, Inc.からのリモートアクセスによる技術サポートをご利用いただく場合、下記の規約が適 用されます。 a. Apple による 1 年間の限定保証および/または付随する 90 日間無料の技術サポートによるサ ービス提供 :下記に規定される Apple テクニカルサポート規約が適用されます。 b. AppleCare Protection Plan(以下 「APP」といいます )によるサービス提供 :お客様の APP ドキュメ ントに規定されている条件が適用されます。 c. Apple のウェブサイトまたは Apple コンタクトセンターを通じて提供されるカスタマー購入テク ニカルサポート(サポート毎に支払いが発生するサービス提供を含みます ):下記に規定される Apple テクニカルサポート規約が適用されます。 d. AppleCare プロフェッショナルサポートの対象となるお客様へ提供されるサービス :お客様が Apple と締結したサポート契約に規定されている条件が適用されます。 e. その他のお客様へのサービス提供 (消費者法に基づき提供されるサービスを含みます ):下 記に規定される Apple テクニカルサポート規約が適用されます。 AppleCare テクニカルサポート規約 個人また䛿法人䛾お客様(以下「お客様」といいます)が、以下に記載するサービスプラン(以下「サー ビスプラン」といいます)に基づき提供されるサポートサービスプランを Apple とご契約された場合、ま た䛿お客様が Apple 䛾サービスプランにご登録された場合、お客様䛿、適用されるサービスプラン䛾 もとで䛾サポートサービス䛾提供につき、以下䛾規約(以下「本規約」といいます)䛾適用を受けること に同意されたことになります。本規約に同意されない場合に䛿、Apple と䛾ご契約また䛿サービスプラ ンへ䛾ご登録を行わないでください。お客様が、ご購入されたサービスプランを解約し、支払った対価 䛾払戻を希望される場合、AppleCare サポートラインまでご連絡ください。サービスプラン䛿、Apple がお客様䛾ご登録を承諾したとき(以下「発効日」といいます)に効力を生じます。 1. サービス Apple がお客様䛾ご登録を承諾することにより、Apple 䛿 Apple 䛾ソフトウェア製品お よび関連する技術(以下「サポート対象製品」といいます)について、適用されるサービスプランに基づ き、サポートサービス(以下 「サポートサービス 」といいます )を提供します。適用サービスプランにつ いて䛿、オンラインウェブページ䛾 http://www.apple.com/legal/applecare/techsupport/(以下「サー ビスプランサポートページ」といいます)に全て記載されています。Apple 䛿、サポートサービスまた䛿 サービスプランサポートページを更新することにより、サービスプランに基づき提供されるサポートサービスおよび/また䛿サービスプランによりカバーされるサポート対象製品を、いつでも変更することが できます。但し、Apple 䛿、以下䛾ようなサポートサービスまた䛿/およびサポート対象製品䛾変更䛿行 わないも䛾とします:(i) サポートサービスに基づく Apple 䛾取り組み䛾レベルを減少させる変更、(ii) Apple 䛾サポートサービス䛾提供義務に重大な影響を生じさせる変更、また䛿(iii) お客様䛾サポート サービスを受ける権利に重大な影響を生じさせる変更。お客様䛾サービスプラン䛾内容に影響を与え るアップデートを行う場合、変更䛾 30 日以上前に、Apple 䛿、お客様がご登録された電子メールアド レスを通じて、お客様に当該アップデートについて通知します。サービスプランサポートページに示され た条件䛿、本規約䛾内容に組み込まれるも䛾とします。本規約書面上䛾条件とサービスサポートプラ ンページ上䛾条件に齟齬がある場合、サービスサポートプランページ上䛾条件が優先適用されます。 2.制限 2.1 サポートインシデント サービスプラン䛿、1回、複数回また䛿無制限䛾サポートインシデントパッ ケージにて提供されます。サポートインシデントと䛿、そ䛾問題䛾原因を単一䛾理由に切り離すことが できる特定的で個別的な問題を意味します。Apple 䛿、サポートインシデントを解決するため合理的な 努力をしますが、サポートインシデント䛾解決を保証するも䛾で䛿ありません。Apple 䛿、そ䛾独自䛾 裁量で、サポートインシデント䛾構成内容を決定し、法が許容する限りにおいてサポートインシデントが 解決可能であるかを判断することができます。通常、サポートインシデント䛿、お客様が以下䛾いずれ かを受領した場合に解決したも䛾とします: (a) 問題を解決する情報、(b) 問題を解決するソフトウェア ソリューション入手情報、 (c) 問題が、公知でまだ解決されていない問題に起因すること、また䛿サポ ート対象製品と互換性がないことに起因すること䛾通知、(d) 問題が、新しくリリースされたサポート対 象製品にアップグレードすることによって解決されるという情報、また䛿(e) 問題がハードウェア機器䛾 問題であると特定されたこと䛾通知。 サポートインシデント䛾回数か限定されたサービスプランで䛿、 お客様から、新規䛾サポートインシデントについて䛾ご相談を受けるごとに、サポートを受けられるサ ポートインシデント残数が減少します。 2.2 レスポンスタイム Apple 䛿、合理的な期間内また䛿適用されるサポートサービスプランに記載さ れるレスポンスタイム(以下「レスポンスタイム」といいます)まで䛾いずれか早く到来する時期までに、 サポートサービス䛾リクエストに対して回答するよう合理的な努力をしますが、特定䛾期間内に回答す ることを保証するも䛾で䛿ありません。レスポンスタイム䛿全て、サービスサポートページ上䛾サービス プラン䛾営業時間に準じて計算されます。 2.3 最新䛾リリース 別段䛾定め䛾ない限り、サポート対象製品䛿全て、最新䛾リリースレベルにあ ります。2.4 使用 サポートサービス䛿、サポートサービスにより望ましい結果を達成ができないことが死亡、 身体傷害また䛿身体もしく䛿環境に対する重大な損害をもたらすこととなるような原子力施設、航空機 制御、通信システム、航空管制システム、また䛿そ䛾他䛾設備䛾稼働を目的とする使用を対象として いません。 2.5 技術担当者 サポートサービス䛿、サービスプランで認められているとおり、登録時にお客様が 指名した1名また䛿複数名(以下「技術担当者」といいます)に対して提供されます。技術担当者䛿、サ ービスプラン䛾技術サポートを受けるため䛾、お客様と Apple と䛾間䛾唯一䛾連絡窓口です。技術担 当者が複数名いるサービスプランにおいて、お客様が、技術担当者䛾変更を希望する場合、 AppleCare サポートラインに、 5 日以上前もって書面による変更通知を送付する必要があり、また䛿、 サービスプランにおいて利用可能な場合に䛿、サービスプラン開始時に配布される説明書に記載䛾安 全かつカスタマイズされたお客様用ウェブサイトを通じて、直接に、変更を入力する必要があります。 3. 適用除外 サービスプランに別段䛾定めがある場合を除き、Apple 䛿、以下䛾事由により生じる 問題に関連するサポート䛿提供しません: (a) サーバベースアプリケーションとして䛾サポート対象製 品䛾使用、(b) サポート対象製品をアップグレードすることにより解決し得る問題、(c) サポート対象製 品につき意図された方法以外で䛾使用また䛿修正、(d) 第三者䛾製品また䛿技術、およびこれら䛾サ ポート対象製品に対する影響また䛿サポート対象製品と䛾相互作用、(e) サポート対象製品が提供さ れるメディアへ䛾損害、また䛿サポート対象製品がインストールされているコンピュータへ䛾損害、(f) サポート対象製品と互換性䛾ないコンピュータシステム䛾使用、および (g) インターネット、E メール、 ファイルマネジメント、ネットワークコンフィグレーション、スクリプティング、FX スクリプティング、プログ ラミング、コンパイル、デバッグ、インフラストラクチャーデザイン、コンテンツクリエーション、コンテンツ カスタマイゼーション、マルチメディアプロジェクトプランニング/デザイン、リソースマネージメント、バ ジェッティング、トレーニング、オンサイト診断、そ䛾他サービスプランにおいて規定されるサポートサー ビス䛾範囲外䛾問題。 4. お客様䛾責任 サポートサービスを受けていただくために䛿、お客様䛿、サービスプランにご登録 䛾うえ、Apple から䛾アクセス指示に従ってしていただく必要があります。Apple と䛾電子メールおよび 電話回線を設置および維持するため䛾費用䛾一切䛿お客様にご負担いただきます。お客様䛿、サポ ートサービスをご利用になる場合、Apple が問題を診断する䛾に役立つ必要な情報を提供することに より Apple に協力するも䛾とします。紛失また䛿変更されたファイル、データまた䛿プログラム䛾回復 また䛿再構成䛿全てお客様䛾責任とします。お客様䛿全て䛾データバックアップをなし、および障害回 復䛾プランを維持および実施するも䛾とします。お客様䛿、自ら䛾秘密情報、専有情報また䛿機密扱 い䛾情報䛾セキュリティ䛾一切について、単独で責任を負うも䛾とします。お客様䛿、Apple に対し、秘 密情報、専有情報、また䛿 Apple に法的責任が生じる可能性䛾ある知的財産権䛾対象となるいかなる情報も開示しないも䛾とします。お客様䛿、サポートサービスが必要なサポート対象製品、およびお 客様が操作するコンピュータシステムについて合理的な理解をしているも䛾とします。お客様䛿サポー トサービスを第三者に譲渡すること䛿できません。サポートサービス䛿、お客様䛾内部使用䛾ために 䛾み提供されるも䛾であり、許可なくサポートサービスを販売すること䛿、本規約䛾即時䛾解除事由と なります。お客様䛿、許可なくサポートサービスが販売および使用されること䛾ないよう、合理的な手段 を講じるも䛾とします。お客様䛿、サポートサービス䛾提供を受ける際、また䛿利用䛾際に、これを不 当に使用して䛿なりません。これに䛿、すでに解決された問題についてサポートサービスを利用するこ とを含みますがこれに限られません。 5. リモートアクセスサポートサービス サービスプラン䛾一環として、Apple 䛿、インターネット経由で リモートアクセスすることによりサポートサービスを提供することができ、それにより Apple 䛿、リモート アクセスソフトウェアをインストールし使用することで、お客様䛾コンピュータ上䛾情報にアクセスし、お 客様によって許可された場合に䛿、情報を管理および収集するも䛾とします。お客様䛿、当該リモート アクセスソフトウェアをインストールし使用することによって、Apple がこ䛾ような方法でサポートサービ スを提供することを許可したことになります。リモートアクセスソフトウェア䛾ファイル䛾全部また䛿一部 が、サポートサービス䛾期間が終了した後にも、お客様䛾コンピュータ上に残存する場合があります。 リモートアクセスソフトウェア䛾所有権およびリモートアクセスソフトウェアに含まれるすべて䛾知的財 産権䛿、Apple および/また䛿そ䛾ライセンサーが引き続き保有します。適用されるリモートアクセスソ フトウェア䛾使用に䛿、http://www.apple.com/legal/applecare/remotesupport にて確認可能な、追 加䛾使用許諾条件が適用される場合があります。お客様䛿、リモートアクセスソフトウェア䛾いずれ䛾 部分についても逆アセンブルまた䛿リバースエンジニアリングを行うこと䛿できません。Apple 䛿、リモ ートアクセスによるサポートサービスが提供されている間、分析及びサポートインシデント䛾ため䛾支 援を提供するために必要であると Apple が合理的に判断するお客様䛾コンピュータ上䛾情報につい て䛾み、アクセス、管理および収集を行います。Apple 䛿、お客様が、サポートインシデントに関連しな いすべて䛾ファイルおよびアプリケーションを閉じることを推奨します。リモートアクセスソフトウェアまた 䛿お客様䛾コンピュータ䛾機能により、お客様䛿、リモートアクセスによるサポートサービス䛾セッショ ンを何時でも終了することができます。 6.保証免責 Apple 䛿、サポートインシデント䛾解決を保証できませんが、プロフェッショナルとしてサ ービスプランに基づいてサポートサービスを実施する合理的な努力を行います。法が許容する限りに おいて、本規約に規定される明示䛾保証および救済䛿唯一䛾も䛾であり、口頭また䛿書面によるも䛾 か、法律上䛾も䛾であるか、明示また䛿黙示であるかを問わず、他䛾すべて䛾保証、救済、および条 件にとって代わるも䛾です。適用法が許容する限りにおいて、Apple およびそ䛾ライセンサー䛿、特別 に、本規約に関連また䛿本規約に何らか䛾形で起因する法令上また䛿黙示䛾保証から免責されるも䛾とし、これに䛿一切䛾黙示䛾保証もしく䛿商品性、また䛿特定目的適合性に関する保証を含むも䛾 とします。 7. 責任制限 法が許容する限りにおいて、本規約に基づく Apple 及びそ䛾ライセンサー䛾責任䛿、 お客様が注文されたサービスプランに対してお客様が支払った金額を上限とします。Apple およびそ 䛾ライセンサー䛿、責任事由に関わらず、いかように発生しようと、本規約に起因する間接損害、特別 損害、付随的損害また䛿二次的損害(これに䛿逸失利益、データ䛾消失、機器また䛿設備䛾利用䛾 損失、また䛿業務䛾中断に対する損害を含みますが、これらに限られません)について、Apple および そ䛾ライセンサーが当該損害䛾可能性について報告を受けていたか否かに関わらず、一切䛾責任を 負いません。そ䛾他䛾免責事項䛿、http://www.apple.com/legal/applecare/remotesupport にて確認 可能な、リモートアクセスソフトウェアに適用されるライセンス条件に含まれる場合があります。 8. 期間および解除 本条項に従い早期に終了しない限り、(Apple により書面で別途承認されない限 り)サービスプラン䛾有効期限䛿、発効日より 12 ヶ月、また䛿全て䛾サポートインシデント使用終了䛾 いずれか早い時点で終了します。サービスプラン䛾終了日また䛿そ䛾前に更新されない限り、Apple 䛿、サービスプラン䛾終了後にサポートサービスを提供しません。Apple 䛿、以下䛾場合、いつでもサ ービスプランを終了することができます:(a) 書面で事前通知をした後、15 日以上経過してもお客様か らサービスプランに関して料金䛾支払いがないとき、(b) 書面で事前通知をした後、30 日以上たっても お客様䛾本規約䛾違反状態が治癒されないとき、また䛿(c) サービスプラン䛾下で提供されるソフトウ ェア䛾使用につき定めたソフトウェアライセンス契約条件にお客様が違反したとき。適用される法律に 別段䛾定めがある場合を除き、お客様がサポートサービスをこれまでに一度も受けていない場合に䛿、 お客様䛿、サービスプラン䛾購入日また䛿発効日から 30 日間䛾いずれか遅い日まで䛿、理由䛾如何 を問わずサービスプランを解約でき、支払った金額䛾全額䛾払戻を受けることができます。払戻䛾請 求に䛿、購入䛾証明を添えて、東京都新宿区初台西新宿 3 丁目 20 番 2 号に所在䛾 Apple Japan, Inc.に書面で送付することが必要です。本規約䛾 6 条、7 条、12 条䛿、いかなる理由で本規約が終了 した後も、有効に存続します。 9. Apple/準拠法 「Apple」と䛿、Apple Japan, Inc. とします。本規約䛿、日本法を準拠法とし、東京 地方裁判所を第一審䛾専属的合意管轄裁判所とします。 10. 追加サービスまた䛿ソフトウェア サービスプラン䛾一部として提供される追加䛾サービス䛿、 本規約に則って提供されます。サービスプラン䛾一部としてサポートサービスがお客様䛾指定する場 所で提供される場合に䛿、お客様䛿、Apple が予定時刻に当該指定場所にアクセスすることを認めら れ、サポートサービスを履行するために充分といえる安全な作業環境を確保するも䛾とします。サービ スプラン䛾一部としてソフトウェアが提供される場合に䛿、当該ソフトウェア䛿、Apple およびそ䛾ライセ ンサー䛾著作物です。お客様䛿、もっ䜁らサポート対象製品をサポートする目的で、ソフトウェアをインストール、複製および使用することができます。しかし、適用法により許容される場合を除き、お客様䛿、 ソフトウェア䛾デコンパイル、リバースエンジニアリング、変更、レンタル、リースまた䛿二次的著作物䛾 創作をして䛿なりません。ソフトウェアが別個䛾ソフトウェアライセンス契約䛾適用を受ける場合、そ䛾 ソフトウェア䛾使用について䛿そ䛾別個䛾ライセンス契約が適用されます。本規約に従いアメリカ合衆 国政府に提供されたソフトウェア䛿、FAR 第 52. 227-19 に定める「制限付きソフトウェア」に分類され ます。アメリカ合衆国政府䛾当該ソフトウェアに対する権利䛿、FAR 第 52.227-19 に定めるとおりで す。 11. 個人情報保護 お客様䛿、Apple がサービスプランに基づいてサービスおよびサポート義務を履 行するにあたり、お客様䛾データを収集、管理および使用する必要があることに同意し理解します。 Apple 䛿、個人情報保護法に基づき、お客様からデータを収集、管理および使用するも䛾とします。こ れに䛿 Apple プライバシーポリシー䛾条件(http://www.apple.com/legal/warranty/privacy)に従って、 個人情報保護法に従うことを条件に、関連会社また䛿サービスプロバイダに、お客様䛾データを送信 することを含む場合があります。Apple 䛿、お客様䛾データについて、Apple プライバシーポリシーに 基づいて保護します。お客様が、Apple が保持するお客様情報へ䛾アクセスまた䛿変更を希望される 場合、プライバシーアップデートウェブページ(http://www.apple.com/contact/myinfo)にアクセスして、 個人コンタクト情報をアップデートすることができます。Apple 䛿、お客様と Apple 䛾間䛾一部また䛿す べて䛾電話を、トレーニング、品質保持および参考䛾ために録音する場合があります。 12. 一般条項 お客様䛿、サービスプランに基づくお客様䛾権利また䛿義務を譲渡することができま せん。許可なくなされた譲渡䛿無効です。Apple 䛿、合理的な支配䛾及䜀ない理由による履行遅延ま た䛿履行不能について責任を負担しないも䛾とします。 本規約䛾違反また䛿不履行について䛾権利 放棄䛿、以後䛾違反や不履行について䛾権利放棄と䛿なりません。適用ある管轄裁判所が、ある条 件が無効また䛿法的強制力を有しないと判断した場合、残存する部分䛿完全に効力を有するも䛾とし、 両当事者䛿当該無効また䛿法的強制力を有しない条件を、両当事者䛾当初䛾意図および本規約䛾 経済的効果を達成する有効かつ法的強制力を有する条件に置き換えるも䛾とします。本規約にて参 照されている追加的条件を含むこれら䛾規約䛿、本規約に基づき提供されるサービスプランおよびサ ポートサービスに関する Apple とお客様と䛾完全合意を形成し、本件に関連するすべて䛾事前交渉、 合意および理解に優先し、本規約䛾一切䛾追加、削除また䛿変更䛿、Apple 䛾権限ある代表者が署 名した書面が作成されない限り、Apple に対して効力を有しません。お客様から提出された注文やそ 䛾他書面上に記されたいかなる諸条件も効力を有せず、また、採用いたしか䛽ます。 070212 Remote Support Japanese v1 Instructions de remplacement Respectez scrupuleusement les instructions de ce document. À défaut, vous risquez de détériorer votre matériel et d’invalider sa garantie. Remarque: Des instructions sont disponibles en ligne à l’adresse http://www.apple.com/support/doityourself/. Avertissement : Durant cette procédure, mettez les petites pièces hors de portée des enfants. Outils requis Les outils suivants sont requis pour cette procédure : • Une pièce de monnaie • Une baguette noire (ou tout autre outil à lame plate isolant en plastique ou en nylon) Ouverture de l’ordinateur Avertissement : Éteignez systématiquement l’ordinateur avant de l’ouvrir afin d’éviter d’endommager ses composants internes et de vous blesser. Après extinction, les composants internes risquent d’être très chauds. Attendez qu’ils refroidissent avant de poursuivre. 1. Placez votre ordinateur sur une surface propre et plane. 2. Eteignez l’ordinateur et patientez cinq minutes avant de poursuivre. 3. Débranchez tous les câbles connectés à l’ordinateur. 4. Retournez l’ordinateur et utilisez une pièce de monnaie pour débloquer le verrou de la batterie. (Figure 1) 5. Retirez la batterie de sa baie en la levant. 1 PowerBook G4 (12-inch) - AirPort Extreme Card Carte AirPort Extreme AppleCare Figure 16. Touchez une surface métallique dans la baie de la batterie pour décharger l’électricité statique de votre corps. (Figure 2) Important : Afin d’éviter les décharges électrostatiques, mettez-vous toujours à la terre en touchant l’intérieur de la baie de la batterie avant de toucher une pièce ou d’installer un composant dans l’ordinateur. Pour éviter d’accumuler de l’électricité statique, ne vous déplacez pas dans la pièce avant d’avoir achevé l’installation et refermé l’ordinateur. PowerBook G4 (12-inch) - AirPort Extreme Card 2 Figure 2Installation de la Carte AirPort Extreme de remplacement 1. Ouvrez la trappe du connecteur AirPort. (Figure 3) 2. Si une Carte AirPort Extreme est déjà installée, utilisez une baguette noire pour dégager la languette. (Figure 4) 3. Déconnectez doucement le câble de l’antenne AirPort. (Figure 5) 3 PowerBook G4 (12-inch) - AirPort Extreme Card Figure 3 Figure 4 Figure 54. Tirez sur la languette pour sortir la Carte Airport Extreme. (Figure 6) 5. Faites glisser la Carte AirPort Extreme de remplacement dans le connecteur, comme indiqué ci-dessous. (Figure 7) 6. Connectez l’extrémité du câble de l’antenne à la carte. (Figure 8) 7. Enroulez la languette en plastique par dessus et sous la carte de façon à ce que la languette immobilise le câble de l’antenne et se loge dans le connecteur. PowerBook G4 (12-inch) - AirPort Extreme Card 4 Figure 6 Figure 7 Figure 88. Assurez-vous que la carte est complètement insérée, comme le montre la deuxième photo. (Figure 9) 9. Fermez la trappe AirPort. Fermeture de l’ordinateur 1. Remettez la batterie en place dans la baie. 2. Rebranchez tous les câbles et redémarrez votre ordinateur. Avertissement : Ne mettez jamais l’ordinateur sous tension tant que ses composants internes et externes ne sont pas tous en place et que le capot est ouvert. En transgressant ces règles, vous risqueriez d’endommager l’ordinateur ou de vous blesser. 5 PowerBook G4 (12-inch) - AirPort Extreme Card Figure 9 Apple Computer, Inc. © 2003 Apple Computer, Inc. Tous droits réservés. Ce manuel est protégé par la loi du 11 mars 1957 sur la propriété littéraire et artistique, complétée par la loi du 3 juillet 1985 et par toutes les conventions internationales applicables aux droits d’auteurs. En vertu de ces lois et conventions, aucune reproduction totale ni partielle de ce manuel n’est autorisée, sauf consentement écrit préalable d’Apple. Le logo Apple est une marque d’Apple Computer Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. En l’absence du consentement écrit d’Apple, l’utilisation à des fins commerciales de ce logo via le clavier (Option - I) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Tout a été mis en œuvre pour que les informations présentées dans ce manuel soient exactes. Apple n’est pas responsable des erreurs de reproduction ou d’impression. Apple Computer, Inc. 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014-2084 USA + 1 408 996 1010 http://www.apple.com Apple, le logo Apple et PowerBook sont des marques d'Apple Computer, Inc., déposées aux Etats-Unis et dans d'autres pays. AirPort est une marque d’Apple Computer, Inc. PowerBook G4 (12-inch) - AirPort Extreme Card 6 1 Installation de votre logiciel Les informations suivantes sont destinées à vous familiariser avec Aperture le plus rapidement possible et traite des rubriques présentées ci-dessous :  À propos du disque d’installation d’Aperture (p. 2)  Mise à niveau de Mac OS X (p. 2)  Installation d’Aperture (p. 3)  Enregistrement d’Aperture (p. 6)  À propos des exemples de projets d’Aperture (p. 7)  À propos de l’aide à l’écran (p. 7)  Prise de contact avec l’assistance AppleCare (p. 10) Passez également en revue le document Avant d’installer Aperture se trouvant sur le disque d’installation d’Aperture. Pour accéder aux dernières informations sur Aperture, consultez sur le site web d’Aperture à l’adresse http://www.apple.com/fr/aperture.2 À propos du disque d’installation d’Aperture Le disque d’installation d’Aperture 2 contient les éléments suivants :  Avant d’installer Aperture : ce document détaille la configuration requise et ce que vous devez faire avant d’installer Aperture et le contenu l’accompagnant.  Programme d’installation d’Aperture : double-cliquez sur l’icône du programme d’installation d’Aperture pour lancer le processus d’installation.  Dossier Documentation : ce dossier contient le document Installation de votre logiciel (en version PDF) et le Manuel de l’utilisateur d’Aperture. Ouvrez le Manuel de l’utilisateur d’Aperture pour afficher le reste de la documentation PDF d’Aperture, notamment Découverte d’Aperture et Raccourcis clavier.  Dossier Sample Projects :ce dossier inclut des projets servant d’exemples, à visualiser dans Aperture, mais aussi un document concis reprenant des caractéristiques des exemples de projets. Remarque :le disque d’installation contient les fichiers requis pour installer Aperture 2 sur les ordinateurs Mac de type PowerPC ou à processeur Intel. Le processus d’installation est identique pour les deux types d’ordinateurs. Mise à niveau de Mac OS X Avant d’installer Aperture, mettez à jour votre logiciel système afin de vous assurer que vous disposez bien de la toute dernière version de Mac OS X v10.4.11 Tiger ou Mac OS X v10.5.2 Leopard (ou ultérieur). Important :vous devez acheter Mac OS X v10.4. Tiger ou Mac OS X v10.5 Leopard si vous effectuez la mise à niveau à partir d’une version antérieure.3 Pour mettre à jour Mac OS X v10.4 ou Mac OS X v10.5 à la dernière version disponible : 1 Choisissez le menu Pomme > « Mise à jour de logiciels ». Une zone de dialogue apparaît alors pour vous indiquer les logiciels nouveaux ou mis à jour, applicables à votre ordinateur. 2 Suivez les instructions à l’écran pour mettre à jour Mac OS X à la dernière version. Installation d’Aperture Lorsque vous installez Aperture, l’application se place dans le dossier Applications du disque dur précisé, généralement sur votre disque de démarrage. Par défaut, le programme d’installation d’Aperture installe l’application Aperture en tant que telle sur votre disque dur, mais aussi la documentation qui l’accompagne et des exemples de projets destinés à vous aider à débuter dans l’utilisation des divers outils mis à votre disposition dans Aperture pour la gestion, le traitement et la publication de vos photos. Remarque :avant de pouvoir installer Aperture, vous devez ouvrir une session sur votre ordinateur sous un compte d’administrateur en respectant les données de connexion. Pour en savoir plus, consultez l’Aide Mac. Avertissement :si le système ne satisfait pas la configuration requise, l’installation d’Aperture ne peut pas se faire. Reportez-vous au document Avant d’installer Aperture se trouvant sur le disque d’installation pour connaître les détails de cette configuration.4 Pour installer Aperture et taper le numéro de série : 1 Insérez le disque d’installation d’Aperture dans le lecteur de DVD de l’ordinateur. 2 Double-cliquez sur l’icône du programme d’installation d’Aperture, puis suivez les instructions à l’écran. 3 Prenez connaissance du texte de bienvenue présenté dans l’introduction, puis cliquez sur Continuer. 4 Lisez le Contrat de licence du logiciel. Vous pouvez l’imprimer ou l’enregistrer en cliquant sur le bouton respectif Imprimer ou Enregistrer. Après l’avoir lu, cliquez sur Continuer, puis, si vous êtes d’accord avec les termes du Contrat, sur Accepter. 5 Sélectionnez le disque de démarrage, puis cliquez sur Continuer si nécessaire. 6 Dans la sous-fenêtre « Informations de l’utilisateur », saisissez vos nom et prénom. Préciser le nom de votre entreprise est facultatif. Tapez votre nom (obligatoire). Tapez le nom de votre entreprise (organisation ; facultatif). Tapez votre numéro de série sans oublier les tirets (obligatoire).5 7 Dans le champ Numéro de série, saisissez le numéro de série d’Aperture tel qu’il figure sur l’étiquette prévue à cet effet, collée au verso de la couverture de ce document, puis cliquez sur Continuer. Nous vous présentons ci-après quelques conseils pour saisir correctement votre numéro de série :  Assurez-vous que le numéro de série que vous copiez est bien l’original se trouvant au verso de la couverture de ce document.  Assurez-vous que vous tapez bien le numéro de série du logiciel et non pas le numéro d’identification pour bénéficier de l’assistance.  Vérifiez que les caractères saisis correspondent bien à des zéros et non à la lettre O, et aux chiffres 1 et non à la lettre L en minuscule,si votre numéro prévoit de tels chiffres.  N’oubliez pas les tirets du numéro de série.  N’ajoutez aucun espace avant ou après le numéro. 8 Vérifiez enfin que le numéro de série soit tapé correctement. 9 Cliquez sur Installer pour procéder à une installation standard d’Aperture. Pour personnaliser votre installation d’Aperture, cliquez sur Personnaliser, indiquez les options d’installation que vous désirez, puis cliquez enfin sur Installer. 10 Une zone de dialogue s’affiche pour vous authentifier grâce à vos nom et mot de passe. Cliquez sur OK lorsque vous avez fini. Remarque :à l’issue de trois tentatives échouées de saisie du numéro de saisie, le programme d’installation d’Aperture se ferme. Pour relancer le processus d’installation, retournez à l’étape 2. Le programme d’installation affiche une barre de progression pour vous indiquer où en est l’installation.6 11 Lorsqu’elle est enfin terminée, cliquez sur Fermer. Une fois le logiciel installé, vous pouvez commencer à utiliser Aperture. Enregistrement d’Aperture La première fois que vous ouvrez Aperture, vous êtes invité à fournir des informations permettant l’enregistrement du produit. Par défaut, les données de votre fiche personnelle tirée de votre Carnet d’adresses sont automatiquement reprises dans les champs appropriés. Pour enregistrer Aperture sous un utilisateur autre que celui repris dans la fiche personnelle de votre Carnet d’adresses : 1 Remplissez les champs Nom, Adresse, Organisation et Adresse électronique. 2 Si vous désirez recevoir sur votre compte de messagerie des informations sur l’actualité et les mises à jour de logiciels Apple, cochez la case. 3 Si vous voulez prendre connaissance de l’Engagement de confidentialité Apple, cliquez sur Confidentialité. 4 Lorsque vous avez terminé, cliquez sur S’enregistrer. Aperture est à présent enregistré. Remarque :si vous optez pour le bouton « S’enregistrer plus tard », le système vous rappelle d’enregistrer Aperture toutes les cinq ouvertures de l’application.7 À propos des exemples de projets d’Aperture Aperture inclut plusieurs exemples de projets comprenant des images haute résolution. Lors de l’installation d’Aperture, les exemples de projets sont installés sur votre disque dur par défaut. Lorsque vous ouvrez Aperture pour la première fois, une zone de dialogue vous demande si vous voulez importer les exemples de projet. Veillez à importer ces projets si vous souhaitez suivre l’introduction à Aperture présentée dans le livret Découverte d’Aperture. Vous pouvez ainsi importer ces projets dans Aperture à tout moment après avoir installé l’application. Les exemples de projets sont installés à l’emplacement suivant :/Library/Application Support/Aperture/Sample Projects/. À propos de l’aide à l’écran L’aide à l’écran, disponible à partir du menu Aide, vous permet d’afficher des informations au cours de vos manipulations dans Aperture. Vous retrouverez ainsi des liens vers des exemplaires de documents au format PDF traitant d’Aperture ainsi que des liens vers les sites Web du produit Aperture et sur son assistance dans le menu Aide. Des renseignements supplémentaires à propos d’Aperture, y compris de la documentation d’assistance non disponible à partir du menu Aide d’Aperture,sont disponibles sur le site web d’assistance d’Aperture. Pour consulter le site web d’assistance d’Aperture, procédez de l’une des manières suivantes : m Dans Aperture, choisissez Aide > Assistance Aperture. m Allez à l’adresse http://www.apple.com/fr/support/aperture.8 Manuel de l’utilisateur d’Aperture Ce document contient des renseignements conceptuels, de référence et retraçant les tâches qu’impliquent Aperture. Pour accéder au Manuel de l’utilisateur d’Aperture : m Dans Aperture, choisissez Aide > Manuel de l’utilisateur d’Aperture. Informations de dernière minute Le menu Aide d’Aperture contient un lien vers des informations relatives aux problè- mes que peuvent rencontrer du matériel et des logiciels de tierce partie ainsi que d’autres problèmes déjà connus. Remarque :vous devez pour cela être connecté à Internet pour pouvoir accéder à ce document. Pour accéder au document « Informations de dernière minute » : m Dans Aperture, choisissez Aide > « Informations de dernière minute ». Nouvelles fonctionnalités Ce document répertorie les fonctionnalités introduites à Aperture depuis Aperture 1.5. Remarque :vous devez pour cela être connecté à Internet pour pouvoir accéder à ce document. Pour obtenir des renseignements concernant les nouvelles fonctionnalités d’Aperture : m Dans Aperture, choisissez Aide > Nouvelles fonctionnalités.9 Découverte d’Aperture Ce document offre une introduction rapide aux principales fonctionnalités d’Aperture. Ce document correspond à la version PDF du manuel imprimé Découverte d’Aperture. Pour accéder au document Découverte d’Aperture : m Dans Aperture, choisissez Aide > Découverte d’Aperture. Raccourcis clavier Ce document reprend les raccourcis clavier pour assurer les diverses tâches dans Aperture. Ce document correspond à la version PDF du volet imprimé Raccourcis clavier. Pour accéder au document « Raccourcis clavier » : m Dans Aperture, choisissez Aide > Raccourcis clavier. Créer un profil de gestion Dans certains cas où vous êtes amené à faire appel à l’assistance, AppleCare peut nécessiter des informations sur votre ordinateur et sur la configuration adoptée pour Aperture. La commande « Créer un profil de gestion » génère alors un fichier contenant les informations requises pour les envoyer à AppleCare sous forme de message électronique. N’utilisez pas cette fonctionnalité à moins qu’un représentant AppleCare ne vous le demande. Pour créer un profil de gestion : m Dans Aperture, choisissez Aide > « Créer un profil de gestion ».10 Prise de contact avec l’assistance AppleCare Des informations sur les options mises à votre disposition pour bénéficier de l’assistance Apple se trouve dans votre coffret d’Aperture. Plusieurs niveaux d’assistance ont été mis en place. Quelque soit votre problème, il est bon de garder les informations suivantes à portée de main si vous devez contacter Apple pour obtenir de l’aide. Plus vous disposez de données à fournir aux agents du service d’assistance, plus vite ils sont à même de résoudre votre problème ou de vous aiguiller. Pensez donc aux points suivants :  le numéro d’identification pour l’assistance sur Aperture (celui-ci se trouve au verso de la couverture de ce document ; Remarque :ce nombre de onze chiffres permettant de bénéficier de l’assistance diffère du numéro de série du produit permettant, lui, d’installer Aperture).  la version de Mac OS X installée (pour connaître la version de Mac OS X, choisissez le menu Pomme > « À propos de ce Mac ») ;  la version de Aperture sur laquelle vous avez une question (pour retrouver la version d’Aperture installée sur votre ordinateur, choisissez Aperture > « À propos d’Aperture ») ;  le modèle d’ordinateur que vous utilisez ;  la quantité de mémoire RAM installée sur votre ordinateur (pour connaître la capacité de la RAM de votre ordinateur, choisissez le menu Pomme > « À propos de ce Mac ») ;  le cas échéant, tout matériel de tierce partie branché à votre ordinateur ou qui y est installé, ainsi que le nom de leur fabricant (cela inclut les disques durs, les cartes graphiques, etc.).11 L’assistance AppleCare est joignable en ligne à l’adresse http://www.apple.com/fr/support. Vous y retrouverez des informations spécifiques sur l’assistance Aperture en cliquant sur le lien relatif à Aperture. Pour vous rendre sur le site Web d’assistance Aperture à partir de l’application Aperture même : m Choisissez Aide > Assistance Aperture.Copyright © 2008 Apple Inc. Tous droits réservés. Apple, le logo Apple, Mac, Mac OS et Tiger sont des marques d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Aperture et Leopard sont des marques d’Apple Inc. AppleCare est une marque de service d’Apple Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. Intel, Intel Core et Xeon sont des marques d’Intel Corp. aux États-Unis et dans d’autres pays. PowerPC et le logo PowerPC sont des marques d’International Business Machines Corporation, utilisées sous licence. Mac OS X Server Gestion des utilisateurs Pour la version 10.3 ou ultérieureKApple Computer, Inc. © 2003 Apple Computer, Inc. Tous droits réservés. Le propriétaire ou l’utilisateur autorisé d’une copie valide du logiciel Mac OS X Server peut reproduire cette publication dans le seul but d’apprendre à utiliser ledit logiciel. Cette publication ne peut être reproduite ou transmise en tout ou partie à des fins commerciales, comme la vente de copies de cette publication ou la fourniture d’un service d’assistance payant. Tous les efforts ont été mis en œuvre pour assurer l’exactitude du contenu de ce manuel. Apple Computer, Inc., n’est pas responsable des éventuelles erreurs d’impression ou de plume. L’utilisation de ce logo à des fins commerciales via le clavier (Option-1) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Apple, le logo Apple, AirPort, AppleShare, AppleTalk, FireWire, iBook, Trousseau, LaserWriter, Mac, Mac OS, Macintosh, PowerBook et QuickTime sont des marques d’Apple Computer, Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Gestionnaire d’extensions, Finder et SuperDrive sont des marques d’Apple Computer, Inc. Adobe et PostScript sont des marques d’Adobe Systems Incorporated. Java et tous les logos et marques dérivés de Java sont des marques ou des marques déposées de Sun Microsystems, Inc. aux États-Unis et dans d’autres pays. PowerPC est une marque d’International Business Machines Corporation, utilisée sous licence. UNIX est une marque déposée aux États-Unis et dans d’autres pays, sous licence exclusive de X/Open Company Ltd. Remarque : Apple améliore continuellement les performances et le design de ses produits. Il se peut que certaines illustrations de ce manuel soient légèrement différentes de votre version du logiciel. F022-1326 3 1 Table des matières Préface 15 Comment utiliser ce guide ? 16 Utilisation de ce guide 16 Aide sur les tâches de gestion quotidiennes 17 Documents liés 18 Sources d’informations supplémentaires sur la gestion des utilisateurs 18 Si vous êtes novice en gestion de serveur et de réseau 18 Si vous êtes un administrateur de serveur chevronné Chapitre 1 19 Vue d’ensemble de la gestion des utilisateurs 19 Outils de gestion des utilisateurs 19 Gestionnaire de groupe de travail 22 Admin Serveur 22 Gestionnaire Macintosh, 23 NetBoot 24 Installation en réseau 24 Comptes d’utilisateur 24 Utilisateurs et utilisateurs gérés 25 Administrateurs 26 Utilisateurs invités 27 Groupes, groupes principaux et groupes de travail 27 Comptes d’ordinateur 28 Utilisation côté utilisateur 29 Authentification 31 Validation de mots de passe 31 Contrôle de l’accès aux informations Chapitre 2 33 Introduction à la gestion des utilisateurs 33 Présentation générale de la configuration 39 Programmation de stratégies pour la gestion des utilisateurs 41 Utilisation du Gestionnaire de groupe de travail 42 Désignation des administrateurs 43 Configuration des comptes d’utilisateur 44 Configuration des comptes de groupe4 Table des matières 44 Raccourcis pour l’utilisation des comptes 44 Modification simultanée de plusieurs comptes 44 Utilisation de préréglages 45 Importation et exportation d’informations de compte 45 Recherche de comptes dans le Gestionnaire de groupe de travail 45 Liste de comptes dans le domaine de répertoires local 46 Liste de comptes dans des domaines de répertoires de chemins de recherche 46 Liste de comptes dans des domaines de répertoires disponibles 47 Actualisation de listes de comptes 47 Recherche de comptes spécifiques dans une liste 47 Classement des listes d’utilisateurs et de groupes 48 Raccourcis pour la gestion des préférences 48 Raccourcis pour l’utilisation du Gestionnaire Macintosh 48 Sauvegarde et restauration de fichiers de services de répertoires 48 Sauvegarde d’un serveur de mot de passe 48 Sauvegarde de comptes d’utilisateur root et administrateur Chapitre 3 49 Gestion des utilisateurs pour des clients mobiles 49 Configuration des clients mobiles 49 Configuration des ordinateurs portables 50 Utilisation de comptes mobiles 50 Création d’un compte mobile 51 Suppression d’un compte mobile 51 Utilisation de comptes mobiles côté utilisateur 51 Gestion des clients mobiles 52 Ordinateurs portables Mac OS X inconnus 52 Ordinateurs portables Mac OS X pour utilisateurs locaux multiples 53 Ordinateurs portables Mac OS X pour utilisateur local principal 54 Gestion d’ordinateurs portables Mac OS 9 54 Utilisation de services sans fil Chapitre 4 55 Configuration des comptes d’utilisateur 55 Administration de comptes d’utilisateur 55 Emplacement de stockage des comptes d’utilisateur 56 Comptes d’utilisateur prédéfinis 57 Création de comptes d’utilisateur Mac OS X Server 58 Création de comptes d’utilisateur LDAPv3 en lecture/écriture 58 Modification des informations de compte d’utilisateur 59 Modification simultanée de plusieurs utilisateurs 59 Création d’un préréglage pour des comptes d’utilisateur 60 Utilisation de préréglages pour créer des comptes 61 Renommer des préréglages 61 Modification de préréglagesTable des matières 5 61 Suppression de préréglages 62 Travail avec des comptes d’utilisateur de type “lecture seule” 62 Travail avec des réglages élémentaires pour utilisateurs 62 Définition de noms d’utilisateurs 63 Définition de noms abrégés 64 Choix de noms abrégés permanents 65 Eviter les doublons de noms 66 Eviter les doublons de noms abrégés 68 Définition d’identifiants d’utilisateur 69 Définition de mots de passe 69 Attribution de droits d’administrateur pour un serveur 69 Attributions de droits d’administrateur pour un domaine de répertoires 71 Travail avec des réglages avancés pour utilisateurs 71 Définition de réglages de connexion 72 Définition d’une stratégie de validation de mot de passe 72 Création d’une liste maîtresse de mots-clés 72 Application de mots-clés aux comptes d’utilisateur 73 Modification de commentaires 73 Travail avec les réglages de groupe pour utilisateurs 73 Définition du groupe principal d’un utilisateur 74 Ajout d’un utilisateur à des groupes 75 Suppression d’un utilisateur dans un groupe 75 Passage en revue de l’adhésion à des groupes d’un utilisateur 76 Utilisation des réglages de répertoires de départ des utilisateurs 76 Utilisation des réglages de courrier des utilisateurs 76 Désactivation du service de courrier d’un utilisateur 77 Activation des options de compte de service de courrier 78 Faire suivre le courrier d’un utilisateur 78 Travail avec des réglages d’impression pour utilisateurs 79 Désactivation de l’accès d’un utilisateur aux files d’attente imposant des quotas 79 Activation l’accès d’un utilisateur aux files d’attente imposant des quotas 80 Suppression du quota d’impression d’un utilisateur pour une file spécifique 80 Réinitialisation du quota d’impression d’un utilisateur 81 Choix de réglages pour les utilisateurs Windows 81 Définition d’un utilisateur invité 82 Suppression d’un compte d’utilisateur 82 Désactivation d’un compte d’utilisateur Chapitre 5 83 Configuration des comptes de groupe 83 À propos des comptes de groupe 83 Administration de comptes de groupe 83 Emplacement de stockage des comptes de groupe 84 Comptes de groupe prédéfinis6 Table des matières 85 Création de comptes de groupe Mac OS X Server 85 Création de comptes de groupe LDAPv3 en lecture/écriture 86 Création d’un préréglage pour les comptes de groupe 86 Modification des informations d’un compte de groupe 87 Travail avec des comptes de groupe en lecture seule 87 Travail avec des réglages de membre pour groupes 87 Ajout d’utilisateurs à un groupe 88 Suppression des utilisateurs d’un groupe 88 Attribution d’un nom à un groupe 89 Définition d’un identifiant de groupe 90 Travail avec les réglages du dossier de groupe 90 Option Pas de dossier de groupe 91 Création d’un dossier de groupe dans un point de partage existant 92 Création d’un dossier de groupe dans un nouveau point de partage 94 Création d’un dossier de groupe dans un sous-dossier d’un point de partage existant 96 Suppression de comptes de groupe Chapitre 6 97 Configuration des comptes d’ordinateur 97 À propos des comptes d’ordinateur 98 Création d’un compte d’ordinateur 99 Création d’un préréglage pour des comptes d’ordinateur 99 Utilisation d’un préréglage de comptes d’ordinateur 100 Ajout d’ordinateurs à un compte existant 101 Modification des informations sur un ordinateur 101 Déplacement d’un ordinateur vers un autre compte 101 Suppression d’ordinateurs individuels d’un compte d’ordinateur 102 Suppression d’un compte d’ordinateur 102 Recherche de comptes d’ordinateur 103 Gestion des ordinateurs invités 104 Utilisation des réglages d’accès 104 Restriction de l’accès aux ordinateurs 105 Mise d’ordinateurs à la disposition de tous les utilisateurs 105 Utilisation de comptes d’utilisateur locaux Chapitre 7 107 Configuration des répertoires de départ 107 À propos des répertoires de départ 108 Répartition de répertoires de départ sur plusieurs serveurs 109 Spécification d’aucun répertoire de départ 110 Création d’un répertoire de départ pour un utilisateur local 111 Création d’un répertoire de départ de réseau 113 Création d’un répertoire de départ personnalisé 116 Configuration d’un point de partage AFP montable automatiquement pour des répertoires de départTable des matières 7 117 Configuration d’un point de partage NFS montable automatiquement pour des répertoires de départ 119 Définition de quotas de disque 119 Définition de répertoires de départ par défaut à l’aide de préréglages 120 Déplacement de répertoires de départ 120 Suppression de répertoires de départ Chapitre 8 121 Vue d’ensemble de la gestion des clients 121 À propos de la gestion des clients 122 Contrôle des autorisations d’accès 122 Compréhension de la gestion des préférences 124 Options de gestion des préférences 125 Gestion des clients en action Chapitre 9 127 Gestion des préférences pour Mac OS X 127 Mode de fonctionnement du Gestionnaire de groupe de travail avec les préférences Mac OS X 128 Gestion des préférences 129 À propos de la mémoire cache des préférences 129 Mises à jour régulières de la mémoire cache des préférences gérées 130 Mise à jour manuelle de la mémoire cache des préférences 130 Gestion des préférences d’utilisateur 131 Gestion des préférences de groupes 132 Gestion des préférences d’ordinateurs 132 Modification des préférences de plusieurs enregistrements 132 Désactivation de la gestion de préférences spécifiques 133 Gestion de l’accès aux applications 133 Création d’une liste d’applications approuvées 134 Interdiction aux utilisateurs d’accéder à des applications situées sur des volumes locaux 135 Gestion de l’accès des applications à des utilitaires 135 Contrôle du fonctionnement des outils UNIX 136 Gestion des préférences de Classic 137 Sélection des options de démarrage de Classic 138 Choix d’un Dossier Système de Classic 138 Autorisations d’actions spéciales au démarrage 139 Contrôle de l’accès aux éléments du menu Pomme de l’environnement Classic 140 Réglage des paramètres de suspension d’activité de Classic 141 Maintien de la cohérence des préférences d’utilisateurs pour l’environnement Classic 141 Gestion des préférences du Dock 142 Contrôle du Dock de l’utilisateur 142 Fourniture d’un accès aisé aux dossiers de groupes 143 Ajout d’éléments au Dock d’un utilisateur8 Table des matières 144 Interdiction aux utilisateurs d’ajouter des éléments au Dock 144 Gestion des préférences de l’Économiseur d’énergie 145 Utilisation des réglages de suspension d’activité et de réactivation pour les ordinateurs de bureau 146 Utilisation des réglages de l’Économiseur d’énergie pour les ordinateurs portables 147 Affichage de l’état de la batterie pour les utilisateurs 148 Programmation du démarrage, de l’extinction ou de la suspension d’activité automatiques 149 Gestion des préférences du Finder 149 Masquage des disques et serveurs sur le bureau de l’utilisateur 150 Contrôle du comportement des fenêtres du Finder 150 Affichage des extensions de fichier 151 Sélection de l’environnement utilisateur 152 Masquage du message d’alerte présenté lorsque l’utilisateur veut vider la corbeille 152 Contrôle de l’accès des utilisateurs à un iDisk 153 Contrôle de l’accès des utilisateurs aux serveurs distants 153 Contrôle de l’accès des utilisateurs aux dossiers 153 Mesures contre l’éjection de disques par des utilisateurs 154 Masquage de la commande Graver le disque dans le Finder 154 Suppression des commandes Redémarrer et Éteindre du menu Pomme 155 Réglage de l’apparence et de la disposition des éléments du bureau 156 Réglage de l’apparence du contenu des fenêtres de Finder 157 Gestion des préférences Internet 157 Réglage des préférences de messagerie 158 Réglage des préférences de navigateur Web 159 Gestion des préférences d’ouverture de session 160 Choix du mode d’ouverture de session pour l’utilisateur 161 Autorisation de plusieurs utilisateurs simultanés sur un ordinateur client 162 Aide aux utilisateurs ayant oublié leur mot de passe 162 Activation de la fermeture de session automatique pour les utilisateurs inactifs 163 Interdiction de démarrer ou d’arrêter l’ordinateur lors de la connexion 163 Ouverture automatique d’éléments après l’ouverture de session 164 Fourniture de l’accès au répertoire de départ réseau d’un utilisateur 165 Fourniture d’un accès aisé au point de partage de groupe 166 Gestion des préférences d’accès aux données 166 Contrôle de l’accès à des CD et des DVD 167 Contrôle de l’utilisation des disques inscriptibles 168 Contrôle de l’accès aux disques durs et aux disques 169 Éjection automatique d’éléments à la fermeture de session de l’utilisateur 169 Gestion des préférences de comptes mobiles 170 Gestion des préférences d’impression 170 Attribution d’imprimantes aux utilisateurs 171 Méthode pour empêcher les utilisateurs de modifier la liste d’imprimantesTable des matières 9 171 Restriction de l’accès aux imprimantes connectées à un ordinateur 172 Définition d’une imprimante par défaut 172 Restriction de l’accès aux imprimantes 173 Gestion de l’accès aux préférences Système 174 Gestion des préférences Accès universel 174 Manipulation des réglages d’affichage pour l’utilisateur 175 Activation d’une alerte visuelle 176 Réglage de la réponse du clavier 177 Réglage du niveau de réponse de la souris et du pointeur 177 Activation des raccourcis d’Accès universel 178 Autorisation d’appareils d’aide pour les utilisateurs ayant des besoins particuliers Chapitre 10 179 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 179 À propos du Gestionnaire Macintosh 180 Utilisation côté utilisateur 182 Avant de commencer 185 Utilisation de logiciels de mise à jour 185 Choix d’une langue pour les serveurs et les clients Gestionnaire Macintosh 186 Changement de script de langue du service de fichiers Apple 186 Au cœur du Gestionnaire Macintosh 186 Sécurité du Gestionnaire Macintosh 187 À propos du point de partage Gestionnaire Macintosh 187 Utilisation de caractères spéciaux dans les noms des points de partage 187 Dossier Éléments multi-utilisateurs 189 Fonctionnement du Gestionnaire Macintosh avec les services de répertoires 190 Utilisation des répertoires de départ par le Gestionnaire Macintosh 191 Gestionnaire Macintosh et les Préférences 192 Utilisation de NetBoot avec le Gestionnaire Macintosh 192 Configuration des clients gérés Mac OS 9 194 Ouverture de session du Gestionnaire Macintosh en tant qu’administrateur 195 Utilisation des préférences du Gestionnaires Macintosh 195 Importation de comptes d’utilisateur 196 Application de réglages aux utilisateurs grâce à un modèle 196 Importation de tous les utilisateurs 196 Importation d’un ou de plusieurs utilisateurs 197 Regroupement d’informations d’utilisateurs dans un fichier de texte 198 Importation d’une liste d’utilisateurs à partir d’un fichier texte 198 Recherche d’utilisateurs importés spécifiques 198 Octroi d’un accès rapide aux utilisateurs non importés 200 Octroi d’un accès aux utilisateurs Mac OS X Server non importés 200 Configuration d’un compte Invité 201 Désignation des administrateurs 202 Création d’un administrateur Gestionnaire Macintosh10 Table des matières 203 Création d’un administrateur de groupes de travail 203 Modification du mot de passe d’un administrateur Gestionnaire Macintosh 204 Utilisation des réglages d’utilisateurs 204 Modification des réglages élémentaires d’un utilisateur 204 Affectation aux utilisateurs d’autorisation de connexions multiples 205 Octroi de l’accès au système à un utilisateur 205 Modification des réglages avancés 206 Limitation de l’espace de stockage sur disque d’un utilisateur 206 Mise à jour des informations concernant les utilisateurs à partir de Mac OS X Server 206 Configuration de groupes de travail 207 Types d’environnements de groupes de travail 207 Création d’un groupe de travail 208 Utilisation d’un modèle pour appliquer des réglages à un groupe de travail 208 Création de groupes de travail à partir d’un groupe existant 209 Modification d’un groupe de travail existant 209 Utilisation des réglages Éléments 209 Définition de raccourcis vers les éléments des groupes de travail Finder 210 Pour rendre des éléments accessibles aux groupes de travail Tableaux ou Finder restreint 211 Pour rendre des éléments accessibles à des utilisateurs individuels 212 Utilisation des réglages d’autorisations 212 Protection du Dossier Système et du dossier Applications 212 Protection du bureau de l’utilisateur 212 Protection des fichiers contre les tentatives de modification par des applications 213 Méthode pour empêcher l’accès aux disques FireWire 213 Autoriser les utilisateurs à écouter des CD 213 Autoriser les utilisateurs à effectuer des captures d’écran 214 Autoriser les utilisateurs à ouvrir des applications à partir d’un disque 214 Définition d’autorisations d’accès pour les supports amovibles 215 Définition des autorisations d’accès aux éléments de menus 215 Partage d’informations dans le Gestionnaire Macintosh 216 Sélection d’autorisations pour les dossiers de groupe de travail 216 Configuration d’un dossier de groupe de travail partagé 217 Configuration d’un dossier de remise 218 Utilisation des réglages Volumes 218 Connexion à des serveurs AFP 218 Fourniture de l’accès aux volumes de serveur 219 Utilisation des réglages d’imprimantes 219 Mise des imprimantes à la disposition des groupes de travail 220 Définition d’une imprimante par défaut 220 Restriction de l’accès aux imprimantes 221 Définition de quotas d’impression 221 Autoriser les utilisateurs à dépasser leur quota d’impressionTable des matières 11 221 Configuration d’une imprimante d’accès au système 222 Utilisation des réglages Options 223 Choix d’un emplacement de stockage des documents de groupe 223 Ouverture d’éléments au démarrage 225 Vérification de l’arrivée de courrier à la connexion 225 Création de messages de connexion pour les groupes de travail 225 Configuration de listes d’ordinateurs 225 Création de listes d’ordinateurs 226 Configuration du compte Tous les autres ordinateurs 226 Duplication d’une liste d’ordinateurs 227 Création d’un modèle de liste d’ordinateurs 227 Désactivation de l’accès aux ordinateurs 228 Utilisation des réglages Groupes de travail des ordinateurs 228 Contrôle de l’accès aux ordinateurs 228 Utilisation des réglages Contrôle 228 Déconnexion automatique des ordinateurs afin de minimiser le trafic réseau 229 Réglage de l’horloge d’ordinateur à l’aide de l’horloge réseau 229 Utilisation d’un nom de disque dur spécifique 230 Création d’adresses électroniques pour les utilisateurs gérés 230 Utilisation des réglages de sécurité des ordinateurs 230 Sécurisation des ordinateurs même si les utilisateurs oublient de se déconnecter 231 Autorisation d’accès à tous les CD et DVD 231 Autorisation de l’accès à des CD ou DVD spécifiques 232 Choix des paramètres de sécurité des ordinateurs pour les applications 232 Autorisation de l’ouverture d’applications spécifiques par d’autres applications 233 Autorisation du travail hors-ligne des utilisateurs 233 Changement de serveur Gestionnaire Macintosh 234 Autorisation de forcer la fermeture d’applications 234 Autorisation de désactiver les extensions 235 Utilisation des réglages de connexion des ordinateurs 235 Choix du mode de connexion des utilisateurs 235 Création de messages d’ouverture de session pour les ordinateurs 235 Personnalisation des noms de panneaux 236 Gestion des ordinateurs portables 236 Ordinateurs portables pour les utilisateurs en réseau 236 Ordinateurs portables pour les utilisateurs locaux 237 Autorisation de l’emprunt d’ordinateurs 237 Utilisation de services sans fil 238 Utilisation des réglages Global - Sécurité 238 Utilisation des rapports du Gestionnaire Macintosh 238 Définition du nombre d’éléments d’un rapport 238 Protection du programme d’administration 239 Vérification des informations de connexion à l’aide de Kerberos12 Table des matières 239 Gestion des mots de passe d’utilisateur 239 Autorisation d’accéder aux comptes d’utilisateur 240 Utilisation des réglages Global - CD-ROM 240 Gestion des préférences 241 Utilisation des préférences initiales 242 Utilisation des préférences forcées 243 Partage de préférences d’application Mac OS 9 dans l’environnement Classic 244 Où trouver des informations supplémentaires Chapitre 11 245 Résolution des problèmes 245 Aide en ligne et base de connaissances Apple Knowledge Base 245 Résolution des problèmes liés aux comptes 245 Vous ne parvenez pas à modifier un compte à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail 245 Un mot de passe d’utilisateur du Serveur de mot de passe ne peut pas être modifié 246 Impossible de modifier le mot de passe d’un utilisateur pour le faire valider à l’aide d’Open Directory 246 Un utilisateur du Serveur de mot de passe ne parvient pas à s’authentifier dans le Gestionnaire NetInfo 246 Les utilisateurs ne parviennent pas à se connecter ni à être authentifiés 247 Vous ne parvenez pas à attribuer des autorisations d’administrateur de serveur 247 Les utilisateurs dépendant d’un Serveur de mot de passe ne parviennent pas à se connecter 248 Les utilisateurs ne peuvent pas accéder à leur répertoire de départ. 248 Un utilisateur Mac OS X d’un domaine NetInfo partagé ne parvient pas à se connecter 248 Les utilisateurs Kerberos ne parviennent pas à être authentifiés 249 Résolution des problèmes de gestion des préférences 249 Vous ne parvenez pas à appliquer les réglages Web par défaut 249 Vous ne parvenez pas à appliquer les réglages de courrier par défaut 249 Les utilisateurs ne voient pas de liste de groupes de travail lors de la connexion 250 Les utilisateurs ne parviennent pas à ouvrir des fichiers 250 Les utilisateurs ne parviennent pas à ajouter des imprimantes à la liste d’imprimantes 251 Les éléments d’ouverture ajoutés par un utilisateur ne s’ouvrent pas 251 Les éléments du Dock placés par un utilisateur sont manquants 251 Un point d’interrogation apparaît dans le Dock des utilisateurs 252 Un message d’erreur inattendue est affiché à l’intention des utilisateurs 252 Résolution des problèmes du Gestionnaire Macintosh 252 J’ai oublié mon mot de passe d’administrateur 252 Les administrateurs ne peuvent accéder au Finder après leur connexion 253 Des icônes génériques apparaissent dans le volet ÉlémentsTable des matières 13 253 La sélection de l’option Utilisateur local dans le tableau de bord Utilisateurs multiples ne fonctionne pas 253 Certaines imprimantes ne sont pas répertoriées dans la liste Imprimantes disponibles 253 Les utilisateurs n’arrivent pas à se connecter au serveur Gestionnaire Macintosh 253 Les utilisateurs n’arrivent pas à se connecter en tant qu’invités sur des ordinateurs configurés en langue japonaise 253 Un ordinateur client n’arrive pas à se connecter au serveur 254 Le serveur n’est pas répertorié dans la liste AppleTalk 254 L’ordinateur de l’utilisateur s’arrête de façon intempestive 254 Les utilisateurs ne peuvent pas accéder à leur répertoire de départ 254 Les utilisateurs ne peuvent pas accéder aux fichiers partagés 255 Les documents partagés des groupes de travail n’apparaissent dans l’environnement Tableaux 255 Les applications fonctionnent mal ou ne s’ouvrent pas 255 Les utilisateurs ne peuvent pas effectuer des opérations de glisser-déposer entre les applications 255 Les utilisateurs ne peuvent pas ouvrir des fichiers à partir d’une page Web 255 Parfois, l’application attendue par les utilisateurs ne s’ouvre pas Annexe 257 Importation et exportation d’informations de compte 257 Que pouvez-vous importer ? 257 Importation et exportation d’informations pour le Gestionnaire Macintosh 258 Utilisation du Gestionnaire de groupe de travail pour importer des utilisateurs et des groupes 259 Utilisation du Gestionnaire de groupe de travail pour exporter des utilisateurs et des groupes 260 Utilisation de dsimport pour importer des utilisateurs et des groupes 261 Utilisation de fichiers XML créés avec Mac OS X Server version 10.1 ou antérieures 262 Utilisation de fichiers XML créés avec AppleShare IP 6.3 263 Utilisation de fichiers délimités par des caractères 263 Écriture d’une description d’enregistrement Glossaire 265 Index 277 15 Préface Comment utiliser ce guide ? Ce guide vous explique comment utiliser le Gestionnaire de groupe de travail et le Gestionnaire Macintosh pour configurer et gérer les répertoires de départ, les comptes, les préférences et les réglages de vos clients. Ce guide est organisé comme suit : • Le chapitre 1, “Vue d’ensemble de la gestion des utilisateurs”, expose d’importants concepts, présente les outils de gestion des utilisateurs et vous indique où trouver des informations supplémentaires sur la gestion des utilisateurs et des sujets connexes. • Le chapitre 2, “Introduction à la gestion des utilisateurs”, décrit comment utiliser des fonctions et des raccourcis afin d’obtenir une efficacité maximale lors de la configuration et de la maintenance des comptes et des préférences gérées. • Le chapitre 3, “Gestion des utilisateurs pour des clients mobiles”, présente les éléments à prendre en compte pour gérer des ordinateurs portables. • Le chapitre 4, “Configuration des comptes d’utilisateur”, vous explique comment utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour configurer des comptes d’utilisateur, de groupe et d’ordinateur. • Le chapitre 7, “Configuration des répertoires de départ”, aborde la création et la personnalisation des répertoires de départ pour Macintosh et des clients. • Le chapitre 8, “Vue d’ensemble de la gestion des clients”, présente les outils et les concepts de gestion de clients tels que la personnalisation de l’environnement de travail d’un utilisateur et l’accès aux ressources réseau. • Le chapitre 9, “Gestion des préférences pour Mac OS X”, explique comment utiliser les modules de préférences du Gestionnaire de groupe de travail pour contrôler les autorisations et les réglages des utilisateurs, groupes et ordinateurs qui utilisent Mac OS X. • Le chapitre 10, “Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9”, explique comment utiliser le Gestionnaire Macintosh pour contrôler les autorisations et les réglages des utilisateurs, groupes et ordinateurs qui utilisent Mac OS 9.1.16 Préface Comment utiliser ce guide ? • Le chapitre 11, “Résolution des problèmes”, vous aide à résoudre les problèmes concernant la création d’un compte, la maintenance d’un répertoire de départ, la gestion des préférences ou la configuration client, ainsi que les problèmes rencontrés par vos clients gérés. • L’annexe , “Importation et exportation d’informations de compte”, fournit des informations utiles pour transférer les informations d’un compte de ou vers un fichier externe. • Le glossaire définit les termes utilisés dans ce guide. Utilisation de ce guide Parcourez le premier chapitre pour vous familiariser avec les concepts élémentaires de la gestion des utilisateurs et les fonctions des outils de gestion. Ce chapitre contient également des informations susceptibles de vous intéresser sur d’autres documents et figurant dans la suite de documentation Mac OS X Server. Vous y trouverez également des informations sur les sites Web et d’autres sources de référence liées à la gestion des utilisateurs, au Gestionnaire de groupe de travail et au Gestionnaire Macintosh. Ce guide est organisé selon l’approche de base de la gestion des utilisateurs : • configuration des comptes d’utilisateur, de groupe et d’ordinateur • configuration des répertoires de départ • configuration des ordinateurs clients • gestion des préférences pour les clients Mac OS X • configuration et gestion des comptes et des préférences pour les clients Mac OS 9 Pour obtenir de l’aide sur la planification d’une stratégie de configuration, de maintenance et de gestion des utilisateurs et des données client, lisez le chapitre 2, “Introduction à la gestion des utilisateurs”. Aide sur les tâches de gestion quotidiennes Si vous souhaitez manipuler des comptes, modifier des réglages de préférences, configurer de nouveaux répertoires de départ ou effectuer des tâches d’administration quotidiennes, vous trouverez des instructions détaillées dans l’aide en ligne du Gestionnaire de groupe de travail et du Gestionnaire Macintosh. Bien que toutes ces tâches d’administration soient également décrites dans ce guide, il est parfois plus commode de les consulter à l’écran pendant que vous utilisez le serveur.Préface Comment utiliser ce guide ? 17 Documents liés Ce guide renvoie à d’autres ouvrages de la suite de documents concernant l’administration de serveur. Les titres des documents présentant un intérêt particulier pour la gestion des utilisateurs figurent dans le tableau ci-dessous. La plupart se trouvent sur le CD du logiciel Mac OS X Server. Vous pouvez également télécharger ces documents depuis le site Web de Mac OS X Server : www.apple.com/macosx/server/ (en anglais) Documents Mac OS X Server Contenu Mac OS X Server Administration de la ligne de commande pour la version 10.3 ou ultérieure Comment utiliser une interface de ligne de commande pour manipuler Mac OS X Server Mac OS X Server Premiers contacts pour la version 10.3 ou ultérieure Vue d’ensemble des fonctions et des services fournis dans Mac OS X Server Mac OS X Server Administration des services de fichiers pour la version 10.3 ou ultérieure Comment configurer le partage et d’autres services de fichiers pour permettre le stockage des données, leur collecte et la collaboration Mac OS X Server Administration du service de courrier pour la version 10.3 ou ultérieure Comment configurer et administrer le service de courrier pour les utilisateurs Mac OS X Server Migration pour la version 10.3 ou ultérieure Conseils pour le transfert de données et la mise à jour des clients en vue de l’utilisation de Mac OS X Server et des applications associées telles que le Gestionnaire Macintosh Mac OS X Server Administration des services réseau pour la version 10.3 ou ultérieure Informations sur la configuration et l’utilisation de services tels que DHCP Mac OS X Server Administration Open Directory pour la version 10.3 ou ultérieure Comment configurer et entretenir des services de répertoires intégrés Mac OS X Server Administration des images système pour la version 10.3 ou ultérieure Comment créer et distribuer des images système et des paquets de ressources à l’aide d’outils tels que NetBoot et Installation en réseau Mac OS X Server Administration du service d’impression pour la version 10.3 ou ultérieure Comment configurer et maintenir des services d’impression en réseau Mac OS X Server Administration du Serveur Enchaînement 5.0 QuickTime pour la version 10.3 ou ultérieure Informations sur la fourniture de l’accès en temps réel à des données audio et visuelles Mac OS X Server Administration des technologies Web pour la version 10.3 ou ultérieure Comment configurer, servir et contrôler des sites Web à l’aide de Mac OS X Server Mac OS X Server Administration des services Windows pour la version 10.3 ou ultérieure Comment intégrer des ordinateurs Windows à votre réseau18 Préface Comment utiliser ce guide ? Sources d’informations supplémentaires sur la gestion des utilisateurs Même si vous disposez d’une certaine expérience en matière d’administration du serveur, les stages de formation destinés aux clients Apple peuvent vous intéresser. Pour en savoir plus, allez sur train.apple.com Si vous êtes novice en gestion de serveur et de réseau Pour en savoir plus sur, visitez le site Web : www.apple.com/macosx/server/ (en anglais) Vous pouvez rester en contact avec vos homologues grâce aux groupes de discussion en ligne. La plupart des problèmes que vous rencontrez ont probablement déjà été résolus par d’autres administrateurs de serveur. Pour obtenir les listes disponibles par l’intermédiaire d’Apple, consultez le site suivant : www.lists.apple.com (en anglais) Les groupes de discussion du site d’assistance AppleCare constituent une source supplémentaire d’informations : www.info.apple.com/ (en anglais) Pensez à vous procurer certains des ouvrages de référence suivants. Ils contiennent des informations contextuelles, des explications sur les concepts de base et des idées pour tirer le meilleur parti de votre réseau. • Teach Yourself Networking Visually, de Paul Whitehead et Ruth Maran (Éd. IDG Books Worldwide, 1998). • Internet and Intranet Engineering, de Daniel Minoli (Éd. McGraw-Hill, 1997). NetworkMagazine.com propose en outre une série d’initiations en ligne sur son site Web : www.networkmagazine.com Si vous êtes un administrateur de serveur chevronné Si vous êtes déjà familiarisé avec l’administration de réseau et que vous avez utilisé Linux, UNIX ou un système d’exploitation similaire, les ouvrages de références suivants pourront vous être utiles. • Un grand choix de livres édités par O’Reilly & Associates traitent de sujets qui s’appliquent à, comme Internet Core Protocols: The Definitive Reference, DNS and BIND, et TCP/IP Network Administration. Pour plus de détails, consultez Apache: The Definitive Guide, Writing Apache Modules with Perl and C, Web Performance Tuning, et Web Security & Commerce, également publiés par O’Reilly and Associates. Consultez le site web de l’éditeur O’Reilly & Associates : www.ora.com • Visitez le site Web Apache pour obtenir des informations détaillées sur Apache : www.apache.org/1 19 1 Vue d’ensemble de la gestion des utilisateurs La gestion des utilisateurs comprend tout ce qui va de la configuration des comptes d’accès aux réseaux et la création de répertoires de départ à la gestion des préférences et des réglages des utilisateurs, groupes et ordinateurs. Ce chapitre présente d’importants concepts de gestion des utilisateurs et décrit les applications que vous utiliserez pour gérer les comptes et les autorisations. Outils de gestion des utilisateurs Parmi les principaux outils et applications de gestion des utilisateurs de Mac OS X Server se trouvent le Gestionnaire de groupe de travail, Admin Serveur, NetBoot et Installation en réseau. Gestionnaire de groupe de travail Le Gestionnaire de groupe de travail est un outil puissant qui offre toute une gamme de fonctions destinées à la gestion complète des clients Macintosh. Vous pouvez soit utiliser le Gestionnaire de groupe de travail directement à partir du serveur, soit l’installer indépendamment du logiciel Mac OS X Server sur un ordinateur client non serveur. Le Gestionnaire de groupe de travail fournit aux administrateurs de réseau une méthode centralisée pour gérer des stations de travail Mac OS X, contrôler l’accès aux logiciels et aux disques amovibles et garantir aux utilisateurs une expérience à la fois homogène et personnalisée, tant pour les élèves débutants d’une classe que pour des utilisateurs expérimentés travaillant dans une entreprise. Mac OS X Server enregistre les documents et les préférences utilisateur dans un répertoire de départ, de manière à ce que les utilisateurs puissent accéder à leurs fichiers à partir de tout Mac en réseau. Le Gestionnaire de groupe de travail vous permet de créer des comptes d’utilisateur et de configurer des groupes afin d’offrir un accès aisé et rapide aux ressources. Il est également possible d’utiliser les réglages de compte et les préférences gérées pour une flexibilité plus ou moins importante, en fonction du niveau de contrôle d’administration souhaité.20 Chapitre 1 Vue d’ensemble de la gestion des utilisateurs Lorsque le Gestionnaire de groupe de travail est utilisé conjointement avec d’autres services Mac OS X Server, vous pouvez : • connecter les utilisateurs entre eux à l’aide de services tels que le courrier et le partage de fichiers ; • partager des ressources système, telles qu’imprimantes et ordinateurs, en optimisant leur disponibilité lorsque les utilisateurs se déplacent et en veillant à ce que l’espace disque et l’utilisation des imprimantes soient partagés de façon équitable ; • héberger des services Internet tels que des sites Web et la diffusion de flux vidéo ; • personnaliser les environnements de travail, tels que les ressources de bureau et les fichiers personnels, des utilisateurs du réseau. Pour plus d’informations sur l’utilisation du Gestionnaire de groupe de travail pour administrer les comptes d’utilisateur, de groupe et d’ordinateur, consultez le chapitre 4, “Configuration des comptes d’utilisateur”. Gestion des préférences Vous pouvez utiliser le Gestionnaire de groupe de travail de Mac OS X Server pour adapter les environnements de travail des clients Mac OS X. Les préférences que vous définissez pour chaque utilisateur, chaque groupe d’utilisateurs et chaque ordinateur procurent à vos utilisateurs Macintosh une apparence uniforme de bureau, d’application et de réseau, quel que soit l’ordinateur Macintosh auquel ils se connectent. Toute préférence définie pour un utilisateur de Mac OS X est stockée dans son compte d’utilisateur. Pour gérer des clients Mac OS 9, utilisez le Gestionnaire Macintosh, décrit au chapitre 10, “Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9”. Les préférences que vous définissez pour les utilisateurs Mac OS 9 sont stockées à l’aide du Gestionnaire Macintosh. Pour en savoir plus sur les outils et les concepts de gestion des clients, lisez le chapitre 8, “Vue d’ensemble de la gestion des clients”. Répertoires de départ L’emplacement du répertoire de départ d’un utilisateur est stocké dans son compte d’utilisateur. Un répertoire de départ est un dossier servant à stocker les fichiers et préférences d’un utilisateur. Les autres utilisateurs peuvent voir le répertoire de départ d’un utilisateur et lire des fichiers dans son dossier Public mais ils ne peuvent pas (par défaut) accéder à autre chose dans ce répertoire. Lorsque vous créez un utilisateur dans un domaine de répertoire du réseau, vous devez spécifier l’emplacement de son répertoire de départ sur le réseau. Cet emplacement est stocké dans le compte d’utilisateur et utilisé par divers services, dont la fenêtre de connexion et les services d’utilisateur gérés par Mac OS X. Voici quelques exemples d’activités ayant recours à l’emplacement du répertoire de départ : • Le répertoire de départ d’un utilisateur apparaît lorsque celui-ci clique sur l’icône Départ dans une fenêtre du Finder ou choisit Départ dans le menu Aller du Finder.Chapitre 1 Vue d’ensemble de la gestion des utilisateurs 21 • Les répertoires de départ configurés pour un montage automatique dans un emplacement du réseau, comme /Network/Servers, apparaissent dans le Finder de l’ordinateur sur lequel l’utilisateur ouvre une session. • Les Préférences Système et les réglages d’utilisateurs gérés pour les utilisateurs Mac OS X sont obtenus à partir des répertoires de départ de ces derniers et utilisés pour configurer leur environnement de travail lorsqu’ils se connectent. Vous pouvez configurer des comptes mobiles exploitant la synchronisation des répertoires de départ. Un utilisateur peut accéder à un répertoire de départ local lorsqu’il travaille hors connexion, puis synchroniser ses données avec un répertoire de départ en réseau dès que la connexion au réseau est rétablie. Pour plus d’informations sur les comptes mobiles, lisez le chapitre 3, “Gestion des utilisateurs pour des clients mobiles”. Réglages de courrier Pour créer le compte de service de courrier Mac OS X Server d’un utilisateur, configurez les réglages du courrier dans son compte d’utilisateur. Pour utiliser le compte de messagerie, il suffit que l’utilisateur configure un logiciel client à l’aide de son nom d’utilisateur, de son mot de passe, de son service et de son protocole de courrier spécifiés dans les réglages du courrier. Les réglages de compte de courrier vous permettent d’activer et désactiver l’accès de l’utilisateur aux services de courrier exécutés sur un Mac OS X Server donné. Vous pouvez également gérer des caractéristiques de compte, telles que le mode de gestion de la notification automatique des messages entrants, pour les comptes de courrier résidant sur les serveurs qui utilisent des versions de Mac OS X antérieures à 10.3. Pour plus de détails sur les réglages du service de courrier Mac OS X, consultez le guide d’administration du service de courrier. Utilisation de ressources Les quotas de disque, d’impression et de courrier peuvent être stockés dans un compte d’utilisateur. Les quotas de courrier et de disque limitent le nombre de méga-octets disponibles pour le courrier et les fichiers d’un utilisateur. Les quotas d’impression limitent le nombre de pages qu’un utilisateur peut imprimer à l’aide des services d’impression de Mac OS X Server. Les quotas d’impression peuvent également servir à désactiver complètement l’accès au service d’impression d’un utilisateur. Les réglages d’impression d’un utilisateur fonctionnent conjointement avec ceux du serveur d’impression décrits dans le guide d’administration du service d’impression.22 Chapitre 1 Vue d’ensemble de la gestion des utilisateurs Admin Serveur L’application Admin Serveur fournit l’accès à divers outils et services qui jouent un rôle dans la gestion des utilisateurs. Une fois que vous avez installé le logiciel Mac OS X Server, configuré les services de répertoire et mis en place votre réseau, vous pouvez commencer à créer et à gérer des comptes à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail. Après avoir configuré des comptes et des répertoires de départ, vous pouvez utiliser Admin Serveur pour configurer des services supplémentaires et fournir le service de courrier, héberger des sites Web, partager des imprimantes ou autoriser les utilisateurs à partager des dossiers et des fichiers. Pour plus d’informations sur l’utilisation des outils Admin Serveur, reportez-vous aux documents figurant dans le tableau ci-dessous. Gestionnaire Macintosh, Utilisez le Gestionnaire Macintosh pour administrer la gestion des clients pour les ordinateurs clients Mac OS 9. Vous pouvez l’utiliser localement (au niveau du serveur) ou à distance (à partir d’un ordinateur Mac OS 9 ou X situé sur le même réseau que Mac OS X Server). Pour renseignez-vous sur dans le document attribuer des autorisations d’accès aux dossiers et fichiers d’un point de partage le partage de fichiers Mac OS X Server Administration des services de fichiers pour la version 10.3 ou ultérieure partager des imprimantes entre les utilisateurs le service d’impression Mac OS X Server Administration du service d’impression pour la version 10.3 ou ultérieure installer des sites Web ou la gestion WebDAV sur le serveur le service Web Mac OS X Server Administration des technologies Web pour la version 10.3 ou ultérieure fournir des services de messagerie électronique aux utilisateurs le service de courrier Mac OS X Server Administration du service de courrier pour la version 10.3 ou ultérieure diffuser des données multimédias en temps réel à partir du serveur le service d’enchaînement QuickTime Mac OS X Server Administration du Serveur Enchaînement 5.0 QuickTime pour la version 10.3 ou ultérieure fournir un système d’exploitation et des dossiers d’applications identiques aux ordinateurs clients NetBoot Mac OS X Server Administration des images système pour la version 10.3 ou ultérieure installer des applications sur l’ensemble d’un réseau Installation en réseau Mac OS X Server Administration des images système pour la version 10.3 ou ultérieure partager des informations entre plusieurs ordinateurs Mac OS X Server ou Mac OS X les services de répertoires Mac OS X Server Administration Open Directory pour la version 10.3 ou ultérieureChapitre 1 Vue d’ensemble de la gestion des utilisateurs 23 Pour plus de détails, consultez le chapitre 10, “Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9”. NetBoot Avec NetBoot, les ordinateurs Mac OS 9 et X peuvent démarrer à partir d’une image disque système en réseau, ce qui permet une configuration rapide et aisée de services, de salles de classe et de systèmes individuels ainsi que de serveurs Web et d’applications sur l’ensemble d’un réseau. Lorsque vous mettez à jour des images NetBoot, tous les ordinateurs qui utilisent NetBoot ont immédiatement accès à la nouvelle configuration. Les clients Macintosh peuvent démarrer à partir d’une image disque système située sur Mac OS X Server au lieu du disque dur de l’ordinateur client. Vous pouvez configurer plusieurs images de disque NetBoot et ainsi faire démarrer des clients dans Mac OS 9 ou X, ou même personnaliser des environnements Macintosh pour différents groupes de clients. NetBoot peut simplifier l’administration et réduire la gestion normalement associée aux déploiements à grande échelle des systèmes Macintosh basés sur un réseau. NetBoot est la solution idéale pour les organisations dont bon nombre des ordinateurs client ont besoin d’être configurés de manière identique. NetBoot peut, par exemple, constituer une solution idéale pour un centre de données nécessitant plusieurs serveurs d’applications et Web configurés de manière identique. Avec NetBoot, les administrateurs peuvent configurer et mettre à jour les ordinateurs clients instantanément, en mettant simplement à jour une image de démarrage stockée sur le serveur. Chaque image contient le système d’exploitation et les dossiers d’application de tous les clients du serveur. Toutes les modifications apportées au serveur sont automatiquement reportées sur les clients lorsqu’ils redémarrent. Les systèmes endommagés ou altérés de quelque autre façon peuvent être restaurés de manière instantanée par simple redémarrage. Il existe plusieurs autres applications d’administration NetBoot : • NetBoot Desktop Admin (pour la modification des images Mac OS 9) • Network Image Utility (pour la création et la modification d’images Mac OS X) • Le module DHCP/NetBoot (utilisé pour enregistrer des images NetBoot) Pour plus d’informations sur ces outils ou sur l’installation d’un système d’exploitation sur l’ensemble d’un réseau, lisez le guide d’administration des images système.24 Chapitre 1 Vue d’ensemble de la gestion des utilisateurs Installation en réseau L’application Installation en réseau est un service d’installation de logiciels de réseau centralisé. Grâce à elle, vous pouvez, de manière automatique et sélective, installer, restaurer ou mettre à jour des systèmes Macintosh basés sur un réseau, où que ce soit dans une structure. Utilisez PackageMaker pour créer des paquets Installation en réseau. Les images d’installation peuvent contenir la dernière version de Mac OS X, une mise à jour de logiciel, des applications personnalisées ou dotées d’une licence de site et même des scripts de configuration. • Installation en réseau est la solution idéale pour la migration de systèmes d’exploitation, l’installation de mises à jour de logiciels et de progiciels personnalisés, la restauration de salles d’informatique ainsi que pour réimager des ordinateurs de bureau ou portables. • Dans une structure, vous pouvez définir des images d’installation personnalisées pour divers départements : marketing, ingénierie et ventes par exemple. Avec Installation réseau, inutile d’insérer plusieurs CD pour configurer un système. L’ensemble des fichiers et des paquets d’installation se trouvent sur le serveur et sont installés en une fois sur l’ordinateur client. Installation réseau contient aussi des scripts de pré et post-installation servant à invoquer des actions avant ou après l’installation d’un ensemble de logiciels ou d’une image système. Pour plus d’informations sur l’utilisation d’Installation réseau, lisez le guide d’administration des images système. Comptes d’utilisateur Lorsque vous définissez un compte d’utilisateur, vous devez fournir les informations nécessaires pour prouver l’identité de l’utilisateur: nom d’utilisateur, mot de passe et numéro d’identification d’utilisateur (UID). D’autres informations de compte d’utilisateur sont requises par plusieurs services afin de déterminer ce que l’utilisateur a le droit de faire et de personnaliser éventuellement son environnement. Mac OS X Server utilise plusieurs types d’utilisateurs et de groupes. La plupart d’entre eux sont définis par l’utilisateur : il s’agit des comptes d’utilisateur et de groupe que vous créez. Il existe également des comptes d’utilisateur et de groupe prédéfinis réservés à Mac OS X. Utilisateurs et utilisateurs gérés En fonction de la configuration de votre serveur et de vos comptes d’utilisateur, les utilisateurs peuvent se connecter à l’aide d’ordinateurs Mac OS 9 et Mac OS X, Windows ou UNIX (fixes ou portables) et être pris en charge par Mac OS X Server.Chapitre 1 Vue d’ensemble de la gestion des utilisateurs 25 La plupart des utilisateurs disposent d’un compte individuel qui sert à les authentifier et à contrôler leur accès aux services. Lorsque vous souhaitez personnaliser l’environnement d’un utilisateur, définissez des préférences d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur pour celui-ci. Le terme client géré ou utilisateur géré désigne un utilisateur dont les préférences associées à son compte sont contrôlées par un administrateur. Le terme client géré est également utilisé pour désigner des comptes d’ordinateurs dont les préférences ont été définies. Lorsqu’un utilisateur géré se connecte, les préférences qui prennent effet sont une combinaison de ses préférences d’utilisateur et des préférences configurées pour tout groupe de travail ou toute liste d’ordinateurs auxquels il appartient. Pour obtenir des informations sur les utilisateurs gérés, consultez le chapitre 9, “Gestion des préférences pour Mac OS X” et le chapitre 10, “Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9”. Administrateurs Les utilisateurs dotés d’autorisations d’administration de serveur, de domaine de répertoire ou de serveur de mots de passe sont appelés administrateurs. Les administrateurs sont toujours membres du groupe “admin” prédéfini. Les autorisations d’administration d’un utilisateur sont stockées dans le compte d’utilisateur. Elles déterminent le niveau d’informations que l’utilisateur peut visualiser sur les réglages ou les modifications des réglages d’un Mac OS X Server ou d’un domaine de répertoires particulier situé sur un Mac OS X Server. Administration de serveur Les autorisations d’administration de serveur contrôlent les pouvoirs dont disposent un utilisateur lorsqu’il est connecté à un Mac OS X Server spécifique. Par exemple : • Un administrateur de serveur peut utiliser Admin Serveur et modifier la politique de recherche d’un serveur à l’aide de Format de répertoire. • Un administrateur de serveur peut visualiser tous les répertoires AFP du serveur et non pas uniquement les points de partage. Lorsque vous attribuez des autorisations d’administration de serveur à un utilisateur, ce dernier est ajouté au groupe nommé “admin” dans le domaine de répertoires local du serveur. De nombreuses applications Mac OS X, telles qu’Admin Serveur, Format de répertoire et Préférences Système, utilisent le groupe admin pour déterminer si un utilisateur donné peut réaliser certaines opérations à l’aide de l’une d’entre elles. Administration d’ordinateurs Mac OS X locaux Quiconque appartenant au groupe “admin” du domaine de répertoires local de tout ordinateur Mac OS X bénéficie de droits d’administration sur cet ordinateur. 26 Chapitre 1 Vue d’ensemble de la gestion des utilisateurs Administration de domaines de répertoires Si vous souhaitez que certains utilisateurs puissent utiliser le Gestionnaire de groupe de travail afin de gérer uniquement des comptes d’utilisateur, de groupe et d’ordinateur donnés situés dans des domaines de répertoires Apple, vous pouvez leur attribuer la fonction d’administrateur de domaine. Par exemple, vous pouvez faire d’un administrateur de réseau l’administrateur de tous les serveurs de votre salle de classe, mais donner à chaque professeur les autorisations pour gérer les comptes d’étudiant dans des domaines de répertoires spécifiques. Tout utilisateur disposant d’un compte d’utilisateur dans un domaine de répertoires peut être nommé administrateur de ce domaine. Vous pouvez contrôler dans quelle mesure un administrateur de domaine de répertoire peut modifier les données de compte stockées dans un domaine. Vous pouvez, par exemple, configurer des autorisations de domaine de répertoire afin que votre administrateur de réseau puisse ajouter et supprimer des comptes d’utilisateur, mais que d’autres utilisateurs puissent modifier les informations concernant des utilisateurs particuliers. Vous pouvez aussi faire en sorte que différents utilisateurs puissent gérer différents groupes. Lorsque vous attribuez des autorisations d’administration de domaine de répertoires à un utilisateur, cet utilisateur est ajouté au groupe d’administration du serveur sur lequel est situé le domaine de répertoires. Administration du Serveur de mot de passe Un administrateur doit être un administrateur du Serveur de mot passe pour pouvoir gérer les réglages Serveur de mot de passe pour ses utilisateurs. Un administrateur du Serveur de mot de passe est un administrateur de domaine de répertoire pour le domaine de répertoire dont les utilisateurs ont des mots de passe gérés par un Serveur de mot de passe. De plus, le mot de passe de l’administrateur du Serveur de mot de passe doit être géré à l’aide du Serveur de mot de passe. Utilisateurs invités Vous êtes parfois amené à fournir des services à des personnes anonymes, qui ne peuvent être authentifiées, car elles ne disposent pas d’un nom d’utilisateur et d’un mot de passe corrects. Ces utilisateurs sont appelés utilisateurs invités. Certains services, comme AFP, vous permettent d’indiquer si vous souhaitez que les utilisateurs invités puissent accéder aux fichiers. Si vous permettez l’accès aux invités, les utilisateurs se connectant de façon anonyme doivent se contenter des fichiers et dossiers dont les autorisations sont réglées sur Tous. Le compte d’utilisateur invité est utilisé lorsqu’aucun enregistrement d’utilisateur concordant n’est trouvé pendant l’authentification.Chapitre 1 Vue d’ensemble de la gestion des utilisateurs 27 Il existe un autre type d’utilisateur invité : l’utilisateur géré que vous pouvez définir pour simplifier la configuration d’ordinateurs publics (ou kiosques informatiques) qui utilisent Mac OS 9. Pour plus d’informations sur ces types d’utilisateurs, consultez le chapitre 10, “Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9”. Groupes, groupes principaux et groupes de travail Un groupe consiste simplement en un ensemble d’utilisateurs ayant des besoins similaires. Par exemple, vous pouvez constituer un seul groupe avec tous vos professeurs d’anglais et lui donner des autorisations d’accès à certains fichiers ou dossiers sur un volume. Les groupes simplifient l’administration des ressources partagées. Plutôt que d’accorder individuellement l’accès de diverses ressources à chaque utilisateur qui en a besoin, vous pouvez tout simplement ajouter les utilisateurs à un groupe auquel vous accordez l’accès. Les informations des comptes de groupe sont utilisées pour aider à contrôler l’accès des utilisateurs aux répertoires et aux fichiers. Consultez “Accès par d’autres utilisateurs aux répertoires et fichiers” à la page 32 pour en savoir plus à ce sujet. Dossiers de groupe Lorsque vous définissez un groupe, vous pouvez également spécifier un dossier pour le stockage des fichiers que vous souhaitez voir partagés par les membres du groupe. L’emplacement du dossier est enregistré dans le compte du groupe. Vous pouvez attribuer des autorisations d’administration d’un dossier de groupe à un utilisateur. Les administrateurs de dossier de groupe disposent d’autorisations de propriétaire pour ce dossier et peuvent utiliser le Finder pour modifier les attributs du dossier de groupe. Groupes de travail Un groupe pour lequel vous définissez des préférences est appelé groupe de travail. Un groupe de travail vous permet de gérer l’environnement de travail des membres de ce groupe. Toute préférence définie pour un groupe de travail Mac OS X est stockée dans le compte de groupe. Les préférences déterminées pour les groupes de travail Mac OS 8 et 9 sont stockées à l’aide du Gestionnaire Macintosh. Pour obtenir une description des préférences de groupes de travail, consultez le chapitre 9, “Gestion des préférences pour Mac OS X” et le chapitre 10, “Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9”. Comptes d’ordinateur Un compte d’ordinateur consiste en une liste d’ordinateurs ayant les mêmes réglages de préférences et accessibles aux mêmes utilisateurs et groupes. Vous pouvez créer et modifier des comptes d’ordinateur dans le Gestionnaire de groupe de travail. 28 Chapitre 1 Vue d’ensemble de la gestion des utilisateurs Pour en savoir plus sur la manière de configurer des comptes d’ordinateur pour les ordinateurs clients Mac OS X, lisez le chapitre 6, “Configuration des comptes d’ordinateur”. Pour spécifier des préférences pour les comptes d’ordinateur Mac OS X, consultez le chapitre 9, “Gestion des préférences pour Mac OS X”. Pour une description de la manière de configurer des comptes d’ordinateur et spécifier des préférences pour les ordinateurs Mac OS 9, reportez-vous au chapitre 10, “Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9”. Ordinateurs hôtes La plupart des ordinateurs de votre réseau doivent être répertoriés dans un compte d’ordinateur. Si un ordinateur inconnu (qui ne figure pas encore dans un compte d’ordinateur) se connecte à votre réseau et tente d’accéder à des services, il sera traité comme un hôte. Les réglages choisis pour le compte d’ordinateur hôte s’appliquent aux ordinateurs inconnus. Au cours de l’installation d’un logiciel de serveur, un enregistrement d’ordinateur hôte est automatiquement créé, uniquement dans le domaine de répertoires d’origine. Par la suite, un administrateur de serveur peut créer des comptes supplémentaires pour ordinateurs hôtes dans d’autres domaines de répertoires. Une fois le compte créé, les ordinateurs hôtes apparaissent dans la liste des comptes d’ordinateur. Chaque domaine de répertoires peut disposer d’un seul compte pour ordinateurs hôtes. Votre configuration réseau peut ou non vous permettre de créer un compte pour ordinateurs hôtes dans certains domaines de répertoires. Utilisation côté utilisateur Une fois que vous avez créé un compte pour un utilisateur, ce dernier peut accéder aux ressources du serveur en fonction des autorisations que vous lui avez accordées. Pour la plupart des utilisateurs, le flux habituel d’événements allant de la connexion à la déconnexion se déroule comme suit : • Authentification L’utilisateur saisit un nom et un mot de passe. • Validation du mot de passe Le nom d’utilisateur et le mot de passe sont vérifiés par les services de répertoires. • Connexion L’utilisateur obtient le droit d’accéder au serveur et aux ressources réseau. • Accès L’utilisateur se connecte aux serveurs, aux points de partage et aux applications afin de les utiliser. • Déconnexion La session de l’utilisateur est terminée. Les détails de l’expérience d’utilisateur peuvent varier selon le type d’utilisateur, les autorisations d’accès accordées, le type de système utilisé (Windows ou UNIX par exemple), le fait que l’utilisateur soit membre d’un groupe ou non, ainsi que le niveau d’implémentation de la gestion des préférences (utilisateur, groupe ou ordinateur).Chapitre 1 Vue d’ensemble de la gestion des utilisateurs 29 Vous trouverez des informations sur cette expérience Mac OS X au chapitre 8, “Vue d’ensemble de la gestion des clients”. L’expérience Mac OS 9 est décrite au chapitre 10, “Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9”. Les informations de base sur l’authentification, la validation du mot de passe et le contrôle de l’accès aux informations sont données dans les sections suivantes. Pour obtenir des informations détaillées sur ces sujets, lisez le guide d’administration Open Directory. Authentification Avant qu’un utilisateur ne puisse ouvrir une session ou se connecter sur un ordinateur Mac OS X, il doit entrer un nom et un mot de passe associés à un compte d’utilisateur identifiable par l’ordinateur. Un ordinateur Mac OS X peut situer des comptes d’utilisateur stockés dans un domaine de répertoires de la politique de recherche. • Un domaine de répertoire conserve des informations sur les utilisateurs et les ressources. Il est similaire à une base de données à laquelle la configuration d’un ordinateur prévoit un accès en vue de recueillir des informations de configuration. • Une politique de recherche est une liste de domaines de répertoires dans laquelle l’ordinateur procède à des recherches lorsqu’il a besoin d’informations de configuration, en commençant par le domaine de répertoires local situé sur l’ordinateur de l’utilisateur. Le guide d’administration Open Directory décrit les différents types de domaines de répertoires et explique la configuration des politiques de recherche sur tout ordinateur Mac OS X. L’illustration suivante montre un utilisateur qui se connecte à un ordinateur Mac OS X capable de repérer le compte de cet utilisateur dans un domaine de répertoire de sa politique de recherche. Ouverture de session sur Mac OS X Domaines de répertoires figurant dans la politique de recherche 30 Chapitre 1 Vue d’ensemble de la gestion des utilisateurs Après connexion, l’utilisateur peut se connecter à un ordinateur Mac OS X distant si son compte d’utilisateur peut être repéré dans la politique de recherche de cet ordinateur distant. Si Mac OS X localise un compte d’utilisateur contenant le nom saisi par l’utilisateur, il tente de valider le mot de passe associé au compte. Si le mot de passe est validé, l’utilisateur est authentifié et le processus de connexion terminé. Une fois connecté sur un ordinateur Mac OS X, un utilisateur peut accéder à l’ensemble des ressources, telles les imprimantes et les points de partage, définies dans des domaines de répertoires de la politique de recherche configurée pour l’ordinateur de l’utilisateur. Un point de partage est un disque dur (ou une partition de disque dur), un CD-ROM ou un dossier qui contient les fichiers que vous souhaitez voir partagés entre les utilisateurs. L’utilisateur peut accéder à son répertoire de départ en cliquant sur le bouton Départ dans une fenêtre du Finder ou en choisissant Départ dans le menu Aller du Finder. L’utilisateur n’est toutefois pas obligé de se connecter à un serveur pour accéder aux ressources réseau. Par exemple, lorsqu’un utilisateur se connecte à un ordinateur Mac OS X, il peut accéder aux fichiers pour lesquels il dispose d’un autorisation d’accès sur l’ordinateur, même si le système de fichiers l’invite à saisir au préalable un nom et un mot de passe d’utilisateur. Lorsqu’un utilisateur accède aux ressources publiques d’un serveur sans s’y connecter, c’est la politique de serveur de l’ordinateur de l’utilisateur qui est appliquée, et non celle de l’ordinateur auquel l’utilisateur s’est connecté. Ouverture de session Mac OS X Server Domaines de répertoires figurant dans la politique de recherche Chapitre 1 Vue d’ensemble de la gestion des utilisateurs 31 Validation de mots de passe Lors de la procédure d’authentification d’un utilisateur, Mac OS X commence par repérer le compte de cet utilisateur, puis recourt à la stratégie de mot de passe désignée dans ce compte pour valider le mot de passe. Open Directory vous offre plusieurs options de validation du mot de passe d’un utilisateur. Pour obtenir des informations détaillées sur les options de validation de mot de passe, lisez le guide d’administration Open Directory. Contrôle de l’accès aux informations Tous les répertoires (dossiers) et fichiers situés sur des ordinateurs Mac OS X comportent des autorisations d’accès dédiées à leur propriétaire du fichier, à un groupe et à toute autre personne. Mac OS X recourt à un élément de donnée particulier dans un compte d’utilisateur, l’identifiant d’utilisateur, pour effectuer le suivi des autorisations d’accès aux répertoires et aux fichiers. Accès de propriétaire à des répertoires et des fichiers Lorsqu’un répertoire ou un fichier est créé, le système de fichiers stocke l’identifiant de l’utilisateur qui l’a créé. Si un utilisateur doté de cet identifiant accède au répertoire ou au fichier, il détient par défaut les autorisations en lecture et en écriture pour l’élément en question. De plus, les processus initiés par le créateur ont des autorisations de lecture et d’écriture pour tous les fichiers associés à l’identifiant d’utilisateur du créateur. Compte d’utilisateur Le mot de passe peut être validé à l’aide de la valeur stockée dans le compte d’utilisateur ou dans la base de données d’authentification Open Directory Le mot de passe peut également être validé via une autre autorité d’authentification Kerberos KDS LDAP bind Open Directory Authentification Le possesseur 127 dispose des autorisations en lecture et écriture Le groupe 2017 dispose des autorisations en lecture seule Les autres utilisateurs ne disposent d’aucune autorisation MonDoc32 Chapitre 1 Vue d’ensemble de la gestion des utilisateurs Si vous modifiez l’identifiant d’un utilisateur, ce dernier risque de ne plus pouvoir changer ni même accéder aux fichiers et répertoires qu’il a créés. De même, si l’utilisateur se connecte avec un identifiant différent de celui qu’il a utilisé pour créer les fichiers et répertoires, il n’aura plus d’autorisations d’accès de propriétaire à ces derniers. Accès par d’autres utilisateurs aux répertoires et fichiers L’identifiant d’utilisateur, en association avec un identifiant de groupe, est également utilisé pour contrôler l’accès des utilisateurs membres de groupes particuliers. Chaque utilisateur appartient à un groupe principal. L’identifiant de groupe principal d’un utilisateur est enregistré dans le compte de l’utilisateur. Lorsqu’un utilisateur accède à un répertoire ou à un fichier dont il n’est pas le propriétaire, le système de fichiers vérifie les autorisations de groupe de ce fichier. • Si l’identifiant de groupe principal de l’utilisateur correspond à l’identifiant du groupe associé au fichier, l’utilisateur hérite d’autorisations d’accès de groupe. • Si l’identifiant de groupe principal de l’utilisateur ne correspond pas à l’identifiant de groupe du fichier, Mac OS X recherche le compte de groupe qui possède des autorisations d’accès. Le compte de groupe contient une liste des noms abrégés des utilisateurs membres du groupe. À chaque nom abrégé du compte de groupe, le système de fichiers fait correspondre un identifiant d’utilisateur et, si ce dernier équivaut à un identifiant d’utilisateur d’un membre du groupe, l’utilisateur bénéficie des autorisations d’accès du groupe pour le fichier ou le répertoire.2 33 2 Introduction à la gestion des utilisateurs La configuration d’un compte et la gestion des utilisateurs peut s’avérer une tâche complexe, notamment dans le cas d’installations multiples, d’un réseau important ou de nombreux utilisateurs. Ce chapitre vous aidera à découvrir les méthodes les plus adaptées de mise en œuvre, de distribution et de contrôle du système. Présentation générale de la configuration La gestion des utilisateurs consiste en une série de tâches principales, chacune divisée en diverses sous-tâches plus petites. Cette section présente d’une manière générale le mode de mise en œuvre de la gestion des utilisateurs. Les tâches individuelles qui interviennent dans chaque activité principale sont détaillées dans les chapitres suivants de ce guide. Les principales activités d’administration relatives aux utilisateurs et aux groupes sont les suivantes : • Étape 1 : Avant de commencer, élaborez un programme. • Étape 2 : Assurez-vous que vos ordinateurs répondent aux configurations requises minimales. • Étape 3 : Créez des domaines partagés pour stocker des informations de compte. • Étape 4 : Configurez le serveur de mot de passe Open Directory. • Étape 5 : Configurez les politiques de recherche serveur et client pour trouver des comptes d’utilisateur et de groupe. • Étape 6 : Configurez des comptes d’utilisateur et des répertoires de départ. • Étape 7 : Créez des groupes. • Étape 8 : Assurez-vous que vos ordinateurs répondent aux configurations requises minimales. • Étape 9 : Configurez des ordinateurs clients et créez des comptes d’ordinateur. • Étape 10 : Passez en revue, le cas échéant, les informations relatives aux comptes d’utilisateur et de groupe. • Étape 11 : Actualisez, le cas échéant, les informations de compte.34 Chapitre 2 Introduction à la gestion des utilisateurs • Étape 12 : Procédez à la maintenance des comptes d’utilisateur et de groupe en cours. Chacune de ces activités est résumée ci-après. Reportez-vous aux pages indiquées pour des informations détaillées. Étape 1 : Avant de commencer, élaborez un programme L’élaboration d’un programme pour la gestion des utilisateurs commence par l’analyse des besoins des utilisateurs et le développement d’une stratégie de ressource. Voici quelques points à considérer : • la taille et la distribution de votre réseau, • le nombre d’utilisateurs qui accéderont à votre réseau, • quels utilisateurs devront bénéficier d’autorisations d’administrateur, • de quels services et ressources ont besoin les utilisateurs (courrier électronique, accès au stockage des données), • comment diviser les utilisateurs en groupes (par exemple, par catégorie ou type d’emploi), • comment grouper des ensembles d’ordinateurs (par exemple, tous les ordinateurs d’un laboratoire public). Les ordinateurs fonctionnant sous Mac OS X, Mac OS 9 ou Windows peuvent accéder à votre réseau sans aucune gestion. Seuls les ordinateurs Mac OS X ou Mac OS 9 ont la possibilité de gérer ou de contrôler l’accès à des ressources spécifiques locales ou en réseau, comme des volumes partagés, des supports de données, des applications ou des préférences de réglages. Les ordinateurs Mac OS X peuvent être gérés à l’aide d’un compte du Gestionnaire de groupe de travail et des fonctions de préférence. Pour les ordinateurs Mac OS 9, l’utilisation du Gestionnaire Macintosh est requise. Bien que les ordinateurs sous Windows puissent accéder à votre réseau, ces outils ne permettent pas de les gérer. Vous devez envisager la gestion de clients (contrôle des autorisations et des préférences) si : • vous désirez proposer aux utilisateurs une interface compatible et fiable tout en leur permettant d’accéder à leurs documents à partir d’un ordinateur quelconque ; • vous souhaitez contrôler les autorisations relatives aux ordinateurs portables ; • vous désirez réserver certaines ressources à des groupes ou des individus spécifiques ; • vous devez garantir l’usage informatique des secteurs déterminants, tels qu’administrations, salles de cours ou laboratoires en libre service. Pour plus d’informations et de suggestions, consultez la section “Programmation de stratégies pour la gestion des utilisateurs” à la page 39.Chapitre 2 Introduction à la gestion des utilisateurs 35 Étape 2 : Assurez-vous que vos serveurs répondent aux configurations requises minimales Configuration logicielle requise pour l’ordinateur administrateur Mac OS X • Mac OS X Server v. 10.2.6 ou ultérieure installée Configuration matérielle requise pour l’ordinateur administrateur Mac OS X • Ordinateur Macintosh équipé d’un processeur G3 ou ultérieur (hormis le PowerBook G3 d’origine ou les processeurs PowerPC mis à jour) • 128 méga-octets (Mo) de RAM • 4 giga-octets (Go) d’espace disque disponible Étape 3 : Créez des domaines partagés pour stocker des informations de compte Utilisez le module Open Directory d’Admin Serveur pour configurer des domaines partagés ou visibles sur le réseau dans lesquels stocker des informations de compte d’utilisateur, de groupe et d’ordinateur. Pour plus d’informations sur les hiérarchies de domaine et leur configuration, consultez le guide d’administration Open Directory. Assurez-vous que quiconque utilisant le Gestionnaire de groupe de travail afin d’ajouter et de changer des utilisateurs et groupes dispose des autorisations d’administration pour les domaines de répertoires dont il est responsable. Vous pouvez utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour ajouter et changer des comptes d’utilisateur et de groupe stockés dans le répertoire LDAP d’un maître Open Directory, dans un domaine NetInfo ou dans tout autre domaine de répertoires en lecture/écriture. Si vous utilisez LDAPv2, LDAPv3 en lecture seule, le fichier de configuration BSD ou tout autre domaine de répertoires en lecture seule, assurez-vous qu’ils sont configurés pour gérer l’accès à Mac OS X Server et fournissent les données dont vous avez besoin pour les comptes d’utilisateur et de groupe. Il sera peut-être nécessaire d’ajouter, de modifier ou de réorganiser les informations dans un répertoire afin qu’elles soient au format requis. • Le guide d’administration Open Directory décrit comment configurer Mac OS X Server pour accéder à des serveurs distants sur lesquels résident ces domaines et récupérer ainsi des informations. • L’annexe, “Importation et exportation d’informations de compte” décrit des formats de données de compte d’utilisateur et de groupe attendus par Mac OS X. Lorsque vous configurez vos services de répertoires Mac OS X Server pour utiliser des domaines de répertoires se trouvant hors du serveur, vous devez éventuellement consulter cette annexe afin de connaître les conditions de mise en correspondance des données pour certains types de domaines de répertoires. • Le guide d’administration des services Windows décrit comment utiliser les informations stockées dans l’Active Directory de Microsoft, authentifier les utilisateurs Macintosh et leur proposer des services sur Mac OS X Server.36 Chapitre 2 Introduction à la gestion des utilisateurs Étape 4 : Configurez le serveur de mot de passe Open Directory Si vous comptez utiliser le serveur de mot de passe Open Directory pour valider les mots de passe des utilisateurs dans chaque domaine de répertoires, configurez-le dès que possible. Lorsque vous passez d’une stratégie de validation de mot de passe quelconque à une validation par le serveur de mot de passe, vous devez réinitialiser les mots de passe de tous les utilisateurs concernés. Consultez le guide d’administration Open Directory pour obtenir des instructions sur la configuration. Étape 5 : Configurez les politiques de recherche serveur et client pour trouver des comptes d’utilisateur et de groupe Assurez-vous que la politique de recherche de tout serveur devant accéder aux informations d’utilisateur et de groupe afin de fournir des services à certains utilisateurs est bien configurée à cet effet. Les politiques de recherche sur un ordinateur client Mac OS X doivent être configurées de sorte que les comptes et les ressources partagées (telles que les serveurs de fichiers et les imprimantes réseau) soient visibles à partir de cet ordinateur. Consultez le guide d’administration Open Directory pour obtenir des instructions et des options sur la configuration cliente. Étape 6 : Configurez des comptes d’utilisateur et des répertoires de départ Vous pouvez utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour configurer des comptes d’utilisateur et des répertoires de départ. Vous pouvez créer les comptes d’utilisateur dans des domaines de répertoires situés sur Mac OS X Server et dans des domaines Open Directory non Apple, configurés pour un accès en écriture. Une fois les utilisateurs créés dans le Gestionnaire de groupe de travail, ils peuvent être gérés sur les clients Mac OS X. Vous pouvez définir plusieurs types d’autorisations, tels que les quotas d’impression ou de courrier, à mesure que vous créez vos utilisateurs. Les répertoires de départ peuvent être stockés sur un serveur AFP (Apple Filing Protocol). Vous pouvez configurer des volumes de groupe en tant que points de partage AFP et ajouter des points de partage supplémentaires, le cas échéant. Pour les clients gérés sous Mac OS X, le point de partage devra être monté automatiquement. Chaque utilisateur à gérer devra disposer de son propre répertoire de départ. Dans le cas contraire, l’utilisateur aura un accès limité aux ordinateurs et aux ressources. Consultez le chapitre 4, “Configuration des comptes d’utilisateur” pour plus d’informations sur la création de comptes d’utilisateur et la définition d’autorisations d’utilisateur. Consultez le chapitre 7, “Configuration des répertoires de départ” pour plus d’informations sur les répertoires de départ. Pour en savoir plus sur l’utilisation des comptes d’utilisateur en lecture seule, consultez “Travail avec des comptes d’utilisateur de type “lecture seule”” à la page 62. Chapitre 2 Introduction à la gestion des utilisateurs 37 Pour des informations plus détaillées sur la configuration des utilisateurs gérés, consultez le chapitre 9, “Gestion des préférences pour Mac OS X” et le chapitre 10, “Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9”. Si vous décidez de gérer vos utilisateurs, la création d’utilisateurs dans un domaine de répertoires de réseau permet d’utiliser le compte d’utilisateur sur plusieurs ordinateurs. Toutefois, les utilisateurs peuvent aussi être définis localement sur chaque ordinateur client. Étape 7 : Créez des groupes Vous pouvez utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour créer des comptes de groupe dans des domaines de répertoires situés sur Mac OS X Server et dans des domaines Open Directory non Apple, configurés pour un accès en écriture. Reportezvous aux sections suivantes pour obtenir des instructions : • “Création de comptes de groupe Mac OS X Server” à la page 85 et “Création de comptes de groupe LDAPv3 en lecture/écriture” à la page 85 • “Raccourcis pour l’utilisation des comptes” à la page 44 • “Utilisation de préréglages” à la page 44 • l’annexe, “Importation et exportation d’informations de compte” Pour plus d’informations sur l’utilisation des comptes de groupe en lecture seule, consultez “Travail avec des comptes de groupe en lecture seule” à la page 87. Pour obtenir des détails sur tous les réglages possibles pour un compte de groupe, consultez le chapitre 4, “Configuration des comptes d’utilisateur”. Étape 8 : Assurez-vous que vos ordinateurs répondent aux configurations requises minimales Faites l’inventaire de tous les ordinateurs et assurez-vous qu’ils répondent aux configurations requises minimales pour remplir leurs fonctions en réseau. Configuration logicielle requise pour l’ordinateur client Mac OS X • Mac OS X v. 10.2.6 ou ultérieure en tant que système d’exploitation principal Configuration matérielle requise pour l’ordinateur client Mac OS X • Ordinateur Macintosh équipé d’un processeur G3 ou ultérieur (hormis le PowerBook G3 d’origine ou les processeurs PowerPC mis à jour) • 128 méga-octets (Mo) de mémoire vive (RAM) • 1,5 giga-octets (Go) d’espace disque disponible Étape 9 : Configurez des ordinateurs clients et créez des comptes d’ordinateur Assurez-vous que les services de répertoires des ordinateurs Mac OS X sont configurés de manière à ce qu’ils puissent accéder aux comptes d’utilisateur au moment de la connexion. Veillez à bien configurer les ordinateurs Mac OS X ainsi que d’autres ordinateurs clients de sorte que les utilisateurs puissent être authentifiés et accéder aux services auxquels vous souhaitez leur autoriser l’accès. 38 Chapitre 2 Introduction à la gestion des utilisateurs Les ordinateurs clients dont le système d’exploitation est Mac OS 9.1 peuvent se connecter à votre réseau Mac OS X Server. Vous pouvez utiliser le Gestionnaire Macintosh pour appliquer la gestion des préférences et des autorisations d’utilisateur aux systèmes Mac OS 9.1. Certaines préférences gérées comme Classic et Dock utilisent des chemins spécifiques pour localiser des fichiers et des dossiers. Il est important que l’ordinateur administrateur possède une structure de système de fichiers identique à chacun des ordinateurs clients gérés. En d’autres termes, les noms de dossiers, les disques, l’emplacement des applications, etc. devront être identiques. Pour plus de détails sur l’installation du logiciel administrateur Gestionnaire Macintosh, sur le choix d’une langue pour les serveurs et les clients du Gestionnaire Macintosh et sur la modification du script du Service de fichiers Apple, consultez le chapitre 10, “Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9”. Les clients Windows peuvent aussi se connecter à votre réseau. Pour des instructions détaillées sur la configuration de clients Windows utilisant votre réseau, consultez le guide d’administration des services Windows. Étape 10 : Passez en revue, le cas échéant, les informations relatives aux comptes d’utilisateur et de groupe Le Gestionnaire de groupe de travail facilite la consultation et la mise à jour éventuelle d’informations sur les utilisateurs et les groupes. Pour plus de détails à ce propos, reportez-vous aux sections commençant par “Recherche de comptes dans le Gestionnaire de groupe de travail” à la page 45. Étape 11 : Actualisez, le cas échéant, les informations de compte Les utilisateurs allant et venant et les exigences de vos serveurs variant, maintenez à jour vos enregistrements d’utilisateur et de groupe. Les informations des chapitres 3 à 5 vous aideront à réaliser des tâches courantes, comme la définition d’un compte invité, la désactivation de comptes d’utilisateur, l’ajout et la suppression d’utilisateurs dans des groupes et la suppression de comptes. Étape 12 : Procédez à la maintenance des comptes Les informations des sections suivantes vous aideront dans vos activités quotidiennes de maintenance de compte : • Pour obtenir des solutions aux problèmes courants, consultez le chapitre 11, “Résolution des problèmes”. • Pour obtenir des conseils sur des stratégies de sauvegarde, consultez la section “Sauvegarde et restauration de fichiers de services de répertoires” à la page 48. • Pour plus d’informations sur la surveillance de votre serveur de mot de passe, consultez le guide d’administration Open Directory.Chapitre 2 Introduction à la gestion des utilisateurs 39 Programmation de stratégies pour la gestion des utilisateurs Avant de configurer pour la première fois des comptes d’utilisateur et de groupe : • Identifiez les domaines de répertoires dans lesquels vous stockerez les informations sur les comptes d’utilisateur et de groupe. Si vous disposez d’un serveur Active Directory ou LDAP déjà configuré, vous pourrez profiter des enregistrements déjà existants. Consultez le guide d’administration Open Directory pour plus de détails sur les options de domaines de répertoires disponibles. Si vous disposez d’un serveur Apple de version antérieure, vous pouvez éventuellement migrer des enregistrements existants. Reportez-vous au guide de migration pour connaître les options disponibles. Créez si besoin est des domaines de répertoires pour stocker des enregistrements d’utilisateurs. Consultez le guide d’administration Open Directory pour plus d’instructions. Remarque : si certains domaines ne sont pas finalisés au moment d’ajouter des comptes, effectuez l’ajout à chaque domaine existant sur votre serveur. (Vous pouvez utiliser le domaine de répertoires local, toujours disponible.) Vous pouvez déplacer plus tard des utilisateurs et des groupes vers un autre domaine de répertoires à l’aide des fonctions d’exportation et d’importation de votre serveur, décrites à l’annexe, “Importation et exportation d’informations de compte”. • Déterminez la ou les politiques de vérification de mot de passe que vous utiliserez. Consultez le guide d’administration Open Directory pour plus d’informations sur les options disponibles. Si vous comptez utiliser le serveur de mot de passe Open Directory pour valider les mots de passe des utilisateurs dans chaque domaine de répertoires, configurez-le dès que possible. Consultez le guide d’administration Open Directory pour plus d’instructions. • Déterminez les utilisateurs auxquels vous souhaitez donner le statut d’utilisateurs gérés. Pour obtenir des instructions de planification, consultez le chapitre 9, “Gestion des préférences pour Mac OS X” et le chapitre 10, “Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9”. • Élaborez une stratégie de répertoire de départ.40 Chapitre 2 Introduction à la gestion des utilisateurs • Déterminez quels sont les utilisateurs ayant besoin de répertoires de départ et identifiez les ordinateurs sur lesquels vous souhaitez que se trouvent ces derniers. Afin de ne pas affaiblir les performances du serveur, évitez d’utiliser des répertoires de départ de réseau via les connexions réseau inférieures à 100 Mbps. Il n’est pas nécessaire que le répertoire de départ de réseau d’un utilisateur soit stocké sur le même serveur que le domaine de répertoires contenant son compte d’utilisateur. D’ailleurs, répartir les domaines de répertoires et les répertoires de départ sur plusieurs serveurs peut vous aider à équilibrer la charge de travail de votre réseau. La section “Répartition de répertoires de départ sur plusieurs serveurs” à la page 108 décrit plusieurs de ces scénarios. Vous pouvez par exemple stocker les répertoires de départ des utilisateurs dont le nom commence par les lettres A à F sur un ordinateur, ceux dont le nom commence par les lettres G à J sur un autre ordinateur, etc. Vous pouvez aussi stocker des répertoires de départ sur un Mac OS X Server mais stocker les comptes d’utilisateur et de groupe sur un serveur Active Directory ou LDAP. Choisissez une stratégie avant de créer des utilisateurs. Vous pouvez déplacer des répertoires de départ, mais vous devrez alors éventuellement changer un grand nombre de fiches d’utilisateurs. • Déterminez le protocole d’accès à utiliser pour les répertoires de départ. La plupart du temps, vous utiliserez AFP, mais si vous votre serveur gère un grand nombre de clients UNIX, vous pouvez souhaiter utiliser NFS pour eux. Une fois que vous avez décidé du nombre d’ordinateurs et déterminé ceux que vous souhaitez utiliser pour les répertoires de départ, préparez le nom de domaine ou l’adresse IP de chaque ordinateur. Déterminez également les noms et tous les points de partage situés sur des ordinateurs qui seront utilisés pour des répertoires de départ. • Déterminez les groupes et groupes de travail dont vous aurez besoin. Les utilisateurs dont les exigences de serveur sont similaires devront être placés dans un même groupe. Les groupes de travail se révèlent utiles dans le cadre de la configuration des préférences de groupe. Pour obtenir des directives sur l’utilisation des groupes de travail, consultez le chapitre 9, “Gestion des préférences pour Mac OS X” et le chapitre 10, “Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9”. Vous devrez aussi déterminer l’emplacement de stockage des dossiers de groupe. • Choisissez les utilisateurs qui pourront administrer les utilisateurs et les groupes et faites en sorte qu’ils disposent d’autorisations d’administrateur. Lorsque vous utilisez l’Assistant du serveur pour configurer votre serveur pour la première fois, spécifiez un mot de passe pour le propriétaire/l’administrateur. Ce dernier devient également le mot de passe racine de votre serveur. Pour créer un administrateur avec un mot de passe différent du mot de passe racine, utilisez le Gestionnaire de groupe de travail. Les administrateurs de serveur n’ont pas besoin d’autorisation racine.Chapitre 2 Introduction à la gestion des utilisateurs 41 Il est recommandé d’utiliser le mot de passe racine avec précaution et de le stocker dans un emplacement sécurisé. L’utilisateur racine bénéficie d’un accès illimité au système, y compris aux fichiers système. Le cas échéant, vous pouvez recourir au Gestionnaire de groupe de travail pour changer le mot de passe racine. • Décidez comment configurer les ordinateurs clients afin que les utilisateurs à gérer puissent sans problème se connecter à votre serveur et y travailler. Le guide d’administration Open Directory fournit plus d’informations à ce sujet. Utilisation du Gestionnaire de groupe de travail Après avoir installé le logiciel Mac OS X Server, vous pouvez accéder au Gestionnaire de groupe de travail. Cette section explique comment accéder à l’application et décrit brièvement quelques tâches essentielles que vous pouvez réaliser avec le Gestionnaire de groupe de travail. Ouverture du Gestionnaire de groupe de travail et authentification Le Gestionnaire de groupe de travail est installé dans /Applications/Utilities/ lors de l’installation du serveur ou de la configuration d’un ordinateur administrateur. Pour ouvrir le Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur son icône dans le Dock de Mac OS X Server ou dans la barre d’état d’Admin Serveur. • Pour ouvrir le Gestionnaire de groupe de travail sur le serveur sans authentification, choisissez Afficher les répertoires dans le menu Serveur. Vous aurez un accès en lecture seule aux informations affichées dans le Gestionnaire de groupe de travail. Pour apporter des modifications, cliquez sur l’icône symbolisant un verrou afin de vous authentifier en tant qu’administrateur. Cette démarche est la plus indiquée lorsque vous administrez différents serveurs et travaillez avec divers domaines de répertoires. • Pour vous authentifier en tant qu’administrateur d’un serveur particulier, tapez l’adresse IP du serveur ou son nom DNS dans la fenêtre d’ouverture de session, ou cliquez sur Parcourir pour faire une sélection dans une liste de serveurs. Tapez le nom d’utilisateur et le mot de passe d’un administrateur du serveur, puis cliquez sur Se connecter Procédez de cette manière si vous travaillez la plupart du temps avec le même serveur. Principales tâches dans le Gestionnaire de groupe de travail Après l’ouverture de session, la fenêtre du compte d’utilisateur s’affiche. Vous pouvez visualiser des listes de comptes d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans le domaine de répertoires local du serveur. Le cas échéant, vous pouvez accéder à un domaine différent après l’ouverture de session. Vous pouvez aussi travailler avec des points de partage et définir des options de préférences gérées pour des utilisateurs, des groupes ou des ordinateurs. Voici comment s’initier aux principales tâches autorisées par cette application :42 Chapitre 2 Introduction à la gestion des utilisateurs • Pour travailler avec des points de partage, cliquez sur l’icône Partage de la barre d’outils. Consultez le guide d’administration des services de fichiers pour des informations détaillées. • Pour administrer des comptes d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur, cliquez sur l’icône Comptes de la barre d’outils. Voir le chapitre 4, “Configuration des comptes d’utilisateur” pour obtenir des informations de comptes d’utilisateur et de groupe et le chapitre 9, “Gestion des préférences pour Mac OS X” pour des informations de comptes d’ordinateur. • Pour utiliser simultanément des comptes issus de domaines de répertoires différents, ouvrez plusieurs fenêtres du Gestionnaire de groupe de travail en choisissant Nouvelle fenêtre Gestionnaire de groupe de travail dans le menu Serveur. • Pour travailler avec les préférences destinées aux utilisateurs, groupes et ordinateurs gérés, cliquez sur l’icône Préférences de la barre d’outils. Pour obtenir des instructions, consultez le chapitre 9, “Gestion des préférences pour Mac OS X”. • Pour actualiser les informations affichées, cliquez sur le bouton Actualiser. • Pour décider comment le Gestionnaire de groupe de travail répertorie les utilisateurs et les groupes ou s’il doit utiliser des transactions SSL, entre autres comportements, choisissez Préférences dans le menu Gestionnaire de groupe de travail. • Pour personnaliser la barre d’outils, choisissez Personnaliser la barre d’outils dans le menu Présentation. • Pour ouvrir Admin Serveur et contrôler l’état d’un serveur particulier, cliquez sur l’icône Admin de la barre d’outils. Consultez le guide de premiers contacts pour plus d’informations sur l’application Admin Serveur. • Pour ouvrir Admin Serveur et modifier les réglages de fichiers, d’impression, de courrier, Web, NetBoot et de réseau d’un serveur, choisissez Configurer les services dans le menu Serveur. Vous trouverez des informations sur les différents services et outils d’Admin Serveur dans le reste de la documentation Mac OS X Server. • Pour récupérer des informations en ligne, utilisez le menu Aide. Il procure de l’aide aux administrateurs de serveur quant au Gestionnaire de groupe de travail et d’autres aspects de Mac OS X Server. Désignation des administrateurs Pour les clients Mac OS X, l’administrateur du serveur dispose du niveau de contrôle le plus élevé sur les autres utilisateurs et leurs autorisations. L’administrateur du serveur peut créer des comptes d’utilisateur, de groupe, et d’ordinateur et leur affecter des réglages, des autorisations et des préférences gérées. Il peut également créer d’autres comptes d’administrateur ou attribuer à certains utilisateurs (par exemple des professeurs ou du personnel technique) des autorisations d’administration pour des domaines de répertoires spécifiques. Ces administrateurs de domaines de répertoires peuvent gérer des comptes d’utilisateur, de groupe et d’ordinateur dans les limites qui leur sont attribuées par l’administrateur du serveur.Chapitre 2 Introduction à la gestion des utilisateurs 43 Avant de procéder à la configuration des comptes, identifiez les utilisateurs qui requièrent des autorisations d’administration. De même, de nombreuses autorisations d’administration peuvent être données aux utilisateurs gérés, ce qui leur permet de gérer des groupes d’utilisateurs spécifiques ou de modifier certains réglages de compte. Une hiérarchie d’administrateurs et d’utilisateurs convenablement planifiée avec des autorisations d’administration spéciales peut vous aider à distribuer des tâches d’administration système et à optimiser les flux de production et la gestion système. Pour plus d’informations sur l’affectation d’autorisations d’administration aux utilisateurs disposant de comptes réseau, consultez le chapitre 4, “Configuration des comptes d’utilisateur”. Configuration des comptes d’utilisateur Si vous utilisez le Gestionnaire de groupe de travail pour gérer vos clients OS X, vous pouvez définir certaines autorisations lors de la configuration des comptes. Lors de la création d’un compte, vous pouvez utiliser des préréglages, tels les modèles, et appliquer automatiquement différents réglages. Pour plus d’informations sur la configuration de comptes d’utilisateur, consultez le chapitre 4,“Configuration des comptes d’utilisateur”. Selon vos besoins, vous pouvez configurer des comptes d’utilisateur locaux sur vos ordinateurs clients en plus de ceux existant sur le réseau. Un utilisateur réseau dispose d’un compte d’utilisateur associé à Mac OS X Server et vous pouvez l’autoriser à se connecter à votre réseau à partir de plusieurs ordinateurs. Un utilisateur local dispose d’un compte associé à un ordinateur client spécifique, lequel compte est indépendant de tout autre compte d’utilisateur du réseau ou d’autres comptes locaux situés sur des ordinateurs tiers. Un même utilisateur peut disposer d’un compte réseau fournissant l’accès aux services de réseau et d’un compte local séparé lié à un ordinateur spécifique. Vous pouvez configurer des préférences gérées pour tout utilisateur possédant un compte réseau, mais le mode de gestion le plus souple pour ce type d’utilisateur réseau consiste à gérer les préférences de groupes auxquels il appartient. Ainsi, la gestion des utilisateurs est simplifiée, quel que soit l’ordinateur qu’ils utilisent. Si des utilisateurs possèdent des comptes locaux sur des ordinateurs spécifiques, il est possible de gérer leurs préférences sur l’ordinateur client sans recourir au Gestionnaire de groupe de travail. Cependant, il peut s’avérer plus opportun de gérer des utilisateurs locaux indirectement via le Gestionnaire de groupe de travail, afin de gérer les préférences de l’ordinateur client et du groupe ayant accès à l’ordinateur. Ces préférences de groupe et d’ordinateur étant masquées dans le cadre d’une utilisation hors ligne, cette configuration s’avère particulièrement utile pour les ordinateurs portables. Si l’utilisateur d’un ordinateur portable se déconnecte du réseau, il demeure géré. Vous pouvez configurer des préférences gérées pour des utilisateurs après avoir créé les comptes d’utilisateur. Pour plus d’informations sur les préférences gérées et leur utilisation, consultez la section “Compréhension de la gestion des préférences” à la page 122.44 Chapitre 2 Introduction à la gestion des utilisateurs Configuration des comptes de groupe Bien qu’il ne soit pas nécessaire de rassembler les utilisateurs Mac OS X afin de pouvoir les gérer, les groupes d’utilisateur demeurent un élément important pour une gestion des clients efficace. Vous pouvez, par exemple, utiliser des groupes pour attribuer à certains utilisateurs les mêmes autorisations d’accès aux données, imprimantes et volumes. Pour plus d’informations sur la création de comptes de groupe à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail, consultez le chapitre 5, “Configuration des comptes de groupe”. Les préférences gérées affectées à un groupe particulier concernent tous les utilisateurs de ce groupe. Toutefois, les préférences d’utilisateur gérés peuvent primer sur les préférences de groupe. Vous pouvez configurer des préférences gérées pour des groupes un fois leur compte créé. Pour plus d’informations, consultez le chapitre 5, “Configuration des comptes de groupe”. Raccourcis pour l’utilisation des comptes De nombreuses techniques et fonctions du Gestionnaire de groupe de travail vous permettent de gagner du temps pour configurer et gérer des comptes de manière plus efficace. Ainsi, vous pouvez : • apporter des modifications à plusieurs comptes d’utilisateur ou de groupe simultanément ; • utiliser des préréglages, qui fonctionnent comme des modèles vous permettant de prédéfinir des attributs s’appliquant par défaut aux nouveaux comptes d’utilisateur et de groupe ; • importer des informations de compte à partir d’un fichier. Modification simultanée de plusieurs comptes Vous pouvez modifier des informations de compte ou des réglages de préférences gérées pour de multiples comptes d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur à la fois. Certaines informations sont spécifiques à un compte individuel et ne peuvent pas être modifiées quand plusieurs comptes sont sélectionnés. Utilisation de préréglages Vous pouvez sélectionner des réglages pour un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur et les enregistrer en tant que préréglages. Les préréglages fonctionnent comme des modèles et permettent d’appliquer des réglages et des informations présélectionnés à un nouveau compte. Grâce aux préréglages, vous pouvez configurer en toute simplicité plusieurs comptes de façon similaire. Les préréglages ne peuvent être utilisés que lors de la création d’un compte. Les préréglages ne vous permettent pas de modifier un compte existant mais s’avèrent utiles lors de la création manuelle de comptes ou pendant leur importation depuis un fichier. Chapitre 2 Introduction à la gestion des utilisateurs 45 Si vous modifiez un préréglage après son utilisation pour la création d’un compte, les comptes déjà créés à l’aide de ce préréglage ne sont pas mis à jour pour reproduire ces changements. Importation et exportation d’informations de compte Les informations de compte peuvent être importées et exportées à partir de fichiers XML ou de fichiers texte délimités par des caractères. Cette méthode d’importation facilite la configuration rapide d’un grand nombre de comptes. L’exportation d’informations dans un fichier peut s’avérer utile pour gérer ou sauvegarder les données d’un utilisateur. Pour plus d’informations, consultez l’annexe, “Importation et exportation d’informations de compte”. Recherche de comptes dans le Gestionnaire de groupe de travail Dans le Gestionnaire de groupe de travail, les comptes sont répertoriés à l’intérieur d’onglets, dans la partie gauche de la fenêtre. Les préférences du Gestionnaire de groupe de travail ont une incidence sur ces listes. Dans le menu Gestionnaire de groupe de travail, choisissez Préférences pour vérifier si les utilisateurs et les groupes système apparaissent et l’ordre dans lequel ils sont classés. Pour alimenter la liste, cliquez sur le globe situé sous la barre d’outils et sélectionnez le ou les domaines de répertoires avec lesquels travailler. Initialement, les comptes des domaines de répertoires parents ne sont répertoriés que si vous êtes connecté au réseau. Les domaines disponibles incluent tous ceux configurés pour l’accès par le serveur auquel vous êtes connecté. Une fois que vous avez choisi des domaines de répertoires, tous les comptes qu’ils contiennent sont répertoriés. Vous pouvez classer la liste en cliquant sur un en-tête de colonne. Une flèche indique l’ordre de classement (croissant ou décroissant) modifiable en cliquant de nouveau sur l’en-tête de colonne. Utilisez les options de filtre au-dessus de la liste pour filtrer cette dernière et trouver des comptes particuliers. Pour travailler avec un ou plusieurs comptes répertoriés, faites votre choix. Les réglages des comptes sélectionnés apparaissent dans la fenêtre à droite de la liste. Les réglages disponibles dépendent de l’onglet visualisé. Liste de comptes dans le domaine de répertoires local Le domaine de répertoires local correspond à un domaine sur le serveur s’affichant uniquement lorsque vous êtes connecté au serveur qui l’héberge.46 Chapitre 2 Introduction à la gestion des utilisateurs Pour répertorier des comptes dans le domaine local du serveur sur lequel vous travaillez : 1 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, ouvrez une session sur le serveur hébergeant le domaine, puis cliquez sur le globe situé sous la barre d’outils et choisissez Local. Le domaine local peut également être répertorié comme /NetInfo/root/ ou /NetInfo/DefaultLocalNode. Pour visualiser les comptes d’utilisateur résidant dans les domaines de répertoires sélectionnés, cliquez sur le bouton d’utilisateur. Cliquez sur le bouton de groupe ou d’ordinateur pour visualiser respectivement les comptes de groupe ou d’ordinateur. 2 Pour travailler avec un compte en particulier, sélectionnez-le. Pour modifier le compte, en supposant que vous disposez des autorisations d’administrateur de domaine ou de serveur, vous devez éventuellement cliquer sur le verrou afin d’être authentifié. Liste de comptes dans des domaines de répertoires de chemins de recherche Les domaines de répertoires de chemins de recherche sont ceux qui, dans la politique de recherche, sont définis pour l’ordinateur Mac OS X Server auquel vous êtes connecté. Le guide d’administration Open Directory vous indique comment établir des politiques de recherche. Pour répertorier des comptes dans des domaines de chemins de recherche pour votre serveur : 1 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, connectez-vous au serveur dont la politique de recherche contient des domaines de répertoires présentant un certain intérêt. 2 Cliquez sur le globe situé sous la barre d’outils et choisissez Chemin de recherche. Pour visualiser les comptes d’utilisateur résidant dans les domaines de chemins de recherche, cliquez sur le bouton d’utilisateur. Cliquez sur le bouton de groupe ou d’ordinateur pour visualiser respectivement les comptes de groupe ou d’ordinateur. Liste de comptes dans des domaines de répertoires disponibles Utilisez le Gestionnaire de groupe de travail pour répertorier les comptes d’utilisateur, de groupe et d’ordinateur résidant dans tout domaine de répertoires accessible depuis le serveur auquel vous êtes connecté. Sélectionnez le domaine dans la liste de tous les domaines de répertoires configurés pour apparaître sur le serveur utilisé. Veillez à ne pas confondre les domaines de répertoires disponibles avec ceux d’une politique de recherche. Une politique de recherche est constituée des domaines de répertoires dans lesquels un serveur effectue des recherches à l’aide d’une routine, lorsqu’il doit par exemple récupérer un compte d’utilisateur. Toutefois, il se peut que ce même serveur soit configuré pour accéder aux domaines de répertoires n’ayant pas été ajoutés à sa politique de recherche. Chapitre 2 Introduction à la gestion des utilisateurs 47 Pour répertorier des comptes dans des domaines de répertoires accessibles à partir d’un serveur : 1 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, connectez-vous au serveur permettant de visualiser les domaines de répertoires présentant de l’intérêt. 2 Cliquez sur le globe situé sous la barre d’outils et choisissez Autre. 3 Sélectionnez le ou les domaine dans la boîte de dialogue à l’écran, puis cliquez sur OK. Pour visualiser les comptes d’utilisateur résidant dans les domaines de répertoires sélectionnés, cliquez sur le bouton d’utilisateur. Cliquez sur le bouton de groupe ou d’ordinateur pour visualiser respectivement les comptes de groupe ou d’ordinateur. 4 Pour travailler avec un compte donné, sélectionnez-le. Pour modifier un compte exigeant des autorisations d’administrateur de domaine ou de serveur, vous devez éventuellement cliquer sur le verrou afin d’être authentifié. Actualisation de listes de comptes Pour actualiser la liste des comptes affichée dans le Gestionnaire de groupe de travail, vous pouvez : • cliquer sur Actualiser ; • saisir les termes de recherche dans le champ au-dessus de la liste pour obtenir une nouvelle liste filtrée ; • supprimer les termes du champ au-dessus de la liste pour afficher la liste originale non filtrée ; • cliquer sur le globe sous la barre d’outils et choisir un autre élément dans la liste, puis sélectionner de nouveau le ou les domaines utilisés. Recherche de comptes spécifiques dans une liste Après avoir affiché une liste de comptes dans le Gestionnaire de groupe de travail, vous pouvez la filtrer afin de localiser des utilisateurs ou des groupes présentant un intérêt particulier. Pour filtrer des éléments dans la liste des comptes : 1 Après avoir répertorier les comptes, cliquez sur l’onglet des utilisateurs, des groupes ou des ordinateurs. 2 Dans le menu local au-dessus de la liste, sélectionnez une option pour décrire ce que vous souhaitez trouver, puis saisissez des termes de recherche dans le champ texte. La liste d’origine est remplacée par des éléments répondant à vos critères de recherche. Si vous entrez un nom d’utilisateur, tant les noms entiers qu’abrégés d’utilisateurs ou de groupes sont recherchés. Classement des listes d’utilisateurs et de groupes Après avoir affiché une liste de comptes dans le Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur un en-tête de colonne pour trier les entrées selon les valeurs de cette colonne. Cliquez de nouveau sur cet en-tête pour inverser l’ordre des entrées de la liste.48 Chapitre 2 Introduction à la gestion des utilisateurs Raccourcis pour la gestion des préférences La modification par lot peut vous faire gagner du temps lors de la configuration des préférences d’un nombre important de comptes. Pour plus de détails sur la modification des préférences de plusieurs comptes, consultez la section “Modification des préférences de plusieurs enregistrements” à la page 132. Raccourcis pour l’utilisation du Gestionnaire Macintosh Si vos ordinateurs clients doivent fonctionner sous Mac OS 9, vous pouvez utiliser le Gestionnaire Macintosh pour en gérer les réglages d’utilisateur, de groupe et d’ordinateurs. Vous trouverez plus de détails et des raccourcis pour l’utilisation du Gestionnaire Macintosh si vous consultez le chapitre 10, “Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9”. Sauvegarde et restauration de fichiers de services de répertoires Effectuez une sauvegarde régulière du serveur de mot de passe et de vos comptes d’utilisateur root et administrateur. Consultez le guide d’administration Open Directory pour plus d’informations sur la sauvegarde des domaines de répertoires. Sauvegarde d’un serveur de mot de passe Procédez fréquemment à la sauvegarde de votre serveur de mot de passe. Profitez-en pour sauvegarder également tout domaine de répertoires utilisant ce serveur. Pour sauvegarder un serveur de mot de passe : m Sauvegardez le dossier /var/db/authserver. Vérifiez que l’ordinateur hébergeant votre serveur de mot de passe, et donc vos fichiers de sauvegarde, est correctement sécurisé. Si vous restaurez le serveur de mot de passe, assurez-vous de restaurer simultanément les domaines de répertoires correspondants. Sauvegarde de comptes d’utilisateur root et administrateur Les fichiers système sont la propriété des identifiants des administrateurs système et des utilisateurs root existant au moment de leur création. Pour réutiliser ces fichiers système, ces mêmes ID doivent se trouver sur le serveur afin de garder les autorisations d’origine. Pour vous assurer de pouvoir recréer ces identifiants d’utilisateur, exportez régulièrement les informations sur les utilisateurs et les groupes du serveur vers un fichier, comme décrit à l’annexe, “Importation et exportation d’informations de compte”.3 49 3 Gestion des utilisateurs pour des clients mobiles Il est important de planifier le mode de gestion des ordinateurs portables ayant accès à votre réseau. Ce chapitre offre des suggestions de gestion d’ordinateurs portables utilisés par une ou plusieurs personnes. Configuration des clients mobiles Si vous avez l’avantage de posséder un nombre d’ordinateurs portables destinés à être distribués à des utilisateurs ou groupes d’utilisateurs donnés, vous pouvez mettre en œuvre un éventail de techniques de gestion afin de personnaliser l’environnement de l’utilisateur et contrôler le niveau d’accès d’un utilisateur aux ressources locales et réseau. Configuration des ordinateurs portables Lors de la préparation des ordinateurs portables à utiliser sur votre réseau, suivez les instructions ci-après. Étape 1 : Installez le système d’exploitation, les applications et les utilitaires. La plupart des ordinateurs sont livrés avec un système d’exploitation installé. Toutefois, si vous devez en installer un nouveau, assurez-vous que les ordinateurs répondent aux configurations requises minimum pour l’installation du système d’exploitation (Mac OS X ou Mac OS 9) et des autres applications et utilitaires souhaités. Étape 2 : Création de comptes locaux sur les ordinateurs Mac OS X. Créez au moins un compte d’administrateur local et autant de comptes d’utilisateur locaux que nécessaire. Veillez à éviter toute confusion entre les nom et mot de passe des comptes locaux et ceux réseau des utilisateurs. Cette étape n’est pas requise avec Mac OS 9. Étape 3 : Configuration des comptes d’ordinateur sur votre serveur Pour les ordinateurs Mac OS X, utilisez le Gestionnaire de groupe de travail afin d’ajouter des ordinateurs à un compte d’ordinateur et activer la gestion des préférences au niveau de l’ordinateur. Vous pouvez aussi définir des réglages de préférences au niveau utilisateur pour le compte réseau de l’utilisateur. 50 Chapitre 3 Gestion des utilisateurs pour des clients mobiles Pour obtenir des performances optimales, assurez-vous, quand vous définissez l’accès au service de répertoire, que tous les ordinateurs portables Mac OS X sont configurés pour y rechercher des informations via DHCP. Vous trouverez plus de détails sur la configuration des services de répertoires dans le guide d’administration Open Directory. Pour plus d’informations sur l’utilisation des comptes d’ordinateur, consultez le chapitre 6,“Configuration des comptes d’ordinateur”. Pour en savoir plus sur l’utilisation des réglages des préférences gérées, consultez le chapitre 9, “Gestion des préférences pour Mac OS X”. Pour les ordinateurs Mac OS 9, utilisez le Gestionnaire Macintosh pour configurer les listes d’ordinateurs et activer les réglages préférés. Pour en savoir plus sur l’utilisation du Gestionnaire Macintosh, consultez le chapitre 10, “Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9”. Utilisation de comptes mobiles Un compte mobile est un compte d’utilisateur Mac OS X Server copié sur un ordinateur local et qui reste synchronisé avec le compte de serveur de sorte que leurs données respectives correspondent. L’utilisateur peut se connecter à l’ordinateur portable en utilisant le nom et le mot de passe d’un compte réseau, même si l’ordinateur n’est pas connecté au réseau. Le répertoire de départ d’un compte mobile réside dans l’ordinateur de l’utilisateur, celui d’un compte de réseau sur le serveur. Quand l’ordinateur est connecté au réseau, l’utilisateur s’authentifie directement auprès du compte réseau sans que le compte mobile ne soit pris en compte, mais en utilisant toujours un répertoire de départ local. Le compte mobile est alors automatiquement mis à jour, ainsi que tous les réglages de préférences gérées associés. Quand l’ordinateur est déconnecté du réseau, les réglages de préférences gérées restent en vigueur. Création d’un compte mobile Après la création d’un compte mobile, celui-ci apparaît dans la liste des comptes dans la préférence système Comptes. Le type de compte est qualifié de Mobile et la plupart des éléments du volet Comptes sont grisés à sa sélection. Vous pouvez utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour créer automatiquement un compte mobile à l’ouverture d’une session. Pour créer un compte mobile à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Sélectionnez un compte d’utilisateur, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur Comptes mobiles, puis définissez les réglages de gestion sur Toujours. 4 Sélectionnez l’option Créer un compte mobile lors de l’ouverture de session.Chapitre 3 Gestion des utilisateurs pour des clients mobiles 51 5 Sélectionnez l’option Exiger une confirmation avant de créer un compte mobile si vous souhaitez laisser à l’utilisateur le choix de créer ou non un compte mobile à sa connexion. Si cette option est sélectionnée, une boîte de dialogue de confirmation s’affiche à l’ouverture de session de l’utilisateur. Ce dernier peut alors cliquer sur Créer pour créer immédiatement le compte mobile ou sur Continuer pour se connecter en tant qu’utilisateur du réseau sans création. 6 Cliquez sur Appliquer. Vous pouvez utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour modifier à votre gré le compte de serveur correspondant. Toutes les modifications apportées au compte mobile prennent effet la prochaine fois que l’utilisateur connecte son ordinateur portable au réseau. Suppression d’un compte mobile Si un compte mobile ne sert plus, vous pouvez le supprimer. Cette action efface le compte mobile et son répertoire de départ local. Vous devez posséder un compte d’administrateur local et un mot de passe pour pouvoir supprimer un compte mobile. Pour supprimer un compte mobile : 1 Ouvrez les Préférences Système de l’ordinateur client. 2 Cliquez sur Comptes, puis sur l’onglet Utilisateurs. 3 Sélectionner le compte que vous souhaitez supprimer. Le compte mobile est reconnaissable par le terme Mobile qui apparaît dans la colonne Type. 4 Cliquez sur Supprimer utilisateur, puis sur OK dans la boîte de dialogue de suppression de l’utilisateur. Utilisation de comptes mobiles côté utilisateur Si l’ordinateur est configuré pour afficher une liste d’utilisateurs lors d’une ouverture de session, le compte mobile est affiché avec les utilisateurs locaux. L’utilisateur sélectionne son compte, puis saisit son mot de passe pour achever l’ouverture de session. Quant aux clients gérés, si l’administrateur de réseau a spécifié la création de comptes mobiles à l’ouverture de session d’un utilisateur, d’un groupe ou d’un ordinateur donné, la liste des comptes de la fenêtre de connexion affiche tous les utilisateurs. Une fois que l’utilisateur a sélectionné son compte et saisi correctement son mot de passe, un compte de réseau local est immédiatement créé en cache, à l’arrière-plan. L’utilisateur peut maintenant se déconnecter du réseau et ouvrir une session avec son compte mobile. Gestion des clients mobiles Une fois les ordinateurs portables configurés, de nombreuses fonctions du Gestionnaire de groupe de travail ou du Gestionnaire Macintosh vous permettent d’appliquer des restrictions ou d’autoriser les utilisateurs à accéder aux services réseau. 52 Chapitre 3 Gestion des utilisateurs pour des clients mobiles Si un utilisateur possède un compte de réseau et que son ordinateur est reconnu par Open Directory, il peut se connecter à l’aide du nom et du mot de passe de son compte de réseau pour pouvoir accéder aux ressources disponibles. Pour des performances optimales, assurez-vous que les ordinateurs Mac OS X sont configurés pour utiliser DHCP (volet Réseau des Préférences Système) et une politique de recherche automatique (volet Authentification de Format de répertoire). Il s’agit de la configuration par défaut des versions 10.2 et ultérieures de Mac OS X. Si vous la modifiez, les utilisateurs peuvent noter une baisse des performances du système d’exploitation pendant la déconnexion du réseau. Pour plus d’informations sur l’utilisation de DHCP et d’une politique de recherche automatique afin d’associer un ordinateur au service Open Directory, consultez le guide d’administration Open Directory. Concernant les utilisateurs sans comptes de réseau, qui disposent d’ordinateurs portables mais requièrent une autorisation pour accéder à vos ressources de réseau, vous pouvez utiliser les fonctions du Gestionnaire de groupe de travail ou du Gestionnaire Macintosh pour appliquer des réglages aux ordinateurs inconnus ou invités. Ordinateurs portables Mac OS X inconnus Pour gérer les utilisateurs d’ordinateurs portables fonctionnant sous Mac OS X, vous pouvez utiliser le compte Ordinateurs invités afin d’appliquer la gestion au niveau de l’ordinateur à des ordinateurs inconnus ou invités en réseau. Si ces utilisateurs se connectent via un compte d’utilisateur de Mac OS X Server, les préférences gérées d’utilisateurs et de groupes ainsi que les réglages de comptes s’appliquent également. Pour plus d’informations sur la configuration du compte Ordinateurs invités pour les utilisateurs de Mac OS X, consultez la section “Gestion des ordinateurs invités” à la page 103. Pour obtenir des informations sur la gestion d’ordinateurs portables inconnus fonctionnant sous Mac OS 9, consultez la section “Octroi d’un accès rapide aux utilisateurs non importés” à la page 198. Ordinateurs portables Mac OS X pour utilisateurs locaux multiples Les iBook d’un laboratoire mobile sans fil constituent un exemple de partage d’ordinateurs. Ce type de laboratoire contient 10 à 15 iBook pour les étudiants (et un supplémentaire pour le professeur), une borne d’accès Airport et une imprimante, le tout sur un chariot mobile. Le chariot permet de distribuer les ordinateurs aux utilisateurs (par exemple d’une salle de cours à l’autre).Chapitre 3 Gestion des utilisateurs pour des clients mobiles 53 Pour gérer les iBook de votre chariot, créez des comptes locaux d’utilisateur, identiques sur chaque ordinateur (par exemple, l’ensemble des comptes peut utiliser Math comme nom d’utilisateur et Étudiant comme mot de passe). Vous pouvez créer des comptes locaux génériques distincts à d’autres fins, par exemple pour dédier l’un d’eux aux cours d’histoire, un autre aux cours de biologie, etc. Chaque compte doit avoir un répertoire de départ local et ne disposer d’aucune autorisation d’administration. Utilisez un compte d’administrateur local séparé sur chaque ordinateur afin de permettre aux administrateurs de serveur (ou autres) de procéder à des tâches de maintenance et à des mises à niveau, d’installer des logiciels et de gérer les comptes d’utilisateur locaux. Une fois les comptes d’utilisateur locaux créés, ajoutez les ordinateurs à une liste et gérez les préférences pour celle-ci. Comme plusieurs utilisateurs peuvent stocker des éléments dans le répertoire de départ local du compte générique, il est recommandé, dans le cadre de tâches routinières d’entretien, de vider régulièrement ce dossier. Vous pouvez également créer des comptes mobiles pour les utilisateurs ou recourir à la gestion des préférences du Gestionnaire de groupe de travail pour créer automatiquement un compte mobile quand un utilisateur ouvre une session. Ordinateurs portables Mac OS X pour utilisateur local principal Deux méthodes vous permettent de configurer les ordinateurs portables d’un utilisateur n’employant pas de compte mobile. • L’utilisateur ne dispose pas d’autorisations d’administrateur mais possède un compte local. Configurez un compte d’administrateur local sur votre ordinateur (ne divulguez aucune information sur ce compte à l’utilisateur), puis un compte local pour l’utilisateur. Les utilisateurs possédant des comptes locaux sans autorisation d’administration ne peuvent pas installer de logiciel : ils peuvent uniquement ajouter ou supprimer des éléments de leurs propres répertoires de départ. Un utilisateur local peut partager des éléments avec d’autres via le dossier Public situé dans son répertoire de départ. Si cet utilisateur dispose d’un compte mobile, celui-ci doit fonctionner comme un compte local mais ne peut pas être géré comme un compte de réseau. Si l’utilisateur possède un compte de réseau, vous pouvez modifier les réglages de préférences gérées de manière à créer un compte mobile durant sa première ouverture de session. • L’utilisateur est l’administrateur de l’ordinateur. Si l’utilisateur est l’administrateur local, il peut, lorsqu’il se connecte, choisir d’être géré ou non. Par exemple, pour accéder aux ordinateurs d’une école, l’utilisateur doit choisir d’être géré lorsqu’il se connecte, mais, s’il travaille chez lui, il peut ne pas être géré puisque les serveurs de l’école risquent de ne pas être accessibles.54 Chapitre 3 Gestion des utilisateurs pour des clients mobiles Si l’utilisateur dispose également d’un compte d’utilisateur Mac OS X Server et si le réseau est accessible, il peut s’avérer préférable qu’il se connecte à l’aide du compte local afin de ne pas encombrer le réseau. Il peut se connecter à son propre répertoire de départ (pour stocker ou extraire des documents, par exemple) à l’aide de la commande Aller au dossier du menu Aller situé dans le Finder. Gestion d’ordinateurs portables Mac OS 9 Vous pouvez configurer et gérer des ordinateurs portables sous Mac OS 9. Pour cela, les utilisateurs doivent disposer de comptes de réseau ou d’utilisateur locaux. Grâce à la fonction Emprunter du Gestionnaire Macintosh, les utilisateurs peuvent ramener chez eux un ordinateur portable et travailler avec sans se connecter à un réseau géré. Pour des détails sur l’utilisation du Gestionnaire Macintosh afin de gérer des ordinateurs portables, consultez la section “Gestion des ordinateurs portables” à la page 236. Utilisation de services sans fil Vous pouvez offrir aux clients gérés des services réseau sans fil à l’aide d’AirPort, par exemple. Lorsqu’un utilisateur d’ordinateur portable quitte la zone sans fil ou change de serveur de répertoires réseau (en passant d’une zone sans fil à une autre), les réglages de gestion des clients peuvent varier. L’utilisateur peut s’apercevoir que certains services réseau, comme les serveurs de fichiers, les imprimantes, les volumes de groupes partagés, etc., ne sont pas disponibles à partir du nouvel emplacement. Il peut alors purger ces ressources en se déconnectant, puis en se reconnectant. Pour plus d’informations sur l’utilisation d’Airport, consultez la documentation s’y rapportant ou visitez le site Web à l’adresse suivante : www.apple.com/airport/4 55 4 Configuration des comptes d’utilisateur Un compte d’utilisateur stocke les informations dont Mac OS X Server a besoin pour valider l’identité de l’utilisateur et lui fournir des services tels que l’accès à des fichiers particuliers sur le serveur ou aux préférences utilisées par divers services. Ce chapitre vous explique comment configurer, modifier et gérer des comptes d’utilisateur. Administration de comptes d’utilisateur Cette section explique comment administrer les comptes d’utilisateur stockés dans différents types de domaines de répertoires. Emplacement de stockage des comptes d’utilisateur Les comptes de groupe, à l’instar des comptes d’utilisateur et d’ordinateur, peuvent être stockés dans tout domaine Open Directory accessible à partir de l’ordinateur Mac OS X qui doit accéder au compte. Un domaine de répertoire peut résider soit sur un ordinateur Mac OS X (le répertoire LDAP d’un maître Open Directory, d’un domaine NetInfo ou de tout autre domaine de répertoire en lecture/écriture par exemple), soit sur un serveur non Apple (un serveur LDAP ou Active Directory par exemple). Vous pouvez utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour travailler avec des comptes dans tous les types de domaines de répertoires, sachant toutefois qu’il permet de ne mettre à jour que le répertoire LDAP d’un maître Open Directory, d’un domaine NetInfo ou de tout autre domaine de répertoire en lecture/écriture. Pour obtenir des informations complètes sur les différents types de domaines Open Directory, reportez-vous au guide d’administration Open Directory.56 Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur Comptes d’utilisateur prédéfinis Le tableau suivant fournit une description des comptes d’utilisateur créés automatiquement lorsque vous installez Mac OS X Server (sauf indication contraire). Nom d’utilisateur prédéfini Nom abrégé Id. Util. Utilisation Utilisateur FTP anonyme ftp 98 Le nom d’utilisateur attribué à quiconque utilise FTP en tant qu’utilisateur anonyme. Cet utilisateur est créé au moment du premier accès au serveur FTP si ce dernier est activé, si l’accès FTP anonyme est activé et si l’utilisateur anonyme ftp n’existe pas encore. Utilisateur du Gestionnaire Macintosh mmuser -17 L’utilisateur créé par le serveur Gestionnaire Macintosh lorsque l’application est lancée pour la première fois sur un serveur particulier. Il ne dispose d’aucun répertoire de départ et son mot de passe est régulièrement modifié. Serveur My SQL MySQL 74 L’utilisateur que le serveur de base de données MySQL utilise pour les processus qui traitent les requêtes. Utilisateur Sendmail smmsp 25 Utilisateur sous lequel sendmail est exécuté. sshd (séparation des privilèges) sshd 75 Utilisateur pour les processus enfants sshd qui traitent les données réseau. Administrateur système racine 0 Utilisateur ayant le plus de pouvoirs. Services système daemon 1 Utilisateur UNIX hérité. Utilisateur inconnu unknown 99 Utilisateur employé lorsque le système ne connaît pas le disque dur.Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur 57 Création de comptes d’utilisateur Mac OS X Server Pour créer un compte d’utilisateur dans un domaine de répertoires particulier, vous devez disposer d’autorisations d’administration sur ce domaine. Pour créer un compte d’utilisateur : 1 Assurez-vous que les services de répertoire du Mac OS X Server que vous utilisez ont été configurés pour accéder au domaine qui vous intéresse. Pour obtenir des instructions, reportez-vous au guide d’administration Open Directory. 2 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur Comptes. 3 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, puis choisissez un élément de la liste pour ouvrir le domaine dans lequel vous voulez que le compte d’utilisateur réside. Local, /NetInfo/root/ et /NetInfo/DefaultLocalNode, par exemple, se réfèrent tous au domaine de répertoire local. /NetInfo/root se réfère à un domaine NetInfo partagé si le serveur est configuré pour accéder à un tel domaine ; sinon, /NetInfo/root constitue le domaine local. 4 Cliquez sur le verrou pour être authentifié comme administrateur de domaine de répertoires. 5 Choisissez Serveur > Nouvel utilisateur ou cliquez sur Nouvel utilisateur dans la barre d’outils. 6 Spécifiez des réglages pour l’utilisateur dans les onglets fournis. Consultez “Travail avec des réglages élémentaires pour utilisateurs” à la page 62 et “Travail avec des réglages d’impression pour utilisateurs” à la page 78 pour plus de détails. Pour créer un utilisateur, vous pouvez également utiliser un préréglage ou un fichier d’importation. Utilisateur sans autorisation nobody -2 À l’origine, cet utilisateur a été créé de manière à ce que les services système n’aient pas à être exécutés en tant qu’administrateur système. À présent toutefois, les utilisateurs spécifiques aux services, le serveur Web notamment, sont souvent utilisés à cette fin. Serveur Web www 70 L’utilisateur sans autorisation qu’Apache utilise pour les processus qui traitent les requêtes. Nom d’utilisateur prédéfini Nom abrégé Id. Util. Utilisation58 Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur Pour en savoir plus, lisez la section “Utilisation de préréglages pour créer des comptes” à la page 60 et l’annexe, “Importation et exportation d’informations de compte”. Création de comptes d’utilisateur LDAPv3 en lecture/écriture Vous pouvez créer un compte d’utilisateur sur un serveur LDAPv3 non Apple s’il a été configuré pour un accès en écriture. Pour créer un compte d’utilisateur LDAPv3 : 1 Assurez-vous que les services de répertoire du Mac OS X Server que vous utilisez ont été configurés pour employer le serveur LDAP pour les comptes d’utilisateur. Consultez le guide d’administration Open Directory pour obtenir des informations sur la manière d’utiliser Format de répertoire pour configurer une connexion LDAP et l’annexe, “Importation et exportation d’informations de compte” pour en savoir plus sur les éléments de compte d’utilisateur susceptibles de devoir être mappés. 2 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur Comptes. 3 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, puis choisissez un élément de la liste pour ouvrir le domaine LDAPv3 dans lequel vous voulez que le compte d’utilisateur réside. 4 Cliquez sur le verrou pour être authentifié. 5 Choisissez Serveur > Nouvel utilisateur ou cliquez sur Nouvel utilisateur dans la barre d’outils. 6 Spécifiez des réglages pour l’utilisateur dans les onglets fournis. Consultez “Travail avec des réglages élémentaires pour utilisateurs” à la page 62 et “Travail avec des réglages d’impression pour utilisateurs” à la page 78 pour plus de détails. Pour créer un utilisateur, vous pouvez également utiliser un préréglage ou un fichier d’importation. Pour plus d’informations, lisez la section “Utilisation de préréglages pour créer des comptes” à la page 60 et l’annexe, “Importation et exportation d’informations de compte”. Modification des informations de compte d’utilisateur Le Gestionnaire de groupe de travail permet de modifier un compte d’utilisateur qui réside dans le répertoire LDAP d’un maître Open Directory, d’un domaine NetInfo ou de tout autre domaine de répertoire. Pour apporter des modifications à un compte d’utilisateur : 1 Assurez-vous que les services de répertoire du Mac OS X Server que vous utilisez ont été configurés pour accéder au domaine de répertoire qui vous intéresse. Pour obtenir des instructions, reportez-vous au guide d’administration Open Directory. 2 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur Comptes. 3 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, puis choisissez un élément de la liste pour ouvrir le domaine dans lequel réside le compte d’utilisateur.Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur 59 4 Cliquez sur le verrou pour être authentifié. 5 Cliquez sur le bouton Utilisateur pour sélectionner l’utilisateur qui vous intéresse. 6 Modifiez les réglages de l’utilisateur dans les onglets fournis. Consultez “Travail avec des réglages élémentaires pour utilisateurs” à la page 62 et “Travail avec des réglages d’impression pour utilisateurs” à la page 78 pour plus de détails. Modification simultanée de plusieurs utilisateurs Vous pouvez utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour apporter simultanément les mêmes modifications à plusieurs comptes d’utilisateur qui résident dans le répertoire LDAP d’un maître Open Directory, d’un domaine NetInfo ou de tout autre domaine de répertoire. Pour modifier plusieurs utilisateurs : 1 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, répertoriez les utilisateurs du domaine de répertoires concerné. Cliquez sur le bouton Comptes, sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, puis ouvrez le domaine de répertoire. Cliquez sur le verrou pour être authentifié, puis sélectionnez des utilisateurs dans la liste. Pour sélectionner chaque utilisateur dont vous souhaitez modifier le compte, cliquez dessus. 2 Cliquez sur l’onglet que vous souhaitez utiliser, puis procédez aux modifications requises des champs que le Gestionnaire de groupe de travail vous autorise à mettre à jour. Création d’un préréglage pour des comptes d’utilisateur Vous pouvez créer un ou plusieurs préréglages à choisir lors de la création de nouveaux comptes d’utilisateur dans un domaine de répertoire particulier. Pour créer un préréglage pour des comptes d’utilisateurs : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail sur le serveur à partir duquel vous créez les comptes d’utilisateur. Assurez-vous que le serveur a été configuré pour accéder au domaine de répertoire Mac OS X ou LDAPv3 non Apple sur lequel le préréglage sera utilisé pour créer de nouveaux comptes. Cliquez sur l’icône de globe si vous devez accéder au domaine concerné. 2 Cliquez sur Comptes. 3 Pour créer un préréglage à l’aide de données stockées dans un compte d’utilisateur existant, ouvrez le compte. Pour créer un préréglage à l’aide d’un compte d’utilisateur vide, créez un compte d’utilisateur. 4 Remplissez les champs avec les valeurs que vous souhaitez voir héritées par les nouveaux comptes d’utilisateur. Supprimez les valeurs que vous ne souhaitez pas inclure dans les préréglages si vous prenez comme point de départ un compte existant.60 Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur Les attributs suivants peuvent être définis dans un préréglage de compte d’utilisateur : réglages de mot de passe, autorisations d’administrateur, réglages de répertoire de départ, quotas, shell par défaut, identifiant de groupe principal, liste des membres du groupe, commentaire, réglages d’ouverture de session, réglages d’impression et réglages de courrier. 5 Cliquez sur le bouton Préférences, configurez les réglages que vous souhaitez inclure dans le préréglage, puis cliquez à nouveau sur le bouton Comptes. Après avoir configuré les préférences d’un préréglage, vous devez retourner aux réglages de Comptes pour enregistrer le préréglage. 6 Choisissez Enregistrer le préréglage dans le menu local Préréglages, tapez un nom pour le préréglage, puis cliquez sur OK. Le préréglage est enregistré dans le domaine de répertoire actuel. Utilisation de préréglages pour créer des comptes Les préréglages constituent un moyen rapide pour appliquer des réglages à un nouveau compte. Après avoir appliqué le préréglage, vous pouvez si nécessaire continuer à modifier les réglages du nouveau compte. Pour créer un compte à l’aide d’un préréglage : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail sur un serveur configuré pour accéder au domaine de répertoire Mac OS X ou LDAPv3 non Apple dans lequel le préréglage sera utilisé pour créer le nouveau compte. 2 Cliquez sur Comptes. 3 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, puis choisissez un élément de la liste pour ouvrir le domaine de répertoire dans lequel vous voulez que le nouveau compte réside. 4 Cliquez sur le verrou pour être authentifié comme administrateur de domaine de répertoires. 5 Dans le menu local Préréglages, choisissez le préréglage que vous souhaitez utiliser. Si vous comptez importer un fichier, choisissez un préréglage dans la zone de dialogue des options d’importation. 6 Créez un compte de manière interactive ou à l’aide d’un fichier d’importation. Si un réglage est spécifié à la fois dans le préréglage et dans le fichier d’importation, la valeur dans le fichier est utilisée. Si un réglage est spécifié dans le préréglage mais pas dans le fichier d’importation, la valeur du préréglage est utilisée. 7 Si nécessaire, ajoutez ou mettez à jour des valeurs d’attribut de manière interactive ou à l’aide d’un fichier d’importation.Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur 61 Renommer des préréglages Nommez vos préréglages pour vous aider à vous souvenir des réglages modèles ou à identifier le type de compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur auquel ce préréglage convient le mieux. Pour renommer un préréglage : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail sur le serveur où le préréglage a été défini. 2 Cliquez sur Comptes. 3 Dans le menu local Préréglages, choisissez Renommer le préréglage, puis entrez le nouveau nom. 4 Cliquez sur OK. Modification de préréglages Lorsque vous modifiez un préréglage, les comptes existants qu’il a contribué à créer ne sont pas mis à jour pour refléter vos modifications. Pour modifier un préréglage : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail sur le serveur où le préréglage a été défini. 2 Cliquez sur Comptes. 3 Dans le menu local Préréglages, choisissez le préréglage que vous souhaitez modifier. 4 Après avoir terminé vos modifications, choisissez Enregistrer le préréglage dans le menu local Préréglages. Vous pouvez également modifier un préréglage tout en l’utilisant pour créer un compte : il vous suffit alors de changer tout champ défini par le préréglage, puis de l’enregistrer. Suppression de préréglages Vous pouvez supprimer les préréglages dont vous n’avez plus besoin. Pour supprimer un préréglage : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail sur le serveur où le préréglage a été défini. 2 Cliquez sur Comptes. 3 Dans le menu local Préréglages, choisissez Supprimer le préréglage. 4 Sélectionnez le préréglage que vous souhaitez supprimer, puis cliquez sur Supprimer.62 Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur Travail avec des comptes d’utilisateur de type “lecture seule” Vous pouvez utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour consulter des informations sur les comptes d’utilisateur stockés dans des domaines de répertoire en lecture seule. Les domaines de répertoires en lecture seule incluent les domaines LDAPv2, les domaines LDAPv3 non configurés pour l’accès en écriture et les fichiers de configuration BSD Pour travailler avec un compte d’utilisateur de type “lecture seule” : 1 Assurez-vous que les services de répertoire de Mac OS X Server que vous utilisez ont été configurés pour accéder au domaine de répertoire dans lequel réside le compte. Consultez le guide d’administration Open Directory pour obtenir des informations sur l’utilisation de Format de répertoire pour configurer des connexions aux serveurs et l’annexe, “Importation et exportation d’informations de compte” pour en savoir plus sur les éléments de compte d’utilisateur susceptibles de devoir être mappés. 2 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur Comptes. 3 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, puis choisissez un élément de la liste pour ouvrir le domaine de répertoire dans lequel réside le compte d’utilisateur. 4 Utilisez les onglets fournis pour passer en revue les réglages du compte de l’utilisateur. Consultez “Travail avec des réglages élémentaires pour utilisateurs” à la page 62 et “Travail avec des réglages d’impression pour utilisateurs” à la page 78 pour plus de détails. Travail avec des réglages élémentaires pour utilisateurs Les réglages élémentaires sont un ensemble d’attributs devant être définis pour tous les utilisateurs. Dans le Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur l’onglet Élémentaire situé dans la fenêtre du compte d’utilisateur pour utiliser les réglages élémentaires. Définition de noms d’utilisateurs Le nom d’utilisateur correspond au nom complet d’un utilisateur, tel que Ellen Brown ou Dr Arnold T. Smith. Il est parfois appelé nom complet ou nom réel. Les utilisateurs peuvent se connecter à l’aide du nom d’utilisateur ou du nom abrégé associés à leur compte. Les noms complets d’utilisateur sont sensibles à la casse dans la fenêtre d’ouverture de session, de sorte que si un utilisateur entre MARY SMITH au lieu de Mary Smith, l’ouverture de session échoue. Peu importe toutefois la casse lorsqu’ils sont utilisés pour authentifier un utilisateur afin de lui accorder l’accès à un serveur de fichiers ou pour ouvrir une session à partir de clients Mac OS 9 du Gestionnaire Macintosh. Un nom complet d’utilisateur ne peut pas contenir plus de 255 octets. Comme les noms complets d’utilisateur gèrent plusieurs jeux de caractères, le nombre maximal de caractères peut varier de 255 caractères romains à 85 caractères (pour les jeux de caractères qui occupent jusqu’à 3 octets).Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur 63 Le Gestionnaire de groupe de travail permet de modifier le nom d’utilisateur d’un compte stocké dans le répertoire LDAP d’un maître Open Directory, d’un domaine NetInfo ou de tout autre domaine de répertoire en lecture/écriture. Vous pouvez également utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour revoir les noms d’utilisateur de tout domaine de répertoire accessible à partir du serveur que vous utilisez. Pour travailler avec le nom d’utilisateur à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail : 1 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, ouvrez le compte à utiliser (si ce n’est déjà fait). Pour ce faire, cliquez sur le bouton Comptes, puis sur l’icône de globe située sous la barre d’outils et ouvrez le domaine de répertoire où se trouve le compte d’utilisateur. Pour modifier le nom, cliquez sur le verrou afin d’être authentifié. Sélectionnez l’utilisateur dans la liste des utilisateurs. 2 Dans le champ Name de l’onglet Basic, révisez ou modifiez le nom de l’utilisateur. La valeur initiale du nom d’utilisateur correspond à “Sans titre ”. Après la modification du nom, le Gestionnaire de groupe de travail ne vérifie pas si celui-ci est unique. Évitez d’attribuer le même nom à plusieurs utilisateurs. Le Gestionnaire de groupe de travail ne vous permet pas d’attribuer le même nom à plusieurs utilisateurs d’un domaine particulier ou de tout domaine qui se trouve dans le chemin de recherche du serveur que vous utilisez, même s’il n’a aucun moyen de détecter la présence éventuelle de doublons dans les autres domaines. Définition de noms abrégés Un nom abrégé correspond à la version abrégée d’un utilisateur, comme par exemple ebrown ou arnoldsmith. Les utilisateurs peuvent se connecter à l’aide du nom abrégé ou du nom d’utilisateur associés à leur compte. Le nom abrégé est utilisé par Mac OS X pour les répertoires de départ et les groupes : • Lorsque Mac OS X crée automatiquement un répertoire de départ (local ou AFP en réseau) pour un utilisateur, il lui donne le nom abrégé de l’utilisateur. Pour plus d’informations sur les répertoires de départ, lisez le chapitre 7, “Configuration des répertoires de départ”. • Lorsque Mac OS X vérifie si un utilisateur appartient à un groupe autorisé à accéder à un fichier particulier, il utilise des noms abrégés pour trouver les Id. Util. des membres du groupe. Consultez “Eviter les doublons de noms abrégés” à la page 66. Vous y trouverez un exemple. Vous pouvez associer jusqu’à 16 noms abrégés à un compte d’utilisateur. Le premier nom abrégé correspond au nom utilisé pour les répertoires de départ et les listes d’appartenance de groupes. 64 Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur Un nom abrégé d’utilisateur peut contenir jusqu’à 255 caractères romains. Toutefois, pour les clients qui utilisent Mac OS X 10.1.5 et versions antérieures, le premier nom abrégé d’utilisateur ne peut contenir plus de 8 caractères. N’utilisez que les caractères ci-après pour le premier nom abrégé d’utilisateur (les noms abrégés suivants peuvent contenir n’importe quel caractère romain) : • de a à z • de a à z • de 0 à 9 • _ (trait de soulignement) • - (tiret) Les noms abrégés contiennent généralement huit caractères au maximum. Le Gestionnaire de groupe de travail permet de modifier le nom abrégé d’un compte stocké dans le répertoire LDAP d’un maître Open Directory, d’un domaine NetInfo ou de tout autre domaine de répertoire en lecture/écriture. Vous pouvez également utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour revoir les noms abrégés de tout domaine de répertoire accessible à partir du serveur que vous utilisez. Pour travailler avec un nom abrégé d’utilisateur à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail : 1 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, ouvrez le compte à utiliser (si ce n’est déjà fait). Pour ouvrir un compte, cliquez sur le bouton Comptes, cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, puis ouvrez le domaine de répertoire où se trouve le compte d’utilisateur. Pour modifier le nom abrégé, cliquez sur le verrou pour être authentifié. Sélectionnez l’utilisateur dans la liste des utilisateurs. 2 Dans le champ Noms abrégés de l’onglet Élémentaire, réexaminez ou modifiez les noms abrégés. La valeur initiale du nom abrégé correspond à “Sans titre”. Si vous spécifiez plusieurs noms abrégés, ils doivent être sur des lignes différentes. Évitez d’attribuer le même nom abrégé à plusieurs utilisateurs. Bien que le Gestionnaire de groupe de travail ne vous permette pas d’attribuer le même nom abrégé à plusieurs utilisateurs d’un domaine particulier ou de tout domaine qui se trouve dans le chemin de recherche du serveur que vous utilisez, il n’a aucun moyen de détecter la présence éventuelle de doublons dans les autres domaines. Une fois le compte d’utilisateur enregistré, vous ne pouvez plus modifier le premier nom abrégé, mais vous pouvez en revanche modifier les autres dans une liste de noms abrégés. Choix de noms abrégés permanents Lorsque vous créez des groupes, Mac OS X identifie les utilisateurs qui en font partie par leur premier nom abrégé, qui ne peut être modifié. Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur 65 Si vous devez absolument modifier un nom abrégé, vous pouvez créer pour l’utilisateur un compte (dans le même domaine de répertoires) contenant le nouveau nom abrégé mais conservant toutes les autres informations (Id. Util., groupe principal, répertoire de départ, etc.). Vous pouvez ensuite désactiver l’ouverture de session pour l’ancien compte d’utilisateur. Désormais, l’utilisateur peut se connecter à l’aide du nom modifié, tout en continuant à disposer du même accès aux fichiers et autres ressources de réseaux qu’auparavant. (Pour plus d’informations sur la désactivation d’un compte de connexion, consultez la section “Désactivation d’un compte d’utilisateur” à la page 82.) Eviter les doublons de noms Si des comptes d’utilisateur différents ont les mêmes noms (noms d’utilisateur ou noms abrégé) et mots de passe, les ordinateurs Mac OS X risquent de pas authentifier l’utilisateur que vous souhaitez les voir authentifier. Ou l’enregistrement d’utilisateur qui doit être utilisé pour l’authentification risque d’être masqué. Prenons l’exemple de trois domaines de répertoires partagés. Tony Smith a un compte dans le domaine Etudiants et Tom Smith un compte dans le domaine racine. Aux deux comptes sont associés le nom abrégé “tsmith” et le mot de passe “smitty”. Lorsque Tony se connecte à son ordinateur avec le nom d’utilisateur “tsmith” et le mot de passe “smitty”, il est authentifié à l’aide de la fiche située dans le domaine Étudiants. De son côté, Tom peut utiliser les mêmes entrées de connexion sur son ordinateur et peut être authentifié à l’aide de son enregistrement, dans le domaine racine. Si Tony et Tom se sont chacun connectés sur l’ordinateur de l’autre en recourant aux noms tsmith et smitty, ils ont tous deux été authentifiés, mais n’ont pas obtenu les résultats escomptés. Tony pourraient accéder aux fichiers de Tom et vice versa. / Étudiants Faculté Ordinateur de Tony Tony Smith (tsmith,smitty) Tom Smith (tsmith,smitty) Ordinateur de Tom66 Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur À présent, admettons que Tony et Tom ont le même nom abrégé mais des mots de passe différents. Si Tom tente de se connecter à l’ordinateur de Tony à l’aide du nom abrégé tsmith et de son mot de passe (smitty), son enregistrement d’utilisateur sera masqué par celui de Tony dans le domaine Étudiants. Mac OS X retrouve tsmith dans Étudiants, mais le mot de passe ne correspond pas à celui utilisé par Tom pour ouvrir sa session. L’accès de Tom à l’ordinateur de Tony est refusé et son enregistrement est introuvable dans le domaine racine. Si Tony dispose, dans son domaine de répertoires local, d’une fiche d’utilisateur dotée des mêmes nom et mot de passe que sa fiche située dans le domaine Étudiants, cette dernière fiche est masquée pour Tony. Le domaine local de Tony devrait offrir une combinaison nom/mot de passe le distinguant de l’enregistrement du domaine Etudiants. Si le domaine Étudiants n’est pas accessible (lorsque Tony travaille chez lui, par exemple), il peut se connecter à l’aide du nom local et continuer sur son ordinateur. Tony peut continuer à accéder aux fichiers locaux créés lorsqu’il s’est connecté via le domaine Étudiants si l’identifiant d’utilisateur des deux fiches est identique. Les doublons de noms abrégés ont également des effets indésirables dans les enregistrements de groupe, décrits dans la section suivante. Eviter les doublons de noms abrégés Les noms abrégés étant utilisés pour trouver les identifiants d’utilisateur des membres de groupe, si des noms abrégés sont dupliqués, l’accès aux fichiers peut être accordé à des utilisateurs auxquels vous ne souhaitiez pas autoriser l’accès. / Tony Smith (tsmith, tony) Étudiants Faculté Tom Smith (tsmith, smitty) Ordinateur de Tony Ordinateur de TomChapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur 67 Reportez-vous à l’exemple de Tony et Tom Smith, qui sont tous deux dotés du même nom abrégé. Supposons que l’administrateur ait créé un groupe dans le domaine racine auquel tous les étudiants appartiennent. Le groupe - Touslesétudiants - a un identifiant de groupe de 2017. Maintenant, supposons qu’un fichier, MonDoc, soit situé sur un ordinateur accessible à Tony et Tom. Le fichier a pour propriétaire un utilisateur dont l’identifiant d’utilisateur est 127. Il dispose d’autorisations d’accès en lecture seule pour Touslesétudiants. Tony, et non Tom, a été ajouté comme membre de Touslesétudiants, mais comme la liste des membres d’un groupe est constituée de noms abrégés plutôt que d’identifiants d’utilisateur et que le nom abrégé tsmith est répertorié comme membre de Touslesétudiants, Tony et Tom seront tous deux membres effectifs de Touslesétudiants. Si Tom tente d’accéder à MonDoc, Mac OS X détermine que les autorisations de possesseur ne s’appliquent pas à Tom et poursuit pour vérifier si les autorisations de groupe peuvent être appliquées à Tom. Mac OS X recherche dans la hiérarchie d’ouverture de session les enregistrements d’utilisateur dont les noms abrégés correspondent à ceux associés à Touslesétudiants. L’enregistrement d’utilisateur de Tom est trouvé (nom abrégé tsmith), car il est situé dans la hiérarchie, et l’identifiant d’utilisateur de l’enregistrement d’utilisateur est comparé à celui d’ouverture de session de Tom. Etant donné qu’ils se correspondent, Tom est autorisé à lire MonDoc, même s’il n’est pas membre de Touslesétudiants. MonDoc Tom Smith (tsmith, smitty, UID 2000) Touslesétudiants (tsmith, GID 2017) / Étudiants Faculté Tony Smith (tsmith, smitty, UID 3000) Le possesseur 127 dispose des autorisations en lecture et écriture Le groupe 2017 dispose des autorisations en lecture seule Les autres utilisateurs ne disposent d’aucune autorisation Ordinateur de Tony Ordinateur de Tom68 Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur Définition d’identifiants d’utilisateur Un identifiant d’utilisateur (UID) est un numéro qui permet d’identifier un utilisateur de manière unique. Les ordinateurs Mac OS X utilisent les identifiants d’utilisateurs pour contrôler l’appartenance de répertoires et de fichiers à un utilisateur. Lorsqu’un utilisateur crée un répertoire ou un fichier, l’identifiant d’utilisateur est stocké en tant qu’identifiant du créateur. Un utilisateur doté de cet identifiant dispose d’autorisations en lecture et écriture pour le répertoire ou le fichier par défaut. L’identifiant doit consister en une chaîne unique de chiffres compris entre 500 et 2 147 483 648. L’affectation du même identifiant à différents utilisateurs est risquée car deux utilisateurs dotés du même identifiant disposent des mêmes autorisations d’accès aux répertoires et aux fichiers. L’identifiant d’utilisateur 0 est réservé à l’utilisateur racine. Les identifiants inférieurs à 100 sont réservés au système ; les utilisateurs portant ces identifiants ne peuvent être ni supprimés ni modifiés, sauf pour changer le mot de passe de l’utilisateur racine (root). Le Gestionnaire de groupe de travail permet de modifier l’identifiant d’un compte stocké dans le répertoire LDAP d’un maître Open Directory ou d’un domaine NetInfo. Vous pouvez également utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour revoir les identifiants de tout domaine de répertoire accessible à partir du serveur que vous utilisez. Généralement, les identifiants d’utilisateur ne peuvent plus être modifiés une fois qu’ils ont été attribués et que les utilisateurs ont commencé à créer des fichiers et des répertoires sur un réseau. L’un des cas où vous pouvez avoir besoin de modifier un Id. Util. est lorsque vous fusionnez des utilisateurs créés sur des serveurs différents dans un seul et unique serveur ou groupe de serveurs. Un même ID Util. peut avoir être associé à un autre utilisateur sur le précédent serveur. Pour travailler avec l’identifiant d’utilisateur à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail : 1 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, ouvrez le compte à utiliser (si ce n’est déjà fait). Pour ouvrir un compte, cliquez sur le bouton Comptes, cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, puis ouvrez le domaine de répertoire où se trouve le compte d’utilisateur. 2 Pour modifier l’identifiant d’utilisateur, cliquez sur le verrou pour être authentifié. Sélectionnez l’utilisateur dans la liste des utilisateurs.Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur 69 Si vous spécifiez une valeur dans le champ Id. d’utilisateur de l’onglet Basic, veillez à ce qu’il soit unique dans la politique de recherche des ordinateurs auxquels l’utilisateur se connectera. Lors de la création de comptes d’utilisateur dans tout domaine de répertoires partagé, les identifiants d’utilisateurs sont automatiquement affectés. La valeur attribuée correspond à un identifiant inutilisé (1 025 ou plus) du chemin de recherche du serveur. (Les identifiants attribués aux utilisateurs créés à l’aide des volets des préférences de comptes sur les ordinateurs Mac OS X Desktop commencent à 501.) Définition de mots de passe Pour plus d’informations sur l’utilisation d’un serveur de mots de passe, consultez le guide d’administration Open Directory. Attribution de droits d’administrateur pour un serveur Un utilisateur disposant d’autorisations d’administration de serveur peut contrôler la plupart des réglages de configuration du serveur et utiliser des applications, telles qu’Admin Serveur, qui requièrent que l’utilisateur soit membre du groupe d’administration du serveur. Le Gestionnaire de groupe de travail permet d’attribuer des autorisations d’administrateur de serveur au répertoire LDAP d’un maître Open Directory ou d’un domaine NetInfo. Vous pouvez également utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour revoir les autorisations d’administrateur de serveur de tout domaine de répertoire accessible à partir du serveur que vous utilisez. Pour utiliser avec des autorisations d’administration de serveurs dans le Gestionnaire de groupe de travail : 1 Connectez-vous au Gestionnaire de groupe de travail en spécifiant le nom ou l’adresse IP du serveur pour lequel vous souhaitez attribuer des autorisations d’administration : 2 Cliquez sur Comptes. 3 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, puis choisissez un élément de la liste pour ouvrir le domaine de répertoire dans lequel réside le compte d’utilisateur. 4 Pour modifier les autorisations, cliquez sur le verrou pour être authentifié. 5 Pour accorder des autorisations d’administration de serveurs, sélectionnez l’option L’utilisateur peut administrer le serveur dans l’onglet Élémentaire. Attributions de droits d’administrateur pour un domaine de répertoires Un utilisateur disposant d’autorisations d’administration pour un domaine de répertoires Apple est en mesure, à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail, d’apporter des modifications à des comptes d’utilisateur, de groupe et d’ordinateur stockés dans ce domaine. Les modifications que peut apporter l’utilisateur sont limitées à celles que vous spécifiez.70 Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur Le Gestionnaire de groupe de travail permet d’attribuer des autorisations d’administration de domaine de répertoire à un compte stocké dans le répertoire LDAP d’un maître Open Directory ou d’un domaine NetInfo. Vous pouvez également utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour revoir ces autorisations dans tout domaine de répertoire accessible à partir du serveur que vous utilisez. Pour utiliser des autorisations d’administration de domaine de répertoires dans le Gestionnaire de groupe de travail : 1 Assurez-vous que l’utilisateur possède un compte dans le répertoire de domaine. 2 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur Comptes. 3 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, puis choisissez un élément de la liste pour ouvrir le domaine de répertoire dans lequel réside le compte d’utilisateur. 4 Pour modifier les autorisations, cliquez sur le verrou pour être authentifié. 5 Dans l’onglet Basic, sélectionnez l’option L’utilisateur peut administrer ce domaine de répertoires pour accorder des autorisations. 6 Cliquez sur Autorisations pour spécifier ce que l’utilisateur pourra administrer dans le domaine. Par défaut, l’utilisateur ne dispose pas d’autorisations de domaine de répertoires. 7 Pour travailler avec des autorisations afin de modifier des comptes d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur, cliquez respectivement sur les onglets Utilisateurs, Groupes ou Ordinateurs. 8 Pour permettre à l’utilisateur de modifier les réglages de préférences et/ou de compte, cochez la ou les option(s) correspondante(s). Si une option n’est pas cochée, l’utilisateur peut revoir les informations de préférence ou de compte dans le Gestionnaire de groupe de travail, mais ne peut pas les changer. 9 Pour permettre à l’utilisateur de modifier les informations relatives à l’ensemble des utilisateurs, groupes ou ordinateurs du domaine de répertoires, sélectionnez Pour tous... Pour limiter les éléments pouvant être modifiés par un utilisateur dans la liste située à droite, sélectionnez Pour... ci-dessous. Pour ajouter un élément à la liste, faites-le glisser dans la liste Disponible. Pour supprimer un élément de la liste, appuyez sur la touche de suppression du clavier. 10 Pour permettre à l’utilisateur d’ajouter et de supprimer des comptes d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur, cochez la case Modifier... comptes..., puis sélectionnez Pour tous... Si un domaine de répertoire est associé à un serveur de mots de passe, vous pouvez transformer l’administrateur de domaine en administrateur de serveur de mots de passe. Pour obtenir des instructions, reportez-vous au guide d’administration Open Directory.Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur 71 Travail avec des réglages avancés pour utilisateurs Les réglages avancés incluent les réglages de connexion, la politique de validation de mot de passe et un commentaire. Dans le Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur l’onglet Avancés situé dans la fenêtre du compte d’utilisateur pour utiliser des réglages avancés. Définition de réglages de connexion En spécifiant des réglages de connexion pour l’utilisateur, vous pouvez : • Contrôler si l’utilisateur peut être authentifié à l’aide du compte. • Autoriser ou empêcher un utilisateur géré de se connecter simultanément à plusieurs ordinateurs gérés. • Indiquer si l’utilisateur d’un ordinateur géré peut ou doit sélectionner un groupe de travail lorsqu’il se connecte ou indiquer si vous souhaitez éviter d’afficher les groupes de travail lorsque l’utilisateur se connecte. • Identifier le shell par défaut employé par l’utilisateur pour les interactions de ligne de commande avec Mac OS X, telles que /bin/csh ou /bin/tcsh. Ce shell est utilisé par l’application Terminal de l’ordinateur sur lequel l’utilisateur s’est connecté, mais la préférence de Terminal vous permet de l’écraser. Le shell par défaut est utilisé par SSH (Secure Shell) ou Telnet lorsque l’utilisateur se connecte à un ordinateur Mac OS X distant. Le Gestionnaire de groupe de travail permet de définir les réglages de connexion d’un compte stocké dans le répertoire LDAP d’un maître Open Directory, d’un domaine NetInfo ou de tout autre domaine de répertoire en lecture/écriture. Vous pouvez également utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour revoir les réglages de connexion de tout domaine de répertoire accessible à partir du serveur que vous utilisez. Pour utiliser des réglages de connexion à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail : 1 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, ouvrez le compte à utiliser (si ce n’est déjà fait). Pour ouvrir un compte, cliquez sur le bouton Comptes, cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, puis ouvrez le domaine de répertoire où se trouve le compte d’utilisateur. Pour modifier des réglages, cliquez sur le verrou pour être authentifié. Sélectionnez l’utilisateur dans la liste des utilisateurs. 2 Cliquez sur l’onglet Avancés. 3 Sélectionnez Autoriser les ouvertures de session simultanées pour permettre à un utilisateur de se connecter à plusieurs ordinateurs gérés à la fois. (Vous ne pouvez pas désactiver la connexion simultanée pour les utilisateurs disposant de répertoires de départ NFS.)72 Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur 4 Pour spécifier le shell par défaut de l’utilisateur lors de sa connexion sur un ordinateur Mac OS X computer, choisissez un shell dans le menu local Shell d’accès. Cliquez sur Personnalisé pour introduire un shell ne figurant pas dans la liste. Pour s’assurer qu’un utilisateur ne peut pas accéder au serveur à distance via une ligne de commande, utilisez l’option Aucun. Définition d’une stratégie de validation de mot de passe Pour plus d’informations sur la configuration et la gestion des mots de passe, consultez le guide d’administration Open Directory. Création d’une liste maîtresse de mots-clés Vous pouvez définir des mots-clés qui permettent le tri et la recherche rapides d’utilisateurs. L’utilisation de mots-clés peut simplifier des tâches telles que créer des groupes ou modifier plusieurs utilisateurs. Avant de commencer à ajouter des mots-clés aux enregistrements d’utilisateur, vous devez créer une liste maîtresse de mots-clés. La liste de mots-clés affichées dans le panneau Avancé d’un utilisateur sélectionné ne s’applique qu’à cet utilisateur. Pour modifier la liste maîtresse de mots-clés : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Sélectionnez le compte d’utilisateur souhaité, puis cliquez sur Avancé. 3 Cliquez sur Définir pour afficher la liste maîtresse de mots-clés. La liste maîtresse présente tous les termes utilisables comme mots-clés. Vous pouvez y accéder et la modifier à partir de n’importe quel compte d’utilisateur sélectionné. 4 Pour ajouter un mot-clé à la liste, tapez les termes dans le champ de texte, puis cliquez sur [+]. 5 Pour supprimer un mot-clé de la liste et de tous les enregistrements d’utilisateur où il apparaît, sélectionnez-le, choisissez Supprimer les mots-clés effacés des utilisateurs, puis cliquez sur [-]. Pour supprimer un mot-clé de la liste uniquement, assurez-vous que l’option Supprimer les mots-clés effacés des utilisateurs n’est pas activée, sélectionnez le mot-clé à supprimer, puis cliquez sur [-]. 6 Une fois que vous avez terminé de modifier la liste maîtresse, cliquez sur OK. Application de mots-clés aux comptes d’utilisateur Il est impossible d’ajouter des mots-clés à plusieurs utilisateurs à la fois, mais vous pouvez toutefois, si nécessaire, supprimer un mot-clé de tous les utilisateurs marqués par ce mot-clé. Pour manipuler les mots-clés d’un compte d’utilisateur individuel : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Sélectionnez le compte d’utilisateur souhaité, puis cliquez sur Avancé.Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur 73 3 Pour ajouter un mot-clé au compte sélectionné, cliquez sur [+] pour afficher la liste des mots-clés disponibles. Sélectionnez un ou plusieurs termes dans la liste, puis cliquez sur OK. 4 Pour supprimer un mot-clé d’un utilisateur spécifique, sélectionnez le terme à supprimer, puis cliquez sur [–]. 5 Une fois que vous avez terminé d’ajouter ou de supprimer des mots-clés pour l’utilisateur sélectionné, cliquez sur Enregistrer. Modification de commentaires Vous pouvez sauvegarder un commentaire dans le compte d’un utilisateur afin de fournir des informations susceptibles d’aider à l’administration de cet utilisateur. Les commentaires peuvent comporter jusqu’à 32 676 caractères. Le Gestionnaire de groupe de travail permet de définir le commentaire d’un compte stocké dans le répertoire LDAP d’un maître Open Directory, d’un domaine NetInfo ou de tout autre domaine de répertoire en lecture/écriture. Vous pouvez également utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour revoir les commentaires dans tout domaine de répertoire accessible à partir du serveur que vous utilisez. Pour utiliser des commentaires à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail : 1 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, ouvrez le compte à utiliser (si ce n’est déjà fait). Pour ouvrir un compte, cliquez sur le bouton Comptes, cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, puis ouvrez le domaine de répertoire où se trouve le compte d’utilisateur. Pour modifier un commentaire, cliquez sur le verrou pour être authentifié. Sélectionnez l’utilisateur dans la liste des utilisateurs. 2 Cliquez sur l’onglet Avancés. 3 Modifiez ou passer en revue le contenu du champ Commentaire. Travail avec les réglages de groupe pour utilisateurs Les réglages de groupe identifient les groupes dont un utilisateur est membre. Dans le Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur l’onglet Groupes situé dans la fenêtre du compte d’utilisateur pour utiliser les réglages de groupe. Pour obtenir des informations sur l’administration de groupes, consultez le chapitre 5, “Configuration des comptes de groupe”. Définition du groupe principal d’un utilisateur Un utilisateur appartient par défaut à un groupe principal. 74 Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur L’identifiant du groupe principal est utilisé par le système de fichiers lorsque l’utilisateur accède à un fichier dont il n’est pas le possesseur. Le système de fichiers vérifie les autorisations de groupe du fichier, et si l’ID du groupe principal de l’utilisateur correspond à l’ID du groupe associé au fichier, l’utilisateur hérite des autorisations d’accès du groupe. Le groupe principal constitue la manière la plus rapide de déterminer si un utilisateur dispose d’autorisations de groupe pour un fichier. L’identifiant du groupe principal doit être une chaîne de chiffres unique. Sa valeur par défaut est 20 (identifiant du groupe staff), mais vous pouvez la modifier. Sa valeur maximale est 2.147.483.648. Le Gestionnaire de groupe de travail permet de définir l’identifiant de groupe principal d’un compte stocké dans le répertoire LDAP d’un maître Open Directory, d’un domaine NetInfo ou de tout autre domaine de répertoire en lecture/écriture. Vous pouvez également utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour revoir les informations de groupe principal dans tout domaine de répertoire accessible à partir du serveur que vous utilisez. Pour travailler avec un identifiant de groupe principal à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail : 1 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, ouvrez le compte à utiliser (si ce n’est déjà fait). Pour ouvrir un compte, cliquez sur le bouton Comptes, cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, puis ouvrez le domaine de répertoire où se trouve le compte d’utilisateur. Pour modifier le groupe principal, cliquez sur le verrou pour être authentifié. Sélectionnez l’utilisateur dans la liste des utilisateurs. 2 Cliquez sur l’onglet Groupes. 3 Modifiez ou passez en revue le contenu du champ Id. du groupe principal. Le Gestionnaire de groupe de travail affiche les noms complet et abrégé du groupe après la saisie d’un identifiant de groupe principal si le groupe existe et s’il est accessible dans le chemin de recherche du serveur auquel vous êtes connecté. Ajout d’un utilisateur à des groupes Ajoutez des utilisateurs à des groupes si vous souhaitez que plusieurs utilisateurs bénéficient des mêmes autorisations d’accès aux fichiers ou pour gérer leurs préférences Mac OS X au moyen de groupes de travail ou de listes d’ordinateurs. Le Gestionnaire de groupe de travail permet d’ajouter un utilisateur à un groupe si les comptes de l’utilisateur et du groupe se trouvent dans le répertoire LDAP d’un maître Open Directory ou d’un domaine NetInfo. Pour ajouter un utilisateur à un groupe à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail : 1 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, ouvrez le compte à utiliser (si ce n’est déjà fait).Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur 75 Pour ouvrir le compte, cliquez sur le bouton Comptes, cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, puis ouvrez le domaine de répertoire où réside le compte. Cliquez sur le verrou pour être authentifié. Sélectionnez l’utilisateur dans la liste des utilisateurs. 2 Cliquez sur l’onglet Groupes. 3 Cliquez sur Ajouter pour ouvrir un tiroir répertoriant les groupes définis dans le domaine de répertoire avec lequel vous travaillez.(Pour insérer des groupes système dans la liste, choisissez Préférences dans le menu Gestionnaire de groupe de travail, puis sélectionnez Afficher utilisateurs et groupes système.) 4 Sélectionnez le groupe, puis glissez-le dans la liste Autres groupes de l’onglet Groupes. Vous pouvez également ajouter des utilisateurs à un groupe via le panneau Membres des comptes de groupe. Suppression d’un utilisateur dans un groupe Le Gestionnaire de groupe de travail permet de supprimer un utilisateur d’un groupe si les comptes de l’utilisateur et du groupe se trouvent dans le répertoire LDAP d’un maître Open Directory ou d’un domaine NetInfo. Pour supprimer un utilisateur dans un groupe à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail : 1 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, ouvrez le compte d’utilisateur souhaité (si ce n’est déjà fait). Pour ouvrir un compte, cliquez sur le bouton Comptes, cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, puis ouvrez le domaine de répertoire où réside le compte. Cliquez sur le verrou pour être authentifié. Sélectionnez l’utilisateur dans la liste des utilisateurs. 2 Cliquez sur l’onglet Groupes. 3 Sélectionnez le(s) groupe(s) dans duquel (desquels) vous souhaitez supprimer l’utilisateur, puis cliquez sur Supprimer. Vous pouvez également ajouter des utilisateurs à un groupe via le panneau Membres des comptes de groupe. Passage en revue de l’adhésion à des groupes d’un utilisateur Vous pouvez employer le Gestionnaire de groupe de travail pour revoir les groupes auxquels un utilisateur appartient, si le compte de ce dernier réside dans un domaine de répertoire accessible à partir du serveur que vous utilisez. Pour revoir les appartenances de groupes à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail : 1 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, ouvrez le compte d’utilisateur souhaité (si ce n’est déjà fait).76 Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur Pour ouvrir un compte, cliquez sur le bouton Comptes, cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, puis ouvrez le domaine de répertoire où réside le compte. Sélectionnez l’utilisateur dans la liste des utilisateurs. 2 Cliquez sur l’onglet Groupes. Le groupe principal auquel l’utilisateur appartient s’affiche et les autres groupes d’appartenance sont répertoriés dans la liste Autres groupes. Utilisation des réglages de répertoires de départ des utilisateurs Les réglages de répertoires de départ décrivent les attributs de répertoires de départ d’un utilisateur. Pour obtenir des informations sur l’utilisation et la configuration de répertoires de départ, lisez le chapitre 7, “Configuration des répertoires de départ”. Utilisation des réglages de courrier des utilisateurs Vous pouvez créer un compte de messagerie Mac OS X Server pour un utilisateur en spécifiant des réglages de courrier dans le compte de cet utilisateur. Pour utiliser le compte, l’utilisateur doit configurer un client de courrier pour l’identification du nom d’utilisateur, du mot de passe, du service et du protocole de courrier que vous avez spécifiés dans les réglages du courrier. Dans le Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur l’onglet Courrier situé dans la fenêtre du compte d’utilisateur pour utiliser les réglages de son service de courrier. Pour obtenir des informations sur la configuration et la gestion du service de courrier Mac OS X Server, lisez le guide d’administration du service de courrier. Désactivation du service de courrier d’un utilisateur Le Gestionnaire de groupe de travail permet de désactiver le service de courrier pour un utilisateur dont le compte est stocké dans le répertoire LDAP d’un maître Open Directory, d’un domaine NetInfo ou de tout autre domaine de répertoire en lecture/ écriture. Pour désactiver le service de courrier d’un utilisateur à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail : 1 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, ouvrez le compte d’utilisateur souhaité (si ce n’est déjà fait). Pour ouvrir le compte, cliquez sur le bouton Comptes, cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, puis ouvrez le domaine de répertoire où réside le compte. Cliquez sur le verrou pour être authentifié. Sélectionnez l’utilisateur dans la liste des utilisateurs. 2 Cliquez sur l’onglet Courrier. 3 Sélectionnez Aucun.Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur 77 Activation des options de compte de service de courrier Le Gestionnaire de groupe de travail permet d’activer le service de courrier et de définir des options de courrier pour un utilisateur dont le compte est stocké dans le répertoire LDAP d’un maître Open Directory, d’un domaine NetInfo ou de tout autre domaine de répertoire en lecture/écriture. Vous pouvez également utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour revoir les réglages de courrier des comptes stockés dans tout domaine de répertoire accessible à partir du serveur que vous utilisez. Pour utiliser des options de compte de service de courrier d’un utilisateur à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail : 1 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, ouvrez le compte d’utilisateur souhaité (si ce n’est déjà fait). Pour ouvrir le compte, cliquez sur le bouton Comptes, cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, puis ouvrez le domaine de répertoire où réside le compte. Cliquez sur le verrou pour être authentifié. Sélectionnez l’utilisateur dans la liste des utilisateurs. 2 Cliquez sur l’onglet Courrier. 3 Sélectionnez Activé pour permettre à l’utilisateur d’utiliser le service de courrier. 4 Saisissez un nom ou une adresse de serveur de courrier valide dans les champs Serveur de courrier pour le nom DNS ou l’adresse IP du serveur vers lequel les messages de l’utilisateur seront dirigés. Le Gestionnaire de groupe de travail ne vérifie pas ces informations. 5 Saisissez une valeur dans le champ Quota de courrier pour spécifier le nombre maximal de méga-octets autorisés pour la boite à lettres de l’utilisateur. La valeur 0 ou un champ vide signifient qu’aucun quota n’est appliqué. Lorsque l’espace réservé aux messages de l’utilisateur approche ou dépasse le quota de courrier spécifié, le service de courrier affiche une invite afin que l’utilisateur supprime des messages pour libérer de l’espace. Le message affiche les informations de quota en kilo-octets (Ko) ou en méga-octets (Mo). 6 Sélectionnez un réglage d’Accès au courrier pour identifier le protocole utilisé pour le compte de courrier de l’utilisateur. Post Office Protocol (POP) et/ou Internet Message Access Protocol (IMAP). 7 Les fonctions suivantes ne sont gérées que pour les comptes de courrier résidant sur un serveur qui utilise un logiciel Mac OS X Server antérieur à la version 10.3. Sélectionnez un réglage Options pour déterminer les caractéristiques de boîte de courrier entrant pour les comptes accédant au courrier via POP et IMAP. Utiliser des boîtes POP et IMAP séparées crée des boîtes de réception distinctes pour le courrier POP et pour le courrier IMAP. L’option Afficher la boîte POP dans la liste de dossiers IMAP permet d’afficher un dossier IMAP appelé “boîte POP”.78 Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur Sélectionnez Activer NotifyMail pour notifier automatiquement à l’application de courrier de l’utilisateur la réception de nouveaux messages. L’adresse IP à laquelle est envoyée la notification peut être soit la dernière adresse IP de connexion de l’utilisateur, soit une adresse que vous spécifiez. Faire suivre le courrier d’un utilisateur Le Gestionnaire de groupe de travail permet de configurer le transfert du courrier pour un utilisateur dont le compte est stocké dans le répertoire LDAP d’un maître Open Directory ou d’un domaine NetInfo. Pour faire suivre les messages d’un utilisateur à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail : 1 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, ouvrez le compte d’utilisateur souhaité (si ce n’est déjà fait). Pour ce faire, cliquez sur le bouton Comptes, puis sur l’icône de globe située sous la barre d’outil et ouvrez le domaine de répertoire où réside le compte. Cliquez sur le verrou pour être authentifié. Sélectionnez l’utilisateur dans la liste des utilisateurs. 2 Cliquez sur l’onglet Courrier. 3 Sélectionnez Faire suivre et saisissez l’adresse électronique de réacheminement dans le champ Faire suivre à. Veillez à saisir l’adresse correcte. Le Gestionnaire de groupe de travail ne vérifie pas l’existence de l’adresse. Travail avec des réglages d’impression pour utilisateurs Les réglages d’impression associés au compte d’un utilisateur définissent la possibilité pour cet utilisateur d’imprimer sur des files d’attente accessibles d’un Mac OS X Server, alors que le service d’impression impose des quotas d’impression. Le guide d’administration du service d’impression vous explique comment configurer des files d’attente d’impression appliquant des quotas. Dans le Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur l’onglet Imprimer situé dans la fenêtre du compte d’utilisateur pour utiliser les quotas d’impression d’un utilisateur. • Pour désactiver l’accès d’un utilisateur aux files d’attente imposant des quotas d’impression, sélectionnez Aucun (option par défaut). • Pour permettre à un utilisateur de lancer des impressions vers toutes les files d’attente accessibles imposant des quotas, sélectionnez Toutes les files d’attente. • Pour permettre à un utilisateur de lancer des impressions vers des files d’attente spécifiques imposant des quotas, sélectionnez Par file d’attente.Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur 79 Désactivation de l’accès d’un utilisateur aux files d’attente imposant des quotas Vous pouvez employer le Gestionnaire de groupe de travail pour empêcher un utilisateur de lancer des impressions vers une file d’attente accessible d’un Mac OS X imposant des quotas. Pour utiliser le Gestionnaire de groupe de travail, il faut que le compte de l’utilisateur soit stocké dans le répertoire LDAP d’un maître Open Directory ou d’un domaine NetInfo. Pour désactiver l’accès d’un utilisateur aux files d’attente imposant des quotas : 1 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, ouvrez le compte d’utilisateur souhaité (si ce n’est déjà fait). Pour ouvrir le compte, cliquez sur le bouton Comptes, cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, puis choisissez un élément de la liste pour ouvrir le domaine de répertoire où réside le compte. Cliquez sur le verrou pour être authentifié. Sélectionnez l’utilisateur dans la liste des utilisateurs. 2 Cliquez sur l’onglet Imprimer. 3 Sélectionnez Aucun. Activation l’accès d’un utilisateur aux files d’attente imposant des quotas Vous pouvez utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour autoriser un utilisateur à lancer des impressions vers tout ou partie des files d’attente accessibles d’un Mac OS X imposant des quotas. Pour utiliser le Gestionnaire de groupe de travail, il faut que le compte de l’utilisateur soit stocké dans le répertoire LDAP d’un maître Open Directory ou d’un domaine NetInfo. Pour définir le quota d’impression d’un utilisateur pour les files d’attente imposant des quotas : 1 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, ouvrez le compte d’utilisateur souhaité (si ce n’est déjà fait). Pour ouvrir le compte, cliquez sur le bouton Comptes, cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, puis choisissez un élément de la liste pour ouvrir le domaine de répertoire où réside le compte. Cliquez sur le verrou pour être authentifié. Sélectionnez l’utilisateur dans la liste des utilisateurs. 2 Cliquez sur l’onglet Imprimer. Pour configurer un quota à appliquer à toutes les files d’attente, suivez l’étape 3. Pour quelques files d’attente, suivez plutôt l’étape 4. 3 Cliquez sur Toutes les files d’attente, puis spécifiez le nombre maximal de pages que l’utilisateur doit pouvoir imprimer pendant un nombre de jours donné via une file d’attente quelconque imposant des quotas.80 Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur 4 Cliquez sur Par file d’attente, puis déroulez le menu local Nom de la file afin de sélectionner la file d’attente pour laquelle vous souhaitez définir un quota à l’attention des utilisateurs. Si la file d’attente que vous souhaitez rechercher ne figure pas dans le menu local Nom de la file, cliquez sur Ajouter pour entrer son nom, puis spécifiez, dans le champ Serveur d’impression, l’adresse IP ou le nom DNS du serveur sur lequel cette file d’attente est définie. Pour donner à l’utilisateur des droits d’impression illimités sur la file, cliquez sur “Impression illimitée”. Sinon, spécifiez le nombre maximal de pages qu’il peut imprimer pendant un nombre de jours donné. Cliquez sur Enregistrer. Suppression du quota d’impression d’un utilisateur pour une file spécifique Si vous ne voulez plus appliquer un quota d’impression à une file d’attente particulière, vous pouvez le supprimer pour des utilisateurs spécifiques. Pour supprimer le quota d’impression d’un utilisateur à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail : 1 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, ouvrez le compte d’utilisateur souhaité (si ce n’est déjà fait). Pour ouvrir le compte, cliquez sur le bouton Comptes, cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, puis choisissez un élément de la liste pour ouvrir le domaine de répertoire où réside le compte. Cliquez sur le verrou pour être authentifié. Sélectionnez l’utilisateur dans la liste des utilisateurs. 2 Cliquez sur l’onglet Imprimer. 3 Pour désactiver l’accès d’un utilisateur à une file d’attente, identifiez-la en utilisant le menu local Nom de la file ainsi que le champ Serveur d’impression. 4 Cliquez sur Supprimer. Réinitialisation du quota d’impression d’un utilisateur Il arrive parfois qu’un utilisateur ayant déjà dépassé son quota d’impression ait besoin d’imprimer des pages supplémentaires. Un administrateur peut, par exemple, avoir un manuel de 200 pages à imprimer alors que son quota ne lui en autorise que 150. Ou encore, un étudiant qui a dépassé son quota en imprimant un rapport peut devoir imprimer une copie révisée du rapport. Le Gestionnaire de groupe de travail vous permet de réinitialiser le quota d’impression d’un utilisateur et d’autoriser ce dernier à effectuer d’autres impressions. Pour redémarrer le quota d’impression d’un utilisateur à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail : 1 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, ouvrez le compte d’utilisateur souhaité (si ce n’est déjà fait).Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur 81 Pour ouvrir le compte, cliquez sur le bouton Comptes, cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, puis choisissez un élément de la liste pour ouvrir le domaine de répertoire où réside le compte. Cliquez sur le verrou pour être authentifié. Sélectionnez l’utilisateur dans la liste des utilisateurs. 2 Cliquez sur l’onglet Imprimer. 3 Si l’utilisateur est configuré pour utiliser toutes les files d’attente gérant les quotas, cliquez sur Redémarrer Quota d’impression. Si les quotas d’impression d’un utilisateur sont propres à certaines files d’attente, déroulez le menu local Nom de la file et le champ Serveur d’impression afin d’identifier une file d’attente, puis cliquez sur Redémarrer Quota d’impression. Vous pouvez également augmenter le nombre de pages d’un utilisateur sans réinitialiser la période de quota, en modifiant le nombre de pages allouées à cet utilisateur. Ainsi, la période du quota demeure inchangée et n’est pas réinitialisée, mais le nombre de pages que l’utilisateur peut imprimer au cours de cette période est réévalué à la fois pour la période de quota en cours et pour les périodes futures. Pour augmenter ou diminuer la limite de pages d’un utilisateur, tapez une nouvelle valeur dans le champ Limiter à ___ pages, puis cliquez sur Enregistrer. Choix de réglages pour les utilisateurs Windows Les ordinateurs utilisant le système d’exploitation Windows peuvent être intégrés à votre réseau Mac OS X Server. Vous pouvez utiliser le panneau Windows du Gestionnaire de groupe de travail pour configurer des comptes d’utilisateur et sélectionner des réglages pour les individus qui doivent accéder aux ordinateurs Windows. Pour obtenir des informations détaillées sur l’utilisation des réglages destinés aux utilisateurs qui ont accès aux ordinateurs Windows, consultez le guide d’administration des services Windows. Définition d’un utilisateur invité Vous pouvez configurer certains services en vue de gérer les utilisateurs “anonymes”. Il s’agit des utilisateurs qui ne peuvent être authentifiés car ils ne disposent pas d’un nom d’utilisateur ou d’un mot de passe valides. Les services suivants peuvent être configurés pour gérer les utilisateurs anonymes : • Services Windows (voir le guide d’administration des services Windows pour toute information sur la configuration de l’accès en invité) • Service de fichiers Apple (voir le guide d’administration des services de fichiers pour toute information sur la configuration de l’accès en invité) • Service FTP (voir le guide d’administration des services de fichiers pour toute information sur la configuration de l’accès en invité) • Service Web (voir le guide d’administration des technologies Web pour toute information sur la configuration de l’accès en invité)82 Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur L’accès des utilisateurs qui se connectent de manière anonyme à un serveur est limité aux fichiers, dossiers et sites Web dont les autorisations sont réglées sur Tous. Il existe un autre type d’utilisateurs invités : les utilisateurs gérés que vous pouvez définir pour permettre une configuration simplifiée d’ordinateurs publics (ou kiosques informatiques). Pour plus d’informations sur ces types d’utilisateurs, consultez le chapitre 9, “Gestion des préférences pour Mac OS X”et le chapitre 10, “Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9”. Suppression d’un compte d’utilisateur Le Gestionnaire de groupe de travail permet de supprimer un compte d’utilisateur stocké dans le répertoire LDAP d’un maître Open Directory ou d’un domaine NetInfo. Pour supprimer un compte d’utilisateur à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail : 1 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, sélectionnez le compte d’utilisateur à supprimer. Pour retrouver le compte, cliquez sur le bouton Comptes, cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, puis choisissez un élément de la liste pour ouvrir le domaine de répertoire où réside le compte. Cliquez sur le verrou pour être authentifié. Sélectionnez l’utilisateur dans la liste des utilisateurs. 2 Choisissez Serveur > Effacer l’utilisateur sélectionné ou cliquez sur l’icône Supprimer de la barre d’outils. Désactivation d’un compte d’utilisateur Il existe deux méthodes pour désactiver un compte d’utilisateur. • En supprimant le compte (voir “Suppression d’un compte d’utilisateur”) • En remplaçant le mot de passe d’utilisateur par une valeur inconnue (voir “Définition de mots de passe” à la page 69) Avertissement : cette action est irréversible.5 83 5 Configuration des comptes de groupe Un compte de groupe permet de gérer facilement un ensemble d’utilisateurs aux besoins similaires. Ce chapitre explique comment configurer et gérer des comptes de groupe. À propos des comptes de groupe Les comptes de groupe stockent les identités des utilisateurs qui appartiennent à un groupe ainsi que des informations vous permettant de personnaliser l’environnement de travail des membres de ce groupe. Un groupe pour lequel sont définies des préférences est un groupe de travail. Un groupe principal correspond au groupe par défaut de l’utilisateur. Les groupes principaux peuvent accélérer la vérification effectuée par le système de fichiers Mac OS X lorsqu’un utilisateur accède à un fichier. Administration de comptes de groupe Cette section expose l’administration des comptes de groupe stockés dans divers types de domaines de répertoires. Emplacement de stockage des comptes de groupe Les comptes de groupe, à l’instar de ceux d’utilisateur et d’ordinateur, peuvent être stockés dans tout domaine Open Directory pouvant être ouvert à partir de l’ordinateur Mac OS X et requérant le guide d’administration Open Directory pour accéder au compte. Un domaine de répertoires peut résider sur un ordinateur Mac OS X (par exemple, le répertoire LDAP d’un maître Open Directory ou un domaine NetInfo) ou sur un serveur non Apple (par exemple, un serveur LDAP ou Active Directory). L’utilisation du Gestionnaire de groupe de travail vous permet de travailler avec des comptes dans tous les types de domaines de répertoires. Consultez le guide d’administration Open Directory pour obtenir des informations complètes sur les différents types de domaines d’Open Directory.84 Chapitre 5 Configuration des comptes de groupe Comptes de groupe prédéfinis Le tableau suivant fournit une description des comptes de groupe créés automatiquement lorsque vous installez Mac OS X Server. Nom de groupe prédéfini ID de groupe Utilisation admin 80 Le groupe auquel appartiennent les utilisateurs dotés d’autorisations d’administrateur. bin 7 Un groupe possédant tous les fichiers binaires. daemon 1 Groupe utilisé par les services système. dialer 68 Groupe permettant de contrôler l’accès aux modems sur un serveur. guest 31 kmem 2 Un groupe antérieur utilisé pour contrôler l’accès à la lecture de la mémoire noyau. mail 6 Le groupe utilisé par le passé pour accéder au courrier UNIX local. MySQL 74 Le groupe que le serveur de base de données MySQL utilise pour ceux de ses processus qui traitent les requêtes. network 69 Ce groupe ne revêt aucune signification particulière. nobody -2 Groupe utilisé par les services système. nogroup -1 Groupe utilisé par les services système. operator 5 Ce groupe ne revêt aucune signification particulière. smmsp 25 Le groupe utilisé par sendmail. sshd 75 Le groupe utilisé pour les processus enfants sshd qui traitent des données réseau. staff 20 Le groupe par défaut dans lequel les utilisateurs UNIX sont traditionnellement placés. sys 3 Ce groupe ne revêt aucune signification particulière. tty 4 Un groupe possédant des fichiers spéciaux, tels que le fichier de périphérique associé à un utilisateur SSH ou Telnet. unknown 99 Le groupe utilisé lorsque le système ne reconnaît pas le disque dur. utmp 45 Le groupe contrôlant ce qui peut mettre à jour la liste du système des utilisateurs connectés. uucp 66 Le groupe utilisé pour contrôler l’accès aux fichiers d’attente UUCP. wheel 0 Un autre groupe (s’ajoutant au groupe admin) auquel les utilisateurs disposant d’autorisations d’administration appartiennent. www 70 Le groupe sans autorisation qu’Apache utilise pour ceux de ses processus qui traitent les requêtes.Chapitre 5 Configuration des comptes de groupe 85 Création de comptes de groupe Mac OS X Server Pour créer un compte de groupe dans un domaine de répertoires, vous devez disposer d’autorisations d’administration pour ce dernier. Pour créer un compte de groupe : 1 Assurez-vous que les services de répertoires de Mac OS X Server que vous utilisez ont été configurés de manière à accéder au domaine qui vous intéresse. Consultez le guide d’administration Open Directory pour plus d’instructions. 2 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur Comptes. 3 Cliquez sur l’icône représentant un globe sous la barre d’outils et ouvrez le domaine dans lequel vous souhaitez stocker le compte de groupe. 4 Cliquez sur le verrou pour être authentifié comme administrateur de domaine de répertoires. 5 Cliquez sur l’onglet de la liste des groupes. 6 Cliquez sur Nouveau groupe, puis spécifiez les réglages du groupe dans les onglets affichés. Vous pouvez également utiliser un préréglage ou un fichier d’importation pour créer un nouveau groupe. Pour plus de détails, consultez la section “Création d’un préréglage pour les comptes de groupe” et l’annexe, “Importation et exportation d’informations de compte”. Création de comptes de groupe LDAPv3 en lecture/écriture Vous pouvez créer un compte de groupe sur un serveur LDAPv3 non Apple s’il a été configuré pour un accès en écriture. Pour créer un compte de groupe LDAPv3 : 1 Assurez-vous que les services de répertoires de Mac OS X Server que vous utilisez ont été configurés de manière à utiliser le serveur LDAP des comptes de groupe. Pour obtenir des informations sur l’utilisation du format de répertoire afin de configurer une connexion LDAP, consultez le guide d’administration Open Directory. Pour en savoir plus sur les éléments de compte de groupe pouvant demander une mise en correspondance, consultez l’annexe, “Importation et exportation d’informations de compte”. 2 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur Comptes. 3 Cliquez sur l’icône représentant un globe sous la barre d’outils et ouvrez le domaine LDAPv3 dans lequel vous souhaitez stocker le compte de groupe. 4 Cliquez sur le verrou pour être authentifié. 5 Dans le menu Serveur, choisissez Nouveau groupe. 6 Spécifiez des réglages pour le groupe dans les onglets affichés. Pour plus de détails, consultez les sections “Travail avec des réglages de membre pour groupes” à la page 87 et “Travail avec les réglages du dossier de groupe” à la page 90.86 Chapitre 5 Configuration des comptes de groupe Vous pouvez également utiliser un préréglage ou un fichier d’importation pour créer un nouveau groupe. Pour plus de détails, consultez “Création d’un préréglage pour les comptes de groupe” et l’annexe, “Importation et exportation d’informations de compte”. Création d’un préréglage pour les comptes de groupe Les préréglages des comptes de groupe peuvent être utilisés pour appliquer des réglages prédéterminés à un nouveau compte de groupe. Pour créer un préréglage pour des comptes de groupe : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail sur le serveur à partir duquel vous créez les comptes de groupe. Assurez-vous que le serveur a été configuré pour accéder au domaine de répertoires Mac OS X ou LDAPv3 non Apple sur lequel le préréglage sera utilisé pour créer de nouveaux comptes. 2 Cliquez sur Comptes. 3 Pour créer un préréglage à l’aide de données stockées dans un compte de groupe existant, ouvrez le compte. Pour créer un préréglage à l’aide d’un compte de groupe vide, créez un compte de groupe. 4 Remplissez les champs avec les valeurs que vous souhaitez voir héritées par les nouveaux groupes d’utilisateurs. Supprimez toute valeur que vous ne souhaitez pas inclure dans les préréglages si vous prenez comme point de départ un compte existant. 5 Cliquez sur le bouton Préférences, configurez les réglages pour définir votre préréglage, puis cliquez de nouveau sur le bouton Comptes. Après avoir configuré les réglages de préférences d’un préréglage, vous devez revenir aux réglages des comptes pour l’enregistrer. 6 Choisissez Enregistrer le préréglage dans le menu local Préréglages, puis nommez le préréglage et cliquez sur OK. Modification des informations d’un compte de groupe Vous pouvez utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour modifier un compte de groupe se trouvant dans le répertoire LDAP d’un maître Open Directory, dans un domaine NetInfo ou dans tout autre domaine de répertoires en lecture/écriture. Pour modifier un compte de groupe : 1 Assurez-vous que les services de répertoires de Mac OS X Server que vous utilisez ont été configurés de manière à accéder au répertoire qui vous intéresse. Consultez le guide d’administration Open Directory pour plus d’instructions. 2 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur Comptes. 3 Cliquez sur l’icône représentant un globe sous la barre d’outils et ouvrez le domaine dans lequel se trouve le compte de groupe. 4 Cliquez sur le verrou pour être authentifié.Chapitre 5 Configuration des comptes de groupe 87 5 Cliquez sur le bouton Groupes pour sélectionner le groupe avec lequel vous souhaitez travailler. 6 Modifiez les réglages du groupe dans les onglets affichés. Pour plus de détails, consultez les sections “Travail avec des réglages de membre pour groupes” à la page 87 et “Travail avec les réglages du dossier de groupe” à la page 90. Travail avec des comptes de groupe en lecture seule Le Gestionnaire de groupe de travail vous permet de consulter des informations sur les comptes de groupe stockés dans des domaines de répertoires en lecture seule. Ces derniers incluent les domaines LDAPv2, les domaines LDAPv3 non configurés pour l’accès en écriture et les fichiers de configuration BSD. Pour travailler avec un compte de groupe en lecture seule : 1 Assurez-vous que les services de répertoires de Mac OS X Server que vous utilisez ont été configurés de manière à utiliser le domaine de répertoires dans lequel est situé le compte. Pour obtenir des informations sur l’utilisation du format de répertoire afin de configurer des connexions au serveur, consultez le guide d’administration Open Directory. Pour en savoir plus sur les éléments de compte de groupe pouvant nécessiter une mise en correspondance, consultez l’annexe, “Importation et exportation d’informations de compte”. 2 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur Comptes. 3 Cliquez sur l’icône représentant un globe sous la barre d’outils et ouvrez le domaine de répertoires dans lequel réside le compte de groupe. 4 Servez-vous des onglets affichés pour observer les réglages de compte de groupe. Pour plus de détails, consultez les sections “Travail avec des réglages de membre pour groupes” et “Travail avec les réglages du dossier de groupe” à la page 90. Travail avec des réglages de membre pour groupes Les réglages de membre incluent les noms d’un groupe, son identifiant et une liste des utilisateurs qui en sont membres. Dans le Gestionnaire de groupe de travail, l’onglet Membres situé dans la fenêtre du compte de groupe vous permet d’utiliser les réglages de membres. Lorsque le nom d’un utilisateur apparaît en italique dans la liste Membres, le groupe correspond au groupe principal de ce dernier. Ajout d’utilisateurs à un groupe Ajoutez des utilisateurs à un groupe lorsque vous souhaitez que plusieurs utilisateurs disposent des mêmes autorisations d’accès aux fichiers ou pour leur affecter le statut d’utilisateurs gérés.88 Chapitre 5 Configuration des comptes de groupe Lorsque vous créez un compte d’utilisateur et attribuez un groupe principal au nouvel utilisateur, ce dernier est automatiquement ajouté au groupe spécifié. Sinon, ajoutez vous-même des utilisateurs au groupe. Vous pouvez utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour ajouter des utilisateurs à un groupe si les comptes d’utilisateur et de groupe se trouvent dans le répertoire LDAP d’un maître Open Directory ou dans un domaine NetInfo. Pour ajouter des utilisateurs à un groupe à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail : 1 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, ouvrez le compte de groupe souhaité (si ce n’est déjà fait). Pour ce faire, cliquez sur le bouton Comptes, puis sur l’icône représentant un globe sous la barre d’outils et ouvrez le domaine de répertoires dans lequel il se trouve. Cliquez sur le verrou pour être authentifié. Sélectionnez le groupe dans la liste des groupes. 2 Cliquez sur l’onglet Membres. 3 Cliquez sur Ajouter pour ouvrir un tiroir répertoriant les utilisateurs définis dans le domaine de répertoires avec lequel vous travaillez. (Pour insérer des utilisateurs système dans la liste, choisissez Préférences dans le menu Gestionnaire de groupe de travail, puis sélectionnez l’option Afficher utilisateurs et groupes système.) Vérifiez que le compte de groupe est situé dans un domaine de répertoires spécifié dans la politique de recherche des ordinateurs auxquels l’utilisateur va se connecter. 4 Sélectionnez l’utilisateur, puis glissez-le dans la liste Membres de l’onglet Membres. Suppression des utilisateurs d’un groupe Vous pouvez utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour supprimer un utilisateur d’un groupe ne correspondant pas au groupe principal de l’utilisateur si ce dernier et les comptes de groupe résident dans le répertoire LDAP d’un maître Open Directory ou dans un domaine NetInfo. Pour supprimer un utilisateur dans un groupe à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail : 1 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, ouvrez le compte de groupe souhaité (si ce n’est déjà fait). Pour ce faire, cliquez sur le bouton Comptes, puis sur l’icône représentant un globe sous la barre d’outils et ouvrez le domaine de répertoires dans lequel il réside. Cliquez sur le verrou pour être authentifié. Sélectionnez le groupe dans la liste des groupes. 2 Cliquez sur l’onglet Membres. 3 Sélectionnez le ou les utilisateurs à supprimer du groupe, puis cliquez sur Supprimer. Attribution d’un nom à un groupe Un groupe possède deux noms : un nom complet et un nom abrégé. Chapitre 5 Configuration des comptes de groupe 89 • Le nom de groupe complet (par exemple, Étudiants de la Faculté d’anglais) ne sert qu’à des fins d’affichage et ne doit pas dépasser 255 octets. Étant donné que les noms de groupe complets prennent en charge plusieurs jeux de caractères, ils peuvent contenir un maximum de 255 caractères romans (85 seulement pour les jeux dont les caractères occupent jusqu’à 3 octets). • Un nom de groupe abrégé peut contenir jusqu’à 255 caractères romans. Néanmoins, pour les clients qui utilisent Mac OS X version 10.1.5 et antérieure, le nom de groupe abrégé ne peut contenir au plus que 8 caractères. Dans un nom de groupe abrégé, n’utilisez que les caractères suivants : • a à z • A à Z • 0 à 9 • _ (trait de soulignement) Le nom abrégé, généralement constitué de huit caractères maximum, est utilisé par Mac OS X pour localiser les identifiants d’utilisateurs membres d’un groupe afin de savoir si un utilisateur peut accéder à un fichier en tant que membre du groupe. Vous pouvez utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour modifier le nom d’un compte de groupe stocké dans le répertoire LDAP d’un maître Open Directory, dans un domaine NetInfo ou dans tout autre domaine de répertoires en lecture/écriture. Vous pouvez aussi utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour consulter les noms stockés dans tout domaine de répertoires accessible depuis le serveur que vous utilisez. Pour travailler avec des noms de groupes à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail : 1 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, ouvrez le compte de groupe souhaité (si ce n’est déjà fait). Pour ce faire, cliquez sur le bouton Comptes, puis sur l’icône représentant un globe sous la barre d’outils et ouvrez le domaine de répertoires dans lequel il réside. Pour modifier un nom, cliquez sur le verrou pour être authentifié. Sélectionnez le groupe dans la liste des groupes. 2 Dans le champ Nom ou Nom abrégé de l’onglet Membres, observez ou modifiez les noms. Avant d’enregistrer un nouveau nom, le Gestionnaire de groupe de travail vérifie qu’il est unique. Définition d’un identifiant de groupe L’identifiant d’un groupe consiste en une chaîne de chiffres ASCII identifiant un groupe de façon unique. Sa valeur maximale est de 2 147 483 648. Vous pouvez utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour modifier l’identifiant d’un compte de groupe stocké dans le répertoire LDAP d’un maître Open Directory ou dans un domaine NetInfo ou pour revoir l’identifiant de groupe dans tout domaine de répertoires accessible du serveur que vous utilisez.90 Chapitre 5 Configuration des comptes de groupe Pour travailler avec un identifiant de groupe à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail : 1 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, ouvrez le compte de groupe souhaité (si ce n’est déjà fait). Pour de faire, cliquez sur le bouton Comptes, puis sur l’icône représentant un globe sous la barre d’outils et ouvrez le domaine de répertoires dans lequel il réside. Pour modifier l’identifiant d’un groupe, cliquez sur le verrou pour être authentifié. Sélectionnez le groupe dans la liste des groupes. 2 Dans le champ ID du groupe de l’onglet Membres, révisez ou modifiez l’identifiant. Avant d’enregistrer un nouvel identifiant de groupe, le Gestionnaire de groupe de travail vérifie qu’il est unique dans le domaine de répertoires que vous utilisez. Travail avec les réglages du dossier de groupe Vous pouvez configurer un dossier qui pourra être utilisé par les membres d’un groupe spécifique. Les dossiers de groupe permettent d’organiser les documents et applications qui présentent un intérêt particulier pour les membres d’un groupe et peuvent être utilisés par ces derniers pour échanger des informations entre eux. La configuration d’un dossier de groupe s’effectue à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail, à partir du volet Dossier de groupe d’une fenêtre de compte de groupe : • Sélectionnez Aucun pour ne pas créer de dossier de groupe. Consultez la section “Option Pas de dossier de groupe” (ci-après) pour plus d’instructions. • Sélectionnez un point de partage répertorié pour y configurer un dossier de groupe. Si le point de partage des groupes prédéfini ou tout autre point de partage existant n’est pas répertorié dans le volet Dossier de groupe, créez-lui un enregistrement de montage dans le volet Montage de réseau d’une fenêtre de partage du Gestionnaire de groupe de travail. Consultez la section “Création d’un dossier de groupe dans un point de partage existant” à la page 91 ou “Création d’un dossier de groupe dans un nouveau point de partage” à la page 92 pour plus d’instructions. • Cliquez sur le bouton Ajouter [+] ou Dupliquer (icône de copie) pour configurer un dossier de groupe dans un sous-dossier d’un point de partage. Pour obtenir des instructions, consultez la section “Création d’un dossier de groupe dans un sousdossier d’un point de partage existant” à la page 94. Option Pas de dossier de groupe Vous pouvez utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour qu’un compte de groupe possédant un dossier de groupe n’en ait plus. Par défaut, un nouveau groupe ne dispose d’aucun répertoire de départ. Pour ne définir aucun dossier de groupe : 1 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur Comptes puis sur le bouton Groupes.Chapitre 5 Configuration des comptes de groupe 91 2 Ouvrez le domaine de répertoires dans lequel réside le compte de groupe et authentifiez-vous comme administrateur du domaine. Pour ouvrir un domaine de répertoires, cliquez sur l’icône représentant un globe au-dessus de la liste des groupes et faites votre choix dans le menu local. Pour vous authentifier, cliquez sur le verrou et saisissez le nom et le mot de passe d’un administrateur du domaine de répertoires. 3 Sélectionnez le compte de groupe avec lequel vous souhaitez travailler. 4 Cliquez sur Dossier de groupe, puis sélectionnez (Aucun) dans la liste. 5 Cliquez sur Enregistrer. Création d’un dossier de groupe dans un point de partage existant Vous pouvez créer un dossier de groupe soit pour un groupe à n’importe quel point de partage existant, soit dans le dossier /Groups (point de partage prédéfini). Pour configurer un dossier de groupe dans le dossier /Groups ou tout autre point de partage existant : 1 Si le compte de groupe se trouve dans un domaine de répertoires partagé (et non dans le répertoire local du serveur), assurez-vous que le point de partage dans lequel vous souhaitez stocker le dossier de groupe dispose d’un enregistrement de montage de réseau configuré pour les répertoires de départ. Dans le Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur Partage puis sur Points de partage (à gauche), sélectionnez le point de partage dans la liste, cliquez sur Montage de réseau, puis assurez-vous que les cases Créer un enregistrement de montage pour ce point de partage et Utiliser pour les répertoires de départ des utilisateurs sont bien cochées. Pour modifier ces réglages, vous devez utiliser le menu local Emplacement pour choisir le domaine de répertoires dans lequel réside le compte de groupe, cliquer sur le verrou, puis vous authentifier comme administrateur du domaine de répertoires. Si le compte de groupe est situé dans le domaine de répertoires local du serveur, le point de partage ne requiert aucun enregistrement de montage. 2 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, ouvrez le compte de groupe souhaité (si ce n’est déjà fait). Pour ouvrir un compte de groupe, connectez-vous au serveur sur lequel il réside. Cliquez sur Comptes, puis sur le bouton Groupes. Cliquez sur l’icône représentant un globe au-dessus de la liste des groupes, puis déroulez le menu local pour ouvrir le domaine de répertoires où est stocké le compte de groupe. Cliquez sur le verrou et authentifiez-vous comme administrateur du domaine de répertoires avant de sélectionner le groupe dans la liste correspondante. 3 Cliquez sur Dossier pour configurer le dossier du groupe sélectionné. 4 Dans la liste des points de partage, sélectionnez celui que vous souhaitez utiliser.92 Chapitre 5 Configuration des comptes de groupe La liste affiche l’ensemble des points de partage montables automatiquement et visibles sur le réseau dans le chemin de recherche du serveur auquel vous êtes connecté. Si le point de partage que vous voulez sélectionner ne figure pas dans la liste, cliquez sur Actualiser. S’il n’apparaît toujours pas, c’est qu’il n’est peut-être pas montable automatiquement. Dans ce cas, vous devez configurer un point de partage avec un enregistrement de montage réseau, configuré pour les répertoires de départ comme décrit à l’étape 1. 5 Dans le champ Possesseur, entrez le nom de l’utilisateur auquel le dossier de groupe doit appartenir afin qu’il puisse intervenir en tant qu’administrateur du dossier de ce groupe. Cliquez sur le bouton Parcourir (ellipse) pour choisir un possesseur dans la liste d’utilisateurs du domaine de répertoires activé. Le possesseur du dossier de groupe pourra y accéder en lecture/écriture. 6 Cliquez sur Créer un dossier puis sur Enregistrer. Le dossier de groupe prend le nom abrégé du groupe auquel il est associé. Vous pouvez automatiser l’accès au dossier d’un membre du groupe quand celui-ci a ouvert une session : • Vous pouvez configurer les préférences du Dock pour rendre le dossier de groupe visible dans le Dock. Pour obtenir des instructions, consultez la section “Fourniture d’un accès aisé aux dossiers de groupes” à la page 142. • Vous pouvez aussi configurer des préférences d’ouverture de session de sorte que les utilisateurs puissent cliquer sur Ordinateur dans le Finder et voir le point de partage du dossier de groupe et les dossiers de groupe qui s’y trouvent. Pour obtenir des instructions, consultez la section “Fourniture d’un accès aisé au point de partage de groupe” à la page 165. Lorsque vous utilisez ces préférences, assurez-vous que le groupe est défini dans un domaine partagé dans la politique de recherche de l’ordinateur du membre du groupe. Consultez le guide d’administration Open Directory pour obtenir des instructions sur la configuration de la politique de recherche d’un ordinateur. Si vous n’automatisez pas l’accès aux dossiers de groupe, les membres des groupes peuvent utiliser la commande Se connecter au serveur dans le menu Aller du Finder pour localiser le serveur où réside le dossier de groupe et pouvoir y accéder. Création d’un dossier de groupe dans un nouveau point de partage Vous pouvez utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour créer un dossier de groupe dans un nouveau point de partage. Pour créer un dossier de groupe dans un nouveau point de partage : 1 Sur le serveur où vous souhaitez que réside le dossier de groupe, créez un dossier qui servira de point de partage à ce dossier de groupe.Chapitre 5 Configuration des comptes de groupe 93 2 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, connectez-vous au serveur de l’étape 1, puis cliquez sur Partage. 3 Cliquez sur Tout ( à gauche au-dessus de la liste) et sélectionnez le dossier créé pour le point de partage. 4 Dans la fenêtre Général, sélectionnez Partager cet élément et son contenu. 5 Réglez les autorisations de Groupe sur Lecture et écriture et celles de Tous sur Lecture seule, puis renommez le groupe en saisissant admin dans le champ correspondant. Ignorez pour le moment les autorisations du possesseur. 6 Cliquez sur Montage de réseau, et authentifiez-vous comme administrateur du domaine de répertoires dans lequel se trouve le compte de groupe. Utilisez le menu local Emplacement pour choisir le domaine de répertoires dans lequel réside le compte de groupe. Cliquez ensuite sur le verrou et authentifiez-vous comme administrateur du domaine de répertoires. 7 Sélectionnez Créer un enregistrement de montage pour ce point de partage et Utiliser pour les répertoires de départ des utilisateurs. 8 Cliquez sur Enregistrer. 9 Cliquez sur Comptes et ouvrez le compte de groupe souhaité (si ce n’est déjà fait). Pour ouvrir un compte de groupe, connectez-vous au serveur sur lequel il réside. Cliquez sur Comptes, puis sur le bouton Groupes. Cliquez sur l’icône représentant un globe au-dessus de la liste des groupes, puis déroulez le menu local pour ouvrir le domaine de répertoires où est stocké le compte de groupe. Cliquez sur le verrou et authentifiez-vous comme administrateur du domaine de répertoires, puis sélectionnez le groupe dans la liste correspondante. 10 Cliquez sur Dossier de groupe, puis sélectionnez le point de partage créé. 11 Dans le champ Possesseur, entrez le nom de l’utilisateur auquel le dossier de groupe doit appartenir afin qu’il puisse intervenir en tant qu’administrateur du dossier de ce groupe. Cliquez sur le bouton Parcourir (ellipse) pour choisir un possesseur dans la liste d’utilisateurs du domaine de répertoires activé. Le possesseur du dossier de groupe pourra y accéder en lecture/écriture. 12 Cliquez sur Créer un dossier puis sur Enregistrer. Le dossier de groupe prend le nom abrégé du groupe auquel il est associé. Vous pouvez automatiser l’accès au dossier d’un membre du groupe quand celui-ci a ouvert une session : • Vous pouvez configurer les préférences du Dock pour rendre le dossier de groupe visible dans le Dock. Pour obtenir des instructions, consultez la section “Fourniture d’un accès aisé aux dossiers de groupes” à la page 142.94 Chapitre 5 Configuration des comptes de groupe • Vous pouvez aussi configurer des préférences d’ouverture de session de sorte que les utilisateurs puissent cliquer sur Ordinateur dans le Finder et voir le point de partage du dossier de groupe et les dossiers de groupe qui s’y trouvent. Pour obtenir des instructions, consultez la section “Fourniture d’un accès aisé au point de partage de groupe” à la page 165. Lorsque vous utilisez ces préférences, assurez-vous que le groupe est défini dans un domaine partagé dans la politique de recherche de l’ordinateur du membre du groupe. Consultez le guide d’administration Open Directory pour obtenir des instructions sur la configuration de la politique de recherche d’un ordinateur. Si vous n’automatisez pas l’accès aux dossiers de groupe, les membres des groupes peuvent utiliser la commande Se connecter au serveur dans le menu Aller du Finder pour localiser le serveur où réside le dossier de groupe et y accéder. Création d’un dossier de groupe dans un sous-dossier d’un point de partage existant Dans le Gestionnaire de groupe de travail, vous pouvez créer des dossiers de groupe ne se trouvant pas immédiatement sous un point de partage. Par exemple, vous pouvez organiser des dossiers de groupe en plusieurs sous-dossiers au sein d’un point de partage que vous avez défini. Si Groups est le point de partage, vous pouvez placer les dossiers du groupe des étudiants dans /Groups/StudentGroups et ceux du groupe des professeurs dans /Groups/TeacherGroups. Le chemin complet d’un dossier de groupe pour des étudiants du second degré pourrait être /Groups/StudentGroups/SecondGrade. La procédure détaillée ici implique l’existence du point de partage. Si le point de partage n’existe pas, suivez les instructions décrites dans “Création d’un dossier de groupe dans un nouveau point de partage” à la page 92 sans cliquer sur Créer un dossier à la dernière étape. Suivez ensuite les étapes ci-après. Pour configurer un dossier de groupe dans un sous-dossier d’un point de partage existant : 1 Si le compte de groupe est situé dans un domaine de répertoires partagé (et non dans le répertoire local du serveur), assurez-vous que le point de partage dans lequel vous souhaitez stocker le dossier de groupe dispose d’un enregistrement de montage configuré pour les répertoires de départ. Dans le Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur Partage puis sur Points de partage (à gauche), sélectionnez le point de partage dans la liste, cliquez sur Montage de réseau, puis assurez-vous que les cases Créer un enregistrement de montage pour ce point de partage et Utiliser pour les répertoires de départ des utilisateurs sont bien cochées. Pour modifier ces réglages, vous devez utiliser le menu local Emplacement pour choisir le domaine de répertoires dans lequel réside le compte de groupe, cliquer sur le verrou, puis vous authentifier comme administrateur du domaine de répertoires.Chapitre 5 Configuration des comptes de groupe 95 Si le compte de groupe est situé dans le domaine de répertoires local du serveur, le point de partage ne requiert aucun enregistrement de montage. 2 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, ouvrez le compte de groupe souhaité (si ce n’est déjà fait). Pour ouvrir un compte de groupe, connectez-vous au serveur sur lequel il réside. Cliquez sur Comptes, puis sur le bouton Groupes. Cliquez sur l’icône représentant un globe au-dessus de la liste des groupes, puis déroulez le menu local pour ouvrir le domaine de répertoires où est stocké le compte de groupe. Cliquez sur le verrou et authentifiez-vous comme administrateur du domaine de répertoires avant de sélectionner le groupe dans la liste correspondante. 3 Cliquez sur Dossier pour configurer le dossier du groupe sélectionné. 4 Cliquez sur Ajouter [+] pour ajouter un emplacement de dossier de groupe personnalisé ou sur Dupliquer (icône de copie) pour copier un emplacement existant. Vous pouvez supprimer un emplacement de dossier de groupe en le sélectionnant, puis en cliquant sur Supprimer [–]. Vous ne pouvez supprimer que les emplacements ajoutés à l’aide du bouton Ajouter ou Dupliquer. 5 Dans le champ URL, entrez l’URL complète du point de partage dans lequel doit résider le dossier de groupe. Par exemple, entrez AFP://monserveur.exemple.com/SchoolGroups pour identifier un point de partage AFP nommé SchoolGroups sur un serveur dont le nom DNS est monserveur.exemple.com. Si vous n’utilisez pas de DNS, remplacez le nom DNS du serveur hébergeant le dossier de groupe pas son adresse IP : AFP://192.168.2.1/SchoolGroups. 6 Dans le champ Chemin, entrez le chemin du point de partage au dossier de groupe, en incluant ce dernier mais en excluant le point de partage. Par exemple, si le point de partage est SchoolGroups et que le chemin complet menant au dossier de groupe est SchoolGroups/StudentGroups/SecondGrade, tapez StudentGroups/SecondGrade dans le champ Chemin. Ne placez pas de barre oblique (/) au début ou à la fin du chemin. 7 Cliquez sur OK. 8 Dans le champ Possesseur, entrez le nom de l’utilisateur auquel le dossier de groupe doit appartenir afin qu’il puisse intervenir en tant qu’administrateur du dossier de ce groupe. Cliquez sur le bouton Parcourir (ellipse) pour choisir un possesseur dans la liste d’utilisateurs du domaine de répertoires activé. Le possesseur du dossier de groupe pourra y accéder en lecture/écriture. 9 Cliquez sur Créer un dossier puis sur Enregistrer. Configurez l’accès au dossier de groupe pour les utilisateurs qui ouvrent une session en tant que membres du groupe. Plusieurs options sont disponibles :96 Chapitre 5 Configuration des comptes de groupe Vous pouvez automatiser l’accès au dossier d’un membre du groupe quand celui-ci a ouvert une session : • Vous pouvez configurer les préférences du Dock pour rendre le dossier de groupe visible dans le Dock. Pour obtenir des instructions, consultez la section “Fourniture d’un accès aisé aux dossiers de groupes” à la page 142. • Vous pouvez également configurer des préférences d’ouverture de session de sorte que les utilisateurs puissent cliquer sur Ordinateur dans le Finder pour voir le point de partage du dossier de groupe et les dossiers de groupe qui s’y trouvent. Pour obtenir des instructions, consultez la section “Fourniture d’un accès aisé au point de partage de groupe” à la page 165. Lorsque vous utilisez ces préférences, assurez-vous que le groupe est défini dans un domaine partagé dans la politique de recherche de l’ordinateur du membre du groupe. Consultez le guide d’administration Open Directory pour obtenir des instructions sur la configuration de la politique de recherche d’un ordinateur. Si vous n’automatisez pas l’accès aux dossiers de groupe, les membres des groupes peuvent utiliser la commande Se connecter au serveur dans le menu Aller du Finder pour localiser le serveur où réside le dossier de groupe et y accéder. Suppression de comptes de groupe Vous pouvez utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour supprimer un compte de groupe stocké dans le répertoire LDAP d’un maître Open Directory, dans un domaine NetInfo ou dans tout autre domaine de répertoires en lecture/écriture. Pour supprimer un compte de groupe à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail : 1 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, ouvrez le compte de groupe souhaité (si ce n’est déjà fait). Pour ouvrir le compte, cliquez sur le bouton Comptes, puis sur l’icône représentant un globe sous la barre d’outils et ouvrez le domaine de répertoires dans lequel il réside. Cliquez sur le verrou pour être authentifié. Sélectionnez le groupe dans la liste des groupes. 2 Choisissez Serveur > Effacer le groupe sélectionné ou cliquez sur l’icône Supprimer dans la barre d’outils. Avertissement : cette action est irréversible.6 97 6 Configuration des comptes d’ordinateur Un compte d’ordinateur consiste en une liste d’ordinateurs ayant les mêmes réglages de préférences et accessibles aux mêmes utilisateurs et groupes. Ce chapitre explique comment configurer et gérer des comptes d’ordinateur. À propos des comptes d’ordinateur Vous pouvez créer et modifier des comptes d’ordinateur dans le Gestionnaire de groupe de travail. Les comptes d’ordinateur que vous configurez apparaissent dans la liste située dans la partie gauche de la fenêtre. Il est possible d’effectuer des recherches dans les comptes d’ordinateur. Les réglages apparaissent dans les volets Liste, Accès et Cache situés dans la partie droite de la fenêtre. Lorsque vous configurez un compte d’ordinateur, assurez-vous d’avoir d’abord spécifié le mode d’identification des ordinateurs. Utilisez des descriptions logiques et faciles à retenir (il peut s’agir par exemple du nom de l’ordinateur). Pour obtenir des informations relatives à l’adresse d’un ordinateur, vous devez utiliser l’adresse Ethernet “embarquée” ou intégrée. Cette donnée est propre à chaque ordinateur. L’ordinateur client y recourt pour rechercher des informations relatives aux préférences lorsqu’un utilisateur se connecte. Vous pouvez naviguer à la recherche d’un ordinateur et le Gestionnaire de groupe de travail entrera l’adresse Ethernet et le nom de l’ordinateur à votre place. Au démarrage d’un ordinateur, le système vérifie les services de répertoires d’un enregistrement de compte d’ordinateur contenant son adresse Ethernet et utilisant les réglages de ce compte. En l’absence d’un tel enregistrement, l’ordinateur utilise les réglages du compte des ordinateurs invités. Vous pouvez configurer des préférences gérées pour des utilisateurs après avoir créé des comptes d’utilisateur. Pour plus d’informations sur les préférences gérées et leur utilisation, consultez la section “Compréhension de la gestion des préférences” à la page 122 et le chapitre 9, “Gestion des préférences pour Mac OS X”.98 Chapitre 6 Configuration des comptes d’ordinateur Si vous souhaitez qu’un administrateur de domaines de répertoires modifie des comptes d’ordinateur, ajoute ou supprime des ordinateurs d’une liste ou modifie les préférences de comptes d’ordinateur, vous devez lui affecter les autorisations correspondantes. Vous pouvez lui attribuer des autorisations d’administrateur pour tous les comptes d’ordinateur ou pour quelques uns seulement. Pour plus d’informations sur l’affectation d’autorisations d’administration, consultez le chapitre 4, “Configuration des comptes d’utilisateur”. Création d’un compte d’ordinateur Vous pouvez utiliser un compte d’ordinateur pour affecter les mêmes autorisations et préférences à plusieurs ordinateurs. Vous pouvez placer jusqu’à 2 000 ordinateurs dans un compte. Pour configurer une liste d’ordinateurs : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône représentant un globe sous la barre d’outils et ouvrez le domaine de répertoires dans lequel vous souhaitez stocker le nouveau compte, puis cliquez sur Comptes. 3 Cliquez sur le verrou, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Cliquez sur le bouton Ordinateurs, puis sur Liste. 5 Choisissez Serveur > Nouvelle liste d’ordinateurs ou cliquez directement sur Nouvelle liste d’ordinateurs dans la barre d’outils, puis saisissez un nom de liste. 6 Pour ajouter un ordinateur à la liste, cliquez sur Ajouter, puis entrez l’adresse Ethernet de l’ordinateur dans le champ Adresse. Vous pouvez également cliquer sur Parcourir pour que le Gestionnaire de groupe de travail entre l’adresse Ethernet et le nom de l’ordinateur à votre place. 7 Entrez une description, comme le nom de l’ordinateur. 8 Entrez un commentaire. Les commentaires sont utiles car ils permettent d’ajouter des informations supplémentaires concernant l’emplacement d’un ordinateur, sa configuration (s’il s’agit d’un ordinateur configuré pour une personne ayant des besoins particuliers) ou les périphériques qui y sont connectés. Vous pouvez également utiliser les commentaires pour ajouter des informations d’identification supplémentaires, telles que le modèle ou le numéro de série de l’ordinateur. 9 Continuez à ajouter des ordinateurs jusqu’à ce que la liste soit complète. 10 Enregistrez le compte. Remarque : les ordinateurs ne peuvent pas appartenir à plusieurs listes et ne peuvent pas être ajoutés au compte des ordinateurs invités.Chapitre 6 Configuration des comptes d’ordinateur 99 Création d’un préréglage pour des comptes d’ordinateur Vous pouvez sélectionner des réglages pour un compte d’ordinateur et les enregistrer en tant que “préréglages”. Les préréglages fonctionnent comme des modèles et permettent d’appliquer des réglages et des informations présélectionnés à un nouveau compte. Grâce aux préréglages, vous pouvez configurer en toute simplicité plusieurs comptes d’ordinateur de façon similaire. Les préréglages ne peuvent être utilisés que lors de la création d’un compte. Vous ne pouvez pas utiliser de préréglage pour modifier un compte d’ordinateur existant. Les réglages de la fenêtre Listes sont spécifiques aux listes d’ordinateurs individuelles et ne s’appliquent pas aux préréglages. Pour configurer un préréglage pour des comptes d’ordinateur : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône représentant un globe sous la barre d’outils et ouvrez le domaine de répertoires dans lequel vous souhaitez créer des comptes d’ordinateur utilisant des préréglages, puis cliquez sur Comptes. 3 Cliquez sur le verrou, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Cliquez sur le bouton Ordinateurs, puis sur Liste. 5 Pour créer un nouveau préréglage à partir d’un compte vierge, vous devez tout d’abord générer un compte d’ordinateur. Pour créer un préréglage à l’aide de données stockées dans un compte d’ordinateur existant, ouvrez le compte. 6 Renseignez les champs des fenêtres de réglages Accès et Cache avec les informations que vous souhaitez utiliser dans le préréglage. 7 Dans le menu local Préréglages, choisissez Enregistrer préréglage. Une fois le préréglage créé, vous ne pouvez plus changer ses réglages, mais vous pouvez le supprimer ou le renommer. Pour modifier le nom d’un préréglage, sélectionnez le préréglage dans le menu local Préréglages, puis cliquez sur Renommer préréglage. Pour supprimer un préréglage, sélectionnez-le dans le menu local Préréglages, puis cliquez sur Supprimer préréglage. Utilisation d’un préréglage de comptes d’ordinateur Lorsque vous créez un nouveau compte d’ordinateur, vous pouvez sélectionner tout préréglage dans le menu local correspondant pour appliquer les réglages initiaux, mais vous pouvez également modifier les réglages du compte en fonction de vos besoins. Vous devez sélectionner les préréglages avant de procéder à la création du nouveau compte et, au terme de celle-ci, vous ne pouvez pas sélectionner un préréglage différent. Quand le compte est enregistré, le menu Préréglages apparaît en grisé et n’est plus accessible pour ce compte.100 Chapitre 6 Configuration des comptes d’ordinateur Pour utiliser un préréglage pour des comptes d’ordinateur : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône représentant un globe sous la barre d’outils et ouvrez le domaine de répertoires dans lequel vous souhaitez stocker le nouveau compte, puis cliquez sur Comptes. 3 Cliquez sur le verrou, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Cliquez sur le bouton Ordinateurs, puis sur Liste. 5 Dans le menu local Préréglages, choisissez le préréglage que vous souhaitez utiliser. 6 Créez un compte. 7 Ajoutez ou mettez à jour les réglages nécessaires, puis enregistrez le compte. Ajout d’ordinateurs à un compte existant Il est facile d’ajouter plusieurs ordinateurs à une liste existante. Cependant, vous ne pouvez pas ajouter d’ordinateurs à la liste des ordinateurs invités. Pour ajouter des ordinateurs à une liste : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône représentant un globe sous la barre d’outils et choisissez le domaine de répertoires qui contient le compte d’ordinateur souhaité, puis cliquez sur Comptes. 3 Cliquez sur le verrou, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Cliquez sur le bouton Ordinateurs, puis sur Liste. 5 Sélectionnez le compte auquel vous souhaitez ajouter des ordinateurs. 6 Dans le menu local Préréglages, sélectionnez éventuellement le préréglage que vous souhaitez utiliser. 7 Cliquez sur Ajouter, puis entrez l’adresse Ethernet de l’ordinateur dans le champ Adresse. Une autre solution consiste à cliquer sur Parcourir pour localiser puis sélectionner l’ordinateur souhaité, afin que le Gestionnaire de groupe de travail entre l’adresse Ethernet et le nom de l’ordinateur à votre place. 8 Entrez une description, comme le nom de l’ordinateur. 9 Entrez un commentaire. Les commentaires sont utiles car ils permettent d’ajouter des informations supplémentaires concernant l’emplacement d’un ordinateur, sa configuration (s’il s’agit d’un ordinateur configuré pour une personne ayant des besoins particuliers) ou les périphériques qui y sont connectés. Vous pouvez également utiliser les commentaires pour ajouter des informations d’identification supplémentaires, telles que le modèle ou le numéro de série de l’ordinateur. 10 Cliquez sur Enregistrer. 11 Ajoutez des ordinateurs et des informations jusqu’à ce que votre liste soit complète.Chapitre 6 Configuration des comptes d’ordinateur 101 Modification des informations sur un ordinateur Une fois un ordinateur ajouté à un compte, vous pouvez modifier les informations nécessaires. Pour modifier les informations d’ordinateur : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône représentant un globe sous la barre d’outils et choisissez le domaine de répertoires qui contient le compte d’ordinateur que vous souhaitez modifier, puis cliquez sur Comptes. 3 Cliquez sur le verrou, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Cliquez sur le bouton Ordinateurs, puis sur Liste. 5 Sélectionnez un compte d’ordinateur. 6 Dans le tableau Liste, sélectionnez l’ordinateur dont vous souhaitez modifier les informations, puis cliquez sur Modifier. 7 Modifiez les données des champs d’informations selon vos besoins, puis cliquez sur Enregistrer. Déplacement d’un ordinateur vers un autre compte Il peut s’avérer parfois nécessaire de regrouper les ordinateurs différemment. Le Gestionnaire de groupe de travail vous permet de transférer en toute simplicité des ordinateurs d’une liste à l’autre. Les ordinateurs ne peuvent pas appartenir à plusieurs listes et ne peuvent pas être déplacés vers le compte des ordinateurs invités. Pour transférer un ordinateur d’une liste à l’autre : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône représentant un globe sous la barre d’outils et choisissez le domaine de répertoires qui contient le compte d’ordinateur que vous souhaitez modifier, puis cliquez sur Comptes. 3 Cliquez sur le verrou, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Cliquez sur le bouton Ordinateurs, puis sur Liste. 5 Sélectionnez un compte d’ordinateur. 6 Dans le panneau Liste, sélectionnez l’ordinateur à transférer, puis cliquez sur Modifier. 7 Sélectionnez un nouveau compte d’ordinateur dans le menu local Placer dans la liste, puis cliquez sur OK. 8 Cliquez sur Enregistrer. Suppression d’ordinateurs individuels d’un compte d’ordinateur Lorsque vous supprimez un ordinateur d’un compte, cet ordinateur n’est plus géré.102 Chapitre 6 Configuration des comptes d’ordinateur Pour supprimer un ordinateur d’une liste : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône représentant un globe sous la barre d’outils et choisissez le domaine de répertoires qui contient le compte d’ordinateur que vous souhaitez modifier, puis cliquez sur Comptes. 3 Cliquez sur le verrou, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Cliquez sur le bouton Ordinateurs, puis sur Liste. 5 Sélectionnez un compte d’ordinateur. 6 Dans le tableau Liste, sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs de la liste de ce compte. 7 Cliquez sur Supprimer puis sur Enregistrer. Suppression d’un compte d’ordinateur Si tous les ordinateurs répertoriés dans un compte d’ordinateur vous sont désormais inutiles, vous pouvez supprimer la totalité de ce compte. Vous ne pouvez pas supprimer le compte des ordinateurs invités. Pour supprimer un compte d’ordinateur : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône représentant un globe sous la barre d’outils et choisissez le domaine de répertoires qui contient le compte d’ordinateur que vous souhaitez modifier, puis cliquez sur Comptes. 3 Cliquez sur le verrou, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Cliquez sur le bouton Ordinateurs, puis sur Liste. 5 Sélectionnez un compte d’ordinateur. 6 Choisissez Serveur > Effacer la liste d’ordinateurs sélectionnée ou cliquez sur Supprimer dans la barre d’outils. Recherche de comptes d’ordinateur Le Gestionnaire de groupe de travail est doté d’une fonction de recherche permettant de localiser rapidement des comptes d’ordinateur spécifiques. Vous pouvez lancer la recherche au sein d’un domaine sélectionné et filtrer les résultats. Pour rechercher des comptes d’ordinateur : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur le verrou, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 3 Cliquez sur Comptes, puis cliquez sur le bouton Ordinateurs. Avertissement : cette action est irréversible.Chapitre 6 Configuration des comptes d’ordinateur 103 4 Cliquez sur l’icône représentant un globe sous la barre d’outils et choisissez un domaine de répertoires pour limiter votre recherche à l’un des emplacements suivants : Répertoire local : pour ne rechercher des enregistrements de compte que sur les volumes locaux. Chemin de recherche : pour rechercher des enregistrements de comptes à l’aide du chemin défini dans Format de répertoire pour l’ordinateur auquel vous êtes connecté (par exemple, monserveur.mondomaine.com). Autre : pour naviguer et sélectionner un domaine de répertoire dans lequel on effectuera la recherche d’enregistrements de comptes. 5 Vous pouvez sélectionner un filtre supplémentaire dans le menu local situé en regard du champ de recherche. 6 Tapez des termes de recherche dans le champ correspondant. Gestion des ordinateurs invités Si un ordinateur inconnu (n’appartenant pas déjà à un compte d’ordinateur) se connecte à votre réseau et tente d’accéder à des services, il doit être traité en tant qu’ordinateur “invité”. Les réglages choisis pour le compte des ordinateurs invités s’appliquent aux ordinateurs inconnus ou “invités”. L’utilisation du compte des ordinateurs invités n’est pas recommandée pour un grand nombre d’ordinateurs. Il est préférable que la plupart de vos ordinateurs appartiennent à des listes d’ordinateurs ordinaires. Au cours de l’installation d’un logiciel de serveur, un enregistrement d’ordinateur invité est automatiquement créé, uniquement dans le domaine de répertoires d’origine. Par la suite, un administrateur de serveur peut créer des comptes supplémentaires pour ordinateurs invités dans d’autres domaines de répertoires. Une fois le compte créé, les ordinateurs invités apparaissent dans la liste des comptes d’ordinateur. Chaque domaine de répertoires peut disposer d’un seul compte pour ordinateurs invités. Votre configuration réseau peut ou non vous permettre de créer un compte pour ordinateurs invités dans certains domaines de répertoires. Remarque : vous ne pouvez ni ajouter, ni déplacer des ordinateurs vers le compte des ordinateurs invités, ni modifier le nom de la liste. Pour configurer le compte des ordinateurs invités : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône représentant un globe sous la barre d’outils et choisissez le domaine de répertoires qui contient le compte d’ordinateur invité que vous souhaitez modifier, puis cliquez sur Comptes. 3 Cliquez sur le verrou, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe.104 Chapitre 6 Configuration des comptes d’ordinateur 4 Cliquez sur le bouton Ordinateurs. 5 Sélectionnez Ordinateurs invités dans la liste des comptes. 6 Cliquez sur Liste, puis sélectionnez un réglage pour les préférences. Pour configurer des préférences gérées, sélectionnez Définir. Si vous sélectionnez cette option, cliquez sur Enregistrer et passez à l’étape 7. Pour appliquer les réglages de préférences gérées du serveur parent aux ordinateurs invités, sélectionnez Recevoir. Si vous sélectionnez cette option, cliquez sur Enregistrer. L’étape 7 n’est pas nécessaire. 7 Si vous avez sélectionné Définir, cliquez sur Accès puis sélectionnez les réglages que vous voulez utiliser. Cliquez sur Cache, définissez une fréquence d’effacement de la mémoire cache des préférences, puis cliquez sur Enregistrer. Une fois le compte des ordinateurs invités configuré, vous pouvez gérer les préférences que vous souhaitez pour ce compte. Pour plus d’informations sur l’utilisation des préférences gérées, consultez la section “Compréhension de la gestion des préférences” à la page 122 et le chapitre 9, “Gestion des préférences pour Mac OS X”. Si vous ne sélectionnez aucun réglage ni aucune préférence pour le compte des ordinateurs invités, ce dernier n’est pas géré. Toutefois, si l’utilisateur d’un ordinateur dispose d’un compte d’utilisateur Mac OS X Server avec des préférences de groupe ou d’utilisateur gérés, ces réglages s’appliquent lorsqu’il se connecte à votre réseau et ouvre une session. Si l’utilisateur possède un compte d’administrateur sur l’ordinateur, il peut, au moment de sa connexion, choisir d’être géré ou non. Les utilisateurs non gérés peuvent recourir à la commande Aller au dossier pour accéder à un répertoire de départ situé sur le réseau. Utilisation des réglages d’accès Les réglages du volet Accès vous permettent de rendre les ordinateurs d’une liste disponibles pour les utilisateurs de groupes. Vous pouvez soit n’autoriser que certains groupes à accéder aux ordinateurs d’une liste, soit autoriser tous les groupes (donc tous les utilisateurs) à accéder aux ordinateurs d’une liste. Vous pouvez également contrôler certains aspects de l’accès des utilisateurs locaux. Restriction de l’accès aux ordinateurs Il est possible de réserver l’accès de certains ordinateurs à des utilisateurs spécifiques. Cela permet de faciliter la fourniture d’accès à des ressources limitées. Par exemple, si vous disposez de deux ordinateurs dotés des logiciels et du matériel adaptés à l’importation et à la modification de vidéo, vous pouvez les réserver aux utilisateurs ayant besoin de produire de la vidéo. Assurez-vous d’abord que les comptes de ces utilisateurs existent, ajoutez-les à un groupe “production vidéo”, puis attribuez-leur l’accès exclusif aux ordinateurs de production vidéo.Chapitre 6 Configuration des comptes d’ordinateur 105 Remarque : un utilisateur disposant d’un compte d’administrateur local peut se connecter à tout moment. Pour réserver des ordinateurs à l’usage exclusif de certains groupes : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône représentant un globe sous la barre d’outils et choisissez le domaine de répertoires qui contient le compte d’ordinateur que vous souhaitez modifier, puis cliquez sur Comptes. 3 Cliquez sur le verrou, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Cliquez sur le bouton Ordinateurs. 5 Sélectionnez un compte d’ordinateur, puis cliquez sur Accès. 6 Sélectionnez l’option Limiter aux groupes ci-dessous. 7 Cliquez sur Ajouter, sélectionnez un ou plusieurs groupe(s), puis glissez-les vers la liste. Pour supprimer un groupe autorisé, sélectionnez-le, puis cliquez sur Supprimer. Mise d’ordinateurs à la disposition de tous les utilisateurs Vous pouvez mettre les ordinateurs d’une liste à la disposition de tout utilisateur provenant de l’un quelconque des groupes que vous avez définis. Pour mettre des ordinateurs à la disposition de tous les utilisateurs : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône représentant un globe sous la barre d’outils et choisissez le domaine de répertoires qui contient le compte d’ordinateur que vous souhaitez modifier, puis cliquez sur Comptes. 3 Cliquez sur le verrou, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Cliquez sur le bouton Ordinateurs. 5 Sélectionnez un compte d’ordinateur, puis cliquez sur Accès. 6 Sélectionnez l’option Tous les groupes peuvent utiliser l’ordinateur. Utilisation de comptes d’utilisateur locaux Les comptes locaux servent aussi bien aux ordinateurs fixes que portables, qu’ils soient utilisés par une ou plusieurs personne(s). Toute personne dotée d’un compte d’administrateur local sur un ordinateur client peut créer des comptes d’utilisateur local via le volet Comptes dans les préférences Système. Les utilisateurs locaux sont authentifiés en local. Si vous projetez d’équiper des personnes d’ordinateurs portables (iBooks, par exemple), vous pouvez attribuer à chacune la fonction d’administrateur local de l’ordinateur qu’elle utilise. Un administrateur local dispose d’autorisations plus étendues qu’un utilisateur local ou réseau. Par exemple, un administrateur local peut ajouter des imprimantes, changer des réglages de réseau ou choisir de ne pas être géré.106 Chapitre 6 Configuration des comptes d’ordinateur La gestion la plus simple des préférences de comptes d’utilisateur local consiste à traiter les préférences de l’ordinateur doté des comptes locaux et celles des groupes de travail affectés à cet ordinateur. Pour autoriser l’accès aux utilisateurs dotés de comptes locaux : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône représentant un globe sous la barre d’outils et choisissez le domaine de répertoires qui contient le compte d’ordinateur que vous souhaitez modifier, puis cliquez sur Comptes. 3 Cliquez sur le verrou, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Cliquez sur le bouton Ordinateurs. 5 Sélectionnez un compte contenant les ordinateurs avec utilisateurs locaux, puis cliquez sur Accès. 6 Le compte sélectionné doit permettre aux utilisateurs locaux d’ouvrir une session. Assurez-vous que l’option Autoriser les utilisateurs de comptes exclusivement locaux est sélectionnée. 7 Pour qu’une liste de l’ensemble des groupes de travail disponibles s’affiche lors de la connexion des utilisateurs locaux, sélectionnez Tous les groupes peuvent utiliser l’ordinateur. 8 Pour que seuls certains groupes de travail apparaissent lorsque les utilisateurs se connectent, sélectionnez l’option Limiter aux groupes ci-dessous, puis ajoutez des groupes à la liste. 9 Cliquez sur Enregistrer.7 107 7 Configuration des répertoires de départ Les répertoires de départ sont des dossiers destinés à l’usage personnel des utilisateurs. Mac OS X utilise également le répertoire de départ pour, par exemple, stocker des préférences système et des réglages d’utilisateur géré pour les utilisateurs Mac OS X. Ce chapitre décrit les principes généraux de configuration et de gestion des répertoires de départ. À propos des répertoires de départ Vous pouvez configurer des répertoires de départ de manière à les rendre accessibles à l’aide soit du protocole AFP (Apple Filing Protocol), soit du système NFS (Network File System) : • Il est préférable d’utiliser le protocole AFP, car il offre une sécurité d’accès par authentification. L’utilisateur doit ouvrir une session avec un nom et un mot de passe valides pour pouvoir accéder aux fichiers. • L’accès aux fichiers NFS n’étant pas basé sur l’authentification des utilisateurs mais sur les adresses IP client, c’est un protocole généralement moins sûr que AFP. N’utilisez NFS que si vous avez besoin de fournir des répertoires de départ à de nombreux utilisateurs travaillant avec des stations de travail UNIX. Pour configurer le répertoire de départ d’un utilisateur dans le Gestionnaire de groupe de travail, utilisez le volet Départ de la fenêtre Comptes :108 Chapitre 7 Configuration des répertoires de départ Vous pouvez aussi importer des réglages de répertoire de départ d’utilisateur à partir d’un fichier. Pour savoir comment travailler avec des fichiers d’importation, consultez l’annexe, “Importation et exportation d’informations de compte”. Il n’est pas nécessaire que le répertoire de départ d’un utilisateur soit stocké sur le même serveur que le domaine de répertoires contenant son compte d’utilisateur. D’ailleurs, répartir les domaines de répertoires et les répertoires de départ sur plusieurs serveurs peut vous aider à équilibrer la charge de travail entre différents serveurs. “Répartition de répertoires de départ sur plusieurs serveurs” à la page 108 décrit plusieurs de ces scénarios. Si le compte d’un utilisateur réside sur un serveur qui est un contrôleur de domaine principal Windows, le répertoire de départ que vous désignez dans le volet Départ peut être utilisé lors de l’ouverture d’une session depuis une station de travail Windows ou un ordinateur Mac OS X. Consultez le guide d’administration des services Windows pour plus d’informations sur la configuration des répertoires de départ pour les utilisateurs de stations de travail Windows. Répartition de répertoires de départ sur plusieurs serveurs L’illustration ci-dessous montre un serveur Mac OS X Server destiné au stockage de comptes d’utilisateur et deux autres pour stocker des répertoires de départ AFP. Lorsqu’un utilisateur se connecte, il est authentifié à l’aide d’un compte stocké dans le domaine de répertoires partagé sur le serveur de comptes. L’emplacement du répertoire de départ de l’utilisateur, stocké dans le compte, sert à monter le répertoire de départ qui réside physiquement sur l’un des deux serveurs de répertoires de départ. Mac OS X Servers Comptes d’utilisateur Répertoires de départ A à M Répertoires de départ N à ZChapitre 7 Configuration des répertoires de départ 109 Les étapes ci-dessous permettent de configurer ce scénario pour les répertoires de départ AFP : Étape 1 : Créez un domaine partagé pour les comptes d’utilisateur sur le serveur de comptes. Pour plus d’informations sur la création de domaines partagés, consultez le guide d’administration Open Directory. Étape 2 : Configurez un point de partage montable automatiquement pour les répertoires de départ sur chaque serveur. Ce chapitre décrit plus en avant la configuration des points de partage montables automatiquement. Étape 3 : Créez les comptes d’utilisateur dans le domaine partagé sur le serveur de comptes. Ce chapitre décrit plus en avant la configuration des comptes de sorte que les répertoires de départ soient stockés dans l’un ou l’autre des points de partage montables automatiquement. Reportez-vous aux instructions de la section “Création de comptes d’utilisateur Mac OS X Server” à la page 57 pour savoir comment configurer les attributs des comptes d’utilisateur, ainsi que celles des sections ultérieures de ce chapitre pour obtenir des détails spécifiques sur la configuration des répertoires de départ. Étape 4 : Configurez les services de répertoire des ordinateurs clients afin que leur politique de recherche inclue le domaine de répertoire partagé sur le serveur de comptes. Consultez le guide d’administration Open Directory pour plus d’informations sur la configuration des politiques de recherche. Quand un utilisateur redémarre son ordinateur, puis ouvre une session en utilisant le compte du domaine partagé, le répertoire de départ est automatiquement créé (si ce n’est déjà fait) sur le serveur approprié et visible sur l’ordinateur de l’utilisateur. Spécification d’aucun répertoire de départ Vous pouvez utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour qu’un compte d’utilisateur doté d’un répertoire de départ n’en ait plus. Par défaut, les nouveaux utilisateurs ne disposent d’aucun répertoire de départ. Pour ne définir aucun répertoire de départ : 1 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur Comptes puis sur le bouton Utilisateurs. 2 Ouvrez le domaine de répertoires dans lequel réside le compte d’utilisateur et authentifiez-vous comme administrateur du domaine.110 Chapitre 7 Configuration des répertoires de départ Pour ouvrir un domaine de répertoires, cliquez sur la petite icône représentant un globe au-dessus de la liste des utilisateurs et faites votre choix dans le menu local. Pour vous authentifier, cliquez sur le verrou et saisissez le nom et le mot de passe d’un administrateur du domaine de répertoires. 3 Sélectionnez le compte d’utilisateur avec lequel vous souhaitez travailler. 4 Cliquez sur Départ, puis sélectionnez Aucun dans la liste. 5 Cliquez sur Enregistrer. Création d’un répertoire de départ pour un utilisateur local Vous pouvez utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour définir des répertoires de départ aux utilisateurs dont les comptes sont stockés dans un domaine de répertoires local du serveur. Vous avez aussi la possibilité d’utiliser des comptes d’utilisateur locaux sur des serveurs autonomes (non accessibles à partir d’un réseau) et des comptes d’administrateur sur un serveur. Les répertoires de départ des utilisateurs locaux doivent être stockés dans des points de partage AFP, sur le serveur dans lequel résident leurs comptes. Il n’est pas nécessaire que ces points de partage soient montables automatiquement (aucun enregistrement de montage de réseau n’est requis). Pour créer un répertoire de départ pour un compte d’utilisateur local : 1 Assurez-vous qu’un point de partage pour le répertoire de départ existe sur le serveur où réside le compte d’utilisateur local. Vous pouvez utiliser le point de partage prédéfini /Users ou tout autre point de partage AFP préalablement défini sur le serveur. Une autre solution consiste à établir votre propre point de partage. Si vous utilisez un point de partage existant, passez à l’étape 4. Pour définir un nouveau point de partage, continuez avec les étapes 2 et 3. Étant donné le principe des quotas de disques de répertoires de départ, vous pouvez configurer les points de partage de répertoire de départ sur une partition différente des autres points de partage. Pour plus d’informations, consultez la section “Définition de quotas de disque” à la page 119. 2 À l’aide du Finder, créez, le cas échéant, le dossier que vous souhaitez utiliser comme point de partage. 3 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, connectez-vous au serveur sur lequel réside le compte d’utilisateur local, puis cliquez sur Partage pour configurer le dossier comme point de partage AFP. Cliquez sur Tous (à gauche au-dessus de la liste), puis sélectionnez le dossier. Cliquez sur Général et sélectionnez Partager cet élément et son contenu.Chapitre 7 Configuration des répertoires de départ 111 Spécifiez le nom du possesseur du point de partage et du groupe dans les champs correspondants ou faites-les glisser depuis le Finder qui s’ouvre après avoir cliqué sur Utilisateur et Groupe. Réglez les autorisations du Possesseur sur Lecture et écriture et celles du Groupe et de Tous sur Lecture seule. Cliquez sur Enregistrer. 4 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur Comptes et ouvrez le compte d’utilisateur souhaité (si ce n’est déjà fait). Pour ouvrir un compte d’utilisateur local, cliquez sur le bouton Utilisateurs. Cliquez sur le petit globe au-dessus de la liste des utilisateurs et utilisez le menu local pour ouvrir le domaine de répertoires local. Cliquez sur le verrou et authentifiez-vous comme administrateur du domaine de répertoires local, puis sélectionnez l’utilisateur dans la liste correspondante. 5 Cliquez sur Départ pour configurer le répertoire de départ de l’utilisateur sélectionné. 6 Dans la liste des points de partage, sélectionnez celui que vous souhaitez utiliser. La liste affiche tous les points de partage AFP du serveur auquel vous êtes connecté. 7 Saisissez un quota de disque et spécifiez s’il s’agit de méga-octets (Mo) ou de gigaoctets (Go) (facultatif). 8 Cliquez sur Créer Départ puis sur Enregistrer. Si vous ne cliquez pas sur Créer Départ avant Enregistrer, le répertoire de départ est la prochaine fois que l’utilisateur redémarre l’ordinateur client et qu’il se connecte à distance. Le nom du répertoire du départ est identique au premier nom abrégé de l’utilisateur. 9 Assurez-vous que le service AFP est actif sur le serveur où réside le répertoire de départ de l’utilisateur local. Pour vérifier l’état du service AFP, ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur sur lequel réside le compte d’utilisateur local. Sélectionnez AFP dans la liste Ordinateurs et services, puis cliquez sur Vue d’ensemble. Si l’état indique que le service AFP est arrêté, choisissez Serveur > Démarrer le service ou cliquez sur Démarrer le service dans la barre d’outils. Création d’un répertoire de départ de réseau Dans le Gestionnaire de groupe de travail, vous pouvez configurer un répertoire de départ réseau pour un compte d’utilisateur stocké dans un domaine de répertoires partagé. 112 Chapitre 7 Configuration des répertoires de départ Le répertoire de départ d’un utilisateur peut résider dans tout point de partage AFP ou NFS auquel peut accéder l’ordinateur de l’utilisateur. Le point de partage doit être montable automatiquement, c’est-à-dire qu’il doit y avoir un enregistrement de montage de réseau dans le domaine de répertoires où réside le compte d’utilisateur. Un point de partage montable automatiquement garantit que le répertoire de départ est automatiquement visible dans /Network/Servers quand l’utilisateur se connecte à un ordinateur Mac OS X configuré pour pouvoir accéder au domaine partagé. Il permet aussi à d’autres utilisateurs d’accéder au répertoire de départ à l’aide du raccourci ~nom-répertoire-départ. Vous pouvez utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour définir un répertoire de départ réseau pour un utilisateur dont le compte est stocké dans le répertoire LDAP d’un maître Open Directory ou dans un autre domaine de répertoires en lecture/ écriture accessible depuis le serveur que vous utilisez. Vous pouvez aussi utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour consulter les informations relatives à un répertoire de départ dans tout domaine de répertoires accessible en lecture seule. Pour créer un répertoire de départ de réseau dans un point de partage AFP ou NFS : 1 Assurez-vous que le point de partage existe sur le serveur où vous souhaitez que réside le répertoire de départ et que celui-ci dispose d’un enregistrement de montage de réseau configuré pour les répertoires de départ. Consultez la section “Configuration d’un point de partage AFP montable automatiquement pour des répertoires de départ” à la page 116 ou “Configuration d’un point de partage NFS montable automatiquement pour des répertoires de départ” à la page 117 pour plus d’instructions. 2 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, ouvrez le compte d’utilisateur souhaité (si ce n’est déjà fait). Pour ouvrir un compte d’utilisateur, connectez-vous au serveur sur lequel il réside. Cliquez sur Comptes, puis sur le bouton Utilisateurs. Cliquez sur le petit globe au-dessus de la liste des utilisateurs, puis déroulez le menu local pour ouvrir le domaine de répertoires où est stocké le groupe d’utilisateur. Cliquez sur le verrou et authentifiez-vous comme administrateur du domaine de répertoires, avant de sélectionner l’utilisateur dans la liste correspondante. 3 Cliquez sur Départ pour configurer le répertoire de départ de l’utilisateur sélectionné. 4 Dans la liste des points de partage, sélectionnez celui à utiliser.Chapitre 7 Configuration des répertoires de départ 113 La liste affiche l’ensemble des points de partage montables automatiquement et visibles sur le réseau dans le chemin de recherche du serveur auquel vous êtes connecté. Si le point de partage que vous voulez sélectionner ne figure pas dans la liste, cliquez sur Actualiser. S’il n’apparaît toujours pas, c’est qu’il n’est peut-être pas montable automatiquement. Dans ce cas, vous devez configurer un point de partage avec un enregistrement de montage de réseau, configuré pour les répertoires de départ comme décrit à l’étape 1. 5 Saisissez un quota de disque et spécifiez s’il s’agit de méga-octets (Mo) ou de giga-octets (Go) (facultatif). 6 Cliquez sur Créer Départ puis sur Enregistrer. Si vous ne cliquez pas sur Créer Départ avant de cliquer sur Enregistrer, le répertoire de départ sera créé la prochaine fois que l’utilisateur redémarre l’ordinateur client et qu’il se connecte à distance. Le nom du répertoire du départ est identique au premier nom abrégé de l’utilisateur. 7 Assurez-vous que l’utilisateur redémarre son ordinateur client pour y rendre visible le point de partage. Notez que lorsqu’un utilisateur ouvre une session à l’aide de SSH pour obtenir un accès au serveur par ligne de commande, son répertoire de départ n’est pas monté et il ne peut y accéder qu’en qualité d’invité. Si vous souhaitez déterminer l’emplacement de stockage du répertoire de départ de l’utilisateur dans un point de partage précis et choisir la manière dont il est nommé, cliquez sur Ajouter [+] ou sur Dupliquer (icône de copie) pour créer un répertoire de départ personnalisé. Consultez la section “Création d’un répertoire de départ personnalisé” (ci-après) pour plus d’instructions. Création d’un répertoire de départ personnalisé Dans le Gestionnaire de groupe de travail, vous pouvez personnaliser les réglages du répertoire de départ d’un utilisateur. Cette personnalisation s’avère nécessaire lorsque : • Vous souhaitez que le répertoire de départ de l’utilisateur réside dans des répertoires qui ne sont pas situés immédiatement sous le point de partage du répertoire de départ. Par exemple, vous pouvez organiser des répertoires de départ en plusieurs sous-répertoires au sein d’un point de partage. Si Homes correspond au point de partage du répertoire de départ, vous pouvez placer les répertoires de départ des professeurs sous Homes/Teachers et ceux des étudiants sous Homes/Students. • Spécifiez un nom de répertoire de départ différent du premier nom abrégé de l’utilisateur.114 Chapitre 7 Configuration des répertoires de départ Vous pouvez utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour définir un répertoire de départ personnalisé pour un utilisateur dont le compte est stocké dans un domaine de répertoires local du serveur ou dans un domaine de répertoires partagé accessible depuis le serveur que vous utilisez. Le domaine de répertoires partagé peut être le répertoire LDAP d’un maître Open Directory ou un autre domaine de répertoires en lecture/écriture. Vous pouvez aussi utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour observer les informations relatives à un répertoire de départ dans tout domaine de répertoires accessible en lecture seule. Pour créer un répertoire de départ personnalisé à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail : 1 Assurez-vous que le point de partage existe et qu’il est correctement configuré. Le point de partage destiné au répertoire de départ d’un utilisateur local doit résider dans un point de partage AFP sur le serveur où se trouve le compte de l’utilisateur. Il n’est pas nécessaire que ce point de partage soit montable automatiquement (aucun enregistrement de montage de réseau n’est requis). Le point de partage destiné au répertoire de départ d’un compte d’utilisateur dans un domaine de répertoires partagé peut résider dans un point de partage AFP ou NFS, à condition que l’ordinateur de l’utilisateur puisse y accéder. Le point de partage doit être montable automatiquement, c’est-à-dire qu’il doit y avoir un enregistrement de montage de réseau dans le répertoire. Consultez la section “Configuration d’un point de partage AFP montable automatiquement pour des répertoires de départ” à la page 116 ou “Configuration d’un point de partage NFS montable automatiquement pour des répertoires de départ” à la page 117 pour plus d’instructions. 2 Si vous voulez que le répertoire de départ se trouve dans un dossier du point de partage, utilisez le Finder pour créer tous les dossiers nécessaires dans le chemin entre le point de partage et l’emplacement de stockage du répertoire de départ. 3 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, ouvrez le compte d’utilisateur souhaité (si ce n’est déjà fait). Pour ouvrir un compte d’utilisateur, connectez-vous au serveur sur lequel il réside. Cliquez sur Comptes, puis sur le bouton Utilisateurs. Cliquez sur le petit globe audessus de la liste des utilisateurs, puis déroulez le menu local pour ouvrir le domaine de répertoires où est stocké le groupe d’utilisateur. Cliquez sur le verrou et authentifiezvous comme administrateur du domaine de répertoires, avant de sélectionner l’utilisateur dans la liste correspondante. 4 Cliquez sur Départ pour configurer le répertoire de départ de l’utilisateur sélectionné. 5 Cliquez sur Ajouter [+] pour ajouter un emplacement de répertoire de départ personnalisé ou sur Dupliquer (icône de copie) pour copier un emplacement existant.Chapitre 7 Configuration des répertoires de départ 115 Vous pouvez supprimer un emplacement de répertoire de départ en le sélectionnant, puis en cliquant sur Supprimer [–]. Vous ne pouvez supprimer que les emplacements ajoutés à l’aide du bouton Ajouter ou Dupliquer. 6 Dans le champ URL, vous pouvez soit saisir l’URL complète d’un point de partage AFP existant montable automatiquement et dans lequel vous souhaitez stocker le répertoire de départ, soit ne rien entrer pour un point de partage NFS. Par exemple, si le point de partage AFP est Homes et que vous utilisez DNS, vous devez saisir AFP://serveur.exemple.com/Homes. Si vous n’utilisez pas DNS, remplacez le nom DNS du serveur hébergeant le répertoire de départ par son adresse IP : AFP:// 192.168.2.1/Homes.” Vous pouvez utiliser ou omettre la barre oblique (/) à la fin de l’URL. 7 Dans le champ Chemin, vous pouvez soit saisir le chemin allant du point de partage AFP au répertoire de départ, en incluant ce dernier mais en excluant le point de partage, soit ne rien entrer pour un point de partage NFS. Par exemple, vous pouvez saisir Teachers/SecondGrade/Smith. Ne placez pas de barre oblique (/) au début ni à la fin du chemin. 8 Dans le champ Départ, entrez le chemin complet du répertoire de départ, en terminant par ce dernier. Insérez une barre oblique (/) au début, mais pas à la fin. Exemple pour un compte d’utilisateur local : /Users/Teachers/SecondGrade/Smith Exemple pour un compte d’utilisateur dans un domaine de répertoires partagé : /Network/Servers/myServer/Homes/Teachers/SecondGrade/Smith Le nom saisi après /Network/Servers/ doit être le nom d’hôte entré lors de la configuration initiale du serveur. Si vous ne le connaissez pas, ouvrez l’application Terminal, tapez nom de domaine et appuyez sur Entrée pour afficher le nom. 9 Cliquez sur OK. 10 Saisissez un quota de disque et spécifiez s’il s’agit de méga-octets (Mo) ou de gigaoctets (Go) (facultatif). 11 Cliquez sur Créer Départ puis sur Enregistrer. Le nom du répertoire de départ est celui spécifié à l’étape 8. Si vous ne cliquez pas sur Créer Départ avant de cliquer sur Enregistrer, le répertoire de départ sera créé la prochaine fois que l’utilisateur redémarre l’ordinateur client et qu’il se connecte à distance. 12 Pour un compte d’utilisateur dans un domaine de répertoires partagé, assurez-vous que l’utilisateur redémarre son ordinateur client afin d’y rendre visible le point de partage. 116 Chapitre 7 Configuration des répertoires de départ Configuration d’un point de partage AFP montable automatiquement pour des répertoires de départ Vous pouvez utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour configurer des points de partage AFP pour des répertoires de départ. Les répertoires de départ de comptes d’utilisateur stockés dans des domaines de répertoire partagés, comme le répertoire LDAP d’un maître Open Directory, peuvent résider dans tout point de partage AFP accessible par l’ordinateur de l’utilisateur. Ce point de partage doit être montable automatiquement, c’est-à-dire qu’il doit y avoir un enregistrement de montage de réseau dans le domaine de répertoires où réside le compte d’utilisateur. Un point de partage montable automatiquement garantit que le répertoire de départ est toujours visible dans /Network/Servers quand l’utilisateur se connecte à un ordinateur Mac OS X configuré pour pouvoir accéder au domaine partagé. Il permet aussi à d’autres utilisateurs d’accéder au répertoire de départ à l’aide du raccourci ~nom-répertoire-départ. Pour configurer un point de partage AFP montable automatiquement pour des répertoires de départ : 1 Sur le serveur où vous souhaitez que résident les répertoires de départ, créez un dossier qui servira de point de partage à ces répertoires de départ. Si vous souhaitez des répertoires de départ de réseau pour les administrateurs, placezles sur un autre disque ou sur une partition différente, et configurez ce disque ou cette partition en tant que point de partage. Les utilisateurs standard peuvent visualiser les points de partage configurés par les administrateurs, mais ces derniers voient uniquement les disques comme points de partage. Étant donné le principe des quotas de disques de répertoires de départ, vous pouvez configurer les points de partage de répertoire de départ sur une partition différente des autres points de partage. Pour plus de détails, consultez la rubrique “Définition de quotas de disque” à la page 119. 2 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, connectez-vous au serveur de l’étape 1, puis cliquez sur Partage. 3 Cliquez sur Tout (au-dessus de la liste à gauche) et sélectionnez le dossier créé pour le point de partage. 4 Dans la fenêtre générale, sélectionnez Partager cet élément et son contenu. 5 Spécifiez les noms du possesseur du point de partage et du groupe en saisissant leur nom dans les champs correspondants ou en y faisant glisser les noms depuis le Finder qui s’ouvre après avoir cliqué sur Utilisateurs et groupes. 6 Réglez les autorisations du Possesseur sur Lecture et écriture et celles du Groupe et de Tous sur Lecture seule, puis cliquez sur Enregistrer. Chapitre 7 Configuration des répertoires de départ 117 7 Cliquez sur Montage de réseau, et authentifiez-vous comme administrateur du domaine de répertoires dans lequel réside le compte d’utilisateur. Utilisez le menu local Emplacement pour choisir le domaine de répertoires dans lequel réside le compte d’utilisateur. Cliquez ensuite sur le verrou et authentifiez-vous comme administrateur du domaine de répertoires. 8 Sélectionnez Créer un enregistrement de montage pour ce point de partage et Utiliser pour les répertoires de départ des utilisateurs. 9 Assurez-vous que le menu local Protocole est réglé sur AFP, puis cliquez sur Enregistrer. 10 Configurez le point de partage pour pouvoir y accéder en invité, de sorte que les utilisateurs dont les répertoires de départ sont situés sur des serveurs différents puissent accéder au répertoire de départ à l’aide du raccourci ~nom-répertoire-depart/Public. Cliquez sur Protocoles, choisissez Réglages de fichiers Apple dans le menu local, puis veillez à bien sélectionner Partager cet élément via AFP et Autoriser l’accès comme invité AFP. (Options sélectionnées par défaut.) Dans Admin Serveur, assurez-vous que l’option Accès comme invité AFP est activée. Connectez-vous au serveur du répertoire de départ et sélectionnez AFP dans la liste Ordinateurs et services. Cliquez sur Réglages puis sur Accès, et assurez-vous que l’option Autoriser l’accès en invité est sélectionnée. Vérifiez aussi que le service AFP est bien actif. Configuration d’un point de partage NFS montable automatiquement pour des répertoires de départ Bien qu’il soit préférable d’utiliser le protocole AFP pour accéder aux répertoires de départ en raison du niveau de sécurité offert, vous pouvez employer le Gestionnaire de groupe de travail pour configurer un point de partage NFS de réseau pour les répertoires de départ. Les points de partage NFS peuvent être utilisés pour des répertoires de départ d’utilisateurs définis dans des domaines de répertoires partagés, comme le répertoire LDAP d’un maître Open Directory. Le point de partage doit être montable automatiquement, c’est-à-dire qu’il doit y avoir un enregistrement de montage de réseau dans le domaine de répertoires où réside le compte d’utilisateur. Un point de partage montable automatiquement garantit que le répertoire de départ est automatiquement visible dans /Network/Servers quand l’utilisateur se connecte à un ordinateur Mac OS X configuré pour pouvoir accéder au domaine partagé. Il permet aussi à d’autres utilisateurs d’accéder au répertoire de départ à l’aide du raccourci ~nom-répertoire-départ. Pour configurer un point de partage NFS montable automatiquement pour des répertoires de départ : 1 Sur le serveur où vous souhaitez que résident les répertoires de départ, créez un dossier qui servira de point de partage à ces répertoires de départ.118 Chapitre 7 Configuration des répertoires de départ Si vous souhaitez des répertoires de départ de réseau pour les administrateurs, placezles sur un autre disque ou sur une partition différente, et configurez ce disque ou cette partition en tant que point de partage. Les utilisateurs standard peuvent visualiser les points de partage configurés par les administrateurs, mais ces derniers voient uniquement les disques comme points de partage. Étant donné le principe des quotas de disques de répertoires de départ, vous pouvez configurer les points de partage de répertoire de départ sur une partition différente des autres points de partage. Pour plus de détails, consultez la rubrique “Définition de quotas de disque” à la page 119. 2 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, connectez-vous au serveur de l’étape 1, puis cliquez sur Partage. 3 Cliquez sur Tout (au-dessus de la liste à gauche) et sélectionnez le dossier créé pour le point de partage. 4 Cliquez sur Général et sélectionnez Partager cet élément et son contenu. 5 Spécifiez les noms du possesseur du point de partage et du groupe en saisissant leur nom dans les champs correspondants ou en y faisant glisser les noms depuis le Finder qui s’ouvre après avoir cliqué sur Utilisateur et Groupe. 6 Réglez les autorisations du Possesseur sur Lecture et écriture et celles du Groupe et de Tous sur Lecture seule, puis cliquez sur Enregistrer. 7 Cliquez sur Protocoles, puis sélectionnez Réglages d’exportation NFS dans le menu local. 8 Sélectionnez Exporter cet élément et son contenu vers et veillez à bien choisir l’option Client dans le menu local qui s’affiche dessous. 9 Ajoutez les ordinateurs clients dont vous souhaitez autoriser l’accès au point de partage. Cliquez sur Ajouter et entrez l’adresse IP ou le nom d’hôte du client que vous souhaitez ajouter à la liste d’ordinateurs. Cliquez sur Supprimer pour supprimer l’adresse sélectionnée de la liste. 10 Configuration d’autorisations de point de partage. Sélectionnez Régler Utilisateur root sur aucun et décochez les cases restantes. 11 Cliquez sur Montage réseau, et authentifiez-vous comme administrateur du domaine de répertoires dans lequel réside le compte d’utilisateur. Utilisez le menu local Emplacement pour choisir le domaine de répertoires dans lequel réside le compte d’utilisateur. Cliquez ensuite sur le verrou et authentifiez-vous comme administrateur du domaine de répertoires. 12 Sélectionnez Créer un enregistrement de montage pour ce point de partage et Utiliser pour les répertoires de départ des utilisateurs. 13 Choisissez NFS dans le menu local Protocole, puis cliquez sur Enregistrer.Chapitre 7 Configuration des répertoires de départ 119 Définition de quotas de disque Vous pouvez limiter l’espace disque qu’un utilisateur peut employer pour stocker des fichiers qu’il possède dans la partition où se trouve son répertoire de départ. Ce quota ne s’applique pas au point de partage du répertoire de départ ni à ce dernier, mais à l’ensemble de la partition dans laquelle le point de partage du répertoire de départ et ce dernier résident. Pour cette raison, lorsqu’un utilisateur place des fichiers dans le dossier d’un autre utilisateur, cela peut avoir des conséquences au niveau du quota de disque de l’utilisateur : • Quand vous copiez un fichier dans la boîte de dépôt AFP d’un utilisateur, le propriétaire de cette dernière devient propriétaire du fichier. • Dans NFS cependant, lorsque vous copiez un fichier dans un autre dossier, vous en restez le propriétaire et l’opération de copie diminue votre quota de disque sur une partition spécifique. Pour configurer un quota de disque pour un point de partage du répertoire de départ à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail : 1 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, ouvrez le compte avec lequel vous souhaitez travailler. Pour ce faire, cliquez sur Comptes, puis sur le petit globe sous la barre d’outils et ouvrez le domaine de répertoires dans lequel il réside. Pour modifier le quota de disque, cliquez sur le verrou pour être authentifié, avant de sélectionner l’utilisateur dans la liste des utilisateurs. 2 Cliquez sur Départ. 3 Spécifiez le quota de disque à l’aide du champ correspondant et du menu local adjacent. 4 Assurez-vous que les quotas de disque sont actifs pour le volume sur lequel réside le point de partage. Cliquez sur Partage, sélectionnez le volume dans la liste Tous, puis choisissez Activer des quotas de disque sur ce volume. Définition de répertoires de départ par défaut à l’aide de préréglages Vous pouvez prédéfinir les réglages du répertoire de départ par défaut des nouveaux utilisateurs au moyen d’un préréglage. Pour plus d’informations sur la définition et l’utilisation des préréglages, consultez “Utilisation de préréglages pour créer des comptes” à la page 60.120 Chapitre 7 Configuration des répertoires de départ Déplacement de répertoires de départ Pour déplacer un répertoire de départ, créez-en un et supprimez manuellement l’existant si vous n’en avez plus l’utilité afin de libérer l’espace disque qu’il occupe. Suppression de répertoires de départ Lorsque vous supprimez un compte d’utilisateur, le répertoire de départ associé n’est pas automatiquement supprimé. Vous devez le supprimer manuellement.8 121 8 Vue d’ensemble de la gestion des clients Ce chapitre est une introduction à la gestion de clients Mac OS X, qui vous permet de contrôler les autorisations d’accès et de gérer les préférences d’utilisateur, de groupe et d’ordinateur. À propos de la gestion des clients La gestion de clients Mac OS X présente plusieurs avantages : • Vous pouvez tirer parti de la fonction d’autoconfiguration des services de répertoires pour configurer automatiquement les services de répertoires utilisés par les ordinateurs clients Mac OS X. • Lorsque vous mettez à jour des comptes d’utilisateur, de groupe et d’ordinateur, les utilisateurs Mac OS X gérés héritent automatiquement des modifications. Mettez à jour les comptes Mac OS 8 et 9 de façon indépendante à l’aide du Gestionnaire Macintosh. • Vous disposez d’un contrôle direct accru sur les préférences système individuelles. • Les répertoires de départ réseau et les répertoires de groupe peuvent être montés automatiquement à la connexion. Mac OS X Server vous permet également de configurer automatiquement les services de répertoires auxquels vous souhaitez accorder l’accès aux clients Mac OS X. Cette configuration automatique des services de répertoires signifie que lorsqu’un utilisateur se connecte à un ordinateur Mac OS X, la configuration du service de répertoires de l’utilisateur est automatiquement téléchargée du réseau et les politiques d’accès au réseau, les préférences et le bureau de l’utilisateur sont configurés, sans devoir configurer directement l’ordinateur client. Mac OS X Server inclut les applications Gestionnaire de groupe de travail, qui vous aide à configurer et à gérer les comptes Mac OS X, et Gestionnaire Macintosh, laquelle peut être installée séparément pour vous aider à gérer les comptes sur des ordinateurs Mac OS 9.122 Chapitre 8 Vue d’ensemble de la gestion des clients En outre, les fonctions NetBoot et Installation en réseau de Mac OS X Server vous aident à automatiser la configuration des logiciels utilisés par des ordinateurs clients Macintosh. Contrôle des autorisations d’accès Grâce à la gestion de certains réglages et préférences, vous pouvez contrôler l’accès au disque dur local, aux périphériques (par exemple, imprimantes, disques durs externes et supports de données), aux dossiers et fichiers, aux ressources réseau et aux applications. Compréhension de la gestion des préférences La gestion des utilisateurs résulte de la combinaison des réglages et préférences d’un utilisateur avec ceux de son groupe de travail et de son ordinateur. Le terme client géré fait référence à un utilisateur, un groupe ou un ordinateur dont les autorisations d’accès et/ou les préférences sont sous contrôle de l’administrateur. La gestion des clients vous permet de contrôler l’accès aux applications, aux supports amovibles, aux imprimantes, aux ordinateurs et aux ressources système. Ordinateurs et bureaux Gestion des clients Applications, dossiers et fichiers Imprimantes et volumes Utilisateurs et groupesChapitre 8 Vue d’ensemble de la gestion des clients 123 Les réglages des préférences gérées peuvent être appliqués à des comptes d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur. L’ensemble final des préférences dont un utilisateur dispose correspond à une combinaison de réglages des préférences de son propre compte d’utilisateur, des préférences du groupe de travail choisi lors de la connexion et des préférences de son ordinateur. La figure ci-dessous illustre comment les préférences gérées peuvent agir les unes sur les autres. Les réglages choisis pour certaines préférences peuvent se cumuler (en combinant les réglages, comme avec une liste d’imprimantes), s’annuler (une préférence réglée à un niveau prévaut sur une préférence réglée à un autre niveau) ou s’hériter (par exemple si le réglage s’applique à un seul niveau). Pour la plupart des préférences, les réglages d’utilisateur prévalent sur ceux d’ordinateur, lesquels l’emportent à leur tour sur ceux de groupe. Voici un exemple utilisant les réglages d’affichage du Dock. Supposez que vous positionnez le Dock à gauche de l’écran pour le groupe de travail A, au bas pour la liste d’ordinateurs contenant l’ordinateur 2 et à droite pour l’utilisateur Alice. Quand Alice ouvre une session sur l’ordinateur 2 et choisit le groupe de travail A, le Dock apparaît à droite dans son écran. Imaginez maintenant ne pas vouloir gérer les réglages d’affichage du Dock pour Alice (le réglage de gestion sélectionné en haut de l’onglet est alors Non géré). Quand Alice ouvre une session sur l’ordinateur 2 et choisit le groupe de travail A, le Dock apparaît au bas de son écran. Les remplacements décrits précédemment ne s’appliquent pas aux réglages de la fenêtre Éléments relative à la préférence d’applications, ni aux fenêtres Éléments du Dock, Liste des imprimantes et Éléments d’ouverture. Dans ce cas, les réglages finaux d’un utilisateur consistent en une combinaison de réglages pour lui-même, l’ordinateur en cours d’utilisation et le groupe sélectionné à la connexion. Il s’agit d’un résultat “additif”. La préférence d’impression permet d’illustrer facilement un résultat additif. Par exemple, la liste finale des imprimantes disponibles pour un utilisateur regroupe les listes d’imprimantes de l’ordinateur, du groupe et de l’utilisateur. Préférences Ordinateur (O) Groupe (G) Utilisateur (U) G+O+U Combinées Annulées Héritées124 Chapitre 8 Vue d’ensemble de la gestion des clients Dans certains cas, il peut s’avérer plus commode et utile de ne définir certaines préférences que pour un seul type d’enregistrement. Par exemple, vous pouvez définir des préférences d’imprimantes uniquement pour des ordinateurs, d’applications uniquement pour des groupes de travail et du Dock uniquement pour des utilisateurs. Vous évitez ainsi tout risque d’annulation ou de cumul de préférences, sachant qu’elles sont transmises à l’utilisateur sans aucune concurrence. Options de gestion des préférences Lorsque vous gérez des préférences pour un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur, vous pouvez choisir de les définir une seule fois, toujours ou de ne pas les gérer à l’aide des boutons radio situés dans la barre de gestion. Option Une fois Si vous souhaitez d’abord gérer une préférence à l’attention des utilisateurs, tout en leur permettant de la modifier s’ils disposent des autorisations requises, sélectionnez Une fois dans la barre de gestion. Lorsqu’un utilisateur ouvre une session, les fichiers de préférences de son répertoire de départ sont mis à jour à l’aide des préférences gérées une seule fois. Ces fichiers de préférences sont datés. Si vous mettez à jour des réglages pour une préférence gérée une seule fois, le Gestionnaire de groupe de travail applique la version la plus récente aux fichiers de préférences de l’utilisateur à sa prochaine connexion. Pour certaines préférences, telles que Classic ou Accès aux données, l’option Une fois n’est pas disponible. Vous pouvez uniquement sélectionner Non gérée ou Toujours. Option Toujours Vous pouvez imposer des réglages de préférences à un utilisateur en choisissant Toujours dans la barre de gestion. À la prochaine ouverture de session de l’utilisateur, les réglages de préférences sont ceux choisis par l’administrateur. Un utilisateur ne peut pas modifier une préférence toujours gérée, même s’il est autorisé à y accéder (en utilisant par exemple les réglages de la fenêtre Préférences Système pour l’application Gestionnaire de groupe de travail, afin de rendre la préférence visible). Option Non gérée Si vous ne souhaitez pas gérer les réglages d’une préférence, sélectionnez Non gérée dans la barre de gestion. Pour annuler la gestion d’une préférence, le réglage doit être Non gérée au niveau de l’utilisateur, du groupe et de l’ordinateur. Si vous permettez à vos utilisateurs d’accéder à une préférence non gérée, ils pourront en modifier les réglages à leur guise. L’option Non gérée correspond au réglage par défaut de l’ensemble des préférences.Chapitre 8 Vue d’ensemble de la gestion des clients 125 Gestion des clients en action Cette section décrit l’expérience réelle d’utilisateurs gérés et les processus de gestion du serveur pour les clients Mac OS X. Ouverture de session Au démarrage d’un ordinateur client géré, une boîte de dialogue de connexion apparaît. Selon les réglages de connexion choisis, un utilisateur entre son nom ou le sélectionne dans la liste. Le nom et le mot de passe de l’utilisateur sont vérifiés par les services de répertoires (configurés à l’aide de l’utilitaire Format de répertoire), puis le serveur renvoie la liste des groupes de travail concernant l’utilisateur avant que ce dernier ne sélectionne un groupe de travail. L’environnement, les autorisations et les préférences de l’utilisateur sont définis en fonction de ses réglages, du groupe de travail choisi et de son ordinateur. Lorsque vous créez des comptes d’utilisateur, les réglages d’ouverture de session déterminent l’environnement de travail de l’utilisateur. Si plusieurs ouvertures de session simultanées sont autorisées, l’utilisateur peut se connecter à divers ordinateurs. Remarque : l’ouverture de plusieurs sessions est généralement déconseillée. Il est préférable de réserver les autorisations de connexions simultanées à l’équipe technique, aux professeurs ou à d’autres utilisateurs disposant d’autorisations d’administrateur. Pour les utilisateurs locaux, la liste des groupes de travail répertorie tous les groupes assignés à cet ordinateur. Pour les utilisateurs en réseau, elle inclut les groupes assignés au compte d’utilisateur et ceux assignés à l’ordinateur en cours d’utilisation. Si un utilisateur a accès à un seul ou à aucun groupe de travail, la boîte de dialogue de sélection d’un groupe de travail ne s’affiche pas et l’ouverture de session est automatiquement lancée. Recherche du répertoire de départ Les documents d’utilisateur sont stockés dans un répertoire de départ auquel l’utilisateur peut accéder en cliquant sur l’icône Départ de la barre d’outils d’une fenêtre du Finder. Pour plus d’informations sur les répertoires de départ, consultez le chapitre 4, “Configuration des comptes d’utilisateur”. Recherche des applications Les applications peuvent être stockées localement sur le disque dur de l’ordinateur ou sur un serveur dans un point de partage. Si les applications sont stockées localement, les utilisateurs peuvent les trouver dans le dossier Applications. Si elles sont stockées sur un serveur, l’utilisateur doit s’y connecter afin de pouvoir les localiser et les utiliser. Pour faciliter la localisation de certaines applications, vous pouvez utiliser les préférences des éléments du Dock du Gestionnaire de groupe de travail afin de placer un alias applicable au dossier Mes applications dans le Dock de l’utilisateur. Le dossier Mes applications contient les alias relatifs aux applications qu’un utilisateur est autorisé à ouvrir.126 Chapitre 8 Vue d’ensemble de la gestion des clients Vous pouvez gérer l’accès des utilisateurs aux applications en créant des listes d’applications approuvées dans la préférence d’applications. Pour établir une liste d’applications approuvées, consultez la section “Création d’une liste d’applications approuvées” à la page 133. Que vous choisissiez d’utiliser l’environnement d’utilisateur du Finder simplifié ou celui du Finder normal, cette liste d’applications approuvées détermine ce que vont trouver les utilisateurs dans le dossier Mes applications situé dans le Dock. Pour plus d’informations sur l’utilisation du Finder simplifié ou du Finder normal, consultez la section “Sélection de l’environnement utilisateur” à la page 151. Pour placer un alias dans le dossier Mes applications et d’autres dossiers du Dock d’un utilisateur, consultez la section “Ajout d’éléments au Dock d’un utilisateur” à la page 143. Recherche de documents partagés Si vous avez configuré un point de partage de groupe, les utilisateurs peuvent accéder à un dossier de groupe Documents ainsi qu’à un dossier public et à une boîte de dépôt du groupe choisi à l’ouverture de session. Ces dossiers sont automatiquement créés pendant la configuration du point de partage de groupe et vous pouvez offrir un accès rapide au dossier de groupe Documents à l’aide de la préférence des éléments du Dock du Gestionnaire de groupe de travail. Pour en savoir plus, consultez la section “Fourniture d’un accès aisé aux dossiers de groupes” à la page 142. Pour offrir un accès au disque de groupe contenant le dossier public et la boîte de dépôt du groupe, consultez la section “Fourniture d’un accès aisé au point de partage de groupe” à la page 165.9 127 9 Gestion des préférences pour Mac OS X Ce chapitre résume certains aspects de la gestion des clients sous Mac OS X et fournit des détails sur l’utilisation de préférences gérées afin de personnaliser et de contrôler l’expérience d’utilisateur Mac OS X. Mode de fonctionnement du Gestionnaire de groupe de travail avec les préférences Mac OS X Le Gestionnaire de groupes de travail permet aux administrateurs de définir, puis de verrouiller certains réglages système pour les utilisateurs sur le réseau. Vous pouvez définir des préférences au départ, puis soit autoriser les utilisateurs à les modifier, soit maintenir un contrôle administratif permanent des préférences en ne permettant aucune modification de la part des utilisateurs, ou bien vous pouvez choisir de n’imposer aucune préférence. Important : si vous devez gérer des clients Mac OS 9, lisez le chapitre 10, “Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9”. Outre les divers réglages pour les comptes d’utilisateur, de groupe et d’ordinateur, Gestionnaire de groupe de travail effectue un contrôle de ces préférences : Volet des préférences Ce que vous pouvez gérer Applications Applications disponibles pour les utilisateurs Classic Réglages de démarrage Classic, réglages de suspension d’activité et accès aux éléments Classic, tels que les tableaux de bord Dock Emplacement, comportement et éléments du Dock Économiseur d’énergie Niveau d’utilisation de la batterie pour les ordinateurs portables et options de suspension d’activité et de réactivation Le Finder Comportement du Finder, éléments et apparence du bureau et accès aux commandes du menu Finder Internet Préférences de compte de courrier et de navigateur Web128 Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X Gestion des préférences Dans le Gestionnaire de groupe de travail, les informations sur les comptes d’utilisateur, de groupe et d’ordinateur sont intégrées aux services de répertoires. Après avoir configuré les comptes, vous pouvez gérer leurs préférences. La gestion des préférences implique le contrôle des réglages de certaines préférences Système ainsi que le contrôle de l’accès des utilisateurs aux préférences Système, applications, imprimantes et supports amovibles. Les informations concernant les réglages et les préférences figurant dans les enregistrements d’utilisateurs, de groupes ou d’ordinateurs sont stockées dans un domaine de répertoire auquel le Gestionnaire de groupe de travail peut accéder, tel qu’un répertoire LDAP ou un maître Open Directory. Les préférences de groupe sont stockées sur le volume du groupe. Les préférences d’utilisateur sont stockées dans le répertoire de départ de l’utilisateur (le dossier Home pour les clients Mac OS X). Une fois les comptes d’utilisateur, de groupe et d’ordinateur créés, vous pouvez commencer à gérer leurs préférences via le volet correspondant situé dans Gestionnaire de groupe de travail. Pour gérer les préférences de clients Mac OS X, assurez-vous que chacun dispose d’un répertoire de départ en réseau ou local. Pour obtenir des informations sur la configuration d’un volume de groupe ou de répertoires de départ à l’attention des utilisateurs, consultez le chapitre 4, “Configuration des comptes d’utilisateur”. Remarque : lorsque vous gérez les préférences d’un utilisateur, d’un groupe ou d’un ordinateur, une icône en forme de flèche apparaît en regard de la préférence gérée dans le panneau Préférences, afin d’indiquer l’état de gestion. Vous pouvez sélectionner plusieurs utilisateurs, groupes ou ordinateurs afin d’examiner leurs préférences gérées. Si l’icône de flèche est estompée, les réglages de préférences gérées sont mélangés pour les éléments sélectionnés. Ouverture de session Présentation de la fenêtre d’ouverture de session, volumes montés et éléments ouverts automatiquement lorsque l’utilisateur ouvre une session Accès aux données Réglages pour CD, DVD et disques inscriptibles et réglages pour disques internes et externes, tels que les disques durs ou les disquettes Comptes mobiles Création d’un compte mobile à l’ouverture d’une session Impression Imprimantes disponibles et accès aux imprimantes Préférences Système Préférences Système accessibles aux utilisateurs Accès universel Réglages permettant de contrôler le comportement de la souris et du clavier, d’améliorer les paramètres d’affichage et d’ajuster le son ou la synthèse vocale pour les utilisateurs ayant des besoins particuliers Volet des préférences Ce que vous pouvez gérerChapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X 129 À propos de la mémoire cache des préférences La mémoire cache des préférences stocke les préférences du compte d’ordinateur auquel appartient l’ordinateur concerné, les préférences des groupes associés à cet ordinateur et les préférences des utilisateurs qui ont récemment ouvert une session sur cet ordinateur. Les préférences enregistrées peuvent influencer le mode de gestion hors connexion d’un utilisateur et l’emploi de la mémoire cache des préférences peut améliorer les performances. Les préférences en mémoire cache peuvent vous aider à gérer les comptes d’utilisateur locaux sur ordinateurs portables même s’ils ne sont pas connectés à un réseau. Vous pouvez par exemple créer un compte pour l’ensemble des ordinateurs à gérer, puis gérer les préférences des comptes d’ordinateur. Rendez ensuite ces ordinateurs disponibles aux groupes et gérez les préférences des groupes. Enfin, configurez des comptes d’utilisateur locaux sur les ordinateurs. Si un utilisateur décide de travailler hors ligne ou se déconnecte du réseau, il continue d’être géré par les préférences de l’ordinateur et du groupe en mémoire cache. Si vous effectuez une modification qui affecte les informations en cache d’un compte, le Gestionnaire de groupe de travail place un indicateur dans Open Directory pour signaler cette modification. Le client actualise automatiquement tout compte signalé par un indicateur dès qu’un utilisateur ouvre une session. Si vous gérez des services de répertoires à l’aide d’un autre outil, vous pouvez toujours utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour actualiser la mémoire cache à intervalle régulier. Remarque : la mémoire cache des préférences est automatiquement actualisée si vous modifiez un réglage de compte ou de préférence. Les nouvelles préférences prennent effet lors de l’ouverture de session suivante de l’utilisateur. Mises à jour régulières de la mémoire cache des préférences gérées Vous pouvez régulièrement mettre à jour la mémoire cache des préférences gérées d’un utilisateur. Ce réglage s’applique uniquement aux comptes d’ordinateur. L’ordinateur contrôle, sur le serveur, les préférences mises à jour en fonction du calendrier que vous avez défini. Pour définir une fréquence de mise à jour de la mémoire cache des préférences gérées : 1 Ouvrez Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte d’ordinateur à modifier, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Cliquez sur l’onglet Ordinateurs, puis sélectionnez un compte d’ordinateur dans la liste. 5 Cliquez sur Cache.130 Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X 6 Entrez un chiffre correspondant à la fréquence à laquelle vous souhaitez mettre à jour la mémoire cache, puis choisissez une unité de mise à jour (secondes, minutes, heures, jours ou semaines) à partir du menu local. Par exemple, vous pouvez opter pour une mise à jour tous les 5 jours. 7 Cliquez sur Enregistrer. Mise à jour manuelle de la mémoire cache des préférences Le cas échéant, vous pouvez mettre à jour manuellement la mémoire cache des préférences gérées de chaque ordinateur d’une liste d’ordinateurs donnée. Pour vider la mémoire cache des préférences gérées : 1 Ouvrez Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte d’ordinateur souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Cliquez sur l’onglet Ordinateurs, puis sélectionnez un compte d’ordinateur dans la liste. 5 Cliquez sur Cache, puis sur Mettre à jour le cache. Vous pouvez également effectuer la mise à jour directement sur l’ordinateur client. Maintenez la touche Maj enfoncée lorsque vous ouvrez une session sur l’ordinateur client (à l’aide d’un nom et d’un mot de passe d’administrateur local), puis cliquez sur Rafraîchir les préférences dans la zone de dialogue affichée. Gestion des préférences d’utilisateur Vous pouvez gérer les préférences d’utilisateurs individuels selon leurs besoins. Toutefois, si vous disposez d’un grand nombre d’utilisateurs, il peut s’avérer plus efficace de gérer la majorité des préférences par groupe et par ordinateur. Vous réserverez alors la gestion des préférences au niveau de l’utilisateur à des cas spécifiques, tels que pour les administrateurs de domaine de répertoire, les professeurs ou le personnel technique. Il est conseillé de déterminer les préférences dont vous souhaitez laisser le contrôle à l’utilisateur. Par exemple, si le choix d’emplacement du Dock de l’utilisateur vous importe peu, vous pouvez régler la gestion de l’affichage du Dock sur Non géré ou sur Une fois. Pour gérer les préférences d’utilisateur : 1 Ouvrez Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte d’utilisateur souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Cliquez sur Utilisateurs, puis sélectionnez un compte d’utilisateur dans la liste des comptes. 5 Cliquez sur l’icône de la préférence que vous souhaitez gérer.Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X 131 6 Choisissez, dans chaque onglet de cette préférence, un réglage de gestion. Sélectionnez ensuite les réglages des préférences ou entrez les informations que vous souhaitez utiliser. Certains réglages de gestion ne sont pas disponibles pour préférences données, tout comme certaines préférences ne sont pas disponibles pour des types de comptes. Dans le cas des préférences Impression et Accès aux données, le réglage d’une option s’applique à l’ensemble des options de cette préférence. 7 Une fois que vous avez terminé, cliquez sur Appliquer. Gestion des préférences de groupes Les préférences d’un groupe sont partagées par tous les utilisateurs de ce groupe. La définition des préférences au niveau du groupe plutôt que pour chaque utilisateur permet de gagner du temps, notamment si vous disposez d’un nombre important d’utilisateurs gérés. Les utilisateurs pouvant sélectionner un groupe de travail lorsqu’ils se connectent, ils peuvent choisir un groupe doté de réglages gérés approprié à la tâche en cours, à l’emplacement ou à l’environnement utilisé. Il peut s’avérer plus judicieux de définir les préférences une seule fois pour un groupe unique plutôt que de définir des préférences pour chaque membre du groupe, au cas par cas. Remarque : un utilisateur ne peut accéder qu’à 16 groupes de travail à la fois ; veillez donc à planifier de manière appropriée. Pour gérer les préférences de groupe : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte de groupe souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte de groupe dans la liste des comptes. 5 Cliquez sur l’icône de la préférence que vous souhaitez gérer. 6 Choisissez, dans chaque onglet de cette préférence, un réglage de gestion. Sélectionnez ensuite les réglages des préférences ou entrez les informations que vous souhaitez utiliser. Certains réglages de gestion ne sont pas disponibles pour certaines préférences, tout comme certaines préférences ne sont pas disponibles pour certains types de comptes. Dans le cas des préférences Impression et Accès aux données, le réglage d’une option s’applique à l’ensemble des options de cette préférence. 7 Cliquez sur Appliquer.132 Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X Gestion des préférences d’ordinateurs Les préférences d’ordinateurs sont partagées par tous les ordinateurs d’une liste. Dans certains cas, il peut s’avérer plus utile de gérer des préférences pour des ordinateurs plutôt que pour des utilisateurs ou des groupes. Pour gérer les préférences d’ordinateurs : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte d’utilisateur souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’ordinateur dans la liste des comptes. 5 Choisissez, dans chaque onglet de cette préférence, un réglage de gestion. Sélectionnez ensuite les réglages des préférences ou entrez les informations que vous souhaitez utiliser. Certains réglages de gestion sont indisponibles, tout comme certaines préférences le sont pour certains types de comptes. Dans le cas des préférences Impression et Accès aux données, le réglage d’une option s’applique à l’ensemble des options de cette préférence. 6 Sélectionnez les réglages à utiliser dans chaque onglet de cette préférence. 7 Cliquez sur Appliquer. Modification des préférences de plusieurs enregistrements Vous pouvez modifier simultanément les préférences de plusieurs comptes d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur. Si certains réglages diffèrent entre plusieurs comptes, une réglette “d’état mixte”, un bouton radio, une case à cocher, un champ texte ou encore une liste peut apparaître. Pour les réglettes, les boutons radio et les cases à cocher, un tiret indique que les réglages ne sont pas identiques pour l’ensemble des comptes sélectionnés. Pour les champs de texte, le terme Varies... indique un état mixte. Les listes affichent une combinaison d’éléments pour l’ensemble des comptes sélectionnés. Si vous procédez à un réglage mixte, le nouveau réglage sélectionné s’applique à chaque compte. Par exemple, vous sélectionnez trois comptes de groupe dont les réglages de taille du Dock diffèrent. Lorsque vous examinez le volet des préférences de l’affichage du Dock pour ces trois comptes, le curseur de la taille du Dock est centré et comporte un tiret. Si vous déplacez le curseur de la taille du Dock pour l’agrandir, tous les comptes sélectionnés seront dotés de Docks de grande taille. Désactivation de la gestion de préférences spécifiques Après avoir configuré les préférences gérées d’un compte, vous pouvez désactiver la gestion de panneaux de préférences spécifiques en choisissant Non géré.Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X 133 Pour désactiver la gestion des préférences au cas par cas : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste. 5 Cliquez sur l’icône d’une préférence en cours de gestion. 6 Cliquez sur l’onglet des réglages de préférences que vous souhaitez cesser de gérer. Deux des préférences (Impression et Accès aux données) ne sont pas dotées d’une barre de réglages de gestion pour chaque onglet. Une barre de gestion unique est affichée au dessus des onglets et le réglage de gestion sélectionné s’applique à toutes les options de cette préférence. 7 Sélectionnez Non géré dans la barre des réglages de gestion. 8 Cliquez sur Appliquer. Lorsque vous changez les réglages de gestion des préférences, le nouveau réglage s’applique à l’ensemble des éléments figurant dans le volet des préférences actif. Pour désactiver totalement la gestion d’une seule préférence (du Dock par exemple), assurez-vous qu’elle est réglée sur Non géré dans chaque volet de cette préférence. Gestion de l’accès aux applications Les réglages du panneau Applications vous permettent d’offrir aux utilisateurs l’accès aux applications. Vous pouvez créer des listes d’applications “approuvées” que les utilisateurs ont le droit d’ouvrir et autoriser ceux-ci à ouvrir des éléments sur les volumes locaux. Création d’une liste d’applications approuvées Il existe deux méthodes pour contrôler l’accès d’un utilisateur aux applications. Vous pouvez soit fournir l’accès à un ensemble d’applications “approuvées” que les utilisateurs ont le droit d’ouvrir, soit leur interdire d’ouvrir les applications “non approuvées”. Les préférences Applications vous permettent de créer une liste d’applications “approuvées” ou “non approuvées”. Si vous choisissez de créer une liste d’applications non approuvées, les utilisateurs pourront ouvrir toutes les applications qui ne figurent pas dans la liste. Si vous choisissez de créer une liste d’applications approuvées, les utilisateurs ne pourront ouvrir que les applications y figurant. Vous pouvez toutefois autoriser les applications à ouvrir des utilitaires absents de la liste.134 Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X Vous pouvez autoriser plusieurs utilisateurs à accéder à des applications en gérant les réglages d’éléments pour les préférences d’applications de comptes de groupe ou d’ordinateur. Ces préférences peuvent également être appliquées à des utilisateurs individuels. Pour ajouter des applications à une liste d’utilisateurs : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste. 5 Cliquez sur l’icône des préférences d’applications, puis sur Éléments. 6 Définissez le réglage de gestion sur Toujours. 7 Sélectionnez soit L’utilisateur ne peut ouvrir que ces applications, soit L’utilisateur peut ouvrir toutes les applications à l’exception de celles-ci, en fonction de la méthode qui vous convient le mieux. 8 Pour accéder à l’application souhaitée, cliquez sur Ajouter, puis ajoutez-la à la liste. Pour sélectionner plusieurs éléments, maintenez la touche Commande enfoncée. 9 Une fois les applications ajoutées à la liste, cliquez sur Appliquer. Interdiction aux utilisateurs d’accéder à des applications situées sur des volumes locaux Lorsque les utilisateurs ont accès à des volumes locaux, ils sont également en mesure d’accéder non seulement aux applications situées sur le disque dur local de l’ordinateur, mais également aux applications approuvées sur des CD, des DVD ou d’autres disques externes. Si vous souhaitez interdire ce type d’accès, vous pouvez désactiver l’accès au volume local. Pour empêcher l’accès aux applications locales : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste. 5 Cliquez sur l’icône des préférences d’applications, puis sur Éléments. 6 Définissez le réglage de gestion sur Toujours. 7 Désélectionnez L’util. peut ouvrir des applications sur des volumes locaux. 8 Cliquez sur Appliquer.Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X 135 Gestion de l’accès des applications à des utilitaires Certaines applications utilisent parfois des utilitaires qui effectuent certaines tâches à leur place. Par exemple, si un utilisateur tente d’ouvrir un lien Web contenu dans un message électronique, l’application de messagerie peut faire appel à un navigateur Web pour afficher la page visée par ce lien. Lorsque vous autorisez des comptes d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur à accéder à une liste d’applications, vous pouvez ajouter à celle-ci des utilitaires généraux. Si vous autorisez les utilisateurs à ouvrir une application de messagerie par exemple, il est utile d’ajouter également un navigateur Web, un logiciel permettant de lire des fichiers PDF et un visualiseur d’images pour éviter tout problème d’ouverture et de visualisation du contenu ou des pièces jointes des messages électroniques. Lorsque vous configurez une liste d’éléments “approuvés” dans les réglages de préférences d’applications, vous pouvez choisir d’autoriser ou non les applications à recourir à certains utilitaires ne figurant pas dans cette liste. Pour gérer l’accès aux applications à des utilitaires : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste. 5 Cliquez sur l’icône des préférences d’applications, puis sur Éléments. 6 Définissez le réglage de gestion sur Toujours. 7 Si vous n’avez pas encore créé de liste d’applications approuvées, faites-le maintenant. Sélectionnez L’utilisateur ne peut ouvrir que ces applications. Cliquez sur Ajouter pour rechercher l’application que vous souhaitez ajouter à la liste. Pour supprimer une application de la liste, sélectionnez-la, puis cliquez sur Supprimer. Pour autoriser l’emploi d’utilitaires, assurez-vous qu’ils figurent également dans la liste. 8 Sélectionnez Autoriser les applications approuvées à ouvrir des applications non approuvées pour permettre l’accès aux utilitaires. Pour désactiver cette option, désélectionnez-la. 9 Cliquez sur Appliquer. Contrôle du fonctionnement des outils UNIX Il arrive que certaines applications, ou le système d’exploitation, requièrent l’utilisation d’outils tels que le convertisseur d’images QuickTime. Il n’est pas possible d’accéder directement à ces outils et ils fonctionnent généralement à l’arrière-plan, à l’insu de l’utilisateur. Vous pouvez toutefois les activer à l’aide d’une interface de ligne de commande telle que Terminal.136 Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X Si vous choisissez de ne pas autoriser l’accès à ce type d’outils, certaines applications risquent de ne pas pouvoir fonctionner correctement. L’autorisation améliore la compatibilité entre applications et assure un fonctionnement efficace de ces dernières ; ne l’accordez pas si vous voulez maintenir un niveau de sécurité très élevé. Pour autoriser l’accès aux outils UNIX : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste. 5 Cliquez sur l’icône des préférences d’applications, puis sur Éléments. 6 Définissez le réglage de gestion sur Toujours. 7 Sélectionnez Permettre aux outils Unix de s’exécuter pour autoriser l’accès aux outils UNIX. Pour désactiver cette option, désélectionnez-la. 8 Cliquez sur Appliquer. Gestion des préférences de Classic Les préférences Classic permettent de définir les options de démarrage de l’environnement Classic, d’en sélectionner le Dossier Système, d’en définir les options de suspension d’activité et de mettre certains éléments du menu Pomme à la disposition des utilisateurs. Le tableau ci-dessous décrit la fonction des réglages du panneau Classic. Panneau des préférences Classic Ce que vous pouvez contrôler Démarrage Les réglages de démarrage vous permettent de spécifier un Dossier Système Classic et de définir les actions déclenchées au démarrage de Classic. Options avancées Les options de préférences avancées de l’environnement Classic vous permettent de contrôler les éléments du menu Pomme, les réglages de suspension d’activité de Classic et la capacité de l’utilisateur à désactiver des extensions ou à reconstruire le fichier du bureau Classic pendant le démarrage.Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X 137 Sélection des options de démarrage de Classic Le Gestionnaire de groupe de travail offre plusieurs méthodes pour contrôler le mode et le moment du démarrage de l’environnement Classic. Si les utilisateurs ont souvent besoin de travailler avec des applications fonctionnant avec Classic, il peut s’avérer opportun de programmer le démarrage immédiat de Classic lorsqu’ils se connectent. Si vos utilisateurs n’ont que rarement recours à Classic, vous pouvez faire en sorte que le démarrage de Classic ne se produise que lorsqu’un utilisateur ouvre une application Classic ou un document qui nécessite ce type d’application. Vous pouvez également choisir d’afficher un message signalant le démarrage de Classic et donnant aux utilisateurs la possibilité d’annuler ce démarrage. Pour utiliser les différentes options de démarrage de Classic : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste. 5 Cliquez sur l’icône des préférences de Classic, puis sur Démarrage. 6 Définissez le réglage de gestion sur Toujours. 7 Sélectionnez Démarrer Classic à l’ouverture de session sur cet ordinateur pour démarrer Classic dès qu’un utilisateur ouvre sa session. Lorsque Classic démarre à l’ouverture de session, la fenêtre de démarrage est masquée et l’utilisateur ne peut pas annuler l’opération. Si vos utilisateurs n’ont que rarement recours à Classic, vous pouvez désélectionner cette option afin que Classic ne démarre automatiquement que si un utilisateur ouvre une application ou un document nécessitant cet environnement. Dans ce cas, la fenêtre de démarrage Classic sera visible pour les utilisateurs et ils pourront annuler l’opération. 8 Sélectionnez Avertir au démarrage de Classic pour afficher un message signalant le démarrage de Classic si ce dernier est lancé uniquement lorsqu’un utilisateur tente d’ouvrir une application ou un document Classic. Les utilisateurs peuvent choisir soit de laisser le démarrage de Classic se poursuivre, soit d’annuler la procédure. Désélectionnez cette option si vous ne souhaitez pas que les utilisateurs puissent interrompre le démarrage de Classic. 9 Cliquez sur Appliquer.138 Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X Choix d’un Dossier Système de Classic Il n’existe le plus souvent qu’un seul Dossier Système Mac OS 9 par ordinateur qui se trouve sur le disque de démarrage Mac OS X. Il n’est donc pas nécessaire de spécifier un Dossier Système Classic. Si un ordinateur possède plusieurs dossiers Système Mac OS 9 sur le disque de démarrage et que vous n’avez pas défini un chemin d’accès spécifique vers l’un de ces dossiers, les utilisateurs verront apparaître un message d’erreur et ne pourront pas utiliser Classic. S’il existe plusieurs dossiers Système Mac OS 9 sur le disque de démarrage d’un ordinateur ou si vous souhaitez utiliser un Dossier Système Mac OS 9 qui se trouve sur un autre disque, vous devez désigner un dossier spécifique à utiliser lorsque Classic est en service. Il est important de spécifier un chemin d’accès au Dossier Système Mac OS 9, lequel doit se trouver au même emplacement relatif sur les disques durs de tous les clients. Si plusieurs dossiers Système Mac OS 9 sont disponibles et que vous n’avez défini aucun réglage dans le panneau Démarrage des préférences Classic, les utilisateurs peuvent choisir parmi les dossiers Système Mac OS 9 disponibles s’ils ont accès aux Préférences Système Classic. Pour choisir un Dossier Système de Classic spécifique : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste. 5 Cliquez sur l’icône des préférences de Classic, puis sur Démarrage. 6 Définissez le réglage de gestion sur Toujours. 7 Tapez le chemin d’accès au Dossier Système Classic à utiliser (assurez-vous que le chemin spécifié ne contient aucune erreur) ou sélectionnez Choisir pour rechercher le dossier souhaité. Assurez-vous que le chemin d’accès au Dossier Système Classic sur l’ordinateur client est identique au chemin du Dossier Système Classic sur l’ordinateur administrateur. 8 Cliquez sur Appliquer. Autorisations d’actions spéciales au démarrage Si des utilisateurs gérés ont accès aux Préférences Système Classic, ils peuvent cliquer sur le bouton Démarrer/Redémarrer du panneau Classic pour démarrer ou redémarrer l’environnement Classic. Vous pouvez autoriser les utilisateurs à effectuer des actions spéciales, telles que désactiver des extensions ou reconstruire le fichier du bureau Classic, lorsqu’ils démarrent ou redémarrent Classic à partir de l’onglet Options avancées des Préférences Système Classic. Il est recommandé de n’accorder ces autorisations qu’à certains utilisateurs, comme les membres de votre équipe technique.Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X 139 Pour autoriser des actions spéciales lors du démarrage : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste. 5 Cliquez sur l’icône des préférences de Classic, puis sur Avancées. 6 Définissez le réglage de gestion sur Toujours. 7 Sélectionnez Autoriser modes de démarrage spéciaux. 8 Sélectionnez Autoriser l’utilisateur à reconstruire le Bureau pour permettre aux utilisateurs de reconstruire le fichier du bureau Classic. Désactiver cette option permet de griser le bouton Reconstruire le Bureau qui se trouve dans le panneau Options avancées des Préférences Système Classic. 9 Cliquez sur Appliquer. Contrôle de l’accès aux éléments du menu Pomme de l’environnement Classic Les options de préférences gérées de Classic permettent de contrôler l’accès à certains éléments du menu Pomme de Classic, y compris les tableaux de bord Mac OS 9, le Sélecteur et l’Explorateur réseau, entre autres. Vous pouvez choisir d’afficher ou de masquer la totalité, certains ou aucun de ces éléments dans le menu Pomme. Les utilisateurs ne peuvent accéder aux éléments masqués à partir du menu Pomme, mais il existe des solutions alternatives telles que lancer le Sélecteur via le Dossier Système Mac OS 9. Pour restreindre davantage l’accès des utilisateurs à ces éléments, vous pouvez utiliser les préférences Applications du Gestionnaire de groupe de travail et déterminer les applications que les utilisateurs peuvent ou ne peuvent pas ouvrir. Pour plus d’informations, consultez la section “Gestion de l’accès aux applications” à la page 133. Remarque : interdire l’accès au Sélecteur risque d’affecter ce qui se passe lorsqu’un utilisateur tente d’imprimer à partir de l’environnement Classic si la gestion de l’impression est également en vigueur. Si les utilisateurs ne peuvent pas accéder au Sélecteur, il leur est impossible de configurer de nouvelles imprimantes ou de changer de type (passer d’une imprimante postscript à une non postscript par exemple). Pour masquer ou afficher des éléments du menu Pomme : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe.140 Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences Classic. 5 Cliquez sur Avancé, puis définissez les réglages de gestion sur Toujours. 6 Sélectionnez Masquer Tableaux de bord pour supprimer cet élément du menu Pomme. Désélectionnez cette option pour afficher cet élément 7 Sélectionnez Masquer le Sélecteur et l’Explorateur réseau pour supprimer ces deux éléments du menu Pomme. Désélectionnez cette option pour afficher ces éléments. 8 Sélectionnez Masquer autres éléments du menu Apple pour masquer le reste des éléments du menu Pomme. Ce groupe comprend des éléments comme la calculatrice, les touches et les applications récentes. Désélectionnez cette option pour afficher ces éléments du menu Pomme. 9 Cliquez sur Appliquer. Réglage des paramètres de suspension d’activité de Classic Lorsqu’aucune application Classic n’est ouverte, Classic suspend son activité afin de réduire l’utilisation des ressources du système. Vous pouvez régler la durée du délai qui s’écoule entre la fermeture de la dernière application Classic utilisée et la suspension d’activité de l’environnement Classic. Lorsque l’activité de Classic est suspendue, l’ouverture d’une application Classic peut prendre un peu plus de temps. Vous pouvez être amené, dans certaines situations, à utiliser des applications qui fonctionnent à l’arrière-plan, à l’insu de l’utilisateur ou sans interaction avec ce dernier. Si une application est utilisée à l’arrière-plan au moment où l’environnement Classic passe en mode de suspension d’activité, cette application suspendra également son activité. Pour permettre à cette application de fonctionner sans interruption, vous pouvez régler l’option de suspension d’activité de Classic sur Jamais. Pour procéder aux réglages de suspension d’activité de Classic : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences Classic. 5 Cliquez sur Avancé, puis définissez les réglages de gestion sur Toujours. 6 À l’aide de la réglette, définissez la durée avant laquelle Classic passe en veille. Si vous ne souhaitez pas que Classic suspende son activité, glissez le curseur sur Jamais. 7 Cliquez sur Appliquer.Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X 141 Maintien de la cohérence des préférences d’utilisateurs pour l’environnement Classic Classic recherche généralement les données de préférences Mac OS 9 d’un utilisateur particulier dans le Dossier Système Mac OS 9. Si un utilisateur se sert de plusieurs ordinateurs ou si divers utilisateurs travaillent sur le même ordinateur, vous devez vous assurer que Classic utilise les préférences qui se trouvent dans le dossier de départ situé dans ~/Bibliothèque/Classic, afin que chaque utilisateur dispose de ses propres préférences. Si vous choisissez de ne pas utiliser les préférences du dossier de départ personnel de l’utilisateur, sachez que les données Mac OS 9 d’un utilisateur sont enregistrées dans le Dossier Système Mac OS 9 et sont mélangées aux autres données d’utilisateurs. Les utilisateurs disposent par conséquent de préférences partagées et toute modification effectuée par le dernier utilisateur sera appliquée à la connexion de l’utilisateur suivant. Pour choisir l’emplacement de stockage des préférences d’utilisateurs de l’environnement Classic : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences Classic. 5 Cliquez sur Avancé, puis définissez les réglages de gestion sur Toujours. 6 Sélectionnez Utiliser les préférences du dossier de départ pour maintenir des préférences Classic individuelles pour chaque utilisateur. Désélectionnez cette option pour utiliser le dossier Système Mac OS 9 local pour toutes les préférences d’utilisateurs Classic. 7 Cliquez sur Appliquer. Gestion des préférences du Dock Les réglages du Dock permettent de définir le comportement du Dock et de spécifier les éléments devant y apparaître. Le tableau ci-dessous décrit la fonction des réglages du panneau Dock. Panneau des préférences du Dock Ce que vous pouvez contrôler Affichage Les préférences d’affichage du Dock vous permettent de contrôler la position et le comportement du Dock. Éléments Les réglages des éléments du Dock vous permettent de placer des éléments dans le Dock d’un utilisateur et de modifier leur disposition.142 Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X Contrôle du Dock de l’utilisateur Les réglages du Dock permettent de configurer la position du Dock sur le bureau et de modifier la taille du Dock. Vous pouvez également contrôler les animations du Dock. Pour définir l’apparence et le comportement du Dock : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences du Dock. 5 Cliquez sur Affichage du Dock. 6 Sélectionnez un réglage de gestion (Une fois ou Toujours). 7 Glissez le curseur Taille du Dock afin d’agrandir ou de réduire le Dock. 8 Si vous souhaitez que les éléments du Dock soient agrandis lorsque l’utilisateur place le pointeur dessus, cochez la case Agrandissement, puis positionnez le curseur. L’agrandissement présente de l’intérêt lorsque le Dock comprend de nombreux éléments. 9 Si vous ne souhaitez pas que le Dock soit visible en permanence, sélectionnez Masquage/affichage automatique. Le Dock apparaît alors automatiquement lorsque l’utilisateur place le pointeur sur le bord de l’écran où est situé le Dock. 10 Choisissez de placer le Dock à gauche, à droite ou en bas du bureau . 11 Sélectionnez un effet à appliquer lors du masquage du Dock. 12 Pour ne pas utiliser d’icônes animées dans le Dock à l’ouverture d’une application, désélectionnez Animation à l’ouverture des applications. 13 Cliquez sur Appliquer. Fourniture d’un accès aisé aux dossiers de groupes Après avoir configuré un volume de groupe, vous pouvez simplifier l’accès des utilisateurs au répertoire du groupe en plaçant un alias dans leur Dock. Le répertoire du groupe contient le dossier Bibliothèque, le dossier Documents et le dossier Public (incluant une boîte de dépôt) du groupe. Pour obtenir de l’aide sur la configuration d’un point de partage de groupe, lisez la section “Travail avec les réglages du dossier de groupe” à la page 90. Si le répertoire du groupe n’est pas disponible lorsque l’utilisateur clique sur l’icône du dossier de groupe, l’utilisateur doit fournir un nom et un mot de passe pour se connecter au serveur et ouvrir le répertoire. Remarque : ce réglage de préférence ne s’applique qu’aux groupes. Vous ne pouvez pas gérer ce réglage pour les utilisateurs ou les ordinateurs.Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X 143 Pour ajouter un élément du Dock au répertoire de groupe : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. Si vous n’avez pas encore configuré un point de partage pour le groupe, faites-le avant de continuer. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte de groupe dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences du Dock. 5 Cliquez sur Éléments du Dock. 6 Sélectionnez un réglage de gestion (Une fois ou Toujours). Si vous sélectionnez Une fois, l’icône du dossier de groupe apparaît initialement dans le Dock de l’utilisateur, mais ce dernier ne pourra pas la supprimer. 7 Sélectionnez Partagé. 8 Cliquez sur Appliquer. Si vous changez l’emplacement du point de partage du groupe, veillez à utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour mettre à jour l’élément de Dock correspondant pour le groupe. Ajout d’éléments au Dock d’un utilisateur Vous pouvez ajouter des applications, des dossiers ou des documents au Dock d’un utilisateur pour en faciliter l’accès. Pour ajouter des éléments au Dock : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences du Dock. 5 Cliquez sur Éléments du Dock. 6 Sélectionnez un réglage de gestion (Une fois ou Toujours). 7 Pour ajouter des applications, des dossiers normaux et des documents au Dock, cliquez sur Ajouter, afin de naviguer et sélectionner l’élément souhaité. Pour supprimer un élément du Dock, sélectionnez-le, puis cliquez sur Supprimer. Vous pouvez réordonner les éléments du Dock qui se trouvent dans la liste en les glissant dans l’ordre d’apparition souhaité. Les applications sont toujours rassemblées d’un côté du Dock, les fichiers et dossiers se trouvant de l’autre côté.144 Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X 8 Sélectionnez Mes applications, Documents ou Départ du réseau pour ajouter un ou plusieurs de ces éléments au Dock de l’utilisateur. Le dossier Mes applications contient les alias des applications disponibles. Le dossier Documents correspond au dossier Documents qui se trouve dans le répertoire de départ de l’utilisateur. Le dossier Départ du réseau est principalement destiné aux comptes mobiles. Il s’agit du répertoire de départ de l’utilisateur, hébergé sur le serveur. 9 Une fois l’ajout d’éléments du Dock terminé, cliquez sur Appliquer. Interdiction aux utilisateurs d’ajouter des éléments au Dock Les utilisateurs peuvent habituellement ajouter des éléments à leur propre Dock, mais vous pouvez les en empêcher. Les utilisateurs ne sont pas en mesure de supprimer des éléments du Dock ajoutés par l’administrateur. Pour empêcher les utilisateurs d’ajouter des éléments à leur Dock : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences du Dock. 5 Cliquez sur Éléments du Dock, puis définissez les réglages de gestion sur Toujours. 6 Désélectionnez L’utilisateur peut ajouter ou supprimer des éléments du Dock. 7 Cliquez sur Appliquer. Gestion des préférences de l’Économiseur d’énergie Les réglages des préférences de l’Économiseur d’énergie vous aident à économiser l’énergie et la batterie en gérant le moment de la suspension d’activité, de la réactivation et du redémarrage des serveurs et des ordinateurs clients. Le tableau cidessous décrit la fonction de chacun des réglages du panneau Économiseur d’énergie. Panneau des préférences Économiseur d’énergie Ce que vous pouvez contrôler Bureau Les réglages des préférences du bureau vous permettent de déterminer le moment où le disque dur et l’écran de l’ordinateur suspendent leur activité. Portable Les réglages de portable permettent de contrôler les performances du processeur ainsi que la suspension d’activité, la réactivation et le redémarrage automatique pour les ordinateurs portables.Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X 145 Utilisation des réglages de suspension d’activité et de réactivation pour les ordinateurs de bureau La suspension de l’activité d’un ordinateur suppose des économies d’énergie car elle permet d’éteindre l’écran et d’arrêter le disque dur de tourner. La réactivation de votre ordinateur après une suspension d’activité est plus rapide que le démarrage. Vous pouvez utiliser les réglages des préférences de l’Économiseur d’énergie du Gestionnaire de groupe de travail pour suspendre automatiquement l’activité des ordinateurs après une période d’inactivité spécifiée. D’autres réglages vous permettent de réactiver ou de démarrer l’ordinateur lorsque certains événements se produisent. Pour définir des réglages de suspension d’activité et de réactivation : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences de l’Économiseur d’énergie. 5 Cliquez sur l’onglet Bureau. 6 Choisissez soit Mac OS X, soit Mac OS X Server dans le menu local OS, puis réglez la gestion sur Toujours. 7 Pour définir les réglages de suspension d’activité, choisissez Veille dans le menu local Réglages. Faites glisser le curseur pour définir le délai d’attente précédant la suspension d’activité de l’ordinateur. Le réglage par défaut est 1 heure. L’ordinateur ne suspend pas son activité si le curseur est réglé sur Non géré. Si vous souhaitez fixer un délai différent pour l’écran de l’ordinateur, sélectionnez Suspendre l’activité de l’écran à une heure différente, puis faites glisser le curseur. Le délai choisi ne peut excéder celui adopté pour la suspension d’activité de l’ordinateur. Si vous voulez que l’ordinateur se mette en veille dès qu’une période d’inactivité survient, sélectionnez Suspendre l’activité du disque dur chaque fois que possible. 8 Pour définir des réglages de suspension d’activité et de réactivation, choisissez Options dans le menu local Réglages. Menu Batterie Utilisez les réglages du menu Batterie pour afficher un indicateur d’état de la batterie pour les utilisateurs. Planification Utilisez les réglages de planification pour programmer les heures de démarrage, d’extinction ou de suspension d’activité. Panneau des préférences Économiseur d’énergie Ce que vous pouvez contrôler146 Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X Pour réactiver l’ordinateur dès que le modem est actif, sélectionnez Réactiver quand le modem détecte une sonnerie. Sélectionnez Réactiver pour permettre l’accès de l’administrateur réseau afin de réactiver l’ordinateur dès qu’un administrateur tente d’y accéder à distance. Pour que l’ordinateur redémarre après une panne de courant, sélectionnez Redémarrer automatiquement après une panne de courant. Pour désactiver le redémarrage automatique, désélectionnez cette option. 9 Cliquez sur Appliquer. Pour réactiver manuellement un ordinateur ou un écran en veille, les utilisateurs peuvent cliquer sur le bouton de la souris ou appuyer sur une touche du clavier. Utilisation des réglages de l’Économiseur d’énergie pour les ordinateurs portables Les réglages d’économiseur d’énergie pour portable vous permettent de varier les conditions de suspension d’activité et de réactivation ainsi que les performances du processeur en fonction de la source d’alimentation utilisée par un ordinateur portable (adaptateur secteur ou batterie). Vous pouvez également faire redémarrer l’ordinateur automatiquement en cas de panne de courant soudaine. Encouragez les utilisateurs à se servir de l’adaptateur secteur de l’ordinateur dès que possible afin d’économiser la batterie. Pour gérer les réglages d’ordinateur portable : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’ordinateur portable dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences de l’Économiseur d’énergie. 5 Cliquez sur l’onglet Portable. 6 Choisissez soit Adaptateur, soit Batterie dans le menu local Source d’alimentation, puis réglez la gestion sur Toujours. 7 Pour définir les réglages de suspension d’activité, choisissez Veille dans le menu local Réglages. Faites glisser le curseur pour définir le délai d’attente précédant la suspension d’activité de l’ordinateur. Le réglage par défaut est de 1 heure. L’ordinateur ne suspend pas son activité si le curseur est réglé sur Non géré.Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X 147 Si vous souhaitez fixer un délai différent pour l’écran de l’ordinateur, sélectionnez Suspendre l’activité de l’écran à une heure différente, puis faites glisser le curseur. Le délai choisi ne peut être plus long que celui qui a été adopté pour la suspension d’activité de l’ordinateur. Si vous voulez que l’ordinateur se mette en veille dès qu’une période d’inactivité survient, sélectionnez Suspendre l’activité du disque dur chaque fois que possible. 8 Pour définir des réglages de suspension d’activité, de réactivation et de performances du processeur, choisissez Options dans le menu local Réglages. Pour réactiver l’ordinateur dès que le modem est activé, sélectionnez Réactiver quand le modem détecte une sonnerie. Sélectionnez Réactiver pour permettre l’accès de l’administrateur réseau afin de réactiver l’ordinateur dès qu’un administrateur tente d’y accéder à distance. Pour que l’ordinateur redémarre après une panne de courant, sélectionnez Redémarrer automatiquement après une panne de courant. Pour désactiver le redémarrage automatique, désélectionnez cette option. Sélectionnez Maximale, Automatique ou Faible dans le menu local Performance du processeur. Le réglage recommandé pour les ordinateurs utilisant un adaptateur est Maximale. Pour les ordinateurs fonctionnant avec une batterie, il est recommandé d’adopter le réglage Automatique. 9 Cliquez sur Appliquer. Pour réactiver manuellement un ordinateur ou un écran en veille, les utilisateurs peuvent cliquer sur le bouton de la souris ou appuyer sur une touche du clavier. Affichage de l’état de la batterie pour les utilisateurs Les ordinateurs portables utilisent une batterie comme source d’énergie directe ou de réserve lorsqu’ils ne sont pas connectés au secteur. L’ordinateur suspend automatiquement son activité pour économiser l’énergie dès que le niveau de charge de la batterie devient trop faible. Il suffit que l’utilisateur reconnecte l’ordinateur à une source d’alimentation directe (en insérant une batterie chargée ou en le connectant un adaptateur secteur) pour réactiver l’ordinateur et se remettre à travailler. Encouragez les utilisateurs à surveiller l’état de leur batterie lorsqu’ils utilisent leur ordinateur en déplacement et à utiliser un adaptateur secteur dès qu’ils en ont la possibilité afin de conserver une batterie totalement chargée. Pour afficher l’état de la batterie dans la barre des menus : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe.148 Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences Économiseur d’énergie. 