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versailles - Page 7

  • Barreau de Versailles

    medium_versaillesavocats.JPGSi vous recherchez un avocat pour votre entreprise, vous pouvez vous rendre sur le site du Barreau de Versailles : http://www.avocats-versailles.net. Vous avez la possibilité de rechercher votre avocat par spécialité.

  • Le Centre de formalité de la CCI de Versailles

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    Vous souhaitez créer votre entreprise sur Versailles, le CFE est un passage obligé.

    Pour plus d'information, rendez-vous sur le site de la CCI de Versailles :

    http://www.versailles.cci.fr/cci/home.nsf/(DSMLookupHTML)/Formalites?OpenDocument


    Pour plus d'information :

    CCI CFE des Yvelines
    23, Avenue de Paris 78000 VERSAILLES
    TEL :: 01.30.84.79.22
    E.Mail : cfe78@versailles.cci.fr

    Accueil:
    du lundi au jeudi de 9h à 12 h et de 14 h à 16 h 30
    le vendredi de 9h 00 à 12 h

  • Le synchrotron Soleil voit le jour à deux pas de Versailles

    medium_synchrotron.jpg"CELA faisait un moment que l'on n'entendait plus parler de Soleil. L'entrée en scène, à la fin 2002, des engins de chantier sur le site de l'Orme des Merisiers, à Saint-Aubin (Essonne), avait fini par faire oublier les violentes polémiques suscitées par ce bel anneau de béton de 364 mètres de circonférence, que le président de la République, Jacques Chirac, a inauguré ce matin.

    Pourtant, c'est peu dire que ce grand instrument, destiné à sonder la matière grâce à la lumière ultrabrillante - le fameux rayonnement synchrotron - émise par des électrons lancés à la vitesse de la lumière (voir article ci-dessous), a bien failli ne jamais voir le jour.

    Le 2 août 1999, alors que 70 millions de francs (un peu plus de 10 millions d'euros) avaient déjà été consacrés au projet, en gestation depuis neuf ans, Claude Allègre décida brusquement de tout arrêter. Par souci d'économie, le futur synchrotron ne devait plus être franco-français mais franco-britannique, sous la forme d'une prise de participation minoritaire dans le projet Diamond, implanté à Oxford en Angleterre. Exit Soleil... Le bouillant ministre socialiste de la Recherche avait aussitôt provoqué un tollé dans la communauté scientifique et s'était mis à dos plusieurs de ses amis politiques, comme le président de la région Ile-de-France, Jean-Paul Huchon, prêt à casser sa tirelire pour héberger Soleil chez lui.

    Il faudra attendre avril 2000 pour que Roger-Gérard Schwartzenberg, à peine installé dans le fauteuil de Claude Allègre, rouvre le dossier écarté par son prédécesseur. « Du fait de la très forte demande d'accès, le projet franco-britannique Diamond risque de ne pas suffire », expliquait-t-il en reprenant les conclusions d'un rapport parlementaire publié quelques semaines plus tôt. De fait, l'ESRF, le synchrotron européen de Grenoble, est déjà saturé, le Lure d'Orsay - que Soleil doit remplacer - est en fin de vie, et même en disposant d'un accès privilégié à Diamond, les scientifiques français devront louer du « temps de faisceau » dans les autres synchrotrons européens (Allemagne, Italie, Suède, Suisse), sans être sûr d'en obtenir...

    De nombreuses applications


    Car en l'espace d'une décennie, les besoins n'ont cessé de croître pour des applications sans cesse plus nombreuses. D'abord utilisée par les physiciens, la lumière synchrotron est de plus en plus prisée par les chimistes et surtout les biologistes dans des domaines variés qui vont de la médecine, à la science des matériaux en passant par la géophysique, la lithographie, l'électronique, et même l'archéologie. Certains cancérologues ont, par exemple, recours aux infrarouges pour effectuer des diagnostics très précoces en vérifiant si l'ADN prélevé sur les cellules de leurs patients est sain ou non.

