Apple Guide_de_l_utilisateur_des_formules_et_des_fonctions
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F019-1588 08/200913 Préface : Bienvenue dans les formules et les fonctions d’iWork
15 Chapitre 1 : Utilisation de formules dans des tableaux
15 Éléments des formules
17 Calculs instantanés dans Numbers
18 Utilisation de formules rapides prédéfinies
19 Création de formules personnalisées
20 Ajouter et modifier des formules à l’aide de l’éditeur de formules
21 Ajouter et modifier des formules à l’aide de la barre des formules
22 Ajout de fonctions à des formules
25 Gestion des erreurs et des avertissements dans les formules
25 Suppression de formules
26 Référencement de cellules dans des formules
28 Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules
29 Distinction entre références absolues et relatives à des cellules
30 Utilisation d’opérateurs dans les formules
30 Opérateurs arithmétiques
31 Opérateurs de comparaison
31 Opérateur de chaîne et jokers
32 Copie ou déplacement de formules et de leurs valeurs calculées
33 Affichage de toute les formules d’une feuille de calcul
33 Recherche et remplacement d’éléments de formule
35 Chapitre 2 : Vue d’ensemble des fonctions d’iWork
35 Introduction aux fonctions
36 Informations sur les fonctions
36 Les éléments de syntaxe et les termes utilisés dans la définition des fonctions
38 Types de valeur
44 Liste des catégories de fonctions
44 Collage d’exemples de l’aide
46 Chapitre 3 : Fonctions date et heure
46 Liste des fonctions date et heure
48 ANNÉE
3
Table des matières4 Table des matières
49 AUJOURDHUI
50 DATE
50 DATEDIF
52 DATEVAL
53 EDATE
54 FIN.MOIS
55 FRACTION.ANNEE
56 HEURE
57 JOUR
57 JOURS360
58 JOURSEM
59 MAINTENANT
60 MINUTE
60 MOIS
61 NB.JOURS.OUVRES
62 NOMDUMOIS
63 NOMJOUR
64 NO.SEMAINE
64 SECONDE
65 SERIE.JOUR.OUVRE
66 TEMPS
67 TEMPSVAL
68 Chapitre 4 : Fonctions de durée
68 Liste des fonctions de durée
69 DUREE
70 DUREE.SUPPRESSION
70 DURHEURES
71 DURJOURS
72 DURMILLISECONDES
73 DURMINUTES
73 DURSECONDES
74 DURSEMAINES
76 Chapitre 5 : Fonctions d’ingénierie
76 Liste des fonctions d’ingénierie
77 BASE10
78 BASEN
79 BESSELJ
80 BESSELY
81 BINDEC
81 BINHEX
82 BINOCTTable des matières 5
83 CONVERT
84 Unités de conversion prises en charge
84 Poids et masse
85 Distance
85 Durée
85 Vitesse
86 Pression
86 Force
86 Énergie
86 Puissance
87 Magnétisme
87 Température
87 Volume liquide
87 Préfixes métriques
88 DECBIN
89 DECHEX
90 DECOCT
91 DELTA
91 ERF
92 ERFC
93 HEXBIN
94 HEXDEC
94 HEXOCT
95 OCTBIN
96 OCTDEC
97 OCTHEX
98 SUP.SEUIL
100 Chapitre 6 : Fonctions financières
100 Liste des fonctions financières
104 AMORLIN
105 CUMUL.INTER
107 CUMUL.PRINCPER
109 DB
111 DDB
112 DUREE.M.OBLIGATION
114 DUREE.OBLIGATION
115 INTERET.ACC
117 INTERET.ACC.MAT
119 INTPER
120 ISPMT
122 NB.COUPONS
123 NB.JOURS.COUPON6 Table des matières
124 NB.JOURS.COUPON.SUIV
125 NB.JOURS.COUPON.SUIV
127 NPM
129 PRINCPER
130 PRIX.TITRE
132 PRIX.TITRE.ECHEANCE
133 RENDEMENT.SIMPLE
135 RENDEMENT.TITRE
136 RENDEMENT.TITRE.ECHEANCE
138 SYD
139 TAUX
141 TAUX.EFFECTIF
142 TAUX.ESCOMPTE
143 TAUX.INTERET
144 TAUX.NOMINAL
145 TRI
147 TRIM
149 VA
151 VALEUR.ENCAISSEMENT
152 VALEUR.NOMINALE
154 VAN
155 VC
157 VDB
159 VPM
161 Chapitre 7 : Fonctions logiques et d’information
161 Liste des fonctions logiques et d’information
162 ESTERREUR
163 EST.IMPAIR
163 EST.PAIR
164 ESTVIDE
165 ET
166 FAUX
167 NON
168 OU
169 SI
170 SI.ERREUR
171 VRAI
173 Chapitre 8 : Fonctions numériques
173 Liste des fonctions numériques
176 ABS
176 ALEATable des matières 7
177 ALEA.ENTRE.BORNES
178 ARRONDI
179 ARRONDI.AU.MULTIPLE
180 ARRONDI.INF
181 ARRONDI.SUP
182 COMBIN
183 ENT
184 EXP
185 FACT
186 FACTDOUBLE
187 IMPAIR
188 LN
188 LOG
189 LOG10
190 MOD
191 MULTINOMIALE
192 PAIR
193 PGCD
193 PI
194 PLAFOND
195 PLANCHER
196 PPCM
197 PRODUIT
198 PUISSANCE
198 QUOTIENT
199 RACINE
200 RACINE.PI
200 ROMAIN
202 SIGNE
202 SOMME
203 SOMME.CARRES
204 SOMMEPROD
205 SOMME.SI
206 SOMME.SIS
208 SOMME.X2MY2
208 SOMME.X2PY2
209 SOMME.XMY2
210 TRONQUE
212 Chapitre 9 : Fonctions de référencement
212 Liste des fonctions de référencement
213 ADRESSE
215 CHOISIR8 Table des matières
215 COLONNE
216 COLONNES
217 DECALER
218 EQUIV
220 INDEX
222 INDIRECT
223 LIEN_HYPERTEXTE
224 LIGNE
224 LIGNES
225 RECHERCHE
226 RECHERCHEH
228 RECHERCHEV
230 TRANSPOSE
231 ZONES
232 Chapitre 10 : Fonctions statistiques
232 Liste des fonctions statistiques
237 AVERAGEA
239 BETA.INVERSE
239 CENTILE
241 CENTREE.REDUITE
241 COEFFICIENT.CORRELATION
243 COVARIANCE
244 CRITERE.LOI.BINOMIALE
245 DROITEREG
247 Statistiques supplémentaires
248 ECART.MOYEN
249 ECARTYPE
251 ECARTYPEP
252 FRÉQUENCE
254 GRANDE.VALEUR
255 INTERVALLE.CONFIANCE
256 INVERSE.LOI.F
256 KHIDEUX.INVERSE
257 LNGAMMA
258 LOI.BETA
259 LOI.BINOMIALE
260 LOI.BINOMIALE.NEG
261 LOI.EXPONENTIELLE
261 LOI.F
262 LOI.GAMMA
263 LOI.GAMMA.INVERSE
264 LOI.KHIDEUXTable des matières 9
264 LOI.LOGNORMALE
265 LOI.LOGNORMALE.INVERSE
266 LOI.NORMALE
267 LOI.NORMALE.INVERSE
268 LOI.NORMALE.STANDARD
268 LOI.NORMALE.STANDARD.INVERSE
269 LOI.POISSON
270 LOI.STUDENT
271 LOI.STUDENT.INVERSE
271 MAX
272 MAXA
273 MEDIANE
274 MIN
275 MINA
276 MODE
276 MOYENNE
277 MOYENNE.GEOMETRIQUE
278 MOYENNE.HARMONIQUE
279 MOYENNE.SI
281 MOYENNE.SIS
283 NB
284 NB.SI
285 NB.SIS
287 NBVAL
289 NB.VIDE
290 ORDONNEE.ORIGINE
291 PENTE
292 PERMUTATION
293 PETITE.VALEUR
294 PREVISION
295 PROBABILITE
297 QUARTILE
298 RANG
299 RANG.POURCENTAGE
300 SOMME.CARRES.ECARTS
301 STDEVA
303 STDEVPA
305 TEST.KHIDEUX
306 TEST.STUDENT
307 VAR
309 VARA
311 VAR.P
312 VARPA10 Table des matières
314 ZTEST
316 Chapitre 11 : Fonctions de texte
316 Liste des fonctions de texte
318 CAR
319 CHERCHE
320 CNUM
321 CODE
322 CONCATENER
323 CTXT
324 DEVISE
325 DROITE
325 EPURAGE
326 EXACT
327 GAUCHE
328 MAJUSCULE
328 MINUSCULE
329 NBCAR
330 NOMPROPRE
331 REMPLACER
331 REPT
332 STXT
333 SUBSTITUE
334 SUPPRESPACE
335 T
335 TROUVE
337 Chapitre 12 : Fonctions trigonométriques
337 Liste des fonctions trigonométriques
338 ACOS
339 ACOSH
339 ASIN
340 ASINH
341 ATAN
342 ATAN2
343 ATANH
343 COS
344 COSH
345 DEGRES
346 RADIANS
347 SIN
348 SINH
348 TANTable des matières 11
349 TANH
351 Chapitre 13 : Exemples et rubriques supplémentaires
351 Exemples et rubriques supplémentaires inclus
352 Arguments communs utilisés dans les fonctions financières
361 Choix de la valeur temporelle à utiliser pour une fonction monétaire
362 Flux de trésorerie et durées réguliers
363 Flux de trésorerie et durées irréguliers
365 Choix d’une fonction pour résoudre des questions courantes d’ordre financier
367 Exemple de tableau d’amortissement pour un prêt
369 En savoir plus sur les arrondis
372 Association de fonctions logiques et de fonctions d’information
373 Ajout de commentaires d’après le contenu de cellules
374 Interception de division par zéro
375 Usage de conditions et de jokers
377 Exemple de résultats d’une étude13
iWork comporte plus de 250 fonctions permettant de
simplifier les calculs statistiques, financiers, d’ingénierie et
autres. Le navigateur des fonctions intégré permet de vous
familiariser rapidement avec les fonctions et d’apprendre
comment les ajouter à une formule.
Pour commencer, tapez simplement le signe égal dans une cellule de tableau vide
pour ouvrir l’éditeur de formules. Choisissez ensuite Insérer > Fonction > Afficher le
navigateur des fonctions.
Le présent guide de l’utilisateur contient des instructions détaillées destinées à vous
aider à écrire des formules et à utiliser des fonctions. D’autres ressources viennent en
outre compléter ce manuel.
Préface
Bienvenue dans les formules et les
fonctions d’iWork14 Préface Bienvenue dans les formules et les fonctions d’iWork
Aide à l’écran
L’aide à l’écran contient toutes les informations qui figurent dans ce manuel dans un
format facilitant la recherche, toujours disponible sur votre ordinateur. Vous pouvez
ouvrir l’aide sur les formules et fonctions d’iWork à partir du menu Aide de toute
application iWork. Lorsque Numbers, Pages ou Keynote est ouvert, choisissez Aide >
Aide sur les formules et fonctions d’iWork.
Site web d’iWork
Consultez les dernières actualités et informations concernant iWork à l’adresse
www.apple.com/fr/iwork.
Site web d’assistance
Vous trouverez des informations détaillées sur la résolution de problèmes à l’adresse
www.apple.com/fr/support/iwork.
Bulles d’aide
Les applications iWork disposent de bulles d’aide, de courtes descriptions, pour
la plupart des éléments qui apparaissent à l’écran. Pour afficher une bulle d’aide,
maintenez le pointeur sur un élément pendant quelques secondes.
Guides d’initiation vidéo en ligne
Les guides d’initiation vidéo en ligne que vous pouvez visionner à l’adresse
www.apple.com/fr/iwork/tutorials expliquent comment réaliser certaines tâches dans
Keynote, Numbers et Pages. La première fois que vous ouvrez une application iWork,
un message reprenant un lien vers ces guides d’initiation sur le web apparaît. Vous
pouvez visionner ces guides d’initiation vidéo à tout moment en choisissant, dans
Keynote, Numbers et Pages, les menus Aide > Guides d’initiation vidéo.15
Le présent chapitre explique comment réaliser des calculs
dans des cellules de tableau à l’aide de formules.
Éléments des formules
Une formule réalise un calcul et affiche le résultat dans la cellule où vous avez placé la
formule. Les cellules contenant des formules sont appelées cellules de formule.
Par exemple, dans la dernière cellule d’une colonne, vous pouvez insérer une formule
qui additionne les nombres des cellules situées au-dessus. En cas de modification de
l’une des valeurs des cellules situées au-dessus de la cellule de formule, la somme
affichée dans cette dernière est automatiquement actualisée.
Une formule réalise des calculs d’après les valeurs que vous indiquez. Ces valeurs
peuvent correspondre à des nombres ou du texte (des constantes) que vous tapez
dans la formule. Il peut aussi s’agir de valeurs qui figurent dans des cellules de tableau
que vous identifiez dans la formule à l’aide de références à des cellules. Les formules
utilisent des opérateurs et des fonctions pour réaliser les calculs sur les valeurs que
vous indiquez :
 Les opérateurs sont des symboles qui permettent de réaliser des opérations
arithmétiques, de comparaison ou sur des chaînes. Dans les formules, les symboles
servent à indiquer l’opération à réaliser. Par exemple, le symbole + additionne des
valeurs, tandis que le symbole = compare deux valeurs pour déterminer si elles sont
égales.
=A2 + 16 : formule qui utilise un opérateur pour additionner deux valeurs.
= : précède toujours une formule.
A2 : référence à une cellule. A2 fait référence à la seconde cellule de la première
colonne.
+ : opérateur arithmétique qui additionne la valeur qui le précède et celle qui le
suit.
16 : constante numérique.
1
Utilisation de formules dans des
tableaux Tandis que les fonctions sont des opérations nommées et prédéfinies, telles que
SOMME et MOYENNE. Pour utiliser une fonction, vous devez taper son nom puis les
arguments dont la fonction a besoin entre parenthèses. Les arguments indiquent les
valeurs que la fonction doit utiliser pour réaliser l’opération.
=SOMME(A2:A10) : formule qui utilise la fonction SOMME pour additionner les
valeurs d’une plage de cellules (neuf cellules de la première colonne).
A2:A10 : référence aux valeurs des cellules A2 à A10.
Pour savoir comment Aller à
Afficher instantanément la somme, la moyenne, la
valeur minimale, la valeur maximale et le compte
des valeurs appartenant à une sélection de
cellules et, facultativement, enregistrer la formule
utilisée pour obtenir ces valeurs dans Numbers
« Calculs instantanés dans Numbers » (page 17)
Ajouter rapidement une formule permettant
d’afficher la somme, la moyenne, la valeur
minimale, la valeur maximale, le compte ou le
produit des valeurs d’une sélection de cellules
« Utilisation de formules rapides
prédéfinies » (page 18)
Utiliser des outils et des techniques pour créer et
modifier des formules dans Numbers
« Ajouter et modifier des formules à l’aide de
l’éditeur de formules » (page 20)
« Ajouter et modifier des formules à l’aide de la
barre des formules » (page 21)
« Ajout de fonctions à des formules » (page 22)
« Suppression de formules » (page 25)
Utiliser des outils et des techniques pour créer et
modifier des formules dans Pages et Keynote
« Ajouter et modifier des formules à l’aide de
l’éditeur de formules » (page 20)
Utiliser des centaines de fonctions iWork et
consulter les exemples illustrant l’usage des
fonctions dans le domaine financier, l’ingénierie,
les statistiques et dans d’autres domaines
Aide > Aide sur les formules et fonctions d’iWork
Aide > Guide de l’utilisateur des formules et
fonctions d’iWork
Ajouter des références de cellules de différents
types à une formule dans Numbers
« Référencement de cellules dans des
formules » (page 26)
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer
et modifier des formules » (page 28)
« Distinction entre références absolues et
relatives à des cellules » (page 29)
16 Chapitre 1 Utilisation de formules dans des tableauxChapitre 1 Utilisation de formules dans des tableaux 17
Pour savoir comment Aller à
Utiliser des opérateurs dans des formules « Opérateurs arithmétiques » (page 30)
« Opérateurs de comparaison » (page 31)
« Opérateur de chaîne et jokers » (page 32)
Copier ou déplacer des formules ou la valeur
qu’elles calculent entre les cellules d’un tableau
« Copie ou déplacement de formules et de leurs
valeurs calculées » (page 32)
Rechercher des formules et des éléments de
formule dans Numbers
« Affichage de toute les formules d’une feuille de
calcul » (page 33)
« Recherche et remplacement d’éléments de
formule » (page 34)
Calculs instantanés dans Numbers
Les résultats des calculs les plus courants utilisant la valeur d’au moins deux cellules
sélectionnées s’affichent dans la partie inférieure gauche de la fenêtre de Numbers.
Pour réaliser des calculs instantanés :
1 Sélectionnez au moins deux cellules du tableau. Elles ne doivent pas nécessairement
être adjacentes.
Le résultat des calculs des valeurs de ces cellules s’affiche instantanément dans le coin
inférieur gauche de la fenêtre.
Les résultats apparaissant en
bas à gauche s’appuient sur
les valeurs des deux cellules
sélectionnées.
Somme : affiche la somme des valeurs numériques d’une sélection de cellules.
moy : affiche la moyenne des valeurs numériques d’une sélection de cellules.
min : affiche la plus petite valeur numérique d’une sélection de cellules.
max : affiche la plus grande valeur numérique d’une sélection de cellules.
Compte : affiche le nombre de valeurs numériques ou de valeurs temporelles (date/
heure) d’une sélection de cellules.
Les cellules vides et celles qui contiennent des valeurs de types non répertoriés cidessus ne sont pas utilisées pour les calculs.
2 Pour réaliser une autre série de calculs instantanés, sélectionnez d’autres cellules.Si un calcul particulier s’avère très utile et que vous souhaitez l’intégrer dans un
tableau, vous pouvez l’ajouter comme formule dans une cellule vide du tableau.
Il suffit de faire glisser vers une cellule vide la somme, la moyenne ou tout autre
élément se trouvant dans la partie inférieure gauche de la fenêtre. La cellule ne doit
pas nécessairement se trouver dans le même tableau que les cellules utilisées dans les
calculs.
Utilisation de formules rapides prédéfinies
Un moyen simple de réaliser un calcul de base de valeurs, situées dans un intervalle
de cellules adjacentes dans un tableau, consiste à sélectionner les cellules puis à créer
une formule rapide. Vous pouvez procéder simplement dans Numbers par le biais du
menu local Fonction accessible dans la barre d’outils. Dans Keynote et Pages, ouvrez
l’inspecteur Tableau, cliquez sur la sous-fenêtre Format, puis choisissez une formule
dans le menu local Fonction.
Somme : calcule la somme des valeurs numériques des cellules sélectionnées.
Moyenne : calcule la moyenne des valeurs numériques des cellules sélectionnées.
Minimum : détermine la plus petite valeur numérique des cellules sélectionnées.
Maximum : détermine la plus grande valeur numérique des cellules sélectionnées.
Compte : détermine le nombre de valeurs numériques ou de valeurs temporelles
(date/heure) d’une sélection de cellules.
Produit : multiplie toutes les valeurs numériques des cellules sélectionnées.
Vous pouvez également choisir Insertion > Fonction et utiliser le sous-menu qui
apparaît.
Les cellules vides et celles qui contiennent des types de valeurs non répertoriés sont
ignorées.
Voici quelques méthodes permettant d’ajouter une formule rapide :
m Utilisation de valeurs sélectionnées dans une colonne ou une rangée et sélection des
cellules Dans Numbers, cliquez sur Fonction dans la barre d’outils et choisissez un
calcul dans le menu local. Dans Keynote ou Pages, choisissez Insertion > Fonction et
utilisez le sous-menu qui apparaît.
18 Chapitre 1 Utilisation de formules dans des tableauxChapitre 1 Utilisation de formules dans des tableaux 19
Si les cellules se trouvent dans la même colonne, le résultat se voit placé dans la
première cellule vide située sous les cellules sélectionnées. Si aucune cellule n’est vide,
un rang où le résultat doit apparaître est ajouté. Vous pouvez cliquer sur la cellule pour
afficher la formule.
Si les cellules se trouvent dans la même rangée, le résultat se voit placé dans la
première cellule vide située à droite des cellules sélectionnées. Si aucune cellule n’est
vide, une colonne où le résultat doit apparaître est ajoutée. Vous pouvez cliquer sur la
cellule pour afficher la formule.
m Pour utiliser toutes les valeurs issues des cellules du corps d’une colonne, cliquez
tout d’abord sur la cellule d’en-tête ou sur l’onglet de référence de la colonne. Dans
Numbers, cliquez ensuite sur Fonction dans la barre d’outils et choisissez un calcul
dans le menu local. Dans Keynote ou Pages, choisissez Insertion > Fonction et utilisez
le sous-menu qui apparaît.
Le résultat se voit alors placé dans un rang de bas de tableau. Si le rang de bas de
tableau n’existe pas, un est alors ajouté. Vous pouvez cliquer sur la cellule pour afficher
la formule.
m Pour utiliser toutes les valeurs d’un rang, cliquez tout d’abord sur la cellule d’en-tête
ou sur l’onglet de référence de ce rang. Dans Numbers, cliquez ensuite sur Fonction
dans la barre d’outils et choisissez un calcul dans le menu local. Dans Keynote ou
Pages, choisissez Insertion > Fonction et utilisez le sous-menu qui apparaît.
Le résultat se voit alors placé dans une nouvelle colonne. Vous pouvez cliquer sur la
cellule pour afficher la formule.
Création de formules personnalisées
Bien qu’il soit possible d’utiliser plusieurs techniques rapides pour ajouter des formules
permettant d’effectuer des calculs simples (voir « Calculs instantanés dans Numbers » à
la page 17 et « Utilisation de formules rapides prédéfinies » à la page 18), les outils
consacrés aux formules vous procurent plus de contrôle pour insérer vos formules.
Pour savoir comment Aller à
Utiliser l’éditeur de formules pour manipuler une
formule
« Ajouter et modifier des formules à l’aide de
l’éditeur de formules » (page 20)
Utiliser la barre de formules redimensionnable
pour manipuler des formules dans Numbers
« Ajouter et modifier des formules à l’aide de la
barre des formules » (page 21)
Utiliser le navigateur des fonctions pour ajouter
rapidement des fonctions à des formules lors de
l’utilisation de l’éditeur de formules ou de la barre
des formules
« Ajout de fonctions à des formules » (page 22)
Détecter une formule erronée « Gestion des erreurs et des avertissements dans
les formules » (page 25)Ajouter et modifier des formules à l’aide de l’éditeur de formules
Vous pouvez également faire appel à l’éditeur de formules pour modifier une formule
directement depuis la barre des formules (reportez-vous à la rubrique « Ajouter et
modifier des formules à l’aide de la barre des formules » à la page 21). L’éditeur de
formules possède un champ de texte contenant votre formule. Au fur et à mesure
que vous ajoutez des références à des cellules, des opérateurs, des fonctions ou des
constantes à une formule, ces éléments apparaissent de la manière suivante dans
l’éditeur de formules.
Toutes les formules
doivent commencer par
le signe égal. Fonction Somme.
Références aux cellules
d’après leur nom.
Référence à une plage de
trois cellules.
Opérateur de
soustraction.
Voici plusieurs manières d’utiliser l’éditeur de formules :
m Pour ouvrir l’éditeur de formules, effectuez l’une des opérations suivantes :
 Sélectionnez une cellule du tableau, puis saisissez le signe égal (=).
 Dans Numbers, double-cliquez sur une cellule contenant une formule. Dans Keynote
et Pages, sélectionnez le tableau, puis double-cliquez sur une cellule contenant une
formule.
 Dans Numbers uniquement, sélectionnez une cellule d’un tableau, cliquez sur
Fonction dans la barre d’outils, puis choisissez Éditeur de formules dans le menu
local.
 Uniquement proposé dans Numbers, sélectionnez une cellule, puis choisissez Insérer
> Fonction > Éditeur de formules. Dans Keynote et Pages, activez l’inspecteur des
tableaux, choisissez la sous-fenêtre Format, puis sélectionnez Éditeur de formules
dans le menu local Fonction.
 Sélectionnez une cellule contenant une formule et appuyez sur Option + Retour.
L’éditeur de formules s’ouvre en avant-plan de la cellule sélectionnée, mais vous
pouvez le déplacer.
m Pour déplacer l’éditeur de formules, maintenez le pointeur au-dessus du côté gauche
de l’éditeur de formules jusqu’à ce qu’une main soit représentée, puis faites-le glisser
l’éditeur.
m Pour élaborer votre formule, procédez comme suit :
 Pour ajouter un opérateur ou une constante au champ, placez le point d’insertion
et tapez. Vous pouvez utiliser les touches fléchées pour déplacer le point d’insertion
dans le champ de texte. Pour découvrir quels sont les opérateurs que vous pouvez
utiliser, consultez la rubrique « Utilisation d’opérateurs dans les formules » à la
page 30.
20 Chapitre 1 Utilisation de formules dans des tableauxChapitre 1 Utilisation de formules dans des tableaux 21
Remarque : Lorsque votre formule ne comprenant pas d’opérateur en nécessite un,
l’opérateur + est inséré automatiquement. Sélectionnez-le et tapez-en un autre au
besoin.
 Pour ajouter des références de cellule au champ de texte, placez le point d’insertion,
puis suivez les instructions données à la rubrique « Référencement de cellules dans
des formules » à la page 26.
 Pour ajouter des fonctions au champ de texte, placez le point d’insertion, puis suivez
les instructions données à la rubrique « Ajout de fonctions à des formules » à la
page 22.
m Pour supprimer un élément du champ, sélectionnez-le, puis appuyez sur la touche
Suppr.
m Pour accepter les modifications, appuyez sur Retour, appuyez sur Entrée ou cliquez sur
le bouton Accepter de l’éditeur de formules. Vous pouvez aussi cliquer à l’extérieur du
tableau.
Pour fermer l’éditeur de formules sans confirmer les modifications effectuées, appuyez
sur la touche Échap ou cliquez sur le bouton Annuler dans l’éditeur de formules.
Ajouter et modifier des formules à l’aide de la barre des formules
Dans Numbers, la barre des formules située sous la barre des formats vous permet
de créer et de modifier des formules pour la cellule sélectionnée. Les références de
cellule, les opérateurs, les fonctions et les constantes que vous ajoutez à une formule
apparaissent comme suit.
Référence à une Opérateur de soustraction.
plage de trois
cellules.
Références aux cellules
Fonction Somme. d’après leur nom.
Toutes les formules
doivent commencer par
le signe égal.
Voici plusieurs manières d’utiliser la barre des formules :
m Pour ajouter ou modifier une formule, sélectionnez la cellule et ajoutez ou modifiez
des éléments de la formule à partir de la barre des formules.
m Pour ajouter des éléments à votre formule, procédez comme suit :
 Pour ajouter un opérateur ou une constante, placez le point d’insertion dans la barre
des formules et tapez. Vous pouvez utiliser les touches fléchées pour déplacer le
point d’insertion. Pour découvrir quels sont les opérateurs que vous pouvez utiliser,
consultez la rubrique « Utilisation d’opérateurs dans les formules » à la page 30.
Lorsque votre formule ne comprenant pas d’opérateur en nécessite un, l’opérateur
+ est inséré automatiquement. Sélectionnez-le et tapez-en un autre au besoin. Pour ajouter des références de cellule à la formule, placez le point d’insertion, puis
suivez les instructions données à la rubrique « Référencement de cellules dans des
formules » à la page 26.
 Pour ajouter des fonctions à la formule, placez le point d’insertion, puis suivez
les instructions données à la rubrique « Ajout de fonctions à des formules » à la
page 22.
m Pour augmenter ou réduire la taille d’affichage des éléments dans la barre des
formules, choisissez une option dans le menu local Taille du texte des formules situé
au-dessus de la barre des formules.
Pour augmenter ou réduire la hauteur de la barre des formules, faites glisser
verticalement le contrôle de redimensionnement complètement à droite de la barre
des formules, ou double-cliquez sur ce contrôle pour qu’il adapte automatiquement
ses dimensions à la formule.
m Pour supprimer un élément de la formule, sélectionnez-le, puis appuyez sur la touche
Suppr.
m Pour enregistrer les modifications, appuyez sur Retour, appuyez sur Entrée ou cliquez
sur le bouton Accepter situé au-dessus de la barre des formules. Vous pouvez aussi
cliquer à l’extérieur de la barre des formules.
Pour ne pas enregistrer les modifications, cliquez sur le bouton Annuler situé audessus de la barre des formules.
Ajout de fonctions à des formules
Une fonction est une opération prédéfinie qui porte un nom (comme SOMME et
MOYENNE) qui permet de réaliser un calcul. Une fonction peut constituer soit l’un des
éléments d’une formule, soit le seul élément d’une formule.
Il existe plusieurs catégories de fonctions, allant des fonctions financières permettant
de calculer des taux d’intérêt, des valeurs pour l’investissement et autres données,
aux fonctions statistiques qui calculent des moyennes, des probabilités, des écartstypes, etc. Pour en savoir plus sur toutes les catégories de fonctions d’iWork et pour
consulter de nombreux exemples illustrant leur utilisation, choisissez Aide > Aide
sur les formules et fonctions d’iWork ou Aide > Guide de l’utilisateur des formules et
fonctions d’iWork.« Introduction aux fonctions » :
22 Chapitre 1 Utilisation de formules dans des tableauxChapitre 1 Utilisation de formules dans des tableaux 23
Bien que vous puissiez taper une fonction dans le champ de texte de l’éditeur de
formules ou dans la barre des formules (dans Numbers uniquement), le navigateur des
fonctions constitue un moyen plus pratique d’ajouter une fonction à une formule.
Sélectionnez une
fonction pour
consulter les
informations qui s’y
rapportent.
Recherchez une fonction.
Insérez la fonction sélectionnée.
Sélectionnez une
catégorie pour
retrouver les fonctions
qui en font partie.
Sous-fenêtre de gauche : répertorie les catégories de fonctions. Sélectionnez une
catégorie pour connaître les fonctions qu’elle regroupe. La plupart des catégories
représentent des familles de fonctions connexes. La catégorie Tous reprend toutes les
fonctions par ordre alphabétique. La catégorie Récent affiche la liste des dix dernières
fonctions insérées à l’aide du navigateur des fonctions.
Sous-fenêtre de droite : affiche les différentes fonctions. Sélectionnez une fonction
pour afficher des informations sur cette dernière et, le cas échéant, pour l’ajouter à une
formule.
Sous-fenêtre du bas : affiche des informations détaillées sur la fonction sélectionnée.
Pour ajouter une fonction à l’aide du navigateur des fonctions :
1 Dans l’éditeur de formules ou la barre de formules (disponible dans Numbers
seulement), placez le point d’insertion à l’endroit où vous souhaitez ajouter la fonction.
Remarque : Lorsque votre formule ne comprenant pas d’opérateur avant ou après une
fonction en nécessite un, l’opérateur + est inséré automatiquement. Sélectionnez-le et
tapez-en un autre au besoin. 2 Dans Pages ou Keynote, choisissez Insérer > Fonction > Afficher le navigateur des
fonctions, pour ouvrir le navigateur des fonctions. Dans Numbers, ouvrez le navigateur
des fonctions en effectuant l’une des opérations suivantes :
 Cliquez sur le bouton Navigateur des fonctions dans la barre des formules.
 Cliquez sur le bouton Fonction sur la barre d’outils, puis choisissez Afficher le
navigateur des fonctions.
 Sélectionnez Insérer > Fonction > Afficher le navigateur des fonctions.
 Choisissez Présentation > Afficher le navigateur des fonctions.
3 Sélectionnez une catégorie de fonctions.
4 Indiquez la fonction de votre choix en double-cliquant dessus ou en la sélectionnant
puis en cliquant sur Insérer une fonction.
5 Dans l’éditeur de formules ou la barre des formules (disponible dans Numbers
uniquement), remplacez chaque paramètre fictif de la fonction insérée par une valeur.
Aide relative à l’argument « émission »
qui s’affiche lorsque le pointeur de la
souris est placé sur le paramètre fictif.
Les paramètres fictifs
correspondant aux arguments
facultatifs sont en gris clair.
Cliquez ici pour retrouver la liste
des valeurs possibles.
Pour afficher une brève description de la valeur d’un argument : Maintenez le
pointeur sur le paramètre fictif de l’argument. Vous pouvez aussi faire référence à des
informations sur l’argument dans la fenêtre Navigateur des fonctions.
Pour indiquer la valeur devant remplacer le paramètre fictif d’un argument : Cliquez
sur l’argument fictif, puis saisissez une constante ou insérez une référence de cellule
(pour obtenir des instructions, consultez la rubrique « Référencement de cellules dans
des formules » à la page 26). Si l’endroit réservé à l’argument est affiché en gris clair, la
saisie d’une valeur est facultative.
Pour indiquer la valeur remplaçant le paramètre fictif d’un argument doté d’un
triangle d’affichage : Cliquez sur le triangle d’affichage, puis choisissez une valeur
dans le menu local. Pour consulter les informations sur une valeur du menu local,
maintenez le pointeur sur la valeur. Pour accéder à l’aide sur la fonction, sélectionnez
Aide Fonction.
24 Chapitre 1 Utilisation de formules dans des tableauxChapitre 1 Utilisation de formules dans des tableaux 25
Gestion des erreurs et des avertissements dans les formules
Lorsque la formule d’une cellule de tableau est incomplète, qu’elle reprend des
références des cellules non valides ou contient toute autre erreur, ou lorsqu’une
opération d’importation génère une erreur de condition dans une cellule, Number
ou Pages affiche une icône dans la cellule. Un triangle bleu dans la partie supérieure
gauche d’une cellule affiche des alertes. Un triangle rouge au milieu d’une cellule
indique une erreur provoquée par une formule.
Pour afficher les messages des avertissements et des erreurs :
m Cliquez sur l’icône.
Un message récapitule chaque erreur et chaque avertissement associés à la cellule.
Pour que Numbers génère un avertissement lorsqu’une cellule référencée dans une
formule est vide, cliquez sur Numbers > Préférences, puis sélectionnez « Afficher les
avertissements lorsque les formules réfèrent à des cellules vides » dans la sous-fenêtre
Général. Cette option n’est pas proposée ni dans Keynote, ni dans Pages.
Suppression de formules
Si vous souhaitez ne plus utiliser de formule associée à une cellule, vous pouvez la
supprimer rapidement.
Pour supprimer une formule d’une cellule :
1 Sélectionnez la cellule.
2 Appuyez ensuite sur la touche Suppr.
Dans Numbers, si vous voulez passer en revue les formules d’une feuille de calcul et
choisir celles à supprimer, sélectionnez Présentation > Afficher la liste des formules.Référencement de cellules dans des formules
Tous les tableaux possèdent des onglets de référence. Ceux-ci correspondent au
numéro des rangs et à l’en-tête des colonnes. Dans Numbers, ils sont visibles à tout
moment lorsque le tableau est actif, par exemple, quand une cellule du tableau est
sélectionnée. Dans Keynote et Pages, les onglets de référence apparaissent seulement
lorsque la formule d’une cellule est sélectionnée. Dans Numbers, les onglets de
référence ressemblent à ce qui suit :
Un onglet de référence se représente sous forme d’une zone grise située au-dessus de
chaque colonne ou à gauche de chaque rangée, contenant respectivement la lettre
de la colonne (par exemple, « A ») ou le numéro de la rangée (par exemple, « 3 »).
L’apparence des onglets de référence dans Keynote et Pages est semblable à celle
dans Numbers.
Vous pouvez faire appel aux références à des cellules pour identifier dont vous voulez
utiliser les valeurs dans des formules. Dans Numbers, les cellules peuvent se trouver
dans le même tableau que la cellule de la formule, dans un autre tableau situé sur la
même feuille ou sur une autre feuille.
Les références de cellule présentent des formats différents selon que le tableau de la
cellule possède des en-têtes, selon que vous faites référence à une seule cellule ou
à un intervalle de cellules, etc. Voici un résumé des formats que vous pouvez utiliser
pour les références de cellule.
Pour faire référence à Utilisez le format Exemple
Une cellule du tableau qui
contient la formule
La lettre de l’onglet de référence
suivie par le numéro de l’onglet
de référence de la cellule
C55 fait référence au 55
ème
rang
de la troisième colonne.
Une cellule pourvu d’un entête de rang et d’un en-tête de
colonne
Le nom de la colonne suivi du
nom du rang
Produits 2006 fait référence à
une cellule dont l’en-tête de
rang contient Produits et dont
l’en-tête de colonne contient
2006.
Une cellule pourvue de
plusieurs en-têtes de rang ou de
colonne
Le nom de l’en-tête dont vous
voulez faire référence aux
colonnes ou aux rangs
Si 2006 correspond à un en-tête
qui court sur deux colonnes
(Produits et Charges), 2006 fait
référence à toutes les cellules
des colonnes Produits et
Charges.
26 Chapitre 1 Utilisation de formules dans des tableauxChapitre 1 Utilisation de formules dans des tableaux 27
Pour faire référence à Utilisez le format Exemple
Un intervalle de cellules Un signe deux-points (:) entre
la première et la dernière
cellule de l’intervalle en utilisant
la notation des onglets de
référence pour identifier les
cellules
B2:B5 fait référence à quatre
cellules de la seconde colonne.
Toutes les cellules d’un rang Le nom du rang, ou numéro-durang:numéro-du-rang
1:1 fait référence à toutes les
cellules du premier rang.
Toutes les cellules d’une
colonne
La lettre ou le nom de la
colonne
C fait référence à toutes les
cellules de la troisième colonne.
Toutes les cellules d’un intervalle
de rangs
Un signe deux-points (:) entre le
numéro ou le nom des premier
et dernier rangs de l’intervalle
2:6 fait référence à toutes les
cellules de cinq rangs.
Toutes les cellules d’un intervalle
de colonnes
Un signe deux-points (:) entre la
lettre ou le nom des première et
dernière colonnes de l’intervalle
B:C fait référence à toutes
les cellules des seconde et
troisième colonnes.
Dans Numbers, une cellule
située dans un autre tableau de
la même feuille
Si le nom de la cellule est
unique dans la feuille de calcul,
seul le nom est requis ; dans le
cas contraire, le nom du tableau
suivi de deux symboles deuxpoints (::) puis de l’identifiant de
la cellule doivent être précisés
Tableau 2::B5 fait référence à la
cellule B5 du tableau intitulé
Tableau 2. Tableau 2::Inscriptions
2006 fait référence à une cellule
par son nom.
Dans Numbers, une cellule
située dans un tableau qui se
trouve dans une autre feuille
Si le nom de la cellule est
unique dans la feuille de calcul,
seul le nom est requis ; dans
le cas contraire, le nom de la
feuille suivi de deux symboles
deux-points (::), puis du nom
du tableau, de deux symboles
deux-points supplémentaires et
enfin de l’identifiant de la cellule
doivent être précisés
Feuille 2::Tableau 2::Droit
d’inscription 2006 fait référence
à une cellule située dans un
tableau intitulé Tableau 2 qui se
trouve dans la feuille portant le
nom de Feuille 2.
Dans Numbers, vous pouvez ignorer le nom d’un tableau ou d’une feuille si les cellules
référencées ont des noms uniques dans la feuille de calcul.
Dans Numbers, en faisant référence à une cellule dans un en-tête couvrant plusieurs
rangs ou plusieurs colonnes, le comportement suivant s’applique :
 Le nom dans la cellule d’en-tête la plus proche de la cellule qui y fait référence est
utilisé. Par exemple, si un tableau possède deux rangs d’en-tête, que B1 contient
« Chien » et B2 contient « Chat », lorsque vous enregistrez une formule utilisant «
Chien », « Chat » est enregistré à la place de « Chien ».
 Toutefois, si « Chat » apparaît dans une autre cellule d’en-tête de la feuille de calcul,
c’est « Chien » qui est retenu.Pour savoir comment insérer des références de cellule dans une formule, reportez-vous
à la rubrique suivante « Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des
formules ». Pour en savoir plus sur la différence entre références de cellule absolues
et relatives, éléments importants si vous souhaitez copier ou déplacer des formules,
consultez la rubrique « Distinction entre références absolues et relatives à des
cellules » à la page 29.
Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des
formules
Vous pouvez saisir manuellement des références de cellule dans une formule ou les
insérer à l’aide de la souris ou de raccourcis clavier.
Il existe plusieurs manières d’insérer des références à des cellules :
m Pour utiliser un raccourci clavier pour saisir la référence à une cellule, placez le point
d’insertion dans l’éditeur de formules ou la barre des formules (Numbers uniquement)
et effectuez l’une des opérations suivantes :
 Pour faire référence à une seule cellule, appuyez sur la touche Option et les touches
fléchées simultanément pour sélectionner la cellule.
 Pour faire référence à un intervalle de cellules, appuyez sur les touches Maj + Option
et maintenez-les enfoncées après avoir sélectionné la première cellule de l’intervalle
jusqu’à ce que la dernière cellule de l’intervalle soit atteinte.
 Pour faire référence dans Numbers à des cellules situées dans un autre tableau
d’une feuille quelconque, sélectionnez le tableau en appuyant sur les touches
Option + Commande + Pg suiv pour descendre dans les tableaux ou sur Option +
Commande + Pg préc pour monter. Le tableau voulu sélectionné, maintenez
toujours la touche Option enfoncée, relâchez seulement la touche Commande, puis
utilisez les touches fléchées pour sélectionner la cellule ou l’intervalle de cellules
voulu (dans le cas d’un intervalle, l’utilisez Maj + Option).
 Pour indiquer des attributs absolus et relatifs pour la référence à une cellule après
l’avoir insérée, cliquez sur cette dernière et appuyez sur Commande + K pour passer
d’option à l’autre. Consultez la rubrique « Distinction entre références absolues et
relatives à des cellules » à la page 29 pour en savoir plus.
m Pour utiliser la souris pour saisir la référence à une cellule, placez le point d’insertion
dans l’éditeur de formules ou la barre des formules (Numbers uniquement) et
effectuez l’une des opérations suivantes dans le même tableau que la cellule de
formule ou, dans Numbers uniquement, dans un tableau d’une feuille quelconque :
 Pour faire référence à une seule cellule, cliquez sur la cellule.
 Pour faire référence à toutes les cellules d’une colonne ou d’un rang, cliquez sur
l’onglet de référence de la colonne ou du rang.
 Pour faire référence à un intervalle de cellules, cliquez sur une cellule de l’intervalle,
puis faites glisser le curseur pour délimiter l’intervalle des cellules.
28 Chapitre 1 Utilisation de formules dans des tableauxChapitre 1 Utilisation de formules dans des tableaux 29
 Pour spécifier des attributs absolus et relatifs d'une référence de cellule, cliquez sur
le triangle d'affichage de la référence saisie et sélectionnez une option dans le menu
local. Consultez la rubrique « Distinction entre références absolues et relatives à des
cellules » à la page 29 pour en savoir plus.
Dans Numbers, la référence insérée utilise des noms plutôt que la notation par
onglets de référence sauf si la case « Utiliser les noms des cellules d’en-tête comme
références » est décochée dans la sous-fenêtre Général des préférences de Numbers.
Dans Keynote et Pages, la référence insérée utilise des noms plutôt que la notation par
onglets de référence si les cellules référencées possèdent des en-têtes.
m Pour taper la référence à une cellule, placez le point d’insertion dans l’éditeur de
formules ou la barre des formules (Numbers uniquement), puis saisissez la référence
en suivant l’un des formats cités dans « Référencement de cellules dans des
formules » à la page 26.
Lorsque vous tapez la référence d’une cellule contenant le nom d’une cellule d’entête (technique commune à toutes les applications), le nom d’un tableau (Numbers
uniquement) ou d’une feuille (Numbers uniquement), et ce à partir du troisième
caractère, une liste de suggestions apparaît si les caractères que vous avez tapés
correspondent à un ou plusieurs des noms qui figurent dans votre feuille de calcul.
Vous pouvez sélectionner une suggestion de la liste ou continuer à taper au clavier.
Pour désactiver la suggestion de noms dans Numbers, choisissez Numbers >
Préférences, puis décochez la case « Utiliser les noms des cellules d’en-tête comme
références » dans la sous-fenêtre Général.
Distinction entre références absolues et relatives à des cellules
Utilisez des formes absolues et relatives de référence de cellule pour indiquer la cellule
vers laquelle la référence doit renvoyer si vous copiez ou déplacez sa formule.
Si une référence est relative (A1) : Elle ne change pas lorsque sa formule est déplacée.
Par contre, si la formule est coupée ou copiée, puis collée, la référence de cellule
change afin de conserver la même position relative par rapport à la cellule contenant
la formule. Par exemple, si une formule contient A1 dans la cellule C4 et que vous
copiez la formule et la collez en C5, la référence à la cellule dans C5 devient A2.
Si les composants de rang et de colonne d’une référence sont absolus ($A$1) : La
référence à la cellule ne change pas lorsque la formule est copiée. Utilisez le signe
dollar ($) pour rendre un composant de rang ou de colonne absolu. Par exemple, si
une formule contenant $A$1 se trouve dans C4 et si vous copiez la formule et la collez
dans la cellule C5 ou dans D5, la référence indiquée dans C5 ou D5 reste $A$1.
Si le composant de rang d’une référence est absolu (A$1) : Le composant de
colonne est relatif et peut changer pour conserver sa position par rapport à la cellule
de la formule. Par exemple, si une formule contenant A$1 se trouve dans C4 et si vous
copiez la formule et la collez dans D5, la référence change en B$1.Si le composant de colonne d’une référence est absolu ($A1) : Le composant de
rang est relatif et peut changer pour conserver sa position par rapport à la cellule de
la formule. Par exemple, si une formule contenant $A1 se trouve dans C4 et si vous
copiez la formule et la collez dans la cellule C5 ou dans D5, la référence indiquée dans
C5 ou D5 devient $A2.
Voici plusieurs manières d’indiquer que des composants de référence sont absolus :
m Tapez la référence à la cellule à l’aide d’une des conventions décrites ci-avant.
m Cliquez sur le triangle d’affichage de la référence à une cellule, puis choisissez une
option dans le menu local.
m Sélectionnez la référence à une cellule et appuyez sur Commande + K pour passer
d’une option à l’autre.
Utilisation d’opérateurs dans les formules
Faites appel aux formules pour réaliser des opérations arithmétiques et pour comparer
des valeurs.