5 Cliquez sur l’onglet Menu Batterie et réglez la gestion sur Toujours. 6 Sélectionnez Afficher l’état de la batterie dans la barre des menus pour afficher le menu de la batterie. Pour désactiver le menu de la batterie, désélectionnez cette option. 7 Cliquez sur Appliquer. Programmation du démarrage, de l’extinction ou de la suspension d’activité automatiques Vous pouvez choisir de démarrer, d’arrêter ou de suspendre l’activité des ordinateurs à des moments spécifiques du jour ou de la semaine. La programmation de l’arrêt ou de la suspension d’activité peut vous aider à économiser l’énergie pendant des périodes prévues d’inactivité telles que le soir après la journée de travail, pendant les week-ends ou à la fin d’un cours. La programmation du démarrage automatique permet de préparer une classe ou un laboratoire afin que le travail puisse commencer immédiatement. Pour programmer des actions automatiques : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences Économiseur d’énergie. 5 Cliquez sur l’onglet Programmer. 6 Choisissez soit Mac OS X, soit Mac OS X Server dans le menu local OS, puis réglez la gestion sur Toujours. 7 Pour programmer le démarrage automatique, sélectionnez Démarrer l’ordinateur, puis choisissez un jour ou une période (en semaine, le week-end ou tous les jours) dans le menu local. Tapez ensuite une heure dans le champ prévu à cet effet. Pour désactiver le démarrage programmé, désélectionnez cette option. 8 Pour programmer la suspension d’activité ou l’arrêt automatique, choisissez soit Suspendre, soit Éteindre dans le menu local, puis cochez la case qui se trouve à côté. Choisissez ensuite un jour ou une période (en semaine, le week-end ou tous les jours) dans le menu local. Tapez alors une heure dans le champ prévu à cet effet. Pour désactiver la suspension d’activité ou l’arrêt programmé, désélectionnez cette option. 9 Cliquez sur Appliquer.Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X 149 Gestion des préférences du Finder Les préférences du Finder vous permettent de contrôler diverses présentations des menus et fenêtres du Finder. Le tableau ci-dessous décrit la fonction de chacun des réglages du panneau Finder. Masquage des disques et serveurs sur le bureau de l’utilisateur En règle générale, lorsqu’un utilisateur insère un disque, l’icône de ce disque apparaît sur le bureau. Les icônes des disques durs locaux ou des partitions de disques ainsi que celles des volumes de serveurs montés apparaissent également sur le bureau. Si vous ne souhaitez pas que les utilisateurs voient ces éléments sur leur bureau, vous pouvez les masquer. Ces éléments continuent d’apparaître dans le répertoire du niveau supérieur lorsqu’un utilisateur clique sur l’icône Ordinateur figurant dans une barre d’outils du Finder. Pour masquer les icônes de disques et de serveurs sur le bureau : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences du Finder. 5 Cliquez sur l’onglet Préférences, puis sélectionnez un réglage de gestion (Une fois ou Toujours). Panneau des préférences du Finder Ce que vous pouvez contrôler Préférences Utilisez les réglages des préférences du Finder situés dans le Gestionnaire de groupe de travail pour sélectionner un type de Finder pour l’utilisateur, afficher ou masquer des éléments présents sur le bureau et contrôler les comportements de la fenêtre du Finder. Vous pouvez également afficher les extensions de fichiers et faire apparaître un avertissement lorsque les utilisateurs cherchent à vider la corbeille. Commandes Grâce aux commandes des menus du Finder et du menu Pomme, les utilisateurs peuvent, entre autres, se connecter aisément aux serveurs ou redémarrer l’ordinateur. Dans certains cas, il peut être préférable de limiter l’accès des utilisateurs à ces commandes. Les réglages du panneau Commandes vous permettent de contrôler la disponibilité de certaines commandes pour les utilisateurs. Présentations Les présentations du Finder vous permettent de modifier la disposition et l’apparence des éléments qui se trouvent sur le bureau d’un utilisateur, dans les fenêtres du Finder et dans le répertoire du premier niveau de l’ordinateur.150 Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X 6 Sous la mention Afficher ces éléments sur le bureau, sélectionnez les éléments que vous souhaitez masquer. 7 Cliquez sur Appliquer. Contrôle du comportement des fenêtres du Finder Vous pouvez sélectionner le répertoire devant apparaître lorsqu’un utilisateur ouvre une nouvelle fenêtre du Finder. Vous êtes également en mesure de définir le contenu devant s’afficher dans les dossiers à leur ouverture. Pour définir des préférences pour les fenêtres du Finder : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail, puis cliquez sur Préférences. 2 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences du Finder. 3 Cliquez sur l’onglet Préférences, puis sélectionnez un réglage de gestion (Une fois ou Toujours). 4 Sous La nouvelle fenêtre de Finder affiche, spécifiez les éléments à afficher. Sélectionnez Départ pour afficher les éléments du répertoire de départ de l’utilisateur. Sélectionnez Ordinateur pour afficher le répertoire du premier niveau, qui comprend les disques locaux et les volumes montés. 5 Sélectionnez Toujours ouvrir les dossiers dans une nouvelle fenêtre pour afficher le contenu d’un dossier dans une fenêtre séparée lorsqu’il est ouvert par l’utilisateur. Les utilisateurs Mac OS X peuvent normalement parcourir plusieurs dossiers à partir d’une seule fenêtre de Finder. 6 Sélectionnez Ouvrir les fenêtres en présentation par colonne pour une présentation cohérente de l’ensemble des fenêtres. 7 Cliquez sur Appliquer. Affichage des extensions de fichier Une extension de fichier apparaît généralement à la fin d’un nom de fichier (par exemple, “.txt” ou “.jpg”). Cette extension permet aux applications d’identifier le type du fichier concerné. Pour afficher les extensions de fichier : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences du Finder.Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X 151 5 Cliquez sur l’onglet Préférences, puis sélectionnez un réglage de gestion (Une fois ou Toujours). 6 Sélectionnez Toujours afficher les extensions de fichier. 7 Cliquez sur Appliquer. Sélection de l’environnement utilisateur Vous pouvez sélectionner le Finder habituel ou le Finder simplifié comme environnement utilisateur. La présentation et le comportement du Finder normal sont identiques à ceux du bureau Mac OS X standard. Sur l’ordinateur client, vous pouvez configurer le Finder simplifié localement à l’aide des Préférences Système. Localement, le Finder simplifié fournit aux utilisateurs une interface facile à explorer et un accès aisé aux dossiers Documents et Mes applications via le Dock. Lorsque vous utilisez le Gestionnaire de groupe de travail pour appliquer l’environnement Finder simplifié et que cette fonction n’est pas utilisée sur l’ordinateur local, seule l’apparence du Finder est affectée. Les réglages du Dock et de l’accès aux applications doivent être gérés séparément. Vous pouvez ainsi adapter l’emploi aux besoins spécifiques de vos utilisateurs. Pour employer des fonctions du Finder simplifié supplémentaires, utilisez le Gestionnaire de groupe de travail pour : • Ajouter des applications que vous souhaitez mettre à la disposition de vos utilisateurs via le panneau Éléments des préférences Applications. Les alias de ces applications apparaîtront dans le dossier Mes applications de l’utilisateur lors de la session suivante. • Ajouter des éléments supplémentaires au Dock d’un utilisateur à l’aide du panneau Éléments du Dock des préférences du Dock. • Modifier l’apparence et la disposition du Dock d’un utilisateur à l’aide du panneau Affichage du Dock des préférences du Dock. Vous pouvez choisir de configurer le Finder simplifié uniquement sur l’ordinateur local, tout en utilisant les fonctions de gestion du Dock et des applications du Gestionnaire de groupe de travail pour ajouter des éléments de Dock et des accès aux applications supplémentaires. Important : n’attribuez pas de préférences de Finder simplifié aux utilisateurs qui ouvrent une session via un groupe de travail auquel un répertoire de groupe est associé. Les utilisateurs qui se connectent dans ces conditions ne peuvent pas utiliser d’applications car le Finder simplifié demeure continuellement au premier plan, ce qui leur empêche d’accéder au répertoire de groupe. Pour configurer un environnement utilisateur : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences.152 Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences du Finder. 5 Cliquez sur l’onglet Préférences, puis sélectionnez un réglage de gestion (Une fois ou Toujours). 6 Si vous sélectionnez Toujours, vous pouvez sélectionner soit Utiliser le Finder normal, soit Utiliser le Finder simplifié pour limiter l’accès à cet ordinateur. Si vous sélectionnez Une fois, seule l’option Utiliser le Finder normal est disponible. 7 Cliquez sur Appliquer. Masquage du message d’alerte présenté lorsque l’utilisateur veut vider la corbeille Un message d’alerte s’affiche normalement lorsqu’un utilisateur veut vider la corbeille. Si vous ne voulez pas que ce message soit présenté aux utilisateurs, désactivez-le. Pour masquer le message d’avertissement de la corbeille : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences du Finder. 5 Cliquez sur l’onglet Préférences, puis sélectionnez un réglage de gestion (Une fois ou Toujours). 6 Désélectionnez l’option Avertir avant de vider la corbeille. 7 Cliquez sur Appliquer. Contrôle de l’accès des utilisateurs à un iDisk Pour se connecter à un iDisk, les utilisateurs peuvent utiliser la commande Accès à l’iDisk dans le menu Aller du Finder. Si vous ne souhaitez pas que les utilisateurs visualisent cet élément de menu, vous pouvez masquer la commande. Pour masquer la commande Accès à l’iDisk : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences du Finder. 5 Cliquez sur Commandes, puis définissez les réglages de gestion sur Toujours.Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X 153 6 Désélectionnez Aller à l’iDisk. 7 Cliquez sur Appliquer. Contrôle de l’accès des utilisateurs aux serveurs distants Les utilisateurs peuvent se connecter à des serveurs distants en sélectionnant la commande Se connecter au serveur du menu Aller du Finder, puis en saisissant le nom du serveur ou son adresse IP. Si vous ne souhaitez pas que les utilisateurs visualisent cet élément de menu, vous pouvez masquer la commande. Pour masquer la commande Se connecter au serveur : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences du Finder. 5 Cliquez sur Commandes, puis définissez les réglages de gestion sur Toujours. 6 Désélectionnez Se connecter au serveur. 7 Cliquez sur Appliquer. Contrôle de l’accès des utilisateurs aux dossiers Les utilisateurs peuvent ouvrir un dossier spécifique en sélectionnant la commande Aller au dossier du menu Aller du Finder, puis en indiquant le chemin d’accès à ce dossier. Si vous ne souhaitez pas que les utilisateurs disposent de cette autorisation, vous pouvez masquer la commande. Pour masquer la commande Aller au dossier : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences du Finder. 5 Cliquez sur Commandes, puis définissez les réglages de gestion sur Toujours. 6 Désélectionnez Aller au dossier. 7 Cliquez sur Appliquer. Mesures contre l’éjection de disques par des utilisateurs Si vous ne voulez pas que les utilisateurs puissent éjecter des disques (tels que les CD, DVD, disquettes ou disques FireWire), vous pouvez masquer la commande Éjecter du menu Fichier du Finder.154 Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X Pour masquer la commande Éjecter : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences du Finder. 5 Cliquez sur Commandes, puis définissez les réglages de gestion sur Toujours. 6 Désélectionnez Éjecter. 7 Cliquez sur Appliquer. Masquage de la commande Graver le disque dans le Finder Les ordinateurs équipés du matériel adéquat permettent le gravage de disques (écriture d’informations sur des CD ou DVD inscriptibles). Si vous ne voulez pas que les utilisateurs bénéficient de cette possibilité, vous pouvez masquer la commande Graver le disque du menu Fichier du Finder. Pour masquer la commande Graver le disque : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences du Finder. 5 Cliquez sur Commandes, puis définissez les réglages de gestion sur Toujours. 6 Désélectionnez Graver le disque. 7 Cliquez sur Appliquer. Pour empêcher l’utilisation ou le gravage de CD ou DVD inscriptibles, utilisez les réglages des volets d’accès aux données. Seuls les ordinateurs équipés d’un graveur de CD-RW, d’une unité combinée ou d’un graveur Superdrive permettent de graver des CD. La commande de gravage de disques fonctionne uniquement avec des disques CD-R, CD-RW ou DVD-R. Seul un graveur Superdrive permet de graver des DVD. Suppression des commandes Redémarrer et Éteindre du menu Pomme Pour empêcher les utilisateurs de redémarrer ou d’éteindre leurs ordinateurs, vous pouvez supprimer les commandes Redémarrer et Éteindre du menu Pomme.Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X 155 Pour masquer les commandes Redémarrer et Éteindre : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences du Finder. 5 Cliquez sur Commandes, puis définissez les réglages de gestion sur Toujours. 6 Désélectionnez Redémarrer/Éteindre. 7 Cliquez sur Appliquer. Une mesure préventive supplémentaire possible consiste à supprimer les boutons Redémarrer et Éteindre de la fenêtre d’ouverture de session située dans la fenêtre de connexion, à l’aide des réglages pour les préférences de connexion. Pour obtenir des instructions, consultez la section “Gestion des préférences d’ouverture de session” à la page 159. Réglage de l’apparence et de la disposition des éléments du bureau Les éléments situés sur le bureau d’un utilisateur se présentent sous forme d’icônes. Vous pouvez contrôler la taille et la disposition des icônes du bureau. Pour définir des préférences pour la présentation du bureau : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences du Finder. 5 Cliquez sur Présentations, puis sélectionnez un réglage de gestion (Une fois ou Toujours). Ce réglage s’applique aux options des trois onglets de présentation. 6 Cliquez sur Bureau. 7 Réglez la taille d’icône à l’aide du curseur. 8 Sélectionnez le mode de disposition des icônes sur le bureau. Sélectionnez Aucune pour permettre aux utilisateurs de placer librement les icônes sur le bureau. Sélectionnez Aligner sur la grille pour maintenir les éléments alignés en rangs et colonnes.156 Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X Sélectionnez Garder rangé pour choisir un mode de disposition dans le menu local. Vous pouvez ranger les éléments par leur nom, leur date de création ou de modification, leur taille ou leur type (vous pouvez, par exemple, regrouper tous les dossiers). 9 Cliquez sur Appliquer. Réglage de l’apparence du contenu des fenêtres de Finder Les éléments des fenêtres de Finder peuvent être présentés par liste ou par icônes. Vous pouvez contrôler certains aspects de la présentation de ces éléments et décider d’afficher ou non la barre d’outils dans les fenêtres de Finder. Les réglages de Présentation par défaut permettent de contrôler l’apparence générale de toutes les fenêtres du Finder. Les réglages de présentation de l’ordinateur permettent de contrôler la présentation du répertoire du premier niveau de l’ordinateur, dans lequel sont affichés les disques durs et les partitions, les disques durs externes, les volumes montés et les supports amovibles tels que les CD ou les disquettes. Pour définir les préférences pour les présentations par défaut et de l’ordinateur : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences du Finder. 5 Cliquez sur Présentations, puis sélectionnez un réglage de gestion (Une fois ou Toujours). Ce réglage s’applique aux options des trois onglets de présentation. 6 Cliquez sur Par défaut. 7 Réglez la taille d’icône à l’aide du curseur. 8 Sélectionnez le type de disposition souhaité. Sélectionnez Aucune pour permettre aux utilisateurs de placer librement les icônes sur le bureau. Sélectionnez Aligner sur la grille pour maintenir les éléments alignés en rangs et colonnes. Sélectionnez Garder rangé pour choisir un mode de disposition dans le menu local. Vous pouvez ranger les éléments par leur nom, leur date de création ou de modification, leur taille ou leur type (vous pouvez, par exemple, regrouper tous les dossiers). 9 Procédez aux réglages de la présentation par liste pour la présentation par défaut. Si vous sélectionnez Utiliser les dates relatives, la date de création ou de modification d’un élément est indiquée par le terme “Aujourd’hui” et non par “4/12/02”, par exemple.Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X 157 Si vous sélectionnez Taille des dossiers, l’ordinateur calcule la taille totale de chaque dossier affiché dans une fenêtre du Finder. Cela risque de prendre beaucoup de temps pour les dossiers de très grande taille. Choisissez une taille pour les icônes de la liste. 10 Sélectionnez Afficher la barre d’outils dans les fenêtres du Finder si vous souhaitez que cette barre soit visible pour les utilisateurs. 11 Cliquez sur Ordinateur, puis procédez aux réglages de la présentation des icônes et de la présentation par liste pour la présentation de l’ordinateur. Les réglages disponibles sont similaires à ceux de la présentation par défaut décrite aux étapes 5 à 9. 12 Cliquez sur Appliquer. Gestion des préférences Internet Les préférences Internet vous permettent de définir les options de messagerie électronique et de navigateur Web. Il se peut que certains navigateurs Internet ou applications de messagerie ne gèrent pas ces réglages. Le tableau ci-dessous décrit la fonction de chacun des réglages du panneau Internet. Réglage des préférences de messagerie Les préférences de messagerie vous permettent de désigner une application de messagerie par défaut et de fournir les informations nécessaires pour votre adresse électronique, le serveur de courrier entrant et le serveur de courrier sortant. Remarque : il se peut que certaines applications de courrier électronique ignorent ces réglages. Pour définir des préférences de messagerie : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences Internet. 5 Cliquez sur Courrier, puis sélectionnez un réglage de gestion (Une fois ou Toujours). Panneau des préférences Internet Ce que vous pouvez contrôler Message électronique Spécifier une application de courrier électronique par défaut et les données de la messagerie électronique. Web Spécifier un navigateur Web par défaut et choisir l’adresse URL de la page d’accueil et de la page de recherche.158 Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X 6 Pour définir le logiciel de messagerie par défaut, cliquez sur Définir, puis choisissez votre application de messagerie préférée. 7 Tapez les données nécessaires pour l’adresse électronique, le serveur de courrier entrant et le serveur de courrier sortant. 8 Sélectionnez un type de compte de messagerie (POP ou IMAP). 9 Cliquez sur Appliquer. Réglage des préférences de navigateur Web Pour spécifier un navigateur Web par défaut et un emplacement de stockage des fichiers téléchargés, utilisez les réglages Web des préférences Internet. Vous pouvez également choisir une adresse URL de départ pour votre navigateur à l’aide de l’emplacement Page de départ. L’emplacement Page de recherche vous permet de spécifier l’adresse URL d’un moteur de recherche. Remarque : il se peut que certains navigateurs Web ignorent ces réglages. Pour définir des préférences Web : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences Internet. 5 Cliquez sur Web, puis sélectionnez un réglage de gestion (Une fois ou Toujours). 6 Pour définir le navigateur Web par défaut, cliquez sur Définir et choisissez l’application de navigateur Web que vous préférez. 7 Tapez une adresse URL pour la page de départ. Il s’agit de la première page qui s’affiche lors de l’ouverture du navigateur. 8 Tapez une adresse URL pour la page de recherche. 9 Entrez un emplacement de dossier pour stocker les fichiers téléchargés ou cliquez sur Définir pour rechercher un dossier. 10 Cliquez sur Appliquer.Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X 159 Gestion des préférences d’ouverture de session Utilisez les préférences d’ouverture de session pour définir les options de connexion de l’utilisateur, fournir des indices de mot de passe et contrôler l’autorisation pour l’utilisateur de redémarrer et d’éteindre l’ordinateur à partir de l’écran de connexion. Vous pouvez également monter le volume du groupe ou programmer l’ouverture automatique d’applications à l’ouverture de session de l’utilisateur. Le tableau ci-dessous décrit la fonction de chacun des réglages du panneau Finder. Les utilisateurs peuvent toujours modifier les informations des préférences d’ouverture de session dans les Préférences Système, même si vous gérez les réglages Options de connexion. Les modifications effectuées par les utilisateurs restent sans effet tant que les réglages Éléments d’ouverture sont gérés au niveau de l’utilisateur, du groupe ou de l’ordinateur. Toutefois, si vous optez pour Non géré pour la gestion des Options de connexion et désélectionnez l’option L’utilisateur peut ajouter et supprimer des applications, les modifications apportées par les utilisateurs prendront effet sous certaines conditions. Supposons par exemple que le Groupe A permette aux utilisateurs d’ajouter des éléments d’ouverture de session et que le Groupe B ne le permette pas. Un utilisateur ouvre une session et sélectionne le Groupe B, puis ajoute une application à la liste des éléments d’ouverture située dans les Préférences Système. À sa prochaine connexion, cet utilisateur sélectionne le Groupe B et l’élément d’ouverture ajouté ne s’ouvre pas. Il peut toutefois ouvrir l’application ajoutée en sélectionnant le Groupe A (qui autorise les éléments d’ouverture). Pour empêcher un utilisateur d’accéder aux préférences d’éléments d’ouverture et de comptes, utilisez le Gestionnaire de groupe de travail pour gérer les Préférences Système. Pour interdire l’accès aux préférences Comptes et Éléments d’ouverture : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. Panneau des préférences du Finder Ce que vous pouvez contrôler Options Les réglages Options de connexion affectent l’apparence et la fonction des éléments de la fenêtre de connexion (ouverture de session). Éléments d’ouverture Les réglages Éléments d’ouverture vous permettent d’ouvrir des applications pour l’utilisateur ou de fournir l’accès au volume du groupe.160 Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône Préférences Système. 5 Réglez la gestion sur Toujours, puis désélectionnez Éléments d’ouverture et Comptes dans la liste des éléments à afficher. 6 Cliquez sur Appliquer. Choix du mode d’ouverture de session pour l’utilisateur Selon les options que vous choisissez, l’utilisateur verra s’afficher dans la fenêtre d’ouverture de session soit des champs de nom et de mot de passe, soit une liste d’utilisateurs. Ces réglages s’appliquent uniquement aux comptes d’ordinateur. Pour configurer le mode d’ouverture de session d’un utilisateur : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences d’ouverture de session. 5 Cliquez sur Options de connexion, puis réglez la gestion sur Toujours. 6 Pour exiger un nom et un mot de passe à l’utilisateur, sélectionnez Champs de saisie Nom et Mot de passe. 7 Pour permettre à l’utilisateur de sélectionner son nom dans une liste, choisissez Liste d’utilisateurs pouvant accéder à l’ordinateur. Si vous optez pour l’utilisation d’une liste d’utilisateurs, sélectionnez les catégories d’utilisateurs à afficher dans cette liste. Pour vous assurer qu’un type d’utilisateur particulier ne figure pas dans la liste, désélectionnez le réglage correspondant. Sélectionnez Afficher utilisateurs locaux pour inclure les comptes d’utilisateur local dans la liste. Sélectionnez Afficher utilisateurs du réseau pour inclure les comptes d’utilisateur du réseau dans la liste. Sélectionnez Afficher les administrateurs locaux pour inclure dans la liste les utilisateurs munis d’autorisations d’administration sur l’ordinateur local. Pour accorder des autorisations à des utilisateurs inconnus, vous pouvez sélectionner Afficher autres utilisateurs. Remarque : si l’option Comptes locaux uniquement est désactivée (dans Gestionnaire de groupe de travail/Comptes d’ordinateurs/Accès), les utilisateurs locaux non administrateurs ne peuvent plus ouvrir de session.Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X 161 8 Il est recommandé d’autoriser certains utilisateurs (les administrateurs par exemple) à ouvrir leur session à l’aide d’une console Darwin (interface de ligne de commande). Pour activer cette option, sélectionnez Autoriser les utilisateurs à ouvrir une session via “>console”. 9 Pour ouvrir automatiquement une session en tant qu’utilisateur particulier dès le démarrage de l’ordinateur, vous pouvez sélectionner Activer le réglage Ouverture session client auto. Ce réglage peut s’avérer utile si vous souhaitez configurer un ordinateur destiné à un usage public. Pour utiliser ce réglage, vous devez configurer l’ouverture de session automatique sur l’ordinateur client dans le panneau Comptes des Préférences Système. Cliquez sur Options de connexion, sélectionnez Ouvrir une session automatiquement en tant que, choisissez un utilisateur dans le menu local, puis tapez le nom correspondant à cet utilisateur. 10 Une fois la sélection des réglages d’ouverture de session gérée terminée, cliquez sur Appliquer. Autorisation de plusieurs utilisateurs simultanés sur un ordinateur client La fonction de changement rapide d’utilisateur permet de rendre plusieurs comptes d’utilisateur disponibles en même temps sur un seul ordinateur. Chaque utilisateur s’authentifie à l’ouverture de session et le compte d’utilisateur actif apparaît à droite dans la barre des menus du Finder. Il est possible, en cliquant sur cet élément de menu du Finder, d’afficher la liste des comptes d’utilisateur disponibles. L’utilisation de la fonction de changement rapide d’utilisateur s’avère utile pour les ordinateurs utilisés par de petits groupes stables d’utilisateurs. Les utilisateurs doivent s’authentifier chaque fois qu’ils changent de compte dans la liste. Pour gérer le changement rapide d’utilisateur : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences d’ouverture de session. 5 Cliquez sur Options de connexion, puis réglez la gestion sur Toujours. 6 Sélectionnez Activer le changement rapide d’utilisateur pour autoriser les utilisateurs à employer cette fonction. Pour désactiver cette option, désélectionnez-la. 7 Cliquez sur Appliquer.162 Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X Si vous décidez d’autoriser le changement rapide d’utilisateur, vous devez également activer cette fonction sur les ordinateurs clients. Dans le panneau Comptes des Préférences Système, cliquez sur Options d’ouverture de session, puis sélectionnez Activer la permutation rapide d’utilisateur. Aide aux utilisateurs ayant oublié leur mot de passe Vous pouvez utiliser un “indice” afin d’aider les utilisateurs à se rappeler leur mot de passe. Au bout de trois tentatives consécutives d’ouverture de session à l’aide d’un mot de passe incorrect, une zone de dialogue affiche l’indice généré. Les indices de mot de passe créés pour les utilisateurs locaux sont toujours affichés après trois tentatives, même si l’option d’affichage n’est pas sélectionnée. Les indices de mot de passe ne sont pas utilisés pour les comptes d’utilisateur en réseau. Remarque : les réglages d’options d’ouverture de session ne sont disponibles que pour les comptes d’ordinateur. Pour afficher un indice de mot de passe : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences d’ouverture de session. 5 Cliquez sur Options de connexion, puis réglez la gestion sur Toujours. 6 Sélectionnez Afficher l’indice de mot de passe après 3 tentatives. 7 Cliquez sur Appliquer. Activation de la fermeture de session automatique pour les utilisateurs inactifs Vous pouvez réduire la charge sur vos serveurs et rendre les comptes d’utilisateur plus sûrs en activant la fermeture de session automatique après un délai d’inactivité. Une fois le délai d’inactivité fixé dépassé, la session de l’utilisateur est fermée et la fenêtre d’ouverture de session est à l’écran. Pour fermer automatiquement la session d’un utilisateur : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences d’ouverture de session.Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X 163 5 Cliquez sur Fermeture automatique, puis réglez la gestion sur Toujours. 6 Faites glisser le curseur pour fixer le délai pendant lequel l’utilisateur peut demeurer inactif avant que sa session ne soit fermée automatiquement. 7 Cliquez sur Appliquer. Interdiction de démarrer ou d’arrêter l’ordinateur lors de la connexion Les boutons Redémarrer et Éteindre sont normalement affichés dans la fenêtre d’ouverture de session. Si vous ne voulez pas que vos utilisateurs puissent redémarrer ou éteindre l’ordinateur, masquez ces boutons. Vous pouvez également masquer les commandes Redémarrer et Éteindre dans le menu Finder. Pour obtenir des instructions, consultez la section “Gestion des préférences du Finder” à la page 149. Contrôlez le panneau Commandes des préférences du Finder et assurez-vous que l’option Redémarrer/Éteindre n’est pas sélectionnée. Remarque : les réglages d’options d’ouverture de session ne sont disponibles que pour les comptes d’ordinateur. Pour masquer les boutons Redémarrer et Éteindre : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences d’ouverture de session. 5 Cliquez sur Options de connexion, puis réglez la gestion sur Toujours. 6 Sélectionnez Masquer Redémarrer et Éteindre dans la fenêtre d’ouverture de session. 7 Cliquez sur Appliquer. Ouverture automatique d’éléments après l’ouverture de session Cette option permet à l’utilisateur de disposer, immédiatement après l’ouverture de session, des éléments qu’il utilise le plus fréquemment. Si plusieurs éléments sont ouverts automatiquement, il est possible de les masquer après leur ouverture. Cela permet d’éviter l’encombrement de l’écran de l’utilisateur, tout en maintenant les applications ouvertes et accessibles. Au fur et à mesure de leur ouverture, les éléments listés se superposent dans le Finder. Le dernier élément de la liste correspond à celui situé au premier plan du Finder. Par exemple, si aucun des trois éléments de la liste n’est masqué, l’utilisateur voit la barre de menus du dernier élément ouvert. Si les fenêtres d’une application sont ouvertes, elles peuvent se chevaucher avec les fenêtres d’autres applications.164 Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X L’utilisateur peut annuler l’ouverture automatique des applications en maintenant la touche Maj enfoncée pendant l’ouverture de session. La touche Maj doit être maintenue enfoncée jusqu’à la fin du démarrage et jusqu’au moment où le Finder apparaît sur le bureau. Pour ouvrir automatiquement des applications : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences d’ouverture de session. 5 Cliquez sur Ouverture à la connexion, puis sélectionnez un réglage de gestion (Une fois ou Toujours). 6 Pour ajouter un élément à la liste, cliquez sur Ajouter. 7 Si vous souhaitez qu’un utilisateur ne visualise pas immédiatement un élément, cochez la case Masquer correspondante. L’application reste ouverte, mais ses fenêtres et sa barre de menus demeurent masquées jusqu’à ce que l’utilisateur active l’application (en cliquant sur son icône dans le Dock par exemple). 8 Pour empêcher l’utilisateur de disposer de cette fonction, désélectionnez l’option L’utilisateur peut ajouter et supprimer des éléments d’ouverture à la connexion. Les utilisateurs ne peuvent supprimer que les éléments qu’ils ont ajoutés eux-mêmes à cette liste et non ceux ajoutés par un administrateur. 9 Pour empêcher les utilisateurs de fermer les applications s’ouvrant automatiquement à la connexion, désélectionnez l’option L’utilisateur peut appuyer sur Maj pour que les applications ne s’ouvrent pas. 10 Cliquez sur Appliquer. Fourniture de l’accès au répertoire de départ réseau d’un utilisateur Ce réglage concerne principalement les comptes mobiles. Si un utilisateur ouvre une session alors qu’il est connecté au réseau, le point de partage contenant son répertoire de départ d’origine (situé sur le serveur) est monté sur le bureau. Pour monter automatiquement le répertoire de départ réseau : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe.Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X 165 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur mobile dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences d’ouverture de session. 5 Cliquez sur Éléments d’ouverture. 6 Définissez le réglage de gestion sur Toujours. 7 Sélectionnez Aj. point de part. de départ de réseau. 8 Cliquez sur Appliquer. Fourniture d’un accès aisé au point de partage de groupe Après avoir configuré un point de partage de groupe, vous pouvez simplifier la recherche de répertoires de groupes pour les utilisateurs en leur permettant d’accéder automatiquement au point de partage dès l’ouverture de session. Pour obtenir de l’aide sur la configuration d’un point de partage de groupe, lisez la section “Travail avec les réglages du dossier de groupe” à la page 90. Remarque : ce réglage de préférence ne s’applique qu’aux groupes. Vous ne pouvez pas gérer ce réglage pour les utilisateurs ou les ordinateurs. Pour ajouter un élément d’ouverture au point de partage de groupe : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. Si vous n’avez pas encore configuré un point de partage pour le groupe, faites-le avant de continuer. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte de groupe dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences du Dock. 5 Cliquez sur Éléments du Dock. 6 Définissez le réglage de gestion sur Toujours. 7 Sélectionnez Documents. 8 Cliquez sur Appliquer. Lorsque l’utilisateur ouvre sa session, l’ordinateur se connecte au point de partage de groupe à l’aide du nom d’utilisateur et du mot de passe donné à l’ouverture de session. Si vous gérez les préférences du Finder et choisissez de ne pas afficher les serveurs connectés, l’icône du volume de groupe n’apparaît pas sur le bureau. L’utilisateur peut toutefois trouver le volume en cliquant sur Ordinateur dans une fenêtre du Finder. Si vous changez l’emplacement du point de partage du groupe, veillez à mettre à jour l’élément d’ouverture correspondant pour le groupe dans le Gestionnaire de groupe de travail.166 Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X Gestion des préférences d’accès aux données Les préférences d’accès aux données permettent de contrôler les réglages de CD, DVD, disque dur local et disques externes (par exemple, disquettes et lecteurs FireWire), ainsi que le mode d’accès à ces éléments. Le tableau ci-dessous décrit la fonction de chacun des réglages du panneau Accès aux données. Contrôle de l’accès à des CD et des DVD Si un ordinateur est capable de lire des CD ou des DVD, vous pouvez contrôler le type de disques auxquels les utilisateurs auront accès. Il est impossible de limiter l’accès à des CD ou DVD particuliers, ou bien à des éléments spécifiques qui s’y trouvent. Vous pouvez néanmoins choisir de ne permettre l’accès à aucun CD ou DVD. L’exigence d’un nom et d’un mot de passe d’administrateur constitue un autre moyen de restreindre l’accès aux CD et DVD. Pour contrôler l’accès aux CD et DVD : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail, puis cliquez sur Préférences. 2 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences d’accès aux données. 3 Définissez le réglage de gestion sur Toujours. Ce réglage s’applique à l’ensemble des options de préférences d’accès aux données. 4 Cliquez sur Disques multimédias. 5 Sélectionnez les réglages pour les CD et les CD-ROM. Cochez la case Autoriser située en regard de CD et CD-ROM pour permettre aux utilisateurs d’accéder à la musique, aux données ou aux applications stockées sur disques compacts. Pour restreindre l’accès aux disques compacts, sélectionnez Requérir l’authentification pour demander à un administrateur son nom d’utilisateur et son mot de passe. Pour empêcher l’accès à l’ensemble des disques compacts, désélectionnez Autoriser. 6 Sélectionnez les réglages pour les DVD. Panneau des préférences Accès aux données Ce que vous pouvez contrôler Données de disque Les réglages de disques n’affectent que les CD, DVD et disques inscriptibles (tels que CD-R, CD-RW ou DVD-R). Les ordinateurs qui ne sont pas équipés du matériel approprié pour utiliser des CD, DVD ou disques enregistrables ne sont pas affectés par ces options. Autres données Les réglages du panneau Autres données concernent les disques durs internes et les disques externes autres que les CD ou les DVD.Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X 167 Cochez la case Autoriser située en regard de DVD pour permettre aux utilisateurs d’accéder aux films et autres informations stockées sur disques vidéo numériques. Pour restreindre l’accès aux DVD, sélectionnez Requérir l’authentification pour demander à un administrateur son nom d’utilisateur et son mot de passe. Pour empêcher l’accès à l’ensemble des DVD, désélectionnez Autoriser. 7 Cliquez sur Appliquer. Contrôle de l’utilisation des disques inscriptibles Les ordinateurs équipés du matériel adéquat permettent aux utilisateurs de graver des disques, c’est-à-dire d’écrire des informations sur des disques enregistrables tel que les CD-R, les CD-RW ou les DVD-R. Il est possible de graver des CD sur un ordinateur équipé d’un graveur de CD-RW, d’une unité combinée ou d’un graveur Superdrive. Seuls les ordinateurs équipés d’un graveur Superdrive permettent de graver des DVD. Pour limiter l’accès des utilisateurs aux données enregistrables, vous pouvez exiger la saisie préalable d’un nom et d’un mot de passe d’administrateur. Pour contrôler l’utilisation des disques inscriptibles : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences d’accès aux données. 5 Définissez le réglage de gestion sur Toujours. Ce réglage s’applique à l’ensemble des options de préférences d’accès aux données. 6 Cliquez sur Disques multimédias. 7 Sélectionnez des options pour les données enregistrables. Cochez la case Autoriser située en regard de Disques enregistrables, pour permettre aux utilisateurs d’employer les disques CD-R, CD-RW ou DVD-R. Cochez la case Authentification pour demander un mot de passe d’administrateur afin d’utiliser le disque. Pour empêcher les utilisateurs d’enregistrer des informations sur des disques compacts ou des DVD-R, désélectionnez Autoriser. 8 Cliquez sur Appliquer.168 Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X Contrôle de l’accès aux disques durs et aux disques Les réglages Accès aux données sélectionnés dans le panneau Autres données vous permettent de contrôler l’accès aux lecteurs externes de disques amovibles autres que les CD et les DVD (lecteur Zip d’un ordinateur PowerPC G4 ou lecteur de disquettes externe, par exemple). Si l’accès à des disques externes est interdit, les utilisateurs ne peuvent pas recourir à des disquettes, des disques Zip, des lecteurs FireWire et autres périphériques de stockage externes. Remarque : ces options ne concernent pas les disques durs internes. Les réglages Possesseur et Autorisations du Finder vous permettent de définir des autorisations d’accès aux disques durs internes et aux partitions de disques sur les ordinateurs clients individuels. Pour restreindre l’accès aux disques internes et externes : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences d’accès aux données. 5 Définissez le réglage de gestion sur Toujours. Ce réglage s’applique à l’ensemble des options de préférences d’accès aux données. 6 Cliquez sur Autre disque. 7 Sélectionnez des options pour les disques internes (le disque dur et les partitions de disque de l’ordinateur). Cochez la case Authentification pour exiger un mot de passe d’accès au disque dur. Pour empêcher les utilisateurs d’accéder au disque dur, décochez la case Autoriser. Si vous cochez la case Lecture seule, les utilisateurs peuvent uniquement visualiser le contenu du disque dur et non modifier ni enregistrer des fichiers sur le disque dur. 8 Sélectionnez des options pour les disques externes (autres que les CD ou DVD). Cochez la case Authentification pour exiger un mot de passe d’accès aux disques externes. Pour empêcher l’accès aux disques externes, décochez la case Autoriser. Si vous cochez la case Lecture seule, les utilisateurs peuvent uniquement visualiser le contenu de disques externes et non modifier ni enregistrer des fichiers sur ces disques externes. 9 Cliquez sur Appliquer.Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X 169 Éjection automatique d’éléments à la fermeture de session de l’utilisateur Sur les ordinateurs utilisés par plusieurs personnes, comme dans les laboratoires d’informatique par exemple, il arrive parfois que certains utilisateurs oublient d’emporter leurs disques personnels au moment de partir. Si ces disques, CD ou DVD n’ont pas été éjectés avant de fermer la session, l’utilisateur suivant qui ouvre une session sur l’ordinateur pourra librement accéder à leur contenu. Si vous autorisez les utilisateurs à accéder à des CD, DVD ou disques externes, tels que disques Zip ou FireWire, sur des ordinateurs partagés, il est conseillé d’activer l’éjection automatique des supports amovibles à la fermeture de session de l’utilisateur. Pour éjecter automatiquement les données enregistrables : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences d’accès aux données. 5 Définissez le réglage de gestion sur Toujours. Ce réglage s’applique à l’ensemble des options de préférences d’accès aux données. 6 Cliquez sur Autre disque. 7 Sélectionnez Éjecter tous les disques amovibles à la fermeture de session. 8 Cliquez sur Appliquer. Gestion des préférences de comptes mobiles Si un utilisateur requiert un compte mobile, vous pouvez lui en créer un automatiquement pendant l’ouverture de session. Pour en savoir plus sur les comptes mobiles, notamment sur la manière d’utiliser les réglages des préférences Comptes mobiles, lisez le chapitre 3, “Gestion des utilisateurs pour des clients mobiles”.170 Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X Gestion des préférences d’impression Les préférences d’impression vous permettent de créer des listes d’imprimantes et de gérer l’accès aux imprimantes. Le tableau ci-dessous décrit la fonction de chacun des réglages du panneau Impression. Attribution d’imprimantes aux utilisateurs Pour fournir aux utilisateurs l’accès aux imprimantes, commencez par configurer une liste d’imprimantes. Vous pouvez ensuite autoriser des utilisateurs ou des groupes spécifiques à employer les imprimantes de la liste. Vous pouvez également rendre les imprimantes disponibles aux ordinateurs. La liste finale d’imprimantes d’un utilisateur consiste en une combinaison d’imprimantes auxquelles lui-même, le groupe sélectionné à la connexion et l’ordinateur en cours d’utilisation peuvent accéder. Pour créer une liste d’imprimantes pour les utilisateurs : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences d’impression. 5 Définissez le réglage de gestion sur Toujours. Ce réglage s’applique à l’ensemble des options de préférences d’impression. 6 Cliquez sur Liste des imprimantes. 7 La liste des imprimantes disponibles est générée à partir de la liste des imprimantes de réseau disponibles dans l’application Centre d’impression. Sélectionnez une imprimante dans la liste des imprimantes disponibles, puis cliquez sur Ajouter à la liste afin qu’elle figure dans la liste des imprimantes de l’utilisateur. Si l’imprimante souhaitée n’apparaît pas dans la liste Imprimantes disponibles, cliquez sur Ouvrir Centre d’impression, puis ajoutez l’imprimante à la liste d’imprimantes du Centre d’impression. 8 Cliquez sur Appliquer. Panneau des préférences d’impression Ce que vous pouvez contrôler Liste d’imprimantes Les options Liste d’imprimantes vous permettent de générer la liste des imprimantes disponibles et de contrôler la capacité de l’utilisateur à ajouter des imprimantes ou à accéder à une imprimante connectée directement à un ordinateur. Accès Les réglages d’accès vous permettent de désigner une imprimante par défaut et de restreindre l’accès à certaines imprimantes.Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X 171 Méthode pour empêcher les utilisateurs de modifier la liste d’imprimantes Pour limiter la capacité d’un utilisateur à modifier une liste d’imprimantes, vous pouvez exiger la saisie d’un nom et d’un mot de passe d’administrateur pour ajouter de nouvelles imprimantes. Vous pouvez également supprimer cette autorisation. Pour restreindre l’accès à la liste des imprimantes : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences d’impression. 5 Définissez le réglage de gestion sur Toujours. Ce réglage s’applique à l’ensemble des options de préférences d’impression. 6 Cliquez sur Liste des imprimantes. 7 Pour que seuls les administrateurs modifient la liste des imprimantes, sélectionnez Requérir un mot de passe admin. 8 Pour qu’aucun utilisateur ne puisse modifier la liste, désélectionnez Autoriser les utilisateurs à ajouter des imprimantes à la liste. 9 Cliquez sur Appliquer. Restriction de l’accès aux imprimantes connectées à un ordinateur Il est recommandé, dans certaines situations, de n’autoriser que quelques utilisateurs à imprimer via une imprimante connectée directement à leur ordinateur. Dans le cas, par exemple, d’une salle de classe équipée d’un ordinateur connecté à une imprimante, vous pouvez choisir de réserver l’usage de l’imprimante au professeur, en lui créant un compte d’administrateur, puis en exigeant la saisie d’un nom et d’un mot de passe d’administrateur pour pouvoir utiliser l’imprimante. Pour limiter l’accès à une imprimante connectée à un ordinateur spécifique : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences d’impression. 5 Définissez le réglage de gestion sur Toujours. Ce réglage s’applique à l’ensemble des options de préférences d’impression.172 Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X 6 Cliquez sur Liste des imprimantes. 7 Pour que seuls les administrateurs utilisent l’imprimante, sélectionnez Requérir un mot de passe admin. 8 Pour interdire l’accès des imprimantes à tout utilisateur, désélectionnez Autoriser imprimantes directement reliées à l’ordinateur de l’utilisateur. 9 Cliquez sur Appliquer. Définition d’une imprimante par défaut Une fois que vous avez configuré une liste d’imprimantes, vous pouvez désigner l’imprimante qui sera utilisée par défaut. Dès qu’un utilisateur tente d’imprimer un document, l’imprimante choisie apparaît par défaut dans la zone de dialogue d’impression de l’application. Pour définir l’imprimante par défaut : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences d’impression. 5 Définissez le réglage de gestion sur Toujours. Ce réglage s’applique à l’ensemble des options de préférences d’impression. 6 Cliquez sur Accès. 7 Choisissez une imprimante dans la liste des imprimantes de l’utilisateur, puis cliquez sur Par défaut. 8 Cliquez sur Appliquer. Restriction de l’accès aux imprimantes Vous pouvez exiger la saisie d’un nom et d’un mot de passe d’administrateur pour l’utilisation de certaines imprimantes. Pour restreindre l’accès à une imprimante spécifique : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences d’impression. 5 Définissez le réglage de gestion sur Toujours. Ce réglage s’applique à l’ensemble des options de préférences d’impression.Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X 173 6 Cliquez sur Accès. 7 Sélectionnez une imprimante dans la liste des imprimantes de l’utilisateur, puis sélectionnez Requérir le mot de passe d’administrateur. 8 Cliquez sur Appliquer. Gestion de l’accès aux préférences Système Vous pouvez, à l’aide du panneau Préférences Système des préférences Applications, sélectionner les préférences que les utilisateurs pourront voir dans les Préférences Système de l’ordinateur client. Lorsqu’un élément apparaît dans les Préférences Système, l’utilisateur peut l’ouvrir, mais ne peut pas toujours en modifier les réglages. Si, par exemple, vous réglez la gestion des préférences du Dock sur Toujours et choisissez de les afficher pour les utilisateurs, ces derniers peuvent voir les réglages mais pas les modifier. Certaines préférences système peuvent être inaccessibles sur votre ordinateur administrateur. Vous devez soit installer les préférences manquantes sur l’ordinateur administrateur que vous employez, soit utiliser le Gestionnaire de groupe de travail sur un ordinateur administrateur où ces préférences sont installées. Pour gérer l’accès aux préférences Système : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences d’applications. 5 Cliquez sur Préférences Système. 6 Définissez le réglage de gestion sur Toujours. 7 Décochez la case Afficher pour chaque élément ne devant pas apparaître dans les Préférences Système d’un utilisateur. Cliquez sur Afficher aucun pour désélectionner chaque élément de la liste. Cliquez sur Tout afficher pour sélectionner chaque élément de la liste. 8 Cliquez sur Appliquer.174 Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X Gestion des préférences Accès universel Les réglages Accès universel peuvent améliorer l’expérience de certains utilisateurs. Si, par exemple, un utilisateur souffrant d’un handicap éprouve des difficultés à utiliser un ordinateur ou souhaite modifier son mode de travail, vous pouvez choisir des réglages qui lui permettront de travailler de manière plus efficace. Utilisez le Gestionnaire de groupe de travail pour configurer et gérer les réglages Accès universel pour des groupes de travail ou d’ordinateurs spécifiques destinés aux utilisateurs ayant des besoins particuliers. Le tableau ci-dessous décrit la fonction de chacun des réglages du panneau Accès universel. Manipulation des réglages d’affichage pour l’utilisateur Les préférences Vue du Gestionnaire de groupe de travail permettent aux utilisateurs de régler l’apparence de l’écran. L’utilisateur peut aisément effectuer un zoom avant ou arrière sur le bureau à l’aide de raccourcis clavier (combinaisons de touches spécifiques). Le remplacement des couleurs par des niveaux de gris ou l’utilisation d’un affichage négatif (blanc sur noir) peut faciliter la lecture du texte à l’écran. Remarque : si les réglages d’affichage sont gérés une seule fois, les utilisateurs peuvent alterner entre les options de zoom et de couleurs à l’aide de raccourcis clavier. Si la gestion est réglée sur Toujours, les utilisateurs ne peuvent pas naviguer entre ces options. Panneau des préférences Accès universel Ce que vous pouvez contrôler Vue Les préférences Vue servent à régler l’affichage ou permettre aux utilisateurs d’agrandir (zoom) le bureau. Écoute Utilisez les préférences Écoute afin d’activer une alerte visuelle pour les utilisateurs. Clavier Les préférences Clavier permettent de régler la manière dont le clavier répond aux frappes et de simplifier l’utilisation des combinaisons de touches. Souris Utilisez les préférences Souris pour régler la manière dont le pointeur répond. Vous pouvez également permettre aux utilisateurs de se servir du pavé numérique plutôt que de la souris. Options Utilisez les réglages Options pour activer les raccourcis par combinaisons de touches, autoriser l’utilisation d’appareils d’assistance et choisir si l’ordinateur doit lire ou non le texte du panneau des préférences Accès universel.Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X 175 Pour gérer les préférences Vue : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences Accès universel. 5 Cliquez sur Vue, puis sélectionnez un réglage de gestion (Une fois ou Toujours). 6 Sélectionnez Activer le zoom pour permettre aux utilisateurs d’effectuer un zoom avant ou arrière sur le bureau. 7 Pour effectuer un réglage plus précis du zoom, cliquez sur Options de zoom. Faites glisser les curseurs pour fixer un Zoom maximum et un Zoom minimum. Sélectionnez Afficher un rectangle d’aperçu lors d’un zoom arrière pour afficher une zone d’aperçu. Désélectionnez Lisser les images pour améliorer l’apparence des images agrandies. 8 Pour afficher un texte blanc sur un fond noir, sélectionnez Passer à blanc sur noir. 9 Pour remplacer les couleurs par des niveaux de gris, sélectionnez Régler l’écran sur niveaux de gris. 10 Cliquez sur Appliquer. Pour personnaliser davantage l’affichage, vous pouvez utiliser les préférences de présentation du Finder afin de contrôler la taille des icônes des fenêtre du Finder et les préférences d’affichage du Dock pour agrandir les icônes du Dock de l’utilisateur. Si vous comptez gérer des ordinateurs dédiés, vous pourrez utiliser les préférences d’affichage pour modifier la résolution de votre écran et le nombre de couleurs affichées. Pour conserver les préférences d’affichage locales telles que définies, il est recommandé de supprimer l’élément Moniteur de la liste des préférences système disponibles en utilisant les préférences Applications du Gestionnaire de groupe de travail. Pour permettre l’utilisation d’un appareil d’assistance, tel qu’un lecteur d’écran, sur un ordinateur spécifique, sélectionnez Activer l’accès pour les périphériques d’aide dans l’onglet Options du panneau Accès universel des Préférences Système. Activation d’une alerte visuelle Il est possible, pour les utilisateurs ayant du mal à entendre les sons d’alerte (tels que le son émis à l’arrivée d’un message ou lorsqu’une erreur survient), de faire clignoter l’écran. Pour activer une alerte visuelle : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail.176 Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences Accès universel. 5 Cliquez sur Écoute, puis sélectionnez un réglage de gestion (Une fois ou Toujours). 6 Sélectionnez Faire clignoter l’écran dès qu’un signal d’alerte retentit. 7 Cliquez sur Appliquer. Réglage de la réponse du clavier Pour les utilisateurs qui éprouvent des difficultés à appuyer sur plusieurs touches à la fois, vous pouvez utiliser la fonction Touches à auto-maintien pour permettre au clavier d’interpréter une séquence de frappes de touche individuelles comme combinaison de touches. L’ordinateur peut afficher chaque touche activée à l’écran, puis diffuser un son d’alerte dès que la combinaison de touches est terminée. Remarque : si vous activez les raccourcis clavier d’Accès universel, un utilisateur pourra activer ou désactiver les touches à auto-maintien en appuyant cinq fois de suite sur la touche Maj. Si le clavier s’avère trop réactif pour certains utilisateurs qui éprouvent des problèmes avec les frappes répétitives, vous pouvez utiliser la fonction Touches lentes pour augmenter le délai de réponse d’une touche activée. L’ordinateur peut, afin de fournir un “feedback” à l’utilisateur, émettre un “clic” lorsque les touches sont enfoncées. Pour définir la manière dont le clavier réagit aux frappes : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences Accès universel. 5 Cliquez sur Clavier, puis sélectionnez un réglage de gestion (Une fois ou Toujours). 6 Sélectionnez Oui pour activer les touches à auto-maintien. Pour désactiver l’alerte de combinaison de touches, désélectionnez Émettre un son lors de la définition d’une touche de modification. Pour désactiver l’affichage à l’écran des touches activées, désélectionnez Afficher les touches appuyées à l’écran. Si ces options ne sont pas sélectionnées, certains utilisateurs peuvent éprouver des difficultés à savoir si une combinaison de touches est terminée ou en cours de saisie.Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X 177 7 Sélectionnez Oui pour activer les touches lentes. 8 Faites glisser le curseur pour fixer le délai entre le moment où une touche est activée et celui où l’ordinateur la reconnaît. 9 Si vous ne voulez pas que l’ordinateur réagisse aux frappes de touches par un “clic”, désélectionnez Émettre un son à chaque touche appuyée. 10 Cliquez sur Appliquer. Réglage du niveau de réponse de la souris et du pointeur La fonction Souris permet aux utilisateurs qui éprouvent des difficultés à utiliser une souris ou qui préfèrent ne pas s’en servir d’utiliser le pavé numérique. Les touches du pavé numérique correspondent aux directions et aux actions de la souris, ce qui permet à l’utilisateur de déplacer le pointeur, de cliquer sur le bouton de la souris, de le maintenir enfoncé ou de le relâcher. Remarque : si vous activez les raccourcis clavier d’Accès universel, un utilisateur pourra activer ou désactiver les Touches de souris en appuyant cinq fois de suite sur la touche Option. Si le pointeur se déplace trop rapidement pour certains utilisateurs, vous pouvez régler sa vitesse de réaction et de déplacement. Pour contrôler les réglages de la souris et du pointeur : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences Accès universel. 5 Cliquez sur Souris, puis sélectionnez un réglage de gestion (Une fois ou Toujours). 6 Sélectionnez Oui pour activer les Touches de souris. 7 Pour contrôler la vitesse de réaction du pointeur, faites glisser le curseur Délai initial. 8 Pour contrôler la vitesse de déplacement du pointeur, faites glisser le curseur Vitesse maximale. 9 Cliquez sur Appliquer. Activation des raccourcis d’Accès universel Les raccourcis d’Accès universel sont des combinaisons de touches qui permettent d’activer une fonction disponible d’Accès universel telle que le zoom sur l’écran ou les touches à auto-maintien. Si vous décidez de ne pas autoriser les raccourcis d’Accès universel, vos utilisateurs ne pourront peut-être pas utiliser des fonctions telles que le zoom et désactiver les fonctions activées telles que les touches à auto-maintien.178 Chapitre 9 Gestion des préférences pour Mac OS X Pour autoriser les raccourcis d’Accès universel : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences Accès universel. 5 Cliquez sur Options, puis sélectionnez un réglage de gestion (Une fois ou Toujours). 6 Sélectionnez Autoriser les raccourcis d’Accès Universel. 7 Cliquez sur Appliquer. Autorisation d’appareils d’aide pour les utilisateurs ayant des besoins particuliers Vous pouvez si nécessaire autoriser les utilisateurs gérés à employer des appareils d’aide tels que des lecteurs d’écran. Pour autoriser l’utilisation d’appareils d’aide : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, choisissez le domaine de répertoire contenant le compte souhaité, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur le cadenas, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans la liste des comptes, puis cliquez sur l’icône des préférences Accès universel. 5 Cliquez sur Options, puis sélectionnez un réglage de gestion (Une fois ou Toujours). 6 Sélectionnez Autoriser l’accès pour les périphériques d’aide. 7 Cliquez sur Appliquer.10 179 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 Ce chapitre vous explique comment utiliser le Gestionnaire Macintosh, qui offre aux administrateurs réseau une méthode centralisée de gestion des ordinateurs clients Mac OS 9 et de contrôle d’accès aux logiciels et aux supports amovibles, le tout dans un environnement personnalisé et cohérent. À propos du Gestionnaire Macintosh Grâce au Gestionnaire Macintosh, les administrateurs réseau disposent d’une méthode centralisée de gestion des ordinateurs clients Mac OS 9 et de contrôle d’accès aux logiciels et aux supports amovibles, le tout dans un environnement personnalisé et cohérent. Après avoir importé les informations de base (nom d’utilisateur, mot de passe et ID d’utilisateur) des comptes d’utilisateur du Gestionnaire de groupe de travail, vous pouvez personnaliser les préférences et les autorisations des utilisateurs, des groupes de travail et des listes d’ordinateurs. Mac OS X Server enregistre les documents et les préférences utilisateur dans un répertoire de départ, de manière à ce que les utilisateurs puissent accéder à leurs fichiers à partir de tout Mac du réseau. Comme le Gestionnaire de groupe de travail, le Gestionnaire Macintosh vous permet de définir des politiques à l’échelle du réseau de contrôle des accès aux applications, aux volumes des serveurs de fichiers et aux imprimantes par les utilisateurs. En effet, le Gestionnaire Macintosh fournit son propre système de gestion des préférences et des authentifications pour les ordinateurs Mac OS 9 et il peut être utilisé avec les clients NetBoot. La gestion des clients vous aide à mettre en place un environnement sur mesure plus efficace pour les utilisateurs. Comme vous pouvez définir l’environnement proposé aux utilisateurs, vous pouvez leur offrir une interface adaptée, avec différents niveaux de compétences. Cette possibilité simplifie, par exemple, la configuration du laboratoire informatique d’une école utilisé par un grand nombre d’élèves, de la maternelle au collège. 180 Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 Ce chapitre fournit un résumé du fonctionnement du Gestionnaire Macintosh, donne des détails sur les différents types d’environnements gérés et vous indique comment : • Configurer le Gestionnaire Macintosh. • Importer des utilisateurs dans le Gestionnaire Macintosh. • Configurer des groupes de travail et des listes d’ordinateurs pour les clients Mac OS 9. • Créer des environnements gérés pour les clients Mac OS 9. • Implémenter des commandes et des réglages de sécurité du Gestionnaire Macintosh. Remarque : le Gestionnaire Macintosh ne peut servir à gérer les clients Mac OS X. Toutefois, si vous êtes amené à gérer des clients Mac OS X, consultez le chapitre 9, “Gestion des préférences pour Mac OS X”. Stratégies de transition pour le Gestionnaire Macintosh Si vous migrez d’une version précédente vers le Gestionnaire Macintosh 2.2.2, vous pouvez effectuer une simple mise à niveau. Les fonctionnalités sont restées sensiblement les mêmes. Vous constaterez toutefois quelques différences dans le mode de stockage de certains éléments par le Gestionnaire Macintosh. Pour plus d’informations sur les problèmes et stratégies de migration, consultez le guide de migration. Utilisation côté utilisateur Cette section décrit le côté utilisateur réel et les processus de gestion du serveur pour les clients Mac OS 9. Ouverture de session Sur les ordinateurs clients Mac OS 9, les utilisateurs importés dans le Gestionnaire Macintosh peuvent simplement entrer leur nom d’utilisateur et leur mot de passe Mac OS X Server dans la boîte de dialogue d’ouverture de session du Gestionnaire Macintosh. Vous pouvez également permettre aux utilisateurs de choisir leur nom dans une liste (qui répertorie les noms complets) au moment de la connexion. Lorsqu’un utilisateur se connecte, le Gestionnaire Macintosh transmet son ID d’utilisateur à Services de répertoires pour vérifier sa validité. S’il s’avère correct, le Gestionnaire Macintosh recherche les groupes de travail de cet utilisateur et les affiche sous forme de liste. Si un utilisateur appartient à plusieurs groupes de travail, il peut sélectionner l’un d’entre eux dans la liste affichée. Si un utilisateur appartient à un seul groupe de travail, le processus de connexion se poursuit automatiquement sans afficher aucune liste de groupes de travail. Les réglages des groupes de travail du Gestionnaire Macintosh définissent l’environnement de travail de l’utilisateur (Finder, Finder restreint ou Tableaux). Notez que si le serveur contenant les informations sur le nom et le mot de passe est indisponible, cet utilisateur ne pourra pas se connecter.Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 181 En fonction de l’ordinateur utilisé, de la configuration réseau et des autorisations d’accès, l’utilisateur peut avoir accès à diverses ressources, des imprimantes, des applications et des volumes par exemple. Les réglages de l’ordinateur, du groupe de travail et de l’utilisateur déterminent l’ensemble final des autorisations et des préférences qui spécifie l’environnement individuel de l’utilisateur. Ouverture de session à l’aide du compte Tous les autres utilisateurs Les utilisateurs disposant d’un compte Mac OS X, mais n’ayant pas été importés dans le Gestionnaire Macintosh, peuvent entrer leur nom d’utilisateur et leur mot de passe Mac OS X Server dans la boîte de dialogue d’ouverture de session du Gestionnaire Macintosh. Si le compte Tous les autres utilisateurs appartient à plusieurs groupes de travail, les utilisateurs peuvent sélectionner l’un d’entre eux dans la liste affichée. Dans le cas contraire, le processus de connexion se déroule automatiquement. Ouverture de session à l’aide du compte Invité Un utilisateur peut toujours se connecter en tant qu’invité dès lors que le compte Invité est activé. Ce compte ne requiert aucune authentification par mot de passe. Si le compte Invité appartient à plusieurs groupes de travail, l’utilisateur peut sélectionner l’un d’entre eux dans la liste affichée. Dans le cas contraire, le processus de connexion se déroule automatiquement. Recherche du répertoire de départ Le répertoire de départ d’un utilisateur est monté automatiquement lors de la connexion. Un dossier portant le nom de l’utilisateur apparaît alors sur le bureau ou dans une fenêtre, selon le type de groupe de travail. Ce répertoire est situé dans le dossier Utilisateurs. Dans les environnements mixtes, il peut s’agir du même répertoire que celui utilisé par Mac OS X. Accès aux ressources Environnement utilisateur Sélection Liste de groupes de travail Ouverture de session Sélection d’un groupe de travail Nom et mot de passe utilisateur 182 Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 Les utilisateurs invités disposent d’un répertoire de départ local temporaire pour stocker leurs fichiers et préférences. Recherche des applications Les applications autorisées aux groupes de travail Tableaux et Finder restreint sont placées dans le dossier Éléments de nom du groupe de travail du répertoire de départ de l’utilisateur. Pour les utilisateurs d’un groupe de travail Finder, les applications sont placées dans le dossier Applications ou le dossier Applications (Mac OS 9) de l’ordinateur client. Recherche de documents partagés Selon l’environnement utilisateur et la configuration des dossiers des groupes de travail, les utilisateurs peuvent avoir accès à des zones dans lesquelles ils visualisent et sauvegardent des éléments partagés. Par exemple, vous pouvez créer un dossier de remise de documents pour le groupe de travail Tableaux afin de permettre aux utilisateurs d’y déposer des documents ou activer une collaboration en créant un volume de documents de groupe dans le point de partage du Gestionnaire Macintosh. Avant de commencer Pensez aux avantages offerts par la gestion des clients si : • vous désirez proposer aux utilisateurs une interface compatible et fiable tout en leur permettant d’accéder à leurs documents à partir d’un ordinateur quelconque ; • vous souhaitez contrôler les autorisations des utilisateurs dotés d’ordinateurs portables ; • vous désirez réserver certaines ressources à des groupes ou des individus spécifiques ; • vous devez garantir l’usage des ordinateurs dans des endroits tels que bureaux administratifs ou laboratoires informatiques en libre service. Avant de configurer le Gestionnaire Macintosh pour gérer vos utilisateurs, groupes et ordinateurs, assurez-vous de suivre les étapes préliminaires décrites ci-après. Étape 1 : Assurez-vous que vos ordinateurs répondent aux configurations requises minimales. Important : si certains de vos ordinateurs clients utilisent des versions antérieures du Gestionnaire Macintosh, mettez-les à niveau avec le Gestionnaire Macintosh 2.2.2 avant de les connecter à Mac OS X Server. Configuration requise pour les ordinateurs clients Logiciels • Mac OS 9.x en tant que système d’exploitation principal • Tableau de bord Apparence, version 1.0.1 ou ultérieure Remarque : le Gestionnaire Macintosh ne sert pas à gérer les clients Mac OS X, même si les listes d’utilisateurs et les répertoires de départ peuvent être identiques pour les clients tant Mac OS 9 que Mac OS X.Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 183 Matériel • Ordinateur Macintosh doté d’un processeur 68 K • 8 méga-octets (Mo) de RAM physique (et non de mémoire virtuelle) • 2 Mo d’espace disque disponible • Écran 16 bits recommandé pour l’utilisation de l’environnement Tableaux Configurations requises pour l’ordinateur de l’administrateur Logiciels • Mac OS X Server installé (avec le logiciel d’administration du Gestionnaire Macintosh) Si vous souhaitez accéder au logiciel d’administration sur un ordinateur qui n’est pas un serveur, vous pouvez également installer le logiciel d’administration du Gestionnaire Macintosh (cet ordinateur doit alors disposer du système d’exploitation Mac OS X version 10.3 ou Mac OS 9.2). Matériel • Ordinateur Macintosh doté d’un processeur G3 • 128 Mo de RAM ; au moins 256 Mo de RAM pour des serveurs très sollicités exécutant plusieurs services • 4 giga-octets (Go) d’espace disque disponible • Résolution d’écran minimale : 800 x 600 Remarque : pour le redémarrage matériel automatique, vous devez disposer d’un Macintosh Server G4 ou d’un Power Mac G4 commercialisé au plus tôt en février 2000. Étape 2 : Installez le logiciel d’administration du Gestionnaire Macintosh. Vous pouvez utiliser le logiciel d’administration du Gestionnaire Macintosh soit avec Mac OS X, soit avec Mac OS 9. Ce logiciel peut être installé sur un serveur Mac OS X, sur des ordinateurs clients administratifs ou sur tous les ordinateurs clients. Seuls les administrateurs de serveurs, du Gestionnaire Macintosh et de groupe de travail ont accès au logiciel d’administration du Gestionnaire Macintosh. Remarque : le logiciel d’administration du Gestionnaire Macintosh peut être utilisé à distance. En revanche, vous ne pouvez pas utiliser le logiciel du Gestionnaire Macintosh pour administrer des clients Mac OS 9 à partir du serveur Mac OS X que vous avez sélectionné comme serveur Gestionnaire Macintosh. L’utilisation d’ordinateurs d’administration désignés peut s’avérer pratique pour modifier ou mettre à jour les réglages de gestion des clients. À titre d’exemple, si vous disposez d’un groupe d’ordinateurs dans une salle de cours, vous pouvez installer le logiciel d’administration sur l’ordinateur du professeur et octroyer à ce professeur des droits d’accès administratifs. Le professeur peut alors apporter des modifications immédiates dès que le besoin s’en fait sentir, comme ajouter des utilisateurs à un groupe de travail ou autoriser l’accès à une autre imprimante.184 Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 Comme l’ordinateur administrateur est utilisé pour configurer le Gestionnaire Macintosh, il doit avoir accès aux mêmes imprimantes et applications que vous souhaitez utiliser sur vos ordinateurs clients. La création de listes d’applications et d’imprimantes autorisées aux clients est donc facilitée. Il est normal que l’ordinateur administrateur puisse accéder à plus d’imprimantes et d’applications que les ordinateurs clients, mais l’inverse est impossible. Important : lorsque vous rendez certaines imprimantes accessibles aux ordinateurs clients, le Gestionnaire Macintosh crée des services d’impression pour vos clients Mac OS 9. La version Mac OS X de l’application d’administration du Gestionnaire Macintosh crée uniquement des imprimantes de bureau LaserWriter. Si vous devez fournir l’accès à des imprimantes autres que des LaserWriter, utilisez la version Mac OS 9 du logiciel d’administration du Gestionnaire Macintosh pour gérer les clients. Pour configurer un ordinateur client administrateur : 1 Assurez-vous que cet ordinateur répond aux exigences minimales en termes de configuration. 2 Vérifiez que le logiciel système est bien Mac OS X ou Mac OS 9.2. 3 Assurez-vous que les applications nécessaires sont installées. 4 Configurez l’accès aux imprimantes via le Centre d’impression (sous Mac OS X) ou l’utilitaire de gestion des Services d’impression (sous Mac OS 9). 5 Installez le logiciel d’administration du Gestionnaire Macintosh et le logiciel client. Avant d’utiliser le logiciel d’administration du Gestionnaire Macintosh, ouvrez le volet Partage des Préférences Système sous Mac OS X et assurez-vous que le partage de fichiers et Web est désactivé. Si vous utilisez Mac OS 9, contrôlez les réglages dans les tableaux de bord Partage de fichiers et Partage Web. Étape 3 : Configurez les ordinateurs client. Seuls les ordinateurs Mac OS 9 peuvent être utilisés comme clients Gestionnaire Macintosh. Pour configurer des ordinateurs clients Mac OS 9 : 1 Assurez-vous que cet ordinateur répond aux exigences minimales en termes de configuration. 2 Vérifiez que le logiciel système est bien Mac OS 9 (version 9.1 ou ultérieure recommandée). 3 Installez le logiciel d’aministration du Gestionnaire Macintosh, si ce n’est déjà fait. 4 Ouvrez le tableau de bord Utilisateurs multiples. 5 Cliquez sur Options, puis sur Autres. 6 Sélectionnez l’option Compte Gestionnaire Macintosh (sur le réseau). 7 Cliquez sur Enregistrer.Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 185 8 Cliquez sur Activer pour activer des comptes d’utilisateurs multiples. 9 Fermez le tableau de bord, puis choisissez Fermer la session dans le menu Spécial. L’ordinateur localise alors automatiquement les serveurs Gestionnaire Macintosh (tout Mac OS X Server avec des processus de serveur Gestionnaire Macintosh installés) sur le réseau au moment de votre déconnexion. Vous pouvez sélectionner le serveur que vous souhaitez utiliser. Si l’ordinateur ne localise aucun serveur Gestionnaire Macintosh, naviguez pour trouver l’adresse TCP/IP (et non l’adresse AppleTalk) du serveur recherché. Utilisation de logiciels de mise à jour Si vous utilisez déjà le Gestionnaire Macintosh 2.0 ou une version ultérieure sur un ordinateur client, vous pouvez aisément mettre à niveau votre version grâce à un logiciel de mise à jour automatique. Ce logiciel est situé sur le CD d’installation du Gestionnaire Macintosh. Il n’est pas installé automatiquement. Pour utiliser un logiciel de mise à jour : m Copiez le logiciel de mise à jour dans le dossier Éléments multi-utilisateurs de votre serveur Gestionnaire Macintosh. Tous les clients connectés recherchent à intervalles réguliers les logiciels de mise à jour dans ce dossier. S’ils détectent une mise à jour, les clients l’exécutent automatiquement sans vérifier s’il s’agit d’une version plus récente ou plus ancienne. Avant d’utiliser un logiciel de mise à jour, assurez-vous de mettre hors tension tous les ordinateurs que vous ne souhaitez pas mettre à niveau. À la fin de la mise à jour, supprimez le logiciel de mise jour du dossier Éléments multi-utilisateurs, puis redémarrez les ordinateurs clients. Choix d’une langue pour les serveurs et les clients Gestionnaire Macintosh La langue utilisée sur tous les ordinateurs clients doit normalement correspondre à la langue utilisée sur le serveur Gestionnaire Macintosh. Toutefois, il est possible de configurer des langues différentes sur certains ordinateurs clients, si vous le souhaitez. Ces ordinateurs fonctionnant sous des langues différentes peuvent se connecter au même serveur si tant est que le script de langue du serveur corresponde à celui des clients. Par exemple, un utilisateur travaillant sur un ordinateur dont le logiciel client est configuré en français avec un script en Roman peut se connecter au serveur. Un autre utilisateur sur un poste client en allemand avec un script également en Roman peut se connecter au même serveur. Pour régler la langue du script, ouvrez le volet International des Préférences Système (sous Mac OS X) ou le tableau de bord International (sous Mac OS 9). 186 Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 Lorsqu’un utilisateur se connecte à un serveur Gestionnaire Macintosh, l’ordinateur doit utiliser un logiciel client de même langue que lors des connexions antérieures. Par exemple, si un utilisateur se connecte à un serveur Gestionnaire Macintosh sur un ordinateur client configuré en français, puis sur un autre ordinateur client configuré en allemand, des dossiers de préférences et d’autres dossiers situés dans le répertoire de départ de l’utilisateur sont créés pour chaque langue, empêchant ainsi l’utilisateur de partager des préférences entre les diverses langues. D’un autre côté, si des dossiers séparés n’étaient pas créés, des versions en plusieurs langues de deux programmes finiraient par partager le même fichier de préférences, ce qui provoquerait un arrêt intempestif de l’ordinateur client. Changement de script de langue du service de fichiers Apple Le script de langue correct pour le service de fichiers Apple (Codage des clients anciens) doit être sélectionné avant d’utiliser le serveur Gestionnaire Macintosh. Si le Gestionnaire Macintosh est déjà en cours d’utilisation, arrêtez-le avant de changer le script de langue. Le script Codage des clients anciens doit correspondre au script de langue de l’ordinateur client (sélectionné dans le volet International des Préférences Système), ainsi qu’au script de langue utilisé par l’application d’administration du Gestionnaire Macintosh. Étape 4 : Assurez-vous d’avoir configuré des utilisateurs et leur répertoire de départ. Si vous n’avez pas configuré d’utilisateurs et de répertoires de départ, faites-le avant de continuer. Pour plus d’informations, consultez le chapitre 4, “Configuration des comptes d’utilisateur”. Au cœur du Gestionnaire Macintosh Les sections suivantes décrivent certains des composants du Gestionnaire Macintosh et fournissent des informations contextuelles sur le fonctionnement du Gestionnaire Macintosh avec d’autres services Mac OS X Server. Sécurité du Gestionnaire Macintosh Bien que le Gestionnaire Macintosh ne soit pas spécifiquement une application de sécurité, vous pouvez utiliser ses réglages pour offrir un contrôle d’administration plus étendu ou davantage de souplesse à l’attention des utilisateurs. À titre d’exemple, vous pouvez être amené à limiter les autorisations d’accès au système et aux fichiers locaux, à autoriser les utilisateurs à écouter des CD audio ou à accéder à certaines applications uniquement. Un utilisateur du Gestionnaire Macintosh ne peut pas accéder aux répertoires de départ d’autres utilisateurs, ni modifier des réglages réseau (tableaux de bord AppleTalk et TCP/IP), des réglages d’économies d’énergie ou d’utilisateurs multiples.Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 187 La conception même du Gestionnaire Macintosh empêche les utilisateurs de renommer des fichiers du Gestionnaire Macintosh ou de changer le type de ces fichiers ou leur créateur. De plus, l’extension Gestionnaire Macintosh n’est pas affectée si un ordinateur est redémarré avec ses extensions désactivées et les utilisateurs ne peuvent pas désactiver l’extension Gestionnaire Macintosh en la déplaçant ou en la désactivant. À propos du point de partage Gestionnaire Macintosh Lors de l’installation du logiciel serveur Gestionnaire Macintosh, un point de partage appelé Gestionnaire Macintosh est créé sur le serveur. Ses autorisations sont automatiquement configurées de manière à permettre l’accès à partir du Gestionnaire Macintosh. Les utilisateurs ne disposant pas d’autorisations d’administration ne peuvent pas voir le contenu de ce point de partage et n’ont donc aucune possibilité de le modifier. Le point de partage Gestionnaire Macintosh existe avant tout pour répondre aux besoins des bases de données, mais il s’agit également de l’emplacement par défaut du volume des documents des groupes de travail. Notez que les utilisateurs du Gestionnaire Macintosh seront pris en compte dans le nombre d’utilisateurs connectés pour les licences d’accès au serveur de fichiers. Pour plus d’informations sur le contenu du volume des documents des groupes de travail, consultez “Partage d’informations dans le Gestionnaire Macintosh” à la page 215. Si vous avez besoin de davantage d’espace disque, vous pouvez déplacer le point de partage Gestionnaire Macintosh dans un autre volume tant que son nom reste le même, que le dossier est toujours un point de partage et que les autorisations sont toujours les mêmes. Évitez les caractères spéciaux non ASCII (comme •, å, é ou ü) ou les caractères sur deux octets (comme les caractères Kanji) dans les noms des points de partage que vous envisagez d’utiliser avec le Gestionnaire Macintosh. Important : ne placez jamais le point de partage Gestionnaire Macintosh sur un volume au format UFS. Utilisation de caractères spéciaux dans les noms des points de partage N’utilisez pas les caractères spéciaux non ASCII (comme •, å, é ou ü) ou les caractères sur deux octets (comme les caractères Kanji) dans les noms des points de partage que vous envisagez d’utiliser avec le Gestionnaire Macintosh. Dossier Éléments multi-utilisateurs Le dossier Éléments multi-utilisateurs est situé dans le point de partage Gestionnaire Macintosh. Les fichiers et les dossiers du dossier Éléments multi-utilisateurs contiennent des informations à propos des options définies à l’aide du Gestionnaire Macintosh, par exemple l’emplacement du serveur Gestionnaire Macintosh, les alias des éléments de groupe de travail, des informations de cache et les bases de données pour les utilisateurs, les groupes et les listes d’ordinateurs. Le dossier Éléments multi-utilisateurs contient les éléments suivants :188 Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 • Le fichier Journal d’activité : ce fichier contient les entrées de journal utilisées pour générer des rapports contenant des informations sur les activités liées aux connexions, à l’utilisation des imprimantes et des applications. Vous pouvez définir le nombre d’entrées consignées dans le fichier Journal d’activité. Pour plus de détails, consultez la rubrique “Définition du nombre d’éléments d’un rapport” à la page 238. • Le fichier Préférences CD-ROM : ce fichier contient une liste des CD que les utilisateurs sont autorisés à utiliser, ainsi que tous les réglages concernant des éléments spécifiques sur chaque CD. • Le dossier Ordinateurs : ce dossier contient des fichiers de bases de données contenant des réglages du Gestionnaire Macintosh pour chaque liste d’ordinateurs que vous configurez. • Le dossier Groupes : ce dossier contient un dossier pour chaque groupe de travail du Gestionnaire Macintosh et des fichiers de bases de données incluant des informations sur les réglages du Gestionnaire Macintosh de chaque groupe de travail, comme une liste des éléments autorisés et l’emplacement du dossier des documents des groupes de travail. • Le fichier Éléments multi-utilisateurs : ce fichier contient les archives des fichiers se trouvant actuellement dans le dossier Éléments multi-utilisateurs. Vous ne devez pas l’ouvrir ni le modifier. S’il est supprimé, il est recréé lors de votre prochaine utilisation du Gestionnaire Macintosh. • Le dossier Imprimantes : ce dossier contient des fichiers représentant les imprimantes de bureau que vous configurez dans le Gestionnaire Macintosh. Un fichier est créé pour chaque imprimante de bureau utilisée par un groupe de travail du Gestionnaire Macintosh. Lorsqu’un utilisateur se connecte à un groupe de travail utilisant une imprimante de bureau, les informations sur cette imprimante sont copiées sur le bureau de l’ordinateur client. Il est préférable d’utiliser le Gestionnaire Macintosh pour modifier les informations relatives à l’imprimante. Vous ne devez ni ouvrir, ni supprimer des éléments du dossier des imprimantes. Si vous supprimez un fichier d’imprimante de ce dossier, les membres du groupe de travail souhaitant utiliser cette imprimante voient apparaître un message indiquant que le système ne la trouve pas. • Le dossier Utilisateurs : ce dossier contient des fichiers de base de données stockant les réglages du Gestionnaire Macintosh de chaque compte d’utilisateur ainsi qu’un dossier pour chaque utilisateur s’étant connecté au serveur au moins une fois. Comment le dossier Éléments multi-utilisateurs est mis à jour Le dossier Éléments multi-utilisateurs du client est toujours mis à jour lorsque vous effectuez des modifications dans le Gestionnaire Macintosh. Une copie de ce dossier est stockée automatiquement dans le Dossier Système de chaque ordinateur client. Si le dossier Éléments multi-utilisateurs de l’ordinateur client est supprimé, l’ordinateur télécharge une nouvelle copie depuis le serveur dès que nécessaire, à condition qu’aucun utilisateur ne soit connecté. Ce dossier est également mis à jour dans les cas suivants :Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 189 • Si un ordinateur client est connecté au serveur mais qu’aucun utilisateur n’est connecté, le Gestionnaire Macintosh vérifie périodiquement si certains éléments ont besoin d’être mis à jour. Si des modifications ont été réalisées alors qu’un utilisateur était connecté à un ordinateur, le dossier ne sera mis à jour qu’une fois que l’utilisateur se sera déconnecté. • Si un ordinateur est déconnecté automatiquement du serveur suite à une période d’inactivité donnée, aucun contrôle de mise à jour n’est effectué avant qu’un utilisateur ne se connecte et ne se déconnecte de l’ordinateur. • Si le dossier Éléments multi-utilisateurs du client est effacé, ce dernier télécharge une nouvelle copie vierge à partir du serveur, lorsqu’un utilisateur ouvre une session. Fonctionnement du Gestionnaire Macintosh avec les services de répertoires Le Gestionnaire Macintosh et le Gestionnaire de groupe de travail ont tous deux accès aux informations sur les comptes d’utilisateur contenues dans la base de données Services de répertoires. Si vous gérez des clients Mac OS 9, vous devez importer les utilisateurs du Gestionnaire de groupe de travail vers le Gestionnaire Macintosh ou utiliser la fonction Tous les autres utilisateurs du Gestionnaire Macintosh, afin d’autoriser les utilisateurs à accéder à votre réseau. La seule information partagée par le Gestionnaire Macintosh et le Gestionnaire de groupe de travail est l’ID de l’utilisateur, stocké dans Services de répertoires avec le nom de l’utilisateur, son mot de passe et des informations sur l’emplacement de son répertoire de départ. Pour plus d’informations sur les Services de répertoire, consultez le guide d’administration Open Directory. Services de répertoires Données du Gestionnaire Macintosh Identifiant de l’utilisateur Données du Gestionnaire de groupe de travail Utilisateurs Groupes Utilisateurs Groupes Listes d’ordinateurs Listes d’ordinateurs Nom et mot de passe utilisateur Informations partagées190 Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 Le Gestionnaire Macintosh recourt à l’ID de l’utilisateur pour vérifier et obtenir le nom de l’utilisateur et son mot de passe via Services de répertoires, mais également pour rechercher son répertoire de départ. L’ID de l’utilisateur sert également à associer les utilisateurs aux groupes de travail, préférences et liste d’ordinateurs appropriés dans le Gestionnaire Macintosh. Toutes les autres informations sur les utilisateurs, comme leurs quotas de stockage et leurs autorisations d’accès au système, sont configurées grâce au Gestionnaire Macintosh. À l’issue de l’importation d’utilisateurs, vous pouvez leur créer des groupes de travail et dresser des listes d’ordinateurs que ces groupes de travail ont le droit d’utiliser. Les groupes de travail et les listes d’ordinateurs du Gestionnaire Macintosh sont totalement indépendantes des groupes et listes du Gestionnaire de groupe de travail. Où les informations sur les utilisateurs sont-elles stockées Le Gestionnaire Macintosh stocke les informations sur les réglages des utilisateurs, des groupes de travail et des ordinateurs dans des fichiers de bases de données situés dans des dossiers intégrés au dossier Éléments multi-utilisateurs. Chaque dossier Utilisateurs, Groupes et Ordinateurs contient deux fichiers de bases de données : • L’un des fichiers contient un index de chacun des enregistrements de la base de données (le nom d’un groupe de travail, par exemple). • L’autre contient des informations spécifiques sur chaque enregistrement (comme les membres du groupe de travail, les autorisations et l’environnement). Même si les bases de données relatives aux utilisateurs, aux groupes et aux ordinateurs n’appartiennent pas à une base de données relationnelle plus importante, chacune se rapporte à des informations stockées dans les autres bases de données. La base de données relatives aux utilisateurs contient, par exemple, une liste des groupes de travail auxquels chaque utilisateur appartient. Pour préserver la cohérence entre les bases de données, le Gestionnaire Macintosh vérifie les références d’une base de données à l’autre et actualise les bases de données en fonction des besoins. Utilisation des répertoires de départ par le Gestionnaire Macintosh Vous pouvez configurer des emplacements pour les répertoires de départ lorsque vous créez des comptes d’utilisateur. Tout utilisateur ne disposant pas d’un dossier de départ ne pourra pas ouvrir de session. Les clients Mac OS 9 montent automatiquement le répertoire de départ de l’utilisateur lorsque celui-ci se connecte. L’utilisateur est le propriétaire de son répertoire de départ et dispose d’un accès total à son contenu. Le Gestionnaire Macintosh interdit l’accès aux répertoires de départ d’autres utilisateurs, même si les permissions sur ces dossiers ont été configurées de telle façon à en autoriser l’accès. Pour plus d’informations sur la création de compte d’utilisateur et de répertoires de départ, consultez le chapitre 4, “Configuration des comptes d’utilisateur”.Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 191 Gestionnaire Macintosh et les Préférences Le Gestionnaire Macintosh vous permet non seulement de contrôler certaines autorisations, mais également les préférences d’applications et les Préférences Système. Pour définir ces préférences, utilisez les dossiers situés dans un dossier Préférences gérées. • Les préférences du dossier Préférences initiales ne sont définies qu’une seule fois pour chaque utilisateur. • Les préférences du dossier Préférences forcées sont définies à chaque fois qu’un utilisateur se connecte. Pour plus d’informations sur l’utilisation de ces divers dossiers pour contrôler les préférences des utilisateurs, consultez “Gestion des préférences” à la page 240. Lieu de stockage des préférences du Gestionnaire Macintosh Cette section explique le mode de stockage de préférences spécifiques aux utilisateurs (les favoris de navigateur Web et les fonds d’écran par exemple) dans un environnement du Gestionnaire Macintosh. Le Gestionnaire Macintosh stocke les préférences et y accède ainsi : • Lorsque l’utilisateur n’est pas connecté : pour les ordinateurs clients Mac OS 9, la majeure partie des préférences individuelles d’un utilisateur est stockée sur le serveur. • Lorsque l’utilisateur se connecte à Gestionnaire Macintosh : le Gestionnaire Macintosh recherche les préférences individuelles de cet utilisateur, qui s’appliquent jusqu’à la déconnexion. Les préférences des clients Mac OS 9 sont stockées dans le dossier /Library/Classic/Preferences situé dans le répertoire de départ de l’utilisateur. Si un utilisateur ne dispose pas de répertoire de départ, vous pouvez stocker des préférences pour Mac OS 9 dans le dossier Préférences du dossier Utilisateurs sur le disque dur client. En revanche, vous ne pouvez pas les stocker dans le dossier Préférences du Dossier Système. Utilisation de l’extension MMLocalPrefs Si certaines applications provoquent une suractivité sur votre réseau, le stockage en local des préférences peut permettre de réduire la charge globale. Installez l’extension MMLocalPrefs sur les ordinateurs Mac OS 9, afin que le Gestionnaire Macintosh stocke localement les préférences de l’utilisateur pour y accéder par la suite. Le recours à cette extension risque cependant d’augmenter les temps de connexion et de déconnexion, car les préférences de l’utilisateur doivent être copiées de et vers le disque dur local. L’extension MMLocalPrefs doit être installée manuellement sur chaque ordinateur. Son action s’étend à tous les utilisateurs autorisés à accéder aux ordinateurs installés. Important : n’installez pas l’extension MMLocalPrefs si vous devez activer la fonction Emprunter sur les clients Mac OS 9.192 Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 Utilisation de NetBoot avec le Gestionnaire Macintosh Bien que vous ne soyez pas obligé d’utiliser NetBoot pour Mac OS 9 avec le Gestionnaire Macintosh, il peut vous servir à administrer la configuration système de chaque ordinateur dans des laboratoires ou des salles de classe. Grâce à NetBoot pour Mac OS 9, vous pouvez alors offrir aux élèves des environnements identiques et des accès simples aux mêmes ressources sur un réseau sécurisé et facile à maintenir. Préparation à l’utilisation de NetBoot Si les ordinateurs clients utilisent un logiciel système fourni par un serveur NetBoot, vous pouvez garantir que chaque ordinateur possède la même version de logiciel et l’accès aux mêmes applications. Quelles que soient les modifications effectuées par les utilisateurs lors d’une session, les ordinateurs retrouvent la même configuration système après redémarrage. La maintenance des ordinateurs de réseau est facile à assurer puisque les applications de l’utilisateur doivent être installées uniquement sur une image disque stockée sur le serveur. Vous devez employer l’utilitaire Admin de bureau NetBoot pour modifier les options du panneau de contrôle Utilisateurs multiples afin que les ordinateurs clients NetBoot puissent retrouver les informations de compte du Gestionnaire Macintosh lorsqu’ils démarrent. Les points ci-dessous donnent une description générale de la façon de préparer le réseau géré et des clients à utiliser NetBoot. Consultez le guide d’administration des images système pour des informations plus détaillées. • Configurez les ordinateurs clients afin qu’ils démarrent à partir de l’image de disque Mac OS du serveur. • Utilisez le Gestionnaire Macintosh pour contrôler l’environnement, les préférences, ainsi que l’accès aux ressources locales et réseau des utilisateurs. • Installez le logiciel serveur Gestionnaire Macintosh sur le serveur qui contient l’image disque Mac OS utilisée par les ordinateurs clients NetBoot pour démarrer. Utilisez le même serveur pour stocker les documents et les applications des utilisateurs. • Configurez des comptes d’administrateur de groupes de travail pour certains utilisateurs, comme les professeurs ou l’équipe technique, puis montrez-leur comment utiliser le Gestionnaire Macintosh pour gérer les comptes d’utilisateur et les groupes de travail. Configuration des clients gérés Mac OS 9 Les étapes suivantes fournissent un aperçu du processus initial de configuration pour la gestion des clients avec le Gestionnaire Macintosh. D’autres sections de ce chapitre, référencées par leur numéro de page, fournissent des informations détaillées et décrivent les tâches associées à chaque partie de ce processus.Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 193 Étape 1 : Assurez-vous que les services du Gestionnaire Macintosh sont disponibles. Avant de pouvoir tirer pleinement profit des fonctions du Gestionnaire Macintosh, assurez-vous que le service a été démarré depuis le serveur. Pour démarrer le service du Gestionnaire Macintosh : 1 Ouvrez Admin Serveur et entrez le nom et le mot de passe d’un administrateur. 2 Choisissez un serveur dans la liste Ordinateurs et services. 3 Cliquez sur Réglages pour activer le service Gestionnaire Macintosh. Étape 2 : Connectez-vous au logiciel d’administration du Gestionnaire Macintosh en tant qu’administrateur Pour obtenir des instructions, consultez la section “Ouverture de session du Gestionnaire Macintosh en tant qu’administrateur” à la page 194. Étape 3 : Importez des comptes d’utilisateur Vous pouvez importer des comptes d’utilisateur à partir du Gestionnaire de groupe de travail ou d’un fichier texte, ou encore utiliser un modèle pour appliquer des réglages. Le Gestionnaire Macintosh propose un compte Invité. Il est également possible d’utiliser le compte Tous les autres utilisateurs pour fournir l’accès à tous les utilisateurs qui n’ont pas été importés. Pour plus d’informations sur l’utilisation des comptes d’utilisateur, consultez “Importation de comptes d’utilisateur” à la page 195. Étape 4 : Désignez un administrateur Gestionnaire Macintosh Pour obtenir des instructions, consultez la section “Désignation des administrateurs” à la page 201. Étape 5 : Désignez des administrateurs de groupes de travail Pour obtenir des instructions, consultez la section “Désignation des administrateurs” à la page 201. Étape 6 : Créez des groupes de travail pour les utilisateurs Les groupes de travail vous permettent de regrouper des utilisateurs pour leur appliquer les mêmes réglages. Vous pouvez configurer des groupes de travail selon tout type de critère, comme un objectif (la production vidéo) ou un lieu (une classe particulière), et fournir aux utilisateurs un accès pratique aux ressources nécessaires. Pour appliquer des réglages aux groupes de travail, vous pouvez également recourir à un modèle. Pour plus d’informations sur la création des groupes de travail, consultez “Configuration de groupes de travail” à la page 206.194 Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 Étape 7 : Créez des listes d’ordinateurs Les listes d’ordinateurs vous permettent de regrouper des ordinateurs pour leur appliquer les mêmes réglages. Pour appliquer des réglages à une liste d’ordinateurs, vous pouvez recourir à un modèle. Le compte Tous les autres utilisateurs vous permet de fournir un accès réseau géré aux ordinateurs qui ne sont répertoriés dans aucune liste d’ordinateurs. Pour plus d’informations sur l’utilisation des listes d’ordinateurs, consultez “Configuration de listes d’ordinateurs” à la page 225. Étape 8 : Sélectionnez les paramètres globaux, puis configurez les dossiers des préférences gérées Outre les divers réglages relatifs aux utilisateurs, aux groupes de travail et aux ordinateurs, le Gestionnaire Macintosh propose d’autres réglages concernant la sécurité et les CD-ROM dans le volet Global. Pour gérer les préférences des utilisateurs, vous pouvez également placer des fichiers de préférences dans les dossiers Préférences forcées, initiales ou préservées. Pour plus d’informations sur l’utilisation des réglages globaux, consultez “Utilisation des réglages Global - Sécurité” à la page 238 et “Utilisation des réglages Global - CD-ROM” à la page 240. Pour plus d’informations sur l’utilisation des dossiers de préférences gérées, consultez “Gestion des préférences” à la page 240. Ouverture de session du Gestionnaire Macintosh en tant qu’administrateur À la première ouverture de session dans le logiciel d’administration du Gestionnaire Macintosh, utilisez votre compte d’administrateur Mac OS X Server. Par la suite, vous pouvez toujours vous connecter au logiciel d’administration du Gestionnaire Macintosh grâce à ce compte ou à tout autre compte d’administrateur du Gestionnaire Macintosh préalablement configuré. Remarque : vous devez vous connecter depuis un ordinateur distant. Vous ne pouvez pas utiliser le logiciel d’administration du Gestionnaire Macintosh sur l’ordinateur que vous avez sélectionné comme serveur Gestionnaire Macintosh. Pour ouvrir une session Gestionnaire Macintosh : 1 Pour ouvrir le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur l’icône Gestionnaire Macintosh du Dock. Pour lancer le Gestionnaire Macintosh à partir du Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur l’icône Gestionnaire Macintosh, puis choisissez Ouvrir Gestionnaire Macintosh. 2 Saisissez vos nom et mot de passe d’utilisateur de compte d’administrateur.Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 195 Après vous être connecté, vous pourrez ajouter des comptes d’utilisateur, créer des groupes de travail, créer des listes d’ordinateurs, désigner des administrateurs, accéder à des réglages de services du Gestionnaire Macintosh et les modifier. Utilisation des préférences du Gestionnaires Macintosh Parmi les réglages des préférences Gestionnaire Macintosh, vous pouvez choisir une méthode de tri pour les utilisateurs et les groupes de travail, ainsi qu’un format pour les rapports exportés. Seuls les administrateurs du Gestionnaire Macintosh peuvent modifier ces réglages. Pour modifier les préférences du Gestionnaire Macintosh : 1 Connectez-vous au Gestionnaire Macintosh. 2 Choisissez Préférences dans le menu Gestionnaire Macintosh (sous Mac OS X) ou Préférences dans le menu Fichier (sous Mac OS 9). 3 Sélectionnez des réglages de tri pour les utilisateurs (par nom ou par type). 4 Sélectionnez des réglages de tri pour les groupes de travail (par nom ou par environnement). 5 Sélectionnez un format pour les rapports exportés vers un fichier texte (en utilisant des tabulations ou des virgules pour séparer les champs d’information). 6 Si vous souhaitez utiliser des modèles pour les utilisateurs, les groupes ou les ordinateurs, sélectionnez Afficher le modèle pour inclure un modèle à la liste des comptes. Importation de comptes d’utilisateur Cette section explique les différentes méthodes qui permettent d’importer des utilisateurs et de leur appliquer des réglages. Tous les comptes d’utilisateur doivent avoir été créés avant de pouvoir les importer ou les modifier à l’aide du Gestionnaire Macintosh. Il est impossible de créer des comptes d’utilisateur dans le Gestionnaire Macintosh. Si vous n’avez pas encore configuré vos utilisateurs, consultez le chapitre 4, “Configuration des comptes d’utilisateur” pour obtenir des informations et des instructions. Les comptes d’utilisateur du Gestionnaire Macintosh sont dédiés à quiconque utilise un ordinateur en environnement géré. La plupart des utilisateurs n’ont pas besoin d’accéder au logiciel d’administration du Gestionnaire Macintosh. Aussi, si vous souhaitez donner à certains utilisateurs (des directeurs, des professeurs, etc.) des autorisations administratives, consultez “Désignation des administrateurs” à la page 201 pour plus de détails. Sélectionnez les réglages des utilisateurs et le type d’utilisateur dans le volet Utilisateurs du Gestionnaire Macintosh. Vous pouvez opérer des sélections manuelles ou recourir à un modèle pour appliquer des réglages aux utilisateurs lors de leur importation.196 Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 Application de réglages aux utilisateurs grâce à un modèle Vous pouvez créer un modèle, puis l’utiliser pour appliquer simultanément des réglages identiques à plusieurs utilisateurs lors de l’importation. Il est ainsi plus facile de commencer à gérer de grands nombres d’utilisateurs rapidement. Remarque : une fois le modèle configuré, vous ne pouvez plus restaurer sa version d’origine. Il est cependant possible de modifier ses réglages à tout moment. Pour configurer ou modifier un modèle d’utilisateur : 1 Dans le panneau Utilisateurs du Gestionnaire Macintosh, sélectionner Modèle dans la liste Utilisateurs importés. Si le modèle n’apparaît pas, ouvrez Préférences Gestionnaire Macintosh et assurez-vous que l’option Afficher le modèle est sélectionnée. Pour ouvrir Préférences Gestionnaire Macintosh sous Mac OS X, choisissez Préférences dans le menu Gestionnaire Macintosh. Sous Mac OS 9, choisissez Préférences dans le menu Édition. 2 Dans les volets Élémentaire et Avancé, définissez les options que vous souhaitez utiliser avec le modèle, puis cliquez sur Enregistrer. Importation de tous les utilisateurs Si vous disposez d’un petit nombre d’utilisateurs dans votre base de données Mac OS X Server, vous pouvez les importer simultanément dans le Gestionnaire Macintosh. Il est possible d’importer jusqu’à 10.000 utilisateurs avec la fonction Tout importer. Pour importer tous les utilisateurs : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Utilisateurs. 2 Cliquez sur Tout importer. Un compte d’utilisateur individuel du Gestionnaire Macintosh est créé pour chaque utilisateur importé. Selon le nombre d’utilisateurs importés, ce processus peut prendre un certain temps. Vous pouvez également importer des utilisateurs individuellement ou en groupe. Si vous devez importer plus de 1 000 utilisateurs, pensez à les importer à partir d’un fichier texte. Importation d’un ou de plusieurs utilisateurs Il est possible d’importer des utilisateurs un par un ou de petits groupes d’utilisateurs. Utilisez le logiciel d’administration du Gestionnaire Macintosh sous Mac OS X, afin de pouvoir importer un utilisateur à la fois. Sur un ordinateur Mac OS 9, le Gestionnaire Macintosh ne vous permet pas cette opération. Pour ajouter un ou plusieurs utilisateur(s) au Gestionnaire Macintosh : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Utilisateurs.Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 197 2 Cliquez sur Importer. 3 Si le Gestionnaire de groupe de travail n’est pas déjà lancé, un message sur l’ajout d’utilisateurs est affiché. Cliquez alors sur Ouvrir pour lancer le Gestionnaire de groupe de travail. 4 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur Utilisateurs et groupes, puis sélectionnez Afficher liste des utilisateurs et groupes. 5 Dans la liste Utilisateurs et groupes, sélectionnez le ou les utilisateurs à importer, puis glissez-les dans la liste Utilisateurs importés du Gestionnaire Macintosh. Il peut être nécessaire de réorganiser les fenêtres afin que les deux listes soient visibles. Si vous ne trouvez pas un utilisateur donné dans la Liste des utilisateurs et des groupes, cet utilisateur n’est peut-être pas présent dans votre répertoire Mac OS X Server. Si vous avez moins de 10 000 utilisateurs à importer, vous pouvez aussi utiliser la fonction Tout importer. Regroupement d’informations d’utilisateurs dans un fichier de texte Vous pouvez créer un fichier de texte contenant des informations sur les utilisateurs, puis l’utiliser lors de l’importation de ces utilisateurs dans le Gestionnaire Macintosh. Votre fichier doit contenir au moins l’un des éléments d’information suivant pour chaque utilisateur :ID d’utilisateur, nom d’utilisateur ou nom abrégé. Vous ne devez pas reprendre les informations de mot de passe. Pour regrouper les informations d’utilisateur dans un fichier texte : 1 Vérifiez que chaque utilisateur référencé dans le fichier existe dans Services de répertoires. Les informations concernant les utilisateurs manquants sont simplement ignorées. 2 Assurez-vous que les lignes d’informations d’utilisateur sont séparées par des retours de chariot. Si plusieurs éléments d’information concernant un utilisateur sont regroupés sur une ligne, vérifiez qu’ils sont séparés par une virgule ou une tabulation. 3 Assurez-vous que le fichier est enregistré au format texte seul et que son nom porte l’extension .txt. Pour réduire tout risque d’erreur, évitez de mélanger différents types d’informations sur les utilisateurs dans le fichier texte. Utilisez, par exemple, uniquement l’ID d’utilisateur pour chacun d’entre eux.198 Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 Importation d’une liste d’utilisateurs à partir d’un fichier texte L’utilisation d’un fichier texte en vue d’importer des informations sur des utilisateurs permet de correctement commencer à gérer un grand nombre d’utilisateurs. Pour importer des utilisateurs à partir d’un fichier texte : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Utilisateurs. 2 Choisissez la commande d’importation de la liste d’utilisateurs dans le menu Fichier, puis sélectionnez le fichier à importer. 3 Dans la liste Disponibles, sélectionnez l’élément correspondant au premier élément d’information de votre fichier texte, puis cliquez sur Ajouter pour ajouter cet élément à la liste d’importation. Par exemple, si le premier élément de votre fichier texte est l’ID d’utilisateur, le premier élément à ajouter à la liste d’importation doit être l’ID d’utilisateur. Procédez de la même manière pour les autres informations à importer. 4 Choisissez les tabulations ou les virgules pour délimiter les informations, selon la méthode choisie pour séparer les informations d’utilisateurs dans votre fichier texte. 5 Cliquez sur Ouvrir Exemple d’importation pour prévisualiser les informations importées, ou sur OK pour lancer l’importation. Si un utilisateur s’avère introuvable, vous verrez apparaître un message d’erreur. Les utilisateurs référencés dans le fichier texte doivent être présents dans la base de données des Services de répertoires, avant de pouvoir être importés dans le Gestionnaire Macintosh. Recherche d’utilisateurs importés spécifiques La fonction Sélectionner les utilisateurs par permet de rechercher des utilisateurs du Gestionnaire Macintosh selon des critères choisis. Pour rechercher des utilisateurs : 1 Ouvrez le Gestionnaire Macintosh, puis cliquez sur Utilisateurs. 2 Si le terme Modèle apparaît dans la liste d’utilisateurs, assurez-vous qu’il n’est pas sélectionné. 3 Choisissez Sélectionner les utilisateurs par dans le menu Édition. 4 Sélectionnez les types d’informations de recherche à utiliser. En sélectionnant Commentaires, vous pourrez retrouver les utilisateurs dont le champ de commentaires contient des mots spécifiques. Octroi d’un accès rapide aux utilisateurs non importés Si vous souhaitez autoriser les utilisateurs à accéder à un réseau géré sans avoir à configurer de comptes d’utilisateur, utilisez la fonction Tous les autres utilisateurs ou configurez un compte Invité. Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 199 Si des clients en déplacement doivent avoir accès à votre réseau, vous pouvez également utiliser le compte Tous les autres ordinateurs. Utilisation de comptes Invité Dans le Gestionnaire Macintosh, vous avez la possibilité de créer trois types de comptes d’invité qui peuvent tous être gérés. • Tous les autres utilisateurs L’utilisation de cette fonction est une méthode rapide permettant d’offrir l’accès à de grands nombres d’utilisateurs et de les gérer sans avoir à les importer dans le Gestionnaire Macintosh. Les utilisateurs disposant déjà de comptes Mac OS X peuvent ainsi se connecter et accéder à leur répertoire de départ, leurs préférences et leurs documents. Ils disposent des autorisations et de l’environnement que vous avez configurés pour le compte Tous les autres utilisateurs. Vous pouvez également définir des réglages de connexion pour Tous les autres utilisateurs et leur permettre de dépasser leurs quotas d’impression. Pour obtenir des informations sur la configuration du compte Tous les autres utilisateurs, consultez “Octroi d’un accès aux utilisateurs Mac OS X Server non importés” à la page 200. • Invité Lorsqu’un utilisateur se connecte en tant qu’invité, aucun mot de passe ne lui est demandé. Quiconque peut donc utiliser un compte Invité, s’il est disponible, qu’il dispose d’un compte d’utilisateur du Gestionnaire Macintosh, d’un compte Mac OS X Server ou d’aucun compte. Tous les utilisateurs connectés en tant qu’invités disposent des mêmes autorisations et préférences. En effet, tous les réglages que vous choisissez pour le compte Invité s’appliquent à l’ensemble des utilisateurs connectés en tant qu’invités. Vous pouvez donc définir des réglages de connexion et des quotas de stockage pour les utilisateurs invités. Vous pouvez également les autoriser à dépasser leurs quotas d’impression. Pour plus d’informations sur l’utilisation du compte Invité, consultez “Configuration d’un compte Invité” à la page 200. • Tous les autres ordinateurs Tout ordinateur considéré comme inconnu ou non référencé dans une liste d’ordinateurs du Gestionnaire Macintosh utilise les réglages sélectionnés pour le compte Tous les autres ordinateurs. Autoriser des ordinateurs inconnus ou invités peut s’avérer pratique si vous souhaitez gérer des utilisateurs qui se connectent à votre réseau à l’aide de leurs ordinateurs portables. Pour plus d’informations sur la configuration du compte Tous les autres ordinateurs, consultez “Configuration du compte Tous les autres ordinateurs” à la page 226.200 Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 Octroi d’un accès aux utilisateurs Mac OS X Server non importés Après l’activation de la fonction Tous les autres utilisateurs, le Gestionnaire Macintosh crée le compte du même nom et le rend accessible dans la liste Utilisateurs importés. Vous pouvez considérer ce compte comme tout autre compte d’utilisateur avec son groupe de travail et ses réglages propres. Seules quelques exceptions doivent être prises en compte : • L’emprunt d’ordinateurs n’est pas autorisé. • Le travail hors-ligne sur un ordinateur client n’est pas autorisé. • Aucun quota de disque n’est appliqué. Le compte Tous les autres utilisateurs permet d’octroyer rapidement et facilement un accès authentifié et de configurer des environnements personnalisés pour les utilisateurs sans devoir les importer dans le Gestionnaire Macintosh. Par exemple, dans une école disposant d’une base de données d’utilisateurs centralisée, vous pouvez configurer le service du Gestionnaire Macintosh dans un laboratoire informatique en utilisant uniquement le compte Tous les autres utilisateurs. Tout utilisateur sur le campus disposant d’un compte d’utilisateur Mac OS X Server peut donc venir au laboratoire, se connecter et accéder à son répertoire de départ dans un environnement géré. Pour définir le compte Tous les autres utilisateurs : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Global, puis sur Sécurité. 2 Sélectionnez Autoriser tous les autres utilisateurs, puis cliquez sur Enregistrer. 3 Cliquez sur l’onglet Utilisateurs et sélectionnez Tous les autres utilisateurs dans la liste des utilisateurs importés. 4 Sélectionnez des paramètres dans les panneaux Élémentaire et Avancé, puis cliquez sur Enregistrer. 5 Cliquez sur Groupes de travail, ajouter Tous les autres utilisateurs à un groupe, puis attribuez un nom à ce groupe. 6 Sélectionnez des paramètres pour ce groupe, puis cliquez sur Enregistrer. 7 Cliquez sur Ordinateurs, puis mettez des ordinateurs à la disposition du groupe que vous venez de créer. Avec le compte Tous les autres utilisateurs, les réglages destinés à l’emprunt d’ordinateurs, au travail hors-ligne et aux quotas de disque ne sont pas autorisés. Configuration d’un compte Invité Comme le compte Invité ne nécessite aucun nom ni mot de passe d’utilisateur, il constitue un excellent choix pour la configuration d’un ordinateur en accès libre ou d’un kiosque à partir duquel les utilisateurs n’ont pas besoin d’accéder à leur répertoire de départ.Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 201 Après l’activation du compte Invité, le Gestionnaire Macintosh crée le compte et le rend accessible dans la liste Utilisateurs importés. L’emprunt d’ordinateurs et le travail hors ligne sur un ordinateur client ne sont pas autorisés. Comme avec beaucoup d’autres ordinateurs, vous pouvez ajouter le compte Invité à un groupe de travail et appliquer les réglages de Gestionnaire Macintosh. Seules quelques exceptions doivent être prises en compte : • L’emprunt d’ordinateurs n’est pas autorisé, • Le travail hors-ligne sur un ordinateur client n’est pas autorisé. Pour configurer le compte Invité : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Global, puis sur Sécurité. 2 Sélectionnez l’option Autoriser l’accès en invité. 3 Cliquez sur Utilisateurs, puis sélectionnez Invité dans la liste Utilisateurs importés. Dans les volets Élémentaire et Avancé, sélectionnez les réglages à utiliser. 4 Cliquez sur Groupes de travail. Créez un groupe de travail pour le compte Invité ou sélectionnez un groupe déjà créé, puis ajoutez Invité aux membres du groupe dans le volet Membres. 5 Fournissez l’accès aux ordinateurs en offrant à ces groupes de travail une ou plusieurs listes d’ordinateurs. 6 Cliquez sur Enregistrer. Désignation des administrateurs Après avoir importé des comptes d’utilisateur, vous devez octroyer à certains d’entre eux des autorisations d’administration. La hiérarchie des autorisations dans le Gestionnaire Macintosh est similaire à celle du Gestionnaire de groupe de travail. Toutefois, le Gestionnaire Macintosh n’utilise que deux types de comptes d’administration. Les administrateurs de groupes de travail du Gestionnaire Macintosh sont semblables aux administrateurs de domaines de répertoires du Gestionnaire de groupe de travail, mais leurs autorisations s’appliquent uniquement aux groupes de travail créés dans le Gestionnaire Macintosh. À propos des administrateurs du Gestionnaire Macintosh Un administrateur du Gestionnaire Macintosh peut importer, modifier et supprimer des comptes d’utilisateur et créer des administrateurs de groupes de travail, ainsi que d’autres administrateurs du Gestionnaire Macintosh. Un administrateur du Gestionnaire Macintosh peut modifier tous les réglages du Gestionnaire Macintosh et, s’il y est autorisé, utiliser son mot de passe pour se connecter sous le nom de n’importe quel utilisateur à condition qu’il ne s’agisse pas d’un autre administrateur du Gestionnaire Macintosh.202 Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 Les autorisations d’un administrateur du Gestionnaire Macintosh ne s’appliquent pas aux outils du Gestionnaire de groupe de travail sous Mac OS X. Par exemple, un administrateur du Gestionnaire Macintosh ne peut pas créer de comptes d’utilisateur dans le Gestionnaire de groupe de travail (sauf s’il dispose par ailleurs d’un compte d’administrateur Mac OS X Server). Autorisation des administrateurs Mac OS X Server à utiliser des comptes du Gestionnaire Macintosh Comme le Gestionnaire Macintosh est indépendant des données (hormis l’identifiant d’utilisateur) utilisées par le Gestionnaire de groupe de travail, les comptes d’administrateur Mac OS X Server sont importés dans le Gestionnaire Macintosh comme de quelconques utilisateurs . Ces derniers ne seront alors pas autorisés à accéder à leur répertoire de départ une fois connectés sur un ordinateur client et ne disposeront pas automatiquement d’autorisations d’administration dans le Gestionnaire Macintosh. De plus, ils ne peuvent pas accéder au point de partage Gestionnaire Macintosh ni configurer des préférences gérées. Il convient de créer un compte d’utilisateur Mac OS X Server distinct pour tout administrateur de serveur que vous souhaitez intégrer au Gestionnaire Macintosh, puis d’importer ce compte. Si vous souhaitez accorder à un utilisateur des autorisations d’administrateur dans le Gestionnaire Macintosh, réglez le type d’utilisateur sur Administrateur Gestionnaire Macintosh dans le volet Élémentaires du panneau Utilisateurs. Si vous envisagez d’offrir à un tel utilisateur des autorisations d’administration complètes dans le Gestionnaire Macintosh, conformez-vous aux instructions de la section “Création d’un administrateur Gestionnaire Macintosh” à la page 202. À propos des administrateurs de groupes de travail Ces administrateurs peuvent ajouter ou modifier des comptes d’utilisateur et des groupes de travail en fonction des autorisations qui leur ont été attribuées. Quelles que soient leurs autorisations, ils ne peuvent modifier ni le type ni les réglages de connexion d’un utilisateur et ils ne peuvent pas créer de groupe de travail Finder. Les administrateurs de groupes de travail ont également accès aux dossiers partagés, comme les dossiers de remise, qui peuvent être utilisés pour collecter les documents des utilisateurs. Dans une école, par exemple, les professeurs administrateurs de groupes de travail répartissent, puis relèvent les devoirs sur le réseau. Un professeur peut également mettre des ressources de réseau, des applications et des CD à disposition des élèves afin de promouvoir les objectifs éducatifs du cours. Création d’un administrateur Gestionnaire Macintosh Vous devez créer au moins un administrateur Gestionnaire Macintosh afin d’empêcher les utilisateurs de contourner les mesures de sécurité et de changer de serveur Gestionnaire Macintosh.Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 203 Lorsque vous importez des utilisateurs bénéficiant d’autorisations d’administrateur de serveurs, ceux-ci sont importés comme de quelconques utilisateurs. Les autorisations d’administration ne leur sont pas automatiquement attribuées dans le Gestionnaire Macintosh, mais vous pouvez le faire selon votre gré. Pour désigner un administrateur Gestionnaire Macintosh : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Utilisateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs utilisateurs dans la liste des utilisateurs importés. 3 Réglez le type d’utilisateur sur Administrateur Gestionnaire Macintosh, puis cliquez sur Enregistrer. Pour permettre à tous les administrateurs Gestionnaire Macintosh d’utiliser leur mot de passe pour se connecter comme utilisateur quelconque (sauf un autre administrateur Gestionnaire Macintosh), sélectionnez Les utilisateurs peuvent se connecter avec un mot de passe d’administrateur de serveurs dans le volet Sécurité du panneau Global. Création d’un administrateur de groupes de travail Vous pouvez définir des comptes d’administrateur de groupes de travail pour les utilisateurs (comme les professeurs et les coordinateurs techniques) susceptibles d’ajouter ou de modifier certains comptes d’utilisateur ou groupes de travail. Pour désigner un administrateur de groupes de travail : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Utilisateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs utilisateurs dans la liste des utilisateurs importés. 3 Réglez le type d’utilisateur sur Administrateur de groupe de travail, puis cliquez sur Enregistrer. Modification du mot de passe d’un administrateur Gestionnaire Macintosh Les administrateurs Gestionnaire Macintosh peuvent changer leur mot de passe chaque fois que nécessaire. Pour changer le mot de passe d’un administrateur : 1 Connectez-vous au Gestionnaire Macintosh. 2 Choisissez Modifier le mot de passe dans le menu Configurer. 3 Dans les champs de texte affichés, saisissez votre mot de passe actuel, puis votre nouveau mot de passe. Entrez votre nouveau mot de passe une seconde fois pour vérification.204 Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 Utilisation des réglages d’utilisateurs Cette section décrit les réglages élémentaires et avancés concernant les utilisateurs et la façon de les utiliser. Les réglages disponibles dans le panneau Avancé varient selon le type d’utilisateur. Tous les utilisateurs, quel que soit leur type, disposent des mêmes options pour les réglages élémentaires. Modification des réglages élémentaires d’un utilisateur Lors de l’importation d’un utilisateur, ses nom, nom abrégé et identifiant le sont également. Elles ne peuvent pas être modifiées dans le Gestionnaire Macintosh. Pour obtenir des informations sur la modification de ces données, consultez le chapitre 4, “Configuration des comptes d’utilisateur”. Vous pouvez modifier les réglages élémentaires de plusieurs utilisateurs simultanément. Sélectionnez plusieurs utilisateurs. Leur nom, leur nom abrégé et leur ID prennent alors la valeur Variable. Pour modifier les réglages élémentaires d’un utilisateur : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Utilisateurs, puis sur Élémentaire. 2 Sélectionnez un ou plusieurs utilisateurs dans la liste des utilisateurs importés. 3 Choisissez un type dans le menu déroulant Type d’utilisateur. 4 Choisissez des réglages de connexion. L’option L’utilisateur peut ouvrir la session est déjà sélectionnée. Il vous suffit de la désélectionner pour désactiver la connexion immédiate de l’utilisateur. Si vous souhaitez empêcher un utilisateur de se connecter après une certaine date (par exemple, après la fin de l’année scolaire), sélectionnez l’option Désactiver l’accès à compter du __, puis entrez une date. 5 Ajoutez des commentaires (jusqu’à 63 caractères) dans le champ prévu à cet effet. Cet emplacement vous permet d’inclure soit des informations spécifiques à l’utilisateur (le niveau d’un élève ou l’emplacement du bureau d’un employé par exemple), soit des mots-clés vous permettant de retrouver les utilisateurs. 6 Cliquez sur Enregistrer. Affectation aux utilisateurs d’autorisation de connexions multiples En règle générale, les utilisateurs doivent d’abord se déconnecter d’un ordinateur avant de pouvoir se reconnecter sur un autre. Toutefois, vous pouvez souhaiter autoriser certains utilisateurs, comme l’équipe du support technique ou les administrateurs, à se connecter sur plusieurs ordinateurs simultanément (pour réaliser des tâches de maintenance, par exemple). Pour autoriser plusieurs connexions simultanées : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Utilisateurs, puis sur Avancé.Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 205 2 Sélectionnez un utilisateur dans la liste des utilisateurs importés. 3 Désélectionnez l’option L’utilisateur peut ouvrir une seule session à la fois. 4 Cliquez sur Enregistrer. Octroi de l’accès au système à un utilisateur Les utilisateurs disposant de l’accès au système ont le droit d’accéder à tous les éléments situés sur un ordinateur client, y compris sur le Finder et le Dossier Système. N’allouez l’accès au système à certains utilisateurs, comme les administrateurs de groupes de travail ou l’équipe de support technique, qu’en cas de besoin. Les administrateurs Gestionnaire Macintosh ont par défaut accès au système. Pour autoriser un utilisateur à accéder au système : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Utilisateurs, puis sur Avancé. 2 Sélectionnez un simple utilisateur ou un administrateur de groupes de travail dans la liste des utilisateurs importés. 3 Sélectionnez l’option L’utilisateur a accès au système. 4 Cliquez sur Enregistrer. Modification des réglages avancés Certains réglages avancés peuvent, selon le type d’utilisateur, être disponibles ou non. Par ailleurs, les administrateurs de groupes de travail ne sont pas autorisés à modifier les réglages d’accès, de messagerie électronique ou le type d’utilisateur. Pour modifier les réglages avancés d’un utilisateur : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Utilisateurs, puis sur Avancé. 2 Sélectionnez le ou les utilisateurs à modifier dans la liste des utilisateurs importés. Vous pouvez sélectionner plusieurs utilisateurs, mais ils doivent être du même type. Si vous sélectionnez plusieurs types d’utilisateurs, vous ne pourrez modifier que les réglages avancés qu’ils ont en commun. 3 Sélectionnez des réglages d’accès et définissez des quotas. Par défaut, tous les utilisateurs, quel que soit leur type, peuvent ouvrir une session sur un seul et unique ordinateur. Aucun autre réglage n’est sélectionné. 4 Si l’utilisateur est un administrateur de groupes de travail, sélectionnez les autorisations que vous souhaitez lui octroyer sous Autoriser cet administrateur de groupes de travail à. Initialement, aucune autorisation n’est sélectionnée. 5 Cliquez sur Enregistrer.206 Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 Limitation de l’espace de stockage sur disque d’un utilisateur Un quota d’espace disque permet de limiter la quantité d’espace de stockage disponible dans le répertoire de départ d’un utilisateur. Dès que l’utilisateur dépasse sa limite de stockage, il ne peut plus enregistrer de fichiers supplémentaires. Un message d’erreur est présenté aux utilisateurs qui dépassent leur quota de stockage. Pour fixer le quota de stockage d’un utilisateur : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Utilisateurs, puis sur Avancé. 2 Sélectionnez un utilisateur dans la liste des utilisateurs importés. 3 Sélectionnez l’option Régler quota de stockage de l’utilisateur sur __ Ko, puis entrez l’espace de stockage maximal à autoriser en kilo-octets (1 024 kilo-octets = 1 mégaoctet). Lorsque vous fixez un quota de stockage, tenez compte de l’espace disponible et du nombre d’utilisateurs qui vont le partager. 4 Pour autoriser un utilisateur à enregistrer ses fichiers même s’il a dépassé le quota défini, sélectionnez l’option N’avertir l’utilisateur que s’il dépasse cette limite. 5 Cliquez sur Enregistrer. Mise à jour des informations concernant les utilisateurs à partir de Mac OS X Server Si vous modifiez des informations sur les utilisateurs dans le Gestionnaire de groupe de travail ou supprimez des comptes d’utilisateur, vous devez synchroniser le Gestionnaire Macintosh avec la base de données Mac OS X Server pour vous assurer que les données relatives aux utilisateurs sont bien les mêmes aux deux endroits. Pour mettre à jour les données d’utilisateurs du Gestionnaire Macintosh : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Utilisateurs. 2 Choisissez Vérifier utilisateurs et groupes dans le menu Fichier. Si ce compte d’utilisateur existe dans la base de données du serveur, le Gestionnaire Macintosh met à jour les informations sur les utilisateurs pour qu’elles correspondent aux données de la base sur le serveur. Pour de très grands nombres d’utilisateurs, ce processus peut prendre un certain temps. Remarque : si ce compte d’utilisateur s’avère introuvable, l’utilisateur est supprimé du Gestionnaire Macintosh. Configuration de groupes de travail Le volet Membres de la fenêtre Groupes de travail vous permet de créer de nouveaux groupes, de modifier le nom ou le type d’un groupe existant, voire d’ajouter des membres à un groupe de travail ou d’en supprimer.Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 207 Important : si un utilisateur n’est membre d’aucun groupe de travail, il ne pourra pas se connecter au réseau Gestionnaire Macintosh. Les comptes des groupes n’étant pas importés depuis le Gestionnaire de groupe de travail, vous devez donc les créer. Chaque utilisateur géré doit appartenir à au moins un groupe de travail. Les utilisateurs peuvent être membres de plusieurs groupes de travail, mais ne peuvent en choisir qu’un au moment de leur connexion. Cette section décrit les différents environnements de groupes de travail et montre comment appliquer manuellement des réglages de groupe en dupliquant un groupe et en utilisant un modèle. Types d’environnements de groupes de travail Il existe trois types d’environnements de bureau. Ces trois types disposent de quelques réglages optionnels communs. Les différences les plus importantes sont décrites ci-dessous. • Les groupes de travail Finder disposent du bureau Mac OS standard. Le Dossier Système et le dossier Applications ne sont pas protégés automatiquement, mais vous pouvez choisir de le faire. Les membres des groupes de travail Finder peuvent accéder sans restrictions aux menus Fichier, Pomme ou Spécial. Ils peuvent également utiliser sans restrictions les CD ou les supports amovibles. • Les groupes de travail Finder restreint comportent un bureau Mac OS standard limité. Le Dossier Système et le dossier Applications sont alors protégés. Les utilisateurs peuvent en voir le contenu, mais ils ne peuvent ni les modifier ni y ajouter des éléments. Ils peuvent accéder aux éléments des menus Fichier et Spécial, mais vous pouvez choisir les éléments du menu Pomme auxquels ils auront accès. Vous pouvez également contrôler la capacité de l’utilisateur à effectuer des captures d’écran et vous pouvez définir des autorisations d’accès aux CD, supports amovibles et dossiers partagés. • Les groupes de travail Tableaux comportent une interface simplifiée comprenant de grandes icônes, destinée à faciliter l’utilisation d’un ordinateur pour les débutants, et plus particulièrement pour les enfants. Les options de groupe de travail Tableaux sont pareilles à celles du Finder restreint à l’exception de quelques options supplémentaires. Outre l’accès au menu Pomme, vous pouvez également contrôler l’accès aux menus Fichier et Spécial et choisir d’afficher ou non les volumes montés sous forme de tableaux. Les membres d’un groupe de travail de l’environnement Tableaux ne peuvent pas voir les éléments du disque dur local. Création d’un groupe de travail Les membres des groupes de travail peuvent concerner des utilisateurs de tout type et un groupe de travail peut atteindre 1 500 membres. S’ils en ont l’autorisation, les administrateurs de groupes de travail peuvent créer des groupes Finder restreint et Tableaux, mais ils ne peuvent pas créer de groupe Finder.208 Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 Pour créer un groupe de travail : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Groupes de travail. 2 Cliquez sur Nouveau, puis tapez un nom pour le groupe. 3 Choisissez un type d’environnement dans le menu local Environnement. 4 Sélectionnez un ou plusieurs utilisateurs dans la liste des utilisateurs disponibles, puis cliquez sur Ajouter. Pour supprimer des membres, sélectionnez les utilisateurs à supprimer dans la liste des membres de groupe de travail, puis cliquez sur Supprimer. 5 Choisissez des réglages pour ce groupe dans les autres panneaux, puis cliquez sur Enregistrer. Pour appliquer des réglages à de nouveaux groupes de travail, vous pouvez soit dupliquer des groupes, soit utiliser un modèle. Utilisation d’un modèle pour appliquer des réglages à un groupe de travail Un modèle vous permet de créer rapidement plusieurs groupes de travail dotés des mêmes réglages. Une fois que vous avez modifié le modèle, chaque nouveau groupe que vous créez recevra les réglages du modèle. Vous pouvez effectuer des modifications supplémentaires sur le groupe après l’avoir créé. Remarque : une fois le modèle configuré, vous ne pouvez plus restaurer sa version d’origine. Il est cependant possible de modifier ses réglages à tout moment. Pour configurer ou modifier un modèle : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Groupes de travail. 2 Sélectionnez Modèle dans la liste des groupes de travail. Si le modèle n’apparaît pas, ouvrez Préférences Gestionnaire Macintosh et assurez-vous que l’option Afficher le modèle est sélectionnée. Pour ouvrir Préférences Gestionnaire Macintosh sous Mac OS X, choisissez Préférences dans le menu Gestionnaire Macintosh. Sous Mac OS 9, choisissez Préférences dans le menu Édition. 3 Dans chaque volet Groupe de travail, définissez les options à utiliser dans le modèle, puis cliquez sur Enregistrer. Création de groupes de travail à partir d’un groupe existant Dupliquer un groupe de travail existant permet de créer rapidement un autre groupe de travail du Gestionnaire Macintosh disposant déjà des réglages ou des membres souhaités.Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 209 Pour dupliquer un groupe de travail : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Groupes de travail. Dans la liste Groupes de travail, sélectionnez un groupe de travail. 2 Cliquez sur Dupliquer, puis tapez un nouveau nom pour le groupe. 3 Ajoutez ou supprimez des membres ou bien modifiez des réglages si vous le souhaitez, puis cliquez sur Enregistrer. Vous pouvez aussi utiliser un modèle pour appliquer des réglages présélectionnés à un nouveau groupe de travail. Modification d’un groupe de travail existant Une fois un groupe créé, vous pouvez en modifier le nom ou le type d’environnement, puis ajouter ou supprimer des membres. Un administrateur de groupes de travail peut modifier les réglages d’un groupe, seulement s’il est également membre de ce groupe. Pour changer les réglages des membres : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Groupes de travail, puis sur Membres. 2 Modifiez le nom du groupe dans le champ de texte. 3 Choisissez un nouvel environnement dans le menu local. Les administrateurs de groupes peuvent choisir Finder comme environnement pour le groupe. 4 Pour ajouter de nouveaux membres, sélectionnez un ou plusieurs utilisateurs dans la liste des utilisateurs disponibles, puis cliquez sur Ajouter. Pour supprimer des membres, sélectionnez-les dans la liste Membres du groupe de travail, puis cliquez sur Supprimer. 5 Cliquez sur Enregistrer. Utilisation des réglages Éléments Grâce aux réglages d’éléments, les fichiers et les applications sur les ordinateurs clients peuvent devenir accessibles aux membres d’un groupe de travail. Définition de raccourcis vers les éléments des groupes de travail Finder Les réglages du volet Éléments permettent de créer une liste d’applications, de dossiers et de fichiers accessibles aux groupes de travail. Si vous décidez d’autoriser l’accès aux éléments locaux, ils apparaissent dans la liste Éléments de raccourcis. Le Gestionnaire Macintosh crée un alias pour chaque élément de cette liste. Les alias des éléments de raccourcis sont affichés sur le bureau des utilisateurs. Lorsque des utilisateurs se connectent, chaque ordinateur recherche le fichier d’origine à l’emplacement Rechercher les éléments sélectionnés, puis crée un alias de ce fichier.210 Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 Important : à moins d’envisager de rechercher les éléments d’origine uniquement sur des volumes locaux, assurez-vous avant de procéder que le partage de fichiers personnels est désactivé et que tout autre service AFP (Apple Filing Protocol) n’est pas en cours d’utilisation. Autrement, utilisez un ordinateur disposant du Gestionnaire Macintosh, mais pas du service de fichiers. Pour rendre les éléments d’un volume local accessibles à un groupe de travail : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Groupes de travail, puis sur Éléments. 2 Sélectionnez l’option Les membres peuvent ouvrir n’importe quel élément des volumes locaux si vous souhaitez autoriser l’accès aux éléments stockés sur l’ordinateur auquel les utilisateurs se connectent. Si vous sélectionnez cette option, l’accès n’est pas restreint, mais vous pouvez utiliser Éléments de raccourci pour fournir un accès rapide à un ensemble particulier d’applications, de dossiers et/ou de fichiers. 3 Choisissez un volume dans le menu local Volume. 4 Sélectionnez les éléments de la liste Volume que vous souhaitez ajouter à la liste Éléments de raccourcis, puis cliquez sur Ajouter. Pour supprimer des éléments de la liste Éléments de raccourci, sélectionnez-les puis cliquez sur Supprimer. Utilisez la fonction de recherche pour rechercher des éléments supplémentaires tels que des fichiers ou des dossiers. 5 Choisissez un emplacement dans le menu local Rechercher les éléments sélectionnés. L’ordinateur de l’utilisateur recherche le fichier d’origine à cet emplacement, puis télécharge l’alias. 6 Cliquez sur Enregistrer. Pour rendre des éléments accessibles aux groupes de travail Tableaux ou Finder restreint Les réglages du volet Éléments permettent de créer une liste d’applications, de dossiers et de fichiers accessibles aux groupes de travail. Si vous choisissez d’autoriser l’accès à des éléments spécifiques, ils apparaissent dans la liste Éléments approuvés. Le Gestionnaire Macintosh crée un alias pour chaque élément de cette liste. Les alias des éléments approuvés sont affichés dans un tableau pour les groupes de travail Tableaux ou dans un dossier situé sur le bureau pour les groupes de travail Finder restreint. Lorsque les utilisateurs se connectent, leur ordinateur recherche le fichier d’origine à l’emplacement Rechercher les éléments sélectionnés, puis crée un alias de ce fichier. Important : à moins d’envisager de rechercher les éléments d’origine uniquement sur des volumes locaux, assurez-vous avant de procéder que le partage de fichiers personnels est désactivé et que tout autre service AFP n’est pas en cours d’utilisation. Autrement, utilisez un ordinateur disposant du Gestionnaire Macintosh, mais pas du service de fichiers.Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 211 Pour autoriser l’accès aux applications et à d’autres éléments : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Groupes de travail, puis sur Éléments. 2 Sélectionnez un réglage d’accès aux applications. Sélectionnez l’option Les membres peuvent ouvrir n’importe quel élément des volumes locaux si vous souhaitez autoriser l’accès aux éléments stockés sur l’ordinateur auquel les utilisateurs se connectent. Si vous sélectionnez cette option, l’accès n’est pas restreint, mais vous pouvez utiliser Éléments de raccourci pour fournir un accès rapide à un ensemble particulier d’applications, de dossiers et/ou de fichiers. Sélectionnez l’option Les membres ne peuvent ouvrir que les éléments suivants si vous souhaitez limiter l’accès à des applications, dossiers ou fichiers approuvés. 3 Choisissez un volume dans le menu local Volume. 4 Sélectionnez les éléments de la liste Volume que vous souhaitez ajouter à la liste Éléments approuvés ou Éléments de raccourcis, puis cliquez sur Ajouter. Vous pouvez également faire glisser des éléments directement dans la liste. Pour supprimer des éléments de la liste, sélectionnez-les, puis cliquez sur Supprimer. Utilisez la fonction de recherche pour rechercher des éléments supplémentaires tels que des fichiers ou des dossiers. 5 Choisissez un emplacement dans le menu local Rechercher les éléments sélectionnés. Lorsqu’un utilisateur tente d’ouvrir un alias Éléments de raccourcis ou Éléments approuvés, l’ordinateur recherche le fichier d’origine dans Rechercher les éléments sélectionnés. L’ordinateur peut effectuer des recherches sur les volumes locaux et sur les volumes de serveur montés. Si l’élément original se trouve sur un volume de serveur qui n’est pas monté, l’ordinateur ne pourra pas le retrouver. Pour un ordinateur client NetBoot, un volume local est un disque dur interne de l’ordinateur ou tout disque dur externe directement connecté à l’ordinateur. Le volume de démarrage d’un ordinateur client NetBoot est un volume distant néanmoins considéré comme un volume local. 6 Cliquez sur Enregistrer. Pour rendre des éléments accessibles à des utilisateurs individuels Dans certains cas, vous pouvez être amené à autoriser des utilisateurs particuliers à accéder à certains documents ou à des applications spécifiques. Un utilisateur travaillant sur un projet spécial de vidéo peut, par exemple, avoir besoin d’utiliser une application de traitement vidéo que les autres membres du groupe de travail n’utilisent pas. Pour rendre des éléments accessibles à un utilisateur particulier : m Placez les éléments dans le répertoire de départ de l’utilisateur.212 Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 Utilisation des réglages d’autorisations Les réglages situés dans le volet Autorisations vous permettent d’activer certaines mesures de sécurité, de contrôler les autorisations d’accès aux dossiers des groupes de travail et de définir des options en vue d’autoriser les utilisateurs à effectuer des captures d’écran, écouter des CD audio et ouvrir des éléments sur un support amovible. Les réglages d’autorisations disponibles dépendent du type du groupe de travail sélectionné dans la liste Groupes de travail. Si vous avez sélectionné des groupes de travail de types différents, vous ne pourrez modifier que les réglages qu’ils ont en commun. Protection du Dossier Système et du dossier Applications Ces dossiers sont toujours verrouillés dans les environnements Tableaux et Finder restreint. Les utilisateurs peuvent en visualiser le contenu, mais ils ne peuvent le modifier. Ces dossiers ne sont pas automatiquement protégés dans les groupes de travail Finder, mais vous pouvez les verrouiller si vous le souhaitez. Pour protéger ces dossiers : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Groupes de travail, puis sur Autorisations. 2 Sélectionnez un groupe Finder dans la liste des groupes de travail. 3 Pour les protéger, cliquez sur les cases situées en regard du Dossier Système et du dossier Applications. 4 Cliquez sur Enregistrer. Protection du bureau de l’utilisateur Vous pouvez empêcher les utilisateurs de stocker des fichiers ou des dossiers sur le bureau et de modifier la présentation de ce dernier, la disposition des icônes ou tout autre réglage du bureau. Pour protéger le bureau : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Groupes de travail, puis sur Autorisations. 2 Sélectionnez un groupe dans la liste des groupes de travail. 3 Cochez la case Verrouiller le bureau de l’utilisateur sur le volume de démarrage. 4 Cliquez sur Enregistrer. Protection des fichiers contre les tentatives de modification par des applications La mise en œuvre de mesures de sécurité au niveau des fichiers empêche les applications de modifier des dossiers et des fichiers protégés, mais risque également de générer, avec des applications plus anciennes, des messages concernant des erreurs sur le disque ou des problèmes à l’ouverture. Si vous n’activez pas la sécurité au niveau des fichiers, les applications peuvent alors écrire des informations (des données temporaires ou des préférences, par exemple), dès que nécessaire.Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 213 Ce niveau de sécurité est disponible uniquement sur les clients Mac OS 9 et ne s’applique qu’aux applications. Il n’affecte pas l’accès de l’utilisateur aux fichiers et dossiers. Pour activer la sécurité au niveau des fichiers : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Groupes de travail, puis sur Autorisations. 2 Sélectionnez un groupe dans la liste des groupes de travail. 3 Sélectionnez Activer la sécurité au niveau fichier pour les stations de travail Mac OS 9, puis cliquez sur Enregistrer. Méthode pour empêcher l’accès aux disques FireWire Vous pouvez activer la sécurité au niveau des fichiers pour empêcher les utilisateurs d’un groupe de travail Tableaux d’accéder à des disques durs FireWire montés au démarrage. Cette sécurité s’applique uniquement aux clients Mac OS 9 et n’a aucune incidence sur les groupes de travail Finder ou Finder restreint. Pour activer la sécurité au niveau fichier et empêcher l’accès aux disques FireWire : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Groupes de travail, puis sur Autorisations. 2 Sélectionnez un groupe de travail Panneaux dans la liste des groupes de travail. 3 Sélectionnez Activer la sécurité au niveau fichier pour les stations de travail Mac OS 9, puis cliquez sur Enregistrer. Autoriser les utilisateurs à écouter des CD Les utilisateurs d’un groupe de travail Finder peuvent toujours écouter des CD. Les groupes de travail Tableaux et Finder restreint ne disposent pas automatiquement de cette autorisation, mais vous pouvez l’octroyer. Pour autoriser les utilisateurs à écouter des CD : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Groupes de travail, puis sur Autorisations. 2 Sélectionnez un groupe Tableaux ou Finder restreint dans la liste des groupes de travail. 3 Sélectionnez Lire des CD audio, puis cliquez sur Enregistrer. Certains CD contiennent plus que de simples pistes audio. Si la première piste d’un CD est une piste audio, alors il s’agit d’un CD audio. Autoriser les utilisateurs à effectuer des captures d’écran Des combinaisons de touches spéciales permettent aux utilisateurs d’obtenir une image de l’écran de l’ordinateur (appelée capture d’écran) et de l’enregistrer dans un fichier stocké dans leur dossier de documents. Les utilisateurs des groupes de travail Finder sont autorisés par défaut à effectuer des captures d’écran. Les groupes de travail Tableaux et Finder restreint ne disposent pas automatiquement de cette autorisation, mais vous pouvez l’octroyer. Pour autoriser les utilisateurs à effectuer des captures d’écran : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Groupes de travail, puis sur Autorisations.214 Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 2 Sélectionnez un groupe Tableaux ou Finder restreint dans la liste des groupes de travail. 3 Sélectionnez Effectuer des captures d’écran, puis cliquez sur Enregistrer. En cas d’espace disque limité, il peut s’avérer nécessaire de ne pas activer cette fonction. Pour obtenir des informations sur les captures d’écran, consultez l’Aide Mac. Autoriser les utilisateurs à ouvrir des applications à partir d’un disque Si vous utilisez une liste d’éléments approuvés (applications ou scripts) accessibles aux utilisateurs, les utilisateurs des groupes de travail Tableaux ou Finder restreint ne sont pas autorisés à ouvrir des applications situées sur des supports amovibles (comme des disquettes), sauf s’ils en ont l’autorisation. Cette restriction ne s’applique pas aux groupes de travail Finder. Pour autoriser les utilisateurs à ouvrir des applications sur des supports amovibles : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Groupes de travail, puis sur Autorisations. 2 Sélectionnez un groupe Tableaux ou Finder restreint dans la liste des groupes de travail. 3 Sélectionnez Ouvrir éléments autorisés sur supports amovibles, puis cliquez sur Enregistrer. Parmi les supports amovibles, figurent les disquettes, les disques Zip et tous les autres types, à l’exception des CD et des DVD. Le panneau Éléments du panneau Groupes de travail permet d’établir une liste d’éléments autorisés. Définition d’autorisations d’accès pour les supports amovibles Pour les groupes de travail Tableaux et Finder restreint, vous pouvez définir des autorisations d’accès aux supports amovibles. Parmi les supports amovibles, figurent les disquettes, les disques Zip et tous les autres types, à l’exception des CD. Pour définir des autorisations pour les supports amovibles, autres que les CD : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Groupes de travail, puis sur Autorisations. 2 Sélectionnez un groupe Tableaux ou Finder restreint dans la liste des groupes de travail. 3 Choisissez un réglage d’autorisation d’accès dans le menu local situé en regard de Supports amovibles (excepté les CD), puis cliquez sur Enregistrer.Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 215 Définition des autorisations d’accès aux éléments de menus Dans certains menus du Finder, vous pouvez choisir les éléments qui seront visibles par les utilisateurs. Pour les groupes de travail Tableaux, vous pouvez contrôler les menus Pomme, Fichier et Spécial. Pour les groupes de travail Finder restreint, vous pouvez contrôler les éléments des menus Pomme et Spécial. Ces restrictions ne s’appliquent pas aux utilisateurs des groupes de travail Finder. Pour définir des autorisations d’accès aux éléments de menus : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Groupes de travail, puis sur Autorisations. 2 Sélectionnez un groupe Tableaux ou Finder restreint dans la liste des groupes de travail. 3 Sélectionnez chaque élément de menu que vous souhaitez mettre à la disposition des membres du groupe, puis cliquez sur Enregistrer. Partage d’informations dans le Gestionnaire Macintosh Le Gestionnaire Macintosh fournit un certain nombre de méthodes permettant de partager des informations entre les utilisateurs ou les groupes de travail par le biais de dossiers partagés de divers types. La majorité des dossiers partagés est créée au sein du volume des documents du groupe. Certains dossiers sont créés automatiquement, mais d’autres doivent l’être par l’administrateur. Types de dossiers partagés • Dossier partagé de groupe de travail : seuls les membres d’un groupe de travail particulier peuvent utiliser ce dossier. Le dossier partagé d’un groupe de travail est créé automatiquement lorsque vous configurez le volume des documents de ce groupe. • Dossier partagé global : les membres de tous les groupes de travail dont le dossier de groupe est situé sur le même volume peuvent accéder à ce dossier, ce qui permet de partager des documents entre divers groupes. Un dossier partagé global est créé automatiquement lorsque vous sélectionnez le volume des documents d’un groupe. • Dossier Remise de documents du groupe : les dossiers de remise doivent être configurés manuellement et sont accessibles uniquement aux groupes de travail Tableaux et Finder restreint. Le dossier de remise d’un groupe est stocké sur le volume des documents de ce groupe. Au moins un administrateur, de groupe de travail ou Gestionnaire Macintosh, doit être membre du groupe pour utiliser cette fonction, car seul un administrateur peut visualiser les éléments contenus dans un dossier de remise. Pour placer des éléments dans ce dossier, il suffit aux membres du groupe de travail de choisir Remettre dans le menu Fichier (en environnement Tableaux) ou de faire glisser les éléments choisis dans le dossier de remise (en environnement Finder restreint).216 Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 • Dossier sur le disque de démarrage appelé __ : un administrateur Gestionnaire Macintosh peut créer un dossier au premier niveau du disque de démarrage, puis autoriser les utilisateurs à ouvrir les éléments stockés dans ce dossier. Ce type de dossier s’avère pratique pour stocker des éléments auxquels tous les membres du groupe de travail doivent accéder facilement et fréquemment, comme une bibliothèque d’images. Autorisations d’accès aux dossiers Le Gestionnaire Macintosh vous permet de choisir entre quatre niveaux d’autorisations d’accès pour les dossiers des groupes de travail : Sélection d’autorisations pour les dossiers de groupe de travail Après avoir créé le volume des documents d’un groupe, vous pouvez définir pour les utilisateurs des autorisations d’accès (Lecture seule, Écriture seule, Lecture et écriture ou Aucune autorisation) à plusieurs dossiers du groupe de travail. Pour définir les autorisations d’accès aux dossiers d’un groupe de travail : 1 Avant de commencer, assurez-vous que le volume des documents du groupe est déjà configuré. 2 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Groupes de travail, puis sur Options. 3 Sélectionnez un groupe de travail Tableaux ou Finder restreint. 4 Choisissez un réglage d’autorisation d’accès dans le menu local situé en regard de chaque type de dossier accessible au groupe de travail. 5 Cliquez sur Enregistrer. Configuration d’un dossier de groupe de travail partagé Un dossier de groupe de travail partagé est un emplacement pratique où tous les membres du groupe peuvent stocker et partager tout type d’information, selon la configuration des autorisations d’accès aux dossiers et aux fichiers. Par exemple, si vous configurez des autorisations en lecture/écriture sur un volume de documents de groupe partagé, plusieurs utilisateurs peuvent partager des fichiers HTML ou des images lors d’un projet collectif. Réglage d’accès Signification Lecture seule Les utilisateurs peuvent visualiser et ouvrir des éléments du dossier, mais ils ne sont pas autorisés à les modifier, ni à écrire dans le dossier. Par exemple, ils ne peuvent pas enregistrer un fichier dans ce dossier. Écriture seule Les utilisateurs ne peuvent pas visualiser ou ouvrir des éléments du dossier, mais ils sont autorisés à écrire des informations dans ce dossier. Par exemple, ils peuvent y copier un document. Lecture et écriture Les utilisateurs n’ont aucune limite d’accès à ce dossier. Ils peuvent visualiser, ouvrir, modifier ou écrire des informations dans ce dossier. Aucune autorisation Les utilisateurs n’ont rien le droit de faire dans ce dossier.Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 217 Pour configurer un dossier de documents de groupe : 1 Ouvrez le Gestionnaire Macintosh. Avant de commencer, vérifiez que les réglages des documents du groupe dans le volet Options sont corrects. Dans le cas contraire, choisissez les réglages appropriés d’emplacement et de connexion pour les documents du groupe, puis cliquez sur Enregistrer. 2 Cliquez sur Groupes de travail puis sur Autorisations. 3 Sélectionnez un ou plusieurs groupes dans la liste des groupes de travail. 4 Dans la section Autorisations, réglez l’option Dossiers partagés du groupe sur Lecture et écriture, puis cliquez sur Enregistrer. Si vous souhaitez empêcher les utilisateurs de modifier des documents dans le dossier partagé du groupe de travail, vous pouvez verrouiller chaque document individuellement. Pour savoir comment verrouiller un document, consultez l’Aide Mac. Configuration d’un dossier de remise Un dossier de remise fonctionne comme une boîte de remise. Les utilisateurs peuvent enregistrer des éléments dans le dossier, mais ils ne peuvent voir aucun des éléments qui s’y trouvent. Ce type de dossier s’avère très utile pour la collecte et la protection de documents sensibles. Les étudiants d’une classe peuvent par exemple remettre leurs travaux personnels en plaçant une copie de leurs fichiers dans un dossier de remise. Les salariés d’un site peuvent placer des rapports d’évaluation ou des analyses personnelles dans un dossier de remise pour que seuls leur supérieur puisse y accéder. Les dossiers de remise sont accessibles uniquement aux groupes de travail Tableaux et Finder restreint. Pour créer un dossier de remise : 1 Ouvrez le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Groupes de travail puis sur Options. Avant de commencer, vérifiez que les réglages des documents du groupe dans le volet Options sont corrects. Dans le cas contraire, choisissez les réglages appropriés d’emplacement et de connexion pour les documents du groupe, puis cliquez sur Enregistrer. 2 Cliquez sur Groupes de travail puis sur Autorisations. 3 Sélectionnez un ou plusieurs groupes de travail Tableaux ou Finder restreint dans la liste des groupes de travail. 4 Dans la section Autorisations, réglez l’option Dossier Remise de documents du groupe sur Écriture seule, puis cliquez sur Enregistrer. Le dossier de remise apparaît comme un élément du menu Fichier pour les groupes de travail Tableaux. Pour les groupes de travail Finder restreint et les administrateurs de groupes de travail, il apparaît sous la forme d’un dossier sur le bureau.218 Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 Utilisation des réglages Volumes Utilisez les réglages Volumes des groupes de travail pour sélectionner les volumes à monter au moment de la connexion des utilisateurs et contrôler les options de connexion pour chaque volume. Un volume est un dossier partagé sur un serveur de fichiers. Connexion à des serveurs AFP Mac OS X Server prend en charge les connexions réseau de type TCP/IP vers des serveurs AFP (Apple Filing Protocol), tels que le serveur Gestionnaire Macintosh. Vous ne pouvez pas utiliser des connexions AppleTalk vers des serveurs AFP. Fourniture de l’accès aux volumes de serveur Si certains membres d’un groupe de travail doivent utiliser des fichiers et des applications non stockés sur le serveur Gestionnaire Macintosh, vous pouvez monter des volumes automatiquement lorsqu’ils se connectent. Même si vous ne configurez pas le montage automatique d’un volume de serveur, les utilisateurs peuvent toujours s’y connecter dès lors qu’ils disposent d’autorisations d’accès au réseau et d’un compte sur ce serveur (ou d’un accès en tant qu’invité). Pour vous connecter à des volumes automatiquement : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Groupes de travail, puis sur Volumes. 2 Sélectionnez un ou plusieurs groupes de travail. 3 Sélectionnez un volume dans la liste des volumes, puis cliquez sur Ajouter. Si le volume souhaité n’apparaît pas dans la liste, cliquez sur Rechercher afin de le retrouver. Une fois le volume monté, un nom et un mot de passe d’accès sont demandés. 4 Sélectionnez un volume dans la liste Monter à la connexion, puis des réglages de connexion (selon les explications fournies ci-après). 5 Si le volume n’utilise pas les mêmes noms et mots de passe que ceux utilisés par le Gestionnaire Macintosh, sélectionnez Inviter utilisateur à ouvrir une session. Les utilisateurs doivent taper un nom et un mot de passe valides. 6 Si vous souhaitez octroyer à tous les utilisateurs un accès simple à un volume, sélectionnez l’option Se connecter automatiquement comme utilisateur AFP suivant, puis entrez un nom d’utilisateur et un mot de passe corrects. Cette procédure n’est pas aussi sûre que celle qui consiste à exiger que les utilisateurs se connectent à l’aide de leurs propres données, car il est alors impossible de contrôler individuellement l’accès ou d’identifier les utilisateurs connectés au serveur. Vous pouvez sélectionner l’option Toujours tenter une ouverture de session auto avec nom d’utilisateur et mot de passe, outre les autres réglages de connexion. Si cette tentative échoue, la méthode de connexion sélectionnée sous Lors du montage est utilisée. Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 219 7 Sélectionnez l’option Utiliser les autorisations AFP pour employer les réglages des autorisations AFP en lecture et écriture, afin de déterminer les autorisations d’accès à un volume spécifique. En règle générale, le Gestionnaire Macintosh autorise des accès en lecture seule aux volumes. Ce réglage ne s’applique pas aux groupes de travail Finder. 8 Si vous sélectionnez l’option Exiger un mot de passe d’administrateur pour démonter, les utilisateurs ne peuvent se déconnecter de ce volume, sauf s’ils disposent du mot de passe correct. Ce réglage ne s’applique pas aux groupes de travail Finder. 9 Pour les groupes de travail Tableaux uniquement, sélectionnez l’option Afficher le volume sur un tableau si vous souhaitez que les utilisateurs visualisent l’icône du volume. Si vous ne sélectionnez pas cette option, le volume n’apparaîtra que dans la fenêtre Applications. 10 Cliquez sur Enregistrer. Utilisation des réglages d’imprimantes Les réglages d’imprimantes vous permettent de contrôler l’accès aux imprimantes du groupe de travail et de limiter le nombre de pages imprimées. Certains réglages sont uniquement disponibles si vous sélectionnez l’option Autoriser les membres à n’utiliser que les imprimantes de bureau. Mise des imprimantes à la disposition des groupes de travail Avant qu’une imprimante ne soit accessible à un groupe de travail, elle doit apparaître dans la liste Imprimantes disponibles. Pour ajouter des imprimantes, sélectionnez Créer une nouvelle dans le volet Imprimantes du panneau Groupes de travail ou intervenez dans l’application Centre d’impression sur le serveur Gestionnaire Macintosh. Remarque : la version Mac OS X de l’application d’administration du Gestionnaire Macintosh crée uniquement des imprimantes de bureau LaserWriter. Afin d’autoriser l’accès à des imprimantes autres que LaserWriter, utilisez la version Mac OS 9 du logiciel d’administration du Gestionnaire Macintosh pour gérer les clients. Pour ajouter des imprimantes dans Mac OS 9, déroulez le menu Pomme, puis choisissez Sélecteur. Pour autoriser l’accès aux imprimantes : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Groupes de travail, puis sur Imprimantes. 2 Assurez-vous que l’option Autoriser les membres à n’utiliser que ces services d’impression est sélectionnée. 3 Sélectionnez une ou plusieurs imprimantes dans la liste des imprimantes disponibles, puis cliquez sur Ajouter. 4 Une fois que vous avez terminé d’ajouter des imprimantes, cliquez sur Enregistrer.220 Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 Vous ne pouvez pas autoriser simultanément des accès à l’imprimante d’accès au système et aux imprimantes de bureau. Si vous souhaitez qu’un groupe de travail recoure à l’imprimante d’accès au système, connectez-vous au groupe de travail Accès au système en tant qu’administrateur, puis utilisez le Sélecteur pour choisir une imprimante. Suivez ensuite les étapes ci-dessus. Définition d’une imprimante par défaut Lorsqu’un utilisateur imprime un document, les applications envoient en général le document à l’imprimante par défaut. Si plusieurs imprimantes sont disponibles, l’utilisateur a alors la possibilité de choisir une imprimante adaptée. Une fois que les imprimantes ont été ajoutées à la liste des imprimantes disponibles, vous pouvez désigner l’imprimante qui sera choisie en premier lieu par les applications. Pour sélectionner une imprimante par défaut : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Groupes de travail, puis sur Imprimantes. 2 Assurez-vous que l’option Autoriser les membres à n’utiliser que ces services d’impression est sélectionnée. 3 Choisissez une imprimante dans la liste des imprimantes sélectionnées, puis cliquez sur Imprimante par défaut. Si plusieurs imprimantes sont disponibles et que vous sélectionnez Mémoriser dernière imprimante, les applications enverront leurs tâches d’impression à la dernière imprimante utilisée, même s’il ne s’agit pas de l’imprimante par défaut. L’utilisateur aura toujours la possibilité de choisir une autre imprimante. Restriction de l’accès aux imprimantes Vous pouvez restreindre l’accès à une imprimante en la supprimant de la liste Imprimantes sélectionnées ou en exigeant un mot de passe aux utilisateurs qui souhaitent s’en servir. Pour restreindre l’accès à une imprimante : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Groupes de travail, puis sur Imprimantes. 2 Assurez-vous que l’option Autoriser les membres à n’utiliser que ces services d’impression est sélectionnée. 3 Choisissez une imprimante dans la liste des imprimantes sélectionnées. Si vous souhaitez supprimer une imprimante de cette liste, il vous suffit de cliquer sur Supprimer. 4 Sélectionnez Exiger un mot de passe d’administrateur sur cette imprimante pour ne protéger que l’imprimante sélectionnée. Pour protéger par mot de passe toutes les imprimantes de la liste, sélectionnez l’option Exiger un mot de passe d’administrateur pour toutes les imprimantes.Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 221 Définition de quotas d’impression Un quota d’impression limite le nombre de pages qu’un utilisateur est autorisé à imprimer sur une période donnée. Le nombre de pages autorisé fait référence au décompte des pages du document, et non au nombre de feuilles de papier. Par exemple, si vous imprimez un document de 16 pages en optant pour l’impression de quatre pages de document sur une même feuille, vous utiliserez quatre feuilles de papier, mais votre quota d’impression diminuera de 16 pages. Les pages sont comptées par rapport au nombre maximal autorisé, même si la tâche d’impression n’est pas terminée (par exemple, en cas de bourrage du papier). L’utilisation d’un quota d’impression encourage les utilisateurs à user des ressources d’impression avec sagesse et permet de réduire les gaspillages. Vous pouvez établir un quota individuel pour chaque imprimante de la liste des imprimantes sélectionnées. Pour fixer le quota d’impression d’un utilisateur : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Groupes de travail, puis sur Imprimantes. 2 Assurez-vous que l’option Autoriser les membres à n’utiliser que ces services d’impression est sélectionnée. 3 Choisissez une imprimante dans la liste des imprimantes sélectionnées. 4 Sélectionnez l’option Limiter les utilisateurs à __ pages chaque __ jour, puis entrez le nombre de pages maximal autorisé sur un certain nombre de jours. 5 Cliquez sur Enregistrer. Autoriser les utilisateurs à dépasser leur quota d’impression Lorsque vous définissez un quota d’impression, cette limite s’applique à chaque utilisateur du groupe de travail sélectionné. Vous pouvez toutefois permettre à certains utilisateurs d’ignorer tous les quotas d’impression. Pour autoriser un utilisateur à dépasser tous les quotas d’impression : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Utilisateurs, puis sur Avancé. 2 Choisissez un utilisateur dans la liste Utilisateurs importés, puis l’option Autoriser l’utilisateur à dépasser les quotas d’impression. 3 Cliquez sur Enregistrer. Configuration d’une imprimante d’accès au système Si l’imprimante que vous souhaitez utiliser ne gère pas les logiciels d’impression de bureau, vous pouvez la rendre accessible en tant qu’imprimante d’accès au système. Elle devient alors l’imprimante par défaut du groupe de travail sélectionné. Les utilisateurs autorisés à afficher le Sélecteur peuvent opter pour toute imprimante visible. Lorsqu’un utilisateur se déconnecte d’un ordinateur client, l’imprimante choisie à l’origine par l’administrateur comme imprimante d’accès au système redevient l’imprimante par défaut.222 Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 Remarque : il est impossible de recourir simultanément à des imprimantes de bureau et à une imprimante d’accès au système. Pour configurer une imprimante d’accès au système : 1 Créez une ou plusieurs listes d’ordinateurs répertoriant les ordinateurs clients sur lesquels vous envisagez d’utiliser des imprimantes d’accès au système. 2 Assurez-vous que chaque groupe de travail avec lequel vous souhaitez utiliser une imprimante d’accès au système peut accéder aux ordinateurs répertoriés dans la ou les liste(s) que vous venez de créer. 3 Connectez-vous sur un ordinateur client par le biais du groupe de travail Accès au système. Vous visualisez le groupe de travail Accès au système uniquement si vous êtes administrateur Gestionnaire Macintosh ou si l’option L’utilisateur a accès au système est activée pour votre compte. 4 Choisissez Sélecteur dans le menu Pomme. 5 Sélectionnez et configurez une imprimante, puis choisissez Quitter dans le menu Fichier et déconnectez-vous. 6 Répétez les étapes 3 à 5 pour chaque ordinateur client duquel les utilisateurs doivent accéder à une imprimante d’accès au système. 7 À partir du serveur ou d’un ordinateur administrateur, lancez le Gestionnaire Macintosh. 8 Cliquez sur Groupes de travail, puis sur Imprimantes. 9 Sélectionnez un groupe de travail qui a accès aux ordinateurs configurés au cours des étapes précédentes. 10 Sélectionnez l’option Les membres utilisent l’imprimante sélectionnée dans Accès au système. 11 Cliquez sur Enregistrer. Si vous signalez qu’un groupe de travail doit utiliser l’imprimante d’accès au système sans pour autant sélectionner d’imprimante à partir d’un ordinateur client, les utilisateurs se connectant à cet ordinateur ne pourront pas imprimer, sauf s’ils ont accès au Sélecteur. Utilisation des réglages Options Les réglages Options vous permettent non seulement de configurer un dossier de documents de groupes, de créer un message de connexion pour les groupes de travail, de définir des événements au démarrage et à la connexion, mais également d’autoriser des utilisateurs des groupes Tableaux et Finder restreint à éjecter des CD.Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 223 Choix d’un emplacement de stockage des documents de groupe Choisissez un emplacement pour les documents de groupe où stocker les dossiers et les fichiers que vous souhaitez rendre accessibles à quiconque dans le groupe de travail. Une fois les réglages d’emplacement et de connexion définis pour le volume des documents de groupe, vous pouvez configurer l’accès au dossier partagé dans le volet Autorisations. Pour configurer un volume de documents de groupe : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Groupes de travail, puis sur Options. 2 Choisissez un emplacement pour le stockage des documents de groupe via le menu local Stockés sur le volume. 3 Si le volume n’utilise pas les mêmes noms et mots de passe que ceux utilisés par le Gestionnaire Macintosh, sélectionnez Inviter utilisateur à ouvrir une session. Les utilisateurs doivent taper un nom et un mot de passe valides. 4 Si vous souhaitez octroyer à tous les utilisateurs un accès facile au volume des documents de groupe, sélectionnez l’option Se connecter automatiquement comme utilisateur AFP suivant, puis entrez un nom d’utilisateur et un mot de passe corrects. Cette procédure n’est pas aussi sûre que celle qui consiste à exiger que les utilisateurs se connectent à l’aide de leurs propres données, car il est alors impossible de contrôler individuellement l’accès ou d’identifier les utilisateurs connectés au serveur. 5 Si l’emplacement des documents de groupe est Serveur Gestion Macintosh désigné, vous pouvez choisir l’option Se connecter autom. à l’aide des nom et mot de passe par défaut. Les nom et mot de passe par défaut sont intrinsèques au Gestionnaire Macintosh. Vous ne pouvez donc pas identifier les connexions des utilisateurs si vous choisissez cette option. Vous pouvez ajouter l’option Toujours commencer par essayer de se connecter automatiquement à l’aide du nom et du mot de passe de l’utilisateur aux autres réglages. Si cette tentative échoue, la méthode de connexion sélectionnée sous Lors du montage est utilisée. 6 Cliquez sur Enregistrer. Si l’emplacement souhaité n’apparaît pas dans le menu, choisissez Autre dans le menu local Stockés sur le volume. Seuls les volumes montés sur le serveur peuvent être sélectionnés. Si vous n’arrivez toujours pas à trouver le volume souhaité, cliquez sur Rechercher et montez le volume approprié. Ouverture d’éléments au démarrage Vous pouvez accélérer le travail des utilisateurs en programmant l’ouverture automatique d’applications ou de dossiers au démarrage de l’ordinateur. Sur les ordinateurs Mac OS 9 (à l’aide de l’extension MMLocalPrefs), suivez les étapes ci-après pour configurer et activer l’ouverture d’éléments au démarrage.224 Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 Pour ouvrir des éléments au démarrage : 1 Avant d’activer l’option Ouverture au démarrage pour les clients Gestionnaire Macintosh, assurez-vous de placer au bon endroit les éléments concernés. Sur les ordinateurs Mac OS 9, placez-les dans le dossier personnel de l’utilisateur Ouverture au démarrage, situé sur le serveur dans /Library/Classic/Startup Items (à l’intérieur du répertoire de départ de l’utilisateur). Ne placez pas d’éléments dans le dossier local Système de Mac OS 9. 2 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Groupes de travail, puis sur Options. 3 Sélectionnez un ou plusieurs groupes dans la liste des groupes de travail. 4 Sélectionnez Ouvrir les éléments du dossier Ouverture au démarrage, puis cliquez sur Enregistrer. Pour les ordinateurs démarrant via NetBoot, vous devez suivre des procédures spéciales pour copier des éléments dans le dossier Ouverture au démarrage de l’image disque de démarrage. Consultez le guide d’administration des images système pour plus d’instructions.Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 225 Vérification de l’arrivée de courrier à la connexion Si un utilisateur dispose d’un compte de messagerie POP (Post Office Protocol), vous pouvez régler le Gestionnaire Macintosh afin qu’il vérifie les messages sur le serveur de courrier à la connexion de l’utilisateur. Pour vérifier automatiquement le courrier : 1 Ouvrez le Gestionnaire Macintosh. Avant de poursuivre, cliquez sur Ordinateurs, puis sur Contrôle. Consultez les informations du serveur sur les messages reçus et vérifiez qu’elles sont correctes. Le serveur de courrier entrant doit être un serveur POP, afin de pouvoir vérifier l’arrivée de courrier à la connexion. 2 Cliquez sur Groupes de travail puis sur Options. 3 Sélectionnez Relever le courrier lorsque des membres ouvrent une session, puis cliquez sur Enregistrer. Création de messages de connexion pour les groupes de travail Vous pouvez afficher un message ou une annonce qui apparaît à la connexion de l’utilisateur. Pour créer un message de connexion de groupe de travail : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Groupes de travail, puis sur Options. 2 Tapez un message dans le champ Message du groupe, puis cliquez sur Enregistrer. Configuration de listes d’ordinateurs Le Gestionnaire Macintosh vous permet de gérer des ordinateurs en les regroupant et en leur appliquant des réglages. Après avoir créé la liste d’ordinateurs que vous souhaitez gérer, sélectionnez les groupes de travail autorisés à les utiliser, puis personnalisez les réglages de contrôle, de sécurité et de connexion pour chaque liste créée. Les options de vérification servent à gérer les ordinateurs portables, comme les iBook. Cette section décrit comment configurer individuellement des listes d’ordinateurs soit par duplication, soit à l’aide d’un modèle. Création de listes d’ordinateurs Les listes d’ordinateurs sont de simples regroupements d’ordinateurs, au même titre qu’un groupe de travail rassemble des utilisateurs. Ces listes apparaissent sous la mention Listes d’ordinateurs dans la partie gauche du panneau Ordinateurs. Vous pouvez limiter l’accès aux ordinateurs en affectant des groupes de travail spécifiques aux ordinateurs que vous comptez leur attribuer. Les listes d’ordinateurs sont également pratiques si vous souhaitez que certains ordinateurs disposent de réglages différents. Un ordinateur ne peut appartenir à plusieurs listes.226 Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 Pour configurer une liste d’ordinateurs : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Ordinateurs, puis sur Listes. 2 Cliquez sur Ajouter, puis attribuez un nom à la nouvelle liste. Ce nom peut contenir jusqu’à 31 caractères (y compris le point, le caractère de soulignement, le tiret ou l’espace). Il ne peut contenir les deux-points (:). 3 Cliquez sur Rechercher, puis choisissez ou connectez-vous à un ordinateur à partir de la fenêtre de sélection de station de travail. Répétez cette étape pour chaque ordinateur destiné à apparaître dans la liste. Pour supprimer un ordinateur de la liste, sélectionnez-le, puis cliquez sur Supprimer. 4 Assurez-vous que l’option de connexion est activée. Choisissez des réglages supplémentaires pour la liste d’ordinateurs dans les autres panneaux Ordinateurs, puis cliquez sur Enregistrer. Remarque : si vous utilisez le Gestionnaire Macintosh pour gérer un ordinateur nommé à l’aide de caractères japonais, le nom, situé dans la liste de l’onglet Ordinateurs/Listes, apparaît illisible. Configuration du compte Tous les autres ordinateurs Les réglages sélectionnés pour le compte Tous les autres ordinateurs sont tous sans exception appliqués aux ordinateurs reliés à votre réseau géré, mais n’apparaissant pas dans leur propre liste d’ordinateurs. Ces ordinateurs sont d’ailleurs appelés des ordinateurs invités. Pour configurer le compte Tous les autres ordinateurs : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Ordinateurs. 2 Sélectionnez le compte Tous les autres ordinateurs. 3 Choisissez les réglages à appliquer dans les divers volets de la fenêtre Ordinateurs, puis cliquez sur Enregistrer. Duplication d’une liste d’ordinateurs Vous pouvez aisément créer une liste d’ordinateurs disposant des mêmes réglages que celle que vous avez déjà créée. Une liste dupliquée ne contient aucun ordinateur car un ordinateur ne peut appartenir à plusieurs listes, mais les réglages de cette liste sont identiques à ceux de la liste originale. Pour dupliquer une liste d’ordinateurs : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Ordinateurs, puis sur Listes. 2 Sélectionnez une liste d’ordinateurs existante, puis cliquez sur Dupliquer. 3 Attribuez un nom à la nouvelle liste, puis cliquez sur Ajouter pour lui ajouter des ordinateurs. 4 Cliquez sur Enregistrer.Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 227 Création d’un modèle de liste d’ordinateurs L’utilisation d’un modèle permet d’appliquer les mêmes réglages initiaux à de nouvelles listes d’ordinateurs. Une fois que vous avez configuré le modèle, chaque nouvelle liste d’ordinateurs que vous ajoutez recevra les réglages du modèle. Vous pouvez à tout moment modifier les réglages de la liste ou du modèle. Vous ne pouvez pas ajouter d’ordinateurs à un modèle car les ordinateurs ne peuvent appartenir à plusieurs listes. Remarque : une fois le modèle configuré, vous ne pouvez plus restaurer sa version d’origine. Il est cependant possible de modifier ses réglages à tout moment. Pour créer un modèle de listes d’ordinateurs : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Ordinateurs, puis choisissez Modèle parmi les listes d’ordinateurs. Si le modèle n’apparaît pas, ouvrez Préférences Gestionnaire Macintosh et assurez-vous que l’option Afficher le modèle est sélectionnée. Pour ouvrir Préférences Gestionnaire Macintosh sous Mac OS X, choisissez Préférences dans le menu Gestionnaire Macintosh. Sous Mac OS 9, choisissez Préférences dans le menu Édition. 2 Dans chaque panneau Ordinateurs, définissez les options que vous souhaitez utiliser avec le modèle, puis cliquez sur Enregistrer. Désactivation de l’accès aux ordinateurs Il se peut que vous deviez parfois empêcher l’accès à certains ordinateurs pendant la réalisation de tâches de maintenance, telles que l’installation et la mise à jour d’applications ou l’exécution de programmes d’entretien du disque dur. Pour interdire l’accès à certains ordinateurs, désactivez simplement la connexion. Pour empêcher les utilisateurs d’accéder à certains ordinateurs : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Ordinateurs, puis sur Listes. 2 Sélectionnez une liste d’ordinateurs, puis définissez des options de connexion en vous conformant aux explications fournies ci-après. 3 Sélectionnez l’option Désactivé : demandez à l’utilisateur pour permettre à l’utilisateur de choisir d’éteindre l’ordinateur, d’accéder au Finder (s’il dispose d’un mot de passe administrateur) ou d’opter pour un nouveau serveur Gestionnaire Macintosh. 4 Sélectionnez l’option Désactivé : accéder au Finder pour placer automatiquement l’utilisateur sur le Finder. 5 Sélectionnez l’option Désactivé : choisissez un autre serveur pour permettre à l’utilisateur de sélectionner un autre serveur Gestionnaire Macintosh dans la liste des serveurs de réseau local. 6 Cliquez sur Enregistrer.228 Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 Pour autoriser les utilisateurs à se reconnecter, choisissez Activé dans le menu local Connexion, puis cliquez sur Enregistrer. Utilisation des réglages Groupes de travail des ordinateurs Pour contrôler l’accès aux ordinateurs, utilisez les réglages du volet Groupes de travail situé dans la fenêtre Ordinateurs. Contrôle de l’accès aux ordinateurs Vous pouvez faire en sorte que les ordinateurs soient accessibles à chaque utilisateur ou limiter l’accès à certains ordinateurs. Si vous souhaitez autoriser des groupes de travail particuliers à accéder à certains ordinateurs, assurez-vous d’avoir tout d’abord configuré les groupes de travail. Créez ensuite une liste d’ordinateurs que vous souhaitez mettre à leur disposition, puis suivez les étapes ci-dessous. Un même groupe de travail peut être ajouté à plusieurs listes d’ordinateurs. Pour mettre des ordinateurs à la disposition de groupes de travail : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Ordinateurs, puis sur Groupes de travail. 