    Restait pour M. Schwartzenberg à affronter la bataille qui fit rage entre les dix régions candidates. Le 11 septembre 2000, le choix s'est finalement porté sur l'Île-de-France, dont les collectivités territoriales - Région et département de l'Essonne - financent plus de 70 % du coût total de l'opération estimé à 280 millions d'euros. En outre, c'est elle qui concentre les chercheurs les mieux qualifiés pour mener le projet à bien.

    Le résultat est à la hauteur des espérances. La machine d'une puissance de 2,75 gigaélectrons-volts, accueillera d'ici à 2009, un total de 24 lignes de lumières disposées tout autour de l'anneau de stockage où les scientifiques pourront mener leurs expérimentations. Mais il y a la place pour en installer 19 de plus, par la suite, si les financements suivent. La palette de lumière disponible va de l'infrarouge lointain (300 micromètres de longueur d'onde) aux rayons X « durs » (0,03 milliardième de mètre), offrant une gamme d'utilisation étendue.

    Le démarrage retardé


    « Soleil ne risque pas d'être sous-utilisé, se réjouit Denis Raoux, le directeur général de la société de droit privé Synchrotron Soleil, détenue à hauteur de 72 % par le CNRS et 28 % par le CEA. Avant même de démarrer, nous sommes déjà en surréservation de plus du double par rapport au temps de faisceau disponible ! »

    Fait notable : si la demande émane surtout de chercheurs académiques (aux trois quarts français) pour qui l'accès est gratuit sous réserve qu'ils publient leurs résultats in extenso, de plus en plus d'industriels font appel au synchrotron. À terme, il est prévu de leur dédier, moyennant rétribution, 2 à 3 lignes de lumières de Soleil pour une utilisation de 10 % du temps de faisceau (4 % actuellement à Grenoble).

    Seule ombre au tableau, le début des expérimentations, initialement prévu en janvier, sera retardé de six à huit semaines suite à des « malfaçons » repérées cet automne sur l'un des circuits de refroidissement des accélérateurs. Mais selon Denis Raoux, « cette péripétie, inévitable dans ce genre de réalisation, ne remet pas en cause la qualité de l'instrument : l'anneau fonctionne à pleine puissance depuis septembre et le faisceau d'électrons est d'une stabilité remarquable »."

    Source : Le Figaro

  • Inauguration du réseau de fibres optiques haut débit Yvelines Numériques

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    Les Yvelines sont le premier département de la Grande Couronne francilienne à se doter d’une telle infrastructure : le Conseil général des Yvelines a inauguré hier aux Archives départementales à Montigny-le-Bretonneux, le réseau de fibres optiques à très haut débit « Yvelines Numériques », en présence de Pierre Bédier, le président, de Jean-Paul Huchon,
    Président du Conseil régional d’Ile-de-France, de Jean-François Roverato, président directeur général d'Eiffage S.A. et de Sylvie Faucheux, présidente de l'Université de Versailles-Saint-Quentin et représentante du Groupement Royal, partenaires du projet.

    Le réseau « Yvelines Numériques » a été conçu à l’initiative du Conseil général des Yvelines afin de permettre aux opérateurs de télécommunications de fournir des services à très haut débit concurrentiels aux entreprises et aux particuliers.
    Sa réalisation et son exploitation ont été confiées à la société concessionnaire Eiffage Connectic 78, filiale du groupe Eiffage S.A en 2004 dans le cadre d’une délégation de service public.

    Aujourd’hui, Yvelines Numériques constitue un réseau de collecte en fibres optiques d’une longueur de 180 km, propriété du département. Composé d’un câble de 144 fibres sur la boucle principale, le réseau dessert 22 nœuds de raccordement d’abonnés (NRA) de l’opérateur France Télécom, 43 zones d’activités économiques et 19 sites majeurs de recherche et d’enseignement publics et parapublics.