 Les opérateurs arithmétiques effectuent des opérations arithmétiques, telles que
l’addition ou la soustraction, et donnent des résultats numériques. Consultez la
rubrique « Opérateurs arithmétiques » à la page 30 pour en savoir plus.
 Les opérateurs de comparaison comparent deux valeurs et donnent uniquement la
valeur VRAI ou FAUX. Reportez-vous à la rubrique « Opérateurs de comparaison » à
la page 31 pour en savoir plus.
Opérateurs arithmétiques
Vous pouvez utiliser des opérateurs arithmétiques pour effectuer des calculs
arithmétiques dans des formules.
Si vous voulez Utilisez l’opérateur
arithmétique
Par exemple, si A2 contient 20
et B2 contient 2, la formule
Additionner deux valeurs + (signe plus) A2 + B2 donne 22.
Soustraire deux valeurs – (signe moins) A2 – B2 donne 18.
Multiplier deux valeurs * (astérisque) A2 * B2 donne 40.
Diviser une valeur par une autre / (barre oblique) A2 / B2 donne 10.
Élever une valeur à une
puissance donnée
^ (accent circonflexe) A2 ^ B2 donne 400.
Calculer un pourcentage % (signe pourcentage) A2% donne 0,2 formaté pour
l’affichage en 20 %.
L’utilisation d’une chaîne avec un opérateur arithmétique donne une erreur. Par
exemple, 3 + "bonjour" n’est pas une opération arithmétique correcte.
30 Chapitre 1 Utilisation de formules dans des tableauxChapitre 1 Utilisation de formules dans des tableaux 31
Opérateurs de comparaison
Vous pouvez faire appel aux opérateurs de comparaison entre deux valeurs dans des
formules. Les opérations de comparaison ne renvoient que la valeur VRAI ou FAUX. Ils
permettent également d’élaborer des conditions s’illustrant dans certaines fonctions.
Voir « condition » dans le tableau « Les éléments de syntaxe et les termes utilisés dans
la définition des fonctions » à la page 36
Si vous voulez déterminer si Utilisez l’opérateur de
comparaison
Par exemple, si A2 contient 20
et B2 contient 2, la formule
Deux valeurs sont égales = A2 = B2 donne FAUX.
Deux valeurs sont différentes <> A2 <> B2 donne VRAI.
La première valeur est plus
grande que la seconde
> A2 > B2 donne VRAI.
La première valeur est plus
petite que la seconde
< A2 < B2 donne FAUX.
La première valeur est plus
grande ou égale à la seconde
valeur
>= A2 >= B2 donne VRAI.
La première valeur est plus
petite ou égale à la seconde
valeur
<= A2 <= B2 donne FAUX.
Les chaînes sont considérées comme supérieures aux nombres. Ainsi, "bonjour" > 5
donne VRAI.
VRAI et FAUX peuvent être comparés mutuellement mais ne peuvent pas être
comparés avec des nombres ou des chaînes. VRAI > FAUX et FAUX < VRAI, car VRAI est
interprété comme 1 et FAUX est interprété comme 0. VRAI = 1 donne FAUX, et VRAI =
"DuTexte" donne FAUX.
Les opérations de comparaison sont principalement utilisées dans des fonctions telles
que SI qui permettent de comparer deux valeurs, puis d’effectuer d’autres opérations
selon que la comparaison renvoie le résultat VRAI ou FAUX. Pour en savoir plus sur ce
sujet, choisissez Aide > « Aide sur les formules et fonctions d’iWork » ou Aide > « Guide
de l’utilisateur des formules et fonctions d’iWork ».Opérateur de chaîne et jokers
L’opérateur de chaîne s’illustre dans les formules ; les jokers s’utilisent pour leur part
dans les conditions.
Si vous voulez Utilisez cet opérateur de
chaîne ou ce joker
Par exemple
Concaténez les chaînes ou le
contenu de cellules
& "abc"&"def" renvoie « abcdef »
"abc"&A1 renvoie « abc2 » si la
cellule A1 contient 2.
A1&A2 renvoie « 12 » si la cellule
A1 contient 1 et la cellule A2
contient 2.
Remplacement d’un seul
caractère
? “ea?” se substitue à n’importe
quelle chaîne commençant par
« ea » et contenant exactement
un caractère de plus.
Remplacement d’un nombre
quelconque de caractères
* "*ed" correspond à une chaîne
d’une longueur quelconque et
terminant par « ed ».
Indication d’un caractère
servant de joker
~ "~?" représente le point
d’interrogation en tant que
tel plutôt qu’un caractère
quelconque de substitution.
Pour en savoir plus sur l’utilisation de jokers dans des conditions, reportez-vous à la
rubrique « Usage de conditions et de jokers » à la page 389.
Copie ou déplacement de formules et de leurs valeurs
calculées
Les techniques ci-dessous permettent de copier et de déplacer des cellules
associées à une formule :
m Pour copier la valeur calculée d’une cellule de formule sans copier la formule ellemême, sélectionnez la cellule, choisissez Édition > Copier, sélectionnez la cellule
destinataire de la valeur, puis choisissez Édition > Coller les valeurs.
m Pour copier ou déplacer une formule dans une cellule ou une cellule faisant l’objet
d’une référence dans une formule, suivez les instructions reprises dans la rubrique
« Copie et déplacement de cellules » dans l’Aide Numbers ou dans le Guide de
l’utilisateur de Numbers.
32 Chapitre 1 Utilisation de formules dans des tableauxChapitre 1 Utilisation de formules dans des tableaux 33
Dans Numbers, si le tableau est volumineux et si vous voulez déplacer la formule sur
une cellule non visible à l’écran, sélectionnez la cellule, choisissez Édition > Signaler
pour être déplacé, sélectionnez la nouvelle cellule, puis Édition > Déplacer. Par
exemple, si la formule =A1 se trouve dans la cellule D1 et que vous souhaitez déplacer
cette formule dans la cellule X1, sélectionnez D1, cliquez sur Édition > Signaler pour
être déplacé, puis sélectionnez X1 et cliquez sur Édition > Déplacer. La formule =A1
s’affiche désormais dans la cellule X1.
Si vous copiez ou déplacez une cellule de formule : Modifiez si nécessaire les
références de cellule en vous référant aux instructions de la rubrique « Distinction
entre références absolues et relatives à des cellules » à la page 29.
Si vous déplacez une cellule à laquelle une formule fait référence : La référence dans
la formule s’actualise alors automatiquement. Par exemple, si une référence à A1 se
trouve dans une formule et si vous déplacez A1 sur D95, la référence dans la formule
reste D95.
Affichage de toute les formules d’une feuille de calcul
Dans Numbers, pour accéder à la liste de toutes les formules d’une feuille de calcul,
choisissez Présentation > Afficher la liste des formules, ou cliquez sur le bouton de la
liste des formules situé dans la barre d’outils.
Emplacement : identifie la feuille et le tableau dans lesquels la formule se trouve.
Résultats : affiche la valeur calculée par la formule.
Formule : affiche la formule.
Voici plusieurs manières d’utiliser la fenêtre de la liste des formules :
m Pour identifier la cellule contenant une formule, cliquez sur cette dernière. Le tableau
s’affiche au-dessus de la fenêtre de la liste des formules, où la cellule de la formule y
est sélectionnée.
m Pour modifier la formule, double-cliquez dessus.
m Pour changer la taille de la fenêtre de la liste des formules, faites glisser verticalement
la poignée de sélection située dans le coin supérieur droit.
m Pour rechercher des formules qui contiennent un élément en particulier, tapez
l’élément dans le champ de recherche et appuyez sur Retour.Recherche et remplacement d’éléments de formule
Dans Numbers, la fenêtre Rechercher et remplacer vous permet de faire une recherche
parmi toutes les formules d’une feuille de calcul afin de retrouver certains éléments et
de les modifier si vous le souhaitez.
Voici plusieurs manières d’ouvrir la fenêtre Rechercher et remplacer :
m Choisissez Édition > Rechercher > Afficher Rechercher, puis cliquez sur Rechercher et
remplacer.
m Choisissez Présentation > Afficher la liste des formules, puis cliquez sur Rechercher et
remplacer.
Rechercher : tapez l’élément de formule (référence à une cellule, opérateur, fonction,
etc.) à rechercher.
Dans : choisissez « formules uniquement » dans ce menu local.
Respecter la casse : cochez cette case pour ne rechercher que les éléments dont les
lettres majuscules et minuscules correspondent exactement à ce qui est indiqué dans
le champ Rechercher.
Mots entiers : cochez cette case pour ne rechercher que les éléments dont l’intégralité
du contenu correspond à ce qui est indiqué dans le champ Rechercher.
Remplacer : le cas échéant, tapez par quoi vous voulez remplacer ce qui est précisé
dans le champ Rechercher.
Répéter la recherche (en boucle) : cochez cette case pour rechercher ce qui est
indiqué dans le champ Rechercher même après que la recherche ait été effectuée
dans l’ensemble de la feuille de calcul.
Suivant ou Précédent : cliquez sur le bouton pour rechercher l’occurrence précédente
ou suivante de ce qui est précisé dans le champ Rechercher. Une fois l’élément trouvé,
l’éditeur de formules s’ouvre et affiche la formule contenant l’occurrence de l’élément.
Tout remplacer : cliquez pour remplacer toutes les occurrences de ce qui se trouve
dans le champ Rechercher par ce qui est indiqué dans le champ Remplacer.
Remplacer : cliquez pour remplacer l’occurrence active de ce qui se trouve dans le
champ Rechercher par ce qui est indiqué dans le champ Remplacer.
Remplacer et rechercher : cliquez pour remplacer l’occurrence active de ce qui se
trouve dans le champ Rechercher et pour rechercher la suivante.
34 Chapitre 1 Utilisation de formules dans des tableaux35
Le présent chapitre constitue une introduction aux fonctions
proposées dans iWork.
Introduction aux fonctions
Une fonction est une opération nommée que vous pouvez inclure dans une formule
pour effectuer un calcul dans une cellule de tableau.
iWork contient des fonctions permettant de réaliser des opérations mathématiques ou
financières, d’extraire des valeurs en s’appuyant sur une recherche, de manipuler des
chaînes de texte ou d’obtenir la date et l’heure. Chaque fonction possède un nom suivi
d’arguments entre parenthèses. Les arguments permettent de fournir les valeurs dont
a besoin la fonction pour effectuer le traitement.
Par exemple, la formule suivante contient la fonction SOMME avec un argument
unique (un intervalle de cellules) qui ajoute les valeurs de la colonne A, de la ligne 2 à
la ligne 10 :
=SOMME(A2:A10)
Le nombre et les types d’arguments diffèrent pour chaque fonction. Le nombre
d’arguments et leur description sont indiqués dans la description de la fonction sousjacente, organisés en liste alphabétique dans la rubrique « Liste des catégories de
fonctions » à la page 44. Les descriptions contiennent aussi des informations et des
exemples complémentaires pour chacune des fonctions.
2
Vue d’ensemble des fonctions
d’iWorkInformations sur les fonctions
Pour en savoir plus sur Allez à
La syntaxe utilisée dans la définition des
fonctions
« Les éléments de syntaxe et les termes utilisés
dans la définition des fonctions » à la page 36
Les types d’arguments utilisés par les fonctions « Types de valeur » à la page 39
Les catégories de fonctions, par exemple les
fonctions de durée et statistiques
« Liste des catégories de fonctions » à la page 44.
Les fonctions sont triées par ordre alphabétique
dans chaque catégorie.
Les arguments communs à plusieurs fonctions
financières
« Arguments communs utilisés dans les fonctions
financières » à la page 366
Exemples et rubriques supplémentaires « Exemples et rubriques supplémentaires
inclus » à la page 365
Les éléments de syntaxe et les termes utilisés dans la
définition des fonctions
Les fonctions sont décrites à l’aide d’éléments de syntaxe et de termes spécifiques.
Terme ou symbole Signification
texte en majuscules Le nom des fonctions est représenté en lettres
majuscules. Le nom d’une fonction peut toutefois
être saisi en associant des lettres majuscules et
minuscules.
parenthèses Les arguments des fonctions sont écrits entre
parenthèses. Ces dernières sont obligatoires,
bien que, dans quelques cas, iWork puisse insérer
automatiquement la parenthèse fermante finale.
texte en italique Le texte en italique indique que vous devez
remplacer le nom de l’argument par la valeur que
la fonction doit utiliser pour calculer le résultat.
Les arguments possèdent un type de valeur, par
exemple « nombre », « date/heure » ou « chaîne ».
Les types sont décrits dans « Types de valeur » à
la page 39.
36 Chapitre 2 Vue d’ensemble des fonctions d’iWorkChapitre 2 Vue d’ensemble des fonctions d’iWork 37
Terme ou symbole Signification
virgules et points-virgules La syntaxe des fonctions utilise le point-virgule
pour séparer les arguments. Si vos préférences
Langue et texte (Mac OS X 10.6 ou ultérieur) ou
les préférences International (versions antérieures
de Max OS X) sont configurées de façon à utiliser
la virgule comme séparateur décimal, séparez les
arguments à l’aide d’un point-virgule plutôt que
la virgule.
points de suspension (…) Un argument suivi de points de suspension
peut être répété autant de fois que nécessaire.
Les éventuelles limitations sont décrites dans la
définition de l’argument.
tableau Un tableau (ne pas confondre avec le tableau
d’un tableur, tel que Numbers) est une séquence
de valeurs utilisées ou renvoyées par une
fonction.
constante de tableau Une constante de tableau est un ensemble
de valeurs entourées d’accolades ({}). Elle doit
être tapée directement dans la fonction. Par
exemple, {1; 2; 5; 7} ou {"12/31/2008"; "15/3/2009";
"20/8/2010"}.
fonction de tableau Un nombre réduit de fonctions sont appelées
« fonctions de tableau » parce qu’elles renvoient
un tableau de valeurs et non une seule valeur.
Ces fonctions servent généralement à fournir des
valeurs à une autre fonction.
expression booléenne Une expression booléenne est une expression qui
a pour résultat la valeur booléenne VRAI ou FAUX.Terme ou symbole Signification
constante Une constante constitue une valeur précisée
directement dans la formule qui ne contient
aucun appel et aucune référence à une
fonction. Par exemple, dans la formule
=CONCATENER("chat"; "s"), « chat » et « s »
représentent des constantes.
argument modal Un argument modal est un argument pouvant
adopter une valeur parmi celles indiquées.
Généralement, les arguments modaux apportent
des informations sur le type de calcul que la
fonction doit réaliser ou sur le type de données
que la fonction doit renvoyer. Si un argument
modal possède une valeur par défaut, celle-ci est
indiquée dans la description de l’argument.
condition Une condition est une expression pouvant
comprendre des opérateurs de comparaison, des
constantes, l’opérateur de chaîne et commercial
ainsi que des références. Le contenu d’une
condition doit être présenté de sorte que le
résultat de sa comparaison à une autre valeur
génère la valeur booléenne VRAI ou FAUX. Vous
trouverez d’autres informations et des exemples
dans « Usage de conditions et de jokers » à la
page 389.
38 Chapitre 2 Vue d’ensemble des fonctions d’iWorkChapitre 2 Vue d’ensemble des fonctions d’iWork 39
Types de valeur
Un argument de fonction possède un type qui indique le type d’information que
l’argument peut contenir. Les fonctions renvoient aussi une valeur d’un type donné.
Type de valeur Description
quelconque Si un argument est spécifié sous la forme
« quelconque », il peut correspondre à une
valeur booléenne, une date/heure, une durée, un
nombre ou une chaîne.
booléenne Une valeur booléenne correspond à la valeur
VRAI (1) ou FAUX (0) logique ou une référence
à une cellule contenant ou ayant pour
résultat la valeur VRAI ou FAUX logique. Elle
est généralement le résultat de l’évaluation
d’une expression booléenne, mais une valeur
booléenne peut être indiquée directement
comme argument d’une fonction ou comme
contenu d’une cellule. On utilise souvent les
valeurs booléennes pour déterminer quelle
expression doit être renvoyée par la fonction SI.
collection Un argument indiqué sous la forme d’une
collection peut correspondre à une référence à
un seul intervalle de cellules, à une constante
de tableau ou à un tableau renvoyé par une
fonction de tableau. Un argument spécifié sous
la forme d’une collection possède un attribut
supplémentaire définissant le type de valeurs
qu’il peut contenir.Type de valeur Description
date/heure Il s’agit d’une valeur de date/heure ou d’une
référence à une cellule contenant une valeur de
date/heure dans un des formats pris en charge
par iWork. Si vous tapez dans la fonction une
valeur correspondant à une valeur de date/heure,
vous devez l’indiquer entre guillemets. Vous
pouvez n’afficher qu’une date ou une heure dans
une cellule, mais toutes les valeurs de date/heure
contiennent une date et une heure.
Bien qu’il soit généralement possible de taper
directement des dates sous forme de chaînes
(par exemple, « 31/12/2010 »), la fonction DATE
permet de s’assurer que la date est interprétée
correctement indépendamment du format
des dates choisi dans les Préférences Système
(recherchez « format de date » dans la fenêtre des
Préférences Système).
40 Chapitre 2 Vue d’ensemble des fonctions d’iWorkChapitre 2 Vue d’ensemble des fonctions d’iWork 41
Type de valeur Description
durée Une durée est une période de temps ou une
référence à une cellule contenant une période
de temps. Les valeurs de durée peuvent être
exprimées en semaines (sem. ou semaines),
en jours (j ou jours), en heures (h ou heures),
en minutes (m ou minutes), en secondes (s
ou secondes) ou en millisecondes (ms ou
millisecondes). Une durée peut être saisie dans
deux formats différents.
Le premier format consiste en un nombre suivi
d’une période de temps (comme h pour heures)
éventuellement suivie d’un espace et est répété
pour d’autres périodes de temps. Pour préciser
une période de temps, vous pouvez soit utiliser
l’abréviation, comme « h », soit le nom complet,
comme « heures ». Par exemple, 12h 5j 3m
représente une durée de 12 heures, 5 jours et 3
minutes. Les périodes de temps ne doivent pas
être saisies dans l’ordre et les espaces ne sont pas
obligatoires. 5j 5h est équivalent à 5h5j. Si elle est
tapée directement dans une formule, la chaîne
doit être entourée de guillemets, comme dans
« 12h 5j 3m ».
Une durée peut aussi être saisie sous la forme
d’une série de nombres séparés par des deuxpoints. Si vous utilisez ce format, vous devez
préciser l’argument des secondes et ce dernier
doit se terminer par une virgule suivie des
millisecondes, lesquelles peuvent être égales
à 0, si la valeur de durée risque d’être prise
pour une valeur de date/heure. Par exemple,
12:15:30,0 représente une durée de 12 heures,
15 minutes et 30 secondes, alors que 12:15:30
représente l’heure 12:15:30. 5:00,0 représente
une durée d’exactement 5 minutes. Si vous
le tapez directement dans une fonction, la
chaîne doit être entourée de guillemets, par
exemple « 12:15:30,0 » ou « 5:00,0 ». Si la cellule
est formatée pour afficher une durée sous un
format en particulier, les unités s’affichent comme
prévu et il n’est pas nécessaire d’indiquer les
millisecondes.
liste Une liste constitue une séquence de valeurs
d’un autre type, séparées par des points-virgules.
Par exemple, =CHOISIR(3; "1er"; "deuxième"; 7;
"dernier"). Dans certains cas, la liste est délimitée
par des parenthèses supplémentaires. Par
exemple, =ZONES((B1:B5; C10:C12)).Type de valeur Description
modale Une valeur modale est une simple valeur, souvent
un nombre, représentant un mode donné pour
un argument modal. Le terme « argument
modal » est défini dans la rubrique « Les éléments
de syntaxe et les termes utilisés dans la définition
des fonctions » à la page 36.
nombre Un nombre est une valeur numérique, une
expression numérique ou une référence à une
cellule contenant une expression numérique. Si
les valeurs acceptables d’un nombre sont limitées
(par exemple, si le nombre doit être plus grand
que 0), cela est inclus dans la description des
arguments.
valeur d’intervalle Une valeur d’intervalle correspond à la référence
à un seul intervalle de cellules (il peut s’agir d’une
seule cellule). Une valeur d’intervalle possède un
attribut supplémentaire définissant le type de
valeurs que l’intervalle doit contenir. Cet attribut
figure dans la description des arguments.
42 Chapitre 2 Vue d’ensemble des fonctions d’iWorkChapitre 2 Vue d’ensemble des fonctions d’iWork 43
Type de valeur Description
référence Il s’agit de la référence à une seule cellule ou à un
intervalle de cellules. Si l’intervalle contient plus
d’une cellule, les cellules de début et de fin sont
séparées par un seul deux-points. Par exemple,
=NB(A3:D7)
À moins que le nom de la cellule soit unique
entre tous les tableaux, la référence doit
mentionner le nom du tableau si elle se rapporte
à une cellule d’un autre tableau. Par exemple,
=Tableau 2::B2. Notez que le nom du tableau et la
référence de cellule sont séparés par un double
signe deux-points (::).
Si le tableau se trouve sur une autre feuille, il
convient de préciser également le nom de cette
dernière, sauf si le nom de la cellule est unique
entre les tableaux de toutes les feuilles. Par
exemple, =SOMME(Feuille 2::Tableau 1::C2:G2).
Le nom de la feuille, le nom du tableau et la
référence de la cellule sont séparés par un double
deux-points.
Certaines fonctions qui acceptent les intervalles
peuvent agir sur des intervalles qui couvrent
plusieurs tableaux. Imaginons que vous avez
ouvert un fichier qui possède une feuille
contenant trois tableaux (Tableau 1, Tableau
2, Tableau 3). Imaginons encore que la cellule
C2 de chaque tableau contienne le nombre
1. La formule couvrant plusieurs tableaux
=SOMME(Tableau 1:Tableau 2 :: C2) additionne
la cellule C2 dans tous les tableaux entre Tableau
1 et Tableau 2. Le résultat correspond donc à 2.
Si vous faites glisser Tableau 3 entre Tableau 1
et Tableau 2 dans la barre latérale, la fonction
renverra 3, puisqu’elle additionne maintenant la
cellule C2 des trois tableaux (Tableau 3 se trouve
entre Tableau 1 et Tableau 2).
chaîne Une chaîne se réfère à toute valeur
alphanumérique ou à une référence à une
cellule contenant un ou plusieurs caractères. Les
caractères peuvent correspondre à n’importe
quel caractère imprimable, y compris les
nombres. Si vous tapez dans la formule une
valeur correspondant à une chaîne, vous devez
l’indiquer entre guillemets. Si la valeur de
chaîne est limitée (par exemple, si la chaîne
doit représenter une date), la description des
arguments mentionne cette limite.Liste des catégories de fonctions
Il existe plusieurs catégories de fonctions. Par exemple, certaines fonctions réalisent
des calculs sur des valeurs de date/heure, des fonctions logiques donnent un résultat
booléen (VRAI ou FAUX), tandis que d’autres fonctions réalisent des calculs financiers.
Chacune des catégories de fonctions est décrite dans un chapitre séparé.
« Liste des fonctions date et heure » à la page 46
« Liste des fonctions de durée » à la page 70
« Liste des fonctions d’ingénierie » à la page 78
« Liste des fonctions financières » à la page 102
« Liste des fonctions logiques et d’information » à la page 165
« Liste des fonctions numériques » à la page 179
« Liste des fonctions de référencement » à la page 222
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Liste des fonctions de texte » à la page 330
« Liste des fonctions trigonométriques » à la page 351
Collage d’exemples de l’aide
De nombreux exemples de l’aide peuvent être collés directement dans un tableau ou
dans un document Numbers vierge. Deux groupes d’exemples peuvent être copiés
depuis l’aide et collés dans un tableau. Le premier correspond à des exemples simples
inclus dans l’aide. Tous ces exemples commencent par le signe égal (=). Dans l’aide
relative à la fonction HEURE, deux exemples de ce type vous sont proposés.
Pour utiliser l’un de ces exemples, sélectionnez le texte commençant par le signe égal
jusqu’à la fin de l’exemple.
44 Chapitre 2 Vue d’ensemble des fonctions d’iWorkChapitre 2 Vue d’ensemble des fonctions d’iWork 45
Une fois que ce texte est mis en surbrillance, vous pouvez le copier, puis le coller dans
n’importe quelle cellule d’un tableau. Une autre méthode consiste à faire glisser la
sélection de l’exemple et à le déposer dans n’importe quelle cellule d’un tableau.
Le second type d’exemples représente des tableaux à copier, intégrés à l’aide. Voici le
tableau illustrant la fonction INTERET.ACC.
Pour réutiliser un tableau, sélectionnez toutes les cellules du tableau, y compris le
premier rang.
Lorsque le texte est en surbrillance, vous pouvez le copier puis le coller dans n’importe
quelle cellule d’un tableau ou sur un document Numbers vierge. Faire glisser un
élément reste impossible pour ce deuxième type d’exemples.46
Les fonctions de date d’et heure sont prévues pour simplifier
vos manipulation de dates et d’heures et vous aident à
résoudre certains problèmes se rapportant à ce type de
ressources. Elles vous permettent, par exemple, de trouver le
nombre de jours ouvrés entre deux dates ou de savoir le jour
de la semaine pour une date donnée.
Liste des fonctions date et heure
iWork intégre ces fonctions de date et heure pour que vous puissiez les utiliser dans
des tableaux.
Fonction Description
« ANNÉE » (page 48) La fonction ANNÉE renvoie l’année pour une
valeur de date/heure donnée.
« AUJOURDHUI » (page 49) La fonction AUJOURDHUI renvoie la date système
actuelle. L’heure est définie à 12 h 00.
« DATE » (page 50) La fonction DATE combine des valeurs distinctes
correspondant à l’année, au mois et au jour et
renvoie une valeur de date/heure. Bien qu’il soit
généralement possible de taper directement
des dates sous forme de chaînes (par exemple,
« 31/12/2010 »), la fonction DATE permet de
s’assurer que la date est interprétée correctement
indépendamment du format des dates indiqué
dans les Préférences Système (recherchez
« format de date » dans la fenêtre des Préférences
Système).
3
Fonctions date et heureChapitre 3 Fonctions date et heure 47
Fonction Description
« DATEDIF » (page 51) La fonction DATEDIF renvoie le nombre de jours,
de mois ou d’années entre deux dates.
« DATEVAL » (page 53) La fonction DATEVAL convertit une chaîne de
texte correspondant à une date et renvoie une
valeur de date/heure. Cette fonction a été incluse
afin d’assurer la compatibilité avec les tableurs
plus anciens.
« EDATE » (page 54) La fonction EDATE renvoie une date antérieure ou
postérieure d’un ou de plusieurs mois à une date
donnée.
« FIN.MOIS » (page 54) La fonction FIN.MOIS renvoie une date qui est le
dernier jour du mois antérieur ou postérieur d’un
ou de plusieurs mois à une date donnée.
« FRACTION.ANNEE » (page 55) La fonction FRACTION.ANNEE trouve la fraction
d’une année représentée par le nombre de jours
entiers entre deux dates.
« HEURE » (page 56) La fonction HEURE renvoie l’heure pour une
valeur de date/heure donnée.
« JOUR » (page 57) La fonction JOUR renvoie le jour du mois pour
une valeur de date/heure donnée.
« JOURS360 » (page 58) La fonction JOURS360 renvoie le nombre de jours
entre deux dates sur la base de douze mois de 30
jours et d’une année de 360 jours.
« JOURSEM » (page 59) La fonction JOURSEM renvoie un numéro qui est
le jour de la semaine pour une date donnée.
« MAINTENANT » (page 60) La fonction MAINTENANT renvoie la valeur de
date/heure actuelle telle qu’elle est indiquée par
l’horloge système.
« MINUTE » (page 60) La fonction MINUTE renvoie les minutes pour une
valeur de date/heure donnée.
« MOIS » (page 61) La fonction MOIS renvoie le mois pour une valeur
de date/heure donnée.
« NB.JOURS.OUVRES » (page 62) La fonction NB.JOURS.OUVRES renvoie le nombre
de jours ouvrés entre deux dates. Les jours ouvrés
excluent les week-ends et les dates indiquées de
façon explicite.
« NOMDUMOIS » (page 63) La fonction NOMDUMOIS renvoie le nom du mois
à partir d’un numéro. Le mois 1 correspond à
janvier.
« NOMJOUR » (page 63) La fonction NOMJOUR renvoie le nom du jour de
la semaine à partir d’une valeur de date/heure ou
d’un numéro. Le jour 1 est dimanche.Fonction Description
« NO.SEMAINE » (page 65) La fonction NO.SEMAINE renvoie le numéro de la
semaine dans l’année pour une date donnée.
« SECONDE » (page 66) La fonction SECONDE renvoie les secondes pour
une valeur de date/heure donnée.
« SERIE.JOUR.OUVRE » (page 66) La fonction SERIE.JOUR.OUVRE renvoie la date qui
correspond au nombre donné de jours ouvrés
avant ou après une date donnée. Les jours ouvrés
excluent les week-ends et toutes les autres dates
prévues en tant que telles.
« TEMPS » (page 67) La fonction TEMPS convertit des valeurs distinctes
correspondant à des heures, des minutes et des
secondes en une valeur de date/heure.
« TEMPSVAL » (page 68) La fonction TEMPSVAL renvoie l’heure, sous la
forme d’une fraction décimale d’une journée
de 24 heures, d’après une valeur de date/heure
donnée ou à partir d’une chaîne de texte.
ANNÉE
La fonction ANNÉE renvoie l’année pour une valeur de date/heure donnée.
ANNÉE(date)
 date : date à utiliser dans la fonction. date correspond à une valeur de date/heure.
La partie correspondant à l’heure est ignorée par cette fonction.
Exemples
=ANNÉE("6 avril 2008") renvoie 2008.
=ANNÉE(MAINTENANT()) renvoie 2009 si le calcul est effectué le 4 juin 2009.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« JOUR » à la page 57
« HEURE » à la page 56
« MINUTE » à la page 60
« MOIS » à la page 61
« SECONDE » à la page 66
« Liste des fonctions date et heure » à la page 46
« Types de valeur » à la page 39
48 Chapitre 3 Fonctions date et heureChapitre 3 Fonctions date et heure 49
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
AUJOURDHUI
La fonction AUJOURDHUI renvoie la date système actuelle. L’heure est définie à
12 h 00.
AUJOURDHUI()
Remarques d’usage
 La fonction AUJOURDHUI ne comprend aucun argument. Toutefois, vous devez
inclure les parenthèses : =AUJOURDHUI().
 La date affichée est mise à jour chaque fois que vous ouvrez ou modifiez votre
fichier.
 Vous pouvez vous servir de la fonction MAINTENANT pour obtenir la date et l’heure
actuelles et pour mettre en forme la cellule de sorte qu’elle affiche ces deux valeurs.
Exemple
=AUJOURDHUI() renvoie 6 avril 2008 lorsque le calcul est effectué le 6 avril 2008.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« MAINTENANT » à la page 60
« Liste des fonctions date et heure » à la page 46
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44DATE
La fonction DATE combine des valeurs distinctes correspondant à l’année, au mois
et au jour et renvoie une valeur de date/heure. Bien qu’il soit généralement possible
de taper directement des dates sous forme de chaînes (par exemple, « 31/12/2010 »),
la fonction DATE permet de s’assurer que la date est interprétée correctement
indépendamment du format des dates indiqué dans les Préférences Système
(recherchez « format de date » dans la fenêtre des Préférences Système).
DATE(année; mois; jour)
 année : année à inclure dans la valeur renvoyée. année correspond à un nombre. La
valeur n’est pas convertie. Si vous indiquez 10, c’est l’année 10 qui est utilisée, et non
pas l’année 1910 ou 2010.
 mois : mois à inclure dans la valeur renvoyée. mois correspond à un nombre
compris entre 1 et 12.
 jour : jour à inclure dans la valeur renvoyée. jour correspond à un nombre compris
entre 1 et le nombre de jours dans le mois.
Exemples
Si A1 contient 2014, A2 contient 11 et A3 contient 10 :
=DATE(A1; A2; A3) renvoie « 10 nov. 2014 » en s’adaptant au format de la cellule.
=DATE(A1; A3; A2) renvoie « 11 oct. 2014 ».
=DATE(2012; 2; 14) renvoie « 14 fév. 2012 ».
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« DUREE » à la page 71
« TEMPS » à la page 67
« Liste des fonctions date et heure » à la page 46
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
50 Chapitre 3 Fonctions date et heureChapitre 3 Fonctions date et heure 51
DATEDIF
La fonction DATEDIF renvoie le nombre de jours, de mois ou d’années entre deux
dates.
DATEDIF(date-début; date-fin; méthode-calc)
 date de début : date de début de la période à calculer. date-début correspond à une
valeur de date/heure.
 date de fin : date de fin de la période à calculer. date-fin correspond à une valeur de
date/heure.
 méthode-calc : indique comment exprimer la différence temporelle et comment
gérer les dates pour des années ou des mois différents.
"J" : compte les jours entre les dates de début et de fin.
"M" : compte les mois entre les dates de début et de fin.
"A" : compte les années entre les dates de début et de fin.
"MJ" : compte les jours entre les dates de début et de fin en ignorant les mois et
les années. Le mois de date-fin est considéré comme étant le mois de date-début.
Si la date de début est postérieure à la date de fin, le compte commence à la date
de fin comme si celle-ci appartenait au mois précédent. L’année de la date-fin sert
à vérifier s’il s’agit d’une année bissextile.
"AM" : compte le nombre de mois entiers entre les dates de début et de fin en
ignorant l’année. Si le mois/jour de début est antérieur au mois/jour de fin, les dates
sont traitées comme s’ils appartenaient à la même année. Si le mois/jour de début
est postérieur au mois/jour de fin, les dates sont traitées comme s’ils appartenaient
à des années consécutives.
"AJ" : compte le nombre de jours entre les dates de début et de fin en ignorant
l’année. Si le mois/jour de début est antérieur au mois/jour de fin, les dates sont
traitées comme s’ils appartenaient à la même année. Si le mois/jour de début est
postérieur au mois/jour de fin, les dates sont traitées comme s’ils appartenaient à
des années consécutives.Exemples
Si A1 contient la valeur de date/heure 6/4/88 et A2 contient la valeur de date/heure 30/10/06 :
=DATEDIF(A1; A2; "J") renvoie 6781, le nombre de jours entre le 6 avril 1988 et le 30 octobre 2006.
=DATEDIF(A1; A2; "M") renvoie 222, le nombre de mois entiers entre le 6 avril 1988 et le
30 octobre 2006.
=DATEDIF(A1; A2; "A") renvoie 18, le nombre d’années entières entre le 6 avril 1988 et le
30 octobre 2006.
=DATEDIF(A1; A2; "MJ") renvoie 24, le nombre de jours entre le sixième jour d’un mois et le trentième
jour du même mois.
=DATEDIF(A1; A2; "AM") renvoie 6, le nombre de mois entre avril et le mois d’octobre suivant de
n’importe quelle année.
=DATEDIF(A1; A2; "AJ") renvoie 207, le nombre de jours entre le 6 avril et le 31 octobre suivant de
n’importe quelle année.
=DATEDIF("6/4/1988"; MAINTENANT(); "A") & " années, " & DATEDIF("6/4/1988"; MAINTENANT(); "AM")
& " mois et " & DATEDIF(A1; MAINTENANT(); "AJ") & " jours" renvoie l’âge d’une personne née le
6 avril 1988.
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« JOURS360 » à la page 58
« NB.JOURS.OUVRES » à la page 62
« MAINTENANT » à la page 60
« FRACTION.ANNEE » à la page 55
« Liste des fonctions date et heure » à la page 46
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
52 Chapitre 3 Fonctions date et heureChapitre 3 Fonctions date et heure 53
DATEVAL
La fonction DATEVAL convertit une chaîne de texte correspondant à une date et
renvoie une valeur de date/heure. Cette fonction a été incluse afin d’assurer la
compatibilité avec les tableurs plus anciens.
DATEVAL(date-texte)
 date-texte : chaîne de caractères de la date à convertir. date-texte est une valeur
exprimée sous forme de chaîne. Ce doit être une date indiquée entre guillemets
ou une valeur de date/heure. Si date-texte n’est pas une date valide, une erreur est
renvoyée.
Exemples
Si la cellule B1 contient la valeur de date/heure 2 août 1979 06 h 30’ 00’’ et que la cellule C1 contient
la chaîne 16/10/2008 :
=DATEVAL(B1) renvoie le 2 août 1979, laquelle date est considérée comme une valeur de date si elle
fait l’objet d’une référence dans d’autres formules. La valeur renvoyée est mise en forme en fonction
du format de la cellule active. Une cellule adoptant le format Automatique utilise le format de date
indiqué dans les Préférences Système (recherchez « format de date » dans la fenêtre des Préférences
Système).
=DATEVAL(C1) renvoie « 16 oct. 2008 ».
=DATEVAL(29/12/1974) renvoie « 29 déc. 1979 ».
Rubriques associées :
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« DATE » à la page 50
« TEMPS » à la page 67
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« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44EDATE
La fonction EDATE renvoie une date antérieure ou postérieure d’un ou de plusieurs
mois à une date donnée.
EDATE(date-début; décalage-mois)
 date de début : date de début de la période à calculer. date-début correspond à une
valeur de date/heure.
 décalage-mois : nombre de mois avant ou après la date de début. décalage-mois
correspond à un nombre. Une valeur de décalage-mois négative permet d’indiquer
le nombre de mois avant la date de début ; à l’inverse une valeur de décalage-mois
positive permet d’indiquer les mois après la date de début.
Exemples
=EDATE("15/1/2000"; 1) renvoie 15/2/2000, la même date mais un mois plus tard.
=EDATE("15/1/2000"; –24) renvoie 15/1/1998, la même date, 24 mois plus tôt.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« FIN.MOIS » à la page 54
« Liste des fonctions date et heure » à la page 46
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« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
FIN.MOIS
La fonction FIN.MOIS renvoie une date qui est le dernier jour du mois un certain
nombre de mois avant ou après une date donnée.
FIN.MOIS(date-début; décalage-mois)
 date de début : date de début de la période à calculer. date-début correspond à une
valeur de date/heure.
 décalage-mois : nombre de mois avant ou après la date de début. décalage-mois
correspond à un nombre. Une valeur de décalage-mois négative permet d’indiquer
le nombre de mois avant la date de début ; à l’inverse une valeur de décalage-mois
positive permet d’indiquer les mois après la date de début.
54 Chapitre 3 Fonctions date et heureChapitre 3 Fonctions date et heure 55
Exemples
=FIN.MOIS("15/5/2010"; 5) renvoie « 31 oct. 2010 », c’est-à-dire le dernier jour du mois postérieur de
cinq mois à mai 2010.
=FIN.MOIS("15/5/2010"; –5) renvoie « 31 déc. 2009 », c’est-à-dire le dernier jour du mois antérieur de
cinq mois à mai 2010.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« EDATE » à la page 54
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FRACTION.ANNEE
La fonction FRACTION.ANNEE trouve la fraction d’une année représentée par le
nombre de jours entiers entre deux dates.
FRACTION.ANNEE(date-début; date-fin; base-journalière)
 date de début : date de début de la période à calculer. date-début correspond à une
valeur de date/heure.
 date de fin : date de fin de la période à calculer. date-fin correspond à une valeur de
date/heure.
 base-journalière : argument facultatif indiquant le nombre de jours par mois et de
jours par année servant aux calculs.
30/360 (0 ou omis): 30 jours pour chaque mois, 360 jours pour chaque année,
méthode NASD pour les dates tombant le 31 du mois.
réels/réels (1): jours naturels pour chaque mois, jours naturels pour chaque année.
réels/360 (2): jours naturels pour chaque mois, 360 jours par année.
réels/365 (3): jours naturels pour chaque mois, 365 jours par année.
30E/360 (4): 30 jours pour chaque mois, 360 jours pour chaque année, méthode
européenne pour les dates tombant le 31 du mois (format européen 30/360).Exemples
=FRACTION.ANNEE("15/12/2009"; "30/6/2010"; 0) renvoie 0,541666667.
=FRACTION.ANNEE("15/12/2009"; "30/6/2010"; 1) renvoie 0,539726027.
=FRACTION.ANNEE("15/12/2009"; "30/6/2010"; 2) renvoie 0,547222222.
=FRACTION.ANNEE("15/12/2009"; "30/6/2010"; 3) renvoie 0,539726027.
=FRACTION.ANNEE("15/12/2009"; "30/6/2010"; 4) renvoie 0,541666667.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« DATEDIF » à la page 51
« JOURS360 » à la page 58
« NB.JOURS.OUVRES » à la page 62
« Liste des fonctions date et heure » à la page 46
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
HEURE
La fonction HEURE renvoie l’heure pour une valeur de date/heure donnée.
HEURE(instant)
 instant : heure à utiliser dans la fonction. instant correspond à une valeur de date/
heure. La partie correspondant à la date est ignorée par cette fonction.
Remarques d’usage
 L’heure renvoyée est au format 24 heures (0 correspond à minuit, 23 correspond à
11 h 00 du soir).
Exemples
=HEURE(MAINTENANT()) renvoie l’heure actuelle du jour.
=HEURE("6/4/88 11 h 59’ 22") renvoie 11.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« JOUR » à la page 57
56 Chapitre 3 Fonctions date et heureChapitre 3 Fonctions date et heure 57
« MINUTE » à la page 60
« MOIS » à la page 61
« SECONDE » à la page 66
« ANNÉE » à la page 48
« Liste des fonctions date et heure » à la page 46
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
JOUR
La fonction JOUR renvoie le jour du mois pour une valeur de date/heure donnée.
JOUR(date)
 date : date à utiliser dans la fonction. date correspond à une valeur de date/heure.
La partie correspondant à l’heure est ignorée par cette fonction.
Exemples
=JOUR("6/4/88 23 h 59’ 22’’) renvoie 6.
=JOUR("12/5/2009") renvoie 12.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« NOMJOUR » à la page 63
« HEURE » à la page 56
« MINUTE » à la page 60
« MOIS » à la page 61
« SECONDE » à la page 66
« ANNÉE » à la page 48
« Liste des fonctions date et heure » à la page 46
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
JOURS360
La fonction JOURS360 renvoie le nombre de jours entre deux dates sur la base de
douze mois de 30 jours et d’une année de 360 jours.
JOURS360(date-début; date-fin; utiliser-méthode-européenne)
 date de début : date de début de la période à calculer. date-début correspond à une
valeur de date/heure.
 date de fin : date de fin de la période à calculer. date-fin correspond à une valeur de
date/heure.
 utiliser-méthode-européenne : valeur facultative indiquant si la méthode NASD ou
la méthode européenne doit être utilisée pour les dates tombant le 31 d’un mois.
méthode NASD (0, FAUX ou omis): méthode NASD utilisée pour les dates qui
tombent le 31 d’un mois.
méthode DEVISE (1 ou VRAI): méthode européenne utilisée pour les dates qui
tombent le 31 d’un mois.
Exemples
=JOURS360("20/12/2008"; "3/31/2009") renvoie 101d.
=JOURS360("27/2/2008"; "31/3/2009"; 0) renvoie 394d.
=JOURS360("27/2/2008"; "31/3/2009"; 1) renvoie 393d lorsque la méthode de calcul européenne est
utilisée.
Rubriques associées :
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« DATEDIF » à la page 51
« NB.JOURS.OUVRES » à la page 62
« FRACTION.ANNEE » à la page 55
« Liste des fonctions date et heure » à la page 46
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
58 Chapitre 3 Fonctions date et heureChapitre 3 Fonctions date et heure 59
JOURSEM
La fonction JOURSEM renvoie un numéro qui est le jour de la semaine pour une date
donnée.
JOURSEM(date; premier-jour)
 date : date à utiliser dans la fonction. date correspond à une valeur de date/heure.
La partie correspondant à l’heure est ignorée par cette fonction.
 premier-jour : valeur facultative qui précise le mode de numérotation des jours.
Dimanche correspond au jour numéro 1 (1 ou omis): dimanche est le premier jour
(jour 1) de la semaine et samedi est le septième jour.
Lundi correspond au jour numéro 1 (2): lundi est le premier jour (jour 1) de la
semaine et dimanche est le septième jour.
Lundi correspond au jour numéro 0 (3): lundi est le premier jour (jour 0) de la
semaine et dimanche est le sixième jour.
Exemples
=JOURSEM("6 avr. 1988"; 1) renvoie 4 (mercredi correspondant au quatrième jour si vous considérez
que la semaine commence le dimanche).
=JOURSEM("6 avr. 1988") renvoie la même valeur que dans l’exemple précédent (car le système de
numérotation démarrant à 1 est utilisé si aucun argument numérotation n’est indiqué).
=JOURSEM("6 avr. 1988"; 2) renvoie 3 (mercredi correspondant au troisième jour si vous considérez
que la semaine commence le lundi).
=JOURSEM("6 avr. 1988"; 3) renvoie 2 (mercredi considéré le jour 2 si lundi sert de base commençant
à 0).
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« NOMJOUR » à la page 63
« NOMDUMOIS » à la page 63
« Liste des fonctions date et heure » à la page 46
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44MAINTENANT
La fonction MAINTENANT renvoie la valeur de date/heure actuelle telle qu’elle est
indiquée par l’horloge système.
MAINTENANT()
Remarques d’usage
 La fonction MAINTENANT ne comprend aucun argument. Toutefois, vous devez
inclure les parenthèses : =MAINTENANT().
Exemple
=MAINTENANT() renvoie « 4 oct. 2008 10 h 47 » si votre fichier est mis à jour le 4 octobre 2008 à
10 h 47.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« AUJOURDHUI » à la page 49
« Liste des fonctions date et heure » à la page 46
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
MINUTE
La fonction MINUTE renvoie les minutes pour une valeur de date/heure donnée.
MINUTE(instant)
 instant : heure à utiliser dans la fonction. instant correspond à une valeur de date/
heure. La partie correspondant à la date est ignorée par cette fonction.
Exemple
=MINUTE("6/4/88 11 h 59’ 22") renvoie 59.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« JOUR » à la page 57
« HEURE » à la page 56
60 Chapitre 3 Fonctions date et heureChapitre 3 Fonctions date et heure 61
« MOIS » à la page 61
« SECONDE » à la page 66
« ANNÉE » à la page 48
« Liste des fonctions date et heure » à la page 46
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
MOIS
La fonction MOIS renvoie le mois pour une valeur de date/heure donnée.
MOIS(date)
 date : date à utiliser dans la fonction. date correspond à une valeur de date/heure.
La partie correspondant à l’heure est ignorée par cette fonction.
Exemple
=MOIS("6 avril 1988 11 h 59’ 22") renvoie 4.