2 Pour mettre des ordinateurs à la disposition de tout le monde, sélectionnez Tous les groupes de travail peuvent utiliser ces ordinateurs. Pour limiter l’accès à certains groupes uniquement, sélectionnez N’autoriser que ces groupes de travail à utiliser ces ordinateurs. 3 Sélectionnez les groupes dans la liste des groupes de travail disponibles, puis cliquez sur Ajouter pour les ajouter à la liste des groupes de travail autorisés. Pour supprimer un groupe autorisé, sélectionnez-le, puis cliquez sur Supprimer. 4 Cliquez sur Enregistrer. Si vous souhaitez désactiver l’accès de certains ordinateurs, utilisez l’un des réglages de connexion désactivé dans le volet Listes de la fenêtre Ordinateurs. Utilisation des réglages Contrôle Les réglages Contrôle servent à définir des options de messagerie, en plus des options relatives à l’horloge, au nom du disque dur et à la déconnexion automatique. Déconnexion automatique des ordinateurs afin de minimiser le trafic réseau Une fois connecté à un réseau, un ordinateur recherche des mises à jour dans les bases de données sur le serveur à intervalles réguliers, même si aucun utilisateur n’a ouvert de session. Sur des réseaux très importants, vous pouvez remarquer des délais dans les temps de réponse des clients. Pour alléger la charge de votre réseau, programmez la déconnexion automatique des ordinateurs qui ne sont pas en cours d’utilisation.Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 229 Pour activer la déconnexion automatique : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Ordinateurs, puis sur Contrôle. 2 Choisissez une liste d’ordinateurs, puis sélectionnez Se déconnecter du serveur si aucun utilisateur n’ouvre de session dans _ minutes. 3 Tapez le nombre de minutes d’attente avant que l’ordinateur ne se déconnecte. 4 Cliquez sur Enregistrer. Une fois l’ordinateur déconnecté du serveur, il affiche toujours l’écran d’ouverture de session, mais un X apparaît sur l’icône du serveur dans la barre des menus. Plus aucune mise à jour automatique ne sera effectuée jusqu’à ce qu’un utilisateur ne se connecte. Pour reconnecter un client, sélectionnez un utilisateur, puis cliquez sur Ouverture de session. Dans la boîte de dialogue du mot de passe, cliquez sur Annuler. Réglage de l’horloge d’ordinateur à l’aide de l’horloge réseau Si votre réseau n’a pas accès à un serveur NTP (Network Time Protocol), vous pouvez synchroniser les horloges des ordinateurs gérés avec celle du serveur. Pour synchroniser les horloges des ordinateurs : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Ordinateurs, puis sur Contrôle. 2 Choisissez une liste d’ordinateurs, puis sélectionnez Synchroniser les horloges de l’ordinateur avec l’horloge du serveur. 3 Cliquez sur Enregistrer. Utilisation d’un nom de disque dur spécifique L’attribution d’un nom spécifique au disque dur d’un ordinateur peut faciliter la localisation d’informations, comme les préférences par certaines applications. L’utilisation d’un nom spécifique de disque dur s’avère particulièrement utile si vous employez NetBoot. Les clients NetBoot disposent d’un volume de démarrage dont le nom par défaut est NetBoot HD. Si les ordinateurs d’une liste utilisent NetBoot, assurez-vous que le nom du disque dur est identique pour les ordinateurs NetBoot et non NetBoot. Vous garantissez ainsi que les chemins vers toutes les applications utilisées sur ces clients sont identiques. Pour utiliser un nom de disque dur spécifique : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Ordinateurs, puis sur Contrôle. 2 Choisissez une liste d’ordinateurs, puis sélectionnez Imposer comme nom du disque dur des ordinateurs : _ et tapez le nom à utiliser (par exemple, Macintosh HD). 3 Cliquez sur Enregistrer. Si vous rencontrez des difficultés avec le Gestionnaire Macintosh pour nommer le disque dur d’un ordinateur, assurez-vous que le partage de fichiers est désactivé sur les ordinateurs clients.230 Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 Pour désactiver le partage de fichiers, utilisez le tableau de bord Partage de fichiers. Création d’adresses électroniques pour les utilisateurs gérés Le Gestionnaire Macintosh peut créer une adresse électronique pour un utilisateur qui n’en possède pas encore. Lorsqu’un utilisateur se connecte, le Gestionnaire Macintosh ajoute le nom abrégé de cet utilisateur au nom de domaine par défaut que vous spécifiez et crée une adresse électronique. Si un utilisateur dispose d’autres réglages importés pour sa messagerie, ils sont prioritaires sur les réglages du Gestionnaire Macintosh dès que l’utilisateur se connecte au réseau Gestionnaire Macintosh. Pour créer une adresse électronique d’utilisateur : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Ordinateurs, puis sur Contrôle. 2 Sélectionnez un ordinateur dans la liste. 3 Sous la zone Adresses électroniques des utilisateurs, entrez le nom du domaine par défaut, l’adresse du serveur de courrier entrant (POP) et l’adresse du serveur de courrier sortant (SMTP). 4 Cliquez sur Enregistrer. Pour que l’ordinateur vérifie le courrier à la connexion de l’utilisateur, cochez l’option Relever le courrier lorsque des membres se connectent dans le volet Options de la fenêtre Groupes de travail. Utilisation des réglages de sécurité des ordinateurs Les réglages de sécurité des ordinateurs vous permettent de choisir des réglages de sécurité pour les utilisateurs, les ordinateurs et les applications. Sécurisation des ordinateurs même si les utilisateurs oublient de se déconnecter Si un utilisateur oublie de se déconnecter après avoir utilisé un ordinateur, une autre personne peut travailler sur cet ordinateur sans avoir à se connecter. Elle pourra accéder à tous les éléments auxquels l’utilisateur précédent avait accès, y compris au répertoire de départ et aux documents de cet utilisateur. Vous pouvez empêcher ce type d’accès non autorisé grâce à la fonction de déconnexion en cas d’inactivité. Une telle déconnexion survient lorsque l’utilisateur n’a aucune activité (comme une saisie au clavier ou une utilisation de la souris) pendant un certain temps. Par exemple, supposez que vous ayez activé la déconnexion en cas d’inactivité après 15 minutes. Un utilisateur se connecte, travaille un certain temps, puis décide de quitter son poste pour faire une pause, mais ne se déconnecte pas. Après une absence de plus de 15 minutes, cet utilisateur devra taper un nom et un mot de passe afin de pouvoir accéder de nouveau à son ordinateur.Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 231 Pour activer la déconnexion en cas d’inactivité : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Ordinateurs, puis sur Contrôle. 2 Sélectionnez une liste d’ordinateurs, puis l’option Activer la déconnexion pour inactivité et entrez le délai d’attente de l’ordinateur en minutes. 3 Choisissez une option de déconnexion. Si vous optez pour l’option Déconnecter l’utilisateur, une boîte de dialogue s’ouvre après la déconnexion. Elle permet aux utilisateurs d’enregistrer tous leurs documents non sauvegardés et de revenir à l’écran d’ouverture de session. Si vous sélectionnez Verrouiller l’écran, une boîte de dialogue sur fond noir apparaît. Les utilisateurs peuvent alors enregistrer tous leurs documents non sauvegardés, puis entrer un mot de passe et poursuivre leur travail ou se déconnecter. 4 Cliquez sur Enregistrer. Si cette fonction a été activée et que l’ordinateur est connecté au réseau, vous pouvez utiliser un mot de passe d’administrateur Mac OS X Server pour vous connecter. Autorisation d’accès à tous les CD et DVD Grâce aux réglages de sécurité de l’ordinateur, vous pouvez autoriser un accès sans restriction aux CD et DVD pour les utilisateurs. Pour autoriser l’accès à tout CD ou DVD : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Ordinateurs. 2 Cliquez sur Sécurité, puis sélectionnez une liste d’ordinateurs. 3 Sélectionnez Accéder à tous les CD-ROM, puis cliquez sur Enregistrer. 4 Sélectionnez Afficher une fenêtre des CD-ROM insérés afin de permettre aux groupes de travail Tableaux de retrouver facilement les CD insérés. Autorisation de l’accès à des CD ou DVD spécifiques Vous pouvez restreindre l’accès de certains CD ou DVD au moyen d’une liste de disques autorisés. Vous pouvez également limiter l’accès des utilisateurs à certains fichiers d’un CD ou d’un DVD. En premier lieu, créez la liste des disques et éléments approuvés, puis autorisez les utilisateurs à accéder à ces disques. Pour n’autoriser l’accès qu’à des CD ou DVD spécifiques : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, assurez-vous d’avoir déjà configuré une liste des disques et éléments approuvés dans le volet CD-ROM de la fenêtre Global. Pour obtenir des instructions, consultez la section “Utilisation des réglages Global - CDROM” à la page 240. 2 Cliquez sur Ordinateurs, puis sur Sécurité et sélectionnez une liste d’ordinateurs. 3 Sélectionnez Accéder aux CD-ROM approuvés uniquement.232 Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 4 Sélectionnez Afficher une fenêtre des CD-ROM insérés afin de permettre aux groupes de travail Tableaux de retrouver facilement les CD insérés. Choix des paramètres de sécurité des ordinateurs pour les applications Quelques applications utilisent parfois des applications d’aide qui effectuent certaines tâches à leur place. Si par exemple un utilisateur clique sur un lien Web dans un message électronique, l’application de messagerie peut faire appel à un navigateur Web. D’autres applications, comme des logiciels d’installation, nécessitent parfois de quitter le Finder et de redémarrer pour terminer leur tâche. Important : le Gestionnaire Macintosh n’autorise pas automatiquement ces options, mais il vous est possible de les appliquer. L’activation de ces options peut toutefois affaiblir la sécurité des ordinateurs. Pour autoriser les applications à ouvrir d’autres applications ou à quitter les Finder : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Ordinateurs, puis sur Sécurité et sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez Ouvrir d’autres applications, une aide par exemple et/ou Quitter le Finder pour permettre aux applications d’utiliser ces options. 3 Cliquez sur Enregistrer. Autorisation de l’ouverture d’applications spécifiques par d’autres applications Vous pouvez autoriser des applications spécifiques à agir comme des aides pour d’autres applications susceptibles d’y recourir. Les applications à désigner comme des aides doivent être ajoutées à la liste des éléments autorisés pour un ou plusieurs groupes de travail. Pour indiquer des applications d’aide : 1 Ouvrez le Gestionnaire Macintosh. 2 Choisissez Préférences Applications dans le menu Configurer. 3 Sélectionnez une application dans la liste. Cette liste répertorie uniquement les applications actuellement affectées à des groupes de travail. Si l’application souhaitée ne figure pas dans la liste, cliquez sur Ajouter pour la rechercher. Vous pouvez également cliquer sur Personnalisé, puis entrer le nom et le code à quatre caractères de l’application à ajouter. 4 Pour désigner une application comme une application d’aide correcte, sélectionnez l’option Autoriser l’ouverture de cette application par d’autres.Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 233 Autorisation du travail hors-ligne des utilisateurs Si le serveur Gestionnaire Macintosh ou le répertoire de départ d’un utilisateur n’est pas disponible, vous pouvez toujours autoriser l’utilisation hors-ligne de l’ordinateur. L’utilisateur doit se connecter, mais le serveur Gestionnaire Macintosh n’est pas disponible. Si son répertoire de départ n’est pas disponible non plus, il ne pourra sans doute pas enregistrer ses documents. Pour autoriser le travail hors-ligne : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Ordinateurs. 2 Cliquez sur Sécurité, puis sélectionnez une liste d’ordinateurs. 3 Sélectionnez Travailler hors-ligne si le serveur Gestionnaire Macintosh est indisponible pour permettre l’utilisation de cette option. Vous pouvez également sélectionner Exiger un mot de passe d’administrateur pour travailler hors-ligne pour cette option. 4 Sélectionnez Travailler hors-ligne si le répertoire de départ de l’utilisateur est indisponible pour permettre l’utilisation de cette option. 5 Cliquez sur Enregistrer. Changement de serveur Gestionnaire Macintosh Pour changer les serveurs de l’application d’administration du Gestionnaire Macintosh, choisissez Changer de serveur dans le menu Fichier. Les utilisateurs quelconques peuvent cliquer sur Changer de serveur dans la boîte de dialogue du Gestionnaire Macintosh affichée à la connexion, puis sélectionner un nouveau serveur Gestionnaire Macintosh au moyen d’un mot de passe d’administrateur. Quelle que soit la méthode employée, assurez-vous de sélectionner Local (ou Réseau local) dans la boîte de dialogue Sélectionner un serveur Gestion Macintosh, puis le serveur à utiliser. Remarque : si votre réseau n’utilise pas AppleTalk, il est possible que la rubrique Local ou Réseau local ne s’affiche pas. Dans ce cas, sélectionnez simplement le serveur que vous voulez utiliser dans la liste des serveurs disponibles. Vous pouvez aussi autoriser les utilisateurs à changer de serveur sans entrer un mot de passe d’administrateur. Pour cela, suivez les étapes ci-après. Important : autoriser cette option risque de réduire le niveau de sécurité du serveur. En outre, si vous disposez de serveurs utilisant d’anciennes versions du Gestionnaire Macintosh, le passage d’un ordinateur client sur l’un de ces serveurs risque d’amener ce dernier à installer l’ancienne version du logiciel sur l’ordinateur client. Pour autoriser les utilisateurs à changer de serveur sans mot de passe : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Ordinateurs. 2 Cliquez sur Sécurité, puis sélectionnez une liste d’ordinateurs. 3 Sélectionnez Basculer sur un autre serveur sans authentification pour permettre l’utilisation de cette option.234 Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 4 Cliquez sur Enregistrer. Si vous souhaitez que les ordinateurs clients NetBoot puissent choisir un serveur Gestionnaire Macintosh différent, supprimez l’extension DNSPlugin de l’image NetBoot. Autorisation de forcer la fermeture d’applications Si vous autorisez les utilisateurs à forcer la fermeture d’applications, ils peuvent appuyer sur les touches Commande+Option+Échap pour provoquer la fermeture. Remarque : l’autorisation de cette option risque de poser un problème de sécurité. Pour autoriser les utilisateurs à forcer la fermeture d’applications : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Ordinateurs. 2 Cliquez sur Sécurité, puis sélectionnez une liste d’ordinateurs. 3 Sélectionnez Forcer à quitter les applications pour permettre l’utilisation de cette option. 4 Cliquez sur Enregistrer. Autorisation de désactiver les extensions Si les utilisateurs sont autorisés à redémarrer les ordinateurs, vous pouvez également leur permettre de désactiver les extensions en appuyant sur la touche Maj au démarrage. Cela ne désactivera pas l’extension Gestionnaire Macintosh ni les extensions système nécessaires. Remarque : l’autorisation de cette option risque de poser un problème de sécurité. Pour autoriser les utilisateurs à démarrer en désactivant les extensions : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Ordinateurs. 2 Cliquez sur Sécurité, puis sélectionnez une liste d’ordinateurs. 3 Sélectionnez Désactiver les extensions lors du démarrage pour permettre l’utilisation de cette option. 4 Cliquez sur Enregistrer.Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 235 Utilisation des réglages de connexion des ordinateurs Ces réglages vous permettent de choisir le mode de connexion des utilisateurs, les messages qui s’affichent et la présentation des noms des volets. Choix du mode de connexion des utilisateurs Lorsqu’ils se connectent, les utilisateurs peuvent entrer leur nom ou le sélectionner dans une liste. Si vous décidez d’utiliser une liste pour la connexion, elle peut contenir jusqu’à 2 000 utilisateurs. Vous pouvez faire en sorte que cette liste n’affiche pas les noms des administrateurs. Pour définir les options de connexion : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Ordinateurs. 2 Cliquez sur Ouverture de session, puis sélectionnez une liste d’ordinateurs. 3 Sélectionnez l’option Les utilisateurs choisissent leur nom dans une liste (1-2 000 membres) pour utiliser une liste. Pour que les noms des administrateurs n’apparaissent dans cette liste, sélectionnez l’option La liste n’affiche que les utilisateurs (aucun administrateur). 4 Si vous ne souhaitez pas utiliser de liste, sélectionnez Les utilisateurs tapent leur nom. 5 Cliquez sur Enregistrer. Création de messages d’ouverture de session pour les ordinateurs Vous pouvez créer deux types de messages pour les ordinateurs. Chaque message peut contenir jusqu’à 127 caractères. • Le message bannière est affiché dans la boîte de dialogue d’ouverture de session. • Le message de serveur apparaît dans une fenêtre distincte après la connexion des utilisateurs. Il est précédé de l’expression De :Administrateur global. Pour configurer un message d’ouverture de session : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Ordinateurs. 2 Cliquez sur Ouverture de session, puis sélectionnez une liste d’ordinateurs. 3 Entrez votre message bannière ou le message de serveur dans le champ prévu à cet effet. Si vous ne souhaitez pas utiliser un message, laissez le champ vide. 4 Cliquez sur Enregistrer. Personnalisation des noms de panneaux Vous pouvez personnaliser les noms des tableaux de documents d’utilisateurs et de groupes de travail affichés dans les groupes de travail Tableaux. Pour personnaliser un nom de panneau : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Ordinateurs. 2 Cliquez sur Ouverture de session, puis sélectionnez une liste d’ordinateurs.236 Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 3 Si vous souhaitez que le nom du groupe de travail apparaisse sur le panneau des documents d’un groupe, sélectionnez Afficher les noms de groupes de travail ou cliquez sur le bouton situé à côté du champ de texte et tapez un autre nom. 4 Si vous souhaitez que le nom de l’utilisateur apparaisse sur le panneau des documents d’un utilisateur, sélectionnez Afficher le nom de l’utilisateur ou cliquez sur le bouton situé à côté du champ de texte et tapez un autre nom. 5 Cliquez sur Enregistrer. Gestion des ordinateurs portables Il est important de planifier le mode de gestion des ordinateurs portables ayant accès à votre réseau. Cette section vous propose quelques suggestions quant à la gestion des ordinateurs portables et décrit l’utilisation de la fonction d’emprunt du Gestionnaire Macintosh. Ordinateurs portables pour les utilisateurs en réseau Vous pouvez permettre aux utilisateurs de partager certains ordinateurs portables spécifiques, comme les iBook d’un laboratoire informatique mobile sans fil. Ce type de laboratoire contient 10 à 15 iBook pour les étudiants (et un iBook supplémentaire pour le professeur), une Borne d’Accès Airport et une imprimante, le tout sur un chariot mobile. Le chariot permet de distribuer les ordinateurs aux utilisateurs (par exemple d’une salle de cours à l’autre). Pour gérer un labo mobile, créez tout d’abord une liste d’ordinateurs référençant tous les iBook. Assurez-vous que les utilisateurs disposent bien de comptes sur le réseau et de répertoires de départ, puis affectez des petits groupes d’utilisateurs à des groupes de travail qui utiliseront les iBook. Vous pouvez créer divers groupes de travail à des fins différentes, par exemple pour le cours d’histoire, le cours de biologie, etc. Utilisez la fonction Emprunter pour permettre à ces groupes de travail d’utiliser les iBook. Vous pouvez recourir au compte Tous les autres ordinateurs pour gérer les utilisateurs en réseau qui disposent de leur propre ordinateur portable. Pour plus de détails, consultez “Octroi d’un accès rapide aux utilisateurs non importés” à la page 198. Ordinateurs portables pour les utilisateurs locaux Les comptes des utilisateurs locaux ne peuvent pas être gérés par le biais du Gestionnaire Macintosh. Il existe cependant deux modes d’utilisation du tableau de bord Utilisateurs multiples pour configurer des comptes d’utilisateur local sur des ordinateurs spécifiques : • L’utilisateur ne dispose pas d’autorisations d’administrateur mais possède un compte local. • L’utilisateur est l’administrateur de l’ordinateur.Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 237 Si l’utilisateur est aussi l’administrateur local, il a un accès total à tous les dossiers et toutes les applications sur l’ordinateur, y compris le Dossier Système. Autorisation de l’emprunt d’ordinateurs Vous pouvez autoriser les utilisateurs à emprunter des ordinateurs portables afin, par exemple, de poursuivre leur travail chez eux après les cours. Les fonctions de sécurité et les réglages du Gestionnaire Macintosh restent appliqués à l’ordinateur même pendant la période d’emprunt. Pour emprunter un ordinateur : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Ordinateurs. 2 Cliquez sur Emprunter, puis sélectionnez une liste d’ordinateurs. 3 Sélectionnez l’option Ces ordinateurs peuvent être empruntés, puis choisissez l’une des options d’emprunt conformément aux indications données ci-après. 4 Sélectionnez Tous les utilisateurs peuvent emprunter ces ordinateurs pour autoriser cette option. 5 Sélectionnez l’option N’autoriser que ces utilisateurs à emprunter ces ordinateurs pour restreindre la liste à certains utilisateurs. Choisissez ensuite des utilisateurs dans la liste Utilisateurs disponibles, puis cliquez sur Ajouter. Pour en supprimer de la liste Utilisateurs autorisés, sélectionnez-les, puis cliquez sur Supprimer. 6 Cliquez sur Enregistrer. Utilisation de services sans fil Vous pouvez permettre aux clients gérés d’utiliser des services réseau sans fil à l’aide d’AirPort, par exemple. Vérifiez que votre serveur Gestionnaire Macintosh est situé à portée de votre service sans fil. Si l’utilisateur d’un ordinateur portable devient hors de portée, il ne peut plus se connecter au Gestionnaire Macintosh, mais vous pouvez toujours l’autoriser à travailler hors-ligne. Pour plus de détails, consultez la rubrique “Autorisation du travail hors-ligne des utilisateurs” à la page 233. Les connexions sans fil peuvent offrir une vitesse de transfert de données inférieure à celle d’une connexion directe (comme un câble Ethernet). Pour plus d’informations sur l’utilisation d’Airport, consultez la documentation s’y rapportant ou visitez le site Web à l’adresse suivante : www.apple.com/airport/238 Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 Utilisation des réglages Global - Sécurité Dans le Gestionnaire Macintosh, les réglages de sécurité globaux s’appliquent à tout votre réseau Gestionnaire Macintosh (à tous les utilisateurs, groupes et ordinateurs). Ces réglages couvrent une diversité d’options qui affectent les rapports, l’accès invité, les mots de passe et le mode de copie des préférences. Utilisation des rapports du Gestionnaire Macintosh Le Gestionnaire Macintosh vous propose un certain nombre de plusieurs rapports variés pour vous aider à conserver une trace des activités des utilisateurs et du réseau. Pour afficher un rapport : 1 Ouvrez le Gestionnaire Macintosh. 2 Choisissez le rapport à afficher dans le menu Rapport. Vous visualisez immédiatement le rapport sélectionné. Vous pouvez ensuite l’exporter dans un fichier ou l’imprimer. Il est possible de définir des critères supplémentaires avant d’afficher les résultats des rapports Journal d’activité et Ordinateurs. Définition du nombre d’éléments d’un rapport Vous pouvez définir le nombre maximal d’entrées à afficher dans un rapport du Gestionnaire Macintosh. Remarque : le rapport Utilisateurs connectés ne peut excéder 300 entrées, même si le nombre maximal d’entrées a été fixé à plus de 300. Pour définir le nombre d’entrées d’un rapport : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Global, puis sur Sécurité. 2 Tapez un nombre dans le champ situé près de Nombre maximal d’entrées. Déroulez le menu Rapports pour choisir le rapport à afficher. Protection du programme d’administration Si un administrateur oublie de fermer l’application d’administration du Gestionnaire Macintosh, toute autre personne peut éventuellement la modifier et enregistrer les modifications. Pour empêcher ce type d’accès non autorisé, vous pouvez programmer la fermeture de l’application d’administration après une période d’inactivité spécifiée. En cas de fermeture automatique de l’application d’administration, toute modification non enregistrée est perdue. Avertissement : en cas de fermeture automatique de l’application d’administration, toute modification non enregistrée est perdue. Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 239 Pour autoriser la fermeture automatique de l’application d’administration : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Global, puis sur Sécurité. 2 Sélectionnez Quitter l’application d’administration si inactive pendant __ minutes et tapez le nombre de minutes de délai avant que l’application ne se ferme automatiquement. 3 Cliquez sur Enregistrer. Vérification des informations de connexion à l’aide de Kerberos Si tous les utilisateurs doivent s’identifier à l’aide de Kerberos, conformez-vous aux étapes suivantes. Pour plus d’informations sur l’utilisation de Kerberos, consultez le guide d’administration Open Directory. Pour utiliser la vérification Kerberos : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Global, puis sur Sécurité. 2 Sélectionnez Les clients doivent s’authentifier avec Kerberos, puis cliquez sur Enregistrer. Gestion des mots de passe d’utilisateur En règle générale, les utilisateurs sont autorisés à changer les mots de passe qui leur ont été attribués. Si vous souhaitez les en empêcher, vous pouvez leur supprimer cette autorisation. Pour empêcher les utilisateurs de modifier leur mot de passe : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Global, puis sur Sécurité. 2 Si l’option Les utilisateurs sont autorisés à modifier leurs mots de passe est sélectionnée, désélectionnez-la. 3 Cliquez sur Enregistrer. Remarque : afin d’utiliser le Serveur de mot de passe avec le Gestionnaire Macintosh, les utilisateurs doivent avoir la possibilité de modifier leur mot de passe. Si vous prévoyez d’utiliser le Serveur de mot de passe, assurez-vous que l’option Les utilisateurs sont autorisés à modifier leurs mots de passe est sélectionnée. Pour plus d’informations sur le Serveur de mot de passe, consultez le guide d’administration Open Directory. Autorisation d’accéder aux comptes d’utilisateur Vous pouvez autoriser un administrateur système à se connecter au compte de tout utilisateur. L’utilisateur entre alors son nom pour le compte auquel il souhaite accéder, puis il utilise le mot de passe d’administrateur approprié. Pour autoriser les administrateurs à se connecter aux comptes d’autres utilisateurs : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Global, puis sur Sécurité. 2 Sélectionnez Les utilisateurs peuvent se connecter avec un mot de passe d’administrateur de serveurs.240 Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 3 Cliquez sur Enregistrer. Utilisation des réglages Global - CD-ROM Les réglages globaux relatifs aux CD-ROM vous permettent d’autoriser l’accès à tous les CD et DVD ou alors uniquement à une liste spécifique de disques. Lorsqu’un disque est disponible dans le Gestionnaire Macintosh, vous pouvez en consulter le contenu, puis autoriser les utilisateurs à accéder à tous les éléments du disque ou à une sélection uniquement. Remarque : ces réglages ne s’appliquent pas aux CD audio. Le réglage de CD audio se trouve dans le panneau Autorisations du panneau Groupes de travail. Pour créer une liste de disques et d’éléments disponibles : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Global, puis sur CD-ROM. 2 Insérez un CD ou un DVD. 3 Sélectionnez le nom du disque, puis cliquez sur Ajouter pour le rendre disponible dans le Gestionnaire Macintosh. Pour supprimer un élément disponible, sélectionnez-le, puis cliquez sur Supprimer. 4 Pour rendre certains éléments d’un disque accessibles aux utilisateurs, sélectionnez un CD ou un DVD dans la liste des éléments disponibles du Gestionnaire Macintosh Dans la liste Éléments autorisés sur (__), sélectionnez les éléments que vous souhaitez mettre à la disposition des utilisateurs. Cliquez sur Tout autoriser pour sélectionner et autoriser tous les éléments du disque. Cliquez sur Aucun pour désélectionner tous les éléments. 5 Lorsque vous avez terminé, cliquez sur Enregistrer. Pour que seuls les éléments autorisés soient accessibles aux utilisateurs, sélectionnez une liste d’ordinateurs et assurez-vous de sélectionner l’option Accéder aux CD-ROM approuvés uniquement dans le volet Sécurité de la fenêtre Ordinateurs. Vous pouvez également sélectionner l’option Afficher une fenêtre des CD-ROM insérés, afin de permettre aux groupes de travail Tableaux de retrouver facilement les CD insérés. Gestion des préférences Le dossier Préférences gérées vous permet de personnaliser la gestion des préférences des applications et du système afin de les adapter à vos besoins et objectifs particuliers. Par exemple, vous pouvez vous assurer que les utilisateurs démarrent toujours avec un ensemble spécifique de préférences ou que certaines préférences définies par l’utilisateur ne sont jamais écrasées. Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 241 Un dossier Préférences gérées est créé dans le volume des données d’un groupe de travail à la première connexion d’un membre de ce groupe. Ce dossier contient à son tour deux autres dossiers de préférences (vides par défaut) : Préférences initiales et Préférences forcées. Utilisation des préférences initiales Les préférences du dossier Préférences initiales sont définies une seule fois lors de la connexion. Lors de leur première connexion, les utilisateurs obtiennent une copie à jour de toutes les préférences contenues dans le dossier Préférences initiales. Ils peuvent alors les modifier et les modifications apportées sont enregistrées à leur déconnexion. Par exemple, dans une salle de classe, un professeur peut configurer des préférences et une liste de favoris pour un navigateur Web spécifique. Il stocke une copie de ces préférences dans le dossier des préférences initiales. Lorsque les élèves se connectent le premier jour de classe, ils débutent tous avec les mêmes préférences de navigateur et la même liste de favoris. Lorsqu’un utilisateur se connecte pour la première fois, le Gestionnaire Macintosh vérifie son dossier des préférences et le compare au contenu du dossier Préférences initiales. Si le dossier de cet utilisateur contient déjà une préférence, le Gestionnaire Macintosh ne la remplace pas. Si le dossier d’un utilisateur ne contient aucune préférence, le Gestionnaire Macintosh copie les fichiers manquants dans le dossier de l’utilisateur. Ce processus se répète chaque fois qu’un utilisateur se connecte, ce qui permet de placer des fichiers de préférences supplémentaires dans le dossier des préférences initiales ultérieurement. Par exemple, si vous avez installez un nouveau logiciel et placé le fichier de préférences correspondant dans le dossier Préférences initiales, le Gestionnaire Macintosh copie ce nouveau fichier dans le dossier de préférences d’un utilisateur lorsque celui-ci lance le nouveau logiciel pour la première fois. Pour utiliser le dossier Préférences initiales : 1 Configurez un volume de données de groupe de travail (Documents du groupe) dans le volet Options de la fenêtre Groupes de travail. 2 Accédez à ce volume à partir d’un ordinateur client. 3 Créez les préférences que vous souhaitez placer dans le dossier Préférences initiales. 4 Copiez ces préférences dans le dossier Préférences initiales du volume des documents du groupe. 5 Dans le Finder, sélectionnez le dossier Préférences initiales et appuyez sur Commande-I pour ouvrir la fenêtre Lire les informations. 6 Choisissez Partage dans le menu local Afficher. 7 Sélectionnez l’option Partager cet élément et son contenu et assurez-vous que les autorisations sont correctes.242 Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 8 Cliquez sur Copier pour appliquer les autorisations à tous les dossiers inclus. 9 Répétez les étapes 1 à 4 pour chaque volume. Certaines préférences n’ont pas besoin d’être inclues dans le dossier Préférences initiales. Consultez le guide d’administration pour plus de détails. Exceptions aux préférences initiales Certaines préférences sont créées automatiquement lorsque l’utilisateur se connecte pour la première fois, que vous utilisiez ou non un dossier de préférences initiales. Ces éléments ne sont pas nécessaires dans le dossier des préférences initiales car ils ne seront pas copiés dans le dossier de l’utilisateur : • Préférences Options Menu Pomme • Préfs Sélecteur d’application • Préférences Internet • Préférences clavier • Trousseaux • Préférences Réglages de mobilité • Préférences Mac OS • Préférences TSM • Préférences utilisateur Utilisation des préférences forcées Si vous utilisez le dossier Préférences forcées, vous avez la garantie que tous les utilisateurs démarrent avec le même ensemble de préférences, chaque fois qu’ils se connectent. Les préférences modifiées par l’utilisateur sont remplacées par celles du dossier des préférences forcées lors de la prochaine connexion de l’utilisateur. Lorsque l’utilisateur se connecte à un ordinateur Mac OS 9, le Gestionnaire Macintosh compare les dossiers et les fichiers de préférences situés dans le dossier /Library/ Classic, à l’intérieur du répertoire de départ de l’utilisateur, avec les éléments situés dans le dossier Préférences forcées. Le Gestionnaire Macintosh supprime tout élément équivalent du dossier de l’utilisateur, puis le remplace avec les préférences du dossier Préférences forcées. Si des préférences forcées ne figurent pas dans le dossier de l’utilisateur, le Gestionnaire Macintosh en place de nouvelles copies dans le dossier des préférences de l’utilisateur. Si ce dernier contient des éléments sans équivalent dans le dossier Préférences forcées, le Gestionnaire Macintosh n’y touche pas. Si ces éléments s’accumulent et finissent par occuper trop d’espace disque, videz le dossier Préférences de l’utilisateur de temps en temps. Pour utiliser les préférences forcées : 1 Configurez un volume de données de groupe de travail (Documents du groupe) dans le volet Options de la fenêtre Groupes de travail.Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 243 2 Accédez à ce volume à partir d’un ordinateur client. 3 Créez les préférences que vous souhaitez placer dans le dossier Préférences forcées. 4 Copiez ces préférences dans le dossier Préférences forcées du volume des documents du groupe. 5 Dans le Finder, sélectionnez le dossier Préférences forcées et appuyez sur les touches Commande-I pour ouvrir la fenêtre Lire les informations. 6 Choisissez Partage dans le menu local Afficher. 7 Sélectionnez l’option Partager cet élément et son contenu et assurez-vous que les autorisations sont correctes. 8 Cliquez sur Copier pour appliquer les autorisations à tous les dossiers inclus. 9 Répétez les étapes 1 à 4 pour chaque volume. Partage de préférences d’application Mac OS 9 dans l’environnement Classic Vous pouvez utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour vous assurer que les préférences des applications Mac OS 9 sont conservées à leur ouverture dans Mac OS X avec l’environnement Classic. Ainsi, les utilisateurs qui possèdent des répertoires de départ réseau conservent les mêmes préférences d’application Mac OS 9 quand ils se connectent à d’autres ordinateurs. Ceci permet également de préserver les préférences d’application Mac OS 9 quand un utilisateur géré passe d’un ordinateur client Gestionnaire Macintosh (sous Mac OS 9) à ordinateur client Gestionnaire de groupe de travail (sous Mac OS X). Pour partager des préférences avec l’environnement Classic : 1 Depuis votre ordinateur administrateur, ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur l’icône de globe sous la barre d’outils et choisissez le domaine de répertoires qui contient le compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur à modifier. 3 Cliquez sur le verrou, puis entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. 4 Sélectionnez un compte, puis cliquez sur Préférences. 5 Cliquez sur Classic, puis sur Avancé. 6 Réglez la gestion des préférences sur Toujours. 7 Sélectionnez l’option Utiliser les préférences du dossier de départ. 8 Cliquez sur Appliquer. Une autre solution consiste à procéder comme suit sur chaque client Mac OS X. Ouvrez les Préférences Système, cliquez sur Classic, puis cliquez sur Avancé et sélectionnez l’option Utiliser les préférences du dossier de départ.244 Chapitre 10 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 Où trouver des informations supplémentaires Le site Web AppleCare offre un grand nombre de ressources, y compris la base de connaissances (une base de données contenant des articles techniques sur l’utilisation des produits, leur mise en œuvre et la résolution de problèmes). Consultez ce site à l’adresse suivante : www.apple.com/support (en anglais) Des listes de discussion concernant Mac OS X Server et le Gestionnaire Macintosh vous permettent d’échanger des idées et des astuces avec d’autres administrateurs de serveurs. Pour vous enregistrer dans une liste de discussion, accédez à : www.lists.apple.com (en anglais)11 245 11 Résolution des problèmes Ce chapitre peut vous apporter des solutions aux éventuels problèmes lors de l’utilisation du Gestionnaire de groupe de travail ou du Gestionnaire Macintosh. Aide en ligne et base de connaissances Apple Knowledge Base Si vous ne trouvez pas la réponse à une question dans ces lignes, reportez-vous à l’aide en ligne de Mac OS X Server. Vous pouvez également consulter la base de connaissances Apple Knowledge Base pour y rechercher des informations et des solutions : www.info.apple.com (en anglais) Résolution des problèmes liés aux comptes En cas de problèmes relatifs à l’administration de comptes d’utilisateur et de groupe, suivez les suggestions figurant dans cette section. Vous ne parvenez pas à modifier un compte à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail Pour pouvoir modifier un compte à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail : • Vous devez être un administrateur de domaine, responsable du domaine de répertoires Apple stockant le compte. Un domaine de répertoire Open Directory ou Active Directory non Apple en lecture/écriture est modifiables. • Le domaine de répertoire doit être un répertoire LDAP d’un maître Open Directory, d’un domaine NetInfo ou de tout autre domaine de répertoire en lecture/écriture. Seuls ces derniers peuvent être mis à jour à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail. Un mot de passe d’utilisateur du Serveur de mot de passe ne peut pas être modifié Vous devez être un administrateur Open Directory pour pouvoir modifier le mot de passe d’un utilisateur validé via Open Directory. L’utilisateur dispose de deux méthodes pour devenir un administrateur Open Directory :246 Chapitre 11 Résolution des problèmes • L’utilisateur spécifié lors de la configuration d’un maître Open Directory particulier (à l’aide du module Open Directory d’Admin Serveur) est un administrateur pour ce maître Open Directory. • Vous pouvez transformer d’autres utilisateurs en administrateurs Open Directory après avoir configuré un maître Open Directory. Assurez-vous qu’ils disposent d’un compte dans le domaine de répertoire associé au maître Open Directory. Transformez-les en administrateurs du domaine de répertoire, puis assurez-vous que leurs mots de passe sont validés à l’aide d’Open Directory. Impossible de modifier le mot de passe d’un utilisateur pour le faire valider à l’aide d’Open Directory Pour pouvoir modifier le mot de passe d’un utilisateur afin qu’il puisse être validé à l’aide d’Open Directory, vous devez être un administrateur du Serveur de mot de passe. L’utilisateur dispose de deux méthodes pour devenir un administrateur Open Directory : • L’utilisateur spécifié lors de la configuration d’un maître Open Directory particulier (à l’aide du module Open Directory d’Admin Serveur) est un administrateur pour ce maître Open Directory. • Vous pouvez transformer d’autres utilisateurs en administrateurs Open Directory après avoir configuré un maître Open Directory. Assurez-vous qu’ils disposent d’un compte dans le domaine de répertoire associé au maître Open Directory. Transformez-les en administrateurs du domaine de répertoire, puis assurez-vous que leurs mots de passe sont validés à l’aide d’Open Directory. Un utilisateur du Serveur de mot de passe ne parvient pas à s’authentifier dans le Gestionnaire NetInfo Pour effectuer des modifications à l’aide du Gestionnaire NetInfo, vous devez vous authentifier avec un compte d’utilisateur disposant d’un mot de passe crypté. Le type de mot de passe est défini dans le panneau Avancé des comptes d’utilisateur du Gestionnaire de groupe de travail. Les utilisateurs ne parviennent pas à se connecter ni à être authentifiés Testez les techniques suivantes pour déterminer si l’origine du problème d’authentification se situe au niveau de la configuration ou du mot de passe lui-même : • Réinitialisez le mot de passe sur une valeur connue, puis déterminez si le problème persiste. Essayez d’utiliser un mot de passe ASCII sur 7 bits, supporté par la plupart des clients. • Si un Serveur de mot de passe employé pour l’utilisateur n’est pas configuré pour gérer le protocole d’authentification requis par le client de l’utilisateur, vous pouvez activer des protocoles Serveur de mot de passe supplémentaires. Vous pouvez être amené à réinitialiser le mot de passe d’un utilisateur après avoir changé la configuration du serveur de mot de passe. Chapitre 11 Résolution des problèmes 247 • L’authentification de base (Basic) ne gère pas beaucoup de protocoles d’authentification. Pour augmenter les chances que les applications clientes de l’utilisateur soient supportées, utilisez le Serveur de mot de passe ou suggérez à l’utilisateur d’essayer une autre application. • Pour connaître des astuces permettant de résoudre les problèmes liés à Kerberos, consultez la section “Les utilisateurs Kerberos ne parviennent pas à être authentifiés” à la page 248. • Si un Serveur de mot de passe ou de répertoire non Apple servant à la validation de mot de passe est indisponible, réinitialisez le mot de passe utilisateur afin de recourir à un serveur disponible. • Assurez-vous que les caractères contenus dans le mot de passe sont supportés par le protocole d’authentification. Les espaces en début, en milieu et en fin de chaîne, ainsi que les caractères spéciaux (par exemple, option + 8) ne sont pas supportés par tous les protocoles. Par exemple, les espaces en début de chaîne fonctionnent avec POP ou AFP, mais pas avec IMAP. • Assurez-vous que le clavier de l’utilisateur supporte les caractères nécessaires à l’authentification. • Vérifiez que le logiciel client code le mot de passe afin d’être correctement reconnu. Par exemple, le serveur de mot de passe reconnaît des chaînes codées UTF-8 pouvant ne pas être envoyées par certains clients. • Déterminez si le client en cours d’utilisation supporte la longueur du mot de passe. Le Gestionnaire LAN, par exemple, ne gère que les mots de passe de 14 caractères, ceux plus longs, même gérés par le service Windows de Mac OS X Server, entraînant alors une erreur d’authentification. • Si un client AFP antérieur à la version 3.8.3 échoue lors de l’authentification, utilisez le Gestionnaire d’authentification pour ces clients plus anciens. Vous ne parvenez pas à attribuer des autorisations d’administrateur de serveur Pour affecter des autorisations d’administrateur de serveur à un utilisateur, commencez par vous connecter au serveur concerné dans le Gestionnaire de groupe de travail. Les utilisateurs dépendant d’un Serveur de mot de passe ne parviennent pas à se connecter Si vous retirez l’ordinateur Serveur de mot de passe d’un réseau en débranchant le câble de sa carte d’interface réseau, les utilisateurs dont les mots de passe sont validés à l’aide du Serveur de mot de passe ne peuvent plus se connecter car leur adresse IP n’est plus accessible. Les utilisateurs peuvent se connecter à Mac OS X Server si vous branchez l’ordinateur du Serveur de mot de passe sur un concentrateur isolé afin de rétablir la carte d’interface réseau. Les utilisateurs pourront également se connecter en tant qu’utilisateurs ayant une stratégie de validation de mots de passe basique.248 Chapitre 11 Résolution des problèmes Les utilisateurs ne peuvent pas accéder à leur répertoire de départ. Vérifiez que les utilisateurs ont accès aussi bien au point de partage où sont situés leurs répertoires de départ qu’aux répertoires proprement dits. Les utilisateurs ont besoin d’un accès en lecture pour le point de partage et d’un accès en lecture et en écriture pour leurs répertoires d’accueil. Un utilisateur Mac OS X d’un domaine NetInfo partagé ne parvient pas à se connecter Ce problème survient lorsqu’un utilisateur tente de se connecter sur un ordinateur Mac OS X via un compte de domaine NetInfo partagé, alors que le serveur hébergeant ce domaine n’est pas accessible. L’utilisateur peut se connecter à l’ordinateur Mac OS X en utilisant le compte d’utilisateur local créé automatiquement lors de la configuration de l’ordinateur en vue d’utiliser un compte NetInfo. Le nom d’utilisateur est “administrateur” (nom abrégé “admin”) et le mot de passe celui de NetInfo. Les utilisateurs Kerberos ne parviennent pas à être authentifiés En cas d’échec d’authentification d’un utilisateur ou d’un service employant Kerberos, procédez de l’une des manières suivantes : • Le comportement de Kerberos repose sur des horodatages cryptés. S’il existe un écart de plus de 5 minutes entre le centre de distribution de clés, l’ordinateur client et l’ordinateur du service, l’authentification peut échouer. Vérifiez que les horloges de tous ces ordinateurs sont synchronisées à l’aide d’un serveur d’horloge réseau. • Si Kerberos est en cours d’utilisation, assurez-vous que l’authentification est activée pour le service en question. • Si un serveur Kerberos servant à la validation de mot de passe est indisponible, réinitialisez le mot de passe de l’utilisateur afin de recourir à un serveur disponible. • Assurez-vous que le serveur fournissant le service Kerberos dispose bien d’un accès direct aux domaines de répertoires contenant les comptes des utilisateurs authentifiés via Kerberos. Pour ce faire, vous pouvez par exemple utiliser un domaine de répertoires partagé sur le serveur du centre de distribution de clés hébergeant les fiches d’utilisateurs qui correspondent à l’ensemble des principaux de l’utilisateur. • Pour obtenir des informations susceptibles de aider à résoudre certains problèmes, consultez l’historique du centre de distribution de clés (kdc.log). Des informations de configuration incorrectes, comme des noms de fichiers de configuration incorrects, peuvent être détectées à l’aide de ces historiques. • Assurez-vous que tous vos fichiers de configuration sont complets et corrects. Par exemple, vérifiez que le fichier keytab sur votre serveur comporte les principaux utiles.Chapitre 11 Résolution des problèmes 249 Résolution des problèmes de gestion des préférences Cette section décrit certains des problèmes que vous pouvez rencontrer en utilisant le Gestionnaire de groupe de travail pour configurer des comptes d’ordinateurs ou gérer des clients Mac OS X. Elle fournit également des conseils de dépannage et des solutions possibles. Si le problème que vous rencontrez ne trouve pas de solution ici, reportez-vous aux rubriques de l’aide en ligne du Gestionnaire de groupe de travail ou consultez la base de connaissances AppleCare Knowledge Base. Vous ne parvenez pas à appliquer les réglages Web par défaut Si vous gérez des préférences Internet à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail et configurez un navigateur Web par défaut, une page d’accueil ou de recherche par défaut ou un emplacement spécifique destiné à conserver les fichiers téléchargés, certaines applications risquent de ne pas accepter ces réglages. Vous devrez peut-être configurer une page d’accueil par défaut en utilisant plutôt les réglages de préférences de l’application. Vous ne parvenez pas à appliquer les réglages de courrier par défaut Si vous gérez des préférences Internet à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail et configurez un lecteur de messages, une adresse de courrier ou des serveurs de courrier par défaut, certaines applications risquent de ne pas accepter ces réglages. Il vous faudra peut-être utiliser les préférences de l’application de messagerie de l’ordinateur client. Les utilisateurs ne voient pas de liste de groupes de travail lors de la connexion Si l’utilisateur d’un compte réseau ne voit pas une liste de groupes de travail lorsqu’il se connecte : • Il se peut que cet utilisateur appartienne à un ou aucun groupe. Maintenez la touche Maj enfoncée pendant la connexion pour afficher la liste des groupes de travail. • Il se peut que l’ordinateur de l’utilisateur n’appartienne à aucune liste d’ordinateurs. Ajoutez-le à une liste d’ordinateurs ou à la liste Ordinateurs hôtes.250 Chapitre 11 Résolution des problèmes Si l’utilisateur d’un compte local ne voit pas une liste de groupes de travail lorsqu’il se connecte : • L’ordinateur de cet utilisateur n’est peut-être associé à aucun groupe de travail. Affectez un ou plusieurs groupes à la liste d’ordinateurs (ou à la liste Ordinateurs hôtes) dont fait partie l’ordinateur. • Il se peut que l’ordinateur de l’utilisateur n’appartienne à aucune liste d’ordinateurs. Ajoutez-le à une liste d’ordinateurs ou à la liste Ordinateurs hôtes. Les utilisateurs ne parviennent pas à ouvrir des fichiers Les utilisateurs peuvent généralement double-cliquer sur un fichier dans le Finder ou sélectionner un fichier, puis choisir Ouvrir dans le menu Fichier du Finder, pour qu’une application par défaut appropriée ouvre le fichier concerné. Si les utilisateurs travaillent dans un environnement géré, cette méthode peut ne pas fonctionner. Supposons par exemple que l’application Aperçu soit désignée par défaut pour lire les fichiers PDF. Un utilisateur se connecte, puis double-clique sur un fichier PDF qui se trouve sur son bureau. Si les réglages de gestion appliqués à cet utilisateur ne prévoient pas l’accès à Aperçu, le fichier ne pourra pas être ouvert de cette manière. Si l’utilisateur est autorisé à accéder à une autre application capable de lire les fichiers PDF, il pourra lancer cette application afin d’ouvrir le fichier. Pour vous assurer que les applications les plus utilisées sont accessibles aux utilisateurs, groupes ou listes d’ordinateurs, utilisez le Gestionnaire de groupe de travail pour ajouter l’application à la liste du panneau Éléments des préférences Applications. Les utilisateurs ne parviennent pas à ajouter des imprimantes à la liste d’imprimantes Les utilisateurs peuvent ajouter des imprimantes à la liste d’imprimantes du Centre d’impression si vous sélectionnez Toujours comme option de gestion pour les préférences d’imprimante, puis choisissez Autoriser l’utilisateur à ajouter des imprimantes à la liste. Toutefois, si l’utilisateur tente d’imprimer un document à partir d’une application, il ne verra pas les imprimantes qu’il a ajoutées dans la liste des imprimantes disponibles. Le Gestionnaire de groupe de travail permet aux administrateurs de mettre des imprimantes supplémentaires à la disposition d’utilisateurs, de groupes ou de listes d’ordinateurs spécifiques via le panneau Liste d’imprimantes des préférences Imprimante. Remarque : si l’option Autoriser l’utilisateur à ajouter des imprimantes à la liste n’est pas sélectionnée, un mot de passe d’administrateur est nécessaire pour ajouter ou retirer des imprimantes du Centre d’impression. Chapitre 11 Résolution des problèmes 251 Les éléments d’ouverture ajoutés par un utilisateur ne s’ouvrent pas Le Gestionnaire de groupe de travail vous permet d’utiliser des réglages d’éléments d’ouverture pour spécifier les éléments qui seront ouverts automatiquement lors de la connexion d’un utilisateur. L’ensemble des éléments qui s’ouvrent à la connexion dépend de ceux spécifiés par l’utilisateur, de l’ordinateur utilisé et du groupe choisi lors de la connexion. Un utilisateur peut ajouter des éléments d’ouverture supplémentaires s’il en a reçu l’autorisation. Toutefois, si vous sélectionnez Une fois comme option de gestion pour les éléments d’ouverture, tout élément ajouté par l’utilisateur sera supprimé à sa prochaine connexion. L’utilisateur pourra par la suite ajouter d’autres éléments d’ouverture s’il est autorisé à le faire. Les éléments du Dock placés par un utilisateur sont manquants Le Gestionnaire de groupe de travail vous permet d’utiliser des réglages d’éléments du Dock pour spécifier les éléments qui apparaissent dans le Dock d’un utilisateur. L’ensemble des éléments du Dock d’un utilisateur dépend des éléments spécifiés par l’utilisateur, de l’ordinateur utilisé et du groupe choisi lors de la connexion. Un utilisateur peut ajouter des éléments supplémentaires à son Dock s’il en a reçu l’autorisation. Toutefois, si vous sélectionnez Une fois comme option de gestion pour les éléments du Dock, tout élément ajouté par l’utilisateur sera supprimé lors de sa prochaine connexion. L’utilisateur pourra par la suite placer des éléments supplémentaires dans le Dock s’il est autorisé à le faire. Un point d’interrogation apparaît dans le Dock des utilisateurs Vous pouvez utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour contrôler les éléments qu’un utilisateur peut voir dans son Dock. Les éléments du Dock sont en fait des alias qui renvoient à des éléments originaux stockés ailleurs, comme sur le disque dur ou sur un serveur distant par exemple. Si les éléments d’origine sont situés sur un serveur distant et que l’utilisateur n’est pas connecté à ce serveur, les éléments correspondants du Dock apparaîtront sous forme de points d’interrogation. L’utilisateur peut cliquer sur un point d’interrogation pour se reconnecter à un serveur (le serveur invitera éventuellement l’utilisateur à saisir un mot de passe). Une fois l’utilisateur connecté au serveur contenant les éléments orignaux, les icônes de son Dock retrouvent leur aspect normal et il est possible de cliquer dessus pour ouvrir l’élément correspondant.252 Chapitre 11 Résolution des problèmes Un message d’erreur inattendue est affiché à l’intention des utilisateurs Si vous gérez les préférences Classic et que vous essayez d’utiliser les tableaux de bord des applications Gestionnaire d’extensions, Partage de fichiers et Mise à jour de logiciels, il se peut qu’un message du type L’opération n’a pu être effectuée en raison d’un erreur inopinée (code d’erreur 1016) soit affiché. Ce message indique qu’un administrateur a restreint l’accès à l’élément auquel l’utilisateur tente d’accéder, en interdisant par exemple l’ouverture d’une application spécifique par cet utilisateur. Les utilisateurs ne sont pas autorisés à accéder aux tableaux de bord mentionnés cidessus lorsque les préférences Classic sont gérées. Ce type de message peut également être envoyé aux utilisateurs si vous avez choisi Masquer le Sélecteur et l’Explorateur réseau et qu’ils essaient d’utiliser le Sélecteur. Le message apparaît également si un utilisateur tente d’ouvrir une application non approuvée (ne figurant pas dans le panneau Éléments des préférences Applications du Gestionnaire de groupe de travail) soit sous l’environnement Classic, soit sous Mac OS X. Résolution des problèmes du Gestionnaire Macintosh Cette section décrit certains problèmes susceptibles de survenir lors de l’utilisation du Gestionnaire Manager et fournit quelques conseils et solutions pour les résoudre. Si le problème que vous rencontrez n’est pas mentionné ici, vérifiez les rubriques de l’aide en ligne du Gestionnaire Macintosh ou consultez la base de connaissances en ligne AppleCare. J’ai oublié mon mot de passe d’administrateur Contactez votre administrateur Mac OS X Server. En cas de besoin, l’administrateur du serveur peut changer votre mot de passe grâce au Gestionnaire de groupe de travail. Les administrateurs ne peuvent accéder au Finder après leur connexion Si vous avez accès au système, vous pouvez sélectionner le groupe de travail Accès au système au moment de votre connexion. Si vous ne disposez pas de cette autorisation et que vous devez accéder au Finder fréquemment, demandez à votre administrateur du Gestionnaire Macintosh d’activer l’accès au système pour votre compte. Pour contourner la connexion au Gestionnaire Macintosh, appuyez sur les touches Commande + Maj + Échap à l’affichage de la fenêtre de bienvenue. Entrez ensuite le mot de passe du propriétaire de l’ordinateur ou le nom et le mot de passe d’un administrateur local.Chapitre 11 Résolution des problèmes 253 Des icônes génériques apparaissent dans le volet Éléments Si des icônes génériques apparaissent dans le volet Éléments de la fenêtre Groupes de travail du Gestionnaire Macintosh, redémarrez l’ordinateur avec Mac OS 9 et reconstruisez le bureau. La sélection de l’option Utilisateur local dans le tableau de bord Utilisateurs multiples ne fonctionne pas Vous ne pouvez pas utiliser simultanément le logiciel client Gestionnaire Macintosh et le tableau de bord Utilisateurs multiples sur le même ordinateur. Pour configurer des utilisateurs locaux, n’installez pas le logiciel client Gestionnaire Macintosh sur l’ordinateur. Installez plutôt l’extension Démarrage multi-utilisateur et utilisez le tableau de bord Utilisateurs multiples, version 1.4.1. Certaines imprimantes ne sont pas répertoriées dans la liste Imprimantes disponibles Lorsque vous rendez certaines imprimantes accessibles aux ordinateurs clients, Gestionnaire Macintosh crée des services d’impression pour vos clients Mac OS 9. La version Mac OS X du logiciel d’administration du Gestionnaire Macintosh crée uniquement les services d’impression LaserWriter. Si vous devez fournir l’accès à des imprimantes autres que des LaserWriter, utilisez la version Mac OS 9 du logiciel d’administration du Gestionnaire Macintosh pour gérer les clients. Les utilisateurs n’arrivent pas à se connecter au serveur Gestionnaire Macintosh En premier lieu, assurez-vous que le serveur dispose de suffisamment d’espace disque disponible. Si le mot de passe de l’utilisateur n’a pas été changé et que son compte n’a pas été supprimé, contrôlez les autorisations de connexion de cet utilisateur dans le Gestionnaire Macintosh. Pour vérifier que la connexion est activée : 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Utilisateurs, puis sur Élémentaire. 2 L’option L’utilisateur peut ouvrir la session doit être sélectionnée. Si l’option Désactiver l’accès du__ est également sélectionnée, vérifiez que la date n’est pas déjà passée. Les utilisateurs n’arrivent pas à se connecter en tant qu’invités sur des ordinateurs configurés en langue japonaise Si vos utilisateurs doivent se connecter en tant qu’invités sur des ordinateurs clients configurés en langue japonaise, changez le script de langue de ces ordinateurs sur Roman dans le volet International de Préférences Système. Un ordinateur client n’arrive pas à se connecter au serveur Vérifiez les points suivants : • Vérifiez que le serveur est activé. Si le serveur vient d’être démarré, quelques minutes peuvent être nécessaires pour qu’il apparaisse.• Assurez-vous que les informations de réseau (y compris les informations DNS) sont correctement renseignées. • Vérifiez que l’ordinateur client dispose de suffisamment de mémoire disponible et qu’il est connecté au réseau. • Si plusieurs ordinateurs ont démarré simultanément, votre réseau a peut-être subi une surcharge. Tentez de démarrer moins d’ordinateurs en même temps. Le serveur n’est pas répertorié dans la liste AppleTalk Mac OS X Server ne gère que les connexions réseau de type AppleTalk vers les serveurs AFP (Apple Filing Protocol), tels que le serveur Gestionnaire Macintosh. Pour vous connecter à des serveurs AFP, réglez vos ordinateurs clients, afin qu’ils se connectent via TCP/IP. Le Gestionnaire Macintosh peut cependant recourir à AppleTalk pour rechercher des services. Si votre réseau comporte des zones AppleTalk, les utilisateurs d’ordinateurs Mac OS 8 peuvent sélectionner la zone hébergeant le serveur. Sur les ordinateurs Mac OS 9, utilisez l’Explorateur réseau pour vous assurer que vous êtes bien connecté au serveur. L’ordinateur de l’utilisateur s’arrête de façon intempestive Si le logiciel système de l’ordinateur est antérieur à Mac OS 9, assurez-vous que le partage de fichiers est désactivé. Les utilisateurs ne peuvent pas accéder à leur répertoire de départ Un message peut être affiché aux utilisateurs lorsque leur répertoire de départ reste introuvable au moment de leur connexion. Dans le Gestionnaire de groupe de travail, assurez-vous que le répertoire de départ de l’utilisateur existe et qu’il dispose de réglages d’autorisations satisfaisants. Vérifiez ensuite que le serveur contenant le répertoire de départ de l’utilisateur est connecté. Les utilisateurs ne peuvent pas accéder aux fichiers partagés Les dossiers partagés des groupes de travail sont en général situés sur le même volume de serveur. Toutefois, si vous stockez des documents de groupes de travail sur plusieurs volumes, certains utilisateurs risquent de ne pas pouvoir accéder aux documents partagés sans changer de groupe de travail. Si l’utilisateur est membre de plusieurs groupes et que les documents des groupes sont stockés sur plusieurs serveurs, assurez-vous que l’utilisateur dispose de la dernière version d’AppleShare. Lorsqu’un ordinateur client Gestionnaire Macintosh est connecté à un serveur qui utilise Mac OS X version 10.2, les utilisateurs ne peuvent pas accéder aux dossiers partagés, tels que le Dossier Groupes ou le dossier Documents partagés situés sur ce serveur.Chapitre 11 Résolution des problèmes 255 Pour être sûr que les utilisateurs peuvent accéder à ces dossiers partagés, stockez-les sur un autre serveur. Les documents partagés des groupes de travail n’apparaissent dans l’environnement Tableaux Si vous avez créé un volume de données pour les groupes de travail, mais que les utilisateurs du groupe Tableaux ne sont pas en mesure de les visualiser, vérifiez que le volume de données pour les groupes de travail contient des dossiers de documents partagés. Assurez-vous également que l’emplacement du dossier Utilisateurs n’a pas changé. Ce dossier est en général situé au premier niveau du volume de serveur ou du volume de données pour les groupes de travail. Les applications fonctionnent mal ou ne s’ouvrent pas Certaines applications modifient ou créent des fichiers spéciaux ailleurs que dans le dossier Préférences du Dossier Système. Si vous appliquez la sécurité au niveau des fichiers à un groupe de travail, certaines applications plus anciennes risquent de ne pas fonctionner correctement ou de générer des erreurs. Pour plus de détails, consultez la rubrique “Protection des fichiers contre les tentatives de modification par des applications” à la page 212. Vous pouvez créer un dossier appelé Autres applications dans lequel vous placerez le dossier Applications (et la totalité de son contenu).Le dossier Autres applications• doit être situé dans le dossier Applications de l’ordinateur client. Si cet ordinateur fonctionne sous Mac OS 9.1 ou une version ultérieure, le dossier Applications est appelé Applications (Mac OS 9). Les utilisateurs ne peuvent pas effectuer des opérations de glisser-déposer entre les applications Dans la plupart des cas, le Gestionnaire Macintosh n’autorise pas la fonction glisserdéposer. Pour contourner le problème, utilisez les commandes Copier et Coller. Les utilisateurs ne peuvent pas ouvrir des fichiers à partir d’une page Web Les navigateurs Web dépendent parfois d’utilitaires pour ouvrir les fichiers qu’ils ne peuvent traiter directement (comme les fichiers multimédias ou PDF). 1 Dans le Gestionnaire Macintosh, cliquez sur Ordinateurs, puis sur Sécurité. 2 Sélectionnez l’option Ouvrir d’autres applications, une aide par exemple. Parfois, l’application attendue par les utilisateurs ne s’ouvre pas Si une application inattendue est lancée lorsque l’utilisateur tente d’ouvrir un document, tentez de reconstruire le bureau de l’ordinateur client. 257 Annexe Importation et exportation d’informations de compte Cette annexe fournit des instructions pour l’importation et l’exportation d’informations de compte. Plusieurs outils, comme le Gestionnaire de groupe de travail et dsimport, sont disponibles pour exporter et importer des comptes. Que pouvez-vous importer ? Vous pouvez importer et exporter des informations de compte à partir d’un fichier de données à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail. Vous pouvez aussi utiliser l’outil dsimport (situé dans /Applications/Server/WorkgroupManager.app/Contents/ Resources) pour importer des informations de compte. Remarque : vous devrez redéfinir le mot de passe des comptes d’utilisateur qui utilisent le serveur de mot de passe. Les attributs de comptes de groupe et d’utilisateur que vous pouvez importer dépendent de la nature du fichier importé : • Fichiers XML créés avec Mac OS X Server version 10.1 ou antérieures • Fichiers XML créés avec AppleShare IP 6.3 • Fichiers délimités par des caractères Vous ne pouvez pas utiliser de fichier d’importation pour modifier les utilisateurs prédéfinis suivants :daemon, root, nobody, unknown ou www, ni pour modifier les groupes prédéfinis suivants :admin, bin, daemon, dialer, mail, network, nobody, nogroup, operator, staff, sys, tty unknown, utmp, uucp, wheel ou www. Vous pouvez toutefois ajouter des utilisateurs aux groupes wheel et admin. Importation et exportation d’informations pour le Gestionnaire Macintosh Pour en savoir plus sur l’importation et l’exportation d’informations pour des utilisateurs et des groupes de clients Mac OS 9, voir le chapitre 10, “Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9”.258 Annexe Importation et exportation d’informations de compte Utilisation du Gestionnaire de groupe de travail pour importer des utilisateurs et des groupes Vous pouvez utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour importer des comptes d’utilisateur et de groupe dans le répertoire LDAP d’un maître Open Directory ou dans un domaine NetInfo. Quand un fichier est importé, le Gestionnaire de groupe de travail identifie automatiquement le format d’enregistrement. Pour importer des comptes à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail : 1 Créez un fichier délimité par des caractères ou XML contenant les comptes à importer, puis placez-le de manière à ce qu’il soit accessible du serveur sur lequel vous utilisez le Gestionnaire de groupe de travail. Le répertoire LDAP d’un maître Open Directory prend en charge jusqu’à 100 000 enregistrements. Pour les bases de données NetInfo locales, veillez à ce que le fichier ne contienne pas plus de 10 000 enregistrements. Pour obtenir des informations sur la création de fichiers à importer, consultez les sections “Utilisation de fichiers XML créés avec Mac OS X Server version 10.1 ou antérieures” à la page 261, “Utilisation de fichiers XML créés avec AppleShare IP 6.3” à la page 262 et “Utilisation de fichiers délimités par des caractères” à la page 263. 2 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur Comptes, puis sur l’icône représentant un globe sous la barre d’outils et ouvrez le domaine de répertoires dans lequel importer des comptes. 3 Cliquez sur le verrou pour vous authentifier en tant qu’administrateur de domaine. 4 Choisissez Importation dans le menu Serveur, puis sélectionnez le fichier d’importation. 5 Sélectionnez l’une des options Gestion des doublons pour spécifier la marche à suivre si le nom abrégé d’un compte en cours d’importation est identique à celui d’un compte existant. L’option Écraser enregistrement existant permet de supprimer tout enregistrement existant dans le domaine de répertoires. L’option Ignorer nouvel enregistrement ignore un compte situé dans le fichier d’importation. L’option Ajouter aux champs vides fusionne les données du fichier d’importation dans le compte existant lorsque les données correspondent à un attribut auquel n’est attribuée aucune valeur. L’option Ajouter à l’enregistrement existant ajoute des données aux données déjà présentes dans le compte attribut particulier à plusieurs valeurs situé dans le compte existant. Il n’y a pas création de doublons. Cette option peut par exemple être utilisée pour importer de nouveaux membres dans un groupe existant. 6 Si vous le souhaitez, sélectionnez un préréglage pendant l’importation. Annexe Importation et exportation d’informations de compte 259 Si un paramètre est spécifié à la fois dans le préréglage et le fichier d’importation, la valeur de ce dernier est utilisée. Si un paramètre est spécifié dans le préréglage seulement, sa valeur est utilisée. 7 Dans le champ ID du premier utilisateur, entrez l’identifiant d’utilisateur à partir duquel commencer l’affectation d’identifiants aux nouveaux comptes d’utilisateur pour lesquels le fichier d’importation ne contient aucun identifiant d’utilisateur. 8 Dans le champ ID du groupe principal, entrez l’identifiant de groupe à affecter aux nouveaux comptes d’utilisateur pour lesquels le fichier d’importation ne contient aucun identifiant de groupe principal. 9 Cliquez sur Importation pour lancer l’opération d’importation. 10 Si vous le souhaitez, utilisez l’outil de ligne de commande createhomedir pour créer des répertoires de départ pour les utilisateurs importés. Consultez le guide d’administration de ligne de commande pour plus d’instructions. Utilisation du Gestionnaire de groupe de travail pour exporter des utilisateurs et des groupes Avec le Gestionnaire de groupe de travail, vous pouvez exporter des comptes d’utilisateur et de groupe à partir du répertoire LDAP d’un maître Open Directory ou d’un domaine NetInfo vers un fichier délimité par des caractères, lequel peut à son tour être importé dans un domaine NetInfo ou LDAP différent. Pour exporter des comptes à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail : 1 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur Comptes, puis sur l’icône représentant un globe sous la barre d’outils et ouvrez le domaine de répertoires à partir duquel exporter des comptes. 2 Cliquez sur le verrou pour vous authentifier en tant qu’administrateur de domaine. 3 Sélectionnez l’onglet de la liste des utilisateurs pour exporter des utilisateurs ou celui de la liste des groupes pour exporter des groupes. 4 Pour exporter l’ensemble des comptes de la liste, sélectionnez-les tous. Pour exporter un compte en particulier, sélectionnez-le. Pour exporter plusieurs comptes, sélectionnez les comptes souhaités tout en maintenant la touche Commande ou Maj enfoncée. 5 Choisissez Exporter dans le menu Serveur. 6 Spécifiez le nom à attribuer au fichier d’exportation ainsi que son emplacement. 7 Cliquez sur Exporter.260 Annexe Importation et exportation d’informations de compte Utilisation de dsimport pour importer des utilisateurs et des groupes Vous pouvez utiliser dsimport pour importer des comptes d’utilisateur et de groupe dans le répertoire LDAP d’un maître Open Directory ou dans un domaine NetInfo. Voici les paramètres acceptés par dsimport lors de l’importation de comptes d’utilisateur et de groupe. Quand ils sont requis, les paramètres sont délimités par des chevrons (< >) et quand ils sont optionnels, par des crochets ([]) : dsimport <-g ou -s ou -p> <-s startingUID> [-r primaryGroupID] [-k keyIndex ...] [-n recNameIndex] [-v] [-T standardRecordType] [-yrnm userName] [-yrpwd password] [-y ipAddress] [-V] [-h] [-err] Pour utiliser dsimport afin d’importer des utilisateurs et des groupes : 1 Créez un fichier délimité par des caractères ou XML contenant les comptes à importer et placez-le dans un emplacement accessible depuis le serveur à partir duquel vous utiliserez l’outil. Le répertoire LDAP d’un maître Open Directory prend en charge jusqu’à 100 000 enregistrements. Pour les bases de données NetInfo locales, veillez à ce que le fichier ne contienne pas plus de 10 000 enregistrements. Pour obtenir des informations sur la création de fichiers à importer, consultez les sections “Utilisation de fichiers XML créés avec Mac OS X Server version 10.1 ou antérieures” à la page 261, “Utilisation de fichiers XML créés avec AppleShare IP 6.3” à la page 262 et “Utilisation de fichiers délimités par des caractères” à la page 263. 2 En tant qu’administrateur de domaine, connectez-vous au serveur ayant accès au domaine de répertoires dans lequel vous souhaitez importer des comptes. 3 Ouvrez l’application Terminal et tapez la commande dsimport. L’outil dsimport est situé dans /Applications/Utilities/Workgroup Manager.app/Contents/Resources. Sachant que le chemin comporte un espace, placez-le entre guillemets. Par exemple : /Applications/Utilities/Workgroup Manager.app/Contents/Resources/ dsimport -h 4 Si vous le souhaitez, utilisez l’outil de ligne de commande createhomedir pour créer des répertoires de départ pour les utilisateurs importés. Consultez le guide d’administration de ligne de commande pour plus d’instructions. Annexe Importation et exportation d’informations de compte 261 Utilisation de fichiers XML créés avec Mac OS X Server version 10.1 ou antérieures Vous pouvez utiliser Admin Serveur pour créer un fichier d’exportation à partir des versions 10.1 ou antérieures de Mac OS X Server, puis importer ce fichier dans le répertoire LDAP d’un maître Open Directory ou dans un domaine NetInfo à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail ou de dsimport. Les attributs d’utilisateurs ci-dessous sont exportés dans ces fichiers XML. Les attributs entre chevrons (<>) sont obligatoires et génèrent un message d’erreur s’ils sont absents lorsque vous utilisez le fichier en tant que fichier d’importation : • indication signalant si un utilisateur peut se connecter • indication signalant si un utilisateur est un administrateur de serveur • • shell • commentaire • et • données de courrier Apple • ara (Apple Remote Access ; cette donnée est ignorée) Les attributs de comptes ci-après peuvent figurer dans ces fichiers XML : • • noms abrégés d’autres membres262 Annexe Importation et exportation d’informations de compte Utilisation de fichiers XML créés avec AppleShare IP 6.3 Vous pouvez utiliser l’application Admin Web et Fichier pour créer un fichier d’exportation sur un serveur AppleShare IP 6.3, puis importer ce fichier dans le répertoire LDAP d’un maître Open Directory ou dans un domaine NetInfo à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail ou de dsimport. Les attributs d’utilisateurs ci-dessous sont exportés dans ces fichiers XML. Les attributs entre chevrons (<>) sont obligatoires et génèrent un message d’erreur s’ils sont absents lorsque vous utilisez le fichier en tant que fichier d’importation : • (associé à un nom complet) • inetAlias (associé à un nom abrégé) • commentaire • indication signalant si un utilisateur peut se connecter • et • données de courrier Apple • indicateur signalant si l’utilisateur est un administrateur de serveur, si le mot de passe a changé et permettant de forcer la modification du mot de passe (ces données sont ignorées). L’outil dsimport génère des ID d’utilisateur lorsque vous importez ce fichier XML, à l’aide du paramètre -s pour déterminer l’ID d’utilisateur de départ et en augmentant de 1 l’ID d’utilisateur de chaque compte importé par la suite. Il génère des ID de groupe principal à l’aide du paramètre -r. Lorsque vous procédez à une importation à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail, les identifiants d’utilisateur et ceux de groupe principal sont générés au moment spécifié dans la boîte de dialogue. Les attributs de comptes ci-après peuvent figurer dans ces fichiers XML : • • noms abrégés d’autres membres dsimport génère des ID de groupe lorsque vous importez ce fichier XML, à l’aide du paramètre -r pour déterminer l’ID de groupe de départ et en augmentant de 1 l’ID de chaque groupe importé par la suite. Lorsque vous procédez à une importation à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail, les identifiants de groupe sont générés à l’aide des informations fournies pour ceux de groupe principal dans la boîte de dialogue d’importation.Annexe Importation et exportation d’informations de compte 263 Utilisation de fichiers délimités par des caractères Vous pouvez créer un fichier délimité par des caractères à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail ou de dsimport, afin d’exporter des comptes vers un fichier dans le répertoire LDAP d’un maître Open Directory ou dans un domaine NetInfo. Vous pouvez également créer un fichier délimité par des caractères soit manuellement, soit en utilisant une application de base de données ou de tableur. Le premier enregistrement du fichier doit être représentatif du format de chaque compte du fichier. Il existe trois options : • Écrire une description d’enregistrement complète. • Utiliser le raccourci StandardUserRecord. • Utiliser le raccourci StandardGroupRecord. Les autres enregistrements du fichier décrivent les comptes d’utilisateur et de groupe, encodés au format décrit par le premier enregistrement. Écriture d’une description d’enregistrement Les descriptions d’enregistrement identifient les champs de chaque enregistrement que vous souhaitez importer à partir d’un fichier délimité par des caractères ; indiquent comment les enregistrements, les champs et les valeurs sont séparées ; et décrit le caractère d’échappement précédent les caractères spéciaux dans un fichier. Encodez la description d’enregistrement à l’aide des éléments suivants dans l’ordre spécifié, en les séparant par un espace : • Indicateur de fin d’enregistrement (en notation hexa) • Caractère d’échappement (en notation hexa) • Séparateur de champ (en notation hexa) • Séparateur de valeur (en notation hexa) • Type de comptes du fichier (DSRecTypeStandard:Users ou DSRecTypeStandard:Groups) • Nombre d’attributs par compte • Liste des attributs La liste des attributs des comptes d’utilisateur doit comprendre les éléments suivants, bien que vous puissiez omettre l’identifiant d’utilisateur et l’identifiant de groupe principal si vous spécifiez respectivement des valeurs de début et par défaut lorsque vous importez le fichier : • RecordName (nom abrégé de l’utilisateur) • Password • UniqueID (l’ID d’utilisateur) • PrimaryGroupID • RealName (nom complet de l’utilisateur) 265 Glossaire Glossaire Ce glossaire définit les termes et les abréviations apparaissant dans l’aide en ligne ou les différents manuels de référence de Mac OS X Server. Les références à des termes définis ailleurs dans ce glossaire apparaissent en italiques. administrateur Utilisateur disposant d’autorisations d’administration de serveur ou de domaine de répertoires. Les administrateurs sont toujours membres du groupe admin prédéfini. adresse IP dynamique Adresse IP attribuée pour une durée limitée ou jusqu’à ce que l’ordinateur client n’en ait plus besoin. adresse IP statique Adresse IP affectée de manière permanente à un ordinateur ou un périphérique. attribut d’autorité d’authentification Valeur qui identifie le système de validation de mot de passe spécifié pour un utilisateur et fournit, si nécessaire, des informations supplémentaires. autorisations Réglages qui définissent le type d’accès aux éléments partagés dont bénéficient les utilisateurs. Vous pouvez attribuer quatre types d’autorisations d’accès à un point de partage, un dossier ou un fichier :lecture/écriture, lecture seule, écriture seule et aucune (pas d’accès). BIND (Berkeley Internet Name Domain) Programme livré avec Mac OS X Server et permettant l’implémentation du service DNS. Ce programme est également appelé daemon lorsqu’il est en cours d’exécution. boîte de dépôt Dossier partagé dont les autorisations permettent à d’autres utilisateurs d’écrire son contenu, mais pas de le lire. Seul le possesseur de la boîte peut y accéder sans restrictions. Les boîtes de remise ne peuvent être créées que via AFP. Lorsqu’un dossier est partagé via AFP, la propriété d’un élément placé dans la boîte est automatiquement transférée au possesseur du dossier qui peut alors y accéder sans restriction et contrôler tous les éléments de la boîte de dépôt. BSD (Berkeley System Distribution) Version d’UNIX sur laquelle repose le logiciel Mac OS X.266 Glossaire cache des préférences Emplacement de stockage servant à héberger les préférences de l’ordinateur et celles des groupes associés. Les préférences mises en mémoire cache vous aident à gérer des comptes d’utilisateur locaux sur des ordinateurs portables. caractère générique Plage de valeurs possibles pour tout segment d’une adresse IP. CGI (Common Gateway Interface) Script ou programme permettant d’ajouter des fonctions dynamiques à un site Web. Un script CGI transmet les informations entre un site Web et une application au service du site. Par exemple, si un utilisateur remplit un formulaire sur le site, un script CGI enverra le message à une application qui traitera les données et renverra une réponse à l’utilisateur. chemin de recherche Voir politique de recherche. client géré Utilisateur, groupe ou ordinateur dont les autorisations d’accès et/ou les préférences sont sous le contrôle d’un administrateur. clients sans système Ordinateurs ne disposant d’aucun système d’exploitation sur leurs disques durs locaux. Les ordinateurs sans système peuvent démarrer à partir d’une image disque installée sur un serveur NetBoot. compte d’ordinateurs Liste d’ordinateurs partageant les mêmes réglages de préférences et accessibles par les mêmes utilisateurs et groupes. comptes prédéfinis Comptes d’utilisateur créés automatiquement lorsque vous installez Mac OS X. Certains comptes de groupe sont également prédéfinis. coupe-feu Logiciel destiné à protéger les applications réseau exécutées sur votre serveur. Le service de coupe-feu IP, qui fait partie du logiciel Mac OS X Server, examine les paquets IP entrants et les refuse ou les accepte en fonction des filtres que vous avez créés. daemon nfsd Processus de serveur NFS fonctionnant continuellement à l’arrière-plan et traite les requêtes de lecture et d’écriture provenant des clients. Plus il y a de daemons disponibles et plus nombreux sont les clients qui peuvent être servis simultanément. délai de bail Période limitée durant laquelle les adresses IP sont affectées. En utilisant des délais courts, le protocole DHCP peut réaffecter des adresses IP sur les réseaux ayant plus d’ordinateurs que d’adresses IP. DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol) Protocole utilisé pour la répartition d’adresses IP entre les ordinateurs clients. Chaque fois qu’un ordinateur client démarre, le protocole recherche un serveur DHCP et demande une adresse IP au serveur DHCP rencontré. Le serveur DHCP cherche une adresse IP disponible et l’envoie à l’ordinateur client, accompagnée d’un délai de bail (période pendant laquelle l’ordinateur client est autorisé à utiliser l’adresse).Glossaire 267 DNS (Domain Name System) Base de données distribuée qui fait correspondre des adresses IP à des noms de domaines. Un serveur DNS, appelé également serveur de noms, conserve une liste des noms et des adresses IP associées à chacun. domaine Voir domaine WebDAV. domaine de répertoire Base de données spécialisée qui stocke des informations de référence sur les utilisateurs et les ressources réseau nécessaires au logiciel système et aux applications. La base de données est optimisée pour gérer de nombreuses requêtes d’informations et trouver et obtenir rapidement ces informations. Le domaine de répertoires peut également être appelé nœud de répertoire ou simplement répertoire. domaine local Domaine de répertoires accessible uniquement à partir de l’ordinateur sur lequel il réside. domaine WebDAV Région d’un site Web, généralement un dossier ou un répertoire, réservée aux utilisateurs et groupes WebDAV. enfant Ordinateur dont les informations de configuration proviennent du domaine de répertoires partagé d’un parent. enregistrement MX (mail exchange) Entrée d’un tableau DNS qui détermine l’ordinateur gérant le courrier pour un domaine Internet. Lorsqu’un serveur de courrier doit remettre des messages à un domaine Internet, il demande l’enregistrement MX du domaine concerné. Le serveur envoie les messages à l’ordinateur spécifié dans l’enregistrement MX. étendue Groupe de services. Une étendue peut consister en regroupements logiques d’ordinateurs, par exemple tous les ordinateurs utilisés par le département de production. Elle peut également consister en regroupements physiques, par exemple tous les ordinateurs situés au premier étage d’un bâtiment. Vous pouvez définir une étendue en tant que partie ou ensemble de votre réseau. exportation Terme NFS (Network File System) désignant le partage. FAI (fournisseur d’accès à Internet) Entreprise qui commercialise l’accès à Internet et fournit généralement un service d’hébergement de sites Web pour le commerce électronique, ainsi que des services de courrier. filtre Méthode de filtrage utilisée pour contrôler l’accès à votre serveur. Un filtre est constitué d’une adresse IP, d’un masque de sous-réseau et parfois d’un numéro de port et d’un type d’accès. L’adresse IP et le masque de sous-réseau déterminent la plage d’adresses IP à laquelle s’applique le filtre.268 Glossaire Finder simplifié Environnement utilisateur comportant tableaux et grandes icônes, ce qui offre aux débutants une interface conviviale et simple. Les volumes ou disques montés auxquels les utilisateurs ont accès apparaissent dans des tableaux plutôt que sur le bureau standard. FTP (File Transfer Protocol) Protocole permettant aux ordinateurs de transférer des fichiers sur un réseau. Les clients FTP dont le système d’exploitation gère le protocole FTP peuvent se connecter à un serveur de fichiers et télécharger des fichiers, en fonction des autorisations d’accès dont ils bénéficient. La plupart des navigateurs Internet et bon nombre d’applications gratuites peuvent être utilisés pour accéder à un serveur FTP. groupe Ensemble d’utilisateurs ayant les mêmes besoins. Les groupes simplifient l’administration des ressources partagées. groupe de travail Ensemble d’utilisateurs pour lesquels vous définissez des préférences et des autorisations de groupe. Toutes les préférences que vous définissez pour un groupe sont stockées dans son compte de groupe. groupe principal Groupe par défaut d’un utilisateur. Le système de fichiers utilise l’identifiant du groupe principal lorsqu’un utilisateur accède à un fichier dont il n’est pas le possesseur. hiérarchie de domaine de répertoires Mode d’organisation des domaines de répertoires partagés et locaux. Une hiérarchie possède une structure arborescente inversée, le domaine racine (root) étant placé en haut et les domaines locaux en bas. hôte de courrier Ordinateur qui fournit le service de courrier. HTML (Hypertext Markup Language) Ensemble de symboles ou de codes insérés dans un fichier à afficher par un navigateur Web. Le balisage indique au navigateur Web comment afficher les mots et images d’une page Web pour l’utilisateur. HTTP (Hypertext Transfer Protocol) Protocole client/serveur du World Wide Web. Le protocole HTTP permet au navigateur Web d’accéder à un serveur Web et de faire des requêtes de documents hypermédias créés en HTML. IANA (Internet Assigned Numbers Authority) Organisation chargée d’attribuer des adresses IP et des paramètres de protocole, ainsi que de gérer des noms de domaines. ICMP (Internet Control Message Protocol) Protocole dédié au contrôle des messages et à la génération de rapports d’erreurs, utilisé entre serveurs hôtes et passerelles. Par exemple, certaines applications Internet utilisent le protocole ICMP pour envoyer un paquet en aller-retour entre deux hôtes, déterminer ainsi la durée requise par le trajet et découvrir ainsi d’éventuels problèmes sur le réseau. identifiant de groupe principal Nombre unique identifiant un groupe principal.Glossaire 269 IGMP (Internet Group Management Protocol) Protocole Internet utilisé par les hôtes et les routeurs pour envoyer des paquets à des listes d’hôtes volontaires, dans le cadre d’un processus appelé multidiffusion. Le Serveur Enchaînement QuickTime (QTSS) utilise l’adressage multidiffusion, de même que le protocole SLP (Service Location Protocol). image disque Une fois ouvert (à l’aide de l’utilitaire Images disques), fichier qui crée sur un bureau Mac OS une icône dont la présentation et le comportement sont similaires à ceux d’un véritable disque ou volume. Les ordinateurs clients peuvent, à l’aide de NetBoot, démarrer via le réseau à partir d’une image disque basée sur un serveur et contenant un logiciel système. image fantôme Fichier invisible pour les applications et le logiciel système et utilisé par NetBoot pour écrire des informations sur le système lorsqu’un ordinateur client fonctionne à partir d’une image disque système située sur un serveur. IMAP (Internet Message Access Protocol) Protocole de messagerie client/serveur qui permet aux utilisateurs de stocker leurs messages sur le serveur de messagerie plutôt que de les télécharger sur un ordinateur local. Le courrier demeure sur le serveur jusqu’à ce que l’utilisateur décide de l’effacer. installation en réseau Procédure d’installation de systèmes et de logiciels sur des ordinateurs clients Mac OS X via un réseau. L’installation de logiciels peut être effectuée sous la supervision d’un administrateur ou sans aucune surveillance. IP (Internet Protocol) Également connu sous le nom IPv4. Méthode utilisée conjointement avec le protocole TCP (Transmission Control Protocol) pour envoyer des données d’un ordinateur à un autre via un réseau local ou via Internet. Le protocole IP envoie des paquets de données, alors que le protocole TCP se charge de leur suivi. LDAP (Lightweight Directory Access Protocol) Protocole client/serveur standard pour accéder à un domaine de répertoires. LPR (Line Printer Remote) Protocole standard d’impression via TCP/IP. MBONE (multicast backbone) Réseau virtuel gérant la multidiffusion IP. Un réseau MBONE utilise le même support physique qu’Internet, sauf qu’il est conçu pour réassembler les paquets de données de multidiffusion afin qu’ils s’apparentent à des paquets de données de diffusion individuelle. MIBS (management information bases) Bases de données virtuelles permettant de contrôler plusieurs périphériques à l’aide d’applications SNMP.270 Glossaire MIME (Multipurpose Internet Mail Extension) Standard Internet utilisé pour indiquer ce qui doit se passer lorsqu’un navigateur Web envoie une requête concernant un fichier répondant à certaines caractéristiques. Le suffixe d’un fichier désigne le type dont il s’agit. Vous pouvez déterminer le mode de réponse adoptée par le serveur lorsqu’il reçoit des fichiers dotés de certains suffixes. Chaque suffixe et la réponse qui lui correspond constituent une association de type MIME. MTA (agent de transfert de courrier) Service de courrier qui envoie le courrier sortant, reçoit celui entrant à l’attention des destinataires locaux et fait suivre le courrier entrant des destinataires non locaux vers d’autres MTA. multi-adressage Capacité à gérer plusieurs connexions réseau. Lorsque plusieurs connexions sont disponibles, Mac OS X sélectionne celle adéquate en fonction de l’ordre spécifié dans les préférences de réseau. NetBIOS (Network Basic Input/Output System) Programme permettant aux applications situées sur différents ordinateurs de communiquer au sein d’un réseau local. NetInfo L’un des protocoles Apple pour accéder à un domaine de répertoires. nœud de répertoire Voir domaine de répertoires. nom abrégé Abréviation du nom d’un utilisateur. Le nom abrégé est utilisé par Mac OS X pour les répertoires de départ, l’authentification et les adresses électroniques. nom canonique Nom “réel” d’un serveur, si vous lui avez attribué un “surnom” ou un alias. Le serveur courrier.apple.com, par exemple, peut avoir comme nom canonique SrvCourrier473.apple.com. nom complet Voir nom d’utilisateur. nom d’utilisateur Nom complet d’un utilisateur, appelé parfois nom réel. Voir également nom abrégé. NSL (Network Service Locator) Technologie Apple qui simplifie la recherche de ressources réseau TCP/IP. Open Directory Architecture des services de répertoires Apple qui peut accéder à des informations de référence sur les utilisateurs et les ressources réseau à partir de domaines de répertoires utilisant les protocoles LDAP, NetInfo, ou Active Directory, les fichiers de configuration BSD et les services réseau. ORBS (Open Relay Behavior-modification System) Service Internet qui répertorie dans une liste noire les serveurs connus pour être des relais ouverts ou supposés comme tels pour les expéditeurs de courrier indésirable. Les serveurs ORBS sont également appelés serveurs “trou noir”.Glossaire 271 ordinateur administrateur Ordinateur Mac OS X sur lequel vous avez installé les applications d’administration serveur situées sur le CD Admin Serveur Mac OS X. ordinateur invité Ordinateur inconnu ne figurant sur aucun compte d’ordinateur de votre serveur. parent Ordinateur dont le domaine de répertoires partagé fournit des informations de configuration à un autre ordinateur. PHP (PHP :Hypertext Preprocessor) Langage de script incorporé au langage HTML et utilisé pour créer des pages Web dynamiques. point de partage Dossier, disque dur (ou partition de disque dur) ou CD accessible via le réseau. Un point de partage constitue le point d’accès situé au premier niveau d’un groupe d’éléments partagés. Les points de partage peuvent être partagés à l’aide des protocoles AFP, Windows SMB, NFS (exportation) ou FTP. point de relais Voir relais ouvert. politique de recherche Liste des domaines de répertoires parmi lesquels un ordinateur Mac OS X effectue ses recherches lorsqu’il a besoin d’informations de configuration. Désigne également l’ordre dans lequel les domaines sont parcourus. Parfois appelé chemin de recherche. POP (Post Office Protocol) Protocole destiné à récupérer le courrier entrant. Une fois qu’un utilisateur a récupéré son courrier POP, ce dernier est stocké sur son ordinateur et généralement supprimé automatiquement du serveur de courrier. possesseur Personne qui a créé un fichier ou un dossier et qui, dès lors, peut attribuer aux autres utilisateurs des autorisations d’accès à ces éléments. Le possesseur d’un élément dispose automatiquement des autorisations de lecture/écriture pour cet élément. Il peut également en transférer la propriété à un autre utilisateur. préférences gérées Préférences système ou d’applications sous le contrôle d’un administrateur. Le Gestionnaire de groupe de travail permet aux administrateurs de contrôler les réglages de certaines préférences système pour les clients gérés Mac OS X. Le Gestionnaire Macintosh permet aux administrateurs de contrôler à la fois les préférences système et celles d’applications pour des clients gérés Mac OS 9 et Mac OS 8. préréglages Attributs d’origine par défaut que vous spécifiez pour les nouveaux comptes créés à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail. Les préréglages ne peuvent être utilisés que lors de la création d’un compte. protocole AFP (Apple Filing Protocol) Protocole client/serveur utilisé par le service de fichiers Apple sur les ordinateurs Macintosh et compatibles pour partager des fichiers et des services en réseau. Ce protocole utilise TCP/IP et d’autres protocoles pour les communications entre ordinateurs en réseau.272 Glossaire QTSS (Serveur Enchaînement QuickTime) Technologie permettant de diffuser des données en temps réel sur Internet. relais ouvert Serveur recevant et transférant automatiquement le courrier vers un autre serveur. Les expéditeurs de courrier indésirable exploitent les serveurs de relais ouvert afin d’éviter que leurs propres serveurs de courrier ne figurent sur une liste noire comme sources de spam. Rendezvous Protocole développé par Apple pour la détection automatique d’ordinateurs, de périphériques et de services sur des réseaux IP. Ce protocole standard proposé pour Internet est parfois nommé ZeroConf ou DNS multi-diffusion. Pour plus d’informations, visitez les sites www.apple.com ou www.zeroconf.org répartition de la charge Procédure de répartition entre plusieurs serveurs des demandes de services réseau provenant d’ordinateurs clients, ce qui permet d’optimiser les performances en utilisant la capacité de tous les serveurs disponibles. répertoire de départ Dossier destiné à l’usage personnel d’un utilisateur. Mac OS X utilise également le répertoire de départ pour stocker par exemple des préférences système et des réglages d’utilisateur gérés pour les utilisateurs Mac OS X. répertoire de départ local Répertoire de départ qui réside sur le disque de l’ordinateur auquel est connecté un utilisateur. Pour pouvoir y accéder, l’utilisateur doit directement ouvrir une session sur l’ordinateur sur lequel ce répertoire réside, plutôt que de se connecter à l’aide de SSH. répertoire de groupe Répertoire servant à organiser les documents et les applications d’un intérêt particulier pour les membres d’un groupe et leur permettant d’échanger des informations. ROM de démarrage Instructions de niveau inférieur utilisées par un ordinateur au cours des premières étapes du démarrage. RTP (Real-Time Transport Protocol) Protocole de transport réseau de bout en bout adapté aux applications qui transmettent des données en temps réel (audio, vidéo ou simulation) par l’intermédiaire de services réseau en multi ou monodiffusion. RTSP (Real Time Streaming Protocol) Protocole de niveau applicatif servant à contrôler la transmission des données ayant des propriétés de temps réel. Ce protocole RTSP propose une structure extensible qui permet de transmettre les données en temps réel sous contrôle et sur demande, des données audio ou vidéo par exemple. Les sources de données peuvent inclure aussi bien des données en direct que des clips enregistrés. SDP (Session Description Protocol) Fichier texte utilisé avec un serveur d’enchaînement QuickTime pour fournir des informations sur le format, la synchronisation et la paternité d’une diffusion en direct, ainsi qu’indiquer à l’utilisateur comment effectuer la syntonisation. Glossaire 273 serveur de noms Voir DNS (Domain Name System). serveur NetBoot Serveur Mac OS X sur lequel vous avez installé le logiciel NetBoot et choisi une configuration autorisant les clients à démarrer à partir d’images disques situées sur le serveur. serveur proxy Serveur placé entre une application cliente, telle qu’un navigateur Web, et un serveur réel. Le serveur proxy intercepte toutes les requêtes destinées au serveur réel pour vérifier s’il ne peut y répondre lui-même. Si tel n’est pas le cas, il fait suivre la requête au serveur réel. service NFS (Network File System) Protocole client/serveur utilisant TCP/IP pour permettre aux utilisateurs distants d’accéder à des fichiers comme s’ils se trouvaient sur leur disque. Le service NFS exporte les volumes partagés vers les ordinateurs en fonction de l’adresse IP au lieu du nom et du mot de passe de l’utilisateur. services de répertoire Services fournissant au logiciel système et aux applications un accès uniforme aux domaines de répertoires et autres sources d’informations sur les utilisateurs et les ressources. SLP (Service Location Protocol) DA (Directory Agent) Protocole utilisé pour répertorier les services disponibles sur un réseau et permettre aux utilisateurs d’y accéder facilement. Lorsqu’un service est ajouté au réseau, il utilise le protocole SLP pour s’y enregistrer. SLP/DA conserve les services réseau enregistrés dans un référentiel centralisé. SMB (Server Message Block) Protocole permettant à des ordinateurs clients d’accéder à des fichiers et à des services de réseau. Il peut être utilisé via TCP/IP, Internet ou d’autres protocoles. Les services Windows utilisent le protocole SMB pour fournir l’accès aux serveurs, imprimantes et autres ressources réseau. SMTP (Simple Mail Transfer Protocol) Protocole utilisé pour envoyer et transférer le courrier. Comme sa capacité à placer les messages entrants en file d’attente est limitée, il n’est généralement utilisé que pour envoyer des messages, POP ou IMAP servant à les recevoir. SNMP (Simple Network Management Protocol) Ensemble de protocoles standard utilisés pour gérer et contrôler des périphériques réseau sur plusieurs plates-formes. sous-réseau Regroupement d’ordinateurs clients faisant partie du même réseau, structuré en fonction de l’emplacement physique (les différents étages d’un bâtiment, par exemple) ou de l’utilisation (tous les élèves d’une même classe par exemple). L’utilisation de sous-réseaux simplifie les tâches d’administration. spam Courrier non sollicité ; courrier indésirable.274 Glossaire SSL (Secure Sockets Layer) Protocole Internet permettant d’envoyer sur Internet des informations cryptées et authentifiées. TCP (Transmission Control Protocol) Méthode utilisée avec le protocole IP (Internet Protocol) pour envoyer, via Internet, des données sous forme d’unités de messages entre ordinateurs. Le protocole IP se charge de gérer le transfert des données, alors que TCP effectue le suivi individuel des unités de données (paquets). Chaque message est fractionné afin d’assurer un routage efficace à travers Internet. Tomcat Implémentation de référence officielle de Java Servlet 2.2 et JavaServer Pages 1.1, deux technologies complémentaires développées dans le cadre du programme Java Community Process. tous Tout utilisateur pouvant se connecter à un serveur de fichiers : utilisateur référencé ou invité, utilisateur FTP anonyme ou visiteur d’un site Web. TTL (time-to-live) Durée spécifiée pendant laquelle les informations DNS sont stockées en cache. Lorsqu’une paire nom de domaine/adresse IP se trouve en cache depuis plus longtemps que la durée TTL spécifiée, l’entrée est supprimée du cache du serveur de noms (mais pas du serveur DNS principal). UDP (User Datagram Protocol) Méthode de communication utilisant le protocole IP pour envoyer une unité de données (datagramme) d’un ordinateur à un autre sur un réseau. Les applications réseau devant échanger de toutes petites unités de données peuvent utiliser le protocole UDP à la place de TCP. UID (identifiant d’utilisateur) Nombre permettant d’identifier un utilisateur de manière unique. Les ordinateurs Mac OS X utilisent des identifiants d’utilisateurs pour contrôler l’appartenance de répertoires et de fichiers à un utilisateur. Unicode Standard affectant un nombre unique à chaque caractère, sans tenir compte de la langue ou du système d’exploitation utilisé pour afficher la langue. URL (Uniform Resource Locator) Adresse d’un ordinateur, d’un fichier ou d’une ressource accessible sur un réseau local ou sur Internet. L’adresse URL se compose du nom du protocole utilisé pour accéder à la ressource, de celui de domaine qui identifie un ordinateur spécifique sur Internet et de la description hiérarchique de l’emplacement du fichier sur l’ordinateur. USB (Universal Serial Bus) Standard de communication entre un ordinateur et des périphériques externes utilisant un câble de connexion directe bon marché. utilisateur inactif Utilisateur connecté au serveur, mais qui n’en sollicite plus le volume depuis un certain de temps. utilisateur invité Utilisateur pouvant se connecter à votre serveur sans fournir de nom et de mot de passe.Glossaire 275 utilisateur virtuel Autre adresse électronique (nom abrégé) d’un utilisateur. Similaire à un alias, mais implique la création d’un autre compte d’utilisateur. VPN (Virtual Private Network) Réseau privé virtuel utilisant le cryptage et d’autres technologies pour fournir des communications sécurisées sur un réseau public, en général Internet. Ces réseaux sont généralement moins onéreux que de vrais réseaux privés qui recourent à des lignes privées, mais ils requièrent le même système de cryptage aux deux extrémités de la ligne. Le cryptage peut être réalisé par des logiciels coupe-feu ou par des routeurs. WebDAV (Web-based Distributed Authoring and Versioning) Environnement de création en direct permettant aux clients d’extraire des pages Web d’un site, de les modifier, puis de les replacer sans que le site ne cesse de fonctionner. WINS (Windows Internet Naming Service) Service de résolution de noms utilisé par les ordinateurs Windows pour faire correspondre les noms des clients avec des adresses IP. Un serveur WINS peut se trouver soit sur le réseau local, soit sur Internet.277 Index Index A administrateur de groupes de travail 203 administrateur Gestionnaire Macintosh création d’un compte 202 modification du mot de passe 203 administrateurs de serveurs utilisation de comptes du Gestionnaire Macintosh 202 AFP (Apple Filing Protocol) configuration de points de partage avec 116 aide 16 aide en ligne 16 Apple Filing Protocol (AFP) Gestionnaire Macintosh 218 authentification résolution de problèmes 246 autorisations d’accès à des dossiers 216 C cache des préférence comment la vider 130 cache des préférences mise à jour 129 captures d’écran 213 compte d’utilisateur invité, Mac OS 9 et 8 199 comptes gestion des préférences, Mac OS X 128 comptes d’utilisateur importation dans le Gestionnaire Macintosh 195 Mac OS 9 et 8 189 compte Tous les autres ordinateurs 199, 226 compte Tous les autres utilisateurs 199, 200 connexion résolution de problèmes 246, 248 D dépannage utilisateurs et groupes 245 dossier Préférences gérées 240 dossier Préférences forcées 242 dossier Préférences initiales 241 dossier Préférences initiales, exceptions 242 dossiers de groupe dans un nouveau point de partage 92 dans un point de partage existant 91 dans un sous-dossier d’un point de partage 94 option pas de dossier de groupe 90 dsimportexport importation d’utilisateurs et de groupes 260 paramètres d’importation 260 E exportation d’un point de partage NFS 117 extension MMLocalPrefs 191 G gestion des clients, Mac OS 9 et 8 Voir aussi Gestionnaire Macintosh accès aux supports de données 240 accès en invité 198 à propos 179 autorisations d’accès 212 avantages de la 182 configuration de l’impression 219 configuration de listes d’ordinateurs 225 configuration des éléments pour les rendre accessibles aux utilisateurs 209, 211 configuration des groupes de travail 206, 207, 209 configuration requise pour l’ordinateur de l’administrateur 183 configuration requise pour les ordinateurs clients 182 dossier Préférences gérées 240 gestion des ordinateurs portables 236 impression 221 informations supplémentaires 244 mise à niveau 180 montage de volumes 218 partage d’informations 215, 216 programme 182 réglage de l’ordinateur administrateur 184 réglage des autorisations d’accès 213 réglage des options de connexion 235 réglage des ordinateurs clients Mac OS 9 184278 Index réglages des applications 232 résolution des problèmes 252–255 stratégies de transition 180 utilisation côté utilisateur 180 utilisation de logiciels de mise à jour 185 utilisation de Netboot 192 vue d’ensemble de la configuration 192 gestion des clients, Mac OS X Voir également Gestionnaire de groupe de travail résolution des problèmes 249–252 gestion de serveur informations supplémentaires 18 gestion des préférences, Mac OS 9 et 8 240 gestion des préférences, Mac OS X à propos de la 123 désactivation 132 icône d’indication 128 modification de plusieurs enregistrements 132 options 124 préférences Accès aux données 166 préférences Accès universel 174 préférences Autres données d’Accès aux données 166 préférences avancées de Classic 136 préférences Classic 136 préférences d’applications 133 préférences d’impression 170 préférences d’ordinateur 132 préférences d’ouverture de session 159 préférences d’utilisateur 130 préférences de groupe 131 préférences de l’Économiseur d’énergie 144 préférences du Dock 141 préférences du Finder 149 préférences Internet 157 réglages Classic 138 réglages Commandes du Finder 149 réglages d’affichage du Dock 141 réglages d’impression Liste d’imprimantes 170 réglages de courrier électronique via Internet 157 réglages des éléments du Dock 141 réglages Disques de données d’Accès aux données 166 réglages Éléments d’ouverture 159 réglages Options de connexion 159 réglages Présentations du Finder 149 réglages Web Internet 158 Gestionnaire de groupe de travail affichage d’un indice de mot de passe 161, 162 affichage de l’état de la batterie 147, 148 affichage des extensions de fichiers 150 ajout d’éléments du Dock 143, 164, 165 applications approuvées 134 autorisation d’accéder aux CD et DVD 166 autorisation d’actions spéciales lors du démarrage 139 autorisation de contrôle du Dock par les utilisateurs 144 autorisation de graver des CD et des DVD 167 autorisation de l’accès aux applications locales 134 autorisation de l’accès aux Préférences Système 173 configuration d’un point de partage AFP 116 configuration d’un point de partage NFS 117 création d’un dossier de groupe 90 création d’une liste d’imprimantes 170 démarrage de Classic à l’ouverture de session 137 désactivation de la gestion des préférences 133 désignation de l’imprimante par défaut 172 éjection des disques à la fermeture de session 169 exportation d’utilisateurs et de groupes dans 259 gestion de la suspension d’activité de Classic 140, 141 gestion des préférences d’ordinateur 132 gestion des préférences d’utilisateur 130 gestion des préférences de courrier électronique 157 gestion des préférences de groupe 131 gestion des préférences Web 158 importation d’utilisateurs et de groupes dans 258 interdiction de l’accès aux tableaux de bord 139 lancement d’applications à l’ouverture de session 164 masquage d’icônes de disque et de serveur 149 masquage de la commande Accéder à _iDisk 152 masquage de la commande Accéder au dossier 153 masquage de la commande Éjecter 154 masquage de la commande Graver le disque 154 masquage de la commande Se connecter au serveur 153 masquage des boutons Redémarrer et Éteindre à l’ouverture de session 163 masquage des commandes Redémarrer et Éteindre 155 masquage du message d’avertissement de la corbeille 152 mise à jour de la mémoire cache des préférences gérées 129 préférences système et 127 réglage de l’affichage des fenêtres du Finder 150 réglage de l’apparence du bureau 155 réglage de l’apparence du Dock 142 réglage de la fenêtre d’ouverture de session 160 réglage des présentations d’ordinateur et des présentations par défaut 156 résolution des problèmes 245 restriction de l’accès au disque dur 168 restriction de l’accès aux imprimantes 172Index 279 restriction de l’apport de modifications à la liste d’imprimantes 171 restriction de l’impression par connexion directe 171 spécification d’un Dossier Système Classic 138 utilisation des réglages de suspension d’activité 145, 146 utilitaires approuvés 135, 136 Gestionnaire Macintosh accès aux ordinateurs 228 accès aux supports de données 231, 240 accès d’utilisateur Mac OS X 198 accès des administrateurs aux comptes d’utilisateur 239 application d’aide 232 à propos 201 à propos de 179 autorisation d’accéder au système 205 autorisation d’accéder aux supports de données 214 autorisation d’effectuer des captures d’écran 213 autorisation de connexions multiples 204 autorisations d’accès 214 autorisations d’accès à des dossiers 216 base de données services de répertoires 189 changement de script de langue 186 choix de la langue 185 compte Tous les autres ordinateurs 226 configuration 192 configuration de comptes d’administrateur 203 configuration des groupes de travail 206, 207 configuration du compte Tous les autres utilisateurs 200 connexion de l’administrateur 194 création d’adresses électroniques 230 création de comptes d’administrateur 202 création de raccourcis 209 déconnexion automatique d’ordinateurs 228 désactivation de l’ouverture de session sur un ordinateur 227 désactivation des extensions 234 documents de groupe 216 dossier de remise 217 dossier Éléments multi-utilisateurs 187, 188 dossiers partagés 215 duplication des groupes de travail 208 éléments approuvés 214 emprunt d’ordinateurs 191, 236 environnements de bureau 207 extension MMLocalPrefs 191 fermeture automatique de l’application d’administration 238 fermeture forcée des applications 234 gestion des préférences 191 importation d’informations sur des utilisateurs à partir d’un fichier texte 198 importation de comptes d’utilisateur 195 impression 188 imprimante d’accès au système 221 imprimantes de groupe de travail 219 informations supplémentaires 244 installation du logiciel d’administration 183 liste des disques disponibles 240 listes d’ordinateurs 225 localisation d’utilisateurs 198 logiciels de mise à jour 185 message de connexion 225, 235 modèle de compte d’utilisateur 196 modèle de groupe de travail 208 modification de l’accès au menu 215 modification des groupes de travail 209 modification du mot de passe d’administrateur 203 modifications interdites des mots de passe d’utilisateur 239 montage automatique de volumes 218 Netboot et 192 nommage de disques durs 229 ouverture d’éléments au démarrage 223 personnalisation des panneaux de groupes de travail 235 personnalisation des rapports 238 point de partage pour 187 protection des dossiers 212 protection du bureau 212 quotas d’impression 221 réglage de la déconnexion en cas d’inactivité 230 réglage des accès aux supports de données 213 réglage des préférences 195 réglage des quotas de stockage 206 réglages d’éléments 209 réglages d’utilisateur, avancés 205 réglages d’utilisateur, élémentaires 204 réglages des autorisations 212 réglages de sécurité des ordinateurs 230 réglages des groupes de travail 228 réglages des options 222 réglages du mode de connexion 235 réglages globaux 238 réglages globaux relatifs aux CD-ROM 240 répertoires de départ 181, 190 résolution des problèmes 252–255 restreindre l’accès à une imprimante 220 sécurité 186, 238 service sans fil 237 stockage des informations sur les utilisateurs 190 stockage des préférences 191 synchronisation d’horloges 229 synchronisation d’une base de données d’utilisateur 206 travail des utilisateurs hors-ligne 233 utilisateurs locaux et 236280 Index utilisation de comptes d’administrateur de serveurs 202 utilisation du Serveur de mot de passe 239 vérification automatique du courrier 225 vérification Kerberos 239 visualisation de rapports 238 gestions des clients, Mac OS X gestion des préférences 128 groupe de travail Finder 207 groupe de travail Finder restreint 207 groupes de travail Voir aussi Gestionnaire Macintosh Mac OS 9 et OS 8 206 groupes de travail Tableaux 207 I importation et exportation à partir du Gestionnaire de groupe de travail 259 avec le Gestionnaire de groupe de travail 258 création de fichiers délimités par des caractères 263 création de fichiers XML à l’aide d’Admin Serveur 261 création de fichiers XML à l’aide d’AppleShare IP 262 formats de fichier pris en charge 257 imprimante d’accès au système 221 K Kerberos Gestionnaire Macintosh 239 résolution des problèmes 248 L liste d’ordinateurs, Mac OS 9 et 8 194 listes des ordinateurs, Mac OS 9 et 8 Voir aussi Gestionnaire Macintosh M Macintosh Manager réglage de la sécurité au niveau fichier 212 Mac OS X Server informations supplémentaires 18 ressources 18 N NetBoot nom de disque dur 229 NFS (Network File System) configuration de points de partage avec 117 O ordinateurs portables, Mac OS 9 et 8 236 service sans fil 237 P préférences d’ordinateur gestion, Mac OS X 132 préférences d’utilisateur gestion, Mac OS X 130 préférences de groupe gestion, Mac OS X 131 préférences gérées Voir gestion des préférences Q quotas d’impression réglages pour les clients Mac OS 9 et 8 221 R rapports Gestionnaire Macintosh 238 répertoires de départ configuration 107 dans un point de partage AFP 116 dans un point de partage NFS 117 déplacement 120 Gestionnaire Macintosh et 190 personnalisation 113 réglages de quotas de disque des 119 répartition sur plusieurs serveurs 108 réseau 111 résolution des problèmes 248 spécification d’aucun répertoire de départ 109 suppression 120 Windows 108 réseaux gestion des ressources 18 ressources gestion de réseau 18 Mac OS X Server 18 serveur Web Apache 18 S sécurité Gestionnaire Macintosh 186 serveur de mot de passe résolution des problèmes 245, 246 utilisation avec le Gestionnaire Macintosh 239 serveurs serveur Web Apache 18 serveurs Web serveur Web Apache 18 serveur Web Apache ressources 18 service de fichiers Apple changement de la langue 186 sites Web serveur Web Apache 18Index 281 U utilisateurs et groupes résolution des problèmes 245 utilisation côté utilisateur bureau Mac OS 9 et 8 207 AirPort Extreme Guide de configuration2 Table des matières 3 Chapitre 1 : Premiers contacts 11 Chapitre 2 : Réseaux AirPort Extreme 12 Utilisation de l’AirPort Extreme avec votre service Internet à haut débit 14 Utilisation de l’AirPort Extreme pour partager une imprimante USB 16 Utilisation de l’AirPort Extreme pour partager un disque dur USB 18 Utilisation de l’AirPort Extreme avec votre réseau AirPort 20 Chapitre 3 : Configuration de l’AirPort Extreme 26 Chapitre 4 : Astuces et dépannage 32 Chapitre 5 : En savoir plus, service après-vente et support 34 Annexe : Spécifications de l’AirPort Extreme1 3 1 Premiers contacts Félicitations pour l’achat de votre AirPort Extreme. Lisez ce guide pour commencer à l’utiliser. L’AirPort Extreme repose sur la spécification 802.11n de l’IEEE (Institute of Electrical and Electronics Engineers). Elle offre de meilleures performances et une plus grande portée que les normes IEEE 802.11 précédentes. L’AirPort Extreme est compatible avec les ordinateurs utilisant les normes 802.11b et 802.11g et avec ceux utilisant la norme sans fil 802.11. Avec l’AirPort Extreme, vous pouvez :  Créer un réseau sans fil chez vous puis vous connecter à Internet et partager la connexion avec plusieurs ordinateurs en même temps. Tous les membres d’une famille ou toutes les personnes d’un bureau peuvent, de cette manière, se connecter en même temps à Internet.  Connecter l’AirPort Extreme à votre réseau Ethernet. Les ordinateurs Macintosh ou Windows XP sans fil peuvent alors accéder à un réseau complet sans connexion câblée.  Connecter une imprimante USB à votre AirPort Extreme. Tous les ordinateurs compatibles du réseau AirPort, qu’ils soient avec ou sans fil, peuvent imprimer sur cette imprimante.4 Chapitre 1 Premiers contacts  Connecter un disque dur USB à votre AirPort Extreme. Tous les ordinateurs compatibles du réseau AirPort, qu’ils soient avec ou sans fil, peuvent accéder aux informations du disque dur.  Connecter un concentrateur USB à votre AirPort Extreme pour ensuite y brancher plusieurs périphériques USB, comme des imprimantes ou des disques durs : tous les ordinateurs du réseau auront alors accès à ces périphériques.Chapitre 1 Premiers contacts 5 À propos d’AirPort Extreme La partie arrière de l’AirPort Extreme dispose de cinq ports :  Un port WAN Ethernet 10/100 (<) qui sert à brancher un modem câble ou DSL ou à se connecter à un réseau Ethernet existant.  Trois ports LAN Ethernet 10/100 (G) qui servent à brancher des périphériques Ethernet, notamment des imprimantes ou des ordinateurs, ou à se connecter à un réseau Ethernet existant.  Un port USB (d) qui sert à brancher une imprimante USB, un disque dur ou un concentrateur compatibles. Voyant d’état Port WAN Internet Adaptateur CA Port d’alimentation Port USB Ports Ethernet Bouton de réinitialisation Logement de sécurité6 Chapitre 1 Premiers contacts À côté des ports se trouve un bouton de réinitialisation, utilisé pour le dépannage de votre AirPort Extreme. Le voyant d’état situé à l’avant de l’AirPort Extreme affiche l’état actuel. À propos du logiciel AirPort L’AirPort Extreme fonctionne avec le logiciel AirPort inclus sur le CD d’AirPort Extreme. Utilitaire AirPort L’Utilitaire AirPort vous permet de configurer votre AirPort Extreme afin de créer un réseau sans fil, de se connecter à Internet et de partager une imprimante ou un disque dur USB. Vous pouvez également connecter votre AirPort Extreme à votre réseau sans fil AirPort Extreme ou AirPort Extreme existant afin d’étendre la portée de votre réseau grâce à WDS. Utilisez l’Utilitaire AirPort pour configurer rapidement et facilement votreAirPort Extreme et votre réseau sans fil. L’Utilitaire AirPort est également un outil sophistiqué permettant de configurer et de gérer les bornes d’accès AirPort Extreme et AirPort Express. Utilisez-le pour définir les réglages de réseau, de routage et de sécurité, ainsi que d’autres options avancées. Z Menu d’état d’AirPort de la barre des menus Le menu d’état AirPort vous permet de passer instantanément d’un réseau AirPort à l’autre, de contrôler la qualité du signal du réseau sélectionné, de créer un réseau « ordinateur à ordinateur » et d’activer ou de désactiver AirPort. Le menu d’état est disponible sur les ordinateurs utilisant Mac OS X. Chapitre 1 Premiers contacts 7 Ce qu’il vous faut pour commencer Pour configurer l’AirPort Extreme via un Mac, vous devez disposer des éléments suivants :  Un ordinateur Macintosh équipé d’une carte AirPort ou AirPort Extreme afin de procéder à une configuration sans fil.  Un ordinateur Macintosh connecté à l’AirPort Extreme par un câble Ethernet afin de procéder à une configuration via Ethernet.  Mac OS X 10.4 ou ultérieur.  Utilitaire AirPort 5.0 ou ultérieur. Pour configurer l’AirPort Extreme via un PC sous Windows, vous devez disposer des éléments suivants :  Un PC Windows doté d’une vitesse de processeur de 300 MHz ou supérieure.  Windows XP Édition Familiale ou Professionnel (Service Pack 2).  Utilitaire AirPort 5 ou ultérieur. Vous pouvez utiliser l’AirPort Extreme avec tout ordinateur sans fil conforme aux normes 802.11a, 802.11b, 802.11g ou à une ébauche de spécification 802.11n de l’IEEE. Pour pouvoir configurer l’AirPort Extreme, votre ordinateur doit respecter la configuration requise ci-dessus. Installez le logiciel AirPort inclus sur le CD et suivez les instructions exposées aux pages suivantes pour configurer votre AirPort Extreme et votre réseau sans fil AirPort. Branchement de l’AirPort Extreme Avant de brancher votre AirPort Extreme, vous devez connecter certains câbles aux ports que vous souhaitez utiliser, notamment :  le câble Ethernet à votre modem DSL ou câble (en cas de connexion à Internet) et au port Ethernet (WAN) (<) ;8 Chapitre 1 Premiers contacts  le câble USB au port USB (d) et à une imprimante USB (en cas d’impression sur une imprimante USB), un disque dur USB ou un concentrateur USB compatibles ;  les périphériques Ethernet aux ports LAN Ethernet (G). Une fois connectés les câbles des périphériques que vous souhaitez utiliser, connectez l’adaptateur CA et branchez l’AirPort Extreme sur une prise murale. Il n’y a pas d’interrupteur de mise en marche. Important : utilisez uniquement l’adaptateur CA fourni avec l’AirPort Extreme. Port d’alimentation Voyant d’activité Ethernet Adaptateur CAChapitre 1 Premiers contacts 9 Lorsque vous branchez l’AirPort Extreme sur une prise murale, le voyant d’état devient vert et clignote pendant une seconde, puis passe à l’orange pendant le démarrage. Après le démarrage, le voyant d’état reste orange et se met à clignoter. Une fois la configuration réalisée et la connexion à Internet ou à tout autre réseau établie, le voyant d’état devient vert et cesse de clignoter. Lorsque des câbles Ethernet sont branchés sur les ports LAN Ethernet (G), les voyants situés au-dessus de ces derniers ne clignotent plus et brillent de forme continue. Voyant d’état de l’AirPort Extreme Le tableau ci-dessous répertorie les divers comportements des voyants lumineux de l’AirPort Extreme et donne leur signification. Voyant État/Description Éteint L’AirPort Extreme est débranchée. Vert clignotant L’AirPort Extreme est en train de démarrer. Le voyant lumineux clignote pendant une seconde. Vert fixe L’AirPort Extreme est allumée et fonctionne correctement. Si vous choisissez l’option « Clignotement en cas d’activité » dans le menu local Voyant d’état (situé dans la sous-fenêtre Borne d’accès des réglages d’AirPort dans Utilitaire AirPort), le voyant d’état, en vert, peut clignoter pour indiquer une activité normale. Orange clignotant L’AirPort Extreme ne peut pas établir de connexion avec le réseau ou Internet. Reportez-vous à la section « Le voyant d’état de votre AirPort Extreme devient orange et se met à clignoter » à la page 28. Orange L’AirPort Extreme termine sa séquence de démarrage. Orange et vert clignotant Il peut y avoir un problème pour démarrer. L’AirPort Extreme va redémarrer.10 Chapitre 1 Premiers contacts Étape suivante Après avoir branché l’AirPort Extreme, utilisez l’Utilitaire AirPort pour la configurer et pouvoir l’utiliser avec votre connexion à Internet, une imprimante ou un disque dur USB, ou encore un réseau existant. L’Utilitaire AirPort est situé dans le dossier Utilitaires du dossier Applications sur un ordinateur exécutant Mac OS X et dans Démarrer > Tous les programmes > AirPort sur un ordinateur exécutant Windows XP. Reportez-vous à la section « Réseaux AirPort Extreme » à la page 11 pour obtenir des exemples de toutes les possibilités d’utilisation de l’AirPort Extreme ainsi que des informations sur sa configuration.2 11 2 Réseaux AirPort Extreme Dans ce chapitre, vous trouverez des informations sur les différentes façons d’utiliser l’AirPort Extreme. Ce chapitre présente les différents types de réseaux que vous pouvez configurer via AirPort Extreme ainsi que divers diagrammes et explications relatifs aux opérations à réaliser pour activer rapidement votre réseau AirPort Extreme. Consultez le chapitre 3, « Configuration de l’AirPort Extreme », à la page 20 pour en savoir plus sur l’utilisation de l’Utilitaire AirPort en vue de configurer votre réseau.12 Chapitre 2 Réseaux AirPort Extreme Utilisation de l’AirPort Extreme avec votre service Internet à haut débit Lorsque vous configurez l’AirPort Extreme pour assurer la mise en place d’un réseau et fournir un accès à Internet, les ordinateurs Macintosh équipés des cartes AirPort et AirPort Extreme, les ordinateurs sans fil 802.11a, 802.11b et 802.11g et certains ordinateurs reposant sur l’ébauche de norme 802.11n de l’IEEE peuvent accéder au réseau sans fil AirPort pour partager des fichiers, jouer en réseau et utiliser des applications Internet telles que des navigateurs web et des applications de messagerie électronique. Schéma des connexions : Modem DSL ou câble Port WAN Internet Connexion à Internet Tous les programmes > AirPort sur ceux exécutant Windows), sélectionnez votre borne d’accès et cliquez sur Continuer. 3 Suivez les instructions à l’écran pour créer un réseau. (Reportez-vous à la section « Configuration de l’AirPort Extreme » à la page 20.) Les ordinateurs utilisant AirPort et ceux utilisant d’autres cartes ou adaptateurs sans fil se connectent à Internet via la borne AirPort Extreme. Les ordinateurs branchés sur les ports Ethernet de l’AirPort Extreme peuvent également accéder au réseau et se connecter à Internet. Les ordinateurs sans fil et ceux branchés sur les ports Ethernet ont aussi la possibilité de communiquer les uns avec les autres via l’AirPort Extreme.14 Chapitre 2 Réseaux AirPort Extreme Utilisation de l’AirPort Extreme pour partager une imprimante USB Lorsque vous branchez une imprimante USB sur votre AirPort Extreme, tous les ordinateurs du réseau (avec ou sans fil) peuvent l’utiliser. Schéma des connexions : Port USB Imprimante partagée dChapitre 2 Réseaux AirPort Extreme 15 Configuration : 1 Reliez l’imprimante au port USB (d) de l’AirPort Extreme à l’aide d’un câble USB. 2 Ouvrez l’Utilitaire AirPort (situé dans le dossier Utilitaires du dossier Applications sur les ordinateurs exécutant Mac OS X et dans Démarrer > Tous les programmes > AirPort sur ceux exécutant Windows), sélectionnez votre borne d’accès et cliquez sur Continuer. 3 Suivez les instructions à l’écran pour créer un réseau. Pour imprimer à partir d’un ordinateur exécutant Mac OS X 10.2.7 ou ultérieur : 1 Ouvrez l’utilitaire Configuration d’imprimante (situé dans le dossier Utilitaires du dossier Applications). 2 Sélectionnez l’imprimante dans la liste. Si l’imprimante ne figure pas sur la liste, cliquez sur Ajouter, puis choisissez Bonjour dans le menu local avant de sélectionner l’imprimante dans la liste. Pour imprimer à partir d’un ordinateur exécutant Windows XP : 1 Installez Bonjour pour Windows à partir du CD fourni avec votre AirPort Extreme. 2 Suivez les instructions à l’écran pour connecter votre imprimante.16 Chapitre 2 Réseaux AirPort Extreme Utilisation de l’AirPort Extreme pour partager un disque dur USB Lorsque vous connectez un disque dur USB à votre AirPort Extreme, tous les ordinateurs (avec ou sans fil) du réseau peuvent accéder au disque dur et ainsi avoir accès aux fichiers, les partager et les stocker. Schéma des connexions : Disque dur partagé d Port USB Chapitre 2 Réseaux AirPort Extreme 17 Configuration : 1 Connectez le disque dur au port USB (d) de l’AirPort Extreme à l’aide d’un câble USB. 2 Ouvrez l’Utilitaire AirPort (situé dans le dossier Utilitaires du dossier Applications sur les ordinateurs exécutant Mac OS X et dans Démarrer > Tous les programmes > AirPort sur ceux exécutant Windows), sélectionnez votre borne d’accès et cliquez sur Continuer. 3 Suivez les instructions à l’écran pour créer un réseau. Les ordinateurs peuvent accéder au disque dur pour partager ou stocker des fichiers via Mac OS X 10.4 (ou ultérieur) ou via Windows XP (Service Pack 2).18 Chapitre 2 Réseaux AirPort Extreme Utilisation de l’AirPort Extreme avec votre réseau AirPort L’illustration ci-dessous présente un réseau sans fil utilisant toutes les capacités de l’AirPort Extreme. Modem DSL au port USB ou câble Connexion à Internet au port Ethernet Salle commune Salle de séjour Disque dur partagéChapitre 2 Réseaux AirPort Extreme 19 Configuration : 1 Connectez tous les périphériques que vous souhaitez utilisez sur votre réseau. 2 Ouvrez l’Utilitaire AirPort (situé dans le dossier Utilitaires du dossier Applications sur les ordinateurs exécutant Mac OS X et dans Démarrer > Tous les programmes > AirPort sur ceux exécutant Windows), sélectionnez votre borne d’accès et cliquez sur Continuer. 3 Suivez les instructions à l’écran pour connecter votre réseau. (Reportez-vous à la section « Configuration de l’AirPort Extreme » à la page 20.)20 3 3 Configuration de l’AirPort Extreme Ce chapitre offre des informations et des instructions sur l’utilisation de l’Utilitaire AirPort pour configurer l’AirPort Extreme. Utilisez les schémas du chapitre précédent pour vous aider à décider de l’endroit où vous souhaitez utiliser votre AirPort Extreme et des fonctionnalités que vous souhaitez configurer sur votre réseau AirPort. Utilisez ensuite les instructions de ce chapitre pour configurer facilement l’AirPort Extreme et le réseau AirPort. Ce chapitre explique comment utiliser l’Assistant réglages de l’Utilitaire AirPort pour configurer votre réseau et d’autres fonctionnalités de l’AirPort Extreme. Pour obtenir de plus amples informations sur la mise en réseau sans fil et pour en savoir plus sur les fonctionnalités avancées de l’Utilitaire AirPort, consultez le document “Designing AirPort 802.11n Networks” (« Création de réseaux AirPort 802.11n ») à l’adresse www.apple.com/fr/support/airport. Vous pouvez effectuer la plupart des opérations d’installation et de configuration de votre réseau à l’aide de l’Assistant réglages de l’Utilitaire AirPort. Pour régler des options avancées, choisissez Configuration manuelle dans le menu Borne d’accès de l’Utilitaire AirPort. Voir « Réglage des options avancées » à la page 24.Chapitre 3 Configuration de l’AirPort Extreme 21 Utilisation de l’Utilitaire AirPort Pour configurer votre AirPort Extreme de façon à ce qu’elle utilise AirPort pour l’accès à Internet et la mise en réseau sans fil, utilisez l’Assistant réglages de l’Utilitaire AirPort. L’Utilitaire AirPort est automatiquement installé sur votre ordinateur en même temps que le logiciel du CD AirPort Extreme. Sur un ordinateur Mac OS X 10.4 ou ultérieur : 1 Ouvrez l’Utilitaire AirPort (situé dans le dossier Utilitaires de votre dossier Applications). 2 Sélectionnez votre borne d’accès puis cliquez sur Continuer. 3 Suivez les instructions à l’écran pour configurer votre AirPort Extreme et votre réseau sans fil. Sur un ordinateur Windows XP (Service Pack 2) : 1 Ouvrez l’Utilitaire AirPort situé dans Démarrer > Tous les programmes > AirPort. 2 Sélectionnez votre borne d’accès puis cliquez sur Continuer. 3 Suivez les instructions à l’écran pour configurer votre AirPort Extreme et votre réseau sans fil. L’Assistant réglages de l’Utilitaire AirPort vous pose une série de questions concernant le type de réseau que vous souhaitez utiliser et les services à configurer. L’Assistant réglages vous aide à saisir les réglages adaptés au réseau que vous configurez. Si vous utilisez l’AirPort Extreme pour vous connecter à Internet, vous devez disposer d’un compte haut débit (modem DSL ou câble) et d’un fournisseur d’accès à Internet ou bien d’une connexion utilisant un réseau Ethernet existant. Si vous avez reçu des informations particulières de votre FAI (une adresse IP statique ou l’identifiant du client DHCP), il vous faudra peut-être les saisir dans l’Utilitaire AirPort. Regroupez toutes ces informations avant de configurer votre AirPort Extreme et gardez-les à portée de main.22 Chapitre 3 Configuration de l’AirPort Extreme Création d’un nouveau réseau sans fil Vous pouvez utiliser l’Assistant réglages de l’Utilitaire AirPort pour créer un réseau sans fil. L’Assistant réglages vous guide tout au long des étapes nécessaires pour nommer votre réseau, le protéger avec un mot de passe et configurer d’autres options. Si vous souhaitez partager une imprimante ou un disque dur USB sur votre réseau : 1 Reliez l’imprimante ou le disque dur au port USB (d) de l’AirPort Extreme. 2 Ouvrez l’Utilitaire AirPort (situé dans le dossier Utilitaires du dossier Applications sur un Mac et dans Démarrer > Tous les programmes > AirPort sur un ordinateur Windows XP). 3 Suivez les instructions à l’écran pour créer un réseau. Configuration et partage de l’accès à Internet Si vous prévoyez de partager votre connexion Internet avec les ordinateurs du réseau configurés pour la communication sans fil ou les ordinateurs connectés aux ports Ethernet, vous devez configurer votre AirPort Extreme en tant que borne d’accès AirPort. Une fois qu’elle est configurée, les ordinateurs peuvent accéder à Internet via le réseau AirPort. La borne d’accès se connecte à Internet et transmet les informations aux ordinateurs via le réseau AirPort. Avant d’utiliser l’Utilitaire AirPort pour configurer votre borne d’accès, branchez votre modem DSL ou câble sur le port WAN Ethernet de l’AirPort Extreme (<). Si vous vous connectez à Internet via un réseau Ethernet existant, vous pouvez alors connecter l’AirPort Extreme au réseau Ethernet.Chapitre 3 Configuration de l’AirPort Extreme 23 Utilisez l’Assistant réglages de l’Utilitaire AirPort pour saisir les réglages de votre FAI et configurer le mode de partage de ces réglages entre l’AirPort Extreme et d’autres ordinateurs. 1 Sélectionnez le réseau sans fil que vous souhaitez modifier. Sur un Mac, utilisez le menu d’état d’AirPort dans la barre des menus. Sur un ordinateur Windows XP, maintenez le curseur sur l’icône de la connexion sans fil jusqu’à ce que vous voyiez apparaître le nom de votre réseau AirPort (SSID). Sélectionnez-le dans la liste si plusieurs réseaux sont disponibles. Le nom du réseau par défaut d’une borne d’accès Apple est « Réseau AirPort xxxxxx », les xxxxxx représentant les six derniers chiffres de l’identifiant AirPort, également connu sous le nom d’adresse MAC. Dans le cas d’une AirPort Extreme, l’identifiant AirPort est situé sous le produit ; s’il s’agit d’une AirPort Express, vous le trouverez sur la fiche d’alimentation électrique. 2 Ouvrez l’Utilitaire AirPort, situé dans le dossier Utilitaires du dossier Applications sur un ordinateur exécutant Mac OS X et dans Démarrer > Tous les programmes > AirPort sur un ordinateur exécutant Windows XP. 3 Sélectionnez votre borne d’accès puis cliquez sur Continuer. 4 Suivez les instructions à l’écran pour configurer votre AirPort Extreme et y partager l’accès à Internet. En utilisant l’Utilitaire AirPort, vous pouvez configurer rapidement et facilement votre borne d’accès et votre réseau. Si vous souhaitez régler des options supplémentaires pour votre réseau (comme une limitation de son accès) ou encore définir des options DHCP avancées, choisissez Configuration manuelle dans le menu Borne d’accès de l’Utilitaire AirPort. 24 Chapitre 3 Configuration de l’AirPort Extreme Réglage des options avancées Pour régler des options avancées, vous pouvez utiliser l’Utilitaire AirPort afin de configurer manuellement l’AirPort Extreme. Il est possible de configurer des réglages avancés liés à la borne d’accès, par exemple des options avancées de sécurité, des réseaux fermés, la durée de bail DHCP, des commandes d’accès, des commandes d’alimentation, des comptes utilisateur, etc. Pour régler les options avancées : 1 Sélectionnez le réseau sans fil que vous souhaitez modifier. Sur un Mac, utilisez le menu d’état d’AirPort dans la barre des menus. Sur un ordinateur Windows XP, maintenez le curseur sur l’icône de la connexion sans fil jusqu’à ce que vous voyiez apparaître le nom de votre réseau AirPort (SSID). Sélectionnez-le dans la liste si plusieurs réseaux sont disponibles. Le nom du réseau par défaut d’une borne d’accès Apple est « Réseau AirPort xxxxxx », les xxxxxx représentant les six derniers chiffres de l’identifiant AirPort, également connu sous le nom d’adresse MAC. Dans le cas d’une AirPort Extreme, l’identifiant AirPort est situé sous le produit ; s’il s’agit d’une AirPort Express, vous le trouverez sur la fiche d’alimentation électrique. 2 Ouvrez l’Utilitaire AirPort (situé dans le dossier Utilitaires du dossier Applications sur un Mac ou dans Démarrer > Tous les programmes > AirPort sur un ordinateur Windows XP). 3 Si plusieurs bornes d’accès figurent dans la liste, sélectionnez celle que vous souhaitez configurer. Si elle ne figure pas dans cette liste, cliquez sur Chercher à nouveau pour rechercher les bornes d’accès disponibles, puis sélectionnez la borne d’accès voulue.Chapitre 3 Configuration de l’AirPort Extreme 25 4 Choisissez Configuration manuelle dans le menu Borne d’accès. Le cas échéant, saisissez votre mot de passe. Pour en savoir plus sur l’utilisation des fonctionnalités de configuration manuelle de l’Utilitaire AirPort et pour obtenir de plus amples instructions, consultez le document “Designing AirPort 802.11n Networks” (« Création de réseaux AirPort 802.11n ») à l’adresse www.apple.com/fr/support/airport.26 4 4 Astuces et dépannage Vous pouvez rapidement résoudre la plupart des problèmes pouvant survenir avec l’AirPort Extreme en suivant les conseils donnés dans ce chapitre. Vous avez oublié votre mot de passe de réseau ou de borne d’accès Vous pouvez effacer le mot de passe du réseau ou de la borne d’accès AirPort en réinitialisant l’ AirPort Extreme. Pour réinitialiser le mot de passe de la borne d’accès : 1 Utilisez l’extrémité d’un trombone déplié pour appuyer sur le bouton de réinitialisation et le maintenir enfoncé pendant une (1) seconde. Important : si vous maintenez ce bouton enfoncé pendant plus d’une (1) seconde, il est possible que vous perdiez les réglages de votre réseau. 2 Sélectionnez votre réseau AirPort.  Sur un ordinateur Macintosh, utilisez le menu d’état d’AirPort, dans la barre des menus, pour sélectionner le réseau créé par l’AirPort Extreme (le nom du réseau reste inchangé).  Sur un ordinateur Windows XP, maintenez le curseur sur l’icône de la connexion sans fil jusqu’à ce que vous voyiez apparaître le nom de votre réseau AirPort (SSID). Sélectionnez-le dans la liste si plusieurs réseaux sont disponibles.Chapitre 4 Astuces et dépannage 27 3 Ouvrez l’Utilitaire AirPort (situé dans le dossier Utilitaires du dossier Applications sur ordinateur Macintosh et dans Démarrer > Tous les programmes > AirPort sur un ordinateur Windows XP). 4 Sélectionnez votre borne d’accès et choisissez Configuration manuelle dans le menu Borne d’accès. 5 Cliquez sur AirPort dans la barre d’outils, puis sur Borne d’accès. 6 Saisissez un nouveau mot de passe pour la borne d’accès. 7 Cliquez sur Sans fil et choisissez une méthode de cryptage dans le menu local Sécurité sans fil afin d’activer le cryptage et la protection du mot de passe pour votre réseau AirPort. Si vous activez le cryptage, tapez un nouveau mot de passe pour votre réseau AirPort. 8 Cliquez sur Mettre à jour pour redémarrer la borne d’accès et télécharger les nouveaux réglages. Votre AirPort Extreme ne répond pas Débranchez-la puis rebranchez-la à nouveau. Si votre AirPort Extreme ne répond plus du tout, vous devrez peut-être rétablir les réglages d’origine par défaut. Important : ceci efface tous les réglages personnalisés de la borne d’accès et rétablit les réglages par défaut de l’AirPort Extreme.28 Chapitre 4 Astuces et dépannage Pour rétablir les réglages d’origine de l’AirPort Extreme : m Utilisez le bout d’un trombone déplié pour pouvoir appuyer et maintenir enfoncé le bouton de réinitialisation jusqu’à ce que le voyant d’état clignote rapidement (pendant environ 5 secondes). L’AirPort Extreme est réinitialisée avec les réglages suivants :  L’AirPort Extreme reçoit son adresse IP via DHCP.  Le nom du réseau redevient « Réseau Apple XXXXXX » (les XXXXXX représentant les six derniers chiffres de l’identifiant AirPort).  Le mot de passe de la borne d’accès redevient public. Si votre borne d’accès ne répond toujours pas, essayez la méthode suivante : 1 Débranchez l’AirPort Extreme. 2 À l’aide de l’extrémité d’un trombone déplié, appuyez sur le bouton de réinitialisation et maintenez-le enfoncé tout en rebranchant l’AirPort Extreme. Le voyant d’état de votre AirPort Extreme devient orange et se met à clignoter Il est possible que le câble Ethernet ne soit pas correctement branché, que l’AirPort Extreme se trouve hors du rayon de détection du réseau AirPort ou qu’il y ait un problème avec votre fournisseur d’accès à Internet. Si vous êtes connecté à Internet avec un modem câble ou DSL, le modem n’est peut-être plus connecté au réseau ou à Internet. Même si le modem semble fonctionner correctement, débranchez le modem, attendez quelques secondes puis rebranchez-le. Assurez-vous que l’AirPort Extreme est directement branchée sur le modem via Ethernet avant de rebrancher le modem.Chapitre 4 Astuces et dépannage 29 Pour en savoir plus sur l’origine du clignotement du voyant, ouvrez l’Utilitaire AirPort, sélectionnez votre borne d’accès et choisissez Configuration manuelle dans le menu Borne d’accès. Les informations liées au clignotement du voyant sont affichées dans la sous-fenêtre Résumé. Votre imprimante ne répond pas Si vous avez connecté une imprimante au port USB de l’AirPort Extreme et que les ordinateurs du réseau AirPort ne peuvent pas imprimer, procédez comme suit : 1 Assurez-vous que l’imprimante est branchée et allumée. 2 Assurez-vous que les câbles sont bien reliés à l’imprimante et au port USB de l’AirPort Extreme. 3 Assurez-vous que l’imprimante est sélectionnée dans la fenêtre Liste d’imprimantes des ordinateurs clients. Sur un ordinateur Macintosh exécutant Mac OS X 10.2.7 ou ultérieur :  Ouvrez l’utilitaire Configuration d’imprimante (situé dans le dossier Utilitaires du dossier Applications).  Si l’imprimante n’est pas dans la liste, cliquez sur Ajouter.  Sélectionnez Bonjour dans le menu local.  Sélectionnez l’imprimante et cliquez sur Ajouter. Pour sélectionner votre imprimante sur un ordinateur Windows XP :  Ouvrez le Panneau de configuration depuis le menu Démarrer, puis double-cliquez sur Imprimantes et télécopieurs.  Sélectionnez l’imprimante. Si l’imprimante ne figure pas dans la liste, cliquez sur Ajouter une imprimante puis suivez les instructions à l’écran. 4 Éteignez l’imprimante, attendez quelques secondes puis rallumez-la.30 Chapitre 4 Astuces et dépannage Vous souhaitez mettre à jour votre logiciel AirPort Apple met régulièrement à jour le logiciel AirPort afin d’en améliorer les performances et d’ajouter de nouvelles fonctionnalités. Il est recommandé de mettre à jour votre AirPort Extreme et d’utiliser le logiciel le plus récent. Pour télécharger la toute dernière version du logiciel AirPort, rendez-vous sur le site www.apple.com/fr/support/airport. À propos de l’emplacement de l’AirPort Extreme En suivant les recommandations suivantes, vous permettrez à votre AirPort Extreme d’atteindre une portée sans fil maximale et une couverture réseau optimale.  Placez votre AirPort Extreme dans un endroit dégagé avec peu d’obstacles (meubles volumineux ou murs). Essayez de la tenir éloignée des surfaces métalliques.  Si vous placez votre AirPort Extreme derrière un meuble, laissez au moins trois centimètres entre la borne AirPort Extreme et le bord du meuble.  Évitez de placer votre AirPort Extreme dans une zone entourée de surfaces métalliques (sur trois côtés ou plus).  Si vous placez votre AirPort Extreme à proximité d’autres appareils électriques tels qu’une chaîne stéréo, évitez d’entourer complètement l’AirPort Extreme de câbles d’alimentation, audio ou vidéo. Positionnez votre AirPort Extreme de façon à ce que les câbles passent d’un seul côté. Laissez autant d’espace que possible entre l’AirPort Extreme et les câbles.  Faites en sorte d’installer votre AirPort Extreme à au moins 7,5 mètres d’un four à micro-ondes, d’un téléphone sans fil de 2,4 ou 5 gigahertz (GHz) ou d’autres sources d’interférence.Chapitre 4 Astuces et dépannage 31 Éléments pouvant provoquer des interférences avec AirPort Plus la source d’interférences est éloignée, plus le risque de problème est faible. Les éléments suivants peuvent provoquer des interférences avec AirPort :  Les fours à micro-ondes.  Les pertes de fréquence radio DSS (Direct Satellite Service).  Le câble coaxial d’origine fourni avec certains types d’antennes paraboliques. Contactez le fabricant du produit pour obtenir des câbles plus récents.  Certains dispositifs électriques tels que les lignes électriques, les voies ferrées électrifiées et les centrales électriques.  Les téléphones sans fil qui fonctionnent sur la fréquence porteuse de 2,4 ou 5 GHz. Si vous rencontrez des problèmes avec votre téléphone ou avec la communication avec AirPort, changez le canal utilisé par votre borne d’accès ou par l’AirPort Extreme ou celui utilisé par votre téléphone.  Des bornes d’accès adjacentes qui utilisent des canaux voisins. Ainsi, si une borne d’accès A est réglée sur le canal 1, la borne d’accès B doit être réglée sur le canal 6 ou 11.32 5 5 En savoir plus, service après-vente et support Pour obtenir plus d’informations sur l’utilisation de l’AirPort Extreme, rendez-vous sur le web et utilisez l’aide à l’écran. Ressources en ligne Pour obtenir les toutes dernières informations sur AirPort Extreme, rendez-vous sur le site www.apple.com/fr/airport. Pour enregistrer l’AirPort Extreme (si vous ne l’avez pas déjà fait lors de l’installation du logiciel à partir du CD d’AirPort Extreme), rendez-vous sur le site www.apple.com/register. Pour obtenir plus d’informations sur le service l’assistance d’AirPort, accéder des forums proposant des informations et des retours sur le produit ainsi que télécharger les versions les plus récentes des logiciels Apple, rendez-vous sur le site www.apple.com/fr/support/airport. Pour obtenir une assistance en dehors des États-Unis, rendez-vous sur le site www.apple.com/fr/support et choisissez votre pays dans le menu local.Chapitre 5 En savoir plus, service après-vente et support 33 Aide en ligne m Pour en savoir plus sur l’utilisation d’AirPort, ouvrez l’Utilitaire AirPort et choisissez Aide > Aide Utilitaire AirPort. Obtention d’un service de garantie Si le produit est endommagé ou ne fonctionne pas correctement, suivez les conseils de cette brochure, de l’aide à l’écran et des ressources en ligne. Si la borne d’accès ne fonctionne toujours pas, rendez-vous sur le site www.apple.com/fr/support pour obtenir des instructions sur l’obtention de services dans le cadre de la garantie. Emplacement du numéro de série de votre AirPort Extreme Le numéro de série se trouve sous l’AirPort Extreme.34 Annexe Spécifications de l’AirPort Extreme Spécifications AirPort  Bande de fréquence : 2,4 et 5 GHz  Alimentation de la sortie radio : 20 dBm (nominale)  Normes : norme 802.11 DSSS 1 et 2 Mbps, spécifications 802.11a, 802.11b et 802.11g, et projet de spécification 802.11n Interfaces  1 port WAN Ethernet 10/100Base-T à connecteur RJ-45 (<)  3 ports LAN Ethernet 10/100Base-T à connecteur RJ-45 (G)  Bus série universel (USB d)  AirPort Extreme sans fil Conditions ambiantes  Température de fonctionnement : de 0° à 35° C  Température de stockage : de -25° à 60° C  Humidité relative (en fonctionnement) : de 20 % à 80 %  Humidité relative (en stockage) : de 10 % à 90 % (sans condensation)Annexe Spécifications de l’AirPort Extreme 35 Taille et poids  Longueur : 165 mm  Largeur : 165 mm  Épaisseur : 34 mm  Poids : 753 g Adresses MAC (Media Access Control) matérielles Deux adresses matérielles pour l’AirPort sont imprimées sur le fond du boîtier de l’AirPort Extreme :  L’identifiant AirPort : adresse utilisée pour identifier l’AirPort Extreme sur un réseau sans fil.  Le numéro Ethernet : il vous faudra peut-être communiquer cette adresse à votre FAI pour connecter la borne AirPort Extreme à Internet. Utilisation de l’AirPort Extreme  La seule façon d’éteindre complètement l’AirPort Extreme est de la débrancher de sa source d’alimentation.  Pour connecter ou déconnecter l’AirPort Extreme, veillez à tenir la prise par ses côtés. Éloignez vos doigts de la partie métallique de la prise.  Votre AirPort Extreme ne doit en aucun cas être ouverte, même lorsqu’elle est débranchée. Si vous devez faire réparer votre AirPort Extreme, consultez la section « En savoir plus, service après-vente et support » à la page 32. 36 Annexe Spécifications de l’AirPort Extreme  N’insérez jamais de force un connecteur dans les ports. Si le connecteur ne s’emboîte pas facilement dans le port, c’est probablement qu’ils ne sont pas compatibles. Vérifiez que le connecteur est adapté au port et qu’il est correctement positionné par rapport à celui-ci. À propos des températures d’exploitation et de stockage  Pendant que vous utilisez votre AirPort Extreme, il est normal que le boîtier chauffe. Le boîtier de l’AirPort Extreme agit comme une surface de refroidissement qui transfère la chaleur de l’intérieur de l’unité vers l’air extérieur, plus frais. Évitez les endroits humides  Maintenez l’AirPort Extreme à distance de tout liquide ou lieu humide (boissons, lavabos, baignoires, cabines de douche, etc.).  Protégez la borne AirPort Extreme de la lumière directe du soleil ou encore de la pluie ou toute autre source d’humidité.  Prenez garde à ne pas renverser de nourriture ou de liquide sur votre AirPort Extreme.Si tel est le cas, débranchez l’AirPort Extreme avant de la nettoyer.  N’utilisez pas l’AirPort Extreme en extérieur. Il s’agit d’un produit destiné à une utilisation en intérieur. Avertissement : pour réduire le risque d’électrocution ou de blessure, n’utilisez pas votre AirPort Extreme dans des emplacements mouillés ou humides ni à proximité de ceux-ci.Annexe Spécifications de l’AirPort Extreme 37 N’effectuez pas vous-même les réparations À propos de la manipulation Votre AirPort Extreme peut être endommagée suite à une manipulation ou à un stockage inapproprié. Veillez à ne pas faire tomber l’AirPort Extreme en la transportant. Avertissement : n’essayez pas d’ouvrir votre AirPort Extreme ou de la démonter. Vous risqueriez de vous électrocuter et d’annuler la garantie. Aucune pièce réparable par l’utilisateur ne se trouve à l’intérieur.38 Communications Regulation Information Wireless Radio Use This device is restricted to indoor use due to its operation in the 5.15 to 5.25 GHz frequency range to reduce the potential for harmful interference to cochannel Mobile Satellite systems. Cet appareil doit être utilisé à l’intérieur. Exposure to Radio Frequency Energy The radiated output power of this device is well below the FCC radio frequency exposure limits. However, this device should be operated with a minimum distance of at least 20 cm between its antennas and a person's body and the antennas used with this transmitter must not be co-located or operated in conjunction with any other antenna or transmitter subject to the conditions of the FCC Grant. FCC Declaration of Conformity This device complies with part 15 of the FCC rules. Operation is subject to the following two conditions: (1) This device may not cause harmful interference, and (2) this device must accept any interference received, including interference that may cause undesired operation. See instructions if interference to radio or television reception is suspected. Radio and Television Interference This computer equipment generates, uses, and can radiate radio-frequency energy. If it is not installed and used properly—that is, in strict accordance with Apple’s instructions—it may cause interference with radio and television reception. This equipment has been tested and found to comply with the limits for a Class B digital device in accordance with the specifications in Part 15 of FCC rules. These specifications are designed to provide reasonable protection against such interference in a residential installation. However, there is no guarantee that interference will not occur in a particular installation. You can determine whether your computer system is causing interference by turning it off. If the interference stops, it was probably caused by the computer or one of the peripheral devices. If your computer system does cause interference to radio or television reception, try to correct the interference by using one or more of the following measures:  Turn the television or radio antenna until the interference stops.  Move the computer to one side or the other of the television or radio.  Move the computer farther away from the television or radio.  Plug the computer into an outlet that is on a different circuit from the television or radio. (That is, make certain the computer and the television or radio are on circuits controlled by different circuit breakers or fuses.) If necessary, consult an Apple Authorized Service Provider or Apple. See the service and support information that came with your Apple product. Or, consult an experienced radio/television technician for additional suggestions.39 Important: Changes or modifications to this product not authorized by Apple Computer, Inc. could void the EMC compliance and negate your authority to operate the product. This product was tested for FCC compliance under conditions that included the use of Apple peripheral devices and Apple shielded cables and connectors between system components. It is important that you use Apple peripheral devices and shielded cables and connectors between system components to reduce the possibility of causing interference to radios, television sets, and other electronic devices. You can obtain Apple peripheral devices and the proper shielded cables and connectors through an Apple-authorized dealer. For non-Apple peripheral devices, contact the manufacturer or dealer for assistance. Responsible party (contact for FCC matters only): Apple Computer, Inc., Product Compliance, 1 Infinite Loop M/S 26-A, Cupertino, CA 95014-2084, 408-974-2000. Industry Canada Statement Complies with the Canadian ICES-003 Class B specifications. This device complies with RSS 210 of Industry Canada. Cet appareil numérique de la classe B est conforme à la norme NMB-003 du Canada. VCCI Class B Statement Europe — Déclaration de conformité EU L'appareil satisfait aux conditions concernant l'exposition aux champs électromagnétiques stipulées dans la Recommandation du Conseil 1999/519/EC du 12 juillet 1999, relative à la limitation de l'exposition du public aux champs électromagnétiques (de 0 Hz à 300 GHz). Il est conforme aux normes suivantes: EN300 328, EN301 893, EN301 489-17, EN60950. Par la présente, Apple Computer, Inc. déclare que cet appareil satisfait aux conditions essentielles et autres dispositions importantes de la norme 1999/5/EC. Informations relatives à l’élimination et au recyclage L’AirPort Extreme dispose d’une batterie interne. Veuillez vous en débarrasser conformément aux lois et directives environnementales locales. Pour en savoir plus sur le programe de recyclage d’Apple, rendez-vous à l’adresse www.apple.com/environment (en anglais). California: The coin cell battery in your product contains perchlorates. Special handling and disposal may apply. Refer to www.dtsc.ca.gov/hazardouswaste/ perchlorate. 1 Guide TDM Logic Pro 8 Les stations de travail audionumériques (DAW, Digital Audio Workstation) utilisent en général une des deux approches de traitement du signal audio suivantes :les systè- mes DSP (Digital Signal Processing, traitement numérique du signal) matériels dédiés (systèmes TDM) ou les capacités de traitement natives du processeur de l’ordinateur. Logic Pro vous permet d’utiliser à la fois les DSP de votre système TDM et les ressources de traitement natives du processeur de l’ordinateur. La passerelle ESB TDM permet de relier ces deux types de traitement. La passerelle ESB TDM permet au processeur de votre ordinateur de traiter un moteur audio (Direct TDM) d’une part, et au système DSP du matériel TDM d’en traiter un autre (DAE). Cela est possible grâce aux deux tables de mixage de Logic Pro :une table de mixage TDM (utilisant le moteur audio DAE) et une table de mixage native (appelée table de mixage DTDM). La première se charge des modules TDM alors que la deuxième fonctionne avec les modules natifs, aussi bien au format Audio Unit qu’au format Logic. Huit sorties de la table de mixage DTDM peuvent être dirigées vers la table de mixage TDM. Les signaux de sortie sont reçus par les entrées ESB TDM, à l’aide des logements d’entrée du canal auxiliaire TDM. Ce système permet d’utiliser l’intégralité des pistes Logic, les modules natifs et Audio Unit (y compris les instruments logiciels) avec le traitement DSP de votre système TDM. Ce guide contient toutes les informations à connaître pour l’exploitation de votre maté- riel TDM avec Logic Pro 8. Il vous permettra également d’en savoir plus sur ESB TDM et EXS24 TDM. Les fonctions de Logic Pro 8 sont décrites dans le Manuel de l’utilisateur de Logic Pro 8.2 Matériel audio et gestionnaires Pour utiliser Logic Pro 8 avec le système TDM, vous avez besoin de Pro Tools HD 7.4 (sur les ordinateurs à processeur Intel ou PPC). Sélection et configuration d’un appareil Il est possible de sélectionner et d’activer un appareil matériel audio directement dans Logic Pro à l’aide de la zone de dialogue Appareils sous Logic Pro > Préférences > Audio. Vous pouvez choisir entre les onglets Core Audio, DAE et Direct TDM dans la sous-fenê- tre Appareils.  Core Audio :l’onglet Core Audio permet d’activer et de régler les matériels audio utilisant des gestionnaires Core Audio. Pour obtenir des informations détaillées sur les réglages Core Audio, consultez le Manuel de l’utilisateur Logic Pro 8.  DAE :DAE est l’abréviation de Digidesign Audio Engine (moteur audio Digidesign). Il s’agit d’un gestionnaire permettant d’accéder au matériel TDM (comprenant l’utilisation de puces DSP) dans Logic Pro 8.  Direct TDM :le moteur audio Direct TDM (DTDM) natif de Logic Pro est utilisé pour le traitement de la table de mixage DTDM, que vous pouvez acheminer vers les entrées (de canal auxiliaire) de la table de mixage TDM avec ESB TDM. Ainsi le processeur de votre ordinateur peut effectuer un traitement natif (des instruments et des effets) dans Logic Pro, tout en utilisant le moteur DAE Réglages DAE Vous devez activer la fonction DAE pour pouvoir en définir les paramètres. Pour cela, cochez la case Actif dans le coin supérieur gauche de l’onglet DAE. Vous avez ainsi accès aux paramètres ci-dessous.3  Résolution globale : ce paramètre permet de choisir entre un enregistrement et une lecture en 16 ou 24 bits. Remarque :le moteur audio DAE ne permet pas d’utiliser des fichiers 16 bits et des fichiers 24 bits simultanément.  Type PT HD : ce paramètre vous permet de définir le nombre de pistes pour votre système Pro Tools HD. Chaque entrée du menu local vous permet de définir le nombre de pistes requis, selon le nombre de configurations DSP Pro Tools HD que vous souhaitez utiliser et qui sont disponibles dans votre système.  Indicateur setup TDM : l’indicateur setup TDM est une petite fenêtre indiquant l’état et la progression du traitement TDM en cours (l’insertion d’un module TDM, par exemple). Ce paramètre permet d’activer ou de désactiver l’affichage de cette fenêtre.  Passer événements Claviers sur Plug-ins : les raccourcis clavier qui ne sont utilisés par aucun module sont transmis et utilisés dans Logic Pro. Normalement, cela permet aux fonctions Début et Fin de fonctionner comme d’habitude. Si ce n’est pas le cas, utilisez les options de ce menu pour préciser que seulement certains raccourcis clavier doivent être transmis au module. Toutes les autres combinaisons de touches sont alors reçues par Logic Pro.  Bouton Configuration de matériel Digidesign : ce bouton permet d’ouvrir la fenêtre Configuration de matériel Digidesign qui contient tous les réglages du système importants pour votre matériel. Remarque :les paramètres « Taille du Buffer de Calcul » et Comportement Rewire en bas de l’onglet Appareils n’ont aucun effet sur le moteur audio DAE.4 Réglages Direct TDM Pour activer l’appareil Direct TDM, cochez la case Actif dans le coin supérieur gauche de l’onglet Direct TDM. Mode de piste Universelle Lorsque le mode de piste universelle est activé, il est possible de lire des régions mono et stéréo sur une seule piste. Les canaux audio pairs ne sont alors pas considérés comme les canaux droits du canal audio stéréo impair situé à leur gauche. Chaque canal audio dispose de son propre bouton Format. Selon le type de région lue, mono ou stéréo, le potentiomètre Pan se comporte comme un contrôle de balance ou de panoramique. Si vous lisez une région mono et que le potentiomètre Pan est réglé sur la position centrale, le volume des signaux de sortie des deux canaux de la bande de canaux audio est alors identique. Remarque :le mode de piste universelle limite les capacités d’acheminement, puisqu’il ne permet pas le traitement séparé des canaux audio droits et gauches. Le mode de piste non universelle est utile si vous souhaitez (ou avez besoin de) lire divers fichiers mono sur les canaux mono droits et gauches d’une seule bande de canaux audio, même si celle-ci est assignée en tant que canal stéréo. Un module stéréo/stéréo inséré dans ce canal stéréo reçoit différents signaux pour les canaux droits et gauches.5 À propos de TDM Logic Pro vous permet d’utiliser les fonctions TDM prises en charge par les systèmes Pro Tools HD. TDM signifie Time Division Multiplexing (multiplexage par répartition dans le temps), c’est à dire une transmission entrelacée de plusieurs signaux audio numériques (ou flux) utilisant un bus de données unique. Ce système de bus est physiquement isolé du bus système de l’ordinateur et relie les cartes PCI compatibles avec les fonctions TDM. 512 canaux audio numériques, d’une résolution de 24 bits chacun, peuvent être transmis sur le bus TDM. Ces flux constituent les chemins empruntés par les signaux dans une table de mixage virtuelle. Ils sont nécessaires à l’insertion de modules qui sont calculés par le matériel DSP et acheminés à travers chaque canal, ou bien sélectionnés à l’aide des bus auxiliaires. Remarque :remarquons toutefois que le compteur du canal TDM dépend de la fré- quence d’échantillonnage. Donc, si une fréquence de 88,2 ou 96 kHz est utilisée, seulement la moitié, c’est-à-dire 256, des 512 canaux disponibles pour un système PT HD sont utilisés. Si la fréquence d’échantillonnage est de 192 kHz, 128 sont alors utilisés. Différences par rapport au traitement natif Le fonctionnement de Logic Pro avec un système TDM est en fait très similaire à celui de Logic Pro associé aux capacités de traitement natif de votre ordinateur. Voici les principales différences entre les deux systèmes :  Dans un système TDM, ce sont les puces DSP du matériel TDM qui effectuent tout le traitement audio. Cela signifie que les modules Logic natifs ne peuvent pas être exé- cutés sur des systèmes DSP TDM. Cependant, les modules TDM peuvent être pleinement exploités et automatisés.  Le matériel TDM détermine l’ensemble des caractéristiques du système :le nombre de pistes, de modules TDM pouvant être utilisés simultanément, de sorties et d’entrées, etc. Pour en savoir plus, consultez le manuel de vos configurations compatibles ProTools.  Les enregistrements stéréo requièrent deux pistes et sont sauvegardés dans deux fichiers distincts. Dans la fenêtre Arrangement, un enregistrement stéréo est traité comme deux régions liées utilisant deux pistes. Dans l’éditeur des échantillons, les enregistrements stéréo s’affichent comme un seul fichier stéréo. Tous les canaux audio impairs peuvent être réglés sur stéréo. Dans ce cas, les canaux audio pairs sont reliés aux canaux impairs qui les précèdent. Le canal impair contrôle alors les deux canaux de l’enregistrement stéréo.  Le moteur audio DAE ne prend pas en charge le moteur QuickTime, c’est pourquoi les fonctions vidéo de Logic Pro ne sont pas disponibles si vous travaillez exclusivement avec le moteur DAE. Pour utiliser ces fonctions, activez dans ce cas Core Audio ou DTDM.6 Modules TDM Les modules et les réglages TDM peuvent être utilisés dans Logic Pro. Vérifiez que les modules sont correctement installés. L’utilisation de modules TDM est semblable à celle de modules natifs. Les modules TDM peuvent être complètement automatisés. Remarque :Logic Pro ne prend en charge ni les fonctions TDM Surround, ni plusieurs modules mono comprenant au moins deux canaux. Les réglages du module TDM sont enregistrés avec le projet et sont automatiquement repris au chargement suivant du projet. Logic Pro peut lire le format Digidesign des réglages de modules (les réglages de la plupart des modules sont enregistrés sous ce format). Logic Pro affichent automatiquement les fichiers correspondants dans la zone de sélection des fichiers au moment du téléchargement des réglages, grâce au menu Réglages de la fenêtre des modules. Les fichiers de réglages se trouvent généralement dans un dossier Settings (Réglages), à l’intérieur du dossier Mac OS X Library/Application Support/Digidesign. Le nom du dernier réglage utilisé est indiqué par un point dans la liste du menu. Prise en charge des chaînes latérales du module TDM Vous pouvez sélectionner une source différente pour l’entrée de la chaîne latérale (ou entrée d’une clé) dans certains modules TDM (Compressors, Noise Gates, Vocoders, etc.). Tous les bus, pistes ou entrées peuvent être utilisés comme source d’entrée d’une chaîne latérale. Modules RTAS Les modules RTAS sont incompatibles avec Logic Pro 8 ;seuls les modules Audio Unit, TDM et natifs Logic Pro sont pris en charge. Si vous disposez de modules RTAS, installez les modules Audio Unit équivalents pour utiliser Logic Pro. La plupart des modules sont disponibles sous plusieurs formats. Si aucune version Audio Unit n’est disponible sur le CD d’installation de votre module RTAS, rendez-vous sur le site web des fabricants de modules.7 Fonctionnalités TDM spécifiques Si vous souhaitez utiliser les fonctions TDM de votre matériel avec Logic Pro 8, lisez bien les informations ci-dessous. Module de table de mixage TDM Vérifiez que le dossier Plug-ins (Modules, accessible depuis le dossier DAE) contient seulement un module de table de mixage ; la table de mixage stéréo ou la table de mixage stéréo avec dithering. Ce dossier peut également contenir un des modules de mixage Surround, mais ceux-ci ne fonctionnent pas dans Logic Pro. Modification de la profondeur de bits globale Si vous utilisez du matériel TDM, vous pouvez choisir entre une profondeur de 16 ou de 24 bits lorsque vous ouvrez Logic Pro pour la première fois. Vous pouvez également modifier la profondeur de bits globale à tout moment dans l’onglet DAE qui se trouve sous Logic Pro > Préférences > Audio > Appareils . Éditeur des échantillons Toutes les fonctions de l’éditeur des échantillons sont exploitables sur des fichiers audio de 16 et de 24 bits. Vous pouvez même échanger du son dans les deux sens (entre les fichiers de 16 et de 24 bits) avec DTDM, grâce aux commandes Copier et Coller. Remarque :les modules AudioSuite sont pris en charge pour les profondeurs de 16 et de 24 bits avec DAE.8 Utilisation simultanée de TDM avec d’autres matériels Pour utiliser un système TDM et un autre matériel audio simultanément, lisez bien les informations ci-dessous. Contrôle de la lecture Le chutier Audio, le navigateur et l’éditeur des échantillons vous permettent de choisir l’unité matérielle servant à la lecture.Cliquez sur le bouton Pré-écoute tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez le matériel dans le menu contextuel :  Si vous choisissez Core Audio, une bande de canaux audio supplémentaire (appelée Pré-écoute) est créée automatiquement dans l’environnement et utilisée pour la lecture.  Si vous choisissez le moteur audio DAE, la bande de canaux audio (disponible selon votre configuration) portant le numéro le plus élevé est utilisé pour la lecture. Ce canal peut être assigné à une piste d’arrangement si vous utilisez les fonctions de création de piste. Nombre total de pistes audio Lorsque vous utilisez plusieurs matériels audio en même temps, le nombre de pistes de lecture ne peut être déterminé simplement en les additionnant. C’est le cas notamment lorsque les systèmes connectés exigent beaucoup des capacités processeur. Le nombre de pistes peut également être réduit si les systèmes connectés utilisent le bus disque dur. L’incidence (se traduisant par une hausse du nombre total de pistes) peut être amoindrie en utilisant plusieurs disques durs pour les différents systèmes. Par exemple, un système DTDM ou Core Audio et/ou une séquence QuickTime utilisent un disque interne, alors que le moteur DAE utilise un disque FireWire externe.9 ESB TDM et EXS24 TDM Les modules ESB TDM et EXS24 TDM permettent d’améliorer la fonctionnalité du système TDM en étendant les capacités de la table de mixage TDM. En travaillant en 44,1/48 kHz, vous disposez alors de 32 canaux supplémentaires. Ces canaux supplé- mentaires peuvent être utilisés pour des instances d’échantillonneur EXS24 TDM multiples et jusqu’à huit entrées peuvent être assignées à partir du moteur DTDM (moteur audio natif exécuté en parallèle au moteur DAE). À propos d’ESB TDM et EXS24 TDM Le module ESB TDM vous permet d’assigner jusqu’à huit canaux audio de la table de mixage DTDM native (processeur de l’ordinateur) à la table de mixage TDM utilisant le traitement DSP. Cela revient à disposer d’un ordinateur équipé d’une carte avec une sortie numérique multicanal et physiquement connecté à un deuxième module d’entrée multicanal pour votre système TDM. ESB TDM remplace efficacement le gestionnaire et les sorties numé- riques de la carte audio, l’interface audio TDM et les câbles qui les relient. ESB TDM achemine les signaux numériques grâce au logiciel installé sur l’ordinateur, sans requérir de matériel supplémentaire installé ou connecté. Le module EXS24 TDM permet d’insérer des échantillonneurs EXS24 mkIl (32 mono et 16 stéréo), dans les logements d’insertion supérieurs de la bande de canaux auxiliaires dans la table de mixage TDM. Les logements d’insertion suivants permettent aux modules d’effets TDM de traiter les signaux en sortie de l’échantillonneur. Remarque :le module EXS24 TDM est disponible en mono ou en stéréo, mais pas pour des sorties multiples. EXS24 TDM ou ESB TDM ? Si vous souhaitez exclusivement traiter les signaux de sortie (jusqu’à 32) des échantillonneurs EXS24 TDM avec des modules d’effets TDM, lisez la rubrique EXS24 TDM suivante. N’oubliez pas que si vous souhaitez utiliser un module EXS24 TDM uniquement, vous n’avez pas besoin d’activer la fonction DTDM en plus du moteur DAE (excepté si vous devez utiliser les fonctions vidéo de Logic Pro). Dans le cas où vous souhaiteriez utiliser à la fois le système audio natif de Logic Pro (DTDM) et votre système TDM, consultez la rubrique « ESB TDM » à la page 11. Les informations contenues dans cette rubrique sont également valables pour l’acheminement des signaux traités de manière native (à partir d’autres instruments Audio Unit ou Logic Pro ) dans la table de mixage TDM.10 EXS24 TDM Si la table de mixage TDM ne contient aucune bande de canaux auxiliaire, créez-les dans le projet. Pour créer des bandes de canaux TDM s’affichant à la fois dans la table de mixage et dans la fenêtre Appareils : 1 Ouvrez la zone de dialogue Nouvelles pistes en procédant de la manière suivante :  Cliquez sur le bouton Nouvelles pistes.  Sélectionnez Piste, puis Nouveau dans la fenêtre Appareils (ou utilisez le raccourci clavier correspondant). 2 Dans la zone de dialogue Nouvelles pistes, vérifiez que le bouton Auxiliaire (pour EXS24 TDM) est activé. 3 Sélectionnez d’autres réglages (nombre de pistes, etc.) si nécessaire. 4 Cliquez sur OK. Pour insérer le module EXS24 TDM : m Cliquez sans relâcher sur le logement d’insertion supérieur d’une bande de canaux auxiliaires TDM. Un menu local apparaît permettant de choisir le module EXS24 TDM.11 Pour lire l’échantillonneur EXS24 TDM inséré dans le canal aux 1/2 : m Sélectionnez la piste auxiliaire dans la fenêtre Arrangement. Une fois la piste sélectionnée, vous pouvez lire et enregistrer l’instance de l’échantillonneur. Les logements d’insertion qui suivent (à partir du deuxième) dans la bande de canaux permettent d’insérer des modules d’effets TDM, utilisés pour le traitement du signal de sortie de l’échantillonneur. Les options de traitement plus avancées utilisant les envois (menant vers les bus d’effets) et les acheminements de sortie fonctionnent normalement. Le paramètre d’assignation d’entrée en revanche n’a aucun effet car cela revient à utiliser des instruments TDM (tels que Virus TDM). ESB TDM ESB TDM permet d’assigner les sorties de la table de mixage DTDM (traitées par le moteur audio DTDM natif) vers les entrées de la table de mixage TDM.Vous pouvez activer le gestionnaire DTDM dans l’onglet Appareils sous Logic Pro > Préférences > Audio. Vous en saurez plus sur les paramètres du gestionnaire DTDM en lisant la rubrique « Réglages Direct TDM » à la page 4. Selon le nombre de types de bandes de canaux requis, votre la table de mixage DTDM peut ressembler à ceci : Cette la table de mixage, par exemple, comporte six types de bande de canaux audio, deux bandes de canaux auxiliaires, deux bandes de canaux instruments et deux sommes stéréo. Il est possible d’utiliser jusqu’à 255 bandes de canaux audio et 64 bandes de canaux auxiliaires.12 Les huit signaux de sortie de cette table de mixage sont assignés dans la table de mixage TDM. Les signaux de sortie sont reçus par les entrées ESB TDM (définies comme sources d’entrée sur les bandes de canaux auxiliaires TDM). Dans l’exemple suivant les canaux 1 à 8 ont été configurés de cette façon : Dans les bandes de canaux auxiliaires mono, vous pouvez sélectionner le canal de sortie de la table de mixage DTDM (ESB 1 à 8). Les canaux auxiliaires stéréo peuvent être définis en tant que paires de canaux d’entrées ESB1–2, 3–4, 5–6 et 7–8. Vérifiez les entrées disponibles : Logic Pro 8 traite les réglages de canaux stéréo et mono séparément. Vous pouvez donc configurer les entrées ESB pour huit canaux mono et activer ensuite la fonction stéréo des canaux audio. Après avoir configuré les canaux de sortie DTDM pour chaque entrée, enregistrez votre projet en tant que modèle. Cela vous permet de passer rapidement des configurations mono à stéréo sans devoir modifier manuellement les réglages.13 Conseils et astuces Cette rubrique contient des conseils et des astuces très pratiques pour l’utilisation de Logic Pro avec du matériel TDM. Importation de projets élaborés sur un autre matériel Si vous souhaitez simplement utiliser les capacités de traitement natif de Logic Pro, démarrez Logic Pro en utilisant Core Audio (et activez le gestionnaire Digidesign Core Audio). Une fenêtre apparaît alors pour indiquer si vous souhaitez procéder à la conversion automatique d’un projet créé sur un système autre que Core Audio. Pour cela, le réglage du mode de piste universelle doit être identique sur les deux systèmes. N’oubliez pas qu’il peut y avoir des problèmes de compatibilité avec certains modules et/ou réglages, comme mentionné plus haut. Si vous souhaitez perfectionner ce projet, en ajoutant par exemple des instruments et des modules TDM, chargez-le dans le système DAE/DTDM. Pour charger un projet provenant d’un système Core Audio dans un système DAE/DTDM : 1 Désactivez DAE et vérifiez que la fonction DTDM est activée. 2 Vérifiez que le réglage du mode de piste universelle est le même pour Core Audio (sur le système d’origine du projet) et DTDM sur votre système. 3 Ouvrez le projet. Une fenêtre apparaît dans laquelle vous pouvez activer, si vous le souhaitez, la conversion automatique vers DTDM. Logic Pro 8 charge alors le projet dans une environnement DTDM et vérifie si une bande de canaux est disponible pour chacun des canaux de votre matériel. Dans le cas contraire, les bandes de canaux nécessaires sont créées. Cela signifie que chaque fois que vous changez de matériel pour un ordinateur donné ou que vous transférez un projet sur un autre ordinateur (équipé de matériel différent), les bandes de canaux varient également (mais elles conservent leurs réglages d’envoi, d’effets et d’égalisation). Si les modules utilisés par le projet sont différents sur les deux ordinateurs, les modules non disponibles sont grisés dans les logements d’insertion des canaux correspondants. Vous devez alors insérer ou remplacer manuellement ces modules par des modules disponibles et compatibles sur l’ordinateur cible.14 4 Une fois le projet chargé, réactivez la fonction DAE. Remarque :vous devez rouvrir Logic Pro après avoir activé la fonction DAE. 5 Lancez de nouveau Logic Pro et ouvrez le projet converti. Toutes les sorties DTDM sont assignées vers une des sorties ESB. 6 Créez les bandes de canaux auxiliaires DAE requis. 