    Le réseau Yvelines Numériques représente un investissement initial de 15,5 millions d’euros (porté récemment à 17 millions d’euros en raison d’une extension du réseau), financé par le groupe Eiffage, le Conseil général des Yvelines, la Région Ile-de-France et le groupement Royal (Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines, INRA, INRIA, Rectorat et IUFM).

    Les atouts économiques du réseau Yvelines Numériques sont nombreux pour le département et donc pour Versailles et ses environs.

    D'une part, les opérateurs de télécommunications disposent d’une infrastructure performante, de qualité et accessible à des conditions tarifaires très attractives. Ils peuvent ainsi offrir au client final la meilleure des offres de services au plus juste prix. La compétitivité des entreprises présentes sur le territoire s’en trouve ainsi renforcée.

    Les premiers opérateurs clients du réseau - Neuf Cegetel, Alice, Club Internet, Free, Completel, Numéricable – sont en mesure aujourd’hui de proposer :
    - un service à très haut débit pour les entreprises sur un bassin de 300 000 emplois, soit près de 60% des emplois totaux du département,
    - une gamme concurrentielle de services ADSL pour les particuliers et les professionnels avec 20 NRA dégroupés, favorisant en particulier l’expansion des offres Triple Play (télévision / Internet / téléphonie).

    L’attractivité économique du territoire s'en trouve renforcée d'autre part. En effet, ce projet permet aux acteurs économiques de disposer des moyens de communication indispensables à la réussite des grands projets en cours ou à venir, tels que les pôles de compétitivité ou les Opérations d’Intérêt National.

    Source : www.monversailles.com

  • Yvelines : le réseau haut débit inauguré

    medium_yvelines-numeriques.gifLe réseau haut-débit Yvelines Numériques a été inauguré hier en présence du Président du Conseil Régional d'Ile de France, du Président du Conseil Général des Yvelines et de la Présidente de l’université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines.

    Le réseau Yvelines Numériques est une infrastructure de fibre optique de 160 km qui a été construite par Eiffage Connectic 78, une filiale du groupe Eiffage. Cette société exploitera le réseau via une délégation de service public pendant 20 ans. D'un coût total de 15,5 millions d'euros, le réseau de fibre optique a profité des investissements conjoints du Conseil Régional, du Conseil Général, du groupe Eiffage et du groupe Royal (universités).

    Le tracé du réseau prévoit la desserte d'une quarantaine de zones d'activités, d'une vingtaine de répartiteurs (NRA) France Télécom, d'une demi-douzaine de points d'interconnexion d'opérateurs alternatifs et de 29 sites de la communauté académique et scientifique des Yvelines. Alice, Club-Internet, Free, Completel, Noos Numericable et Neuf Cegetel utilisent déjà ce réseau pour commercialiser leurs offres ADSL et haut-débit.

    Yvelines Numériques a pour objectif d'irriguer davantage les zones d'activités du département.

    Cette nouvelle initiative locale montre l'intérêt pour les collectivités locales d'investir dans les réseaux haut-débit. Outre l'aménagement numérique du territoire, les réseaux haut-débit contribuent à soutenir et à dévelopepr les activités économiques et humaines. En poursuivant l’aménagement des zones ne disposant pas encore d’infrastructures de télécommunications accessibles par tous les opérateurs, le département veut également lutter contre la fracture numérique.


    Source : Ariase

  • 15 décembre : Pourquoi et comment reprendre une PME-PMI ?

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    Objectif Cette rencontre consacrée à la reprise d'entreprise à pour objectif de sensibiliser les personnes intéressées par la reprise d'une PME/PMI aux conditions d'accès et à la démarche d'une reprise et de leur apporter des éléments de réflexion contribuant à la décision de poursuivre ou non dans cette voie
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    Organisateur CCI de Versailles Val-d'Oise/Yvelines en partenariat avec le Club des Cédants et repreneurs d'affaires

    Renseignements pratiques Horaire : de 9 h 30 à 12 h 15
    Lieu : 21,avenue de Paris à Versailles
    Information: Stéphanie Rugeau, au 01 30 84 73 32 ou creation78@versailles.cci.fr