Rubriques associées :
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« JOUR » à la page 57
« HEURE » à la page 56
« MINUTE » à la page 60
« NOMDUMOIS » à la page 63
« SECONDE » à la page 66
« ANNÉE » à la page 48
« Liste des fonctions date et heure » à la page 46
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
NB.JOURS.OUVRES
La fonction NB.JOURS.OUVRES renvoie le nombre de jours ouvrés entre deux dates. Les
jours ouvrés excluent les week-ends et les dates indiquées de façon explicite.
NB.JOURS.OUVRES(date-début; date-fin; dates-exclues)
 date de début : date de début de la période à calculer. date-début correspond à une
valeur de date/heure.
 date de fin : date de fin de la période à calculer. date-fin correspond à une valeur de
date/heure.
 dates-exclues : collection facultative de dates devant être exclues du calcul. datesexclues correspond à une collection comprenant des valeurs de date/heure.
Exemple
=NB.JOURS.OUVRES("01/11/2009"; "30/11/2009"; {"11/11/2009"; "26/11/2009"}) renvoie 19d, c’est-à-dire
le nombre de jours ouvrés en novembre 2009 qui exclut les week-ends et les deux jours chômés
précisés.
Rubriques associées :
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« DATEDIF » à la page 51
« JOURS360 » à la page 58
« SERIE.JOUR.OUVRE » à la page 66
« FRACTION.ANNEE » à la page 55
« Liste des fonctions date et heure » à la page 46
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
62 Chapitre 3 Fonctions date et heureChapitre 3 Fonctions date et heure 63
NOMDUMOIS
La fonction NOMDUMOIS renvoie le nom du mois à partir d’un numéro. Le mois 1
correspond à janvier.
NOMDUMOIS(mois-nbre)
 mois-nbre : mois désiré. mois-nbre correspond à un nombre compris entre 1 et 12.
Si la valeur de mois-nbre contient une fraction décimale, celle-ci est ignorée.
Exemples
=NOMDUMOIS(9) renvoie « septembre ».
=NOMDUMOIS(6) renvoie « juin ».
Rubriques associées :
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« NOMJOUR » à la page 63
« MOIS » à la page 61
« JOURSEM » à la page 59
« Liste des fonctions date et heure » à la page 46
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
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« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
NOMJOUR
La fonction NOMJOUR renvoie le nom du jour de la semaine à partir d’une valeur de
date/heure ou d’un numéro. Le jour 1 est dimanche.
NOMJOUR(nbre-jour)
 nbre-jour : jour souhaité de la semaine. nbre-jour correspond à une valeur de date/
heure ou à un chiffre compris entre 1 et 7. Si la valeur de nbre-jour contient une
fraction décimale, celle-ci est ignorée.Exemples
Si B1 contient la valeur de date/heure 2 août 1979 06 h 30’ 00’’, que C1 contient la chaîne 16/10/2008
et que D1 contient 6 :
=NOMJOUR(B1) renvoie « jeudi ».
=NOMJOUR(C1) renvoie « jeudi ».
=NOMJOUR(D1) renvoie « vendredi ».
=NOMJOUR("29/12/1974") renvoie « dimanche ».
Rubriques associées :
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« JOUR » à la page 57
« NOMDUMOIS » à la page 63
« JOURSEM » à la page 59
« Liste des fonctions date et heure » à la page 46
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
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« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
64 Chapitre 3 Fonctions date et heureChapitre 3 Fonctions date et heure 65
NO.SEMAINE
La fonction NO.SEMAINE renvoie le numéro de la semaine dans l’année pour une date
donnée.
NO.SEMAINE(date; premier-jour)
 date : date à utiliser dans la fonction. date correspond à une valeur de date/heure.
La partie correspondant à l’heure est ignorée par cette fonction.
 premier-jour : valeur facultative indiquant si les semaines doivent commencer le
dimanche ou le lundi.
Dimanche correspond au jour numéro 1 (1 ou omis): dimanche est le premier jour
(jour 1) de la semaine et samedi est le septième jour.
Lundi correspond au jour numéro 1 (2): lundi est le premier jour (jour 1) de la
semaine et dimanche est le septième jour.
Exemple
=NO.SEMAINE("12/7/2009"; 1) renvoie 29.
=NO.SEMAINE("12/7/2009"; 2) renvoie 28.
Rubriques associées :
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« JOUR » à la page 57
« HEURE » à la page 56
« MINUTE » à la page 60
« MOIS » à la page 61
« SECONDE » à la page 66
« ANNÉE » à la page 48
« Liste des fonctions date et heure » à la page 46
« Types de valeur » à la page 39
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« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44SECONDE
La fonction SECONDE renvoie les secondes pour une valeur de date/heure donnée.
SECONDE(instant)
 instant : heure à utiliser dans la fonction. instant correspond à une valeur de date/
heure. La partie correspondant à la date est ignorée par cette fonction.
Exemple
=SECONDE("6/4/88 11 h 59’ 22") renvoie 22.
Rubriques associées :
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« JOUR » à la page 57
« HEURE » à la page 56
« MINUTE » à la page 60
« Liste des fonctions date et heure » à la page 46
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
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« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
SERIE.JOUR.OUVRE
La fonction SERIE.JOUR.OUVRE renvoie la date qui correspond au nombre donné de
jours ouvrés avant ou après une date donnée. Les jours ouvrés excluent les week-ends
et toutes les autres dates prévues en tant que telles.
SERIE.JOUR.OUVRE(date; jours-ouvrés; dates-exclues)
 date : date à utiliser dans la fonction. date correspond à une valeur de date/heure.
La partie correspondant à l’heure est ignorée par cette fonction.
 jours-ouvrés : nombre de jours ouvrés avant ou après la date donnée. jours-ouvrés
correspond à un nombre. Elle est positive si la date souhaitée est postérieure à la
valeur de date et négative si la date souhaitée est antérieure à la valeur de date.
 dates-exclues : collection facultative de dates devant être exclues du calcul. datesexclues correspond à une collection comprenant des valeurs de date/heure.
66 Chapitre 3 Fonctions date et heureChapitre 3 Fonctions date et heure 67
Exemple
=SERIE.JOUR.OUVRE("01/11/2009"; 20; {"11/11/2009"; "26/11/2009"}) renvoie « 1 déc. 2009 », c’est-à-dire
le jour ouvré qui vient 20 jours ouvré après le 01/11/2009 si l’on ne compte pas les week-ends et les
deux jours chômés précisés.
Rubriques associées :
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« NB.JOURS.OUVRES » à la page 62
« Liste des fonctions date et heure » à la page 46
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
TEMPS
La fonction TEMPS convertit des valeurs distinctes correspondant à des heures, des
minutes et des secondes en une valeur de date/heure.
TEMPS(heures; minutes; secondes)
 heures : nombre d’heures à inclure dans la valeur renvoyée. heures correspond à un
nombre. Si la valeur d’heures contient une fraction décimale, celle-ci est ignorée.
 minutes : nombre de minutes à inclure dans la valeur renvoyée. minutes correspond
à un nombre. Si la valeur de minutes contient une fraction décimale, celle-ci est
ignorée.
 secondes : nombre de secondes à inclure dans la valeur renvoyée. secondes
correspond à un nombre. Si la valeur de secondes contient une fraction décimale,
celle-ci est ignorée.
Remarques d’usage
 Vous pouvez indiquer des valeurs d’heure, de minute et de seconde respectivement
supérieures à 24, 60 et 60. Si la somme des heures, des minutes et des secondes est
une valeur supérieure à 24 heures, des tranches de 24 heures lui sont soustraites
autant de fois que nécessaire jusqu’à ce que la valeur soit inférieure à 24 heures.68 Chapitre 3 Fonctions date et heure
Exemples
=TEMPS(12; 0; 0) renvoie 00 h 00.
=TEMPS(16; 45; 30) renvoie 16 h 45.
=TEMPS(0; 900; 0) renvoie 15 h 00.
=TEMPS(60; 0; 0) renvoie 00 h 00.
=TEMPS(4,25; 0; 0) renvoie 4 h 00.
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« DATE » à la page 50
« DATEVAL » à la page 53
« DUREE » à la page 71
« Liste des fonctions date et heure » à la page 46
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
TEMPSVAL
La fonction TEMPSVAL renvoie l’heure, sous la forme d’une fraction décimale d’une
journée de 24 heures, à partir d’une valeur de date/heure donnée ou à partir d’une
chaîne de texte.
TEMPSVAL(instant)
 instant : heure à utiliser dans la fonction. instant correspond à une valeur de date/
heure. La partie correspondant à la date est ignorée par cette fonction.
Exemples
=TEMPSVAL("6/4/88 12 h 00") renvoie 0,5 (midi représente en effet la moitié de la journée).
=TEMPSVAL("12 h 00’ 59") renvoie 0,5007 (arrondi à quatre décimales après la virgule).
=TEMPSVAL("21 h 00") renvoie 0,875 (21 heures ou 9 h 00 du soir, divisé par 24).
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« Liste des fonctions date et heure » à la page 46« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
Chapitre 3 Fonctions date et heure 6970
Les fonctions de durée vous permettent de convertir
différentes périodes dans le temps, comme des heures, des
jours et des semaines.
Liste des fonctions de durée
Ces fonctions de manipulation de durées ont été intégrées à iWork pour que vous
puissiez les utiliser dans des tableaux.
Fonction Description
« DUREE » (page 71) La fonction DUREE associe différentes valeurs
représentant des semaines, des jours, des heures,
des minutes, des secondes et des millisecondes,
et renvoie une durée.
« DUREE.SUPPRESSION » (page 72) La fonction DUREE.SUPPRESSION évalue une
valeur donnée et renvoie soit le nombre de jours
représentés, s’il s’agit d’une durée, soit la valeur
donnée. Cette fonction a été incluse afin d’assurer
la compatibilité avec les tableurs plus anciens.
« DURHEURES » (page 73) La fonction DURHEURES exprime une durée en
heures.
« DURJOURS » (page 74) La fonction DURJOURS exprime une durée en
jours.
« DURMILLISECONDES » (page 74) La fonction DURMILLISECONDES exprime une
durée en millisecondes.
« DURMINUTES » (page 75) La fonction DURMINUTES exprime une durée en
minutes.
« DURSECONDES » (page 76) La fonction DURSECONDES exprime une durée
en secondes.
« DURSEMAINES » (page 77) La fonction DURSEMAINES exprime une durée en
semaines.
4
Fonctions de duréeChapitre 4 Fonctions de durée 71
DUREE
La fonction DUREE combine plusieurs valeurs pour des semaines, des jours, des heures,
des minutes, des secondes et des millisecondes et renvoie une durée.
DUREE(semaines; jours; heures; minutes; secondes; millisecondes)
 semaines : valeur représentant le nombre de semaines. semaines correspond à un
nombre.
 jours : valeur facultative représentant le nombre de jours. jours correspond à un
nombre.
 heures : valeur facultative représentant le nombre d’heures. heures correspond à un
nombre.
 minutes : valeur facultative représentant le nombre de minutes. minutes correspond
à un nombre.
 secondes : valeur facultative représentant le nombre de secondes. secondes
correspond à un nombre.
 millisecondes : valeur facultative représentant le nombre de millisecondes.
millisecondes correspond à un nombre.
Remarques d’usage
 Un argument égal à 0 peut être omis, mais la virgule doit être insérée si d’autres
valeurs sont indiquées. Par exemple, DUREE(; ;12; 3) renvoie une durée de 12 h 3 m
(12 heures et 3 minutes).
 Les valeurs négatives sont autorisées. Par exemple, DUREE(0; 2; –24) renvoie une
durée de 1 jour (2 jours moins 24 heures).
Exemples
=DUREE(1) donne 1sem (1 semaine).
=DUREE(;;1) donne 1h (1 heure).
=DUREE(1;5) donne 1sem 3j 12h (1 semaine, 3 jours, 12 heures ou 1,5 semaines).
=DUREE(3; 2; 7; 10; 15,3505) donne 3sem 2j 7h 10m 15s 350ms (3 semaines, 2 jours, 7 heures, 10
minutes, 15 secondes, 350 millisecondes).
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« DATE » à la page 50
« TEMPS » à la page 67
« Liste des fonctions de durée » à la page 70
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
DUREE.SUPPRESSION
La fonction DUREE.SUPPRESSION évalue une valeur donnée et renvoie soit le nombre
de jours représentés, s’il s’agit d’une durée, soit la valeur donnée. Cette fonction a été
incluse afin d’assurer la compatibilité avec les tableurs plus anciens.
DUREE.SUPPRESSION(valeur-quelconque)
 valeur-quelconque : valeur quelconque. valeur-quelconque peut correspondre à
une valeur de n’importe quel type.
Remarques d’usage
 Si valeur-quelconque est une durée, le résultat est identique à DURJOURS. À défaut,
valeur-quelconque est renvoyé tel quel.
 Cette fonction peut être automatiquement insérée si un document Numbers ’08
est mis à niveau ou si un document Excel ou Appleworks est importé. Elle est
supprimée si le fichier est enregistré sous le format Numbers ‘08 ou Excel.
Exemples
=DUREE.SUPPRESSION("1sem") donne 7, l’équivalent d’une semaine en jours.
=DUREE.SUPPRESSION(12) donne 12, car, comme il ne s’agissait pas d’une durée, elle est renvoyée
telle quelle.
=DUREE.SUPPRESSION ("abc") donne « abc ».
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« Liste des fonctions de durée » à la page 70
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
72 Chapitre 4 Fonctions de duréeChapitre 4 Fonctions de durée 73
DURHEURES
La fonction DURHEURES convertit une valeur de durée en un nombre d’heures.
DURHEURES(durée)
 durée : période temporelle à convertir. durée correspond à une valeur de durée.
Exemples
=DURHEURES("2sem 3j 2h 10m 0s 5ms") donne 410,1666681.
=DURHEURES("10:0:13:00:05,500") donne 1693,001528.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« DURJOURS » à la page 74
« DURMILLISECONDES » à la page 74
« DURMINUTES » à la page 75
« DURSECONDES » à la page 76
« DURSEMAINES » à la page 77
« Liste des fonctions de durée » à la page 70
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44DURJOURS
La fonction DURJOURS convertit une valeur de durée en un nombre de jours.
DURJOURS(durée)
 durée : période temporelle à convertir. durée correspond à une valeur de durée.
Exemples
=DURJOURS("2sem 3j 2h 10m 0s 5ms") donne 17,09027784.
=DURJOURS("10:0:13:00:05,500") donne 70,5417302.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« DURHEURES » à la page 73
« DURMILLISECONDES » à la page 74
« DURMINUTES » à la page 75
« DURSECONDES » à la page 76
« DURSEMAINES » à la page 77
« Liste des fonctions de durée » à la page 70
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
DURMILLISECONDES
La fonction DURMILLISECONDES convertit une valeur de durée en un nombre de
millisecondes.
DURMILLISECONDES(durée)
 durée : période temporelle à convertir. durée correspond à une valeur de durée.
Exemples
=DURMILLISECONDES("2sem 3j 2h 10m 0s 5ms") donne « 1 476 600 005 ».
=DURMILLISECONDES("10:0:13:00:05,500") donne « 6 094 805 500 ».
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
74 Chapitre 4 Fonctions de duréeChapitre 4 Fonctions de durée 75
« DURJOURS » à la page 74
« DURHEURES » à la page 73
« DURMINUTES » à la page 75
« DURSECONDES » à la page 76
« DURSEMAINES » à la page 77
« Liste des fonctions de durée » à la page 70
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
DURMINUTES
La fonction DURMINUTES convertit une valeur de durée en un nombre de minutes.
DURMINUTES(durée)
 durée : période temporelle à convertir. durée correspond à une valeur de durée.
Exemples
=DURMINUTES("2sem 3j 2h 10m 0s 5ms") donne « 24 610,0000833333 ».
=DURMINUTES("10:0:13:00:05,500") donne « 101 580,091666667 ».
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« DURJOURS » à la page 74
« DURHEURES » à la page 73
« DURMILLISECONDES » à la page 74
« DURSECONDES » à la page 76
« DURSEMAINES » à la page 77
« Liste des fonctions de durée » à la page 70
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
DURSECONDES
La fonction DURSECONDES convertit une valeur de durée en un nombre de secondes.
DURSECONDES(durée)
 durée : période temporelle à convertir. durée correspond à une valeur de durée.
Exemples
=DURSECONDES("2sem 3j 2h 10m 0s 5ms") donne « 1 476 600,005 ».
=DURSECONDES("10:0:13:00:05,500") donne « 6 094 805,5 ».
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« DURJOURS » à la page 74
« DURHEURES » à la page 73
« DURMILLISECONDES » à la page 74
« DURMINUTES » à la page 75
« DURSEMAINES » à la page 77
« Liste des fonctions de durée » à la page 70
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
76 Chapitre 4 Fonctions de duréeChapitre 4 Fonctions de durée 77
DURSEMAINES
La fonction DURSEMAINES convertit une valeur de durée en un nombre de semaines.
DURSEMAINES(durée)
 durée : période temporelle à convertir. durée correspond à une valeur de durée.
Exemples
=DURSEMAINES("2sem 3j 2h 10m 0s 5ms") donne 2,44146826223545.
=DURSEMAINES("10:0:13:00:05,500") donne 10,0773900462963.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« DURJOURS » à la page 74
« DURHEURES » à la page 73
« DURMILLISECONDES » à la page 74
« DURMINUTES » à la page 75
« DURSECONDES » à la page 76
« Liste des fonctions de durée » à la page 70
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 4478
Les fonctions d’ingénierie vous aident à calculer certaines
valeurs d’ingénierie courantes et à effectuer des conversions
entre différentes bases numériques.
Liste des fonctions d’ingénierie
Ces fonctions d’ingénierie ont été intégrées à iWork pour que vous puissiez les utiliser
dans des tableaux.
Fonction Description
« BASE10 » (page 79) La fonction BASE10 convertit un nombre de la
base indiquée en un nombre en base 10.
« BASEN » (page 80) La fonction BASEN convertit un nombre en
base 10 en un nombre correspondant dans la
base indiquée.
« BESSELJ » (page 81) La fonction BESSELJ renvoie la fonction de Bessel
d’ordre entier J
n
(x).
« BESSELY » (page 82) La fonction BESSELY renvoie la fonction de Bessel
d’ordre entier Y
n
(x).
« BINDEC » (page 83) La fonction BINDEC convertit un nombre binaire
en un nombre décimal correspondant.
« BINHEX » (page 84) La fonction BINHEX convertit un nombre binaire
en un nombre hexadécimal correspondant.
« BINOCT » (page 85) La fonction BINOCT convertit un nombre binaire
en un nombre octal correspondant.
« CONVERT » (page 86) La fonction CONVERT convertit un nombre
d’un système de mesure en une valeur
correspondante dans un autre système de
mesure.
« DECBIN » (page 90) La fonction DECBIN convertit un nombre décimal
en un nombre binaire correspondant.
5
Fonctions d’ingénierieChapitre 5 Fonctions d’ingénierie 79
Fonction Description
« DECHEX » (page 91) La fonction DECHEX convertit un nombre décimal
en un nombre hexadécimal correspondant.
« DECOCT » (page 92) La fonction DECOCT convertit un nombre
décimal en un nombre octal correspondant.
« DELTA » (page 93) La fonction DELTA détermine si deux valeurs sont
exactement égales.
« ERF » (page 94) La fonction ERF renvoie la fonction d’erreur
intégrée entre deux valeurs.
« ERFC » (page 94) La fonction ERFC renvoie la fonction ERF
complémentaire intégrée entre une limite
inférieure donnée et l’infini.
« HEXBIN » (page 95) La fonction HEXBIN convertit un nombre
hexadécimal en un nombre binaire
correspondant.
« HEXDEC » (page 96) La fonction HEXDEC convertit un nombre
hexadécimal en un nombre décimal
correspondant.
« HEXOCT » (page 97) La fonction HEXOCT convertit un nombre
hexadécimal en un nombre octal correspondant.
« OCTBIN » (page 98) La fonction OCTBIN convertit un nombre octal en
un nombre binaire correspondant.
« OCTDEC » (page 99) La fonction OCTDEC convertit un nombre octal
en un nombre décimal correspondant.
« OCTHEX » (page 100) La fonction OCTHEX convertit un nombre octal
en un nombre hexadécimal correspondant.
« SUP.SEUIL » (page 101) La fonction SUP.SEUIL détermine si une valeur
est supérieure ou exactement égale à une autre
valeur.
BASE10
La fonction BASE10 convertit un nombre de la base indiquée en un nombre
correspondant en base 10.
BASE10(convertir-chaîne; base)
 convertir-chaîne : chaîne représentant le nombre à convertir. convertir-chaîne
est une valeur exprimée sous forme de chaîne. Elle ne doit comprendre que des
nombres et des lettres valides dans la base du nombre qui est converti.
 base : base actuelle du nombre à convertir. base correspond à un nombre compris
entre 1 et 36.Remarques d’usage
 Cette fonction renvoie une valeur numérique. Elle peut être utilisée sans problème
dans une formule contenant d’autres valeurs numériques. Certains autres tableurs
renvoient une valeur de chaîne de caractères.
Exemples
=BASE10("3f"; 16) renvoie 63.
=BASE10(1000100; 2) renvoie 68.
=BASETONUM("7279"; 8) génère une erreur puisque le chiffre « 9 » n’est pas valide en base 8.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« BINDEC » à la page 83
« HEXDEC » à la page 96
« BASEN » à la page 80
« OCTDEC » à la page 99
« Liste des fonctions d’ingénierie » à la page 78
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
BASEN
La fonction BASEN convertit un nombre en base 10 en un nombre correspondant dans
la base indiquée.
BASEN(chaîne-décimale; base; longueur-conversion)
 chaîne-décimale : chaîne représentant le nombre à convertir. chaîne-décimale est
une valeur exprimée sous forme de chaîne. Elle ne doit contenir que des chiffres.
 base : base du nombre converti. base correspond à un nombre compris entre 1 et
36.
 longueur-conversion : valeur facultative représentant la longueur minimale du
nombre renvoyé. longueur-conversion correspond à un nombre compris entre 1 et
32. En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut correspond à 1. Si elle est
incluse, au besoin, des zéros sont ajoutés en tête de la valeur de convertir-chaîne de
sorte que sa longueur atteigne au moins celle indiquée par longueur-conversion.
80 Chapitre 5 Fonctions d’ingénierieChapitre 5 Fonctions d’ingénierie 81
Exemples
=BASEN(16; 16) renvoie 10.
=BASEN(100; 32; 4) renvoie 0034.
=BASEN(100; 2) renvoie « 1 100 100 ».
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« BASE10 » à la page 79
« DECBIN » à la page 90
« DECHEX » à la page 91
« DECOCT » à la page 92
« Liste des fonctions d’ingénierie » à la page 78
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
BESSELJ
La fonction BESSELJ renvoie la fonction de Bessel d’ordre entier J
n
(x).
BESSELJ(valeur-x-quelconque; valeur-n)
 valeur-x-quelconque : valeur x à laquelle vous cherchez à évaluer la fonction.
valeur-x-quelconque correspond à un nombre.
 valeur-n : ordre de la fonction. valeur-n correspond à un nombre supérieur ou égal
à 0. Si la valeur de valeur-n contient une fraction décimale, celle-ci est ignorée.
Exemples
=BESSELJ(25; 3) renvoie 0,108343081061509.
=BESSELJ(25; 3,9) renvoie également 0,108343081061509 puisque toute fraction décimale de valeur-n
est ignorée.
=BESSELJ(–25; 3) renvoie « – 0,108343081061509 ».
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« BESSELY » à la page 82« Liste des fonctions d’ingénierie » à la page 78
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
BESSELY
La fonction BESSELY renvoie la fonction de Bessel d’ordre entier Y
n
(x).
BESSELY(valeur-pos-x; valeur-n)
 valeur-pos-x : valeur x positive à laquelle vous cherchez à évaluer la fonction.
valeur-pos-x correspond à un nombre supérieur à 0.
 valeur-n : ordre de la fonction. valeur-n correspond à un nombre supérieur ou égal
à 0. Si la valeur de valeur-n contient une fraction décimale, celle-ci est ignorée.
Remarques d’usage
 Cette forme de la fonction de Bessel est aussi appelée fonction de Neumann.
Exemples
=BESSELY(25; 3) renvoie 0,117924850396893.
=BESSELY(25; 3,9) renvoie également 0,117924850396893 puisque toute fraction décimale de valeur-n
est ignorée.
=BESSELY(–25; 3) génère une erreur puisque les valeurs négatives ou égales à zéro ne sont pas
autorisées.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« BESSELJ » à la page 81
« Liste des fonctions d’ingénierie » à la page 78
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
82 Chapitre 5 Fonctions d’ingénierieChapitre 5 Fonctions d’ingénierie 83
BINDEC
La fonction BINDEC convertit un nombre binaire en un nombre décimal
correspondant.
BINDEC(chaîne-binaire; longueur-conversion)
 chaîne-binaire : chaîne représentant le nombre à convertir. chaîne-binaire est une
valeur exprimée sous forme de chaîne. Elle ne doit contenir que les chiffres 0 et 1.
 longueur-conversion : valeur facultative représentant la longueur minimale du
nombre renvoyé. longueur-conversion correspond à un nombre compris entre 1 et
32. En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut correspond à 1. Si elle est
incluse, au besoin, des zéros sont ajoutés en tête de la valeur de convertir-chaîne de
sorte que sa longueur atteigne au moins celle indiquée par longueur-conversion.
Exemples
=BINDEC("1001") renvoie 9.
=BINDEC("100111"; 3) renvoie 039.
=BINDEC(101101) renvoie 45.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« BINHEX » à la page 84
« BINOCT » à la page 85
« DECBIN » à la page 90
« HEXDEC » à la page 96
« OCTDEC » à la page 99
« Liste des fonctions d’ingénierie » à la page 78
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44BINHEX
La fonction BINHEX convertit un nombre binaire en un nombre hexadécimal
correspondant.
BINHEX(chaîne-binaire; longueur-conversion)
 chaîne-binaire : chaîne représentant le nombre à convertir. chaîne-binaire est une
valeur exprimée sous forme de chaîne. Elle ne doit contenir que les chiffres 0 et 1.
 longueur-conversion : valeur facultative représentant la longueur minimale du
nombre renvoyé. longueur-conversion correspond à un nombre compris entre 1 et
32. En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut correspond à 1. Si elle est
incluse, au besoin, des zéros sont ajoutés en tête de la valeur de convertir-chaîne de
sorte que sa longueur atteigne au moins celle indiquée par longueur-conversion.
Remarques d’usage
 Cette fonction s’appuie sur la notation de complément de deux, sur 32 bits. Par
conséquent, les nombres négatifs se limitent toujours à 8 chiffres.
Exemples
=BINHEX("100101") renvoie 25.
=BINHEX("100111"; 3) renvoie 027.
=BINHEX(101101) renvoie 2D.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« BINDEC » à la page 83
« BINOCT » à la page 85
« DECHEX » à la page 91
« HEXBIN » à la page 95
« OCTHEX » à la page 100
« Liste des fonctions d’ingénierie » à la page 78
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
84 Chapitre 5 Fonctions d’ingénierieChapitre 5 Fonctions d’ingénierie 85
BINOCT
La fonction BINOCT convertit un nombre binaire en un nombre octal correspondant.
BINOCT(chaîne-binaire; longueur-conversion)
 chaîne-binaire : chaîne représentant le nombre à convertir. chaîne-binaire est une
valeur exprimée sous forme de chaîne. Elle ne doit contenir que les chiffres 0 et 1.
 longueur-conversion : valeur facultative représentant la longueur minimale du
nombre renvoyé. longueur-conversion correspond à un nombre compris entre 1 et
32. En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut correspond à 1. Si elle est
incluse, au besoin, des zéros sont ajoutés en tête de la valeur de convertir-chaîne de
sorte que sa longueur atteigne au moins celle indiquée par longueur-conversion.
Remarques d’usage
 Cette fonction s’appuie sur la notation de complément de deux, sur 32 bits. Par
conséquent, les nombres négatifs se limitent toujours à 11 chiffres.
Exemples
=BINOCT("10011") renvoie 23.
=BINOCT("100111"; 3) renvoie 047.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« BINHEX » à la page 84
« DECOCT » à la page 92
« HEXOCT » à la page 97
« OCTBIN » à la page 98
« BINDEC » à la page 83
« Liste des fonctions d’ingénierie » à la page 78
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44CONVERT
La fonction CONVERT convertit un nombre d’un système de mesure en une valeur
correspondante dans un autre système de mesure.
CONVERT(convertir-nbre; unité-initiale; unité-finale)
 convertir-nbre : nombre à convertir. convertir-nbre correspond à un nombre.
 unité-initiale : unité actuelle du nombre à convertir. unité-initiale est une valeur
exprimée sous forme de chaîne. Elle doit correspondre à l’une des constantes
mentionnées.
 unité-finale : unité du nombre converti. unité-finale est une valeur exprimée sous
forme de chaîne. Elle doit correspondre à l’une des constantes mentionnées.
Remarques d’usage
 Les valeurs possibles d’unité-initiale et d’unité-finale sont indiquées dans les tableaux
qui suivent les exemples (« Unités de conversion prises en charge » à la page 87).
Ces tableaux sont organisés en catégories. Si la valeur est saisie dans une cellule
référencée, au lieu d’être tapée directement dans la fonction, les guillemets qui
apparaissent dans les tableaux ne sont pas requis. La casse est importante. Elle doit
être scrupuleusement respectée.
Exemples
=CONVERT(9; "lbm"; "kg") renvoie 4,08233133 (9 livres équivalent à environ 4,08 kilogrammes).
=CONVERT (26,2; "mi"; "m") renvoie 42164,8128 (26,2 miles équivalent à environ 42 164,8 mètres).
=CONVERT(1; "tsp"; "ml") renvoie 4,92892159375 (1 cuillère à café équivaut à environ 4,9 millilitres).
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« Liste des fonctions d’ingénierie » à la page 78
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
86 Chapitre 5 Fonctions d’ingénierieChapitre 5 Fonctions d’ingénierie 87
Unités de conversion prises en charge
Poids et masse
Mesure Constante
Gramme « g » (utilisable avec des préfixes métriques)
Slug « sg »
Livre (unité de masse du système avoirdupois) « lbm »
U (unité de masse atomique) « u » (utilisable avec des préfixes métriques)
Once (unité de masse du système avoirdupois) « ozm »
Distance
Mesure Constante
Mètre « m » (utilisable avec des préfixes métriques)
Mile terrestre « mi »
Mille nautique « Nmi »
Pouce « in »
Pied « ft »
Yard « yd »
Angström « ang » (utilisable avec des préfixes métriques)
Pica (1/6 po, Postscript Pica) « Pica »
Durée
Mesure Constante
Année « yr »
Semaine « wk »
Jour « day »
Heure « hr »
Minute « mn »
Seconde « sec » (can be used with metric prefixes)Vitesse
Mesure Constante
Miles par heure « mi/h »
Miles par minute « mi/mn »
Mètres par heure « m/h » (utilisable avec des préfixes métriques)
Mètres par minute « m/mn » (utilisable avec des préfixes métriques)
Mètres par seconde « m/s » (utilisable avec des préfixes métriques)
Pieds par minute « ft/mn »
Pieds par seconde « ft/s »
Nœud « kt »
Pression
Mesure Constante
Pascal « Pa » (utilisable avec des préfixes métriques)
Atmosphère « atm » (utilisable avec des préfixes métriques)
Millimètres de mercure « mmHg » (utilisable avec des préfixes métriques)
Force
Mesure Constante
Newton « N » (utilisable avec des préfixes métriques)
Dyne « dyn » (utilisable avec des préfixes métriques)
Livre « lbf »
Énergie
Mesure Constante
Joule « J » (utilisable avec des préfixes métriques)
Erg « e » (utilisable avec des préfixes métriques)
Calorie thermodynamique « c » (utilisable avec des préfixes métriques)
Calorie IT « cal » (utilisable avec des préfixes métriques)
Électronvolt « eV » (utilisable avec des préfixes métriques)
Cheval-heure « HPh »
88 Chapitre 5 Fonctions d’ingénierieChapitre 5 Fonctions d’ingénierie 89
Mesure Constante
Watt-heure « Wh » (utilisable avec des préfixes métriques)
Livre-pied « flb »
BTU (Unité thermique britannique) « BTU »
Puissance
Mesure Constante
Cheval « HP »
Watt « W » (utilisable avec des préfixes métriques)
Magnétisme
Mesure Constante
Tesla « T » (utilisable avec des préfixes métriques)
Gauss « ga » (utilisable avec des préfixes métriques)
Température
Mesure Constante
Degrés Celsius « C »
Degrés Fahrenheit « F »
Kelvins « K » (utilisable avec des préfixes métriques)
Volume liquide
Mesure Constante
Cuillère à café « tsp »
Cuillère à soupe « tbs »
Once liquide « oz »
Tasse « cup »
Pinte américaine « pt »
Pinte britannique « uk_pt »
Quart « qt »
Gallon « gal »
Litre « l » (utilisable avec des préfixes métriques)Préfixes métriques
Mesure Constante Facteur
Exa « E » 1E+18
Péta « P » 1E+15
Téra « T » 1E+12
Giga « G » 1E+09
Méga « M » 1E+06
Kilo « k » 1E+03
Hecto « h » 1E+02
Déca « e » 1E+01
déci « d » 1E-01
centi « c » 1E-02
milli « m » 1E-03
micro « u » ou « µ » 1E-06
nano « n » 1E-09
pico « p » 1E–12
femto « f » 1E–15
atto « a » 1E–18
Remarques d’usage
 Ces préfixes ne peuvent être utilisés qu’avec les constantes métriques g, u, m, ang,
sec, m/h, m/mn, m/s, Pa, atm, mmHg, N, dyn, J, e, c, cal, eV, Wh, W, T, ga, K et l.
DECBIN
La fonction DECBIN convertit un nombre décimal en un nombre binaire
correspondant.
DECBIN(chaîne-décimale; longueur-conversion)
 chaîne-décimale : chaîne représentant le nombre à convertir. chaîne-décimale est
une valeur exprimée sous forme de chaîne. Elle ne doit contenir que des chiffres.
 longueur-conversion : valeur facultative représentant la longueur minimale du
nombre renvoyé. longueur-conversion correspond à un nombre compris entre 1 et
32. En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut correspond à 1. Si elle est
incluse, au besoin, des zéros sont ajoutés en tête de la valeur de convertir-chaîne de
sorte que sa longueur atteigne au moins celle indiquée par longueur-conversion.
90 Chapitre 5 Fonctions d’ingénierieChapitre 5 Fonctions d’ingénierie 91
Exemples
=DECBIN(100) renvoie 01100100.
=DECBIN("1001"; 12) renvoie 001111101001.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« BINDEC » à la page 83
« DECHEX » à la page 91
« DECOCT » à la page 92
« HEXBIN » à la page 95
« OCTBIN » à la page 98
« Liste des fonctions d’ingénierie » à la page 78
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
DECHEX
La fonction DECHEX convertit un nombre décimal en un nombre hexadécimal
correspondant.
DECHEX(chaîne-décimale; longueur-conversion)
 chaîne-décimale : chaîne représentant le nombre à convertir. chaîne-décimale est
une valeur exprimée sous forme de chaîne. Elle ne doit contenir que des chiffres.
 longueur-conversion : valeur facultative représentant la longueur minimale du
nombre renvoyé. longueur-conversion correspond à un nombre compris entre 1 et
32. En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut correspond à 1. Si elle est
incluse, au besoin, des zéros sont ajoutés en tête de la valeur de convertir-chaîne de
sorte que sa longueur atteigne au moins celle indiquée par longueur-conversion.
Exemples
=DECHEX(100) renvoie 64.
=DECHEX("1001"; 4) renvoie 03E9.Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« BINHEX » à la page 84
« DECBIN » à la page 90
« DECOCT » à la page 92
« HEXDEC » à la page 96
« OCTHEX » à la page 100
« Liste des fonctions d’ingénierie » à la page 78
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
DECOCT
La fonction DECOCT convertit un nombre décimal en un nombre octal correspondant.
DECOCT(chaîne-décimale; longueur-conversion)
 chaîne-décimale : chaîne représentant le nombre à convertir. chaîne-décimale est
une valeur exprimée sous forme de chaîne. Elle ne doit contenir que des chiffres.
 longueur-conversion : valeur facultative représentant la longueur minimale du
nombre renvoyé. longueur-conversion correspond à un nombre compris entre 1 et
32. En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut correspond à 1. Si elle est
incluse, au besoin, des zéros sont ajoutés en tête de la valeur de convertir-chaîne de
sorte que sa longueur atteigne au moins celle indiquée par longueur-conversion.
Exemples
=DECOCT(100) renvoie 144.
=DECOCT("1001"; 4) renvoie 1751.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« BINOCT » à la page 85
« DECBIN » à la page 90
« DECHEX » à la page 91
92 Chapitre 5 Fonctions d’ingénierieChapitre 5 Fonctions d’ingénierie 93
« HEXOCT » à la page 97
« OCTDEC » à la page 99
« Liste des fonctions d’ingénierie » à la page 78
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
DELTA
La fonction DELTA détermine si deux valeurs sont exactement égales. Cette fonction
s’appuie sur une égalité exacte. À titre de comparaison, l’opérateur = s’appuie sur une
égalité de chaîne.
DELTA(comparer-de; comparer-à)
 comparer-de : valeur numérique. comparer-de correspond à un nombre.
 comparer-à : valeur numérique. comparer-à correspond à un nombre.
Remarques d’usage
 DELTA renvoie 1 (VRAI) si la valeur comparer-de est exactement égale à la valeur
comparer-à ; sinon, la fonction renvoie 0 (FAUX).
Exemples
=DELTA(5; 5) renvoie 1 (VRAI).
=DELTA(5; –5) renvoie 0 (FAUX).
=DELTA(5; 5000) renvoie 1 (VRAI).
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« SUP.SEUIL » à la page 101
« Liste des fonctions d’ingénierie » à la page 78
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44ERF
La fonction ERF renvoie la fonction d’erreur intégrée entre deux valeurs.
ERF(inférieur; supérieur)
 inférieur : limite inférieure. inférieur correspond à un nombre.
 supérieur : argument facultatif représentant la limite supérieure. supérieur
correspond à un nombre. Si supérieur est omis, la valeur supposée par défaut
correspond à 0.
Remarques d’usage
 Cette fonction est aussi appelée la fonction d’erreur de Gauss.
Exemples
=ERF(0; 1) renvoie 0,842700792949715.
=ERF(–1; 1) renvoie 1,68540158589943.
=ERF(1; 8) renvoie 0,157299207050285.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« ERFC » à la page 94
« Liste des fonctions d’ingénierie » à la page 78
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
ERFC
La fonction ERFC renvoie la fonction ERF complémentaire intégrée entre une limite
inférieure donnée et l’infini.
ERFC(inférieur)
 inférieur : limite inférieure. inférieur correspond à un nombre.
Exemples
=ERFC(-1) renvoie 1,84270079294971.
=ERFC(1) renvoie 0,157299207050285.
=ERFC(12) renvoie 1,3562611692059E–64.
94 Chapitre 5 Fonctions d’ingénierieChapitre 5 Fonctions d’ingénierie 95
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« ERF » à la page 94
« Liste des fonctions d’ingénierie » à la page 78
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
HEXBIN
La fonction HEXBIN convertit un nombre hexadécimal en un nombre binaire
correspondant.
HEXBIN(chaîne-hexadécimale; longueur-conversion)
 chaîne-hexadécimale : chaîne représentant le nombre à convertir. chaînehexadécimale est une valeur exprimée sous forme de chaîne. Elle ne doit contenir
que des chiffres et des lettres se limitant à A à F.
 longueur-conversion : valeur facultative représentant la longueur minimale du
nombre renvoyé. longueur-conversion correspond à un nombre compris entre 1 et
32. En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut correspond à 1. Si elle est
incluse, au besoin, des zéros sont ajoutés en tête de la valeur de convertir-chaîne de
sorte que sa longueur atteigne au moins celle indiquée par longueur-conversion.
Remarques d’usage
 Cette fonction s’appuie sur la notation de complément de deux, sur 32 bits. Par
conséquent, les nombres négatifs se limitent toujours à 32 chiffres.
Exemples
=HEXBIN("F"; 8) renvoie « 00 001 111 ».
=HEXBIN("3F") renvoie « 0 111 111 ».
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« BINHEX » à la page 84
« HEXDEC » à la page 96
« HEXOCT » à la page 97« OCTBIN » à la page 98
« DECBIN » à la page 90
« Liste des fonctions d’ingénierie » à la page 78
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
HEXDEC
La fonction HEXDEC convertit un nombre hexadécimal en un nombre décimal
correspondant.
HEXDEC(chaîne-hexadécimale; longueur-conversion)
 chaîne-hexadécimale : chaîne représentant le nombre à convertir. chaînehexadécimale est une valeur exprimée sous forme de chaîne. Elle ne doit contenir
que des chiffres et des lettres se limitant à A à F.
 longueur-conversion : valeur facultative représentant la longueur minimale du
nombre renvoyé. longueur-conversion correspond à un nombre compris entre 1 et
32. En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut correspond à 1. Si elle est
incluse, au besoin, des zéros sont ajoutés en tête de la valeur de convertir-chaîne de
sorte que sa longueur atteigne au moins celle indiquée par longueur-conversion.
Exemples
=HEXDEC("F"; 3) renvoie 015.
=HEXDEC("3F") renvoie 63.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« BINDEC » à la page 83
« DECHEX » à la page 91
« HEXBIN » à la page 95
« HEXOCT » à la page 97
« OCTDEC » à la page 99
« Liste des fonctions d’ingénierie » à la page 78
96 Chapitre 5 Fonctions d’ingénierieChapitre 5 Fonctions d’ingénierie 97
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
HEXOCT
La fonction HEXOCT convertit un nombre hexadécimal en un nombre octal
correspondant.
HEXOCT(chaîne-hexadécimale; longueur-conversion)
 chaîne-hexadécimale : chaîne représentant le nombre à convertir. chaînehexadécimale est une valeur exprimée sous forme de chaîne. Elle ne doit contenir
que des chiffres et des lettres se limitant à A à F.
 longueur-conversion : valeur facultative représentant la longueur minimale du
nombre renvoyé. longueur-conversion correspond à un nombre compris entre 1 et
32. En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut correspond à 1. Si elle est
incluse, au besoin, des zéros sont ajoutés en tête de la valeur de convertir-chaîne de
sorte que sa longueur atteigne au moins celle indiquée par longueur-conversion.
Remarques d’usage
 Cette fonction s’appuie sur la notation de complément de deux, sur 32 bits. Par
conséquent, les nombres négatifs se limitent toujours à 11 chiffres.
Exemples
=HEXOCT("F"; 3) renvoie 017.
=HEXOCT("4E") renvoie 116.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« BINOCT » à la page 85
« DECOCT » à la page 92
« HEXBIN » à la page 95
« HEXDEC » à la page 96
« OCTHEX » à la page 100
« Liste des fonctions d’ingénierie » à la page 78
« Types de valeur » à la page 39« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
OCTBIN
La fonction OCTBIN convertit un nombre octal en un nombre binaire correspondant.
OCTBIN(chaîne-octale; longueur-conversion)
 chaîne-octale : chaîne représentant le nombre à convertir. chaîne-octale est une
valeur exprimée sous forme de chaîne. Elle ne doit contenir que les chiffres 0 à 7.
 longueur-conversion : valeur facultative représentant la longueur minimale du
nombre renvoyé. longueur-conversion correspond à un nombre compris entre 1 et
32. En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut correspond à 1. Si elle est
incluse, au besoin, des zéros sont ajoutés en tête de la valeur de convertir-chaîne de
sorte que sa longueur atteigne au moins celle indiquée par longueur-conversion.
Remarques d’usage
 Cette fonction s’appuie sur la notation de complément de deux, sur 32 bits. Par
conséquent, les nombres négatifs se limitent toujours à 32 chiffres.
Exemples
=OCTBIN(127; 8) renvoie 01 010 111.
=OCTBIN(15) renvoie 01 101.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« BINOCT » à la page 85
« DECBIN » à la page 90
« HEXBIN » à la page 95
« OCTDEC » à la page 99
« OCTHEX » à la page 100
« Liste des fonctions d’ingénierie » à la page 78
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
98 Chapitre 5 Fonctions d’ingénierieChapitre 5 Fonctions d’ingénierie 99
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
OCTDEC
La fonction OCTDEC convertit un nombre octal en un nombre décimal correspondant.
OCTDEC(chaîne-octale; longueur-conversion)
 chaîne-octale : chaîne représentant le nombre à convertir. chaîne-octale est une
valeur exprimée sous forme de chaîne. Elle ne doit contenir que les chiffres 0 à 7.
 longueur-conversion : valeur facultative représentant la longueur minimale du
nombre renvoyé. longueur-conversion correspond à un nombre compris entre 1 et
32. En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut correspond à 1. Si elle est
incluse, au besoin, des zéros sont ajoutés en tête de la valeur de convertir-chaîne de
sorte que sa longueur atteigne au moins celle indiquée par longueur-conversion.
Exemples
=OCTDEC(127; 4) renvoie 0087.
=OCTDEC(15) renvoie 13.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« BINDEC » à la page 83
« DECOCT » à la page 92
« OCTBIN » à la page 98
« OCTHEX » à la page 100
« Liste des fonctions d’ingénierie » à la page 78
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44OCTHEX
La fonction OCTHEX convertit un nombre octal en un nombre hexadécimal
correspondant.
OCTHEX(chaîne-octale; longueur-conversion)
 chaîne-octale : chaîne représentant le nombre à convertir. chaîne-octale est une
valeur exprimée sous forme de chaîne. Elle ne doit contenir que les chiffres 0 à 7.
 longueur-conversion : valeur facultative représentant la longueur minimale du
nombre renvoyé. longueur-conversion correspond à un nombre compris entre 1 et
32. En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut correspond à 1. Si elle est
incluse, au besoin, des zéros sont ajoutés en tête de la valeur de convertir-chaîne de
sorte que sa longueur atteigne au moins celle indiquée par longueur-conversion.
Remarques d’usage
 Cette fonction s’appuie sur la notation de complément de deux, sur 32 bits. Par
conséquent, les nombres négatifs se limitent toujours à 8 chiffres.
Exemples
=OCTHEX(127; 4) renvoie 0057.