7 Choisissez les sorties ESB dans le ou les logements de sortie de la ou des bandes de canaux auxiliaires. Utilisation des systèmes DAE, DTDM et Core Audio simultanée ? Il est déconseillé d’utiliser plus de deux moteurs audio simultanément dans Logic Pro 8. La tension sur le bus PCI peut s’avérer problématique et créer plusieurs erreurs DAE. Utilisez plutôt la fonction DAE, avec un système DTDM. Le cas échéant, optez pour DAE et Core Audio. Performances du système et utilisation de TDM DSP La fenêtre Performances du système de Logic Pro n’affiche pas de traitement natif utilisant le système DAE, sans doute car plusieurs instruments EXS24 TDM ont été insérés. Vérifiez le chargement DSP dans la fenêtre Utilisation de DSP TDM (Options > Audio > Utilisation de DSP TDM).Stratégies de mixage (Bounce) Le moyen le plus simple d’effectuer un bounce stéréo est de sélectionner Fichier > Bounce. La zone de dialogue Bounce apparaît alors pour les sorties 1/2 de votre maté- riel audio principal. Il est fortement recommandé d’utiliser la première paire de sorties de votre appareil audio pour les tâches de lecture principale. Remarque :si vous utilisez d’autres bandes de canaux de sortie pour les tâches de lecture principale, servez-vous du bouton Bounce de ces canaux. Vous pouvez régler le format de fichier, la profondeur de bits et la fréquence d’échantillonnage du fichier bounce dans la zone de dialogue Bounce. Vous en saurez plus sur les paramètres de bounce en consultant le Manuel de l’utilisateur Logic Pro 8. DAE Vous pouvez effectuer des bounces en temps réel mono, stéréo et aux formats Surround pris en charge par Logic Pro 8. DAE ne permet pas l’utilisation de bounces hors connexion. Souvenez-vous qu’aucune des fonctionnalités Surround TDM ne sont disponibles dans Logic Pro. DTDM Si vous utilisez les canaux de sortie DTDM, toutes les fonctionnalités de bounce en ligne et hors ligne fournies par Core Audio sont disponibles. © 2007 Apple, Inc. Apple, le logo Apple, FireWire, Logic, Mac, Mac OS et QuickTime sont des marques d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Intel, Intel Core et Xeon sont des marques d’Intel Corp. aux États-Unis et dans d’autres pays. Manual del usuario Manual del usuario • Manuale Utente• Guia do Usuário• Gebruikershandleiding• Handbok • Manuale Utente • Guia do Usuário • Gebruikershandleiding • Handbok User’s Guide Use • r’s Guide • • Manuel de l’utilisateur • Manuel de l’utilisateur •• BBenutzerhandbuch enutzerhandbuch Brukerhåndbok • Brugerhåndbog• Käsikirja B • rukerhåndbok • Brugerhåndbog • Käsikirja • • • •1 2 Your iMac at a glance 4 Mac OS X basics 8 What you can do with your iMac 10 Listen to music on your computer or on the go 12 Make your own movie or watch a movie on DVD 14 Make your own Hollywood-style DVDs 16 Search the Internet 18 Get more out of the Internet 20 Send and receive email 22 Organize, plan, and create 24 Keep your iMac’s software up-to-date 26 Learn more and solve problems 32 Install memory and an AirPort Card 34 Work more comfortably 36 Safety, cleaning, and power management Once you’ve set up your iMac and followed the onscreen guide to connect to the Internet, what’s next? Read on to find out how to get the most out of your iMac:2 Your iMac at a glance Your computer has these built-in features: Apple Pro Speakers Included with some models. Available separately at www.apple.com/store Built-in microphone Record sound or control your computer with spoken commands. Optical disc drive Install software, use applications, and create your own music CDs. If you have the Combo drive, watch DVD videos. If you have the SuperDrive, you can make them, too. Volume controls Use the keyboard to adjust sound volume. Media Eject key Use to open the drive tray or eject a CD or DVD. Apple Pro Mouse A precision optical mouse you can use on almost any surface, no mouse pad required. Power indicator light Pulsing light indicates that the computer is sleeping. USB port Connect a USB device.3 Kensington Security Lock Attach a lock and cable to prevent theft. Headphones port Connect headphones or analog speakers. Apple Pro Speaker mini-jack Connect Apple Pro Speakers. FireWire Transfer video from a DV camera. Connect an Apple iPod, external hard disk, or other FireWire device. GEthernet Share files with another computer. Connect a DSL or cable modem to access the Internet. Power Port Connect to a standard electrical outlet. W Modem Connect to the Internet, browse the World Wide Web, and send email. USB Connect printers, Zip and other disk drives, digital cameras, joysticks, and more. VGA output Connect an external monitor for video mirroring using the Apple VGA adapter (available separately). Power button Turn your computer on or put it to sleep. ® To learn more about your iMac’s features: m Choose Mac Help from the Help menu, then click Go under “Discover my iMac.”4 Mac OS X basics The Macintosh desktop is your starting place. Finder icon Click to open a Finder window so you can see the files and applications on your computer. Window buttons Click the red button to close the window, the yellow one to minimize it into the Dock, and the green one to resize it. Apple menu Use to change system settings, open recent items, and restart or shut down your computer. To see the menu, click the apple () in the menu bar. View buttons Click to see your files as icons, in lists, or in columns. Toolbar button Click to show or hide the toolbar. Toolbar icons Click to navigate quickly to different folders. Your home folder contains your personal documents. Trash Drag an item here to delete it. Items remain here until you choose Empty Trash from the Finder menu. To learn more about Mac OS X: m See the Welcome to Mac OS X document in the Documents folder on your hard disk. Modem status Use this menu to connect to and disconnect from the Internet using a dialup modem.5 Dock Click icons in the Dock to open applications, documents, folders, or minimized windows. Application menu Shows the name of the application you’re using. Use to set preferences or quit applications (other than the Finder). Document Documents are files that you create with an application (such as a letter you create with your word processor). Doubleclick the icon to open the file in the application used to create it. Folder Folders help organize your files and applications. Doubleclick a folder to see what’s inside. Disc This appears when a CD or DVD is in the disc drive. Double-click the icon to see what’s on the disc. To eject a disc, press and hold the Media Eject ( ) key on the keyboard. Application Applications are software programs (such as a game or word processor) that you use with your computer. Double-click an application’s icon to open the application.6 Change the Mac OS to suit your preferences. There are lots of ways to customize Mac OS X. To change the size of the Dock or move it to a different place, open System Preferences and click Dock. To change Finder settings, choose Preferences from the Finder menu. To change icon sizes or the background of a Finder window, choose Show View Options from the View menu. Choose System Preferences from the Apple menu to change your computer’s settings. To select a desktop background picture, open System Preferences and click Desktop.7 Click the icons in the Dock or toolbar to find and open files and applications. The triangle indicates the application is open. Drag this bar up or down to resize the Dock. .Drag applications, files, and folders into the Dock for one-click access. This side of the Dock shows application icons. To set up the toolbar the way you want it, choose Customize Toolbar from the Finder’s View menu, then drag items to the toolbar. Press a folder icon to see its contents and open items in it. This side of the Dock shows files, windows, and folders.8 Make your own CDs. Use iTunes to transfer and organize music from your CD collection, then burn your own custom music CDs. Transfer music to an iPod or other MP3 player to listen on the go. Make a movie. Shoot video on a DV camcorder and import it into iMovie . Then rearrange, edit, polish, and add titles and soundtracks. Make a DVD. If your iMac has a SuperDrive, use iDVD to burn DVDs for viewing in almost any home DVD player. Connect to the Internet to send emailand browse the Web, or use iTools to post digital photos to the Web for everyone to see. Browse through the next few pages to find out more. What you can do with your iMac Not sure how to get the most out of your new iMac? Read on for a few ideas.9 Send digital photos to friends and family. The iMac is your digital hub. Watch a DVD movie or burn your own DVD. Put up to 1,000 songs in your pocket. Send email and surf the 'Net. Import and edit home movies. Listen to music and burn your own CDs.10 Listen to music on your computer or on the go. Use iTunes to create a library of music and make your own CDs. Library Your collection of songs, imported from your own audio CDs or downloaded from the Internet. Easily browse or search for music. Radio Tuner Choose from hundreds of Internet radio stations – jazz, rock, talk, and more. Audio CDs Play an audio CD on your computer. Import songs to your Library to play them without the CD. To learn more about iTunes: m See iTunes Help, available in the Help menu. m Go to www.apple.com/itunes Burn CDs Make your own audio CDs that play in standard CD players. Playlists Make personalized playlists using songs from your Library. Arrange your music by mood, artist, genre, or however you like. Equalizer Adjust the sound to your tastes using the 10-band EQ with 22 presets.11 If you have an iPod, you can transfer up to 1,000 songs for listening on the go. 1. Connect iPod using the FireWire cable included with iPod. iTunes automatically transfers your music Library to iPod. 2. Unplug iPod. 3. Browse for a song on iPod and press the Play button. To learn more about iPod: m See iTunes and choose iPod Help from the Help menu m Go to www.apple.com/ipod 12 Make your own movie or watch a movie on DVD. Use iMovie to edit video from a digital video camera. Playback controls Use these to play the movie in the iMovie monitor. Click the Play Full Screen button to use the entire screen. To learn more about iMovie: m Open iMovie and choose iMovie Help from the Help menu. m Go to www.apple.com/store to find compatible DV cameras or to purchase a FireWire cable. . Shoot video with a digital video camera. Then connect the camera using a 6-pin to 4-pin FireWire cable and import your clips. iMovie monitor Preview your movie or view video from a connected DV camera. Viewers Click the clip viewer (eye tab) to edit and place clips. Click the timeline viewer (clock tab) to edit sound. Editing buttons Click to open panels for adjusting and selecting sounds, video effects, titles, and transitions. Shelf Clips appear here when you import them. Move clips to the viewer to make them part of your movie. . You can export your finished movie to a tape in your DV camera or to a QuickTime file.13 If your computer has a Combo drive or SuperDrive, you can watch DVD movies. 2. Use the controller to play the movie 1. or see the DVD’s special features. Insert a DVD video disc. DVD Player opens automatically. To learn more about DVD Player: m Choose DVD Player Help from the Help menu. . To use the whole screen to watch the movie, choose Enter Full Screen from the Video menu.14 Make your own Hollywood-style DVDs. If your computer has a SuperDrive, you can create DVDs using iDVD. 1 1. Import and edit movies using iMovie. Then export to an iDVD movie file. 2. In iDVD, choose a menu theme and drag your movies to the iDVD window. 3. Customize your menus and buttons to look the way you want. 4. Insert a blank DVD-R disc and click Burn. . Your finished DVD will play in almost any home DVD player. 2 3 415 With iDVD you can make your DVD look exactly the way you want. Slideshow Click Slideshow and drag still pictures to iDVD. Your DVD can hold thousands of pictures. To learn more about iDVD: m Open iDVD and choose iDVD Tutorial from the Help menu. m See iDVD Help, available in the Help menu. m Go to www.apple.com/iDVD to purchase DVD-R discs. Themes Choose a background for your DVD from the included themes, or make your own theme. Multiple menus Click the Folder button to add multiple DVD menus. Burn Insert a blank DVD-R disc and click Burn. You can work on your computer while the DVD is being created in the background. Movies To add a movie, simply drag it to iDVD. You can use movies you created in iMovie. Preview Click Preview to see what your DVD will look like.16 Search the Internet. If you know the Internet address, you can go there directly. 1 2 1. Click the icon in the Dock to open Internet Explorer. To learn more about Internet Explorer: m Open Internet Explorer and choose Internet Explorer Help from the Help menu. 2. Type the Internet address and press Return on your keyboard. . If you have a dialup connection, you can use the modem status icon (W) to connect to and disconnect from the Internet. 1 217 1 1. Click the icon in the Dock to open Sherlock. 2. Click the Internet icon and type a question in the search field. 3. Click the Search button ( ). Then double-click an item in the list of sites. . Click the other buttons to find people, read the news, shop, and more. . Click the hard disk icon to search the files on your computer. Or you can search the Internet with Sherlock. 2 318 Get more out of the Internet with iTools. iTools is a suite of Internet services integrated into Mac OS X. iDisk Your own storage space on Apple’s Internet server. Share photos, movies, and other files over the Internet. Access your files from another Macintosh or PC. HomePage Build a personal Web site in three easy steps. Create a photo album, publish an iMovie, post your résumé, and more. Anyone can view your site on the World Wide Web. iCards Send an elegant iCard, just right for any occasion. Choose a ready-made photo, or create a personalized iCard using a photo on your iDisk. Email Get your own Mac.com email address. It’s easy and works with your favorite email application. To learn more about iTools: m Go to www.apple.com/itools and click Help on the iTools menu bar. . If you signed up for iTools when you first turned on your computer, you already have an account. Go to www.apple.com/itools to get started. . To sign up for a new iTools account, open System Preferences and click Internet. Then click Sign Up.19 Store pictures, movies, documents, and other files remotely. 1 2 2. Drag files to a folder on your iDisk 1. to copy them. Choose iDisk from the Go menu. . To access your files from another computer, log into your iTools account at www.apple.com/itools . Anyone can access the files in your Public folder. . To find out how to use pictures and other files from your iDisk to create a personal Web site, go to www.apple.com/itools and click the HomePage icon. 20 Send and receive email. Follow these steps to create and send a message. 1 1. Click the Mail icon in the Dock to open the Mail application. . To use email, you must have an account with an Internet service provider. . To check for new messages, click Get Mail. To view a message, click its subject. . If you entered email information or got a Mac.com account when you first turned on your computer, Mail is already set up. To set up a new email account, choose Preferences from the Mail menu, then click Accounts.21 To learn more about Mail: m Open Mail, then choose Mail Help from the Help menu. m Go to www.apple.com/macosx/applications/ mail.html 2 3 2. To create a new email message, click Compose. 3. Type the email address and a subject. Then type your message and click Send.22 Organize, plan, and create using AppleWorks. Use AppleWorks for writing, drawing, making presentations, and more. Layout capabilities Add photos, tables, charts, and sidebars. Link text frames, layer graphics, and wrap text. Word processing Write letters, create brochures, make greeting cards and party invitations. Presentation tool Create an onscreen slide presentation. Add movies, art, graphs, and charts. Database Keep records, save addresses, make inventories. Merge mailing information with the word processor to send form letters. Customizable templates Choose from a wide range of predesigned documents and modify them as needed. Spreadsheet Compute data easily using over 100 built-in functions, then use formatting options to make it stand out. Painting Create art from scratch or apply effects to existing pictures or scanned photos. Extensive clip art libraries Choose from over 25,000 high-quality clip art images.23 . Click the Web tab to download more templates from the Internet. To learn more about AppleWorks: m See AppleWorks Help, available in the Help menu. m Go to the AppleWorks Web site at www.apple.com/appleworks 1. Click the icon in the Dock to open AppleWorks. 2. Click the type of document you want to create, or click the Templates tab to modify a ready-made document. To get started using AppleWorks: 1 224 Keep your iMac’s software up-to-date. Use Software Update to get the latest updates and drivers. 1. Click the icon in the Dock to open System Preferences. 2. Click Software Update. 1 2 . To use Software Update, you must have an Internet connection.25 3. Then click Update Now. 4. Select the software you want to update and then click Install. 3 4 . Click the name of a software item to learn more about it. . You can schedule your computer to check automatically for software updates.26 Learn more about using your computer. Look in Mac Help for more information on using your computer. 1 1. Click the Finder icon in the Dock. 2. Then choose Mac Help from the Help menu. 3. Type a question and click Ask. 4. Click an item in the list of Help topics. . To browse the features of your computer, click Go under “At a glance.” . Click Quick Clicks topics for answers to frequently asked questions. . To look at Help for other applications, click the ? button. 2 3 427 These Apple Web sites will help you get the most out of your computer. Apple Service and Support www.apple.com/support Product support, software updates, and technical information. Apple Store www.apple.com/store Purchase the latest Apple and third-party hardware, software, and accessories. Macintosh Products Guide www.apple.com/guide For great hardware and software products for your Mac, check the Web site or look for the Mac symbol. Also get contact and support information for third-party software manufacturers. . From these Web sites you can quickly link to other Apple Web sites around the world.28 If you don’t find the answer to your problem on the following pages: Look in Mac Help. m In Mac Help (see page 26), you can find a great deal of troubleshooting advice, including information to help you solve problems with m Connecting to the Internet m Using software installation and restore discs m Changing your computer’s settings m Printing m And more m Click the Finder icon in the Dock, then choose Mac Help from the Help menu. Type a question in the search window (for example, type “How do I eject a disc?”) and click Ask. If your Apple Pro Speakers aren’t working correctly: Make sure they are connected securely. m Unplug and then plug in the connector and make sure it is secure. You should feel two clicks. Switching between Mac OS X and Mac OS 9 Your iMac is set to use Mac OS X. Most applications made for Mac OS 9 will work in the Mac OS X Classic environment. Just open the application as you normally would. You can also start up your computer using Mac OS 9. To set your computer to use Mac OS 9: m Choose System Preferences from the Apple (K) menu in Mac OS X. m Click the Startup Disk icon to open the Startup Disk pane. m Select the Mac OS 9 folder as your startup disk. If the icons are dimmed, click the padlock icon and enter the password you chose when you first set up Mac OS X. m Click Restart. To set your computer to use Mac OS X again: m Choose Control Panels from the Apple (K) menu. m Open the Startup Disk control panel. m Click the triangle next to the hard disk that contains your operating system folders. m Select the Mac OS X System as your startup disk. m Click Restart. Advice and troubleshooting29 If the computer won’t respond: First, make sure the mouse and keyboard are connected. m Unplug and then plug in the connectors and make sure they are secure. Then try to cancel what the computer is doing. m Try to force problem applications to quit. Hold down the Option and Command (x) keys, then press the Esc key. Select the application and click Force Quit. If the computer still doesn’t respond, restart it. m Hold the Power button (®) on the computer for five seconds. When the computer turns off, press the Power button again to restart it. m If that doesn’t work, unplug the power cord from the computer. Then plug the power cord back in and press the Power button on the computer to turn it on. Then do this: If the problem occurs frequently when you use a particular application: m Check with the application’s manufacturer to see if it is compatible with your computer. m For support and contact information about the software that came with your computer. Go to www.apple.com/guide If the problem occurs frequently: m You may need to reinstall your system software. Choose Mac Help from the Help menu and type “install system software” for more information. If you see a flashing question mark during startup: If the computer doesn’t start up after a delay, hold down the Option key and restart your computer. m When your computer starts up, click the hard disk icon, then click the arrow. Then do this: After the computer starts up: m Open System Preferences and click Startup Disk. Select a local Mac OS X System folder. If the problem occurs frequently: m You may need to reinstall your system software. Choose Mac Help from the Help menu and type “install system software” for more information.30 If the computer won’t turn on or start up: First, make sure the power cord is connected. m Make sure both ends of the power cord are plugged in securely. Make sure the power cord is plugged into a powered electrical outlet. m If your computer is plugged into a power strip, make sure the power strip is turned on. m See the service and support information that came with your iMac for information on having your computer serviced. If you can’t log into your computer: Make sure you are typing your user name and password correctly. m Make sure you are using the same capitalization and punctuation that you used originally. Check to see if the Caps Lock key has been pressed. If that doesn’t work, reset your password. m Insert the Mac OS X software install CD that came with your computer. Restart your computer while holding down the C key. When the Installer appears, choose Reset Password from the Installer menu and follow the onscreen instructions. If your printer won’t respond or work correctly: Check all cables and connections. m Make sure the printer is plugged into the computer and an electrical outlet. Make sure the printer is turned on. Make sure your computer is set up to use your printer. m Install the software that came with your printer. See the documentation that came with the printer for instructions. m Open the Print Center application in the Utilities folder. Then select your printer. If you can’t eject a CD or DVD, or open the drive tray: Make sure the disc is not in use. m Quit all applications that are using files on the disc. m Then press the Media Eject key ( ) at the top-right corner of the keyboard. m If that doesn’t work, drag the disc’s icon to the Trash. m If that doesn’t work, restart the computer, then hold down the mouse button. To restart, choose Restart from the Apple menu. 31 If you have a problem with a third-party software program: Make sure the software is compatible with your version of system software. m See the documentation that came with the software. You can check the version of system software you have by choosing About This Mac from the Apple (K) menu. To resolve other problems with software, contact the software manufacturer. m For support and contact information about the software that came with your computer, go to www.apple.com/guide If you have a problem with your Internet connection: First, make sure the telephone line or Ethernet cable is properly connected to your computer. m Wait a while, then try connecting again. If that doesn’t work, make sure your Internet settings are configured correctly. m Open the Internet Connect application in the Applications folder to check your dialup or AirPort settings. Open System Preferences and click Network to check your Internet settings. m If you’re not sure of the correct information for your Internet settings, contact your Internet service provider. If the Apple Pro Mouse isn’t responding properly: First, make sure the mouse and keyboard are connected. m Unplug and then plug in the connectors and make sure they are secure. If that doesn’t work, try using the mouse on another surface, like a mouse pad or a notebook. m Non-reflective, opaque surfaces without repetitive patterns work best. If you run out of room and want to keep the mouse clicked while you lift it: m Click the mouse, then squeeze the sides with your thumb and fingers and lift the mouse. If the mouse clicks too easily or not easily enough: m Turn the ring on the bottom of the mouse to adjust the tension of the click. For the latest troubleshooting information, go to the Apple Support Web site at www.apple.com/support32 Install memory and an AirPort Card. For detailed instructions, refer to Mac Help (see page 26). 2. Loosen the four captive screws at the base of the computer and gently remove the access panel. 1. Lay the computer down sideways on a soft cloth. Be careful not to let the base roll. . Touch this metal before you touch any other parts inside the computer. Don't walk around the room until you've finished installing memory or an AirPort Card. Before installing: m Get a Phillips screwdriver m Shut down the computer m Unplug all cables, except the power cord 3. Touch a metal point inside the computer. Then unplug the power cord. . For instructions on using the AirPort software, choose Mac Help from the Help menu. Then click the question mark and click AirPort Help.33 5. To install memory, insert a memory module into the memory slot at an angle. Press down to lock it in place. 6. Replace the access panel and tighten the four screws. . If the AirPort Card is connected to an adapter, remove the metal clip and pull the card from the adapter. You don’t need the adapter. . For more information on the type of memory to use with your computer, choose Mac Help from the Help menu. Then type "memory" and click Ask. . Never turn your computer on unless all of its internal and external parts are in place. 4. To install an AirPort Card, connect the antenna firmly to the card and insert the card into the AirPort Card slot.The guidelines in this section can help you work more comfortably with your computer. For detailed information about ergonomics, see the Apple Environmental Health and Safety Web site at www.apple.com/about/ergonomics Keyboard m When you use the computer keyboard, your shoulders should be relaxed. Your upper arm and forearm should form an approximate right angle, with your wrist and hand in roughly a straight line. m You may have to raise your chair so your forearms and hands are at the proper angle to the keyboard. If this makes it impossible to rest your feet flat on the floor, you can use a footrest with adjustable height and tilt to make up for any gap between the floor and your feet. Or you may lower the desktop to eliminate the need for a footrest. Another option is to use a desk with a keyboard tray that is lower than the regular work surface. m Use a light touch when typing and keep your hands and fingers relaxed. Avoid rolling your thumbs under your palms. Mouse m Position the mouse at the same height as your keyboard. Allow adequate space to use the mouse comfortably. Chair m An adjustable chair that provides firm, comfortable support is best. Adjust the height of the chair so your thighs are horizontal and your feet flat on the floor. m The back of the chair should support your lower back (lumbar region). Follow the manufacturer’s instructions for adjusting the backrest to fit your body properly. Computer m Adjust the angle of the screen so the top of the screen is slightly below your eye level when you're sitting at the keyboard. The best distance from your eyes to the screen is up to you, although most people seem to prefer 18 to 28 inches (45 to 70 cm). m Position the computer to minimize glare and reflections on the screen from overhead lights and windows. 34 Work more comfortably35 Important Don’t lift the computer using the display. You could damage it. To move your computer, grab the display extension with one hand; with your other hand, hold the bottom of the computer. Avoiding fatigue m Change your seated position, stand up, or stretch whenever you start to feel tired. Frequent short breaks are helpful in reducing fatigue. m Use a light touch when typing or using a mouse and keep your hands and fingers relaxed. m Some computer users may develop discomfort in their hands, wrists, or arms after periods of intensive work without breaks. If you begin to develop chronic pain or discomfort in your hands, wrists, or arms, consult a qualified health specialist immediately. m Allow adequate workspace so that you can use your keyboard and mouse comfortably. Place papers or other items so you can view them easily while using your computer. A document stand may make reading papers more comfortable. m Eye muscles must work harder to focus on nearby objects. Occasionally focus your eyes on a distant object, and blink often while you work. m Clean your screen regularly. Keeping the screen clean helps reduce unwanted reflections. Shoulders relaxed 45–70 cm (18–28 in.) Top of screen at or slightly below eye level. (You may need to adjust the height of your monitor.) Screen positioned to avoid reflected glare Clearance under work surface Forearms and hands in a straight line Lower back supported Forearms level or tilted down slightly Thighs tilted slightly Feet flat on the floor36 Safety Make sure that you m keep these instructions handy for reference by you and others who may use your computer m follow all instructions and warnings regarding your system When setting up and using your computer, remember the following: m Place your computer on a steady, flat surface in a location with adequate ventilation. Never block the vents on the computer. m Your computer has a three-wire grounding plug that will only fit a grounded AC outlet. If you are unable to insert the plug into the outlet, contact a licensed electrician to replace the outlet with a properly grounded outlet. m Make sure you only connect the modem to an analog phone line, the type commonly used in residences. Do not connect a digital telephone line to the modem, because it could damage the modem. m Never turn on your computer unless all of its internal and external parts are in place. Operating the computer when it is open or missing parts can be dangerous and damage your computer. Important The only way to disconnect power completely is to unplug the power cord. Make sure at least one end of the power cord is within easy reach so that you can unplug the computer when you need to. For your own safety and that of your equipment, always disconnect the power plug (by pulling the plug, not the cord) if any of the following conditions exists: m you want to remove any parts (leave the cord disconnected as long as the computer is open) m the power cord or plug becomes frayed or otherwise damaged m you spill something into the case m your computer is exposed to rain or any other excess moisture m your computer has been dropped or the case has been otherwise damaged m you suspect that your computer needs service or repair m you want to clean the case (use only the recommended procedure discussed in Mac Help) Be sure that you always do the following: m Keep your computer away from sources of liquids, such as drinks, washbasins, bathtubs, shower stalls, and so on. m Protect your computer from dampness or wet weather, such as rain, snow, and so on. Warning Electrical equipment may be hazardous if misused. Operation of this product must always be supervised by an adult. Do not allow children access to the interior of this product and do not permit them to handle any cables. Safety, cleaning, and power management37 Cleaning your computer equipment To clean your computer equipment, use only the recommended procedures discussed in Mac Help. Make sure your computer is unplugged before cleaning. Power supply The power supply in your computer is a high-voltage component and not user-serviceable. If you suspect the power supply needs service, contact your Apple-authorized dealer or service provider. Power-saving and environmental features Your computer is equipped with energy-saving features that allow it to conserve energy when not in use. For instructions on adjusting the system and display sleep settings and additional energy-conservation information, see Mac Help. TCO This product has been certified by TCO (the Swedish Confederation of Professional Employees) to meet the standards for ergonomics, energy efficiency, emissions, and ecology of the TCO 95 program. For more information, see the TCO document in the Documents folder on your computer’s hard disk. ENERGY STAR ® As an ENERGY STAR® partner, Apple has determined that this product meets the ENERGY STAR® guidelines for energy efficiency. The ENERGY STAR® program is a partnership with office product equipment manufacturers to promote energy efficiency. Reducing energy consumption of office products saves money and reduces pollution by eliminating wasted energy. Warning Do not attempt to access the high-voltage area or power supply. If you suspect the power supply needs service, contact your Apple-authorized dealer or service provider. Warning Do not clean the screen with a cleaner that contains alcohol or acetone. Use a cleaner intended for use with an LCD (liquid crystal display). Never spray cleaner directly onto the screen. Liquid could drip inside the computer and cause an electrical shock.38 Communications, telephone, and modem regulation information For information on FCC regulations, radio and television interference, and telephone and modem information related to this product, see the files in the Documents folder on your hard disk. Laser information Warning Making adjustments or performing procedures other than those specified in your equipment’s manual may result in hazardous radiation exposure. Do not attempt to disassemble the cabinet containing the laser. The laser beam used in this product is harmful to the eyes. The use of optical instruments, such as magnifying lenses, with this product increases the potential hazard to your eyes. For your safety, have this equipment serviced only by an Apple-authorized service provider. Service warning label High-risk activities warning This computer system is not intended for use in the operation of nuclear facilities, aircraft navigation or communications systems, or air traffic control machines, or for any other uses where the failure of the computer system could lead to death, personal injury, or severe environmental damage. iPod information The Apple iPod pictured on page 11 of this manual is not included with this product. For more information on iPod, go to www.apple.com/ipod Mouse information This product complies with the requirements of European Directives 72/23/EEC and 89/336/EEC. Complies with the Canadian ICES-003 Class B specification. This mouse is a Class 1 LED product. (IEC 60825-1:1993+A1:1997+A2:2001) Caution Use of controls or adjustment or performance of procedures other than those specified herein may result in hazardous radiation exposure. Every effort has been made to ensure that the information in this manual is accurate. Apple is not responsible for printing or clerical errors. Where’s the fine print?www.apple .apple.comcom © 2002 Apple Computer, Inc. All rights reserved. AirPort, Apple, the Apple logo, AppleWorks, FireWire, the FireWire logo, iMac, Mac, the Mac logo, Macintosh, QuickTime, and Sherlock are trademarks of Apple Computer, Inc., registered in the U.S. and other countries. Finder, iMovie, iPod, iTunes, and SuperDrive are trademarks of Apple Computer, Inc. ENERGY STAR® is a U.S. registered trademark. Digital imagery copyright 1998 PhotoDisc, Inc. 034-2069-A Printed in Taiwan Soundtrack Pro 2 Premiers contactsK Apple Inc. © 2007 Apple Inc. Tous droits réservés. Vos droits concernant le logiciel sont soumis aux termes de son contrat de licence. Le propriétaire ou l’utilisateur d’une copie valide du logiciel Soundtrack Pro peut reproduire ce document écrit dans le but d’apprendre à utiliser ce logiciel. Aucune partie de ce document ne peut être reproduite ou transmise à des fins commerciales, telle que la vente de copie ou l’offre de services d’assistance payants. Le logo Apple est une marque d’Apple Computer Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. En l’absence du consentement écrit d’Apple, l’utilisation à des fins commerciales de ce logo via le clavier (Option-1) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Tout a été mis en oeuvre pour que les informations pré- sentées dans ce manuel soient exactes. Apple n’est pas responsable des erreurs de reproduction ni d’impression. Remarque : étant donné qu’Apple publie fréquemment de nouvelles versions et mises à jour de ses logiciels, applications, sites Internet, les images insérées dans ce manuel peuvent être différentes de ce que vous voyez sur votre écran. Apple Inc. 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014–2084 408-996-1010 www.apple.com Apple, le logo Apple, AppleScript, Final Cut, Final Cut Pro, Final Cut Studio, Logic, Mac, Mac OS, QuickTime et Soundtrack sont des marques d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Finder et NeXT sont des marques d’Apple Inc. AppleCare est une marque de service d’Apple Inc. déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. Tous les autres noms de produits sont des marques de leurs propriétaires respectifs. Les produits commercialisés par des entreprises tiers ne sont mentionnés qu’à titre d’information, sans aucune intention de préconisation ni de recommandation. Apple ne se porte pas garant de ces produits et décline toute responsabilité quant à leur utilisation et à leur fonctionnement. Les photographies de production du film « Koffee House Mayhem » sont fournies avec l’aimable autorisation de Jean-Paul Bonjour. « Koffee House Mayhem » © 2004 Jean-Paul Bonjour. Tous droits réservés. http://www.jbonjour.com 3 1 Table des matières Préface 5 Bienvenue dans Soundtrack Pro 5 À propos de Soundtrack Pro 5 À propos de ce manuel 6 De quoi avez-vous besoin ? Chapitre 1 7 Démarrage de votre projet et rassemblement des données 8 Ouverture de Soundtrack Pro 9 Configuration du système audio de votre ordinateur 10 Création d’un projet multipiste 12 Rassemblement des données dans Soundtrack Pro Chapitre 2 17 Assemblage de votre projet multipiste 18 Utilisation de projets multipistes 19 Lecture et enregistrement d’un projet multipiste 22 Création d’un projet multipiste Soundtrack Pro à partir d’une séquence Final Cut Pro 23 Ajout de clips à la Timeline 24 Modification de clips dans la Timeline 26 Ajout de marqueurs à la Timeline 28 Création d’un fondu dans un clip audio 29 Ajout d’un Crossfade entre deux clips 30 Ajout de pistes, de bus et de sous-mixages à un projet multipiste 32 Utilisation de Panners de pistes stéréo et Surround 36 Routage de votre projet multipiste 37 Ajout d’effets à votre projet multipiste 40 Automatisation des paramètres de piste, de bus, de sous-mixage et de bus du Master à l’aide de points d’enveloppe Chapitre 3 43 Utilisation de fichiers audio donnés 43 Montage de fichiers audio 44 Traitement des fichiers audio par Soundtrack Pro 45 Emplacement des fichiers audio modifiés 49 Ouverture d’un fichier audio Logic Pro dans Soundtrack Pro 50 Ajout de processus et d’effets à un fichier à l’aide d’actions 53 Utilisation des outils de l’Éditeur de fichiers4 Table des matières Chapitre 4 61 Résolution des problèmes audio 61 Analyse et résolution de problèmes dans un fichier audio 64 Création d’un droplet AppleScript pour l’analyse et la résolution des fichiers audio Chapitre 5 65 Mixage de projets stéréo et Surround 65 Principes de base du mixage 66 Utilisation du mélangeur de Soundtrack Pro 68 Étapes du mixage d’un projet Chapitre 6 77 Exportation de votre projet multipiste 78 Zone de dialogue Exporter 79 Exportation d’un mixage final 80 Exportation d’un sous-mixage 80 Exportation d’un projet multipiste vers Final Cut Pro 81 Exportation d’un podcast 83 Enregistrement d’un projet multipiste avec ses fichiers multimédias Chapitre 7 85 Et après ? 85 Autres ressources Soundtrack Pro Annexe 87 Introduction à l’interface Soundtrack Pro 88 Utilisation des onglets 90 La Timeline 91 L’éditeur de fichiers 92 L’éditeur de multiprises 92 Conformer 93 Le mixage 94 Le chutier 94 La barre d’outils 95 Onglets de la sous-fenêtre de gauche 96 Onglets de la sous-fenêtre de droite 97 Disposition de l’interface Soundtrack Pro 5 Préface Bienvenue dans Soundtrack Pro À propos de Soundtrack Pro Soundtrack Pro est une application audio numérique professionnelle conçue pour la postproduction de films et de vidéo. En tant que détenteur de Logic Studio, le produit Logic Pro vous permet de créer, de composer et de mettre en partition votre musique, et Soundtrack Pro d’éditer et de restaurer des dialogues, de créer et de modifier des effets et des fonds sonores, ainsi que de mixer toute une bande son. L’intégration avancée de Soundtrack Pro et Final Cut Pro vous permet d’importer et d’exporter aisément des projets audio, ce qui vous ouvre la possibilité de collaborer avec les éditeurs Final Cut Studio. De plus, l’éditeur de forme d’onde multicanal avancé de Soundtrack Pro peut être utilisé comme puissant éditeur d’échantillons externe avec Logic Pro. À propos de ce manuel Ce manuel vous invite à une visite guidée de Soundtrack Pro. Il commence par expliquer comment configurer un projet multipiste et importer des fichiers audio, puis vous guide tout au long du processus de création d’un projet multipiste, en vous montrant notamment comment utiliser les clips audio et corriger les problèmes courants posés par ces derniers. Il détaille ensuite comment mixer et exporter un mixage final, créer un podcast et renvoyer le mixage à Final Cut Pro. Après la lecture de ce manuel intitulé Premiers contacts, vous devriez disposer des connaissances élémentaires de l’utilisation de Soundtrack Pro. En travaillant avec Soundtrack Pro et en vous reportant au manuel de l’utilisateur, vous approfondirez vos connaissances de l’application.6 Préface Bienvenue dans Soundtrack Pro De quoi avez-vous besoin ? La simple lecture de ce manuel vous fournira les informations nécessaires pour travailler en toute confiance avec Soundtrack Pro. Toutefois, si Soundtrack Pro est ouvert sur votre ordinateur et si vous utilisez certains fichiers audio, soit les vôtres, soit ceux fournis avec Soundtrack Pro, il vous sera plus facile de maîtriser quelques-unes des tâches décrites dans ces pages. Si vous souhaitez mettre en pratique les instructions que vous lisez, vous devez disposer :  d’un ordinateur exécutant Soundtrack Pro,  de fichiers audio (si vous n’en avez pas, vous pouvez utiliser le contenu audio que vous avez installé avec Soundtrack Pro),  d’un fichier vidéo (accompagnant la lecture de votre projet). Vous êtes à présent paré pour explorer Soundtrack Pro.1 7 1 Démarrage de votre projet et rassemblement des données Dans Soundtrack Pro, vous pouvez créer des projets audio à diverses fins : de l’audio pour de la vidéo et des films, des sous-mixages pour DVD et autres besoins vidéo, de la conception sonore, de l’élaboration de podcasts, etc. Avant de pouvoir modifier votre projet, vous devez configurer le système audio de votre ordinateur et rassembler vos fichiers multimédias. Ce chapitre couvre les thèmes suivants :  Ouverture de Soundtrack Pro (p. 8)  Configuration du système audio de votre ordinateur (p. 9)  Création d’un projet multipiste (p. 10)  Rassemblement des données dans Soundtrack Pro (p. 12)8 Chapitre 1 Démarrage de votre projet et rassemblement des données Ouverture de Soundtrack Pro L’interface de Soundtrack Pro est partagée en plusieurs sous-fenêtres contenant chacune plusieurs onglets. Ces onglets renferment toutes les commandes de Soundtrack Pro. En cours de travail, vous pouvez afficher et masquer les sous-fenêtres gauche, droite et infé- rieure de l’interface à l’aide des boutons situés dans le coin supérieur droit de la barre d’outils de Soundtrack Pro. Pour en savoir plus sur l’interface de Soundtrack Pro, reportez-vous à l’annexe , « Introduction à l’interface Soundtrack Pro » à la page 87. Pour ouvrir Soundtrack Pro : m Double-cliquez sur l’icône Soundtrack Pro située dans votre dossier Applications. Lorsque vous ouvrez Soundtrack Pro, un projet multipiste sans titre se crée automatiquement. Ces onglets contiennent des informations sur les clips, les pistes et autres éléments de projets multipiste. Ces onglets vous permettent de localiser des fichiers multimé- dias. Vous pouvez stocker les fichiers que vous utilisez fré- quemment dans l’onglet Favoris. Ces onglets montrent les réglages et les niveaux d’entrée et de sortie. Ces boutons permettent d’afficher et de masquer les sous-fenê- tres gauche, droite et inférieure de l’interface. Si vous ajoutez un fichier vidéo à la piste vidéo, il s’affiche dans l’onglet Vidéo. Chaque projet dispose de son propre onglet. La Timeline est l’endroit où l’on crée des projets multipiste à partir de clips vidéo et audio. Ces onglets vous aident à éditer et à mixer votre projet. La barre d’outils contient les boutons correspondant aux commandes couramment utilisées.Chapitre 1 Démarrage de votre projet et rassemblement des données 9 Configuration du système audio de votre ordinateur Le son de vos fichiers audio est envoyé en sortie au haut-parleur ou à la prise casque de votre ordinateur. Si vous avez des enceintes ou des haut-parleurs externes, ou tout autre équipement audio équivalent, connectez-les à la prise casque afin de pouvoir contrôler la sortie audio de votre projet. Vous pouvez aussi brancher d’autres équipements audio externes, tels qu’une interface audio ou un mélangeur, et les utiliser pour mixer et écouter votre projet. Pour visualiser les réglages d’entrée et de sortie audio de votre ordinateur : m Ouvrez l’utilitaire Configuration audio et MIDI (situé dans /Applications/Utilitaires/Audio Midi Setup). Pour visualiser les réglages d’entrée et de sortie audio de Soundtrack Pro : m Sélectionnez l’onglet Enregistrement dans la sous-fenêtre de droite dans l’interface de Soundtrack Pro. Pour en savoir plus à propos de l’utilisation de l’onglet Enregistrement, reportez-vous au Manuel de l’utilisateur de Soundtrack Pro. Pour en savoir plus sur les systèmes audio de son Surround et stéréo, les surfaces de contrôle et autres équipements audio, reportez-vous au Manuel de l’utilisateur de Soundtrack Pro. Votre équipement est-il suffisant ? Par défaut, Soundtrack Pro utilise les périphériques d’entrée et de sortie définis dans les Préférences Système de votre ordinateur. Pour un mixage de base, vous pouvez connecter la sortie audio intégrée de votre ordinateur à une paire de haut-parleurs externes. Vous disposez ainsi de deux canaux de sortie pour la lecture stéréo. Pour le mixage Surround 5.1, vous devez connecter à votre ordinateur un périphérique d’entrée/sortie audio doté de six canaux de sortie pour contrôler le son Surround. Les six canaux de sortie doivent être branchés à un système de haut-parleurs Surround 5.1 discrets pour que vous puissiez entendre le son Surround. 10 Chapitre 1 Démarrage de votre projet et rassemblement des données Création d’un projet multipiste Les projets multipiste contiennent plusieurs fichiers audio, et éventuellement un clip vidéo. Ils sont exclusivement utilisés par Soundtrack Pro et sont compatibles avec les autres applications Final Cut Studio. Lorsque vous ouvrez Soundtrack Pro, un projet multipiste se crée automatiquement. Vous pouvez également créer un projet à tout moment quand vous utilisez Soundtrack Pro. Pour créer un nouveau projet multipistes : m Cliquez sur le bouton Nouveau projet dans la barre d’outils. Un nouveau projet multipiste vierge apparaît alors. Par défaut, la fréquence d’échantillonnage des nouveaux projets Soundtrack Pro est définie sur 48 kilohertz (kHz). La fréquence d’échantillonnage de tels projets Soundtrack Pro peut aller de 32 à 192 kHz. L’audio de qualité CD standard utilise une fréquence de 44,1 kHz, l’audio de qualité vidéo numérique standard, 48 kHz. Cliquez sur ce bouton pour créer un projet.Chapitre 1 Démarrage de votre projet et rassemblement des données 11 Pour définir la fréquence d’échantillonnage d’un projet : m Choisissez une valeur dans le menu local Fréquence d’échantillonnage. Pour configurer d’autres propriétés pour le projet, dont les réglages de métadonnées et de musique : m Cliquez sur l’onglet Projet et saisissez les réglages qui s’imposent. Choisissez une fréquence d’échantillonnage pour votre projet multipiste dans le menu local Fréquence d’échantillonnage. L’onglet Projet contient divers réglages et propriétés applicables au projet sélectionné.12 Chapitre 1 Démarrage de votre projet et rassemblement des données Rassemblement des données dans Soundtrack Pro Votre projet désormais créé et ses réglages définis, vous devez passer au rassemblement de vos fichiers multimédias. Soundtrack Pro comporte plusieurs onglets conçus pour la localisation de vos fichiers audio et prévoit l’indexage des dossiers de données stockés sur votre disque dur ou sur d’autres volumes. Recherche de données L’onglet Navigateur fonctionne comme le Finder de Mac OS X. Grâce à lui, vous pouvez parcourir le disque dur de votre ordinateur, un disque dur externe et tout autre support de données branché sur votre ordinateur, pour trouver des fichiers exploitables dans Soundtrack Pro. Utilisez les onglets Navigateur et Rechercher pour localiser vos données.Chapitre 1 Démarrage de votre projet et rassemblement des données 13 Pour localiser des fichiers à l’aide du navigateur : m Sélectionnez l’onglet Navigateur, puis naviguez dans la structure pour trouver le fichier que vous recherchez. Par défaut, tout fichier que vous sélectionnez est automatiquement lu. Pour désactiver le mode de preview sur sélection, décochez la case « Preview d’après la sélection ». Vous pouvez aussi manuellement obtenir un aperçu d’un fichier sélectionné en cliquant sur le bouton de lecture. Une fois que vous avez localisé les données que vous comptez utiliser dans votre projet, vous pouvez les stocker dans l’onglet Favoris. L’onglet Favoris est pratique pour conserver des références à des clips et des fichiers. L’onglet Chutier est également utile pour localiser des fichiers audio. Par défaut, le Chutier affiche les fichiers multimédias associés à chaque projet ouvert. Recherche de fichiers Vous pouvez rechercher des fichiers audio à l’aide des catégories de métadonnées contrôlées par Soundtrack Pro. Sélectionnez le fichier voulu. Bouton « Preview d’après la sélection » Bouton de lecture14 Chapitre 1 Démarrage de votre projet et rassemblement des données Pour rechercher des fichiers à l’aide de l’onglet Rechercher : 1 Dans l’onglet Rechercher, choisissez le type de données à rechercher dans le menu local Mots-clés. (Vous pouvez par exemple choisir Tout pour connaître tous les motsclés inclus dans les métadonnées de votre fichier, ou lancer des recherches sur des catégories, telles qu’un instrument, un genre, etc.) Vous pouvez modifier la présentation de l’onglet Rechercher en vous servant des boutons Présentation par colonnes et Présentation par boutons à gauche du menu local Mots-clés. 2 Sélectionnez un mot-clé. Les fichiers qui contiennent le mot-clé que vous avez sélectionné apparaissent dans la liste située en bas de l’onglet Rechercher. Si vous désirez écouter un fichier audio, sélectionnez-le, puis cliquez sur le bouton de lecture dans le coin inférieur gauche de l’onglet Rechercher. Vous pouvez modifier la présentation de l’onglet Rechercher en vous servant des botons Présentation par colonnes et Présentation par boutons. Restreignez votre recherche de métadonnées à l’aide du menu local Mots-clés. Les résultats correspondant à « Ambiance » s’affichent ici. Le mot-clé « Ambiance » est sélectionné. Plus d’une centaine de clips audio contiennent le mot-clé « Ambiance ». Pour obtenir un preview d’un clip audio, sélectionnez-le, puis cliquez sur le bouton de lecture.Chapitre 1 Démarrage de votre projet et rassemblement des données 15 Ajout de fichiers à l’onglet Favoris Vous pouvez placer des références à des fichiers et dossiers fréquemment utilisés dans l’onglet Favoris. L’onglet Favoris est idéal pour placer des références à partager entre plusieurs projets. Pour ajouter un fichier à l’onglet Favoris : m Tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, cliquez sur le fichier, puis choisissez Ajouter aux favoris dans le menu contextuel. Indexation de vos fichiers multimédias Les fichiers audio fournis avec Soundtrack Pro sont déjà indexés et prêts à faire l’objet de recherches. Si vous disposez d’un ensemble de fichiers audio balisés avec des métadonnées compatibles, dont le nom de fichier, le genre, un mot-clé, la date, etc., vous pouvez les indexer de manière à pouvoir les rechercher dans l’onglet Rechercher de Soundtrack Pro. Pour obtenir des instructions sur l’indexation de vos fichiers multimédias, reportez-vous au Manuel de l’utilisateur de Soundtrack Pro. Où sont vos données ? Soundtrack Pro peut traiter les types de fichiers suivants : les fichiers de son au format AIFF, CAF, WAVE, Sound Designer II, NeXT et les séquences QuickTime. Soundtrack Pro peut aussi décompresser et traiter les formats de fichiers compressés dont MP3 et AAC, et lire des séquences QuickTime. Si vous souhaitez utiliser un fichier dont le type n’est pas pris en charge, tentez de le convertir. Pour convertir facilement un fichier, il suffit de l’ouvrir dans son application d’origine, puis de l’exporter dans l’un des types de fichiers compatibles avec Soundtrack Pro, répertoriés ici.2 17 2 Assemblage de votre projet multipiste La création d’un projet multipiste commence par l’organisation de ses fichiers audio dans la piste de la Timeline. À ce stade, vous pouvez les couper, leur appliquer un effet de Crossfade et les modifier comme vous le souhaitez dans la Timeline. Ce chapitre couvre les thèmes suivants :  Utilisation de projets multipistes (p. 18)  Lecture et enregistrement d’un projet multipiste (p. 19)  Création d’un projet multipiste Soundtrack Pro à partir d’une séquence Final Cut Pro (p. 22)  Ajout de clips à la Timeline (p. 23)  Modification de clips dans la Timeline (p. 24)  Ajout de marqueurs à la Timeline (p. 26)  Création d’un fondu dans un clip audio (p. 28)  Ajout d’un Crossfade entre deux clips (p. 29)  Ajout de pistes, de bus et de sous-mixages à un projet multipiste (p. 30)  Utilisation de Panners de pistes stéréo et Surround (p. 32)  Routage de votre projet multipiste (p. 36)  Ajout d’effets à votre projet multipiste (p. 37)  Automatisation des paramètres de piste, de bus, de sous-mixage et de bus du Master à l’aide de points d’enveloppe (p. 40)18 Chapitre 2 Assemblage de votre projet multipiste Utilisation de projets multipistes Les projets multipiste se créent dans la Timeline de Soundtrack Pro. La Timeline contient des pistes qui servent à organiser les fichiers. Les pistes pour les clips sont suivies de rangées destinées aux bus (surtout utilisés pour partager des effets entre des groupes de pistes), aux sous-mixages (qui servent à créer des groupes de données audio similaires ainsi qu’à acheminer ces groupes vers les sorties physiques) et au bus du Master (la commande de mixage final). L’illustration ci-dessus représente une organisation typique pour un projet de film ou de vidéo comportant des sous-mixages pour les effets, la musique et les dialogues. Cette illustration ne reflète pas l’organisation de la Timeline mais elle montre comment acheminer les signaux de leur entrée jusqu’à la sortie à travers des pistes, des sousmixages et le bus du Master. Le projet multipiste Soundtrack Pro ci-dessus comporte huit pistes acheminées vers trois sous-mixages Surround. 1 2 3 4 Pistes 5 6 7 8 Droite Gauche Centre Surround droit Surround gauche LFE Sous-mixage Canaux 1–6 Sorties matérielles Master bus 4 3 2 1 6 7 8 5 Canaux 1–6 Music Canaux 1–6 Effects Bus du Master 4 3 2 1 6 7 8 Musique 5 Effets Clip audio Panner Surround DialogueChapitre 2 Assemblage de votre projet multipiste 19 Chaque piste de ce projet multipiste possède un Panner Surround qui s’introduit dans l’un des trois sous-mixages Surround. Ces sous-mixages sont ensuite acheminés vers le bus du Master, qui alimente une interface audio à huit canaux connectée à six hautparleurs Surround. Contrairement à la complexité de cette illustration et de l’explication donnée, monter un projet multipiste n’a rien de compliqué. Il suffit en effet de faire glisser les clips audio des onglets Navigateur, Favoris, Rechercher ou Chutier directement dans n’importe quelle piste de la Timeline. Vous pouvez aussi faire glisser vos clips audio directement dans la Timeline Soundtrack Pro à partir de votre disque dur ou d’un disque externe branché sur votre système. Après avoir réuni vos clips audio, vous pouvez les modifier et les acheminer vers le bus du Master à l’aide des techniques expliquées dans ce chapitre. Lecture et enregistrement d’un projet multipiste Avant d’aborder les techniques d’édition, nous allons vous présenter les règles de base de la lecture et de l’enregistrement de projets multipiste. Vous pouvez procéder à la lecture de votre projet à tout moment pendant la modification de votre projet multipiste. Pour procéder à la lecture d’un projet, il est souvent plus facile d’utiliser les raccourcis clavier à la place des commandes de lecture. Pour lancer la lecture de votre projet : m Appuyez sur la barre d’espace. La lecture démarre à partir de la position de la tête de lecture. Vous pouvez utiliser les commandes de lecture pour lancer la lecture ou la suspendre, et aller au début ou à la fin de la Timeline. Vous pouvez positionner la tête de lecture en saisissant un timecode ici.20 Chapitre 2 Assemblage de votre projet multipiste Pour arrêter la lecture : m Appuyez à nouveau sur la barre d’espace. Voici quelques raccourcis clavier supplémentaires destinés à la lecture d’un projet multipiste : N’oubliez pas d’enregistrer votre projet fréquemment. Un projet multipiste Soundtrack Pro (.stmp) contient des informations sur les clips qu’il renferme et sur la manière dont ces derniers sont organisés et modifiés. Un tel fichier ne contient pas les fichiers audio utilisés dans le projet mais fait référence à l’emplacement de leur enregistrement. La taille du fichier du projet reste par consé- quent relativement réduite. Une fois que vous avez spécifié le nom et l’emplacement d’un projet, enregistrer ce dernier est aussi simple que procéder à sa lecture. Objectif Opération Pour que la lecture de votre projet se fasse à vitesse normale (1x) Appuyez sur la touche L. Pour suspendre la lecture Appuyez sur la touche K. Pour que la lecture de votre projet se fasse en arrière et à vitesse normale (1x) Appuyez sur la touche J. Pour doubler, tripler ou quadrupler la vitesse de lecture Appuyez sur L ou J deux, trois ou quatre fois. Pour placer la tête de lecture sur le début des séquences en boucle d’un clip Appuyez sur la touche Retour. Pour placer la tête de lecture sur le début de la Timeline et lancer immédiatement la lecture du projet Appuyez sur Maj + Retour. Pour placer la tête de lecture sur la modification précédente Appuyez sur le touche fléchée vers le haut. Pour placer la tête de lecture sur la modification suivante Appuyez sur le touche fléchée vers le bas. Pour lire une piste en solo Cliquez sur le bouton Solo de la piste voulue, puis appuyez sur la barre d’espace pour que seule cette piste soit lue. Pour couper le son d’une piste Cliquez sur le bouton Muet de la piste voulue, puis appuyez sur la barre d’espace pour que le projet soit lu sans cette piste.Chapitre 2 Assemblage de votre projet multipiste 21 Pour enregistrer votre projet : 1 Choisissez Fichier > Enregistrer (ou appuyez sur Commande + S). La zone de dialogue Enregistrer apparaît. 2 Attribuez un nom et un emplacement d’enregistrement à votre fichier, puis configurez les options d’enregistrement suivantes selon vos besoins :  Enregistrer avec compactage : enregistre le projet sans données d’affichage, ce qui permet d’économiser de l’espace disque mais peut ralentir l’ouverture du projet.  Collecter les fichiers audio : enregistre le projet ainsi qu’une copie de chaque fichier audio utilisé par le projet, dans l’emplacement sélectionné.  Collecter les fichiers audio inutilisés : copie tous les fichiers audio associés au projet (qu’ils soient ou non utilisés dans le projet) dans l’emplacement sélectionné.  Collecter les fichiers vidéo : copie le fichier vidéo du projet dans l’emplacement sélectionné.  Enregistrer localement les données modifiées : enregistre les fichiers audio modifiés du projet dans le même dossier que le projet. Si cette case n’est pas cochée, les données modifiées sont enregistrées à l’emplacement indiqué par l’option « Emplacement des données modifiées » définie dans les préférences Soundtrack Pro. 3 Cliquez sur Enregistrer. Dès lors que vous avez enregistré votre projet une première fois, le fait de choisir Fichier > Enregistrer (ou d’appuyer sur Commande + S) enregistre votre projet sans que la zone de dialogue d’enregistrement ne s’ouvre. Remarque : pour modifier vos préférences d’enregistrement après les avoir configurées, choisissez Fichier > Enregistrer sous. 22 Chapitre 2 Assemblage de votre projet multipiste Création d’un projet multipiste Soundtrack Pro à partir d’une séquence Final Cut Pro Vous pouvez sélectionner un ou plusieurs clips audio ou des séquences entières dans Final Cut Pro et les envoyer à Soundtrack Pro sous la forme d’un projet multipiste. Pour ouvrir un groupe de clips audio Final Cut Pro ou une séquence Final Cut Pro dans Soundtrack Pro : 1 Sélectionnez plusieurs clips dans la timeline de Final Cut Pro ou une séquence dans le navigateur de Final Cut Pro. 2 Tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, cliquez sur la sélection, puis choisissez Envoyer à > Projet multipiste Soundtrack Pro dans le menu contextuel. Une zone de dialogue contenant différents réglages apparaît. 3 Si vous souhaitez intégrer des données vidéo associées dans le projet multipiste, sélectionnez « Inclure la vidéo d’arrière-plan » pour insérer dans le projet la vidéo d’arrièreplan de la séquence. 4 Assurez-vous que l’option « Enregistrer le projet avec les dernières métadonnées de plan » est sélectionnée pour que les métadonnées soient également incluses. 5 Attribuez un nom au projet ou utilisez le nom par défaut, puis cliquez sur Enregistrer. Le contenu est alors enregistré comme projet multipiste Soundtrack Pro. Ainsi, vous pouvez modifier les données audio à l’aide de Soundtrack Pro. Pour savoir comment exporter un projet multipiste Soundtrack Pro dans Final Cut Pro, reportez-vous au chapitre 6, « Exportation de votre projet multipiste, » à la page 77.Chapitre 2 Assemblage de votre projet multipiste 23 Ajout de clips à la Timeline Un projet multipiste Soundtrack Pro type contient divers clips audio agencés sur plusieurs pistes audio. Sa piste vidéo peut aussi comporter un fichier vidéo. Après l’ajout d’un clip audio à un projet multipiste, vous pouvez être amené à le modifier ultérieurement. Lorsque vous coupez ou modifiez d’une façon ou d’une autre des clips audio dans la Timeline, le fichier multimédia d’origine ne s’en trouve pas affecté et les modifications sont enregistrées sous forme d’actions Soundtrack Pro n’altérant pas les données sources. Pour ajouter un clip audio à une piste : m Localisez le fichier que vous souhaitez utiliser (les onglets Navigateur et Rechercher constituent un bon point de départ au besoin), puis faites-le glisser sur une piste audio dans la Timeline de votre projet. Piste vidéo Les pistes audio repré- sentées sont organisées par fonction : orange et jaune pour le voiceover, vert clair pour les dialogues, vert foncé pour les effets et bleu pour la musique. Les informations relatives au clip sont reprises dans l’onglet Détails. Faites glisser le fichier à partir de l’onglet Navigateur, Rechercher ou Favoris dans une piste audio de la Timeline.24 Chapitre 2 Assemblage de votre projet multipiste Si vous disposez d’un fichier vidéo pour votre projet, il est facile de l’ajouter à la piste vidéo de ce dernier. Vous pouvez ajouter une séquence QuickTime (ou un fichier de tout format vidéo pris en charge par QuickTime) à la piste vidéo. Lorsque vous faites glisser la vidéo dans la piste, elle apparaît automatiquement au début de la Timeline. Si la vidéo comporte une piste audio, cette dernière apparaît sur la première piste audio de la Timeline. Soundtrack Pro applique aussi automatiquement le réglage de fréquence d’images de la séquence au projet audio ouvert. Pour ajouter un fichier vidéo à la piste vidéo de votre projet : m Localisez le fichier à utiliser, puis faites-le glisser sur la piste vidéo du projet. Le fichier vidéo apparaît dans l’onglet Vidéo ainsi qu’au début de la piste vidéo de la Timeline de votre projet. Modification de clips dans la Timeline Lorsque vous créez un projet multipiste, prenez quelques instants pour réfléchir à la manière dont vous allez organiser vos clips dans ses pistes. Vous pouvez par exemple organiser des clips dans les différentes pistes selon leur contenu : les dialogues, les effets et la musique peuvent servir de dénominateur commun pour regrouper des clips dans des pistes. En organisant vos clips audio, il est possible que vous ayez à les redimensionner, les couper, les coller, les supprimer, entre autres manipulations. Ces modifications simples sont expliquées un peu plus loin. Chacun de ces outils permet de modifier des fichiers audio.Chapitre 2 Assemblage de votre projet multipiste 25 Pour déplacer un clip dans une piste : m Faites glisser le clip horizontalement dans la piste, ou verticalement vers une autre piste. Pour changer la durée d’un clip : m Placez le pointeur au bord du clip, cliquez tout en le faisant glisser horizontalement. Pour supprimer un clip : m Sélectionnez le clip, puis appuyez sur le bouton Supprimer. Le clip disparaît de la piste. Pour couper un clip en plusieurs segments : 1 Sélectionnez l’outil Lame de rasoir dans la barre d’outils. Le pointeur représenté par la flèche se transforme en lame de rasoir pour vous indiquer que vous allez couper le clip et non le sélectionner. 2 Placez la lame de rasoir au-dessus du clip que vous désirez couper, puis cliquez. Vous coupez le clip à chaque fois que vous cliquez dessus. Vous pouvez ensuite activer l’outil de sélection afin de déplacer, redimensionner ou supprimer toute portion restante du clip dont vous n’avez pas besoin. Vous pouvez aussi couper l’ensemble des clips d’un projet. L’indication que vous pouvez changer la durée d’un clip se traduit par le changement du pointeur en pointeur de redimensionnement.26 Chapitre 2 Assemblage de votre projet multipiste Pour couper tous les clips sur toute la hauteur de la Timeline : 1 Sélectionnez l’outil « Lame de rasoir sur tout » dans la barre d’outils. Le pointeur se transforme en double lame de rasoir. 2 Placez la double lame de rasoir à l’endroit de la Timeline que vous souhaitez couper verticalement, puis cliquez. Les clips sont coupés sur toute la hauteur de la Timeline. Vous pouvez ensuite activer l’outil de sélection afin de déplacer, redimensionner ou supprimer toute portion restante des clips dont vous n’avez pas besoin. Ajout de marqueurs à la Timeline Les marqueurs de Soundtrack Pro servent à marquer des points spécifiques d’un projet multipiste. Ils sont souvent employés pour marquer les points de sonorisation et d’édition dans un projet. Soundtrack Pro prévoit quatre types de marqueurs : de battements, temporels, de fin du projet et de podcast. Cette rubrique présente les trois premiers. Si vous souhaitez en savoir plus sur les marqueurs de podcast, reportez-vous au chapitre 6 intitulé « Exportation de votre projet multipiste » à la page 77.Chapitre 2 Assemblage de votre projet multipiste 27 Il est généralement possible de distinguer les marqueurs par leur couleur : les marqueurs temporels sont verts, les marqueurs de battements violets et les marqueurs de fin du projet rouges. Si un projet comporte de nombreux marqueurs du même type, vous pouvez les différencier à l’aide d’étiquettes. Vous pouvez aussi joindre des commentaires aux marqueurs. Pour ajouter un marqueur à la Timeline : 1 Placez la tête de lecture à l’endroit où vous souhaitez positionner le marqueur. 2 Effectuez l’une des opérations suivantes :  Choisissez Marquer > Définir la fin du projet.  Cliquez sur les boutons « Ajouter un marqueur temporel » ou « Ajouter un marqueur de battements » dans la barre d’outils. Le type de marqueur que vous avez ajouté apparaît dans la Timeline. Pour ajouter un nom ou un commentaire à un marqueur : 1 Sélectionnez le marqueur auquel vous désirez ajouter du texte. 2 Affichez l’onglet Détails en cliquant dessus. Saisissez ensuite un nom ou des commentaires dans les champs appropriés, puis appuyez sur Retour. Le nom apparaît à côté du marqueur dans la Timeline. Quand vous placez le pointeur au-dessus du marqueur, les commentaires s’affichent. Il est facile de naviguer entre les marqueurs de la Timeline. Marqueur de fin du projet (rouge) Marqueur temporel (vert) Marqueur de battement (violet) Tapez un nom dans le champ Nom du marqueur. Ajoutez un commentaire ici le cas échéant.28 Chapitre 2 Assemblage de votre projet multipiste Pour placer la tête de lecture d’un marqueur à l’autre : m Appuyez sur Option + M pour passer au marqueur suivant (à droite). m Appuyez sur Maj + M pour passer au marqueur précédent (à gauche). Création d’un fondu dans un clip audio Il n’y a rien de plus facile que d’ajouter un fondu à un clip audio. Après avoir placé le fondu, vous pouvez utiliser la palette Sélecteur de fondu pour le remodeler selon vos besoins. Pour créer un fondu dans un clip de la Timeline : 1 À l’aide de l’outil de sélection, placez le pointeur sur le bord supérieur gauche ou droit du clip. Le pointeur se transforme en pointeur de fondu. 2 Faites glisser le pointeur depuis le coin vers le centre du clip. Un fondu est surimposé au clip. 3 Pour allonger ou raccourcir le fondu, faites glisser son bord horizontalement. Vous pouvez utiliser la palette Sélecteur de fondu pour remodeler votre fondu. Pour remodeler le contour d’un fondu à l’aide de la palette Sélecteur de fondu : 1 Double-cliquez sur le fondu à ajuster pour afficher la palette Sélecteur de fondu. 2 Sélectionnez une forme de fondu à appliquer. Pour en savoir plus sur la palette Sélecteur de fondu, reportez-vous au Manuel de l’utilisateur de Soundtrack Pro.Chapitre 2 Assemblage de votre projet multipiste 29 Ajout d’un Crossfade entre deux clips Les Crossfades (fondus enchaînés) créent une transition fluide, entre deux clips audio qui se chevauchent, en mélangeant les fondus dans la zone où ils sont appliqués. Les Crossfades sont souvent utilisés pour adoucir les changements brusques de volume qui peuvent se produire entre les clips. Après avoir appliqué un Crossfade entre deux clips, vous pouvez ajuster la longueur, la position et la courbe de ce dernier. Pour ajouter un Crossfade entre deux clips audio : 1 Vérifiez si le bouton du mode Crossfade de la Timeline est activé. 2 Faites glisser le premier clip sur le second. Plus les clips se chevauchent et plus le Crossfade est long. Le Crossfade apparaît par-dessus les clips. Voici quelques exemples de ce qu’il est possible de faire avec les Crossfade : Crossfade Objectif Opération Pour ajuster la longueur d’un Crossfade Maintenez le pointeur au-dessus du bord gauche ou droit du Crossfade jusqu’à ce que le pointeur de fondu apparaisse, puis faites glisser le bord selon vos besoins. Pour ajuster la position d’un Crossfade Maintenez le pointeur au-dessus du bord supérieur ou inférieur du Crossfade jusqu’à ce que le pointeur représente une main, puis faites glisser le Crossfade. Pour ajuster la courbe d’un Crossfade Double-cliquez sur le Crossfade pour afficher la palette du Sélecteur de fondu, puis cliquez pour sélectionner une forme. 30 Chapitre 2 Assemblage de votre projet multipiste Ajout de pistes, de bus et de sous-mixages à un projet multipiste Les pistes, les bus et les sous-mixages sont organisés en rangées dans la Timeline et fonctionnent tous de manière similaire. Vous pouvez en ajouter plusieurs à un projet et changer leur aspect et certaines de leurs fonctions. Ajout, déplacement et suppression de pistes, de bus et de sousmixages Les commandes nécessaires pour ajouter, déplacer et supprimer des pistes, des bus et des sous-mixages sont similaires. Pour ajouter une piste, un bus ou un sous-mixage à la Timeline : m Choisissez Multipiste > Ajouter une piste, Ajouter un bus ou Ajouter un sous-mixage. Pour déplacer une piste, un bus ou un sous-mixage vers un autre endroit de la Timeline : m Faites glisser la rangée de la piste, du bus ou du sous-mixage vers un nouvel emplacement dans sa catégorie. Pour supprimer une piste, un bus ou un sous-mixage dans la Timeline : m Sélectionnez la piste, le bus ou le sous-mixage à supprimer, puis choisissez Multipiste > Supprimer la piste, Supprimer le bus ou Supprimer le sous-mixage. Personnalisation d’une piste, d’un bus ou d’un sous-mixage Pour vous aider à organiser et à trier les pistes, les bus et les sous-mixages dans la Timeline, vous pouvez leur attribuer un nom, une icône et une couleur personnalisés. Pour changer le nom d’une piste, d’un bus ou d’un sous-mixage : 1 Sélectionnez le nom. Il apparaît alors en surbrillance accompagné d’un champ de texte. 2 Tapez un nouveau nom, puis appuyez sur Retour. Le nom de la piste, du bus ou du sous-mixage est modifié.Chapitre 2 Assemblage de votre projet multipiste 31 Pour changer l’icône d’une piste, d’un bus ou d’un sous-mixage : 1 Double-cliquez sur l’icône. Son menu apparaît. 2 Sélectionnez une icône pour représenter la piste, le bus ou le sous-mixage. L’icône sélectionnée remplace alors l’icône précédente. Vous pouvez également changer la couleur d’une piste ou d’un bus. Pour changer la couleur d’une piste ou d’un bus : m Tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, cliquez sur la piste ou sur le bus, choisissez « Couleur de la piste », puis la couleur voulue dans le menu contextuel. La barre de couleur et les clips de la piste ou du bus prennent la couleur que vous avez indiquée. Tous les clips que vous ajoutez à la piste ou au bus adoptent à leur tour cette couleur.32 Chapitre 2 Assemblage de votre projet multipiste Utilisation de Panners de pistes stéréo et Surround Par défaut, les pistes de Soundtrack Pro sont définies sur une balance stéréo (deux canaux). Cependant, il est possible de passer de la balance stéréo à la balance Surround (canaux 5.1). Si vous devez procéder à des ajustements plus fins que ne vous le permet le Panner Surround de la piste, vous pouvez appliquer une balance à cette dernière à l’aide de la palette Panner Surround. Ces pistes ont des Panners stéréo. La piste illustrée comporte un Panner Surround. Les valeurs des Panners et de balance concordent dans la Timeline et le mélangeur.Chapitre 2 Assemblage de votre projet multipiste 33 Pour ajuster la balance stéréo sur une piste : m Faites glisser le curseur de balance horizontalement. La valeur de la balance s’actualise au-dessus du curseur au grè du changement d’emplacement du curseur. Un Panner stéréo apparaît par défaut sur les nouvelles pistes et les nouveaux bus dans Soundtrack Pro. Il est facile de faire passer le Panner d’une piste ou d’un bus de stéréo à Surround. Vous pouvez aussi activer une palette Panner Surround si vous souhaitez effectuer des réglages précis de la position du son. Pour activer le Surround du Panner d’une piste ou d’un bus : m Tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, cliquez sur la piste ou le bus, puis choisissez « Utiliser le Panner Surround » dans le menu contextuel. Le Panner Surround remplace alors le Panner stéréo.34 Chapitre 2 Assemblage de votre projet multipiste Passer d’un Panner Surround à un Panner stéréo se fait de la même manière, mis à part qu’il s’agit de l’option « Utiliser le Panner stéréo » qui apparaît dans le menu contextuel. Pour ajuster la balance Surround sur une piste : m Déplacez le galet pour déterminer la direction du son. Qu’est-ce que le son Surround ? Dans Soundtrack Pro, la différence entre le son stéréo de mixage et le son Surround dépend :  du type de Panner que vous attribuez à la piste ;  de la sortie de sous-mixage que vous attribuez au sous-mixage ;  des sorties audio matérielles que vous avez connectées à Soundtrack Pro. Lorsque vous mixez en stéréo, deux canaux sont utilisés : G (gauche) et D (droit). C’est la configuration que l’on retrouve généralement dans les systèmes audio automobile, les écouteurs, etc. Lorsque vous mixez en son Surround 5.1, six canaux sont alors utilisés : G (gauche), D (droit), C (centre), Gs (gauche Surround), Ds (droit Surround) et LFE (Low Frequency Effects, effets basses fréquences). Voici une configuration de haut-parleur Surround 5.1 type : 80˚ 30˚ 30˚ 80˚ D G LFE C Gs Ds Faites glisser le galet dans le Panner Surround et repositionner le son de la piste.Chapitre 2 Assemblage de votre projet multipiste 35 Le son Surround crée une sensation de perspective en plaçant les sons dans un espace circulaire. En ajustant la balance, on change donc la direction du son. Vous pouvez appliquer une balance au son d’une piste à travers n’importe lequel des canaux de Surround 5.1 : G (gauche), D (droit), C (centre), Gs (gauche Surround), Ds (droit Surround) et LFE (Low Frequency Effects, effets basses fréquences). Le canal LFE se contrôle à l’aide du curseur de valeur correspondant dans la partie inférieure de la palette Panner Surround. Si vous souhaitez effectuer des ajustements du son Surround, vous pouvez utiliser la palette Panner Surround. La palette Panner Surround contient des commandes destinées à la balance du canal de destination du son et déterminant comment les canaux interagissent. Pour afficher la palette Panner Surround afin de procéder à des ajustements précis de la balance : m Double-cliquez sur le Panner Surround. La palette Panner Surround apparaît. Canal C (centre) Canal G (gauche) Canal Gs (gauche Surround) Canal D (droit) Déplacez le galet pour déterminer la direction du son. Canal Ds (droit Surround)36 Chapitre 2 Assemblage de votre projet multipiste Pour en savoir plus sur la palette Panner Surround ainsi que sur ses contrôles avancés, reportez-vous au Manuel de l’utilisateur de Soundtrack Pro. Important : utiliser un Panner Surround sur une piste n’est qu’une des étapes qui permettent d’obtenir une sortie de signal Surround. Pour affecter du son Surround à une piste, il faut que les Panners Surround lui soient affectés, que la sortie de sous-mixage appropriée soit affectée au sous-mixage et que les sorties audio matérielles Surround soient connectées à Soundtrack Pro. Sans cela, votre mixage Surround ne fonctionnera pas correctement. Pour en savoir plus sur la configuration du son Surround, reportezvous au Manuel de l’utilisateur de Soundtrack Pro. Routage de votre projet multipiste Un projet multipiste simple contient plusieurs pistes ainsi qu’un sous-mixage. Le signal est acheminé par le biais du bus du Master vers les sorties matérielles. Objectif Opération Pour déplacer le galet Cliquez n’importe où dans le Panner et faites glisser le galet vers la position voulue. Pour placer directement le galet au centre Double-cliquez n’importe où dans le Panner. Le galet se place alors directement au centre du Panner. Pour maintenir l’angle du hautparleur tout en ajustant la distance du galet par rapport au centre Maintenez la touche Option enfoncée tout en faisant glisser le galet. Pour maintenir la distance à partir du centre tout en ajustant l’angle du haut-parleur Maintenez la touche Commande enfoncée tout en faisant glisser le galet. 1 2 3 4 Pistes Sous-mixage Sorties matérielles 5 6 7 8 Bus du Master Panner stéréo 2 1 Droite GaucheChapitre 2 Assemblage de votre projet multipiste 37 Il est aisé de créer plusieurs sous-mixages d’un même projet en ajoutant des bus et des sous-mixages, puis en acheminant les pistes appropriées à travers ces derniers. Comme on peut le voir sur l’illustration précédente, il est possible d’acheminer des pistes vers des sous-mixages différents. Dans notre cas, les pistes 1 à 3 contiennent des effets, les pistes 4 et 5 de la musique et les pistes 6 à 8 des dialogues. Vous pouvez ajuster le volume de chacun des trois sous-mixages ou leur ajouter des effets. Les trois sous-mixages sont combinés et envoyés en sortie à travers le bus du Master. Pour en savoir plus sur l’acheminement des pistes, reportez-vous au Manuel de l’utilisateur de Soundtrack Pro. Ajout d’effets à votre projet multipiste Soundtrack Pro est fourni avec un ensemble vraiment complet d’effets, dont :  Délai qui peut être utilisé pour ajouter des échos et autres sons récurrents ;  Distortion qui change la tonalité du signal audio afin de recréer le son saturé d’amplificateurs à tube ou de la distorsion numérique ;  Dynamique qui vous permet de modeler le volume de vos projets dans le temps ;  EQ (égalisation) et filtre qui vous permet de changer le niveau des fréquences sélectionnées (grâce à l’égalisation, vous pouvez modeler le son de vos projets) ;  Image permettant de faire paraître plus riches certains sons ou l’ensemble du mixage ;  Modulation qui applique un délai au signal audio et le fait glisser par battements lorsqu’il est lu par rapport au signal d’origine ;  Pitch qui transpose ou crée une certaine unité, épaisseur ou harmonie entre les pistes audio ;  Réverbération qui peut être utilisé pour simuler le son d’espaces acoustiques ; 1 2 3 4 Pistes 5 6 7 8 Droite Gauche Centre Surround droit Surround gauche LFE Sous-mixage Canaux 1–6 Sorties matérielles Master bus 4 3 2 1 6 7 8 5 Canaux 1–6 Music Canaux 1–6 Effects Bus du Master 4 3 2 1 6 7 8 Musique 5 Effets Clip audio Panner Surround Dialogue38 Chapitre 2 Assemblage de votre projet multipiste  Spécialisé, ensemble d’effets qui vous aident à réduire le bruit ou à ajouter des composants hautes fréquences ou des signaux de basses ;  Utilitaire, ensemble d’effets qui vous aident à accomplir des tâches de routine. Remarque : le Manuel de l’utilisateur de Soundtrack Pro et le Guide de référence des effets de Soundtrack Pro (disponible dans le menu Aide) fournissent des informations détaillées sur les différents effets proposés dans Soundtrack Pro. Vous pouvez ajouter un effet à n’importe quelle piste, bus ou sous-mixage en tant qu’effet en temps réel. Les effets en temps réel modifient les signaux audio lorsqu’ils sont traversés par ces derniers. Appliquer un effet en tant qu’effet en temps réel permet d’identifier immédiatement son incidence sur le projet. Vous pouvez ajouter des effets en temps réel à une piste, un bus ou un sous-mixage, ou encore au bus du Master d’un projet. Pour ajouter un effet en temps réel à une piste, à un bus ou à un sous-mixage, ou au bus du Master d’un projet : 1 Sélectionnez la piste, le bus, le sous-mixage ou le bus du Master auquel vous souhaitez appliquer l’effet. 2 Dans l’onglet Effets de l’inspecteur, sélectionnez l’effet à appliquer dans la liste Effets. Cliquez ensuite sur le bouton d’ajout (+) de l’onglet Effets pour appliquer l’effet. L’effet Compressor est sélectionné. Cliquez sur le bouton symbolisé par le signe plus pour ajouter l’effet à la piste que vous avez sélectionnée dans la Timeline.Chapitre 2 Assemblage de votre projet multipiste 39 3 La fenêtre des réglages avancés de l’effet s’affiche. Au besoin, ajustez l’effet, puis cliquez sur le bouton de fermeture de la fenêtre. Une fois que vous avez appliqué l’effet, vous pouvez aussi ajuster ses paramètres dans la Timeline ou l’onglet Effets, et l’activer ou le désactiver en cochant ou désactivant la case qui lui correspond dans l’onglet Effets. Fenêtre des réglages avancés de Compressor Apportez toutes les modifications nécessaires, puis cliquez sur le bouton de fermeture. Vous pouvez aussi cliquer sur le triangle d’affichage de l’effet dans l’onglet Effets et ajuster ses paramètres. Cliquez sur le triangle d’affichage en regard du nom de la piste pour voir l’effet que vous avez ajouté. 40 Chapitre 2 Assemblage de votre projet multipiste Automatisation des paramètres de piste, de bus, de sousmixage et de bus du Master à l’aide de points d’enveloppe Chaque piste, bus et sous-mixage de votre Timeline, ainsi que le bus du Master de votre projet, possède un jeu d’enveloppes pour les paramètres de volume, de balance et autres. Pour dire que l’on crée et ajuste des points d’enveloppe, on emploie souvent les expressions « automatiser une enveloppe » ou « utiliser l’automatisation ». Lorsque vous ajoutez un effet à une piste, un bus, un sous-mixage ou au bus du Master, cet effet reçoit automatiquement des enveloppes pour chaque paramètre qui peut être automatisé et qui y est associé. Pour automatiser la ligne de l’enveloppe, vous pouvez lui ajouter des points et déplacer ces points verticalement afin de modifier les paramètres de la piste, du bus, du sous-mixage ou du bus du Master dans le temps. Pour automatiser les paramètres d’une piste : 1 Sélectionnez la piste qui contient les paramètres d’effet que vous souhaitez automatiser. 2 Dans l’onglet Effets, cliquez sur le triangle d’affichage en regard de l’effet à automatiser et veillez à cocher la case Auto de tous les paramètres que vous souhaitez automatiser. 3 Dans la Timeline, cliquez sur le triangle d’affichage de la piste afin de faire apparaître ses enveloppes. Les paramètres d’enveloppe des effets appliqués à la piste apparaissent sous la forme de lignes droites. 4 Pour ajouter un point d’enveloppe quelque part sur la ligne, double-cliquez sur la ligne de l’enveloppe. Un nouveau point apparaît ainsi. Un nombre indiquant son niveau y est également mentionné. Vous pouvez faire glisser les points d’enveloppe verticalement pour ajuster leur niveau. Vous pouvez aussi les faire glisser horizontalement pour ajuster leur position. 5 Pour apporter des réglages plus précis à une enveloppe, faites un zoom avant sur la piste à l’aide du curseur de zoom, puis procédez comme précédemment. 6 Une fois terminé d’automatiser l’enveloppe, lancez la lecture de la piste pour écouter les effets d’automatisation que vous avez appliqués. Double-cliquez sur la ligne d’enveloppe pour créer un point d’enveloppe mobile.Chapitre 2 Assemblage de votre projet multipiste 41 Voici quelques exemples de ce qu’il est possible de faire avec les enveloppes et les points d’enveloppe. Objectif Opération Pour sélectionner un point d’enveloppe  Cliquez dessus. Pour sélectionner plusieurs points d’enveloppe  Faites glisser votre pointeur sur les points voulus. Pour déplacer des points d’enveloppe  Faites glisser le ou les points d’enveloppe horizontalement pour l’emplacement ou verticalement pour la valeur. Pour définir la valeur précise d’un point d’enveloppe  Tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, cliquez sur le point d’enveloppe, choisissez « Définir une valeur » dans le menu contextuel, puis saisissez une autre valeur dans la zone de dialogue qui s’affiche. Pour déplacer un point d’enveloppe horizontalement  Sélectionnez un ou plusieurs points d’enveloppe, puis appuyez sur Commande + Flèche gauche ou Commande + Flèche droite pour déplacer le ou les points d’enveloppe sur la ligne suivante ou précédente de la grille.  Sélectionnez un ou plusieurs points d’enveloppe, puis appuyez sur Commande + Option + Flèche gauche ou Commande + Option + Flèche droite pour déplacer le ou les points d’enveloppe sur le pixel suivant ou précédent de la grille. Pour déplacer la valeur d’une enveloppe verticalement  Sélectionnez un ou plusieurs points d’enveloppe, puis appuyez sur Commande + Flèche vers le haut ou Commande + Flèche vers le bas pour déplacer le ou les points d’enveloppe verticalement de cinq pixels.  Sélectionnez un ou plusieurs points d’enveloppe, puis appuyez sur Commande + Option + Flèche vers le haut ou Commande + Option + Flèche vers le bas pour déplacer le ou les points d’enveloppe verticalement d’un seul pixel. Pour copier-coller une suite de points d’enveloppe  Sélectionnez les points d’enveloppe que vous souhaitez copier. Appuyez sur Commande + C pour copier les points d’enveloppe, puis positionnez le pointeur là où vous souhaitez les coller et appuyez sur Commande + V en ce sens. Pour supprimer un ou plusieurs points d’enveloppe  Sélectionnez les points d’enveloppe que vous souhaitez supprimer, puis appuyez sur Supprimer. 3 43 3 Utilisation de fichiers audio donnés Au chapitre 2, vous avez appris à rassembler et disposer des fichiers dans un projet multipiste. Le présent chapitre explique comment Soundtrack Pro traite divers types de fichier audio et comment modifier des effets et les appliquer à un fichier audio. Ce chapitre couvre les thèmes suivants :  Montage de fichiers audio (p. 43)  Traitement des fichiers audio par Soundtrack Pro (p. 44)  Emplacement des fichiers audio modifiés (p. 45)  Ouverture d’un fichier audio Logic Pro dans Soundtrack Pro (p. 49)  Ajout de processus et d’effets à un fichier à l’aide d’actions (p. 50)  Utilisation des outils de l’Éditeur de fichiers (p. 53) Montage de fichiers audio La présentation Éditeur de fichiers et l’onglet du même nom sont idéals pour modifier la forme d’onde d’un fichier audio, pour résoudre des problèmes audio courants et pour mener des actions ne modifiant pas les données source afin d’appliquer à un fichier des processus tels que l’égalisation et la réduction du bruit. Utilisez ces outils pour étirer, effectuer un zoomer avant ou arrière, faire défiler ou modifier de quelque autre manière que ce soit le fichier sélectionné dans la timeline. Fichier audio ouvert dans la présentation Éditeur de fichiers44 Chapitre 3 Utilisation de fichiers audio donnés Lorsque l’on modifie un fichier audio, certaines modifications, dont la normalisation ou l’amplification des niveaux, l’application d’effets et de bruit ou encore la réduction des clics et des craquements, sont apportées sans modifier les données source. Les actions peuvent à tout moment être réordonnées, activées, désactivées ou supprimées à l’aide de l’onglet Actions. Ce chapitre est partagé en deux sections. La première explique les différentes maniè- res dont Soundtrack Pro traite les fichiers audio associés aux projets multipiste et les fichiers audio seuls qui ne sont pas associés à ce type de projets. La deuxième indique comment effectuer des modifications spécifiques et appliquer des effets à des fichiers audio à la fois dans l’onglet Éditeur de fichiers et dans la présentation du même nom. Traitement des fichiers audio par Soundtrack Pro Soundtrack Pro peut traiter de nombreux types de fichiers audio, notamment les fichiers AIFF et WAV. Pour que vous puissiez modifier des fichiers à l’aide des actions Soundtrack Pro sans modifier les données source, Soundtrack Pro enregistre souvent automatiquement une copie de vos fichiers en tant que fichiers de projet audio (.stap). Ainsi, vous pouvez directement modifier vos fichiers sans pour autant perdre ses versions antérieures. Toutes les modifications que vous apportez au spectre de fréquence ou à la forme d’onde d’un fichier, ainsi que les modifications d’échantillon, l’étirement audio ou les effets de traitement que vous pourriez appliquer à un fichier, se présentent sous la forme d’actions. Après avoir ajouté des actions à un fichier, vous pouvez changer l’ordre dans lequel elles sont appliquées, ainsi que les activer, les désactiver ou les supprimer, à partir de l’onglet Actions. Les actions sont utiles car non destructives, c’est-à-dire qu’elles ne modifient pas les données sources, et on peut facilement en obtenir un aperçu, les réordonner ou les supprimer dans l’onglet Actions. Dans l’onglet Actions sont répertoriées les actions appliquées à « Traffic City », le fichier ouvert dans l’Éditeur de fichiers.Chapitre 3 Utilisation de fichiers audio donnés 45 Emplacement des fichiers audio modifiés Il existe deux emplacements dans Soundtrack Pro dans lesquels il est possible de travailler avec un fichier audio. Pour modifier des fichiers appartenant à un projet multipiste, utilisez l’onglet Éditeur de fichiers. Pour modifier des fichiers non connectés à un projet multipiste, utilisez la présentation Éditeur de fichiers. Édition de fichiers associés à un projet multipiste dans l’onglet Éditeur de fichiers Dans l’Éditeur de fichiers, vous pouvez modifier des fichiers audio utilisés dans un projet multipiste, sans pour autant en modifier les données sources, et leur appliquer des effets. Pour ouvrir un fichier à partir de la Timeline d’un projet multipiste, rien de plus simple : cliquez sur le fichier dans la Timeline pour qu’il apparaisse dans l’onglet Éditeur de fichiers sous la Timeline. Lorsque vous travaillez sur des fichiers dans l’onglet Éditeur de fichiers, il est inutile que vous les enregistriez ou les mettiez à jour. L’enregistrement du projet multipiste entraîne automatiquement celui de tous les fichiers audio associés au projet. Suivi des relations entre les fichiers et les clips Il est impératif de suivre les relations entre les différents clips qui se rapportent à un même fichier audio. Si vous appliquez un effet à un fichier .aiff dans un projet multipiste, Soundtrack Pro crée un projet de fichier audio (.stap) à partir du fichier d’origine pour que vous puissiez modifier le fichier sans altérer ses données source, et l’effet est appliqué sous la forme d’une action au nouveau fichier .stap. La situation se complique quand plusieurs clips se rapportent à un même fichier audio. Par exemple, si vous faites glisser trois copies d’un fichier .wav dans la Timeline d’un projet multipiste, trois clips sont créés renvoyant tous trois au fichier .wav d’origine. Si vous sélectionnez l’un des nouveaux clips pour le modifier, un projet de fichier audio est créé d’après le fichier .wav auquel le clip fait référence. Toutes les modifications que vous apportez sont appliquées au nouveau projet de fichier audio et les trois clips sont mis à jour afin de renvoyer au nouveau projet de fichier audio créé. L’onglet Éditeur de fichiers, montrant un fichier sélectionné dans la Timeline (non représentée)46 Chapitre 3 Utilisation de fichiers audio donnés Vous pouvez vous inspirer de l’exemple ci-dessus si vous souhaitez procéder à des opé- rations de nettoyage de fichiers, notamment de réduction du bruit, sur plusieurs clips partageant le même fichier. L’application d’un effet à l’un des clips modifie alors tous les clips renvoyant à ce fichier. Comment faire alors si l’on souhaite modifier les données audio d’un seul clip ? Pour modifier un seul clip (et non tous les clips associés au fichier source), vous devez créer un projet de fichier audio à part. Un fichier audio est alors créé pour chaque clip sélectionné. La création d’un fichier audio autonome présente également l’avantage de réduire le fichier à la durée du clip d’origine. Pour ouvrir un fichier (ou le fichier auquel un clip fait référence) dans l’onglet Éditeur de fichiers, procédez de l’une des manières suivantes : m Cliquez sur le fichier. Dès lors que le fichier (ou le clip qui fait référence à un fichier) est sélectionné dans la Timeline, il apparaît dans l’onglet Éditeur de fichiers sous la Timeline. m Faites glisser un fichier de l’onglet Navigateur, Rechercher, Favoris ou Chutier à l’Éditeur de fichiers ou la Timeline. La forme d’onde du fichier s’affiche dans l’onglet Éditeur de fichiers sous la Timeline. Important : n’oubliez pas qu’en travaillant dans l’onglet Éditeur de fichiers, vous n’avez pas à vous soucier d’enregistrer les fichiers audio associés à un projet multipiste car tous les fichiers audio qui s’y trouvent sont automatiquement enregistrés. Pour ouvrir un fichier (ou le fichier auquel un clip fait référence) sous la forme d’un projet de fichier audio à part : m Sélectionnez le clip, puis choisissez Clip > Remplacer par un projet audio autonome. Le clip sélectionné est remplacé par un nouveau projet de fichier audio.Chapitre 3 Utilisation de fichiers audio donnés 47 Modification de fichiers audio dans la présentation Éditeur de fichiers Si vous ne travaillez pas dans un projet multipiste et que vous souhaitez modifier des fichiers audio précis, utilisez la présentation Éditeur de fichiers. Un fichier audio donné, ouvert à partir de l’onglet Navigateur, Rechercher ou Favoris, apparaît dans la présentation Éditeur de fichiers. Il est possible d’ouvrir plusieurs fichiers audio simultanément. Dans ce cas, chaque fichier dispose de son propre onglet Éditeur de fichiers. Si vous modifiez un fichier ou lui appliquez un effet, Soundtrack Pro convertit automatiquement son format d’origine en projet de fichier audio. Grâce à cette conversion, les modifications sont appliquées au fichier en tant qu’actions. Par défaut, Soundtrack Pro choisit le format du projet de fichier audio afin de pouvoir enregistrer vos actions n’entraînant aucune modification des données source. Hormis si vous modifiez des fichiers associés à un projet multipiste, vous devez enregistrer les modifications que vous apportez à un projet de fichier audio ou à tout autre type de fichier. Pour ouvrir un projet de fichier audio ou tout autre fichier audio unique dans la présentation Éditeur de fichiers, procédez de l’une des manières suivantes : m Double-cliquez sur un fichier dans l’onglet Navigateur, Rechercher ou Favoris. m Ouvrez un fichier à partir de Final Cut Pro ou de toute autre application audio. Remarque : un fichier issu d’un projet multipiste apparaît également dans la présentation Éditeur de fichiers quand vous double-cliquez sur le fichier dans la Timeline. Pour enregistrer un projet de fichier audio ou autre fichier audio précis : 1 Choisissez Fichier > Enregistrer. Si vous double-cliquez sur un fichier, il apparaît en plein écran dans l’Éditeur de fichiers.48 Chapitre 3 Utilisation de fichiers audio donnés Une zone de dialogue Enregistrer s’affiche alors. 2 Attribuez un nom à votre fichier dans le champ Enregistrer sous, puis servez-vous du menu local Où pour indiquer l’emplacement de son enregistrement. 3 Choisissez un type de fichier sous lequel enregistrer votre projet de fichier audio, et choisissez d’autres options le cas échéant.  Prof. bits: choisissez un débit entier de 8 bits à 32 bits, ou un débit à virgule flottante.  Fréq. d’échantillonnage : choisissez entre 32 000 et 192 000 Hz.  Diffuser : réduit les erreurs de quantification des signaux audio de faible amplitude, par exemple au niveau de la fin d’un fondu sortant ou des derniers instants d’un effet de réverbération. La diffusion est utile lors de l’enregistrement d’un projet avec une profondeur de bits ou une fréquence d’échantillonnage inférieure.  Inclure l’audio source : inclut une copie des fichiers audio source dans le projet de fichier audio. Si vous ne cochez pas cette case, un lien vers le fichier audio source est inclus à la place d’une copie. Remarque : si vous ne cochez pas la case « Inclure l’audio source », le fichier audio d’origine ne s’enregistre alors pas en tant que partie intégrante du fichier de projet et votre projet n’est lisible que si le fichier d’origine se trouve à son emplacement d’origine. Chapitre 3 Utilisation de fichiers audio donnés 49  Mettre à jour les projets multipistes : si vous enregistrez un fichier associé au projet multipiste, également inclus dans un ou plusieurs projets multipiste, Soundtrack Pro peut remplacer toutes les instances de ce fichier dans les projets où il est inclus. Pour permettre ce changement, cochez la case « Mettre à jour les projets multipistes ». Important : pour écraser les données source du fichier d’origine, enregistrez le fichier sous son type de départ, et non sous le nouveau projet de fichier audio. 4 Cliquez sur le bouton Enregistrer. Votre fichier est alors enregistré. Ouverture d’un fichier audio Logic Pro dans Soundtrack Pro La fonction Ouvrir dans l’éditeur externe vous permet de modifier ou de traiter des fichiers mono, stéréo et multicanal à l’aide des outils et fonctions d’édition de Soundtrack Pro. Pour ouvrir un fichier audio Logic Pro dans Soundtrack Pro : 1 Sélectionnez une région audio dans la fenêtre Arrangement de Logic Pro. 2 Choisissez Option > Audio > Ouvrir dans Soundtrack Pro. Soundtrack Pro ouvre et affiche le fichier audio associé à la région audio sélectionnée. Remarque : Logic Pro vous permet de sélectionner n’importe quelle application d’édition externe. Logic Pro est fourni avec Soundtrack Pro comme application d’édition externe par défaut. Si vous avez précédemment sélectionné une autre application, son nom apparaît dans le menu Options de Logic Pro. Pour savoir comment changer d’éditeur externe dans Logic Pro, reportez-vous au Manuel de l’utilisateur de Logic Pro. Pour renvoyer les données audio modifiées à Logic Pro : 1 Après avoir modifié les données audio dans Soundtrack Pro, choisissez Processus > Aplatir toutes les actions, pour effectuer le rendu de vos modifications. 2 Enregistrez le fichier en choisissant Fichier > Enregistrer. Remarque : Logic Pro n’est pas conçu pour lire les fichiers de projets Soundtrack Pro directement. Les fichiers doivent toujours être enregistrés en tant que fichiers audio aplatis. 3 Revenez dans Logic Pro. Le fichier audio que vous avez modifié dans Soundtrack Pro se met automatiquement à jour. Pour en savoir plus, consultez le Manuel de l’utilisateur de Logic Pro et le Manuel de l’utilisateur de Soundtrack Pro.50 Chapitre 3 Utilisation de fichiers audio donnés Ajout de processus et d’effets à un fichier à l’aide d’actions Lorsque vous ajoutez un processus ou un effet à un fichier audio, par exemple une égalisation ou de réverbération, il est appliqué sous forme d’action. Les actions sont utiles car non destructives, c’est-à-dire qu’elles ne modifient pas les données sources, et sont simples d’emploi : on peut facilement en obtenir un aperçu, les réordonner ou les supprimer dans l’onglet Actions. Une fois satisfait des actions appliquées à un fichier, vous pouvez les aplatir sur ce même fichier. Cette opération a pour effet d’appliquer toutes les actions de votre liste comme une seule action. Les actions ne peuvent alors plus être modifiées et la taille du fichier audio s’en trouve réduite. Tous les processus ou effets Soundtrack Pro peuvent être appliqués à un fichier audio sous forme d’actions. Vous pourrez constater ci-dessous la variété des processus et effets que renferme le menu Processus. Il existe diverses manières d’ajouter des processus et des effets à un fichier. En voici une très simple. Pour ajouter un processus ou un effet à un fichier (ou à une portion dans un fichier) sous forme d’action : 1 Sélectionnez le fichier (ou la portion du fichier) auquel vous souhaitez ajouter l’effet dans l’Éditeur de fichiers. 2 Choisissez Processus, puis le processus que vous désirez appliquer en tant qu’action. 3 Certaines actions sont associées à une zone de dialogue contenant des options de configuration. Sélectionnez les réglages de votre choix, puis cliquez sur Appliquer. L’action apparaît alors dans la liste Actions. En ajoutant un processus ou un effet du menu Processus, il est appliqué en tant qu’action.Chapitre 3 Utilisation de fichiers audio donnés 51 Si vous ajoutez une action, elle apparaît automatiquement au-dessus de la barre d’insertion d’actions. Opérations simples à effectuer avec les actions : Décocher la case d’une action désactive l’action correspondante. La barre d’insertion d’actions détermine là où les nouvelles actions sont insérées. Menu local Actions Les effets Reverb (réverbération) et Denoiser (suppression du bruit) de Soundtrack Pro ont été ajoutés au fichier en tant qu’actions. Objectif Opération Pour modifier les réglages d’une action Double-cliquez sur l’action dans la liste Actions. Les réglages apparaissent. Pour activer ou désactiver une action Cochez ou décochez la case de l’action. Pour réorganiser une liste d’actions Sélectionnez une action, puis faites-la glisser verticalement dans la liste. Pour définir là où les nouvelles actions doivent être ajoutées dans la liste Actions Faites glisser la barre d’insertion d’actions verticalement dans la liste Actions. Pour supprimer une action de la liste Actions. Sélectionnez l’action puis appuyez sur le bouton Supprimer.52 Chapitre 3 Utilisation de fichiers audio donnés Aplatissement d’une liste Actions Vous pouvez aplatir toutes les actions d’une liste Actions en une seule action. Aplatir des actions revient à effectuer leur rendu dans le fichier, ce qui réduit la complexité et la taille de ce dernier. Rappelez-vous cependant qu’une fois que vous avez aplati une liste Actions, vous ne pouvez plus réordonner ou modifier les actions : les actions aplaties se muent en une seule et même action. Pour aplatir votre liste Actions : 1 Déplacez la barre d’insertion d’actions directement sous la dernière action que vous souhaitez aplatir. 2 Choisissez « Aplatir les actions audibles » ou « Aplatir toutes les actions » dans le menu local Actions.  Aplatir les actions audibles : n’aplatit que les actions situées au-dessus de la barre d’insertion d’actions.  Aplatir toutes les actions : aplatit toutes les actions de la liste Actions, quelle que soit la position de la barre d’insertion d’actions. Les actions sont ainsi aplaties. Veillez à ce que la barre d’insertion d’actions soit placée directement sous la dernière action que vous souhaitez aplatir. Choisissez ensuite une option d’aplatissement d’actions à partir du menu local Actions.Chapitre 3 Utilisation de fichiers audio donnés 53 Utilisation des outils de l’Éditeur de fichiers L’onglet Éditeur de fichiers et la présentation du même nom disposent de leurs propres jeux d’outils destinés à l’exécution de modifications précises des formes d’onde. Défilement de la lecture dans un fichier Faire défiler la lecture dans un fichier audio revient à le mettre en lecture accélérée ou ralentie. Si vous recherchez un son spécifique dans un fichier, un brisement de glace par exemple, le défilement peut alors vous être utile. Jeu d’outils de l’onglet Éditeur de fichiers Jeu d’outils de la présentation Éditeur de fichiers54 Chapitre 3 Utilisation de fichiers audio donnés Pour faire défiler la lecture d’un fichier : 1 Sélectionnez l’outil Défilement dans le coin supérieur gauche de l’Éditeur de fichiers. Le pointeur se transforme en défileur. 2 Faites glisser le défileur horizontalement dans l’Éditeur de fichiers ou la Timeline. La lecture du fichier se fait en accéléré. 3 Dès que vous entendez le son que vous cherchiez, relâchez le bouton de la souris. Vous pouvez aussi lire un fichier de diverses manières à l’aide des touches J, K et L de votre clavier. Objectif Opération Pour que la lecture de votre projet se fasse à vitesse normale (1x) Appuyez sur la touche L. Pour que la lecture de votre projet se fasse en arrière et à vitesse normale (1x) Appuyez sur la touche J. Pour doubler, tripler ou quadrupler la vitesse de lecture Appuyez sur L ou J deux, trois ou quatre fois. Pour suspendre la lecture Appuyez sur la touche K.Chapitre 3 Utilisation de fichiers audio donnés 55 Zoom avant sur un fichier À l’instar de la Timeline, l’Éditeur de fichiers présente un curseur de zoom qui vous permet de mieux distinguer les détails de votre fichier. L’Éditeur de fichiers comporte également un outil Zoom. Pour effectuer un zoom avant sur un fichier : m Faites glisser le curseur de zoom en bas de l’Éditeur de fichiers. Comme vous pouvez le constater, le curseur de zoom permet de voir plus de détails du fichier mais le grossissement n’est généralement pas suffisant pour révéler les échantillons de ce dernier. Pour augmenter ou réduire le niveau de zoom, procédez de l’une des manières suivantes : m Sélectionnez une portion de la forme d’onde. Un zoom avant s’opère alors automatiquement sur cette portion. m Sélectionnez l’outil Zoom dans le coin supérieur gauche de l’Éditeur de fichiers, puis cliquez de façon répétée sur la forme d’onde. Pour réaliser un zoom arrière sur la forme d’onde, appuyez sur le bouton Option tout en cliquant sur cette dernière. Vous avez atteint les échantillons du fichier lorsque vous ne pouvez plus faire de zoom avant. Faites glisser ce curseur pour visualiser votre fichier plus en détail. Sélectionnez l’outil Zoom, puis cliquez pour effectuer un zoom avant sur la forme d’onde.56 Chapitre 3 Utilisation de fichiers audio donnés Modification des échantillons d’un fichier Si les modifications n’impliquent pas dans la plupart des cas le déplacement d’échantillons individuellement, certains monteurs son préfèrent travailler au niveau de l’échantillon. Vous pouvez facilement modifier chaque échantillon d’un fichier audio, en en changeant l’amplitude. Qu’est-ce qu’un échantillon ? Un échantillon est la mesure audio numérique la plus petite. Pour comprendre combien les échantillons sont petits, vous devez savoir qu’une seconde d’audio requiert des milliers d’échantillons. Les fréquences d’échantillonnage les plus courantes sont 44,1 kHz pour l’audio de qualité CD et 48 kHz pour les fichiers audio de qualité vidéo numérique. Les échantillons sont produits par des convertisseurs analogique-numérique qui mesurent (échantillonnent) l’intensité en constante évolution du signal audio analogique et produisent des nombres discrets à intervalles réguliers. Dans Soundtrack Pro, la fréquence d’échantillonnage, autrement dit la taille des échantillons numériques utilisés dans votre projet, se définit en configurant les réglages du projet en question. Chacun des carrés visibles dans la forme d’onde ci-contre repré- sente un échantillon numérique.Chapitre 3 Utilisation de fichiers audio donnés 57 Pour modifier des échantillons d’un fichier : 1 Dans la présentation Éditeur de fichiers, servez-vous de l’outil Zoom ou faites glisser le curseur de zoom pour faire un zoom avant sur le fichier et révéler les échantillons de sa forme d’onde. 2 Sélectionnez l’outil de modification d’échantillon dans le coin supérieur gauche de l’Éditeur de fichiers. Le pointeur se transforme en crayon. 3 Pour changer l’amplitude d’une série d’échantillons, faites-les glisser horizontalement avec l’outil d’édition d’échantillon . Pour augmenter ou réduire l’amplitude d’un seul échantillon, faites-le glisser verticalement. Au fur et à mesure que vous modifiez les échantillons de votre fichier, des actions apparaissent dans la liste Actions. Faites glisser le curseur de zoom complètement à gauche pour voir les échantillons d’une forme d’onde. Chaque modification que vous apportez apparaît sous forme d’action dans la liste Actions. Faites glisser le crayon horizontalement pour ajouter de nouveaux échantillons, ou faites glisser un échantillon verticalement.58 Chapitre 3 Utilisation de fichiers audio donnés Étirement du temps d’un fichier audio Étirer le temps d’une portion d’un fichier audio modifie sa durée. L’étirement du temps est particulièrement utile lorsque l’on édite des dialogues car il permet d’en changer la synchronisation sans en affecter la tonalité. Pour étirer le temps d’un fichier : 1 Ouvrez le fichier audio dans la présentation Éditeur de fichiers. 2 Sélectionnez l’outil d’étirement audio. Le pointeur se transforme en tendeur. 3 Sélectionnez la portion de fichier que vous souhaitez étirer ou contracter. 4 Positionnez le tendeur sur le bord droit de la portion sélectionnée. Dès lors que le pointeur en forme de tendeur apparaît, étirez le fichier soit vers la droite pour ralentir l’audio, soit vers la gauche pour l’accélérer. Remarque : si vous ne souhaitez pas écraser les fichiers audio adjacents, maintenez la touche Option enfoncée tout en étirant ou contractant le fichier. Ceci rallonge ou raccourcit alors le fichier et évite ainsi que les fichiers à proximité ne soient écrasés. Lorsque vous relâchez le bouton de la souris, l’Éditeur de fichiers met à jour la forme d’onde afin de montrer les nouvelles données audio étirées.Chapitre 3 Utilisation de fichiers audio donnés 59 Édition d’un fichier dans la présentation Spectre de fréquence Dans certains cas, il pourrait s’avérer utile de visualiser le spectre de fréquence d’un fichier plutôt que sa forme d’onde. Par exemple, si vous recherchez une fréquence spécifique de bruit de caméra, vous pouvez facilement la repérer à l’aide de la présentation Spectre de fréquence. Pour consulter le spectre de fréquence d’un fichier : m Cliquez sur le bouton Présentation Spectre de fréquence dans le coin supérieur droit de l’Éditeur de fichiers. Pour sélectionner une région de fréquence : m Choisissez l’outil Sélection de fréquence, puis sélectionnez une portion de fréquences. Soundtrack Pro possède des commandes avancées vous permettant d’ajuster la pré- sentation du spectre et de basculer entre une gamme de fréquence linéaire et une gamme de fréquence logarithmique. Pour visualiser les commandes de fréquence avancées de Soundtrack Pro : m Tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, cliquez n’importe où dans le spectre de fréquence, puis choisissez « Afficher les commandes du spectre » à partir du menu contextuel afin d’afficher la palette du spectre de fréquence. Pour en savoir plus sur l’utilisation du spectre de fréquence et sur la palette, reportezvous au Manuel de l’utilisateur de Soundtrack Pro. Servez-vous de ces boutons pour passer de la présentation Oscilloscope à la pré- sentation Spectre de fréquence. Spectre de fréquences, présentation.4 61 4 Résolution des problèmes audio Les fichiers audio ne sont pas toujours parfaits. Vous pouvez rectifier les clics, les ronflements et autres bruits dans vos fichiers audio à l’aide de la fonction Analyser et réparer de Soundtrack Pro. Ce chapitre couvre les thèmes suivants :  Analyse et résolution de problèmes dans un fichier audio (p. 61)  Création d’un droplet AppleScript pour l’analyse et la résolution des fichiers audio (p. 64) Analyse et résolution de problèmes dans un fichier audio Soundtrack Pro peut analyser et rectifier les fichiers audio dans un grand nombre de cas:  Clics et craquements : les crêtes brusques et courtes que peut présenter la forme d’onde peut provoquer des clics et des craquements lors de la lecture. Vous pouvez augmenter le paramètre de seuil afin de réduire le nombre de clics et de craquements rencontrés.  Ronflement d’alimentation : le ronflement d’alimentation (que l’on entend généralement entre 50 et 60 Hz) peut être détecté et rectifié.  Décalage DC : le décalage DC, qui se produit lorsque les échantillons ne sont pas centrés autour de zéro, peut être détecté et corrigé.  Phase : généralement provoqués par une image stéréo déformée ou inexacte, les problèmes de phase se manifestent généralement par une annulation partielle ou complète des canaux gauche et droit.  Signal coupé : la surcharge du signal, qui a pour conséquence une coupure du son audio, peut notamment être provoquée par un faible échelonnement du gain ou la détérioration de la surface d’enregistrement analogique.  Silence : les sections silencieuses d’un clip audio peuvent être détectées et corrigées. Vous pouvez définir le silence par seuil ou par durée.62 Chapitre 4 Résolution des problèmes audio Pour analyser un fichier audio afin de trouver d’éventuels problèmes : 1 Sélectionnez le fichier dans la Timeline pour l’afficher dans l’éditeur de fichiers. Si vous souhaitez n’analyser qu’une seule section du fichier, sélectionnez uniquement la portion voulue dans l’onglet Éditeur de fichiers. 2 Dans l’onglet Analyse, sélectionnez des problèmes audio dans la liste Type d’analyse, puis cliquez sur le bouton Analyser. Ce clip est sélectionné. Il apparaît dans l’éditeur de fichiers en dessous. Onglet Analyse Sélectionnez les problè- mes à détecter dans le clip. Cliquez ensuite sur le bouton Analyser.Chapitre 4 Résolution des problèmes audio 63 Soundtrack Pro analyse le fichier puis signale chaque problème détecté dans la liste des résultats de l’analyse. L’application marque également en rouge la zone problématique dans la forme d’onde.  État : indique si le problème existe encore ou s’il a été résolu.  Problème : indique le type de problème.  Début : indique l’endroit où le problème commence.  Durée : indique la durée du problème.  Canal : indique là où le problème se produit : dans le canal gauche (G), dans le canal droit (D), dans les deux canaux (GD) ou autre (-). Après avoir identifié un problème, vous avez la possibilité de l’examiner en détail dans la forme d’onde. Pour étudier un problème détecté : 1 Sélectionnez le problème dans la liste des résultats de l’analyse. La zone problématique de la forme d’onde est automatiquement sélectionnée. 2 Maintenez le bouton de zoom en bas de l’onglet Analyse enfoncé pour zoomer sur le problème que vous avez sélectionné. Vous pouvez maintenant résoudre le problème manuellement ou laisser Soundtrack Pro s’en charger. Vous avez le choix entre résoudre simultanément tous les problèmes répertoriés dans la liste des résultats d’analyse ou les rectifier l’un après l’autre. Vous pouvez bien sûr laisser des problèmes sans les résoudre. La liste des résultats de l’analyse répertorie les problèmes trouvés dans l’ordre dans lequel ils apparaissent dans la forme d’onde. Le problème (et la zone correspondante) sélectionné dans l’onglet Analyse est identifié et inscrit en rouge.64 Chapitre 4 Résolution des problèmes audio Pour rectifier l’ensemble des problèmes affichés dans la liste des résultats d’analyse : m Cliquez sur le bouton Tout réparer. Les problèmes sont alors corrigés dans la forme d’onde et leur état passe à Réparé dans la liste des résultats de l’analyse. Pour rectifier les problèmes l’un après l’autre : 1 Sélectionnez le problème que vous souhaitez résoudre dans la liste des résultats de l’analyse. 2 Cliquez sur le bouton Réparer. Le problème est résolu dans la forme d’onde et son état passe à Réparé dans la liste des résultats de l’analyse. Création d’un droplet AppleScript pour l’analyse et la résolution des fichiers audio Vous pouvez enregistrer une série d’actions Soundtrack Pro (notamment analyser et rectifier un grand nombre de problèmes) sous la forme d’un droplet AppleScript. Après avoir enregistré le droplet, il vous suffit d’y glisser les fichiers à traiter. Vous pouvez obtenir des instructions sur la création de droplets AppleScript à utiliser avec Soundtrack Pro à partir du Manuel de l’utilisateur de Soundtrack Pro. Tous les problèmes de la liste sont enfin résolus.5 65 5 Mixage de projets stéréo et Surround Le mixage consiste à effectuer la balance des éléments d’un projet pour créer un son riche. Pour vous enseigner les principes de base du mixage, ce chapitre décrit la totalité d’un processus de mixage simple. Ce chapitre couvre les thèmes suivants :  Principes de base du mixage (p. 65)  Utilisation du mélangeur de Soundtrack Pro (p. 66)  Étapes du mixage d’un projet (p. 68) Principes de base du mixage Pour mixer des projets de son stéréo et Surround, vous devez suivre des étapes de base identiques à celles-ci :  la balance des volumes relatifs des pistes ;  la balance des pistes permettant de créer une diffusion stéréo ou Surround symétrique ;  l’ajout d’un égaliseur, de la compression et d’autres effets de traitement finals ;  la définition du volume final du projet et la suppression de l’écrêtage. Vous pouvez suivre ces étapes dans n’importe quel ordre, en fonction de votre projet. Cela dit, dans la plupart des cas, il est judicieux de terminer le mixage des pistes d’un projet avant d’ajuster l’ensemble de ses niveaux. Une fois que vous aurez suivi le processus de mixage décrit dans ce chapitre, vous aurez créé ce que l’on appelle un mixage final. 66 Chapitre 5 Mixage de projets stéréo et Surround Utilisation du mélangeur de Soundtrack Pro Dans l’onglet Mélangeur de Soundtrack Pro, vous pouvez facilement comparer et ajuster le volume de chaque piste, bus et sous-mixage. Si vous préférez travailler avec une fenêtre flottante du mélangeur, vous pouvez détacher son onglet en le faisant glisser et le dissocier ainsi des autres onglets. Cela peut vous être utile par exemple si vous procédez à des réglages fins du volume d’une piste. Vous pouvez aussi étirer la fenêtre Mélangeur pour l’adapter à la longueur de la fenêtre Soundtrack Pro. Le mélangeur de Soundtrack Pro imite une table de mixage matérielle. L’ordre des bandes de canaux présentes dans le mélangeur suit celui des pistes, des bus et des sousmixages de la Timeline de votre projet multipiste. Le bus du Master correspond toujours à la dernière bande de canaux du mélangeur (et à la dernière piste de la Timeline). Lorsque vous apportez des modifications aux commandes telles que le volume et la balance dans le mélangeur, les niveaux correspondant sont automatiquement actualisés dans les commandes de l’en-tête de la Timeline. La présentation verticale des canaux dans le mélangeur facilite le repérage des volumes relatifs de chacune des pistes. La bande de canal de chaque piste contient son nom et son icône, des logements pour les effets, des Panners (pour le son stéréo ou Surround), des boutons pour ignorer les effets, pour préparer à l’enregistrement, pour couper le son de la piste ou l’activer en solo, des curseurs pour les volumes, des VU-mètres ainsi qu’un menu local Sousmixage. Les bandes de canaux des pistes, des bus, des sous-mixages et du bus du Master possèdent de nombreuses commandes en commun ainsi que certaines commandes divergentes.  L’icône et la couleur du canal correspondent ceux de la piste représentée dans la Timeline.  Les effets qui ont été appliqués aux pistes, aux bus, aux sous-mixages et au bus du Master apparaissent dans la liste Effets. Vous pouvez ajouter des effets indiféremment dans cette liste ou dans la Timeline.  Le Panner peut apparaître rond (son Surround) ou horizontal (son stéréo). Le mélangeur comprend une bande de canaux pour chaque piste, chaque bus et chaque sousmixage, ainsi qu’une bande pour le bus du Master dans la Timeline de votre projet.Chapitre 5 Mixage de projets stéréo et Surround 67  Vous pouvez définir le volume d’une piste à l’aide du curseur vertical ou en saisissant un nombre dans la zone de valeur du volume.  Vous pouvez acheminer le canal d’une piste, d’un bus ou d’un sous-mixage à l’aide du menu local situé dans la partie inférieure du canal. Ce menu local correspond à celui intitulé Routage dans la Timeline. Vous pouvez à tout moment réordonner vos bandes de canaux en les faisant glisser de la même manière que vous déplacez les pistes, les bus et les sous-mixages dans la Timeline. Remarque : si vous préférez mixer votre projet à l’aide de surfaces de contrôle matérielles, vous pouvez ajouter des surfaces exploitant les protocoles Mackie Control et Logic Control pour communiquer avec votre ordinateur. La liste Effets répertorie tous les effets appliqués à la piste, au bus ou au sous-mixage. Spécifiez le sous-mixage auquel envoyer la piste (ou, le cas échéant, les canaux à envoyer au sous-mixage) à partir de ce menu local. Contrôles de lecture, dont Muet et Solo Le volume se définit soit en faisant glisser le curseur de volume, soit en saisissant un nombre dans la zone de valeur du curseur ci-dessous. Panner Surround. Si le canal est en stéréo, c’est le Panner stéréo qui s’affiche. Objectif Opération Pour changer la position d’une bande de canaux Faites glisser la bande de canaux à l’aide de sa poignée de glissement sur sa nouvelle position à l’horizontale. Pour copier une bande de canaux Tout en maintenant la touche Option enfoncée, cliquez sur la poignée de glissement de la bande de canaux, puis faites-la glisser horizontalement. Pour supprimer une bande de canaux du mélangeur Sélectionnez la bande de canaux, puis choisissez Mutlipistes > Supprimer [élément].68 Chapitre 5 Mixage de projets stéréo et Surround Étapes du mixage d’un projet Cette rubrique est consacrée au processus générique de mixage d’un projet pour un film composé de pistes de voiceover, de dialogues, d’effets et musicales. Ce mini-guide d’initiation est destiné à vous donner une idée générale des objectifs et du résultat recherché du mixage d’un projet audio pour un film, à savoir, ajuster les différentes pistes audio et créer un mixage master symétrique. Étape 1 : Mixage des pistes vocales Ajustez le volume et la balance des pistes de voiceover et de dialogues. Étape 2 : Mixage des pistes d’effets et musicales Ajustez le volume des pistes d’effets et musicales. Étape 3 : Ajustage du mixage global Apportez des ajustements d’ensemble au projet. Étape 4 : Correction de l’écrêtage sur le bus du Master ou pour les éléments exportés Vérifiez qu’aucune des données audio ne dépasse le volume maximal. Étape 5 : Ultime écoute Par sécurité, écoutez votre mixage une dernière fois. Mixage des pistes vocales Cette étape consiste à vérifier le volume et la balance des pistes vocales. Dans l’exemple Cafe, on trouve deux groupes de pistes vocales: la voix principale (VO Debra et VO Jacob) et la voix secondaire (Dialog 1 et Dialog 2). Pour mixer le premier ensemble de pistes vocales : 1 Activez le solo de chaque piste de voix principale en cliquant sur le bouton Solo correspondant. Cliquez sur le bouton Solo pour activer le solo d’une ou de plusieurs pistes.Chapitre 5 Mixage de projets stéréo et Surround 69 2 Ajustez la balance au centre sur chacune des pistes de voix principale en mode solo (c’est-à-dire sur la valeur 0). 3 Lancez à nouveau la lecture de la voix principale. Qu’en pensez-vous ? 4 Ajustez la balance en fonction de votre mixage, du type de Panner des pistes et de l’origine du son. Généralement, les dialogues sont mixés presque uniquement dans le canal central. 5 Appuyez sur la barre d’espace pour lancer à nouveau la lecture des pistes de la voix principale. Qu’en pensez-vous ? 6 Si nécessaire, ajoutez de l’égalisation, de la compression ou tout autre effet pour parfaire le son de vos canaux de voix principale. 7 Ajustez le volume relatif des pistes de voix principale, en vous laissant une marge de manœuvre (généralement autour de – 6 dB) au cas où vous auriez besoin d’augmenter le volume ultérieurement. Ajustez la balance de chaque piste. Ajustez le volume de chaque piste, en laissant une marge supérieure suffisante.70 Chapitre 5 Mixage de projets stéréo et Surround Pour mixer les pistes de dialogue (Dialog 1 et Dialog 2) : m Répétez le processus de mixage pour les autres pistes vocales de votre projet. Pour le projet Cafe pris pour cet exemple, il vous faut répéter le processus pour les pistes Dialog 1 et Dialog 2. Mixage des pistes d’effets et musicales Cette étape consiste à répéter le processus de mixage pour les autres pistes de votre projet. Les pistes de fond, telles que les pistes musicales, requièrent un peu plus d’attention car elles ne se mélangent pas forcément comme les pistes vocales. Pour cette étape, vous devez répéter le processus de mixage pour chaque piste. Dans cet exemple, il faut répé- ter le processus de mixage pour les pistes secondaires, Dialog 1 et Dialog 2. Ensemble des pistes d’effets et musicalesChapitre 5 Mixage de projets stéréo et Surround 71 Pour mixer une piste d’effets ou musicales : 1 Activez le solo pour votre première piste d’effets ou musicale (dans cet exemple, le solo porte sur la première piste FX), placez sa balance au centre, puis mettez-la en lecture. Qu’en pensez-vous ? 2 Relancez la lecture, puis ajustez la balance en fonction de votre mixage, du type de Panner de la piste et de l’origine du son. 3 Mettez à nouveau la piste en lecture. Si nécessaire, ajoutez de l’égalisation, de la compression ou tout autre effet pour parfaire le son de la piste. 4 Ajustez le volume relatif de la piste, en vous laissant une marge de manœuvre (géné- ralement autour de – 6 dB) au cas où vous auriez besoin d’augmenter le volume ultérieurement. Renouvelez ce processus pour chaque piste restante. À présent, le volume, la balance et la balance Surround nécessaire doivent avoir été ajustés pour toutes les pistes de votre projet. Ajustage de l’ensemble du mixage Après avoir mixé chacune des pistes de votre projet, écoutez-les au moins plusieurs fois encore. Puis, au besoin, ajoutez de l’égalisation, de la compression ou tout autre traitement à l’ensemble du projet dans le canal de sous-mixage. Remarque : pour cette dernière étape, il est utile d’afficher tous les VU-mètres du mélangeur ainsi que le VU-mètre de projet situé dans l’onglet Utilitaire. Important : avant d’entamer cette étape, assurez-vous qu’aucun solo n’est appliqué aux pistes, et que le son de ces dernières n’est pas coupé.72 Chapitre 5 Mixage de projets stéréo et Surround Pour apporter des modifications au mixage global : 1 Appuyez sur les touches Maj + Retour pour mettre votre projet en lecture. Écoutez-le. Nécessite-t-il encore quelques ajustements ? Dans cet exemple, un compresseur est ajouté à la piste de sous-mixage du projet Cafe pour équilibrer le mixage final. 2 Sélectionnez la piste de sous-mixage dans le mélangeur. Ce faisant, la piste de sous-mixage de la Timeline est automatiquement sélectionnée. 3 Pour ajouter un compresseur à la piste de sous-mixage, sélectionnez l’onglet Effets, puis Dynamique et Compressor, puis cliquez sur le bouton d’ajout (+). Sélectionnez la piste de sous-mixage. Dans cet exemple, l’onglet Mélangeur se présente sous forme de fenêtre flottante et est redimensionné. Sélectionner la piste de sous-mixage dans le mélangeur entraîne également la sélection de la piste de sous-mixage dans la Timeline. Cliquez sur le bouton d’ajout (+). Sélectionnez Dynamique et Compressor dans l’onglet Effets.Chapitre 5 Mixage de projets stéréo et Surround 73 Le compresseur est ajouté à la liste Effets de l’onglet du même nom. Il apparaît également dans celle de la piste de sous-mixage présente dans la Timeline et dans le mélangeur. 4 Appuyez sur les touches Maj + Retour pour mettre à nouveau votre projet en lecture. À quel point l’effet de compresseur change-t-il le son de votre mixage final ? Si vous souhaitez encore ajuster le compresseur, vous pouvez l’afficher en cliquant sur le bouton Avancé de l’onglet Effets. Vous pouvez aussi automatiser l’enveloppe de compression dans la piste de sous-mixage de la Timeline. Mettez à nouveau le projet en lecture. Pendant la lecture du projet, observez les VUmètres de votre projet (dans l’onglet VU-mètres) et plus particulièrement l’indicateur d’écrêtage qui s’allume à chaque fois que les volumes sont suffisamment élevés pour déformer le signal audio. Remarque : dans les projets Soundtrack Pro, il y a écrêtage dès que la sortie affichée dans les VU-mètres excède zéro décibels (0 dB). Surveillez les données audio pendant toute la lecture du projet. Si vous avez relevé de l’écrêtage, il vous faut alors le corriger. Le compresseur apparaît dans la liste Effets. Le compresseur apparaît également dans la piste de sous-mixage de la Timeline. Servez-vous de l’onglet VU-mètres pour surveiller l’écrêtage.74 Chapitre 5 Mixage de projets stéréo et Surround Correction de l’écrêtage au niveau du bus du Master ou des éléments exportés On constate de l’écrêtage lorsque la sortie qu’affichent les VU-mètres excède zéro décibels (0 dB). Soundtrack Pro utilisant des données audio numérique à virgule flottante, l’écrêtage n’a à être corrigé que sur le bus du Master d’un projet multipiste. Pour résoudre les problèmes d’écrêtage, il suffit d’ajuster le volume jusqu’à ce qu’il cesse. Pour repérer et corriger l’écrêtage : 1 À l’aide du curseur de volume ou de la valeur de volume, baissez le volume de la valeur affichée dans l’indicateur de crêtes. 2 Relancez la lecture du projet depuis le début (ceci réinitialise les indicateurs de crêtes de votre projet). 3 Si de l’écrêtage se produit toujours, baissez à nouveau le volume jusqu’à ce qu’il disparaisse. Ultime écoute Par précaution, écoutez votre projet encore une fois (ou plusieurs fois). Êtes-vous satisfait de votre mixage ? Dans l’affirmative, votre processus de mixage est terminé. Vous pourriez parfois être amené à écouter le mixage de votre projet en mono. Par exemple, dans le cas où votre projet final est destiné à être écouté à travers un haut-parleur unique ou toute autre sortie non stéréo, il peut être judicieux de tester le mixage mono afin de détecter un problème de phase ou tout autre problème de lecture. Indicateur de crêtesChapitre 5 Mixage de projets stéréo et Surround 75 Pour écouter un mixage mono temporaire : m Appuyez sur Maj + Retour pour lancer la lecture du projet depuis le début, puis cliquez sur le bouton Mixage mono situé à droite du curseur Volume du moniteur et à gauche des commandes de lecture. Vous pouvez aussi cliquer sur le bouton Mixage mono tout en appuyant sur la touche Option pour lancer la lecture du mixage temporairement en mono sans avoir à maintenir le bouton enfoncé. Pour arrêter l’écoute du mixage en mono, relâchez le bouton. Pour écouter le mixage en mono, maintenez le bouton Mixage mono enfoncé pendant la lecture du projet.6 77 6 Exportation de votre projet multipiste Ce chapitre présente trois formes d’exportation d’un projet : sous forme de mixage final, de plusieurs mixages scindés et de podcast. Il explique également comment enregistrer un projet final en incluant ses données, une bonne alternative à l’exportation lorsque l’on souhaite continuer à travailler sur les fichiers du projet, et montre comment transmettre un projet multipiste à Final Cut Pro. Ce chapitre couvre les thèmes suivants :  Zone de dialogue Exporter (p. 78)  Exportation d’un mixage final (p. 79)  Exportation d’un sous-mixage (p. 80)  Exportation d’un projet multipiste vers Final Cut Pro (p. 80)  Exportation d’un podcast (p. 81)  Enregistrement d’un projet multipiste avec ses fichiers multimédias (p. 83)78 Chapitre 6 Exportation de votre projet multipiste Zone de dialogue Exporter La zone de dialogue Exporter de Soundtrack Pro est un outil polyvalent qui offre diverses options permettant de satisfaire aux besoins en flux de production et en distribution.  Menu local Préréglage : créé des préréglages d’exportation personnalisés avec une combinaison quelconque d’éléments exportés, de types de fichiers, de profondeurs de bits, de fréquences d’échantillonnage ou d’actions post-exportation.  Menu local Éléments exportés : choisissez d’exporter le mixage master ou les parties des composants de votre projet multipistes en tant que fichiers individuels ou groupes de fichiers.  Menu local Type de fichier : choisissez le type de fichier du ou des fichiers audio exportés.  Case « Créer des fichiers mono multiples » : activez cette case pour exporter un fichier audio séparé pour chaque canal de sortie de votre projet multipiste.  Menu local Profondeur de bits : sélectionnez la profondeur de bits du fichier exporté.  Menu local Fréquence d’échantillonnage : sélectionnez la fréquence d’échantillonnage du fichier exporté.  Menu local Après l’exportation : choisissez une action de post-exportation. Accédez aux préréglages d’exportation à l’aide de ce menu local. Définissez ici le type de fichier exporté. Utilisez ce menu local pour exporter votre mixage master, votre sous-mixage, etc. Cette section s’actualise des paramètres spécifiques au type de fichier choisi dans le menu local Type de fichier. Optez pour ouvrir une autre application, telle que Final Cut Pro ou Logic, ou choisissez d’autres options.Chapitre 6 Exportation de votre projet multipiste 79 Exportation d’un mixage final Voici un ensemble d’instructions de base concernant l’exportation d’un projet multipiste dans sa totalité. Assurez-vous que le projet multipiste que vous désirez exporter est ouvert et prêt à l’exportation. Pour exporter le mixage master d’un projet multipiste : 1 Sélectionnez Fichier > Exporter. La zone de dialogue Exporter apparaît. 2 Attribuez un nom à votre mixage dans le champ Enregistrer sous. 3 Si vous souhaitez que votre fichier soit exporté ailleurs que sur votre bureau, choisissez son emplacement dans le menu local Où. 4 Choisissez Mixage Master dans le menu local Éléments exportés. 5 Choisissez un type de fichier dans le menu local Type de fichier. 6 Apportez toute autre modification nécessaire, notamment concernant les paramètres spécifiques à un type de fichier. 7 Lorsque vous êtes prêt à exporter votre mixage, cliquez sur Exporter. Votre mixage master est exporté à l’emplacement désigné selon les critères que vous avez spécifiés. Cliquez sur ce bouton pour atteindre l’endroit où vous désirez placer vos fichiers exportés. Exemples d’options d’exportation du mixage master80 Chapitre 6 Exportation de votre projet multipiste Exportation d’un sous-mixage Vous pouvez aussi facilement exporter des sous-mixages de votre projet multipiste. Les scissions standard nécessaires à la création de plusieurs pistes de langue sur des DVD incluent des mixages de dialogues (D1), musicales (M1) et d’effets (E1) distincts. Mais vous pouvez exporter toute combinaison de pistes, de bus et de sous-mixages en suivant les étapes élémentaires ci-dessous. Pour exporter un sous-mixage : 1 Dans la Timeline ou le mélangeur, sélectionnez les pistes ainsi que tous les bus et les sous-mixages que vous souhaitez exporter. 2 Sélectionnez Fichier > Exporter. 3 Choisissez « Pistes, bus et sous-mixage sélectionnés » dans le menu local Éléments exportés. 4 À partir du menu local Type de fichier, choisissez un type pour vos fichiers exportés. 5 Cliquez sur Exporter. Le sous-mixage est exporté à l’emplacement que vous avez spécifié. Exportation d’un projet multipiste vers Final Cut Pro Si vous avez importé une séquence audio Final Cut Pro dans Soundtrack Pro, vous pouvez facilement renvoyer à Final Cut Pro un mixdown du projet que vous êtes en train de modifier dans Soundtrack Pro. Pour mettre à jour un projet Final Cut Pro avec un mixdown de Soundtrack Pro : 1 Dès votre projet multipiste terminé, choisissez Fichier > Exporter. 2 Définissez vos options d’exportation. 3 Choisissez « Envoyer les fichiers à une séquence Final Cut Pro » dans le menu local Après l’exportation.Chapitre 6 Exportation de votre projet multipiste 81 4 Cliquez sur Exporter. Si Final Cut Pro est installé sur votre système, le projet multipiste s’ouvre automatiquement en tant que séquence dans Final Cut Pro et le mixdown est correctement positionné dans la Timeline tandis que le son des pistes audio originales est désactivé. Si Final Cut Pro n’est pas installé sur votre système, vous pouvez enregistrer le projet et importer ultérieurement le projet Soundtrack Pro résultant dans le projet Final Cut Pro d’origine, avec le mixdown correctement positionné dans la Timeline et le son des pistes audio d’origine désactivé. Des raccourcis ont été conçus pour vous aider à déplacer des clips audio de façon répé- tée entre Soundtrack Pro et Final Cut Pro. Pour en savoir plus, consultez le Manuel de l’utilisateur de Final Cut Pro ainsi que le Manuel de l’utilisateur de Soundtrack Pro. Exportation d’un podcast Exporter un podcast à partir de fichiers Soundtrack Pro ne saurait être plus simple. Il suffit en effet de marquer le projet multipiste avec des marqueurs de podcast, puis d’exporter le podcast. Pour ajouter des marqueurs de podcast à votre projet : 1 Pour afficher la piste de podcast dans la Timeline, choisissez Piste de podcast dans le menu local Afficher, celui situé dans le coin supérieur droit de la Timeline. La piste de podcast apparaît dans la partie supérieure de la Timeline. Par défaut, la piste de podcast est placée juste en dessous de la piste vidéo (si votre projet en contient une), caractérisée par une seule zone de podcast bleue s’étendant sur toute la longueur du projet. 2 Repérez l’endroit de votre projet où doit commencer le podcast. Choisissez Piste de podcast dans le menu local Afficher. Piste vidéo Piste de podcast82 Chapitre 6 Exportation de votre projet multipiste 3 Pour ajouter un marqueur de podcast, coupez le clip à l’aide de l’outil Lame de rasoir. a Sélectionnez l’outil Lame de rasoir. b Cliquez sur le clip. Un marqueur de podcast apparaît alors. Chaque marqueur définit un chapitre. c Ajoutez tous les détails nécessaires au marqueur de podcast dans l’onglet Détails. Une fois appliqué au moins deux marqueurs de podcast à votre projet, une zone de podcast s’affiche dans la piste de podcast. 4 Sélectionnez Fichier > Exporter. 5 Choisissez Mixage Master dans le menu local Éléments exportés. 6 Choisissez Fichier AAC/Podcast dans le menu local Type de fichier. La zone de dialogue des options d’exportation de l’audio AAC apparaît. Conservez les options par défaut car elles s’avèrent idéales pour une première création de podcast. Cet exemple comporte deux zones de podcast (ou chapitres). Les onglets Audio, Diffusion et Podcast contiennent des options d’exportation AAC/ Podcast.Chapitre 6 Exportation de votre projet multipiste 83 7 Si vous souhaitez exporter la vidéo avec le podcast, cliquez sur le bouton Podcast, puis sélectionnez Piste vidéo. 8 Cliquez sur Exporter. Le podcast apparaît à l’emplacement spécifié. Ceci dit, les podcasts offrent des possibilités plus étendues. Pour en savoir plus, reportez-vous au Manuel de l’utilisateur de Soundtrack Pro. Enregistrement d’un projet multipiste avec ses fichiers multimédias Comme indiqué précédemment, vous pouvez exporter votre projet en incluant tous ses fichiers multimédias. Vous pouvez aussi enregistrer votre projet et tous les fichiers multimédias qu’il utilise dans un même dossier. Enregistrer ensemble un projet et ses fichiers de données est utile pour transférer un projet d’un ordinateur à un autre et continuer à y travailler ou pour archiver un projet et ses fichiers de données en vue d’une utilisation ultérieure. Assurez-vous que le projet que vous êtes sur le point d’enregistrer est ouvert. Cliquez sur le bouton Podcast, puis sélectionnez Piste vidéo.84 Chapitre 6 Exportation de votre projet multipiste Pour enregistrer un projet et ses fichiers multimédia au même emplacement : 1 Sélectionnez Fichier > Enregistrer sous. 2 Attribuez un nom à votre projet multipiste dans le champ Enregistrer sous. 3 Dans la zone de dialogue Enregistrer, créez un dossier destiné à accueillir les fichiers de projet réunis. 4 Choisissez le nouveau dossier dans le menu local Où. 5 Cochez les cases « Collecter les fichiers audio » et « Collecter les fichiers audio non utilisés ». Si le projet contient une piste vidéo, cochez la case « Collecter les fichiers vidéo » pour enregistrer la vidéo dans le dossier sélectionné. 6 Cliquez sur Enregistrer. Le fichier de projet ainsi qu’une copie de chaque fichier audio qui lui est associé sont enregistrés à l’emplacement sélectionné. Remarque : les fichiers vidéo étant généralement très volumineux, la sauvegarde d’une copie peut prendre plusieurs minutes et nécessiter une grande quantité d’espace disque.7 85 7 Et après ? Autres ressources Soundtrack Pro Cette visite guidée terminée, vous devriez avoir une idée générale de ce qu’il est possible de faire avec Soundtrack Pro. Il existe cependant bien plus d’informations dans lesquelles vous pouvez puiser pour apprendre à travailler avec Soundtrack Pro.  Le Manuel de l’utilisateur de Soundtrack Pro contient des informations détaillées à propos de chacune des fonctions de Soundtrack Pro. Pour accéder à ce manuel, choisissez Aide > Manuel de l’utilisateur de Soundtrack Pro.  Le site Soundtrack Pro d’Apple contient des liens vers des astuces, des guides d’initiation, etc. Pour accéder à ce site, choisissez Aide > Soundtrack Pro sur le web.  AppleCare actualise régulièrement un site d’assistance Soundtrack Pro comportant des articles KnowlegeBase, des forums, de la documentation, des mises à jour, etc. Pour accéder à ce site, choisissez Aide > Assistance Soundtrack Pro, ou rendez-vous sur http://www.apple.com/fr/support/soundtrackpro.  Le site Pro d’Apple vous tient au courant des derniers outils, techniques et astuces relatifs à l’utilisation des applications professionnelles Apple. Visitez-le à l’adresse http://www.apple.com/fr/pro. 87 Annexe Introduction à l’interface Soundtrack Pro Cette annexe offre une vue d’ensemble de l’interface Soundtrack Pro : les onglets, les boutons, les menus locaux et les divers éléments qui composent Soundtrack Pro. La présente annexe aborde les thèmes suivants :  Utilisation des onglets (p. 88)  La Timeline (p. 90)  L’éditeur de fichiers (p. 91)  L’éditeur de multiprises (p. 92)  Conformer (p. 92)  Le mixage (p. 93)  Le chutier (p. 94)  La barre d’outils (p. 94)  Onglets de la sous-fenêtre de gauche (p. 95)  Onglets de la sous-fenêtre de droite (p. 96)  Disposition de l’interface Soundtrack Pro (p. 97) Important : pour identifier un élément, vous pouvez aussi vous appuyer sur des bulles d’aide (explications qui apparaissent lorsque vous maintenez le pointeur pendant quelques secondes au-dessus d’un bouton ou d’une icône). Vous pouvez par ailleurs en apprendre davantage sur les éléments qui vous intéressent dans le Manuel de l’utilisateur de Soundtrack Pro.88 Annexe Introduction à l’interface Soundtrack Pro Utilisation des onglets Soundtrack Pro constitue un ensemble d’espaces de travail s’appuyant sur des onglets. Vous pouvez afficher et masquer les sous-fenêtres gauche, droite et inférieure de l’interface Soundtrack Pro à l’aide des boutons situés dans le coin supérieur droit de la barre d’outils. Vous pouvez aussi détacher n’importe quel onglet et le présenter sous forme de fenêtre flottante. Lorsque vous ouvrez un projet multipiste pour la première fois dans Soundtrack Pro, il s’affiche dans la présentation Standard, une fenêtre unique comportant divers onglets. Elle est située au centre de la fenêtre Soundtrack Pro. Une grande partie de votre édition audio s’ effectue dans la Timeline, dans l’onglet Éditeur de fichiers, la présentation du même nom et le mélangeur. Sous la Timeline, on trouve une zone qui peut afficher un mélangeur, un Éditeur de fichiers, un Éditeur de multiprises, un onglet Conformer ou un onglet Chutier. Pour afficher le contenu d’un onglet, cliquez sur ce dernier. Si vous souhaitez visualiser un clip dans l’Éditeur de fichiers, assurez-vous de l’avoir sélectionné dans la Timeline. Ces onglets contiennent des informations spécifiques sur les clips, les pistes et les effets utilisés dans un projet. Ces onglets vous permettent de localiser les fichiers multimédias en navigant et en procédant à des recherches. Vous pouvez stocker les fichiers que vous utilisez fréquemment dans l’onglet Favoris. La Timeline est l’endroit où l’on crée des projets multipiste à partir de clips vidéo et audio. La barre d’outils contient aussi des boutons destinés à la configuration de l’interface. Chaque projet dispose de sa propre sous-fenê- tre. Un projet contient une piste vidéo et plusieurs pistes audio. Ces onglets permettent de modifier un projet à l’aide d’un mélangeur, de divers éditeurs ainsi qu’un chutier de stockage des données spécifiques à chaque projet. Ces onglets comportent des VU-mètres. La barre d’outils contient les boutons correspondant aux commandes couramment utilisées, par exemple celui prévu pour la création de projets. Ces onglets contiennent les détails d’un projet multipiste ou de fichier audio ainsi que le clip vidéo associé au projet.Annexe Introduction à l’interface Soundtrack Pro 89 Les onglets à gauche de la Timeline affichent des informations relatives au projet Soundtrack Pro sélectionné. L’onglet Vidéo vous permet de visionner le clip vidéo associé à un projet multipiste et l’onglet Projet est utile pour consulter des informations sur le projet. Vous pouvez aussi obtenir des informations spécifiques sur des pistes du projet en ouvrant l’onglet Piste et lire les détails d’un clip à travers les onglets Effets, Détails et Analyse. Les onglets à droite de la Timeline incluent les VU-mètres de sortie et d’enregistrement utilisés pour contrôler la sortie audio, et les onglets Navigateur, Rechercher et Favoris grâce auxquels vous pouvez localiser et rechercher des fichiers audio sur votre disque dur, vos disques portables et vos autres volumes de stockage. Important : l’interface que vous voyez est différente de celle illustrée ci-avant ? Peut- être avez-vous interverti des présentations ou créé une présentation pendant vos manipulations dans Soundtrack Pro. Pour visualiser l’interface telle qu’elle est représentée ci-dessus, choisissez Fenêtre > Présentations > Standard (ou appuyez sur la touche F1). Pour en savoir plus sur les présentations de fenêtre, reportez-vous à la rubrique « Disposition de l’interface Soundtrack Pro » à la page 97.90 Annexe Introduction à l’interface Soundtrack Pro La Timeline Dans la Timeline, vous contrôlez tout, des réglages de projet aux informations d’affichage des pistes en passant par les détails spécifiques des clips. La Timeline reprend également des boutons correspondant aux fonctions (comme celle de lecture) que vous pouvez aussi activer facilement à l’aide de raccourcis clavier. Les outils d’édition de la Timeline vous permettent de sélectionner, de faire défiler, de prélever, d’appliquer divers paramètres, etc. Chaque piste, chaque bus et chaque sousmixage de la Timeline peut être ouvert pour révéler les enveloppes associées, par exemple le volume et la balance. Pour définir les commandes de projets tels que les paramètres d’alignement, la hauteur des pistes et le zoom dans la Timeline, vous devez utiliser les commandes de cette dernière. Les commandes de lecture contrôlent la position de la tête de lecture et vous permettent de lire votre projet. Définissez les réglages de projet à cet endroit. La présentation Global dans la Timeline présente une vue d’ensemble du projet et l’emplacement de la tête de lecture. Dans le menu local Afficher, choisissez les éléments de piste à faire apparaître.Annexe Introduction à l’interface Soundtrack Pro 91 L’éditeur de fichiers Vous pouvez visualiser des clips un par un dans l’onglet Éditeur de fichiers ou dans la présentation du même nom. Ces deux espaces contiennent des boutons et des outils similaires, hormis que la présentation du projet comporte un menu local Automatisation et que l’onglet Éditeur de fichiers renferme des boutons Solo et « Repérer au niveau de la tête de lecture » et de liaison, ainsi que des contrôles de lecture. Pour modifier des fichiers appartenant à un projet multipiste, vous pouvez utiliser l’onglet Éditeur de fichiers. Si vous sélectionnez un fichier dans la Timeline d’un projet multipiste, il apparaît dans l’onglet Éditeur de fichiers juste en dessous de la Timeline. Vous pouvez modifier des fichiers audio dans la présentation Éditeur de fichiers. Un fichier audio donné, ouvert à partir de l’onglet Navigateur, Rechercher ou Favoris, apparaît dans la présentation Éditeur de fichiers. Le fichier sélectionné dans la Timeline s’affiche ici dans l’onglet Éditeur de fichiers. Si vous double-cliquez sur un fichier, il apparaît en plein écran dans la présentation Éditeur de fichiers.92 Annexe Introduction à l’interface Soundtrack Pro L’éditeur de multiprises L’éditeur de multiprises est un puissant outil utilisé pour le mixage et la synchronisation d’enregistrements multiprise et le remplacement automatique de dialogues (ADR). L’onglet Éditeur de multiprises n’est pas abordé dans le manuel Premiers contacts. Pour savoir comment utiliser l’Éditeur de multiprises, reportez-vous au Manuel de l’utilisateur de Soundtrack Pro. Conformer L’onglet Conformer vous permet de mettre à jour votre projet audio en fonction des modifications apportées au projet vidéo. L’onglet Conformer n’est pas abordé dans le manuel Premiers contacts. Pour savoir comment utiliser l’onglet Conformer, reportez-vous au Manuel de l’utilisateur de Soundtrack Pro. Outils de modification de forme d’onde Pistes de prise Piste CompAnnexe Introduction à l’interface Soundtrack Pro 93 Le mixage Lorsque vous cliquez sur l’onglet Mélangeur, un mélangeur, tel que celui montré ci-dessous, apparaît. Ce mélangeur contient un canal pour chaque piste de votre projet. Les pistes et les bus disposent des mêmes commandes : une liste Effets, un Panner, des commandes de lecture et de volume et un menu local Routage. Les sous-mixages et le bus du Master ne possèdent pas de Panners. Affichez et masquez les pistes audio, les bus et les sous-mixages à partir de ce menu local. Chaque piste située dans la Timeline de votre projet correspond à une bande de canal dans le mélangeur. Réglez le menu local Mode d’automatisation. Personnalisez les commandes affichées dans le mélangeur à l’aide de ce menu local. La liste Effets répertorie tous les effets appliqués à la piste, au bus ou au sous-mixage. Menu local Routage pour le canal Contrôles de lecture, dont Muet et Solo Le volume se définit soit en faisant glisser le curseur de volume, soit en saisissant un nombre dans la zone de valeur du curseur ci-dessous. Panner Surround. Si le canal est en stéréo, c’est le Panner stéréo qui s’affiche.94 Annexe Introduction à l’interface Soundtrack Pro Le chutier L’onglet Chutier recense des informations sur chacun des éléments des projets ouverts. Le chutier comporte également des fonctions de tri et de recherche pour vous aider à repérer un élément dans n’importe quel projet ouvert. Vous pouvez utiliser cet onglet pour effectuer le suivi des fichiers et des clips de votre projet, obtenir des informations sur des fichiers, etc. La barre d’outils Vous pouvez personnaliser la barre d’outils de manière à ce qu’elle contienne les boutons de votre choix. Voici un aperçu des boutons par défaut de la barre d’outils. Commandes de preview Menu local Éléments Menu local Colonnes Liste d’éléments Menu local Média Cliquez sur ce bouton pour passer d’une présentation enregistrée à une autre de l’interface, ou enregistrer de nouvelles présentations de l’interface. Lancez un nouveau projet à l’aide de ce bouton. Servez-vous de ces boutons pour ajouter de nouveaux fichiers, de nouvelles pistes et de nouveaux marqueurs, pour redimensionner une piste et pour ajouter des Crossfades à un projet. Affichez et masquez une sous-fenêtre ou le mélangeur en cliquant sur son bouton.Annexe Introduction à l’interface Soundtrack Pro 95 Onglets de la sous-fenêtre de gauche Les onglets à gauche de la Timeline révèlent les détails de diverses zones de votre projet. Si votre projet multipiste contient un clip vidéo, ce dernier s’affiche dans l’onglet Vidéo. Les onglets Détails, Effets, Pistes et Actions s’actualisent tous des détails relatifs au clip que vous avez sélectionné dans la Timeline. L’onglet Effets contient les paramètres des effets ajoutés au clip sélectionné, l’onglet Actions fournit une liste modifiable des actions appliquées au clip ou au fichier sélectionné, etc. L’onglet Analyse vous aide à trouver les problèmes d’audio courants dans les fichiers et à les résoudre. Consultez les détails ou les effets d’un clip, les actions ou les détails d’une piste en sélectionnant l’onglet correspondant. La vidéo que vous avez ajoutée à votre projet s’affiche à cet endroit.96 Annexe Introduction à l’interface Soundtrack Pro Onglets de la sous-fenêtre de droite Vous pouvez consulter les VU-mètres, enregistrer de l’audio et accéder à vos clips audio, les indexer, les retrouver et les organiser à l’aide des onglets VU-mètres, Enregistrement, Navigateur, Rechercher et Favoris. Les onglets VU-mètres et Enregistrement indiquent les niveaux de l’audio entrant enregistré par Soundtrack Pro d’une part, et de l’audio sortant en lecture d’autre part. L’onglet Navigateur fonctionne comme une fenêtre du Finder puisqu’il vous permet de parcourir votre disque dur et vos volumes externes. Dans l’onglet Rechercher, vous pouvez indexer vos fichiers audio, puis les rechercher selon des critères, par exemple selon leur nom, un mot-clé et d’autres métadonnées. Lorsque vous trouvez un clip que vous désirez utiliser, vous pouvez le placer dans votre onglet Favoris afin d’y accéder facilement ultérieurement. Les onglets VU-mètres et Enregistrement affichent les niveaux des données lues ou enregistrées. Les onglets Navigateur, Rechercher et Favoris se trouvent à cet endroit.Annexe Introduction à l’interface Soundtrack Pro 97 Disposition de l’interface Soundtrack Pro Soundtrack Pro est personnalisable : vous pouvez réorganiser les onglets de Soundtrack Pro, afficher et masquer des zones de l’interface et enregistrer des présentations personnalisées de Soundtrack Pro. Organisation des onglets L’interface Soundtrack Pro se compose d’onglets. Vous pouvez détacher n’importe quel onglet pour le présenter sous forme de fenêtre flottante. Cette fenêtre peut ensuite être redimensionnée ou masquée. Lorsque vous n’en avez plus besoin, vous pouvez facilement remettre l’onglet à son emplacement d’origine. Pour détacher un onglet : m Sélectionnez l’onglet, puis faites-le glisser de son emplacement. Pour redimensionner une fenêtre : m Cliquez sur le bord de la fenêtre, puis faites-le glisser pour donner à la fenêtre sa nouvelle dimension. Pour remettre un onglet en place dans l’interface Soundtrack Pro : m Faites glisser l’onglet dans l’interface. Utilisation de présentations d’interface préconfigurées Soundtrack Pro est fourni avec deux présentations d’interface préconfigurées. La présentation Standard est celle par défaut de Soundtrack Pro. C’est elle qui est illustrée dans l’ensemble de ce manuel. « Séparer le mélangeur et la vidéo », l’autre présentation de l’interface, comporte trois fenêtres : une fenêtre de présentation Standard, une fenêtre Mélangeur flottante et une fenêtre Vidéo flottante. Pour consulter la présentation « Séparer le mélangeur et la vidéo » : m Choisissez Fenêtre > Présentations > Séparer le mélangeur et la vidéo (ou appuyez sur F2). La présentation « Séparer le mélangeur et la vidéo » place les onglets Vidéo et Mélangeur dans des fenêtres flottantes distinctes. Pour revenir à la présentation Standard : m Choisissez Fenêtre > Présentations > Standard (ou appuyez sur F1).98 Annexe Introduction à l’interface Soundtrack Pro Personnalisation de votre interface Vous pouvez choisir d’afficher tout onglet de Soundtrack Pro dans sa propre fenêtre. Pour placer un onglet de Soundtrack Pro dans sa propre fenêtre flottante : m Faites glisser l’onglet de son emplacement dans l’interface Soundtrack Pro. L’onglet apparaît dans sa propre fenêtre. Vous pouvez aussi afficher ou masquer les zones de l’interface Soundtrack Pro. Pour afficher ou masquer les sous-fenêtres de gauche, inférieure ou de droite de Soundtrack Pro, procédez de l’une des manières suivantes : m Choisissez Fenêtre > Afficher/Masquer la sous-fenêtre de gauche/inférieure/de droite. m Cliquez sur l’un des boutons Sous-fenêtre sur la droite de la barre d’outils. Lorsque vous masquez les sous-fenêtres de gauche et de droite, seules la Timeline et la barre d’outils demeurent. Vous pouvez afficher ou masquer des zones de l’interface et du mélangeur en cliquant sur ces boutons.Annexe Introduction à l’interface Soundtrack Pro 99 Enregistrement de vos présentations personnalisées Vous pouvez enregistrer la présentation d’interface avec laquelle vous travaillez. Ainsi, au lieu d’afficher et de masquer des éléments de l’interface pour élaborer une présentation, vous pourrez y accéder ultérieurement en choisissant le nom de cette dernière. Pour enregistrer une configuration d’interface en tant que présentation personnalisée : 1 Cliquez sur le bouton Présentations sur la droite de la barre d’outils. La zone de dialogue Présentations apparaît. 2 Cliquez sur le bouton d’ajout (+). Une nouvelle présentation sans titre s’ajoute à la liste Présentations. 3 Attribuez-lui un nom. 4 Cliquez sur Terminé. Pour accéder à votre nouvelle présentation : m Choisissez Fenêtre > Présentations, puis choisissez la présentation que vous avez créée dans le sous-menu. La fenêtre Soundtrack Pro adopte l’apparence de votre présentation personnalisée.  Installation et configuration de votre Power Mac G4 Instructions d’installation et d’extension des ordinateurs Power Mac G4 F2088.book Page 1 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMK Apple Computer Inc. © 2002 Apple Computer Inc. Tous droits réservés. Ce manuel est protégé par la loi du 11 mars 1957 sur la propriété littéraire et artistique, complétée par la loi du 3 juillet 1985 et par toutes les conventions internationales applicables aux droits d’auteurs. En vertu de ces lois et conventions, aucune reproduction totale ni partielle de ce manuel n’est autorisée, sauf consentement écrit préalable d’Apple. Le logo Apple est une marque d’Apple Computer Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. En l’absence du consentement écrit d’Apple, l’utilisation à des fins commerciales de ce logo via le clavier (Option +1) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Tout a été mis en œuvre pour que les informations présentées dans ce manuel soient exactes. Apple n’est pas responsable des erreurs de reproduction ou d’impression. Apple Computer Inc. 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014-2084 408-996-1010 www.apple.com AirPort, Apple, le logo Apple, Apple Store, AppleShare, AppleTalk, Final Cut Pro, Fire Wire, le logo FireWire, Keychain, Mac, Macintosh, QuickTime et Sherlock sont des marques d’Apple Computer Inc., déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. DVD Studio Pro, Finder, iMovie, iPod, iTunes, Power Mac et SuperDrive sont des marques d’Apple Computer Inc. AppleCare est une marque d’Apple Computer Inc. Digital imagery copyright 2001 Photodisc, Inc. Java et tous les logos et marques associés sont des marques de Sun Microsystems Inc., déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. PowerPC et le logo PowerPC sont des marques d’International Business Machines Corporation, utilisées sous licence. Fabriqué sous licence de Dolby Laboratories. “Dolby” et le logo double-D sont des marques déposées de Dolby Laboratories. Travail non publié confidentiel. © 1992-1997 Dolby Laboratories Inc. Tous droits réservés. Ce produit inclut le logiciel développé par l’Université de Californie, Berkeley et ses collaborateurs. Les autres noms de produits et de sociétés sont la propriété de leurs détenteurs respectifs. Les produits commercialisés par des entreprises tierces ne sont mentionnés que pour information, sans aucune intention de préconisation ni de recommandation. Apple décline toute responsabilité quant à l’utilisation et au fonctionnement de ces produits. Publié conjointement aux États-Unis et au Canada. Remarque : Apple améliore continuellement les performances et le design de ses produits. Il se peut que certaines illustrations de ce manuel soient légèrement différentes de votre version du logiciel. F2088.book Page 2 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM3 Table des matières 1 Installation 7 Positionnement de l’ordinateur et du moniteur 7 Branchement de l’ordinateur 8 En cas de problèmes 12 Lorsque vous n’utilisez pas l’ordinateur 13 Réglage de votre moniteur 13 Familiarisation avec votre ordinateur 14 Ports et connecteurs : extension des capacités de votre ordinateur 16 Intérieur de votre Power Mac : options d’extension internes de votre ordinateur 18 Étape suivante 20 2 Premiers pas avec votre ordinateur 21 Pour obtenir les toutes dernières informations 21 À propos de Mac OS X 22 Sherlock : votre utilitaire de recherche sur Internet 24 iTools : des services Internet gratuits pour les utilisateurs de Mac 26 Apple.com : votre point de départ sur le World Wide Web 28 QuickTime : audio et vidéo sur Internet 30 iMovie : créez et montez des films numériques 32 iDVD : création et gravure de vos propres DVD 34 iTunes : musique numérique pour votre Mac 36 Mise à jour de logiciels : maintien automatique de votre Mac à la pointe des nouveautés 38 Utilisateurs multiples : un Mac pour plusieurs utilisateurs 40 Aide Mac : Réponses à vos questions 42 F2088.book Page 3 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM4 Table des matières 3 Utilisation de votre système d’exploitation 43 À propos de Mac OS X 43 Utilisation de l’environnement Classic sous Mac OS X 44 Passage d’un système d’exploitation à l’autre 44 En cas de problèmes 46 4 Utilisation de votre ordinateur 47 Utilisation du clavier et de la souris Apple Pro Mouse 48 Connexion d’un second moniteur à votre ordinateur 50 Utilisation de périphériques USB 51 Utilisation de périphériques FireWire 53 Utilisation de votre lecteur optique 55 Utilisation de votre modem 58 Connexion à un réseau Ethernet 59 Utilisation d’un réseau AirPort sans fil 61 Suspension de l’activité de l’ordinateur pour économiser l’énergie 63 Connexion de périphériques SCSI à votre ordinateur 64 Transfert d’informations entre deux ordinateurs Macintosh 64 Utilisation de l’ordinateur comme serveur sans moniteur 65 5 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 67 Ouverture de l’ordinateur 68 Installation de modules de mémoire 71 Installation d’unités de stockage internes 73 Installation d’une carte d’extension PCI ou remplacement de la carte AGP 82 Installation d’une carte AirPort 86 Remplacement de la pile 87 6 Dépannage 89 Problèmes de logiciels 91 Problèmes de moniteur 92 Restauration de vos logiciels 94 Annexe A Caractéristiques 97 F2088.book Page 4 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMTable des matières 5 Annexe B Environnement de travail, sécurité et entretien 103 Consignes de sécurité importantes 103 Entretien général 105 Consignes importantes concernant l’organisation de l’espace de travail et la santé 106 F2088.book Page 5 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMF2088.book Page 6 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM7 C H A P I T R E 1 1 Installation Apple vous félicite pour l’acquisition de votre nouvel ordinateur Power Mac G4. Votre Power Mac G4 est un ordinateur complet équipé des dernières technologies, telles que FireWire, USB, la gestion de l’Internet sans fil Airport et la mise en réseau. Il dispose également du dernier système d’exploitation Macintosh, Mac OS X. Ce chapitre contient des instructions de configuration de votre ordinateur et de votre moniteur. Positionnement de l’ordinateur et du moniteur Vous pouvez saisir l’ordinateur par n’importe quelle poignée. Si votre moniteur est lourd, veillez à adopter une méthode correcte pour le soulever lorsque vous le positionnez. Positionnez l’ordinateur et le moniteur de sorte que : m Ils reposent sur une surface plane et robuste. m Les prises des câbles d’alimentation ne soient coincées ni contre un mur ni quoi que ce soit. m La circulation de l’air à l’arrière du moniteur ou de l’ordinateur ne soit pas entravée. m L’espace à l’avant du plateau du lecteur optique soit suffisant pour l’ouverture de ce dernier. Important Le seul moyen de couper totalement l’alimentation de votre ordinateur et de votre moniteur consiste à déconnecter les prises de la source d’alimentation. Assurez-vous que les câbles d’alimentation de votre ordinateur et de votre moniteur sont à portée de main afin de pouvoir les débrancher immédiatement si nécessaire. F2088.book Page 7 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM8 Chapitre 1 Branchement de l’ordinateur 1 Le cas échéant, réglez le commutateur situé à l’arrière de votre ordinateur sur la tension correcte. m Si votre ordinateur ne dispose pas d’un tel commutateur, la tension correcte est réglée automatiquement et vous pouvez ignorer cette étape. m Si votre ordinateur possède un commutateur, assurez-vous que la tension est réglée selon la norme en vigueur dans votre pays. Le commutateur doit être réglé sur la tension correcte pour éviter d’endommager l’ordinateur. Réglez le commutateur sur “115” pour les tensions comprises entre 100 et 120V et sur “230” pour les tensions comprises entre 200 et 240V. Si votre ordinateur est muni d’un commutateur et que vous devez modifier le réglage, introduisez un tournevis dans cette rainure et faites glisser le commutateur. F2088.book Page 8 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMInstallation 9 2 Branchez fermement et complètement le câble d’alimentation dans la prise renfoncée marquée du symbole ≤, à l’arrière de l’ordinateur, puis connectez l’autre extrémité à une prise ou à une multiprise reliée à la terre. Pays Réglage du commutateur Arabie Saoudite, Bermudes, Canada, États-Unis, Jamaïque, Japon, Mexique, Philippines, Porto Rico, Taiwan, Venezuela 115 Bahreïn, Brésil, Corée du Sud, Espagne, France, Indonésie, Italie, Liban, Pérou1 115 ou 230 Afrique du Sud, Allemagne, Argentine, Australie, Autriche, Belgique, Bosnie-Herzégovine, Chili, Chine (y compris Hong Kong), Croatie, Danemark, Égypte, Émirats Arabes Unis, Finlande, Grèce, Groenland, Hongrie, Inde, Iran, Irlande, Irlande du Nord, Islande, Israël, Jordanie, Koweït, Liechtenstein, Luxembourg, Macédoine (ancienne république yougoslave), Malte, Népal, Norvège, Nouvelle-Zélande, Oman, Pakistan, Papouasie-Nouvelle-Guinée, Paraguay, Pays-Bas, Pologne, Portugal, Qatar, République Tchèque, Roumanie, Royaume-Uni, Russie et la Communauté d’États Indépendants (CEI), Serbie et Monténégro, Singapour, Slovaquie, Slovénie, Suède, Suisse, Yémen 230 1 Ces pays utilisent plusieurs types de tensions d’alimentation. Demandez à votre opérateur local quel réglage sélectionner dans votre cas. Fiche du câble d’alimentation Prise du câble d’alimentation F2088.book Page 9 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM10 Chapitre 1 3 Connectez les câbles du moniteur selon l’illustration suivante : Votre carte dispose d’un port ADC (Apple Display Connector) pour la connexion d’écrans plats Apple et un port de moniteur VGA pour connecter les moniteurs les plus utilisés équipés de connecteurs VGA. Si le câble de votre moniteur est muni d’un connecteur DB-15 à deux rangées, vous pouvez vous procurez un adaptateur Mac-VGA auprès d’un distributeur agréé Apple puis connecter votre moniteur au port VGA de l’ordinateur. Pour plus d’informations sur la connexion d’un second moniteur, consultez le chapitre 4, intitulé “Utilisation de votre ordinateur”. Important En fonction de votre moniteur, il se peut que vous deviez connecter soit un seul câble, soit plusieurs. Pour de plus amples d’informations, reportez-vous aux instructions fournies avec le moniteur. Ports USB Ports du moniteur Câble du moniteur Port de moniteur ADC Port de moniteur VGA F2088.book Page 10 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMInstallation 11 4 Si nécessaire, connectez votre ordinateur à votre réseau Ethernet ou connectez votre port modem à une ligne téléphonique. 5 Connectez le câble du clavier à l’un des ports USB ( ) de l’ordinateur ou du moniteur. Branchez le câble de la souris sur l’un des ports USB du clavier. Port modem Port Ethernet Il se peut que certaines parties de l’ordinateur soient recouvertes d’un film de protection en plastique que vous pouvez enlever. Clavier Souris Ports USB du clavier (2) N’introduisez rien dans l’ouverture du haut-parleur. Tout frottement peut l’endommager. F2088.book Page 11 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM12 Chapitre 1 Vous pouvez, si vous le souhaitez, ajuster la hauteur du clavier en abaissant son support situé au dos du clavier. 6 Allumez l’ordinateur en appuyant soit sur le bouton d’alimentation (®) du panneau avant de l’ordinateur, soit sur le bouton d’alimentation du moniteur s’il en est doté. m Si votre moniteur doit être allumé séparément, faites-le en appuyant sur son bouton d’alimentation. En cas de problèmes Si rien n’apparaît à l’écran après quelques instants ou si vous pensez que votre ordinateur n’a pas démarré correctement, effectuez les vérifications suivantes afin de tenter d’identifier la cause du problème : m L’ordinateur est-il connecté à une source d’alimentation ? S’il est connecté à une multiprise munie d’un interrupteur, est-elle allumée ? m Les câbles du clavier et du moniteur sont-ils correctement connectés ? m Le bouton d’alimentation est-il allumé sur le panneau avant de l’ordinateur et sur le moniteur ? S’il ne l’est pas, l’ordinateur ou le moniteur n’est pas alimenté ou est éteint. m Le moniteur est-il allumé ? Les contrôles de luminosité et de contraste du moniteur sont-ils correctement réglés ? Si votre moniteur est muni de tels contrôles, réglez-les. m Redémarrez votre ordinateur. Appuyez sur le bouton d’alimentation de l’ordinateur pendant environ 5 secondes jusqu’à ce que l’ordinateur s’éteigne. Appuyez à nouveau sur ce bouton pour allumer l’ordinateur. m Si un point d’interrogation clignote à l’écran ou si vous entendez une série de bips sonores lorsque vous allumez l’ordinateur, consultez le chapitre 6, intitulé “Dépannage”, à la page 89. F2088.book Page 12 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMInstallation 13 Lorsque vous n’utilisez pas l’ordinateur Votre ordinateur est configuré de manière à suspendre son activité après une période d’inactivité. La suspension d’activité permet à votre ordinateur de consommer le minimum d’énergie tout en étant allumé. Pour réactiver votre ordinateur, appuyez sur une touche quelconque. Vous pouvez également soit suspendre l’activité de l’ordinateur au moment où vous le souhaitez, soit le paramétrer de telle sorte qu’il ne suspende jamais son activité. Pour en savoir plus sur la suspension d’activité, consultez la section “Suspension de l’activité de l’ordinateur pour économiser l’énergie” à la page 63. Si vous ne comptez pas utiliser votre ordinateur pendant quelques jours, il est préférable de l’éteindre. Pour éteindre votre ordinateur, choisissez Éteindre dans le menu Pomme (K). Réglage de votre moniteur Pour ajuster les réglages de votre écran, choisissez Préférences Système dans le menu Pomme (K) et cliquez sur Moniteurs. Pour plus de détails sur le dépannage de votre moniteur, consultez la section “Problèmes de moniteur” à la page 92. Pour plus de détails sur l’entretien de votre moniteur, consultez la section “Entretien de votre moniteur” à la page 106. L’Aide Mac contient des informations supplémentaires sur l’utilisation de votre moniteur. Important N’utilisez l’interrupteur d’une multiprise ou ne débranchez la prise pour éteindre l’ordinateur que si vous ne parvenez à l’éteindre d’aucune autre manière. Si vous n’éteignez pas l’ordinateur correctement, vous risquez d’endommager vos fichiers ou le logiciel système. F2088.book Page 13 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM14 Chapitre 1 Familiarisation avec votre ordinateur Lecteur optique Haut-parleur Bouton de réinitialisation P Bouton du programmeur ¥ Lecteur Zip (facultatif) Bouton/Témoin d’alimentation Touche d’éjection de disques F2088.book Page 14 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMInstallation 15 Lecteur optique Votre ordinateur dispose d’une unité CD-RW, DVD-ROM/CD-RW ou d’un SuperDrive. Ces trois types d’unité lisent les disques CD-ROM, les Photo CD, les disques audio standard et d’autres données. Les unités DVD-ROM/CD-RW et SuperDrive lisent également les disques et films DVD et peuvent graver de la musique, des documents et fichiers numériques sur disques CD-R et CD-RW. Le SuperDrive peut également enregistrer sur des disques DVD-R vierges. Pour ouvrir le lecteur optique, appuyez sur la touche d’éjection de disques (C) de votre clavier Apple Pro Keyboard. Lecteur Zip (facultatif) Les disques Zip amovibles vous permettent de stocker et de sauvegarder des données. Votre lecteur Zip éventuel sera installé à cet endroit. ® Bouton d’alimentation/Témoin d’alimentation Appuyez sur ce bouton pour mettre l’ordinateur sous tension ou le réactiver. Lorsque l’ordinateur est allumé, appuyez sur le bouton d’alimentation pour suspendre son activité. Un témoin blanc indique que l’ordinateur est allumé. Un témoin clignotant lentement indique que l’ordinateur est en veille. Vous pouvez également appuyer sur le bouton d’alimentation de certains moniteurs Apple ou seulement le toucher pour allumer ou éteindre l’ordinateur ou bien le mettre en veille. P Bouton de réinitialisation Ce bouton contraint l’ordinateur à redémarrer. Utilisez le bouton de réinitialisation uniquement si vous ne pouvez redémarrer votre ordinateur avec aucune des méthodes recommandées, telles que la sélection de l’option Redémarrer du menu Pomme (K) sous Mac OS X, ou de l’option Redémarrer du menu Spécial sous Mac OS 9. Pour plus de détails sur l’utilisation du bouton de réinitialisation, consultez le chapitre 6, intitulé “Dépannage”, à la page 89. ¥ Bouton du programmeur Ce bouton interrompt le fonctionnement normal des logiciels de l’ordinateur. Ce bouton n’est utilisé que pour des mises à jour du programme interne. Les instructions d’utilisation de ce bouton figurent dans la documentation de la mise à jour du programme interne. Haut-parleur Le haut-parleur interne encastré est conçu pour une restitution sonore optimale. Protégez de tout contact le mécanisme fragile du haut-parleur. C Touche d’éjection de disques La touche d’éjection de disques présente sur les claviers Apple Pro Keyboard ouvre le lecteur optique et éjecte les disques CD et DVD. Sur certains claviers, l’ouverture du lecteur optique et l’éjection de disques peut aussi s’effectuer via la touche F12. F2088.book Page 15 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM16 Chapitre 1 Ports et connecteurs : extension des capacités de votre ordinateur Anneau de verrouillage du capot Prise de casque d’écoute Prise d’alimentation Port Ethernet Mini-prise de haut-parleur Apple Ports FireWire (2) Ports USB (2) G ≤ Capots d’accès des logements d’extension (Logements 2 à 5 : PCI) F Port antivol f Port de moniteur ADC Port moniteur VGA (Logement 1 : AGP) Port de modem interne W F2088.book Page 16 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMInstallation 17 f Prise de casque d’écoute Connectez votre Macintosh à un casque d’écoute, à des haut-parleurs amplifiés externes, ou à tout autre matériel de sortie audio. Pour plus d’informations sur les divers types de haut-parleurs que vous pouvez connecter, rendez-vous sur le site Web d’Apple à l’adresse www.apple.com/store Mini-prise de haut-parleur Apple Connectez votre Macintosh à des haut-parleurs Apple Pro haute-fidélité afin de reproduire en stéréo le son et la musique de CD multimédia, de jeux, de CD audio, etc. Consultez la section “Réglage du son lors de la lecture de disques DVD et audio” à la page 55 pour plus de détails sur l’utilisation de vos haut-parleurs. Ports FireWire Connectez votre Macintosh à des périphériques FireWire tels que caméscopes numériques, scanners et disques durs. La norme FireWire fournit un mode de transfert de données à très haute vitesse entre tous ces périphériques. Ports USB Connectez votre Macintosh à des périphériques USB tels que claviers, souris, imprimantes, scanners, haut-parleurs, microphones et concentrateurs USB. Il est possible que votre moniteur soit également équipé de ports USB destinés à connecter des périphériques USB. Ports de moniteurs Connectez votre Macintosh soit à des moniteurs utilisant le port ADC, soit à des moniteurs standard équipés d’un connecteur VGA. F Port antivol et anneau de verrouillage du capot Vous pouvez fixer un cadenas au panneau arrière de votre Macintosh afin de protéger les composants internes. Lorsque l’anneau de verrouillage est sorti, vous pouvez y enfiler un câble ou un cadenas pour empêcher l’ouverture du capot de l’ordinateur. Adressez-vous à votre revendeur de produits informatiques pour connaître les dispositifs de verrouillage fonctionnant avec votre ordinateur. W Port de modem interne Connectez un câble téléphonique au modem interne. ≤ Prise d’alimentation Connectez le câble d’alimentation à l’ordinateur. G Port Ethernet 10/100/1000 à paire torsadée Connectez votre Macintosh à un réseau Ethernet haute vitesse afin de vous permettre d’accéder à des ressources de réseau, telles qu’imprimantes et serveurs, et de partager des données avec d’autres ordinateurs du réseau. Capots d’accès des logements d’extension (4) Votre Macintosh gère jusqu’à quatre cartes PCI (Peripheral Component Interconnect). Les logements protégés par une plaque (numérotés 2, 3, 4 et 5) fournissent des capacités d’extension supplémentaires. Dans certaines configurations, une carte SCSI Ultra160 LVD (Low Voltage Differential) est installée dans l’un de ces logements. F2088.book Page 17 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM18 Chapitre 1 Intérieur de votre Power Mac : options d’extension internes de votre ordinateur Logement 1 : AGP (carte graphique installée) Logements SDRAM (3) Connecteur de Pile carte AirPort Logements 2 à 5 : PCI 33 MHz (4) Logement de lecteur 3 Logement de lecteur 2 Logement de lecteur 1 F2088.book Page 18 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMInstallation 19 Supports de disques durs internes Vous pouvez installer des disques durs supplémentaires dans ces supports internes de votre ordinateur. Si vous utilisez des lecteurs de disques durs ATA, vous pouvez installer deux disques durs par support en forme de U (logement 3). Si vous utilisez des disques durs SCSI, vous pouvez installer jusqu’à trois disques SCSI dans les supports. Connecteur de carte AirPort Connecte une carte AirPort, qui permet à votre ordinateur de communiquer avec un réseau sans fil. Logements d’extension PCI Vous pouvez y installer des cartes PCI afin d’étendre les capacités de votre ordinateur. Vous pouvez par exemple y installer une carte SCSI PCI, puis y connecter des périphériques SCSI tels que scanner, disque dur et lecteur Zip. Logement de carte graphique AGP Connecte votre carte graphique AGP, qui apporte à votre moniteur une puissance de traitement graphique élevée. Connectent votre Macintosh soit à des moniteurs utilisant le port ADC, soit à des moniteurs standard équipés d’un connecteur VGA. Logements SDRAM Vous pouvez ajouter de la mémoire supplémentaire à votre ordinateur en installant jusqu’à 3 modules DIMM de mémoire DRAM dans les logements prévus à cet effet. Vous pouvez augmenter la mémoire de votre ordinateur jusqu’à 1.536 Mo (1,5 Go). Pile Votre ordinateur utilise une batterie qui ne se remplace que rarement. Des problèmes intermittents lors du démarrage de l’ordinateur ou des changements aléatoires de date et d’heure indiquent qu’il est peut-être temps de changer la pile. Pour plus d’informations, consultez la section “Remplacement de la pile” à la page 87. F2088.book Page 19 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM20 Chapitre 1 Étape suivante m Pour obtenir une présentation générale des fonctions logicielles de votre ordinateur, consultez le chapitre 2, intitulé “Premiers pas avec votre ordinateur”, à la page 21. m Pour plus de détails sur les systèmes d’exploitation de votre Macintosh ainsi que sur les instructions permettant de basculer entre Mac OS X et Mac OS 9, consultez le chapitre 3, intitulé “Utilisation de votre système d’exploitation”, à la page 43. m Pour davantage d’informations concernant l’utilisation de votre modem, la connexion à un réseau ou les autres fonctions matérielles de votre ordinateur, consultez le chapitre 4, intitulé “Utilisation de votre ordinateur”, à la page 47. m Pour toute information sur l’installation de lecteurs, de modules de mémoire ou de cartes PCI supplémentaires ou sur le remplacement de la pile interne de l’ordinateur, consultez le chapitre 5, intitulé “Interventions à l’intérieur de l’ordinateur”, à la page 67. m L’assistant Réglages vous aide à enregistrer votre nouvel ordinateur auprès d’Apple. Vous pouvez également enregistrer votre ordinateur, votre moniteur Apple ou votre logiciel Apple sur le site Web Apple : www.apple.com/register F2088.book Page 20 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM21 C H A P I T R E 2 2 Premiers pas avec votre ordinateur Si vous êtes impatient de commencer et que vous désirez faire quelques essais, ce chapitre est pour vous. Il présente un aperçu des fonctions logicielles de votre ordinateur, ainsi que des services Internet mis exclusivement à la disposition des possesseurs d’ordinateurs Macintosh. Votre ordinateur est livré avec deux systèmes d’exploitation : Mac OS X et Mac OS 9. Votre ordinateur est configuré pour démarrer sous Mac OS X, mais vous pouvez configurer le démarrage sous le Mac OS désiré, puis basculer de l’un à l’autre. Pour plus d’informations sur le passage d’un système Mac OS de démarrage à l’autre ou sur vos systèmes d’exploitation, consultez le chapitre 3, intitulé “Utilisation de votre système d’exploitation”, à la page 43. Mac OS X inclut des fonctionnalités performantes permettant la connexion à Internet afin de visionner des vidéos, de rechercher des informations, de faire des achats et même de procéder à la mise à jour automatique de vos logiciels. Votre Power Mac G4 vous permet également de télécharger certaines des dernières versions de logiciels Apple permettant la création multimédia : connectez votre caméscope numérique, puis créez vos propres films à l’aide d’iMovie ; créez un DVD comprenant plusieurs films iMovie et photos numériques à l’aide de l’application iDVD (SuperDrive requis) ; ou écoutez des fichiers musicaux numériques à l’aide d’iTunes. Apple vous fournit également des services Internet gratuits grâce auxquels vous bénéficiez d’un espace de stockage sur Internet, d’une adresse électronique personnelle Mac.com, d’outils pour créer facilement votre propre site Web ou salle de cinéma iMovie, et bien plus encore. Remarque : comme Apple sort régulièrement de nouvelles versions et des mises à jour de son logiciel système, de ses applications et de ses sites Internet, les illustrations présentées dans ce manuel peuvent être légèrement différentes de ce qui apparaît sur votre écran. Pour obtenir les toutes dernières informations Le site www.apple.com comporte des liens d’assistance technique, les dernières informations, des téléchargements gratuits et catalogues en ligne de logiciels et matériels Macintosh. Vous trouverez également les manuels de nombreux produits Apple sur le site d’assistance et de services d’AppleCare : www.apple.com/support (multilingue). F2088.book Page 21 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM22 Chapitre 2 À propos de Mac OS X Menu Apple Utilisez ce menu pour modifier des réglages, ouvrir des éléments utilisés récemment et éteindre votre ordinateur. Boutons des fenêtres Cliquez sur ces boutons pour fermer la fenêtre, la réduire dans le Dock ou l’agrandir. Barre d’outils du Finder Cliquez pour ouvrir des dossiers et fichiers et accéder à des raccourcis. Dock Pour ouvrir un élément ou l’activer, cliquez sur son icône dans le Dock. Certaines icônes du Dock indiquent l’état de l’application. Zone de dialogue Une zone destinée à la sauvegarde et à l’impression est rattachée à chaque fenêtre. Bouton Si un bouton clignote, vous pouvez appuyer sur les touches Entrée ou Retour au lieu de cliquer dessus. Ícônes d’état Vérifiez l’état des Préférences Système à partir de la barre des menus. F2088.book Page 22 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMPremiers pas avec votre ordinateur 23 Possibilités Mac OS X apporte à votre ordinateur une nouvelle interface utilisateur performante et élégante. Avec Mac OS X, vous n’avez pas à vous préoccuper de la quantité de mémoire à allouer à une application afin qu’elle soit exécutée efficacement, pas plus que vous ne devez redémarrer votre ordinateur en cas d’erreur liée à cette application. Outre l’utilisation des logiciels Mac OS X, vous pouvez toujours exécuter les logiciels Mac OS 9 sous Mac OS X grâce à l’environnement Classic. le chapitre 3, intitulé “Utilisation de votre système d’exploitation”, à la page 43 décrit l’environnement Classic plus en détail. Mac OS X gère également les applications Java™ et UNIX. Marche à suivre La fonction Préférences Système constitue votre centre de commandes pour tous les réglages de votre ordinateur, de la modification de l’aspect de votre bureau à la configuration des informations d’accès réseau. Le Finder et le Dock permettent un accès facile aux dossiers, applications, documents et autres éléments de votre ordinateur et de votre réseau. Pour plus de détails sur les fonctionnalités de Mac OS X, consultez le manuel Bienvenue sur Mac OS X livré avec votre ordinateur ou choisissez Aide Mac dans le menu Aide de Mac OS X. Conseils et astuces Personnalisez le Finder Sélectionnez une image ou une couleur pour votre bureau en choisissant Préférences Système dans le menu Pomme (K), puis en cliquant sur le tableau Bureau. Vous pouvez glisser une image dans le cadre ou en sélectionner une dans la collection d’images d’arrière-plan Apple. Personnalisez le Dock Vous pouvez modifier la taille des icônes du Dock, puis activer l’agrandissement pour que les icônes deviennent plus grosses que les autres. Choisissez Dock dans le menu Pomme (K), puis Préférences de Dock. Vous pouvez également ouvrir les Préférences Système dans le menu Pomme (K), puis cliquer sur Dock. Organisez votre bureau Pour éviter tout désordre sur votre bureau, réduisez les fenêtres, ce qui les place dans le Dock. Faites un double-clic sur la barre de titre d’une fenêtre ou cliquez sur le bouton du milieu dans le coin supérieur gauche de la fenêtre afin de la placer dans le Dock. Cliquez sur l’icône de la fenêtre située dans le Dock afin de l’ouvrir à nouveau. Pour en savoir plus Pour davantage d’informations sur la personnalisation de votre environnement Mac OS X et sur l’utilisation de Mac OS X, consultez le manuel Bienvenue sur Mac OS X livré avec votre ordinateur. F2088.book Page 23 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM24 Chapitre 2 Sherlock : votre utilitaire de recherche sur Internet Bouton Recherche Après avoir tapé ce que vous recherchez, cliquez ici pour lancer la recherche. Sites de recherche Moteurs de recherche qu’utilise Sherlock pour examiner Internet. Canaux Sherlock Recherchez des personnes, faites des achats, tenez-vous au courant de l’actualité et informez-vous sur les produits Apple grâce à Internet. Icône Sherlock Cliquez sur l'icône Sherlock du Dock. F2088.book Page 24 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMPremiers pas avec votre ordinateur 25 Possibilités Sherlock remplit pour vous les fonctions de “détective” et d’acheteur personnel sur Internet. Il constitue un moyen simple de rechercher des personnes, des sources d’actualités ainsi qu’à peu près n’importe quoi. Il permet de se procurer des livres ou des disques, de passer en revue les sites de ventes aux enchères, de dénicher les prix les plus avantageux, et même de se renseigner sur la disponibilité des produits. Marche à suivre 1 Connectez-vous à Internet. 