=OCTHEX(15) renvoie 0D.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« BINHEX » à la page 84
« DECHEX » à la page 91
« HEXOCT » à la page 97
« OCTBIN » à la page 98
« OCTDEC » à la page 99
« Liste des fonctions d’ingénierie » à la page 78
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
100 Chapitre 5 Fonctions d’ingénierieChapitre 5 Fonctions d’ingénierie 101
SUP.SEUIL
La fonction SUP.SEUIL détermine si une valeur est supérieure ou exactement
égale à une autre valeur. Cette fonction s’appuie sur une égalité exacte. À titre de
comparaison, l’opérateur = s’appuie sur une égalité de chaîne.
SUP.SEUIL(nbre-à-comparer; écart-nombre)
 nbre-à-comparer : nombre à comparer. nbre-à-comparer correspond à un nombre.
 écart-nombre : valeur du pas. écart-nombre correspond à un nombre.
Remarques d’usage
 SUP.SEUIL renvoie 1 (VRAI) si la valeur nbre-à-comparer est supérieure ou égale à la
valeur écart-nombre ; sinon, la fonction renvoie 0 (FAUX).
Exemples
=SUP.SEUIL(–4, –5) renvoie 1 (VRAI) puisque – 4 est supérieur à – 5.
=SUP.SEUIL(4, 5) renvoie 0 (FAUX) puisque 4 est inférieur à 5.
=SUP.SEUIL(5; 4) renvoie 1 (VRAI) puisque 5 est supérieur à 4.
=GESTEP(20; 20) renvoie 1 (VRAI) puisque 20 est exactement égal à 20.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« DELTA » à la page 93
« Liste des fonctions d’ingénierie » à la page 78
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44102
L’aide sur les fonctions financières vous aide à travailler avec
des flux de trésorerie, des actifs amortissables, des annuités
et des investissements en résolvant des problèmes comme
le calcul de l’amortissement annuel d’un actif, les intérêts
gagnés sur un investissement et le prix du marché courant
d’une obligation.
Liste des fonctions financières
Ces fonctions financières ont été intégrées à iWork pour que vous puissiez les utiliser
dans des tableaux.
Fonction Description
« AMORLIN » (page 106) La fonction AMORLIN renvoie le montant de
l’amortissement d’un actif par période en faisant
appel à la méthode de l’amortissement linéaire.
« CUMUL.INTER » (page 107) La fonction CUMUL.INTER renvoie les intérêts
totaux inclus dans des paiements de rente ou de
remboursement d’un prêt dans un intervalle de
temps donné en s’appuyant sur des paiements
périodiques fixes et sur un taux d’intérêt fixe.
« CUMUL.PRINCPER » (page 109) La fonction CUMUL.PRINCPER renvoie le principal
total inclus dans des paiements de rente ou de
remboursement d’un prêt dans un intervalle de
temps donné en s’appuyant sur des paiements
périodiques fixes et sur un taux d’intérêt fixe.
6
Fonctions financièresChapitre 6 Fonctions financières 103
Fonction Description
« DB » (page 111) La fonction DB renvoie le montant
d’amortissement d’un actif pour une
période indiquée à l’aide de la méthode de
l’amortissement dégressif à taux constant.
« DDB » (page 113) La fonction DDB renvoie le montant
d’amortissement d’un actif en s’appuyant sur le
taux d’amortissement indiqué.
« DUREE.M.OBLIGATION » (page 115) La fonction DUREE.M.OBLIGATION calcule
la moyenne pondérée modifiée de la valeur
actualisée des flux de trésorerie pour une valeur
nominale de 100 €.
« DUREE.OBLIGATION » (page 116) La fonction DUREE.OBLIGATION calcule la
moyenne pondérée de la valeur actualisée des
flux de trésorerie pour une valeur nominale de
100 €.
« INTERET.ACC » (page 118) La fonction INTERET.ACC calcule les intérêts
courus totaux ajoutés au prix d’achat d’un titre
et payés au vendeur lorsque le titre verse des
intérêts périodiques.
« INTERET.ACC.MAT » (page 120) La fonction INTERET.ACC.MAT calcule les intérêts
courus totaux ajoutés au prix d’achat d’un titre
et payés au vendeur lorsque le titre ne verse
d’intérêts qu’à l’échéance.
« INTPER » (page 121) La fonction INTPER renvoie la part des intérêts
de paiement d’une rente ou de remboursement
d’un prêt en s’appuyant sur des paiements
périodiques fixes et sur un taux d’intérêt fixe.
« ISPMT » (page 123) La fonction ISPMT renvoie la part des intérêts
de paiement d’une rente ou de remboursement
d’un prêt en s’appuyant sur des paiements
périodiques fixes et sur un taux d’intérêt fixe.
Cette fonction a été incluse afin d’assurer la
compatibilité avec les tableaux importés d’autres
tableurs.
« NB.COUPONS » (page 124) La fonction NB.COUPONS renvoie le nombre
de coupons restant à payer entre la date de
règlement et l’échéance.Fonction Description
« NB.JOURS.COUPON » (page 125) La fonction NB.JOURS.COUPON renvoie le
nombre de jours dans la période de coupon dans
laquelle le règlement a lieu.
« NB.JOURS.COUPON.SUIV » (page 126) La fonction NB.JOURS.COUPON.PREC renvoie le
nombre de jours entre le début de la période de
coupon dans laquelle le règlement a lieu et la
date de règlement.
« NB.JOURS.COUPON.SUIV » (page 128) La fonction NB.JOURS.COUPON.SUIV renvoie le
nombre de jours entre la date de règlement et
la fin de la période de coupon dans laquelle le
règlement a lieu.
« NPM » (page 129) La fonction NPM renvoie le nombre de périodes
de paiement pour un prêt ou une annuité en
s’appuyant sur une série de flux de trésorerie
périodiques réguliers (paiements d’un montant
constant et tous les flux de trésorerie à intervalles
constants) et d’un taux d’intérêt fixe.
« PRINCPER » (page 131) La fonction PRINCPER renvoie la part du principal
du paiement d’une rente ou du remboursement
d’un prêt en s’appuyant sur des paiements
périodiques fixes et sur un taux d’intérêt fixe.
« PRIX.TITRE » (page 133) La fonction PRIX.TITRE renvoie le prix d’un titre
qui verse des intérêts périodiques par tranche de
100 € de valeur de remboursement (nominale).
« PRIX.TITRE.ECHEANCE » (page 134) La fonction PRIX.TITRE.ECHEANCE renvoie le prix
d’un titre qui verse des intérêts périodiques par
tranche de 100 € de valeur de remboursement
(nominale).
« RENDEMENT.SIMPLE » (page 136) La fonction RENDEMENT.SIMPLE renvoie le taux
d’intérêt annuel effectif d’un titre qui est vendu
avec un escompte par rapport à son prix de
remboursement et qui ne verse pas d’intérêts.
« RENDEMENT.TITRE » (page 137) La fonction RENDEMENT.TITRE renvoie le taux
d’intérêt annuel effectif d’un titre qui verse des
intérêts périodiques réguliers.
« RENDEMENT.TITRE.ECHEANCE » (page 139) La fonction RENDEMENT.TITRE.ECHEANCE renvoie
le taux d’intérêt annuel effectif d’un titre qui ne
verse d’intérêts qu’à l’échéance.
104 Chapitre 6 Fonctions financièresChapitre 6 Fonctions financières 105
Fonction Description
« SYD » (page 140) La fonction SYD renvoie le montant de
l’amortissement d’un actif sur une période
indiquée en s’appuyant sur la méthode de
l’amortissement proportionnel à l’ordre
numérique inversé des années.
« TAUX » (page 141) La fonction TAUX renvoie le taux d’intérêt d’un
investissement, d’un prêt ou d’une annuité en
s’appuyant sur une série de flux de trésorerie
périodiques réguliers (paiements d’un montant
constant et tous les flux de trésorerie à intervalles
constants) et d’un taux d’intérêt fixe.
« TAUX.EFFECTIF » (page 144) La fonction TAUX.EFFECTIF renvoie le taux
d’intérêt effectif annuel à partir du taux d’intérêt
annuel nominal en s’appuyant sur le nombre
de périodes par année de calcul de l’intérêt
composé.
« TAUX.ESCOMPTE » (page 145) La fonction TAUX.ESCOMPTE renvoie le taux
d’escompte annuel d’un titre qui ne paie pas
d’intérêts et qui est vendu avec un escompte par
rapport à son prix de remboursement.
« TAUX.INTERET » (page 146) La fonction TAUX.INTERET renvoie le taux
d’intérêt annuel effectif d’un titre qui ne verse
d’intérêts qu’à l’échéance.
« TAUX.NOMINAL » (page 147) La fonction TAUX.NOMINAL renvoie le taux
d’intérêt nominal annuel à partir du taux d’intérêt
annuel effectif en s’appuyant sur le nombre
de périodes par année de calcul de l’intérêt
composé.
« TRI » (page 148) La fonction TRI renvoie le taux de rendement
interne d’un investissement qui s’appuie sur une
série de flux de trésorerie pouvant être irréguliers
mais réalisés à intervalles réguliers.
« TRIM » (page 150) La fonction TRIM renvoie le taux de rendement
interne modifié pour un investissement qui
est basé sur une série de flux de trésorerie
potentiellement irréguliers réalisés à des
intervalles réguliers. Le taux gagné sur les flux de
trésorerie positifs et le taux payé pour financer les
flux de trésorerie négatifs peuvent différer.
« VA » (page 152) La fonction VA renvoie la valeur actualisée d’un
investissement ou d’une annuité en s’appuyant
sur une série de flux de trésorerie périodiques
réguliers (paiements d’un montant constant et
tous les flux de trésorerie à intervalles constants)
et d’un taux d’intérêt fixe.Fonction Description
« VALEUR.ENCAISSEMENT » (page 154) La fonction VALEUR.ENCAISSEMENT renvoie le
prix d’un titre qui est vendu avec un escompte
par rapport au prix de remboursement et qui
ne verse pas d’intérêts par tranche de 100 € de
valeur de remboursement (valeur nominale).
« VALEUR.NOMINALE » (page 156) La fonction VALEUR.NOMINALE renvoie la valeur
à l’échéance d’un titre qui ne verse d’intérêts qu’à
l’échéance.
« VAN » (page 157) La fonction VAN renvoie la valeur actualisée nette
pour un investissement qui s’appuie sur une série
de flux de trésorerie pouvant être irréguliers mais
réalisés à intervalles réguliers.
« VC » (page 159) La fonction VC renvoie la valeur future d’un
investissement en s’appuyant sur une série
de flux de trésorerie périodiques réguliers
(paiements d’un montant constant et tous les
flux de trésorerie à intervalles constants) et d’un
taux d’intérêt fixe.
« VDB » (page 161) La fonction VDB renvoie le montant
d’amortissement d’un actif sur un intervalle
de temps choisi en s’appuyant sur un taux
d’amortissement indiqué.
« VPM » (page 163) La fonction VPM renvoie le paiement périodique
pour un prêt ou une annuité en s’appuyant
sur une série de flux de trésorerie périodiques
réguliers (paiements d’un montant constant et
tous les flux de trésorerie à intervalles constants)
et d’un taux d’intérêt fixe.
AMORLIN
La fonction AMORLIN renvoie le montant de l’amortissement d’un actif par période en
faisant appel à la méthode de l’amortissement linéaire.
AMORLIN(montant; amortissement comptable; vie)
 coût : coût initial de l’actif. montant correspond à un nombre supérieur ou égal à 0.
 récupération : valeur de récupération de l’actif. amortissement comptable
correspond à un nombre supérieur ou égal à 0.
 vie : nombre de périodes d’amortissement de l’actif. vie correspond à un nombre
supérieur à 0. Une partie décimale (fraction) de vie est autorisée (par exemple, une
durée d’amortissement de 5,5 années).
106 Chapitre 6 Fonctions financièresChapitre 6 Fonctions financières 107
Exemple
=AMORLIN(10000; 1000; 6) renvoie 1 500 €, l’amortissement par année en euros d’un actif qui a coûté
à l’origine 10 000 € et qui présente une valeur résiduelle estimée de 1 000 € après 6 années.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« DB » à la page 111
« DDB » à la page 113
« SYD » à la page 140
« VDB » à la page 161
« Arguments communs utilisés dans les fonctions financières » à la page 366
« Liste des fonctions financières » à la page 102
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
CUMUL.INTER
La fonction CUMUL.INTER renvoie les intérêts totaux inclus dans des paiements
de rente ou de remboursement d’un prêt dans un intervalle de temps donné en
s’appuyant sur des paiements périodiques fixes et sur un taux d’intérêt fixe.
CUMUL.INTER(taux-périodique; nbre-périodes; valeur-actualisée; période-initiale; périodefinale; échéance)
 taux-périodique : taux d’intérêt par période. taux-périodique correspond à un
nombre et doit être saisi soit sous la forme d’un nombre décimal (par exemple 0,08),
soit d’un pourcentage (par exemple, 8 %).
 nbre-périodes : nombre de périodes. nbre-périodes correspond à un nombre
supérieur ou égal à 0.
 valeur-actualisée : valeur de l’investissement initial ou le montant du prêt ou de
l’annuité. valeur-actualisée correspond à un nombre. Au moment 0, un montant
perçu est un montant positif et un montant investi est un montant négatif. Il peut
s’agir par exemple d’un montant emprunté (positif) ou du règlement de départ fait
sur un contrat à annuités (négatif). période-initiale : période de départ à inclure dans le calcul. période-initiale
correspond à un nombre.
 période-finale : période de fin à inclure dans le calcul. période-finale correspond à
un nombre supérieur à 0 et à période-initiale.
 échéance : indique si les paiements sont dus au début ou à la fin de chaque
période.
fin (0): paiements dus à la fin de chaque période.
début (1): paiements dus au début de chaque période.
Remarques d’usage
 Si règlement est antérieur à premier, la fonction renvoie les intérêts courus depuis
émission. Si règlement est postérieur à premier, la fonction renvoie les intérêts courus
depuis la date de paiement du coupon immédiatement antérieure à règlement.
 Utilisez INTERET.ACC.MAT pour un titre qui ne paie des intérêts qu’à l’échéance.
Exemples
En général, le montant des intérêts payés sur un prêt est plus élevé dans les premières années que
dans les dernières années. Cet exemple montre à quel point les premières années peuvent être plus
élevées. Imaginons un prêt hypothécaire avec un prêt initial de 550 000 €, un taux d’intérêt de 6 % et
une échéance à 30 ans.
La fonction CUMUL.INTER peut être utilisée pour déterminer les intérêts pour n’importe quelle
période. Dans le tableau qui suit, CUMIPMT a été utilisé pour déterminer les intérêts payés la
première année (paiements 1à 12) et la dernière année (paiements 349 à 360) du terme du prêt. La
fonction renvoie respectivement les valeurs 32 816,27 € et 1 256,58 €. Le montant des intérêts payés
la première année est plus de 26 fois supérieur au montant des intérêts payés la dernière année.
tauxpériodique
nbre-périodes valeuractualisée
période-initiale période-finale échéance
=CUMUL.INTER
(B2; C2; D2; E2;
F2; G2)
=0,06/12 360 =550000 1 12 0
=CUMUL.INTER
(B2; C2; D2; E3;
F3; G2)
349 360
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« CUMUL.PRINCPER » à la page 109
« INTPER » à la page 121
« VPM » à la page 163
« PRINCPER » à la page 131
108 Chapitre 6 Fonctions financièresChapitre 6 Fonctions financières 109
« Exemple de tableau d’amortissement pour un prêt » à la page 381
« Arguments communs utilisés dans les fonctions financières » à la page 366
« Liste des fonctions financières » à la page 102
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
CUMUL.PRINCPER
La fonction CUMUL.PRINCPER renvoie le principal total inclus dans des paiements
de rente ou de remboursement d’un prêt dans un intervalle de temps donné en
s’appuyant sur des paiements périodiques fixes et sur un taux d’intérêt fixe.
CUMUL.PRINCPER(taux-périodique; nbre-périodes; valeur-actualisée; période-initiale;
période-finale; échéance)
 taux-périodique : taux d’intérêt par période. taux-périodique correspond à un
nombre et doit être saisi soit sous la forme d’un nombre décimal (par exemple 0,08),
soit d’un pourcentage (par exemple, 8 %).
 nbre-périodes : nombre de périodes. nbre-périodes correspond à un nombre
supérieur ou égal à 0.
 valeur-actualisée : valeur de l’investissement initial ou le montant du prêt ou de
l’annuité. valeur-actualisée correspond à un nombre. Au moment 0, un montant
perçu est un montant positif et un montant investi est un montant négatif. Il peut
s’agir par exemple d’un montant emprunté (positif) ou du règlement de départ fait
sur un contrat à annuités (négatif).
 période-initiale : période de départ à inclure dans le calcul. période-initiale
correspond à un nombre.
 période-finale : période de fin à inclure dans le calcul. période-finale correspond à
un nombre supérieur à 0 et à période-initiale.
 échéance : indique si les paiements sont dus au début ou à la fin de chaque
période.
fin (0): paiements dus à la fin de chaque période.
début (1): paiements dus au début de chaque période.Exemples
En général, le montant de la réduction de principal sur un prêt est plus élevé dans les dernières
années que dans les premières années. Cet exemple montre à quel point les dernières années
peuvent être plus élevées. Imaginons un prêt hypothécaire avec un prêt initial de 550 000 €, un taux
d’intérêt de 6 % et une échéance à 30 ans.
La fonction CUMUL.PRINCPER peut être utilisée pour déterminer les intérêts pour n’importe quelle
période. Dans le tableau qui suit, CUMUL.PRINCPER a été utilisé pour déterminer le principal
remboursé la première année (paiements 1à 12) et la dernière année (paiements 349 à 360) du terme
du prêt. La fonction renvoie respectivement les valeurs 6 754,06 € et 38 313,75 €. Le montant de
principal payé la première année ne représente que 18 % du montant de principal payé la dernière
année.
tauxpériodique
nbre-périodes valeuractualisée
période-initiale période-finale échéance
=CUMUL.
PRINCPER (B2;
C2; D2; E2; F2;
G2)
=0,06/12 360 =550000 1 12 0
=CUMUL.
PRINCPER (B2;
C2; D2; E3; F3;
G2)
349 360
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« CUMUL.INTER » à la page 107
« INTPER » à la page 121
« VPM » à la page 163
« PRINCPER » à la page 131
« Exemple de tableau d’amortissement pour un prêt » à la page 381
« Arguments communs utilisés dans les fonctions financières » à la page 366
« Liste des fonctions financières » à la page 102
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
110 Chapitre 6 Fonctions financièresChapitre 6 Fonctions financières 111
DB
La fonction DB renvoie le montant d’amortissement d’un actif pour une période
indiquée à l’aide de la méthode de l’amortissement dégressif à taux constant.
DB(montant; amortissement comptable; vie; période-amort; première-année-mois)
 coût : coût initial de l’actif. montant correspond à un nombre supérieur ou égal à 0.
 récupération : valeur de récupération de l’actif. amortissement comptable
correspond à un nombre supérieur ou égal à 0.
 vie : nombre de périodes d’amortissement de l’actif. vie correspond à un nombre
supérieur à 0. Une partie décimale (fraction) de vie est autorisée (par exemple, une
durée d’amortissement de 5,5 années).
 période-amort : période sur laquelle vous cherchez à calculer l’amortissement.
période-amort correspond à un nombre supérieur à 0. Toute partie décimale
(fraction) de période-amort est ignorée.
 mois de la première année : argument facultatif représentant le nombre de mois
de la première année d’amortissement. première-année-mois correspond à un
nombre compris entre 1 et 12. Toute partie décimale (fraction) de première-annéemois est ignorée.
Exemple 1
Construction d’un plan d’amortissement
Imaginons que vous venez d’acquérir un actif d’une valeur de 1 000 €, une valeur résiduelle de 100 €
et une durée de vie utile estimée à 4 ans. L’actif peut s’amortir sur 12 mois au cours de la première
année.
Avec la fonction DB, vous pouvez construire un tableau d’amortissement indiquant l’amortissement
pour chaque année.
montant amortissement
comptable
vie période-amort première-annéemois
1 000 100 4 12
Première année
(renvoie 438 €)
=DB(B2; C2; D2;
E3; F2)
1
Deuxième année
(renvoie 246,16 €)
=DB(B2; C2; D2;
E4; F2)
2
Troisième année
(renvoie 138,74 €)
=DB(B2; C2; D2;
E5; F2)
3
Quatrième année
(renvoie 77,75 €)
=DB(B2; C2; D2;
E6; F2)
4 Exemple 2
Amortissement pour la première année partielle
Prenons les mêmes faits que dans l’exemple 1, mais imaginons que l’actif soit amorti pendant mois
de 12 mois la première année.
montant amortissement
comptable
vie période-amort première-annéemois
1 000 100 4 1
Amortir pendant
9 mois (renvoie
328,50 €)
=DB(B2; C2; D2;
E2; F3)
9
Amortir pendant
6 mois (renvoie
219 €)
=DB(B2; C2; D2;
E2; F4)
3
Amortir pendant
3 mois (renvoie
109,50 €)
=DB(B2; C2; D2;
E2; F5)
6
Amortir pendant
1 mois (renvoie
36,50 €)
=DB(B2; C2; D2;
E2; F6)
1
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« DDB » à la page 113
« AMORLIN » à la page 106
« SYD » à la page 140
« VDB » à la page 161
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« Liste des fonctions financières » à la page 102
« Types de valeur » à la page 39
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112 Chapitre 6 Fonctions financièresChapitre 6 Fonctions financières 113
DDB
La fonction DDB renvoie le montant d’amortissement d’un actif en s’appuyant sur le
taux d’amortissement indiqué.
DDB(montant; amortissement comptable; vie; période-amort; facteur-amort)
 coût : coût initial de l’actif. montant correspond à un nombre supérieur ou égal à 0.
 récupération : valeur de récupération de l’actif. amortissement comptable
correspond à un nombre supérieur ou égal à 0.
 vie : nombre de périodes d’amortissement de l’actif. vie correspond à un nombre
supérieur à 0. Une partie décimale (fraction) de vie est autorisée (par exemple, une
durée d’amortissement de 5,5 années).
 période-amort : période sur laquelle vous cherchez à calculer l’amortissement.
période-amort correspond à un nombre supérieur à 0. Toute partie décimale
(fraction) de période-amort est ignorée.
 facteur-amort : nombre facultatif qui détermine le taux d’amortissement. facteuramort correspond à un nombre. En cas d’omission, cette valeur est considérée
comme étant égale à 2 (200 % pour un amortissement décroissant à taux double).
Plus le nombre est élevé, plus l’amortissement est rapide. Par exemple, si vous
voulez obtenir un taux d’amortissement d’une fois et demie l’amortissement
linéaire, utilisez 1,5 ou 150 %.
Exemples
Imaginons que vous venez d’acquérir un actif d’une valeur de 1 000 €, une valeur résiduelle de 100 €
et une durée de vie utile estimée à 4 ans.
Avec la fonction DDB, vous pouvez déterminer l’amortissement pour différentes périodes et différents
taux d’amortissement.
montant amortissement
comptable
vie période-amort facteur-amort
1 000 100 4
Première année,
amortissement
décroissant à taux
double (renvoie
500 €)
=DDB(B2; C2; D2;
E3; F3)
1 2
Deuxième année,
amortissement
décroissant à taux
double (renvoie
250 €)
=DDB(B2; C2; D2;
E4; F4)
2 2 montant amortissement
comptable
vie période-amort facteur-amort
Troisième année,
amortissement
décroissant à taux
double (renvoie
125 €)
=DDB(B2; C2; D2;
E5; F5)
3 2
Quatrième année,
amortissement
décroissant à taux
double (renvoie
25 €)
=DDB(B2; C2; D2;
E6; F6)
4 2
Première année,
amortissement
linéaire (renvoie
250 €)
=DDB(B2; C2; D2;
E7; F7)
1 1
Première année,
amortissement
décroissant à taux
triple (renvoie
750 €)
=DDB(B2; C2; D2;
E8; F8)
3 1
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« DB » à la page 111
« AMORLIN » à la page 106
« SYD » à la page 140
« VDB » à la page 161
« Arguments communs utilisés dans les fonctions financières » à la page 366
« Liste des fonctions financières » à la page 102
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
114 Chapitre 6 Fonctions financièresChapitre 6 Fonctions financières 115
DUREE.M.OBLIGATION
La fonction DUREE.M.OBLIGATION calcule la moyenne pondérée modifiée de la valeur
actualisée des flux de trésorerie pour une valeur nominale de 100 €.
DUREE.M.OBLIGATION(règlement; échéance; taux-annuel; rendement-annuel; fréquence;
base-journalière)
 règlement : date de règlement de la transaction. règlement correspond à une valeur
de date/heure. La date de règlement de la transaction est généralement postérieure
d’un ou de plusieurs jours à la date de la transaction.
 échéance : date à laquelle le titre arrive à échéance. échéance correspond à une
valeur de date/heure. Elle doit être postérieure à règlement.
 taux-annuel : taux de coupon annuel ou taux d’intérêt annuel du titre. taux-annuel
correspond à un nombre et doit être saisi soit sous la forme d’un nombre décimal
(par exemple 0,08), soit d’un pourcentage (par exemple, 8 %).
 rendement-annuel : rendement annuel du titre. rendement-annuel correspond à un
nombre et doit être saisi soit sous la forme d’un nombre décimal (par exemple 0,08),
soit d’un pourcentage (par exemple, 8 %).
 fréquence : nombre de règlements de coupons par année
annuel (1): un paiement par an.
semestriel (2): deux paiements par an.
trimestriel (4): quatre paiements par an.
 base-journalière : argument facultatif indiquant le nombre de jours par mois et de
jours par année servant aux calculs.
30/360 (0 ou omis): 30 jours pour chaque mois, 360 jours pour chaque année,
méthode NASD pour les dates tombant le 31 du mois.
réels/réels (1): jours naturels pour chaque mois, jours naturels pour chaque année.
réels/360 (2): jours naturels pour chaque mois, 360 jours par année.
réels/365 (3): jours naturels pour chaque mois, 365 jours par année.
30E/360 (4): 30 jours pour chaque mois, 360 jours pour chaque année, méthode
européenne pour les dates tombant le 31 du mois (format européen 30/360).
Remarques d’usage
 Cette fonction renvoie une valeur connue sous le nom de « durée Macauley ».Exemple
Supposons que vous étudiez la pertinence d’un investissement dans un titre. Le règlement final
de l’investissement doit se faire le 2 avril 2010 et l’échéance tombe le 31 décembre 2015. Le taux du
coupon est de 5 %, ce qui donne un rendement d’approximativement 5,284 % (le rendement se
calcule par la fonction RENDEMENT.TITRE). Le bon verse un intérêt tous les trimestres, en s’appuyant
sur le nombre de jours effectifs.
=DUREE.M.OBLIGATION("2/4/2010"; "31/12/2015"; 0,05; 0,05284; 4; 1) renvoie la valeur approximative de
4,9554, à savoir la valeur actualisée des flux de trésorerie futurs (la durée du bon), selon la durée de
Macauley. Les flux de trésorerie sont constitués du prix payé, des intérêts perçus et du principal perçu
à l’échéance.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« DUREE.OBLIGATION » à la page 116
« Arguments communs utilisés dans les fonctions financières » à la page 366
« Liste des fonctions financières » à la page 102
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
DUREE.OBLIGATION
La fonction DUREE.OBLIGATION calcule la moyenne pondérée de la valeur actualisée
des flux de trésorerie pour une valeur nominale de 100 €.
DUREE.OBLIGATION(règlement; échéance; taux-annuel; rendement-annuel; fréquence;
base-journalière)
 règlement : date de règlement de la transaction. règlement correspond à une valeur
de date/heure. La date de règlement de la transaction est généralement postérieure
d’un ou de plusieurs jours à la date de la transaction.
 échéance : date à laquelle le titre arrive à échéance. échéance correspond à une
valeur de date/heure. Elle doit être postérieure à règlement.
 taux-annuel : taux de coupon annuel ou taux d’intérêt annuel du titre. taux-annuel
correspond à un nombre et doit être saisi soit sous la forme d’un nombre décimal
(par exemple 0,08), soit d’un pourcentage (par exemple, 8 %).
 rendement-annuel : rendement annuel du titre. rendement-annuel correspond à un
nombre et doit être saisi soit sous la forme d’un nombre décimal (par exemple 0,08),
soit d’un pourcentage (par exemple, 8 %).
116 Chapitre 6 Fonctions financièresChapitre 6 Fonctions financières 117
 fréquence : nombre de règlements de coupons par année
annuel (1): un paiement par an.
semestriel (2): deux paiements par an.
trimestriel (4): quatre paiements par an.
 base-journalière : argument facultatif indiquant le nombre de jours par mois et de
jours par année servant aux calculs.
30/360 (0 ou omis): 30 jours pour chaque mois, 360 jours pour chaque année,
méthode NASD pour les dates tombant le 31 du mois.
réels/réels (1): jours naturels pour chaque mois, jours naturels pour chaque année.
réels/360 (2): jours naturels pour chaque mois, 360 jours par année.
réels/365 (3): jours naturels pour chaque mois, 365 jours par année.
30E/360 (4): 30 jours pour chaque mois, 360 jours pour chaque année, méthode
européenne pour les dates tombant le 31 du mois (format européen 30/360).
Remarques d’usage
 Cette fonction renvoie une valeur connue sous le nom de « durée Macauley ».
Exemple
Supposons que vous étudiez la pertinence d’un investissement dans un titre. Le règlement final
de l’investissement doit se faire le 2 avril 2010 et l’échéance tombe le 31 décembre 2015. Le taux du
coupon est de 5 %, ce qui donne un rendement d’approximativement 5,284 % (le rendement se
calcule par la fonction RENDEMENT.TITRE). Le bon verse un intérêt tous les trimestres, en s’appuyant
sur le nombre de jours effectifs.
=DUREE.OBLIGATION("2/4/2010"; "31/12/2015"; 0,05; 0,05284; 4; 1) renvoie la valeur approximative de
5,0208, à savoir la valeur actualisée des flux de trésorerie futurs (la durée du bon), selon la durée de
Macauley. Les flux de trésorerie sont constitués du prix payé, des intérêts perçus et du principal perçu
à l’échéance.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« DUREE.M.OBLIGATION » à la page 115
« Arguments communs utilisés dans les fonctions financières » à la page 366
« Liste des fonctions financières » à la page 102
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44INTERET.ACC
La fonction INTERET.ACC calcule les intérêts courus totaux ajoutés au prix d’achat d’un
titre et payés au vendeur lorsque le titre verse des intérêts périodiques.
INTERET.ACC(émission; premier; règlement; taux-annuel; valeur-nominale; fréquence;
base-journalière)
 émission : date à laquelle le titre a été émis à l’origine. émission correspond à une
valeur de date/heure, la plus ancienne des dates précisées.
 premier ordre : date du premier paiement des intérêts. premier correspond à une
valeur de date/heure et doit être postérieure à émission.
 règlement : date de règlement de la transaction. règlement correspond à une valeur
de date/heure. La date de règlement de la transaction est généralement postérieure
d’un ou de plusieurs jours à la date de la transaction.
 taux-annuel : taux de coupon annuel ou taux d’intérêt annuel du titre. taux-annuel
correspond à un nombre et doit être saisi soit sous la forme d’un nombre décimal
(par exemple 0,08), soit d’un pourcentage (par exemple, 8 %).
 prix : valeur faciale (valeur nominale) ou valeur à l’échéance du titre. valeurnominale correspond à un nombre. En cas d’omission (point-virgule sans autre
valeur indiquée), la valeur de 1 000 est attribuée par défaut à valeur-nominale.
 fréquence : nombre de règlements de coupons par année
annuel (1): un paiement par an.
semestriel (2): deux paiements par an.
trimestriel (4): quatre paiements par an.
 base-journalière : argument facultatif indiquant le nombre de jours par mois et de
jours par année servant aux calculs.
30/360 (0 ou omis): 30 jours pour chaque mois, 360 jours pour chaque année,
méthode NASD pour les dates tombant le 31 du mois.
réels/réels (1): jours naturels pour chaque mois, jours naturels pour chaque année.
réels/360 (2): jours naturels pour chaque mois, 360 jours par année.
réels/365 (3): jours naturels pour chaque mois, 365 jours par année.
30E/360 (4): 30 jours pour chaque mois, 360 jours pour chaque année, méthode
européenne pour les dates tombant le 31 du mois (format européen 30/360).
Remarques d’usage
 Si règlement est antérieur à premier, la fonction renvoie les intérêts courus depuis
émission. Si règlement est postérieur à premier, la fonction renvoie les intérêts courus
depuis la date de paiement du coupon immédiatement antérieure à règlement.
 Utilisez INTERET.ACC.MAT pour un titre qui ne paie des intérêts qu’à l’échéance.
118 Chapitre 6 Fonctions financièresChapitre 6 Fonctions financières 119
Exemple 1
Imaginons que vous envisagiez l’achat du titre fictif décrit par les valeurs indiquées. La date de
règlement est considérée comme étant antérieure à la date du premier coupon.
Vous pouvez utiliser la fonction INTERET.ACC pour déterminer le montant des intérêts courus qui
sont à ajouter au prix d’achat/vente. La fonction donne 38,06 €, ce qui représente les intérêts courus
entre la date d’émission et la date de règlement.
émission premier règlement taux-annuel valeurnominale
fréquence basejournalière
=INTERET.
ACC (B2; C2;
D2; E2; F2; G2;
H2)
14/12/2008 01/07/2009 01/05/2009 0,10 1 000 2 0
Exemple 2
Imaginons que vous envisagiez l’achat du titre fictif décrit par les valeurs indiquées. La date de
règlement est considérée comme étant ultérieure à la date du premier coupon.
Vous pouvez utiliser la fonction INTERET.ACC pour déterminer le montant des intérêts courus qui
sont à ajouter au prix d’achat/vente. La fonction donne approximativement 20,56 €, ce qui représente
les intérêts courus entre la date de paiement du coupon immédiatement antérieure et la date de
règlement.
émission premier règlement taux-annuel valeurnominale
fréquence basejournalière
=INTERET.
ACC (B2; C2;
D2; E2; F2; G2;
H2)
14/12/2008 01/07/2009 15/09/2009 0,10 1 000 2 0
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« INTERET.ACC.MAT » à la page 120
« Arguments communs utilisés dans les fonctions financières » à la page 366
« Liste des fonctions financières » à la page 102
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44INTERET.ACC.MAT
La fonction INTERET.ACC.MAT calcule les intérêts courus totaux ajoutés au prix d’achat
d’un titre et payés au vendeur lorsque le titre ne verse d’intérêts qu’à l’échéance.
INTERET.ACC.MAT(émission; règlement; taux-annuel; valeur-nominale; base-journalière)
 émission : date à laquelle le titre a été émis à l’origine. émission correspond à une
valeur de date/heure, la plus ancienne des dates précisées.
 règlement : date de règlement de la transaction. règlement correspond à une valeur
de date/heure. La date de règlement de la transaction est généralement postérieure
d’un ou de plusieurs jours à la date de la transaction.
 taux-annuel : taux de coupon annuel ou taux d’intérêt annuel du titre. taux-annuel
correspond à un nombre et doit être saisi soit sous la forme d’un nombre décimal
(par exemple 0,08), soit d’un pourcentage (par exemple, 8 %).
 prix : valeur faciale (valeur nominale) ou valeur à l’échéance du titre. valeurnominale correspond à un nombre. En cas d’omission (point-virgule sans autre
valeur indiquée), la valeur de 1 000 est attribuée par défaut à valeur-nominale.
 base-journalière : argument facultatif indiquant le nombre de jours par mois et de
jours par année servant aux calculs.
30/360 (0 ou omis): 30 jours pour chaque mois, 360 jours pour chaque année,
méthode NASD pour les dates tombant le 31 du mois.
réels/réels (1): jours naturels pour chaque mois, jours naturels pour chaque année.
réels/360 (2): jours naturels pour chaque mois, 360 jours par année.
réels/365 (3): jours naturels pour chaque mois, 365 jours par année.
30E/360 (4): 30 jours pour chaque mois, 360 jours pour chaque année, méthode
européenne pour les dates tombant le 31 du mois (format européen 30/360).
Remarques d’usage
 Utilisez INTERET.ACC pour un titre qui verse des intérêts périodiques.
Exemple
Imaginons que vous envisagiez l’achat du titre fictif décrit par les valeurs indiquées. Ce titre ne verse
d’intérêts qu’à l’échéance.
Vous pouvez utiliser la fonction INTERET.ACC.MAT pour déterminer le montant des intérêts courus
qui sont à ajouter au prix d’achat/vente. La fonction donne approximativement 138,06 €, ce qui
représente les intérêts courus entre la date d’émission et la date de règlement.
émission règlement taux-annuel valeur-nominale base-journalière
=INTERET.ACC.
MAT(B2; C2; D2;
E2; F2)
14/12/2007 01/05/2009 0,10 1 000 0
120 Chapitre 6 Fonctions financièresChapitre 6 Fonctions financières 121
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« INTERET.ACC » à la page 118
« Arguments communs utilisés dans les fonctions financières » à la page 366
« Liste des fonctions financières » à la page 102
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
INTPER
La fonction INTPER renvoie la part des intérêts de paiement d’une rente ou de
remboursement d’un prêt en s’appuyant sur des paiements périodiques fixes et sur un
taux d’intérêt fixe.
INTPER(taux-périodique, période, nbre-périodes, valeur-actualisée, valeur-future, échéance)
 taux-périodique : taux d’intérêt par période. taux-périodique correspond à un
nombre et doit être saisi soit sous la forme d’un nombre décimal (par exemple 0,08),
soit d’un pourcentage (par exemple, 8 %).
 période : période de paiement pour laquelle vous souhaitez calculer le montant du
principal ou des intérêts. période correspond à un nombre supérieur à 0.
 nbre-périodes : nombre de périodes. nbre-périodes correspond à un nombre
supérieur ou égal à 0.
 valeur-actualisée : valeur de l’investissement initial ou le montant du prêt ou de
l’annuité. valeur-actualisée correspond à un nombre. Au moment 0, un montant
perçu est un montant positif et un montant investi est un montant négatif. Il peut
s’agir par exemple d’un montant emprunté (positif) ou du règlement de départ fait
sur un contrat à annuités (négatif).
 valeur capitalisée : argument facultatif représentant la valeur de l’investissement
ou la valeur résiduelle de la rente (montant positif), ou du solde restant dû d’un
prêt (montant négatif) à l’issue du dernier paiement. valeur-future correspond à un
nombre. À la fin de la période d’investissement, un montant perçu est un montant
positif et un montant investi est un montant négatif. Il peut s’agir par exemple d’un
remboursement gonflé sur un prêt (négatif) ou de la valeur résiduelle d’un contrat
à annuités (positif). En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut correspond
à 0. échéance : argument facultatif qui indique si les paiements sont dus au début ou
à la fin de chaque période. Pour la plupart des crédits hypothécaires et autres prêts,
le premier paiement doit être effectué à la fin de la première période (0), ce qui est
la valeur par défaut. Par contre, la plupart des paiements dans le cadre d’un créditbail ou d’une location et certains autres types de paiements sont dus au début de la
période (1).
fin (0 ou omis): paiements dus à la fin de chaque période.
début (1): paiements dus au début de chaque période.
Exemple
Dans cet exemple, INTPER sert déterminer la part des intérêts du premier paiement de la troisième
année du terme du prêt (paiement 25) d’après les informations sur le prêt présentées. La fonction
donne approximativement – 922,41 €, ce qui représente la part des intérêts du remboursement du
prêt 25.
tauxpériodique
période nbre-périodes valeuractualisée
valeur-future échéance
=INTPER(B2; C2;
D2; E2; F2; G2)
=0,06/12 25 =10*12 200000 –100000 0
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« CUMUL.INTER » à la page 107
« CUMUL.PRINCPER » à la page 109
« VPM » à la page 163
« PRINCPER » à la page 131
« Exemple de tableau d’amortissement pour un prêt » à la page 381
« Choix de la valeur temporelle à utiliser pour une fonction monétaire » à la page 375
« Arguments communs utilisés dans les fonctions financières » à la page 366
« Liste des fonctions financières » à la page 102
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
122 Chapitre 6 Fonctions financièresChapitre 6 Fonctions financières 123
ISPMT
La fonction ISPMT renvoie la part des intérêts de paiement d’une rente ou de
remboursement d’un prêt en s’appuyant sur des paiements périodiques fixes et sur un
taux d’intérêt fixe. Cette fonction a été incluse afin d’assurer la compatibilité avec les
tableaux importés d’autres tableurs.
ISPMT(taux-annuel; période; nbre-périodes; valeur-actualisée)
 taux-annuel : taux de coupon annuel ou taux d’intérêt annuel du titre. taux-annuel
correspond à un nombre et doit être saisi soit sous la forme d’un nombre décimal
(par exemple 0,08), soit d’un pourcentage (par exemple, 8 %).
 période : période de paiement pour laquelle vous souhaitez calculer le montant du
principal ou des intérêts. période correspond à un nombre supérieur à 0.
 nbre-périodes : nombre de périodes. nbre-périodes correspond à un nombre
supérieur ou égal à 0.
 valeur-actualisée : valeur de l’investissement initial ou le montant du prêt ou de
l’annuité. valeur-actualisée correspond à un nombre. Au moment 0, un montant
perçu est un montant positif et un montant investi est un montant négatif. Il peut
s’agir par exemple d’un montant emprunté (positif) ou du règlement de départ fait
sur un contrat à annuités (négatif).
Remarques d’usage
 La fonction INTPER présente des fonctionnalités supplémentaires et reste à utiliser à
la place d’ISPMT.
Exemple
Dans cet exemple, ISPMT sert déterminer la part des intérêts du premier paiement de la troisième
année du terme du prêt (paiement 25) d’après les informations sur le prêt présentées.
La fonction donne approximativement – 791,67 €, ce qui représente la part des intérêts du
remboursement du prêt 25.
taux-périodique période nbre-périodes valeur-actualisée
=ISPMT(B2; C2; D2; E2) =0,06/12 25 =10*12 200000
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« INTPER » à la page 121
« Arguments communs utilisés dans les fonctions financières » à la page 366
« Liste des fonctions financières » à la page 102
« Types de valeur » à la page 39« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
NB.COUPONS
La fonction NB.COUPONS renvoie le nombre de coupons restant à payer entre la date
de règlement et l’échéance.
NB.COUPONS(règlement; échéance; fréquence; base-journalière)
 règlement : date de règlement de la transaction. règlement correspond à une valeur
de date/heure. La date de règlement de la transaction est généralement postérieure
d’un ou de plusieurs jours à la date de la transaction.
 échéance : date à laquelle le titre arrive à échéance. échéance correspond à une
valeur de date/heure. Elle doit être postérieure à règlement.
 fréquence : nombre de règlements de coupons par année
annuel (1): un paiement par an.
semestriel (2): deux paiements par an.
trimestriel (4): quatre paiements par an.
 base-journalière : argument facultatif indiquant le nombre de jours par mois et de
jours par année servant aux calculs.
30/360 (0 ou omis): 30 jours pour chaque mois, 360 jours pour chaque année,
méthode NASD pour les dates tombant le 31 du mois.
réels/réels (1): jours naturels pour chaque mois, jours naturels pour chaque année.
réels/360 (2): jours naturels pour chaque mois, 360 jours par année.
réels/365 (3): jours naturels pour chaque mois, 365 jours par année.
30E/360 (4): 30 jours pour chaque mois, 360 jours pour chaque année, méthode
européenne pour les dates tombant le 31 du mois (format européen 30/360).
Exemple
Imaginons que vous envisagiez l’achat du titre fictif décrit par les valeurs indiquées.
Vous pouvez utiliser la fonction NB.COUPONS pour déterminer le nombre de coupons pouvant
être perçus entre la date de règlement et l’échéance du titre. La fonction renvoie 23 car 23 dates de
paiement de coupon trimestrielles marquent la période allant du 2 avril 2010 et le 31 décembre 2015,
la première date correspondant au 30 juin 2010.
124 Chapitre 6 Fonctions financièresChapitre 6 Fonctions financières 125
règlement échéance fréquence base-journalière
=NB.COUPONS(B2; C2;
D2; E2; F2; G2)
4/2/2010 12/31/2015 4 1
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« Arguments communs utilisés dans les fonctions financières » à la page 366
« Liste des fonctions financières » à la page 102
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
NB.JOURS.COUPON
La fonction NB.JOURS.COUPON renvoie le nombre de jours dans la période de coupon
dans laquelle le règlement a lieu.
NB.JOURS.COUPON(règlement; échéance; fréquence; base-journalière)
 règlement : date de règlement de la transaction. règlement correspond à une valeur
de date/heure. La date de règlement de la transaction est généralement postérieure
d’un ou de plusieurs jours à la date de la transaction.
 échéance : date à laquelle le titre arrive à échéance. échéance correspond à une
valeur de date/heure. Elle doit être postérieure à règlement.
 fréquence : nombre de règlements de coupons par année
annuel (1): un paiement par an.
semestriel (2): deux paiements par an.
trimestriel (4): quatre paiements par an.
 base-journalière : argument facultatif indiquant le nombre de jours par mois et de
jours par année servant aux calculs.
30/360 (0 ou omis): 30 jours pour chaque mois, 360 jours pour chaque année,
méthode NASD pour les dates tombant le 31 du mois.
réels/réels (1): jours naturels pour chaque mois, jours naturels pour chaque année.
réels/360 (2): jours naturels pour chaque mois, 360 jours par année.
réels/365 (3): jours naturels pour chaque mois, 365 jours par année.30E/360 (4): 30 jours pour chaque mois, 360 jours pour chaque année, méthode
européenne pour les dates tombant le 31 du mois (format européen 30/360).
Exemple
Imaginons que vous envisagiez l’achat du titre fictif décrit par les valeurs indiquées.
Vous pouvez utiliser la fonction NB.JOURS.COUPON pour déterminer le nombre de jours que compte
la période de coupon de la date de règlement. La fonction renvoie 91 car 91 jours séparent le début
et la fin de la période de paiement du coupon, commençant et se terminant respectivement le 1er
avril 2010 et le 30 juin 2010.
règlement échéance fréquence base-journalière
=NB.JOURS.
COUPON(B2; C2; D2;
E2; F2; G2)
4/2/2010 12/31/2015 4 1
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« NB.JOURS.COUPON.SUIV » à la page 126
« NB.JOURS.COUPON.SUIV » à la page 128
« Arguments communs utilisés dans les fonctions financières » à la page 366
« Liste des fonctions financières » à la page 102
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
NB.JOURS.COUPON.SUIV
La fonction NB.JOURS.COUPON.PREC renvoie le nombre de jours entre le début de la
période de coupon dans laquelle le règlement a lieu et la date de règlement.