2 Ouvrez Sherlock en cliquant sur l’icône Sherlock dans le Dock. Pour rechercher des fichiers sur votre ordinateur, cliquez sur Rechercher dans le menu Fichier. 3 Sélectionnez un canal de Sherlock. 4 Tapez ce que vous recherchez puis cliquez sur le bouton Rechercher. Conseils et astuces Créez votre propre canal de recherche Sherlock 1 Choisissez Nouveau canal dans le menu Canaux. 2 Sélectionnez un nom, un type de canal et une icône. 3 Téléchargez des modules Sherlock, puis placez-les dans la liste des sites de recherche. Vous pouvez également maintenir la touche Option enfoncée, puis glisser des modules d’autres listes de recherche sur l’icône de votre nouveau canal. Pour en savoir plus Pour en apprendre davantage sur les capacités de Sherlock, ouvrez l’Aide Mac et recherchez “Sherlock”. Pour télécharger des modules de recherche supplémentaires et découvrir comment vous pouvez créer votre propre module Sherlock, visitez le site Web de Sherlock sur www.apple.com/fr/sherlock F2088.book Page 25 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM26 Chapitre 2 iTools : des services Internet gratuits pour les utilisateurs de Mac Messagerie Recevez votre propre adresse Mac.com. D’usage facile, fonctionne avec vos applications de messagerie favorites. iDisk Vous disposez de 20 Mo de stockage gratuit sur les serveurs Internet d’Apple pour partager vos photos, vos films et tout autre fichier via Internet. Possibilité d’acheter de l’espace de stockage supplémentaire. HomePage Concevez votre propre site Web en trois étapes simples. Créez un album photo, publiez un iMovie, diffusez votre CV, etc. Quiconque pourra consulter votre page sur Internet. iCards Envoyez une iCard pour tout type d’occasion. Choisissez une carte existante ou créez une carte personnalisée à l’aide des photos sur votre iDisk. F2088.book Page 26 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMPremiers pas avec votre ordinateur 27 Possibilités iTools est une nouvelle classe de services Internet créés par Apple exclusivement à l’intention des utilisateurs de Mac. iTools vous permet d’envoyer des messages électroniques ou des cartes à vos amis, de protéger vos enfants contre certains contenus Internet et de partager des photos et des films. Vous pouvez même créer votre propre site Web. Marche à suivre 1 Connectez-vous à Internet. 2 Rendez-vous sur www.apple.com 3 Cliquez sur l’onglet iTools, sur le bouton Continuer, puis sur le bouton “Free Sign Up” (Inscription gratuite). Conseils et astuces Téléchargez des images sur votre espace iDisk afin de créer des cartes iCards personnalisées Vous pouvez envoyer des cartes iCards avec vos propres images personnalisées. Pour cela, enregistrez vos images au format GIF ou JPEG, puis copiez-les dans le dossier Pictures de votre iDisk. Elles apparaîtront comme options de la section “Create your own” lorsque vous créerez une iCard. Partez d’un modèle de page d’accueil de la section HomePage pour créer votre propre page Web en quelques minutes La section HomePage propose des modèles de pages Web que vous pouvez personnaliser avec votre propre texte et vos propres images. Les enseignants peuvent par exemple se servir des modèles consacrés à l’enseignement pour diffuser des nouvelles sur la classe, communiquer les devoirs à faire, ou informer les parents. Vous pouvez également recourir à l’album photo HomePage et aux modèles iMovie pour partager facilement vos images et films avec vos amis et votre famille. Créez un alias de votre iDisk pour y accéder directement Plutôt que d’utiliser un navigateur Web pour ouvrir votre iDisk, choisissez iDisk dans le menu Aller. Vous pouvez également ajouter une icône iDisk à la barre d’outils du Finder. Choisissez “Personnaliser la barre d’outils” dans le menu Présentation, glissez l’icône iDisk dans la barre d’outils du Finder, puis cliquez sur Terminé. Utilisez iTools pour contrôler l’accès des autres utilisateurs Configurez votre ordinateur de sorte que chaque membre de votre famille puisse se connecter. Pour davantage d’informations sur la configuration de votre ordinateur pour plusieurs utilisateurs, consultez la section “Utilisateurs multiples : un Mac pour plusieurs utilisateurs” à la page 40. F2088.book Page 27 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM28 Chapitre 2 Apple.com : votre point de départ sur le World Wide Web Logiciels pour Mac www.apple.com/fr/software Recherchez par catégorie de logiciels Apple et de tierce partie pour votre Mac. Apple Store store.apple.com Achetez les matériels, logiciels et accessoires Apple les plus récents. Guide des produits Macintosh www.apple.com/guide Si vous recherchez du matériel et des logiciels performants pour votre Mac, consultez ce site et recherchez le symbole Mac.Premiers pas avec votre ordinateur 29 Apple Hot News www.apple.com/fr/hotnews Informations sur les mises à jour de logiciels les plus récentes pour votre Mac, les logiciels de tierce partie, les nouveautés QuickTime, et tout ce qu’il faut savoir sur les futurs évènements Apple. Assistance Apple www.apple.com/support Toutes les informations sur AppleCare Protection Plan, les programmes de formation et les autres formes d’assistance relatives aux produits, ainsi que sur les mises à jour de logiciels, Apple Knowledge Base, sans oublier des infos techniques. Mac OS X www.apple.com/fr/macosx/ Les toutes dernières informations sur le système d’exploitation le plus avancé au monde. F2088.book Page 29 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM30 Chapitre 2 QuickTime : audio et vidéo sur Internet Contrôle du volume QuickTime TV Cliquez ici pour afficher les chaînes QuickTime TV auxquelles vous pouvez accéder sur votre ordinateur. Icône QuickTime Cliquez sur l’icône QuickTime du Dock. F2088.book Page 30 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMPremiers pas avec votre ordinateur 31 Possibilités Outre la lecture de fichiers vidéo et musicaux sur votre Mac, QuickTime vous permet de regarder des émissions en direct ou en différé sur Internet. Pour stocker les canaux dont vous avez fréquemment besoin, glissez-les dans votre liste personnelle de Signets QuickTime ( ). Marche à suivre 1 Connectez-vous à Internet. 2 Ouvrez QuickTime Player en cliquant sur l’icône correspondante du Dock. Vous pouvez également faire un double-clic sur QuickTime Player dans le dossier Applications. 3 Sélectionnez un canal ou choisissez une option dans le menu QuickTime Player. QuickTime TV utilise la diffusion en continu sur Internet, ce qui vous permet d’obtenir les vidéos, musiques et informations les plus récentes sur Internet sans avoir à stocker de fichiers sur votre disque dur. Vous pouvez visualiser vos signets QuickTime ( ) en choisissant Signets dans le menu QTV, puis “Afficher les signets” dans le sous-menu. Conseils et astuces Ajoutez des chaînes QuickTime TV supplémentaires Rendez-vous sur le site www.apple.com/fr/quicktime et cliquez sur le lien QuickTime TV. Vous y trouverez la totalité des chaînes QuickTime disponibles. Vous pouvez regarder une chaîne QuickTime TV (QTV), puis l’ajouter d’un simple clic à votre liste de signets QuickTime. Évoluez vers QuickTime Pro pour bénéficier des capacités suivantes : m Lire des vidéos en plein écran et redimensionner des films. m Créer des films à diffusion en continu. m Manier plus de 30 formats audio, vidéo et graphiques, y compris Flash. m Créez, ouvrez, montez et enregistrez des films et de l’audio à l’aide de simples opérations de copier-coller. Pour en savoir plus La vidéo Internet n’est que l’une des facettes de QuickTime. Pour en découvrir davantage, commencez par consulter l’Aide de QuickTime. Pour télécharger des chaînes supplémentaires ou rechercher des informations sur la configuration de votre propre serveur de diffusion en continu sur Internet, visitez le site Web de QuickTime, www.apple.com/fr/quicktime ♥ ♥ F2088.book Page 31 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM32 Chapitre 2 iMovie : créez et montez des films numériques Moniteur iMovie! Prévisualisez votre film ou visionnez des vidéos directement à partir d’un caméscope vidéo-numérique connecté. Commandes de lecture Servent à visionner un film dans iMovie. Commutateur de mode Permet de passer de l’importation d’un caméscope au montage. Chronologie Le visualiseur et la chronologie sont des repères visuels qui permettent d’assembler et de monter un film. Boutons de montage Pliquez dessus pour ouvrir des fenêtres de réglage et de sélection de sons, d’effets vidéo, de texte et de transitions. Cliquez sur le bouton Clips pour afficher le rayon. Défileur Permet de sélectionner des passages d’une vidéo. Pistes audio Permet de manipuler les enregistrements, la musique et les effets sonores. Tête de lecture Indique l’emplacement de l’image affichée dans le moniteur iMovie. Déplacez-la pour savoir où apparaît chaque scène. Piste vidéo Permet de manipuler l’audio contenue dans les clips vidéo. Visualiseur Rayon Pour intégrer des clips à votre film après les avoir importés, glissez-les du rayon au visualiseur. F2088.book Page 32 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMPremiers pas avec votre ordinateur 33 Possibilités iMovie est une application de montage vidéo numérique simple d’emploi. À l’aide d’iMovie et d’un caméscope numérique, vous pouvez créer et monter vos propres films. Ce logiciel vous permet d’importer de la vidéo à partir d’un caméscope, de monter des clips et d’ajouter des transitions, des titres, des effets sonores et de la musique. Vous pouvez ensuite copier le film sur une cassette de caméscope ou créer un film QuickTime. Vous pouvez même partager vos séquences QuickTime en les plaçant sur le Web via votre iDisk ou votre HomePage fournis par Apple. Votre ordinateur est livré avec iMovie pour Mac OS X et Mac OS 9. Marche à suivre 1 Filmez votre vidéo, puis connectez le caméscope au port FireWire de votre ordinateur. 2 Ouvrez iMovie dans le dossier du même nom (situé dans le dossier Applications). 3 Cliquez sur le bouton Importer pour importer les clips sur le rayon, puis ajoutez-les à votre film en les faisant glisser sur le visualiseur de clips. 4 Assemblez et montez votre film dans le visualiseur de clips et dans la chronologie. 5 Ajoutez des transitions, le titrage, des effets sonores et de la musique. 6 Une fois que vous avez terminé, choisissez Exporter dans le menu Fichier. Conseils et astuces Partagez votre film iMovie avec vos amis et proches Exportez votre film comme séquence Web QuickTime, puis copiez-le sur votre iDisk. Ensuite, utilisez HomePage pour créer votre propre cinéma iMovie afin que d’autres personnes puissent visionner votre film sur Internet. Pour en savoir plus Pour plus d’informations sur l’utilisation d’iMovie, consultez l’initiation iMovie Tutorial ou l’aide iMovie. Pour les dernières informations concernant iMovie, notamment les mises à jour, les modules supplémentaires et la liste des caméscopes numériques compatibles, consultez le site Web iMovie : www.apple.com/fr/imovie F2088.book Page 33 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM34 Chapitre 2 iDVD : création et gravure de vos propres DVD Thèmes Choisissez un arrière-plan pour votre DVD dans les thèmes proposés, ou personnalisez votre propre thème. Menus multiples Cliquez sur le bouton Dossier pour ajouter un menu DVD. Films Pour ajouter un film, il suffit de le glisser dans iDVD. Vous pouvez utiliser les films créés avec iMovie. Graver Insérez un disque DVD-R et cliquez sur Graver. Vous pouvez continuer à travailler sur votre ordinateur pendant la création en arrière-plan de votre DVD. Aperçu Cliquez sur Aperçu pour visualiser votre DVD. Diaporama Cliquez sur Diaporama et glissez les images fixes dans iDVD. Votre DVD peut contenir des milliers d’images. F2088.book Page 34 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMPremiers pas avec votre ordinateur 35 Possibilités Si votre Power Mac G4 a été livré avec un lecteur SuperDrive, vous pouvez utiliser iDVD pour graver des DVD sur des disques DVD-R vierges. Vous pouvez transformer vos films iMovies, photos numériques et autres fichiers QuickTime en DVD afin de pouvoir les visionner sur la plupart des lecteurs DVD standard. Marche à suivre 1 Si vous utilisez iMovie ou Final Cut Pro, exportez vos films sous forme de séquences QuickTime. Pour obtenir des informations sur la préparation de vos films en vue d’être utilisés avec iDVD, consultez l’Aide iDVD. 2 Ouvrez l’application iDVD dans le dossier iDVD (situé dans le dossier Applications). 3 Organisez votre DVD. Faites glisser vos films du Finder dans la fenêtre iDVD. 4 Cliquez sur Thème, puis choisissez un modèle pour votre DVD. 5 Prévisualisez votre iDVD à l’aide de la commande à distance correspondante. 6 Lorsque vous êtes prêt à graver votre DVD, cliquez sur Graver DVD. Conseils et astuces Personnalisez le modèle de votre DVD Vous pouvez concevoir l’apparence de votre DVD en effectuant un choix parmi les thèmes iDVD ou en important vos propres images. Vous pouvez créer une image ou un arrière-plan de bouton personnalisé en glissant des images sur un bouton ou en arrière-plan. Pour personnaliser d’autres éléments graphiques de votre DVD, tels que les formes de boutons, les styles de titres et les libellés de boutons, cliquez sur Thème. Pour en savoir plus Pour plus d’informations sur l’utilisation d’iDVD, ainsi que sur les distributeurs de disques DVD-R, consultez l’Aide iDVD ou visitez le site Web iDVD, www.apple.com/fr/idvd F2088.book Page 35 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM36 Chapitre 2 iTunes : musique numérique pour votre Mac Bouton d’éjection de CD Bibliothèque! Collection de chansons importées de vos CD ou télé- chargées du Net. Facilite la recherche des pistes. iPod Utilisez votre iPod pour mettre à jour automatiquement des morceaux et des listes de lecture. Syntoniseur radio Écoutez des centaines de stations de radio sur Internet : Jazz, rock... Recherche Saisissez du texte et iTunes affiche les titres des morceaux correspondants. Listes de lecture Créez des listes de lectures avec des morceaux de votre bibliothèque et classez-les. Bouton des effets visuels iTunes est capable d’afficher des effets visuels étonnants qui réagissent au rythme de la musique. Des formes et des couleurs différentes apparaissent pour chaque nouvelle chanson. Égaliseur Réglez le son à votre goût à l’aide de l’égaliseur à10 bandes. CD audio Écoutez un CD audio sur votre ordinateur et importez des morceaux dans votre bibliohèque. F2088.book Page 36 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMPremiers pas avec votre ordinateur 37 Possibilités iTunes vous permet d’importer des chansons à partir de CD musicaux sous forme de fichiers MP3, de créer votre propre bibliothèque iTunes, d’écouter des centaines de stations de radio sur Internet, etc. Créez des listes de lecture, puis placez de la musique dans votre lecteur portable MP3 ou gravez vos propres sélections musicales sur des disques CD-R. Votre ordinateur est livré avec iTunes optimisé pour Mac OS X et une version destinée à Mac OS 9. Marche à suivre 1 Ouvrez l’application iTunes dans le dossier du même nom (situé dans le dossier Applications). 2 Insérez un CD musical dans votre lecteur optique. 3 Cochez les cases situées en regard des chansons à importer. 4 Cliquez sur Importer. Vos chansons sont converties en fichiers MP3, puis stockées dans votre bibliothèque iTunes. Conseils et astuces Créez des listes de lecture pour vos ensembles favoris de chansons Une liste de lecture répertorie des chansons classées selon un ordre spécifique. Cliquez sur Nouvelle liste de lecture, puis glissez les chansons de votre bibliothèque iTunes dans la liste de lecture. Redimensionnez la fenêtre iTunes ou accédez à iTunes à partir de votre bureau Réduisez la fenêtre iTunes afin d’afficher uniquement les commandes et l’état de la lecture. Cliquez sur la case de zoom située dans le coin supérieur droit de la fenêtre iTunes. Vous pouvez également accéder aux commandes iTunes à partir du module iTunes de la Barre des réglages (sous Mac OS 9) ou du Dock (sous Mac OS X). Consultez les informations du CD à partir de CDDB iTunes se connecte automatiquement à la base de données CDDB sur Internet pour obtenir des informations sur chaque morceau du CD et les stocker dans votre bibliothèque iTunes. Connectez votre ordinateur à votre système stéréo Utilisez un câble miniprise-RCA (non fourni) pour connecter la prise de casque (f) de votre ordinateur aux ports d’entrée audio de votre chaîne stéréo. Pour en savoir plus Pour plus d’informations sur l’utilisation de iTunes, consultez l’Aide iTunes ou visitez le site Web iTunes, www.apple.com/fr/itunes F2088.book Page 37 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM38 Chapitre 2 Mise à jour de logiciels : maintien automatique de votre Mac à la pointe des nouveautés Mettre à jour maintenant Cliquez ici pour rechercher instantanément les mises à jour de logiciels Apple disponibles. Sélectionnez les logiciels que vous désirez mettre à jour dans la liste qui s’affiche. Mise à jour des logiciels Déterminez la fréquence avec laquelle votre ordinateur recherche d’éventuelles mises à jour. F2088.book Page 38 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMPremiers pas avec votre ordinateur 39 Possibilités L’application Mise à jour de logiciels utilise Internet pour télécharger, puis installer automatiquement les dernières versions de logiciels, de gestionnaires ainsi que les dernières améliorations d’Apple. Utilisez Mise à jour de logiciels pour contrôler immédiatement les serveurs Internet d’Apple, afin de connaître la disponibilité des mises à jour de vos logiciels Apple. Vous pouvez même configurer votre Mac de sorte qu’il consulte régulièrement le serveur d’Apple afin de télécharger et d’installer automatiquement les logiciels mis à jour. Marche à suivre 1 Connectez-vous à Internet. 2 Ouvrez Préférences Système, puis cliquez sur Mise à jour de logiciels. 3 Cliquez sur Mettre à jour maintenant, sélectionnez les mises à jour de logiciels souhaitées, puis cliquez sur Installer. Conseils et astuces Programmez votre calendrier de mise à jour Si vous disposez d’une connexion permanente à Internet, vous pouvez programmer votre ordinateur pour qu’il vérifie à date et heure précise si des mises à jour sont disponibles. Si vous disposez d’une connexion par appel et que vous n’êtes pas connecté, la vérification sera effectuée lors de votre prochaine connexion. Installez automatiquement les nouveaux logiciels Vous pouvez configurer votre Mac pour qu’il vérifie chaque semaine si des mises à jour sont disponibles et qu’il les installe. Programmez le calendrier de recherche de mises à jour par votre ordinateur, puis désactivez l’option “Confirmation avant installation”. Pour en savoir plus Pour plus d’informations sur l’utilisation de Mise à jour de logiciels, recherchez ce terme dans l’Aide Mac. Pour consulter les toutes dernières informations sur Mac OS, visitez le site Web de Mac OS sur www.apple.com/fr/macos F2088.book Page 39 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM40 Chapitre 2 Utilisateurs multiples : un Mac pour plusieurs utilisateurs Utilisateurs La fenêtre Utilisateurs de Préférences Système vous permet d’ajouter des comptes d’utilisateurs. Dossier Public Pour permettre l’accès au dossier Public, un utilisateur peut activer le partage de fichiers dans les préférences de Partage. Dossier de départ Chaque utilisateur dispose d’un dossier de départ. Les préférences de Finder, Dock, iTools, Mail et autres se trouvent dans le dossier de départ de chacun, ce qui permet de personnaliser Mac OS X à sa guise. F2088.book Page 40 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMPremiers pas avec votre ordinateur 41 Possibilités Plusieurs personnes peuvent partager un seul ordinateur en se connectant à leur propre compte d’utilisateur. Les utilisateurs peuvent sélectionner leurs propres réglages personnalisés, tels que les favoris et le mode de présentation du bureau, puis accéder à leur propre espace de stockage privé, appelé dossier de départ. Les utilisateurs partageant l’ordinateur sont également en mesure d’accéder à un dossier partagé. Le premier compte d’utilisateur créé sur votre ordinateur est un compte d’administrateur. Les administrateurs sont des utilisateurs dotés d’autorisations spéciales : ils peuvent permettre à de nouveaux utilisateurs d’accéder à l’ordinateur, d’installer des logiciels et de modifier les réglages généraux de l’ordinateur. Remarque : Si vous oubliez le mot de passe de l’administrateur, vous pouvez le réinitialiser à l’aide du CD Mac OS X. Démarrez l’ordinateur à l’aide du CD Mac OS X, puis choisissez Réinitialiser mot de passe dans le menu de l’installateur. Sachant qu’un utilisateur possédant le CD Mac OS X dispose d’un accès sans restrictions à l’ordinateur, rangez ce CD en lieu sûr. Marche à suivre 1 Créez un utilisateur en choisissant Préférences Système dans le menu Pomme (K), puis en cliquant sur Utilisateurs et sur Nouvel utilisateur. 2 Modifiez les informations relatives à l’utilisateur. Vous pouvez lui affecter des autorisations d’administrateur. 3 Fermez la fenêtre. Conseils et astuces Protégez votre ordinateur Lorsque les utilisateurs ouvrent une session, puis délaissent l’ordinateur quelques instants, l’économiseur d’écran apparaît. Vous pouvez alors exiger la saisie d’un mot de passe pour accéder à nouveau à l’ordinateur. Ouvrez Préférences Système, cliquez sur Économiseur d’écran, puis sur Activation pour sélectionner la période d’inactivité avant que l’économiseur d’écran ne soit activé. Sélectionnez ensuite “Utiliser le mot de passe de mon compte”. Pour en savoir plus Pour plus d’informations sur la configuration des comptes d’utilisateur sous Mac OS X, recherchez “utilisateurs” dans l’Aide Mac. F2088.book Page 41 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM42 Chapitre 2 Aide Mac : Réponses à vos questions Recherche Une question ? Tapez-la ici et cliquez sur Demander. F2088.book Page 42 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM43 C H A P I T R E 3 3 Utilisation de votre système d’exploitation Le système d’exploitation, ou OS, constitue le bureau de votre ordinateur et définit le mode de représentation des éléments et leur interaction les uns avec les autres. Chaque système d’exploitation présente un aspect différent. À propos de Mac OS X Votre ordinateur est configuré pour démarrer sous Mac OS X afin de vous permettre d’utiliser ses technologies de pointe, telles que sa nouvelle interface utilisateur élégante, ses fonctionnalités graphiques incomparables, ainsi que ses performances et sa stabilité système améliorées. Mac OS X prend en charge la gestion des processus de votre ordinateur, ce qui vous permet de vous concentrer sur les tâches à exécuter. Vous n’avez plus à vous soucier du redémarrage de votre ordinateur si une application rencontre un problème de fonctionnement. Mac OS X ferme uniquement cette application, de sorte que vous pouvez travailler sans interruption. Le gestionnaire de mémoire virtuelle de Mac OS X prend en charge l’allocation de mémoire nécessaire au fonctionnement efficace de vos applications. Si vous souhaitez en savoir plus sur Mac OS X, lisez le guide Bienvenue sur Mac OS X de votre kit. Ce manuel présente les fonctionnalités de Mac OS X et met à disposition des utilisateurs Mac OS 9 des astuces relatives à l’utilisation de Mac OS X pour l’exécution des tâches Mac OS 9 les plus fréquentes. Si vous rencontrez des difficultés liées à l’apprentissage de Mac OS X, consultez les astuces de dépannage figurant à la fin du manuel ou choisissez Aide Mac dans le menu Aide de Mac OS X. Pour en savoir plus sur Mac OS X, consultez le site Web : www.apple.com/fr/macosx/ Important Mac OS X étant déjà installé sur votre ordinateur, vous n’êtes pas tenu de suivre les instructions d’installation contenues dans le manuel Bienvenue sur Mac OS X. Suivez de préférence les instructions relatives à la connexion et à la première utilisation de Mac OS X. F2088.book Page 43 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM44 Chapitre 3 Informations relatives aux logiciels et à Mac OS X Pour plus d’informations sur la compatibilité de logiciels avec Mac OS X, visitez le site Web d’Apple à l’adresse : guide.apple.com/fr/macosx/ Utilisation de l’environnement Classic sous Mac OS X Outre les applications Mac OS X, vous pouvez continuer à utiliser les applications Mac OS 9 dans l’environnement Classic. Cet environnement travaille en arrière-plan afin d’accéder aux fonctionnalités et applications Mac OS 9. Lorsque vous lancez l’environnement Classic, les logiciels Mac OS 9 fonctionnent sous Mac OS X comme ils le font sous Mac OS 9, mais ne bénéficient d’aucune fonctionnalité Mac OS X, telle que la nouvelle interface. Il vous suffit d’ouvrir une application Mac OS 9 ou de faire un double-clic sur un document créé sous une application Mac OS 9. Si l’environnement Classic n’est pas encore activé, il démarre. L’environnement Classic s’exécute toujours en arrière-plan, même si aucune application Classic n’est ouverte, afin que les applications et documents Mac OS 9 s’ouvrent plus rapidement et plus facilement. Vous pouvez configurer votre ordinateur, afin qu’il lance automatiquement l’environnement Classic lorsque vous vous connectez à Mac OS X. Choisissez Préférences Système dans le menu Pomme (K), cliquez sur Classic, puis sélectionnez “Démarrer Classic à l’ouverture de session”. Pour quitter l’environnement Classic, cliquez sur Forcer à quitter dans le volet Classic des Préférences Système. Vous pouvez également choisir “Forcer à quitter” dans le menu Pomme (K), sélectionner Environnement Classic dans la liste, puis cliquer sur Forcer à quitter. Passage d’un système d’exploitation à l’autre Certaines tâches et applications n’ont pas encore été optimisées pour une exécution sous Mac OS X ou Classic et fonctionnent mieux sous Mac OS 9. Vous pouvez configurer votre ordinateur de manière à ce qu’il démarre sous Mac OS 9 puis changer de système de démarrage Mac OS dès que vous le souhaitez. Important Ne supprimez pas le système d’exploitation Mac OS 9 de votre ordinateur. Pour que l’environnement Classic puisse fonctionner, Mac OS 9 doit être installé. F2088.book Page 44 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM Utilisation de votre système d’exploitation 45 Pour configurer le démarrage de votre ordinateur sous Mac OS 9 à partir de Mac OS X : 1 Choisissez Préférences Système dans le menu Pomme (K), puis cliquez sur Démarrage. Remarque : étant donné qu’Apple commercialise fréquemment de nouvelles versions et mises à jour de ses logiciels système, les numéros de version des systèmes d’exploitation Mac OS X et Mac OS 9 figurant dans ce manuel peuvent être différents des numéros de versions installées sur votre ordinateur. 2 Sélectionnez le dossier Mac OS 9 comme Dossier Système de démarrage. (Si les icônes sont estompées, cliquez sur l’icône de verrouillage en bas du volet, puis saisissez les nom et mot de passe d’utilisateur précédemment créés dans l’Assistant réglages. Pour plus d’informations sur la connexion en tant qu’administrateur, consultez le manuel Bienvenue sur Mac OS X.) 3 Redémarrez votre ordinateur. F2088.book Page 45 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM46 Chapitre 3 Pour configurer le démarrage de votre ordinateur sous Mac OS X à partir de Mac OS 9 : 1 Choisissez Tableaux de bord dans le menu Pomme (K), puis Démarrage. 2 Dans le tableau de bord Démarrage, double-cliquez sur le disque dur contenant vos systèmes d’exploitation, puis sélectionnez le Dossier Système Mac OS X comme disque de démarrage. Vous pouvez cliquer sur le triangle situé à gauche de l’icône de disque dur afin d’afficher les Dossiers Système installés. 3 Redémarrez votre ordinateur. Remarque : étant donné qu’Apple commercialise fréquemment de nouvelles versions et mises à jour de ses logiciels système, les numéros de version des systèmes d’exploitation Mac OS X et Mac OS 9 figurant dans ce manuel peuvent être différents des numéros de versions installées sur votre ordinateur. En cas de problèmes Pour plus d’informations sur les fonctionnalités de votre Macintosh, choisissez Aide Mac dans le menu Aide, puis cliquez sur le texte souligné en bleu. Vous pouvez également saisir une question dans le champ de recherche, puis appuyez sur la touche Retour du clavier. F2088.book Page 46 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM47 C H A P I T R E 4 4 Utilisation de votre ordinateur Ce chapitre fournit des explications et des instructions sur les principales fonctionnalités de votre Power Mac G4, notamment le clavier et la souris, le modem, les ports FireWire et USB, ainsi que le travail en réseau. Ce chapitre offre des explications sur les thèmes suivants : m “Utilisation du clavier et de la souris Apple Pro Mouse” à la page 48 m “Connexion d’un second moniteur à votre ordinateur” à la page 50 m “Utilisation de périphériques USB” à la page 51 m “Utilisation de périphériques FireWire” à la page 53 m “Utilisation de votre lecteur optique” à la page 55 m “Utilisation de votre modem” à la page 58 m “Connexion à un réseau Ethernet” à la page 59 m “Utilisation d’un réseau AirPort sans fil” à la page 61 m “Suspension de l’activité de l’ordinateur pour économiser l’énergie” à la page 63 m “Connexion de périphériques SCSI à votre ordinateur” à la page 64 m “Transfert d’informations entre deux ordinateurs Macintosh” à la page 64 m “Utilisation de l’ordinateur comme serveur sans moniteur” à la page 65 F2088.book Page 47 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM48 Chapitre 4 Utilisation du clavier et de la souris Apple Pro Mouse Votre clavier Apple Pro Keyboard dispose de touches de fonctions préréglées pour les tâches récurrentes. Servez-vous de la touche d’éjection pour éjecter les disques optiques. Appuyez sur les touches de hausse et de baisse du volume pour régler le son ou sur la touche Silence pour l’éteindre. Vous pouvez également ajuster la luminosité d’un moniteur Apple en utilisant les touches de hausse et de baisse de la luminosité. Remarque : si vous utilisez un autre clavier qu’un clavier Apple avec votre ordinateur, appuyez sur la touche F12 pour éjecter les disques optiques. Personnalisation des touches de fonction (Mac OS 9) Sous Mac OS 9, vous pouvez paramétrer les touches de fonction non affectées (F7–F12) de votre clavier Apple Pro Keyboard afin d’ouvrir des applications telles que votre navigateur Web, votre messagerie ou des documents que vous utilisez fréquemment. Une fois que les logiciels sont ouverts, ces touches vous permettent d’alterner rapidement entre eux. La première fois que vous actionnez une touche de fonction, une zone de dialogue s’ouvre pour vous permettre de l’affecter à une application ou à un document. Vous pouvez ensuite modifier les affectations de touches de fonctions via le tableau de bord Frappe clavier. Remarque : vous ne pouvez pas personnaliser les touches de fonction sous Mac OS X. Touche d’augmentation du volume Touche de baisse - de la luminosité Touche d’augmentation de la luminosité Touche d’éjection de disques Touche de baisse du volume — Touche Silence Touches de fonctions o F2088.book Page 48 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMUtilisation de votre ordinateur 49 Utilisation de la souris Apple Pro Mouse Pour positionner le pointeur à l’aide de votre souris, déplacez celle-ci sur n’importe quelle surface adaptée, telle que le bureau, le tapis de souris ou toute autre surface granuleuse (certaines surfaces lisses et brillantes ne permettent pas un contrôle du pointeur aussi performant que d’autres). Pour cliquer sur un objet, appuyez une fois sur le corps de la souris, jusqu’à ce que vous ressentiez un clic. Pour faire un double-clic sur un élément, appuyez deux fois successivement et rapidement. Vous pouvez régler le toucher de votre souris en tournant le cadran situé au dos. Vous pouvez rendre la sensibilité du clic plus ou moins douce selon que vous tournez le cadran dans un sens ou dans l’autre. Informations supplémentaires sur vos clavier et souris L’Aide Mac offre des informations supplémentaires sur la configuration des commandes de clavier et des touches de fonctions personnalisables. Pour y accéder, choisissez Aide Mac dans le menu Aide et tapez “clavier” ou “souris” dans le champ de recherche. Si vous êtes en bout de course faute de place mais que vous voulez conserver le clic lorsque vous soulevez la souris, cliquez, puis appuyez sur les côtés avec le pouce et les doigts tandis que vous soulevez. Tournez le cadran situé sous la souris vers “+” pour plus de tension, vers “O” pour une tension moyenne, et vers “–” pour une tension moindre. F2088.book Page 49 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM50 Chapitre 4 Connexion d’un second moniteur à votre ordinateur Vous pouvez connecter deux moniteurs à votre carte graphique et les utiliser simultanément. Lorsqu’un second moniteur est connecté, vous pouvez soit avoir la même image sur les deux moniteurs (recopie vidéo), soit utiliser le second pour agrandir l’affichage du bureau Mac OS (mode bureau étendu). Pour cela, il vous faut un câble vidéo pour chacun des moniteurs à connecter. Pour utiliser plusieurs moniteurs : 1 Éteignez les moniteurs et votre ordinateur. 2 Branchez le câble vidéo de chaque moniteur au port adéquat sur la carte graphique. 3 Démarrez les moniteurs et votre ordinateur. Pour régler les moniteurs, sélectionnez Préférences Système dans le menu Pomme, puis ouvrez le panneau Moniteurs. Par défaut, votre ordinateur démarre en mode bureau étendu. Pour passer en mode recopie vidéo, activez ce mode à l’aide de l’icône Moniteurs dans la barre de menus Mac OS X. Appuyez sur les touches Commande (x) et F1 pour basculer entre les modes recopie vidéo et bureau étendu. Pour en savoir plus sur les moniteurs Pour obtenir des informations sur la connexion de votre moniteur, lisez les instructions d’installation au chapitre 1, intitulé “Installation”. L’Aide Mac offre des informations supplémentaires sur l’utilisation et la configuration d’un moniteur externe. Pour y accéder, choisissez Aide Mac dans le menu Aide et tapez “moniteur”. Important Pour optimiser la recopie vidéo, réglez les deux moniteurs sur la même résolution et profondeur de couleur. F2088.book Page 50 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMUtilisation de votre ordinateur 51 Utilisation de périphériques USB Votre Power Mac G4 est équipé d’origine de deux ports USB permettant de connecter de nombreux types de périphériques, y compris imprimantes, appareils photo numériques, microphones, manettes de jeux, claviers, souris et unités de stockage. La technologie USB facilite la connexion de matériel externe. Vous pouvez utiliser le périphérique dès son branchement, sans avoir à redémarrer votre ordinateur. Pour utiliser un périphérique USB avec votre ordinateur, connectez le périphérique à ce dernier. Ensuite, vous pouvez soit en installer le logiciel, soit configurer votre ordinateur pour qu’il fonctionne avec le périphérique. Dès lors, votre ordinateur charge automatiquement le logiciel correct à chaque fois que vous y connectez le périphérique. Remarque : Apple fournit d’origine des logiciels compatibles avec de nombreux périphériques USB. Dans la plupart des cas, vous n’avez donc pas besoin d’installer le logiciel livré avec le périphérique. Si, lors du branchement d’un périphérique USB, votre Power Mac G4 ne parvient pas à localiser le logiciel correct, il vous demande de le rechercher sur Internet. Ports USB (2) F2088.book Page 51 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM52 Chapitre 4 Connexion de plusieurs périphériques USB Votre Power Mac G4 possède deux ports USB. Votre clavier ou votre moniteur peuvent également disposer d’un port USB disponible pour y connecter des périphériques. Si vous souhaitez connecter plus de deux périphériques, achetez un concentrateur USB. Ce dernier se connecte à un port disponible de votre ordinateur et offre des ports USB supplémentaires (généralement quatre ou sept). Informations supplémentaires sur la technologie USB L’Aide Mac offre des informations supplémentaires sur la technologie USB. Pour y accéder, choisissez Aide Mac dans le menu Aide et tapez “USB” dans le champ de recherche. Des informations sont également disponibles sur le site Web USB d’Apple à l’adresse suivante : www.apple.com/fr/usb Pour toute information sur les périphériques USB disponibles pour votre ordinateur, consultez le Guide des produits Macintosh sur www.apple.com/guide Concentrateur USB F2088.book Page 52 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMUtilisation de votre ordinateur 53 Utilisation de périphériques FireWire Votre ordinateur possède deux ports FireWire. FireWire est un système de transfert de données à haute vitesse qui vous permet de connecter et de déconnecter aisément des périphériques externes, tels que des caméras vidéonumériques, imprimantes, scanners et disques durs. Vous pouvez connecter et déconnecter des périphériques FireWire sans redémarrer votre ordinateur. La liste ci-dessous répertorie certaines des opérations possibles avec FireWire : m Connecter une caméra vidéonumérique et capturer ou transférer de la vidéo haute qualité directement vers l’ordinateur. Vous pouvez alors utiliser des logiciels de montage vidéo comme iMovie d’Apple pour monter la vidéo. m Connecter un lecteur de disque dur FireWire externe et s’en servir pour effectuer des copies de sauvegarde ou transférer des fichiers. Si vous avez installé le logiciel de votre disque dur FireWire, l’icône de ce dernier apparaît sur votre bureau dès que le disque est connecté à votre Power Mac G4. Certains disques FireWire sont alimentés via le câble FireWire, ce qui vous dispense de les connecter à une source d’alimentation externe. m Si vous rencontrez un problème avec votre ordinateur qui vous empêche de démarrer ou que vous souhaitez transférer des fichiers, vous pouvez utiliser FireWire pour connecter votre Power Mac G4 à un autre ordinateur, afin que votre Power Mac G4 s’affiche en tant que disque dur externe sur l’autre poste (fonction appelée “mode disque cible FireWire”). Pour plus de détails, consultez la section “Mode disque cible FireWire” à la page 54. Pour utiliser un périphérique USB avec votre ordinateur, connectez le périphérique à ce dernier et installez tout logiciel fourni avec le périphérique. Votre ordinateur détecte automatiquement la connexion d’un nouveau périphérique. Pour démarrer à partir d’un disque dur FireWire équipé de Mac OS, sélectionnez Préférences Système dans le menu Pomme (K), cliquez sur Démarrage et sélectionnez le disque dur FireWire comme disque de démarrage. Si votre disque dur FireWire ne figure pas dans la liste ou que vous ne pouvez pas le sélectionner, contactez votre revendeur pour obtenir des gestionnaires mis à jour. Ports FireWire (2) F2088.book Page 53 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM54 Chapitre 4 Pour déconnecter votre disque dur FireWire en toute sécurité, faites glisser son icône dans la corbeille avant de déconnecter le câble FireWire. Mode disque cible FireWire La technologie FireWire vous permet de connecter votre Power Mac G4 à un autre ordinateur et de le faire apparaître comme disque dur externe sur l’ordinateur en question. Vous pouvez, de cette manière, partager ou transférer des fichiers. Pour connecter votre Power Mac G4 en mode disque cible FireWire : 1 Éteignez votre Power Mac G4. 2 Utilisez un câble FireWire muni de connecteurs à 6 broches à ses deux extrémités pour connecter votre ordinateur à un autre ordinateur équipé de FireWire. 3 Démarrez ou redémarrez votre Power Mac G4 et maintenez immédiatement la touche T enfoncée. L’indicateur de mode disque FireWire s’affiche sur l’écran de votre Power Mac G4, tandis que l’icône de disque dur interne du Power Mac G4 s’affiche sur le bureau de l’autre ordinateur. 4 Une fois le transfert de fichiers terminé, faites glisser l’icône de disque dur du Power Mac G4 sur la corbeille pour démonter le lecteur. 5 Appuyez sur le bouton d’alimentation du Power Mac G4 pour l’éteindre, puis déconnectez le câble FireWire. Informations supplémentaires sur la technologie FireWire L’Aide Mac offre des informations supplémentaires sur la technologie FireWire, y compris sur l’établissement d’un réseau de périphériques FireWire. Pour y accéder, choisissez Aide Mac dans le menu Aide et tapez “FireWire” dans le champ de recherche. Des informations sont également disponibles sur le site Web FireWire d’Apple à l’adresse suivante : www.apple.com/fr/firewire Pour toute information sur les périphériques FireWire disponibles pour votre ordinateur, consultez le Guide des produits Macintosh sur www.apple.com/guide Important La version 2.3.3 ou ultérieure de FireWire doit être installée sur l’ordinateur auquel vous connectez votre Power Mac G4. Le tableau Informations système Apple (situé dans le dossier Utilitaires du dossier Applications de votre ordinateur) permet de déterminer la version de FireWire installée. Si vous possédez une version plus ancienne, procurez-vous une mise à jour sur le site Web FireWire d’Apple : www.apple.com/fr/firewire F2088.book Page 54 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMUtilisation de votre ordinateur 55 Utilisation de votre lecteur optique À l’aide de votre lecteur optique, vous pouvez installer ou exécuter des logiciels à partir de CD. Vous pouvez également lire des CD multimédias et écouter de la musique sur CD audio. Votre lecteur optique permet également de graver de la musique, des documents et d’autres fichiers numériques sur des disques CD-R et CD-RW. Si vous disposez d’une unité DVD-ROM/CD-RW ou d’un SuperDrive, vous pouvez également visionner des films DVD et utiliser la plupart des disques DVD. Les lecteurs SuperDrive permettent également d’enregistrer des informations sur des disques DVD-R vierges (DVD enregistrables). Remarque : si vous possédez des logiciels anciens fournis sur disquettes, demandez à l’éditeur s’ils sont disponibles sur CD ou achetez un lecteur de disquettes externe USB pour votre Power Mac G4 chez un distributeur Apple ou via le site Web “The Apple Store” (www.apple.com/store). Insertion d’un disque Pour installer ou utiliser des programmes à partir de CD ou DVD, procédez comme suit : 1 L’ordinateur étant allumé, appuyez sur la touche d’éjection de disques (C) de votre clavier Apple Pro Keyboard pour ouvrir le plateau du lecteur. 2 Placez un disque sur le plateau en veillant à le poser bien à plat, étiquette vers le haut. 3 Appuyez doucement sur le plateau pour le refermer. 4 Dès que l’icône du disque s’affiche à l’écran, le disque est prêt à être utilisé. Éjection d’un disque Vous pouvez éjecter un disque en faisant glisser son icône dans la corbeille ou en appuyant sur la touche d’éjection de disques (C) située sur votre clavier Apple Pro Keyboard. Vous pouvez également éjecter un disque en maintenant enfoncé le bouton de la souris lors du redémarrage de votre ordinateur. Réglage du son lors de la lecture de disques DVD et audio Appuyez de manière répétée sur les touches de volume (-, –) de votre clavier pour régler le volume du haut-parleur. Vous pouvez également régler le volume du haut-parleur et de la balance de votre ordinateur en sélectionnant Préférences Système dans le menu Pomme (K) et en cliquant sur Son. Lorsque vous connectez des hauts-parleurs ou un casque Apple Pro à votre ordinateur, le haut-parleur interne est désactivé. F2088.book Page 55 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM56 Chapitre 4 Enregistrement d’informations sur CD Votre lecteur peut enregistrer vos musiques, programmes et fichiers préférés sur des disques CD-R et CD-RW. Vous pouvez créer vos propres CD musicaux et les lire sur n’importe quel lecteur audio standard. Vous pouvez également enregistrer des fichiers informatiques, tels que des applications, des documents et d’autres fichiers numériques sur un CD enregistrable. Avec un disque CD-R (CD enregistrable), vous ne pouvez enregistrer des informations qu’une seule fois. Bien que vous ne puissiez modifier les informations enregistrées, vous avez la possibilité d’ajouter des informations jusqu’à ce que le disque soit plein, en fonction de l’application que vous utilisez. Pour obtenir des informations spécifiques concernant l’enregistrement sur votre disque CD-R, référez-vous à la documentation fournie avec votre application. Il est recommandé d’utiliser des disques CD-R pour enregistrer des CD audio, car la plupart des lecteurs de CD audio ne peuvent pas lire les disques CD-RW. Vous pouvez sauvegarder et modifier plusieurs fois des informations sur un disque CD-RW. Toutefois, certains logiciels de gravure sur CD, tels que Disc Burner d’iTunes, ne permettent d’enregistrer qu’une seule fois des données sur le disque. Vous pouvez enregistrer de la musique sur des disques CD-R ou CD-RW directement à partir de votre bibliothèque iTunes. 1 Ouvrez iTunes, situé dans le Dock sous Mac OS X. 2 Sélectionnez la musique à enregistrer. 3 Insérez un disque CD-R ou CD-RW vierge. 4 Cliquez sur Graver le CD, en haut de la fenêtre iTunes. Vous pouvez également enregistrer des données sur un disque CD-R ou CD-RW à l’aide de Disc Burner. 1 Insérez un disque vierge dans le lecteur de CD. 2 Dans la zone de dialogue qui apparaît, attribuez un nom au disque et sélectionnez le format désiré. Une icône de CD apparaît sur le bureau. 3 Glissez des fichiers et des dossiers sur l’icône. 4 Sélectionnez le disque et glissez l’icône du CD sur l’icône Graver le CD dans le dock sous Mac OS X. Pour plus de détails sur l’utilisation d’iTunes pour enregistrer des fichiers musicaux sur un CD, référez-vous à l’aide en ligne d’iTunes dans le Centre d’aide. F2088.book Page 56 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMUtilisation de votre ordinateur 57 Enregistrement d’informations sur un DVD Si vous possédez un lecteur SuperDrive, vous pouvez créer vos propres films numériques sur disque DVD-R (DVD enregistrable) vierge. Sur un disque DVD-R, vous pouvez également enregistrer d’autres types de données numériques tels que des fichiers. Cependant, lorsque vous enregistrez des informations sur un disque DVD-R, elles ne peuvent pas être écrasées. À l’aide d’applications telles qu’iDVD ou DVD Studio Pro, vous pouvez créer des DVD personnalisés, les graver sur des disques DVD-R vierges, puis les lire sur la plupart des lecteurs DVD standard. Lorsque vous avez terminé un projet iDVD, vous pouvez le graver sur un disque DVD-R vierge. 1 Ouvrez iDVD et le projet DVD terminé. 2 Cliquez sur le bouton Graver le CD. 3 Insérez un disque DVD-R vierge dans le graveur lorsqu’un message vous y invite. 4 Cliquez de nouveau sur le bouton Graver le CD. Vous pouvez également enregistrer des données sur des disques DVD-R à l’aide d’iDVD. 1 Insérez un disque DVD-R vierge dans le graveur. 2 Dans la zone de dialogue qui apparaît, attribuez un nom au disque et sélectionnez le format désiré. Une icône représentant le DVD apparaît sur le bureau. 3 Glissez des fichiers et des dossiers sur l’icône. 4 Sélectionnez le disque et glissez l’icône du DVD sur l’icône Graver le DVD dans le dock sous Mac OS X. Pour plus d’informations sur l’utilisation d’iDVD, reportez-vous à l’aide en ligne d’iDVD dans le Centre d’aide. F2088.book Page 57 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM58 Chapitre 4 Utilisation de votre modem Votre Macintosh peut être fourni avec un modem interne 56 K Apple. Pour connecter votre modem interne, branchez une extrémité d’un câble téléphonique sur le port de modem situé au dos de l’ordinateur et l’autre extrémité sur une prise téléphonique murale RJ-11 standard. Connexion à Internet via un fournisseur d’accès Avant de vous connecter à Internet via un modem, vous devez saisir vos informations de fournisseur d’accès dans le tableau Réseau des Préférences Système sous Mac OS X. Au premier démarrage de votre ordinateur, l’Assistant réglages vous guide pour l’enregistrement de ces réglages. Pour enregistrer ou modifier ces réglages ultérieurement, procédez comme suit : 1 Sélectionnez Préférences Système dans le menu Pomme (K) et cliquez sur Réseau. 2 Cliquez sur l’onglet PPP et tapez les informations que vous avez obtenues auprès de votre fournisseur d’accès à propos de votre compte. 3 Cliquez sur l’onglet Modem pour sélectionner les réglages du modem et cliquez sur Appliquer. 4 Fermez la fenêtre Préférences Système. Votre ordinateur est désormais configuré pour être connecté à votre fournisseur d’accès. Vos réglages seront conservés au prochain démarrage. Pour établir une connexion avec votre fournisseur d’accès : m Ouvrez l’application Connexion à Internet dans votre dossier Applications et cliquez sur Connecter. Vous trouverez d’autres informations sur le modem interne dans l’aide Mac. Port modem Icône du port modem Important Veillez à connecter le modem interne à une ligne téléphonique analogique (type le plus répandu chez les particuliers). Le modem ne fonctionnera pas avec une ligne numérique. Attention Déconnectez votre modem de la prise téléphonique en cas d’orage. Cela protégera votre modem de toute surtension. F2088.book Page 58 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMUtilisation de votre ordinateur 59 Utilisation d’un modem USB externe Pour connecter un modem USB externe, utilisez un câble USB pour connecter le modem à un port USB disponible du clavier, de l’ordinateur, du moniteur USB ou du concentrateur USB. Consultez la documentation du modem pour savoir s’il doit être connecté à une prise électrique. Consultez également les instructions d’installation d’un logiciel de modem et de connexion du modem à une ligne téléphonique. Connexion à un réseau Ethernet Votre ordinateur est équipé de fonctionnalités intégrées de réseau Ethernet à paire torsadée à 10/100/1000 mégabits par seconde (Mbps). La connexion à un réseau vous donne accès à d’autres ordinateurs et vous permet de stocker et de récupérer des informations, d’utiliser imprimantes de réseau, modems et messagerie électronique, ou encore de vous connecter à Internet. Vous pouvez également utiliser Ethernet afin de partager des fichiers entre deux ordinateurs ou d’établir un petit réseau. Si vous vous connectez à un réseau existant, vous pouvez obtenir des renseignements sur le réseau lui-même et sur les logiciels nécessaires à son utilisation auprès de l’administrateur qui le supervise. Avant de commencer, identifiez votre administrateur de réseau. Suivez les instructions ci-après lorsque vous sélectionnez un câble pour votre réseau : Connexion à un réseau Ethernet à paire torsadée Vous pouvez vous connecter directement à un réseau Ethernet 10/100/1000 à paire torsadée. Remarque : vous pouvez également connecter votre ordinateur à un réseau Ethernet utilisant des câbles coaxiaux fins. Pour cela, procurez-vous un adaptateur RJ-45 coaxial fin (disponible auprès d’autres fabricants). Adressez-vous à votre distributeur agréé Apple pour plus d’informations sur les adaptateurs Ethernet. Type de port Ethernet à paire torsadée Utilisez des câbles à paire torsadée 10 Mbit Catégorie 3, 5 ou 6 100/1000 Mbit Catégorie 5 ou 6 F2088.book Page 59 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM60 Chapitre 4 Pour connecter votre Macintosh à un réseau 10/100/1000 centralisé à paire torsadée, procédez comme suit : 1 Connectez l’extrémité d’un câble à paire torsadée RJ-45 au port Ethernet de votre Macintosh. 2 Connectez l’autre extrémité à une prise murale RJ-45 ou à un concentrateur externe RJ-45 relié à un réseau Ethernet à paire torsadée. Après avoir démarré l’ordinateur, vous devez configurer votre logiciel de connexion au réseau. Votre administrateur de réseau peut vous fournir les informations nécessaires. Vous pouvez également obtenir de l’aide sur la configuration de votre logiciel de réseau en consultant l’Aide Mac (via le menu Aide). Pour configurer les réglages Réseau : 1 Sélectionnez Préférences Système dans le menu Pomme (K) et cliquez sur Réseau. 2 Sélectionnez Ethernet intégré. 3 Cliquez sur l’onglet TCP/IP et tapez les informations concernant votre réseau. Par défaut, le réglage est “Configurer : via DHCP”. 4 Cliquez sur Appliquer. 5 Fermez la fenêtre Préférences Système. Port Ethernet (Ethernet à paire torsadée) Prise murale RJ-45 Câble Ethernet à paire torsadée Concentrateur ou commutateur Ethernet F2088.book Page 60 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMUtilisation de votre ordinateur 61 Optimisation des performances Ethernet Votre ordinateur fonctionne de façon optimale lorsque le port Ethernet auquel il est connecté est paramétré sur la négociation automatique. Consultez votre administrateur réseau pour vérifier ce paramètre. Remarque : si vous connectez votre ordinateur directement à un commutateur Ethernet configurable, demandez à votre administrateur réseau de désactiver l’arborescence sur ce port. Dans le cas contraire, il se peut que votre ordinateur duplique l’adresse AppleTalk d’un autre ordinateur du même réseau, ce qui rendrait instables les deux connexions au réseau. Pour plus d’informations sur la mise en réseau de votre ordinateur Power Mac G4, rendez-vous sur le site de service et d’assistance AppleCare à l’adresse suivante : www.apple.com/support Informations supplémentaires sur l’utilisation d’Ethernet Des informations supplémentaires sont disponibles dans l’Aide Mac, y compris sur l’établissement d’un réseau Ethernet et sur le transfert de fichiers via ce protocole. Pour y accéder, choisissez Aide Mac dans le menu Aide et tapez “Ethernet” ou “réseau” dans le champ de recherche. Pour toute information sur les logiciels de réseau que vous pouvez utiliser avec votre Power Mac G4, consultez le Guide des produits Macintosh sur www.apple.com/guide Utilisation d’un réseau AirPort sans fil AirPort offre une manière aisée et abordable d’accéder à Internet sans fil, que ce soit à domicile, au bureau ou en milieu éducatif. Au lieu de fonctionner avec des câbles classiques, AirPort fonctionne avec la technologie de réseau local (LAN) sans fil permettant une communication sans fil entre plusieurs ordinateurs. Un réseau sans fil vous permet, entre autres avantages, de configurer l’accès à Internet, de transférer des fichiers et de pratiquer des jeux à plusieurs. Important Si vous rencontrez des problèmes de connexion sur votre réseau, vérifiez, si possible, que le commutateur de réseau est réglé sur la négociation automatique. Si le port du commutateur ne fonctionne pas en négociation automatique, votre ordinateur détectera la vitesse appropriée, mais se réglera par défaut sur le mode semi-duplex. Si le port du commutateur situé à l’autre extrémité de la liaison est configuré en duplex intégral, un grand nombre de retards risquent de se produire sur la liaison. S’il n’est pas possible de régler le commutateur sur la négociation automatique, réglez alors le port du commutateur sur semi-duplex. Pour plus de détails, référez-vous à la documentation fournie avec le commutateur Ethernet. F2088.book Page 61 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM62 Chapitre 4 Votre Power Mac G4 est préconfiguré pour l’utilisation d’AirPort. Le seul élément à ajouter est une carte AirPort. Consultez la section “Installation d’une carte AirPort” à la page 86. Vous devez installer cette dernière dans un logement à l’intérieur de l’ordinateur et la connecter directement à l’extrémité du câble d’antenne intégré. Pour connaître les instructions d’utilisation de votre carte Airport, reportez-vous au livret À propos de votre carte Airport fourni avec votre carte. Mode d’accès à Internet via AirPort Le système AirPort permet d’établir une connexion sans fil avec un appareil appelé borne d’accès qui dispose d’une connexion physique à Internet. La technologie AirPort fonctionne comme un téléphone sans fil. Le combiné du téléphone établit une connexion sans fil avec la borne, qui est reliée à la ligne téléphonique. De la même façon, votre ordinateur établit une connexion sans fil avec la borne, qui est connectée à la ligne téléphonique ou à votre réseau Ethernet. Connexions de réseau sans fil Si vous installez une carte AirPort, vous pouvez : m Connecter votre ordinateur à un réseau disposant de l’accès sans fil. m Utiliser votre ordinateur pour permettre à d’autres ordinateurs d’accéder au réseau à l’aide de cartes sans fil. m Établir une connexion sans fil et partager des informations avec un autre ordinateur équipé d’une carte AirPort. Borne d’accès AirPort Connexion téléphonique ou Ethernet F2088.book Page 62 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMUtilisation de votre ordinateur 63 Pour plus d’informations sur la manière d’atteindre le point d’accès du réseau sans fil, contactez votre administrateur de réseau. Informations supplémentaires sur AirPort Pour acquérir une carte ou une borne d’accès AirPort, adressez-vous à votre distributeur agréé Apple ou consultez le site Web “The Apple Store” sur www.apple.com/store Des informations supplémentaires sur AirPort sont disponibles dans l’aide en ligne. Sélectionnez Centre d’aide dans le menu Aide, puis cliquez sur Aide AirPort. Vous trouverez également des informations en consultant les instructions fournies avec votre Carte Airport ou en visitant le site Web à l’adresse : www.apple.com/fr/airport Suspension de l’activité de l’ordinateur pour économiser l’énergie Les ordinateurs Power Mac G4 sont configurés de manière à suspendre leur activité après une période d’inactivité. La suspension d’activité permet à votre ordinateur de consommer le minimum d’énergie. L’activité de l’ordinateur peut également être suspendue à tout moment. Remarque : les ordinateurs Power Mac G4 suspendent automatiquement leur activité après 20 minutes d’inactivité. Lorsque votre ordinateur suspend son activité, il sauvegarde son état de telle sorte que lorsque vous le réactivez, les programmes, documents et réglages de l’ordinateur soient inchangés. Pour mieux économiser l’énergie, éteignez l’ordinateur ou la multiprise lorsque l’ordinateur n’est pas en service. Vous pouvez procéder de l’une des façons suivantes pour mettre votre ordinateur en veille : m Appuyez sur le bouton d’alimentation situé à l’avant de l’ordinateur. m Sélectionnez Suspendre l’activité dans le menu Pomme (K). m Réglez un temps de suspension d’activité en sélectionnant Préférences Système dans le menu Apple (K) et cliquez sur Écon. d’énergie. Lorsque l’activité de l’ordinateur est suspendue, le témoin d’alimentation situé sur le panneau avant clignote. Attention Plusieurs types d’objets placés près de l’ordinateur peuvent provoquer des interférences. Pour savoir comment éviter toute interférence, reportez-vous aux instructions fournies avec la carte AirPort ou avec la borne d’accès AirPort. Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site de service et d’assistance AppleCare à l’adresse suivante : www.apple.com/support F2088.book Page 63 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM64 Chapitre 4 Pour réactiver l’ordinateur, appuyez soit sur le bouton d’alimentation situé sur le panneau frontal, soit sur une touche du clavier. Vous pouvez également utiliser le bouton d’alimentation de certains moniteurs Apple pour mettre l’ordinateur en veille et le réactiver. Les cartes PCI ou de rechange AGP ne sont pas toutes conformes aux normes de consommation électrique de l’ordinateur. Si vous installez une carte non conforme, l’ordinateur pourra toujours suspendre son activité, mais l’économie d’énergie ne sera pas optimale. Vérifiez la conformité de la carte installée à l’aide de la section “Informations système Apple” (menu Pomme). Pour obtenir des informations supplémentaires sur les options d’économies d’énergie, consultez l’Aide Mac. Connexion de périphériques SCSI à votre ordinateur Certains modèles de Power Mac G4 sont équipés d’une carte SCSI bicanal Ultra160, installée dans un logement PCI et reliée à un ou plusieurs disques durs SCSI internes. Vous pouvez installer jusqu’à trois disques durs SCSI internes. Il est conseillé de ne connecter les disques durs SCSI Ultra160 LVD qu’au port interne de la carte SCSI bicanal. Vous pouvez également connecter des périphériques SCSI, y compris des lecteurs plus anciens et plus lents, au port externe de la carte SCSI bicanal Ultra160. La carte étant équipée de deux canaux, l’un relié au port interne et l’autre au port externe, la connexion de périphériques plus anciens au port externe ne ralentit pas la vitesse de transfert des disques durs internes. Apple recommande de n’utiliser que des périphériques SCSI Ultra160 LVD en tant que disques durs internes. Pour connecter des périphériques SCSI plus anciens dotés de connecteurs à 25 ou à 50 broches, tels que lecteurs Zip, scanners ou lecteurs DAT, vous devez soit acquérir des adaptateurs SCSI, soit acquérir et installer une carte SCSI PCI “legacy” supplémentaire qui permet de gérer les périphériques plus anciens. Pour plus d’informations sur l’utilisation de différents types de périphériques SCSI sur votre ordinateur, rendez-vous sur le site de service et d’assistance AppleCare sur www.apple.com/support Transfert d’informations entre deux ordinateurs Macintosh Lorsque deux ordinateurs Macintosh ne sont pas connectés via un réseau, vous pouvez transférer des informations de l’un à l’autre à l’aide d’un câble Ethernet à 4 paires (8 brins) standard de catégorie 5 (créant ainsi un mini réseau constitué de deux ordinateurs), que vous pouvez acheter auprès d’un revendeur agréé Apple. Branchez le câble sur chaque port Ethernet de votre ordinateur et activez le partage de fichiers sur les deux ordinateurs. Vous pouvez également configurer les réglages Ethernet sur les deux ordinateurs pour créer un petit réseau. F2088.book Page 64 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMUtilisation de votre ordinateur 65 Vous devez d’abord activer le partage de fichiers sur les deux ordinateurs : 1 Sélectionnez Préférences Système dans le menu Pomme (K). 2 Sélectionnez le tableau Partage. 3 Cliquez sur Démarrer pour activer le partage de fichiers. Puis, suivez ces étapes sur un seul ordinateur : 1 Dans le menu Aller, sélectionnez Se connecter à un serveur. 2 Cliquez sur Réseau local. 3 Sélectionnez l’ordinateur auquel vous souhaitez avoir accès. Pour plus d’informations sur la configuration de connexions Ethernet, recherchez “Ethernet” dans l’Aide Mac. Vous pouvez également connecter deux ordinateurs Macintosh à l’aide d’un câble FireWire. Cela vous permet d’utiliser le mode disque cible FireWire pour transférer des fichiers d’un ordinateur à un autre. Pour plus de détails sur l’utilisation du mode disque cible FireWire, consultez la section “Mode disque cible FireWire” à la page 54. Si vous disposez de l’accès à Internet, vous pouvez également transférer des fichiers via le Web sur votre zone de stockage iDisk (située dans iTools), afin de permettre leur téléchargement par vous ou par un autre utilisateur d’iTools. Pour plus de détails sur iTools, consultez la section “iTools : des services Internet gratuits pour les utilisateurs de Mac” à la page 26. Utilisation de l’ordinateur comme serveur sans moniteur Vous pouvez configurer votre ordinateur pour qu’il fonctionne en tant que serveur sans qu’il soit relié à un moniteur. Pour cela, procédez comme suit : 1 Pour configurer votre ordinateur, y compris lui connecter un moniteur, une souris et un clavier, suivez toutes les étapes décrites au Chapitre 1. 2 Configurez votre logiciel serveur comme suit : m Configurez l’accès en réseau. m Configurez l’application de sécurité de telle sorte que le serveur puisse être contrôlé à distance. m Définissez des mots de passe pour l’accès au serveur. m Paramétrez les services réseau de telle sorte qu’ils démarrent avec le système. 3 Assurez-vous que les services de réseau fonctionnent correctement. 4 Déconnectez le moniteur. Si vous utilisez un logiciel d’accès distant, suivez les instructions fournies avec ce dernier pour accéder au serveur et le gérer. F2088.book Page 65 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMF2088.book Page 66 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM67 C H A P I T R E 5 5 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur Ce chapitre vous offre des informations et des instructions destinées à vous guider lors d’interventions à l’intérieur de votre ordinateur. Vous y trouverez des instructions sur les opérations suivantes : m “Ouverture de l’ordinateur” à la page 68 m “Installation de modules de mémoire” à la page 71 m “Installation d’unités de stockage internes” à la page 73 m “Installation d’une carte d’extension PCI ou remplacement de la carte AGP” à la page 82 m “Installation d’une carte AirPort” à la page 86 m “Remplacement de la pile” à la page 87 Attention Apple recommande de faire appel à un technicien agréé Apple pour effectuer l’installation de modules de mémoire, de cartes d’extension PCI et d’unités de stockage internes. Consultez les informations sur l’assistance technique fournies avec l’ordinateur pour savoir comment joindre un centre de maintenance agréé ou la société Apple. Si vous tentez d’installer vous-même ces composants, les dommages éventuels ne seront pas couverts par la garantie limitée de votre ordinateur. Adressez-vous à un distributeur ou à un centre de maintenance agréés Apple pour toute information complémentaire sur l’étendue de la garantie. F2088.book Page 67 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM68 Chapitre 5 Ouverture de l’ordinateur 1 Pour éteindre votre ordinateur : m Sous Mac OS X, sélectionnez Éteindre dans le menu Pomme (K). m Sous Mac OS 9, sélectionnez Éteindre dans le menu Spécial. Patientez cinq à dix minutes, le temps que les composants internes de l’ordinateur refroidissent. 2 Débranchez tous les câbles de l’ordinateur, excepté le cordon d’alimentation. 3 Touchez les capots d’accès PCI situés au dos de l’ordinateur afin de libérer toute charge d’électricité statique. Attention Veillez à toujours éteindre votre Power Mac G4 avant de l’ouvrir pour éviter d’endommager ses composants internes ou les composants à installer. N’ouvrez pas l’ordinateur et ne tentez pas d’y installer des éléments lorsqu’il est sous tension. Après avoir éteint votre ordinateur, les composants internes peuvent être très chauds. Laissez refroidir l’ordinateur avant de continuer. Touchez la partie métallique des capots d’accès aux ports PCI. Important Agissez toujours de même avant de toucher ou d’installer tout composant dans l’ordinateur. Pour éviter de générer de l’électricité statique, ne vous déplacez pas dans la pièce avant d’avoir achevé l’installation du composant concerné et d’avoir refermé l’ordinateur. F2088.book Page 68 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMInterventions à l’intérieur de l’ordinateur 69 4 Débranchez le cordon d’alimentation. 5 Soulevez le loquet situé sur le côté de l’ordinateur. Remarque : si le loquet ne se soulève pas, vérifiez si le port antivol et l’anneau de verrouillage situés à l’arrière de l’ordinateur ne sont pas verrouillés. Attention Le bloc d’alimentation de votre ordinateur est un composant haute tension à n’ouvrir sous aucun prétexte, même lorsque l’ordinateur est éteint. Si le bloc d’alimentation nécessite une intervention, contactez votre distributeur ou votre centre de maintenance agréés Apple. Soulevez cette poignée pour ouvrir le panneau latéral. F2088.book Page 69 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM70 Chapitre 5 6 Abaissez délicatement le panneau latéral sur une surface propre et plane, de préférence sur un linge doux et propre. Abaissez délicatement le panneau latéral jusqu’à ce qu’il repose à plat. F2088.book Page 70 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMInterventions à l’intérieur de l’ordinateur 71 Installation de modules de mémoire Vous pouvez installer de la mémoire vive DRAM (Dynamic Random-Access Memory) supplémentaire sous forme de modules DIMM (Dual Inline Memory Modules) à insérer dans les trois logements prévus à cet effet sur la carte mère de votre ordinateur. Vous pouvez augmenter la mémoire DRAM de votre ordinateur jusqu’à un maximum de 1 536 Mo (1,5 Go). Pour déterminer la quantité de mémoire DRAM installée, utilisez Informations système Apple (situé dans le dossier Utilities du dossier Applications de votre ordinateur). Si vous installez des modules DIMM de 512 Mo, ils doivent être en 256 mégabits (Mbit). Vous pouvez également installer des modules DIMM 256 Mo en 256 ou 128 Mbits. Vous pouvez installer des modules DIMM de tailles différentes dans n’importe quel ordre. Pour vérifier la compatibilité de ces modules, consultez le Guide des produits Macintosh sur le site Web d’Apple à l’adresse suivante : www.apple.com/guide Les modules DIMM doivent être conformes aux caractéristiques suivantes : m DRAM “PC-133” synchrone (SDRAM) m 3,3 volts ( V ) m Module 64 bits, 168 broches m Nombre maximal d’éléments de mémoire par module DIMM : 16 m Sans mémoire tampon ; ne pas utiliser de mémoire SDRAM à tampon ou à registre m La hauteur ne doit pas excéder 5 cm Remarque : lors de l’achat de mémoire DRAM pour un ordinateur Macintosh, assurez-vous que le fabricant respecte les spécifications JEDEC. Assurez-vous auprès de votre fabricant que le module DIMM de mémoire DRAM gère l’horloge et que le dispositif SPD (Serial Presence Detect) a été programmé correctement, selon les spécifications JEDEC. Vous pouvez acheter des mémoires Apple en ligne via “The Apple Store”à l’adresse suivante : store.apple.com Important Les modules DIMM conçus pour des ordinateurs Macintosh plus anciens risquent de ne pas être compatibles avec votre Power Mac G4. Seuls les modules DIMM “PC-133” sont compatibles. Vous ne devez donc pas utiliser des modules DIMM plus anciens, même s’il est possible de les insérer dans les logements prévus à cet effet. F2088.book Page 71 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM72 Chapitre 5 1 Ouvrez les taquets des logements de modules DIMM à utiliser en appuyant dessus. 2 Alignez le module DIMM sur le logement DRAM comme illustré ci-dessous, puis enfoncez-le jusqu’à ce que les taquets s’emboîtent. 3 Refermez l’ordinateur. Important Ne touchez pas les connecteurs du module DIMM. Tenez-les par les bords. Module DIMM (la forme et les composants de ce module peuvent varier) Taquet (Le logement peut comporter un ou deux taquets. Écartez-les vers l’extérieur pour les ouvrir, comme illustré). Le module DIMM est conçu pour ne s’emboîter que dans un sens. Veillez à aligner les encoches du module avec les petits crans du logement. Après avoir ouvert les taquets (cf. illustration), enfoncez le module jusqu’à ce qu’il s’emboîte. Les taquets se referment automatiquement. Connecteurs Encoches Logement DRAM (1 des 3) Crans (à l’intérieur du logement) F2088.book Page 72 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMInterventions à l’intérieur de l’ordinateur 73 Installation d’unités de stockage internes Votre ordinateur compte cinq baies de disques durs internes. Trois d’entre elles se trouvent dans la partie inférieure de l’ordinateur et les deux autres à l’avant, dans la partie supérieure. Sur de nombreux modèles, un disque dur unique est déjà installé dans une des baies de la partie inférieure. L’une des baies supérieures contient un lecteur optique. En outre, vous avez la possibilité d’acheter puis d’installer un lecteur Zip dans l’autre baie supérieure. Vous pouvez ajouter des lecteurs SCSI et ATA dans les baies inférieures libres. Les lecteurs doivent être conformes aux caractéristiques suivantes : m Largeur : 102 mm m Profondeur : 147 mm m Hauteur : 7 pouces (ATA), 7,6 pouces (SCSI) L’ordinateur gère les types d’unités de stockage internes suivantes : m Unités ATA, incluant les unités ATA, ATA-2, ATA-3, jusqu’à ATA-6 m Unités Ultra ATA m Unités Ultra-66 ATA m Lecteurs ATAPI, y compris CD-ROM, CD-RW, DVD-ROM, DVD-R et lecteurs Zip m Unités SCSI Ultra Wide (une carte SCSI PCI supplémentaire est requise) m Unités SCSI Ultra2 et Ultra160 LVD (Low Voltage Differential), une carte SCSI PCI est requise. Pour en savoir plus sur les éléments nécessaires et les types de lecteurs gérés, contactez un distributeur agréé Apple ou consultez la section d’assistance technique du site Web d’Apple : www.apple.com/support Installation de lecteurs Ultra ATA Votre Macintosh peut recevoir deux lecteurs ATA internes de 2,54 cm de hauteur dans le support en forme de U, au niveau du logement 3 de l’ordinateur. Si votre ordinateur est équipé d’un seul lecteur Ultra ATA, il est installé dans la partie inférieure de ce support en forme de U. Vous pouvez installer un second lecteur ATA dans la partie supérieure du support. Le lecteur de disque dur fourni avec votre Macintosh est désigné comme “lecteur maître” (parfois appelé “lecteur 0”). Le lecteur ATA ajouté comme lecteur secondaire est appelé “lecteur asservi” ou “lecteur 1”. 1 Configurez votre lecteur comme lecteur asservi en ajustant les cavaliers appropriés. Consultez le fabricant de votre lecteur ou rendez-vous sur son site Web pour déterminer les réglages corrects. Remarque : votre Macintosh ne fonctionne pas avec les lecteurs Ultra ATA réglés sur le mode de sélection par câble. F2088.book Page 73 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM74 Chapitre 5 2 Déconnectez la fiche d’alimentation et le câble plat du lecteur. Déconnectez la fiche d’alimentation du disque dur. Tirez vigoureusement car elle est fermement maintenue. Logement 3 Logement 2 Déconnectez le câble plat du disque dur. Logement 1 F2088.book Page 74 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMInterventions à l’intérieur de l’ordinateur 75 3 Enlevez la vis de fixation à tête plate du support, puis inclinez celui-ci vers le haut afin de le retirer de l’ordinateur. Enlevez la vis de fixation afin de libérer le support du disque. Inclinez le support vers le haut, puis sortez-le délicatement de l’ordinateur. F2088.book Page 75 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM76 Chapitre 5 4 Installez le lecteur ATA dans le support en U. Remarque : les vis représentées en gras dans l’illustration ci-dessous correspondent aux quatre vis à tête plate provenant du kit d’accessoires de l’ordinateur. Les vis estompées représentent les vis provenant du nouveau lecteur. Si vous installez un lecteur dans la partie inférieure du logement en U, fixez le fond du lecteur au support à l’aide des vis à tête plate. Fixez un disque ATA supplémentaire (de 1" de hauteur) sur la partie supérieure du support en le vissant par les côtés. Serrez d’abord les deux vis de ce côté. Ces deux languettes se plient vers l’intérieur tandis que vous serrez ces deux vis. Les disques ATA de 1" de hauteur se fixent par le dessous à la partie inférieure du support. Placez le disque dur sur le support de manière à ce que le connecteur du câble plat et le connecteur du câble d’alimentation soient accessibles. F2088.book Page 76 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMInterventions à l’intérieur de l’ordinateur 77 5 Remettez le support et le lecteur en place. 6 Réinsérez, dans le support, la vis de fixation à tête plate que vous avez enlevée à l’étape 3. Inclinez le disque dur puis glissez-le dans l’ordinateur. Veillez à ce que les deux languettes qui se trouvent sous le support s’engagent dans les fentes du fond de l’ordinateur. Remettez la vis de fixation du support de disque. F2088.book Page 77 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM78 Chapitre 5 7 Connectez à nouveau les fiches d’alimentation et le câble plat aux lecteurs de disques durs. 8 Refermez l’ordinateur. Reconnectez les fiches aux disques durs. Veillez à bien les engager fermement. Câlez l’excédent de câble d’alimentation sur les côtés des disques durs. Reconnectez l’extrémité du câble plat ATA au disque ATA inférieur. Reliez le connecteur central au disque ATA supérieur. F2088.book Page 78 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMInterventions à l’intérieur de l’ordinateur 79 Installation de lecteurs SCSI Ultra160 LVD Si votre Macintosh est équipé d’un lecteur SCSI Ultra160 LVD interne, vous pouvez connecter jusqu’à deux lecteurs SCSI Ultra160 LVD supplémentaires à la carte et au câble PCI situés à l’intérieur de l’ordinateur. Ce câble est muni des connecteurs nécessaires et d’une terminaison intégrée afin de vous dispenser d’en ajouter. Remarque : si votre ordinateur n’est pas équipé de lecteur de disque dur SCSI, vous devez y installer une carte SCSI PCI pour pouvoir connecter des disques durs SCSI. Les procédures de connexion et de déconnexion d’un lecteur de disque dur SCSI ainsi que de retrait et d’insertion des supports sont pratiquement identiques aux instructions d’installation du lecteur ATA qui figurent à la section la page 73. Suivez les instructions du lecteur ATA lorsque vous installez un lecteur SCSI. Avant d’installer votre lecteur SCSI, tenez néanmoins compte des différences suivantes : Lorsque vous configurez votre lecteur de disque dur SCSI : Affectez un numéro d’identification SCSI unique à chaque nouvelle unité. Le premier lecteur d’origine a pour numéro d’identification SCSI 0, tandis que le second lecteur d’origine (le cas échéant) porte le numéro 1 et le troisième le numéro 2. Le numéro 7 est attribué à la carte SCSI PCI. Par conséquent, si vous attribuez l’un de ces numéros à un nouveau lecteur, il ne fonctionnera pas correctement. F2088.book Page 79 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM80 Chapitre 5 Lorsque vous fixez le lecteur au support : Si vous installez un lecteur SCSI dans un ordinateur équipé d’origine d’un seul lecteur SCSI, placez-le dans le logement 3 (consultez la section “Intérieur de votre Power Mac : options d’extension internes de votre ordinateur” à la page 18). N’installez pas de lecteur SCSI dans l’emplacement supérieur du logement en U. Les lecteurs SCSI de 1,6" de hauteur se fixent à la partie inférieure du support en les vissant par les côtés. Les lecteurs SCSI de 1" de hauteur se fixent à la partie inférieure du support en les fixant par le dessous. Placez le disque dur sur le support de manière que le connecteur du câble plat et le connecteur du câble d’alimentation soient accessibles. F2088.book Page 80 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMInterventions à l’intérieur de l’ordinateur 81 Remarque : dans l’illustration précédente, les vis représentées en gras correspondent aux quatre vis à tête plate provenant de l’ordinateur. Les vis estompées de l’illustration suivante représentent les vis provenant du nouveau disque. Lorsque vous remettez le support en place et que vous reconnectez les câbles du lecteur Fixez les disques SCSI supplémentaires (1" ou 1,6" de hauteur) aux deux supports plats en les vissant par le dessous. Plaacez le disque dur sur le support de manière que le connecteur du câble plat et le connecteur du câble d’alimentation soient accessibles. Fixez le lecteur à l’aide des quatre vis fournies avec celui-ci. Si votre ordinateur a été fourni avec un disque dur SCSI installé dans le logement 1 et que vous installez un disque dur SCSI dans le logement 2 ou 3, placez le câble plat sur les disques. Pour que ce câble repose à plat, vous pouvez le fixer à l’aide de ruban adhésif double-face. Terminaison SCSI Carte PCI SCSI En fonction du type de carte PCI SCSI, il se peut que le câble plat se connecte à un emplacement différent. Assurez-vous que les connecteurs du câble d’alimentation et du câble plat soient tous fermement connectés à tous les lecteurs et à la carte PCI SCSI. F2088.book Page 81 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM82 Chapitre 5 Installation d’une carte d’extension PCI ou remplacement de la carte AGP Vous pouvez accroître les capacités de votre Power Mac G4 en installant des cartes dans ses logements d’extension. L’ordinateur est équipé de cinq logements d’extension, dont quatre sont conçus pour les cartes d’extension PCI (Peripheral Component Interconnect) et un est prévu pour une carte AGP. Les cartes AGP et PCI étant munies de connecteurs différents, vous ne pouvez pas insérer une carte PCI dans un logement destiné à une carte AGP. À propos des cartes AGP Votre carte AGP, installée dans le logement 1, fournit le port moniteur de l’ordinateur. Le logement 1 est spécialement conçu pour accepter des cartes AGP à largeur de données en 32 bits. Ce logement à 66 mégahertz (MHz) accepte les cartes AGP à 3,3 volt ( V ) (voir illustration de la section la page 84). Vous pouvez remplacer la carte fournie avec votre ordinateur par une carte AGP 1X, 2X ou 4X. Une carte de rechange AGP doit être reliée à un périphérique compatible avec Mac OS. À propos des cartes d’extension PCI Votre Macintosh compte quatre logements d’extension (numéros 2, 3, 4 et 5) qui acceptent des cartes PCI d’une longueur maximale de 30 mm (12 pouces). Sur certains modèles, une carte SCSI PCI occupe déjà l’un de ces logements. Installez uniquement des cartes d’extension fournies avec les logiciels gestionnaires Macintosh et compatibles avec la norme PCI 2.1. Les logements PCI peuvent accepter des cartes à tension mixte (5,0 V, 12 V ou 3,3 V ) cadencée à 33 MHz en 32 ou 64 bits. Vous pouvez installer une carte cadencée à 66 MHz dans un logement PCI si la carte fonctionne également à la fréquence inférieure de 33 MHz. La quantité totale d’énergie consommée par les cinq logements d’extension (les quatre cartes d’extension PCI et la carte AGP) ne doit pas excéder 80 watts ( W ). Attention N’installez pas de cartes ne fonctionnant qu’à 66 MHz dans ces logements PCI. Cela risquerait d’endommager votre matériel. Si vous possédez une carte cadencée à 66 MHz, vérifiez auprès de son fabricant si elle fonctionne également en 33 MHz. F2088.book Page 82 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMInterventions à l’intérieur de l’ordinateur 83 Installation de votre carte Vous pouvez uniquement installer une carte AGP dans le logement 1. Installez les cartes d’extension PCI dans les logements PCI numérotés 1, 2, 3, 4 et 5. 1 Enlevez la vis qui maintient le capot d’accès aux ports et retirez le capot. m Pour retirer une carte installée dans l’ordinateur, enlevez les vis qui la maintiennent, puis extrayez la carte du logement. 2 Sortez la carte à installer de son sachet antistatique en la tenant par les coins et en veillant à ne toucher ni le connecteur en or, ni aucun des composants. Capot d’accès au port Retirez la vis qui maintient le capot d’accès au port. Pour retirer la carte du logement AGP, appuyez sur cette languette pour libérer le cran. F2088.book Page 83 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM84 Chapitre 5 3 Alignez le connecteur de la carte avec le logement d’extension, puis appuyez jusqu’à ce que le connecteur soit inséré à fond. Si vous installez une carte de 12 pouces, assurez-vous qu’elle s’engage dans le guide adéquat, situé à l’avant de l’ordinateur. Ouverture d’accès au port Logement PCI Remettez la vis afin de maintenir la carte. Si la carte que vous installez est de la dimension maximale (12 pouces), assurez-vous qu’elle est adaptée à l’un des cinq logements. F2088.book Page 84 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMInterventions à l’intérieur de l’ordinateur 85 Enfoncez la carte délicatement mais fermement jusqu’à ce que le connecteur soit inséré à fond. m Ne balancez pas la carte d’un côté à l’autre, enfoncez-la au contraire verticalement. m Insérez la carte sans forcer. En cas de résistance, retirez la carte. Vérifiez si le connecteur et le logement sont endommagés ou obstrués, puis essayez à nouveau. m Tirez légèrement sur la carte pour voir si elle est correctement connectée. Si elle résiste, reste en place et que ses connecteurs en or sont à peine visibles, la carte est connectée. 4 Réinsérez la vis du capot d’accès aux ports, puis serrez-la afin de maintenir la carte. 5 Refermez l’ordinateur. Attention Si vous avez enlevé une carte sans en installer d’autre, veillez à recouvrir le logement vide au moyen d’un capot d’accès. Ne laissez jamais un logement vide à découvert. Cela risque d’affecter la ventilation qui maintient la température des composants internes et de provoquer des dégâts. F2088.book Page 85 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM86 Chapitre 5 Installation d’une carte AirPort 1 Positionnez la carte AirPort avec les numéros d’identification et le code-barre vers le haut, puis introduisez-la dans le connecteur prévu à cet effet. 2 Fixez soigneusement le fil d’antenne coaxial au port situé à l’extrémité de la carte AirPort. Ce fil est rangé sur le côté du guide pour cartes PCI. Ne courbez ni ne pincez excessivement ce fil. 3 Refermez l’ordinateur. Insérez la carte AirPort, code-barre vers le haut, jusqu’à ce qu’elle soit encastrée fermement dans le connecteur. Connectez le fil d’antenne dans l’orifice situé à l’extrémité de la carte AirPort. Le fil d’antenne se range ici lorsqu’il n’est pas utilisé. Connecteur de carte AirPort F2088.book Page 86 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMInterventions à l’intérieur de l’ordinateur 87 Remplacement de la pile Votre ordinateur est équipé d’une pile 3,6 V au lithium installée sur la carte mère. Des problèmes intermittents lors du démarrage de l’ordinateur ou des changements aléatoires de dates et d’heure indiquent qu’il est temps de changer la pile. Vous pouvez acquérir une pile de rechange auprès d’un distributeur agréé Apple. 1 Enlevez la pile de son réceptacle en observant les polarités. (Un signe plus figure à la fois sur le réceptacle et à côté de ce dernier.) Important Les piles contiennent des substances toxiques pour l’environnement. Veillez à vous débarrasser des piles usagées en préservant la nature et en respectant la réglementation en vigueur dans votre pays. Sortez la pile de son réceptacle en la tirant vers le haut. Il peut s’avérer nécessaire d’écarter légèrement ces languettes. Faites-le délicatement pour ne pas les casser. F2088.book Page 87 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM88 Chapitre 5 2 Introduisez la pile neuve dans le réceptacle en respectant les polarités. 3 Refermez l’ordinateur. Attention Une mise en place incorrecte de la pile peut provoquer une explosion. Veillez absolument à respecter les polarités. Utilisez uniquement une pile du même type ou une pile approuvée par le fabricant de la pile d’origine. F2088.book Page 88 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM89 C H A P I T R E 6 6 Dépannage En cas de problèmes de fonctionnement de l’ordinateur, voici quelques suggestions susceptibles d’y remédier. Remarque : si ces problèmes surviennent en environnement Classic, procédez au dépannage comme vous le feriez sous Mac OS 9, plutôt que sous Mac OS X. Si l’ordinateur ne répond pas ou que le pointeur est bloqué : Assurez-vous tout d’abord que la souris et le clavier sont connectés. m Débranchez puis rebranchez les connecteurs et vérifiez qu’ils sont correctement insérés. Essayez ensuite d’annuler l’opération en cours. m Appuyez simultanément sur les touches Commande (x) et Q, afin de quitter l’application en cours. m Appuyez simultanément sur les touches Commande (x) et point(.), puis cliquez sur Annuler si une zone de dialogue apparaît. m Sous Mac OS X, choisissez Forcer à quitter dans le menu Pomme (K), puis sélectionnez l’application. Pour redémarrer l’ordinateur, choisissez Redémarrer dans le menu Pomme (K), afin de vous assurer que le problème est totalement résolu. Vous pouvez également appuyer simultanément sur les touches Esc, Option et Commande (x). m Sous Mac OS 9, maintenez les touches Esc, Option et Commande (x) enfoncées pour forcer la fermeture de l’application. Pour redémarrer l’ordinateur, choisissez Redémarrer dans le menu Spécial, afin de vous assurer que le problème est totalement résolu. m Si le problème n’est toujours pas résolu, maintenez enfoncée pendant cinq secondes la touche d’alimentation située à l’avant de l’ordinateur. Après la mise hors tension de l’ordinateur, appuyez à nouveau sur ce bouton pour le redémarrer. m Si toutes les autres méthodes ont échoué, débranchez puis rebranchez le cordon d’alimentation et appuyez sur le bouton d’alimentation situé sur le panneau avant pour redémarrer l’ordinateur. m Si le problème ne survient qu’avec une application, vérifiez auprès de son éditeur si elle est compatible avec votre ordinateur. F2088.book Page 89 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM90 Chapitre 6 m Si le problème survient fréquemment, choisissez Aide Mac dans le menu Aide. m Sous Mac OS X, recherchez “dépannage”. m Sous Mac OS 9, consultez la section sur la prévention et la résolution des problèmes. Il est également possible que vous deviez résoudre d’éventuels conflits d’extension ou réinstaller le logiciel système. Si l’ordinateur se bloque lors du démarrage ou qu’une icône marquée d’un point d’interrogation apparaît et clignote pendant plus d’une minute : Si vous démarrez votre ordinateur sous Mac OS 9, désactivez vos extensions système Mac OS 9. m Démarrez votre ordinateur tout en maintenant la touche Majuscule enfoncée. m Si votre ordinateur est configuré pour démarrer à partir d’un autre ordinateur de votre réseau, vérifiez le branchement de vos câbles Ethernet, puis redémarrez votre ordinateur. Il se peut que votre ordinateur rencontre des problèmes de connexion au réseau. Vérifiez que l’ordinateur ou le serveur de démarrage fonctionne correctement. m Si vous êtes sous Mac OS 9, supprimez tous les éléments du dossier Serveurs de votre Dossier Système. Il se peut que votre ordinateur rencontre des problèmes de connexion à un serveur sur Internet. Si les problèmes persistent ou si vous démarrez sous Mac OS X, éteignez l’ordinateur en maintenant la touche d’alimentation (®) enfoncée. Redémarrez ensuite à partir du CD d’installation. m Insérez votre CD contenant le logiciel système, puis démarrez l’ordinateur tout en maintenant la touche “C” enfoncée (en veillant à ce que la touche de verrouillage des majuscules ne soit pas enfoncée). m Après le démarrage de l’ordinateur, consultez les informations de dépannage disponibles dans l’aide électronique. Choisissez Aide Mac dans le menu Aide. Consultez la rubrique consacrée à la résolution de problèmes. Il est possible que vous deviez résoudre d’éventuels conflits d’extension ou réinstaller le logiciel système. Si l’ordinateur ne s’allume pas ou ne démarre pas : Assurez-vous que le cordon d’alimentation est branché sur une prise de courant en état de fonctionnement. m La fiche du cordon d’alimentation doit être totalement insérée dans la prise de l’ordinateur pour que celui-ci fonctionne correctement. Réinitialisez la mémoire des paramètres (PRAM). m Démarrez l’ordinateur, puis maintenez immédiatement les touches Commande (x), Option, P et R enfoncées jusqu’à ce que la seconde tonalité de démarrage retentisse. Définissez ensuite votre disque dur comme disque de démarrage de l’ordinateur. m Sous Mac OS X, choisissez Préférences Système dans le menu Pomme (K) et cliquez sur Démarrage, puis sélectionnez votre disque dur. F2088.book Page 90 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMDépannage 91 m Sous Mac OS 9, choisissez Tableaux de bord dans le menu Pomme (K), Démarrage dans le sous-menu, puis sélectionnez votre disque dur. Si vous entendez des tonalités lors du démarrage : m Si vous avez récemment installé de la mémoire supplémentaire, une carte d’extension PCI ou tout autre composant interne, assurez-vous qu’il est correctement installé et qu’il est compatible avec votre ordinateur. Essayez de l’enlever pour savoir si l’ordinateur peut démarrer. m Contactez un centre de maintenance agréé Apple. Si vous ne parvenez pas à éjecter un disque : Un fichier est peut-être en cours d’utilisation sur ce disque. Quittez toutes les applications ouvertes, puis essayez à nouveau. Si le problème persiste : m Sous Mac OS X, choisissez Redémarrer dans le menu Pomme (K) puis maintenez enfoncé soit le bouton de la souris, soit la touche d’éjection de disques (C) du clavier Apple Pro Keyboard. m Sous Mac OS 9, choisissez Redémarrer dans le menu Spécial et maintenez enfoncé soit le bouton de la souris, soit la touche d’éjection de disques (C) du clavier Apple Pro Keyboard. Problèmes de logiciels Si vous rencontrez un problème lié à une application : m Utilisez la mise à jour de logiciels afin de vous assurer que vous disposez des gestionnaires, débogueurs et autres mises à jour les plus récents. m Pour les problèmes liés à un logiciel autre qu’Apple, contactez l’éditeur concerné. Si vous rencontrez un problème lié à l’utilisation de votre ordinateur ou de Mac OS : m Consultez le centre d’aide (via le menu Aide) pour obtenir des instructions ainsi que des informations de dépannage. m Pour obtenir les dernières informations de dépannage et mises à jour de logiciels, consultez le site Web d’Apple sur Internet à l’adresse suivante : www.apple.com/support F2088.book Page 91 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM92 Chapitre 6 Si vous éprouvez des difficultés à utiliser la communication sans fil AirPort : m Vérifiez que vous avez configuré correctement le logiciel selon les instructions fournies avec votre carte ou borne d’accès AirPort. m Vérifiez que l’ordinateur ou le réseau auquel vous souhaitez vous connecter est activé et dispose d’un point d’accès sans fil. m Assurez-vous d’être à portée de l’autre ordinateur ou du point d’accès au réseau. Si des appareils électroniques ou des structures métalliques se situent à proximité de l’ordinateur, ils peuvent provoquer des interférences et réduire cette distance. Vous pouvez éventuellement améliorer la réception en réorientant l’ordinateur. m Pour en savoir plus, consultez l’Aide Mac (du menu Aide) et les instructions du périphérique sans fil. Problèmes de moniteur Aucune image ne s’affiche à l’écran. m Assurez-vous que le moniteur et l’ordinateur sont sous tension. m Vérifiez que les câbles sont correctement connectés à l’ordinateur ainsi qu’au moniteur. m Assurez-vous que votre ordinateur n’est pas en suspension d’activité. Appuyez sur le bouton d’alimentation pour voir si cela réactive l’ordinateur. m Assurez-vous que la luminosité et le contraste du moniteur sont réglés correctement. Sur certains modèles, vous pouvez régler ces derniers directement grâce à des commandes situées sur ou sous la face avant du moniteur. m Réinitialisez la mémoire des paramètres en redémarrant l’ordinateur tout en maintenant les touches Commande (x), Option, P et R enfoncées jusqu’à ce que la seconde tonalité de démarrage retentisse. Redémarrez ensuite à partir du CD d’installation. m Si le problème n’est toujours pas résolu, mais que votre moniteur fonctionne, ce problème est d’ordre logiciel. Redémarrez votre ordinateur tout en appuyant sur la touche Majuscule pour désactiver vos extensions. Attention Si vous rencontrez un problème avec votre moniteur Apple et que vous ne parvenez pas à le résoudre à l’aide du manuel, sollicitez l’assistance d’un centre de maintenance agréé ou de la société Apple. Si vous tentez de le réparer par vos propres moyens, les dommages éventuels ne seront pas couverts par la garantie limitée de votre moniteur. Adressez-vous à un distributeur ou à un centre de maintenance agréés Apple pour toute information supplémentaire sur l’étendue de la garantie. F2088.book Page 92 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMDépannage 93 L’image à l’écran est estompée ou vacille. m Réglez la luminosité ainsi que le contraste. Sur certains modèles, vous pouvez régler ces derniers directement grâce à des commandes situées sur ou sous la face avant du moniteur. Selon que votre moniteur apparaît plus ou moins grisé, vous pouvez ajuster la luminosité ou le contraste via la fenêtre Moniteurs des Préférences Système (sous Mac OS X) ou du tableau de bord Moniteurs (sous Mac OS 9). m Étalonnez le moniteur. m Sous Mac OS X, choisissez Préférences Système dans le menu Pomme (K), cliquez sur Moniteurs, sélectionnez l’onglet Couleur et cliquez sur Étalonner. m Sous Mac OS 9 , choisissez Tableaux de bord dans le menu Pomme (K), Moniteurs dans le sous-menu, puis cliquez sur Étalonner. Cette option n’est pas disponible sur certains moniteurs. m Il se peut que le vacillement soit dû à des interférences provoquées par la proximité d’une ligne ou d’un appareil électriques, par exemple une radio, un four à micro-ondes ou un autre ordinateur. Essayez de repositionner les appareils électriques situés à proximité ou de déplacer le moniteur et l’ordinateur. L’écran n’affiche pas les couleurs ou celles-ci présentent un aspect inhabituel. m Assurez-vous que le moniteur est fermement relié à l’ordinateur. m Étalonnez votre moniteur comme décrit précédemment. Consultez l’Aide Mac pour en savoir plus sur l’affichage des couleurs et votre moniteur. m Utilisez le tableau Moniteurs des Préférences Système (sous Mac OS X) ou utilisez le tableau de bord Moniteurs (sous Mac OS 9) et assurez-vous que votre moniteur permet l’affichage des couleurs. Consultez l’Aide Mac pour en savoir plus sur l’affichage des couleurs et votre moniteur. Les icônes du bureau sont repositionnées après que vous ayez modifié la résolution de l’écran. m Modifier la résolution de l’écran se répercute sur l’affichage des informations à l’écran. Une fois la résolution d’écran modifiée, le système d’exploitation est susceptible de réorganiser les icônes. L’écran se fige. m Forcez la fermeture de l’application concernée. m Sous Mac OS X, choisissez Forcer à quitter dans le menu Pomme (K), puis sélectionnez l’application. m Sous Mac OS 9, maintenez les touches Esc, Option et Commande (x) enfoncées, puis cliquez sur “Forcer à quitter” dans la zone de dialogue. m Si cela ne fonctionne pas, forcez l’ordinateur à redémarrer en appuyant sur le bouton de réinitialisation (P) sur la face avant de votre ordinateur. F2088.book Page 93 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM94 Chapitre 6 Le voyant situé sur le devant du moniteur clignote. Sur certains moniteurs Apple à écran plat, le voyant d’alimentation clignote par intermittence lorsqu’une erreur a été détectée. m Si vous constatez une série de trois clignotements brefs répétés, cela signifie que le moniteur a détecté une entrée vidéo au format incorrect. Vérifiez que votre moniteur est compatible avec la carte graphique dont votre ordinateur est équipé et que vous avez installé le logiciel correct si votre moniteur était accompagné d’un logiciel d’installation. m Si vous constatez une série de deux clignotements brefs suivis d’un long, cela signifie que le moniteur a détecté un problème de lampe de rétro-éclairage. Contactez un distributeur ou un centre de maintenance agréés Apple. Restauration de vos logiciels Restauration Apple efface complètement le contenu de votre disque dur ou de votre partition, puis restaure le contenu d’origine comprenant le logiciel système d’origine, les réglages par défaut et les applications fournies avec votre ordinateur. Si vous devez restaurer vos logiciels, sauvegardez d’abord les applications et fichiers importants, si possible. Cela comprend les fichiers que vous avez installés ou créés, tels que les documents personnels, les clés d’accès, les préférences, les réglages Internet, les polices, les extensions système et les applications autres que celles fournies avec votre ordinateur. Remarque : si vous ne souhaitez pas effacer le contenu de votre disque dur, réinstallez simplement le logiciel ou certaines applications système à l’aide des CD d’installation de logiciels ou d’applications livrés avec votre ordinateur. Pour plus d’informations sur l’installation de Mac OS 9 et Mac OS X, consultez le manuel Bienvenue sur Mac OS X. Avant de restaurer vos logiciels Procédez comme suit : m Notez les réglages et préférences personnalisés : si possible, notez toutes vos préférences, signets Web et réglages définis dans les Préférences Système (sous Mac OS X) ou dans Tableaux de bord (sous Mac OS 9) et dans les applications, afin que vous puissiez facilement les rétablir une fois votre logiciel restauré. m Sauvegardez vos données : cette procédure permet d’effacer complètement le contenu de votre disque dur avant de restaurer les réglages par défaut et les applications d’origine fournies avec votre Power Mac G4. Par conséquent, sauvegardez dans un premier temps vos logiciels et vos fichiers. Attention Lorsque vous restaurez vos logiciels, la totalité de votre disque dur est effacée dans un premier temps. Assurez-vous de sauvegarder tous vos logiciels préalablement à la restauration. F2088.book Page 94 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMDépannage 95 Remarque : si vous travaillez sous Mac OS X et ne souhaitez réinstaller que le logiciel Mac OS 9, redémarrez votre ordinateur sous Mac OS 9, puis suivez les instructions de restauration du logiciel Mac OS 9. Pour obtenir des informations sur le changement de votre système Mac OS de démarrage, consultez la section “Passage d’un système d’exploitation à l’autre” à la page 44. Restauration de votre logiciel Lorsque vous restaurez les logiciels de votre Power Mac G4 à l’aide des CD de restauration de logiciels, votre ordinateur démarre dans le même système Mac OS que lors de son acquisition. Pour restaurer les logiciels de votre ordinateur : 1 Assurez-vous de disposer de tous les CD Restauration Apple fournis avec votre ordinateur. 2 Insérez le premier CD Restauration Apple dans votre lecteur. 3 Redémarrez votre ordinateur tout en maintenant la touche C enfoncée, afin qu’il démarre à partir du CD. 4 Suivez les instructions affichées à l’écran. Lorsque vous redémarrez votre ordinateur, une fois vos logiciels restaurés, un Assistant réglages s’ouvre alors, vous permettant de reconfigurer les réglages. 5 Si vous réinstallez votre Mac OS via le CD d’installation de logiciels, utilisez Mise à jour de logiciels pour chaque système Mac OS installé, afin d’obtenir les mises à jour et les gestionnaires les plus récents via Internet. Sous Mac OS X, ouvrez Préférences Système, puis cliquez sur Mise à jour de logiciels. Sous Mac OS 9, choisissez Tableaux de bord dans le menu Pomme (K), cliquez sur Mise à jour de logiciels dans le sous-menu, puis sur Mettre à jour maintenant. Remarque : pour utiliser l’environnement Classic de Mac OS X, restaurez également Mac OS 9, puis installez toutes les mises à jour logicielles connexes. Important Il est vivement recommandé de sauvegarder les données de votre disque dur avant de procéder à la restauration de logiciels. Apple décline toute responsabilité en cas de perte de données. F2088.book Page 95 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMF2088.book Page 96 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM97 A N N E X E A A Caractéristiques Caractéristiques du processeur et de la mémoire Processeur m Processeur PowerPC™ G4 avec cache sur plaque de 256 kilo-octets (Ko). m Certaines configurations disposent d’une mémoire cache postérieure L3 de 2 méga-octets (Mo) par processeur. Mémoire vive (RAM) m Mémoire vive SDRAM pouvant atteindre un maximum de 1 536 Mo (1,5 Go). m La totalité de la mémoire vive SDRAM est installée sous forme de modules amovibles DIMM. m Trois logements sont disponibles pour les modules DIMM de type : m SDRAM “PC-133” m 128, 256 ou 512 Mo Les modules DIMM de 256 Mo doivent posséder des éléments à technologie 128 ou 256 mégabits (Mbit) ; les modules de 512 Mo doivent posséder des éléments à technologie 256 mégabits. m 3,3 volt ( V ) sans tampon, 64 bits, 168 broches. Le logiciel système Mac OS fournit des informations au sujet de votre ordinateur, y compris la quantité de mémoire. F2088.book Page 97 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM98 Annexe A Dimensions et conditions de fonctionnement Dimensions m Poids : 15,9 kg Le poids dépend de la configuration. Le poids ci-dessus comprend la configuration de base, un lecteur optique, un lecteur Zip ainsi qu’un lecteur de disque dur. Le poids est susceptible d’être plus élevé si des périphériques optionnels sont installés. m Hauteur : 432 mm m Largeur : 227 mm m Profondeur : 468 mm Conditions de fonctionnement m Température de fonctionnement : 10° à 35° C° m Température de stockage : –40°à 47° C ° m Humidité relative : 5 % à 95 % (sans condensation) m Altitude : 0 à 3 048 mètres Caractéristiques du lecteur CD-RW m Diamètres de disque gérés : 12 cm Formats de données m CD-ROM m CD-Audio m CD-R m CD-RW m CDI m CD Bridge m CD Extended (CD étendu) m CD Mixed Mode (CD en mode mixte) m Photo CD m Video CD m CD circulaire de 6,75 cm m CD non-circulaires F2088.book Page 98 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMCaractéristiques 99 Caractéristiques de l’unité combinée (DVD-ROM/CD-RW) m Diamètres de disque gérés : 12 cm Formats de données m CD-ROM m CD-Audio m CD-R m CD-RW m CDI m CD Bridge m CD Extended (CD étendu) m CD Mixed Mode (CD en mode mixte) m Photo CD m Video CD m DVD vidéo m DVD-ROM m DVD-R (lecture seule) Caractéristiques SuperDrive (DVD-ROM/CD-RW) m Diamètres de disque gérés : 12 cm (4,7 pouces) et 6,75 cm (3 pouces) Formats de données m CD-ROM m CD-Audio m CD-R m CD-RW m CDI m CD Bridge m CD Extended (CD étendu) m CD Mixed Mode (CD en mode mixte) m Photo CD m Video CD m CD non-circulaires m DVD vidéo m DVD-ROM m DVD-R F2088.book Page 99 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM100 Annexe A Caractéristiques USB m Gestion USB 1.1. m Deux ports USB type A externes. m Chaque port se trouve sur un canal USB à 12 Mbps (mégabits par seconde) distinct. m Un maximum de 500 milliampères (mA) à 5 V et disponible par port, pour un total de 1 ampère. Caractéristiques FireWire m Vitesse de transfert : 100, 200 et 400 Mbps Puissance m Plage de tension en entrée : 8 à 33 V m Puissance en entrée : environ 1 watt ( W ) m Plage de tension en sortie : environ 13 à 30 V m Plage de courant en sortie : jusqu’à 15 W Caractéristiques Ethernet m Conforme aux directives IEEE 802.3 m Longueur maximale du câble : 100 mètres (m) m Protocoles : Open Transport, AppleShare, AppleTalk, NetWare pour Macintosh, TCP/IP m Connecteur : RJ-45 pour 10Base-T, 100Base-TX et 1000Base-T m Média, 10Base-T : UTP catégorie 3 ou supérieure sur 2 paires jusqu’à 100 m m Média, 100Base-TX : UTP catégorie 5 sur 2 paires jusqu’à 100 m m Média, 1000Base-T : UTP catégorie 5 et 6 sur 4 paires jusqu’à 100 m m Vitesses de canal : auto-négociation IEEE de 10Base-T, 100Base-TX et 1000Base-T Caractéristiques du modem m Norme de transmission de données : K56Flex et V.90 m Vitesse : 53 Kbps (kilobits par seconde) m Protocole de télécopie : ITU V.17 F2088.book Page 100 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMCaractéristiques 101 Caractéristiques de la carte AirPort optionnelle m Vitesse de transmission des données sans fil : 11 Mbps maximum m Portée : jusqu’à 51 mètres (le débit peut varier en fonction des conditions ambiantes) m Bande de fréquences : 2,4 gigahertz (GHz) m Puissance de sortie radio : 15 dBm (nominal) Compatibilité m Norme 802.11 DSSS (Direct Sequence Spread Spectrum) 1 et 2 Mbps m Norme 802.11 HR DSSS 11 Mbps Caractéristiques de sortie audio m Son stéréo 16 bits avec taux d’échantillonnage de 44,1 kilohertz (kHz). Sortie audio via la mini-prise de haut-parleur Apple m Compatible seulement avec les haut-parleurs Apple Pro. Tout autre type de haut-parleur ne doit pas être utilisé. Sortie audio via la prise de casque d’écoute m Niveau de sortie pleine échelle : 3 V pic à pic avec une charge de 8 kilohms. Bruit, distorsion et bande passante m Rapport signal/bruit en sortie (SNR) inférieur à 80 décibels (dB) non pondéré (en général) m Distorsion : distorsion harmonique totale de 0,08 % m Bande passante : 20 hertz (Hz) à 20 kilohertz (kHz) Contrôleur graphique m Carte AGP avec connecteurs ADC (Apple Display Connector) et VGA Modes d’affichage vidéo Pour consulter les caractéristiques techniques spécifiques à votre moniteur, rendez-vous sur le site Web d’Apple et recherchez le modèle en question : www.apple.com/store F2088.book Page 101 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM102 Annexe A Alimentation Entrée de ligne CA m Courant/tension de ligne : courant alternatif (CA) de 100/120 volts (V) ; 8 ampères (A) ou CA 200/240 V ; 4,5 A ; monophasé, à réglage manuel par commutateur ou réglage automatique en fonction du type d’alimentation. m Fréquence : 50 à 60 hertz (Hz). Sortie de moniteur CC m 4 ampères (A) maximum à 25 V, CC à partir du connecteur ADC (Apple Display Connector). Alimentation des périphériques que vous pouvez connecter Cartes d’extension m La consommation maximale autorisée par la carte AGP est de 20 W. m La consommation maximale totale autorisée des quatre cartes PCI et de la carte AGP est de 80 W. Périphériques USB m Chacun des ports USB intégré dispose de 500 mA. Périphériques FireWire m L’ordinateur peut délivrer 15 W au total aux ports FireWire. Horloge et pile du système m Circuit CMOS à pile longue durée au lithium. Vous pourrez remplacer la pile de l’ordinateur (voir “Remplacement de la pile” à la page 87) par une nouvelle, disponible auprès d’un distributeur Apple agréé. F2088.book Page 102 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM103 A N N E X E B B Environnement de travail, sécurité et entretien Cette annexe contient d’importantes informations concernant les consignes de sécurité, l’entretien et l’aménagement de l’espace de travail en vue de l’utilisation de votre ordinateur et de votre moniteur. Consignes de sécurité importantes Le seul moyen de couper totalement l’alimentation de votre ordinateur consiste à en débrancher le câble d’alimentation de la principale source d’alimentation. Pour déconnecter complètement votre moniteur, vous devez également débrancher le câble d’alimentation branché à l’ordinateur ou à la source d’alimentation. Assurez-vous qu’au moins une extrémité de ce câble est à portée de main afin de pouvoir débrancher l’ordinateur en cas de besoin. Pour votre propre sécurité et celle de votre matériel, respectez toujours les consignes suivantes. Débranchez la prise d’alimentation de votre ordinateur ou de votre moniteur dans les situations suivantes : m Le câble ou la prise d’alimentation sont effilochés ou endommagés. m Vous avez renversé du liquide dans le boîtier. m L’ordinateur ou le moniteur sont exposés à la pluie ou à une humidité excessive. m L’ordinateur ou le moniteur ont subi un choc ou leurs boîtiers ont été endommagés de quelque autre façon. m Vous pensez que l’ordinateur ou le moniteur nécessitent une intervention ou une réparation. m Vous souhaitez nettoyer le boîtier de l’ordinateur ou l’écran du moniteur. F2088.book Page 103 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM104 Annexe B Pour prévenir les accidents et éviter d’endommager votre ordinateur ou votre moniteur, veillez à toujours observer les consignes suivantes : m Maintenez votre ordinateur éloigné de toute source de liquide et d’humidité. m Ne placez aucun objet sur le dessus de l’ordinateur ou du moniteur. m Veillez à ce que les grilles d’aération de l’ordinateur et du moniteur ne soient pas obstruées. m Ne démontez jamais le boîtier branché au moniteur ou n’ouvrez pas votre ordinateur en fonctionnement. Vous risqueriez de recevoir une décharge électrique. m En cas d’orage, déconnectez votre modem de la prise murale afin d’empêcher une surcharge électrique d’endommager le modem. Votre Macintosh est équipé d’une prise de terre à trois fils. Il s’agit d’une fiche supplémentaire de mise à la terre. Il s’agit d’une mesure de sécurité. Ne modifiez pas la fiche pour pouvoir l’insérer dans une prise non reliée à la terre. Faites appel à un électricien agréé pour installer une prise correctement reliée à la terre. Ne dérogez en aucun cas à cette consigne. Procédez avec soin lorsque vous soulevez ou déplacez l’ordinateur ou le moniteur. Pour soulever l’appareil, veillez à suivre la procédure recommandée qui consiste à fléchir les jambes. Lorsque vous déplacez le moniteur, veillez à orienter l’écran vers vous. Ne portez pas le moniteur en le tenant par son support. Le matériel électrique peut être dangereux en cas d’utilisation inadéquate. L’utilisation de ce produit par un enfant doit toujours être supervisée par un adulte. Ne laissez les enfants accéder aux composants internes d’aucun appareil électrique et ne les autorisez pas à manier des câbles électriques. F2088.book Page 104 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM Environnement de travail, sécurité et entretien 105 Entretien général Pour nettoyer votre ordinateur ou le moniteur de manière plus complète, procédez comme suit : 1 Éteignez l’ordinateur et le moniteur. 2 Déconnectez le câble d’alimentation de l’ordinateur au niveau de la prise ou multiprise électrique. Si votre moniteur est branché à une prise, débranchez-le également. 3 Débranchez les câbles du moniteur au niveau de l’ordinateur. 4 Nettoyez l’écran du moniteur à l’aide d’un papier ou tissu doux, non pelucheux et imbibé d’eau savonneuse. 5 Nettoyez délicatement le boîtier de l’ordinateur ou du moniteur à l’aide d’un chiffon propre, doux et humide. N’utilisez pas d’alcool, d’aérosols ni de produits solvants ou abrasifs susceptibles d’endommager la finition du boîtier. Protection de votre lecteur optique Pour préserver le bon fonctionnement de votre lecteur optique : m Placez votre ordinateur de sorte que le plateau du lecteur ne heurte aucun obstacle lors de son ouverture. m Laissez le lecteur fermé lorsque vous ne l’utilisez pas. m Ne placez aucun objet sur le plateau du lecteur lorsqu’il est ouvert. m Ne touchez pas la lentille avec les doigts. N’essuyez pas la lentille du lecteur avec un mouchoir en papier ni aucune autre matière abrasive. Si vous devez la nettoyer, procurezvous les produits adéquats auprès d’un centre de maintenance agréé Apple. m Maintenez votre ordinateur éloigné de toute source d’humidité. Attention Ne vaporisez pas de liquide directement sur l’écran du moniteur. Du liquide pourrait s’y infiltrer et provoquer une décharge électrique. F2088.book Page 105 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM106 Annexe B Entretien de votre moniteur Pour entretenir votre moniteur et en garantir la longévité : m Ne touchez pas la surface de l’écran. m N’écrivez pas sur l’écran et ne le touchez pas avec un objet tranchant. m Si vous comptez laisser le moniteur et l’ordinateur inactifs pendant au moins une journée, éteignez-les ou utilisez le tableau de bord Économies d’énergie. m Éteignez votre moniteur, diminuez-en la luminosité ou recourez à un économiseur d’écran permettant d’obscurcir ou de varier l’image à l’écran si l’ordinateur demeure inactif pendant une durée prolongée. Consignes importantes concernant l’organisation de l’espace de travail et la santé Observez les consignes ci-dessous pour adapter votre environnement de travail à votre morphologie et prévenir la fatigue oculaire. m Optez pour un siège de bureau réglable et offrant un dossier et une assise confortables. Réglez la hauteur du siège de manière à ce que vos cuisses reposent à l’horizontale et que vos pieds soient posés à plat sur le sol. Le dossier doit être orienté de façon à offrir un appui à la région lombaire. Suivez les instructions du fabricant pour effectuer correctement ce réglage. m Lorsque vous tapez au clavier, vos épaules doivent être détendues. Le bras et l’avant-bras doivent former un angle droit, la main étant placée dans le prolongement du poignet. Au besoin, relevez le siège de manière à ce que vos avant-bras et vos mains soient placés correctement par rapport au clavier. Si, dans ce cas, vos pieds ne reposent plus à plat sur le sol, utilisez un repose-pied. Si vous disposez d’un bureau modulaire, vous pouvez abaisser le niveau du plan de travail pour éviter l’emploi d’un repose-pied. Une troisième solution consiste à utiliser un bureau avec un poste de saisie moins élevé que le plan de travail. m Veillez à ce que la souris se trouve à hauteur du clavier. Ménagez également un espace suffisant pour pouvoir la manipuler avec aisance. m Placez le moniteur de sorte que le haut de l’écran se trouve légèrement au-dessous de vos yeux. Il vous appartient de juger de la distance à ménager entre vos yeux et l’écran. Elle se situe en général entre 45 et 70 cm. F2088.book Page 106 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM Environnement de travail, sécurité et entretien 107 m Orientez le moniteur de manière à diminuer le plus possible les reflets de l’éclairage et de la lumière du jour. Si possible, posez le moniteur sur un support inclinable. Vous pouvez ainsi placer le moniteur à votre guise et réduire, voire éliminer, tout reflet provenant de sources lumineuses que vous ne pouvez déplacer. Pour obtenir davantage d’informations concernant la santé, la sécurité et l’entretien, consultez le site Web d’Apple (en anglais) : www.apple.com/about/ergonomics Cuisses légèrement inclinées Épaules détendues Écran orienté de manière à réduire les reflets Mains dans le prolongement des avant-bras Avant-bras à l’horizontale ou légèrement relevés Dossier soutenant la région lombaire Pieds à plat sur le sol Haut de l’écran au niveau des yeux ou légèrement en-dessous (vous devrez peut-être ajuster la hauteur du moniteur en surélevant votre plan de travail ou le moniteur lui-même) Dégagement sous le plan de travail 45–70 cm F2088.book Page 107 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PMF2088.book Page 108 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM109 Réglementation relative aux télécommunications, téléphone et modem Pour obtenir des informations sur la réglementation FCC, les interférences de radio et télévision, ainsi que sur le téléphone et le modem relatives à ce produit, consultez les fichiers du dossier “Communications régulations”, situés dans le dossier Documents de votre disque dur. Laser Attention Il peut être dangereux de procéder à des réglages ou d’effectuer des opérations dont il n’est pas fait mention dans le présent manuel. Ne tentez pas de démonter le compartiment contenant le laser. Le faisceau laser de cet appareil est dangereux pour les yeux. L’utilisation d’instruments d’optique tels que des lentilles grossissantes peut aggraver la nocivité du faisceau. Pour votre propre sécurité, faites entretenir cet appareil dans un centre de maintenance agréé Apple. Si votre ordinateur est muni d’un lecteur Apple de CD-ROM, de DVD-ROM ou de DVD-RAM, il appartient aux produits laser de Classe 1. L’étiquette Classe 1, apposée sur le lecteur, indique qu’il est conforme aux normes de sécurité minimales. Une étiquette de mise en garde contre le rayonnement laser est située à un endroit accessible en atelier. Les étiquettes figurant sur votre produit peuvent différer légèrement des illustrations ci-dessous. Caractéristiques du laser Laser du capteur (en lecture de CD) m Type : laser GaAlAs à semi-conducteur m Longueur d’onde : 790 nm m Puissance à la sortie de la lentille : 3,3 mW m Divergence du faisceau : horizontale 12º, verticale 35º Exposition aux fréquences radio L’énergie émise par la carte AirPort est inférieure aux seuils d’exposition aux fréquences radio définis par la réglementation FCC. Toutefois, il est recommandé d’utiliser l’équipement sans fil. Informations sur la souris et le clavier La souris optique d’Apple est un appareil à diode électroluminescente de catégorie 1. Ce produit est conforme aux normes européennes 72/23/EEC et 89/336/EEC, ainsi qu’aux normes canadiennes ICES-003 de catégorie B. Activités à risque élevé Cet ordinateur n’est pas conçu pour être utilisé dans des installations nucléaires, pour la navigation ou la communication aérienne, pour le contrôle du trafic aérien, ni aucune autre situation où une panne pourrait entraîner la mort, des blessures ou de graves dommages écologiques. Conformité avec ENERGY STAR® En tant que partenaire ENERGY STAR®, Apple s’est assuré que les configurations standard de ce produit, utilisé avec les systèmes d’exploitation Mac OS 9 et Mac OS X, sont conformes aux normes de consommation d’énergie fixées par ENERGY STAR®. Le programme ENERGY STAR® de l’agence américaine pour la protection de l’environnement constitue un partenariat avec les fabricants de matériel dans le but de promouvoir une consommation efficace de l’énergie. La réduction de la consommation d’énergie des appareils de bureau permet de réaliser des économies et contribue à réduire la pollution en éliminant le gaspillage d’énergie. Étiquette Classe 1 Étiquette de mise en garde F2088.book Page 109 Wednesday, December 19, 2001 2:31 PM Logic Express 8 Premiers contacts Apple Inc. © 2007 Apple Inc. Tous droits réservés. En vertu des lois sur le copyright, il est interdit de copier le présent manuel en tout ou partie sans l’autorisation écrite d’Apple. Vos droits sur le logiciel sont régis par le contrat de licence du logiciel annexé. Le logo Apple est une marque d’Apple Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. L’utilisation du logo Apple « clavier » (Option + 1) à des fins commerciales sans l’autorisation écrite préalable d’Apple peut constituer une contrefaçon de marque et une concurrence déloyale en violation des lois fédérales et nationales. Tous les efforts ont été faits pour garantir la précision des informations de ce manuel. Apple Inc. ne saurait être tenu pour responsable des coquilles, ni des erreurs d’écriture. Remarque : Apple mettant fréquemment à disposition de nouvelles versions et des mises à jour de son logiciel système, de ses applications et de ses sites Internet, les illustrations présentes dans ce manuel peuvent présenter de légères différences avec ce qui apparaît sur votre écran. Apple Inc. 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014-2084 408-996-1010 www.apple.com Apple, AppleCare, FireWire, iMovie, iPod, iTunes, Logic, Mac, Mac OS, Macintosh et QuickTime sont des marques d’Apple Inc., déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Finder et Spotlight sont des marques d’Apple Inc. Les autres noms d’entreprises et de produits mentionnés dans ce document sont des marques de leurs propriétaires respectifs. La mention de produits tiers est à titre purement informatif et ne constitue ni une approbation, ni une recommandation. Apple n’assume aucune responsabilité concernant les performances ou l’utilisation de ces produits. 3 1 Table des matières Préface 5 Bienvenue dans Logic 6 Conventions utilisées dans ce manuel Chapitre 1 7 Démarrage de votre projet et importation de fichiers multimédias 9 Brève remarque à propos des modèles 9 Présentation de la fenêtre Arrangement 11 Création de pistes 14 Ajout de fichiers multimédias 19 Navigation au sein de votre projet 23 Annulation d’opérations 24 Sélection de pistes et de régions Chapitre 2 27 Enregistrement 27 Préparation à l’enregistrement audio 30 Enregistrement de régions audio 32 Enregistrement d’une partie d’instrument Chapitre 3 35 Création de votre arrangement 36 Choix des outils 38 Désactivation du son et activation de la lecture Solo sur les pistes et les régions 41 Édition de régions 46 Utilisation de l’Inspecteur Chapitre 4 49 Modification d’événements MIDI 50 Familiarisation avec les éditeurs MIDI 52 Édition et création d’événements Chapitre 5 55 Utilisation d’instruments et d’effets 59 Utilisation de la Bibliothèque 60 Modification des instruments et des effets Chapitre 6 63 Utilisation des fichiers audio 63 Édition de fichiers audio 65 Gestion de vos fichiers audio4 Table des matières Chapitre 7 67 Mixage et exportation de votre projet 69 Utilisation des commandes de la bande de canaux 70 Modification du routage des bandes de canaux 71 Automatisation de votre mixage 75 Exportation de votre projet Chapitre 8 77 Accélération de votre flux de production 77 Utilisation des raccourcis clavier 78 Utilisation des screensets 79 Utilisation des surfaces de contrôle Annexe A 81 Notions élémentaires relatives aux données audio et MIDI 81 MIDI 83 Audio Annexe B 87 Données audio et MIDI sous Mac OS X 87 Core Audio 88 Core MIDI Annexe C 89 Optimisation du système audio de votre ordinateur 91 Dépannage Glossaire 97 Index 117 5 Préface Bienvenue dans Logic Le but de ce guide est de vous permettre d’utiliser Logic le plus rapidement possible. Il n’aborde pas tous les aspects du programme. Vous y trouverez des descriptions des aspects les plus importants de l’interface, des commandes et des menus de Logic, autrement dit la « pointe de l’iceberg ». Dans la plupart des cas, seule une méthode est pré- sentée. Au fur et à mesure que vous vous familiariserez avec Logic, vous découvrirez qu’il existe plusieurs manières d’obtenir un même résultat final. Les descriptions sont présentées selon « ce que vous voyez » et sont généralement associées à des instructions « étape par étape » pour vous permettre de réaliser des tâches spécifiques. Suivez ces instructions pour apprendre rapidement à gérer des informations MIDI et audio au moyen d’une série d’exemples. Un certain nombre de nouveaux termes et concepts vous seront, bien entendu, présentés. Première règle : ne paniquez pas ! Suivez attentivement les étapes, observez bien les captures d’écran (et Logic lui-même) et prenez votre temps lorsque vous tentez des opérations. Deuxième règle : vous ne risquez pas de casser quoi que ce soit, alors n’hésitez pas à vous lancer. Faites cependant attention aux remarques et avertissements exposés dans le guide. En général, les méthodes fonctionnant dans une fenêtre fonctionnent de la même manière (ou presque) dans toute l’application. Une fois que vous maîtriserez les bases exposées dans ce guide, il vous semblera tout aussi simple de maîtriser les fonctions plus « avancées ». Pour en savoir plus à propos des fichiers audio numériques et des éléments d’un projet musical, lisez l’Annexe A, « Notions élémentaires relatives aux données audio et MIDI ». L’Annexe B fournit des informations à propos des fichiers audio et MIDI sous Mac OS X. L’Annexe C vous aidera à optimiser votre ordinateur pour la production musicale. Vous trouverez de plus amples informations dans les autres manuels consacrés à Logic. Certains guides existent en version imprimée, mais vous trouverez la collection complète sous forme électronique dans le dossier Documentation du DVD d’installation de Logic. Les guides électroniques les plus importants sont également accessibles à partir du menu Aide de Logic.6 Préface Bienvenue dans Logic Conventions utilisées dans ce manuel Les conventions suivantes sont utilisées dans ce manuel : Fonctions des menus Les différents niveaux des menus hiérarchiques permettant d’accéder aux fonctions sont présentés comme suit : Menu > Entrée du menu > Fonction. Entrées importantes Le texte suivant apparaît : Important : informations sur la fonction ou le paramètre. Ces entrées traitent d’un concept-clé ou fournissent des informations techniques à suivre ou à prendre en compte. Vous devez y être particulièrement attentif. Remarques Certaines rubriques offrent des informations ou des astuces complémentaires vous facilitant l’utilisation de Logic. Elles s’affichent de la manière suivante : Remarque : Informations sur la fonction ou le paramètre. Raccourcis clavier Un grand nombre de fonctions Logic sont accessibles à partir de raccourcis sur le clavier de votre ordinateur . Les raccourcis clavier mentionnés dans ce guide reposent sur le jeu de touches du clavier standard anglais. Astuces Un certain nombre de raccourcis, de méthodes alternatives et d’astuces générales figurent tout au long de la documentation. Ces indications sont susceptibles d’améliorer votre flux de production ou de vous fournir des informations complémentaires sur d’autres utilisations possibles des fonctions. Les astuces se présentent de la manière suivante : ∏ Astuce : informations sur la fonction ou le paramètre. Avertissements Des messages d’avertissement sont inclus pour certaines fonctions destructrices pouvant provoquer des pertes de données irrécupérables ou endommager votre matériel. Les avertissements sont affichés de la manière suivante : Soyez particulièrement attentif à ces entrées car elles peuvent vous épargner de graves erreurs. Avertissement : informations sur la fonction ou le paramètre.1 7 1 Démarrage de votre projet et importation de fichiers multimédias Le type de fichier (ou document) Logic de base est le projet. Un projet peut contenir des enregistrements audio, des performances MIDI ainsi que vos préférences personnelles de travail. Avant de pouvoir travailler dans Logic, vous devez ouvrir un projet. Pour lancer Logic, ouvrez et enregistrez un nouveau projet : 1 Double-cliquez sur l’icône Logic dans le dossier Applications. La zone de dialogue Modèles apparaît. 2 Choisissez l’élément Projet vide dans la zone de dialogue Modèles. S’il n’apparaît pas, cliquez sur l’icône du dossier Explorer dans la colonne Collection. 8 Chapitre 1 Démarrage de votre projet et importation de fichiers multimédias Le projet vide s’ouvre et la zone de dialogue Nouvelles pistes apparaît. 3 Veillez à ce que le bouton Audio soit en surbrillance. Si ce n’est pas le cas, cliquez dessus. 4 Pour le moment, contentez-vous de cliquer sur le bouton Créer, situé dans le coin inférieur droit de la zone de dialogue Nouvelles pistes. La fenêtre principale de Logic intitulée « Arrangement » apparaît et affiche une piste audio. 5 Choisissez Fichier > Enregistrer sous, pour ouvrir la zone de dialogue Enregistrer sous. 6 Saisissez un nouveau nom tel que « test ». Choisissez le chemin d’accès aux dossiers souhaité ou créez-en un. 7 Veillez à ce que les cases « Inclure les ressources » et « Copier des fichiers audio externes dans un dossier de projet » soient cochées. Cliquez sur le triangle d’affichage pour afficher les options avancées, si celles-ci ne sont pas visibles. Remarque : les ressources du projet peuvent inclure des fichiers audio, des fichiers vidéo, des fichiers d’instruments EXS, etc. Ces fichiers peuvent être enregistrés dans le dossier du projet, en fonction de vos choix dans les options avancées. Cela simplifie l’archivage et facilite le transfert de projets entiers dans d’autres studios (ou sur d’autres ordinateurs) utilisant Logic. 8 Cliquez sur le bouton Enregistrer situé dans le coin inférieur droit.Chapitre 1 Démarrage de votre projet et importation de fichiers multimédias 9 Brève remarque à propos des modèles La première fois que vous ouvrez Logic, le programme recherche un fichier de projet. Si aucun fichier approprié n’est trouvé, la zone de dialogue s’ouvre automatiquement. Vous pouvez également l’ouvrir à tout moment en choisissant Fichier > Nouveau. La zone de dialogue Modèles contient de nombreux projets prêts à être utilisés, qui ont été personnalisés pour des tâches particulières : créer une partition imprimée, travailler sur un film, créer une bande son hip-hop, etc. Nous vous conseillons d’examiner chacun d’entre eux après avoir lu ce guide. Vous pouvez les utiliser comme point de départ pour créer vos propres projets. Vous pouvez également personnaliser les modèles ou en créer de nouveaux. Une fois que vous serez familiarisé avec Logic, vous découvrirez la manière de travailler qui vous convient et vous apprendrez à régler et à personnaliser Logic pour adapter son fonctionnement à vos préférences. Pour le moment, limitez la personnalisation au minimum. Présentation de la fenêtre Arrangement Après le chargement, l’enregistrement de votre nouveau projet et la création d’une piste audio, le texte suivant s’affichera à l’écran : Cliquez sur ce bouton pour afficher la fenê- tre Inspecteur. Fenêtre Arrangement Barre de transport Règle Mesure Cliquez sur ce bouton pour masquer la barre d’outils. Cliquez sur ces boutons pour afficher la zone Listes ou la zone Média. Inspecteur Barre d’outils Cliquez sur ces boutons pour afficher l’un des éditeurs. Barre de menus locale Bandes de canaux de la fenêtre Arrangement Zone Arrangement Liste des pistes Commande de zoom vertical Commande de zoom horizontal Tête de lecture Menu Outils10 Chapitre 1 Démarrage de votre projet et importation de fichiers multimédias  Fenêtre Arrangement : il s’agit de la fenêtre principale de Logic. Elle peut inclure toutes les zones de travail et les éditeurs.  Menu principal (n’apparaît pas sur la capture d’écran) : utilisé pour réaliser des opérations d’édition et de fichiers générales, ainsi que pour accéder aux options de programme telles que les fonctions screenset (voir « Utilisation des screensets » à la page 78). Le menu Fenêtre permet d’ouvrir plusieurs éditeurs et d’autres fenêtres.  Barre d’outils : les boutons de la barre d’outils permettent d’accéder à plusieurs des fonctions majeures. Les boutons Média et les boutons Listes ouvrent et ferment les zones Média et les zones Listes (affichées sous les boutons lorsqu’elles sont ouvertes).  Barre de menus locale : permet d’accéder à des fonctions propres à la fenêtre.  Menu Outil : permet d’accéder aux outils et de réaliser des tâches de sélection et d’édition.  Règle Mesure : affiche, horizontalement et de gauche à droite, l’axe temporel de Logic. Elle sert également à la navigation, à la lecture et à l’enregistrement.  Liste des pistes : c’est ici que vous sélectionnez, créez, déplacez et supprimez des pistes.  Zone Arrangement : c’est la zone de travail des arrangements. Elle peut contenir autant de séquences MIDI ou audio que vous le souhaitez, alignées sur des lignes de pistes horizontales (affichées dans la liste des pistes).  Tête de lecture : la tête de lecture indique la position actuelle du projet et se déplace de gauche à droite lorsque le projet est en cours de lecture. La tête de lecture sert aussi de cible pour les opérations de collage.  Inspecteur : l’Inspecteur permet d’ajuster divers aspects concernant la lecture de piste ou de région. Des bandes de canaux (pour la piste sélectionnée et son canal de destination) sont affichées en bas de l’Inspecteur.  Boutons d’édition : les boutons Table de mixage, Éditeur d’échantillons, Clavier, Partition et Hyper Editor ouvrent ou ferment la fenêtre d’éditeur correspondante au dessus de la barre de transport ; la Zone Arrangement est alors redimensionnée pour accueillir l’éditeur.  Barre de transport : sert à contrôler les opérations de lecture et d’enregistrement.  Commandes de zoom : faites glisser les curseurs de la commande de zoom pour modifier le facteur de grossissement horizontal et vertical du contenu de la fenêtre. Chapitre 1 Démarrage de votre projet et importation de fichiers multimédias 11 Création de pistes Logic fonctionne à partir de pistes, de façon assez similaire à un magnétophone multipiste. Vous pouvez visualiser et accéder à ces pistes dans la liste des pistes de la fenêtre Arrangement. Si vous avez suivi les étapes décrites ci-dessus lors de l’ouverture de Logic, le projet contient une seule piste audio, appelée Audio 1. Il existe deux autres types de pistes pouvant être utilisées pour créer des arrangements : les pistes d’instruments et les pistes MIDI externes. Pour créer quelques pistes : 1 Cliquez sur le bouton +, situé directement au-dessus de la liste des pistes. 2 Dans la zone de dialogue Nouvelles pistes, cliquez sur le bouton Audio, s’il n’est pas déjà activé. 3 Mettez en surbrillance le numéro « 1 » dans le champ numérique situé en haut de la zone de dialogue, puis saisissez « 3 ». Examinez les options Format, Entrée, etc., disponibles lorsque la zone de dialogue est ouverte. 4 Cliquez sur le bouton Créer. La zone de dialogue se ferme, puis trois nouvelles pistes audio (« Audio 2 », « Audio 3 » et « Audio 4 ») sont créées dans la liste des pistes d’arrangement. 5 Suivez à nouveau les étapes ci-dessus, mais cliquez sur le bouton Instrument logiciel, puis saisissez « 4 » dans le champ numérique de la zone de dialogue Nouvelles pistes, afin de créer quatre pistes d’instruments logiciels (« Inst 1 », « Inst 2 », etc.). Important : il est maintenant temps d’enregistrer votre projet. Si vous avez suivi les étapes indiquées lors de l’ouverture initiale de Logic et que vous avez déjà « enregistré sous », vous pouvez choisir Fichier > Enregistrer (ou utiliser le raccourci clavier par défaut de la commande Enregistrer : Commande + S). Vous pouvez également suivre les étapes décrites ci-dessus pour créer des pistes MIDI externes qui sont utilisées pour l’enregistrement et la lecture de synthétiseurs MIDI externes. Le manuel de l’utilisateur de Logic traite de l’utilisation de pistes et de matériel MIDI.12 Chapitre 1 Démarrage de votre projet et importation de fichiers multimédias Vous devriez visualiser l’écran suivant : La dernière des pistes créées (Inst 4) est en surbrillance dans la liste des pistes et la fenêtre Bibliothèque est affichée à droite de la fenêtre Arrangement. Vous pouvez utiliser la Bibliothèque pour insérer un instrument (et des effets) dans une bande de canaux : 1 Cliquez sur l’une des catégories figurant dans la Bibliothèque : 01 Pianos, 02 Pianos électriques, 03 Clavinets, etc. 2 Cliquez, le cas échéant, sur l’une des sous-catégories figurant dans la deuxième colonne de la Bibliothèque. Une troisième colonne s’affiche. 3 Cliquez sur l’une des entrées (ou réglages) figurant dans la deuxième ou la troisième colonne. Après le chargement de chaque réglage, jouez sur votre clavier. BibliothèqueChapitre 1 Démarrage de votre projet et importation de fichiers multimédias 13 La bande de canaux Arrangement gauche est mise à jour automatiquement, en général, par l’activation d’au moins deux logements d’insertion et du logement d’instrument. On parle de réglages de bandes de canaux et non de réglages d’instruments individuels. Un module d’instruments est chargé, ainsi que tous les modules d’effets utilisés par la bande de canaux. Mieux encore, le réglage de chaque module (instruments et effets) est automatiquement chargé. Vous allez bientôt effectuer un enregistrement avec cet instrument, mais votre projet a besoin d’une base. Réglages des bandes de canaux Logement d’instrument Logement d’insertion14 Chapitre 1 Démarrage de votre projet et importation de fichiers multimédias Ajout de fichiers multimédias Lorsque vous enregistrez ou que vous ajoutez des fichiers MIDI ou audio (c’est-à-dire des données) à la fenêtre Arrangement, des rectangles étroits appelés « régions », alignés horizontalement le long des lignes de pistes, s’affichent. Une région audio représente un fichier audio sous-jacent (ou une partie du fichier). Il peut s’agir d’un enregistrement existant ou d’un nouvel enregistrement. Une région MIDI représente un enregistrement individuel, autrement dit une prise de données MIDI. Ici également, il peut s’agir d’un enregistrement existant ou d’un nouvel enregistrement.  Vous ne pouvez enregistrer, importer et lire des régions MIDI que sur des pistes d’instruments logiciels ou des pistes MIDI externes. En effet, les régions MIDI contiennent des événements MIDI.  Vous ne pouvez enregistrer, importer et lire des régions audio que sur des pistes audio. Les régions audio ne sont que des repères d’emplacement ou des pointeurs faisant référence à des fichiers audio sous-jacents. Région audio Région MIDIChapitre 1 Démarrage de votre projet et importation de fichiers multimédias 15 Ajout d’une région audio en important une boucle Apple Loop dans une piste audio : 1 Cliquez sur l’onglet Boucles, dans la zone Média située à droite de la fenêtre Arrangement. Le Navigateur de boucles remplace la Bibliothèque. 2 Cliquez sur le bouton Présentation par colonnes situé dans la partie supérieure droite du Navigateur de boucles. 3 Cliquez sur Tout dans la colonne de gauche située en haut du Navigateur de boucles. Une liste de sous-catégories apparaît dans la colonne du centre. 4 Cliquez sur « Toutes les batteries » dans la colonne du centre, puis sur « Toutes les batteries » dans la colonne de droite, lorsqu’elle s’affiche. Une liste de boucles Apple Loop s’affiche en bas du Navigateur de boucles. 5 Cliquez sur l’un des noms de boucle dans la liste (icône bleue, de préférence avec « 16 » dans la colonne Temps) et la lecture commence immédiatement. Cliquez à nouveau sur le nom pour arrêter la lecture. Bouton Présentation par colonnes16 Chapitre 1 Démarrage de votre projet et importation de fichiers multimédias 6 Une fois que vous avez trouvé une boucle que vous souhaitez utiliser, prenez-la et faites-la glisser au tout début de la mesure 1 (sur la règle Mesure) de la piste « Audio 1 » dans la zone Arrangement. 7 Relâchez le bouton de la souris. Vous venez d’importer votre première région audio dans Logic. Pour ajouter d’autres types de fichiers audio avec le navigateur : 1 Cliquez sur l’onglet Navigateur en haut de la zone Média. Le Navigateur remplace le Navigateur de boucles. 2 Localisez le fichier souhaité dans le Navigateur. La navigation dans le navigateur est très similaire à l’utilisation du Finder de Mac OS X. La méthode de navigation est la même pour tous les types de fichiers. Les boutons Signet, le menu Chemin et les boutons Précédent et Suivant facilitent la navigation. Les fonctions de recherche permettent de trouver facilement n’importe quel fichier. Ils fonctionnent dans l’ensemble comme dans Spotlight. Boutons Précédent et Suivant Bouton Lecture Champ Recherche Filtres de recherche Liste de fichiers Menu Chemin Boutons Signet Boutons de présentationChapitre 1 Démarrage de votre projet et importation de fichiers multimédias 17 3 Après avoir trouvé le fichier souhaité, vous pouvez le faire glisser directement n’importe où dans la zone Arrangement. Le navigateur propose deux modes de présentation : la présentation par liste ou la présentation de navigateur.  La présentation par liste affiche les dossiers et leur contenu sous forme de liste. Pour accéder au contenu d’un dossier, double-cliquez sur ce dernier.  La présentation de navigateur expose le contenu d’un dossier dans des cadres supplémentaires, à droite du dossier sélectionné. Il vous suffit de cliquer sur un dossier pour accéder à son contenu. Pour passer de la présentation par liste à la présentation de navigateur : m Cliquez sur le bouton Navigateur pour accéder à la présentation de navigateur et sur le bouton Liste pour accéder à la présentation par liste. Présentation par liste Présentation de navigateur Bouton Liste Bouton Navigateur18 Chapitre 1 Démarrage de votre projet et importation de fichiers multimédias Pour ajouter une région MIDI en important une boucle Apple Loop d’instruments logiciels dans une piste d’instruments : 1 Cliquez sur l’onglet Boucles dans la zone Média et sur Basse au centre de la colonne (si elle n’apparaît pas, cliquez sur « Toutes les entrées » dans la colonne de gauche). 2 Choisissez Basse dans la colonne de droite. Une liste de boucles Apple Loop s’affiche en bas de l’onglet Boucles. 3 Cliquez sur l’un des noms de boucle possédant une icône verte (dans l’idéal, lorsque 16 figure dans la colonne des temps). La lecture commence automatiquement. 4 Après avoir trouvé une boucle vous convenant, faites-la glisser sur la mesure 1 de la première piste « Inst. 1». Félicitations ! Vous venez d’importer une région MIDI dans une piste. On peut considérer la région MIDI comme un conteneur d’informations. Ces informations comprennent, soit individuellement, soit combinés, des événements de notes, des contrô- leurs, des modifications de programme ou même des SysEx pour vos générateurs de tonalités MIDI. Tous les types d’événements MIDI sont traités dans le manuel de l’utilisateur de Logic. Important : la fenêtre Arrangement ne concerne que les régions, elle ne vous permet pas d’éditer les événements MIDI ou les informations audio des régions. Si vous devez modifier de manière précises le contenu de la région, vous pouvez le faire dans les fenê- tres d’édition. Voir « Modification d’événements MIDI » à la page 49 et « Édition de fichiers audio » à la page 63. Ces procédures, ainsi que la méthode de création de pistes que nous avons abordée précédemment, peuvent être effectuées plusieurs fois. Elles vous permettent d’élaborer de très grands arrangements comprenant des centaines de pistes et des milliers de régions. Vous pouvez, à votre guise, faire glisser et déposer des régions dans n’importe quel emplacement de votre projet. Souvenez-vous néanmoins que les régions audio ne peuvent être lues que sur des pistes audio. Les régions MIDI ne peuvent être lues que sur des pistes d’instruments logiciels ou sur des pistes Midi externes. Types de boucles Apple Loop Comme vous l’avez constaté, il existe deux types de boucles Apple Loop.  Les fichiers audio Apple Loop (icône bleue) contiennent des données audio ainsi que des informations d’identification : date et heure, catégorie, ambiance, tonalité et tempo, etc. Ils contiennent également des marqueurs de transition qui les scindent en petites unités de temps. L’avantage des fichiers audio Apple Loop est leur capacité à faire coïncider automatiquement le tempo et la tonalité d’un projet Logic. Ces types de fichiers ne peuvent être ajoutés qu’aux pistes audio.Chapitre 1 Démarrage de votre projet et importation de fichiers multimédias 19  Les fichiers d’instruments logiciels Apple Loop (fichiers ILAL, icônes vertes) contiennent également des informations de note MIDI qui déclenchent une phrase ou un riff musical. Lorsque ce type de boucles Apple Loop est ajouté à une piste audio, le motif est joué tel quel (en d’autres termes, les boucles se comportent exactement comme les fichiers audio Apple Loop bleus). En revanche, lorsqu’elles sont ajoutées à une piste instrumentale, les informations de note MIDI peuvent être modifiées comme n’importe quelle région MIDI. Les fichiers Apple Loop d’instruments logiciels contiennent également des informations sur les réglages d’instruments et d’effets. Lorsque ce type de boucles est ajouté à une piste d’instruments vierge (une piste contenant une bande de canaux vide), un instrument logiciel est inséré automatiquement dans le logement d’instrument. Création automatique de pistes à partir des fenêtres de la zone Média Le navigateur de boucles et le navigateur disposent d’une astuce qui permet d’accélérer votre flux de production. Pour créer une piste et importer une boucle en une seule étape : m Faites directement glisser une boucle Apple Loop (de type quelconque) provenant du navigateur de boucles et déposez-la dans :  Une fenêtre Arrangement vide (de toute évidence inapplicable à ce stade).  L’espace vierge situé sous des pistes existantes. Une piste audio ou d’instrument est créé et la région Apple Loop apparaît dans la zone Arrangement, à l’emplacement du dépôt. Pour créer une piste et importer un fichier audio en une seule étape, utilisez l’une des méthodes ci-dessous : m Double-cliquez sur le nom d’un fichier audio dans le Navigateur. m Faites glisser un fichier audio du Finder et déposez-le dans la fenêtre Arrangement. Une piste audio est créée en bas de la liste des pistes. Une région audio est créée à l’emplacement de la tête de lecture sur la nouvelle piste. Navigation au sein de votre projet La navigation et la lecture de projets Logic peut s’effectuer de différentes manières : grâce à la barre de transport, dans la règle Mesures, ou en utilisant des marqueurs et des locators. Cette rubrique dresse un aperçu des techniques de base qui vous aideront à vous déplacer dans vos projets. Le manuel de l’utilisateur de Logic comprend des rubriques plus poussées et détaillées sur la navigation.20 Chapitre 1 Démarrage de votre projet et importation de fichiers multimédias Utilisation de la barre de transport La barre de transport occupe toute la partie inférieure de la fenêtre Arrangement. Vous pouvez l’utiliser pour vous déplacer dans votre projet et démarrer/arrêter les enregistrements à l’aide des boutons Lecture, Retour, Pause, Enregistrer, etc. La barre de transport intègre également diverses fonctions simplifiant les tâches que vous allez exécuter dans Logic, telles que l’enregistrement sur une rubrique de votre projet qui se répète constamment ou l’écoute d’un morceau isolé. La barre de transport est constituée des zones suivantes :  Boutons de transport : utilisés pour naviguer dans le projet.  Zone d’affichage : fournit des informations facilitant la navigation au sein du projet.  Boutons de mode : permettent d’activer des fonctions d’enregistrement et de lecture avancées. Remarque : le curseur de volume master, qui règle la sortie du volume master du projet, est visible à l’extrémité droite du menu Transport, si l’espace horizontal de l’écran est suffisant. Démarrage et arrêt de la lecture : 1 Il suffit de cliquer sur le bouton Lecture dans le menu Transport (ou d’utiliser la commande clavier de Lecture par défaut : Entrée, sur le pavé numérique du clavier de votre ordinateur) pour lire le projet. 2 Appuyez sur le bouton Arrêt dans le menu Transport afin d’arrêter le projet (ou utilisez la commande clavier Arrêt par défaut : « 0 » sur le pavé numérique). 3 Pour retourner au début du projet, cliquez à nouveau sur le bouton Arrêt (ou sur 4 la touche « 0 »). Remarque : vous pouvez également utiliser la barre d’espace pour passer de Démarrer à Arrêter et vice versa. Boutons de transport Zone d’affichage Boutons de mode Arrêter LectureChapitre 1 Démarrage de votre projet et importation de fichiers multimédias 21 Utilisation de la barre de transport La règle Mesure affiche la chronologie du projet de gauche à droite. Elle est subdivisée en mesures et en temps, indiqués par des lignes verticales et des chiffres. Vous pouvez aussi visualiser les valeurs temporelles en cliquant sur l’icône de note à droite de la règle Mesure, puis en choisissant une option adéquate dans le menu local. La règle Mesure et le menu Transport sont intimement liés et disposent de plusieurs fonctions accessibles dans les deux sections. Ces fonctions comprennent les touches de lecture et d’arrêt, l’activation du mode Cycle et le réglage de la longueur du cycle. La règle Mesure change de couleur lorsque les boutons Enregistrement, Solo ou Synchro de la barre de transport sont activés, pour donner une information visuelle et claire en fonction du mode activé. Gardez un oeil sur les différents champs de la barre de transport lorsque vous essayez les différentes techniques de la règle Mesure. Si vous cliquez sur les valeurs numériques correspondantes et que vous les faites glisser verticalement dans la barre Transport, la règle Mesure reflète votre changement. Réglage de la position de la tête de lecture et contrôle de la lecture La tête de lecture indique la position actuelle du projet. Vous pouvez interagir directement avec la tête de lecture en la faisant glisser dans la zone Arrangement ou dans la règle Mesure. Cette dernière option est la plus sure, car il est peu probable que vous modifiiez accidentellement des régions. Déplacement de la tête de lecture vers n’importe quelle position : m Cliquez sur l’une des positions dans la moitié inférieure de la règle Mesure. La tête de lecture se déplace instantanément pour se placer à la position cliquée. Vous pouvez également cliquer sur la tête de lecture et la faire glisser, si vous préférez. Démarrage ou arrêt du projet vers n’importe quelle position : m Double-cliquez sur l’une des positions dans la moitié inférieure de la règle Mesure. La tête de lecture se place automatiquement à la position cliquée et la lecture commence à cet endroit. Si Logic est déjà en mode lecture (ou enregistrement), double-cliquez sur la règle Mesure pour arrêter la lecture à la position cliquée. Tête de lecture22 Chapitre 1 Démarrage de votre projet et importation de fichiers multimédias Réglage et utilisation du Cycle La partie supérieure de la règle Mesure contient la bande cycle, estompée et grisée lorsqu’elle est désactivée et verte lorsqu’elle est activée. Le cycle agit comme un ensemble de marqueurs de lecture (ou locators). Lorsque Logic est en mode cyclique, la tête de lecture effectue en permanence une boucle entre le point de démarrage et le point de fin du cycle. Le cycle peut être de n’importe quelle durée et vous pouvez le placer n’importe où dans votre projet. Outre les tâches de lecture, le cycle peut également être utilisé pour définir une section de votre projet afin de réaliser des tâches d’édition. Le manuel de l’utilisateur de Logic contient des informations supplémentaires à ce sujet. Pour activer ou désactiver le cycle, effectuez l’une des opérations suivantes : m Cliquez sur la zone du cycle estompée dans la moitié supérieure de la règle Mesure (le cycle est vert lorsqu’il est activé). Un second clic désactive le cycle (à nouveau estompé). m Cliquez sur le bouton Cycle dans la barre Transport (vert lorsqu’il est activé). Pour déplacer le cycle : m Placez la souris au milieu du cycle dans la règle Mesure (le curseur prend la forme d’une icône de main) et faites glisser le curseur vers la droite ou la gauche. Locator gauche Locator droit Cliquez ici pour activer le cycle.Chapitre 1 Démarrage de votre projet et importation de fichiers multimédias 23 Pour modifier la durée du cycle : m Déplacez la souris sur l’extrémité gauche ou droite du cycle dans la règle Mesure (le curseur prend la forme d’une icône de redimensionnement) et faites glisser le curseur vers la droite ou la gauche. Surveillez l’affichage du locator dans la barre de transport tout en modifiant la durée du cycle. Annulation d’opérations Avant d’aller trop loin dans la partie pratique de ce guide, vous devez connaître le filet de sécurité dont est doté Logic : la fonction Annuler. Lorsque l’on utilise Logic, il est inévitable de commettre parfois des erreurs, de réaliser une opération qui ne produit pas les effets attendus ou de changer tout simplement d’avis. Logic permet de revenir sur la plupart des opérations effectuées, mais pas sur toutes. Vous découvrirez en travaillant dans l’application tout ce qu’il est possible d’annuler ou non grâce aux fonctions Annuler. Pour les opérations qui ne peuvent pas être annulées de cette manière, telles que les paramètres de lecture de région (sur lesquelles nous allons revenir), vous devez généralement rétablir la valeur précédente (ou par défaut) d’une valeur. Pour annuler la dernière opération, commande ou fonction : m Choisissez Édition > Annuler [le nom de l’opération, de la commande ou de la fonction]. Vous pouvez également exécuter la commande Annuler en appuyant sur Commande + Z. Si vous avez réalisé plusieurs modifications et que vous décidez de revenir à un état précédent, Logic dispose d’un Historique d’annulation. C’est une sorte de catalogue de toutes les opérations de modification réalisées. Il est enregistré avec le projet. Locator droit Locator gauche Affichage de la position de la tête de lecture24 Chapitre 1 Démarrage de votre projet et importation de fichiers multimédias Pour revenir sur plusieurs opérations, commandes ou fonctions : 1 Choisissez Édition > Historique d’annulation (ou appuyez sur Option + Z) pour ouvrir la fenêtre de l’historique d’annulation. La fenêtre de l’historique d’annulation affiche une liste de toutes les opérations. Toutes les opérations sont listées du bas vers le haut (les opérations les plus récentes apparaissent dans le bas de la liste). 2 Cliquez sur n’importe quelle étape pour annuler toutes les opérations, en commençant par la plus récente (bas de la liste) et en procédant à l’envers (vers le haut de la liste). Pour annuler ou rétablir une étape isolée : m Cliquez sur l’opération souhaitée tout en maintenant la touche Commande enfoncée. Sélection de pistes et de régions La sélection de pistes ou de régions est essentielle pour les tâches d’enregistrement, de modification et d’arrangement. Vous ne pouvez pas déplacer une région si vous ne l’avez pas sélectionnée. De même, vous ne pouvez pas régler des fonctions de bande de canaux (telles que les modifications de volume ou de balance) si le nom de la piste n’est pas sélectionné dans la liste des pistes. Sélection de pistes Vous avez sûrement remarqué que l’un des noms de pistes est toujours en surbrillance dans la liste des pistes. Cela indique que c’est la piste sélectionnée. Comme vous l’avez remarqué, vous pouvez faire glisser à votre guise des régions et les déposer dans des pistes, qu’elles soient sélectionnées ou non. Vous ne pouvez cependant pas enregistrer sur une piste tant qu’elle n’a pas été sélectionnée ou préparée pour l’enregistrement. (Plus d’informations à ce sujet ci-après.) Chapitre 1 Démarrage de votre projet et importation de fichiers multimédias 25 Pour sélectionner des pistes afin de les modifier : 1 Cliquez sur la piste Inst 1 (la cinquième piste dans la liste, qui a désormais un nouveau nom) et observez comment la bande de canaux Arrangement est mise à jour pour refléter la sélection actuelle d’une piste. Remarque : la région de la piste est également mise en surbrillance, ce qui indique qu’elle est sélectionnée. Lorsque vous sélectionnez une piste, toutes les régions alignées sur la ligne de pistes sont automatiquement sélectionnées par défaut . 2 Cliquez sur le bouton Clavier en bas de la zone Arrangement pour visualiser et modifier le contenu de la région sélectionnée. Sélection de régions Vous pouvez sélectionner des régions à votre guise, sur n’importe quelle piste et à n’importe quel moment, que la piste-mère soit sélectionnée ou non. Sélection d’une région : m Cliquez directement sur une région audio de la piste Audio 1. Les régions sélectionnées sont facilement identifiables grâce à une barre de nom noire figurant en haut de la région. Pour sélectionner plusieurs régions, effectuez l’une des opérations suivantes : m Cliquez sur l’arrière-plan de la zone Arrangement, tout en maintenant le bouton de la souris enfoncé, et faites glisser le curseur par-dessus plusieurs régions. Une zone de sélection par étirement est affichée. Chaque région est automatiquement mise en surbrillance (sélectionnée) dès qu’elle est touchée par la zone de sélection. m Cliquez sur les régions souhaitées en maintenant la touche Maj enfoncée. Utilisez cette méthode lorsque les régions à déplacer ne sont pas alignées côte-à-côte ou disposées les unes au-dessus des autres. Les méthodes de sélection multiple décrites ci-dessus (par étirement ou par clic + Maj) peuvent être utilisées pour n’importe quelle opération de modification de région, lorsque vous souhaitez modifier plusieurs régions de la même manière.2 27 2 Enregistrement Les informations audio et MIDI peuvent être enregistrées directement dans la zone Arrangement. La procédure est plus ou moins la même pour chacun des enregistrements que vous faites : sélectionnez (et activez) une piste, démarrez l’enregistrement, procédez à l’enregistrement, arrêtez l’enregistrement. Les enregistrements peuvent même démarrer et s’arrêter automatiquement sur des positions prédéfinies (enregistrement « punch » avec points d’entrée et de sortie), ils peuvent être compilés, décalés, etc. Pour en savoir plus, consultez le manuel de l’utilisateur de Logic. Préparation à l’enregistrement audio Avant de procéder à tout enregistrement audio, vous devez définir un chemin d’enregistrement et un nom de fichier (un emplacement sur le disque dur de votre ordinateur, ainsi qu’un nom pour les fichiers audio que vous avez enregistrés). Si vous avez suivi toutes les étapes lors du lancement initial de Logic, l’utilisation de la zone de dialogue Enregistrer sous et l’activation des cases Ressources ont engendré deux résultats : ces opérations ont créé un chemin de fichier d’enregistrement (le dossier du projet) et elles ont permis que le nom de la piste soit utilisé pour tout nouvel enregistrement audio. Il existe de nombreux réglages et préférences susceptibles d’affecter la manière dont Logic traite les enregistrements. Ces préférences et ces réglages sont accessibles en cliquant sur les boutons Préférences ou Réglages, situés dans la barre d’outils Arrangement. Au fur et à mesure que vous vous familiariserez avec Logic, vous découvrirez des méthodes particulières qui conviendront mieux à votre style de travail. Vous pouvez dans de nombreux cas modifier une préférence ou un réglage pour passer automatiquement à l’affichage par défaut souhaité, modifier l’apparence des fenêtres ou obtenir un comportement particulier lors de l’édition ou de l’enregistrement. Le résultat de ces modifications est un flux de production plus rapide et plus simple.28 Chapitre 2 Enregistrement Les quatre principaux points à vérifier et à régler avant de procéder à tout enregistrement (MIDI ou audio) dans votre projet sont présentés ci-dessous. Ces réglages sont enregistrés avec le projet. Réglage de la fréquence d’échantillonnage du projet : m Choisissez Fichier > Réglages du projet > Audio (ou utilisez le raccourci clavier « Ouvrir les réglages audio pour le projet ») et choisissez la fréquence d’échantillonnage souhaitée dans le menu Fréquence d’échantillonnage. Pour définir le tempo de base du projet, effectuez l’une des opérations suivantes : m Cliquez sur la valeur de tempo de la barre Transport en maintenant le bouton de la souris enfoncé, puis faites-la glisser vers le haut ou le bas. m Double-cliquez sur le champ Tempo dans la barre Transport, puis saisissez une nouvelle valeur. Appuyez sur la touche Retour ou la touche Entrée ou cliquez hors du champ Tempo pour sortir de la zone de dialogue. Le tempo du projet est avant tout intéressant pour les enregistrements MIDI, mais il a également une influence sur le métronome, ce qui génère le clic audible pendant le décompte. Importance de la fréquence d’échantillonnage Les données audionumériques doivent être jouées à leur fréquence d’échantillonnage originale ou être converties à une autre fréquence avant d’être jouées à une autre fréquence d’échantillonnage. En d’autres termes, si un fichier créé en échantillonnant 96 000 fois par seconde (fréquence d’échantillonnage de 96 kHz) est joué dans une application réglée à 48 000 échantillons par seconde, il est lu plus lentement (vitesse réduite de moitié). Les fréquences d’échantillonnage couramment utilisées sont de 44,1 kHz pour les CD audio et de 48 kHz pour les fichiers audio destinés à des productions vidéo numériques. Chapitre 2 Enregistrement 29 Pour modifier les réglages du métronome : 1 Cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils Arrangement, puis choisissez Métronome dans le menu. Il n’est généralement pas nécessaire de modifier les réglages Métronome, mais certaines personnes préfèrent n’entendre le clic qu’au cours du décompte. 2 Effectuez l’une des opérations suivantes :  Sélectionnez la case « Seulement durant le décompte » pour n’activer le clic qu’au cours du décompte.  Décochez la case à sélectionner « Clic à l’enregistrement » pour désactiver le métronome durant l’enregistrement. Réglage de la durée du décompte : 1 Cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils Arrangement, puis choisissez Enregistrement dans le menu. 2 Dans la fenêtre des réglages du projet d’enregistrement, cliquez sur le menu Décompte, puis choisissez le nombre de mesures ou de temps souhaités. Un ensemble de clics, le décompte (d’une durée déterminée), est audible avant que l’enregistrement ne commence pour vous signaler le moment où vous pouvez démarrer votre opération.30 Chapitre 2 Enregistrement Enregistrement de régions audio Les informations suivantes ne sont applicables que si vous avez convenablement branché un micro, une guitare ou toute autre source enregistrable. Pour en savoir plus à ce sujet, consultez le manuel de l’utilisateur de Logic. Pour effectuer un enregistrement audio standard : 1 Désactivez le mode cyclique, s’il est activé. 2 Cliquez sur le bouton d’activation de l’enregistrement sur la piste audio 2 (ou sur une autre piste audio sans région, si vous avez ajouté quelques boucles Apple Loops ou d’autres fichiers auparavant). La piste est alors activée. Si vous chantez dans votre micro ou que vous jouez de la guitare, vous devez pouvoir vous entendre et voir les mouvements des VU-mètres de la bande de canaux Arrangement. ∏ Astuce : vous pouvez activer le bouton contrôle d’entrée à tout moment sur les pistes audio (et vous pouvez généralement le laisser activé). Cette opération vous permet d’entendre les données audio entrantes, même lorsque la piste n’est pas activée, ce qui est utile pour le réglage de niveaux audio ou les essais sur certaines portions avant de procéder à l’enregistrement définitif. 3 Cliquez sur le bouton Enregistrement dans le menu Transport (ou utilisez le raccourci clavier Enregistrer, par défaut : * sur le pavé numérique) pour démarrer l’enregistrement de la piste sélectionnée en respectant le décompte. 4 Jouez ou chantez. Cliquez pour activer le contrôle Chapitre 2 Enregistrement 31 5 Lorsque vous avez terminé, cliquez sur Arrêter dans la barre Transport (ou appuyez sur la touche 0 du pavé numérique ou encore sur la barre d’espace) pour mettre fin à l’enregistrement. Cet enregistrement apparaîtra comme une région audio (sur la piste audio 2) dans la zone Arrangement. Enregistrement de prises Logic met à votre disposition des fonctionnalités avancées de gestion des prises. Une prise est un morceau (tel qu’un solo de guitare) joué et enregistré plusieurs fois. Vous pouvez enregistrer plusieurs versions consécutives d’un solo et choisir de conserver la meilleure prise, par exemple. Les prises sont généralement créées via un enregistrement en mode cyclique, mais elles peuvent également être créées par un simple enregistrement dans les régions existantes. Les prises constituent également la base des tâches de comping (ou d’accompagnement). Vous utilisez alors les meilleures performances (extraites de différentes prises) pour compiler une seule « super prise ». Cette compilation sera utilisée comme version finale de votre prise. De plus amples informations sur la compilation sont exposées dans le chapitre Enregistrement du manuel de l’utilisateur de Logic. La préparation de l’enregistrement des prises est identique à celle des enregistrements audio. Aucune configuration spécifique n’est requise. Vous pouvez donc lancer l’enregistrement comme vous le feriez pour un enregistrement audio. La première prise apparaît sous forme de région audio, de manière habituelle. Une fois qu’un enregistrement est effectué sur une région existante (par exemple quand la deuxième phase d’un enregistrement cyclique prend fin et que la troisième phase commence, ou quand vous arrêtez l’enregistrement manuellement après la première mesure), un dossier de prise est créé. Pour ouvrir un dossier de prises, procédez de l’une des manières suivantes : m Cliquez sur le triangle d’affichage dans l’angle supérieur gauche d’un dossier de prises. 32 Chapitre 2 Enregistrement m Double-cliquez sur le dossier de prises. Le contenu du dossier de prises est affiché sur des sous-voies temporaires de la piste Arrangement, en dessous du dossier de prises proprement dit. Par défaut, la prise sélectionnée est la prise terminée la plus récente (ou la prise la plus complète). La prise sélectionnée sera celle entendue pendant la lecture. Pour sélectionner différentes prises lors de l’affichage d’un dossier de prises ouvert : m Cliquez sur l’en-tête de prise souhaité. Toutes les opérations d’édition de prises sont présentées au chapitre Enregistrement du manuel de l’utilisateur de Logic . Enregistrement d’une partie d’instrument Vous avez au cours des étapes précédentes utilisé la Bibliothèque pour charger un instrument dans la piste Inst 4, puis choisi un réglage. Pour enregistrer une région d’instrument : 1 Cliquez sur le nom de la piste Inst 4 dans la liste des pistes. Le nom affiché dans la liste des pistes est celui du réglage de bande de canaux actif.  Sélectionner une piste d’instrument a pour effet de préparer automatiquement cette dernière à l’enregistrement, mais vous devez envoyer un événement MIDI en direct (par exemple : jouer une note sur votre clavier, déplacer la molette de modulation, appuyer sur la pédale de soutien) pour faire passer les instruments logiciels en mode Live. Une fois en mode Live (ou après avoir activé le bouton d’enregistrement), l’instrument logiciel est automatiquement activé pour l’enregistrement.  La sélection d’une piste MIDI externe l’active automatiquement pour l’enregistrement. Dossier de prises La prise sélectionnée sera entendue pendant la lecture.Chapitre 2 Enregistrement 33 2 N’hésitez pas à choisir un son différent (réglage) en activant la Bibliothèque dans la zone Média. 3 Cliquez sur le bouton Enregistrement dans la barre Transport ou appuyez sur la touche * du pavé numérique. Vous entendrez alors un décompte de mesure, puis un clic constant du métronome. Si ce n’est pas le cas, relisez la rubrique « Pour modifier les réglages du métronome : » à la page 29. La plupart des gens préfèrent utiliser un clic pour effectuer l’enregistrement d’un instrument de musique. 4 Jouez sur votre clavier. 5 Cliquez sur le bouton Arrêter dans la barre Transport lorsque vous avez terminé. Une région MIDI (sélectionnée) apparaît sur la voie de la piste d’instrument. Si votre enregistrement vous satisfait, cliquez sur le bouton Lecture (Entrée sur le pavé numérique ou barre d’espace) pour l’écouter et pour écouter les autres régions. Si votre partie est fermée, mais que vous vous êtes trompé sur une note ou deux, vous pouvez les modifier, ce qui vous évite de tout recommencer. Cette opération est décrite à la section « Édition et création d’événements » à la page 52. Si la synchronisation de votre enregistrement n’est pas satisfaisante, vous pouvez quantifier la région. Pour corriger la synchronisation de votre enregistrement : m Cliquez sur la valeur de quantification dans le champ Paramètre de région, puis essayez quelques valeurs de quantification. Si vous en découvrez une qui donne un résultat satisfaisant, conservez-la. Si vous avez vraiment raté votre morceau, recommencez l’enregistrement. Appuyez sur la touche Retour arrière (ou sélectionnez l’outil Gomme et cliquez sur la région ; voir rubrique Outils au chapitre suivant) pour supprimer la région, puis reprenez les étapes 1 et 2.3 35 3 Création de votre arrangement La grande zone grise à droite de la liste des pistes est la zone Arrangement. C’est là que les régions audio ou MIDI enregistrées ou importées (telles que les boucles Apple Loops que vous avez ajoutées, ainsi que vos enregistrements) sont arrangées en structure musicale. Les régions peuvent être librement déplacées (par glisser-déposer) d’une position à une autre, mises en boucle, copiées, coupées et redimensionnées. Juste au-dessus de la règle Mesure (en haut à droite de la zone Arrangement) se trouvent les menus Déplacement et Alignement, qui influent sur le comportement des régions lors de leur édition ou de leur déplacement. Vous trouverez de plus amples informations à ce sujet dans le manuel de l’utilisateur de Logic. Zone Arrangement Règle Mesure36 Chapitre 3 Création de votre arrangement Choix des outils Les outils permettent de sélectionner et de modifier des régions audio et MIDI dans la zone Arrangement, ainsi que des événements ou des données dans les autres fenêtres d’édition. Dans les menus Outil, le Pointeur, le Crayon, la Gomme, les Ciseaux et la Colle (entre autres) permettent de sélectionner, de créer et d’éditer des régions (ou des évé- nements). Les menus Outil sont contextuels, c’est-à-dire qu’ils diffèrent selon la fenêtre dans laquelle vous vous trouvez. Par exemple, l’outil Fondu n’est pas disponible dans la fenêtre Éditeur de partition, puisqu’il ne traite pas les informations audio. Par contre, l’outil Séparation de voix, disponible dans l’Éditeur de partition, ne serait d’aucune utilité dans la zone Arrangement. Pour modifier l’outil actif, cliquez simplement sur l’icône correspondante dans le menu. Le pointeur de la souris prend automatiquement la forme de l’outil sélectionné. Vous avez également la possibilité de sélectionner un deuxième outil, que vous pouvez utiliser à l’aide de la combinaison Commande + clic. Ce deuxième outil est disponible lorsque vous appuyez sur la touche Commande pendant une opération d’édition. Si vous utilisez une souris à plusieurs boutons, vous pouvez également attribuer le bouton droit à un troisième outil, vous permettant ainsi d’utiliser trois outils distincts dans chaque fenêtre :  Outil clic gauche : à sélectionner dans le menu Outil de gauche.  Outil Commande + clic : à sélectionner dans le menu Outil de droite (ou du centre, voir ci-dessous).  Outil clic droit : à sélectionner dans le menu Outil de droite. Remarque : le troisième menu Outil n’apparaît que lorsque la préférence Logic > Global > Édition > « Bouton droit de la souris » est réglée sur : « Est assignable à un outil ». Par défaut, cette préférence est réglée sur : « Ouvre le menu contextuel ». Laissez-la telle quelle pour l’instant. Menu Outil clic gauche Menu Outil clic droit Menu Outil clic + touche Chapitre 3 Création de votre arrangement 37 ∏ Astuce : pour accéder rapidement aux outils, appuyez sur la touche Échap du clavier de votre ordinateur. Le menu Outil est alors affiché sous forme de fenêtre flottante, à la position actuelle du curseur. Lorsque ce menu flottant s’affiche, cliquez simplement sur l’outil souhaité (ou appuyez sur la touche du clavier correspondante, indiquée à droite du nom de l’outil) pour l’activer. Plage effective des outils  Les outils ne fonctionnent que dans les limites de la zone de travail de la fenêtre d’édition dans laquelle ils sont sélectionnés. La fenêtre Arrangement pouvant contenir d’autres fenêtres, vous pouvez par exemple affecter (jusqu’à) trois outils à la zone Arrangement, trois à l’éditeur clavier et trois à l’Éditeur Liste. L’outil (et le curseur) actif change en fonction des déplacements du curseur dans ces zones.  En général, un outil concerne la région (ou l’événement, dans l’une des fenêtres d’édition d’événement) sur laquelle vous cliquez. Si plusieurs régions (ou événements) sont sélectionnées, l’outil fonctionne dans toutes ces régions (ou dans tous ces événements). À propos des outils Outre les outils évoqués ci-dessus, il en existe plusieurs autres dans différentes fenêtres d’édition. Ceux indiqués ci-après sont les quatre outils principalement utilisés lors de la création et de l’édition d’un projet. Vous trouverez à la suite de cette liste des informations relatives aux outils Solo et Muet. Les outils propres à chaque fenêtre sont abordés dans les chapitres correspondants du manuel de l’utilisateur de Logic. Pointeur Le Pointeur est l’outil par défaut. Le curseur prend également cette forme en dehors de la zone de travail, lorsque vous sélectionnez une option dans un menu ou que vous saisissez une valeur. Dans les limites de la zone de travail (active), le Pointeur permet d’effectuer les opérations suivantes :  sélection (cliquez sur les régions/événements),  déplacement (cliquez sur les régions/événements tout en maintenant le bouton de la souris enfoncé, puis faites-les glisser),38 Chapitre 3 Création de votre arrangement  copie (maintenez la touche Option enfoncée tout en faisant glisser les régions/événements),  modification des durées (cliquez sur le coin inférieur droit ou gauche d’une région ou d’un événement tout en maintenant le bouton de la souris enfoncée, puis faitesle glisser horizontalement),  sélection par étirement de plusieurs régions/événements (cliquez sur n’importe quel endroit de l’arrière-plan de la fenêtre tout en maintenant le bouton de la souris enfoncé, puis faites glisser horizontalement et/ou verticalement). Crayon Le Crayon permet d’ajouter de nouvelles régions ou de nouveaux événements. Il permet également de sélectionner, de déplacer ou de modifier la durée des régions/événements. Gomme La Gomme permet de supprimer des régions ou des événements. Il suffit pour ce faire de cliquer dessus. Lorsque vous cliquez sur une région ou un événement sélectionné, toutes les autres régions ou tous les autres événements sélectionnés sont également supprimés. Ciseaux Les Ciseaux permettent de diviser des régions ou des événements (avant copie ou déplacement de certaines sections, par exemple). Désactivation du son et activation de la lecture Solo sur les pistes et les régions Les fonctions Muet et Solo facilitent les essais d’arrangement, l’édition et le repérage des bruits « bizarres » dans vos projets. Vous pouvez appliquer ces fonctions sur une piste (et donc sur toutes les régions de cette piste) ou sur une (ou plusieurs) régions sélectionnées. Désactivation du son des régions Lors d’un arrangement, il est souvent souhaitable de tester des idées musicales en désactivant le son de certaines régions. Pour activer ou désactiver le son de certaines régions : 1 Sélectionnez l’outil Muet. Outil MuetChapitre 3 Création de votre arrangement 39 2 Cliquez sur les régions voulues. Pour activer à nouveau le son, cliquez une deuxième fois sur les régions à l’aide de l’outil Muet. Les régions silencieuses sont représentées par un point précédant le nom de la région. Pour désactiver le son de plusieurs régions à l’aide de l’outil Muet : 1 Cliquez tout en maintenant la touche Majuscule enfoncée sur les régions dont vous souhaitez désactiver le son, ou sélectionnez-les par étirement (cette sélection peut être effectuée lorsque l’outil Muet ou Pointeur est actif). 