NB.JOURS.COUPON.SUIV(règlement; échéance; fréquence; base-journalière)
 règlement : date de règlement de la transaction. règlement correspond à une valeur
de date/heure. La date de règlement de la transaction est généralement postérieure
d’un ou de plusieurs jours à la date de la transaction.
 échéance : date à laquelle le titre arrive à échéance. échéance correspond à une
valeur de date/heure. Elle doit être postérieure à règlement.
 fréquence : nombre de règlements de coupons par année
126 Chapitre 6 Fonctions financièresChapitre 6 Fonctions financières 127
annuel (1): un paiement par an.
semestriel (2): deux paiements par an.
trimestriel (4): quatre paiements par an.
 base-journalière : argument facultatif indiquant le nombre de jours par mois et de
jours par année servant aux calculs.
30/360 (0 ou omis): 30 jours pour chaque mois, 360 jours pour chaque année,
méthode NASD pour les dates tombant le 31 du mois.
réels/réels (1): jours naturels pour chaque mois, jours naturels pour chaque année.
réels/360 (2): jours naturels pour chaque mois, 360 jours par année.
réels/365 (3): jours naturels pour chaque mois, 365 jours par année.
30E/360 (4): 30 jours pour chaque mois, 360 jours pour chaque année, méthode
européenne pour les dates tombant le 31 du mois (format européen 30/360).
Exemple
Imaginons que vous envisagiez l’achat du titre fictif décrit par les valeurs indiquées.
Vous pouvez utiliser la fonction NB.JOURS.COUPON.PREC pour déterminer le nombre de jours jusqu’à
la date de paiement du dernier coupon jusqu’à la date de règlement. Il s’agit dans ce cas du nombre
de jours intervenant dans le calcul des intérêts courus censé s’ajouter au prix d’achat de l’obligation.
La fonction renvoie 2 car 2 jours séparent la date de paiement du dernier coupon, à savoir le 31 mars
2010, et la date de règlement du 2 avril 2010.
règlement échéance fréquence base-journalière
=NB.JOURS.COUPON.
PREC(B2; C2; D2; E2;
F2; G2)
4/2/2010 12/31/2015 4 1
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« NB.JOURS.COUPON » à la page 125
« NB.JOURS.COUPON.SUIV » à la page 128
« Arguments communs utilisés dans les fonctions financières » à la page 366
« Liste des fonctions financières » à la page 102
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44NB.JOURS.COUPON.SUIV
La fonction NB.JOURS.COUPON.SUIV renvoie le nombre de jours entre la date de
règlement et la fin de la période de coupon dans laquelle le règlement a lieu.
NB.JOURS.COUPON.SUIV(règlement; échéance; fréquence; base-journalière)
 règlement : date de règlement de la transaction. règlement correspond à une valeur
de date/heure. La date de règlement de la transaction est généralement postérieure
d’un ou de plusieurs jours à la date de la transaction.
 échéance : date à laquelle le titre arrive à échéance. échéance correspond à une
valeur de date/heure. Elle doit être postérieure à règlement.
 fréquence : nombre de règlements de coupons par année
annuel (1): un paiement par an.
semestriel (2): deux paiements par an.
trimestriel (4): quatre paiements par an.
 base-journalière : argument facultatif indiquant le nombre de jours par mois et de
jours par année servant aux calculs.
30/360 (0 ou omis): 30 jours pour chaque mois, 360 jours pour chaque année,
méthode NASD pour les dates tombant le 31 du mois.
réels/réels (1): jours naturels pour chaque mois, jours naturels pour chaque année.
réels/360 (2): jours naturels pour chaque mois, 360 jours par année.
réels/365 (3): jours naturels pour chaque mois, 365 jours par année.
30E/360 (4): 30 jours pour chaque mois, 360 jours pour chaque année, méthode
européenne pour les dates tombant le 31 du mois (format européen 30/360).
Exemple
Imaginons que vous envisagiez l’achat du titre fictif décrit par les valeurs indiquées.
Vous pouvez utiliser la fonction NB.JOURS.COUPON.SUIV pour déterminer le nombre de jours jusqu’à
la date de paiement du coupon suivant. Il s’agit du nombre de jours jusqu’au premier paiement de
coupon à recevoir. La fonction renvoie 89 car 89 jours séparent la date de règlement, à savoir le 2
avril 2010, et la date de paiement du coupon suivant.
règlement échéance fréquence base-journalière
=NB.JOURS.COUPON.
SUIV(B2; C2; D2; E2;
F2; G2)
4/2/2010 12/31/2015 4 1
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« NB.JOURS.COUPON » à la page 125
128 Chapitre 6 Fonctions financièresChapitre 6 Fonctions financières 129
« NB.JOURS.COUPON.SUIV » à la page 126
« Arguments communs utilisés dans les fonctions financières » à la page 366
« Liste des fonctions financières » à la page 102
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
NPM
La fonction NPM renvoie le nombre de périodes de paiement pour un prêt ou une
annuité en s’appuyant sur une série de flux de trésorerie périodiques réguliers
(paiements d’un montant constant et tous les flux de trésorerie à intervalles constants)
et d’un taux d’intérêt fixe.
NPM(taux-périodique; paiement; valeur-actualisée; valeur-future; échéance)
 taux-périodique : taux d’intérêt par période. taux-périodique correspond à un
nombre et doit être saisi soit sous la forme d’un nombre décimal (par exemple 0,08),
soit d’un pourcentage (par exemple, 8 %).
 versement : montant payé ou perçu à chaque période. paiement correspond à un
nombre. À chaque période, un montant perçu est un montant positif et un montant
investi est un montant négatif. Il peut s’agir par exemple d’un remboursement
mensuel (négatif) ou d’un paiement périodique perçu sur une annuité (positif).
 valeur-actualisée : valeur de l’investissement initial ou le montant du prêt ou de
la rente indiqué sous la forme d’un nombre négatif. valeur-actualisée correspond à
un nombre. Au moment 0, un montant perçu est un montant positif et un montant
investi est un montant négatif. Il peut s’agir par exemple d’un montant emprunté
(positif) ou du règlement de départ fait sur un contrat à annuités (négatif).
 valeur capitalisée : argument facultatif représentant la valeur de l’investissement
ou la valeur résiduelle de la rente (montant positif), ou du solde restant dû d’un
prêt (montant négatif) à l’issue du dernier paiement. valeur-future correspond à un
nombre. À la fin de la période d’investissement, un montant perçu est un montant
positif et un montant investi est un montant négatif. Il peut s’agir par exemple d’un
remboursement gonflé sur un prêt (négatif) ou de la valeur résiduelle d’un contrat à
annuités (positif). échéance : argument facultatif qui indique si les paiements sont dus au début ou
à la fin de chaque période. Pour la plupart des crédits hypothécaires et autres prêts,
le premier paiement doit être effectué à la fin de la première période (0), ce qui est
la valeur par défaut. Par contre, la plupart des paiements dans le cadre d’un créditbail ou d’une location et certains autres types de paiements sont dus au début de la
période (1).
fin (0 ou omis): paiements dus à la fin de chaque période.
début (1): paiements dus au début de chaque période.
Exemple 1
Imaginons que vous planifiez une épargne destinée à financer les études supérieures de votre fille
lorsqu’elle atteindra l’âge. Vous disposez de 50 000 € à placer sur un compte d’épargne et pouvez
verser 200 € sur ce compte à la fin de chaque mois. Ce compte d’épargne devrait être rémunéré à un
taux d’intérêt annuel de 4,5 % et rapporter des intérêts mensuels. Vous estimez qu’il sera nécessaire
d’avoir économisé 150 000 € quand votre fille ira à l’université.
Avec la fonction NPM, vous pouvez déterminer le nombre de périodes dont vous avez besoin
pour les paiements de 200 €. S’appuyant sur ce nos suppositions de départ, il devrait s’agir
approximativement de 181 périodes, soit 15 ans et 1 mois.
taux-périodique paiement valeur-actualisée valeur-future échéance
=NPM(B2; C2; D2;
E2; F2)
=0,045/12 –200 –50000 150000 1
Exemple 2
Imaginons que vous prévoyez de racheter la maison de vacances de votre oncle. Vous disposez
de 30 000 € que vous pouvez utiliser comme acompte immédiat et vous pouvez faire face à des
mensualités de 1 500 €. Votre oncle vous dit qu’il veut bien vous prêter la différence entre le prix de
vente de sa maison de vacances, de 200 000 €, et votre acompte (soit 170 000 €) au taux annuel de
7 %.
Avec la fonction NPM, vous pouvez déterminer le nombre de mois nécessaires pour rembourser le
prêt de votre oncle. S’appuyant sur ce nos suppositions de départ, il devrait s’agir approximativement
de 184 mois, soit 15 ans et 4 mois.
taux-périodique paiement valeur-actualisée valeur-future échéance
=NPM(B2; C2; D2;
E2; F2)
=0,07/12 –1500 170000 0 1
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« VC » à la page 159
« VPM » à la page 163
« VA » à la page 152
130 Chapitre 6 Fonctions financièresChapitre 6 Fonctions financières 131
« TAUX » à la page 141
« Choix de la valeur temporelle à utiliser pour une fonction monétaire » à la page 375
« Arguments communs utilisés dans les fonctions financières » à la page 366
« Liste des fonctions financières » à la page 102
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
PRINCPER
La fonction PRINCPER renvoie la part du principal du paiement d’une rente ou du
remboursement d’un prêt en s’appuyant sur des paiements périodiques fixes et sur un
taux d’intérêt fixe.
PRINCPER(taux-périodique, période, nbre-périodes, valeur-actualisée, valeur-future,
échéance)
 taux-périodique : taux d’intérêt par période. taux-périodique correspond à un
nombre et doit être saisi soit sous la forme d’un nombre décimal (par exemple 0,08),
soit d’un pourcentage (par exemple, 8 %).
 période : période de paiement pour laquelle vous souhaitez calculer le montant du
principal ou des intérêts. période correspond à un nombre supérieur à 0.
 nbre-périodes : nombre de périodes. nbre-périodes correspond à un nombre
supérieur ou égal à 0.
 valeur-actualisée : valeur de l’investissement initial ou le montant du prêt ou de
l’annuité. valeur-actualisée correspond à un nombre. Au moment 0, un montant
perçu est un montant positif et un montant investi est un montant négatif. Il peut
s’agir par exemple d’un montant emprunté (positif) ou du règlement de départ fait
sur un contrat à annuités (négatif).
 valeur capitalisée : argument facultatif représentant la valeur de l’investissement
ou la valeur résiduelle de la rente (montant positif), ou du solde restant dû d’un
prêt (montant négatif) à l’issue du dernier paiement. valeur-future correspond à un
nombre. À la fin de la période d’investissement, un montant perçu est un montant
positif et un montant investi est un montant négatif. Il peut s’agir par exemple d’un
remboursement gonflé sur un prêt (négatif) ou de la valeur résiduelle d’un contrat
à annuités (positif). En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut correspond
à 0. échéance : argument facultatif qui indique si les paiements sont dus au début ou
à la fin de chaque période. Pour la plupart des crédits hypothécaires et autres prêts,
le premier paiement doit être effectué à la fin de la première période (0), ce qui est
la valeur par défaut. Par contre, la plupart des paiements dans le cadre d’un créditbail ou d’une location et certains autres types de paiements sont dus au début de la
période (1).
fin (0 ou omis): paiements dus à la fin de chaque période.
début (1): paiements dus au début de chaque période.
Exemple
Dans cet exemple, PRINCPER sert déterminer la part du principal du premier paiement de la troisième
année du terme du prêt (paiement 25) d’après les informations sur le prêt présentées. La fonction
donne approximativement – 687,80 €, ce qui représente la part du principal du paiement 25.
tauxpériodique
période nbre-périodes valeuractualisée
valeur-future échéance
=PRINCPER(B2;
C2; D2; E2; F2;
G2)
=0,06/12 25 =10*12 200000 –100000 0
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« CUMUL.INTER » à la page 107
« CUMUL.PRINCPER » à la page 109
« INTPER » à la page 121
« VPM » à la page 163
« Exemple de tableau d’amortissement pour un prêt » à la page 381
« Choix de la valeur temporelle à utiliser pour une fonction monétaire » à la page 375
« Arguments communs utilisés dans les fonctions financières » à la page 366
« Liste des fonctions financières » à la page 102
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
132 Chapitre 6 Fonctions financièresChapitre 6 Fonctions financières 133
PRIX.TITRE
La fonction PRIX.TITRE renvoie le prix d’un titre qui verse des intérêts périodiques par
tranche de 100 € de valeur de remboursement (nominale).
PRIX.TITRE(règlement; échéance; taux-annuel; rendement-annuel; remboursement;
fréquence; base-journalière)
 règlement : date de règlement de la transaction. règlement correspond à une valeur
de date/heure. La date de règlement de la transaction est généralement postérieure
d’un ou de plusieurs jours à la date de la transaction.
 échéance : date à laquelle le titre arrive à échéance. échéance correspond à une
valeur de date/heure. Elle doit être postérieure à règlement.
 taux-annuel : taux de coupon annuel ou taux d’intérêt annuel du titre. taux-annuel
correspond à un nombre et doit être saisi soit sous la forme d’un nombre décimal
(par exemple 0,08), soit d’un pourcentage (par exemple, 8 %).
 rendement-annuel : rendement annuel du titre. rendement-annuel correspond à un
nombre et doit être saisi soit sous la forme d’un nombre décimal (par exemple 0,08),
soit d’un pourcentage (par exemple, 8 %).
 remboursement : prix de remboursement par tranche de 100 € de valeur nominale.
remboursement correspond à un nombre positif. remboursement est le montant qui
sera perçu par tranche de 100 € de la valeur nominale. Il s’agit souvent de 100, ce qui
signifie que le prix de remboursement du titre est égal à sa valeur nominale.
 fréquence : nombre de règlements de coupons par année
annuel (1): un paiement par an.
semestriel (2): deux paiements par an.
trimestriel (4): quatre paiements par an.
 base-journalière : argument facultatif indiquant le nombre de jours par mois et de
jours par année servant aux calculs.
30/360 (0 ou omis): 30 jours pour chaque mois, 360 jours pour chaque année,
méthode NASD pour les dates tombant le 31 du mois.
réels/réels (1): jours naturels pour chaque mois, jours naturels pour chaque année.
réels/360 (2): jours naturels pour chaque mois, 360 jours par année.
réels/365 (3): jours naturels pour chaque mois, 365 jours par année.
30E/360 (4): 30 jours pour chaque mois, 360 jours pour chaque année, méthode
européenne pour les dates tombant le 31 du mois (format européen 30/360).Exemple
Dans cet exemple, la fonction PRIX.TITRE sert à déterminer le prix d’achat du titre fictif décrit par les
valeurs indiquées. Le titre verse des intérêts périodiques.
La fonction renvoie la valeur 106,50 € ce qui représente le prix par tranche de 100 € de valeur
nominale.
règlement échéance taux-annuel rendementannuel
remboursement fréquence basejournalière
=PRIX.TITRE
(B2; C2; D2;
E2; F2; G2;
H2)
01/05/2009 30/06/2015 0,065 0,0525 100 2 0
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« VALEUR.ENCAISSEMENT » à la page 154
« PRIX.TITRE.ECHEANCE » à la page 134
« RENDEMENT.TITRE » à la page 137
« Arguments communs utilisés dans les fonctions financières » à la page 366
« Liste des fonctions financières » à la page 102
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
PRIX.TITRE.ECHEANCE
La fonction PRIX.TITRE.ECHEANCE renvoie le prix d’un titre qui verse des intérêts
périodiques par tranche de 100 € de valeur de remboursement (nominale).
PRIX.TITRE.ECHEANCE(règlement; échéance; émission; taux-annuel; rendement-annuel;
base-journalière)
 règlement : date de règlement de la transaction. règlement correspond à une valeur
de date/heure. La date de règlement de la transaction est généralement postérieure
d’un ou de plusieurs jours à la date de la transaction.
 échéance : date à laquelle le titre arrive à échéance. échéance correspond à une
valeur de date/heure. Elle doit être postérieure à règlement.
134 Chapitre 6 Fonctions financièresChapitre 6 Fonctions financières 135
 émission : date à laquelle le titre a été émis à l’origine. émission correspond à une
valeur de date/heure, la plus ancienne des dates précisées.
 taux-annuel : taux de coupon annuel ou taux d’intérêt annuel du titre. taux-annuel
correspond à un nombre et doit être saisi soit sous la forme d’un nombre décimal
(par exemple 0,08), soit d’un pourcentage (par exemple, 8 %).
 rendement-annuel : rendement annuel du titre. rendement-annuel correspond à un
nombre et doit être saisi soit sous la forme d’un nombre décimal (par exemple 0,08),
soit d’un pourcentage (par exemple, 8 %).
 base-journalière : argument facultatif indiquant le nombre de jours par mois et de
jours par année servant aux calculs.
30/360 (0 ou omis): 30 jours pour chaque mois, 360 jours pour chaque année,
méthode NASD pour les dates tombant le 31 du mois.
réels/réels (1): jours naturels pour chaque mois, jours naturels pour chaque année.
réels/360 (2): jours naturels pour chaque mois, 360 jours par année.
réels/365 (3): jours naturels pour chaque mois, 365 jours par année.
30E/360 (4): 30 jours pour chaque mois, 360 jours pour chaque année, méthode
européenne pour les dates tombant le 31 du mois (format européen 30/360).
Exemple
Dans cet exemple, la fonction PRIX.TITRE.ECHEANCE sert à déterminer le prix d’achat du titre fictif
décrit par les valeurs indiquées. Ce titre ne verse d’intérêts qu’à l’échéance. La fonction renvoie la
valeur 99,002 € ce qui représente le prix par tranche de 100 € de valeur nominale.
règlement échéance émission taux-annuel rendementannuel
basejournalière
=PRIX.TITRE.
ECHEANCE (B2;
C2; D2; E2; F2;
G2)
01/05/2009 30/06/2015 14/12/2008 0,065 0.06565 0
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« PRIX.TITRE » à la page 133
« VALEUR.ENCAISSEMENT » à la page 154
« RENDEMENT.TITRE.ECHEANCE » à la page 139
« Arguments communs utilisés dans les fonctions financières » à la page 366
« Liste des fonctions financières » à la page 102« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
RENDEMENT.SIMPLE
La fonction RENDEMENT.SIMPLE renvoie le taux d’intérêt annuel effectif d’un titre qui
est vendu avec un escompte par rapport à son prix de remboursement et qui ne verse
pas d’intérêts.
RENDEMENT.SIMPLE(règlement; échéance; prix; remboursement; base-journalière)
 règlement : date de règlement de la transaction. règlement correspond à une valeur
de date/heure. La date de règlement de la transaction est généralement postérieure
d’un ou de plusieurs jours à la date de la transaction.
 échéance : date à laquelle le titre arrive à échéance. échéance correspond à une
valeur de date/heure. Elle doit être postérieure à règlement.
 prix : coût du titre par tranche de 100 € de valeur nominale. prix correspond à un
nombre.
 remboursement : prix de remboursement par tranche de 100 € de valeur nominale.
remboursement correspond à un nombre positif. remboursement est le montant qui
sera perçu par tranche de 100 € de la valeur nominale. Il s’agit souvent de 100, ce qui
signifie que le prix de remboursement du titre est égal à sa valeur nominale.
 base-journalière : argument facultatif indiquant le nombre de jours par mois et de
jours par année servant aux calculs.
30/360 (0 ou omis): 30 jours pour chaque mois, 360 jours pour chaque année,
méthode NASD pour les dates tombant le 31 du mois.
réels/réels (1): jours naturels pour chaque mois, jours naturels pour chaque année.
réels/360 (2): jours naturels pour chaque mois, 360 jours par année.
réels/365 (3): jours naturels pour chaque mois, 365 jours par année.
30E/360 (4): 30 jours pour chaque mois, 360 jours pour chaque année, méthode
européenne pour les dates tombant le 31 du mois (format européen 30/360).
Exemple
Dans cet exemple, la fonction RENDEMENT.SIMPLE sert à déterminer le rendement annuel effectif
du titre fictif décrit par les valeurs indiquées. Le titre ne rapporte aucun intérêt et est vendu avec un
escompte.
La fonction renvoie la valeur approximative de 8,37 %, ce qui représente le rendement annuel à un
prix approximatif 65,98 € par tranche de 100 € de valeur nominale.
136 Chapitre 6 Fonctions financièresChapitre 6 Fonctions financières 137
règlement échéance prix remboursement base-journalière
=RENDEMENT.
SIMPLE(B2; C2; D2;
E2; F2)
01/05/2009 30/06/2015 65,98 100 0
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« VALEUR.ENCAISSEMENT » à la page 154
« RENDEMENT.TITRE » à la page 137
« RENDEMENT.TITRE.ECHEANCE » à la page 139
« Arguments communs utilisés dans les fonctions financières » à la page 366
« Liste des fonctions financières » à la page 102
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
RENDEMENT.TITRE
La fonction RENDEMENT.TITRE renvoie le taux d’intérêt annuel effectif d’un titre qui
verse des intérêts périodiques réguliers.
RENDEMENT.TITRE(règlement; échéance; taux-annuel; prix; remboursement; fréquence;
base-journalière)
 règlement : date de règlement de la transaction. règlement correspond à une valeur
de date/heure. La date de règlement de la transaction est généralement postérieure
d’un ou de plusieurs jours à la date de la transaction.
 échéance : date à laquelle le titre arrive à échéance. échéance correspond à une
valeur de date/heure. Elle doit être postérieure à règlement.
 taux-annuel : taux de coupon annuel ou taux d’intérêt annuel du titre. taux-annuel
correspond à un nombre et doit être saisi soit sous la forme d’un nombre décimal
(par exemple 0,08), soit d’un pourcentage (par exemple, 8 %).
 prix : coût du titre par tranche de 100 € de valeur nominale. prix correspond à un
nombre. remboursement : prix de remboursement par tranche de 100 € de valeur nominale.
remboursement correspond à un nombre positif. remboursement est le montant qui
sera perçu par tranche de 100 € de la valeur nominale. Il s’agit souvent de 100, ce qui
signifie que le prix de remboursement du titre est égal à sa valeur nominale.
 fréquence : nombre de règlements de coupons par année
annuel (1): un paiement par an.
semestriel (2): deux paiements par an.
trimestriel (4): quatre paiements par an.
 base-journalière : argument facultatif indiquant le nombre de jours par mois et de
jours par année servant aux calculs.
30/360 (0 ou omis): 30 jours pour chaque mois, 360 jours pour chaque année,
méthode NASD pour les dates tombant le 31 du mois.
réels/réels (1): jours naturels pour chaque mois, jours naturels pour chaque année.
réels/360 (2): jours naturels pour chaque mois, 360 jours par année.
réels/365 (3): jours naturels pour chaque mois, 365 jours par année.
30E/360 (4): 30 jours pour chaque mois, 360 jours pour chaque année, méthode
européenne pour les dates tombant le 31 du mois (format européen 30/360).
Exemple
Dans cet exemple, la fonction RENDEMENT.TITRE sert à déterminer le rendement annuel du titre fictif
décrit par les valeurs indiquées. Le titre verse des intérêts périodiques.
La fonction renvoie la valeur approximative de 5,25 %.
règlement échéance taux-annuel prix remboursement fréquence basejournalière
=RENDEMENT.
TITRE(B2; C2; D2;
E2; F2; G2; H2)
01/05/2009 30/06/2015 0,065 106,50 100 2 0
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« PRIX.TITRE » à la page 133
« RENDEMENT.SIMPLE » à la page 136
« RENDEMENT.TITRE.ECHEANCE » à la page 139
« Arguments communs utilisés dans les fonctions financières » à la page 366
« Liste des fonctions financières » à la page 102
138 Chapitre 6 Fonctions financièresChapitre 6 Fonctions financières 139
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
RENDEMENT.TITRE.ECHEANCE
La fonction RENDEMENT.TITRE.ECHEANCE renvoie le taux d’intérêt annuel effectif d’un
titre qui ne verse d’intérêts qu’à l’échéance.
RENDEMENT.TITRE.ECHEANCE(règlement; échéance; émission; taux-annuel; prix; basejournalière)
 règlement : date de règlement de la transaction. règlement correspond à une valeur
de date/heure. La date de règlement de la transaction est généralement postérieure
d’un ou de plusieurs jours à la date de la transaction.
 échéance : date à laquelle le titre arrive à échéance. échéance correspond à une
valeur de date/heure. Elle doit être postérieure à règlement.
 émission : date à laquelle le titre a été émis à l’origine. émission correspond à une
valeur de date/heure, la plus ancienne des dates précisées.
 taux-annuel : taux de coupon annuel ou taux d’intérêt annuel du titre. taux-annuel
correspond à un nombre et doit être saisi soit sous la forme d’un nombre décimal
(par exemple 0,08), soit d’un pourcentage (par exemple, 8 %).
 prix : coût du titre par tranche de 100 € de valeur nominale. prix correspond à un
nombre.
 base-journalière : argument facultatif indiquant le nombre de jours par mois et de
jours par année servant aux calculs.
30/360 (0 ou omis): 30 jours pour chaque mois, 360 jours pour chaque année,
méthode NASD pour les dates tombant le 31 du mois.
réels/réels (1): jours naturels pour chaque mois, jours naturels pour chaque année.
réels/360 (2): jours naturels pour chaque mois, 360 jours par année.
réels/365 (3): jours naturels pour chaque mois, 365 jours par année.
30E/360 (4): 30 jours pour chaque mois, 360 jours pour chaque année, méthode
européenne pour les dates tombant le 31 du mois (format européen 30/360).
Exemple
Dans cet exemple, la fonction RENDEMENT.TITRE.ECHEANCE sert à déterminer le rendement annuel
effectif du titre fictif décrit par les valeurs indiquées. Ce titre ne verse d’intérêts qu’à l’échéance. La
fonction renvoie la valeur approximative de 6,565 %.règlement échéance émission taux-annuel prix basejournalière
=RENDEMENT.
TITRE.
ECHEANCE (B2;
C2; D2; E2; F2;
G2)
01/05/2009 30/06/2015 14/12/2008 0,065 99,002 0
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« PRIX.TITRE.ECHEANCE » à la page 134
« RENDEMENT.TITRE » à la page 137
« RENDEMENT.SIMPLE » à la page 136
« Arguments communs utilisés dans les fonctions financières » à la page 366
« Liste des fonctions financières » à la page 102
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
SYD
La fonction SYD renvoie le montant de l’amortissement d’un actif sur une période
indiquée en s’appuyant sur la méthode de l’amortissement proportionnel à l’ordre
numérique inversé des années.
SYD(montant; amortissement comptable; vie; période-amort)
 coût : coût initial de l’actif. montant correspond à un nombre supérieur ou égal à 0.
 récupération : valeur de récupération de l’actif. amortissement comptable
correspond à un nombre supérieur ou égal à 0.
 vie : nombre de périodes d’amortissement de l’actif. vie correspond à un nombre
supérieur à 0. Une partie décimale (fraction) de vie est autorisée (par exemple, une
durée d’amortissement de 5,5 années).
 période-amort : période sur laquelle vous cherchez à calculer l’amortissement.
période-amort correspond à un nombre supérieur à 0. Toute partie décimale
(fraction) de période-amort est ignorée.
140 Chapitre 6 Fonctions financièresChapitre 6 Fonctions financières 141
Exemples
=SYD(10000; 1000; 9; 1) renvoie 1 800 €, le montant de l’amortissement de la première année pour
un actif ayant un coût initial de 10 000 € et un valeur de récupération de 1 000 € après une vie de 9
années.
=SYD(10000; 1000; 9; 2) renvoie 1 600 €, le montant de l’amortissement pour la seconde année.
=SYD(10000; 1000; 9; 8) renvoie 400 €, le montant de l’amortissement pour la huitième année.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« DB » à la page 111
« DDB » à la page 113
« AMORLIN » à la page 106
« VDB » à la page 161
« Arguments communs utilisés dans les fonctions financières » à la page 366
« Liste des fonctions financières » à la page 102
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
TAUX
La fonction TAUX renvoie le taux d’intérêt d’un investissement, d’un prêt ou d’une
annuité en s’appuyant sur une série de flux de trésorerie périodiques réguliers
(paiements d’un montant constant et tous les flux de trésorerie à intervalles constants)
et d’un taux d’intérêt fixe.
TAUX(nbre-périodes; paiement; valeur-actualisée; valeur-future; échéance; estimation)
 nbre-périodes : nombre de périodes. nbre-périodes correspond à un nombre
supérieur ou égal à 0.
 versement : montant payé ou perçu à chaque période. paiement correspond à un
nombre. À chaque période, un montant perçu est un montant positif et un montant
investi est un montant négatif. Il peut s’agir par exemple d’un remboursement
mensuel (négatif) ou d’un paiement périodique perçu sur une annuité (positif). valeur-actualisée : valeur de l’investissement initial ou le montant du prêt ou de
l’annuité. valeur-actualisée correspond à un nombre. Au moment 0, un montant
perçu est un montant positif et un montant investi est un montant négatif. Il peut
s’agir par exemple d’un montant emprunté (positif) ou du règlement de départ fait
sur un contrat à annuités (négatif).
 valeur capitalisée : argument facultatif représentant la valeur de l’investissement
ou la valeur résiduelle de la rente (montant positif), ou du solde restant dû d’un
prêt (montant négatif) à l’issue du dernier paiement. valeur-future correspond à un
nombre. À la fin de la période d’investissement, un montant perçu est un montant
positif et un montant investi est un montant négatif. Il peut s’agir par exemple d’un
remboursement gonflé sur un prêt (négatif) ou de la valeur résiduelle d’un contrat à
annuités (positif).
 échéance : argument facultatif qui indique si les paiements sont dus au début ou
à la fin de chaque période. Pour la plupart des crédits hypothécaires et autres prêts,
le premier paiement doit être effectué à la fin de la première période (0), ce qui est
la valeur par défaut. Par contre, la plupart des paiements dans le cadre d’un créditbail ou d’une location et certains autres types de paiements sont dus au début de la
période (1).
fin (0 ou omis): paiements dus à la fin de chaque période.
début (1): paiements dus au début de chaque période.
 estimation : argument facultatif indiquant l’estimation initiale du taux de
rendement. estimation correspond à un nombre et doit être saisi soit sous la forme
d’un nombre décimal (par exemple 0,08), soit d’un pourcentage (par exemple, 8 %).
En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut est de 10 %. Si la valeur par
défaut ne donne pas de solution, essayez d’abord une valeur positive plus grande.
Si cela ne donne rien, essayez une valeur négative inférieure. La valeur minimum
autorisée est – 1.
142 Chapitre 6 Fonctions financièresChapitre 6 Fonctions financières 143
Exemple
Imaginons que vous planifiez une épargne destinée à financer les études supérieures de votre fille
lorsqu’elle atteindra l’âge. Elle vient d’avoir 3 ans et vous partez de l’hypothèse qu’elle entrerait à
l’université dans 15 ans. Vous estimez qu’il sera nécessaire d’avoir économisé 150 000 € sur un compte
d’épargne au début de son cursus d’enseignement supérieur. Vous disposez de 50 000 € et versez
200 € sur le compte à la fin de chaque mois. Pendant les 15 prochaines années, ce compte d’épargne
devrait être rémunéré à un taux d’intérêt annuel de 4,5 % et rapporter des intérêts mensuels.
Avec la fonction TAUX, vous pouvez déterminer le taux de rémunération nécessaire du compte
d’épargne afin que son montant atteigne 150 000 € au moment où votre fille est censée
entrer à l’université. En s’appuyant sur nos suppositions, le taux renvoyé par la fonction est
d’approximativement 0,377 % et correspond à un taux mensuel car nbre-périodes est mensuel, soit
4,52 % l’an.
nbre-périodes paiement valeuractualisée
valeur-future échéance estimation
=TAUX(B2; C2;
D2; E2; F2; G2)
=15*12 –200 –50000 150000 1 =0,1/12
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« VC » à la page 159
« TRI » à la page 148
« NPM » à la page 129
« VPM » à la page 163
« VA » à la page 152
« Choix de la valeur temporelle à utiliser pour une fonction monétaire » à la page 375
« Arguments communs utilisés dans les fonctions financières » à la page 366
« Liste des fonctions financières » à la page 102
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44TAUX.EFFECTIF
La fonction TAUX.EFFECTIF renvoie le taux d’intérêt effectif annuel à partir du taux
d’intérêt annuel nominal en s’appuyant sur le nombre de périodes par année de calcul
de l’intérêt composé.
TAUX.EFFECTIF(taux-nominal; nbre-périodes-année)
 taux-nominal : taux d’intérêt nominal d’un titre. taux-nominal correspond à un
nombre et doit être saisi soit sous la forme d’un nombre décimal (par exemple 0,08),
soit d’un pourcentage (par exemple, 8 %).
 nbre-périodes-année : nombre de périodes par année d’intégration des intérêts.
nbre-périodes-année correspond à un nombre supérieur à 0.
Exemples
=TAUX.EFFECTIF(0,05; 365) renvoie approximativement 5,13 %, le taux d’intérêt annuel effectif si le
taux de 5 % s’appuie sur une capitalisation quotidienne.
=TAUX.EFFECTIF(0,05; 12) renvoie approximativement 5,12 %, le taux d’intérêt annuel effectif si le taux
de 5 % s’appuie sur une capitalisation mensuelle.
=TAUX.EFFECTIF(0,05; 4) renvoie approximativement 5,09 %, le taux d’intérêt annuel effectif si le taux
de 5 % s’appuie sur une capitalisation trimestrielle.
=TAUX.EFFECTIF(0,05; 2) renvoie approximativement 5,06 %, le taux d’intérêt annuel effectif si le taux
de 5 % s’appuie sur une capitalisation semestrielle.
=TAUX.EFFECTIF(0,05; 1) renvoie approximativement 5,00 %, le taux d’intérêt annuel effectif si le taux
de 5 % s’appuie sur une capitalisation annuelle.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« TAUX.NOMINAL » à la page 147
« Arguments communs utilisés dans les fonctions financières » à la page 366
« Liste des fonctions financières » à la page 102
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
144 Chapitre 6 Fonctions financièresChapitre 6 Fonctions financières 145
TAUX.ESCOMPTE
La fonction TAUX.ESCOMPTE renvoie le taux d’escompte annuel d’un titre qui ne
paie pas d’intérêts et qui est vendu avec un escompte par rapport à son prix de
remboursement.
TAUX.ESCOMPTE(règlement; échéance; prix; remboursement; base-journalière)
 règlement : date de règlement de la transaction. règlement correspond à une valeur
de date/heure. La date de règlement de la transaction est généralement postérieure
d’un ou de plusieurs jours à la date de la transaction.
 échéance : date à laquelle le titre arrive à échéance. échéance correspond à une
valeur de date/heure. Elle doit être postérieure à règlement.
 prix : coût du titre par tranche de 100 € de valeur nominale. prix correspond à un
nombre.
 remboursement : prix de remboursement par tranche de 100 € de valeur nominale.
remboursement correspond à un nombre positif. remboursement est le montant qui
sera perçu par tranche de 100 € de la valeur nominale. Il s’agit souvent de 100, ce qui
signifie que le prix de remboursement du titre est égal à sa valeur nominale.
 base-journalière : argument facultatif indiquant le nombre de jours par mois et de
jours par année servant aux calculs.
30/360 (0 ou omis): 30 jours pour chaque mois, 360 jours pour chaque année,
méthode NASD pour les dates tombant le 31 du mois.
réels/réels (1): jours naturels pour chaque mois, jours naturels pour chaque année.
réels/360 (2): jours naturels pour chaque mois, 360 jours par année.
réels/365 (3): jours naturels pour chaque mois, 365 jours par année.
30E/360 (4): 30 jours pour chaque mois, 360 jours pour chaque année, méthode
européenne pour les dates tombant le 31 du mois (format européen 30/360).
Exemple
Dans cet exemple, la fonction TAUX.ESCOMPTE sert à déterminer le taux d’escompte annuel du titre
fictif décrit par les valeurs indiquées.
La fonction donné 5,25 %, le taux d’escompte annuel.
règlement échéance prix remboursement base-journalière
=TAUX.
ESCOMPTE(B2; C2;
D2; E2; F2)
01/05/2009 30/06/2015 67.64 100 0Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« VALEUR.ENCAISSEMENT » à la page 154
« RENDEMENT.SIMPLE » à la page 136
« Arguments communs utilisés dans les fonctions financières » à la page 366
« Liste des fonctions financières » à la page 102
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
TAUX.INTERET
La fonction TAUX.INTERET renvoie le taux d’intérêt annuel effectif d’un titre qui ne
verse d’intérêts qu’à l’échéance.
TAUX.INTERET(règlement; échéance; montant-investissements; remboursement; basejournalière)
 règlement : date de règlement de la transaction. règlement correspond à une valeur
de date/heure. La date de règlement de la transaction est généralement postérieure
d’un ou de plusieurs jours à la date de la transaction.
 échéance : date à laquelle le titre arrive à échéance. échéance correspond à une
valeur de date/heure. Elle doit être postérieure à règlement.
 montant-investissements : montant investi dans le titre. montant-investissements
correspond à un nombre supérieur ou égal à 0.
 remboursement : prix de remboursement par tranche de 100 € de valeur nominale.
remboursement correspond à un nombre positif. remboursement est le montant qui
sera perçu par tranche de 100 € de la valeur nominale. Il s’agit souvent de 100, ce qui
signifie que le prix de remboursement du titre est égal à sa valeur nominale.
 base-journalière : argument facultatif indiquant le nombre de jours par mois et de
jours par année servant aux calculs.
30/360 (0 ou omis): 30 jours pour chaque mois, 360 jours pour chaque année,
méthode NASD pour les dates tombant le 31 du mois.
réels/réels (1): jours naturels pour chaque mois, jours naturels pour chaque année.
réels/360 (2): jours naturels pour chaque mois, 360 jours par année.
réels/365 (3): jours naturels pour chaque mois, 365 jours par année.
146 Chapitre 6 Fonctions financièresChapitre 6 Fonctions financières 147
30E/360 (4): 30 jours pour chaque mois, 360 jours pour chaque année, méthode
européenne pour les dates tombant le 31 du mois (format européen 30/360).
Exemple
Dans cet exemple, la fonction TAUX.INTERET sert à déterminer le taux d’intérêt annuel effectif du titre
fictif décrit par les valeurs indiquées. Ce titre ne verse d’intérêts qu’à l’échéance. La fonction renvoie
la valeur approximative de 10,85 %.
règlement échéance montantinvestissements
valeur-nominale base-journalière
=TAUX.INTERET(B2;
C2; D2; E2; F2)
01/05/2009 30/06/2015 990.02 1651.83 0
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« VALEUR.NOMINALE » à la page 156
« Arguments communs utilisés dans les fonctions financières » à la page 366
« Liste des fonctions financières » à la page 102
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
TAUX.NOMINAL
La fonction TAUX.NOMINAL renvoie le taux d’intérêt annuel nominal à partir du taux
d’intérêt effectif annuel en s’appuyant sur le nombre de périodes par année de calcul
de l’intérêt composé.
TAUX.NOMINAL(taux-int-effectif; nbre-périodes-année)
 taux-int-effectif : taux d’intérêt effectif d’un titre. taux-int-effectif correspond à un
nombre et doit être saisi soit sous la forme d’un nombre décimal (par exemple 0,08),
soit d’un pourcentage (par exemple, 8 %).
 nbre-périodes-année : nombre de périodes par année d’intégration des intérêts.
nbre-périodes-année correspond à un nombre supérieur à 0.Exemples
=TAUX.NOMINAL(0,0513; 365) renvoie approximativement 5,00 %, le taux d’intérêt annuel nominal si
le taux effectif de 5,13 % s’appuie sur une capitalisation quotidienne.
=TAUX.NOMINAL(0,0512; 12) renvoie approximativement 5,00 %, le taux d’intérêt annuel nominal si le
taux effectif de 5,12 % s’appuie sur une capitalisation mensuelle.
=TAUX.NOMINAL(0,0509; 4) renvoie approximativement 5,00 %, le taux d’intérêt annuel nominal si le
taux effectif de 5,09 % s’appuie sur une capitalisation trimestrielle.
=TAUX.NOMINAL(0,0506; 2) renvoie approximativement 5,00 %, le taux d’intérêt annuel nominal si le
taux effectif de 5,06 % s’appuie sur une capitalisation semestrielle.
=TAUX.NOMINAL(0,0500; 1) renvoie approximativement 5,00 %, le taux d’intérêt annuel nominal si le
taux effectif de 5,00 % s’appuie sur une capitalisation annuelle.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« TAUX.EFFECTIF » à la page 144
« Arguments communs utilisés dans les fonctions financières » à la page 366
« Liste des fonctions financières » à la page 102
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
TRI
La fonction TRI renvoie le taux de rendement interne d’un investissement qui s’appuie
sur une série de flux de trésorerie pouvant être irréguliers (paiements d’un montant
non obligatoirement constant) réalisés à intervalles réguliers.
TRI(flux-intervalle; estimation)
 intervalle des mouvements : collection comprenant les valeurs de flux de
trésorerie. flux-intervalle correspond à une collection incluant des nombres. Un
produit (un encaissement) doit être indiqué sous la forme d’un nombre positif,
tandis qu’une dépense (un décaissement), un nombre négatif. La collection doit
contenir au moins une valeur positive et une valeur négative. Les flux de trésorerie
doivent être indiqués dans l’ordre chronologique et avec les mêmes intervalles dans
le temps (par exemple, tous les mois). Si une période n’a pas de flux de trésorerie,
utilisez 0 pour cette période.
148 Chapitre 6 Fonctions financièresChapitre 6 Fonctions financières 149
 estimation : argument facultatif indiquant l’estimation initiale du taux de
rendement. estimation correspond à un nombre et doit être saisi soit sous la forme
d’un nombre décimal (par exemple 0,08), soit d’un pourcentage (par exemple, 8 %).
En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut est de 10 %. Si la valeur par
défaut ne donne pas de solution, essayez d’abord une valeur positive plus grande.
Si cela ne donne rien, essayez une valeur négative inférieure. La valeur minimum
autorisée est – 1.
Remarques d’usage
 Si les flux de trésorerie périodiques sont identiques, vous pouvez utiliser la fonction
VAN.
Exemple 1
Imaginons que vous planifiez une épargne destinée à financer les études supérieures de votre fille
lorsqu’elle atteindra l’âge. Elle vient d’avoir 13 ans et vous partez de l’hypothèse qu’elle entrerait à
l’université dans 5 ans. Vous disposez de 75 000 € à placer sur un compte d’épargne le jour même et
vous comptez y ajouter le bonus que vous octroie votre employeur à la fin de chaque année. Comme
votre bonus devrait augmenter chaque année, vous espérez pouvoir économiser respectivement
5 000 €, 7 000 €, 8 000 €, 9 000 € et 10 000 € à la fin de chacune des 5 années à venir. Vous estimez
qu’il sera nécessaire d’avoir économisé 150 000 € pour les études de votre fille quand elle atteindra
l’âge d’entrée à l’université.
Avec la fonction TRI, vous pouvez déterminer le taux à appliquer sur les sommes investies pour
disposer à terme d’un capital de 150 000 €. En s’appuyant sur nos suppositions, le taux correspond à
5,70 %.
Versement
initial
Année 1 Année 2 Année 3 Année 4 Année 5 Montant
nécessaire
=TRI(B2:H2) –75000 –5000 –7000 –8000 –9000 – 10 000 150000
Exemple 2
Imaginons que vous ayez l’occasion d’investir dans une société. L’investissement initial nécessaire est
de 50 000 €. Comme la société développe toujours son produit, 25 000 € et 10 000 € supplémentaires
doivent être investis respectivement à la fin de la première et de la seconde années. La troisième
année, la société s’autofinance, mais sans rémunérer les investisseurs. Les quatrième et cinquième
années, les investisseurs perçoivent respectivement 10 000 € et 30 000 €. À la fin de la sixième année,
la société est vendue et les investisseurs doivent recevoir 100 000 €.
Avec la fonction TRI, vous pouvez déterminer le taux de rendement attendu sur cet investissement.
En s’appuyant sur nos suppositions, le taux correspond à 10,24 %.
Versement
initial
Année 1 Année 2 Année 3 Année 4 Année 5 Produit des
ventes
=TRI(B2:H2) –50000 – 25 000 – 10 000 0 10 000 30 000 100 000Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« TRIM » à la page 150
« VAN » à la page 157
« Choix de la valeur temporelle à utiliser pour une fonction monétaire » à la page 375
« Arguments communs utilisés dans les fonctions financières » à la page 366
« Liste des fonctions financières » à la page 102
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
TRIM
La fonction TRIM renvoie le taux de rendement interne d’un investissement qui
s’appuie sur une série de flux de trésorerie pouvant être irréguliers (paiements d’un
montant non obligatoirement constant) réalisés à intervalles réguliers. Le taux gagné
sur les flux de trésorerie positifs et le taux payé pour financer les flux de trésorerie
négatifs peuvent différer.
TRIM(flux-intervalle, taux-finance, taux-réinvestissement)
 intervalle des mouvements : collection comprenant les valeurs de flux de
trésorerie. flux-intervalle correspond à une collection incluant des nombres. Un
produit (un encaissement) doit être indiqué sous la forme d’un nombre positif,
tandis qu’une dépense (un décaissement), un nombre négatif. La collection doit
contenir au moins une valeur positive et une valeur négative. Les flux de trésorerie
doivent être indiqués dans l’ordre chronologique et avec les mêmes intervalles dans
le temps (par exemple, tous les mois). Si une période n’a pas de flux de trésorerie,
utilisez 0 pour cette période.
 taux de financement : taux d’intérêt payé sur les flux de trésorerie négatifs (sorties).
taux-finance correspond à un nombre, doit être saisi soit sous la forme d’un nombre
décimal (par exemple 0,08), soit d’un pourcentage (par exemple, 8 %) et représente
le taux auquel les sommes investies (les flux de trésorerie négatifs) peuvent être
financées. Par exemple, il est possible d’utiliser le coût du financement d’une société.
150 Chapitre 6 Fonctions financièresChapitre 6 Fonctions financières 151
 taux-réinvestissement : taux auquel les flux de trésorerie positifs (entrées) peuvent
être réinvestis. taux-réinvestissement correspond à un nombre, doit être saisi soit
sous la forme d’un nombre décimal (par exemple 0,08), soit d’un pourcentage
(par exemple, 8 %) et représente le taux auquel les sommes perçues (les flux de
trésorerie positifs) peuvent être réinvesties. Par exemple, il est possible d’utiliser le
taux d’investissement à court terme d’une société.