2 Cliquez sur l’une des régions sélectionnées à l’aide de l’outil Muet. ∏ Astuce : vous pouvez également désactiver le son d’une ou plusieurs régions sélectionnées en cliquant dans la zone Arrangement tout en maintenant le bouton droit de la souris enfoncé. Cette opération a pour effet d’ouvrir le menu contextuel, dans lequel vous pouvez accéder, entre autres, à la fonction Muet. Pour désactiver le son des régions sélectionnées, il suffit de cliquer sur Muet dans le menu. Remarquez les raccourcis clavier par défaut (par exemple, M pour Muet) indiqués en regard de chaque fonction dans le menu contextuel. Essayez de désactiver le son d’une ou deux régions en utilisant les différentes méthodes. Activation de la lecture solo des régions Le mode Solo vous permet d’écouter séparément une ou plusieurs régions sélectionnées. Il est ainsi plus facile d’identifier des éléments particuliers devant être modifiés. Pour activer la lecture solo d’une région avec l’outil Solo : 1 Sélectionnez l’outil Solo. 2 Cliquez sur la région de votre choix et maintenez-la enfoncée à l’aide de l’outil Solo. La région (affichée en jaune) est écoutée séparément du point de données, jusqu’à ce que vous relâchiez le bouton de la souris, ce qui mettra fin à la lecture en mode Solo. Outil Solo40 Chapitre 3 Création de votre arrangement Pour activer la lecture solo de plusieurs régions à l’aide de l’outil Solo : 1 Sélectionnez les régions voulues soit par étirement, soit en maintenant la touche Majuscule enfoncée. 2 Cliquez sur l’une des régions sélectionnées avec l’outil Solo et maintenez le bouton de la souris enfoncé. Désactivation du son des pistes Pour arrêter la lecture d’une piste (et donc celle de toutes les régions de la rangée de pistes correspondante), cliquez sur le bouton Muet. Le bouton devient bleu lorsqu’il est actif. Pour désactiver le son de plusieurs pistes : m Cliquez sur le bouton Muet d’une piste en maintenant le bouton de la souris enfoncé, puis faites glisser le curseur vers le haut ou vers le bas. Tous les boutons Muet des pistes ainsi sélectionnées passent au même état. Activation de la lecture solo des pistes Les pistes MIDI et audio disposent de boutons Solo. Écouter une piste en solo permet d’isoler sa lecture et de couper par là même le son des autres pistes. Le bouton devient jaune lorsqu’il est actif. Pour activer rapidement la lecture solo de plusieurs pistes : m Cliquez sur le bouton Solo d’une piste tout en maintenant le bouton de la souris enfoncé et faites glisser le curseur vers le haut ou vers le bas (par-dessus les boutons Solo des autres pistes). Tous les boutons Solo des pistes ainsi sélectionnées passent au même état. Chapitre 3 Création de votre arrangement 41 Édition de régions Les opérations d’édition de régions qui suivent couvrent les notions élémentaires de création d’un arrangement. Logic comporte également un certain nombre de fonctions avancées qui permettent de déplacer, de couper et de répliquer des sections entières de votre projet (couplet ou refrain, par exemple). Vous trouverez de plus amples informations à ce sujet dans le manuel de l’utilisateur de Logic. Important : n’oubliez pas qu’une seule région est sélectionnée lorsque vous redimensionnez, coupez, etc. (si vous souhaitez modifier uniquement cette région). Si plusieurs régions sont mises en surbrillance, la modification de la durée sera la même pour toutes et elles seront toutes coupées au même endroit. Déplacement de régions Le point essentiel dans la création de tout arrangement est la possibilité de pouvoir déplacer des segments (ou régions) de morceau selon vos besoins. Pour déplacer une région : m Sélectionnez la région et déplacez-la vers une nouvelle position. Pour déplacer plusieurs régions sélectionnées : m Cliquez sur l’une des régions sélectionnées, puis déplacez les régions vers une nouvelle position tout en maintenant le bouton de la souris enfoncé. Les régions déplacées s’alignent automatiquement sur des incréments définis par le réglage du menu Alignement. Le réglage du menu Déplacer peut également avoir une influence sur le comportement des régions, lorsque leur déplacement les conduit à se superposer à d’autres régions. Modification de la durée des régions Vous pouvez réduire ou allonger la durée d’une région en la faisant glisser vers son point de départ ou de fin, ce qui permet de déterminer quelle partie de la source (fichier audio ou événements MIDI) est diffusée dans votre projet. Important : lorsque la durée d’une région est diminuée, les informations qu’elle contient ne sont jamais supprimées ; la lecture commence simplement au début et s’arrête à la fin de la région. Pour redimensionner une région : 1 Sélectionnez l’outil Pointeur ou Crayon, puis placez le curseur sur le coin inférieur gauche ou droit d’une région. 42 Chapitre 3 Création de votre arrangement Le curseur se transforme en pointeur Redimensionner. 2 Cliquez sur le coin et faites-le glisser vers la gauche ou la droite. La durée d’une région audio ne peut pas dépasser celle du fichier audio auquel elle correspond. ∏ Astuce : lors d’opérations nécessitant une certaine précision, comme les modifications de durée ou les coupes, il peut être utile d’agrandir la vue. Cliquez sur le curseur zoom horizontal et/ou vertical dans le coin inférieur droit de la zone Arrangement et faites-le glisser pour augmenter ou diminuer le grossissement. Vous pouvez également sélectionner la zone souhaitée par étirement, à l’aide de l’outil Zoom. Division de régions Vous pouvez découper n’importe quelle région en plusieurs parties, créant ainsi plusieurs régions distinctes. Cette opération vous permet ensuite de déplacer, de copier, de supprimer ou de traiter chaque région individuellement, ce qui s’avère particulièrement utile par exemple pour utiliser des portions de boucle de batterie à différents endroits. Pour diviser une région : 1 Sélectionnez l’outil Ciseaux, puis placez le curseur sur la région voulue. 2 Maintenez ensuite le bouton de la souris enfoncé et déplacez le curseur vers la gauche ou vers la droite, tout en en gardant un oeil sur l’infobulle. Dès que la position souhaitée pour la coupe s’affiche, relâchez le bouton de la souris. La région est alors divisée en deux. Cette opération n’a aucune influence sur le fichier audio correspondant.Chapitre 3 Création de votre arrangement 43 Découpage de régions Il est possible de supprimer des régions d’une section de votre arrangement et de les utiliser dans une autre. Pour ce faire, faites-les glisser comme indiqué plus haut, ou à l’aide des commandes Couper et Coller. Pour couper une région : m Sélectionnez l’outil Pointeur, cliquez sur la région voulue, puis cliquez sur Édition > Couper (raccourci clavier par défaut : Commande + X). La région est stockée temporairement dans le Presse-papiers, prête à être collée (consultez ci-dessous le paragraphe « Pour coller une région coupée ou copiée à partir du Presse-papiers : »). Pour sélectionner plusieurs régions à couper, utilisez l’option de sélection par étirement ou cliquez sur les régions en maintenant la touche Majuscule enfoncée. ∏ Astuce : le menu contextuel (clic droit) comporte également une commande Couper (et Copier/Coller). Copie de régions Il est possible de répliquer des régions pour les utiliser ailleurs dans votre projet. Une solution alternative à la copie consiste à mettre des options en boucle et à créer des régions MIDI alias, ou à cloner des régions audio. Les options de mise en boucle sont rapidement traitées ici. Pour obtenir de plus amples détails sur les alias et le clonage de régions, reportez-vous au manuel de l’utilisateur de Logic. Pour copier une région, effectuez l’une des opérations suivantes : m Sélectionnez l’outil Pointeur, cliquez sur la région voulue, puis cliquez sur Édition > Copie (raccourci clavier par défaut : Commande + C). La région est stockée temporairement dans le Presse-papiers, prête à être collée (consultez le paragraphe ci-dessous). m Sélectionnez l’outil Pointeur et faites glisser la région voulue vers la gauche ou la droite tout en maintenant la touche Option enfoncée, en gardant un oeil sur l’infobulle. Dès que la position voulue s’affiche dans l’infobulle, relâchez le bouton de la souris. Une copie de la région est alors créée à cette position. Pour sélectionner plusieurs régions, utilisez l’option de sélection par étirement ou cliquez sur les régions en appuyant sur la touche Majuscule, puis faites glisser l’une des régions sélectionnées en maintenant la touche Option enfoncée pour copier toutes les régions (ou utilisez la commande Édition > Copier).44 Chapitre 3 Création de votre arrangement Pour coller une région coupée ou copiée à partir du Presse-papiers : 1 Cliquez sur la position (cible) souhaitée pour coller la région dans la partie inférieure de la règle Mesure. La tête de lecture se déplace vers la position sur laquelle vous avez cliqué. 2 Choisissez la rangée de pistes cibles en cliquant sur le nom d’une piste (ignorez cette étape si la région copiée se trouve déjà dans la rangée de pistes sélectionnée). 3 Sélectionnez Édition > Coller (ou utilisez le raccourci clavier par défaut : Commande + V) pour coller le contenu du Presse-papiers (c’est-à-dire la région copiée) à l’endroit de la tête de lecture, dans la rangée des pistes cibles. ∏ Astuce : le menu contextuel (clic droit) offre également une commande Coller. Pour pouvoir l’utiliser, vous devez d’abord vous assurer qu’aucune région n’est sélectionnée dans la zone Arrangement. Suppression de régions Pour supprimer des régions de votre projet, vous pouvez utiliser n’importe laquelle des méthodes décrites ci-après. Pour supprimer une région, effectuez l’une des opérations suivantes : m Sélectionnez l’outil Gomme et cliquez sur la région voulue. m Utilisez l’une des méthodes de sélection indiquées plus haut (pour une ou plusieurs régions) et effectuez l’une des opérations suivantes :  Cliquez sur l’une des régions sélectionnées à l’aide de l’outil Gomme.  Appuyez sur la touche Retour arrière ou la touche Suppr.  Cliquez avec le bouton droit de la souris pour afficher le menu contextuel et sélectionnez l’option Supprimer. Toutes les régions sélectionnées sont supprimées. Important : ces différentes méthodes ont pour effet de supprimer les régions MIDI (ainsi que les événements qu’elles contiennent) du projet. Par contre, les régions audio (et les fichiers audio correspondants) sont simplement supprimées de l’arrangement, mais pas du projet. Elles restent dans le chutier audio, d’où elles peuvent très facilement être récupérées et replacées dans l’arrangement. Outil GommeChapitre 3 Création de votre arrangement 45 Mise en boucle de régions Il est possible de lire les régions de façon continue, en créant un certain nombre de répétitions de boucles. Ces dernières sont en quelque sorte des versions fantômes de la région d’origine dont elles sont le reflet. Comme indiqué précédemment, vous pouvez diminuer ou augmenter la durée d’une région en faisant glisser le point de début et le point de fin (coin inférieur droit ou gauche). Cette opération a bien sûr une influence directe sur la durée de la région, mais aussi sur celle de toutes les boucles. Pour mettre une région en boucle, effectuez l’une des opérations suivantes : 1 Sélectionnez l’outil Pointeur ou l’outil Crayon et placez le curseur sur le coin supérieur droit de la région voulue. Essayez d’effectuer cette opération sur la boucle audio Apple Loop de la piste Audio 1. Le curseur prend la forme de l’outil Boucle. 2 Cliquez ensuite en maintenant le bouton de la souris enfoncé et déplacez le curseur vers la droite, en gardant un oeil sur l’infobulle. Dès que le nombre souhaité de répétitions de boucles est atteint, relâchez le bouton de la souris. Lorsque vous débuterez la lecture, la région sera répétée jusqu’à la fin de la dernière boucle. Pour supprimer une ou plusieurs boucles : m Cliquez avec l’outil Pointeur sur le bord supérieur droit de la dernière boucle tout en maintenant le bouton de la souris enfoncé et faites glisser le curseur vers la gauche. Pour supprimer toutes les boucles : m Cliquez avec l’outil Crayon ou Pointeur sur le bord supérieur droit de la région d’origine tout en maintenant le bouton de la souris enfoncé. L’infobulle affiche « Boucle désactivée » et toutes les régions fantômes de la boucle disparaissent.46 Chapitre 3 Création de votre arrangement Utilisation de l’Inspecteur L’Inspecteur, à gauche de la fenêtre Arrangement, se compose de trois zones principales. De haut en bas : la zone Paramètres de région, la zone Paramètres de piste et les bandes de canaux de la fenêtre Arrangement. ∏ Astuce : dans (presque toutes) les zones de paramètres, les éditeurs, la barre de transport, les fenêtres de modules, etc., il suffit de double-cliquer sur une valeur numérique pour pouvoir saisir directement une valeur au clavier en terminant par la touche Entrée. Cette méthode vous permet de travailler beaucoup plus rapidement. Vous pouvez l’essayer en lisant la section qui suit. Paramètres de région Cette zone de paramètres est directement liée aux régions affichées dans la zone Arrangement. Lorsqu’une région MIDI ou audio est sélectionnée (en cliquant dessus à l’aide du Pointeur), la zone Paramètres de région est mise à jour afin d’afficher les paramètres attribués à cette région en particulier. Chaque région de la zone Arrangement peut disposer de réglages de paramètres uniques, permettant ainsi d’effectuer, entre autres, des transpositions et des quantifications indépendantes. Les paramètres disponibles pour les régions MIDI et audio sont différents. Pour afficher ou masquer la zone Paramètres de région : m Cliquez sur le triangle d’affichage à gauche du nom de la région, en haut de l’Inspecteur. Zone Paramètres de piste Zone Paramètres de région Bandes de canaux de la fenêtre ArrangementChapitre 3 Création de votre arrangement 47 Pour modifier la valeur d’un paramètre : m Il suffit de cliquer, en maintenant le bouton de la souris enfoncé, à l’extrême droite de la zone Paramètres de région, le long du nom du paramètre voulu (Quantifier, par exemple).  Pour certains paramètres, un menu s’affiche, pour d’autres, le pointeur de la souris fait office de curseur.  Déplacez la souris verticalement (vers le haut ou vers le bas) pour modifier la valeur de ces paramètres. Essayez cette opération pour chaque paramètre (sur une région audio et sur une région MIDI), afin de vous familiariser avec les méthodes qui permettent d’interagir avec chacun d’entre eux. Important : notez que les paramètres de région sont des processus de lecture en temps réel, ce qui signifie que toute modification de la valeur de ces paramètres (Quantifier, Transposer, etc.) peut avoir lieu pendant l’exécution de Logic. Ces processus ne modifient pas réellement les événements des régions mais simplement la façon dont ils sont lus. Pour annuler la modification d’un paramètre : m Il suffit de sélectionner la région à « réinitialiser » et de rétablir les réglages précédents des paramètres (ou les réglages par défaut) en utilisant l’une des méthodes indiquées précédemment. Paramètres de piste Ces paramètres sont liés à la liste de pistes. Ils varient en fonction du type de piste sélectionné : audio, instrument (logiciel), MIDI externe. Ils concernent toutes les régions de la rangée de pistes. Le type de piste est défini par le canal auquel la piste est attribuée. Les paramètres de piste reflètent les paramètres de la bande de canal correspondante. La zone Paramètres de piste est mise à jour à chaque fois qu’une nouvelle piste est sélectionnée dans la liste. Pour afficher ou masquer la zone Paramètres de piste : m Cliquez sur le triangle d’affichage à gauche du nom du canal, en haut de l’Inspecteur (sous la zone Paramètres de région). Utilisation des paramètres de piste/canal Le fonctionnement est à peu près le même que celui des paramètres de région, indiqué dans les pages précédentes. Comme indiqué, les paramètres de piste/canal ont une influence sur toutes les régions de la rangée de pistes (ou des rangées, plusieurs rangées pouvant être dirigées vers la même bande de canal). Ceci s’avère particulièrement intéressant pour les régions MIDI des instruments logiciels ou des canaux MIDI externes.48 Chapitre 3 Création de votre arrangement Choisissez une piste d’instrument dans la liste et examinez les zones Paramètres de région et Paramètres de piste/canal (si elles sont masquées, cliquez sur le triangle d’affichage). Vous verrez un certain nombre de paramètres dupliqués, tels que Transposition, Vélocité ou Retard. Pour transposer toutes les régions sur une piste (ou pour une bande de canaux en particulier), au lieu de sélectionner et transposer chaque région séparément (à l’aide du paramètre Transposition de la zone Paramètres de région), utilisez le paramètre de transposition de piste/canal. ∏ Astuce : pour transposer la plus grande partie des régions d’une piste, utilisez le paramè- tre de piste/canal, puis le paramètre de transposition de région individuellement pour chaque région que vous ne souhaitez pas transposer. Travaillez intelligemment et simplifiez-vous la vie. Bandes de canaux de la fenêtre Arrangement En bas à gauche de la fenêtre Arrangement se trouvent deux bandes de canaux de mixage.  Celle de gauche correspond à la piste sélectionnée dans la liste. C’est le canal vers lequel la piste est dirigée, celui qui lit les régions qui se trouvent dans la rangée de pistes.  La bande de canaux de droite (lorsqu’elle est visible) correspond à la première bande de canaux de destination de la bande de gauche. C’est la première bande de canaux vers laquelle la bande de canaux de la piste est dirigée. Généralement, il s’agit d’une bande de canaux de sortie (qui représente les sorties physiques de votre interface audio) ou auxiliaire, utilisée comme bus d’envoi/retour ou comme canal de mixage de sous-groupe. Si la partie supérieure de la bande de canaux est partiellement masquée, cliquez sur les triangles d’affichage des zones Paramètres de région et Paramètres de piste/canal pour réduire l’une ou l’autre de ces zones ou les deux à la fois. Les bandes de canaux de la fenêtre Arrangement sont identiques à celles de la fenêtre Table de mixage (voir le chapitre 7, « Mixage et exportation de votre projet », et le chapitre 5, « Utilisation d’instruments et d’effets ».). Toute modification apportée aux bandes de canaux de l’une ou l’autre de ces fenêtres est instantanément répercutée dans l’autre. Remarque : l’avantage de la bande de canaux de la fenêtre Arrangement est qu’elle évite d’avoir à passer par la fenêtre Table de mixage pour réaliser un léger ajustement sonore (volume ou pan, par exemple). Elle permet également d’insérer des modules et des instruments, ou de modifier des acheminements directement depuis la fenêtre Arrangement, ce qui permet là encore de gagner du temps.4 49 4 Modification d’événements MIDI Chaque événement individuel de région MIDI peut être modifié. Cette modification consiste la plupart du temps à ajuster la position, la hauteur tonale et la longueur des événements de note MIDI. Il sera parfois nécessaire de modifier d’autres types de donnés MIDI, comme les contrô- leurs d’événements.  La modification d’événements notes MIDI est traitée de manière optimale par l’éditeur clavier.  Les événements de note MIDI sont représentés sous forme de notation musicale standard (et peuvent également être modifiés) dans l’Éditeur de partition. Cette fenêtre est cependant réservée principalement à la création de partitions musicales à imprimer, plutôt qu’à la modification de notes MIDI.  Les autres types d’événements sont plus faciles à gérer dans l’Hyper Editor ou dans la Liste des événements, même si le contrôleur, et quelques autres types d’événements, sont directement modifiables dans l’éditeur clavier et dans l’Éditeur de partition, si vous préférez.50 Chapitre 4 Modification d’événements MIDI Familiarisation avec les éditeurs MIDI Avant d’effectuer les exercices décrits ci-dessous, choisissez l’une des pistes Inst 1 ou Inst 2. Pour ouvrir ou fermer l’éditeur clavier, l’Éditeur de partition ou l’Hyper Editor : m Cliquez sur les boutons éditeur clavier, Éditeur de partition ou Hyper Editor situés juste au-dessus de la barre Transport. m Cliquez sur le bouton correspondant pour fermer la fenêtre d’éditeur active. Les événements de l’instrument boucle Apple Loop ou de votre région MIDI enregistrée sont affichés soit sous la forme d’une série de barres dans l’éditeur clavier et l’Hyper Editor, soit en notation traditionnelle dans l’Éditeur de partition. Si besoin est, redimensionnez la zone de l’éditeur en la faisant glisser dans l’espace situé entre elle et la zone Arrangement située au-dessus. Vous pouvez faire glisser verticalement le contenu de la zone de modification en faisant glisser la barre de défilement à droite de la fenêtre. La barre de défilement horizontale fait glisser le contenu de la fenêtre à gauche ou à droite (si certains événements de la région ne sont pas affichés). Observez chacun des trois éditeurs tout en restant attentif à l’Inspecteur. Une fois l’opération terminée, laisser l’éditeur clavier ouvert. Remarque : il n’est possible d’afficher qu’un seul de ces éditeurs à la fois dans la fenêtre Arrangement. Vous pouvez, cependant, ouvrir chacun de ces éditeurs de manière indé- pendante, en choisissant l’élément approprié à partir du menu Fenêtre (dans la barre de menus principale). Cette action permet d’ouvrir l’éditeur dans une fenêtre distincte. Pointeur RedimensionnerChapitre 4 Modification d’événements MIDI 51 Pour ouvrir ou fermer la Liste des événements : 1 Cliquez sur le bouton Listes dans la barre d’outils de la zone Arrangement (en haut à droite). La zone Listes remplace alors la zone Média, si elle est ouverte (les éditeurs de liste disponibles sont les suivants : Événement, Marqueur, Tempo et Signature. Cliquez sur leurs onglets respectifs pour les ouvrir). 2 Cliquez sur l’onglet Événement, s’il n’est pas déjà activé. Les événements de la boucle Apple Loop Instrument logiciel ou de votre région MIDI enregistrée sont affichés sous forme de liste. Les colonnes indiquent la position, la longueur, la valeur, etc., des événements. Pour modifier la position d’un événement de note, effectuez l’une des opérations suivantes : m Faites glisser l’une des barres (un événement de note), vers la gauche ou vers la droite dans l’éditeur clavier. m Faites glisser verticalement l’une des valeurs de la colonne Position dans l’Éditeur de liste d’événements, tout en observant la bulle d’aide et l’autre fenêtre d’éditeur. Vous constaterez alors que les modifications apportées à l’une sont instantanément répercutées sur l’autre.52 Chapitre 4 Modification d’événements MIDI Édition et création d’événements Les détails d’utilisation de chaque éditeur sont disponibles dans le manuel de l’utilisateur de Logic. Commencez par relire les rubriques « Sélection de régions » à la page 25 et « Édition de régions » à la page 41. Toutes les techniques utilisées pour sélectionner des régions et les modifier (à l’exception de la lecture en boucle) sont également applicables au choix des événements et à leur modification. ∏ Astuce : n’oubliez pas le menu contextuel, accessible par un clic avec le bouton droit de la souris. Vous y trouverez de nombreuses commandes de modification « courantes » (également disponibles dans la fenêtre Arrangement et dans d’autres fenêtres), ainsi que des commandes propres à l’éditeur clavier. Faites des essais avec l’éditeur clavier, où les événements de note MIDI sont représentés de manière similaire aux régions de la fenêtre Arrangement, c’est-à-dire sous forme de barres horizontales. La principale différence étant que le déplacement vertical d’un évé- nement de note (vers la ligne d’une autre note) modifie sa hauteur tonale. Certaines techniques non abordées dans la rubrique consacrée à la modification des régions, et susceptibles d’être utiles pour modifier des événements, sont exposées cidessous. Pour créer des événements de note dans l’éditeur clavier : m Choisissez l’outil Crayon et cliquez sur la position souhaitée (ainsi que sur la hauteur tonale souhaitée, alignée avec le clavier à gauche). Vous pouvez également utiliser cette technique dans la Liste des événements et dans les différentes fenêtres de l’Éditeur de partition, mais il est plus simple d’utiliser l’éditeur clavier.Chapitre 4 Modification d’événements MIDI 53 Pour modifier la vélocité d’une note dans l’éditeur clavier : m Choisissez l’outil Vélocité et faites glisser verticalement la note souhaitée. La couleur de la note (et la longueur de la ligne passant au centre de la note) change au fur et à mesure que change la vélocité. Cette technique fonctionne également sur plusieurs notes sélectionnées ; les valeurs de vélocité relative de chacune des notes (les unes par rapport aux autres) étant conservées. Pour quantifier une ou plusieurs notes sélectionnées : 1 Choisissez l’outil Pointeur et sélectionnez les notes en cliquant dessus, en cliquant dessus tout en maintenant la touche Maj enfoncée ou par étirement. 2 Choisissez la valeur de quantification souhaitée dans le menu Quantification, situé en haut au centre de l’éditeur clavier. Vous pouvez également cliquer sur le bouton Quantifier, afin de quantifier des événements sélectionnés (dont la valeur a été choisie dans le menu Quantification). Menu Quantification Bouton Quantifier Avertissement : une fois les événements individuels quantifiés dans l’éditeur clavier, il est préférable de ne pas utiliser le paramètre de quantification de région dans la région-mère. Si vous procédez ainsi, toute modification de quantification d’événement individuel disparaîtra.5 55 5 Utilisation d’instruments et d’effets Lorsque vous ajoutez la boucle Apple Loop Instrument logiciel à la piste Inst 1, vous avez sans doute remarqué que la bande de canaux Arrangement correspondante est remplie par un certain nombre de nouveaux champs. Ce sont des logements d’insertion, utilisés pour les effets d’insertion. Les bandes de canaux d’instruments comprennent également un logement d’insertion (juste en dessous de l’étiquette E/S de la bande de canaux). Les modules d’instruments logiciels ne peuvent être insérés que dans des bandes de canaux d’instruments. La méthode utilisée est la même, quel que soit l’instrument que vous choisissez. Vous pouvez le faire à partir de la fenêtre Table de mixage, mais il est plus rapide et facile d’utiliser la bande de canaux Arrangement en bas de l’Inspecteur. Vous pouvez également utiliser la Bibliothèque que nous décrirons à la section suivante. Menu Réglages des bandes de canaux Logement d’instrument Logement d’envoi (Send) Logement d’insertion56 Chapitre 5 Utilisation d’instruments et d’effets Avant de commencer cet exercice, cliquez sur le bouton Média (à l’extrémité droite de la barre d’outils Arrangement), puis cliquez sur l’onglet Bibliothèque s’il n’est pas déjà sélectionné. Pour installer directement un instrument dans une bande de canaux d’instruments : 1 Cliquez sur le nom de piste Inst 2 dans la liste de pistes. L’Inspecteur est actualisé pour refléter votre sélection. 2 Cliquez sur le logement d’Instrument (logement situé juste en dessous de E/S) sur la bande de canaux Arrangement de gauche. Un menu contenant tous les instruments logiciels disponibles est alors affiché. 3 Il suffit ensuite de cliquer sur le nom du ES E (Ensemble Synth) pour que le synthétiseur ES E soit chargé dans ce canal d’instruments. La fenêtre du module ES E s’ouvre automatiquement. La Bibliothèque à droite de la fenêtre Arrangement est également actualisée et affiche une liste de réglages (sons prédéfinis) pour le ES E. 4 Cliquez sur l’un des noms de réglage (dans la Bibliothèque) pour charger le son prédéfini dans le ES E. Essayez avec quelques réglages, en jouant sur votre clavier après le chargement de chaque son. ∏ Astuce : l’en-tête de la fenêtre du module fournit une autre méthode de chargement des réglages. Cette méthode est décrite à la section « Modification des instruments et des effets » à la page 60.Chapitre 5 Utilisation d’instruments et d’effets 57 Insertion directe d’un effet dans une bande de canaux : 1 Lorsque la piste Inst 2 est sélectionnée, il suffit de cliquer sur le logement supérieur Insérer (logement situé juste en dessous des insertions) dans la bande de canaux de gauche. Un menu contenant tous les modules d’effets disponibles est alors affiché. 2 Placez le pointeur de la souris sur l’élément de menu Distorsion, puis cliquez sur Bitcrusher dans le sous-menu. Bitcrusher est chargé dans le logement d’insertion supérieur du canal d’instrument. Sa fenêtre de module s’ouvre automatiquement. L’onglet de la Bibliothèque à droite de la fenêtre Arrangement est également actualisé et affiche une liste de réglages Bitcrusher. 3 Choisissez l’un des réglages Bitcrusher. Essayez avec quelques réglages, en jouant avec votre clavier après chaque chargement. 4 Répétez ces étapes afin d’insérer d’autres effets dans les logements d’insertion 2, 3, etc. ∏ Astuce : l’en-tête de la fenêtre du module fournit une autre méthode de chargement des réglages. Cette méthode est décrite à la section « Modification des instruments et des effets » à la page 60.58 Chapitre 5 Utilisation d’instruments et d’effets Insertion directe d’un effet EQ dans une bande de canaux : m Lorsque la piste Inst 2 est sélectionnée, il suffit de double-cliquer sur la sous-fenêtre EQ en haut de la bande de canaux Arrangement de gauche. Un égaliseur de voies (Channel EQ) est automatiquement inséré dans le logement d’insertion supérieur (ou dans le premier logement d’insertion disponible si le logement supérieur est déjà utilisé, ce qui est le cas si vous avez suivi les étapes ci-dessus). Les effets sont enchaînés en partant du logement d’insertion supérieur au logement d’insertion inférieur. ∏ Astuce : les données audio sont généralement égalisées avant d’être traitées avec d’autres effets, mais il n’y a pas de règle absolue lorsque vous êtes à la recherche d’un son particulier. Pour remplacer un module inséré (effet ou instrument) : m Cliquez sur le logement souhaité, puis choisissez un autre type de module dans le menu. Si la fenêtre de module est ouverte, elle est actualisée pour refléter le module sélectionné. Si elle n’est pas ouverte, une nouvelle fenêtre de module s’ouvre. Remplacement ou suppression d’un modèle (effet ou instrument) : m Cliquez sur le logement souhaité, puis choisissez « Pas de module » dans le menu. Vous pouvez également contourner un module. Cette opération laisse le module dans le logement d’insertion ou d’instrument, mais le signal est acheminé de telle sorte qu’il « contourne » le module. Pour contourner un module inséré (effet ou instrument), suivez l’une des méthodes ci-dessous : m Cliquez en maintenant la touche Option enfoncée sur le logement de la bande de canaux souhaitée (Table de mixage ou Arrangement). Le logement d’insertion du module contourné passe du bleu au gris, indiquant que le module est actuellement contourné. m Cliquez sur le bouton Contournement en haut à gauche de l’en-tête de la fenêtre du module. Chapitre 5 Utilisation d’instruments et d’effets 59 Utilisation de la Bibliothèque Comme vous l’avez vu, la Bibliothèque répertorie et catégorise tous les réglages de modules d’effets et d’instruments. Mieux encore, elle est automatiquement actualisée pour refléter :  Le type de bande de canal sélectionné.  La section de bande de canal sélectionnée : EQ, logement d’instrument, logement d’insertion, logement de réglages de bande de canal. Cette interaction avec différente parties des bandes de canaux Arrangement rendent la reconfiguration des réglages et du routage de vos effets très facile. Elle simplifie également un grand nombre de tâches de mixage et d’enregistrement. Ouverture ou fermeture de la Bibliothèque : 1 Cliquez sur le bouton Média dans la barre d’outils de la fenêtre Arrangement (en haut à droite). 2 Cliquez sur l’onglet Bibliothèque si elle n’est pas activée. La Bibliothèque s’ouvre également de manière automatique lorsque vous créez de nouvelles pistes, comme vous l’avez déjà vu. Si vous le souhaitez, cette fonctionnalité peut être désactivée dans la zone de dialogue Nouvelles pistes. Utilisation de la Bibliothèque pour charger des réglages de bandes de canaux complets : 1 Cliquez sur le nom de la piste Inst 3 dans la liste des pistes pour sélectionner la piste. L’Inspecteur et la Bibliothèque sont actualisés pour refléter votre sélection. 2 Cliquez sur n’importe laquelle des catégories qui figurent dans la Bibliothèque : 01 Pianos, 02 Pianos électriques, etc. 3 Cliquez, le cas échéant, sur n’importe laquelle des sous-catégories qui figurent dans la deuxième colonne de la Bibliothèque. Une troisième colonne s’affiche. 4 Cliquez sur l’un des réglages affichés dans la deuxième ou la troisième colonne. Après le chargement de chaque réglage, jouez avec votre clavier. La bande de canaux Arrangement de gauche est automatiquement actualisée (généralement avec au moins deux logements d’insertion et le logement d’instrument activés). Ce sont des réglages de bandes de canaux et non des réglages d’instruments individuels. Le module d’instruments, mais aussi tous les modules d’effets utilisés par la bande de canaux, sont chargés. Mieux encore, le réglage de chaque module (instruments et effets) est automatiquement chargé.60 Chapitre 5 Utilisation d’instruments et d’effets Pour changer rapidement d’effet ou de réglages d’instruments chargés : 1 Cliquez sur l’un des logements d’insertion ou d’instruments utilisés dans la bande de canaux Arrangement. Un cadre blanc apparaît autour du logement sélectionné et la Bibliothèque est actualisée. 2 Choisissez un autre réglage dans la Bibliothèque afin de le charger pour l’effet ou le type d’instrument sélectionné. Modification des instruments et des effets Comme vous l’avez appris, une fenêtre de module d’instrument ou d’effet s’ouvre lorsqu’un instrument ou un effet est inséré dans la bande de canaux. Vous pouvez trouver des informations complètes sur les paramètres et l’utilisation de chaque module dans le manuel consacré aux instruments et aux effets de Logic. Voici d’abord quelques notions élémentaires sur la fenêtre de module. Le cadre blanc indique que la Bibliothèque est activée. Cliquez ici pour charger, enregistrer ou copier un réglage de module Cliquez ici pour contourner un module Cliquez ici pour fermer une fenêtre de moduleChapitre 5 Utilisation d’instruments et d’effets 61 Pour modifier des paramètres de module : m Il suffit de cliquer sur des interrupteurs ou des boutons pour activer ou désactiver des paramètres. m Faites glisser verticalement le curseur sur un bouton pour modifier la valeur du paramètre. m Faites glisser les poignées de curseur pour ajuster la valeur du paramètre. m Cliquez, en maintenant la touche Option enfoncée, sur n’importe quel paramètre (non-commutateur) pour rétablir sa valeur par défaut. Essayez tout cela avec la partie d’instrument ES E que vous avez enregistrée au cours des étapes précédentes. Vos modifications de paramètres peuvent être enregistrées comme nouveau réglage de module. Vous pouvez également enregistrer les modifications de paramètres en temps réel, via l’automatisation de piste. Pour en savoir plus à ce sujet, reportez-vous à la section « Automatisation de votre mixage » à la page 71. Pour ouvrir la fenêtre de module ES E si elle n’est pas ouverte : 1 Cliquez sur le nom de la piste ES E (la sixième piste) dans la liste des pistes. 2 Double-cliquez sur le logement d’instrument ES E de la bande de canaux Arrangement. La fenêtre du module ES E s’ouvre. Si elle n’est pas encore ouverte, la fenêtre de module s’ouvre lorsque vous double-cliquez sur l’un des logements EQ, d’insertion ou d’instruments actifs. Dans ce cas, la fenêtre de module correspondante est mise en évidence. ∏ Astuce : si le bouton Lier est activé dans une fenêtre de module ouverte, double-cliquez sur un logement d’insertion ou d’instrument pour afficher le module correspondant (cela permet de gagner de l’espace à l’écran). Si le bouton Lier est désactivé, une nouvelle fenêtre de module s’ouvre. Essayez les modes liés et non liés sur la piste Inst 1.6 63 6 Utilisation des fichiers audio Un projet peut potentiellement contenir des milliers de fichiers audio que vous devez gérer et éditer. Les tâches de gestion de fichiers audio (attribution d’un nouveau nom, création de copies de sauvegarde ou conversion dans d’autres formats, par exemple) doivent être réalisées de préférence dans le chutier audio. De nombreuses tâches de gestion de fichiers audio, telles que le redimensionnement, peuvent être réalisées sur les régions, plutôt qu’en modifiant le fichier audio correspondant. Par contre, si vous devez effectuer des modifications audio très précises, il vaut mieux utiliser l’Éditeur des échantillons. Édition de fichiers audio Même si la fenêtre Arrangement vous permet d’éditer les régions avec une précision de l’ordre de l’échantillon, certaines tâches doivent être réalisées directement sur les fichiers audio correspondants. Exemples :  réglage précis des points de début et de fin d’un fichier audio lors de la création d’une boucle,  modification du « temps fort » (appelé point d’ancrage dans Logic) pour garantir la lecture du fichier audio exactement au moment voulu,  inversion du fichier audio,  optimisation du gain, sans écrêtage du fichier audio (processus appelé normalisation),  suppression des bruits secs de vos fichiers audio. Toutes ces tâches, ainsi que beaucoup d’autres, peuvent être réalisées dans l’Éditeur des échantillons. Vous trouverez des détails sur toutes les commandes et fonctions de l’Éditeur des échantillons, ainsi que des exemples d’utilisation au chapitre « Édition audio dans l’Éditeur des échantillons » du manuel de l’utilisateur de Logic.64 Chapitre 6 Utilisation des fichiers audio Pour ouvrir l’Éditeur des échantillons, effectuez l’une des opérations suivantes : m Sélectionnez une région ou un fichier audio (dans la zone Arrangement ou le chutier audio) et ouvrez l’Éditeur des échantillons en cliquant sur le bouton au-dessus de la barre de Transport. m Double-cliquez sur une région ou un fichier audio (dans la zone Arrangement ou le chutier audio). Important : tous les traitements et opérations d’édition effectués dans l’Éditeur des échantillons sont destructeurs. Cela signifie que votre fichier audio est réellement modifié. Bien que vous ayez la possibilité d’annuler les modifications et les commandes de traitement, prenez l’habitude de travailler sur des copies de vos fichiers audio, plutôt que sur les originaux. Deux précautions valent mieux qu’une. Règle Écran d’informations Affichage Oscilloscope Point d’ancrage Zone Région Tête de lecture Vue d’ensemble de la forme d’onde Bouton Lecture Bouton BoucleChapitre 6 Utilisation des fichiers audio 65 Gestion de vos fichiers audio Une fois qu’un fichier audio (de n’importe quel format pris en charge) est ajouté ou enregistré dans votre projet, il apparaît dans le chutier audio (zone Média). Vous pouvez également importer directement des fichiers audio dans le chutier audio. Ce dernier peut être considéré comme un catalogue des fichiers audio de votre projet. Il affiche également les régions, dérivées des fichiers audio importés. Pour voir les fichiers que vous avez importés, cliquez sur l’onglet Chutier en haut de la zone Média. Vous pouvez faire glisser directement les fichiers du chutier vers la zone Arrangement. Toutes les fonctions et commandes du chutier audio sont abordées dans le manuel de l’utilisateur de Logic, mais il est conseillé de prendre quelques minutes pour explorer les menus et réaliser l’exercice ci-dessous. Régions associées au fichiers audio. Les barres matérialisent la durée et la portion relatives du fichier. Informations sur les fichier audio66 Chapitre 6 Utilisation des fichiers audio Pour exporter un fichier audio au format MP3 : 1 Cliquez sur un nom de fichier audio (et non de région) dans le Chutier. Remarque : cette fonction ne permet pas de convertir les fichiers Apple Loop, vous devez choisir un autre type de fichier. 2 Sélectionnez Fichier audio > Copier/Convertir les fichiers (ou utilisez le raccourci clavier : Contrôle + C). La zone de dialogue Copier/convertir les fichiers s’ouvre. 3 Cliquez sur le menu Format de fichier et sélectionnez l’option MP3. 4 Cliquez sur le bouton Enregistrer.7 67 7 Mixage et exportation de votre projet La fenêtre Table de mixage peut afficher toutes les bandes de canaux utilisées dans votre projet ou une partie seulement d’entre elles. Même si la plupart des tâches de mixage peuvent être menées à bien à l’aide des bandes de canaux Arrangement, il est parfois préférable d’utiliser la table de mixage, en particulier au fur et à mesure que vous développez votre arrangement ou lorsque vous avez terminé la phase d’enregistrement de votre projet et que vous êtes prêt à « finaliser » votre mixage. Pour ouvrir ou fermer la fenêtre Table de mixage : m Cliquez sur le bouton Mixage, situé juste au-dessus de la barre Transport. La présentation de table de mixage par défaut affiche tous les canaux, tels qu’ils sont utilisés par les pistes de la fenêtre Arrangement.68 Chapitre 7 Mixage et exportation de votre projet Pour modifier la présentation de table de mixage : m Cliquez sur les boutons Simple, Arrangement ou Tout, situés en haut de la fenêtre Table de mixage.  Simple : affiche les bandes de canaux dans le chemin du signal de la piste sélectionnée.  Arrangement : affiche les bandes de canaux correspondant aux pistes utilisées dans la fenêtre Arrangement.  Tout : affiche toutes les bandes de canaux du projet. m Les boutons Audio, Inst, Auxiliaire et autres situés à droite font office de « filtres ». Vous pouvez cliquer sur un ou plusieurs d’entre eux pour affiner la présentation de la table de mixage. Ces boutons limitent la présentation à certains types de canaux, vous facilitant ainsi la tâche lorsque vous travaillez avec un grand nombre de canaux. La bande de canaux de la piste sélectionnée (dans la fenêtre Arrangement) est bordée de vert, ce qui simplifie son identification. Pour sélectionner une piste ou un canal différent : m Dans la table de mixage : cliquez sur le nom en bas de la bande de canaux souhaitée. La piste d’arrangement correspondante est sélectionnée. m Dans la zone Arrangement : cliquez sur le nom de la piste dans la liste des pistes. La bande de canaux correspondante est sélectionnée dans la table de mixage.Chapitre 7 Mixage et exportation de votre projet 69 Utilisation des commandes de la bande de canaux Cette rubrique vous enseignera les bases de l’utilisation des bandes de canaux. Les diffé- rents types de bandes de canaux offrent différentes fonctionnalités (voir manuel de l’utilisateur de Logic). Pour régler le niveau d’une bande de canaux : m Sur la table de mixage ou dans la zone Arrangement (bandes de canaux), saisissez l’équilibreur Niveau et faites-le glisser vers le haut ou le bas. Il n’est pas nécessaire de sélectionner une bande de canaux sur la table de mixage pour régler des paramètres. Pour régler la balance d’une bande de canaux : m Cliquez au centre de la commande Pan/Balance et déplacez la souris verticalement. Les mouvements dirigés vers le haut orientent la balance à droite, alors que ceux dirigés vers le bas l’orientent à gauche. Les réglages font basculer le signal à gauche ou à droite sur les canaux mono, mais modifient la balance entre les signaux droit et gauche des canaux stéréo. Contrôle Pan/Balance Curseur de niveau70 Chapitre 7 Mixage et exportation de votre projet Modification du routage des bandes de canaux Il peut s’avérer utile d’envoyer les signaux de plusieurs canaux vers d’autres canaux, pour deux raisons :  Pour partager des processeurs d’effets, tels qu’un module de réverbération ou de retard. Cette opération économise les ressources de traitement de l’ordinateur, car un seul module est utilisé par tous les canaux. Du point de vue créatif, cela peut également garantir qu’une couleur, une ambiance ou une synchronisation (en cas de retards) particulière est appliquée à tous les canaux acheminés.  Pour constituer des sous-groupes formés de plusieurs canaux (une section d’instruments à cordes par exemple). Cette opération permet, par exemple, de réaliser facilement un fondu sortant sur toutes les cordes, tout en augmentant simultanément le niveau de la section des cors (plusieurs canaux acheminés vers un sous-groupe différent ). Des bandes de canaux auxiliaires sont utilisés dans les deux cas.  Lorsqu’ils sont utilisés comme envoi/retour d’effets, insérez simplement les modules d’effet souhaité dans le canal auxiliaire. Les signaux de bandes de canaux envoyés à la bande de canaux auxiliaire sont traités par des modules (sur le canal auxiliaire), puis renvoyés aux bandes de canaux.  Lorsque des canaux auxiliaires sont utilisés comme sous-groupes, vous pouvez modifier la balance et le niveau de tous les canaux acheminés jusqu’à la bande de canaux auxiliaire en ajustant ces commandes sur la bande de canaux auxiliaire. Pour envoyer un canal à un bus : m Cliquez sur le logement Envoi inutilisé, situé en haut de tout canal, puis choisissez Bus 1 dans le menu. Les résultats de cette opération sont les suivants :  Une nouvelle bande de canaux auxiliaire (Aux 1) est créée sur la table de mixage et le Bus 1 est affiché dans le logement Entrée (section E/S).  Une étiquette Bus 1 bleue apparaît dans le logement Envoi du canal, ainsi qu’un petit bouton Envoyer niveau (situé à droite du logement).Chapitre 7 Mixage et exportation de votre projet 71 Pour régler la quantité du signal du canal envoyé au bus (canal auxiliaire) : m Faites glisser verticalement le bouton Envoyer niveau. L’utilisation des logements de modules EQ, d’instrument et d’effet, pour tous les types de bandes de canaux,est présentée au chapitre 5, « Utilisation d’instruments et d’effets ». Automatisation de votre mixage À ce stade, vous savez combien de commandes et de paramètres sont disponibles dans les bandes de canaux et vous avez découvert plusieurs modules. Les modifications que vous apportez à presque toutes ces commandes et tous ces paramètres peuvent être enregistrées et réutilisées, tout comme vos performances MIDI et audio. Cette opération vous permet de créer des mixages complexes, animés, comprenant des canaux dont le son est automatiquement désactivé, des signaux balancés d’un côté à l’autre, des balayages de filtres de synthétiseurs, des fondus entrants et sortants sur des groupes de canaux et bien plus encore. L’enregistrement et la réutilisation de ces modifications constituent « l’automatisation du mixage ». Il existe plusieurs manières de procéder à ces opérations dans Logic, mais la méthode la plus simple et la plus efficace est l’automatisation des pistes. Comme le nom l’indique, les informations d’automatisation sont stockées sur des pistes d’automatisation dans la fenêtre Arrangement. Ces pistes sont indépendantes des régions MIDI et audio.72 Chapitre 7 Mixage et exportation de votre projet Les données d’automatisation de pistes sont affichées dans une zone grise semi-transparente (une piste d’automatisation) visible sur toute la longueur de votre projet. Les formes d’onde audio des régions audio et les notes des régions MIDI peuvent être visualisées avec un niveau de contraste réduit dans la zone ombrée. Les informations d’automatisation elles-mêmes sont représentées par des courbes, des points (appelés nœuds) et des lignes de couleur, visibles dans la voie grise de la piste d’automatisation.Chapitre 7 Mixage et exportation de votre projet 73 Pour afficher l’automatisation des pistes dans la zone Arrangement, procédez de l’une des manières suivantes : m Choisissez Affichage > Automation des pistes dans la zone Arrangement (ou utilisez le raccourci clavier par défaut Afficher l’automation de piste: A). m Cliquez sur le bouton d’automatisation dans barre d’outils Arrangement. Une voie d’automatisation grise apparaît sur toutes les pistes et le menu Paramètre d’automation est affiché dans l’en-tête de piste. Cela vous permet de choisir le paramètre d’automation visible. Il est automatiquement défini sur Volume. Les données d’automation ne s’affichent que si la hauteur de la piste est suffisante. Lors de l’activation de l’automation de piste, un niveau de zoom vertical approprié est automatiquement défini. Choix d’un paramètre d’automation : m Cliquez sur le menu Paramètre d’automation et recherchez le paramètre souhaité. Un sous-menu s’affiche pour chaque module inséré dans la bande de canaux. Ils sont numérotés et nommés d’après le module et la position du logement. D’autres sousmenus peuvent apparaître dans les menus de module. Les sous-menus Volume, Panoramique, Solo, Muet et Contournement s’affichent dans le sous-menu Principal. Menu Paramètre d’automation74 Chapitre 7 Mixage et exportation de votre projet Pour écrire l’automatisation du volume sur une piste d’automatisation : 1 Assurez-vous que le volume est affiché dans le menu Paramètre d’automation. 2 Choisissez Toucher, Verrou ou Écrire dans le logement d’automatisation de la bande de canaux Arrangement. 3 Démarrez la lecture en cliquant sur le bouton Lecture de la barre de transport. 4 Déplacez l’équilibreur de niveau dans la bande de canaux d’arrangement. 5 Arrêtez l’enregistrement d’automatisation en cliquant sur le bouton Arrêt de la barre de transport. Notez que le logement d’automatisation de la bande de canaux passe automatiquement à Lecture. 6 Appuyez sur Lecture pour écouter votre nouvelle piste automatisée. Cette procédure peut être répétée pour tout paramètre actif (celui qui est affiché dans le menu Paramètre d’automation). Vous pouvez aussi « écrire » l’automatisation en choisissant l’outil Crayon, puis en cliquant sur différents points de la piste d’automatisation. Des nœuds sont créés aux points sur lesquels vous avez cliqué et des lignes de connexion sont automatiquement créées entre ces nœuds. Remarque : il n’est pas nécessaire que les noms des paramètres (ou les voies de la piste d’automatisation) soient visibles pour que l’automatisation soit lue. Pour modifier la piste d’automatisation du volume : 1 Choisissez l’outil Automatisation ou l’outil Pointeur. 2 Cliquez sur un noeud, une ligne ou une courbe, puis faites glisser cet élément vers le haut ou le bas, ou bien vers la gauche ou la droite.Chapitre 7 Mixage et exportation de votre projet 75 Exportation de votre projet Une fois que vous avez enregistré et mixé toutes les portions de votre projet, l’étape suivante consiste généralement à exporter votre morceau sous forme de fichier audio, afin de le copier sur un CD, de l’envoyer par Internet, de l’écouter sur votre iPod, etc. Tout cela est possible grâce à un processus appelé « bounce ». Pour bouncer votre mixage : 1 Cliquez sur le bouton Bounce, situé dans la partie droite de la barre d’outils Arrangement. 2 Dans la zone de dialogue Bounce, utilisez les réglages illustrés ci-dessous pour créer un fichier adapté au transfert sur CD. 3 Cliquez sur le bouton Bounce pour effectuer un bounce en temps réel. Le fichier est alors ajouté à la fenêtre Chutier audio et à votre bibliothèque iTunes. Remarque : les champs Entrée et Sortie incluent automatiquement toutes les régions audio de votre projet, sauf si le mode Cycle est activé (assurez-vous qu’il ne l’est pas). S’il est activé, cliquez sur Annuler, puis sur le bouton Cycle de la barre de transport, puis ouvrez à nouveau la zone de dialogue Bounce.8 77 8 Accélération de votre flux de production Il existe des centaines de fonctions et commandes dans Logic et autant de manières de les utiliser. C’est à vous qu’il incombe en fin de compte de choisir l’approche de création musicale à utiliser dans Logic, car le programme vous permet généralement de travailler de la manière qui vous paraît la plus sensée. Plus important encore, toutes les opérations de personnalisation que vous réalisez vous permettent d’accélérer et de simplifier votre flux de production. Utilisation des raccourcis clavier Vous pouvez activer la plupart des fonctions et opérations de Logic à l’aide de raccourcis clavier. En réalité, certaines fonctions ne sont disponibles que sous forme de raccourcis clavier. Lorsque c’est possible, il est préférable d’utiliser ces raccourcis qui s’avèrent plus rapides que la souris. Cette fenêtre permet d’assigner des raccourcis clavier au clavier de votre ordinateur. Les raccourcis clavier personnalisés vous permettent de reconfigurer Logic conformément à votre propre style de travail. Vos raccourcis clavier personnalisés sont stockés dans les fichiers de préférences de Logic. De plus amples détails sur la fenêtre Raccourcis clavier (accessible via Logic > Préférences > Raccourcis clavier ou via le raccourci clavier Option + K) sont présentés dans le manuel de l’utilisateur de Logic.78 Chapitre 8 Accélération de votre flux de production Utilisation des screensets Tout projet créé dans Logic peut contenir jusqu’à 90 screensets. Les screensets sont des combinaisons de fenêtres que vous pouvez personnaliser et affecter à des touches ou des combinaisons de touches du clavier numérique. Chaque screenset mémorise le type d’éditeur ou de fenêtres Arrangement ouverts, ainsi que leur taille individuelle, leur position et leurs réglages de zoom. Cette fonction accélère considérablement votre flux de production et vous permet de personnaliser Logic selon vos besoins et vos goûts. ∏ Astuce : les screensets sont particulièrement utiles si vous utilisez plusieurs moniteurs ou des moniteurs à écran large. Vous pouvez positionner et redimensionner des éléments n’importe où, sur n’importe quel moniteur. Configuration d’un screenset : 1 Appuyez sur l’une des touches numériques situées au-dessus du clavier de votre ordinateur (vous pouvez également vous servir d’un pavé numérique si vous utilisez un Macintosh portable). 2 Ouvrez les fenêtres souhaitées en les sélectionnant à partir du menu Fenêtre ou en utilisant les raccourcis clavier appropriés. 3 Redimensionnez, zoomez et repositionnez les fenêtres sélectionnées en fonction de vos besoins. Toutes les modifications que vous apportez sont automatiquement enregistrées. Le redimensionnement et le repositionnement des fenêtres fonctionnent comme pour toute application Mac OS X. Vous pouvez zoomer sur le contenu d’une fenêtre individuelle à l’aide des curseurs Zoom. Remarque : cela n’est possible qu’avec les touches/screensets 1 à 9. Configuration de plus de neuf screensets : m Appuyez sur la touche Contrôle tout en tapant la combinaison de touches numériques souhaitée. Important : vous ne pouvez pas utiliser le chiffre « 0 » dans vos combinaisons de screensets, car cette touche numérique est réservée « matériellement » au raccourci clavier de la fonction Lecture. Pour rappeler un screenset, procédez selon l’une des façons suivantes : m Appuyez sur la touche ou la combinaison de touches appropriée. Maintenez la touche Contrôle enfoncée et appuyez sur le nombre de touches approprié pour rappeler les screensets 11 et supérieurs. m Sélectionnez le screenset de votre choix dans le menu Screenset.Chapitre 8 Accélération de votre flux de production 79 Pour empêcher toute modification du screenset actuel : m Choisissez Screensets > Verrouiller screenset (ou utilisez le raccourci clavier Verrouiller/ Déverrouiller screenset actuel correspondant, par défaut : Maj + L). Une puce apparaît devant le numéro du screenset pour indiquer qu’il est verrouillé. Réutilisez le raccourci clavier ou la commande de menu pour déverrouiller le screenset. Utilisation des surfaces de contrôle Tout appareil utilisé pour contrôler les fonctions de Logic à distance est appelé « surface de contrôle ». De nombreuses opérations de Logic, notamment le contrôle des paramètres des bandes de canaux, l’exécution des raccourcis clavier, le changement de screenset, l’activation des pistes, la désactivation du son, le mode solo, les fonctions de transport et bien d’autres, peuvent être effectuées à distance, à partir de tout périphérique MIDI tel que votre clavier MIDI. Cependant, certains contrôleurs de logiciels dédiés offrent plus de flexibilité. En général, ces périphériques contiennent plusieurs bandes de canaux, toutes équipées d’un équilibreur, d’un bouton de réglage et d’un ou de plusieurs commutateurs. La plupart offrent également des boutons de transport dédiés : Lecture, Arrêt, Enregistrer, Rembobiner, et Avancer. Les unités de haut de gamme possèdent des écrans LCD, des boutons de défilement (Jog), ainsi qu’un grand nombre de boutons réaffectables. Les surfaces de contrôle peuvent considérablement accélérer votre utilisation de Logic, particulièrement en ce qui concerne le mixage et l’automatisation des tâches d’enregistrement. Bien entendu, si vous procédez à l’automatisation ou à la modification du volume à l’aide de la souris, vous ne pouvez contrôler que ce paramètre (ou ce canal) à la fois. Avec une surface de contrôle, vous pouvez simultanément automatiser ou modifier le volume de plusieurs canaux (autant d’équilibreurs ou de boutons de réglage de canaux que vous pouvez déplacer simultanément sur la surface de contrôle). D’autres tâches, comme la programmation et l’automatisation d’instruments logiciels ou d’effets, peuvent également être simplifiées à l’aide d’une surface de contrôle, qui fournit des équilibreurs ou boutons de réglage dédiés (les commandes des bandes de canaux sont réaffectées) pour les paramètres de modules. Cela vous offre un contrôle direct et simultané sur la fréquence de coupure ou la résonance d’un filtre de module de synthétiseur et sur les paramètres de vitesse LFO par exemple. Cela permet non seulement d’être plus rapide, mais également d’accentuer la « sensation » et la « balance du mixage » de votre musique en utilisant vos mains et vos oreilles, plutôt que vos mains et vos yeux. De nombreuses surfaces de contrôle sont prises en charge de manière native. Vous pouvez reconfigurer librement ces périphériques, ou des périphériques non pris en charge, via Logic > Préférences > Surfaces de contrôle > fenêtre Assignation de Contrôleur. 81 A Annexe A Notions élémentaires relatives aux données audio et MIDI Cette annexe présente une brève vue d’ensemble des notions élémentaires relatives aux données audio numériques et MIDI. Vous trouverez ici les réponses relatives à certaines questions, notamment à quoi correspond un fichier audio, comment les données audio sont converties en données informatiques et vice versa ou encore en quoi consiste le format MIDI. MIDI MIDI est un acronyme de Musical Instrument Digital Interface. Pour être plus précis, les termes « Musical Instrument » font référence aux instruments musicaux électroniques, notamment les synthétiseurs, les échantillonneurs, ou encore les guitares MIDI. L’expression « Digital Interface » semble technique, mais il n’en est rien. En règle générale, l’interface numérique MIDI est constituée de deux composants.  MIDI correspond à un langage informatique, et comme vous le savez, les ordinateurs fonctionnent sur le mode numérique. Les claviers, modules et cartes MIDI sont en réalité des ordinateurs déguisés.  L’interface MIDI n’est rien d’autre que ça, une interface. Le format MIDI est un standard matériel comprenant un ensemble de connecteurs physiques appelés IN, OUT et THRU. Ces connecteurs figurent sur tous les périphériques MIDI, notamment les claviers ou les modules. Langage MIDI Le « langage » MIDI est compris par l’ensemble des périphériques MIDI. Ce langage vise à convertir vos performances musicales en informations pouvant être déchiffrées par un ordinateur. (N’oubliez pas que les claviers et les modules MIDI sont en réalité des ordinateurs déguisés.)82 Annexe A Notions élémentaires relatives aux données audio et MIDI Lorsque vous utilisez votre clavier, ou lorsque Logic lit un fichier MIDI, les informations MIDI (qui « décrivent » votre performance) sont transmises sous la forme d’une chaîne de messages MIDI. Ces messages correspondent à des instructions indiquant à un module audio ou un synthétiseur connecté comment lire un morceau de musique. C’est le synthétiseur ou le module recevant les données MIDI qui génère les sons émis. Important : l’interface MIDI n’envoie aucun son. Elle ne fait que transmettre des instructions. Connexion MIDI Comme indiqué précédemment, le format MIDI correspond également à une « interface » matérielle comprenant un ensemble de connecteurs normalisés appelés IN, OUT et THRU. Les connecteurs MIDI consistent en une prise ronde dotée de cinq trous disposés en demicercle. Les câbles MIDI, utilisés pour connecter les périphériques MIDI, possèdent une fiche comportant cinq broches. Seules trois de ces broches transmettent des informations. Les données MIDI sont uniquement transmises de façon unidirectionnelle au niveau de chaque connecteur. Si vous souhaitez que votre clavier MIDI envoie et reçoive des messages via l’application Logic, vous devez connecter deux câbles. Vos connexions MIDI doivent être configurées comme suit :  Les prises MIDI OUT doivent être connectées aux prises MIDI IN sur le périphérique de réception.  Les prises MIDI IN doivent être connectées aux prises MIDI OUT. Le connecteur MIDI THRU ne figure pas sur tous les périphériques MIDI. Il renvoie uniquement les messages MIDI arrivant dans la prise MIDI IN et vous permet de relier en chaînes plusieurs périphériques MIDI. Les messages MIDI sont envoyés depuis un contrôleur MIDI, notamment un clavier ou un séquenceur (par exemple, Logic) via le connecteur MIDI OUT. Le périphérique (module audio ou synthétiseur MIDI) recevant les messages MIDI au niveau de sa prise MIDI IN répond à ces messages en émettant des sons. Important : n’oubliez pas que l’interface MIDI n’envoie aucun son. Elle envoie des instructions relatives à ce qui doit être lu, à quel moment et de quelle manière.Annexe A Notions élémentaires relatives aux données audio et MIDI 83 Audio Le terme « Audio » se réfère à tout son que vous pouvez entendre. Dans le monde physique, par opposition à l’univers informatique, on parle « d’audio analogique ». Lorsque l’application Logic enregistre des signaux audio analogiques via une interface audio connectée ou installée sur votre ordinateur, les données audio sont converties en informations numériques. Ces dernières sont stockées sous forme de fichier audio numérique sur le disque dur de votre ordinateur. Comme pour le format MIDI, le terme « numérique » semble bien technique, mais ce n’est pas le cas. Comme mentionné précédemment, les ordinateurs fonctionnent en mode numérique et doivent transformer les signaux audio analogiques en informations numériques. Important : contrairement au format MIDI, les fichiers audio numériques sont de véritables enregistrements sonores plutôt qu’un langage d’instructions. Enregistrement audio et analogique Bien qu’un enregistrement audio numérique soit conceptuellement similaire à un enregistrement analogique effectué sur bande, les différences techniques sont majeures. Au cours d’une grande partie du XXème siècle et au début du XXIème siècle, la bande analogique a été utilisée pour stocker les performances audio (parlées, chantées et jouées). Une bande analogique se compose d’une fine bande de plastique recouverte de petites particules métalliques. Cette bande se présente généralement sous forme de rouleau ou de bobine, ou encore sous forme de cassette. L’enregistrement sur bande analogique implique la transmission de faibles charges électriques aux têtes magnétiques d’un enregistreur à bande. Les variations de puissance de ces charges transforment les champs magnétiques générés par les têtes et entraînent également une modification des positions des particules métalliques sur la bande. Bien entendu, il ne s’agit pas d’une science exacte. En raison du caractère aléatoire de la réorganisation des particules magnétiques sur la bande (et pour d’autres raisons techniques), les enregistrements sont qualifiés d’analogiques, c’est-à-dire similaires aux performances réelles. L’enregistrement numérique, en revanche, est moins aléatoire. Les signaux analogiques sont convertis en signaux audio numériques via le convertisseur analogique numérique (ou ADC, Analog to Digital Converter) de l’interface audio. Le signal audio numérique est stocké (sous forme d’une série de zéros et de uns) dans un fichier audio numérique sur le disque dur de votre ordinateur. Si ce fichier n’est pas corrompu (et n’est pas modifié), l’enregistrement numérique est identique lors de chaque lecture.84 Annexe A Notions élémentaires relatives aux données audio et MIDI En situation de copie (de bande à bande), il n’est pas possible de comparer les enregistrements analogiques et numériques. Chaque copie successive d’un enregistrement analogique devient plus bruyante et s’avère de moins bonne qualité que le morceau source. Ce phénomène tient au caractère aléatoire des particules magnétiques. En effet, à chaque copie effectuée, la disposition de ces particules s’éloigne de la disposition d’origine. En revanche, il est possible de copier à volonté des fichiers audio numériques, car chaque copie effectuée est identique au morceau d’origine. Il s’agit simplement d’une copie de fichier. Plus concrètement, les fichiers audio numériques stockés sur votre disque dur présentent les avantages suivants par rapport aux données audio analogiques stockées sur une bande.  Il est possible de couper, copier et coller les données audio numériques entre deux points. Pourriez-vous en revanche vous imaginer en train de couper aux ciseaux un enregistrement analogique stéréo sur bande en quatre ou cinq morceaux, puis de les recoller ? Ce serait pour le moins fastidieux.  Vous pouvez accéder directement à un point du fichier audio numérique, sans avoir à attendre que la bande soit rembobinée ou avancée sur un magnétophone à bande analogique.  Vous pouvez effectuer sur les données audio numériques des actions impossibles à appliquer aux données audio analogiques. Vous pouvez par exemple régler la tonalité d’un fichier audio numérique sans pour autant modifier sa vitesse. Conversions numériques Lorsqu’un signal audio analogique arrive au niveau des entrées de l’interface audio de votre ordinateur, il doit être converti en données numériques pour que l’ordinateur puisse l’utiliser. Ce processus correspond à une conversion du mode analogique au mode numérique, effectuée via le convertisseur analogique numérique (ou ADC, Analog to Digital Converter) de votre interface audio. À l’autre extrémité du trajet du signal, le signal numérique doit être reconverti en signal analogique pour que celui-ci puisse être lu par des systèmes de lecture audio analogiques (tels qu’un amplificateur ou des haut-parleurs). Ce processus correspond à une conversion du mode numérique au mode analogique, effectuée via le convertisseur numérique analogique (ou DAC, Digital to Analog Converter) de votre interface audio.Annexe A Notions élémentaires relatives aux données audio et MIDI 85 À propos des bits et des fréquences d’échantillonnage Lorsque vous enregistrez un son sur votre ordinateur, le convertisseur analogique numérique de votre interface audio prélève un certain nombre de fois par seconde un échantillon de la source sonore. Il s’agit de la fréquence d’échantillonnage, exprimée en kHz (kilohertz, un kilo étant égal à mille unités) ou sous forme de « x » milliers d’échantillons par seconde. Plus la fréquence est importante, plus le nombre d’échantillons traités par le convertisseur analogique numérique est important, et plus précise sera la représentation numérique du son. En d’autres termes, imaginez que chaque échantillon correspond à une photo prise lors d’un concert que vous essayez de décrire à un ami. Si vous avez pris une photo toutes les dix minutes, il vous sera plutôt difficile de décrire ce spectacle. Par contre, si vous avez pris mille photos en l’espace de dix minutes, votre ami pourra facilement se repré- senter l’événement. Cette « fréquence » plus importante, ou ce nombre de photos (échantillons), offre une représentation bien plus précise de cette manifestation. C’est ainsi que fonctionne l’échantillonnage. Plus il existe de « photos sonores », plus le son est représenté de manière précise sur la durée. Un enregistrement vidéo du concert, effectué à une vitesse de 25 images (échantillons) par seconde, offre une représentation encore plus précise de l’événement. Les fréquences d’échantillonnage courantes utilisées lors de la création de données audio sont les suivantes : 44,1 kHz ou 48 kHz, et les systèmes de pointe utilisent des fréquences allant de 96 kHz à 192 kHz. La résolution d’échantillonnage, exprimée en bits, permet de définir la précision de l’échelle de mesure utilisée pour stocker (les nombres de) chaque échantillon. N’oubliez pas que les ordinateurs stockent les fichiers audio sous forme de données numériques, à savoir une série de zéros et de uns. Trois résolutions de fichiers audio sont généralement utilisées : 8, 16 et 24 bits. Les systèmes 24 bits sont assez fréquents de nos jours. Pour mieux comprendre la résolution d’échantillonnage, imaginez deux personnes en train de construire une maison. L’une d’entre elles utilise un mètre gradué en décimè- tres. L’autre utilise un mètre gradué en centimètres. Bien que la maison construite avec le mètre gradué en décimètres ne risque pas de s’écrouler, la personne utilisant l’unité la plus exacte construira une maison plus précise. 87 B Annexe B Données audio et MIDI sous Mac OS X Ce chapitre présente les fonctionnalités audio et MIDI disponibles sous Mac OS X. Vos morceaux audio et MIDI peuvent être utilisés par l’ensemble des applications multimédia sous Mac OS X. Ces fonctions sont assurées par les services Core du système d’exploitation. Core Audio Vous pouvez accéder à l’ensemble des périphériques audio via Core Audio sous Mac OS X. Core Audio est un système audio souple, à haute performance et à faible latence. Logic est compatible avec n’importe quel matériel audio pris en charge par un gestionnaire Core Audio. Sous-fenêtre de préférences Son La sous-fenêtre de préférences Son n’est nécessaire que pour modifier les effets sonores du système (« Sosumi », « Ping », etc.). Si vous voyagez avec votre ordinateur portable Macintosh et que vous souhaitez tester rapidement une nouvelle idée de morceau musical, vous pouvez utiliser le micro interne pour effectuer l’enregistrement. Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système > Son, puis sélectionnez Entrée. Dans cette sous-fenêtre, passez d’Entrée de ligne à Microphone interne. Choisissez le menu Pomme > Préférences système > Son, puis sélectionnez Sortie. Cette sous-fenêtre permet de définir le périphérique de sortie par défaut. Ce périphérique est utilisé pour les bips d’alerte système et pour certaines applications audio, notamment iTunes et iMovie. Si vous préférez émettre vos bips système (et lire les données audio iTunes et iMovie) via un matériel Core Audio externe, sélectionnez votre périphérique ici. Remarque : vous pouvez définir un niveau de bip d’alerte indépendant. Il est recommandé de réduire ce niveau au minimum, voire de désactiver totalement les bips d’alerte, lorsque vous travaillez sur des compositions.88 Annexe B Données audio et MIDI sous Mac OS X Vous devez toujours sélectionner le niveau de volume maximum autorisé, afin de tirer pleinement parti de la plage dynamique lorsque vous travaillez sur des applications utilisant la sortie par défaut. Remarque : réduisez le réglage de niveau de votre système d’amplification lors du réglage du volume, afin d’éviter d’endommager vos haut-parleurs. Configuration audio et MIDI (CAM) L’application Configuration audio et MIDI d’Apple est intégrée au système d’exploitation. Cette application se trouve dans le dossier Applications/Utilitaires. Remarque : il peut s’avérer utile de placer cette application dans le Dock. Puisque l’application CAM possède les même paramètres que la sous-fenêtre de préfé- rences Son (hormis pour les effets sonores), utilisez-la pour la plupart des réglages de votre interface audio. Cette application permet de choisir un réglage par défaut pour votre matériel Core Audio. Ce réglage par défaut est nécessaire pour la plupart des applications audio (par exemple, iTunes) ne permettant pas de sélectionner directement un réglage. D’autre applications plus évoluées dans ce domaine, telles que Logic, permettent de régler tous les paramètres depuis l’hôte lui-même. Remarque : la présentation de l’application CAM peut varier en fonction de la version de Mac OS X utilisée. Core MIDI Les données MIDI sont prises en charge par le système Core MIDI de Mac OS X. Les interfaces MIDI compatibles (utilisées pour connecter des générateurs audio externes, des unités d’équilibreur ou des claviers MIDI) sont automatiquement détectées et activées. Page MIDI de l’application CAM L’application CAM possède une page MIDI affichant toutes les interfaces MIDI installées et les relie entre elles si nécessaire. Logic reconnaît l’ensemble des périphériques MIDI (y compris les sous-canaux MIDI) configurés pour CAM et les affiche dans le dossier Bibliothèque lorsqu’une piste MIDI externe est sélectionnée ou créée. 89 C Annexe C Optimisation du système audio de votre ordinateur Logic est reconnu pour son fonctionnement stable et fiable. Vous pouvez améliorer davantage les performances de votre système en optimisant la configuration de votre ordinateur pour les applications de musique. Au-delà de la musique, un ordinateur doté d’une configuration adéquate et bien entretenu vous permet de bénéficier d’un fonctionnement plus fiable, avec moins de blocages, ce qui est un avantage considérable. Les pages ci-après présentent des conseils et des astuces destinés à vous aider à améliorer la configuration de votre ordinateur. Un kit d’urgence est fourni à la fin de ce chapitre pour vous aider à répondre aux problè- mes urgents. Matériel De toute évidence, un ordinateur Mac le plus rapide possible est la solution la plus appropriée pour utiliser Logic. Si vous le pouvez, procurez-vous un ordinateur Macintosh multiprocesseur. Logic et Mac OS X sont conçus pour exploiter les serveurs Mac multiprocesseurs. En règle générale, il est conseillé d’éviter d’installer sur votre ordinateur des composants inutiles qui risquent de réduire ses performances. N’ajoutez donc pas de carte SCSI si FireWire ou des lecteurs internes sont suffisants. Il est essentiel de choisir le matériel audio « adéquat » et de vous assurer qu’il est compatible avec vos logiciels et les autres composants matériels de votre ordinateur. Mémoire Une capacité de mémoire vive appropriée est importante pour la stabilité globale de votre système de musique informatique. Il est conseillé de posséder une mémoire vive de haute qualité d’au moins un gigaoctet, en particulier lorsque vous travaillez avec plusieurs pistes audio ou échantillonneurs logiciels. 90 Annexe C Optimisation du système audio de votre ordinateur Disque dur Si vos activités quotidiennes impliquent l’utilisation d’un grand nombre de pistes audio, pensez à utiliser un disque dur séparé et rapide avec une capacité de stockage suffisante pour vos fichiers audio. FireWire est une solution appropriée pour ce type de tâches. Les applications audio sollicitent de manière intensive les plateaux et les pièces mécaniques des disques dur. Il est tout particulièrement important de bien entretenir le disque dur, afin de garantir un fonctionnement stable et cohérent du lecteur. La défragmentation et le contrôle des performances du disque font partie de cet entretien. Le fait de procéder régulièrement à la défragmentation de votre disque augmente sa longévité. Les outils de disque dur fournis avec le système d’exploitation constituent une solution raisonnable, mais ils risquent de ne pas détecter ou réparer certains problèmes. Remarque : en règle générale, plus la taille du disque dur est grande, moins vous aurez besoin de le défragmenter. Les disques durs sont sujets à l’usure. Si votre utilitaire de disque dur détecte de plus en plus souvent des problèmes, cela peut être un signe précurseur d’une panne. Sauvegardez vos données et pensez à remplacer le disque avant qu’il ne tombe complètement en panne. Logiciel Lorsque vous choisissez des logiciels à installer sur votre système de musique sur ordinateur, dites-vous que moins il y en a, mieux c’est. Dans l’idéal, n’installez que le système d’exploitation standard plus Logic et éventuellement les composants requis pour accéder à Internet. Concrètement, cela n’est toutefois pas toujours très pratique… Évitez d’exécuter d’autres applications, sauf si cela est absolument nécessaire, lorsque vous utilisez Logic. Mac OS X est très efficace pour fonctionner en multitâche, mais il serait dommage de vous priver de la puissance potentielle de Logic. Si vous exécutez une application de traitement de texte en arrière-plan ou que vous laissez votre connexion Internet active, vous risquez de ne pas pouvoir ajouter ce dernier effet de réverb dont vous avez besoin pour finir une piste. Sauvegarde Principe essentiel pour l’utilisation d’un ordinateur : sauvegardez toujours vos données ! Ce principe est particulièrement vrai pour les systèmes de musique sur ordinateur, car vous allez générer un montant considérable de données en un temps très court, souvent dans des conditions très exigeantes. Annexe C Optimisation du système audio de votre ordinateur 91 Pour cette raison, il est donc conseillé de sauvegarder tous les jours vos données les plus importantes sur différents supports de stockage. Si ce raisonnement vous paraît un peu excessif, comparez simplement le prix d’un support de stockage à la valeur de votre musique. Si votre ordinateur (ou votre disque dur) décide de s’auto-détruire, le résultat est géné- ralement une perte irréversible de données importantes, synonymes d’heures entières de travail et d’inspiration. Si votre système de musique sur ordinateur est votre instrument de travail, nous vous conseillons d’investir dans une solution de sauvegarde professionnelle. Consultez votre revendeur informatique ou votre magasin de musique pour plus d’informations à ce sujet. Dépannage Bien que cela se produise rarement, tous les utilisateurs sont un jour où l’autre confrontés à des problèmes informatiques apparemment graves. Ces problèmes peuvent se traduire par un blocage de la souris ou de l’écran, ou encore une accumulation de messages d’erreur à l’écran. Même s’ils sont perfectionnés, les systèmes d’exploitation bien conçus ne peuvent pas vous protéger intégralement contre les conflits matériels, les bugs et d’autres problèmes. L’expérience prouve que les pannes système de ce type sont rarement provoquées par un défaut des programmes ou du matériel Apple. Les logiciels et le matériel Apple font l’objet de tests rigoureux effectués par différents musiciens et utilisateurs de studios provenant de divers secteurs, qui recherchent toutes sortes de défauts ou de problèmes. Cela ne signifie pas que toute possibilité d’erreur est exclue. Des problèmes peuvent se produire de temps en temps. Ces problèmes ne sont pas inattendus, car les différents pilotes, applications et versions de systèmes d’exploitation sont tous mis au point et améliorés en parallèle par des équipes de programmation distinctes. Des problèmes d’incompatibilité peuvent ainsi se produire occasionnellement. Dès que des problèmes de ce type sont identifiés, Apple fournit des correctifs sous forme de mises à jour de logiciels. Apple est donc reconnaissant envers les utilisateurs qui signalent ces problèmes. En cas de panne ou d’erreurs système, vous pourrez vous aider des conseils fournis dans ce chapitre, même si ces problèmes ne sont en fait pas liés aux produits Apple. Dans la plupart des cas, une fois que ces problèmes sont identifiés, ils peuvent être rectifiés facilement, bien que la recherche de la cause du problème soit parfois longue. La plupart de ces problèmes peuvent être résolus sans l’intervention d’un expert. Le présent chapitre vous indiquera la procédure à suivre. Il vaut mieux éliminer les causes classiques des problèmes, plutôt que de suspecter une défaillance matérielle ou toute autre défaillance, avant de faire réparer votre ordinateur ou de demander le remboursement de votre logiciel. Restez tout de même prudent : il se peut que certaines de ces suggestions ne corrigent que les symptômes, ce qui risque de compliquer l’identification de la cause réelle du problème. Si les problèmes persistent, il vaut mieux demander conseil à un expert.92 Annexe C Optimisation du système audio de votre ordinateur Si vous avez acheté votre matériel audio en même temps que votre matériel informatique, nous vous conseillons de vérifier que l’ordinateur fonctionne correctement (avec une souris, un clavier et un écran seulement) avant d’installer l’interface audio et tout matériel supplémentaire (disque dur externe, imprimante, etc.). Tous les nouveaux ordinateurs Macintosh sont fournis avec des logiciels pré-installés, ce qui vous permet de vérifier que tout fonctionne correctement. Une fois que vous avez tout éteint, vous pouvez procéder à l’installation de tout composant supplémentaire (disque dur, modem, scanneur, etc.), le cas échéant. Une fois cette installation terminée, vérifiez que tout fonctionne comme prévu. Si tel est le cas, vous pouvez débrancher tous les câbles situés à l’arrière de l’ordinateur et commencer à installer votre matériel audio. En cas de sinistre Votre priorité principale doit être de sauvegarder vos documents les plus importants. Essayez de copier vos fichiers (paroles, chansons, comptabilité, etc.) sur un d’autres disques durs ou amovibles, sans lancer les applications correspondantes. Vous pouvez ignorer cette étape pour les CD-ROM, mais veillez tout de même à manipuler vos CD avec un minimum de précaution : aucune des deux faces du disque ne doit être rayée. Une fois que vous avez sauvegardé vos fichiers et programmes, les risques d’un réel sinistre ne sont toutefois pas éliminés. N’oubliez pas d’effectuer des sauvegardes régulières, même si tout fonctionne correctement. Un disque dur n’est jamais à l’abri d’une panne. Une panne système peut être provoquée par les événements suivants :  Erreur d’opérateur  Conflit de logiciels (incompatibilité entre deux programmes ou virus)  Erreur de configuration matérielle  Surcharge des ressources du système  Mauvais raccordement des câbles (ou terminaison manquante)  Défaut matériel Éliminez les cinq premières causes avant de faire réparer votre matériel. Si le problème persiste, notez précisément les points suivants :  Ce que vous faisiez au moment où l’erreur s’est produite (quels programmes, quelles fonctions ou applications étaient ouvertes).  Le texte exact des messages d’erreur et/ou les numéros d’erreurs qui se sont affichés (le cas échéant).  La version du système d’exploitation ainsi que la version du programme dans lequel une erreur est apparue.  L’application Informations Système Apple, installée avec Mac OS X, offre une présentation détaillée et imprimable des composants.  Les préférences systèmes activées (accessibles via le menu Apple).Annexe C Optimisation du système audio de votre ordinateur 93 Remarque : L’application Informations Système Apple permet d’imprimer les détails de la configuration de votre système en intégralité, y compris les propriétés de tous les composants matériels. Préférences et RAM des paramètres De nombreuses pannes peuvent être évitées à l’aide des mesures suivantes (quittez le programme avant de commencer) :  Déplacer ou supprimer les préférences du programme qui ne répond pas. Les fichiers de préférences sont répertoriés dans votre dossier Utilisateur ~/Bibliothèque/Préférences. Faites glisser le fichier des préférences sur le bureau. Cette action vous obligera probablement à redéfinir certaines des préférences de votre programme.  Réinitialisez la mémoire RAM des paramètres (P-RAM). Elle comprend le réglage de l’heure, de la date et de nombreux réglages système qui sont conservés lorsque l’ordinateur est éteint. Ces réglages peuvent être facilement redéfinis. Maintenez les touches Commande + Option + P + R enfoncées lorsque vous redémarrez l’ordinateur (immédiatement après avoir entendu la tonalité de démarrage). Maintenez ces touches enfoncées jusqu’à ce que vous entendiez trois fois la tonalité de démarrage de Macintosh. Si le problème persiste Vérification du disque dur et réparation de la structure de fichiers Les erreurs liées à la structure de fichiers logique peuvent être diagnostiquées et réparées à l’aide d’un logiciel approprié. Les défaillances matérielles du disque dur peuvent également être détectées. Le lecteur de démarrage (volume de démarrage) ne peut généralement pas être réparé en cas d’erreur critique. Si vous démarrez généralement votre ordinateur à partir du disque dur interne, vous devrez choisir un autre volume de démarrage, afin de redé- marrer l’ordinateur à partir d’un autre disque. Le meilleur moyen d’y parvenir consiste à utiliser le CD-ROM d’urgence fourni avec votre ordinateur Macintosh, mais vous aurez peut- être également besoin d’un second lecteur de disque dur (ou amovible) doté d’un dossier système. Choisissez le CD-ROM, ou un autre lecteur sur lequel le système d’exploitation est installé, dans le tableau de bord du volume de démarrage. Redémarrez l’ordinateur. De nombreux ordinateurs Macintosh permettent également de forcer un démarrage à partir du CD-ROM, en maintenant la touche C enfoncée au cours d’un nouveau démarrage. Lancez l’utilitaire de disque dur pour réparer vos volumes. Si le problème persiste94 Annexe C Optimisation du système audio de votre ordinateur Erreurs PCI La technologie PCI s’appuie sur une synchronisation très précise du flux de données de votre ordinateur. Malheureusement, certaines cartes PCI (ou PCI-X) risquent de provoquer des conflits lorsqu’elles sont utilisées conjointement, bien qu’elles fonctionnent parfaitement de manière isolée et répondent toutes aux spécifications PCI. Des problèmes de ce type risquent d’engendrer des pannes système apparemment aléatoires.  Vérifiez si le problème persiste une fois que vous avez enlevé la carte PCI. Essayez de travailler sur votre ordinateur à l’aide du matériel audio intégré, pendant plusieurs heures sans la carte PCI. Si le problème disparaît, c’est donc la carte PCI qui en était la cause. Si le problème persiste, vous pouvez écarter les éléments PCI comme causes possibles de la panne.  Essayez d’utiliser la carte PCI dans un autre logement, si cela est possible. Les conflits peuvent souvent être résolus par un simple échange de logement. Câbles défectueux Les câbles défectueux sont un problème courant qui provoque toutes sortes de problèmes. Si l’ordinateur ne répond plus à certaines commandes, cela peut être dû à un faux contact du câble USB entre le clavier et l’ordinateur. Essayez de brancher directement la souris sur un port USB libre. Si l’ordinateur fonctionne normalement, vous devrez acheter un nouveau câble USB. Dans certains cas, vous devrez peut-être remplacer votre clavier Macintosh. Il est important d’utiliser le bon câble de moniteur. Il ne suffit pas toujours de posséder un connecteur approprié aux deux extrémités. Avant de conclure qu’il s’agit d’une défaillance matérielle indépendante, testez le câble en le remplaçant par un autre. Les connexions informatiques internes desserrées constituent un autre problème courant, qui se produit souvent après avoir transporté l’ordinateur. Tout en gardant à l’esprit les éventuelles conséquences de votre action au niveau de la garantie, ainsi que les précautions d’usage, resserrez les connecteurs internes, en procédant avec prudence. Veillez toutefois à débrancher le câble d’alimentation avant tout et attendez que la tension diminue. Mettez-vous à la masse à l’aide d’un bracelet antistatique ou en touchant les composants métalliques du boîtier. Vous éviterez ainsi d’avoir à faire appel à un réparateur (ou à l’hôpital). Virus Certaines personnes mal intentionnées programment et diffusent des virus dans l’unique objectif de provoquer des dégâts. Vérifiez régulièrement l’absence de virus sur vos disques, en particulier si vous téléchargez des données depuis Internet. Tous les programmes antivirus ne sont pas capables de détecter les virus de macro ou d’autres virus encore inconnus des développeurs de logiciels antivirus.Annexe C Optimisation du système audio de votre ordinateur 95 Réinstallation ou mise à jour du système d’exploitation Il est possible qu’à la suite d’une panne ou d’une erreur d’installation, le système d’exploitation devienne inutilisable. Dans ce cas, il est conseillé de réinstaller votre système d’exploitation à partir du CD-ROM fourni avec votre système. Pour ce faire, redémarrez votre ordinateur à l’aide du CD d’installation de Mac OS X (insérez le CD et sélectionnez-le comme volume de démarrage via le tableau de bord correspondant. Pour les ordinateurs Mac plus récents, appuyez simplement sur la touche Commande au cours du redémarrage), puis réinstallez le système d’exploitation. Les problèmes ne sont parfois dus qu’au système d’exploitation. Vous pouvez généralement trouver sur Internet des mises à jour de votre système d’exploitation, téléchargeables gratuitement. Formatage du disque dur Le formatage du disque dur doit être entrepris en tout dernier recours, avant de faire réparer votre ordinateur. Le formatage du disque dur efface tous les fichiers de votre disque et toutes les données corrompues pouvant être à l’origine de vos problèmes. Le processus de formatage efface tous les fichiers. Commencez donc par effectuer une sauvegarde de tous les fichiers et programmes et vérifiez que ces sauvegardes sont correctes. Exécutez une analyse antivirus sur toutes les sauvegardes afin de ne pas infecter de nouveau le lecteur que vous reformatez. Pour formater le disque dur interne, vous devez démarrer votre ordinateur à partir d’un autre lecteur (à partir du CD-ROM, d’une mémoire flash ou d’un disque dur externe). Pour exclure totalement un problème de virus, il est conseillé de reformater tous les disques durs au cours d’une même session. Un CD-ROM ne peut pas être infecté par un virus (à moins qu’il ne l’ait été dès le début). Important : gardez à l’esprit que les autorisations invisibles de logiciels ne peuvent pas être copiées. Veuillez supprimer l’autorisation de telles applications sur votre disque dur avant de les effacer. Réinstallez Logic après avoir installé le système d’exploitation. Si le problème persiste, il s’agit très probablement d’un conflit matériel ou d’un conflit entre le programme et le système d’exploitation. Si le problème ne se produit qu’avec un programme particulier, adressez-vous au fabricant du logiciel. Si le problème provient de Logic, contactez AppleCare. Le service d’assistance AppleCare est joignable à l’adresse suivante : http://www.apple.com/fr/support/logic. Si le problème se produit avec plusieurs applications, contactez le revendeur auprès duquel vous avez acquis votre ordinateur. 97 Glossaire Glossaire acheminement Ce terme désigne généralement la façon dont les données audio sont envoyées aux unités de traitement. Il qualifie aussi souvent des assignations d’entrée ou de sortie spécifiques. activation pour l’enregistrement Avant de pouvoir procéder à un enregistrement, les pistes audio doivent d’abord être préparées manuellement (activées pour l’enregistrement). Lorsqu’elles sont sélectionnées, les pistes MIDI sont automatiquement activées pour l’enregistrement. Les pistes d’instruments logiciels sont automatiquement « pré- armées » et doivent recevoir un message MIDI afin d’être prêtes pour l’enregistrement. AIFF Abréviation de « Audio Interchange File Format ». Format de fichier multi-plateformes pris en charge par de nombreuses applications de montage numérique audio et vidéo. Le format audio AIFF peut utiliser plusieurs profondeurs de bits, généralement 16 et 24 bits. alias Pointeur vers une région MIDI, dans la zone Arrangement. Un alias ne contient aucune donnée, il pointe simplement vers les données de la région MIDI d’origine. Pour créer un alias, faites glisser la région MIDI d’origine vers l’emplacement voulu tout en maintenant les touches Majuscule et Option enfoncées. Un alias ne peut pas être édité directement. Toute modification apportée à la région d’origine est répercutée dans l’alias. aliasing Effet numérique survenant lorsque l’échantillon contient des fréquences supérieures à la moitié de la fréquence d’échantillonnage. amplificateur Appareil permettant d’augmenter le niveau d’un signal. Audio Units (AU) Audio Units est le format Mac OS X standard pour les modules en temps réel. Il peut être utilisé pour des effets audio, des instruments logiciels et des générateurs. Le format Audio Unit est intégré au système d’exploitation et les modules Audio Unit installés sont accessibles en simultané par tous les programmes applicables. Logic prend en charge tous les modules au format Audio Unit. automatisation L’automation désigne la capacité à enregistrer, éditer et lire les mouvements de tous les potentiomètres, commandes et boutons, notamment curseurs de volume, panoramique, égaliseur et effet d’envoi auxiliaire, ainsi que la plupart des paramètres d’effets et d’instruments du module.98 Glossaire bande de canal audio Bande de canal de la table de mixage, utilisée comme cible pour les pistes audio de la zone Arrangement. Toutes les données de la piste audio sont automatiquement transmises à la bande de canal audio assignée dans la liste des pistes d’arrangement. bande de canaux Il s’agit de la représentation virtuelle d’une bande de canaux sur une console de mixage. Chacune d’entre elles contient tout ou partie des contrôles suivants : bouton Silence, curseur de volume, contrôle Pan/Balance, logement d’entrée, logement de sortie, logements d’effet d’envoi, logements d’insertion, bouton Format. Les bandes de canaux qui apparaissent à gauche de la fenêtre Arrangement et dans la fenêtre Table de mixage permettent de traiter les informations audio ou MIDI transférées à partir des pistes d’arrangement. bande de canaux du bus Le type des canaux du bus est intégré principalement pour des raisons de compatibilité rétroactive avec les anciennes versions de Logic. Les fonctions de bande des canaux du bus des versions antérieures s’effectuent avec des bandes de canaux auxiliaires dans Logic. bande de canaux principale Bande de canaux de la table de mixage permettant une atténuation distincte en modifiant le gain de toutes les bandes de canaux de sortie, sans altérer les relations de niveaux qui existent entre elles. bandes de canaux de sortie Dans la table de mixage, type de bande de canaux qui contrôle le niveau de sortie et la fonction de pan/balance de chaque sortie physique de votre interface audio. barre d’outils Le haut de la fenêtre Arrangement contient la barre d’outils, utilisée pour accéder à certaines zones d’écran, comme les zones Média ou Listes ou encore l’Inspecteur, ou à masquer ces zones. Elle comporte des boutons pour les fonctions de touches, par exemple pour le verrouillage/déverrouillage des positions SMPTE. Vous pouvez personnaliser la barre d’outils en fonction de vos besoins. barre de menus locale Menu d’une fenêtre ne contenant que les fonctions relatives à cette fenêtre. barre de transport Champ apparaissant en bas de la fenêtre Arrangement, qui permet de contrôler les fonctions d’enregistrement et de lecture. Elle offre plusieurs fonctions, notamment les boutons Enregistrement, Pause, Lecture, Arrêt et Rembobinage/Avance. Vous avez la possibilité d’ouvrir plusieurs fenêtres de barre de transport indépendantes en choisissant Fenêtre > Transport (ou en appuyant sur Commande + 7). barre du menu principal Barre située dans la partie supérieure de l’écran, qui offre des fonctions générales telles que l’ouverture, l’enregistrement, l’exportation ou l’importation de projets. Elle ne permet pas d’accéder aux fonctions locales de la fenêtre, mais contient un menu Édition avec des options qui s’appliquent à la fenêtre qui a le « focus principal ».Glossaire 99 barre et curseur de défilement Barre grise s’étendant sur le côté d’une fenêtre. Un curseur permet d’y sélectionner la rubrique du projet affichée dans la fenêtre. basse Instrument de musique. Ce terme fait également référence à des sons ou composants d’un son basse fréquence. Voir fréquence. battement Intervalle de temps correspondant à la pulsation rythmique régulière d’une composition musicale. Il correspond généralement à un quart de note. battements par minute Voir bpm. bibliothèque Fenêtre (ou onglet, dans la zone Média de la fenêtre Arrangement) permettant de gérer tous les fichiers de réglages des bandes de canaux, des effets et des instruments. boîte de dialogue Fenêtre contenant une requête ou un message. Vous devez y répondre (en appuyant sur un bouton) avant de continuer. boucle Fichier audio contenant des éléments musicaux rythmiques récurrents ou des éléments propices à la répétition. Entre autres formats de fichiers, Logic prend en charge les boucles Apple Loops. Boucles Apple Loops Format de fichier audio, généralement utilisé pour des éléments musicaux rythmiques récurrents ou des éléments propices à la répétition. Les boucles Apple Loops contiennent des balises et des éléments transitoires auxquels Logic fait appel pour les tâches d’étirement temporel et de changement de tonalité. Ces balises permettent également de retrouver rapidement des fichiers par instrument, genre ou ambiance dans le « Navigateur de boucles ». bounce Procédure consistant à traiter des régions MIDI ou audio en y appliquant des effets (retard ou compression, par exemple) puis à les combiner en un seul fichier audio. Dans Logic, vous avez le choix entre un bounce en temps réel et un bounce hors ligne. La fonction de bounce hors ligne est plus rapide, mais ne permet pas d’appliquer une automation directe, ni d’enregistrer des entrées audio en temps réel. bouton Bounce Ce bouton permet d’effectuer un bounce sur les données en sortie de n’importe quel canal de sortie, afin d’obtenir un fichier audio. Voir également bounce. bouton de protection de piste Bouton doté d’une icône de cadenas et affiché dans la liste de pistes Arrangement. Il permet d’autoriser ou d’interdire toute modification ultérieure des pistes. Voir également piste protégée. bouton Lien Bouton situé dans le coin supérieur gauche de la plupart des fenêtres de Logic, sur lequel est représenté une chaîne. Il permet de contrôler les liens entre diffé- rentes fenêtres.100 Glossaire bouton Quantifier Bouton sur lequel apparaît la lettre « Q », qui permet d’appliquer la fonction de quantification (choisie dans le menu Quantification) sur les événements sélectionnés. Voir également outil Quantification et quantification. bouton Synchro Dans la barre de transport, bouton qui permet d’activer/désactiver le mode de synchronisation externe. boutons Filtrer Dans la Liste des événements ou dans la table de mixage, boutons permettant d’afficher ou de masquer certains types d’événements ou types de bandes de canaux. bpm Abréviation de battements par minute. Il s’agit d’une mesure de tempo d’un morceau de musique. Exemple : 120 bpm signifie qu’en une minute il y aura 120 battements musicaux (quarts de notes). Broadcast Wave Voir Wave. bulle d’aide Petite fenêtre de texte qui s’affiche lorsque le curseur de la souris se trouve sur un élément de l’interface. Elle précise le nom ou la valeur de l’élément. Lors de certaines opérations d’édition, telles que le déplacement ou le découpage d’une région, une bulle d’aide un peu plus grande apparaît en temps réel au niveau de la position (de début) en cours de la région ou de la fonction. bus Les bus permettent d’envoyer des données audio aux bandes de canaux auxiliaires, pour traitement ou sous-mixage. canal d’instrument Logic prend en charge les instruments basés sur des logiciels. Les modules des instruments logiciels sont insérés dans le logement correspondant des canaux d’instruments. L’enregistrement d’un instrument logiciel est réalisé sur les pistes d’instruments de la zone Arrangement. La lecture de ces pistes est acheminée via le canal d’instrument qui apparaît dans la table de mixage (ou à gauche de la fenêtre Arrangement). canal MIDI Un canal MIDI est une sorte de « tube » de données MIDI, qui circule par les ports MIDI. Il peut y avoir simultanément jusqu’à 16 canaux MIDI différents par port. Les pistes enregistrées dans Logic peuvent être dirigées vers différents tubes (canaux), qui peuvent contenir diverses informations et jouer différents sons, assignés à chaque canal. Exemple : canal 1 pour le piano, canal 2 pour les basses, canal 3 pour les cordes et ainsi de suite. Ceci signifie que les périphériques de réception peuvent recevoir des données sur plusieurs canaux et qu’ils peuvent également lire différents sons simultanément. canaux auxiliaires (bande) Les canaux auxiliaires se trouvent dans la table de mixage (et à gauche de la fenêtre Arrangement) et peuvent être utilisés comme bus d’effets d’envoi/retour et comme commandes de sous-groupes. case à cocher Petite case sur laquelle vous pouvez cliquer pour cocher ou décocher (activer ou désactiver) une option.Glossaire 101 CD audio Abréviation de « Compact Disc audio ». Norme relative aux CD musicaux stéréo : fréquence d’échantillonnage de 44,1 kHz et profondeur de 16 bits. champ Trouver Dans la plupart des fenêtres de Logic apparaît un champ de forme rectangulaire arrondie, avec une loupe sur la gauche. Il vous permet d’effectuer des recherches de texte. Ce champ apparaît, par exemple, dans la fenêtre des raccourcis clavier et dans celle du navigateur de boucles. chutier audio Fenêtre (ou onglet situé dans la zone Média de la fenêtre Arrangement) destinée aux tâches de gestion et de conversion des fichiers audio et des régions du projet. Voir zone Média. clavier avec verrouillage majuscules Fonction de Logic vous permettant d’utiliser le clavier de votre ordinateur comme un clavier MIDI en temps réel. Cette fonction est principalement destinée à une utilisation nomade avec un portable Macintosh. clé Gamme utilisée pour un morceau de musique, centrée sur une hauteur tonale spé- cifique, appelée note fondamentale. On parle également de « hauteur tonale ». clic Métronome, ou son du métronome. commande Zoom Commande qui se trouve en bas à droite de certaines fenêtres, telles que la fenêtre Arrangement. Le curseur vous permet de vous déplacer dans tout le projet affiché. Vous pouvez cliquer sur les lignes situées de part et d’autre du curseur pour effectuer un zoom avant ou arrière d’un certain pourcentage. compilation Processus consistant à compiler plusieurs prises d’enregistrement en une seule prise parfaite (voir prises). configuration audio et MIDI (CAM) L’utilitaire Configuration audio et MIDI (CAM) permet de configurer les périphériques d’entrée et de sortie audio et MIDI connectés à votre ordinateur. Logic applique les réglages définis dans l’utilitaire Configuration audio et MIDI, qui se trouvent dans le dossier Applications/Utilitaires. contournement Permet de désactiver un module. Les modules contournés n’utilisent pas de ressources système. Pour contourner un module dans Logic, vous pouvez soit cliquer sur le bouton de contournement correspondant dans la fenêtre du module, soit cliquer sur l’emplacement de module d’une bande de canaux tout en appuyant sur la touche Option. contrôle de balance Potentiomètre rotatif situé juste au-dessus du curseur de volume des canaux stéréo. Il permet de contrôler le niveau sonore relatif en sortie des signaux droit et gauche. contrôle Pan Potentiomètre rotatif (situé juste au-dessus du curseur de volume) sur les bandes de canaux mono, qui définit la position du signal dans l’image stéréo.102 Glossaire contrôleur Type de données MIDI. Exemples : curseurs, pédales ou paramètres standard (volume ou panoramique, par exemple). Le type de commande est encodé dans le premier octet de données, et la valeur envoyée ou reçue dans le second. convertisseur AN ou CANC Convertisseur analogique-numérique ; dispositif permettant de convertir un signal analogique en signal numérique. convertisseur de la fréquence d’échantillonnage Dispositif ou algorithme qui convertit une fréquence d’échantillonnage en une autre. convertisseur NA ou CNA Convertisseur numérique-analogique ; dispositif permettant de convertir un signal numérique en signal analogique. Core Audio Système de gestion audio normalisé pour tous les ordinateurs Macintosh fonctionnant sous Mac OS X version 10.2 ou ultérieure. Core Audio fait partie intégrante de Mac OS X et permet d’accéder à toutes les interfaces audio compatibles avec Core Audio. Logic est compatible avec tous les matériels audio proposant des gestionnaires/ une assistance Core Audio. Core MIDI Système de gestion MIDI normalisé pour tous les ordinateurs Macintosh fonctionnant sous Mac OS X version 10.2 ou ultérieure. Core MIDI fait partie intégrante de Mac OS X et permet de connecter tous les périphériques MIDI compatibles avec Core MIDI. Logic est compatible avec tous les matériels MIDI proposant des gestionnaires une assistance Core Audio. DAW Acronyme de « Digital Audio Workstation ». Ordinateur utilisé pour l’enregistrement, le mixage et la production de fichiers audio. dB Abréviation de « décibels », une unité de mesure décrivant le rapport entre niveaux de tension, intensité ou puissance, notamment dans les systèmes audio. débit Pour des fichiers MP3, il s’agit du débit de transfert auquel les fichiers sont encodés. En langage courant, ce terme décrit généralement la qualité relative d’un fichier, un faible débit entraînant une moins bonne qualité audio. décompte Battements audibles avant le début d’un enregistrement (ou d’une lecture). demi-ton Plus petit intervalle séparant deux hauteurs tonales dans la gamme diatonique standard, égal à la moitié d’un ton. Également appelé demi-mesure. destructeur Un traitement audio destructeur implique un changement complet des données d’un fichier audio, par opposition à une simple édition des paramètres périphériques ou de lecture.Glossaire 103 dossier Un dossier est un conteneur de régions dans la zone Arrangement. Il peut contenir d’autres dossiers ou régions, tout comme un dossier du Finder peut contenir d’autres dossiers ou fichiers. Un dossier peut être considéré comme un projet dans un projet. Une fois ouvert, un dossier ressemble à la zone Arrangement et à la liste des pistes d’un projet. dossier du projet Dans Logic, dossier du plus haut niveau qui contient toutes les données multimédia relatives à un projet : fichiers audio, instruments échantillonnés et échantillons, vidéo, etc. échantillon Enregistrement numérique d’un son à un instant donné. échantillonnage Processus de conversion des données audio analogiques en informations numériques. La fréquence d’échantillonnage d’un flux audio indique le nombre d’échantillons capturés par seconde (voir fréquence d’échantillonnage). Plus la fréquence d’échantillonnage est élevée, plus les données audio sont de bonne qualité. échantillonneur Dispositif permettant de réaliser des échantillons. Dans Logic, il s’agit généralement du logiciel EXS24 mkII. éditeur Fenêtre permettant d’éditer des données MIDI ou audio. Logic met à votre disposition les éditeurs Hyper Editor, Clavier, Liste des événements et Partition pour les données d’événements MIDI, ainsi que l’éditeur des échantillons pour les données audio. L’éditeur Liste des événements permet également d’éditer et de positionner des régions. éditeur Clavier Éditeur d’événements MIDI qui affiche les événements de note sous forme de barres horizontales. Les événements peuvent être coupés, copiés, déplacés et redimensionnés, de la même façon que les régions dans la zone d’arrangement. éditeur de partition Éditeur de Logic relatif à la notation musicale standard. Les événements remarques MIDI sont représentés sous forme de croches, de noires, de minimes, etc. L’éditeur de partition permet d’ajuster et d’éditer la mise en page d’une partition et de l’imprimer. éditeur des échantillons L’Éditeur des échantillons de Logic permet, de façon non destructrice, de couper, d’inverser, de raccourcir, de modifier le gain et plus généralement de traiter de multiples façons les fichiers audio. Chaque échantillon d’un fichier audio en comprenant plusieurs milliers ou millions peut être édité. Cet éditeur permet également d’accé- der à un certain nombre d’outils spéciaux pour le traitement des échantillons, regroupés sous le terme de « Digital Factory ». effet Type d’algorithme logiciel qui modifie le son d’un signal audio de différentes façons. Logic intègre divers effets temporels, d’égaliseur, de dynamique, de modulation et de distorsion dans les formats de modules Logic natifs et Audio Unit.104 Glossaire effet d’envoi Abréviation d’effets d’envoi auxiliaires. Sur un périphérique audio, sortie permettant d’acheminer une quantité donnée du signal vers un autre périphérique. Les effets d’envoi servent souvent à envoyer plusieurs signaux ayant le même effet, ce qui est particulièrement utile pour les effets demandant beaucoup de ressources processeur, tels que la réverbération. effets en temps réel Effets pouvant être appliqués aux régions en temps réel, pendant la lecture. Ce type d’effet peut être utilisé sur n’importe quel ordinateur Macintosh pouvant exécuter Logic. enregistrement Action de capturer une performance sous forme de données MIDI ou audio dans Logic. Ce terme est également couramment utilisé pour désigner les données elles-mêmes (dans Logic, ces données sont appelées région ou fichier, afin d’éviter toute confusion avec le processus d’enregistrement). EQ Abréviation d’égaliseur. Les égaliseurs permettent d’accentuer ou d’atténuer les fré- quences d’un signal audio. Plusieurs types d’égaliseurs sont disponibles dans Logic. événement Commande MIDI distincte. Exemple : commande de début de note. Les mouvements continus de certains contrôleurs (par exemple, la roulette de modulation) produisent une succession rapide d’événements individuels, ayant chacun une valeur absolue. exporter Créer dans un autre format une version d’un fichier (un projet Logic par exemple) que d’autres applications pourront diffuser et utiliser. fenêtre Arrangement Première fenêtre de travail de l’application. La zone Arrangement (illustrée ci-dessous) y figure également et tous les autres éditeurs ainsi que les zones de travail peuvent y apparaître. fenêtre de module Fenêtre qui s’ouvre à l’insertion d’un module, ou lorsque vous double-cliquez sur le logement d’insertion ou d’instrument. Elle permet l’interaction avec les paramètres du module. fenêtre des raccourcis clavier Cette fenêtre permet d’assigner des raccourcis clavier à certaines touches du clavier de l’ordinateur ou à des messages MIDI. fenêtre Préférences Fenêtre accessible via le menu Logic > Préférences. Elle permet de régler toutes les préférences de Logic. fichier audio Tout enregistrement numérique d’un son, stocké sur votre disque dur. Les fichiers audio peuvent être stockés aux formats AIFF, WAV, Sound Designer II (SDII) et CAF dans Logic. Tous les fichiers WAV enregistrés et ceux ayant subi un bounce sont au format Broadcast Wave. film Voir vidéo.Glossaire 105 FireWire Nom commercial attribué par Apple à la norme IEEE 1394. Il s’agit d’une interface série rapide et polyvalente, généralement utilisée pour connecter des interfaces audio et des unités de traitement audio à des ordinateurs . FireWire convient parfaitement aux applications gérant des données très volumineuses et permet de connecter disques durs, scanners ou d’autres types de périphériques informatiques. Il existe deux versions de FireWire : FireWire 400 et FireWire 800. La seconde est plus rapide et utilise un type de connecteur différent. Il est possible d’utiliser des dispositifs FireWire 400 sur un port FireWire 800 grâce à un câblage spécifique, mais tous les périphériques connectés sur ce port verront alors leur bande passante réduite de moitié. focus principal Dans Logic, la fenêtre qui est sélectionnée est dite « active ». En d’autres termes, elle a le « focus principal ». La plupart des raccourcis clavier ne fonctionnent que dans la fenêtre qui a le « focus principal ». La rubrique Inspecteur est également mise à jour en fonction de cette fenêtre pour afficher les paramètres appropriés. fonction Boucle Le paramètre de région Boucle Logic permet de créer des répétitions de boucle pour une région audio ou MIDI. Ces répétitions se poursuivent soit jusqu’à la fin du projet, soit jusqu’à la première occurrence d’une autre région ou d’un autre dossier sur la même piste de la zone Arrangement. fonction Cycle Fonction de Logic qui répète constamment la zone située entre les locators. Pour activer le mode Cycle, cliquez sur le bouton Cycle dans la barre de transport. La fonction Cycle s’avère par exemple utile pour la composition d’une partie d’un projet ou pour l’édition d’événements. La zone du cycle apparaît sous la forme d’un bandeau vert, dans la partie supérieure de la règle Mesure. fonction d’annulation Fonction permettant de revenir à l’opération d’édition précédente. L’historique d’annulation permet de procéder à plusieurs annulations. fonction d’autopunch L’autopunch consiste à passer automatiquement au mode d’enregistrement ou à en sortir, à certains endroits prédéfinis. Le mode autopunch est généralement utilisé pour ré-enregistrer une partie mal jouée dans un enregistrement par ailleurs de bonne qualité. Vous pouvez ainsi vous concentrer sur le morceau joué, au lieu de perdre du temps à manipuler diverses fonctions de Logic. Pour activer l’option d’autopunch, cliquez sur le bouton Autopunch dans la barre de transport. forme d’onde Représentation visuelle d’un signal audio. Les graphiques de formes d’ondes évoluent de la gauche vers la droite et sont centrés sur une ligne horizontale. Dans une forme d’onde, les portions où le son est plus fort (crêtes d’amplitude) sont indiquées sous forme de pics ou de courbes plus hautes. fréquence Nombre de fois où un signal sonore vibre par seconde. La fréquence se mesure en cycles par seconde, ou Hertz (Hz). 106 Glossaire fréquence d’échantillonnage Lors de la conversion d’un signal audio analogique en signal numérique, ce terme désigne le nombre de fois par seconde où le fichier audio est échantillonné. Pour l’enregistrement et l’édition de données audio, la fréquence d’échantillonnage de Logic peut aller de 44,1 kHz (c’est-à-dire 44 100 fois par seconde) à 192 kHz (192 000 fois par seconde). fusionner Combiner au moins deux événements ou régions MIDI en un seul événement ou une seule région. gamme Groupe de notes musicales liées (ou hauteurs tonales) qui constitue la base de la mélodie et de l’harmonie d’un morceau de musique. Les plus courantes sont la gamme majeure et la gamme mineure. gestionnaire Les gestionnaires sont des programmes logiciels qui permettent à différents matériels et logiciels d’être reconnus par les applications informatiques. Si le gestionnaire correspondant à votre matériel audio n’est pas correctement installé, votre ordinateur risque de ne pas reconnaître ce dernier ou de ne pas fonctionner correctement avec lui. glisser-déposer Fait de saisir des objets à l’aide de la souris, de les déplacer, puis de relâcher le bouton de la souris. gomme Outil permettant de supprimer des éléments. Pour supprimer un élément sélectionné, il suffit de cliquer dessus à l’aide de cet outil. Tout autre élément sélectionné est également supprimé. grille La grille de Logic est représentée par des lignes verticales qui indiquent la position des mesures, des battements et des battements secondaires dans les différents éditeurs. hauteur tonale Fréquence perçue d’un son musical. Correspond à la fréquence de l’onde sonore. Hyper Editor Éditeur graphique qui permet de créer ou d’éditer des données MIDI de note et de contrôleur. Entre autres fonctionnalités, l’Hyper Editor est idéal pour concevoir des morceaux de batterie et créer des crescendi. icône Petit symbole graphique. Dans Logic, une icône différente peut être assignée à chaque piste. importation Action qui consiste à intégrer des fichiers de différents types dans un projet Logic. Les fichiers importés peuvent avoir été créés dans une autre application, capturés à l’aide d’un autre dispositif, ou provenir d’un autre projet Logic.Glossaire 107 Inspecteur Rubrique apparaissant sur le bord gauche de la zone Arrangement et des éditeurs, qui contient les zones de paramètres et les bandes de canaux (Arrangement) de la piste sélectionnée. Voir également « zones de paramètres ». La rubrique Inspecteur est mise à jour en fonction de la fenêtre qui a le « focus principal », afin d’afficher les paramètres appropriés. instrument logiciel Équivalent logiciel des échantillons matériels ou des modules externes de synthétiseurs, ou des sources sonores acoustiques (par exemple, kits de batterie ou guitares). Les sons générés par les instruments logiciels sont calculés par le processeur de l’ordinateur et lus via les sorties de l’interface audio. Également familièrement appelé « synthé logiciel ». interface 1) Composant matériel (dispositif MIDI ou audio, par exemple) qui permet à Logic de « communiquer » avec le monde extérieur. Une interface audio ou MIDI est nécessaire pour faire entrer ou sortir du son de votre ordinateur. Voir également interface audio. 2) Terme décrivant les éléments graphiques de Logic avec lesquels vous pouvez interagir. Exemple : la zone Arrangement, dans laquelle vous interagissez avec des éléments de l’interface graphique (tels que les régions) pour créer un projet au sein de l’interface globale de Logic. interface audio Dispositif permettant de faire entrer et sortir du son de votre ordinateur. Une interface audio convertit les données audio numériques envoyées par votre ordinateur en signaux analogiques, pouvant être diffusés par les haut-parleurs. Dans l’autre sens, une interface audio convertit les signaux analogiques (par exemple, une performance vocale) en données audio numériques, pouvant être traitées par votre ordinateur. lecture Action de lire une région audio ou MIDI, un fichier audio ou tout un arrangement, pour vous permettre de l’écouter. level meter Dispositif de contrôle du niveau d’entrée et de sortie audio de votre ordinateur. Dans Logic, les level meters servent lors de l’enregistrement, de l’arrangement, de l’édition de fichiers audio et de la création d’un mixage. liste des événements Liste répertoriant tous les événements ou régions d’un projet. Elle permet une manipulation numérique directe des événements et des régions de façon très précise. Il est également possible d’y ajouter différents types d’événements. liste des pistes Cette liste, située à gauche de la zone d’arrangement, répertorie les bandes de canaux assignées aux différentes pistes. Les boutons Solo piste et Muet, entre autres, apparaissent également dans la liste des pistes. 108 Glossaire locators Deux ensembles de chiffres qui apparaissent à droite des indicateurs de positionnement, dans la barre de transport. Le chiffre du dessus correspond au locator gauche, celui du dessous au locator droit. Ces deux locators définissent la durée d’un cycle, utile pour la lecture cyclique, le passage au morceau suivant ou encore l’enregistrement cyclique. Les locators permettent également de définir la zone d’édition de certaines fonctions. logement d’effet d’envoi Panneau qui apparaît sur les bandes de canaux de la table de mixage, permettant d’envoyer (via un bus) tout ou portion du signal audio à une bande de canaux auxiliaire. Plusieurs effets d’envoi peuvent être utilisés. logement d’insertion Panneau apparaissant dans les bandes de canaux Logic, dans lequel vous pouvez insérer un module d’effet. marqueur Un marqueur est un indicateur, ou signet, lié à une certaine position temporelle dans un projet. Il peut contenir du texte servant de remarques pour différentes versions d’un projet, par exemple. Les marqueurs sont également utilisés pour certaines tâches de sélection et de navigation. menu Alignement Menu local des fenêtres d’édition linéaire. Il détermine le comportement des régions ou des événements lors de leur édition : par exemple, durées et coupures sont « calées » sur la position la plus proche possible (définie par la valeur choisie dans le menu Alignement). menu Déplacer Menu local des fenêtres d’édition linéaire. Il régit le comportement des régions ou des événements lorsque ceux-ci sont déplacés pour venir se superposer sur d’autres éléments. menu Outils Accessible via la barre du menu local d’une fenêtre, elle contient des outils permettant de manipuler les divers éléments qui apparaissent dans la fenêtre (édition, zoom, tronquage, etc.). menu Quantification Menu accessible en divers points de Logic, qui permet de définir la grille de quantification en cours. Voir bouton Quantifier et outil Quantification. menu Réglages Il se trouve dans l’en-tête grisée, en haut de chaque fenêtre du module. Il permet d’enregistrer, de charger, de copier et de coller les réglages, c’est-à-dire les valeurs des paramètres d’effets et d’instruments logiciels. message MIDI Message transmis via MIDI , constitué d’un octet de statut et de zéro, un, deux ou plusieurs octet(s) de données (avec commandes « system exclusive »). Voir événement. mesure En notation musicale, une mesure est une unité contenant un certain nombre de battements, qui établit la structure rythmique d’un morceau de musique.Glossaire 109 métadonnées Les métadonnées sont des informations descriptives complémentaires stockées dans les en-têtes de fichier de plusieurs types de fichiers (boucles Apple Loops, par exemple). Elles permettent de faire référence à des données multimédia externes afin, entre autres, de simplifier les recherches. métronome Appareil produisant un son qui marque les battements. Dans Logic, il peut être configuré dans la fenêtre de réglages Métronome. MIDI Abréviation de « Musical Instrument Digital Interface ». Interface normalisée asynchrone de type série, orientée événements, pour le matériel aussi bien que pour les logiciels d’instruments musicaux électroniques. La norme industrielle MIDI permet à des appareils tels que synthétiseurs et ordinateurs de communiquer entre eux. Elle contrôle, entre autres caractéristiques, la hauteur tonale, la durée et le volume d’un événement de note musicale. mix Terme couramment employé pour désigner le résultat obtenu suite à la réalisation d’un bounce (voir bounce) ou d’une fusion de pistes (voir fusionner). mixage Mise en forme du son général d’un projet à l’aide de divers réglages (volume, balance), de l’ajout d’égaliseurs et d’autres effets, et au recours à l’automation pour altérer, entre autres, ces aspects de façon dynamique. modèle Projet contenant les réglages et les paramètres que vous avez définis. Les modè- les servent de point de départ pour les nouveaux projets (tâches de sonorisation, projets audio uniquement, projets MIDI uniquement, etc., selon vos besoins). Tous les projets peuvent servir de modèle et il est possible de créer et d’enregistrer plusieurs modèles. module Application logicielle qui apporte des améliorations aux fonctionnalités du programme principal (ici, Logic). Les modules Logic sont généralement des effets ou des instruments logiciels. monitoring d’entrée Cette fonction permet d’entendre les données audio entrantes lorsque des pistes audio sont en cours de lecture, activées pour l’enregistrement ou en cours d’enregistrement. Il suffit de cliquer sur le bouton Monitoring d’entrée, sur les pistes audio de la zone Arrangement, pour activer ou désactiver le monitoring d’entrée. mono Reproduction monophonique d’un son. Action de mixer des canaux audio en une seule piste, en utilisant la même quantité de signaux dans les canaux audio droite et gauche. Contraire de stéréo. MP3 Abréviation de MPEG-2 Audio Layer 3, un format de fichier audio compressé souvent utilisé pour diffuser des fichiers audio sur Internet. muet Permet de désactiver la sortie audio d’un canal ou d’une piste. Pour désactiver le son d’une piste ou d’un canal, cliquez sur le bouton Silence dans la liste des pistes ou en bas de la bande de canaux.110 Glossaire natif Ce terme fait référence au traitement appliqué aux effets et aux instruments logiciels à partir de l’hôte dans Logic. C’est le processeur de l’ordinateur qui calcule en natif les effets et les instruments. Le terme « natif » désigne également le format de module interne à Logic, qui diffère du format d’Audio Unit. Les modules natifs Logic fonctionnent uniquement avec Logic. navigateur Fenêtre de Logic (ou onglet dans la zone Média de la fenêtre Arrangement) permettant de parcourir, sélectionner et gérer tous les types de supports pris en charge par Logic. Voir également zone Média. navigateur de boucles Fenêtre (ou onglet, dans la zone Média de la fenêtre Arrangement) permettant l’accès aux fichiers Apple Loop et ReCycle, et leur gestion. niveau de zoom Échelle à laquelle le contenu de la fenêtre (pistes et régions, par exemple) est agrandi. Un zoom avant de haut niveau permet de réaliser des modifications plus précises. À l’inverse, vous pouvez effectuer un zoom arrière complet pour visualiser le projet dans son ensemble et travailler sur de grandes rubriques. nœuds Dans Hyper Draw et sur les pistes d’automation, positions qui marquent le début ou la fin d’une manipulation de données. On entend aussi parfois parler de points (d’automation). normaliser Cette fonction permet d’appliquer les réglages de la zone des paramètres aux événements MIDI sélectionnés (par modification de ces éléments) et de supprimer les réglages existants. En ce qui concerne l’audio, une autre fonction Normaliser permet d’augmenter jusqu’au niveau numérique maximum le volume d’un fichier audio enregistré, sans modifier son contenu dynamique. numérique Description de données stockées ou transmises sous la forme d’une séquence de uns et de zéros. Plus communément, se rapporte aux données binaires représentées par des signaux électroniques ou électromagnétiques. Les fichiers utilisés dans Logic sont tous numériques. Voir également analogique. numéro de note Hauteur tonale d’une note MIDI, contrôlée par le premier octet de données d’un événement de note MIDI. option Choix dans une fonction, apparaissant souvent sous forme de case à cocher, ou parfois sous forme d’entrée de menu. ption Touche de modification, également appelée touche Alt dans MS Windows. outil Colle Cet outil permet de fusionner des régions ou des événements, simplement en cliquant sur au moins deux d’entre eux. Glossaire 111 outil crayon Outil permettant de créer des régions MIDI dans la zone d’arrangement. Utilisé en association avec la touche Majuscule, il permet également d’ajouter des régions audio dans la zone d’arrangement. Dans l’Éditeur des échantillons, le crayon permet d’étirer des pointes transitoires de bruits secs (de type « pops » et « clics » ) dans les signaux. outil de vélocité Cet outil se trouve dans les éditeurs MIDI de Logic. Il permet de régler la vélocité d’événements remarques individuels ou associés. outil Doigt Outil (utilisé notamment dans l’éditeur clavier) qui ressemble à une main avec l’index pointé. Il permet de modifier la longueur des événements ou d’effectuer d’autres types d’opérations dans d’autres zones du programme. outil Muet Grâce à cet outil, vous pouvez cliquer sur une région ou des événements pour en arrêter la lecture. outil Pointeur Outil permettant de sélectionner ou d’éditer (entre autres) régions, événements, options de menu ou éléments de l’interface de Logic. outil Quantification Outil sur lequel apparaît la lettre « Q », qui permet d’appliquer la fonction de quantification à certains événements (sélectionnés), d’après la valeur spécifiée dans le menu Quantification des éditeurs Clavier et Liste des événements. outil Zoom Cet outil permet d’agrandir n’importe quelle partie de la fenêtre Logic active. Vous pouvez le sélectionner dans la boîte à outils ou l’activer lorsque vous utilisez d’autres outils, en cliquant et en appuyant simultanément sur la touche Contrôle. pan, balance Placement des signaux audio mono dans le champ stéréo, par réglage des différents niveaux des deux côtés (voir Balance). par défaut Valeur préréglée pour un paramètre. paramètre 1) Valeur d’un paramètre. 2) Ensemble de valeurs des paramètres d’un module pouvant être chargé, enregistré, copié ou collé via le menu Réglages. Un réglage de module est également appelé préréglage. Voir également préréglage et menu Réglages. passage à zéro Dans un fichier audio, point au niveau duquel la forme d’onde passe sur l’axe de l’amplitude zéro. Si vous coupez un fichier audio au moment d’un passage à zéro, il n’y aura pas de clic au point de coupure. piste Ligne horizontale dans la zone d’arrangement contenant des régions audio ou MIDI à lire. Chaque piste dispose d’une destination spécifique (une bande de canaux) vers laquelle les données sont acheminées. Logic autorise l’utilisation de plusieurs centaines de pistes par projet. piste audio Il s’agit de l’une des pistes de la fenêtre Arrangement, utilisée pour la lecture, l’enregistrement et l’édition de régions audio. Elle est transmise à un canal audio de la table de mixage.112 Glossaire piste protégée Le contenu d’une piste protégée ne peut être ni déplacé, ni modifié. point d’ancrage Point de départ d’un fichier audio sur lequel une région audio est basée. Voir également « Éditeur des échantillons ». préparation de piste (piste armée) Voir activation pour l’enregistrement. préréglage Ensemble de valeurs de paramètres d’un module, qu’il est possible de charger, d’enregistrer, de copier ou de coller via le menu Réglages, dans l’en-tête de la fenêtre du module. Voir réglage et menu Réglages. Presse-papiers Le Presse-papiers est une partie invisible de la mémoire, dans laquelle vous pouvez couper ou copier des données sélectionnées, à l’aide du menu Édition. Les données contenues dans le Presse-papiers peuvent être collées à différents endroits. Dans Logic, le Presse-papiers peut être utilisé pour échanger des données au sein d’un projet ou entre plusieurs projets. prises Une prise est tout simplement un enregistrement. Logic permet de créer plusieurs prises, l’une après l’autre, sans quitter le mode d’enregistrement. Ces prises peuvent ensuite être compilées en une seule (voir compilation). profondeur de bits Nombre de bits utilisés par un enregistrement ou un périphérique numérique. Le nombre de bits de chaque échantillon détermine la plage dynamique maximale (théorique) des données audio, quelle que soit la fréquence d’échantillonnage. projet Il s’agit du morceau de musique, un document Logic contenant les pointeurs vers les fichiers audio et les régions, ainsi que les données MIDI réelles (dans les régions MIDI). Certains autres réglages et préférences y sont également stockés. punch in, punch out Entrer et sortir d’un enregistrement pour remplacer une rubrique d’un enregistrement existant. Ce processus peut être automatisé dans Logic. Voir également bouton Autopunch et fonction d’autopunch. quantification Correction rythmique de certaines notes jouées approximativement, par déplacement sur une grille sélectionnable (option à sélectionner dans le menu Quantification). Lorsque la quantification est appliquée à un événement ou une région sélectionné(e), Logic replace exactement tous les événements remarques à la position la plus proche de la grille. La fonction de quantification de Logic n’est pas destructrice, vous pouvez essayer différentes valeurs tout en écoutant un morceau musical. QuickTime Norme multi-plateformes d’Apple pour la lecture et l’encodage de données vidéo numériques compressées. Les séquences QuickTime peuvent être lues dans une fenêtre Logic ou sur une piste vidéo globale, synchronisée sur le projet. Si vous déplacez la tête de lecture, la vidéo suit, et vice versa. raccourci clavier Fonction pouvant être exécutée à l’aide d’une ou plusieurs touches du clavier de votre ordinateur ou du contrôleur MIDI.Glossaire 113 RAM Abréviation de « random-access memory ». Capacité mémoire de l’ordinateur, mesurée en méga-octets (Mo), qui définit la quantité de données que l’ordinateur peut traiter et stocker temporairement à tout moment. région Les régions se trouvent sur les pistes d’arrangement : il s’agit de ligatures rectangulaires qui servent de conteneurs pour les données audio ou MIDI. Il en existe trois types : régions audio, régions MIDI et régions dossier (généralement simplement appelées dossiers). Voir égalementrégion audio, région MIDI et dossier. région audio Zone désignée d’un fichier audio pouvant être placée sur des pistes audio dans la zone Arrangement, tout comme une région MIDI peut être placée sur des pistes MIDI. Les régions audio sont des alias (ou pointeurs) vers des portions de fichiers audio. Elles peuvent être aussi petites qu’un échantillon unique, ou prendre toute la longueur du fichier audio sous-jacent. Logic permet d’éditer des régions audio sans qu’il y ait de répercussion sur le fichier audio d’origine. Voir également région et région MIDI. région audio clonée Une région audio clonée est un pointeur vers la région d’origine. Lorsque vous réglez les points de départ ou de fin d’une de ces régions clonées, toutes les autres seront réglées de la même manière. région MIDI Conteneur de données pour les événements MIDI, qui apparaît dans la zone d’arrangement sous la forme d’une barre horizontale. réglage de bande de canal Logic permet d’enregistrer et de récupérer l’acheminement d’une bande de canaux, avec tous les effets ou instruments insérés (et leurs réglages). Il est ainsi plus facile de recréer des acheminements d’effets en série complexes entre canaux ou projets. réglages du projet Ensemble de réglages spécifiques au projet en cours. Il s’agit de réglages au niveau du programme, distincts des préférences globales appliquées à tous les projets Logic (voir fenêtre Préférences). règle Mesure Règle située en haut des fenêtres Arrangement, Clavier, Hyper Editor et Éditeur de partition. Elle affiche les unités de temps, notamment les mesures, battements et divisions de battements. Elle permet de définir et d’afficher la position de lecture dans le projet, ainsi que les locators de cycle et d’autopunch. Voir également tête de lecture, cycle et autopunch. règle SMPTE Outre l’affichage standard des mesures/battements, la règle Mesure de Logic permet d’afficher les unités temporelles au format SMPTE (heures, minutes, secondes et images) et le code temporel si une vidéo est importée dans le projet. résolution en bits Autre terme pour « profondeur de bits ». Voir les entrées profondeur de bits et débit. roulette de modulation Contrôleur MIDI qui se trouve sur la plupart des claviers MIDI.114 Glossaire saisir (un objet) Positionner le curseur de la souris sur un objet et maintenir le bouton de la souris enfoncé. screenset Présentation de plusieurs fenêtres, avec tous les paramètres d’affichage (zoom, position, taille de chaque fenêtre, etc.). Vous pouvez passer d’un screenset à un autre, comme si vous passiez d’un écran d’ordinateur à un autre. sélection par étirement Technique de sélection de régions, d’objets, ou d’événements consécutifs consistant à maintenir le bouton de la souris enfoncé, puis à faire glisser le curseur pour tracer un rectangle de sélection autour des objets souhaités. Une enveloppe de sélection par étirement (contour) s’étend alors à partir de la position de départ du curseur de la souris. Tous les objets touchés ou entourés par cette enveloppe sont sélectionnés. séquenceur Le terme « séquenceur » est généralement utilisé pour décrire une application informatique permettant d’enregistrer des données audio et MIDI numériques et de fusionner les sons dans une console de mixage. Auparavant, un séquenceur était un périphérique matériel qui contrôlait des synthétiseurs soit via une série de tensions et de ports de contrôle, soit uniquement via une interface MIDI. Aucun enregistrement ni contrôle audio n’était possible. signal analogique Description des données consistant en niveau de tension variant constamment et représentant des informations audio. Pour pouvoir être utilisés dans Logic, les signaux analogiques doivent être numérisés ou capturés. Comparez avec les signaux numériques. signal mouillé/sec Désigne le rapport entre un signal sur lequel des effets ont été ajoutés (mouillé) et le signal d’origine, non traité (sec). solo Mise en évidence temporaire d’un(e) ou plusieurs piste(s), région(s) ou événement(s), pour pouvoir les écouter indépendamment. Solo, outil Cet outil vous permet, en cliquant sur des régions ou des événements distincts tout en maintenant le bouton de la souris enfoncé, d’écouter ces éléments de façon indé- pendante. Tous les autres objets sont alors muets. stéréo Reproduction sonore stéréophonique de deux canaux audio différents. Contraire de mono. synchronisation Mesure de la capacité à jouer des notes au moment voulu. Ce concept peut également se rapporter à la synchronisation d’événements, de régions et de périphériques. synthétiseur Périphérique (matériel ou logiciel) utilisé pour générer des sons. Ce terme vient des toutes premières tentatives d’émulation (ou synthétisation) de sons d’instruments musicaux, de voix, de chants d’oiseaux, etc., à l’aide de machines mécaniques et électroniques. Logic intègre plusieurs synthétiseurs logiciels, notamment ES1, ES2, EFM 1, ES E, ES P et ES M.Glossaire 115 table de mixage Dans la fenêtre Table de mixage apparaissent pistes, instruments et bandes de canaux MIDI. Il est possible d’afficher tous ces éléments ou seulement certains, au choix de l’utilisateur. Grâce aux canaux affichés, vous pouvez contrôler tous les aspects relatifs à la sortie et au traitement des pistes, notamment le niveau, le panoramique, le traitement des effets et des instruments, l’acheminement, etc. tempo Vitesse de lecture d’un morceau de musique, mesurée en battements par minute. Dans Logic, vous pouvez créer et éditer des changements de tempo dans la piste de tempo. temps de latence Il se peut que vous remarquiez un léger décalage entre le moment où vous appuyez sur les touches du clavier et celui où vous entendez le son produit. Il s’agit d’un temps de latence. Ce phénomène est dû à un certain nombre de facteurs, parmi lesquels l’interface audio utilisée et les gestionnaires audio et MIDI. Vous pouvez cependant agir sur l’un de ces facteurs : la taille de la mémoire tampon E/S, que vous pouvez régler dans les préférences des périphériques. tête de lecture La tête de lecture, symbolisée par une ligne blanche verticale, indique la position de lecture en cours dans toutes les fenêtres Logic horizontales temporelles (comme la fenêtre Arrangement, par exemple). La tête de lecture peut être saisie et déplacée directement à l’aide de la souris. touche de modification Touches du clavier de l’ordinateur qui, utilisées en association avec des touches alphabétiques, permettent de modifier une fonctionnalité. Il s’agit notamment des touches Contrôle, Majuscule, Option et Commande. transposer La transposition consiste à modifier la hauteur tonale d’une région (ou d’un événement) audio ou MIDI d’un certain nombre de demi-tons. triangle d’affichage Petit triangle sur lequel vous cliquez pour afficher ou masquer certains détails de l’interface utilisateur. utilitaire de boucles Apple Loops L’utilitaire de boucles Apple Loops vous permet de créer vos propres boucles Apple Loops. Pour l’utiliser, sélectionnez une région audio dans la zone Arrangement, puis sélectionnez Audio > Ouvrir dans l’utilitaire de boucles Apple Loops. valeur de division Valeur réglable (apparaissant dans les remarques) de la grille, utilisée dans les affichages et les opérations. Troisième chiffre apparaissant dans l’écran de position de la barre de transport. La valeur de division est définie dans la barre de transport, sous le temps. vélocité Force avec laquelle une MIDI note est jouée. La vélocité est contrôlée par le second octet de données d’un événement de note.116 Glossaire WAV, WAVE Format principal de fichier audio utilisé par les ordinateurs compatibles Windows. Dans Logic, tous les fichiers WAV enregistrés et tous ceux sur lesquels un bounce a été effectué sont au format Broadcast Wave, qui permet de stocker des informations de positionnement avec un horodatage haute résolution, ce qui facilite l’inté- gration de ces fichiers dans d’autres applications audio et vidéo. zone « Paramètres de région » Zone, située en haut de la fenêtre « Inspecteur d’arrangement », dans laquelle vous pouvez régler les paramètres de lecture de façon non destructrice pour chaque région, notamment la quantification, la transposition, la vélocité, la compression et le retard. Ces paramètres n’altèrent pas les données stockées mais ont un effet sur la façon dont les événements sont joués. zone Arrangement Espace de travail principal dans Logic. Elle permet d’enregistrer, d’éditer, de déplacer et d’arranger les régions audio et MIDI d’un projet. Elle est également utilisée pour l’enregistrement et la lecture automatiques. zone des paramètres Champ situé dans la partie gauche des fenêtres Logic (ou dans l’Inspecteur). Elle permet de régler les paramètres des éléments sélectionnés : piste, régions, événements ou objets. Voir également Inspecteur. zone Listes Zone de la fenêtre Arrangement présentant quatre onglets indépendants qui répertorient les types de données suivants : événements, régions, marqueurs, changements de tempo et temps/armature. zone Média Zone qui apparaît à droite de la fenêtre Arrangement lorsque vous cliquez sur le bouton Média dans la barre d’outils de la fenêtre Arrangement. Elle comporte les onglets Chutier, Boucles, Bibliothèque et Navigateur qui vous permettent d’accéder à tous les types de données multimédia pris en charge par Logic. zoom Action permettant d’agrandir (zoom avant) ou de rétrécir (zoom arrière) l’affichage dans une fenêtre Logic. Les tâches de zoom peuvent être effectuées à l’aide de l’outil Zoom et des commandes Zoom qui se trouvent dans les coins inférieur gauche et supérieur droit de chaque fenêtre. Voir également commande Zoom et niveau de zoom. 117 Index Index A acheminement 97 activation de la lecture solo piste 40 Afficher l’automation de piste, raccourci clavier 73 ajout de fichiers multimédias Voir importation alias (région MIDI) 97 aliasing 97 Alignement, menu 108 analogique, audio 83–85, 114 annulation d’opérations 23 AppleCare 95 Apple Loop, boucle description 99 importation 15 arrangement 48 Arrangement, fenêtre description 104 présentation 9 redimensionnement de la zone de modification 50 Arrangement, zone 35, 116 Arrêt, raccourci clavier 20 AU. Voir Audio Unit, module audio analogique 83–85 copie 84 numérique 83–85 audio, chutier description 101 audio, fichier description 104 audio, région Voir aussi région description 14, 113 importation 15 suppression 44 automation choix des paramètres 73 description 97 automatisation affichage 73 description 71 écriture 74 modification 74 automatisation des pistes. Voir automatisation auxiliaires, bande de canaux 100 B balance, contrôle 101 balance d’un canal 69 bande de canal auxiliaire 70 bande de canaux aperçu 55 automatisation 71–74 auxiliaire 70 balance 69 commandes 69 envoi, logement 70 envoi vers le bus 70 fenêtre Arrangement 48 niveau 69 regroupement 70 sélection 68 bandes de canaux de la fenêtre Arrangement 48 barre de menus locale 10, 98 barre de transport 20, 98 battement 99 battements par minute 100 Bibliothèque chargement de réglages de bande de canaux 59 chargement des réglages d’effets 60 chargement des réglages d’instruments 56, 60 description 59, 99 ouverture 59 boîte de dialogue 99 bouclage lecture 22 boucle Apple Loop importation 18 type 18 Bounce 99 bouncer 75 bpm. Voir battements par minute bus (table de mixage) description 100118 Index envoi d’une bande de canal 70 C câble défectueux 94 CAM. Voir utilitaire Configuration audio et MIDI (CAM) canaux, bande auxiliaires 100 description 98 case à cocher 100 chargement effet 12, 57 instrument logiciel 12, 56 module 12 réglage d’effets 60 réglage d’instrument logiciel 60 réglage de bandes de canaux 59 réglage des bandes de canaux 12 réglage instrument logiciel 56 chargerment effet EQ 58 chutier audio copie/conversion d’un fichier audio 66 description 65 chutier Voir chutier audio Ciseaux, outil 38, 42 Clavier, éditeur description 103 Colle, outil 110 Coller, raccourci clavier 44 Commande + clic, outil 36 Configuration audio et MIDI (CAM), utilitaire 88, 101 contournement description 101 module 58, 60 contrôle de balance 69 contrôle des données audio entrantes 30 Contrôler les entrées, bouton 30 contrôleur, description 102 conventions du document 6 conversion de fichiers audio 66 Convertisseur analogique numérique (ou ADC, Analog to Digital Converter) 83, 97 Convertisseur numérique analogique (ou DAC, Digital to Analog Converter) 84, 102 copie audio 84 fichier audio 66 fichiers audio dans le dossier de projet 8 région 43 réglage de module 60 Copie, raccourci clavier 43 Core Audio 87, 102 Core MIDI 88, 102 Couper, raccourci clavier 43 coupure du son description 109 Crayon, outil 38, 111 création enregistrement audio 30 enregistrement MIDI 32 événement de note 52 fichier MP3 66 piste 11 projet 9 Cycle, fonction 22–?? D DAW. Voir Digital Audio Workstation débit 102 décibel 102 découpage, région 43 dépannage câble défectueux 94 erreur PCI 94 formatage du disque dur 95 préférences 93 RAM des paramètres 93 réinstallation du système d’exploitation 95 réparation de la structure de fichiers 93 virus 94 déplacement région 41 tête de lecture 21 désactivation du son piste 40 région 38 destructrice, édition 102 Digital Audio Workstation 102 disque dur 90 Doigt, outil 111 dossier (région) 103 dossier du projet 8, 103 durée du décompte 29 E échantillonnage 103 éditeur, description 103 éditeur clavier création d’événements de note 52 modification de la vélocité 53 modification des événements de note 52 ouverture 50 quantification des événements de note 53 éditeur de partition description 103 ouverture 50 éditeur des échantillons 63, 103 édition destructrice 64 effetIndex 119 Voir aussi module chargement 12, 57 choix du réglage 60 contournement 58, 60 description 103 modification de paramètres 61 partage 70 remplacement 58 suppression 58 effets d’envoi 70 enregistrement 27–33 audio. Voir enregistrement audio instrument logiciel. Voir enregistrement MIDI métronome 29 MIDI. Voir enregistrement MIDI prises 31 enregistrement audio Voir aussi enregistrement chemin et dossier d’enregistrement 27 contrôle 30 création 30 préparations 27 prises 31 enregistrement MIDI Voir aussi enregistrement correction de la synchronisation 33 création 32 mode Live 32 enregistrement projet 11 Enregistrer, raccourci clavier 30 envoi, logement 70 EQ, effet 58, 104 événement création 52 description 104 modification 49–53 position 51 quantification 53 vélocité 53 événement de note création 52 modification de la vélocité 53 quantification 53 événements, liste 107 exportation description 104 fichier audio au format MP3 66 F fenêtre Arrangement bandes de canaux 48 fenêtre de module description 60, 104 liaison 61 ouverture 61 fichier AIFF 97 fichier audio ajout au projet 16, 65 conversion 66 copie 66 édition 63 enregistrement. Voir enregistrement exportation au format MP3 66 gestion 65 point d’ancrage 63, 112 fichier multimédia, ajout boucle Apple Loop (audio) 15 boucle Apple Loop (instrument logiciel) 18 fichier audio 16 région MIDI 18 focus principal 105 fonction Cycle 23, 105 fréquence d’échantillonnage 28, 85, 106 G gamme, description 106 gestionnaire 106 Gomme, outil 38, 44, 106 H hauteur tonale, description 106 Hyper Editor description 106 ouverture 50 I importation boucle Apple Loop (audio) 15 boucle Apple Loop (instrument logiciel) 18 description 106 fichier audio 16 insertion d’un effet. Voir effet, chargement Inspecteur 46–48, 107 instrument, module. Voir instrument logiciel instrument logiciel Voir aussi module chargement 12, 56 choix du réglage 56, 60 contournement 58, 60 description 107 enregistrement. Voir enregistrement MIDI mode Live 32 modification de paramètres 61 remplacement 58 suppression 58 Instrument logiciel Apple Loop 19 instrument logiciel Apple Loop 19 interface 107 interface audio 107120 Index L lecture bouclage 22 description 107 lancement 20, 21 position 21 Lecture, commande clavier 20 Lien, bouton 61, 99 liste des événements 51 liste des pistes, description 107 Listes, zone 116 locator 22, 108 locator droit. Voir locator locator gauche. Voir locator logement d’effet d’envoi 108 logement d’insertion 55 logement d’instrument 55 M Média, zone affichage 9 description 116 mémoire 89 mesure, description 108 Mesure, règle 21, 113 métronome 29, 109 MIDI 81–82, 109 MIDI, éditeurs 50–51 MIDI, événement. Voir événement MIDI, région description 113 modification 49–53 mise en boucle région 45 mixage 67–75 modèles 7, 9, 109 mode Live 32 module Voir aussi effet et instrument logiciel chargement 12 choix du réglage 60 contournement 58, 60 description 109 modification de paramètres 61 remplacement 58 retrait 58 MP3, fichier création 66 description 109 Muet, outil 38, 111 N Navigateur affichage 16 ajout de fichier audio et création de piste 16, 19 description 110 navigation 16 présentation par liste ou présentation de navigateur 17 Navigateur de boucles 15, 110 navigation 19–23 niveau, réglage d’une bande de canaux 69 normalisation 63, 110 numérique, audio 83–85, 110 O ordinateur, optimisation pour les applications audio disque dur 90 logiciel 90 matériel 89 mémoire 89 organisation 35 Outil, menu description 36, 108 ouverture au niveau du pointeur de la souris 37 outils affectation à Commande + clic 36 affectation au bouton droit de la souris 36 Ciseaux 38, 42 Crayon 38, 111 description 36 Gomme 38, 44, 106 outil colle 110 outil muet 111 outil par défaut 37 Outil Quantification 111 outils doigt 111 outil Vélocité 111 plage effective 37 Pointeur 37, 111 sélection 36 Solo, outil 39 Vélocité, outil 53 Zoom, outil 42 Ouvrir les réglages audio pour le projet, raccourci clavier 28 P paramètre description 111 Paramètre d’automation, menu 73 Paramètres de piste, zone 47 Paramètres de région, zone 46, 116 passage à zéro, description 111 piste activation de la lecture solo 40 création 11 création lors de l’ajout d’un fichier multimédia 19 désactivation du son 40 sélection 24, 68Index 121 point d’ancrage 63, 112 Pointeur, outil 37, 111 préréglage 112 Presse-papiers 112 prises 31 profondeur de bits 85, 112 projet bouncer 75 création 9 description 7, 112 enregistrement 8 exportation 75 fréquence d’échantillonnage 28 navigation 19–23 retour au début 20 tempo 28 punch in/out 112 Q quantification description 112 événement de note 53 région MIDI 33 Quantification, outil 111 R raccourci clavier Afficher l’automation de piste 73 Arrêt 20 description 112 raccourcis clavier 77 Coller 44 Copie 43 Couper 43 Enregistrer 30 Lecture 20 Ouvrir les réglages audio pour le projet 28 RAM 89, 113 redimensionnement région 41 zone de modification dans la fenêtre Arrangement 50 région collage 44 copie 43 découpage 43 déplacement 41 désactivation du son 38 description 14, 113 division 42 édition 41–45 mise en boucle 45 redimensionnement 41 sélection 25 solo 39 suppression 44 transposition 48 région audio enregistrement 30 importation 16, 19 point d’ancrage 63, 112 région MIDI correction de la synchronisation 33 description 18 quantification 33 réglage Voir aussi préréglage choix. Voir effet ou instrument logiciel réglage de bande de canal description 13, 113 réglage des bandes de canaux chargement 12, 59 résolution en bits. Voir profondeur de bits ressources du projet 8 S sauvegarde 90 screenset configuration 78 description 78, 114 plus de neuf screensets 78 rappel 78 verrouillage 79 sélection bande de canaux 68 étirement 25, 114 outil 36 piste 24, 68 région 25 sélection par étirement 25, 114 séquence QuickTime, description 112 séquenceur, description 114 solo région 39 Solo, outil 39 Son, préférences (Mac OS X) 87 surface de contrôle 79 synchronisation correction 33 description 114 synthétiseur, description 114 T Table de mixage Voir aussi bandes de canaux table de mixage description 67, 115 filtrage des types de bandes de canaux 68 modification de la présentation 68 ouverture 67122 Index sélection d’une bande de canaux 68 technologie FireWire 105 tempo 28, 115 temps de latence 115 Tête de lecture 21, 115 touche de modification 115 traitement natif 110 transposition description 115 région 48 Trouver, champ 101 V valeur de division 115 vélocité, description 115 vélocité, outil 53, 111 virus 94 Z zone Listes 51 zoom 42, 101, 116 Zoom, outil 42 Félicitations, vous et votre MacBook êtes faits l’un pour l’autre.Dites bonjour à votre MacBook. www.apple.com/fr/macbook finder Finder Parcourez vos fichiers de la même manière que vous naviguez parmi vos morceaux de musique avec Cover Flow. Aide Mac Caméra iSight intégrée avec iChat Discutez en vidéo avec vos amis et votre famille, où qu’ils soient dans le monde. Aide Mac isight Mail Gérez tous vos comptes de messagerie d'un même point Aide Mac mail iCal et Carnet d’adresses Votre emploi du temps et vos contacts toujours synchronisés. Aide Mac isync MacBookMac OS X Leopard www.apple.com/fr/macosx iLife www.apple.com/fr/ilife Time Machine Sauvegardez et restaurez automatiquement vos fichiers. Aide Mac Spotlight Trouvez tout ce que vous recherchez sur votre Mac immédiatement. Aide Mac time machine spotlight Safari Profitez pleinement du web grâce au navigateur le plus rapide du monde. Aide Mac safari Coup d’œil Prévisualisez vos fichiers en un clin d’œil. Aide Mac coup d’œil iPhoto Partagez vos photos sur le web ou créez des livres, des cartes et des calendriers. Aide iPhoto GarageBand Créez votre propre morceau avec des musiciens sur une scène virtuelle. Aide GarageBand iWeb Construisez des sites web avec des photos, des films, des blogs et des podcasts. Aide iWeb iMovie Réalisez un film et partagez-le facilement sur le web. Aide iMovie photo film enregistrement site webTable des matières 5 Table des matières Chapitre 1 : Prêt, feu, configurez ! 9 Contenu de la boîte 9 Configuration du MacBook 16 Extinction ou suspension d’activité de votre MacBook Chapitre 2 : Votre MacBook au quotidien 20 Caractéristiques de base de votre MacBook 22 Fonctionnalités du clavier de votre MacBook 24 Ports présents sur votre MacBook 26 Utilisation du trackpad Multi-Touch 30 Utilisation de la batterie du MacBook 31 Comment obtenir des réponses à vos doutes Chapitre 3 : Améliorez les performances de votre MacBook 37 Remplacement du disque dur 46 Installation de mémoire supplémentaire 50 Vérification de la reconnaissance de la nouvelle mémoire par votre MacBook6 Table des matières Chapitre 4 : À tout problème sa solution 52 Problèmes vous empêchant d’utiliser votre MacBook 57 Utilisation d’Apple Hardware Test 58 Problèmes de connexion à Internet 60 Problèmes de communication sans fil avec AirPort Extreme 61 Maintien à jour de vos logiciels 62 Réinstallation des logiciels fournis avec le MacBook 64 Informations, services et assistance 66 Localisation du numéro de série de votre produit Chapitre 5 : Dernières recommandations 68 Informations importantes concernant la sécurité 71 Informations importantes sur la manipulation 74 Ergonomie 76 Apple et l’environnement 77 Regulatory Compliance Information1 1 Prêt, feu, configurez ! www.apple.com/fr/macbook Aide Mac Assistant Migration8 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Votre MacBook est conçu pour pouvoir être configuré rapidement et utilisé immédiatement. Si vous n’avez jamais utilisé de MacBook ou si vous n’êtes pas familiarisé avec les ordinateurs Mac, vous trouverez dans ce chapitre des instructions qui vous aideront à débuter. Important : lisez attentivement toutes les instructions d’installation (et les consignes de sécurité débutant à la page 67) avant d’utiliser votre ordinateur pour la première fois. Si vous êtes un utilisateur expérimenté, peut-être êtes-vous déjà en mesure d’utiliser votre nouvel ordinateur. Veillez néanmoins à consulter les informations du chapitre 2, « Votre MacBook au quotidien » pour découvrir les nouvelles fonctionnalités de ce MacBook. Vous trouverez la plupart des réponses à vos questions dans l’Aide Mac. Pour en savoir plus sur l’utilisation de l’Aide Mac, consultez la rubrique « Comment obtenir des réponses à vos doutes » à la page 31. Comme Apple publie de temps à autres de nouvelles versions et mises à jour de ses logiciels système, il est possible que les images de ce manuel soient légèrement différentes de ce que vous voyez à l’écran.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 9 Contenu de la boîte Configuration du MacBook Votre MacBook est conçu pour pouvoir être configuré rapidement et utilisé immédiatement. Les pages suivantes contiennent des informations qui vous guideront tout au long du processus de configuration, notamment des opérations suivantes :  Le branchement de l’adaptateur secteur MagSafe de 60 W.  Le branchement des câbles et l’accès à un réseau.  La mise sous tension du MacBook et l’utilisation du trackpad.  La configuration d’un compte d’utilisateur et d’autres paramètres via Assistant réglages.  La configuration des préférences et du bureau Mac OS X. Important : retirez le film protecteur qui entoure l’adaptateur secteur MagSafe 60 W avant de configurer le MacBook. Adaptateur secteur MagSafe de 60 W Câble secteur10 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Étape 1 : Branchez l’adaptateur secteur MagSafe de 60 W pour alimenter le MacBook et recharger sa batterie. Assurez-vous que la fiche CA est complètement insérée dans l’adaptateur et que les broches de la fiche sont complètement déployées. Branchez la fiche CA de votre adaptateur sur une prise secteur, puis branchez le connecteur MagSafe sur le port secteur MagSafe. En approchant le connecteur MagSafe du port, vous ressentirez une force magnétique qui l’attire. Pour rallonger le câble de l’adaptateur secteur, remplacez la fiche CA par le câble d’alimentation secteur. Tirez d’abord sur la fiche CA pour la retirer de l’adaptateur, puis branchez le câble d’alimentation secteur inclus sur l’adaptateur, en vous assurant que tout est branché correctement. Lorsque vous déconnectez l’adaptateur secteur d’une prise de courant ou de l’ordinateur, débranchez la prise et non le câble. Connecteur MagSafe Câble secteur Fiche secteur ¯ Port secteur MagSafeChapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 11 Lorsque vous branchez l’adaptateur secteur sur le MacBook, une lampe témoin du connecteur MagSafe s’illumine. Une lumière orange indique que la batterie est en charge. Une lampe témoin verte indique que la batterie est complètement chargée. Si aucune lumière ne s’allume, assurez-vous que le connecteur est placé correctement et que l’adaptateur secteur est branché sur une prise de courant. Étape 2 : Connectez-vous à un réseau sans fil ou câblé.  Pour utiliser un réseau sans fil à l’aide de la technologie intégrée AirPort Extreme, assurez-vous que la borne d’accès sans fil est activée et que vous disposez du nom du réseau. Après avoir allumé votre MacBook, l’Assistant réglages vous guide à travers le processus de connexion. Pour obtenir des conseils de dépannage, consultez la page 60.  Pour utiliser une connexion filaire, branchez une extrémité de câble Ethernet à votre MacBook et l’autre extrémité à un câble modem, DSL ou à un réseau. ® Câble Ethernet Port Ethernet Gigabit (10/100/1000Base-T) G12 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Étape 3 : Appuyez brièvement sur le bouton d’alimentation (®) pour allumer votre MacBook. Votre ordinateur émet un signal sonore lorsque vous l’allumez. Sa mise en route prend quelques instants. Après le démarrage, Assistant réglages s’ouvre automatiquement. Si l’ordinateur ne s’allume pas, consultez la rubrique « Si votre MacBook ne s’allume ou ne démarre pas » à la page 55. ® ® Bouton d’alimentationChapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 13 Étape 4 : Configurez votre MacBook à l’aide d’Assistant réglages La première fois que vous démarrez votre MacBook, l’Assistant réglages se met en route. Il vous aide à saisir les informations de connexion à Internet et au courrier électronique ainsi qu’à configurer un compte d’utilisateur sur votre MacBook. Si vous possédez déjà un Mac, l’Assistant réglages peut vous aider à transférer automatiquement les fichiers, les applications et d’autres informations de votre ancien ordinateur à l’aide d’une connexion Ethernet ou sans fil. Consultez la rubrique suivante, « Migration des informations sur votre MacBook » pour en savoir plus. Si vous ne comptez pas conserver ou utiliser votre autre Mac, il est préférable de lui retirer son autorisation à lire la musique, les clips vidéo ou les livres audio achetés sur l’iTunes Store. Le retrait de l’autorisation d’un ordinateur empêche la lecture par un tiers de tout morceau, vidéo ou livre audio acheté et permet de libérer l’autorisation afin qu’elle puisse être utilisée. Pour plus d’informations sur le retrait d’autorisation, ouvrez iTunes et choisissez Aide > Aide iTunes.14 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Migration des informations sur votre MacBook Vous pouvez suivre les messages d’invite de l’Assistant réglages pour faire migrer vos comptes utilisateur, vos fichiers, vos applications et autres informations existants depuis un autre ordinateur Mac. Vous pouvez procéder en suivant l’une des méthodes ci-dessous :  en passant par un câble Ethernet branché directement sur les deux ordinateurs ou en les connectant au même réseau ;  en recourant à une connexion sans fil direct entre les deux ordinateurs ou en les faisant rejoindre le même réseau sans fil. Avant de réaliser la migration, faire appel à « Mise à jour de logiciels » sur votre premier Mac pour vous assurer que vous disposez bien de la dernière version du logiciel Mac OS X — soit Mac OS X 10.4.11, soit Mac OS X 10.5.6 (ou ultérieur). Vous avez le choix des éléments à faire migrer (à savoir les comptes utilisateur, les documents, les séquences vidéo, les morceaux de musique, les photos, etc.) sur votre MacBook. Important : n’utilisez en aucun cas le premier Mac tant que la migration n’est pas terminée. Si vous ne passez pas par l’Assistant réglages pour transférer vos informations lors du premier démarrage de votre ordinateur, vous pourrez le faire ultérieurement. Si la connexion venait à s’interrompre pendant la migration, il vous est possible de reprendre la migration ultérieurement en utilisant Assistant migration sur votre MacBook et votre premier Mac. Accédez au dossier Applications, ouvrez Utilitaires et double-cliquez sur Assistant migration. Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 15 Étape 5 : Personnalisez le bureau Mac OS X et réglez les préférences. Barre des menus Dock Icône des Préférences Système Menu Aide Icône de recherche de Spotlight Icône du Finder16 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Grâce aux Préférences Système, vous pouvez donner à votre bureau l’apparence souhaitée sans perdre de temps. Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système dans la barre des menus. À mesure que vous vous familiarisez avec votre ordinateur, explorez les Préférences Système, le centre de commandes de la plupart des réglages de votre MacBook. Pour en savoir plus, ouvrez l’Aide Mac et recherchez « Préférences Système » ou la préférence que vous souhaitez modifier. Extinction ou suspension d’activité de votre MacBook Lorsque vous avez terminé de travailler avec le MacBook, suspendez son activité ou éteignez-le. Suspension de l’activité de votre MacBook Suspendez l’activité de votre MacBook si vous ne comptez vous en éloigner que quelques instants. Vous pourrez ensuite le réactiver rapidement sans avoir à le redémarrer. Pour suspendre l’activité de votre MacBook, procédez de l’une des manières suivantes :  Rabattez l’écran.  Choisissez Pomme () > Suspendre l’activité, dans la barre des menus.  Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) et cliquez sur Suspendre l’activité dans la zone de dialogue qui apparaît.  Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système, cliquez sur Économiseur d’énergie et définissez un délai pour la minuterie de mise en veille. AVIS : patientez quelques secondes jusqu’à ce que la lampe témoin de suspension d’activité clignote (signalant que l’activité de l’ordinateur est suspendue et que le disque dur a cessé de tourner) avant de déplacer votre MacBook. Tout déplacement de votre ordinateur lorsque le disque dur est en train de tourner risque d’endommager ce dernier et d’entraîner une perte de données ou l’impossibilité de démarrer à partir du disque dur.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 17 Pour réactiver le MacBook :  Si l’écran est fermé, il suffit de l’ouvrir pour réactiver votre MacBook.  Si l’écran est déjà ouvert, appuyez sur le bouton d’alimentation (®) ou sur l’une des touches du clavier. À la réactivation de votre MacBook, vos applications, vos documents et vos réglages sont conservés tels que vous les aviez laissés. Extinction de votre MacBook Si vous ne comptez pas utiliser votre MacBook pendant un jour ou deux, il est préférable de l’éteindre. La lampe témoin de suspension d’activité reste allumée quelques instants au moment de l’extinction. Pour éteindre le MacBook, procédez de l’une des manières suivantes :  Choisissez Pomme () > Éteindre, dans la barre des menus.  Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) et cliquez sur Éteindre dans la zone de dialogue qui apparaît. Si vous comptez ranger votre MacBook pour une durée prolongée, consultez la rubrique « Informations importantes sur la manipulation » à la page 71 afin d’obtenir des informations sur les mesures à prendre pour éviter que votre batterie ne se décharge complètement.2 2 Votre MacBook au quotidien www.apple.com/fr/macosx Aide Mac Mac OS X20 Chapitre 2 Votre MacBook au quotidien Caractéristiques de base de votre MacBook ® ® Bouton d’alimentation Lampe témoin de la caméra Caméra iSight Haut-parleurs stéréo Microphone Lampe témoin de suspension d’activité Trackpad Batterie (en dessous) Lecteur optique à chargement par fenteChapitre 2 Votre MacBook au quotidien 21 Caméra iSight intégrée et lampe témoin de la caméra Cette caméra permet d’organiser des vidéoconférences avec d’autres utilisateurs à l’aide d’iChat AV, de prendre des photos à travers Photo Booth ou de capturer de la vidéo avec iMovie. La lampe témoin brille lorsque la caméra iSight fonctionne. Microphone intégré Enregistrez du son à l’aide du micro (situé au-dessus et à gauche de la touche Esc de votre clavier) ou profitez de l’application iChat AV incluse pour discuter en direct avec vos amis via une connexion à haut débit. Haut-parleurs stéréo intégrés Ils permettent d’écouter de la musique, des films, des jeux et d’autres types de données multimédia. Trackpad Cliquez ou double-cliquez n’importe où sur le trackpad. Touchez le trackpad avec un ou plusieurs doigts pour déplacer le pointeur et utilisez les gestes Multi-Touch décrits à la page 26). Batterie intégrée Utilisez la batterie d’alimentation lorsque vous n’êtes pas à proximité d’une prise de courant. Lampe témoin de suspension d’activité Une lumière blanche clignote lorsque le MacBook est en suspension d’activité. SuperDrive à chargement par fente Le lecteur optique peut lire et écrire sur des CD et DVD de taille standard. ® Bouton d’alimentation Permet d’allumer ou d’éteindre votre MacBook ou d’en suspendre l’activité.22 Chapitre 2 Votre MacBook au quotidien Fonctionnalités du clavier de votre MacBook ® Touche de fonction (Fn) esc F1 F2 F3 F4 F5 F6 F7 F8 F9 F10 F11 F12 — C - Touches de réglage du volume Touches de réglage de la luminosité Touche d’éjection de disques Touche Silence Touche Exposé Touche Dashboard Commandes multimédia ’Chapitre 2 Votre MacBook au quotidien 23 Touche de fonction (Fn) Maintenez cette touche enfoncée pour activer les actions personnalisées affectées aux touches de fonction (F1 à F12). Pour apprendre comment personnaliser les touches de fonction, choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des menus, puis recherchez « touches de fonction ». Touches de réglage de luminosité (F1, F2) Permettent d’augmenter ( ) ou de réduire ( ) la luminosité de l’écran. Touche Exposé (F3) Vous permet d’ouvrir Exposé pour accéder rapidement à toutes vos fenêtres ouvertes. Touche Dashboard (F4) Vous permet d’ouvrir le Dashboard pour accéder à vos widgets. ’ Clés d’accès (F7, F8, F9) Retour rapide ( ), lecture ou pause (’) ou avance rapide ( ) d’un morceau, d’un film ou d’un diaporama. — Touche silence (F10) Permet de désactiver le son provenant des haut-parleurs intégrés et du port de sortie audio. - Touches de réglage du volume (F11, F12) Elles permettent d’augmenter (-) ou de diminuer (–) le volume du son provenant du haut-parleur intégré ou du port de sortie audio. C Touche d’éjection de disque Maintenez cette touche enfoncée pour éjecter un disque qui n’est pas en cours d’exécution. Il est également possible d’éjecter un disque en faisant glisser son icône dans la Corbeille.24 Chapitre 2 Votre MacBook au quotidien Ports présents sur votre MacBook ® ¯ Port Ethernet Gigabit G Port de sortie audio Logement de sécurité f Port Mini DisplayPort £ Ports USB 2.0 Port d d’adaptateur secteur MagSafeChapitre 2 Votre MacBook au quotidien 25 Remarque : les adaptateurs et les autres accessoires sont vendus séparément à l’adresse www.apple.com/fr/store ou dans votre Apple Store le plus proche. ¯ Port d’adaptateur secteur MagSafe Branchez-y l’adaptateur secteur MagSafe 60 W (inclus) pour recharger la batterie du MacBook. G Port Gigabit Ethernet Permet de se connecter à un réseau Ethernet haute vitesse, un modem câble ou DSL ou encore un autre ordinateur. Le port Ethernet détecte automatiquement les périphériques Ethernet sans avoir besoin de câble croisé Ethernet. £ Mini DisplayPort Permet de connecter votre ordinateur à un écran ou à un système de projection externe doté d’un connecteur DVI, DVI double liaison ou VGA. Vous pouvez acheter des adaptateurs correspondant aux différents formats vidéo compatibles. d Deux ports USB (Universal Serial Bus) 2.0 Grâce à ses ports, vous pouvez brancher sur le MacBook un modem, un iPod, un iPhone, une souris, un clavier, une imprimante, un appareil photo numérique et plus encore. Vous pouvez connecter un appareil externe USB de grande puissance. Vous pouvez également y brancher des périphériques USB 1.1. f Port sortie audio Branchez-y des écouteurs, des haut-parleurs externes (y compris un iPhone) ou tout autre équipement audio numérique. Pour utiliser un micro de niveau de ligne ou un équipement audio analogique, spécifiez une ligne audio qui fonctionne dans les préfé- rences Son. Pour en savoir plus, consultez la page 56. Logement de sécurité Permet de protéger votre ordinateur contre le vol en y fixant un cadenas et un câble (disponible séparément).26 Chapitre 2 Votre MacBook au quotidien Utilisation du trackpad Multi-Touch Utilisez le trackpad pour déplacer le curseur et pour effectuer une variété de gestes Multi-Touch. À la différence des trackpads classiques, l’ensemble du trackpad du MacBook est un bouton et vous pouvez cliquer où vous voulez dessus. Pour activer les gestes Multi-Touch, visionner les vidéos d’instructions décrivant les gestes et définir d’autres options du trackpad, sélectionnez Apple () > Préférences Système, puis cliquez sur Trackpad. Voici comment utiliser votre trackpad MacBook :  Le défilement à deux doigts vous permet de faire glisser vos doigts pour faire défiler rapidement vers le haut, vers le bas ou vers les côtés dans la fenêtre active. Cette option est activée par défaut.Chapitre 2 Votre MacBook au quotidien 27  Un clic secondaire ou un « clic droit » vous permet d’accéder aux commandes du menu contextuel.  Pour configurer une zone de clic secondaire à un doigt dans le coin inférieur gauche ou droit du trackpad, sélectionnez Clic secondaire sous l’option Un doigt des préférences du Trackpad.  Pour configurer un clic secondaire à deux doigts n’importe où sur le trackpad, sélectionnez Clic secondaire sous l’option Deux doigts des préférences du Trackpad. Remarque : vous pouvez également effectuer un clic secondaire si vous faites un clic tout en maintenant la touche ctrl enfoncée. Zone de clic secondaire28 Chapitre 2 Votre MacBook au quotidien Les gestes de trackpad suivants fonctionnent dans certaines applications. Lorsque vous effectuez ces gestes, faites glisser vos doigts légèrement sur la surface du trackpad. Pour en savoir plus, consultez les préférences de Trackpad ou choisissez Aide > Aide Mac et recherchez le mot « trackpad ».  Pincement à deux doigts vous permet d’effectuer un zoom avant ou arrière sur des PDF, images, photos, etc.  Rotation à deux doigts vous permet de faire pivoter les photos, pages, etc.Chapitre 2 Votre MacBook au quotidien 29  Balayage à trois doigts vous permet de faire défiler rapidement les pages de documents, de passer d’une photo à l’autre, etc.  Balayage à quatre doigts fonctionne dans le Finder et dans toutes les applications. Le fait de balayer le trackpad avec quatre doigts vers la gauche ou vers la droite active la permutation d’applications qui vous permet de basculer d’une application ouverte à une autre. En balayant avec les quatre doigts vers le haut ou le bas, vous affichez le bureau ou l’ensemble des fenêtres ouvertes via la fonction Exposé. Pour activer ou désactiver l’un de ces gestes, choisissez Apple () > Préférences Système, puis cliquez sur Trackpad. Cochez les cases pour activer ou désactiver les gestes.30 Chapitre 2 Votre MacBook au quotidien Utilisation de la batterie du MacBook Lorsque l’adaptateur secteur MagSafe n’est pas branché, le MacBook est alimenté par sa batterie intégrée. L’autonomie du MacBook varie en fonction des applications utilisées et des périphériques externes qui sont connectés à votre MacBook. En désactivant les fonctions de technologie sans fil AirPort Extreme ou Bluetooth® et en réduisant la luminosité de l’écran, vous économisez la charge de batterie—ce qui peut être utile, par exemple lorsque vous voyagez en avion. De nombreuses préférences système sont automatiquement définies pour optimiser l’autonomie de la batterie. Si votre batterie faiblit pendant que vous travaillez, branchez l’adaptateur secteur et laissez la batterie se recharger. Vous pouvez également connaître la charge actuelle de la batterie en observant l’icône d’( ) état de la batterie située dans la barre des menus. Le niveau affiché dépend de la quantité d’énergie restant dans la batterie, mais aussi des applications et des périphériques en cours d’utilisation, ainsi que des réglages actuels de votre système. Pour disposer de plus d’énergie, fermez des applications, déconnectez les périphériques non utilisés et réglez la fonction d’Économiseur d’énergie. Pour en savoir plus sur l’économie de la batterie et obtenir des astuces pour améliorer ses performances, rendez-vous à l’adresse www.apple.com/fr/batteries/notebooks.html. Recharge de la batterie Lorsque l’adaptateur secteur fourni avec le MacBook est connecté, la batterie se recharge, que l’ordinateur soit éteint, allumé ou en mode de suspension d’activité. La recharge sera toutefois plus rapide si l’ordinateur est éteint ou en mode de suspension d’activité. La batterie de votre MacBook peut être remplacée uniquement par un fournisseur de services agréé Apple ou d’un revendeur Apple. Chapitre 2 Votre MacBook au quotidien 31 Comment obtenir des réponses à vos doutes De plus amples informations sur l’utilisation du MacBook sont disponibles dans l’Aide Mac qui s’affiche sur votre ordinateur et sur Internet, à l’adresse www.apple.com/fr/support/macbook. Pour faire apparaître l’Aide Mac : 1 Cliquez sur l’icône du Finder dans le Dock (la barre des icônes située au bord de l’écran). 2 Cliquez sur le menu Aide dans la barre des menus et procédez de l’une des manières suivantes : a Saisissez une question ou un terme dans le champ de recherche, puis sélectionnez une rubrique dans la liste des résultats ou sélectionnez « Afficher tous les résultats » pour voir toutes les rubriques. b Choisissez Aide Mac pour ouvrir la fenêtre de l’Aide Mac, qui vous permet de cliquer sur des liens ou de saisir une question.32 Chapitre 2 Votre MacBook au quotidien Informations supplémentaires Pour en savoir plus sur l’utilisation de votre MacBook, consultez le tableau suivant : Pour obtenir des informations sur : Reportez-vous aux sources suivantes : L’installation de mémoire le chapitre 3, « Améliorez les performances de votre MacBook, » à la page 35. Le dépannage de votre MacBook en cas de problème le chapitre 4, « À tout problème sa solution, » à la page 51. L’obtention de services et d’une assistance pour votre MacBook « Informations, services et assistance » à la page 64. Sinon, consultez le site web de support Apple à l’adresse www.apple.com/fr/support/macbook. L’utilisation de Mac OS X Site web de Mac OS X à l’adresse www.apple.com/fr/macosx. Vous pouvez également rechercher « Mac OS X » dans l’Aide Mac. La migration depuis un PC vers un Mac « Pourquoi vous adorerez le Mac » sur www.apple.com/fr/getamac/whymac. L’utilisation des applications iLife Site web d’iLife à l’adresse www.apple.com/fr/ilife. Vous pouvez également ouvrir une application iLife, ouvrir l’Aide de cette application, puis saisir une question dans le champ de recherche. La modification des Préférences Système Préférences Système, accessibles en choisissant le menu Pomme (K) > Préférences Système. Vous pouvez également rechercher « préférences système » dans l’Aide Mac. L’utilisation de votre trackpad Recherchez « trackpad » dans l’Aide Mac. Ou ouvrez les Préférences Système, puis cliquez sur Trackpad. L’utilisation de votre clavier Recherchez « clavier » dans l’Aide Mac. L’utilisation de la caméra iSight Recherchez « iSight » dans l’Aide Mac.Chapitre 2 Votre MacBook au quotidien 33 L’utilisation de la technologie sans fil AirPort Extreme la page web d’assistance AirPort à l’adresse www.apple.com/fr/ support/airport. L’utilisation de la technologie sans fil Bluetooth la page web d’assistance Bluetooth à l’adresse www.apple.com/ fr/support/bluetooth. Vous pouvez aussi ouvrir l’utilitaire « Échange de fichiers Bluetooth » (qui se trouve dans le sousdossier Applications/ Utilitaires) et sélectionner Aide > Aide Bluetooth. L’entretien de la batterie Recherchez « batterie » dans l’Aide Mac. La connexion d’une imprimante Recherchez « impression » dans l’Aide Mac. Connexions USB Recherchez « USB » dans l’Aide Mac. La connexion à Internet Recherchez « Internet » dans l’Aide Mac. La connexion d’un moniteur externe Recherchez « displayport » dans l’Aide Mac. Front Row Recherchez « Front Row » dans l’Aide Mac La gravure d’un CD ou DVD Recherchez « graver disque » dans l’Aide Mac. Les caractéristiques la page web concernant les caractéristiques, à l’adresse www.apple.com/fr/support/specs. Vous pouvez également ouvrir Informations Système en choisissant le menu Pomme (K) > « À propos de ce Mac » dans la barre des menus, puis en cliquant sur Plus d’infos. Actualités, téléchargement gratuits et catalogues en ligne des logiciels et du matériel Apple Site web d’Apple à l’adresse www.apple.com/fr. Pour obtenir des informations sur : Reportez-vous aux sources suivantes :34 Chapitre 2 Votre MacBook au quotidien Instructions, assistance technique et manuels des produits Apple Site web d’assistance Apple à l’adresse www.apple.com/fr/support. Pour obtenir des informations sur : Reportez-vous aux sources suivantes :3 3 Améliorez les performances de votre MacBook mémoire RAM www.apple.com/fr/store Aide Mac36 Chapitre 3 Améliorez les performances de votre MacBook Ce chapitre fournit des informations et des instructions pour changer le disque dur et installer de la mémoire supplémentaire dans votre MacBook. Vous ne pouvez pas remplacer la batterie de votre MacBook vous-même. Si vous pensez que votre batterie doit être changée, contactez votre revendeur Apple ou un fournisseur de services agréé Apple. AVERTISSEMENT : Apple vous recommande de confier l’installation de mémoire et le changement de disques dur à un technicien agréé Apple. Consultez les informations sur le dépannage et l’assistance qui accompagnent votre ordinateur pour savoir comment contacter Apple. Tout dommage causé à votre matériel en tentant d’installer vous-même de la mémoire ou de remplacer un disque dur n’est pas couvert par la garantie limitée de votre ordinateur.Chapitre 3 Améliorez les performances de votre MacBook 37 Remplacement du disque dur Vous pouvez remplacer le disque dur de votre MacBook par un modèle plus performant. Vous trouverez le disque dur à côté de la batterie intégrée, une fois l’arrière de votre MacBook ouvert. Le disque dur de remplacement doit être de 2,5 pouces et doté d’un connecteur Serial ATA (SATA). Pour remplacer le disque dur de votre MacBook : 1 Éteignez le MacBook. Débranchez l’adaptateur secteur, le câble Ethernet, les câbles USB, le verrou de sécurité et tous les autres câbles connectés au MacBook afin d’éviter toute détérioration de ce dernier. 