Remarques d’usage
 Les flux de trésorerie doivent être répartis équitablement dans le temps. Si aucun
flux de trésorerie n’est apporté pendant une période de temps donnée, utilisez 0.
Exemple 1
Imaginons que vous ayez l’occasion d’investir dans une société. L’investissement initial nécessaire est
de 50 000 €. Comme la société développe toujours son produit, 25 000 € et 10 000 € supplémentaires
doivent être investis respectivement à la fin de la première et de la seconde années. La troisième
année, la société s’autofinance, mais sans rémunérer les investisseurs. Les quatrième et cinquième
années, les investisseurs perçoivent respectivement 10 000 € et 30 000 €. À la fin de la sixième année,
la société est vendue et les investisseurs doivent recevoir 100 000 €. Supposons que vous puissiez
emprunter au taux de 9,00 % (taux-finance) et puissiez obtenir 4,25 % sur des économies à court
terme (taux-réinvestissement)
Avec la fonction TRI, vous pouvez déterminer le taux de rendement attendu sur cet investissement.
En s’appuyant sur nos suppositions, le taux correspond approximativement à 9,75 %.
Versement
initial
Année 1 Année 2 Année 3 Année 4 Année 5 Produit des
ventes
=TRIM
(B2:H2; 0,09;
0,0425)
–50000 – 25 000 – 10 000 0 10 000 30 000 100 000
Exemple 2
Prenons les mêmes informations que dans l’exemple 1, mais plutôt que de mettre les flux de
trésorerie dans des cellules distinctes, précisons les flux de trésorerie sous la forme d’une constante
de tableau. La fonction TRIM se présente alors comme suit.
=TRIM({–50000; –25000; –10000; 0; 10000; 30000; 100000}; 0,09; 0,0425) renvoie approximativement
9,75 %.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« TRI » à la page 148
« VAN » à la page 157
« VA » à la page 152
« Choix de la valeur temporelle à utiliser pour une fonction monétaire » à la page 375« Arguments communs utilisés dans les fonctions financières » à la page 366
« Liste des fonctions financières » à la page 102
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
VA
La fonction VA renvoie la valeur actualisée d’un investissement ou d’une annuité en
s’appuyant sur une série de flux de trésorerie périodiques réguliers (paiements d’un
montant constant et tous les flux de trésorerie à intervalles constants) et d’un taux
d’intérêt fixe.
VA(taux-périodique; nbre-périodes; paiement; valeur-future; échéance)
 taux-périodique : taux d’intérêt par période. taux-périodique correspond à un
nombre et doit être saisi soit sous la forme d’un nombre décimal (par exemple 0,08),
soit d’un pourcentage (par exemple, 8 %).
 nbre-périodes : nombre de périodes. nbre-périodes correspond à un nombre
supérieur ou égal à 0.
 versement : montant payé ou perçu à chaque période. paiement correspond à un
nombre. À chaque période, un montant perçu est un montant positif et un montant
investi est un montant négatif. Il peut s’agir par exemple d’un remboursement
mensuel (négatif) ou d’un paiement périodique perçu sur une annuité (positif).
 valeur capitalisée : argument facultatif représentant la valeur de l’investissement
ou la valeur résiduelle de la rente (montant positif), ou du solde restant dû d’un
prêt (montant négatif) à l’issue du dernier paiement. valeur-future correspond à un
nombre. À la fin de la période d’investissement, un montant perçu est un montant
positif et un montant investi est un montant négatif. Il peut s’agir par exemple d’un
remboursement gonflé sur un prêt (négatif) ou de la valeur résiduelle d’un contrat à
annuités (positif).
 échéance : argument facultatif qui indique si les paiements sont dus au début ou
à la fin de chaque période. Pour la plupart des crédits hypothécaires et autres prêts,
le premier paiement doit être effectué à la fin de la première période (0), ce qui est
la valeur par défaut. Par contre, la plupart des paiements dans le cadre d’un créditbail ou d’une location et certains autres types de paiements sont dus au début de la
période (1).
fin (0 ou omis): paiements dus à la fin de chaque période.
début (1): paiements dus au début de chaque période.
152 Chapitre 6 Fonctions financièresChapitre 6 Fonctions financières 153
Remarques d’usage
 taux-périodique doit être indiqué en s’appuyant sur la même durée que nbrepériodes. Par exemple, si nbre-périodes représente des mois et le taux d’intérêt
annuel est de 8 %, taux-périodique doit être spécifié sous la forme de 0,00667 ou
0.667 % (0,08 divisé par 12).
 Si paiement est indiqué sans valeur d’investissement, de valeur au comptant ou de
solde restant dû, le paramètre valeur-future peut être omis.
 Si paiement est omis, vous devez indiquer valeur-future.
Exemple 1
Imaginons que vous planifiez une épargne destinée à financer les études supérieures de votre fille
lorsqu’elle atteindra l’âge. Elle vient d’avoir 3 ans et vous partez de l’hypothèse qu’elle entrerait à
l’université dans 15 ans. Vous estimez qu’il sera nécessaire d’avoir économisé 150 000 € sur un compte
d’épargne au début de son cursus d’enseignement supérieur. Vous êtes en mesure de verser 200 €
sur le compte à la fin de chaque mois. Pendant les 15 prochaines années, ce compte d’épargne
devrait être rémunéré à un taux d’intérêt annuel de 4,5 % et rapporter des intérêts mensuels.
Avec la fonction VA, vous pouvez déterminer le montant à déposer sur ce compte d’épargne afin que
le montant de l’épargne atteigne 150 000 € au moment où votre fille est censée entrer à l’université.
En s’appuyant sur nos suppositions, la fonction renvoie « – 50 227,88 € », correspondant au montant
qu’il convient de déposer aujourd’hui sur le compte (la fonction renvoie un nombre négatif parce
que le dépôt sur le compte d’épargne constitue un décaissement).
taux-périodique nbre-périodes paiement valeur-future échéance
=VA(B2; C2; D2;
E2; F2)
=0,045/12 =15*12 –200 150000 1
Exemple 2
Dans cet exemple, vous avez l’occasion de réaliser un investissement. Il s’agit d’investir dans un titre
escompté net, ne nécessitant aucun apport supplémentaire et ne bénéficiant d’aucun versement
jusqu’à l’échéance du titre. Ce titre escompté arrive à échéance au bout de 14 années et son prix de
remboursement est de 100 000 €. Une autre option consiste à laisser cette somme sur votre compte
d’épargne, où ce dernier vous assure un rendement annuel de 5,25 %.
La fonction VA vous permet de déterminer le montant maximal à verser pour le titre escompté, en
partant du principe que vous cherchez à obtenir un taux d’intérêt au moins égal à celui de votre
compte de placement sur le marché monétaire. En s’appuyant sur nos suppositions, il s’agit de
– 48 852,92 € (la fonction renvoie un montant négatif parce qu’il s’agit d’un décaissement).
taux-périodique nbre-périodes paiement valeur-future échéance
=VA(B2; C2; D2;
E2; F2)
0,0525 14 0 100 000 1
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« VC » à la page 159« TRI » à la page 148
« NPM » à la page 129
« VPM » à la page 163
« TAUX » à la page 141
« Choix de la valeur temporelle à utiliser pour une fonction monétaire » à la page 375
« Arguments communs utilisés dans les fonctions financières » à la page 366
« Liste des fonctions financières » à la page 102
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
VALEUR.ENCAISSEMENT
La fonction VALEUR.ENCAISSEMENT renvoie le prix d’un titre qui est vendu avec un
escompte par rapport au prix de remboursement et qui ne verse pas d’intérêts par
tranche de 100 € de valeur de remboursement (valeur nominale).
VALEUR.ENCAISSEMENT(règlement; échéance; rendement-annuel; remboursement; basejournalière)
 règlement : date de règlement de la transaction. règlement correspond à une valeur
de date/heure. La date de règlement de la transaction est généralement postérieure
d’un ou de plusieurs jours à la date de la transaction.
 échéance : date à laquelle le titre arrive à échéance. échéance correspond à une
valeur de date/heure. Elle doit être postérieure à règlement.
 rendement-annuel : rendement annuel du titre. rendement-annuel correspond à un
nombre et doit être saisi soit sous la forme d’un nombre décimal (par exemple 0,08),
soit d’un pourcentage (par exemple, 8 %).
 remboursement : prix de remboursement par tranche de 100 € de valeur nominale.
remboursement correspond à un nombre positif. remboursement est le montant qui
sera perçu par tranche de 100 € de la valeur nominale. Il s’agit souvent de 100, ce qui
signifie que le prix de remboursement du titre est égal à sa valeur nominale.
 base-journalière : argument facultatif indiquant le nombre de jours par mois et de
jours par année servant aux calculs.
30/360 (0 ou omis): 30 jours pour chaque mois, 360 jours pour chaque année,
méthode NASD pour les dates tombant le 31 du mois.
154 Chapitre 6 Fonctions financièresChapitre 6 Fonctions financières 155
réels/réels (1): jours naturels pour chaque mois, jours naturels pour chaque année.
réels/360 (2): jours naturels pour chaque mois, 360 jours par année.
réels/365 (3): jours naturels pour chaque mois, 365 jours par année.
30E/360 (4): 30 jours pour chaque mois, 360 jours pour chaque année, méthode
européenne pour les dates tombant le 31 du mois (format européen 30/360).
Exemple
Dans cet exemple, la fonction VALEUR.ENCAISSEMENT sert à déterminer le prix d’achat du titre fictif
décrit par les valeurs indiquées. Le titre ne rapporte aucun intérêt et est vendu avec un escompte.
La fonction renvoie la valeur approximative de 65,98 € ce qui représente le prix par tranche de 100 €
de valeur nominale.
règlement échéance escompte remboursement base-journalière
=VALEUR.
ENCAISSEMENT
(B2; C2; D2; E2; F2)
01/05/2009 30/06/2015 0.0552 100 0
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« PRIX.TITRE » à la page 133
« PRIX.TITRE.ECHEANCE » à la page 134
« RENDEMENT.SIMPLE » à la page 136
« Arguments communs utilisés dans les fonctions financières » à la page 366
« Liste des fonctions financières » à la page 102
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44VALEUR.NOMINALE
La fonction VALEUR.NOMINALE renvoie la valeur à l’échéance d’un titre qui ne verse
d’intérêts qu’à l’échéance.
VALEUR.NOMINALE(règlement; échéance; montant-investissements; taux-annuel; basejournalière)
 règlement : date de règlement de la transaction. règlement correspond à une valeur
de date/heure. La date de règlement de la transaction est généralement postérieure
d’un ou de plusieurs jours à la date de la transaction.
 échéance : date à laquelle le titre arrive à échéance. échéance correspond à une
valeur de date/heure. Elle doit être postérieure à règlement.
 montant-investissements : montant investi dans le titre. montant-investissements
correspond à un nombre supérieur ou égal à 0.
 taux-annuel : taux de coupon annuel ou taux d’intérêt annuel du titre. taux-annuel
correspond à un nombre et doit être saisi soit sous la forme d’un nombre décimal
(par exemple 0,08), soit d’un pourcentage (par exemple, 8 %).
 base-journalière : argument facultatif indiquant le nombre de jours par mois et de
jours par année servant aux calculs.
30/360 (0 ou omis): 30 jours pour chaque mois, 360 jours pour chaque année,
méthode NASD pour les dates tombant le 31 du mois.
réels/réels (1): jours naturels pour chaque mois, jours naturels pour chaque année.
réels/360 (2): jours naturels pour chaque mois, 360 jours par année.
réels/365 (3): jours naturels pour chaque mois, 365 jours par année.
30E/360 (4): 30 jours pour chaque mois, 360 jours pour chaque année, méthode
européenne pour les dates tombant le 31 du mois (format européen 30/360).
Exemple
Dans cet exemple, la fonction VALEUR.NOMINALE sert à déterminer le montant reçu à l’échéance
du titre fictif décrit par les valeurs indiquées. Ce titre ne verse d’intérêts qu’à l’échéance. La fonction
donne 1 651,83 €, le montant se composant du principal et des intérêts à percevoir à l’échéance.
règlement échéance montantinvestissements
taux-annuel base-journalière
=VALEUR.
NOMINALE(B2; C2;
D2; E2; F2)
01/05/2009 30/06/2015 990.02 0,065 0
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« TAUX.INTERET » à la page 146
156 Chapitre 6 Fonctions financièresChapitre 6 Fonctions financières 157
« Arguments communs utilisés dans les fonctions financières » à la page 366
« Liste des fonctions financières » à la page 102
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
VAN
La fonction VAN renvoie la valeur actualisée nette pour un investissement qui s’appuie
sur une série de flux de trésorerie pouvant être irréguliers mais réalisés à intervalles
réguliers.
VAN(taux-actualisation-périodique; flux-trésorerie; flux-trésorerie;…)
 taux-actualisation-périodique : taux d’escompte par période. taux-actualisationpériodique correspond à un nombre et doit être saisi soit sous la forme d’un
nombre décimal (par exemple 0,08), soit d’un pourcentage (par exemple, 8 %). tauxactualisation-périodique correspond à un nombre supérieur ou égal à 0.
 mouvement : flux de trésorerie. flux-trésorerie correspond à un nombre. Une valeur
positive représente une rentrée (un encaissement). Une valeur négative représente
une dépense (un décaissement). Les flux de trésorerie doivent être répartis
équitablement dans le temps.
 flux-trésorerie;… : vous pouvez ajouter un ou plusieurs flux de trésorerie
supplémentaires.
Remarques d’usage
 taux-actualisation-périodique doit être indiqué en s’appuyant sur la même
périodicité que pour les flux de trésorerie. Par exemple, si les flux de trésorerie sont
mensuels et le taux d’escompte annuel souhaité est de 8 %, taux-actualisationpériodique doit être indiqué sous la forme de 0,00667 ou 0,667 % (0,08 divisé par 12).
 Si les flux de trésorerie sont irréguliers, utilisez la fonction TRI.Exemple
Imaginons que vous ayez l’occasion d’investir dans une société. Comme la société développe
toujours son produit, 25 000 € et 10 000 € supplémentaires doivent être investis respectivement
à la fin de la première et de la seconde années. La troisième année, la société s’autofinance, mais
sans rémunérer les investisseurs. Les quatrième et cinquième années, les investisseurs perçoivent
respectivement 10 000 € et 30 000 €. À la fin de la sixième année, la société est vendue et les
investisseurs doivent recevoir 100 000 €. Pour investir, vous vous souhaitez un rendement annuel d’au
moins 10 %.
Avec la fonction VAN, vous pouvez déterminer le montant maximum que vous devez investir
initialement. En s’appuyant sur nos suppositions, la valeur actualisée nette correspond à
50 913,43 €. C’est pourquoi, si l’investissement initial nécessaire est égal à ce montant ou moins, cet
investissement répond à votre objectif de 10 %.
tauxpériodique
Année 1 Année 2 Année 3 Année 4 Année 5 Produit des
ventes
=VAN(B2;
C2:H2)
0,10 – 25 000 – 10 000 0 10 000 30 000 100 000
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« TRI » à la page 148
« VA » à la page 152
« Choix de la valeur temporelle à utiliser pour une fonction monétaire » à la page 375
« Arguments communs utilisés dans les fonctions financières » à la page 366
« Liste des fonctions financières » à la page 102
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
158 Chapitre 6 Fonctions financièresChapitre 6 Fonctions financières 159
VC
La fonction VC renvoie la valeur future d’un investissement en s’appuyant sur une série
de flux de trésorerie périodiques réguliers (paiements d’un montant constant et tous
les flux de trésorerie à intervalles constants) et d’un taux d’intérêt fixe.
VC(taux-périodique; nbre-périodes; paiement; valeur-actualisée; échéance)
 taux-périodique : taux d’intérêt par période. taux-périodique correspond à un
nombre et doit être saisi soit sous la forme d’un nombre décimal (par exemple 0,08),
soit d’un pourcentage (par exemple, 8 %).
 nbre-périodes : nombre de périodes. nbre-périodes correspond à un nombre
supérieur ou égal à 0.
 versement : montant payé ou perçu à chaque période. paiement correspond à un
nombre. À chaque période, un montant perçu est un montant positif et un montant
investi est un montant négatif. Il peut s’agir par exemple d’un remboursement
mensuel (négatif) ou d’un paiement périodique perçu sur une annuité (positif).
 valeur-actualisée : argument facultatif précisant la valeur de l’investissement initial
ou le montant du prêt ou de la rente. valeur-actualisée correspond à un nombre. Au
moment 0, un montant perçu est un montant positif et un montant investi est un
montant négatif. Il peut s’agir par exemple d’un montant emprunté (positif) ou du
règlement de départ fait sur un contrat à annuités (négatif).
 échéance : argument facultatif qui indique si les paiements sont dus au début ou
à la fin de chaque période. Pour la plupart des crédits hypothécaires et autres prêts,
le premier paiement doit être effectué à la fin de la première période (0), ce qui est
la valeur par défaut. Par contre, la plupart des paiements dans le cadre d’un créditbail ou d’une location et certains autres types de paiements sont dus au début de la
période (1).
fin (0 ou omis): paiements dus à la fin de chaque période.
début (1): paiements dus au début de chaque période.
Remarques d’usage
 Si paiement est indiqué et qu’investissement initial n’est apporté, le paramètre
valeur-actualisée peut être omis.Exemple 1
Imaginons que vous planifiez une épargne destinée à financer les études supérieures de votre fille
lorsqu’elle atteindra l’âge. Elle vient d’avoir 3 ans et vous partez de l’hypothèse qu’elle entrerait à
l’université dans 15 ans. Vous disposez de 50 000 € à placer sur un compte d’épargne et pouvez
verser 200 € sur ce compte à la fin de chaque mois. Pendant les 15 prochaines années, ce compte
d’épargne devrait être rémunéré à un taux d’intérêt annuel de 4,5 % et rapporter des intérêts
mensuels.
À l’aide de la fonction VC, vous pouvez déterminer la valeur attendue du compte d’épargne
au moment où votre fille entrera à l’université. En s’appuyant sur nos suppositions, il s’agit de
149,553.00 €.
taux-périodique nbre-périodes paiement valeur-actualisée échéance
=VC(B2; C2; D2;
E2; F2)
=0,045/12 =15*12 –200 –50000 1
Exemple 2
Partons du principe que vous avez l’occasion de réaliser un investissement. Vous devez investir
50 000 € nets dans un titre escompté. Ce titre escompté arrive à échéance au bout de 14 années et
son prix de remboursement est de 100 000 €. Une autre option consiste à laisser cette somme sur
votre compte d’épargne, où ce dernier vous assure un rendement annuel de 5,25 %.
Une des manières d’évaluer le bien-fondé de ce placement consiste à estimer combien ces 50 000 €
devraient valoir à la fin de la période d’investissement et de comparer ce résultat au prix de
remboursement du titre.
Avec la fonction VC, vous pouvez déterminer la valeur future attendue du compte de placement
sur le marché. En s’appuyant sur nos suppositions, il s’agit de 102 348,03 €. Si nos suppositions se
vérifient, il est par conséquent plus intéressant de garder l’argent sur le compte de placement sur le
marché monétaire car sa valeur au bout de 14 ans (à savoir, 102 348,03 €) est supérieure à celle du
remboursement du titre (soit 100 000 €).
taux-périodique nbre-périodes paiement valeur-actualisée échéance
=VC(B2; C2; D2;
E2; F2)
0,0525 14 0 –50000 1
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« NPM » à la page 129
« VAN » à la page 157
« VPM » à la page 163
« VA » à la page 152
« TAUX » à la page 141
160 Chapitre 6 Fonctions financièresChapitre 6 Fonctions financières 161
« Choix de la valeur temporelle à utiliser pour une fonction monétaire » à la page 375
« Arguments communs utilisés dans les fonctions financières » à la page 366
« Liste des fonctions financières » à la page 102
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
VDB
La fonction VDB (de l’anglais « Variable Declining Balance », pour Amortissement
dégressif à taux variable) renvoie le montant d’amortissement d’un actif sur un
intervalle de temps choisi en s’appuyant sur un taux d’amortissement indiqué.
VDB(montant; amortissement comptable; vie; période-initiale; période-finale; facteuramort; pas-de-bascule)
 coût : coût initial de l’actif. montant correspond à un nombre supérieur ou égal à 0.
 récupération : valeur de récupération de l’actif. amortissement comptable
correspond à un nombre supérieur ou égal à 0.
 vie : nombre de périodes d’amortissement de l’actif. vie correspond à un nombre
supérieur à 0. Une partie décimale (fraction) de vie est autorisée (par exemple, une
durée d’amortissement de 5,5 années).
 période-initiale : période de départ à inclure dans le calcul. période-initiale
correspond à un nombre.
 période-finale : période de fin à inclure dans le calcul. période-finale correspond à
un nombre supérieur à 0 et à période-initiale.
 facteur-amort : nombre facultatif qui détermine le taux d’amortissement. facteuramort correspond à un nombre. En cas d’omission, cette valeur est considérée
comme étant égale à 2 (200 % pour un amortissement décroissant à taux double).
Plus le nombre est élevé, plus l’amortissement est rapide. Par exemple, si vous
voulez obtenir un taux d’amortissement d’une fois et demie l’amortissement
linéaire, utilisez 1,5 ou 150 %.
 non-échange : valeur facultative indiquant si l’amortissement doit passer à la
méthode linéaire.
basculer (0, FAUX ou omis): basculer vers la méthode d’amortissement linéaire
l’année ou l’amortissement linéaire est supérieur à l’amortissement dégressif.
pas de bascule (1 ou VRAI): ne pas basculer vers la méthode de l’amortissement
linéaire.Remarques d’usage
 période-initiale doit être indiqué comme la période antérieure à la première période
que vous voulez inclure dans le calcul. Si vous voulez inclure la première période,
utilisez 0 pour période-initiale.
 Si vous voulez un amortissement qui n’inclut que la première période, indiquez la
valeur 1 pour période-finale.
Exemples
Imaginons que vous venez d’acheter un actif ayant un coût de 11 000,00 €, une valeur de
récupération de 1 000,00 € et une durée de vie utile estimée de 5 ans. Vous comptez amortir l’actif
selon la méthode de l’amortissement dégressif de 1,5 (150 %).
=VDB(11000; 1000; 5; 0; 1; 1,5; 0) renvoie 3 300 €, l’amortissement pour la première année.
=VDB(11000; 1000; 5; 4; 5; 1,5; 0) renvoie 1 386,50 €, l’amortissement pour la cinquième (et dernière)
année, en utilisant l’amortissement linéaire lorsque ce dernier est supérieur à l’amortissement
dégressif.
=VDB(11000; 1000; 5; 4; 5; 1,5; 1) renvoie 792,33 €, l’amortissement pour la cinquième (et dernière)
année, en utilisant tout le temps l’amortissement dégressif (pas-de-bascule est VRAI).
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« DB » à la page 111
« DDB » à la page 113
« AMORLIN » à la page 106
« SYD » à la page 140
« Arguments communs utilisés dans les fonctions financières » à la page 366
« Liste des fonctions financières » à la page 102
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
162 Chapitre 6 Fonctions financièresChapitre 6 Fonctions financières 163
VPM
La fonction VPM renvoie le paiement périodique pour un prêt ou une annuité en
s’appuyant sur une série de flux de trésorerie périodiques réguliers (paiements d’un
montant constant et tous les flux de trésorerie à intervalles constants) et d’un taux
d’intérêt fixe.
VPM(taux-périodique, nbre-périodes, valeur-actualisée, valeur-future, échéance)
 taux-périodique : taux d’intérêt par période. taux-périodique correspond à un
nombre et doit être saisi soit sous la forme d’un nombre décimal (par exemple 0,08),
soit d’un pourcentage (par exemple, 8 %).
 nbre-périodes : nombre de périodes. nbre-périodes correspond à un nombre
supérieur ou égal à 0.
 valeur-actualisée : valeur de l’investissement initial ou le montant du prêt ou de
l’annuité. valeur-actualisée correspond à un nombre. Au moment 0, un montant
perçu est un montant positif et un montant investi est un montant négatif. Il peut
s’agir par exemple d’un montant emprunté (positif) ou du règlement de départ fait
sur un contrat à annuités (négatif).
 valeur capitalisée : argument facultatif représentant la valeur de l’investissement
ou la valeur résiduelle de la rente (montant positif), ou du solde restant dû d’un
prêt (montant négatif) à l’issue du dernier paiement. valeur-future correspond à un
nombre. À la fin de la période d’investissement, un montant perçu est un montant
positif et un montant investi est un montant négatif. Il peut s’agir par exemple d’un
remboursement gonflé sur un prêt (négatif) ou de la valeur résiduelle d’un contrat
à annuités (positif). En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut correspond
à 0.
 échéance : argument facultatif qui indique si les paiements sont dus au début ou
à la fin de chaque période. Pour la plupart des crédits hypothécaires et autres prêts,
le premier paiement doit être effectué à la fin de la première période (0), ce qui est
la valeur par défaut. Par contre, la plupart des paiements dans le cadre d’un créditbail ou d’une location et certains autres types de paiements sont dus au début de la
période (1).
fin (0 ou omis): paiements dus à la fin de chaque période.
début (1): paiements dus au début de chaque période.
Exemple
Dans cet exemple, VPM permet de déterminer le paiement fixe en s’appuyant sur les modalités
indiqués pour un prêt.
La fonction renvoie la valeur – 1 610,21 €, ce qui représente le paiement fixe que vous devez effectuer
(négative parce qu’il s’agit d’un décaissement) pour ce prêt.164 Chapitre 6 Fonctions financières
taux-périodique nbre-périodes valeur-actualisée valeur-future échéance
=VPM(B2; C2; D2;
E2; F2)
=0,06/12 =10*12 200000 –100000 0
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« VC » à la page 159
« INTPER » à la page 121
« NPM » à la page 129
« PRINCPER » à la page 131
« VA » à la page 152
« TAUX » à la page 141
« Exemple de tableau d’amortissement pour un prêt » à la page 381
« Choix de la valeur temporelle à utiliser pour une fonction monétaire » à la page 375
« Arguments communs utilisés dans les fonctions financières » à la page 366
« Liste des fonctions financières » à la page 102
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44165
Les fonctions logiques et d’information vous aident à évaluer
le contenu de cellules et à déterminer comment évaluer des
contenus de cellule ou des résultats de formule et comment
travailler avec ces derniers.
Liste des fonctions logiques et d’information
iWork intégre ces fonctions logiques et d’information pour que vous puissiez les
utiliser dans des tableaux.
Fonction Description
« ESTERREUR » (page 166) La fonction ESTERREUR renvoie VRAI si une
expression donnée donne une erreur et FAUX
dans le cas contraire.
« EST.IMPAIR » (page 167) La fonction EST.IMPAIR renvoie VRAI si la valeur
est impaire (présente un reste en cas de division
par 2). Dans le cas contraire, elle renvoie FAUX.
« EST.PAIR » (page 168) La fonction EST.PAIR renvoie VRAI si la valeur est
paire (n’a pas de reste en cas de division par 2).
Dans le cas contraire, elle renvoie FAUX.
« ESTVIDE » (page 168) La fonction ESTVIDE renvoie VRAI si la cellule
indiquée est vide et FAUX dans le cas contraire.
« ET » (page 169) La fonction ET renvoie VRAI si tous les arguments
sont vrais et FAUX dans le cas contraire.
« FAUX » (page 171) La fonction FAUX renvoie la valeur booléenne
FAUX. Cette fonction a été incluse afin d’assurer la
compatibilité avec les tableaux importés d’autres
tableurs.
7
Fonctions logiques et
d’informationFonction Description
« NON » (page 172) La fonction NON renvoie l’opposé de la valeur
booléenne d’une expression indiquée.
« OU » (page 173) La fonction OU renvoie VRAI si l’un des
arguments est vrai. Dans le cas contraire, elle
renvoie FAUX.
« SI » (page ###) La fonction SI renvoie la valeur booléenne VRAI
ou FAUX selon que l’expression indiquée est vraie
ou fausse.
« SI.ERREUR » (page 176) La fonction SI.ERREUR renvoie la valeur que
vous précisez si une valeur donnée donne une
erreur. Dans le cas contraire, elle renvoie la valeur
donnée.
« VRAI » (page 177) La fonction VRAI renvoie la valeur booléenne
VRAI. Cette fonction a été incluse afin d’assurer la
compatibilité avec les tableaux importés d’autres
tableurs.
ESTERREUR
La fonction ESTERREUR renvoie VRAI si une expression donnée donne une erreur et
FAUX dans le cas contraire.
ESTERREUR(expression-quelconque)
 expression-quelconque : expression à évaluer. expression-quelconque peut
correspondre à une valeur de n’importe quel type.
Remarques d’usage
 Il est souvent préférable d’utiliser la fonction SI.ERREUR. La fonction SI.ERREUR a
toutes les fonctionnalités d’ESTERREUR, mais permet également de piéger l’erreur,
pas seulement de l’identifier.
Exemples
Si B1 correspond à un nombre et D1 renvoie la valeur 0, alors :
=SI(ESTERREUR(B1/D1); 0; B1/D1) renvoie 0 car la division par zéro donne une erreur.
=SI.ERREUR(B1/D1; 0) est équivalent à l’exemple précédent, mais ne nécessite qu’une seule fonction.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« SI.ERREUR » à la page 176
« ESTVIDE » à la page 168
« Liste des fonctions logiques et d’information » à la page 165
166 Chapitre 7 Fonctions logiques et d’informationChapitre 7 Fonctions logiques et d’information 167
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
EST.IMPAIR
La fonction EST.IMPAIR renvoie VRAI si le nombre en question est impair (présente un
reste en cas de division par 2). Dans le cas contraire, elle renvoie FAUX.
EST.IMPAIR(nbre)
 nbre : valeur numérique. nbre correspond à un nombre.
Remarques d’usage
 Si nbre correspond à du texte, la fonction génère une erreur. Si nbre est la valeur
booléenne VRAI (valeur 1), la fonction renvoie VRAI. Si nbre est la valeur booléenne
FAUX(valeur 0), la fonction renvoie FAUX.
Exemples
=EST.IMPAIR(3) renvoie VRAI.
=EST.IMPAIR(3,75) renvoie VRAI.
=EST.IMPAIR(2) renvoie FAUX.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« EST.PAIR » à la page 168
« Liste des fonctions logiques et d’information » à la page 165
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44EST.PAIR
La fonction EST.PAIR renvoie VRAI si le nombre en question est pair (n’a pas de reste en
cas de division par 2). Dans le cas contraire, elle renvoie FAUX.
EST.PAIR(nbre)
 nbre : valeur numérique. nbre correspond à un nombre.
Remarques d’usage
 Si nbre correspond à du texte, la fonction génère une erreur. Si nbre est la valeur
booléenne VRAI (valeur 1), la fonction renvoie FAUX. Si nbre est la valeur booléenne
FAUX (valeur 0), la fonction renvoie VRAI.
Exemples
=EST.PAIR(2) renvoie VRAI.
=EST.PAIR(2,75) renvoie VRAI.
=EST.PAIR(3) renvoie FAUX.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« EST.IMPAIR » à la page 167
« Liste des fonctions logiques et d’information » à la page 165
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
ESTVIDE
La fonction ESTVIDE renvoie VRAI si la cellule spécifiée est vide, et FAUX dans le cas
contraire.
ESTVIDE(cellule)
 cellule : référence à une seule cellule de tableau. cellule est une valeur de référence
à une seule cellule pouvant contenir n’importe quelle valeur ou être vide.
Remarques d’usage
 Si la cellule est entièrement vide, la fonction renvoie VRAI, dans le cas contraire, elle
renvoie FAUX. Si la cellule contient un espace ou un caractère non imprimable, la
fonction renvoie FAUX, même si la cellule semble être vide.
168 Chapitre 7 Fonctions logiques et d’informationChapitre 7 Fonctions logiques et d’information 169
Exemples
Si la cellule de tableau A1 est vide et la cellule B2 contient 100 :
=ISBLANK(A1) renvoie VRAI.
=ESTVIDE(B2) renvoie FAUX.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« SI.ERREUR » à la page 176
« ESTERREUR » à la page 166
« Ajout de commentaires d’après le contenu de cellules » à la page 387
« Association de fonctions logiques et de fonctions d’information » à la page 386
« Liste des fonctions logiques et d’information » à la page 165
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
ET
La fonction ET renvoie VRAI si tous les arguments sont vrais et FAUX dans le cas
contraire.
ET(expression-test; expression-test; …)
 expression-test : expression quelconque. expression-test accepte tout type
de donnée pour autant que l’expression du résultat corresponde à une valeur
booléenne. Si l’expression renvoie un nombre, la valeur 0 est interprétée comme la
valeur FAUX, alors que toute autre valeur est interprétée comme VRAI.
 expression-test;… : vous pouvez ajouter une ou plusieurs expressions.
Remarques d’usage
 La fonction ET est équivalente à l’opérateur de conjonction logique utilisé dans les
mathématiques ou en logique. Elle évalue d’abord chaque expression-test. Si toutes
les expressions en question sont vraies, la fonction ET renvoie VRAI. Dans le cas
contraire, elle renvoie FAUX.Exemples
=ET(VRAI; VRAI) renvoie VRAI parce que les deux arguments sont vrais.
=ET(1; 0; 1; 1) renvoie FAUX car l’un des arguments correspond au chiffre 0, ce qui est considéré
comme faux.
=ET(A5>60; A5<=100) renvoie VRAI si la cellule A5 contient un nombre et 61 et 100. Dans le cas
contraire, elle renvoie FAUX.
Les deux fonctions SI suivantes renvoient la même valeur :
=SI(B2>60; SI(B2<=100; VRAI, FAUX); FAUX)
=SI(ET(B2>60; B2<=100); VRAI; FAUX)
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« SI » à la page ###
« NON » à la page 172
« OU » à la page 173
« Usage de conditions et de jokers » à la page 389
« Ajout de commentaires d’après le contenu de cellules » à la page 387
« Association de fonctions logiques et de fonctions d’information » à la page 386
« Liste des fonctions logiques et d’information » à la page 165
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
170 Chapitre 7 Fonctions logiques et d’informationChapitre 7 Fonctions logiques et d’information 171
FAUX
La fonction FAUX renvoie la valeur booléenne FAUX. Cette fonction a été incluse afin
d’assurer la compatibilité avec les tableaux importés d’autres tableurs.
FAUX()
Remarques d’usage
 La fonction FAUX n’a pas d’argument. Toutefois, vous devez inclure les parenthèses :
=FAUX().
 Au lieu d’utiliser la fonction FAUX, vous pouvez indiquer la valeur booléenne
FAUX (en majuscules ou en minuscules) dans une cellule ou comme argument de
fonction.
Exemples
=FAUX() renvoie la valeur booléenne FAUX.
=ET(1; FAUX()) renvoie la valeur booléenne FAUX.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« VRAI » à la page 177
« Liste des fonctions logiques et d’information » à la page 165
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44NON
La fonction NON renvoie l’opposé de la valeur booléenne d’une expression indiquée.
NON(expression-quelconque)
 expression-quelconque : expression à évaluer. expression-quelconque accepte tout
type de donnée pour autant que l’expression du résultat corresponde à une valeur
booléenne. Si l’expression renvoie un nombre, la valeur 0 est interprétée comme la
valeur FAUX, alors que toute autre valeur est interprétée comme VRAI.
Exemples
=NON(0) renvoie VRAI car 0 est interprété comme FAUX.
=OU(A9; NON(A9)) renvoie toujours VRAI car A9 ou son opposé est toujours vrai.
=NON(OU(FAUX; FAUX)) renvoie VRAI car aucun des arguments du OU logique n’est vrai.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« ET » à la page 169
« SI » à la page ###
« OU » à la page 173
« Liste des fonctions logiques et d’information » à la page 165
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
172 Chapitre 7 Fonctions logiques et d’informationChapitre 7 Fonctions logiques et d’information 173
OU
La fonction OU renvoie VRAI si l’un des arguments est vrai. Dans le cas contraire, elle
renvoie FAUX.
OU(expression-quelconque; expression-quelconque; …)
 expression-quelconque : expression à évaluer. expression-quelconque accepte tout
type de donnée pour autant que l’expression du résultat corresponde à une valeur
booléenne. Si l’expression renvoie un nombre, la valeur 0 est interprétée comme la
valeur FAUX, alors que toute autre valeur est interprétée comme VRAI.
 expression-quelconque; … : vous pouvez ajouter une ou plusieurs expressions à
évaluer.
Remarques d’usage
 La fonction OU est équivalente à la disjonction logique ou à la disjonction inclusive
utilisée dans les mathématiques ou en logique. Elle évalue d’abord chaque
expression. Si l’une des expressions en question est vraie, la fonction OU renvoie
VRAI. Dans le cas contraire, elle renvoie FAUX.
 Si une expression est numérique, la valeur 0 est interprétée comme FAUX, alors que
toute valeur différente de zéro est interprétée comme VRAI.
 OU est souvent utilisée avec la fonction SI lorsque plus d’une condition doivent être
considérées.
Exemples
=OU(A1+A2<100; B1+B2<100) renvoie FAUX si les sommes des cellules indiquées sont plus grandes
ou égales à 100 et VRAI si au moins une des sommes est plus petite que 100.
=OU(5; 0; 6) renvoie VRAI car au moins un argument est différent de zéro.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« ET » à la page 169
« SI » à la page ###
« NON » à la page 172
« Usage de conditions et de jokers » à la page 389
« Ajout de commentaires d’après le contenu de cellules » à la page 387
« Association de fonctions logiques et de fonctions d’information » à la page 386
« Liste des fonctions logiques et d’information » à la page 165
« Types de valeur » à la page 39« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
SI
La fonction SI renvoie la valeur booléenne VRAI ou FAUX selon que l’expression
indiquée est vraie ou fausse.
SI(expression-si; si-vrai; si-faux)
 expression-si : expression logique. expression-si accepte tout type de donnée
pour autant que l’expression du résultat corresponde à une valeur booléenne. Si
l’expression renvoie un nombre, la valeur 0 est interprétée comme la valeur FAUX,
alors que toute autre valeur est interprétée comme VRAI.
 si-vrai : valeur renvoyée si l’expression est avérée. si-vrai peut correspondre à une
valeur de n’importe quel type. En cas d’omission (une virgule sans valeur), SI renvoie
0.
 si faux : argument facultatif représentant la valeur renvoyée si l’expression
correspond à FAUX. si-faux peut correspondre à une valeur de n’importe quel type.
En cas d’omission (une virgule sans valeur), SI renvoie 0. En cas d’omission complète
(aucune virgule après si-faux) et si expression-si donne FAUX, SI renvoie FAUX.
Remarques d’usage
 Si la valeur booléenne d’expression-si est VRAI, la fonction renvoie l’expression si-vrai,
dans le cas contraire elle renvoie l’expression si-faux.
 Tant si-vrai que si-faux peuvent contenir des fonctions SI supplémentaires
(imbriquées).
174 Chapitre 7 Fonctions logiques et d’informationChapitre 7 Fonctions logiques et d’information 175
Exemples
=SI(A5>=0; "Non négatif"; "Négatif") renvoie le texte « Non négatif » si la cellule A5 contient un
nombre plus grand ou égal à zéro ou une valeur non numérique. Si la cellule A5 contient une valeur
plus petite que 0, la fonction renvoie « Négatif ».
=SI(SI.ERREUR(OU(EST.PAIR(B4+B5); EST.IMPAIR(B4+B5); FAUX); ); "Tous des nombres"; "Pas tous des
nombres") renvoie le texte « Tous des nombres » si les cellules B4 et B5 contiennent des nombres, le
texte « Pas tous des nombres » dans le cas contraire. Pour les besoins du résultat, un test détermine si
la somme des deux cellules est paire ou impaire. Si la cellule n’est pas un nombre, les fonctions EST.
PAIR et EST.IMPAIR renvoient une erreur et la fonction SI.ERREUR renvoie FAUX, dans le cas contraire,
elle renvoie VRAI car soit EST.PAIR soit EST.IMPAIR donne VRAI. Donc, si B4 ou B5 n’est ni un nombre
ni une valeur booléenne, l’expression SI renverra l’expression si-faux, c’est-à-dire « Pas tous des
nombres ». À défaut, elle reverra l’expression si-vrai, c’est-à-dire « Tous des nombres ».
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« ET » à la page 169
« NON » à la page 172
« OU » à la page 173
« Usage de conditions et de jokers » à la page 389
« Interception de division par zéro » à la page 388
« Ajout de commentaires d’après le contenu de cellules » à la page 387
« Association de fonctions logiques et de fonctions d’information » à la page 386
« Liste des fonctions logiques et d’information » à la page 165
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44SI.ERREUR
La fonction SI.ERREUR renvoie la valeur que vous indiquez si une valeur donnée donne
une erreur. Dans le cas contraire, elle renvoie la valeur donnée.
SI.ERREUR(expression-quelconque; erreur-si)
 expression-quelconque : expression à évaluer. expression-quelconque peut
correspondre à une valeur de n’importe quel type.
 erreur-si : valeur renvoyée si expression-quelconque entraîne une erreur. si-erreur
peut correspondre à une valeur de n’importe quel type.
Remarques d’usage
 Utilisez SI.ERREUR pour gérer les erreurs dans une formule. Par exemple, si la cellule
D1 a pour valeur 0, qui est pourtant une valeur valide, la formule =B1/D1 génère
une erreur (division par zéro). Cette erreur peut être évitée en utilisant une formule
comme =SI.ERREUR(B1/D1; 0) qui renvoie le résultat de la division si D1 est différent
de zéro, mais 0 dans le cas contraire.
Exemples
Si B1 correspond à un nombre et D1 renvoie la valeur 0, alors :
=SI.ERREUR(B1/D1; 0) renvoie 0 car la division par zéro donne une erreur.
=SI(ESTERREUR(B1/D1); 0; B1/D1) est équivalent à l’exemple SI.ERREUR ci-avant, mais nécessite
l’utilisation de SI et de ESTERREUR.
=SI(SI.ERREUR(OU(EST.PAIR(B4+B5); EST.IMPAIR(B4+B5); FAUX); ); "Tous des nombres"; "Pas tous des
nombres") renvoie le texte « Tous des nombres » si les cellules B4 et B5 contiennent des nombres, le
texte « Pas tous des nombres » dans le cas contraire. Pour les besoins du résultat, un test détermine si
la somme des deux cellules est paire ou impaire. Si la cellule n’est pas un nombre, les fonctions EST.
PAIR et EST.IMPAIR renvoient une erreur et la fonction SI.ERREUR renvoie FAUX, dans le cas contraire,
elle renvoie VRAI car soit EST.PAIR soit EST.IMPAIR donne VRAI. Donc, si B4 ou B5 n’est ni un nombre
ni une valeur booléenne, l’expression SI renverra l’expression si-faux, c’est-à-dire « Pas tous des
nombres ». À défaut, elle reverra l’expression si-vrai, c’est-à-dire « Tous des nombres ».
176 Chapitre 7 Fonctions logiques et d’informationChapitre 7 Fonctions logiques et d’information 177
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« ESTVIDE » à la page 168
« ESTERREUR » à la page 166
« Liste des fonctions logiques et d’information » à la page 165
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
VRAI
La fonction VRAI renvoie la valeur booléenne VRAI. Cette fonction a été incluse afin
d’assurer la compatibilité avec les tableaux importés d’autres tableurs.
VRAI()
Remarques d’usage
 La fonction VRAI n’a pas d’argument. Toutefois, vous devez inclure les parenthèses :
=VRAI().
 Au lieu d’utiliser la fonction VRAI, vous pouvez indiquer la valeur booléenne VRAI en
tapant simplement VRAI (ou vrai) dans une cellule ou comme argument de fonction.
Exemples
=VRAI() renvoie la valeur booléenne VRAI.
=ET(1; VRAI()) renvoie la valeur booléenne VRAI.
=ET(1; VRAI) fonctionne exactement comme dans l’exemple précédent.178 Chapitre 7 Fonctions logiques et d’information
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« FAUX » à la page 171
« Liste des fonctions logiques et d’information » à la page 165
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44179
Les fonctions numériques vous aident à calculer des valeurs
mathématiques souvent utilisées.
Liste des fonctions numériques
Ces fonctions de manipulation de nombres ont été intégrées à iWork pour que vous
puissiez les utiliser dans des tableaux.
Fonction Description
« ABS » (page 182) La fonction ABS renvoie la valeur absolue d’un
nombre ou d’une durée.
« ALEA » (page 183) La fonction ALEA renvoie un nombre aléatoire
plus grand ou égal à 0 et plus petit que 1.
« ALEA.ENTRE.BORNES » (page 183) La fonction ALEA.ENTRE.BORNES renvoie un
entier aléatoire pris dans l’intervalle indiqué.
« ARRONDI » (page 184) La fonction ARRONDI renvoie un nombre arrondi
au nombre de chiffres indiqué.
« ARRONDI.AU.MULTIPLE » (page 185) La fonction ARRONDI.AU.MULTIPLE arrondit un
nombre au plus petit multiple supérieur d’un
facteur donné.
« ARRONDI.INF » (page 186) La fonction ARRONDI.INF renvoie un nombre
arrondi vers le bas (en se rapprochant de zéro) au
nombre de chiffres indiqué.
8
Fonctions numériquesFonction Description
« ARRONDI.SUP » (page 187) La fonction ARRONDI.SUP renvoie un nombre
arrondi vers le haut (en s’éloignant de zéro) au
nombre de chiffres indiqué.
« COMBIN » (page 189) La fonction COMBIN renvoie le nombre de
manières qu’il y a de combiner un nombre
d’éléments pour former des groupes d’une taille
donnée sans tenir compte de l’ordre dans les
groupes.
« ENT » (page 190) La fonction ENT renvoie le nombre entier
inférieur ou égal le plus proche du nombre.
« EXP » (page 191) La fonction EXP renvoie e (la base des
logarithmes népériens) élevé à la puissance
spécifiée.
« FACT » (page 192) La fonction FACT renvoie la factorielle d’un
nombre.
« FACTDOUBLE » (page 192) La fonction FACTDOUBLE renvoie la factorielle
double d’un nombre.
« IMPAIR » (page 193) La fonction IMPAIR arrondit un nombre au
nombre impair supérieur.
« LN » (page 194) La fonction LN renvoie le logarithme népérien
d’un nombre, la puissance à laquelle e doit être
élevé pour donner le nombre.
« LOG » (page 195) La fonction LOG renvoie le logarithme d’un
nombre en s’appuyant sur la base indiquée.
« LOG10 » (page 196) La fonction LOG10 renvoie le logarithme en base
10 d’un nombre.
« MOD » (page 197) La fonction MOD renvoie le reste d’une division.
« MULTINOMIALE » (page 198) La fonction MULTINOMIALE renvoie la forme
la plus proche du coefficient multinomial des
nombres précisés.
« PAIR » (page 199) La fonction PAIR arrondit un nombre au nombre
pair supérieur.
« PGCD » (page 200) La fonction PGCD renvoie le plus grand commun
dénominateur (PGCD) des nombres indiqués.
« PI » (page 200) La fonction PI renvoie la valeur approximative
de p (pi), le rapport entre la circonférence d’un
cercle et son diamètre.
« PLAFOND » (page 201) La fonction PLAFOND arrondit un nombre au
plus petit multiple supérieur du facteur donné.
180 Chapitre 8 Fonctions numériquesChapitre 8 Fonctions numériques 181
Fonction Description
« PLANCHER » (page 202) La fonction PLANCHER arrondit un nombre au
plus petit multiple inférieur du facteur donné.
« PPCM » (page 203) La fonction PPCM renvoie le plus petit commun
multiple (PPCM) des nombres indiqués.
« PRODUIT » (page 204) La fonction PRODUIT renvoie le produit d’un ou
plusieurs nombres.
« PUISSANCE » (page 205) La fonction PUISSANCE renvoie un nombre élevé
à une puissance.
« QUOTIENT » (page 206) La fonction QUOTIENT renvoie le quotient entier
de deux nombres.
« RACINE » (page 207) La fonction RACINE renvoie la racine carrée d’un
nombre.
« RACINE.PI » (page 207) La fonction RACINE.PI renvoie la racine carrée
d’un nombre multiplié par p (pi).
« ROMAIN » (page 208) La fonction ROMAIN convertit un nombre en
chiffres romains.
« SIGNE » (page 209) La fonction SIGNE renvoie 1 si le nombre en
question est positif, – 1 s’il est négatif et 0 s’il est
nul.
« SOMME » (page 209) La fonction SOMME renvoie la somme d’une
collection de nombres.
« SOMME.CARRES » (page 211) La fonction SOMME.CARRES renvoie la somme
des carrés d’une collection de nombres.
« SOMMEPROD » (page 212) La fonction SOMMEPROD renvoie la somme des
produits des nombres correspondants dans un
ou plusieurs intervalles.
« SOMME.SI » (page 213) La fonction SOMME.SI renvoie la somme d’une
collection de nombres, y compris seuls les
nombres qui répondent à la condition indiquée.
« SOMME.SIS » (page 215) La fonction SOMME.SIS renvoie la somme des
cellules d’une collection dans laquelle les valeurs
testées répondent aux conditions données.
« SOMME.X2MY2 » (page 217) La fonction SOMME.X2MY2 renvoie la somme
de la différence des carrés des valeurs
correspondantes dans deux collections.Fonction Description
« SOMME.X2PY2 » (page 218) La fonction SOMME.X2PY2 renvoie la somme des
carrés des valeurs correspondantes dans deux
collections.
« SOMME.XMY2 » (page 219) La fonction SOMME.XMY2 renvoie la somme
des carrés des différences entre les valeurs
correspondantes dans deux collections.
« TRONQUE » (page 220) La fonction TRONQUE scinde un nombre au
chiffre indiqué.
ABS
La fonction ABS renvoie la valeur absolue d’un nombre ou d’une durée.
ABS(nbre-dur)
 nbre-dur : nombre ou valeur de durée. nbre-dur correspond à un nombre ou à une
durée.
Remarques d’usage
 Le résultat renvoyé par ABS est soit un nombre positif soit 0.
Exemples
=ABS(A1) renvoie 5, si la cellule A1 contient 5.
=ABS(8–5) renvoie 3.
=ABS(5–8) renvoie 3.
=ABS(0) renvoie 0.
=ABS(A1) renvoie 0, si la cellule A1 est vide.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« Liste des fonctions numériques » à la page 179
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
182 Chapitre 8 Fonctions numériquesChapitre 8 Fonctions numériques 183
ALEA
La fonction ALEA renvoie un nombre aléatoire plus grand ou égal à 0 et plus petit que
1.
ALEA()
Remarques d’usage
 La fonction ALEA n’a pas d’argument. Toutefois, vous devez inclure les parenthèses :
=ALEA().
 Chaque fois que vous modifiez une valeur dans le tableau, un nouveau nombre plus
grand ou égal à 0 et plus petit que 1 est généré.
Exemple
=ALEA() renvoie, par exemple, 0,217538648284972, 0,6137690856, 0,0296026556752622 et
0,4684193600 dans le cas de quatre nouveaux calculs.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« ALEA.ENTRE.BORNES » à la page 183
« Liste des fonctions numériques » à la page 179
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
ALEA.ENTRE.BORNES
La fonction ALEA.ENTRE.BORNES renvoie un entier aléatoire pris dans l’intervalle
indiqué.
ALEA.ENTRE.BORNES(inférieur; supérieur)
 inférieur : limite inférieure. inférieur correspond à un nombre.
 supérieur : limite supérieure. supérieur correspond à un nombre.
Remarques d’usage
 Chaque fois que vous modifiez une valeur dans le tableau, un nouveau nombre
aléatoire compris entre les limites inférieure et supérieure est généré.
Exemple
=ALEA.ENTRE.BORNES(1; 10) renvoie, par exemple, 8, 6, 2, 3 et 5 dans le cas de cinq nouveaux calculs.Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« ALEA » à la page 183
« Liste des fonctions numériques » à la page 179
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
ARRONDI
La fonction ARRONDI renvoie un nombre arrondi au nombre de chiffres indiqué.
ARRONDI(nbre-à-arrondir; décimales)
 nbre-à-arrondir : nombre à arrondir. nbre-à-arrondir correspond à un nombre.
 décimales : nombre de décimales à conserver après la virgule. décimales
correspond à un nombre. Un nombre positif représente le nombre de décimales
(chiffres après la virgule) à droite. Un nombre négatif représente le nombre de
chiffres à gauche de la virgule décimale à remplacer par des zéros (le nombre de
zéro à la fin du nombre).
Exemples
=ARRONDI(1,49; 0) renvoie 1.
=ARRONDI(1,50; 0) renvoie 2.
=ARRONDI(1,23456; 3) renvoie 1,235.
=ARRONDI(1111,222; –2) renvoie 1100.
=ARRONDI(–2,2; 0) renvoie « – 2 ».
=ARRONDI(–2,8; 0) renvoie « – 3 ».
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« PLAFOND » à la page 201
« PAIR » à la page 199
« PLANCHER » à la page 202
« ENT » à la page 190
« ARRONDI.AU.MULTIPLE » à la page 185
184 Chapitre 8 Fonctions numériquesChapitre 8 Fonctions numériques 185
« IMPAIR » à la page 193
« ARRONDI.INF » à la page 186
« ARRONDI.SUP » à la page 187
« TRONQUE » à la page 220
« En savoir plus sur les arrondis » à la page 383
« Liste des fonctions numériques » à la page 179
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
ARRONDI.AU.MULTIPLE
La fonction ARRONDI.AU.MULTIPLE arrondit un nombre au plus petit multiple
supérieur d’un facteur donné.
ARRONDI.AU.MULTIPLE(nbre-à-arrondir; facteur)
 nbre-à-arrondir : nombre à arrondir. nbre-à-arrondir correspond à un nombre.
 facteur : nombre à utiliser pour déterminer le multiple le plus proche. facteur
correspond à un nombre. La valeur doit présenter le même signe que nbre-à-
arrondir.
Exemples
=ARRONDI.AU.MULTIPLE(2; 3) renvoie 3.
=ARRONDI.AU.MULTIPLE(4; 3) renvoie 3.
=ARRONDI.AU.MULTIPLE(4,4999; 3) renvoie 3.
=ARRONDI.AU.MULTIPLE(4,5; 3) renvoie 6.
=ARRONDI.AU.MULTIPLE(–4,5; 3) génère une erreur.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« PLAFOND » à la page 201
« PAIR » à la page 199
« PLANCHER » à la page 202« ENT » à la page 190
« IMPAIR » à la page 193
« ARRONDI » à la page 184
« ARRONDI.INF » à la page 186
« ARRONDI.SUP » à la page 187
« TRONQUE » à la page 220
« En savoir plus sur les arrondis » à la page 383
« Liste des fonctions numériques » à la page 179
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
ARRONDI.INF
La fonction ARRONDI.INF renvoie un nombre arrondi vers le bas (en se rapprochant de
zéro) au nombre de chiffres indiqué.
ARRONDI.INF(nbre-à-arrondir; décimales)
 nbre-à-arrondir : nombre à arrondir. nbre-à-arrondir correspond à un nombre.
 décimales : nombre de décimales à conserver après la virgule. décimales
correspond à un nombre. Un nombre positif représente le nombre de décimales
(chiffres après la virgule) à droite. Un nombre négatif représente le nombre de
chiffres à gauche de la virgule décimale à remplacer par des zéros (le nombre de
zéro à la fin du nombre).
Exemples
=ARRONDI.INF(1,49; 0) renvoie 1.
=ARRONDI.INF(1,50; 0) renvoie 1.
=ARRONDI.INF(1,23456; 3) renvoie 1,234.
=ARRONDI.INF(1111,222; –2) renvoie 1100.
=ARRONDI.INF(–2,2; 0) renvoie « – 2 ».
=ARRONDI.INF(–2,8; 0) renvoie « – 2 ».
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
186 Chapitre 8 Fonctions numériquesChapitre 8 Fonctions numériques 187
« PLAFOND » à la page 201
« PAIR » à la page 199
« PLANCHER » à la page 202
« ENT » à la page 190
« ARRONDI.AU.MULTIPLE » à la page 185
« IMPAIR » à la page 193
« ARRONDI » à la page 184
« ARRONDI.SUP » à la page 187
« TRONQUE » à la page 220
« En savoir plus sur les arrondis » à la page 383
« Liste des fonctions numériques » à la page 179
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
ARRONDI.SUP
La fonction ARRONDI.SUP renvoie un nombre arrondi vers le haut (en s’éloignant de
zéro) au nombre de chiffres indiqué.
ARRONDI.SUP(nbre-à-arrondir; décimales)
 nbre-à-arrondir : nombre à arrondir. nbre-à-arrondir correspond à un nombre.
 décimales : nombre de décimales à conserver après la virgule. décimales
correspond à un nombre. Un nombre positif représente le nombre de décimales
(chiffres après la virgule) à droite. Un nombre négatif représente le nombre de
chiffres à gauche de la virgule décimale à remplacer par des zéros (le nombre de
zéro à la fin du nombre).Exemples
=ARRONDI.SUP(1,49; 0) renvoie 2.
=ARRONDI.SUP(1,50; 0) renvoie 2.
=ARRONDI.SUP(1,23456; 3) renvoie 1,235.
=ARRONDI.SUP(1111,222; –2) renvoie 1200.
=ARRONDI.SUP(–2,2; 0) renvoie « – 3 ».
=ARRONDI.SUP(–2,8; 0) renvoie « – 3 ».
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« PLAFOND » à la page 201
« PAIR » à la page 199
« PLANCHER » à la page 202
« ENT » à la page 190
« ARRONDI.AU.MULTIPLE » à la page 185
« IMPAIR » à la page 193
« ARRONDI » à la page 184
« ARRONDI.INF » à la page 186
« TRONQUE » à la page 220
« En savoir plus sur les arrondis » à la page 383
« Liste des fonctions numériques » à la page 179
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
188 Chapitre 8 Fonctions numériquesChapitre 8 Fonctions numériques 189
COMBIN
La fonction COMBIN renvoie le nombre de manières qu’il y a de combiner un nombre
d’éléments pour former des groupes d’une taille donnée sans tenir compte de l’ordre
dans les groupes.
COMBIN(total-éléments; taille-groupe)
 total-éléments : nombre d’éléments. total-éléments correspond à un nombre
supérieur ou égal à 0. Si total-éléments présente une partie décimale (fraction), celleci est ignorée.
 taille-groupe : nombre d’éléments combinés dans chaque groupe. taille-groupe
correspond à un nombre supérieur ou égal à 0. Si taille-groupe présente une partie
décimale (fraction), celle-ci est ignorée.
Remarques d’usage
 Les combinaisons se distinguent des permutations. L’ordre des éléments d’un
groupe est ignoré pour les combinaisons mais il est pris en compte pour les
permutations. Par exemple, (1; 2; 3) et (3; 2; 1) constituent la même combinaison
mais deux permutations uniques. Si vous voulez le nombre de permutations plutôt
que le nombre de combinaisons, utilisez la fonction PERMUT.
Exemples
=COMBIN(3; 2) renvoie 3, le nombre de groupes uniques que l’on peut former en commençant par 3
éléments et en les groupant par 2.
=COMBIN(3,2; 2,3) renvoie 3. La partie décimale des nombres est omise.
=COMBIN(5; 2) et =COMBIN(5; 3) renvoient tous deux 10.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« PERMUTATION » à la page 306
« Liste des fonctions numériques » à la page 179
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44ENT
La fonction ENT renvoie le nombre entier, inférieur ou égal, le plus proche du nombre.
ENT(nbre-à-arrondir)
 nbre-à-arrondir : nombre à arrondir. nbre-à-arrondir correspond à un nombre.
Exemples
=ENT(1,49) renvoie 1.
=ENT(1,50) renvoie 1.
=ENT(1,23456) renvoie 1.
=ENT(1111,222) renvoie 1 111.
=ENT(–2,2) renvoie « – 3 ».
=ENT(–2,8) renvoie « – 3 ».
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« PLAFOND » à la page 201
« PAIR » à la page 199
« PLANCHER » à la page 202
« ARRONDI.AU.MULTIPLE » à la page 185
« IMPAIR » à la page 193
« ARRONDI » à la page 184
« ARRONDI.INF » à la page 186
« ARRONDI.SUP » à la page 187
« TRONQUE » à la page 220
« En savoir plus sur les arrondis » à la page 383
« Liste des fonctions numériques » à la page 179
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
190 Chapitre 8 Fonctions numériquesChapitre 8 Fonctions numériques 191
EXP
La fonction EXP renvoie e (la base des logarithmes népériens) élevé à la puissance
indiquée.
EXP(exposant)
 exposant : puissance à laquelle vous souhaitez élever e. exposant correspond à un
nombre.
Remarques d’usage
 EXP et LN sont mathématiquement parlant l’inverse l’un de l’autre, à la différence
où LN est défini mais où, de par l’arrondi en virgule flottante, EXP(LN(x)) peut ne pas
donner exactement x.
Exemple
=EXP(1) renvoie 2,71828182845905, une approximation de e.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« LN » à la page 194
« Liste des fonctions numériques » à la page 179
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44FACT
La fonction FACT renvoie la factorielle d’un nombre.
FACT(fact-nbre)
 fact-nbre : valeur numérique. fact-nbre correspond à un nombre supérieur ou égal à
0. Toute partie décimale (fraction) de fact-nbre est ignorée.
Exemples
=FACT(5) renvoie 120, c’est-à-dire 1 * 2 * 3 * 4 * 5.
=FACT(0) renvoie 1.
=FACT(4,5) renvoie 24. La fraction est ignorée et la factorielle de 4 est calculée.
=FACT(–1) génère une erreur car le nombre ne peut pas être négatif.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« FACTDOUBLE » à la page 192
« MULTINOMIALE » à la page 198
« Liste des fonctions numériques » à la page 179
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
FACTDOUBLE
La fonction FACTDOUBLE renvoie la factorielle double d’un nombre.
FACTDOUBLE(fact-nbre)
 fact-nbre : valeur numérique. fact-nbre correspond à un nombre supérieur ou égal à
– 1. Les valeurs de l’intervalle – 1 à 1 renvoient 1. Toute partie décimale (fraction) de
fact-nbre est ignorée.
Remarques d’usage
 Pour un entier pair, la factorielle double est le produit de tous les entiers pairs plus
petits ou égaux à l’entier donné et plus grands ou égaux à 2. Pour un entier impair,
la factorielle double est le produit de tous les entiers impairs plus petits ou égaux à
l’entier donné et plus grands ou égaux à 1.
192 Chapitre 8 Fonctions numériquesChapitre 8 Fonctions numériques 193
Exemples
=FACTDOUBLE(4) renvoie 8, le produit de 2 et 4.
=FACTDOUBLE(4,7) renvoie 8, le produit de 2 et 4. La partie décimale est ignorée.
=FACTDOUBLE (10) renvoie 3 840, le produit de 2, 4, 6, 8 et 10.
=FACTDOUBLE(1) renvoie 1 car tous les nombres entre – 1 et 1 renvoient 1.
=FACTDOUBLE(–1) renvoie 1 car tous les nombres entre – 1 et 1 renvoient 1.
=FACTDOUBLE (7) renvoie 105, le produit de 1, 3, 5 et 7.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« FACT » à la page 192
« MULTINOMIALE » à la page 198
« Liste des fonctions numériques » à la page 179
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
IMPAIR
La fonction IMPAIR arrondit un nombre au nombre impair supérieur.
IMPAIR(nbre-à-arrondir)
 nbre-à-arrondir : nombre à arrondir. nbre-à-arrondir correspond à un nombre.
Remarques d’usage
 Pour arrondir à un nombre pair, utilisez la fonction PAIR.
Exemples
=IMPAIR(1) renvoie 1.
=IMPAIR(2) renvoie 3.
=IMPAIR(2,5) renvoie 3.
=IMPAIR(–2,5) renvoie « – 3 ».
=IMPAIR(0) renvoie 1.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’« PLAFOND » à la page 201
« PAIR » à la page 199
« PLANCHER » à la page 202
« ENT » à la page 190
« ARRONDI.AU.MULTIPLE » à la page 185
« ARRONDI » à la page 184
« ARRONDI.INF » à la page 186
« ARRONDI.SUP » à la page 187
« TRONQUE » à la page 220
« En savoir plus sur les arrondis » à la page 383
« Liste des fonctions numériques » à la page 179
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
LN
La fonction LN renvoie le logarithme népérien d’un nombre, la puissance à laquelle e
doit être élevé pour donner le nombre.
LN(nbre-pos)
 nbre-pos : nombre positif. nbre-pos correspond à un nombre supérieur à 0.
Remarques d’usage
 EXP et LN sont mathématiquement parlant l’inverse l’un de l’autre, à la différence où
LN est défini mais où, de par l’arrondi en virgule flottante, =LN(EXP(x)) peut ne pas
donner exactement x.
Exemple
=LN(2,71828) renvoie approximativement 1, la puissance à laquelle il faut élever e pour donner
2,71828.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
194 Chapitre 8 Fonctions numériquesChapitre 8 Fonctions numériques 195
« EXP » à la page 191
« LOG » à la page 195
« LOI.LOGNORMALE.INVERSE » à la page 278
« LOI.LOGNORMALE » à la page 277
« Liste des fonctions numériques » à la page 179
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
LOG
La fonction LOG renvoie le logarithme d’un nombre en s’appuyant sur la base
indiquée.
LOG(nbre-pos; base)
 nbre-pos : nombre positif. nbre-pos correspond à un nombre supérieur à 0.
 base : valeur facultative représentant la base du logarithme. base correspond à un
nombre supérieur à 0. Si base est égal à 1, cela revient à effectuer une division par
zéro et la fonction génère une erreur. Si base est omis, la valeur supposée par défaut
correspond à 10.
Exemples
=LOG(8; 2) renvoie 3.
=LOG(100; 10) et LOG(100) renvoient tous deux 2.
=LOG(5,0625; 1,5) renvoie 4.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« LOG10 » à la page 196
« Liste des fonctions numériques » à la page 179
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
LOG10
La fonction LOG10 renvoie le logarithme en base 10 d’un nombre.
LOG10(nbre-pos)
 nbre-pos : nombre positif. nbre-pos correspond à un nombre supérieur à 0.
Remarques d’usage
 Pour trouver le logarithme dans une base autre que la base 10, utilisez la fonction
LOG.
Exemples
=LOG10(1) renvoie 0.
=LOG10(10) renvoie 1.
=LOG10(100) renvoie 2.
=LOG10(1000) renvoie 3.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« LN » à la page 194
« LOG » à la page 195
« Liste des fonctions numériques » à la page 179
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
196 Chapitre 8 Fonctions numériquesChapitre 8 Fonctions numériques 197
MOD
La fonction MOD renvoie le reste d’une division.
MOD(dividende; diviseur)
 dividende : nombre à diviser par un autre nombre. dividende correspond à un
nombre.
 diviseur : nombre servant à diviser un autre nombre. diviseur correspond à un
nombre. Si « diviseur » est égal à 0, cela revient à effectuer une division par zéro et la
fonction génère une erreur.
Remarques d’usage
 Le signe du résultat est identique à celui du diviseur.
 Lors du calcul de MOD(a; b), la fonction renvoie un nombre r tel que a = bk + r, où r
est compris entre 0 et b, et k est un entier.
 MOD(a; b) équivaut à a-b*ENT(a/b).
Exemples
=MOD(6; 3) renvoie 0.
=MOD(7; 3) renvoie 1.
=MOD(8; 3) renvoie 2.
=MOD(–8; 3) renvoie 1.
=MOD(4,5; 2) renvoie 0,5.
=MOD(7; 0,75) renvoie 0,25.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« QUOTIENT » à la page 206
« Liste des fonctions numériques » à la page 179
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44MULTINOMIALE
La fonction MULTINOMIALE renvoie le coefficient multinomial des nombres précisés.
Pour ce faire, la fonction détermine le rapport de la factorielle de la somme des
nombres en question sur le produit des factorielles des nombres en question.
MULTINOMIALE(nbre-non-nég; nbre-non-nég; …)
 nbre-non-nég : valeur numérique. nbre-non-nég correspond à un nombre supérieur
ou égal à 0.
 nbre-non-nég; … : vous pouvez ajouter un ou plusieurs nombres.
Exemples
=MULTINOMIALE(2) renvoie 1. La factorielle de 2 est égale à 2. Le produit de 1 et 2 est égal à 2. Le
rapport de 2:2 est égal à 1.
=MULTINOMIALE(1; 2; 3) renvoie 60. La factorielle de la somme de 1, 2 et 3 est égale à 720. Le produit
des factorielles de 1, 2 et 3 est égal à 12. Le rapport de 720:12 est égal à 60.
=MULTINOMIALE(4; 5; 6) renvoie 630630. La factorielle de la somme de 4, 5 et 6 est égale à
1,30767E+12 Le produit des factorielles de 4, 5 et 6 est égal à « 2 073 600 ». Le rapport de
1,30767E+12:2073600 est égal à « 630 630 ».
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« FACT » à la page 192
« FACTDOUBLE » à la page 192
« Liste des fonctions numériques » à la page 179
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
198 Chapitre 8 Fonctions numériquesChapitre 8 Fonctions numériques 199
PAIR
La fonction PAIR arrondit un nombre au nombre pair supérieur.
PAIR(nbre-à-arrondir)
 nbre-à-arrondir : nombre à arrondir. nbre-à-arrondir correspond à un nombre.
Remarques d’usage
 Pour arrondir à un nombre impair, utilisez la fonction IMPAIR.
Exemples
=PAIR(1) renvoie 2.
=PAIR(2) renvoie 2.
=PAIR(2,5) renvoie 4.
=PAIR(–2,5) renvoie « – 4 ».
=PAIR(0) renvoie 0.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« PLAFOND » à la page 201
« PLANCHER » à la page 202
« ENT » à la page 190
« ARRONDI.AU.MULTIPLE » à la page 185
« IMPAIR » à la page 193
« ARRONDI » à la page 184
« ARRONDI.INF » à la page 186
« ARRONDI.SUP » à la page 187
« TRONQUE » à la page 220
« En savoir plus sur les arrondis » à la page 383
« Liste des fonctions numériques » à la page 179
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44PGCD
La fonction PGCD renvoie le plus grand commun dénominateur (PGCD) des nombres
indiqués.
PGCD(valeur-num; valeur-nbre; …)
 valeur-num : valeur numérique. valeur-num correspond à un nombre. Si elle
contient une fraction décimale, celle-ci est ignorée.
 valeur-nbre; … : vous pouvez ajouter un ou plusieurs nombres.
Remarques d’usage
 Parfois appelé le plus grand facteur commun, le plus grand commun dénominateur
est le plus grand entier qui divise chacun des nombres sans reste.
Exemples
=PGCD(8; 10) renvoie 2.
=PGCD(99; 102; 105) renvoie 3.
=PGCD(34; 51) renvoie 17.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« PPCM » à la page 203
« Liste des fonctions numériques » à la page 179
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
PI
La fonction PI renvoie la valeur approximative de p (pi), le rapport entre la
circonférence d’un cercle et son diamètre.
PI()
Remarques d’usage
 La fonction PI n’a pas d’argument. Toutefois, vous devez inclure les parenthèses :
=PI().
 PI a une précision de l’ordre de 15 chiffres après la virgule.
200 Chapitre 8 Fonctions numériquesChapitre 8 Fonctions numériques 201
Exemples
=PI() renvoie 3,14159265358979.
=SIN(PI()/2) renvoie 1, le sinus de p/2 radians ou 90 degrés.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« COS » à la page 358
« SIN » à la page 361
« TAN » à la page 363
« Liste des fonctions numériques » à la page 179
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
PLAFOND
La fonction PLAFOND arrondit un nombre au plus petit multiple supérieur du facteur
donné.
PLAFOND(nbre-à-arrondir; facteur-multiple)
 nbre-à-arrondir : nombre à arrondir. nbre-à-arrondir correspond à un nombre.
 facteur-multiple : nombre servant à déterminer le multiple le plus proche. facteurmultiple correspond à un nombre de même signe que nbre-à-arrondir.
Exemples
=PLAFOND(0,25; 1) renvoie 1.
=PLAFOND(1,25; 1) renvoie 2.
=PLAFOND(–1,25; –1) renvoie « – 2 ».
=PLAFOND(5; 2) renvoie 6.
=PLAFOND(73; 10) renvoie 80.
=PLAFOND(7; 2.5) renvoie 7,5.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« PAIR » à la page 199« PLANCHER » à la page 202
« ENT » à la page 190
« ARRONDI.AU.MULTIPLE » à la page 185
« IMPAIR » à la page 193
« ARRONDI » à la page 184
« ARRONDI.INF » à la page 186
« ARRONDI.SUP » à la page 187
« TRONQUE » à la page 220
« En savoir plus sur les arrondis » à la page 383
« Liste des fonctions numériques » à la page 179
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
PLANCHER
La fonction PLANCHER arrondit un nombre au plus petit multiple inférieur du facteur
donné.
PLANCHER(nbre-à-arrondir; facteur)
 nbre-à-arrondir : nombre à arrondir. nbre-à-arrondir correspond à un nombre.
 facteur : nombre à utiliser pour déterminer le multiple le plus proche. facteur
correspond à un nombre. La valeur doit présenter le même signe que nbre-à-
arrondir.
Exemples
=PLANCHER(0,25; 1) renvoie 0.
=PLANCHER(1,25; 1) renvoie 1.
=PLANCHER(5; 2) renvoie 4.
=PLANCHER(73; 10) renvoie 70.
=PLANCHER(–0,25; –1) renvoie 0.
=PLANCHER(9; 2,5) renvoie 7.5.
202 Chapitre 8 Fonctions numériquesChapitre 8 Fonctions numériques 203
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« PLAFOND » à la page 201
« PAIR » à la page 199
« ENT » à la page 190
« ARRONDI.AU.MULTIPLE » à la page 185
« IMPAIR » à la page 193
« ARRONDI » à la page 184
« ARRONDI.INF » à la page 186
« ARRONDI.SUP » à la page 187
« TRONQUE » à la page 220
« En savoir plus sur les arrondis » à la page 383
« Liste des fonctions numériques » à la page 179
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
PPCM
La fonction PPCM renvoie le plus petit commun multiple (PPCM) des nombres
indiqués.
PPCM(valeur-num; valeur-nbre; …)
 valeur-num : valeur numérique. valeur-num correspond à un nombre.
 valeur-nbre; … : vous pouvez ajouter un ou plusieurs nombres.
Remarques d’usage
 Le plus petit commun multiple est le plus petit entier qui est multiple des nombres
indiqués.Exemples
=LCM(2; 3) renvoie 6.
=PPCM(34; 68) renvoie 68.
=PPCM(30; 40; 60) renvoie 120.
=PPCM(30,25; 40,333; 60,5) renvoie 120 (les parties fractionnelles sont ignorées).
=PPCM(2; –3) affiche une erreur (les nombres négatifs ne sont pas autorisés).
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« PGCD » à la page 200
« Liste des fonctions numériques » à la page 179
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
PRODUIT
La fonction PRODUIT renvoie le produit d’un ou de plusieurs nombres.
PRODUIT(valeur-num; valeur-nbre; …)
 valeur-num : valeur numérique. valeur-num correspond à un nombre.
 valeur-nbre; … : vous pouvez ajouter un ou plusieurs nombres.
Remarques d’usage
 Les cellules vides entre les valeurs sont ignorées et n’affectent pas le résultat.
Exemples
=PRODUIT(2; 4) renvoie 8.
=PRODUIT(0,5; 5; 4; 5) renvoie 50.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« SOMME » à la page 209
« Liste des fonctions numériques » à la page 179
« Types de valeur » à la page 39
204 Chapitre 8 Fonctions numériquesChapitre 8 Fonctions numériques 205
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
PUISSANCE
La fonction PUISSANCE renvoie un nombre élevé à une puissance.
PUISSANCE(nombre; exposant)
 nombre : valeur numérique. nombre correspond à un nombre.
 exposant : puissance à laquelle vous souhaitez élever le nombre indiqué. exposant
correspond à un nombre.
Remarques d’usage
 La fonction PUISSANCE donne le même résultat que l’opérateur ^ : =PUISSANCE(x;
y) renvoie le même résultat que =x^y.
Exemples
=PUISSANCE(2; 3) renvoie 8.
=PUISSANCE(2; 10) renvoie 1024.
=PUISSANCE(0,5; 3) renvoie 0,125.
=PUISSANCE(100; 0,5) renvoie 10.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« Liste des fonctions numériques » à la page 179
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44QUOTIENT
La fonction QUOTIENT renvoie le quotient entier de deux nombres.
QUOTIENT(dividende; diviseur)
 dividende : nombre à diviser par un autre nombre. dividende correspond à un
nombre.
 diviseur : nombre servant à diviser un autre nombre. diviseur correspond à un
nombre. Si « diviseur » est égal à 0, cela revient à effectuer une division par zéro et la
fonction génère une erreur.
Remarques d’usage
 Si le dividende ou le diviseur est négatif, mais pas les deux, le résultat est alors
également négatif. Si le signe du dividende et du diviseur est identique pour les
deux, le résultat est alors toujours positif.
 Seule la partie entière du quotient est renvoyée. La partie fractionnelle (ou reste) est
ignoré.
Exemples
=QUOTIENT(5; 2) renvoie 2.
=QUOTIENT(5,99; 2) renvoie 2.
=QUOTIENT(–5; 2) renvoie « –2 ».
=QUOTIENT(6; 2) renvoie 3.
=QUOTIENT(5; 6) renvoie 0.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« MOD » à la page 197
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206 Chapitre 8 Fonctions numériquesChapitre 8 Fonctions numériques 207
RACINE
La fonction RACINE renvoie la racine carrée d’un nombre.
RACINE(nbre)
 nbre : valeur numérique. nombre correspond à un nombre.
Exemples
=RACINE(16) renvoie 4.
=RACINE(12,25) renvoie 3,5, la racine carrée de 12,25.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
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RACINE.PI
La fonction RACINE.PI renvoie la racine carrée d’un nombre après l’avoir multiplié par
p (pi).
RACINE.PI(nombre-non-nég)
 nombre-non-nég : nombre non négatif. nbre-non-nég correspond à un nombre
supérieur ou égal à 0.
Exemples
=RACINE.PI(5) renvoie 3,96332729760601.
=RACINE.PI(8) renvoie 5,013256549262.
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ROMAIN
La fonction ROMAIN convertit un nombre en chiffres romains.
ROMAIN(nbre-arabe; style-romain)
 nbre-arabe : nombre arabe à convertir. nbre-arabe correspond à un nombre
compris entre 0 et 3999.
 style-romain : valeur facultative qui détermine avec quelle rigueur les règles
classiques de formation des chiffres romains doivent être appliquées.
strict (0, VRAI ou omis): utiliser les règles classiques les plus strictes. Quand un
chiffre précède un autre supérieur pour indiquer qu’il y a soustraction, le premier
chiffre doit correspondre à une puissance de 10 et peut précéder un nombre qui
n’excède pas 10 fois sa taille. Par exemple, 999 est représenté par CMXCIX, et non par
LMVLIV.
relâcher d’un degré (1): relâcher les règles classiques strictes d’un degré. Quand
un nombre plus petit précède un nombre plus grand, il n’est pas nécessaire que le
nombre plus petit soit une puissance de 10 et la règle de taille relative est étendue
d’un chiffre. Par exemple, 999 peut être représenté par LMVLIV, et non par XMIX.
relâcher de deux degrés (2): relâcher les règles classiques strictes de deux degrés.
Quand un nombre plus petit précède un plus grand, la règle de taille relative est
étendue de deux chiffres. Par exemple, 999 peut être représenté par XMIX, et non
par VMIV.
relâcher de trois degrés (3): relâcher les règles classiques strictes de trois degrés.
Quand un nombre précède un autre, la règle de taille relative est étendue de trois
chiffres. Par exemple, 999 peut être représenté par VMIV, et non par IM.
relâcher de quatre degrés (4 ou FAUX): relâcher les règles classiques strictes de
quatre degrés. Quand un nombre plus petit précède un plus grand, la règle de taille
relative est étendue de quatre chiffres. Par exemple, 999 peut être représenté par IM.
Exemples
=ROMAIN(12) renvoie XII.
=ROMAIN(999) renvoie CMXCIX.
=ROMAIN(999; 1) renvoie LMVLIV.
=ROMAIN(999; 2) renvoie XMIX.
=ROMAIN(999; 3) renvoie VMIV.
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208 Chapitre 8 Fonctions numériquesChapitre 8 Fonctions numériques 209
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SIGNE
La fonction SIGNE renvoie 1 si le numéro d’argument est positif, – 1 s’il est négatif et 0
s’il est nul.
SIGNE(nbre)
 nbre : valeur numérique. nombre correspond à un nombre.
Exemples
=SIGNE(2) renvoie 1.
=SIGNE(0) renvoie 0.
=SIGNE(–2) renvoie « – 1 ».
=SIGNE(A4) renvoie – 1, si la cellule A4 contient – 2.
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SOMME
La fonction SOMME renvoie la somme d’une collection de nombres.
SOMME(nbre-date-dur; nbre-date-dur…)
 nbre-date-dur : valeur quelconque. nbre-date-dur correspond à un nombre, une
valeur de date/heure ou une durée. nbre-date-dur…: vous pouvez ajouter une ou plusieurs valeurs supplémentaires.
Si plusieurs valeurs nbre-date-dur sont précisées, elles doivent toutes être du même
type.
Remarques d’usage
 Il existe toutefois un cas selon lequel toutes les valeurs ne doivent pas
nécessairement être du même type. Si une seule valeur de date/heure est indiquée,
toutes les valeurs numériques sont considérées comme étant des nombres de jours
et toutes les valeurs numériques et de durée sont ajoutées à la valeur de date/heure.
 Les valeurs de date/heure ne pouvant pas être additionnées (comme expliqué ciavant), une seule valeur de date/heure est donc autorisée.
 Les valeurs peuvent se trouver dans des cellules distinctes, dans des intervalles de
cellules ou dans les arguments de la fonction.
Exemples
=SOMME(A1:A4) additionne les nombres de quatre cellules.
=SOMME(A1:D4) additionne les nombres qui se trouvent dans un tableau carré de seize cellules.
=SOMME(A1:A4; 100) additionne les nombres de quatre cellules plus 100.
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« PRODUIT » à la page 204
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210 Chapitre 8 Fonctions numériquesChapitre 8 Fonctions numériques 211
SOMME.CARRES
La fonction SOMME.CARRES renvoie la somme des carrés d’une collection de nombres.
SOMME.CARRES(valeur-num; valeur-nbre; …)
 valeur-num : valeur numérique. valeur-num correspond à un nombre.
 valeur-nbre; … : vous pouvez ajouter un ou plusieurs nombres.
Remarques d’usage
 Les nombres peuvent se trouver dans des cellules distinctes, dans des intervalles de
cellules ou dans les arguments de la fonction.
Exemples
=SOMME.CARRES(3; 4) renvoie 25.
=SOMME.CARRES(A1:A4) additionne les carrés de la liste de quatre nombres.
=SOMME.CARRES(A1:D4) additionne les carrés des 16 nombres qui figurent dans un tableau carré de
cellules.
=SOMME.CARRES(A1:A4; 100) additionne les carrés des nombres qui figurent dans quatre cellules
plus 100.
=RACINE(SOMME.CARRES(3; 4)) renvoie 5, en utilisant le théorème de Pythagore pour calculer la
longueur de l’hypoténuse d’un triangle dont les côtés mesurent 3 et 4 unités.
Rubriques connexes :
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« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44SOMMEPROD
La fonction SOMMEPROD renvoie la somme des produits des nombres correspondants
dans un intervalle ou plus.
SOMMEPROD(intervalle; intervalle;…)
 intervalle : intervalle incluant les cellules. intervalle correspond à la référence à un
seul intervalle de cellules pouvant contenir des valeurs de n’importe quel type. Si
des valeurs de chaîne ou booléennes figurent dans intervalle, elles sont ignorées.
 intervalle;… : vous pouvez ajouter un ou plusieurs intervalles de cellules. Les
intervalles doivent tous avoir les mêmes dimensions.
Remarques d’usage
 La fonction SOMMEPROD multiplie les nombres correspondants dans chaque
intervalle, puis additionne chacun des produits. Si un seul intervalle est indiqué,
SOMMEPROD renvoie la somme de l’intervalle.
Exemples
=SOMMEPROD(3; 4) renvoie 12.
=SOMMEPROD({1; 2}; {3; 4}) = 3 + 8 = 11.
Rubriques connexes :
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212 Chapitre 8 Fonctions numériquesChapitre 8 Fonctions numériques 213
SOMME.SI
La fonction SOMME.SI renvoie la somme d’une collection de nombres, en ne comptant
que les nombres qui répondent à la condition indiquée.
SOMME.SI(valeurs-test; condition; valeurs-somme)
 valeurs-test : collection comprenant les valeurs à tester. valeurs-test correspond à
une collection pouvant contenir tout type de valeur.
 condition : expression qui entraîne un résultat logique VRAI ou FAUX. condition est
une expression pouvant englober tout type de valeur pour autant que le résultat
de la comparaison de condition et d’une valeur incluse dans valeurs-test puisse
correspondre à une valeur booléenne (VRAI ou FAUX).
 valeurs-somme : collection facultative contenant les nombres à additionner.
valeurs-somme correspond à une collection qui comprend des nombres, des valeurs
de date/heure ou des durées. Elle doit avoir les mêmes dimensions que valeurs-test.
Remarques d’usage
 Si valeurs-somme est omis, la valeur par défaut valeurs-test est utilisée.
 Bien que valeurs-test puisse contenir des valeurs de n’importe quel type, toutes ces
valeurs doivent généralement correspondre au même type.
 Si valeurs-somme est omis, valeurs-test ne doit contenir que des nombres ou des
durées.
Exemples
Prenons le tableau suivant :
=SOMME.SI(A1:A8; "<5") renvoie 10.
=SOMME.SI(A1:A8; "<5"; B1:B8) renvoie 100.
=SOMME.SI(D1:F3; "=c"; D5:F7) renvoie 27.
=SOMME.SI(B1:D1; 1) ou SOMME.SI(B1:D1; SOMME(1)) totalisent tous deux toutes les occurrences de
1 dans l’intervalle.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« MOYENNE.SI » à la page 292« MOYENNE.SIS » à la page 294
« NB.SI » à la page 297
« NB.SIS » à la page 299
« SOMME.SIS » à la page 215
« Usage de conditions et de jokers » à la page 389
« Liste des fonctions numériques » à la page 179
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
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214 Chapitre 8 Fonctions numériquesChapitre 8 Fonctions numériques 215
SOMME.SIS
La fonction SOMME.SIS renvoie la somme des cellules d’une collection dans laquelle
les valeurs testées répondent aux conditions données.
SOMME.SIS(valeurs-somme; valeurs-test; condition; valeurs-test;… ; condition;…)
 valeurs-somme : collection comprenant les valeurs à additionner. valeurs-somme
correspond à une collection qui comprend des nombres, des valeurs de date/heure
ou des durées.
 valeurs-test : collection comprenant les valeurs à tester. valeurs-test correspond à
une collection pouvant contenir tout type de valeur.
 condition : expression qui entraîne un résultat logique VRAI ou FAUX. condition est
une expression pouvant englober tout type de valeur pour autant que le résultat
de la comparaison de condition et d’une valeur incluse dans valeurs-test puisse
correspondre à une valeur booléenne (VRAI ou FAUX).
 valeurs-test;… : vous pouvez également ajouter une ou plusieurs collections
contenant des valeurs à évaluer. Chaque collection de valeurs-test doit être
immédiatement suivie d’une expression de condition. Cette succession valeurs-test,
condition peut être répétée autant de fois que nécessaire.
 condition;… : expression logique VRAI ou FAUX, si la collection facultative de
valeurs-test est précisée. une condition doit obligatoirement être placée après
chaque argument valeurs-test ; par conséquent, cette fonction présente toujours un
nombre impair d’arguments.
Remarques d’usage
 Pour chaque paire de valeurs de test et de condition, la cellule ou valeur
correspondante (même position dans l’intervalle ou le tableau) est comparée
à la condition. Si toutes les conditions sont remplies, la cellule ou sa valeur
correspondante dans valeurs-somme est intégrée au calcul de la somme.
 Tous les tableaux doivent présenter les mêmes dimensions.Exemples
Le tableau qui suit montre un extrait d’un journal des livraisons d’une certaine marchandise. Chaque
chargement est pesé, noté 1 ou 2 et la date de la livraison est indiquée.
=SOMME.SIS(A2:A13; B2:B13; "=1"; C2:C13; ">=13/12/2010"; C2:C13; "<=17/12/2010") renvoie 23, le
nombre de tonnes de la marchandise livrées au cours de la semaine du 17 décembre et notées « 1 ».
=SOMME.SIS(A2:A13; B2:B13; "=2"; C2:C13; ">=13/12/2010"; C2:C13; "<=17/12/2010") renvoie 34, le
nombre de tonnes de la marchandise livrées au cours de la même semaine et notées « 2 ».
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« MOYENNE.SI » à la page 292
« MOYENNE.SIS » à la page 294
« NB.SI » à la page 297
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« SOMME.SI » à la page 213
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216 Chapitre 8 Fonctions numériquesChapitre 8 Fonctions numériques 217
SOMME.X2MY2
La fonction SOMME.X2MY2 renvoie la somme de la différence des carrés des valeurs
correspondantes dans deux collections.
SOMME.X2MY2(valeurs-collec-1; valeurs-collec-2)
 valeurs-collec-1 : première collection de valeurs. valeurs-collec-1 correspond à une
collection incluant des nombres.
 valeurs-collec-2 : seconde collection de valeurs. valeurs-collec-2 correspond à une
collection incluant des nombres.
Exemple
Prenons le tableau suivant :
=SOMME.X2MY2(A1:A6;B1:B6) renvoie « – 158 », la somme des différences des carrés des valeurs de la
colonne A et les carrés des valeurs de la colonne B. La formule pour la première de ces différences est
A1
2
– B1
2
.
Rubriques connexes :
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« Liste des fonctions numériques » à la page 179
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
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« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44218 Chapitre 8 Fonctions numériques
SOMME.X2PY2
La fonction SOMME.X2PY2 renvoie la somme des carrés des valeurs correspondantes
dans deux collections.
SOMME.X2PY2(valeurs-collec-1; valeurs-collec-2)
 valeurs-collec-1 : première collection de valeurs. valeurs-collec-1 correspond à une
collection incluant des nombres.
 valeurs-collec-2 : seconde collection de valeurs. valeurs-collec-2 correspond à une
collection incluant des nombres.
Exemple
Prenons le tableau suivant :
=SOMME.X2PY2(A1:A6;B1:B6) renvoie 640, la somme des carrés des valeurs de la colonne A et des
carrés des valeurs de la colonne B. La formule pour la première de ces sommes est A1
2
+ B1
2
.
Rubriques connexes :
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« Liste des fonctions numériques » à la page 179
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« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44SOMME.XMY2
La fonction SOMME.XMY2 renvoie la somme des carrés des différences entre les
valeurs correspondantes dans deux collections.
SOMME.XMY2(valeurs-collec-1; valeurs-collec-2)
 valeurs-collec-1 : première collection de valeurs. valeurs-collec-1 correspond à une
collection incluant des nombres.
 valeurs-collec-2 : seconde collection de valeurs. valeurs-collec-2 correspond à une
collection incluant des nombres.
Exemple
Prenons le tableau suivant :
=SOMME.XMY2(A1:A6;B1:B6) renvoie 196, la somme des carrés des valeurs de la colonne A et des
carrés des valeurs de la colonne B. La formule pour la première de ces sommes est (A1 – B1)
2
.
Rubriques connexes :
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« Liste des fonctions numériques » à la page 179
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
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« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
Chapitre 8 Fonctions numériques 219220 Chapitre 8 Fonctions numériques
TRONQUE
La fonction TRONQUE scinde un nombre au chiffre indiqué.
TRONQUE(nombre; décimales)
 nombre : valeur numérique. nombre correspond à un nombre.
 décimales : valeur facultative indiquant le nombre de décimales à conserver par
rapport à la virgule décimale. décimales correspond à un nombre. Un nombre
positif représente le nombre de décimales (chiffres après la virgule) à droite. Un
nombre négatif représente le nombre de chiffres à gauche de la virgule décimale à
remplacer par des zéros (le nombre de zéro à la fin du nombre).
Remarques d’usage
 Si le paramètre décimales est omis, la valeur supposée par défaut correspond à 0.
Exemples
=TRONQUE(1,49; 0) renvoie 1.
=TRONQUE(1,50; 0) renvoie 1.
=TRONQUE(1,23456; 3) renvoie 1,234.
=TRONQUE(1111,222; –2) renvoie 1100.
=TRONQUE(–2,2; 0) renvoie « – 2 ».
=TRONQUE(–2,8; 0) renvoie « – 2 ».