2 Retournez votre MacBook et retirez les huit (8) vis qui maintiennent le fond du boîtier. Soulevez ce dernier et placez-le sur le côté. AVERTISSEMENT : les composants internes de votre MacBook risquent d’être chauds. Si vous venez d’utiliser votre MacBook, attendez 10 minutes après l’avoir éteint afin de laisser aux composants internes le temps de se refroidir.38 Chapitre 3 Améliorez les performances de votre MacBook Important : comme ces vis sont de longueurs différentes, prenez note de leur longueur et de leur position respective pour pouvoir les replacer correctement. Rangez-les en lieu sûr à portée de main.Chapitre 3 Améliorez les performances de votre MacBook 39 Important : en retirant le fond du boîtier, vous avez mis à nu des composants internes fragiles. Ne touchez rien d’autre que la structure de montage du disque dur lorsque vous retirez ou ajoutez un disque dur. 3 Touchez la surface métallique à l’intérieur de l’ordinateur afin de décharger toute électricité statique que vous pouvez avoir emmagasinée.40 Chapitre 3 Améliorez les performances de votre MacBook 4 Repérez l’attache qui se trouve au-dessus du disque dur. Utilisez un tournevis cruciforme pour desserrer les deux vis imperdables qui maintiennent l’attache en place. Rangez cette dernière en lieu sûr à portée de main. 5 Tirez sur la languette prévue à cet effet pour soulever doucement le disque et l’extraire de la baie. Attache LanguetteChapitre 3 Améliorez les performances de votre MacBook 41 6 Tenez le disque dur par les côtés tout en tirant doucement sur le connecteur qui se trouve sur le côté droit du disque afin de le déconnecter. Le connecteur est relié à un câble et demeure à l’intérieur de la baie de disque dur. Connecteur42 Chapitre 3 Améliorez les performances de votre MacBook Important : il y a quatre (4) vis de montage sur les côtés de votre disque dur. Si votre nouveau disque dur n’est pas fourni avec des vis de montage, récupérez les vis de votre ancien disque dur et montez-les sur le nouveau avant de l’installer. 7 Branchez le connecteur sur la partie droite du nouveau disque dur. Vis de montageChapitre 3 Améliorez les performances de votre MacBook 43 8 Insérez le nouveau disque dur en le tenant incliné et en vous assurant que les vis de montage sont correctement placées. 9 Replacez l’attache et serrez les vis.44 Chapitre 3 Améliorez les performances de votre MacBook 10 Remettez le fond du boîtier en place. Tenez le boîtier au milieu de chaque côté et exercez avec le pouce une pression vers le bas sur un côté puis sur l’autre, de manière à insérer les loquets à l’intérieur du boîtier.Chapitre 3 Améliorez les performances de votre MacBook 45 11 Replacez et serrez les huit vis retirées à l’étape 2 à leur emplacement. Pour obtenir des formations sur l’installation de Mac OS X et des applications incluses, consultez la rubrique « Réinstallation des logiciels fournis avec le MacBook » à la page 62.46 Chapitre 3 Améliorez les performances de votre MacBook Installation de mémoire supplémentaire Votre ordinateur est doté de deux logements de mémoire auxquels vous pouvez accéder en retirant le fond du boîtier. Votre MacBook est doté d’un minimum de 2 giga-octets (Go) de mémoire DDR3 (Double Data Rate) SDRAM (Synchronous Dynamic Random-Access Memory) à 1066 MHz. Les deux logements de mémoire peuvent accueillir un module SDRAM conforme aux spécifications suivantes :  Module DDR3 (Double Data Rate Small Outline Dual Inline Memory Module)  30 mm ;  204 broches ;  1 Go ou 2 Go ;  Mémoire RAM de type PC3-8500 DDR3 SO-DIMM à 1066 MHz. Vous pouvez ajouter deux modules de mémoire de 2 Go pour un total de 4 Go de mémoire au maximum. Pour des performances optimales, remplissez les deux logements de mémoire en y installant des modules identiques. Pour installer de la mémoire dans votre MacBook : 1 Suivez les étapes 1 à 3 à partir de la page 37. Important : en retirant le fond du boîtier, vous avez mis à nu des composants internes fragiles. Veillez à ne toucher que la structure de montage de la mémoire quand vous retirez ou ajoutez de la mémoire. 2 Repoussez vers l’extérieur les leviers qui se trouvent sur les côtés du module de mémoire, afin de libérer celui-ci du logement de la carte mémoire. Chapitre 3 Améliorez les performances de votre MacBook 47 La carte mémoire se dégage alors en se soulevant légèrement d’un côté. Avant de la retirer, assurez-vous que les encoches en demi-cercle sont bien visibles. Si ce n’est pas le cas, réessayez en repoussant les languettes vers l’extérieur. 3 Saisissez le module de mémoire en le tenant par ses encoches, puis retirez-le du logement. Encoches48 Chapitre 3 Améliorez les performances de votre MacBook 4 Retirez l’autre module de mémoire. Important : saisissez les modules de mémoire en les tenant par les côtés et en veillant à ne pas toucher les connecteurs dorés. 5 Insérez le nouveau module de mémoire dans le logement : a Alignez l’encoche du bord doré du module sur celle qui se trouve dans le logement de mémoire inférieur. b Inclinez la carte et poussez-la dans le logement. c Utilisez deux doigts pour exercer une pression ferme et uniforme afin de pousser le module de mémoire vers le bas. Vous devez entendre un clic indiquant que la mémoire est correctement insérée. d Répétez l’opération pour installer un module de mémoire supplémentaire dans le logement supérieur. Appuyez sur le module pour vous assurer qu’il est bien à niveau.Chapitre 3 Améliorez les performances de votre MacBook 49 Suivez les instructions données aux étapes 10 et 11, a la page 44 et la page 45 pour replacer le fond du boîtier. Encoches50 Chapitre 3 Améliorez les performances de votre MacBook Vérification de la reconnaissance de la nouvelle mémoire par votre MacBook Après avoir ajouté de la mémoire au MacBook, vérifiez si elle est reconnue. Pour vérifier la mémoire de votre ordinateur : 1 Démarrez votre MacBook. 2 Lorsque le bureau Mac OS X s’affiche, choisissez le menu Pomme () > À propos de ce Mac. Pour plus de détails sur la mémoire installée sur votre ordinateur, ouvrez Informations Système en cliquant sur Plus d’infos puis sur Mémoire. Si votre MacBook ne reconnaît pas la mémoire ou ne démarre pas correctement, vérifiez que la mémoire est compatible avec votre MacBook et qu’elle est correctement mise en place.4 4 À tout problème sa solution www.apple.com/fr/support Aide Mac aide52 Chapitre 4 À tout problème sa solution Il se peut que vous rencontriez à titre exceptionnel des problèmes en utilisant votre MacBook. Ce chapitre vous propose des conseils de dépannage à essayer en cas de problème. Vous trouverez aussi des informations supplémentaires concernant le dépannage dans l’Aide Mac et sur le site web d’assistance consacré au MacBook, à l’adresse www.apple.com/fr/support/macbook. Il existe généralement une solution simple et rapide aux problèmes qui peuvent survenir au cours de l’utilisation de votre MacBook. Réfléchissez aux conditions qui ont entraîné l’apparition de ce problème. Ce récapitulatif de la totalité des opérations effectuées avant que le problème ne survienne permet de restreindre les causes possibles et de trouver la solution. Les éléments à noter comprennent :  les applications que vous étiez en train d’utiliser quand le problème est apparu ; les problèmes qui n’apparaissent qu’avec une application spécifique peuvent indiquer que cette application n’est pas compatible avec la version de Mac OS installée sur votre ordinateur ;  les nouveaux logiciels installés, notamment ceux qui ont ajouté des éléments à votre dossier Système ;  tout composant matériel installé (mémoire supplémentaire ou périphérique, par exemple). Problèmes vous empêchant d’utiliser votre MacBook Si votre MacBook ne répond plus ou que le pointeur se fige Il peut arriver, très rarement, qu’une application se « fige » à l’écran. Mac OS X permet de quitter une application figée sans redémarrer votre ordinateur.Chapitre 4 À tout problème sa solution 53 Pour forcer la fermeture d’une application : 1 Appuyez sur les touches Commande (x) + Option + Échap ou choisissez le menu Pomme () > Forcer à quitter dans la barre des menus. La boîte de dialogue « Forcer à quitter des applications » apparaît. L’application est sélectionnée. 2 Cliquez sur Forcer à quitter. L’application se ferme, en laissant toutes les autres applications ouvertes. Si nécessaire, vous pouvez également redémarrer le Finder à partir de cette zone de dialogue. Enregistrez ensuite votre travail dans les applications ouvertes, puis redémarrez l’ordinateur afin de vous assurer que le problème est entièrement réglé. Si le problème survient fréquemment, choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des menus en haut de l’écran. Recherchez le mot « bloquer » pour obtenir de l’aide en cas de blocage de l’ordinateur ou s’il ne répond pas. Si le problème ne survient que lorsque vous utilisez une application particulière, vérifiez auprès de son éditeur si elle est compatible avec votre ordinateur. Pour obtenir des informations de contact et une assistance relatifs aux logiciels fournis avec votre MacBook, rendez-vous à l’adresse www.apple.com/guide. Si vous savez qu’une application est compatible, vous devrez peut-être réinstaller le logiciel système de votre ordinateur. Consultez la rubrique « Réinstallation des logiciels fournis avec le MacBook » à la page 62.54 Chapitre 4 À tout problème sa solution Si le MacBook se bloque au démarrage, si un point d’interrogation clignotant apparaît ou si l’écran est éteint et que la lampe témoin de suspension d’activité reste allumée (pas en mode de suspension d’activité) Le point d’interrogation clignotant signifie généralement que l’ordinateur ne parvient pas à localiser le logiciel système sur le disque dur interne ou sur tout disque externe relié à l’ordinateur.  Patientez quelques secondes. Si l’ordinateur ne démarre pas de suite, éteignez-le en maintenant le bouton d’alimentation (®) enfoncé pendant 8 à 10 secondes. Débranchez tous les périphériques externes puis tentez de redémarrer l’ordinateur en appuyant sur le bouton d’alimentation (®) tout en maintenant la touche Option enfoncée. Lorsque votre ordinateur démarre, cliquez sur l’icône du disque dur, puis sur la flèche droite. Une fois que l’ordinateur a démarré, ouvrez les Préférences Système et cliquez sur Démarrage. Sélectionnez un dossier Système local de Mac OS X.  Si cela ne donne pas de résultats, tentez de réparer le disque à l’aide d’Utilitaire de disque :  Insérez le DVD Mac OS X Install DVD dans votre ordinateur.  Redémarrez ensuite votre ordinateur en maintenant la touche C enfoncée lors du démarrage.  Choisissez Programme d’installation dans la barre des menus, puis choisissez Ouvrir l’Utilitaire de disque. Lorsqu’Utilitaire de disque s’ouvre, suivez les instructions de la sous-fenêtre S.O.S pour savoir s’il est en mesure de réparer le disque. Si Utilitaire de disque ne résout pas le problème, vous devrez peut-être réinstaller le logiciel système de votre ordinateur. Consultez la rubrique « Réinstallation des logiciels fournis avec le MacBook » à la page 62.Chapitre 4 À tout problème sa solution 55 Si votre MacBook ne s’allume ou ne démarre pas Tentez les opérations suivantes dans l’ordre jusqu’à ce que votre ordinateur s’allume :  Assurez-vous que l’adaptateur secteur est connecté à l’ordinateur et branché sur une prise de courant en état de marche. Veillez à utiliser l’adaptateur secteur MagSafe 60 W fourni avec le MacBook. Si l’adaptateur secteur ne recharge plus l’ordinateur et que la lampe témoin de l’adaptateur secteur ne s’allume pas lorsque vous branchez le câble d’alimentation, essayez de le débrancher puis de le brancher à nouveau afin de le positionner correctement.  Si la lampe témoin du connecteur MagSafe est de couleur orange, cela signifie que la batterie a besoin d’être rechargée. Laissez l’adaptateur secteur branché et rechargez la batterie avec l’ordinateur éteint. Une lampe témoin de couleur verte indique que la batterie est complètement chargée.  Si le problème persiste, réinitialisez le gestionnaire d’alimentation du MacBook en débranchant l’adaptateur secteur, puis en maintenant le bouton d’alimentation (®) enfoncé pendant au moins 5 secondes.  Si vous avez récemment ajouté de la mémoire, assurez-vous qu’elle est correctement installée et compatible avec votre ordinateur. Vérifiez si le retrait de cette mémoire et la remise en place de l’ancienne permet à l’ordinateur de démarrer (consultez la page 46).  Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) et maintenez immédiatement les touches Commande (x), Option, P, et R enfoncées jusqu’à entendre une deuxième fois le son du démarrage. Cette action réinitialise le paramètre RAM (PRAM).  Si vous ne parvenez toujours pas à démarrer le MacBook, consultez la rubrique « Informations, services et assistance » à la page 64 qui contient les informations nécessaires pour prendre contact avec Apple.56 Chapitre 4 À tout problème sa solution Si l’écran devient subitement noir ou que votre MacBook se bloque Essayez de redémarrer votre MacBook. 1 Débranchez tout périphérique connecté à votre MacBook excepté l’adaptateur secteur. 2 Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) pour redémarrer le système. 3 Le niveau de charge de la batterie doit atteindre au moins 10 pour cent avant la connexion d’un périphérique et la reprise du travail. Pour vérifier le niveau de charge de la batterie, observez l’icône d’état de la batterie ( ) située dans la barre des menus. Le moniteur pourrait également s’assombrir si les fonctions d’économie d’énergie de la batterie sont en place. Si un appareil audio branché sur le port audio ne fonctionne pas Débranchez l’appareil audio. Choisissez Apple () > Préférences Système, puis ouvrez les Préférences Son. Dans la sous-fenêtre Entrée, spécifiez si vous voulez que le port soit utilisé pour l’entrée ou la sortie du son. Rebranchez l’appareil audio. Remarque : si vous utilisez Windows sur votre MacBook, le port ne prend en charge que la sortie audio. Si vous avez oublié votre mot de passe Vous pouvez réinitialiser votre mot de passe d’administrateur et les mots de passe de tous les autres comptes. 1 Insert the DVD Applications Install DVD. Redémarrez ensuite votre ordinateur en maintenant la touche C enfoncée lors du démarrage. 2 Dans la barre des menus, choisissez Utilitaires > « Réinitialiser le mot de passe ». Suivez les instructions à l’écran.Chapitre 4 À tout problème sa solution 57 En cas de problème à l’éjection d’un disque  Fermez toutes les applications susceptibles d’utiliser le disque et essayez à nouveau.  Si cela ne donne pas de résultats, redémarrez l’ordinateur tout en maintenant le bouton du trackpad enfoncé. Utilisation d’Apple Hardware Test Si vous pensez qu’il y a un problème avec les composants matériels du MacBook, vous pouvez utiliser l’application Apple Hardware Test pour savoir si tel est le cas (les composants affectés peuvent être la mémoire ou le processeur, par exemple). Pour utiliser Apple Hardware Test : 1 Déconnectez tous les périphériques externes de votre ordinateur, sauf l’adaptateur secteur. Si un câble Ethernet est connecté, déconnectez-le. 2 Redémarrez votre MacBook tout en maintenant enfoncée la touche D. 3 Lorsque l’écran principal d’Apple Hardware Test s’affiche, sélectionnez votre langue. 4 Appuyez sur la touche Retour ou cliquez sur la flèche droite. 5 Lorsque l’écran principal d’Apple Hardware Test s’affiche (après 45 secondes environ), suivez les instructions à l’écran. 6 En cas de détection d’un problème, Apple Hardware Test affiche un code d’erreur. Notez le code d’erreur avant d’entreprendre les démarches d’assistance. Si Apple Hardware Test ne détecte pas de panne matérielle, il est probable que le problème soit lié aux logiciels. Si cette procédure ne fonctionne pas, insérez le Applications Install DVD et maintenez la touche D enfoncée pour lancer l’outil Apple Hardware Test. 58 Chapitre 4 À tout problème sa solution Problèmes de connexion à Internet Le MacBook est équipé de l’application Assistant réglages, destinée à vous aider à configurer une connexion à Internet. Ouvrez Préférences Système, puis cliquez sur Réseau. Cliquez sur le bouton « Assistant » pour ouvrir Assistant réglages de réseau. En cas de problèmes avec votre connexion à Internet, vous pouvez essayer les méthodes proposées dans cette rubrique en commençant par Diagnostic réseau. Pour utiliser Diagnostic réseau : 1 Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système. 2 Cliquez sur Réseau puis cliquez sur « Assistant ». 3 Cliquez sur Diagnostic pour lancer Diagnostic réseau. 4 Suivez les instructions à l’écran. Si Diagnostic réseau n’est pas en mesure de résoudre le problème, celui-ci se situe peut- être au niveau du fournisseur d’accès à Internet auquel vous essayez de vous connecter, du périphérique externe utilisé pour la connexion au fournisseur d’accès à Internet ou du serveur auquel vous essayez d’accéder. Vous pouvez également tenter de réaliser les opé- rations suivantes. Connexions à Internet par modem câble, ligne DSL et réseau local (LAN) Assurez-vous que tous les câbles du modem sont correctement branchés. Vérifiez le câble d’alimentation du modem, le câble reliant le modem à l’ordinateur et celui reliant le modem à la prise secteur. Vérifiez également les câbles et les sources d’alimentation de vos routeurs et concentrateurs Ethernet. Chapitre 4 À tout problème sa solution 59 Éteignez, puis rallumez le modem afin de réinitialiser le matériel du modem. Éteignez le modem câble ou DSL, puis rallumez-le après quelques minutes. Certains fournisseurs d’accès à Internet conseillent de débrancher le câble d’alimentation du modem. Si votre modem dispose d’un bouton de réinitialisation, vous pouvez l’actionner avant ou après avoir éteint puis rallumé le modem. Important : les instructions relatives aux modems ne concernent pas les utilisateurs de réseau LAN. Contrairement aux utilisateurs de modems câble et DSL, les utilisateurs de réseau LAN peuvent disposer de concentrateurs, commutateurs, routeurs et autres blocs de connexion. Ils doivent faire appel à leur administrateur réseau plutôt qu’à un FAI. Connexions PPPoE Si vous ne parvenez pas à vous connecter à votre fournisseur d’accès à Internet via PPPoE (Point to Point Protocol over Ethernet), assurez-vous que les informations que vous avez saisies dans les préférences Réseau sont correctes. Pour vérifier les réglages PPPoE : 1 Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système. 2 Cliquez sur Réseau. 3 Cliquez sur Ajouter (+) en bas de la liste des services de connexion réseau et choisissez PPPoE dans le menu local Interface. 4 Choisissez une interface pour le service PPPoE dans le menu local Ethernet. Choisissez Ethernet si vous vous connectez à un réseau câblé, ou AirPort si vous vous connectez à un réseau sans fil. 5 Saisissez les informations transmises par votre fournisseur d’accès, telles que le nom de compte, le mot de passe et le nom du service PPPoE (si votre fournisseur d’accès l’exige). 6 Cliquez sur Appliquer pour activer les réglages.60 Chapitre 4 À tout problème sa solution Connexions au réseau Assurez-vous que le câble Ethernet est branché sur le MacBook et sur le réseau. Vérifiez les câbles et l’alimentation de vos routeurs et concentrateurs Ethernet. Si vous disposez de plusieurs ordinateurs partageant une connexion à Internet, assurez-vous que votre réseau est correctement configuré. Vous devez savoir si votre FAI fournit une seule ou plusieurs adresses IP, autrement dit une pour chaque ordinateur. Si une seule adresse IP est fournie, vous devez disposer d’un routeur capable de partager la connexion ; on parle alors de conversion d’adresse réseau (NAT) ou de masquage d’adresses IP. Pour obtenir des informations sur la configuration, consultez la documentation fournie avec votre routeur ou contactez la personne qui a configuré votre réseau. Vous pouvez faire appel à une borne d’accès AirPort pour partager une adresse IP entre plusieurs ordinateurs. Pour en savoir plus sur l’utilisation d’une borne d’accès AirPort, consultez l’Aide Mac ou rendez-vous sur le site web AirPort Extreme d’Apple, à l’adresse www.apple.com/fr/support/airport. Si ces informations ne vous permettent pas de résoudre le problème, adressez-vous à votre fournisseur d’accès à Internet ou à votre administrateur réseau. Problèmes de communication sans fil avec AirPort Extreme En cas de problèmes avec les communications sans fil AirPort Extreme :  Vérifiez que l’ordinateur ou le réseau auquel vous souhaitez vous connecter est activé et dispose d’un point d’accès sans fil.  Assurez-vous que le logiciel est correctement configuré conformément aux instructions incluses avec votre borne d’accès ou point d‘accès.Chapitre 4 À tout problème sa solution 61  Assurez-vous que l’autre ordinateur ou le point d’accès au réseau se trouve dans la zone de couverture de l’antenne de votre ordinateur. Des appareils électroniques ou des structures métalliques se trouvant à proximité peuvent interférer avec les communications sans fil et réduire la portée de votre antenne. Vous pouvez éventuellement améliorer la réception en tournant et en réorientant l’ordinateur.  Vérifiez l’icône d’état AirPort (Z) dans la barre des menus. Jusqu’à quatre barres de mesure apparaissent pour afficher la puissance du signal. Si l’intensité du signal est faible, essayez de changer de place.  Pour plus d’informations, consultez l’Aide AirPort (choisissez Aide > Aide Mac, puis Bibliothèque > Aide AirPort dans la barre des menus) ainsi que les instructions fournies avec votre appareil sans fil. Maintien à jour de vos logiciels Vous pouvez vous connecter à Internet pour télécharger et installer automatiquement les dernières versions de logiciels, gestionnaires et autres améliorations fournies par Apple. Chaque fois que vous vous connectez à Internet, « Mise à jour de logiciels » consulte les mises à jour disponibles pour votre ordinateur. Vous pouvez configurer le MacBook afin qu’il recherche régulièrement des mises à jour et que vous puissiez télécharger et installer les logiciels mis à jour. Pour rechercher des logiciels mis à jour : 1 Ouvrez les Préférences Système. 2 Cliquez sur l’icône « Mise à jour de logiciels » et suivez les instructions à l’écran.  Pour plus d’informations, recherchez « Mise à jour de logiciels » dans l’Aide Mac.  Pour obtenir les toutes dernières informations sur Mac OS X, rendez-vous à l’adresse www.apple.com/fr/macosx.62 Chapitre 4 À tout problème sa solution Réinstallation des logiciels fournis avec le MacBook Utilisez les disques d’installation de logiciels fournis avec votre ordinateur pour réinstaller Mac OS X et les applications livrées avec votre ordinateur. Vous pouvez choisir soit « Archiver et installer » afin d’enregistrer vos fichiers et réglages existants, soit « Effacer et installer » pour effacer toutes vos données. Important : Apple vous recommande de sauvegarder les données de votre disque dur avant de procéder à la restauration des logiciels. Nous vous conseillons de sauvegarder vos fichiers essentiels avant d’installer Mac OS X et d’autres applications car l’option « Effacer et installer » efface les données du disque dur. Apple décline toute responsabilité en cas de perte de données. Installation de Mac OS X Pour installer Mac OS X : 1 Sauvegardez vos fichiers essentiels. 2 Assurez-vous que votre adaptateur secteur est connecté et branché sur une prise de courant. 3 Insérez le DVD Applications Install DVD fourni avec votre ordinateur. 4 Double-cliquez sur Installer Mac OS X. 5 Suivez les instructions à l’écran. Remarque : pour rétablir les réglages d’origine de Mac OS X sur votre ordinateur, cliquez sur Options dans la sous-fenêtre « Sélectionner une destination » du programme d’installation, puis choisissez Effacer et installer. Si vous choisissez « Effacer et installer », un message vous rappelle d’utiliser le DVD Applications Install DVD pour réinstaller les applications incluses avec votre ordinateur.Chapitre 4 À tout problème sa solution 63 6 Une fois l’installation terminée, cliquez sur Redémarrer pour redémarrer votre ordinateur. 7 Suivez les instructions données par l’Assistant réglages pour configurer votre nouveau compte utilisateur. Installation d’applications Si vous réinstallez Mac OS X sur votre ordinateur, puis que vous sélectionnez l’option « Effacer et installer », vous devez réinstaller les applications fournies avec votre ordinateur, telles que les applications iLife. Pour installer les applications fournies avec votre ordinateur : 1 Assurez-vous que votre adaptateur secteur est connecté et branché sur une prise de courant. 2 Insérez le DVD Applications Install DVD fourni avec votre ordinateur. 3 Double-cliquez sur « Installer les logiciels inclus ». 4 Suivez les instructions à l’écran. 5 Cliquez sur Fermer une fois l’installation terminée.64 Chapitre 4 À tout problème sa solution Informations, services et assistance Outre le disque dur et la mémoire, votre MacBook ne contient aucune pièce que vous puissiez réparer vous-même. Si vous avez besoin de services de réparation, adressezvous à Apple ou portez votre MacBook chez un fournisseur de services agréé Apple. Vous trouverez de plus amples informations sur le MacBook en ligne, dans l’aide à l’écran, dans Informations Système et via Apple Hardware Test. Informations en ligne Pour obtenir des informations en ligne sur le service et l’assistance, rendez-vous sur www.apple.com/fr/support. Choisissez votre pays dans le menu local. Vous pouvez faire des recherches dans la base de données AppleCare Knowledge Base, vérifiez si de nouvelles mises à jour de logiciels sont disponibles ou obtenir de l’aide dans les forums de discussion Apple. Aide à l’écran Vous pouvez chercher des réponses à vos questions ainsi que des instructions et des informations concernant le dépannage dans l’Aide Mac. Choisissez Aide > Aide Mac. Informations Système Pour obtenir des informations sur le MacBook, servez-vous d’Informations Système. Cette application vous fournit la liste des composants matériels et des logiciels installés, le numéro de série et de version du système d’exploitation, la quantité de mémoire installée, etc. Pour ouvrir Informations Système, choisissez le menu Pomme ( ) > « À propos de ce Mac » dans la barre des menus, puis cliquez sur Plus d’infos.Chapitre 4 À tout problème sa solution 65 Service et assistance AppleCare Votre MacBook est fourni avec 90 jours d’assistance technique et 1 an de couverture pour les réparations de matériel effectuées dans les magasins Apple Store ou les centres de réparations agréés Apple, tel qu’un fournisseur de services agréé Apple. Vous avez la possibilité d’étendre la durée de cette couverture en adhérant à un programme AppleCare Protection Plan. Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.apple.com/fr/support/products ou bien visitez le site web adapté à votre pays (répertorié ci-dessous). Si vous avez besoin d’assistance, le personnel d’assistance par téléphone AppleCare peut vous aider à installer et à ouvrir les applications et offre des services de dépannage élémentaires. Appelez le centre d’assistance le plus proche de chez vous (gratuit pendant les 90 premiers jours). Gardez la date d’achat et le numéro de série de votre MacBook à portée de main lorsque vous appelez. Remarque : la période de 90 jours d’assistance gratuite par téléphone débute à la date d’achat. Des frais téléphoniques peuvent être applicables. Pays Téléphone Site web Allemagne (49) 01805 009 433 www.apple.com/de/support Autriche (43) 0810 300 427 www.apple.com/at/support Belgique (flamand) (français) (32) 070 700 772 (32) 070 700 773 www.apple.com/benl/support www.apple.com/befr/support France (33) 0805 540 003 www.apple.com/fr/support Luxembourg (352) 800 24550 www.apple.com/befr/support Suisse (français) (allemand) (41) 0848 000 132 (41) 0848 000 132 www.apple.com/chfr/support www.apple.com/chde/support66 Chapitre 4 À tout problème sa solution Les numéros de téléphone sont susceptibles d’être modifiés. Les tarifs téléphoniques locaux et nationaux peuvent s’appliquer. Une liste complète est disponible sur Internet: Localisation du numéro de série de votre produit Utilisez l’une des méthodes suivantes pour trouver le numéro de série de votre MacBook :  Retournez votre MacBook. Le numéro de série est gravé sur le boîtier.  Choisissez Apple () > À propos de ce Mac, puis cliquez sur le numéro de version sous les mots « Mac OS X » pour passer du numéro de version de Mac OS X à la version, puis au numéro de série.  Cliquez sur l’icône du Finder et ouvrez /Applications/Utilitaires/Informations Système. Cliquez sur Matériel dans la sous-fenêtre Contenu. www.apple.com/contact/phone_contacts.html Numéro de série5 5 Dernières recommandations www.apple.com/fr/environment Aide Mac ergonomie68 Chapitre 5 Dernières recommandations Afin d’assurer votre sécurité et de préserver votre matériel, veillez à observer ces consignes concernant le nettoyage et la manipulation de votre MacBook ainsi que l’aménagement d’un espace de travail confortable. Gardez ces instructions dans un endroit facile d’accès pour vous et pour les utilisateurs éventuels. Informations importantes concernant la sécurité Batterie intégrée Ne retirez pas la batterie de votre MacBook. La batterie doit être remplacée uniquement par un fournisseur de services agréé Apple. Interrompez l’utilisation de votre MacBook s’il tombe ou semble cassé, tordu, déformé ou abîmé. N’exposez pas l’ordinateur à des températures supérieures à 100° C. Manipulation Installez le MacBook sur un plan de travail stable qui laisse convenablement circuler l’air sous l’ordinateur et autour de celui-ci. N’utilisez pas le MacBook en le posant sur un coussin ou tout autre objet de structure non solide car cela pourrait empêcher les conduits d’aération de fonctionner correctement. Évitez également de placer des objets sur le clavier lorsque vous utilisez votre MacBook. N’introduisez jamais d’objets d’aucune sorte dans les ouvertures servant à la ventilation. AVERTISSEMENT : un stockage ou un usage incorrect de votre ordinateur peut annuler la garantie du fabricant. AVERTISSEMENT : ne pas suivre ces consignes pourrait déclencher un feu, occasionner des décharges électriques ou entraîner tout type de blessure ou dommage.Chapitre 5 Dernières recommandations 69 La partie inférieure du MacBook peut chauffer au cours d’une utilisation normale de l’appareil. Si votre MacBook est posé sur vos genoux et que la chaleur qu’il dégage vous gêne, posez-le sur un plan de travail stable. Eau et endroits humides Évitez de placer votre MacBook à proximité de sources de liquide telles que des boissons, un évier, un lavabo, une baignoire ou une douche, par exemple. Protégez votre MacBook de l’humidité et des intempéries (neige, pluie et brouillard par exemple). Adaptateur secteur MagSafe de 60 W Veillez à ce que la fiche ou le câble d’alimentation secteur CA soit totalement enclenché dans l’adaptateur secteur avant de brancher ce dernier sur une prise de courant. N’utilisez que l’adaptateur secteur qui accompagne le MacBook ou, au besoin, un adaptateur secteur agréé Apple compatible avec ce produit. L’adaptateur secteur peut chauffer au cours d’une utilisation normale de l’appareil. Branchez toujours l’adaptateur secteur directement sur la prise de courant ou posez-le par terre, dans un endroit correctement aéré. Débranchez l’adaptateur secteur et tous les autres câbles si l’un des cas suivants se présente :  Vous voulez ajouter de la mémoire ou remplacer le disque dur.  Vous souhaitez nettoyer le boîtier (pour ce faire, suivez à la lettre les instructions fournies à la page 73).  La prise ou le câble d’alimentation est endommagé.  Le MacBook ou l’adaptateur secteur est exposé à la pluie ou à une humidité excessive, ou du liquide a été versé dans le boîtier.  Le MacBook ou l’adaptateur secteur a subi une chute, le boîtier a été endommagé ou vous pensez qu’une réparation est nécessaire.70 Chapitre 5 Dernières recommandations Le port secteur MagSafe contient un aimant qui peut effacer les données d’une carte de crédit, d’un iPod ou d’autres appareils. Pour protéger vos données, ne placez pas de matériaux ou d’appareils à sensibilité magnétique (comme ceux cités précédemment ou autres) à moins de 25 mm de ce port. Si des résidus quelconques se trouvent dans le port secteur MagSafe, enlevez-les doucement à l’aide d’un bâtonnet de coton. Caractéristiques du port d’alimentation MagSafe :  Fréquence : 50 à 60 Hz, monophasée  Tension : 100 à 240 V  Tension de sortie : 16,5 V CA, 3,65 A Diminution de l’acuité auditive Vous risquez une perte d’audition irréparable si vous utilisez un casque ou des écouteurs à un volume sonore élevé. L’oreille peut s’adapter petit à petit à des volumes sonores de plus en plus élevés qui peuvent sembler normaux, mais qui risquent à la longue d’endommager votre système auditif. En cas de sifflements ou de perte d’acuité auditive, arrêtez d’utiliser le casque ou les écouteurs et consultez un médecin. Plus le volume est élevé, plus votre audition risque d’être affectée rapidement. Pour protéger votre système auditif, les spécialistes conseillent de prendre les mesures suivantes :  Limitez la durée d’utilisation à volume élevé de vos écouteurs ou de votre casque d’écoute.  Évitez d’augmenter le volume afin de bloquer les bruits environnants.  Baissez le volume si vous ne parvenez pas à entendre une personne qui parle à côté de vous.Chapitre 5 Dernières recommandations 71 Activités à haut risque Cet ordinateur n’est pas conçu pour être utilisé dans des installations nucléaires, pour la navigation ou la communication aérienne, pour le contrôle du trafic aérien, ni dans aucune autre situation où une panne du système informatique pourrait entraîner la mort, des blessures ou de graves dommages écologiques. Informations concernant le laser pour lecteurs optiques Le lecteur optique de votre ordinateur contient un laser qui est entièrement sans danger si l’on en fait un usage normal mais qui peut s’avérer dangereux pour les yeux s’il est démonté. Afin d’assurer votre sécurité, ce dispositif ne doit être réparé que par un fournisseur de services agréé Apple. Informations importantes sur la manipulation Environnement de fonctionnement : toute utilisation de votre MacBook en dehors de ces plages peut affecter ses performances :  Température de fonctionnement : 10° à 35° C  Température de stockage : -20° à 45° C  Humidité relative : 5 % à 90 % (sans condensation)  Altitude d’utilisation : 0 à 3 048 mètres AVERTISSEMENT : la mise en place de réglages ou la réalisation d’opérations qui ne sont pas spécifiés dans le manuel de votre appareil risque de vous exposer à des rayonnements dangereux. AVIS : ne pas suivre les présentes instructions sur la manipulation peut provoquer des dommages à votre MacBook ou à d’autres objets.72 Chapitre 5 Dernières recommandations Mise sous tension de votre MacBook N’allumez jamais le MacBook tant que tous ses composants internes ou externes ne sont pas en place. L’utilisation de l’ordinateur alors que certains composants manquent peut s’avérer dangereuse et risque de l’endommager. Transport du MacBook Si vous transportez le MacBook dans un sac ou dans un attaché- case, assurez-vous que ce dernier ne contient pas d’objets non attachés (des trombones ou des pièces de monnaie, par exemple) qui pourraient pénétrer accidentellement dans l’ordinateur par une ouverture (comme la fente du lecteur optique) ou se coincer à l’inté- rieur d’un port. Maintenez également à l’écart du port secteur MagSafe tout objet à sensibilité magnétique. Utilisation des connecteurs et des ports Ne forcez jamais un connecteur à entrer dans un port. Lorsque vous branchez un appareil, assurez-vous que le port ne contient aucun résidu quelconque, que le connecteur correspond bien au port et qu’il est placé de manière à entrer correctement dans le port. Utilisation du lecteur optique Le lecteur SuperDrive de votre MacBook prend en charge les disques de 12 cm. Les disques de forme irrégulière et de moins de 12 cm ne peuvent pas être lus et peuvent rester coincés dans le lecteur. Manipulation des parties en verre Votre MacBook contient des composants en verre, notamment l’écran et le trackpad. S’ils sont abîmés, n’utilisez pas votre MacBook tant qu’il n’a pas été réparé par un fournisseur de services agréé Apple.Chapitre 5 Dernières recommandations 73 Stockage de votre MacBook Si vous décidez de ranger le MacBook pendant une longue période, placez-le dans un endroit frais (idéalement, à 22 ˚C) et déchargez la batterie jusqu’à environ 50 pour cent. Pour conserver les capacités de la batterie, rechargez la batterie jusqu’à 50 pour cent tous les six mois environ. Nettoyage du MacBook Lorsque vous nettoyez le boîtier de votre MacBook et de ses composants, éteignez d’abord le MacBook et débranchez-le du secteur. Puis, pour nettoyer le boîtier de l’ordinateur, utilisez un chiffon doux, humide et non pelucheux. Évitez les infiltrations d’humidité par quelque ouverture que ce soit. Ne vaporisez jamais de liquide directement sur l’ordinateur. N’utilisez ni aérosols, ni dissolvants, ni abrasifs qui pourraient endommager les finitions de l’appareil. Nettoyage de l’écran du MacBook Pour nettoyer l’écran du MacBook, éteignez d’abord votre MacBook et débranchez-le du secteur. Humidifiez ensuite, à l’eau seulement, le chiffon fourni et essuyez l’écran. Ne vaporisez jamais de liquide directement sur l’écran.74 Chapitre 5 Dernières recommandations Ergonomie Voici quelques conseils pour la mise en place d’un environnement de travail sain. Clavier et trackpad Lorsque vous tapez au clavier ou que vous vous servez du trackpad, vos épaules doivent être détendues. Le bras et l’avant-bras doivent former un angle droit, la main étant placée dans le prolongement du poignet. Position à éviter Position recommandéeChapitre 5 Dernières recommandations 75 Vous devez avoir les mains et les doigts détendus lorsque vous tapez au clavier ou que vous utilisez le trackpad. Évitez de replier les pouces à l’intérieur des paumes. Modifiez fréquemment la position de vos mains pour éviter la fatigue. Après un travail continu et intensif sur ordinateur, certains utilisateurs peuvent ressentir des douleurs aux mains, aux poignets ou aux bras. Si ces douleurs persistent, consultez un spécialiste. Souris externe Si vous utilisez une souris externe, veillez à ce qu’elle se trouve à hauteur du clavier. Ménagez un espace suffisant pour la manipuler avec aisance. Siège Optez pour un siège de bureau réglable et offrant un dossier et une assise confortables. Réglez la hauteur du siège de telle sorte que vos cuisses reposent à l’horizontale et vos pieds à plat sur le sol. Le dossier du siège doit soutenir votre région lombaire, c’est-à-dire la partie inférieure de votre dos. Suivez les instructions du fabricant de sorte que le réglage du dossier soit parfaitement adapté à votre morphologie. Position à éviter Position recommandée76 Chapitre 5 Dernières recommandations Au besoin, relevez le siège de manière à ce que vos avant-bras et vos mains soient placés correctement par rapport au clavier. Si, dans ce cas, vos pieds ne reposent plus à plat sur le sol, utilisez un repose-pied inclinable et réglable en hauteur. Si vous disposez d’un bureau modulaire, vous pouvez abaisser le niveau du plan de travail pour éviter l’emploi d’un repose-pied. Une troisième solution consiste à utiliser un bureau dont le poste de saisie est situé plus bas que le plan de travail. Écran intégré Orientez l’écran de manière à réduire le plus possible les reflets de l’éclairage électrique et de la lumière du jour. Ne forcez pas l’écran si vous rencontrez une résistance. L’angle d’ouverture maximal de l’écran ne peut dépasser 135 degrés. Réglez la luminosité et le contraste de l’écran chaque fois que vous déplacez l’ordinateur ou que l’éclairage ambiant change. Vous trouverez d’autres informations concernant l’ergonomie sur Internet : Apple et l’environnement Apple Inc. reconnaît sa responsabilité en matière de réduction de l’impact de ses produits et de ses activités sur l’environnement. Des informations supplémentaires sont disponibles sur Internet : www.apple.com/about/ergonomics www.apple.com/fr/environment77 Regulatory Compliance Information FCC Compliance Statement This device complies with part 15 of the FCC rules. Operation is subject to the following two conditions: (1) This device may not cause harmful interference, and (2) this device must accept any interference received, including interference that may cause undesired operation. See instructions if interference to radio or television reception is suspected. L‘utilisation de ce dispositif est autorisée seulement aux conditions suivantes: (1) il ne doit pas produire de brouillage et (2) l’utilisateur du dispositif doit être prêt à accepter tout brouillage radioélectrique reçu, même si ce brouillage est susceptible de compromettre le fonctionnement du dispositif. Radio and Television Interference This computer equipment generates, uses, and can radiate radio-frequency energy. If it is not installed and used properly—that is, in strict accordance with Apple’s instructions—it may cause interference with radio and television reception. This equipment has been tested and found to comply with the limits for a Class B digital device in accordance with the specifications in Part 15 of FCC rules. These specifications are designed to provide reasonable protection against such interference in a residential installation. However, there is no guarantee that interference will not occur in a particular installation. You can determine whether your computer system is causing interference by turning it off. If the interference stops, it was probably caused by the computer or one of the peripheral devices. If your computer system does cause interference to radio or television reception, try to correct the interference by using one or more of the following measures:  Turn the television or radio antenna until the interference stops.  Move the computer to one side or the other of the television or radio.  Move the computer farther away from the television or radio.  Plug the computer in to an outlet that is on a different circuit from the television or radio. (That is, make certain the computer and the television or radio are on circuits controlled by different circuit breakers or fuses.) If necessary, consult an Apple Authorized Service Provider or Apple. See the service and support information that came with your Apple product. Or, consult an experienced radio/television technician for additional suggestions. Important: Changes or modifications to this product not authorized by Apple Inc. could void the EMC compliance and negate your authority to operate the product. This product has demonstrated EMC compliance under conditions that included the use of compliant peripheral devices and shielded cables (including Ethernet network cables) between system components. It is important that you use compliant peripheral devices and shielded cables between system components to reduce the possibility of causing interference to radios, television sets, and other electronic devices.78 Responsible party (contact for FCC matters only): Apple Inc. Corporate Compliance 1 Infinite Loop, MS 26-A Cupertino, CA 95014 Utilisation de la radio sans fil Cet appareil est restreint à un usage intérieur lorsqu’il fonctionne à des bandes de fréquence de 5,15 à 5,25 GHz. Cet appareil doit être utilisé à l’intérieur. Exposure to Radio Frequency Energy The radiated output power of the AirPort Extreme technology is below the FCC radio frequency exposure limits. Nevertheless, it is advised to use the wireless equipment in such a manner that the potential for human contact during normal operation is minimized. FCC Bluetooth Wireless Compliance The antenna used with this transmitter must not be collocated or operated in conjunction with any other antenna or transmitter subject to the conditions of the FCC Grant. Bluetooth Industry Canada Statement This Class B device meets all requirements of the Canadian interference-causing equipment regulations. Cet appareil numérique de la Classe B respecte toutes les exigences du Règlement sur le matériel brouilleur du Canada. Industry Canada Statement Complies with the Canadian ICES-003 Class B specifications. Cet appareil numérique de la classe B est conforme à la norme NMB-003 du Canada. This device complies with RSS 210 of Industry Canada. Bluetooth Europe - Déclaration de conformité UE Cet appareil sans fil est conforme à la directive R&TTE. Europe - EU Declaration of Conformity The equipment complies with the RF Exposure Requirement 1999/519/EC, Council Recommendation of 12 July 1999 on the limitation of exposure of the general public to electromagnetic fields (0 Hz to 300 GHz). Hereby, Apple Inc. declares that this 802.11a/b/g/n Mini-PCIe card is in compliance with the R&TTE Directive. Complies with European Low Voltage and EMC Directives. See: www.apple.com/euro/compliance Korea Warning Statements Singapore Wireless Certification79 Taiwan Wireless Statements Taiwan Class B Statement VCCI Class B Statement Russia External USB Modem Information Si vous connectez votre MacBook à une ligne téléphonique par le biais d’un modem USB externe, veuillez vous reporter aux informations fournies par l’agence de télécommunications mentionnées dans la documentation livrée avec votre modem. ENERGY STAR® Compliance As an ENERGY STAR® partner, Apple has determined that standard configurations of this product meet the ENERGY STAR® guidelines for energy efficiency. The ENERGY STAR® program is a partnership with electronic equipment manufacturers to promote energy-efficient products. Reducing energy consumption of products saves money and helps conserve valuable resources. This computer is shipped with power management enabled with the computer set to sleep after 10 minutes of user inactivity. To wake your computer, click the mouse or trackpad button or press any key on the keyboard. For more information about ENERGY STAR®, visit: www.energystar.gov Turkey80 Informations sur l’élimination et le recyclage Le symbole ci-dessus signifie que vous devez vous débarrasser de votre produit selon les normes et la législation de votre pays. La lampe de rétro-éclairage de cet appareil contient du mercure, vous ne pouvez donc pas le mélanger avec les ordures ménagères. Lorsque votre produit n’est plus utilisable, contactez Apple ou les autorités locales afin de connaître les possibilités de recyclage. Pour en savoir plus sur le programme de recyclage d’Apple, consultez le site www.apple.com/fr/environment/recycling. Informations sur l’enlèvement de la batterie Jetez vos batteries usagées en respectant les lois et les consignes environnementales de votre pays. Deutschland: Das Gerät enthält Batterien. Diese gehören nicht in den Hausmüll. Sie können verbrauchte Batterien beim Handel oder bei den Kommunen unentgeltlich abgeben. Um Kurzschlüsse zu vermeiden, kleben Sie die Pole der Batterien vorsorglich mit einem Klebestreifen ab. Nederlands: Gebruikte batterijen kunnen worden ingeleverd bij de chemokar of in een speciale batterijcontainer voor klein chemisch afval (kca) worden gedeponeerd.81 Taiwan: Union européenne—instructions concernant l’élimination des déchets : Le symbole ci-dessus signifie que vous devez vous débarrasser de votre produit sans le mélanger avec les ordures ménagères, selon les normes et la législation de votre pays. Lorsque ce produit n’est plus utilisable, portezle dans un centre de traitement des déchets agréé par les autorités locales. Certains centres acceptent les produits gratuitement. Le traitement et le recyclage séparé de votre produit lors de son élimination aideront à préserver les ressources naturelles et à protéger l’environnement et la santé des êtres humains.K Apple Inc. © 2009 Apple Inc. Tous droits réservés. En application des lois et conventions en vigueur, aucune reproduction totale ni partielle du manuel n’est autorisée, sauf consentement écrit préalable d’Apple. Tout a été mis en œuvre pour que les informations pré- sentées dans ce manuel soient exactes. Apple n’est pas responsable des erreurs de reproduction ou d’impression. Apple 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014 408-996-1010 www.apple.com Apple, le logo Apple, AirPort, AirPort Extreme, Cover Flow, Exposé, FileVault, GarageBand, iCal, iChat, iLife, iMovie, iPhoto, iPod, iSight, iTunes, Keynote, Mac, MacBook, Macintosh, Mac OS, MagSafe, Photo Booth, Safari, Spotlight, SuperDrive et Time Machine sont des marques d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Finder, iPhone, iWeb, Multi-Touch et Snow Leopard sont des marques d’Apple Inc. AppleCare, Apple Store et iTunes Store sont des marques de service d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. ENERGY STAR® est une marque déposée aux États-Unis. Intel, Intel Core et Xeon sont des marques d’Intel Corp. aux États-Unis et dans d’autres pays. La marque et les logos Bluetooth® sont des marques déposées appartenant à Bluetooth SIG, Inc., utilisées sous licence par Apple Inc. Les autres noms de produits et de sociétés sont la propriété de leurs détenteurs respectifs. Les produits commercialisés par des entreprises tierces ne sont mentionnés que pour information, sans aucune intention de préconisation ni de recommandation. Apple décline toute responsabilité quant à l’utilisation et au fonctionnement de ces produits. Fabriqué sous licence de Dolby Laboratories. « Dolby », « Pro Logic » et le logo double-D sont des marques déposées de Dolby Laboratories. Travaux confidentiels inédits, © 1992–1997 Dolby Laboratories, Inc. Tous droits réservés. Le produit décrit dans le présent manuel intègre des technologies de protection de droits d’auteur ellesmêmes protégées par divers brevets américains ainsi que d’autres droits de propriété intellectuelle appartenant à Macrovision Corporation et à d’autres détenteurs. L’utilisation de ces technologies de protection des droits d’auteurs doit être autorisée par Macrovision Corporation et est destinée à un cadre privé ou de visualisation restreinte, sauf consentement de Macrovision Corporation. Tout démontage ou ingénierie inverse est interdit. L’appareil est couvert par les brevets des États-Unis portant les numéros 4 631 603, 4 577 216, 4 819 098 et 4 907 093 sous licence à des fins de visualisation limitée uniquement. Publié simultanément aux États-Unis et au Canada. iPod touch Guide de l’utilisateur5 Chapitre 1 : Démarrage 5 Éléments nécessaires 5 Enregistrement de l’iPod touch 6 Synchronisation avec iTunes 11 Comptes Mail, Contacts et Calendrier. 13 Installation de profils de configuration 14 Déconnexion de l’iPod touch de votre ordinateur 15 Chapitre 2 : Notions élémentaires 15 Vue d’ensemble de l’iPod touch 17 Écran d’accueil 20 Boutons 22 Écran tactile 24 Clavier à l’écran 28 Connexion à Internet 29 Batterie 30 Entretien de l’iPod touch 31 Redémarrage et réinitialisation de l’iPod touch 32 Chapitre 3 : Musique et vidéo 32 Obtention de musique, vidéo, etc. 34 Musique et autre audio 41 Vidéos 43 Réglage d’une minuterie de veille 44 Modification des boutons de navigation 45 Chapitre 4 : iTunes et App Store 45 iTunes Wi-Fi Music Store 49 App Store 55 Synchronisation du contenu acheté 55 Vérification des achats 56 Mise à jour de votre compte 2 Table des matièreTable des matière 3 57 Chapitre 5 : Safari 57 Visualisation de pages web 60 Recherche sur le Web 61 Signets 62 Web Clip 63 Chapitre 6 : Mail 63 Configuration de comptes de messagerie 63 Envoi de courrier électronique. 65 Relève de la boîte aux lettres et lecture du courrier électronique 68 Organisation du courrier électronique 70 Chapitre 7 : Autres applications 70 Plans 77 YouTube 80 Photos 84 Calendrier 89 Contacts 91 Bourse 92 Météo 93 Notes 94 Calculette 96 Horloge 98 Nike + iPod 99 Chapitre 8 : Réglages 99 Wi-Fi 100 VPN 101 Nouvelles données 101 Luminosité 102 Général 108 Musique 109 Vidéo 110 Photos 110 Mail, Contacts, Calendrier 114 Safari 116 Nike + iPod 117 L’annexe A : Dépannage 117 Général 118 iTunes et synchronisation 120 Son, musique et vidéo 121 iTunes Store4 Table des matière 122 Safari, Mail et Contacts 123 Sauvegarde de l’iPod touch 125 Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod touch 126 Fonctions d’accessibilité de l’iPod touch 127 L’annexe B : Autres ressources 127 Informations relatives à la sécurité, au logiciel et au service après-vente 128 Guide de l’utilisateur optimisé pour iPod touch 128 Informations concernant l’élimination et le recyclage 5 · AVERTISSEMENT : Pour éviter toute blessure, consultez toutes les consignes d’utilisation présentes dans ce guide et les informations relatives à la sécurité apparaissant dans le Guide d’informations importantes sur le produit à l’adresse www.apple.com/fr/support/manuals/ipodtouch avant d’utiliser l’iPod touch. Éléments nécessaires Pour utiliser l’iPod touch, vous avez besoin des éléments suivants :  un Mac ou un PC équipé d’un port USB 2.0 et de l’un des systèmes d’exploitation suivants :  Mac OS X version 10.4.10 ou ultérieure,  Windows XP Édition familiale ou Professionnel avec Service Pack 2 ou ultérieur,  Windows Vista Édition Familiale Premium, Professionnel, Entreprise ou Édition Intégrale ;  une résolution écran de 1024 x 768 minimum ;  iTunes 8.0 ou une version ultérieure, disponible à la page www.itunes.com/fr/download ;  un compte iTunes Store (pour les achats auprès de l’iTunes Wi-Fi Music Store ou de l’App Store) ;  une connexion Internet pour votre ordinateur (haut débit recommandé). Enregistrement de l’iPod touch Avant de pouvoir vous servir des fonctionnalités qu’offrent l’iPod touch, vous devez utiliser iTunes pour configurer l’iPod touch. Vous pouvez également enregistrer votre iPod touch et créer un compte iTunes Store (disponible dans la majorité des pays) si vous n’en avez pas encore un. Enregistrement de votre iPod touch : 1 Téléchargez et installez la dernière version d’iTunes à la page www.itunes.com/fr/download. 1 Démarrage2 Connectez l’iPod touch à un port USB 2.0 de votre Mac ou PC à l’aide du câble fourni avec l’iPod touch. 3 Suivez les instructions à l’écran dans iTunes pour enregistrer l’iPod touch et synchroniser l’iPod touch avec vos contacts, calendriers et signets de votre ordinateur. Synchronisation avec iTunes Avec l’iPod touch, il est facile d’avoir un accès instantané à votre musique, vos vidéos, vos applications téléchargées et autre contenu de votre bibliothèque iTunes. iTunes peut synchroniser toutes ces données sur l’iPod touch, ainsi que vos contacts, vos calendriers et même les signets de votre navigateur. Configuration de la synchronisation Vous pouvez régler iTunes de manière à synchroniser certains ou tous les éléments suivants :  Musique et livres audio  Films  Émissions de télévision  Podcasts  Photos  Contacts : noms, numéros de téléphone, adresses, adresses électroniques, etc.  Calendriers (rendez-vous et événements)  Réglages de compte de messagerie  Signets de page web  Applications achetées ou téléchargées auprès de l’iTunes Store Vous pouvez ajuster vos réglages de synchronisation chaque fois que l’iPod touch est connecté à votre ordinateur. 6 Chapitre 1 DémarrageChapitre 1 Démarrage 7 La musique, les livres audio, les podcasts, les vidéos et les applications achetées sont synchronisés à partir de votre bibliothèque iTunes. Si vous n’avez pas encore de contenu dans iTunes, l’iTunes Store (disponible dans certains pays) facilite l’achat de contenu ou l’abonnement à du contenu, et son téléchargement sur iTunes. Vous pouvez également ajouter de la musique à votre bibliothèque iTunes à partir de vos CD. Pour en savoir plus sur iTunes et l’iTunes Store, ouvrez iTunes et choisissez Aide > Aide iTunes. Les contacts, calendriers et signets de page web sont synchronisés à partir des applications de votre ordinateur, comme indiqué dans la section suivante. Les contacts et les calendriers sont synchronisés selon les deux méthodes à partir de votre ordinateur et de votre iPod touch. Les entrées ou les modifications apportées à l’iPod touch sont synchronisées vers votre ordinateur et inversement. Les signets de page web sont également synchronisés dans les deux sens. Les photos peuvent être synchronisées à partir d’une application ou d’un dossier. Les réglages de compte de messagerie ne se synchronisent que depuis l’application de messagerie électronique de votre ordinateur vers votre iPod touch. Cela vous permet de personnaliser vos comptes de messagerie sur l’iPod touch sans influer pour autant les réglages de compte de messagerie instaurés sur votre ordinateur. Remarque : Vous pouvez également configurer directement des comptes de messagerie électronique sur l’iPod touch. Voir la section «Comptes Mail, Contacts et Calendrier.» à la page 11. Les achats effectués sur l’iPod touch à partir de l’iTunes Wi-Fi Music Store ou de l’App Store sont synchronisés vers votre bibliothèque iTunes. Vous pouvez également acheter ou télécharger directement de la musique et des applications depuis l’iTunes Store sur votre ordinateur, puis les synchroniser sur votre iPod touch. Si vous le souhaitez, vous pouvez régler l’iPod touch pour qu’il ne synchronise qu’une partie du contenu de votre ordinateur. Par exemple, vous pouvez synchroniser seulement certaines listes de lecture musicales ou les podcasts vidéo non visionnés. Important : Vous ne pouvez connecter et synchroniser qu’un iPod touch à la fois. Déconnectez-en un avant d’en connecter un autre. Vous devez ouvrir une session sur votre ordinateur avant de connecter votre iPod touch. Sur un PC, si vous synchronisez plus d’un iPod touch ou iPod avec le même compte utilisateur, vous devez utilisez les mêmes réglages de synchronisation pour chacun d’entre eux. Configuration de la synchronisation iTunes : 1 Connectez l’iPod touch à votre ordinateur et ouvrez iTunes (s’il ne s’est pas ouvert automatiquement). 2 Dans iTunes, sélectionnez iPod touch dans la barre latérale. 3 Ajustez les réglages de synchronisation dans chacune des sous-fenêtres de réglage.La section suivante décrit les sous-fenêtres. Remarque : Si vous configurez l’iPod touch de manière à synchroniser contacts, calendriers ou signets avec MobileMe ou Microsoft Exchange, la synchronisation de ces éléments est désactivée dans iTunes. Voir la section «Configuration de comptes.» à la page 11. 4 Cliquez sur Appliquer dans le coin inférieur droit de l’écran. Par défaut, l’option « Ouvrir iTunes à la connexion de cet iPod » est sélectionnée. Sous-fenêtres des réglages iPod touch dans iTunes Les sections suivantes offrent un aperçu de chacun des sous-fenêtres de réglage de l’iPod touch. Pour plus de renseignements, ouvrez iTunes et choisissez Aide > Aide iTunes. Sous-fenêtre Résumé Sélectionnez « Ouvrir iTunes à la connexion de cet iPod » pour qu’iTunes s’ouvre et synchronise automatiquement votre iPod touch lorsque vous branchez ce dernier sur votre ordinateur. Désélectionnez cette option si vous souhaitez ne synchroniser qu’en cliquant le bouton Synchroniser d’iTunes. Pour plus de renseignements sur la manière d’éviter la synchronisation automatique, consultez la section «Éviter la synchronisation automatique» à la page 10. Sélectionnez « Ne synchroniser que les morceaux et vidéos cochés » si vous ne souhaitez synchroniser que les éléments cochés de votre bibliothèque iTunes. Sélectionnez l’option « Gérer manuellement la musique et les clips vidéo » pour dé- sactiver la synchronisation automatique dans les sous-fenêtres de réglages Musique et Vidéo. Voir la section «Gestion manuelle du contenu» à la page 33. 8 Chapitre 1 DémarrageChapitre 1 Démarrage 9 Sous-fenêtres Musique, Films, Émissions de TV et Podcasts Utilisez ces sous-fenêtres pour indiquer les données à synchroniser. Vous pouvez synchroniser tous vos morceaux de musique, vos films, vos émissions de télévision et vos podcasts ou sélectionner les listes de lecture et les éléments souhaités sur l’iPod touch. Si vous souhaitez regarder des films loués sur votre iPod touch, transférez-les sur l’iPod touch à l’aide de la sous-fenêtre Films d’iTunes. Si l’iPod touch n’a plus suffisamment d’espace libre pour tous les éléments multimédias indiqués, iTunes vous demande si vous souhaitez créer une liste de lecture spéciale. iTunes crée celle-ci pour vous et la règle pour qu’elle se synchronise avec l’iPod touch. Sous-fenêtre Photos Vous pouvez synchroniser des photos avec iPhoto 4.0.3 ou ultérieur ou avec Aperture sur un Mac, ou avec Adobe Photoshop Album 2.0 ou supérieur ou Adobe Photoshop Elements 3.0 ou supérieur sur un PC. Vous pouvez également synchroniser des photos à partir de tout dossier de votre ordinateur qui contient des images. Sous-fenêtre Infos La sous-fenêtre Info permet de configurer les réglages de synchronisation de vos contacts, calendriers, comptes de messagerie et signets de navigateur web.  Contacts Vous pouvez synchroniser vos contacts avec des applications telles que Carnet d’adresses de Mac OS X, Microsoft Entourage, le carnet d’adresses Yahoo! et le carnet d’adresses Google sur un Mac, ou avec le carnet d’adresses Yahoo!, le carnet d’adresses Google, le carnet d’adresses Windows (Outlook Express), les contacts Vista ou Microsoft Outlook 2003 ou 2007 sur un PC. (Sur un Mac, vous pouvez synchroniser vos contacts avec plusieurs applications. Sur un PC, vous ne pouvez synchroniser vos contacts qu’avec une application à la fois. Si vous synchronisez avec le carnet d’adresses Yahoo!, vous avez seulement besoin de cliquer sur Configurer pour saisir vos nouvelles informations de connexion lorsque vous changez de nom d’utilisateur ou de mot de passe Yahoo! après avoir réglé la synchronisation.  Calendriers Vous pouvez synchroniser des calendriers à partir d’applications telles qu’iCal et Microsoft Entourage sur un Mac ou à partir de Microsoft Outlook 2003 ou 2007 sur un PC. Sur un Mac, vous pouvez synchroniser vos calendriers avec plusieurs applications. Sur un PC, vous ne pouvez synchroniser vos calendriers qu’avec une application à la fois. Comptes de messagerie Vous pouvez synchroniser les réglages de compte de messagerie depuis l’application Mail sur Mac et depuis Microsoft Outlook 2003 ou 2007 ou Outlook Express sur PC. Les réglages de compte ne sont transférés que depuis votre ordinateur vers l’iPod touch. Les modifications que vous apportez à un compte de messagerie électronique sur votre iPod touch n’influent pas sur le compte sur de votre ordinateur. Remarque : Le mot de passe de votre compte de messagerie Yahoo! n’est pas enregistré sur votre ordinateur et ne peut donc pas être synchronisé : il doit être saisi sur l’iPod touch. Dans Réglages, choisissez « Mail, Contacts, Calendrier », tapotez sur votre compte Yahoo! et saisissez le mot de passe.  Navigateur web Vous pouvez synchroniser des signets à partir de Safari sur un Mac, ou à partir de Safari ou Microsoft Internet Explorer sur un PC.  Avancé Ces options vous permettent de remplacer lors de la prochaine synchronisation les informations qui se trouvent sur l’iPod touch par celles qui se trouvent sur votre ordinateur. Sous-fenêtre Applications Utilisez la sous-fenêtre Applications pour indiquer quelles applications de l’App Store vous souhaitez installer sur l’iPod touch. Toutes les applications directement téléchargées sur l’iPod touch sont automatiquement sauvegardées dans votre bibliothèque iTunes lorsque vous effectuez une synchronisation. Si vous supprimez manuellement une application sur votre iPod touch, vous pouvez la réinstaller à partir de cette sousfenêtre à partir du moment où il a été synchronisé précédemment. Éviter la synchronisation automatique Vous pouvez empêcher l’iPod touch de synchroniser automatiquement lorsque vous connectez l’iPod touch à un ordinateur autre que celui avec lequel vous le synchronisez habituellement. Désactivation de la synchronisation pour l’iPod touch: Connectez l’iPod touch à votre ordinateur. Dans iTunes, sélectionnez iPod touch dans la barre latérale puis cliquez sur l’onglet Résumé. Décochez « Ouvrir iTunes à la connexion de cet iPod ». Vous pouvez toujours synchroniser en cliquant sur le bouton Synchroniser. Éviter la synchronisation automatique pour tous les iPhone et iPod : Dans iTunes choisissez iTunes > Préférences (sur un Mac) ou Édition > Préférences (sur un PC), cliquez sur Appareils et sélectionnez l’option « Désactiver la synchronisation automatique pour tous les iPhone et iPod ». 10 Chapitre 1 DémarrageChapitre 1 Démarrage 11 Si cette case est cochée, l’iPod touch ne se synchronisera pas automatiquement même si l’option « Ouvrir iTunes à la connexion de cet iPod » est sélectionnée dans la sousfenêtre Résumé. Éviter une fois la synchronisation automatique sans modifier les réglages : Ouvrez iTunes. Lorsque vous connectez l’iPod touch à votre ordinateur, maintenez enfoncées les touches Commande Option (sur un Mac) ou Maj Contrôle (sur un PC) jusqu’à l’apparition de l’iPod touch dans la barre latérale. Synchronisation manuelle : Dans iTunes, sélectionnez iPod touch dans la barre latérale puis cliquez sur Synchroniser dans le coin inférieur droit de la fenêtre. Alternativement, si vous avez modifié des réglages de synchronisation, cliquez sur Appliquer. Comptes Mail, Contacts et Calendrier. L’iPod touch fonctionne avec MobileMe, Microsoft Exchange et de nombreux systèmes de messagerie populaires. Configuration de comptes. MobileMe et Microsoft Exchange proposent non seulement de la messagerie électronique mais également des informations sur les contacts et calendriers qui peuvent être synchronisées automatiquement sur l’iPod touch sans fil. MobileMe peut également synchroniser vos signets Safari. MobileMe, Exchange et les autres comptes de messagerie se configurent directement sur l’iPod touch. L’iPod touch utilise le protocole Exchange ActiveSync pour synchroniser messagerie électronique, calendriers et contacts avec les versions suivantes de Microsoft Exchange :  Exchange Server 2003 Service Pack 2  Exchange Server 2007 Service Pack 1 Pour de nombreux comptes de messagerie populaires, l’iPod touch configure automatiquement la majorité des réglages pour vous. Si vous n’en avez pas encore, vous pouvez obtenir un compte de messagerie gratuit à www.yahoo.com, www.google.com ou www.aol.com. Vous pouvez également essayer MobileMe gratuitement pendant 60 jours. Accédez à la page www.me.com. Ajout d’un compte sur l’iPod touch: 1 À partir de l’écran d’accueil de l’iPod touch, tapotez sur Réglages. 2 Tapotez sur « Mail, Contacts, Calendrier » puis tapotez sur Ajouter un compte. 3 Tapotez sur un type de compte :  Microsoft Exchange MobileMe  Google Mail  Carnet d’adresses Yahoo! Mail  AOL  Autre 4 Saisissez vos informations de compte et tapotez sur Enregistrer. Votre prestataire de service ou administrateur système peut vous fournir les réglages de compte nécessaires. Comptes Exchange : saisissez votre adresse électronique complète, le domaine (facultatif), le nom d’utilisateur et le mot de passe, ainsi qu’une description. Vous pouvez indiquer ce que vous voulez comme description. L’iPod touch prend en charge le service Autodiscovery de Microsoft, qui utilise votre nom d’utilisateur et votre mot de passe pour déterminer l’adresse du serveur Exchange. Si l’adresse du serveur est indéterminable, il vous est demandé de la saisir. (Saisissez l’adresse complète dans le champ Serveur.) Une fois connecté au serveur Exchange, il se peut qu’un message vous demande de changer votre code afin de ré- pondre aux politiques définies sur le serveur. 5 Si vous configurez un compte Exchange ou MobileMe, tapotez sur les éléments à synchroniser : courrier électronique, contacts, calendriers et signets (MobileMe uniquement). Pour les comptes Exchange, vous pouvez également définir le nombre de jours de courrier électronique à synchroniser sur l’iPod touch. Tapotez ensuite sur Enregistrer. Important : Si vous activez les contacts ou calendriers à l’aide de votre compte Exchange ou MobileMe, la synchronisation des contacts ou calendriers est alors désactivée dans l’application iTunes elle-même. Tous les contacts ou calendriers présents sur l’iPod touch sont remplacés par ceux de votre compte Exchange ou MobileMe. Comptes de type « Push » MobileMe, Microsoft Exchange et Yahoo! Mail sont des comptes de type « Push ». Lorsque des informations sont disponibles, par exemple lorsqu’un message électronique arrive, les informations sont automatiquement livrées (envoyées ou « poussées ») sur votre iPod touch. (Au contraire, les services de récupération ou services « Fetch » forcent votre logiciel de messagerie à vérifier régulièrement auprès de votre prestataire de service l’arrivée de nouveaux messages et à demander leur livraison.) MobileMe et Exchange utilisent également le mode « Push » pour synchroniser vos contacts, vos calendriers et vos signets (MobileMe uniquement) si ces éléments sont sélectionnés dans les réglages de compte. 12 Chapitre 1 DémarrageChapitre 1 Démarrage 13 Les informations synchronisées sont transférées automatiquement par le biais de votre connexion sans fil ; vous n’avez donc pas besoin de connecter l’iPod touch à votre ordinateur pour synchroniser. L’iPod touch peut recevoir des informations envoyées par le biais d’une connexion Wi-Fi seulement lorsque l’iPod touch est activé (l’écran est allumé ou l’iPod touch est connecté à votre ordinateur ou à un adaptateur secteur). Installation de profils de configuration Dans un environnement d’entreprise, vous pouvez être amené à configurer des comptes et d’autres éléments sur votre iPod touch en installant un profil de configuration. Les profils de configuration offrent un moyen aux administrateurs système de configurer rapidement votre iPod touch pour fonctionner avec les systèmes informatiques de votre société, votre école ou votre organisation. Par exemple, un profil de configuration pourrait configurer votre iPod touch pour accéder aux serveurs Microsoft Exchange de votre bureau, permettant à votre iPod touch d’accéder au courrier électronique, aux calendriers et aux contacts Exchange. Les profils de configuration peuvent configurer simultanément plusieurs réglages sur l’iPod touch. Par exemple, un profil de configuration pourrait régler votre compte Microsoft Exchange, votre compte VPN et des certificats destinés à un accès sécurisé au réseau et aux informations de votre société. Un profil de configuration peut activer le Verrouillage par code, ce qui vous oblige à créer et à saisir un code pour utiliser votre iPod touch. Votre administrateur système peut distribuer des profils de configuration par courrier électronique ou en les plaçant sur une page web sécurisée. Installation d’un profil de configuration : 1 Sur votre iPod touch, ouvrez le message électronique ou téléchargez le profil de configuration à partir du site web fourni par votre administrateur système. 2 Lorsque le profil de configuration s’ouvre, tapotez sur Installer. 3 Saisissez les mots de passe et les autres informations demandées. Important : On vous demandera problablement si l’on peut faire confiance au profil de configuration. En cas de doute, consultez votre administrateur système avant d’installer un profil de configuration. Les réglages apportés par un profil de configuration ne peuvent pas être modifiés. Si vous souhaitez modifier ces réglages, vous devez d’abord supprimer le profil de configuration ou en installer un mis à jour. Suppression de profil : Dans Réglages, choisissez Général > Profil puis sélectionnez le profil de configuration et tapotez sur Supprimer.La suppression d’un profil de configuration supprime les réglages et toutes les autres informations installées par le profil de configuration de l’iPod touch. Déconnexion de l’iPod touch de votre ordinateur Sauf si l’iPod touch est en cours de synchronisation avec votre ordinateur, vous pouvez l’en déconnecter à tout moment. Lorsque l’iPod touch est en cours de synchronisation avec votre ordinateur, l’iPod touch indique Synchronisation en cours. Si vous déconnectez l’iPod touch avant qu’il ait terminé la synchronisation, il se peut que certaines données ne soient pas transférées. Lorsque l’iPod touch a terminé de se synchroniser, iTunes indique « La synchronisation de l’iPod touch est terminée ». Annulation d’une synchronisation : Faites glisser le curseur sur l’iPod touch. 14 Chapitre 1 Démarrage15 Vue d’ensemble de l’iPod touch Bouton de marche /veille Boutons de volume Port des haut-parleurs Connecteur Dock Antenne Wi-Fi Bouton principal Haut-parleur interne Écran tactile Icônes des applications Barre d’état 2 Notions élémentairesiPod touch Accessoires inclus Haut-parleurs stéréo Câble connecteur Dock vers USB Chiffon à lustrer iPod Élément Utilisation Écouteurs stéréo Lisez de la musique, des livres audio, des podcasts et des vidéos. Câble Connecteur Dock vers USB Utilisez le câble pour connecter l’iPod touch à votre ordinateur afin de le synchroniser et le recharger ou à l’adaptateur secteur pour le charger. Le câble est utilisable avec la station d’accueil vendue en option, ou peut être directement branché sur l’iPod touch. Chiffon de nettoyage Essuyez l’écran de l’iPod touch. Icônes d’état Les icônes de la barre d’état située en haut de l’écran proposent des informations concernant l’iPod touch : Icône d’état Signification Wi-Fi Indique que l’iPod touch est connecté à Internet par un réseau Wi-Fi. Le nombre de barres est proportionnel à la qualité de la connexion. Voir la section page 28. Activité réseau Indique une activité réseau. Certaines applications tierces peuvent également utiliser cette icône pour indiquer un processus actif. VPN Indique que vous êtes connecté à un réseau en utilisant un VPN (réseau privé virtuel). Voir la section «Réseau» à la page 103. 16 Chapitre 2 Notions élémentairesChapitre 2 Notions élémentaires 17 Icône d’état Signification Verrouillage Indique que l’iPod touch est verrouillé. Voir la section page 19. Lecture Indique qu’un morceau, un livre audio ou un podcast est à l’écoute. Voir la section page 34. Alarme Indique qu’une alarme est réglée. Voir la section page 97. Batterie Indique le niveau de la batterie ou l’état de la charge. Voir la section page 29. Écran d’accueil Appuyez sur le bouton principal à tout moment pour voir les applications de votre iPod touch. Tapotez sur l’icône de n’importe quelle application pour démarrer. Applications iPod touch Les applications suivantes sont incluses avec iPod touch : Musique Écoutez des morceaux, podcasts ou livres audio. Créez des listes de lecture On-TheGo ou utilisez la fonctionnalité Genius pour créer automatiquement une liste de lecture avec plus de morceaux de votre bibliothèque allant particulièrement bien ensemble. Vidéos Regardez en déplacement les films, clips vidéos, podcasts vidéo et émissions de télévision que vous avez achetés ou loués. Ou bien connectez l’iPod touch à votre téléviseur pour l’affichage sur grand écran (la connexion requiert un câble vendu séparément). Photos Affichez des photos et images transférées à partir de votre ordinateur ou enregistrées sur l’iPod touch, affichez-les en mode Portrait ou Paysage, zoomez sur une photo, visionnez un diaporama, envoyez des photos par courrier électronique,ajoutez-les à une galerie MobileMe, assignez-les à des contacts et utilisez-les comme fond d’écran. iTunes Effectuez des recherches dans le catalogue de musique de l’iTunes Wi-Fi Music Store ou parcourez, écoutez des extraits et achetez les nouveautés, les morceaux et albums les plus vendus, et plus 1 . À certains emplacements Starbucks 3 , découvrez le morceau à l’écoute dans le café et achetez-le instantanément. Parcourez d’autres morceaux des collections Starbucks, écoutez-en des extraits et achetez-les.App Store Recherchez dans l’App Store des applications iPod touch que vous pouvez acheter ou télécharger à l’aide de votre connexion au réseau de données Wi-Fi. Lisez ou rédigez vos propres évaluations de vos applications préférées. Téléchargez et installez les applications sur votre écran d’accueil 1 . Safari Explorez les sites web en mode Wi-Fi. Faites pivoter l’iPod touch d’un quart de tour pour un affichage grand écran. Tapotez deux fois pour agrandir ou réduire, Safari adapte automatiquement la colonne de la page web à l’écran de l’iPod touch pour faciliter la lecture. Ajoutez des Web Clip Safari à l’écran d’accueil pour un accès rapide à vos sites web préférés. Enregistrez des images dans votre Photothèque à partir de sites web. Calendrier Affichez vos calendriers MobileMe, iCal, Microsoft Entourage, Microsoft Outlook ou Microsoft Exchange. Saisissz des événement sur votre iPod touch et synchronisezles vers le calendrier de votre ordinateur. Définissez des alarmes pour vous rappeler d’événements, rendez-vous et échéances. Mail L’iPod touch fonctionne avec MobileMe, Microsoft Exchange et de nombreux systèmes de messagerie communs, notamment Yahoo! Mail, Google Mail et AOL, ainsi que la plupart des systèmes de messagerie POP3 et IMAP standard. Affichez des PDF et d’autres pièces jointes dans Mail. Enregistrez des photos et éléments graphiques joints dans votre photothèque. Contacts Synchronisez les coordonnées de vos contacts à partir de MobileMe, Carnet d’adresses Mac OS X, le carnet d’adresses Yahoo! , le carnet d’adresses Google, le carnet d’adresses Windows (Outlook Express), Microsoft Outlook ou Microsoft Exchange. Recherchez, ajoutez, modifiez ou supprimez des contacts qui sont ensuite synchronisés vers votre ordinateur. YouTube Lisez des vidéos de votre collection YouTube en ligne 1 . Recherchez des vidéos ou parcourez les vidéos sélectionnées, les plus populaires, les plus récentes et les mieux cotées. Bourse Affichez la cotation de titres choisis, actualisée automatiquement via Internet. Plans Affichez un plan de ville, une vue satellite ou une vue mixte de lieux à travers le monde. Détaillez une carte par un zoom avant, recherchez et suivez votre emplacement actuel approximatif. obtenez des itinéraires routiers détaillés et afficher les conditions actualisées du trafic autoroutier, trouver des commerces à proximité. 2 18 Chapitre 2 Notions élémentairesChapitre 2 Notions élémentaires 19 Météo Obtenez la météo du jour et des prévisions à six jours, Ajoutez vos villes préférées pour obtenez à tout moment un bulletin météo rapide. Horloge Affichez l’heure qu’il est dans des villes du monde entier (vous pouvez créer des horloges pour les villes de votre choix), réglez une ou plusieurs alarmes, utilisez le chronomètre ou réglez un compte à rebours. Calculette Ajoutez, soustrayez, multipliez et divisez. Faites pivoter l’iPod touch pour utiliser ses fonctions scientifiques étendues. Notes Prenez des notes à tout moment : aide-mémoire, listes de courses, réflexions et envoyez-les par courrier électronique. Réglages Effectuez tous les réglages de l’iPod touch de façon centralisée, Définissez votre propre limite de volume pour le confort d’écoute. Définissez votre fond d’écran, la luminosité de votre écran et les réglages de votre réseau, votre courrier, votre accès web, votre musique, vos vidéos, vos photos, etc. Activez le verrouillage automatique et un code de sécurité. Restreignez l’accès au contenu iTunes explicite et à certaines applications. Réinitialisez l’iPod touch. Nike + iPod Lorsqu’il est activé dans les Réglages, Nike + iPod fait de votre iPod touch votre compagnon de séance de sport. Suivez votre rythme, votre durée et votre distance entre les séances et choisissez un morceau à écouter au long de celles-ci. (Requiert les chaussures Nike adéquates ainsi que le capteur Nike + iPod, vendus séparément. Non disponible sur l’iPod touch de première génération.) 1 Fonction non disponible à certains endroits. 2 Les fonctionnalités et services de Plans ne sont pas tous disponibles partout. 3 États-Unis uniquement. Personnaliser l’écran d’accueil Vous pouvez personnaliser la disposition des icônes sur l’écran d’accueil (y compris les icônes du Dock du bas de l’écran). Vous avez la possibilité de les réorganiser sur plusieurs menus principaux. Modifier la disposition des icônes : 1 Tapotez et gardez le doigt sur une icône de l’écran d’accueil jusqu’à ce que les icônes commencent à frémir. 2 Réorganisez les icônes en les faisant glisser. 3 Appuyez sur le bouton principal pour enregistrer votre agencement. Vous pouvez également ajouter des liens vers vos pages web favorites sur l’écran d’accueil. Voir la section «» à la page 61.Créer des écrans d’accueil supplémentaires : Lorsque vous changez la disposition des icônes, faites glisser une icône vers l’extrémité droite de l’écran jusqu’à ce qu’un nouvel écran apparaisse. Feuilletez la page écran afin de revenir à l’écran d’origine et faire glisser d’autres icônes vers le nouvel écran. Vous pouvez créer jusqu’à neuf écrans. Le nombre de points apparaissant au-dessus du Dock indique le nombre d’écrans dont vous disposez et celui qui est actuellement affiché. Basculer vers un autre écran d’accueil : Feuilletez vers la gauche ou la droite Réinitialiser votre écran d’accueil avec la disposition par défaut : Choisissez Réglages > Général > Réinitialiser et tapotez sur Réinitialiser l’écran d’accueil. Boutons Quelques boutons simples permettent d’allumer et d’éteindre facilement votre iPod touch, et de régler le volume. Bouton de marche/veille Si vous n’utilisez pas l’iPod touch, vous pouvez le verrouiller. En cas de verrouillage, l’iPod touch ne répond pas si vous tapotez sur son écran. Par défaut, l’iPod touch se verrouille automatiquement si vous ne tapotez pas sur l’écran pendant une minute. Bouton de marche/veille 20 Chapitre 2 Notions élémentairesChapitre 2 Notions élémentaires 21 Verrouillage iPod touch Appuyez sur le bouton de marche/veille. Déverrouiller l’iPod touch Appuyez sur le bouton du menu principal ou sur le bouton de marche/veille, puis faites glisser le curseur. Éteindre complètement l’iPod touch Maintenez le bouton de marche/veille enfoncé pendant quelques secondes jusqu’à ce que le curseur rouge apparaisse, puis faites glisser le curseur. Allumer l’iPod touch Maintenez le bouton de marche/veille enfoncé jusqu’à ce que le logo Apple apparaisse. Pour plus de renseignements sur la manière de modifier le délai de verrouillage de l’iPod touch, consultez la section «Verrouillage automatique» à la page 104. Pour plus de renseignements sur la manière de régler l’iPod touch pour qu’un mot de passe soit exigé pour le déverrouiller, consultez la section «Verrouillage par code» à la page 104. Boutons de volume Lorsque vous écoutez des morceaux ou que vous regardez des films ou autres, les boutons sur le côté de l’iPod touch permettent de régler le volume audio. Autrement, les boutons contrôlent le volume des alarmes et autres effets sonores. Remarque : Les boutons de volume ne sont pas présents sur l’iPod touch de première génération. AVERTISSEMENT : Des renseignements importants sur la prévention de la perte d’audition sont disponibles dans le Guide des informations importantes sur le produit à la page www.apple.com/fr/support/manuals/ipodtouch. Pour ajuster le volume, utilisez les boutons latéraux de l’iPod touch. Augmenter le volume Réduire le volume Pour définir une limite de volume pour la musique et les vidéos sur l’iPod touch, consultez la section «Musique» à la page 108.Écran tactile Les contrôles de l’écran tactile de l’iPod touch changent dynamiquement en fonction des tâches que vous réalisez. Ouverture d’applications Ouverture d’une application: Tapotez sur une icône. Retour à l’écran d’accueil : Appuyez sur le bouton d’accueil situé au-dessous de l’écran. Défilement Faites défiler verticalement l’affichage en faisant glisser votre doigt. Sur certains écrans, notamment les pages web, vous pouvez également faire défiler latéralement. Lorsque vous faites glisser votre doigt pour faire défiler, vous ne choisissez ni n’activez aucune fonction sur l’écran. 22 Chapitre 2 Notions élémentairesChapitre 2 Notions élémentaires 23 Feuilletez pour faire défiler l’affichage rapidement. Vous pouvez attendre que le défilement s’arrête ou tapoter sur n’importe quel endroit de l’écran pour qu’il s’arrête immédiatement. Lorsque vous tapotez sur l’écran pour arrêter le défilement, vous ne choisissez ni n’activez aucun des éléments affichés. Pour défiler rapidement jusqu’au début d’une liste, d’une page web ou d’un message électronique, tapotez simplement sur la barre d’état. Listes Certaines listes présentent un index sur le côté droit. Recherche d’éléments dans une liste indexée : Tapotez sur une lettre pour passer directement aux éléments commençant par cette lettre. Faites glisser le doigt le long de l’index pour faire rapidement défiler la liste. Index Choix d’un élément : Tapotez sur un élément de la liste. Suivant la liste, tapoter sur un élément peut avoir des conséquences différentes. Par exemple, cette opération peut ouvrir une nouvelle liste, lire un morceau, ouvrir un message électronique ou afficher les coordonnées de quelqu’un.Retour à une liste précédente : Tapotez sur le bouton Précédent dans le coin supé- rieur gauche. Zoom avant ou arrière Lorsque vous consultez des photos, pages web, messages électroniques ou plans, vous pouvez agrandir ou réduire ceux-ci. Rapprochez ou écartez vos doigts pour contrôler ainsi le zoom. Pour les photos et les pages web, vous pouvez tapoter deux fois (en tapotant rapidement deux fois) pour effectuer un zoom avant, puis tapoter deux fois à nouveau pour effectuer un zoom arrière. Dans le cas de cartes routières, tapotez deux fois pour effectuer un zoom avant et tapotez sur l’écran une seule fois avec deux doigts pour effectuer un zoom arrière. Clavier à l’écran Utilisez le clavier à l’écran pour saisir du texte, par exemple des coordonnées, des messages de texte ou des adresses web. Saisie de texte Suivant l’application que vous utilisez, le clavier intelligent peut automatiquement suggérer des corrections pendant que vous tapez pour éviter les fautes d’orthographe. Saisie de texte : 1 Tapotez sur un champ de texte, par exemple dans une note ou un nouveau contact, pour activer le clavier. 2 Tapotez sur les touches du clavier selon vos besoins. Commencez par taper seulement avec votre index. Avec de l’expérience, vous pourrez taper plus rapidement avec vos pouces. 24 Chapitre 2 Notions élémentairesChapitre 2 Notions élémentaires 25 Lors de votre saisie, chaque lettre apparaît au-dessus de votre doigt. Si vous tapotez sur la mauvaise touche, vous pouvez faire glisser votre doigt jusqu’à la bonne. La lettre n’est pas saisie tant que vous ne relâchez pas votre doigt de la touche. Taper en majuscules Tapotez sur la touche Maj avant de tapoter sur une lettre. Saisir rapidement un point et un espace Tapotez deux fois sur la barre d’espace. (Vous pouvez activer ou désactiver cette fonctionnalité dans Réglages > Général > Clavier.) Activer le verrouillage majuscules Tapotez deux fois sur la touche Maj. La touche Maj devient bleue et toutes les lettres que vous tapez s’affichent en majuscules. Tapotez à nouveau sur la touche Maj pour déverrouiller les majuscules. (Vous pouvez activer ou désactiver cette fonctionnalité dans Réglages > Général > Clavier.) Affichage de nombres, de ponctuation ou de symboles Tapotez sur la touche Nombre . Tapotez sur la touche Symbole pour accéder aux signes de ponctuation et aux symboles complémentaires. Saisie de lettres ou symboles qui n’apparaissent pas sur le clavier Tapotez sur la lettre ou le symbole associé et maintenez le doigt dessus, puis faite glisser pour choisir une variation. Claviers internationaux L’iPod touch offre des claviers permettant de saisir du texte dans de nombreuses langues. Consultez la page www.apple.com/fr/ipodtouch/specs.html pour obtenir la liste des claviers pris en charge.Activation et désactivation des claviers internationaux : 1 Dans Réglages, choisissez Général > International > Claviers. 2 Activez les claviers souhaités. Pour les langues proposant plusieurs clavier (notamment japonais et chinois), le nombre de claviers disponibles est indiqué. Tapotez pour choisir un clavier pour la langue en question. Basculement entre claviers lorsque plusieurs sont activés Tapotez sur pour basculer entre les claviers. Lorsque vous tapotez sur le symbole, le nom du clavier que vous venez d’activer apparaît brièvement. Saisie en Japonais Kana Utilisez le clavier Kana pour sélectionner des syllabes. Pour plus d’options de syllabes, tapotez sur la flèche et sélectionnez une autre syllabe ou un autre mot dans la fenêtre. Saisie en japonais QWERTY Utilisez le clavier QWERTY pour saisir du code pour les syllabes japonaises. Pendant que vous tapez, les syllabes suggérées apparaissent. Tapotez sur la syllabe pour la choisir. Saisie en coréen Utilisez le clavier coréen à 2 jeux de touches pour taper les caractères hangul. Pour tapez des doubles consonnes ou des voyelles composées, tapotez sur la lettre, maintenez le doigt dessus et faites glisser pour choisir le double caractère. Saisie en chinois simplifiée pinyin Utilisez le clavier QWERTY pour saisir du pinyin correspondant aux caractères chinois. Pendant que vous tapez, les caractères chinois suggérés apparaissent. Tapotez sur un caractère pour le choisir ou continuez à saisir du pinyin pour afficher davantage d’options de caractères. Saisie de chinois simplifié ou traditionnel manuel Utilisez le bloc tactile pour saisir des caractè- res chinois avec votre doigt. Tandis que vous tracez des traits, l’iPod touch les reconnaît et propose une liste de caractères correspondants classée par ordre de similarité. Lorsque vous choisissez un caractère, ceux qui y sont associés apparaissent dans la liste en tant que choix supplémentaires. 26 Chapitre 2 Notions élémentairesChapitre 2 Notions élémentaires 27 Lorsque les formats manuels de chinois simplifié ou traditionnel sont activés, vous pouvez saisir des caractères chinois avec votre doigt, comme illustré : Dictionnaire L’iPod touch offre pour de nombreuses langues des dictionnaires servant d’aide à la frappe. Le dictionnaire approprié s’active automatiquement en sélectionnant un des claviers pris en charge. Consultez la page www.apple.com/fr/ipodtouch/specs.html pour obtenir la liste des langues prises en charge. L’iPod touch utilise le dictionnaire actif pour suggérer des corrections ou compléter le mot en cours de saisie. Vous n’avez pas besoin d’interrompre votre frappe pour accepter le mot proposé. Mot proposé Acceptation ou refus de suggestions du dictionnaire :  Pour rejeter le mot suggéré, terminez de taper le mot comme vous le souhaitez, puis tapotez sur le « x » pour refuser la suggestion avant de taper autre chose. Chaque fois que vous rejetez une proposition pour un même mot, l’iPod touch tend à accepter votre mot.  Pour utiliser le mot suggéré, tapez un espace, un signe de ponctuation ou le caractère Retour.Remarque : Si vous saisissez du texte en chinois ou en japonais, tapotez sur l’une des suggestions. Modification de texte : Tapotez et maintenez le contact pour agrandir l’affichage, puis faites glisser le doigt pour positionner le point d’insertion. Connexion à Internet L’iPod touch se connecte automatiquement à Internet par le biais de réseaux Wi-Fi . iPod touch peut accéder aux réseaux AirPort et autres réseaux Wi-Fi domestiques, professionnels ou aux points d’accès Wi-Fi de par le monde. Lorsqu’il est connecté à un réseau Wi-Fi connecté à Internet, l’iPod touch se connecte automatiquement à Internet chaque fois que vous utilisez Mail, Safari, YouTube, Bourse, Plans, Météo, l’App Store ou l’iTunes Wi-Fi Music Store. Accès à un réseau Wi-Fi Les réglages Wi-Fi vous permettent d’activer la fonction Wi-Fi et d’accéder aux réseaux Wi-Fi. Activation du mode Wi-Fi : Choisissez Réglages > Wi-Fi et activez l’option de Wi-Fi. Accès à un réseau Wi-Fi : Choisissez Réglages > Wi-Fi, attendez un moment pendant que l’iPod touch détecte les réseaux à portée, puis sélectionnez le réseau (l’accès à certains réseaux Wi-Fi est payant). Le cas échéant, tapez un mot de passe et tapotez sur Rejoindre (les réseaux qui nécessitent un mot de passe présentent une icône représentant un cadenas). Une fois que vous avez rejoint manuellement un réseau Wi-Fi, l’iPod touch s y connecte automatiquement chaque fois que le réseau est à portée. Si plusieurs réseaux déjà utilisés se trouvent à portée, l’iPod touch se connecte au dernier réseau utilisé. 28 Chapitre 2 Notions élémentairesChapitre 2 Notions élémentaires 29 Lorsque l’iPod touch est connecté à un réseau Wi-Fi, l’icône Wi-Fi située dans la barre d’état en haut de l’écran affiche l’intensité du signal de connexion. Le nombre de barres qui s’affiche est proportionnel à la qualité de la connexion. Pour plus de renseignements sur la configuration des réglages Wi-Fi, voir la section «Wi-Fi» à la page 99. Batterie L’iPod touch est doté d’une batterie interne rechargeable. Recharge de la batterie. AVERTISSEMENT : Des renseignements importants concernant la sécurité lors du chargement de l’iPod touch sont disponibles dans le Guide d’informations importantes sur le produit à la page www.apple.com/fr/support/manuals/ipodtouch. Recharge de la batterie et synchronistion de l’iPod touch: Connectez l’iPod touch à votre ordinateur à l’aide du câble USB inclus, Important : Si l’iPod touch est connecté à un ordinateur éteint, en mode de veille ou en mode de suspension d’activité, il est possible que la batterie de l’iPod touch se décharge. Une icône située dans le coin supérieur droit de l’écran indique l’état de charge de la batterie. En charge Rechargé Si vous chargez la batterie pendant qu’une synchronisation est en cours ou tout en utilisant l’iPod touch, l’opération peut prendre plus de temps . Vous pouvez aussi recharger l’iPod touch à l’aide de adaptateur secteur USB Apple, vendu séparément.Important : Si le niveau de la batterie de l’iPod touch est très faible, une des image suivantes peut s’afficher afin d’indiquer que l’iPod touch à besoin d’être rechargé dix minutes avant que vous puissiez l’utiliser. Au cas où l’alimentation de l’iPod touch est extrêmement faible, il se peut que l’écran reste éteint pendant un temps pouvant s’étendre jusqu’à deux minutes avant que l’une des images de faible charge apparaisse. ou Prolongement de la durée de vie de la batterie L’iPod touch utilise une batterie au lithium-ion. Pour en savoir plus sur le prolongement de la durée de vie de votre iPod touch et de sa batterie, consultez la page www.apple.com/fr/batteries. Remplacement de la batterie Le nombre de cycles de recharge des batteries rechargeables reste limité et il peut s’avérer nécessaire de les remplacer. La batterie de l’iPod touch n’est pas remplaçable par l’utilisateur, elle ne peut l’être que par un prestataire de service agréé. Pour plus de renseignements, consultez la page www.apple.com/fr/batteries. Entretien de l’iPod touch Pour nettoyer l’iPod touch, débranchez tous les câbles et éteignez l’iPod touch (appuyez sur le bouton Veille/Activation, maintenez-le enfoncé,puis faites glisser le curseur à l’écran). Utilisez un tissu doux, légèrement humide et sans peluche. Évitez que toute humidité pénètre dans les orifices de l’appareil. N’utilisez pas de produit lavevitre, détergent domestique, aérosol, solvant, alcool, ammoniac ou produit abrasif pour nettoyer l’iPod touch. 30 Chapitre 2 Notions élémentairesChapitre 2 Notions élémentaires 31 Redémarrage et réinitialisation de l’iPod touch En cas de dysfonctionnement, le redémarrage ou la réinitialisation de l’iPod touch devrait résoudre le problème. Redémarrage de l’iPod touch : Maintenez le bouton de marche/veille enfoncé jusqu’à l’apparition du curseur rouge. Faites glisser votre doigt sur le curserur pour éteindre l’iPod touch. Pour rallumer l’iPod touch, appuyez sur le bouton de marche/veille jusqu’à l’apparition du logo Apple. Réinitialisation de l’iPod touch. Maintenez simultanément enfoncés les boutons de marche/veille et du menu principal pendant au moins dix secondes jusqu’à l’apparition du logo Apple. Pour plus de suggestions de dépannage, consultez la section L’annexe A, «Dépannage,» à la page 117.32 L’iPod touch synchronise avec iTunes sur votre ordinateur pour obtenir des morceaux, vidéos et autres contenus que vous avez rassemblés dans votre bibliothèque iTunes. Pour plus de renseignements sur l’ajout de musique et d’autres éléments multimédias à votre bibliothèque iTunes, ouvrez iTunes et choisissez Aide > Aide iTunes. Obtention de musique, vidéo, etc. Pour obtenir de la musique, des vidéos et des podcasts sur votre iPod touch, vous pouvez configurer iTunes sur votre ordinateur de manière à synchroniser le contenu de votre bibliothèque, ou gérer manuellement les éléments multimédias que vous placez sur votre iPod touch. Synchronisation de contenu à partir d’iTunes Vous pouvez obtenir de la musique, de la vidéo et d’autres contenus sur votre iPod touch en synchronisant le contenu à partir d’iTunes. Vous pouvez synchroniser tous vos éléments multimédias ou sélectionner certains morceaux, vidéos et podcasts. Configuration d’iTunes de manière à synchroniser le contenu iPod : 1 Connectez l’iPod touch à votre ordinateur. 2 Dans iTunes, sélectionnez iPod touch dans la barre latérale. 3 Dans les onglets Musique, Films, Émissions TV et Podcasts, sélectionnez le contenu que vous souhaitez transférer sur votre iPod touch. Par exemple, vous pouvez synchroniser certaines listes de lecture de musique et les trois épisodes les plus récents de votre podcast vidéo préféré. 4 Cliquez sur Appliquer. Seuls les morceaux et les vidéos codés dans des formats gérés par l’iPod touch sont transférés sur l’iPod touch. Pour plus de renseignements sur les formats gérés par l’iPod touch, consultez la section «Un morceau, une vidéo ou autre ne fonctionne pas» à la page 120. 3 Musique et vidéoChapitre 3 Musique et vidéo 33 Si la bibliothèque iTunes contient plus morceaux que ne peut en stocker votre iPod touch, propose de créer une liste de lecture spéciale à synchroniser avec l’iPod touch. iTunes remplit la liste de lecture avec une sélection de votre bibliothèque. Vous pouvez ajouter ou supprimer des morceaux à la liste de lecture et synchroniser à nouveau. Si vous écoutez une partie d’un podcast ou d’un livre audio, l’endroit où vous vous êtes arrêté est inclus lors de la synchronisation du contenu avec iTunes. Si vous avez commencé l’écoute sur l’iPod touch, vous pouvez reprendre où vous vous êtes arrêté en utilisant iTunes sur votre ordinateur, et inversement. Pour plus de renseignements sur l’utilisation d’iTunes pour obtenir de la musique et d’autres éléments multimédias sur votre ordinateur, consultez la section «Éléments né- cessaires» à la page 5. Gestion manuelle du contenu La fonction de gestion manuelle vous permet de choisir seulement la musique, les vidéos et les podcasts que vous souhaitez avoir sur votre iPod touch. Configuration de l’iPod touch pour la gestion manuelle de contenu : 1 Connectez l’iPod touch à votre ordinateur. 2 Dans iTunes, sélectionnez iPod touch dans la barre latérale. 3 Cliquez sur l’onglet Résumé et sélectionnez « Gérer manuellement la musique et les clips vidéo ». 4 Cliquez sur Appliquer. Ajout d’éléments à l’iPod touch : Faites glisser un morceau, une vidéo, un podcast ou une liste de lecture de votre bibliothèque vers iPod touch (dans la barre latérale). Cliquez en maintenant la touche Maj ou Commande enfoncée pour sélectionner plusieurs éléments à ajouter simultanément. iTunes synchronise immédiatement le contenu. Si vous désélectionnez l’option « Gérer manuellement la musique et les clips vidéo », le contenu que vous avez ajouté manuellement est supprimé de l’iPod touch la prochaine fois qu’iTunes synchronise le contenu. Suppression d’éléments de l’iPod touch : Connectez l’iPod touch à votre ordinateur puis sélectionnez l’icône iPod touch dans la barre latérale d’iTunes. Cliquez sur le triangle d’expansion situé à gauche de l’icône pour afficher le contenu. Sélectionnez une zone de contenu, par exemple Musique ou Films, puis sélectionnez les éléments que vous souhaitez supprimer et appuyez sur la touche Suppr du clavier. La suppression d’un élément de l’iPod touch ne supprime pas l’élément de votre bibliothèque iTunes.Important : Si vous supprimez un élément d’iTunes, il sera également supprimé de l’iPod touch à la prochaine synchronisation. Transfert de contenu acheté à partir d’un autre ordinateur Vous pouvez transférer du contenu présent sur l’iPod touch, qui a été acheté à l’aide d’iTunes sur un ordinateur d’une bibliothèque iTunes vers un autre ordinateur autorisé. L’ordinateur doit être autorisé à lire du contenu à partir de votre compte iTunes. Pour autoriser l’ordinateur, ouvrez iTunes sur l’ordinateur et choisissez Store > Autoriser l’ordinateur. Transfert de contenu acheté : Connectez l’iPod touch à l’autre ordinateur. iTunes vous demande si vous souhaitez transférer le contenu acheté. Conversion de vidéos pour l’iPod touch Vous pouvez ajouter des vidéos autres que celles que vous avez achetées auprès de l’iTunes Store sur votre iPod touch, par exemple des vidéos que vous avez créées dans iMovie sur un Mac ou des vidéos que vous avez téléchargées sur Internet puis ajoutées à iTunes. Si vous essayez d’ajouter une vidéo sur l’iPod touch à partir d’iTunes et qu’un message indique que la vidéo ne peut pas être lue sur l’iPod touch, vous pouvez la convertir. Conversion d’une vidéo pour qu’elle fonctionne avec l’iPod touch: Sélectionnez la vidéo dans votre bibliothèque iTunes et choisissez Avancé > « Créer une version iPod ou iPhone ». Ajoutez ensuite la vidéo convertie à l’iPod touch. Musique et autre audio L’affichage Multi-Touch haute résolution fait de l’écoute de morceaux sur l’iPod touch une expérience tout aussi visuelle que musicale. Vous pouvez faire défiler vos listes de lecture ou utiliser Cover Flow pour explorer les pochettes de vos albums. Vous pouvez écouter l’audio grâce au haut-parleur interne (iPod de deuxième gé- nération uniquement) ou avec des écouteurs branchés sur le port de sortie casque. Lorsque les écouteurs sont branchés, aucun son ne sort du haut-parleur. AVERTISSEMENT : Des informations importantes sur la prévention de la perte d’audition sont disponibles dans le Guide des informations importantes sur le produit à la page www.apple.com/fr/support/manuals/ipodtouch. Lecture de morceaux Exploration de votre collection : Tapotez sur Listes de lecture, Artistes ou Morceaux. Tapotez sur Plus pour explorer les albums, les livres audio, les compilations, les compositeurs, les genres ou les podcasts. 34 Chapitre 3 Musique et vidéoChapitre 3 Musique et vidéo 35 Lecture d’un morceau : Tapotez sur le morceau. Contrôle de la lecture de morceaux Lorsque vous écoutez un morceau, l’écran À l’écoute apparaît. Suivant/Avance rapide Lecture/Pause Retour Liste des pistes Précédent/Retour rapide Volume Mettre en pause un morceau Tapotez sur . Reprendre la lecture Tapotez sur . Augmenter ou diminuer le volume Faites glisser le curseur de volume ou utilisez les boutons latéraux de l’iPod touch. Redémarrer un morceau ou un chapitre de livre audio ou de podcast Tapotez sur Passer au morceau ou chapitre de livre audio ou de podcast précédent ou suivant Tapotez sur deux fois pour passer au morceau précédent. Tapotez sur pour passer au morceau suivant ou appuyez deux fois rapidement sur le bouton du micro du casque d’écoute de l’iPod touch. Effectuer un retour ou une avance rapide Tapotez et gardez le doigt sur ou . Plus vous maintenez le doigt longtemps sur la commande, plus l’opération de retour ou d’avance rapide s’accélère. Retour aux listes de navigation de l’iPod Tapotez sur ou balayez vers la droite par dessus la couverture de l’album. Retour à l’écran À l’écoute Tapotez sur À l’écoute. Afficher les paroles d’un morceau Tapotez sur la couverture de l’album pendant la lecture du morceau. (les paroles n’apparaissent que si vous les avez ajoutées au morceau à l’aide de la fenêtre Infos du morceau dans iTunes.)Vous pouvez afficher les commandes de lecture à tout moment lorsque vous écoutez de la musique et utilisez une autre application, ou même lorsque l’iPod touch est verrouillé, en double-cliquant le bouton principal . Si vous utilisez une application, les commandes de lecture apparaissent par-dessus l’application. Après avoir utilisé les commandes, vous pouvez les fermer ou tapoter sur Musique pour passer à l’écran À l’écoute. Si l’iPod touch est verrouillé, les commandes apparaissent à l’écran puis disparaissent automatiquement lorsque vous avez fini de les utiliser. Commandes supplémentaires À partir de l’écran À l’écoute, tapotez sur la pochette de l’album. Le commandes Genius, de répétition et de lecture aléatoire apparaissent, ainsi que le défileur. le temps écoulé, le temps restant et le numéro du morceau. Les paroles du morceau apparaissent également si vous les avez ajoutées au morceau dans iTunes. Défileur Répétition Tête de lecture Ordre aléatoire Genius 36 Chapitre 3 Musique et vidéoChapitre 3 Musique et vidéo 37 Régler l’iPod touch pour la répétition de morceaux Tapotez sur Tapotez sur à nouveau pour régler l’iPod touch de manière à répéter seulement le morceau actuel. = l’iPod touch est réglé de manière à répéter tous les morceaux de l’album ou la liste en cours. = l’iPod touch est réglé de manière à répéter sans arrêt le morceau en cours de lecture. = l’iPod touch n’est pas réglé pour répéter les morceaux. Passer à n’importe quel endroit d’un morceau Faites glisser la tête de lecture le long du défileur. Création d’une liste de lecture Genius Tapotez sur La liste de lecture Genius apparaît. Voir la section «Utilisation de Genius sur l’iPod touch» à la page 39. Régler l’iPod touch pour le choix aléatoire de morceaux Tapotez sur Tapotez sur à nouveau pour régler l’iPod touch de manière à jouer les morceaux dans l’ordre. = l’iPod touch est réglé de manière à choisir aléatoirement les morceaux. = l’iPod touch est réglé de manière à lire les morceaux dans l’ordre. Choisir aléatoirement les pistes d’une liste de lecture, d’un album ou de toute autre liste de morceaux Tapotez sur Aléatoire en haut de la liste. Par exemple, pour jouer les morceaux dans un ordre aléatoire sur l’iPod touch, choisissez Morceaux > Aléatoire. Que l’iPod touch soit ou non réglé sur la lecture aléatoire, si vous tapotez sur Aléatoire en haut d’une liste des morceaux, l’iPod touch la lit dans un ordre aléatoire.Exploration des pochettes d’album en mode Cover Flow Lorsque vous explorez votre musique, vous pouvez faire pivoter l’iPod touch d’un quart de tour pour afficher votre contenu iTunes en mode Cover Flow et explorer votre musique par pochette d’album. Affichage du contenu dans Cover Flow Faites pivoter l’iPod touch d’un quart de tour. Parcourir les pochettes d’album Faites glisser ou « feuilletez » vers la gauche ou la droite. Affichage des pistes d’un album Tapotez sur une pochette ou . Lire une piste Tapotez sur la piste. Faites défiler vers le haut ou le bas pour faire défiler les pistes. Revenir à la pochette Tapotez sur la barre de titre ou tapotez sur à nouveau. Lire ou mettre en pause le morceau actuel Tapotez sur ou . 38 Chapitre 3 Musique et vidéoChapitre 3 Musique et vidéo 39 Affichage de toutes les pistes d’un album Affichage de toutes les pistes de l’album contenant le morceau à l’écoute : À partir de l’écran À l’écoute, tapotez sur . Tapotez sur une piste pour la lire. Tapotez sur la vignette de la pochette de l’album pour revenir à l’écran À l’écoute. Barre de classement Retour à l’écran « À l’écoute » Pistes de l’album En affichage de la liste des pistes, vous pouvez affecter des notes aux morceaux. Vous pouvez utiliser des notes pour créer dans iTunes des listes de lecture intelligentes qui se mettent dynamiquement à jour pour inclure par exemple vos morceaux les mieux notés. Affectation d’une note à un morceau : Faites glisser votre pouce sur la barre de classements pour donner au morceau entre zéro et cinq étoiles. Utilisation de Genius sur l’iPod touch Genius crée automatiquement une liste de lecture des morceaux de votre bibliothè- que qui vont particulièrement bien avec le morceau que vous êtes en train d’écouter. C’est une sorte de DJ intégré qui connaît assez bien vos goûts pour créer le mix parfait. Pour utiliser Genius sur l’iPod touch, vous devez d’abord configurer Genius dans iTunes, puis synchroniser l’iPod touch avec iTunes. Genius est un service gratuit mais il requiert un compte iTunes Store. Vous pouvez créer des listes Genius dans iTunes et les synchroniser avec l’iPod touch. Vous pouvez également créer des listes Genius directement sur l’iPod touch. Création d’une liste de lecture Genius sur l’iPod touch : 1 Tapotez sur Listes de lect., puis sur Genius. 2 Tapotez sur un morceau de la liste. Genius crée une liste de lecture avec des morceaux supplémentaires basés sur celui-ci. Vous pouvez également créer une liste Genius basée sur le morceau que vous êtes en train d’écouter. Dans l’écran En lecture, tapotez sur la pochette d’album pour afficher les commandes supplémentaires, puis tapotez sur l’icône . Enregistrement d’une liste de lecture Genius : Dans la liste de lecture, tapotez sur Enregistrer. La liste de lecture est enregistrée dans Listes de lecture avec le titre du morceau que vous avez choisi.Vous pouvez créer et enregistrer autant de listes de lecture que vous le souhaitez. Si vous enregistrez une liste de lecture Genius créée sur un iPod touch, elle est resynchronisée sur iTunes à la connexion suivante. Actualisation d’une liste de lecture Genius : Dans la liste de lecture, tapotez sur Actualiser. L’actualisation d’une liste de lecture crée une liste de lecture avec divers morceaux et basée sur celui que vous avez choisi. Vous pouvez actualiser n’importe quelle liste de lecture Genius, qu’elle ait été créée dans iTunes et synchronisée sur l’iPod touch ou bien créée directement sur l’iPod touch. Utilisation d’un nouveau morceau comme base de la liste de lecture Genius : Dans la liste de lecture, tapotez sur Nouveau, puis choisissez un nouveau morceau. Suppression d’une liste de lecture Genius : Dans une liste de lecture que vous avez enregistrée directement sur votre iPod touch, tapotez sur Édition, puis sur Supprimer la liste. Une fois qu’une liste de lecture Genius est resynchronisée sur iTunes, vous ne pouvez plus la supprimer directement sur l’iPod touch. Vous pouvez utiliser iTunes pour modifier le nom de la liste de lecture, arrêter la synchronisation ou supprimer la liste de lecture. Création de listes de lecture On-The-Go Création d’une liste de lecture On-The-Go : 1 Tapotez sur Listes de lect. et tapotez sur On-The-Go. 2 Recherchez des morceaux à l’aide des boutons situés au bas de l’écran. Tapotez sur un morceau ou une vidéo pour l’ajouter à la liste de lecture. Tapotez sur Tous les morceaux en haut de toute liste de morceaux pour ajouter tous les morceaux de la liste. 3 Lorsque vous avez fini, tapotez sur Terminé. Lorsque vous créez une liste de lecture On-The-Go puis synchronisez l’iPod touch à votre ordinateur, la liste de lecture est enregistrée sur l’iPod touch dans votre bibliothèque iTunes puis supprimée de l’iPod touch. La première est enregistrée sous le nom « On-The-Go 1 », la deuxième sous « On-The-Go 2 » et ainsi de suite. Pour remettre une liste de lecture sur l’iPod touch, sélectionnez l’iPod touch dans la barre latérale d’iTunes, cliquez sur l’onglet Musique et réglez la liste de lecture pour qu’elle se synchronise. Modification d’une liste de lecture On-The-Go :Tapotez sur Listes de lect., On-The-Go et Modifier, puis effectuez l’une des actions suivantes :  Pour déplacer un morceau vers le haut ou vers le bas dans la liste, faites glisser à côté du morceau. 40 Chapitre 3 Musique et vidéoChapitre 3 Musique et vidéo 41  Pour supprimer un morceau de la liste de lecture, tapotez sur à côté du morceau en question puis tapotez sur Supprimer. Lorsque vous supprimez un morceau d’une liste de lecture On-The-Go, il n’est pas supprimé de l’iPod touch.  Pour effacer toute la liste de lecture, tapotez sur Effacer la liste de lecture.  Pour ajouter plus de morceaux, tapotez sur . Vidéos L’iPod touch vous permet de visionner du contenu vidéo comme des films, des clips et des podcasts. Si une vidéo contient des chapitres, vous pouvez passer au chapitre suivant ou précédent ou activer une liste pour lancer la lecture à partir du chapitre de votre choix. Si une vidéo propose plusieurs langues, vous pouvez choisir celle de l’audio ou celle du sous-titrage. Lecture de vidéos Lecture de vidéo : Tapotez sur Vidéos puis la vidéo en question. Affichage des commandes de lecture : Tapotez sur l’écran pour afficher les commandes. Tapotez à nouveau pour les masquer. Contrôle de la lecture vidéo Les vidéos sont lues en mode Écran large pour profiter au mieux de l’affichage. Échelle Lecture/Pause Redémarrer/ Avance rapide Retour rapide Tête de lecture Volume Défileur Run de Gnarls Barkley est disponible sur iTunes dans les pays sélectionnés.Lire ou mettre en pause une vidéo Tapotez sur ou . Augmenter ou diminuer le volume Faites glisser le curseur de volume. Redémarrer une vidéo Faites glisser complètement sur la gauche la tête de lecture sur le défileur, ou tapotez sur si la vidéo n’inclut pas de chapitres. Passage au chapitre précédent ou suivant (le cas échéant) Tapotez sur pour revenir au chapitre précé- dent. Tapotez sur pour passer au chapitre suivant. Lecture d’un chapitre donné (le cas échéant) Tapotez sur , puis choisissez un chapitre dans la liste. Effectuer un retour ou une avance rapide Tapotez et gardez le doigt sur ou Passer directement à un point particulier d’une vidéo Faites glisser la tête de lecture le long du défileur. Interrompre une vidéo avant sa fin Tapotez sur Terminé ou appuyez sur le bouton principal . Redimensionner une vidéo de manière à remplir l’écran ou à s’adapter à l’écran Tapotez sur pour que la vidéo remplisse l’écran. Tapotez sur pour qu’elle s’adapte à la taille de l’écran. Vous pouvez également tapoter deux fois sur la vidéo pour qu’elle remplisse l’écran ou pour qu’elle s’y adapte. Lorsque vous redimensionnez une vidéo de manière à remplir l’écran, il est possible que les côtés ou la partie supérieure soient éliminés de l’affichage. Lorsque vous la redimensionnez de manière à l’adapter à l’écran, il est possible que des barres noires apparaissent en dessous, audessus ou sur les côtés de la vidéo. Sélection d’une autre langue audio (le cas échéant) Tapotez sur , puis choisissez une langue dans la liste Audio. Affichage ou masquage des sous-titres (le cas échéant) Tapotez sur , puis choisissez une langue ou l’option Désactivé dans la liste Sous-titrage. Visionnage de films loués Il vous est possible de louer des films depuis l’iTunes Store pour les visionner sur l’iPod touch. iTunes vous permet de les louer et de les transférer directement sur votre iPod touch. (Les films en location ne sont pas disponibles partout.) Les films loués ne sont visionnables que pour un temps limité. Le temps qui vous reste pour finir de regarder un film en location apparaît à côté de son titre. Les films sont ensuite automatiquement supprimés à leur expiration. Consultez l’iTunes Store pour connaître les délais d’expiration avant de louer un film. 42 Chapitre 3 Musique et vidéoChapitre 3 Musique et vidéo 43 Transfert de films loués sur l’iPod touch: Connectez l’iPod touch à votre ordinateur. Sélectionnez ensuite iPod touch dans la barre latérale d’iTunes, cliquez sur Films, puis sélectionnez les films loués que vous souhaitez transférer. Assurez-vous que votre ordinateur est connecté à Internet. Visionnage d’un film loué : Choisissez Vidéos, puis sélectionnez un film. Visionnage de vidéos sur un téléviseur Vous pouvez connecter l’iPod touch à votre téléviseur et regarder vos vidéos sur un écran de plus grande dimension. Utilisez le câble AV Composant Apple, AV Composite Apple, ou tout autre câble compatible iPod touch autorisé. Vous pouvez également utiliser ces câbles avec la station d’accueil Apple Universal Dock pour connecter l’iPod touch à votre téléviseur (La station d’accueil Apple Universal Dock est fournie avec une télécommande qui vous permet de commander la lecture à distance.) Les câbles et stations d’accueil Apple sont disponibles à la vente séparément à la page www.apple.com/fr/ipodstore. Suppression de vidéos à partir de l’iPod touch Vous pouvez supprimer de vidéos de l’iPod touch pour économiser de l’espace. Suppression de vidéo : Dans les listes vidéo, balayez vers la gauche ou la droite sur la vidéo puis tapotez sur Supprimer. Lorsque vous supprimez une vidéo (autre qu’un film loué) à partir de l’iPod touch, elle n’est pas supprimée de votre bibliothèque iTunes et vous pouvez la synchroniser à nouveau vers votre iPod touch ultérieurement. Si vous ne souhaitez pas synchroniser à nouveau la vidéo sur l’iPod touch, configurez iTunes de manière à ne plus le faire. Voir la section «Éléments nécessaires» à la page 5. Important : Si vous supprimez un film en location depuis l’iPod touch, il est supprimé définitivement et ne peut pas être transféré à nouveau vers votre ordinateur. Réglage d’une minuterie de veille Vous pouvez régler l’iPod touch de manière à interrompre la lecture de musique ou de vidéos après un certain temps. Réglage d’une minuterie de veille : Dans l’écran d’accueil, choisissez Horloge > Minuteur, puis feuilletez pour régler le nombre d’heures et de minutes. Tapotez sur À expiration et choisissez Mettre l’iPod en veille, tapotez sur Choisir puis sur Démarrer pour lancer la minuterie. À l’expiration de la minuterie, l’iPod touch interrompt la lecture de la musique ou de la vidéo, ferme les éventuelles applications ouvertes et se verrouille.Modification des boutons de navigation Vous pouvez remplacer les boutons Listes de lecture, Artiste, Morceaux ou Vidéos situés au bas de l’écran par d’autres que vous utilisez plus fréquemment. Par exemple, si vous écoutez souvent des podcasts et ne regardez pas beaucoup de vidéos, vous pouvez remplacer le bouton Vidéos par le bouton Podcasts. Modification des boutons de navigation Tapotez sur Plus puis Modifier, puis faites glisser un bouton vers le bas de l’écran, par-dessus celui que vous souhaitez remplacer. Vous pouvez faire glisser vers la gauche ou la droite les boutons situés au bas de l’écran afin de les réarranger. Tapotez sur Terminé lorsque vous avez fini. Tapotez sur Plus à tout moment pour accéder aux boutons que vous avez remplacés. 44 Chapitre 3 Musique et vidéo45 iTunes Wi-Fi Music Store Vous pouvez effectuer des recherches dans le catalogue musical de l’iTunes Wi-Fi Music Store ou parcourir, écouter des extraits, acheter et télécharger des morceaux et des albums, le tout directement de l’iPod touch. Le contenu acheté est automatiquement copié dans votre bibliothèque iTunes dès que vous synchronisez l’iPod touch avec votre ordinateur. Pour pouvoir utiliser l’iTunes Wi-Fi Music Store, vous devez accéder à un réseau WiFi connecté à Internet à l’aide de votre iPod touch. Voir la section «Connexion à Internet» à la page 28. Vous aurez également besoin d’un compte iTunes Store pour acheter des morceaux en mode Wi-Fi (l’iTunes Wi-Fi Music Store est seulement disponibles dans certains pays). Si vous ne disposez encore pas d’un compte iTunes Store, ouvrez iTunes sur votre ordinateur et choisissez Store > Compte pour en configurer un. Remarque : Si vous tentez d’accéder à l’iTunes Wi-Fi Music Store sans vous connecter à un réseau Wi-Fi, un message d’erreur s’affiche. Recherche de morceaux et d’albums Parcourez les sélections pour voir les nouveautés et les recommandations de l’iTunes Wi-Fi Music Store. Parcourez les classements pour voir les morceaux et albums les plus vendus dans plusieurs catégories. Si vous recherchez un morceau, un album ou un artiste donné, utilisez le champ Recherche. 4 iTunes et App StoreExploration de morceaux et albums recommandés : Tapotez sur Sélection et sélectionnez une catégorie en haut de l’écran. Exploration des classements de morceaux et albums : Tapotez sur Classements, choisissez une catégorie, puis tapotez sur Classement morceaux ou Classement albums. 46 Chapitre 4 iTunes et App StoreChapitre 4 iTunes et App Store 47 Recherche de morceaux et albums : Tapotez sur Recherche, le champ de recherche, saisissez un ou plusieurs mots, puis tapotez sur Rechercher. Affichage des morceaux d’un album Tapotez sur l’album. Affichage de l’album contenant un morceau : Tapotez deux fois sur le morceau. Parcours des sélections Starbucks Si vous vous connectez à un réseau Wi-Fi Starbucks dans certains emplacements Starbucks (aux États-Unis seulement), l’icône Starbucks apparaît au bas de l’écran à côté de Sélection. Tapotez sur l’icône Starbucks pour connaître le morceau diffusé dans le café et pour parcourir les collections Starbucks de titres recommandés. Une liste des emplacements Starbucks désignés se trouve à la page www.apple.com/itunes/starbucks.Découverte du morceau à l’écoute : Tapotez sur Starbucks. Le morceau en cours de lecture apparaît en haut de l’écran. Tapotez sur le morceau pour accéder à l’album qui le contient et retrouver les autres morceaux de l’album. Affihage des Morceaux récents et d’autres listes de lectures Starbucks : Tapotez sur Starbucks, puis choisissez Morceaux récents l’une des listes de lecture Starbucks. Achat de morceaux et d’albums Lorsque vous trouvez un morceau ou un album qui vous plaît dans l’iTunes Wi-Fi Music Store, vous pouvez l’acheter et le télécharger sur l’iPod touch. Il vous est possible d’écouter un extrait du morceau avant de l’acheter pour vous assurer qu’il s’agit bien d’un morceau que vous voulez. Dans les emplacements Starbucks désignés (disponible seulement aux États-Unis), vous pouvez également écouter un extrait du morceau diffusé, et l’acheter le cas échéant, ainsi que d’autres morceaux des collections Starbucks de titres recommandés. Écoute d’un extrait de morceau : Tapotez sur le morceau. Achat et téléchargement d’un morceau ou album : 1 Tapotez sur le prix, puis l’option Acheter. Si vous aviez ouvert une session sur votre compte iTunes Store dans iTunes la dernière fois que vous avez synchronisé votre iPod touch, vous n’avez pas besoin de saisir à nouveau votre identifiant de compte. Dans le cas contraire, il vous est demandé de saisir votre identifiant. 2 Saisissez votre mot de passe, puis tapotez sur OK. Votre achat est débité de votre compte iTunes Store. Pour tout achat supplémentaire effectué dans un délai de quinze minutes, le mot de passe ne vous est pas redemandé. 48 Chapitre 4 iTunes et App StoreChapitre 4 iTunes et App Store 49 Un avertissement s’affiche si vous avez déjà acheté un ou plusieurs morceaux d’un album. Tapotez sur Acheter si vous voulez acheter l’intégralité de l’album, y compris les morceaux déjà acquis, ou tapotez sur Annuler si vous voulez acheter seulement des morceaux précis parmi ceux restants. Certains albums prévoient du contenu en bonus, téléchargé dans la bibliothèque iTunes de votre ordinateur. Tout ces bonus ne sont pas transférés directement sur votre iPod touch. Affichage du statut des morceaux et albums téléchargés : Tapotez sur Téléchargés. Pour interrompre un téléchargement, tapotez sur . Si vous avez besoin d’éteindre votre iPod touch ou de quitter la zone de votre connexion Wi-Fi, vous pouvez interrompre le téléchargement sans inquiétude. L’iPod touch redémarre le téléchargement lorsque l’iPod touch accède à un réseau WiFi connecté à Internet. Sinon, si vous ouvrez iTunes sur votre ordinateur, l’application termine alors le téléchargement sur votre bibliothèque iTunes. Les morceaux achetés s’ajoutent à une liste de lecture intitulée Achats sur l’iPod touch. Si vous supprimez cette liste, iTunes en crée une nouvelle lorsque vous achetez un article auprès de l’iTunes Wi-Fi Music Store. App Store Vous pouvez directement rechercher, explorer, acheter et télécharger des applications à partir de l’App Store sur votre iPod touch, ainsi que rédiger des avis. Vous pouvez également installer les applications que vous avez achetées ou téléchargées par le biais d’iTunes sur votre ordinateur lors de votre dernière synchronisation de l’iPod touch. Les applications que vous téléchargez et installez à partir de l’App Store sur votre iPod touch sont sauvegardées dans votre bibliothèque iTunes la prochaine fois que vous synchronisez votre iPod touch avec votre ordinateur. Pour utiliser l’App Store, l’iPod touch doit accéder à un réseau Wi-Fi connecté à Internet. Voir la section «Connexion à Internet» à la page 28. Vous aurez également besoin d’un compte iTunes Store (disponible dans de nombreux pays) afin de télécharger des applications. Si vous ne disposez pas d’un compte iTunes Store, ouvrez iTunes sur votre ordinateur et choisissez Store > Compte pour en configurer un.Exploration et recherche Explorez les sélections, les nouveautés et les recommandations de l’App Store. Parcourez les 25 applications les plus populaires. Si vous recherchez une application donnée, utilisez Recherche. Exploration des applications sélectionnées : Tapotez sur Sélection et sélectionnez une catégorie sélectionnée en haut de l’écran. Exploration par catégorie : Tapotez sur Catégories et sélectionnez une catégorie pour afficher une liste d’applications. 50 Chapitre 4 iTunes et App StoreChapitre 4 iTunes et App Store 51 Exploration des 25 applications les plus téléchargées : Tapotez sur Top 25 puis parcourez la liste d’applications. Recherche d’applications : Tapotez sur Recherche, le champ de recherche, saisissez un ou plusieurs mots, puis tapotez sur Rechercher.Écran Informations Tapotez sur n’importe quelle application d’une liste pour afficher davantage d’informations, par exemple le prix courant de l’application, les avis rédigés et d’autres informations. Si vous avez déjà installé l’application, la mention « Installée » s’affiche sur l’écran d’informations à la place du prix. Envoi par courrier électronique d’un lien vers une application : À partir de l’écran Infos, tapotez sur Recommander à un ami. Consultation d’avis : Dans l’écran Infos, tapotez sur Avis. Téléchargement d’applications Lorsque vous trouvez une application qui vous plaît dans l’App Store, vous pouvez l’acheter et la télécharger sur votre iPod touch. Si l’application est gratuite, vous pouvez la télécharger sans frais après avoir fourni les informations de votre compte iTunes. Une fois que vous téléchargez une application, elle s’installe immédiatement sur votre iPod touch. Achat et téléchargement d’application : 1 Tapotez sur le prix (ou sur Gratuit), puis tapotez sur Acheter. Si vous aviez ouvert une session sur votre compte iTunes Store dans iTunes la dernière fois que vous avez synchronisé votre iPod touch, vous n’avez pas besoin de saisir à nouveau votre identifiant de compte. Dans le cas contraire, il vous est demandé de saisir votre identifiant. 2 Saisissez votre mot de passe, puis tapotez sur OK. 52 Chapitre 4 iTunes et App StoreChapitre 4 iTunes et App Store 53 Les téléchargements d’achats sont débités sur votre compte iTunes Store. Pour tout téléchargement supplémentaire effectué dans un délai de quinze minutes, le mot de passe ne vous est pas redemandé. Consultation du statut du téléchargement d’applications : Une fois que vous avez commencé le téléchargement d’une application, son icône apparaît sur votre écran d’accueil et indique le statut du téléchargement et de l’installation. Si vous avez besoin d’éteindre votre iPod touch ou de quitter la zone de votre connexion réseau, vous pouvez interrompre le téléchargement sans inquiétude. L’iPod touch redémarre le téléchargement lorsque l’iPod touch accède à un réseau connecté à Internet. Suppression d’applications de l’App Store Vous pouvez supprimer des applications que vous avez installées à partir de l’App Store. Si vous supprimez une application, les données associées à l’application ne seront plus à la disposition de l’iPod touch, même si vous réinstallez l’application. Vous pouvez réinstaller à partir de votre bibliothèque iTunes n’importe quelle application et les éventuelles donnée associées à partir du moment où vous avez sauvegardé l’application par synchronisation avec l’ordinateur. Si vous essayez de supprimer une application qui n’a pas été sauvegardée sur votre ordinateur, une alarme apparaît. Suppression d’une application de l’App Store : 1 Tapotez sur l’icône d’une application de l’écran d’accueil et maintenez le doigt dessus jusqu’à ce que les icônes se mettent à bouger. 2 Tapotez sur le « x » situé dans le coin de l’application à supprimer. 3 Tapotez sur Supprimer, puis appuyez sur le bouton principal pour enregistrer votre disposition actuelle. Pour écraser les données associées à une application, utilisez l’option « Effacer contenu et réglages » dans les réglages de l’iPod touch. Voir la section «Réinitialisation de l’iPod touch» à la page 107. Rédaction d’avis et signalement de problèmes Vous pouvez rédiger et soumettre vos propres avis sur une application ou signaler directement un problème applicatif sur l’iPod touch. Rédaction d’un avis : 1 Dans l’écran Infos, tapotez sur Avis. 2 Dans l’écran Avis, tapotez sur , puis « Rédiger un avis ».3 Sélectionnez le nombre d’étoiles (entre 1 et 5) pour la note que vous donnez à l’application et saisissez le titre de l’avis et des commentaires facultatifs. Si vous avez rédigé des avis par le passé, votre pseudonyme est déjà indiqué. Dans le cas contraire, il vous est demandé de créer un pseudonyme pour votre avis. 4 Tapotez sur Envoyer par courrier. Vous devez avoir ouvert une session sur votre compte iTunes Store pour pouvoir soumettre des avis. Signalement de problème : Dans l’écran Avis, tapotez sur , puis tapotez sur « Signaler un problème ». Sélectionnez un problème dans la liste, ou tapez des commentaires facultatifs et tapotez sur Signaler. Mise à jour d’applications Chaque fois que vous accédez à l’App Store, il recherche des mises à jour éventuelles des applications que vous avez installées. Par défaut, l’App Store recherche également automatiquement des mises à jour chaque semaine. L’icône App Store indique le nombre total de mises à jour d’application disponibles. Si une mise à jour est disponible et que vous accédez à l’App Store, l’écran Mises à jour apparaît immédiatement. Les mises à jour d’application sont gratuites. Elles sont télé- chargées et installée automatiquement lorsque vous choisissez de le faire. Les mises à niveau d’application sont de nouvelles versions qui peuvent être achetées et télé- chargées à partir de l’App Store sur l’iPod touch ou à partir de l’iTunes Store sur votre ordinateur. Mise à jour d’une application : 1 Au bas de l’écran, tapotez sur Mises à jour. 2 Tapotez sur une application pour afficher plus de renseignements sur la mise à jour. 3 Tapotez sur Mettre à jour. Si vous essayez de mettre à jour une application achetée à partir d’un autre compte iTunes Store, l’identifiant et le mot de passe du compte en question vous sont demandés avant le téléchargement de la mise à jour. 54 Chapitre 4 iTunes et App StoreChapitre 4 iTunes et App Store 55 Synchronisation du contenu acheté iTunes synchronise automatiquement les morceaux, albums et applications que vous avez achetés sur l’iPod touch vers votre bibliothèque iTunes lorsque vous connectez l’iPod touch à votre ordinateur. Ceci vous permet d’écouter sur votre ordinateur les articles que vous avez achetés et offre une sauvegarde si vous supprimez des applications ou du contenu acheté de votre iPod touch. «Les morceaux sont synchronisés dans la liste de lecture « Acheté sur ». iTunes crée la liste de lecture si elle n’existe pas. iTunes copie également vos achats dans la liste de lecture Achats utilisée pour les achats effectués sur votre ordinateur, si cette liste de lecture existe et qu’elle est configurée pour se synchroniser avec l’iPod touch. Les applications téléchargées sont sauvegardées à la prochaine synchronisation avec iTunes. Ensuite, seules les données des applications sont sauvegardées à la synchronisation avec iTunes. Les applications sont synchronisées dans la liste Applications de votre bibliothèque iTunes. iTunes crée la liste si elle n’existe pas. Vérification des achats Vous pouvez utiliser iTunes pour vérifier que tous les morceaux, vidéos, applications et autres articles que vous avez achetés auprès de l’iTunes Wi-Fi Music Store ou l’App Store se trouent dans votre bibliothèque iTunes. Il peut s’avérer judicieux de procéder ainsi si un téléchargement s’est interrompu. Vérification de vos achats : 1 Assurez-vous que votre ordinateur est connecté à Internet. 2 Dans iTunes, choisissez Store > Rechercher les mises à jour disponibles. 3 Saisissez l’identifiant de votre compte iTunes Store et son mot de passe, puis cliquez sur Rechercher. Les achats qui ne se trouvent pas encore sur votre ordinateur sont téléchargés. La liste de lecture Achats reprend tous vos achats. Comme vous pouvez ajouter ou supprimer des éléments de la liste, cette dernière peut ne pas être exacte. Pour voir tous vos achats, assurez-vous d’avoir ouvert une session avec votre compte, choisissez Store > Visualiser mon compte, et cliquez sur Historique des achats.Mise à jour de votre compte iPod touch récupère vos informations de compte iTunes Store depuis iTunes. Vous pouvez afficher et modifier les informations de votre compte iTunes Store en utilisant iTunes sur votre ordinateur. Affichage et modification des informations de votre compte iTunes Store : Dans iTunes, choisissez Store > Visualiser mon compte. Vous devez avoir ouvert une session sous votre compte iTunes Store. Si l’option « Visualiser mon compte » n’apparaît pas dans le menu Store, choisissez Store > Se connecter. Achat de musique ou d’applications à partir d’un autre compte iTunes Store : Ouvrez une session avec ce compte lorsque vous vous connectez à l’iTunes WiFi Music Store ou que vous achetez ou téléchargez une application de l’App Store. 56 Chapitre 4 iTunes et App Store57 Safari vous permet de surfer le web et de consulter des pages web sur l’on iPod touch comme si vous utilisiez un ordinateur. Vous pouvez créer des signets sur l’iPod touch et les synchroniser avec votre ordinateur. Ajoutez des Web Clip pour accéder rapidement à vos sites favoris depuis l’écran d’accueil. Pour utiliser Safari, l’iPod touch doit accéder à un réseau Wi-Fi connecté à Internet. Voir la section «Connexion à Internet» à la page 28. Visualisation de pages web Vous pouvez afficher les pages web en mode portrait ou paysage. Faites pivoter l’iPod touch : la page web pivote alors et sa taille est ajustée automatiquement. 5 SafariOuverture de pages web Ouverture d’une page web : Tapotez sur le champ d’adresse puis tapez l’adresse web et tapotez sur Accéder. Si le champ d’adresse n’est pas visible, tapotez sur la barre d’état située en haut de l’écran pour faire rapidement défiler jusqu’au champ d’adresse situé en haut de la page web. À mesure que vous tapez, les adresses web commençant avec les mêmes lettres apparaissent. Il s’agit de pages enregistrées dans les signets ou de pages que vous avez ouvertes récemment. Tapotez sur une adresse pour accéder à cette page. Continuez à taper si vous souhaitez saisir une adresse web ne faisant pas partie de la liste. Effacement du texte dans le champ d’adresse : Tapotez sur le champ d’adresse, puis tapotez sur . Zoom et défilement Zoom arrière ou avant : Tapotez deux fois sur une colonne sur une page web pour étendre la colonne. Tapotez deux fois à nouveau pour effectuer un zoom arrière. Vous pouvez également pincer l’image pour l’agrandir ou la réduire manuellement. Défilement d’une page Faites glisser la page vers le haut, le bas ou le côté. Pendant le défilement, vous pouvez tapoter sur n’importe quel endroit de la page et faire glisser sans activer les éventuels liens. Défilement d’une image sur une page web Utilisez deux doigts pour faire défiler une image sur une page web. Utiliser un doigt pour faire défiler la page web entière. Faites rapidement défiler jusqu’au début d’une page web Tapotez sur la barre d’état dans la partie supé- rieure de l’écran iPod touch. 58 Chapitre 5 SafariChapitre 5 Safari 59 Navigation dans les pages web Généralement, les liens présents dans des pages web vous dirigent vers d’autres sites. Suivi d’un lien sur une page web : Tapotez sur le lien. Les liens sur l’iPod touch peuvent également afficher un emplacement dans Plans ou créer un message électronique préadressé. Pour revenir à Safari après qu’un lien a ouvert une autre application, appuyez sur le bouton du menu principal et tapotez sur Safari. Afficher l’adresse de destination d’un lien Tapotez sur le lien et maintenez votre doigt dessus. L’adresse apparaît à côté de votre doigt. Vous pouvez tapoter sur une image et maintenir votre doigt dessus pour vérifier si elle contient un lien. Interruption du chargement d’une page web. Tapotez sur . Actualisation d’une page web Tapotez sur . Retour à la page précédente ou suivante Tapotez sur ou au bas de l’écran. Retourner à une page visualisée récemment Tapotez sur puis tapotez sur Historique. Pour effacer l’historique, tapotez sur Effacer. Envoi d’une adresse de page web par courrier électronique Tapotez sur puis tapotez sur « Envoyer un lien vers cette page par courrier électronique ». Enregistrement d’une image ou d’une photo sur votre album Pellicule Tapotez et maintenez votre doigt sur l’image, puis tapotez sur Enregistrer l’image. Ouverture de plusieurs pages Vous pouvez avoir jusqu’à huit pages ouvertes simultanément. Certains liens ouvrent automatiquement une nouvelle page au lieu de remplacer la page actuelle. Le nombre situé dans l’icône de pages au bas de l’écran indique le nombre de pages ouvertes. Si aucun nombre ne s’affiche, cela signifie qu’une seule page est ouverte. Par exemple : = une page est ouverte = trois pages sont ouvertes Ouverture d’une nouvelle page : Tapotez sur puis tapotez sur Nouvelle page.Accès à une autre page : Tapotez sur et feuilletez vers la droite ou la gauche. Tapotez sur la page que vous souhaitez afficher. Fermeture d’une page : Tapotez sur puis . Il est impossible de fermer une page si c’est la seule ouverte. Saisie de champs de texte Certaines pages web disposent de champs de texte et de formulaires à remplir. Appel du clavier Tapotez à l’intérieur d’un champ de texte. Passage à un autre champ de texte Tapotez sur un autre champ de texte ou tapotez sur le bouton Suivant et Précédent. Envoi d’un formulaire Une fois que vous avez fini de remplir un formulaire, tapotez sur Accéder ou Rechercher. Une fois que vous avez fini de remplir les champs de texte sur la page, tapotez sur Accéder ou Rechercher. Fermeture du clavier sans envoyer le formulaire Tapotez sur Terminé Recherche sur le Web Par défaut, Safari utilise Google pour effectuer les recherches. Vous pouvez également utiliser Yahoo! pour effectuer vos recherches. Recherche sur le web : 1 Tapotez sur pour afficher le champ de recherche. 2 Tapez un mot ou une phrase décrivant ce que vous recherchez, puis tapotez sur Google. 3 Tapotez sur un lien dans la liste de résultats pour ouvrir une page web. Réglage de Safari pour utiliser les recherches Yahoo! : À partir de l’écran d’accueil , choisissez Réglages > Safari > Moteur de recherche, puis choisissez Yahoo!. 60 Chapitre 5 SafariChapitre 5 Safari 61 Signets Vous pouvez mettre en signet des pages web que vous souhaitez consulter à nouveau ultérieurement. Mise en signet de page web : Ouvrez la page et tapotez sur . Tapotez ensuite sur Ajouter un signet. Lorsque vous enregistrez un signet, vous pouvez modifier son titre. Par défaut, les signets sont enregistrés dans le dossier de plus haut niveau de Signets. Tapotez sur Signets pour choisir un dossier différent. Si vous utilisez Safari sur un Mac, ou Safari ou Microsoft Internet Explorer sur un PC, vous pouvez synchroniser vos signets avec le navigateur web de votre ordinateur. Synchronisation de signets avec votre ordinateur : 1 Connectez l’iPod touch à votre ordinateur. 2 Dans iTunes, sélectionnez iPod touch dans la barre latérale. 3 Cliquez sur l’onglet Infos, sélectionnez “Synchronisez les signets ...” sous Navigateur web, puis cliquez sur Appliquer. «Synchronisation avec iTunes» à la page 6voir la section “Synchronisation avec iTunes”; Synchronisation de signets avec MobileMe : Dans Réglages sur l’iPod touch, sélectionnez Signets dans votre compte MobileMe. Voir la section «Configuration de comptes.» à la page 11. Ouverture d’une page web mise en signet : Tapotez sur puis choisissez un signet ou tapotez sur un dossier pour voir les signets qui s’y trouvent. Modification d’un signet ou d’un dossier de signets : Tapotez sur , choisissez le dossier qui contient le signet ou le dossier que vous souhaitez modifier, puis tapotez sur Modifier. Effectuez ensuite l’une des opérations suivantes:  Pour créer un nouveau dossier, tapotez sur Nouveau dossier.  Pour supprimer un signet ou un dossier, tapotez sur , puis tapotez sur Supprimer.  Pour repositionner un signet ou un dossier, faites glisser .  Pour en modifier le nom ou l’adresse, ou pour le changer de dossier, tapotez sur le signet ou dossier. Lorsque vous avez terminé, tapotez sur Terminé.Web Clip Ajoutez des Web Clip à l’écran d’accueil pour accélérer l’accès à vos pages web préfé- rées. Les Web Clip apparaissent sous forme d’icônes sur l’écran d’accueil. Vous pouvez les réarranger, ainsi que les autres icônes. Voir «Applications iPod touch» à la page 17. Ajout d’un Web Clip: Ouvrez la page web et tapotez sur Tapotez ensuite sur « Ajouter à l’écran d’accueil ». Lorsque vous ouvrez un Web Clip, Safari effectue un zoom automatique et défile jusqu’à la zone de la page web affichée lorsque vous avez enregistré le Web Clip. La zone affichée est également utilisée pour créer l’icône pour le Web Clip sur votre écran d’accueil, à moins que la page web intègre sa propre icône. Lorsque vous ajoutez un Web Clip, vous pouvez modifier son nom. Si le nom est trop long (plus de 10 caractères environ), il risque d’apparaître abrégé sur l’écran d’accueil. Les Web Clip ne sont pas des signets et ne sont pas synchronisés par MobileMe ou iTunes. Suppression d’un Web Clip : 1 Tapotez sur n’importe quelle icône de l’écran d’accueil et maintenez le doigt dessus jusqu’à ce que les icônes commencent à bouger. 2 Tapotez sur le « x » situé dans l’angle du Web Clip que vous souhaitez supprimer. 3 Tapotez sur Supprimer, puis appuyez sur le bouton principal pour enregistrer votre disposition actuelle. 62 Chapitre 5 Safari63 Mail fonctionne avec MobileMe, Microsoft Exchange et de nombreux autres systèmes populaires de courrier électronique, notamment Yahoo! Mail, Google Mail et AOL, ainsi que d’autres systèmes de messagerie POP3 and IMAP standard. Vous pouvez envoyer et recevoir des photos et des éléments graphiques intégrés et visualiser des PDF et d’autres pièces jointes. Pour télécharger et envoyer des messages avec Mail, l’iPod touch doit accéder à un réseau Wi-Fi connecté à Internet. Voir la section «Connexion à Internet» à la page 28. Configuration de comptes de messagerie Vous pouvez configurer des comptes de messagerie sur iPod touch d’une des maniè- res suivantes :  dans iTunes, utilisez les sous-fenêtres de Préférences iPod touch pour synchroniser les réglages de vos comptes de messagerie depuis votre ordinateur : Voir la section «Synchronisation avec iTunes» à la page 6.  configurer un compte directement sur votre iPod touch. Voir la section «Configuration de comptes.» à la page 11. Envoi de courrier électronique. Vous pouvez envoyer un message électronique à quiconque possédant une adresse électronique. Composition et envoi de message : 1 Tapotez sur . 2 Tapez un nom ou une adresse électronique dans le champ À, ou tapotez sur pour ajouter un nom à partir de vos contacts. 6 MailLors de la saisie d’une adresse électronique, les adresses électroniques correspondantes de votre liste de contacts apparaissent en dessous. Tapotez sur une adresse pour l’ajouter. Pour ajouter davantage de noms, tapotez sur Retour ou . Remarque : Si vous rédigez un message à partir de votre compte Microsoft Exchange et avez accès à la Liste d’accès global (GAL) de votre entreprise, les adresses correspondantes provenant de vos contacts sur l’iPod touch apparaissent d’abord, suivies des adresses GAL correspondantes. 3 Tapotez sur Cc/Cci/De si vous souhaitez copier d’autres personnes (directement ou en copie invisible). Si vous avez plusieurs comptes de messagerie, vous pouvez tapotez sur le champ De pour changer le compte à partir duquel vous envoyez des messages. 4 Saisissez l’objet, puis votre message. Vous pouvez tapoter sur Retour pour passer d’un champ au champ suivant. 5 Tapotez sur Envoyer par courrier. Envoi d’une photo dans un message Dans Photos, choisissez une photo, tapotez sur , puis tapotez sur Envoyer par courrier. La photo est envoyée à partir de votre compte de messagerie par défaut «» à la page 111 (voir la section “Mail” du chapitre Réglages). Enregistrement du brouillon d’un message à terminer ultérieurement Tapotez sur Annuler, puis Enregistrer. Le message est enregistré dans Brouillons. Réponse à un message. Tapotez sur . Tapotez sur Répondre pour ré- pondre uniquement à l’expéditeur ou Répondre à tous pour répondre à l’expéditeur ainsi qu’à tous les destinataires. Tapez votre message de réponse, puis tapotez sur Envoyer. Les fichiers ou images joints au message initial ne sont pas renvoyés. Réexpédition d’un message Ouvrez un message et tapotez sur , puis Transférer. Ajoutez une ou plusieurs adresses électroniques, saisissez votre message, puis tapotez sur Envoyer. Lorsque vous transférez un message, vous pouvez inclure les fichiers ou images joints au message d’origine. Envoi d’un message à une personne présente dans un champ d’adresse Ouvrez le message et tapotez sur un nom ou une adresse électronique, puis sur Courrier électronique. 64 Chapitre 6 MailChapitre 6 Mail 65 Relève de la boîte aux lettres et lecture du courrier électronique L’icône Mail indique le nombre total de messages non lus dans toutes vos boîtes de réception. Vous pouvez avoir d’autres messages non lus dans d’autres boîtes à lettres. Nombre de courriers électroniques non lus dans votre boîte de réception Sur chaque écran de compte figure le nombre de messages non lus dans chaque boîte à lettres. Nombre de messages non lus Tapotez ici pour voir tous vos comptes de messagerie Tapotez sur une boîte à lettres pour afficher son contenu. Les messages non lus sont accompagnés d’un point bleu . Messages non écoutés Lorsque vous ouvrez une boîte à lettres, Mail charge le nombre de messages les plus récents spécifié dans vos réglages de Mail, si les messages n’ont pas déjà été chargés automatiquement. (Voir les réglages de Mail «» à la page 111.) Chargement de messages supplémentaires : Faites défiler vers le bas de la liste de messages et tapotez sur « Charger les messages suivants ». Lire un message : Tapotez sur une boîte à lettres, puis tapotez sur un message. À l’intérieur d’un message, tapotez sur ou pour afficher le message précédent ou le message suivant.Zoom sur une partie d’un message Tapotez deux fois sur la zone du message sur laquelle vous souhaitez zoomer. Tapotez deux fois à nouveau pour effectuer un zoom arrière. Redimensionnement de toute colonne ou texte pour l’adapter à l’écran. Tapotez deux fois sur le texte. Redimensionnement manuel d’un message Pincez le texte pour le réduire, écartez les doigts pour l’agrandir. Suivi d’un lien Tapotez sur le lien. Les liens de type texte sont généralement soulignés en bleu. De nombreuses images sont également des liens. Un lien peut mener à afficher une page web, ouvrir une carte, composer un numéro de téléphone ou ouvrir un nouveau message électronique dont le champ du destinataire est déjà rempli Les liens web et les liens de cartographie ouvrent Safari ou Plans sur l’iPod touch. Pour retourner à votre courrier électronique, appuyez sur le Bouton principal et tapotez sur Mail. Afficher l’adresse de destination d’un lien Tapotez sur le lien et maintenez votre doigt dessus. L’adresse apparaît à côté de votre doigt. L’iPod touch affiche la plupart des formats d’images en pièces jointes (JPEG, GIF et TIFF) dans le corps du texte des messages électroniques. L’iPod touch peut lire de nombreux formats de fichiers audio en pièces jointes (notamment MP3, AAC, WAV et AIFF). Vous pouvez télécharger et afficher des fichiers (notamment fichiers PDF, pages web, fichiers texte et documents au format Pages, Keynote, Numbers, Microsoft Word, Excel ou PowerPoint) joints aux messages que vous recevez. Ouverture d’un fichier joint : Tapotez sur la pièce jointe. Elle se télécharge sur votre iPod touch puis s’ouvre. Tapotez sur la pièce jointe à télécharger 66 Chapitre 6 MailChapitre 6 Mail 67 Vous pouvez afficher les pièces jointes en mode portrait ou paysage. Si le format d’une pièce jointe n’est pas géré par l’iPod touch, vous pouvez voir le nom du fichier mais pas l’ouvrir. L’iPod touch gère les types de documents suivants : .doc Microsoft Word .docx Microsoft Word (XML) .htm page web .html page web .key Keynote .numbers Numbers .pages Pages .pdf Preview, Adobe Acrobat .ppt Microsoft PowerPoint .pptx Microsoft PowerPoint (XML) .txt texte .vcf coordonnées .xls Microsoft Excel .xlsx Microsoft Excel (XML) Enregistrement d’une photo en pièce jointe sur la bibliothèque photo de votre album Pellicule : Maintenez votre doigt sur l’image puis tapotez sur “Enregistrer image”. Relève du courrier électronique Choisissez une boîte à lettres ou tapotez sur à tout moment. Affichage de tous les destinataires d’un message Tapotez sur Détails. Tapotez sur un nom ou une adresse électronique pour afficher les informations de contact du destinataire. Tapotez alors sur une adresse électronique ou un message de texte pour contacter la personne. Tapotez sur Masquer pour ne pas afficher les destinataires. Ajout à votre liste de contacts d’un destinataire de courrier électronique. Tapotez sur le message et, si nécessaire, tapotez sur Détails pour afficher les destinataires. Tapotez sur un nom ou une adresse électronique et tapotez sur « Créer un nouveau contact » ou « Ajouter à un contact ». Signalement d’un message comme non lu. Ouvrez le message et tapotez sur « Signaler comme non lu ». Un point bleu s’affiche en regard du message dans la liste de la boîte à lettres (et disparaît lorsque vous l’ouvrez de nouveau).Ouverture d’une invitation à une réunion : Tapotez sur l’invitation. Vous pouvez obtenir les coordonnées de l’organisateur et des autres participants, configurer une alerte, ajouter des remarques à l’événement et ajouter des commentaires à inclure dans votre réponse envoyée à l’organisateur. Vous pouvez tenter d’accepter, accepter ou décliner l’invitation.«Réponse à des invitations à des réunions» à la page 86Voir la section “Réponse à une invitation à une réunion”. Activation et désactivation du mode “Push”: Dans Réglages, choisissez Nouvelles données puis tapotez sur Push.«» à la page 100Voir la section “Nouvelles données”. Organisation du courrier électronique Vous pouvez supprimer des messages l’un après l’autre ou sélectionner un groupe à supprimer d’un coup. Vous pouvez également déplacer des messages d’une boîte à lettres ou d’un dossier à l’autre. Suppression de message : Ouvrez le message et tapotez sur . Vous pouvez également tapoter sur Modifier puis tapoter sur à côté du message. Vous pouvez aussi directement supprimer un message dans la liste des messages de la boîte à lettres : balayez à gauche ou à droite sur le titre du message puis tapotez sur Supprimer. Pour afficher le bouton Supprimer, faites balayer le message vers la gauche ou vers la droite. 68 Chapitre 6 MailChapitre 6 Mail 69 Suppression de plusieurs messages : Pendant la consultation d’une liste de messages, tapotez sur Modifier, sélectionnez les messages que vous souhaitez supprimer, puis tapotez sur Supprimer. Déplacement d’un message vers une boîte à lettres ou un dossier différent : Pendant la consultation d’un message, tapotez sur , puis choisissez une boîte à lettres ou un dossier. Déplacement de plusieurs messages : Pendant la consultation d’une liste de messages, tapotez sur Modifier, sélectionnez les messages que vous souhaitez déplacer, puis tapotez sur Déplacer et sélectionnez une boîte à lettres ou un dossier.70 Plans Plans fournit des plans de ville, des vues satellites et des vues mixtes de lieux à travers le monde. Vous pouvez obtenir des itinéraires détaillés et des informations sur la circulation (à certains endroits). À certains endroits, vous pouvez également connaître et suivre votre emplacement actuel (approximatif) et utiliser ces informations pour obtenir un itinéraire jusqu’à ou à partir d’un autre endroit.1 Pour utiliser Plans, l’iPod touch doit accéder à un réseau Wi-Fi connecté à Internet. Voir la section «Connexion à Internet» à la page 28. AVERTISSEMENT : Des informations importantes concernant la conduite et la navigation en toute sécurité sont disponibles dans le Guide des informations importantes sur le produità la pagewww.apple.com/fr/support/manuals/ipodtouch. Recherche et visualisation de lieux Recherche d’emplacement et consultation de plan : 1 Tapotez sur le champ de recherche pour activer le clavier. 2 Tapez une adresse, une intersection, une région, un lieu connu, un signet, un contact ou un code postal. 3 Tapotez sur Rechercher. 1 Les plans, les itinéraires et les informations géographiques dépendent des données recueillies et des services fournis par de tierces parties. Ces services de données sont soumises à modification et ne sont pas disponibles dans toutes les zones géographiques. Par conséquent, certains plans, itinéraires ou informations géographiques sont susceptibles de ne pas être disponibles, d’être inexacts ou incomplets. Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.apple.com/fr/ipodtouch. Afin de déterminer votre situation géographique, des données sont regroupées dans un formulaire qui ne vous identifie pas personnellement. Si vous ne souhaitez pas que ces données soient rassemblées, n’utilisez pas cette fonctionnalité. Si vous n’utilisez pas cette fonctionnalité, le fonctionnement de votre iPod touch n’est pas altéré. 7 Autres applicationsChapitre 7 Autres applications 71 Une épingle indique l’emplacement. Tapotez sur l’épingle pour afficher le nom ou la description du lieu. Tapotez sur pour obtenir des renseignements sur le lieu et des itinéraires ou ajouter le lieu à vos signets ou à votre liste de contacts Recherche de votre emplacement : Tapotez sur . L’iPod touch utilise les Services de localisation pour déterminer votre emplacement actuel (approximatif). Services de localisation utilise les informations disponibles provenant du réseau de données cellulaire, des réseaux Wi-Fi locaux (si vous avez activé le mode Wi-Fi), et GPS (si vous avez un “iPhone G”). Plus les informations sont exactes, plus votre emplacement est indiqué avec précision. Cette fonctionnalité n’est pas disponible partout. Si les services de localisation sont désactivés, il vous sera demandé de les activer. Il est impossible de trouver votre emplacement si l’option Service de localisation est désactivée. Voir la section «Service de localisation» à la page 104. Un cercle est utilisé pour indiquer votre emplacement approximatif. La taille du cercle dépend de la précision avec laquelle votre emplacement est déterminé. Si vous faites glisser le plan et tapotez sur à nouveau, l’iPod touch recentre le plan sur votre emplacement.Remarque : Pour économiser l’autonomie de la batterie, désactivez l’option Service de localisation lorsque vous ne l’utilisez pas. Dans Réglages, choisissez Général > Services de localisation. Utilisez le repère sur le plan : Tapotez sur , puis tapotez sur Placer un repère. Une épingle est déposée sur le plan. Vous pouvez alors la faire glisser vers l’endroit de votre choix. Déplacer rapidement la épingle vers la zone actuellement affichée : Tapotez sur , puis tapotez sur Replacer le repère. 72 Chapitre 7 Autres applicationsChapitre 7 Autres applications 73 Zoom sur une partie d’une carte Pincez la carte à deux doigts. ou tapotez deux fois sur la partie sur laquelle vous souhaitez zoomer Tapotez à nouveau à deux reprises sur la partie sur laquelle vous souhaitez effectuer un autre zoom avant. Zoom arrière. Pincez la carte. Ou tapotez sur la carte avec deux doigts. Vous pouvez tapoter à nouveau sur la carte avec deux doigts pour effectuer un autre zoom arrière. Déplacer ou faire défiler vers un autre endroit du plan Faites glisser la page vers le haut, le bas, la gauche ou la droite. Afficher une vue satellite ou mixte : Tapotez sur , puis tapotez sur Satellite ou Mixte pour afficher uniquement une vue satellite ou un plan des rues associé à une vue satellite. Tapotez sur Carte pour revenir à l’affichage de la carte. Affichage de l’emplacement de l’adresse d’une personne répertoriée dans votre liste des contacts Tapotez sur dans le champ de recherche, puis tapotez sur Contacts et choisissez un contact. Pour situer une adresse de cette façon, le contact doit inclure au moins une adresse. Si le contact compte plusieurs adresses, vous devez choisir l’adresse que vous souhaitez localiser. Vous pouvez également trouver l’emplacement d’une adresse en touchant l’adresse directement dans Contacts. Ajout d’un lieu à votre liste des contacts Recherchez un lieu, tapotez sur l’épingle qui lui est associée, tapotez sur à côté du nom ou de la description, puis tapotez sur « Créer un nouveau contact » ou « Ajouter un contact ».Mise en signet d’emplacements Vous pouvez associer des signets aux emplacements que vous souhaitez retrouver ultérieurement. Mise en signet d’un emplacement : Recherchez un lieu, tapotez sur l’épingle qui lui est associée, tapotez sur à côté du nom ou de la description, puis tapotez sur Ajouter aux signets. Afficher un emplacement mis en signet ou accédé récemment : Tapotez sur dans le champ de recherche, puis tapotez sur Signets ou Historique. Itinéraires Vous pouvez obtenir un itinéraire pas à pas vers la destination de votre choix. Obtention d’itinéraires : 1 Tapotez sur Itinéraire. 2 Saisissez les lieux de départ et d’arrivée dans les champs de départ et d’arrivée. Par défaut, l’iPod touch démarre l’application sur l’emplacement approximatif actuel (si les informations sont disponibles). Tapotez sur dans l’un des champs, puis choisissez un emplacement dans Signets (dont votre emplacement approximatif actuel et l’épingle déposée, le cas échéant), Historique ou Contacts. Par exemple, si l'adresse d'un de vos amis se trouve dans votre liste de contacts, vous pouvez tapoter sur Contacts, puis sur le nom de votre ami au lieu de taper l'adresse. Pour inverser l’itinéraire, tapotez sur . 3 Tapotez sur Itinéraire, puis effectuez l’une des opérations suivantes :  Pour afficher un itinéraire étape par étape, tapotez sur Départ, puis tapotez sur pour afficher la partie suivante de l’itinéraire. Tapotez sur pour revenir. 74 Chapitre 7 Autres applicationsChapitre 7 Autres applications 75  Pour afficher tous les itinéraires d’une liste, tapotez sur puis tapotez sur Liste. Tapotez sur n’importe quel élément de la liste pour afficher un plan représentant ce tronçon du trajet. Le temps de conduit approximatif apparaît en haut de l’écran. Si des données de circulation sont disponibles, la durée du trajet est modifiée en conséquence. Pour trouver un itinéraire, vous pouvez également trouver un emplacement sur la carte, tapotez sur l’épingle qui lui correspond, tapotez sur puis tapotez sur Itinéraire vers ce lieu ou Itinéraire à partir de ce lieu. Basculer les points de départ et d’arrivée pour inverser l’itinéraire : Tapotez sur . Si ne s’affiche pas, tapotez sur Liste, puis sur Modifier. Afficher les itinéraires récemment consultés : Tapotez sur dans le champ de recherche, puis tapotez sur Historique. Afficher l’état de la circulation Lorsque cela est possible, vous avez accès à l’état de la circulation des autoroutes sur le plan. Afficher ou masquer l’état de la circulation : Tapotez sur , puis tapotez sur Afficher la circulation ou Masquer la circulation.Selon l’état de la circulation, des codes de couleur sont attribués aux autoroutes : Gris = aucune donnée disponible actuellement Rouge = moins de 40 km/h Jaune = entre 40 et 80 km/h Vert = plus de 80 km/h Si les autoroutes ne sont pas codées par des couleurs, vous risquez de devoir effectuer un zoom arrière jusqu’au niveau ou les routes principales apparaissent. Il est aussi possible que l’état de la circulation ne soit pas disponible pour la région concernée. Recherche et contact de commerces Recherche d’un commerce : 1 Recherchez un lieu (tel qu’une ville et une région ou un pays ou une adresse postale) ou faites défiler vers un lieu d’une carte. 2 Tapez le type de commerce dans le champ texte et tapotez sur Rechercher. Des épingles apparaissent pour les emplacements correspondants. Par exemple, si vous localisez votre ville, tapez « films », puis tapotez sur Rechercher, des épingles indiquent tous les cinémas de l’endroit où vous habitez. Tapotez sur l’épingle qui indique un commerce pour en afficher le nom ou la description. Rechercher des commerces sans commencer par rechercher l’emplacement : Tapez des mots-clés, tels que :  restaurants paris france  apple inc new york 76 Chapitre 7 Autres applicationsChapitre 7 Autres applications 77 Contacter un commerce ou demander un itinéraire : Tapotez sur l’épingle qui pointe vers une entreprise, puis tapotez sur à côté du nom. Obtenir des itinéraires Visiter le site web Tapotez sur pour afficher les informations sur le contact Vous pouvez procéder comme suit :  Tapotez sur une adresse électronique à laquelle envoyer un message électronique ou une adresse web à consulter.  Pour obtenir des itinéraires, tapotez sur Itinéraire à partir d’ici ou Itinéraire jusqu’ici.  Pour ajouter le commerce à votre liste des contacts, faites défiler et tapotez sur Créer un nouveau contact ou « Ajouter au contact ». Consulter une liste des commerces trouvés au cours de la recherche : Dans l’écran Carte, tapotez sur Liste. Tapotez sur un commerce pour voir son emplacement. Vous pouvez également tapoter à côté d’un commerce pour afficher les informations qui lui sont associées. YouTube YouTube présente des vidéos de courte durée envoyées par des personnes du monde entier. (Ce service n’est pas disponible dans toutes les langues et n’est pas disponible partout.) Pour utiliser YouTube, l’iPod touch doit accéder à un réseau Wi-Fi connecté à Internet. Voir la section «Connexion à Internet» à la page 28. Recherche et visualisation de vidéos Vous pouvez parcourir YouTube ou rechercher les vidéos que vous souhaitez regarder. Exploration de vidéos : Tapotez sur Sélection, Populaires ou Signets, Vous pouvez également tapoter sur Plus pour parcourir Récentes, Les mieux cotées ou Historique.  Sélection : vidéos passées en revue et conseillées par l’équipe de YouTube. Populaires : vidéos les plus visionnées par les utilisateurs de YouTube. Tapotez sur Tout pour afficher la liste des vidéos les plus visionnées de tous les temps, ou Aujourd’hui ou Cette semaine pour afficher les vidéos les plus visionnées pendant la dernière journée ou semaine.  Signets : vidéos que vous avez mises en signet.  Récentes : vidéos les plus récentes ajoutées sur YouTube.  Les mieux cotées : vidéos les mieux cotées par les utilisateurs de YouTube. Pour noter une vidéo, accédez à www.youtube.com.  Historique : vidéos que vous avez visionnés le plus récemment. Recherche d’une vidéo : 1 Tapotez sur Recherche puis tapotez sur le champ de recherche YouTube. 2 Tapotez sur un mot ou une phrase décrivant ce que vous recherchez, puis tapotez sur Rechercher. Tapotez sur Recherche puis tapotez sur le champ de recherche YouTube. Lecture de vidéo : Tapotez sur la vidéo. Elle commence à se télécharger sur l’iPod touch et une barre de progression apparaît. Dès qu’une partie suffisante de la vidéo s’est téléchargée, la lecture commence. Vous pouvez également tapoter sur pour lancer la vidéo. Dès qu’une partie suffisante de la vidéo s’est téléchargée, la lecture commence. Lorsque la lecture d’une vidéo commence, les commandes disparaissent pour ne pas gêner. Afficher/masquer les commandes vidéo : Tapotez sur l’écran. Suivant/ Avance rapide Lecture/Pause Courrier électronique Échelle Progression du téléchargement Volume Précédent/Retour rapide Signet Tête de lecture Défileur 78 Chapitre 7 Autres applicationsChapitre 7 Autres applications 79 Lire ou mettre en pause une vidéo Tapotez sur ou . Augmenter ou diminuer le volume Faites glisser le curseur de volume. Vous pouvez également utiliser les boutons de volume laté- raux de l’iPod touch. Redémarrer une vidéo Tapotez sur . Passer à la vidéo suivante ou précédente Tapotez deux fois sur pour passer à la vidéo précédente. Passer à la vidéo suivante ou précédente Effectuer un retour ou une avance rapide Tapotez et gardez le doigt sur ou . Passer directement à un point particulier d’une vidéo Faites glisser la tête de lecture le long du défileur. Interrompre une vidéo avant sa fin Tapotez sur Terminé ou appuyez sur le bouton principal . Basculer le redimensionnement de la vidéo entre le remplissage de l’écran et l’adaptation à l’écran. Tapotez deux fois la vidéo. Basculer le redimensionnement de la vidéo entre le remplissage de l’écran et à l’adaptation à l’écran. Tapotez deux fois la vidéo. Tapotez sur à côté de la vidéo et tapotez sur Créer un signet. Mettre une vidéo en signet Tapotez sur Signets pour afficher vos vidéos mises en signet. Envoyer un lien vers la vidéo par courrier électronique Tapotez sur à côté de la vidéo et tapotez sur Partager. Vous pouvez également commencer à lire la vidéo puis tapoter sur . Affichage des détails d’une vidéo et des vidéos associées Lisez l’intégralité de la vidéo, tapotez sur Terminé en cours de lecture ou tapotez sur à côté d’une vidéo d’une liste. L’iPod touch affiche le classement de la vidéo, la date de son ajout et d’autres informations. Lisez l’intégralité de la vidéo, tapotez sur Terminé en cours de lecture ou tapotez sur à côté d’une vidéo d’une liste. Modification des boutons de navigation Vous pouvez remplacer les boutons Sélection, Populaires, Signets et Recherche situés au bas de l’écran par d’autres que vous utilisez plus fréquemment. Supposons que vous regardiez souvent les vidéos les mieux cotées mais ne regardiez pas beaucoup les vidéos conseillées. Vous pouvez dans ce cas remplacer le bouton Sélection par le bouton Les mieux cotées.Modification des boutons de navigation Tapotez sur Plus puis Modifier, puis faites glisser un bouton vers le bas de l’écran, par-dessus celui que vous souhaitez remplacer. Vous pouvez faire glisser vers la gauche ou la droite les boutons situés au bas de l’écran afin de les réarranger. Lorsque vous avez fini, tapotez sur Terminé. Pendant que vous explorez les vidéos, tapotez sur Plus pour accéder aux boutons d’accès qui ne sont pas visibles. Ajout de vos propres vidéos à YouTube Pour plus de renseignements sur la manière d’ajouter vos propres vidéos à YouTube, accédez à www.youtube.com et tapotez sur Aide. Photos L’iPod touch vous permet de toujours transporter vos photos avec vous de manière à les partager avec vos proches et vos collègues. Synchronisation de photos avec votre ordinateur iTunes peut synchroniser vos photos avec les applications suivantes :  Mac : iPhoto 4.0.3 ou ultérieur, ou Aperture  PC : Adobe Photoshop Album 2.0 ou ultérieur, ou Adobe Photoshop Elements 3.0 ou ultérieur Voir la section «Éléments nécessaires» à la page 5. 80 Chapitre 7 Autres applicationsChapitre 7 Autres applications 81 Visionnage de photos Vous pouvez visionner dans Photos les photos synchronisées à partir de votre ordinateur. Visualisation de photos : 1 Dans Photos:  Tapotez sur Photothèque pour visualiser toutes vos photos.  Tapotez sur un album pour visualiser uniquement ces photos. 2 Tapotez sur une vignette pour afficher la photo en plein écran. Afficher ou masquer les commandes : Tapotez sur la photo en plein écran pour afficher les commandes. Tapotez à nouveau pour les masquer. Affichage d’une photo en mode paysage : Faites pivoter l’iPod touch d’un quart de tour. La photo se réoriente automatiquement et couvre tout l’écran si elle est en format Paysage.Zoom avant sur une partie d’une photo : Tapotez sur l’endroit sur lequel vous souhaitez zoomer. Tapotez à nouveau pour effectuer un zoom arrière. Vous pouvez également pincer l’image pour l’agrandir ou écarter les doigts pour la réduire. Exploration d’une photo: Faites glisser la photo. Affichage de la photo précédente ou suivante : Feuilletez vers la gauche ou la droite Tapotez sur l’écran pour afficher les commandes puis ou . Diaporamas Vous pouvez visualiser vos photos dans un diaporama, accompagné d’une musique de fond. Affichage de photos dans un diaporama : Choisissez un album photo, puis tapotez sur . Vous pouvez également tapoter sur pour démarrer un diaporama lorsque vous visualisez une photo individuelle. Si vous ne voyez pas , tapotez sur la photo pour afficher les commandes. Arrêt d’un diaporama : Tapotez sur l’écran. Réglage d’un diaporama : Dans Réglages, choisissez Photos puis réglez les options suivantes : 82 Chapitre 7 Autres applicationsChapitre 7 Autres applications 83  Pour définir la durée d’apparition de chaque diapositive, tapotez sur Afficher chaque photo pendant puis choisissez une durée.  Pour définir des effets de transition lors du passage d’une photo à la suivante, tapotez sur Transition puis choisissez un type de transition.  Pour définir la répétition des diaporamas, activez ou désactivez Répéter.  Pour définir l’affichage aléatoire des photos, activez ou désactivez Aléatoire. Écoute de musique pendant un diaporama : Dans iPod, jouez un morceau puis choisissez Photos dans l’écran d’accueil et démarrez un diaporama. Fond d’écran Une photo apparaît en tant que fond d’écran lorsque vous déverrouillez votre iPod touch. Choix d’une photo comme fond d’écran : 1 Choisissez une photo, tapotez sur , puis tapotez sur Utiliser en fond d’écran. 2 Faites glisser la photo pour la déplacer, pincez-la pour la réduire ou écartez les doigts pour l’agrandir, jusqu’à ce qu’elle prenne les dimensions souhaitées. 3 Tapotez sur Valider. Vous pouvez également choisir parmi plusieurs images de fond d’écran incluses sur l’iPod touch en choisissant Réglages > Fond d’écran >Fond d’écran à partir de l’écran d’accueil. Enregistrement d’images à partir d’un message électronique ou d’une page web Vous pouvez ajouter à votre photothèque des images jointes à un message électronique ou à une page web. Ajout de photo à votre photothèque : Maintenez votre doigt sur la photo puis tapotez sur Enregistrer l’image. L’image est ajoutée à votre album Photothèque. Vous pouvez télécharger les images de votre dans l’application photo de votre ordinateur en connectant votre iPod touch à votre ordinateur. Envoi d’une photo par courrier électronique Envoi d’une photo par courrier électronique : Choisissez une photo et tapotez sur , puis Envoyer par courrier. L’iPod touch doit être configuré pour le courrier électronique et doit accéder à un réseau Wi-Fi connecté à Internet. Voir «Organisation du courrier électronique» à la page 68.Envoi de photo à une Galerie MobileMe Si vous avez un compte MobileMe, vous pouvez directement envoyer des photos de votre iPod touch vers une galerie que vous avez créée. Vous pouvez également envoyer les photos vers la galerie MobileMe d’une autre personne si celle-ci a activé les contributions par courrier électronique. Avant de pouvoir envoyer des photos à une galerie, vous devez :  configurer votre compte MobileMe sur l’iPod touch  publier une galerie MobileMe et autoriser le téléchargement par courrier électronique  accéder à un réseau Wi-Fi connecté à Internet Pour plus d’informations sur la création de galeries, consultez l’Aide MobileMe. Envoi de photo à votre galerie : Choisissez une photo et tapotez sur , puis tapotez sur Envoyer à la Galerie. Attribution d’une photo à un contact Vous avez la possibilité d’attribuer une photo à un contact. Attribution d’une photo à un contact : 1 Choisir une photo enregistrée sur iPod touch et tapoter sur . 2 Tapotez sur « Assigner à un contact » puis désignez le contact. 3 Positionnez et redimensionnez la photo jusqu’à ce qu’elle ait l’aspect souhaité. Faites glisser la photo pour la déplacer, pincez les doigts pour l’agrandir et écartez-les pour la réduire. 4 Tapotez sur Valider. Vous pouvez également affecter une photo à un contact dans Contacts en touchant Modifier, puis en touchant l’icône d’image. Calendrier Calendrier vous permet de visualiser vos événements dans une liste continue, présentée par jour ou par mois. Synchronisez l’iPod touch avec les calendriers de votre ordinateur. Créez, modifiez ou annulez des rendez-vous sur l’iPod touch et synchronisez-les avec votre ordinateur. Si vous avez un compte Microsoft Exchange, vous pouvez recevoir des invitations à des réunions et y répondre. 84 Chapitre 7 Autres applicationsChapitre 7 Autres applications 85 Synchronisation de calendriers Vous pouvez synchroniser Calendrier d’une des manières suivantes :  Dans iTunes, utilisez les sous-fenêtres de préférences de l’iPod touch pour synchroniser avec iCal ou Microsoft Entourage sur un Mac, ou Microsoft Outlook 2003 ou 2007 sur un PC lorsque vous connectez l’iPod touch à votre ordinateur. Voir la section «Synchronisation avec iTunes» à la page 6.  Dans les Réglages de l’iPod touch, sélectionnez Calendrier dans votre compte MobileMe ou Microsoft Exchange pour synchroniser sans fil les informations de votre calendrier. Voir la section «Configuration de comptes.» à la page 11. Pour synchroniser les calendriers, l’iPod touch doit accéder à un réseau Wi-Fi connecté à Internet. Voir la section «Connexion à Internet» à la page 28. Ajout d’événements de calendrier à l’iPod touch Vous pouvez également saisir et modifier des événements de calendrier directement sur l’iPod touch. Ajout d’un événement : Tapotez sur et saisissez les informations sur l’événement, puis tapotez sur Terminé. Vous pouvez saisir les informations suivantes :  Titre  Lieu  Heures de début et de fin (ou activez Sur la journée si l’événement se déroule toute la journée)  Récurrence : aucune, tous les jours, toutes les semaines, toutes les deux semaines, tous les mois ou tous les ans  Alarme : de cinq minutes à deux jours avant l’événement Lorsque vous définissez une alarme, l’option pour définir une seconde alarme apparaît. Lorsqu’une alarme se déclenche, l’iPod touch affiche un message. Vous pouvez également régler l’iPod touch pour qu’il produise un son (voir ci-dessous). Important : Lorsque vous êtes en déplacement, l’iPod touch risque de ne pas vous avertir à la bonne heure locale. Pour régler manuellement l’heure correcte, consultez la section «Date et heure» à la page 106.  Notes Pour sélectionner le calendrier auquel ajouter l’événement, tapotez sur Calendrier. Les calendriers en lecture seule n’apparaissent pas dans la liste.Modification d’un événement Tapotez sur l’événement, puis tapotez sur Modifier. Supprimer un événement Tapotez sur l’événement, tapotez sur Modifier, puis faites défiler et tapotez sur Supprimer l’événement. Réponse à des invitations à des réunions Si vous avez configuré un compte Microsoft Exchange sur votre iPod touch avec les calendriers activés, vous pouvez recevoir des invitations à des réunions envoyées par d’autres personnes de votre organisation, et y répondre. Lorsque vous recevez une invitation, la réunion apparaît dans votre calendrier, entourée d’une ligne en pointillés. L’icône située dans l’angle inférieur droit de l’écran et l’icône Calendrier de l’écran d’accueil indiquent chacune le nombre total de nouvelles invitations que vous avez reçues. Pour recevoir et répondre à des invitations à des réunions, l’iPod touch doit accéder à un réseau Wi-Fi connecté à Internet. Nombre d’invitations à des réunions 86 Chapitre 7 Autres applicationsChapitre 7 Autres applications 87 Réponse à une invitation dans Calendrier : 1 Tapotez dans le calendrier sur une invitation à une réunion, ou tapotez sur pour afficher l’écran Événement et tapotez sur une invitation. Â Tapotez sur « Invitation de » pour obtenir les coordonnées de l’organisateur de la réunion. Tapotez sur l’adresse électronique pour envoyer un message à l’organisateur. Â Tapotez sur Participants pour afficher les autres personnes invitées à la réunion. Tapotez sur un nom pour afficher les coordonnées du participant. Tapotez sur l’adresse électronique pour envoyer un message au participant. Â Tapotez sur Alarme pour régler l’iPod touch de manière à produire une alarme sonore avant la réunion. Â Tapotez sur Annoter pour ajouter des commentaires au message électronique de réponse envoyé à l’organisateur de la réunion. Vos commentaires apparaîtront également dans l’écran d’information de la réunion. Les remarques sont ajoutées par l’organisateur de la réunion. 2 Tapotez sur Accepter, Peut-être ou Décliner. Lorsque vous tentez d’accepter, acceptez ou déclinez l’invitation, un message électronique de réponse, comprenant les éventuels commentaires que vous avez ajoutés, est envoyé à l’organisateur. Si vous acceptez ou tentez d’accepter la réunion, vous pouvez toujours modifier votre réponse ultérieurement. Tapotez sur Annoter si vous souhaitez modifier vos commentaires. Les invitations à des réunions Exchange sont également envoyées dans un message électronique qui vous permet d’ouvrir l’écran d’information de la réunion à partir de Mail.Ouverture d’une invitation à une réunion dans un message électronique : Tapotez sur l’invitation. Alarmes Réglage des alertes de calendrier : Dans Réglages, choisissez Général > Sons et activez l’option Alertes de calendrier. Si l’option Alertes de calendrier est désactivée, l’iPod touch affiche un message lorsqu’un événement est sur le point de se produire, mais il ne produit aucun son. Alarmes sonores pour les invitations : Dans Réglages, choisissez “Mail, Contacts, Calendrier”. Sous Calendrier, tapotez sur Alarme Nouv. invitation pour l’activer. Affichage de votre calendrier Vous pouvez afficher vos événements de calendrier dans une liste, par jour ou par mois. Les événements de tous vos calendriers synchronisés apparaissent dans le même calendrier sur l’iPod touch. Basculement d’affichage : Tapotez sur Liste, Jour ou Mois. Â Présentation en liste : tous les rendez-vous et événements apparaissent dans une liste que vous pouvez faire défiler. Â Présentation par jour : faites défiler vers le haut ou vers le bas pour afficher les évé- nements d’une journée. Tapotez sur ou pour afficher les événements de la veille ou du lendemain. 88 Chapitre 7 Autres applicationsChapitre 7 Autres applications 89 Â Présentation par mois : Tapotez sur une journée pour afficher ses événements. Tapotez sur ou pour afficher le mois précédent ou suivant. Les jours marqués d’un point contiennent des événements programmés Ajouter un événement Changer de présentation Événements du jour sélectionné Aller à aujourd’hui Répondre à une invitation du calendrier Affichage des détails d’un événement : Tapotez sur l’événement. Contacts Importation et synchronisation des contacts Vous pouvez ajouter des contacts à l’iPod touch des manières suivantes : Â Dans iTunes, synchronisez vos contacts avec des applications de votre ordinateur (voir la section «Synchronisation avec iTunes» à la page 6) Â Configuration de comptes MobileMe ou Microsoft Exchange sur l’iPod touch, avec Calendrier activé (voir la section «Configuration de comptes.» à la page 11) Â Installez un profil qui configure un compte Exchange avec Calendrier activé (voir la section «Installation de profils de configuration» à la page 13) Â Saisie de contacts directement sur l’iPod touch Recherche de contacts Vous pouvez effectuer une recherche avec le prénom, le nom et le nom de la société dans vos contacts sur iPod touch. Si vous avez configuré un compte Microsoft Exchange sur l’iPod touch, vous pourrez peut-être rechercher dans la liste globale d’adresses (GAL) de votre entreprise des contacts à l’intérieur de l’organisation.Lorsque vous tapez des informations de recherche, les contacts dont les informations correspondent apparaissent immédiatement au cours de la saisie. Recherche de contacts : Dans Contacts, tapotez sur le champ de recherche situé en haut d’une liste de contacts et saisissez un prénom, un nom ou un nom de société. Recherche dans un GAL : Tapotez sur Groupes, puis sur Annuaires au bas de la liste puis saisissez un prénom, un nom ou un nom de société. Vous ne pouvez pas modifier les contacts de votre GAL ni les enregistrer sur votre iPod touch. Gestion des contacts sur l’iPod touch Ajout d’un contact sur l’iPod touch: Tapotez sur Contacts puis . Suppression d’un contact Dans Contacts, choisissez un contact, puis tapotez sur Modifier. Faites défiler et tapotez sur Supprimer le contact. Ajout d’un contact depuis le clavier Tapotez sur Clavier et saisissez un numéro, puis tapotez sur . Tapotez sur Créer un nouveau contact et saisissez les informations de l’appelant, ou tapotez sur « Ajouter à un contact » et choisissez un contact. Modification des informations de contact Dans Contacts, choisissez un contact, puis tapotez sur Modifier. Pour ajouter un élément, tapotez sur . Pour supprimer un élément, tapotez sur . Saisie d’une pause dans un numéro Tapotez sur puis Pause. Les pauses apparaissent sous la forme de virgules lorsque le numéro est enregistré. Attribution d’une photo à un contact : 1 Tapotez sur Contacts et choisissez un contact. 2 Tapotez sur Modifier et tapotez sur Ajouter une photo ou tapotez sur la photo existante. 3 Tapotez sur Choisir une photo et choisissez une photo. 4 Faites glisser et redimensionnez la photo comme souhaité. 5 Tapotez sur Valider. 90 Chapitre 7 Autres applicationsChapitre 7 Autres applications 91 Bourse Bourse vous permet de consulter les dernières cotations des titres sélectionnés. Pour utiliser Stocks, l’iPod touch doit accéder à un réseau Wi-Fi connecté à Internet. Voir la section «Connexion à Internet» à la page 28. Visualisation des cours de la bourse Visualisation des cours de la Bourse Les cotations peuvent être décalées de 20 minutes au maximum. Ajouter un indice boursier ou un fonds au visualiseur de titres : 1 Tapotez sur , puis . 2 Tapez un symbole, un nom de société, un indice ou un nom de fond, puis tapotez sur Rechercher. 3 Choisissez un élément dans la liste de recherche. Afficher l’évolution d’un titre sur une période plus longue ou plus courte : Tapotez sur un symbole de titre, puis tapotez sur 1d, 1w, 1m, 3m, 6m, 1y ou 2y. Affichage de l’évolution d’un titre sur une période Suppression de titre : Tapotez sur et tapotez sur à côté d’un titre, puis tapotez sur Supprimer. Réorganisation de titres : Tapotez sur . Puis faites glisser à côté d’un titre vers un autre endroit de la liste. Affichage de la modification en valeur ou en pourcentage : Tapotez sur le nombre représentant la modification. Passage entre l’affichage de la variation des titres en pourcentage et celle en valeur Vous pouvez également tapoter sur et tapotez sur % ou Nombres.