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« PLAFOND » à la page 201
« PAIR » à la page 199
« PLANCHER » à la page 202
« ENT » à la page 190
« ARRONDI.AU.MULTIPLE » à la page 185
« IMPAIR » à la page 193
« ARRONDI » à la page 184
« ARRONDI.INF » à la page 186
« ARRONDI.SUP » à la page 187
« En savoir plus sur les arrondis » à la page 383
« Liste des fonctions numériques » à la page 179« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
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« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
Chapitre 8 Fonctions numériques 221222
Les fonctions de référencement vous aident à rechercher
des données dans des tableaux et à extraire des données de
cellules.
Liste des fonctions de référencement
Ces fonctions de référencement ont été intégrées à iWork pour que vous puissiez les
utiliser dans des tableaux.
Fonction Description
« ADRESSE » (page 224) La fonction ADRESSE élabore une chaîne
d’adresse dans une cellule d’après les différents
identifiants de rangs, de colonnes et de tableaux.
« CHOISIR » (page 225) La fonction CHOISIR renvoie une valeur
provenant d’une collection d’après la valeur
d’index indiquée.
« COLONNE » (page 226) La fonction COLONNE renvoie le numéro de la
colonne contenant la cellule indiquée.
« COLONNES » (page 226) La fonction COLONNES renvoie le nombre de
colonnes qui se trouvent dans l’intervalle de
cellules indiquée.
« DECALER » (page 227) La fonction DECALER renvoie l’intervalle de
cellules qui se trouve aux nombres de rangs et de
colonnes spécifiés de la cellule de base indiquée.
« EQUIV » (page 229) La fonction EQUIV renvoie la position d’une
valeur dans un intervalle.
9
Fonctions de référencementChapitre 9 Fonctions de référencement 223
Fonction Description
« INDEX » (page 231) La fonction INDEX renvoie la valeur de la cellule
située à l’intersection du rang et de la colonne
indiquées dans un intervalle de cellules.
« INDIRECT » (page 233) La fonction INDIRECT renvoie le contenu d’une
cellule ou d’un intervalle référencé par une
adresse indiquée sous la forme d’une chaîne.
« LIEN_HYPERTEXTE » (page 234) La fonction LIEN_HYPERTEXTE crée un lien
cliquable qui ouvre une page web ou un
nouveau message électronique.
« LIGNE » (page 235) La fonction LIGNE renvoie le numéro du rang
contenant la cellule indiquée.
« LIGNES » (page 236) La fonction LIGNES renvoie le nombre de rangs
qui se trouvent dans l’intervalle de cellules
indiquée.
« RECHERCHE » (page 236) La fonction RECHERCHE détermine une
correspondance à une valeur donnée dans un
intervalle, puis renvoie la valeur dans la cellule se
trouvant à une position relative identique dans
un second intervalle.
« RECHERCHEH » (page 238) La fonction RECHERCHEH renvoie une valeur
provenant d’un intervalle de rangs en s’appuyant
sur la rangée supérieure de valeurs pour
déterminer la colonne et sur le numéro de rang
pour indiquer la ligne.
« RECHERCHEV » (page 240) La fonction RECHERCHEV renvoie une valeur
provenant d’un intervalle de colonnes en
s’appuyant sur la colonne de valeurs le plus à
gauche pour déterminer le rang et sur le numéro
de colonne pour indiquer la colonne.
« TRANSPOSE » (page 242) La fonction de transposition transforme un
intervalle vertical de cellules sous forme
d’intervalle horizontal de cellules et vice versa.
« ZONES » (page 243) La fonction ZONES renvoie le nombre
d’intervalles auxquels la fonction fait référence.ADRESSE
La fonction ADRESSE élabore une chaîne d’adresse dans une cellule d’après les
différents identifiants de rangs, de colonnes et de tableaux.
ADRESSE(rang; colonne; type-adresse; style-adresse; tableau)
 rangée : numéro de rangée de l’adresse. rang correspond à un nombre compris
entre 1 et 65 535.
 colonne : numéro de colonne de l’adresse. colonne correspond à un nombre
compris entre 1 et 256.
 type-adresse : valeur facultative indiquant si les numéros de rang et de colonne
sont relatifs ou absolus.
toutes absolues (1 ou omis): références de rang et de colonne absolues.
rang absolu, colonne relative (2): références de rang absolues et références de
colonne relatives.
rang relatif, colonne absolue (3): références de rang relatives et références de
colonne absolues.
toutes relatives (4): références de rang et de colonne relatives.
 style-adresse : valeur facultative représentant le nom de l’adresse.
A1 (VRAI, 1 ou omis): le format de l’adresse doit utiliser des lettres pour les
colonnes et des nombres pour les rangs.
R1C1 (FAUX): le format de l’adresse n’est pas pris en charge, ce qui génère une
erreur.
 table: valeur facultative représentant le nom du tableau. table est une valeur
exprimée sous forme de chaîne. Si le tableau se trouve sur une autre feuille, vous
devez également inclure le nom de cette dernière. En cas d’omission, tableau est
considéré comme étant le tableau actif sur la feuille en cours (c’est-à-dire le tableau
dans lequel la fonction d’adresse se trouve).
Remarques d’usage
 Le style d’adresse R1C1 n’est pas pris en charge et cet argument modal n’est fourni
qu’à des fins de compatibilité avec d’autres tableurs.
Exemples
=ADRESSE(3; 5) crée l’adresse $E$3.
=ADRESSE(3; 5; 2) crée l’adresse E$3.
=ADRESSE(3; 5; 3) crée l’adresse $E3.
=ADRESSE(3; 5; 4) crée l’adresse E3.
=ADRESSE(3; 3; ;; "Feuille 2 :: Tableau 1") crée l’adresse « Feuille 2 :: Tableau 1 :: $C$3 ».
224 Chapitre 9 Fonctions de référencementChapitre 9 Fonctions de référencement 225
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« Liste des fonctions de référencement » à la page 222
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CHOISIR
La fonction CHOISIR renvoie une valeur provenant d’une collection d’après la valeur
d’index indiquée.
CHOISIR(index; valeur; valeur;…)
 index : index de la valeur à renvoyer. index correspond à un nombre supérieur à 0.
 valeur : valeur quelconque. valeur peut correspondre à une valeur de n’importe
quel type.
 valeur… : vous pouvez ajouter une ou plusieurs valeurs supplémentaires.
Exemples
=CHOISIR(4; "lundi"; "mardi"; "mercredi"; "jeudi"; "vendredi"; "samedi"; "dimanche") renvoie « jeudi », la
quatrième valeur de la liste.
=CHOISIR(3; "1er"; "second"; 7; "dernier") renvoie 7, la troisième valeur de la liste.
Rubriques connexes :
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« Liste des fonctions de référencement » à la page 222
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« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44COLONNE
La fonction COLONNE renvoie le numéro de la colonne contenant la cellule indiquée.
COLONNE(cellule)
 cellule : référence facultative à une cellule donnée dans un tableau. cellule est une
valeur de référence à une seule cellule pouvant contenir n’importe quelle valeur
ou être vide. Si cellule est omis, comme dans =COLONNE(), la fonction renvoie le
numéro de colonne de la cellule qui contient la formule.
Exemples
=COLONNE(B7) renvoie 2, le numéro de colonne absolu de la colonne B.
=COLONNE() renvoie le numéro de colonne de la cellule qui contient la fonction.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« INDEX » à la page 231
« LIGNE » à la page 235
« Liste des fonctions de référencement » à la page 222
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
COLONNES
La fonction COLONNES renvoie le nombre de colonnes qui se trouvent dans l’intervalle
de cellules indiquée.
COLONNES(intervalle)
 intervalle : intervalle incluant les cellules. intervalle correspond à la référence à un
seul intervalle de cellules pouvant contenir des valeurs de n’importe quel type.
Remarques d’usage
 Si vous sélectionnez un rang de tableau entier pour l’argument intervalle,
COLONNES renvoie le nombre total de colonnes du rang et ce nombre est mis à jour
si vous redimensionnez le tableau.
226 Chapitre 9 Fonctions de référencementChapitre 9 Fonctions de référencement 227
Exemples
=COLONNES(B3:D10) renvoie 3, le nombre de colonnes de l’intervalle (colonnes B, C et D).
=COLONNES(5:5) renvoie le nombre total de colonnes dans le rang 5.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« LIGNES » à la page 236
« Liste des fonctions de référencement » à la page 222
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
DECALER
La fonction DECALER renvoie l’intervalle de cellules qui se trouve aux nombres de
rangs et de colonnes indiqués de la cellule de base spécifiée.
DECALER(base; décalage-rang; décalage-colonne; rangs; colonnes)
 base : adresse de la cellule à partir de laquelle les décalages sont mesurés. base
correspond à une référence.
 décalage-rangée : nombre de rangées à partir de la cellule de base jusqu’à la
cellule cible. décalage-rang correspond à un nombre. 0 signifie que la cellule cible se
trouve sur le même rang que la cellule de base. Un nombre négatif signifie que la
cible se trouve dans un rang situé au-dessus de la base.
 décalage-colonne : nombre de colonnes à partir de la cellule de base jusqu’à la
cellule cible. décalage-colonne correspond à un nombre. 0 signifie que la cellule cible
se trouve sur la même colonne que la cellule de base. Un nombre négatif signifie
que la cible se trouve dans une colonne située à gauche de la base.
 rangées : valeur facultative représentant le nombre de rangs à renvoyer en partant
de l’origine décalée.rangs correspond à un nombre.
 colonnes : valeur facultative représentant le nombre de colonnes à renvoyer en
partant de l’origine décalée.colonnes correspond à un nombre.Remarques d’usage
 DECALER peut renvoyer un tableau pouvant être utilisé par une autre fonction.
Par exemple, imaginons que vous avez saisi dans A1, A2 et A3, la cellule de base,
le nombre de rangs et le nombre de colonnes, respectivement, que vous voulez
additionner. La somme peut se calculer par =SOMME(DECALER(INDIRECT(A1); 0; 0;
A2; A3)).
Exemples
=DECALER(A1; 5; 5) renvoie la valeur de la cellule F6, la cellule située cinq colonnes à droite et cinq
rangs au-dessous de la cellule A1.
=DECALER(G33; 0; –1) renvoie la valeur de la cellule à gauche de G33, la valeur dans F33.
=SOMME(DECALER(A7; 2; 3; 5; 5)) renvoie la somme des valeurs des cellules D9 à H13, les cinq rangs
et cinq colonnes situés en commençant deux rangs à droite et trois colonnes au-dessous de la cellule
A7.
Supposons que vous ayez saisi 1 dans la cellule D7, 2 dans la cellule D8, 3 dans la cellule D9, 4 dans la
cellule E7, 5 dans la cellule E8 et 6 dans la cellule E9.
=DECALER(D7; 0; 0; 3; 1) dans la cellule B6 génère une erreur car 3 rangs et 1 colonne renvoyés (soit
l’intervalle D7:D9) ne présente aucune intersection avec B6 (en d’autres termes, ils ne présentent pas
une seule intersection).
=DECALER(D7; 0; 0; 3; 1) dans la cellule D4 génère une erreur car 3 rangs et 1 colonne renvoyés (soit
l’intervalle D7:D9) ne présente pas une seule intersection avec B6 (plus précisément, ils en présentent
trois).
=DECALER(D7; 0; 0; 3; 1) dans la cellule B8 renvoie 2 car 3 rangs et 1 colonne renvoyés (soit l’intervalle
D7:D9) présente une seule intersection avec B8 (la cellule D8 contient en effet la valeur 2).
=DECALER(D7:D9; 0; 1; 3; 1) dans la cellule B7 renvoie 4 car 3 rangs et 1 colonne renvoyés (soit
l’intervalle E7:E9) présente une seule intersection avec B7 (la cellule E7 contient en effet la valeur 4).
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« COLONNE » à la page 226
« LIGNE » à la page 235
« Liste des fonctions de référencement » à la page 222
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
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228 Chapitre 9 Fonctions de référencementChapitre 9 Fonctions de référencement 229
EQUIV
La fonction EQUIV renvoie la position d’une valeur dans un intervalle.
EQUIV(rechercher; rechercher-où; méthode-correspondance)
 rechercher : valeur à retrouver. rechercher peut correspondre à une valeur de
n’importe quel type.
 rechercher-où : collection comprenant les valeurs à rechercher. rechercher-où
correspond à une collection pouvant contenir tout type de valeur.
 méthode-correspondance : valeur facultative représentant le mode de mise en
correspondance des valeurs.
rechercher la valeur la plus élevée (1 ou omis): recherche la cellule contenant la
plus grande valeur inférieure ou égale à rechercher. Les jokers ne sont pas utilisés
dans rechercher.
rechercher la valeur (0): recherche la première cellule contenant une valeur
satifaisant le critère rechercher. Les jokers ne sont pas utilisés dans rechercher.
rechercher la valeur la plus basse (–1): recherche la cellule contenant la plus
petite valeur supérieure ou égale à rechercher. Les jokers ne sont pas utilisés dans
rechercher.
Remarques d’usage
 EQUIV ne fonctionne que sur un intervalle faisant partie d’un seul rang ou colonne.
Vous ne pouvez pas utiliser cette fonction pour effectuer une recherche dans un
ensemble à deux dimensions.
 La numérotation des cellules commence à 1 pour la cellule supérieure ou la cellule
gauche dans l’intervalle vertical et l’intervalle horizontal, respectivement. Les
recherches sont toujours effectuées du haut vers le bas et de gauche à droite.
 Lors de la recherche de texte, la casse n’est pas différenciée.Exemples
Prenons le tableau suivant :
=EQUIV(40; A1:A5) renvoie 4.
=EQUIV(40; E1:E5) renvoie 1.
=EQUIV(35; E1:E5; 1) renvoie 3 (30 est la plus grande valeur plus petite ou égale à 35).
=EQUIV(35; E1:E5; –1) renvoie 1 (40 est la plus petite valeur plus grande ou égale à 35).
=EQUIV(35; E1:E5; 0) affiche une erreur (il n’y a pas de correspondance exacte).
=EQUIV("lorem"; C1:C5) renvoie 1 (« lorem » apparaît dans la première cellule de l’intervalle).
=EQUIV("*x"; C1:C5; 0) renvoie 3 (« lorex », se terminant par un x, apparaît dans la troisième cellule de
l’intervalle).
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« RECHERCHE » à la page 236
« Usage de conditions et de jokers » à la page 389
« Liste des fonctions de référencement » à la page 222
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
230 Chapitre 9 Fonctions de référencementChapitre 9 Fonctions de référencement 231
INDEX
La fonction INDEX renvoie la valeur de la cellule située à l’intersection du rang et de la
colonne indiqués dans un intervalle de cellules ou un tableau.
INDEX(intervalle; index-rang; index-colonne; index-zone)
 intervalle : intervalle incluant les cellules. intervalle peut contenir des valeurs
de n’importe quel type. intervalle est soit un seul intervalle soit plusieurs
intervalles séparées par des points-virgules et entourés d’un jeu de parenthèses
supplémentaire. Par exemple, INDEX((B1:B5; C10:C12)).
 index-rang : numéro de rang de la valeur à renvoyer. index-rang correspond à
un nombre supérieur ou égal à 0 et inférieur ou égal au nombre de rangs dans
intervalle.
 index-colonne : valeur facultative représentant le numéro de colonne de la valeur
à renvoyer. index-colonne correspond à un nombre supérieur ou égal à 0 et inférieur
ou égal au nombre de colonnes dans intervalle.
 index-zone : valeur facultative représentant le numéro de zone de la valeur à
renvoyer. index-zone correspond à un nombre supérieur ou égal à 1 et inférieur ou
égal au nombre de zones dans intervalle. En l’absence de valeur explicite, la valeur
par défaut est 1.
Remarques d’usage
 INDEX peut renvoyer la valeur à l’intersection indiquée d’un intervalle de valeurs
à deux dimensions. Par exemple, imaginons que les cellules B2:E7 contiennent les
valeurs. =INDEX(B2:D7; 2, 3) renvoie la valeur qui se trouve à l’intersection du second
rang et de la troisième colonne (la valeur de la cellule D3).
 Il est possible de préciser plus d’un intervalle en entourant les intervalles de
parenthèses supplémentaires. Par exemple, =INDEX((B2:D5;B7:D10); 2; 3; 2) renvoie la
valeur qui se trouve à l’intersection de la seconde colonne et du troisième rang de la
seconde zone (la valeur de la cellule D8).
 INDEX peut renvoyer un tableau à un rang ou à une colonne pour une autre
fonction. Dans cette forme, soit index-rang soit index-colonne est obligatoire,
mais l’autre argument peut être omis. Par exemple =SOMME(INDEX(B2:D5; ; 3))
renvoie la somme des valeurs de la troisième colonne (cellules D2 à D5). De même,
=MOYENNE(INDEX(B2:D5; 2)) renvoie la moyenne des valeurs du second rang
(cellules B3 à D3).
 INDEX peut renvoyer (ou « lire ») la valeur d’un tableau renvoyé par une fonction
de tableau (une fonction qui renvoie un tableau de valeurs plutôt qu’une seule
valeur). La fonction FRÉQUENCE renvoie un tableau de valeurs s’appuyant sur
des intervalles précisés. =INDEX(FRÉQUENCE($A$1:$F$5; $B$8:$E$8);, 1) renvoie
la première valeur du tableau indiquée par la fonction FRÉQUENCE. De même
=INDEX(FRÉQUENCE($A$1:$F$5; $B$8:$E$8); 5) renvoie la cinquième valeur du
tableau. L’emplacement dans l’intervalle ou le tableau est spécifié en indiquant le nombre
de rangs vers le bas et le nombre de colonnes vers la droite par rapport à la cellule
située dans le coin supérieur gauche de l’intervalle ou du tableau.
 Sauf quand INDEX est spécifié comme illustré dans la troisième case ci-dessus, indexrang ne peut pas être omis. Si index-colonne est omis, la valeur supposée par défaut
correspond à 1.
Exemples
Prenons le tableau suivant :
=INDEX(B2:D5;2;3) renvoie 22, la valeur du second rang et de la troisième colonne (cellule D3).
=INDEX((B2:D5;B7:D10); 2; 3; 2) renvoie « f », la valeur du second rang et de la troisième colonne de la
seconde zone (cellule D8).
=SOMME(INDEX(B2:D5; ; 3)) renvoie 90, la somme des valeurs de la troisième colonne (cellules D2 à
D5).
=MOYENNE(INDEX(B2:D5;2)) renvoie 12, la moyenne des valeurs du second rang (cellules B3 à D3).
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« COLONNE » à la page 226
« INDIRECT » à la page 233
« DECALER » à la page 227
« LIGNE » à la page 235
« Liste des fonctions de référencement » à la page 222
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
232 Chapitre 9 Fonctions de référencementChapitre 9 Fonctions de référencement 233
INDIRECT
La fonction INDIRECT renvoie le contenu d’une cellule ou d’un intervalle référencé par
une adresse indiquée sous la forme d’une chaîne.
INDIRECT(chaîne-adresse; style-adresse)
 chaîne-adresse : chaîne représentant une adresse de cellule. nouvelle-adresse est
une valeur exprimée sous forme de chaîne.
 style-adresse : valeur facultative représentant le nom de l’adresse.
A1 (VRAI, 1 ou omis): le format de l’adresse doit utiliser des lettres pour les
colonnes et des nombres pour les rangs.
R1C1 (FAUX): le format de l’adresse n’est pas pris en charge, ce qui génère une
erreur.
Remarques d’usage
 L’adresse en question peut être une référence d’intervalle, comme « A1:C5 »,
plutôt que la référence à une seule cellule. Si la fonction INDIRECT est utilisée
de cette manière, elle renvoie un tableau pouvant être utilisé comme argument
d’une autre fonction ou directement lu à l’aide de la fonction INDEX. Par exemple,
=SOMME(INDIRECT(A1:C5; 1)) renvoie la somme des valeurs des cellules référencées
par l’adresse des cellules A1 à C5.
 Le style d’adresse R1C1 n’est pas pris en charge et cet argument modal n’est fourni
qu’à des fins de compatibilité avec d’autres tableurs.
Exemple
Si la cellule A1 contient 99 et la cellule A20 contient A1 :
=INDIRECT(A20) renvoie 99, le contenu de la cellule A1.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« INDEX » à la page 231
« Liste des fonctions de référencement » à la page 222
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44LIEN_HYPERTEXTE
La fonction LIEN_HYPERTEXTE crée un lien cliquable qui ouvre une page web ou un
nouveau message électronique.
LIEN_HYPERTEXTE(url; texte-lien)
 url : adresse URL standard. url est une valeur exprimée sous forme de chaîne qui
doit contenir une chaîne d’adresse de site web dont le format est valide.
 texte-lien : valeur facultative qui indique le texte qui apparaît comme lien cliquable
dans la cellule. texte-lien est une valeur exprimée sous forme de chaîne. En cas
d’omission, url est repris pour texte-lien.
Exemples
=LIEN_HYPERTEXTE("http://www.apple.com/fr/"; "Apple") crée un lien avec le texte Apple qui ouvre le
navigateur web par défaut et accède au site web d’Apple.
=LIEN_HYPERTEXTE("mailto:jdupont@exemple.com?subject=Demande de devis"; "Demander un
devis") crée un lien avec le texte Demander un devis qui ouvre l’application de courrier électronique
par défaut et adresse un nouveau message à jdupont@exemple.com avec comme sujet Demande de
devis.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« Liste des fonctions de référencement » à la page 222
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
234 Chapitre 9 Fonctions de référencementChapitre 9 Fonctions de référencement 235
LIGNE
La fonction LIGNE renvoie le numéro du rang contenant la cellule indiquée.
LIGNE(cellule)
 cellule : référence facultative à une cellule donnée dans un tableau. cellule est une
valeur de référence à une seule cellule pouvant contenir n’importe quelle valeur ou
être vide. Si cellule est omis, comme dans =LIGNE(), la fonction renvoie le numéro de
rang de la cellule qui contient la formule.
Exemples
=LIGNE(B7) renvoie 7, le numéro de rang 7.
=LIGNE() renvoie le numéro de rang absolu de la cellule qui contient la fonction.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« COLONNE » à la page 226
« INDEX » à la page 231
« Liste des fonctions de référencement » à la page 222
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
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« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44LIGNES
La fonction LIGNES renvoie le nombre de rangs qui se trouvent dans l’intervalle de
cellules indiquée.
LIGNES(intervalle)
 intervalle : intervalle incluant les cellules. intervalle correspond à la référence à un
seul intervalle de cellules pouvant contenir des valeurs de n’importe quel type.
Remarques d’usage
 Si vous sélectionnez une colonne de tableau entière pour l’argument intervalle,
LIGNES renvoie le nombre total de rangs de la colonne et ce nombre est mis à jour
si vous redimensionnez le tableau.
Exemples
=LIGNES(A11:D20) renvoie 10, le nombre de rangs de 11 à 20.
=LIGNES(D:D) renvoie le nombre total de rangs dans la colonne D.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« COLONNES » à la page 226
« Liste des fonctions de référencement » à la page 222
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
RECHERCHE
La fonction RECHERCHE recherche une occurrence d’une valeur donnée dans un
intervalle, puis renvoie la valeur dans la cellule se trouvant à une position relative
identique dans un second intervalle.
RECHERCHE(rechercher; rechercher-où; valeurs-résultats)
 rechercher : valeur à retrouver. rechercher peut correspondre à une valeur de
n’importe quel type.
 rechercher-où : collection comprenant les valeurs à rechercher. rechercher-où
correspond à une collection pouvant contenir tout type de valeur.
236 Chapitre 9 Fonctions de référencementChapitre 9 Fonctions de référencement 237
 valeurs-résultats : collection facultative comprenant la valeur à renvoyer au terme
de la recherche. valeurs-résultats correspond à une collection pouvant contenir tout
type de valeur.
Remarques d’usage
 rechercher-où et valeurs-résultats sont généralement indiqués sous la forme de
colonnes ou de rangs multiples, mais pas les deux (une seule dimension). Toutefois,
à des fins de compatibilité avec d’autres tableurs, rechercher-où peut se référer à des
colonnes et de rangs multiples (deux dimensions) et le paramètre valeurs-résultats
peut être omis.
 Si rechercher-où s’étend sur deux dimensions et valeurs-résultats est indiqué, c’est
celui du rang supérieur ou de la colonne la plus à gauche qui contient le plus
de cellules qui fait l’objet de la recherche et la valeur correspondante de valeursrésultats est celle renvoyée.
 Si rechercher-où s’étend sur deux dimensions et valeurs-résultats est omis, c’est la
valeur correspondante du dernier rang (si le nombre de colonnes de l’intervalle est
plus grand) ou de la dernière colonne (si le nombre de rangs de l’intervalle est plus
grand) qui est renvoyée.
Exemples
Prenons le tableau suivant :
=RECHERCHE("C"; A1:F1; A2:F2) renvoie 30.
=RECHERCHE(40; A2:F2; A1:F1) renvoie D.
=RECHERCHE("B"; A1:C1; D2:F2) renvoie 50.
=RECHERCHE("D"; A1:F2) renvoie 40, c’est-à-dire la valeur du dernier rang correspondant à « D ».
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« RECHERCHEH » à la page 238
« EQUIV » à la page 229
« RECHERCHEV » à la page 240
« Liste des fonctions de référencement » à la page 222
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
RECHERCHEH
La fonction RECHERCHEH renvoie une valeur provenant d’un intervalle de rangs en
s’appuyant sur la rangée supérieure de valeurs pour déterminer la colonne et sur le
numéro de rang pour indiquer la ligne.
RECHERCHEH(rechercher; rangs-intervalle; rang-à-renvoyer; correspondance-proche)
 rechercher : valeur à retrouver. rechercher peut correspondre à une valeur de
n’importe quel type.
 rangs-intervalle : intervalle incluant les cellules. intervalle correspond à la référence
à un seul intervalle de cellules pouvant contenir des valeurs de n’importe quel type.
 rang-à-renvoyer : numéro du rang dont il faut renvoyer la valeur. rang-à-renvoyer
correspond à un nombre supérieur ou égal à 1 et inférieur ou égal au nombre de
rangs constituant l’intervalle indiqué.
 correspondance-proche : valeur facultative qui indique si une correspondance
exacte est exigée.
correspondance-proche : (VRAI, 1 ou omis): s’il n’y a pas de correspondance exacte,
sélectionne la colonne incluant la plus grande valeur présente sur le rang supérieur,
mais laquelle valeur restant inférieure à la valeur recherchée. Les jokers ne sont pas
utilisés dans rechercher.
correspondance exacte (FAUX ou 0): s’il n’y a pas de correspondance exacte,
génère une erreur. Les jokers ne sont pas utilisés dans rechercher.
Remarques d’usage
 RECHERCHEH compare une valeur recherchée aux valeurs du rang supérieur d’un
intervalle indiqué. À moins qu’une correspondance exacte ne soit exigée, la colonne
incluant la plus grande valeur présente sur le rang supérieur, mais laquelle valeur
restant inférieure à la valeur recherchée, est sélectionnée. Ensuite, la valeur du rang
indiqué dans cette colonne est renvoyée par la fonction. Si une correspondance
exacte est exigée et si aucune des valeurs du rang supérieur ne correspond à la
valeur recherchée, la fonction génère une erreur.
238 Chapitre 9 Fonctions de référencementChapitre 9 Fonctions de référencement 239
Exemples
Prenons le tableau suivant :
=RECHERCHEH(20; A1:E4; 2) renvoie « E ».
=RECHERCHEH(39; A1:E4; 2) renvoie « E ».
=RECHERCHEH("M"; A2:E4; 2) renvoie « dolor ».
=RECHERCHEH("C"; A2:E3; 2) renvoie « lorem ».
=RECHERCHEH("blandit"; A3:E4; 2) renvoie « 5 ».
=RECHERCHEH("C"; A2:E4; 3; VRAI) renvoie « 1 ».
=RECHERCHEH("C"; A2:E4; 3; FAUX) génère une erreur car la valeur n’a pas été trouvée (il n’y a en effet
pas de correspondance exacte).
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« RECHERCHE » à la page 236
« EQUIV » à la page 229
« RECHERCHEV » à la page 240
« Usage de conditions et de jokers » à la page 389
« Liste des fonctions de référencement » à la page 222
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44RECHERCHEV
La fonction RECHERCHEV renvoie une valeur provenant d’un intervalle de colonnes en
s’appuyant sur la colonne de valeurs le plus à gauche pour déterminer le rang et sur le
numéro de colonne pour indiquer la colonne.
RECHERCHEV(rechercher; intervalle-colonnes; rechercher; correspondance-proche)
 rechercher : valeur à retrouver. rechercher peut correspondre à une valeur de
n’importe quel type.
 intervalle-colonnes : intervalle incluant les cellules. intervalle correspond à la
référence à un seul intervalle de cellules pouvant contenir des valeurs de n’importe
quel type.
 renvoyer-colonne : nombre représentant le numéro de colonne relatif de la cellule
dont la valeur doit être renvoyée. renvoyer-colonne correspond à un nombre. La
colonne le plus à gauche dans l’intervalle est la colonne 1.
 correspondance-proche : valeur facultative qui indique si une correspondance
exacte est exigée.
correspondance-proche : (VRAI, 1 ou omis): s’il n’y a pas de correspondance exacte,
sélectionne la colonne incluant la plus grande valeur présente sur le rang supérieur,
mais laquelle valeur restant inférieure à la valeur recherchée. Les jokers ne sont pas
utilisés dans rechercher.
correspondance exacte (FAUX ou 0): s’il n’y a pas de correspondance exacte,
génère une erreur. Les jokers ne sont pas utilisés dans rechercher.
Remarques d’usage
 RECHERCHEV compare une valeur recherchée aux valeurs de la colonne le plus
à gauche d’un intervalle indiqué. À moins qu’une correspondance exacte ne soit
exigée, le rang contenant la plus grande valeur de colonne le plus à gauche qui est
plus petite que la valeur recherchée est sélectionné. Ensuite, la valeur de la colonne
indiquée dans ce rang est renvoyée par la fonction. Si une correspondance exacte
est exigée et si aucune des valeurs de la colonne le plus à gauche ne correspond à
la valeur recherchée, la fonction génère une erreur.
240 Chapitre 9 Fonctions de référencementChapitre 9 Fonctions de référencement 241
Exemples
Prenons le tableau suivant :
=RECHERCHEV(20; B2:E6; 2) renvoie E.
=RECHERCHEV(21; B2:E6; 2) renvoie E.
=RECHERCHEV("M"; C2:E6; 2) renvoie dolor.
=RECHERCHEV("blandit"; D2:E6; 2) renvoie 5.
=RECHERCHEV(21; B2:E6; 2; FAUX) génère une erreur car aucune valeur, dans la colonne de gauche, ne
correspond exactement à 21.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« RECHERCHEH » à la page 238
« RECHERCHE » à la page 236
« EQUIV » à la page 229
« Usage de conditions et de jokers » à la page 389
« Liste des fonctions de référencement » à la page 222
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
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« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44242 Chapitre 9 Fonctions de référencement
TRANSPOSE
La fonction de transposition transforme un intervalle vertical de cellules sous forme
d’intervalle horizontal de cellules et vice versa.
TRANSPOSE(intervalle-tableau)
 intervalle-tableau : collection comprenant les valeurs à transposer. intervalletableau correspond à une collection pouvant contenir tout type de valeur.
Remarques d’usage
 TRANSPOSE renvoie un tableau contenant les valeurs transposées. Ce tableau
contient un nombre de rangs égal au nombre de colonnes de l’intervalle original et
un nombre de colonnes égal au nombre de rangs de l’intervalle original. Les valeurs
de ce tableau peuvent être déterminées (« lues ») à l’aide de la fonction INDEX.
Exemples
Prenons le tableau suivant :
Rang/Colonne A B C D E
1 5 15 10 9 7
2 11 96 29 11 23
3 37 56 23 1 12
=INDEX(TRANSPOSE($A$1:$E$3); 1; 1) renvoie 5, à savoir la valeur à l’intersection du rang 1 et de la
colonne 1 de l’intervalle transposé (auparavant, le rang 1 et la colonne A du tableau d’origine).
=INDEX(TRANSPOSE($A$1:$E$3); 1; 2) renvoie 11, à savoir la valeur à l’intersection du rang 1 et de la
colonne 2 de l’intervalle transposé (auparavant, le rang 2 et la colonne A de l’intervalle d’origine).
=INDEX(TRANSPOSE($A$1:$E$3); 1; 3) renvoie 37, à savoir la valeur à l’intersection du rang 1 et de la
colonne 3 de l’intervalle transposé (auparavant, le rang 3 et la colonne A de l’intervalle d’origine).
=INDEX(TRANSPOSE($A$1:$E$3); 2; 1) renvoie 15, à savoir la valeur à l’intersection du rang 2 et de la
colonne 1 de l’intervalle transposé (auparavant, le rang 1 et la colonne 2 de l’intervalle d’origine).
=INDEX(TRANSPOSE($A$1:$E$3); 3; 2) renvoie 29, à savoir la valeur à l’intersection du rang 3 et de la
colonne 2 de l’intervalle transposé (auparavant, le rang 2 et la colonne C de l’intervalle d’origine).
=INDEX(TRANSPOSE($A$1:$E$3); 4; 3) renvoie 1, à savoir la valeur à l’intersection du rang 4 et de la
colonne 3 de l’intervalle transposé (auparavant, le rang 3 et la colonne D de l’intervalle d’origine).Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« Liste des fonctions de référencement » à la page 222
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
ZONES
La fonction ZONES renvoie le nombre d’intervalles auxquels la fonction fait référence.
ZONES(zones)
 zones : zones à compter. zones est une valeur exprimée sous forme de liste. Il s’agit
soit d’un seul intervalle soit de plusieurs intervalles séparés par des points-virgules
et entourés par un jeu de parenthèses supplémentaire. Par exemple, ZONES((B1:B5;
C10:C12)).
Exemples
=ZONES(A1:F8) renvoie 1.
=ZONES(C2:C8; B6:E6) renvoie 1.
=ZONES((A1:F8; A10:F18)) renvoie 2.
=ZONES((A1:C1; A3:C3; A5:C5)) renvoie 3.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« Liste des fonctions de référencement » à la page 222
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
Chapitre 9 Fonctions de référencement 243244
Les fonctions statistiques vous aident à manipuler et à
analyser des collections de données à l’aide de diverses
mesures et techniques statistiques.
Liste des fonctions statistiques
Ces fonctions statistiques ont été intégrées à iWork que vous puissiez les utiliser dans
des tableaux.
Fonction Description
« AVERAGEA » (page 250) La fonction AVERAGEA renvoie la moyenne
(arithmétique) d’une collection de valeurs
en incluant les valeurs texte et les valeurs
booléennes.
« BETA.INVERSE » (page 251) La fonction BETA.INVERSE renvoie l’inverse de la
probabilité donnée de la fonction de répartition
de la distribution bêta.
« CENTILE » (page 252) La fonction CENTILE renvoie la valeur d’une
collection, qui correspond à un centile en
particulier.
« CENTREE.REDUITE » (page 253) La fonction CENTREE.REDUITE renvoie une valeur
normalisée à partir d’une distribution caractérisée
par une moyenne donnée et un écart-type.
« COEFFICIENT.CORRELATION » (page 254) La fonction COEFFICIENT.CORRELATION renvoie le
coefficient de corrélation entre deux collections à
l’aide de l’analyse de régression linéaire.
« COVARIANCE » (page 255) La fonction COVARIANCE renvoie la covariance de
deux collections.
10
Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 245
Fonction Description
« CRITERE.LOI.BINOMIALE » (page 256) La fonction CRITERE.LOI.BINOMIALE renvoie la
plus petite valeur pour laquelle la distribution
binomiale cumulée est supérieure ou égale à une
valeur donnée.
« DROITEREG » (page 257) La fonction DROITEREG renvoie un tableau des
statistiques pour la droite de régression des
données indiquées en faisant appel à la méthode
des moindres carrés.
« ECART.MOYEN » (page 260) La fonction ECART.MOYEN renvoie la moyenne
des écarts d’une collection de nombres par
rapport à leur moyenne (arithmétique).
« ECARTYPE » (page 261) La fonction ECARTYPE renvoie l’écart-type,
c’est-à-dire une mesure de la dispersion, d’une
collection de valeurs en fonction de leur variance
empirique (non biaisée).
« ECARTYPEP » (page 263) La fonction ECARTYPEP renvoie l’écart-type,
c’est-à-dire une mesure de la dispersion, d’une
collection de valeurs en fonction de la variance
théorique (vraie).
« FRÉQUENCE » (page 264) La fonction FRÉQUENCE renvoie un tableau
indiquant la fréquence d’apparition de valeurs de
données dans une plage de valeurs d’intervalle.
« GRANDE.VALEUR » (page 266) La fonction GRANDE.VALEUR renvoie la énième
plus grande valeur de la collection. La plus
grande valeur est classée en numéro 1.
« INTERVALLE.CONFIANCE » (page 267) La fonction INTERVALLE.CONFIANCE renvoie
une valeur permettant de créer un intervalle
de confiance statistique pour un échantillon de
population dont l’écart-type est connu.
« INVERSE.LOI.F » (page 268) La fonction INVERSE.LOI.F renvoie l’inverse de la
distribution de probabilité F.
« KHIDEUX.INVERSE » (page 269) La fonction KHIDEUX.INVERSE renvoie l’inverse
de la probabilité unilatérale de la distribution
khi-deux.
« LNGAMMA » (page 270) La fonction LNGAMMA renvoie le logarithme
népérien de la fonction gamma, G(x).
« LOI.BETA » (page 270) La fonction LOI.BETA renvoie la probabilité de la
fonction de répartition de la distribution bêta.Fonction Description
« LOI.BINOMIALE » (page 271) La fonction LOI.BINOMIALE renvoie la probabilité
de la distribution binomiale de chaque terme
sous la forme indiquée.
« LOI.BINOMIALE.NEG » (page 272) La fonction LOI.BINOMIALE.NEG renvoie la
distribution binomiale négative.
« LOI.EXPONENTIELLE » (page 273) La fonction LOI.EXPONENTIELLE renvoie la
distribution exponentielle sous la forme indiquée.
« LOI.F » (page 274) La fonction LOI.F renvoie la distribution de
probabilité F.
« LOI.GAMMA » (page 275) La fonction LOI.GAMMA renvoie la distribution
gamma sous la forme indiquée.
« LOI.GAMMA.INVERSE » (page 276) La fonction LOI.GAMMA.INVERSE renvoie la
distribution gamma cumulée inverse.
« LOI.KHIDEUX » (page 276) La fonction LOI.KHIDEUX renvoie la probabilité
unilatérale de la distribution khi-deux.
« LOI.LOGNORMALE » (page 277) La fonction LOI.LOGNORMALE renvoie la
distribution log-normale.
« LOI.LOGNORMALE.INVERSE » (page 278) La fonction LOI.LOGNORMALE.INVERSE renvoie
l’inverse de la fonction de distribution lognormale cumulée de x.
« LOI.NORMALE » (page 279) La fonction LOI.NORMALE renvoie la distribution
normale sous la forme de fonction indiquée.
« LOI.NORMALE.INVERSE » (page 280) La fonction LOI.NORMALE.INVERSE renvoie
l’inverse de la distribution normale cumulée.
« LOI.NORMALE.STANDARD » (page 280) La fonction LOI.NORMALE.STANDARD renvoie la
distribution normale standard.
« LOI.NORMALE.STANDARD.INVERSE » (page 281) La fonction LOI.NORMALE.STANDARD.INVERSE
renvoie l’inverse de la distribution normale
standard cumulée.
« LOI.POISSON » (page 282) La fonction LOI.POISSON renvoie la probabilité
d’apparition d’un nombre particulier
d’événements, en s’appuyant sur la loi de
distribution de Poisson.
« LOI.STUDENT » (page 283) La fonction LOI.STUDENT renvoie la probabilité à
partir de la distribution T de Student.
« LOI.STUDENT.INVERSE » (page 283) La fonction LOI.STUDENT.INVERSE renvoie la
valeur T (qui est une fonction de la probabilité et
des degrés de liberté) à partir de la distribution T
de Student.
246 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 247
Fonction Description
« MAX » (page 284) La fonction MAX renvoie le plus grand nombre
d’une collection.
« MAXA » (page 285) La fonction MAXA renvoie le plus grand nombre
d’une collection de valeurs pouvant comprendre
du texte et des valeurs booléennes.
« MEDIANE » (page 286) La fonction MEDIANE renvoie la valeur médiane
d’une collection de nombres. La valeur médiane
est la valeur à laquelle la moitié des nombres
de la collection sont inférieurs et l’autre moitié,
supérieurs.
« MIN » (page 287) La fonction MIN renvoie le plus petit nombre
d’une collection.
« MINA » (page 287) La fonction MINA renvoie le plus petit nombre
d’une collection de valeurs pouvant comprendre
du texte et des valeurs booléennes.
« MODE » (page 288) La fonction MODE renvoie la valeur qui apparaît
le plus souvent dans une collection de nombres.
« MOYENNE » (page 289) La fonction MOYENNE renvoie la moyenne
(arithmétique) d’une collection de nombres.
« MOYENNE.GEOMETRIQUE » (page 290) La fonction MOYENNE.GEOMETRIQUE renvoie la
moyenne géométrique.
« MOYENNE.HARMONIQUE » (page 291) La fonction MOYENNE.HARMONIQUE renvoie la
moyenne harmonique.
« MOYENNE.SI » (page 292) La fonction MOYENNE.SI renvoie la moyenne
(arithmétique) des cellules d’un intervalle qui
remplissent une condition donnée.
« MOYENNE.SIS » (page 294) La fonction MOYENNE.SIS renvoie la moyenne
(arithmétique) des cellules d’une collection qui
remplissent toutes les conditions données.
« NB » (page 296) La fonction NB renvoie le nombre de ses
arguments qui contiennent des nombres, des
expressions numériques ou des dates.
« NB.SI » (page 297) La fonction NB.SI renvoie le nombre de cellules
d’un intervalle qui remplissent une condition
donnée.Fonction Description
« NB.SIS » (page 299) La fonction NB.SIS renvoie le nombre de cellules
d’un ou plusieurs intervalles qui remplissent des
conditions données (une condition par intervalle).
« NBVAL » (page 301) La fonction NBVAL renvoie le nombre de ses
arguments qui ne sont pas vides.
« NB.VIDE » (page 302) La fonction NB.VIDE renvoie le nombre de cellules
d’un intervalle qui ne sont pas vides.
« ORDONNEE.ORIGINE » (page 303) La fonction ORDONNEE.ORIGINE renvoie
l’ordonnée à l’origine de la droite de régression
correspondant à la collection en faisant appel à
l’analyse de régression linéaire.
« PENTE » (page 304) La fonction PENTE renvoie la pente de la droite
de régression correspondant à la collection en
faisant appel à l’analyse de régression linéaire.
« PERMUTATION » (page 306) La fonction PERMUTATION renvoie le nombre de
permutations pour un nombre donné d’objets
pouvant être sélectionnés parmi un nombre total
d’objets.
« PETITE.VALEUR » (page 307) La fonction PETITE.VALEUR renvoie la énième plus
petite valeur d’un intervalle. La plus faible valeur
est classée en numéro 1.
« PREVISION » (page 308) La fonction PREVISION renvoie la valeur y
prévisionnelle pour une valeur x donnée en
s’appuyant sur des valeurs empiriques, par le biais
de l’analyse de régression linéaire.
« PROBABILITE » (page 309) La fonction PROBABILITE renvoie la probabilité
d’un intervalle de valeurs si la probabilité de
chaque valeur est connue.
« QUARTILE » (page 311) La fonction QUARTILE renvoie la valeur
correspondant au quartile indiqué d’une
collection donnée.
« RANG » (page 312) La fonction RANG renvoie le rang d’un nombre
dans un intervalle de nombres.
248 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 249
Fonction Description
« RANG.POURCENTAGE » (page 314) La fonction RANG.POURCENTAGE renvoie le rang
d’une valeur dans une collection sous la forme
d’un pourcentage de la collection.
« SOMME.CARRES.ECARTS » (page 315) La fonction SOMME.CARRES.ECARTS renvoie la
somme des carrés des écarts d’une collection
de nombres par rapport à leur moyenne
(arithmétique).
« STDEVA » (page 315) La fonction STDEVA renvoie l’écart-type, c’est-à-
dire une mesure de la dispersion, d’une collection
de valeurs pouvant comprendre du texte et des
valeurs booléennes, en fonction de la variance
empirique (non biaisée).
« STDEVPA » (page 317) La fonction STDEVPA renvoie l’écart-type, c’est-à-
dire une mesure de la dispersion, d’une collection
de valeurs pouvant comprendre du texte et des
valeurs booléennes, en fonction de la variance
théorique (vraie).
« TEST.KHIDEUX » (page 319) La fonction TEST.KHIDEUX renvoie la valeur à
partir de la distribution khi-deux pour la valeur
donnée.
« TEST.STUDENT » (page 320) La fonction TEST.STUDENT renvoie la probabilité
associée à un test T de Student selon la fonction
de distribution T.
« VAR » (page 321) La fonction VAR renvoie la variance empirique
(non biaisée), c’est-à-dire une mesure de la
dispersion, d’une collection de valeurs.
« VARA » (page 323) La fonction VARA renvoie la variance empirique
(non biaisée), c’est-à-dire une mesure de la
dispersion, d’une collection de valeurs en incluant
les valeurs texte et les valeurs booléennes.
« VAR.P » (page 325) La fonction VAR.P renvoie la variance théorique
(vraie), c’est-à-dire une mesure de la dispersion,
d’une collection de valeurs.
« VARPA » (page 326) La fonction VARPA renvoie la variance empirique
(non biaisée), c’est-à-dire une mesure de la
dispersion, d’une collection de valeurs en incluant
les valeurs texte et les valeurs booléennes.
« ZTEST » (page 328) La fonction ZTEST renvoie la probabilité
unilatérale du test Z.AVERAGEA
La fonction AVERAGEA renvoie la moyenne (arithmétique) d’une collection de valeurs
en incluant les valeurs texte et les valeurs booléennes.
AVERAGEA(valeur; valeur…)
 valeur : valeur quelconque. valeur peut correspondre à une valeur de n’importe
quel type.
 valeur… : vous pouvez ajouter une ou plusieurs valeurs supplémentaires. Toutes les
valeurs numériques doivent être du même type. Vous ne pouvez pas mélanger des
nombres, des dates et des valeurs de durée.
Remarques d’usage
 Les valeurs de chaîne qui apparaissent dans les cellules référencées se voient
attribuer la valeur 0. La valeur 0 est attribuée aux valeurs booléennes FAUX et la
valeur 1 est attribuée aux valeurs booléennes VRAI.
 Les références utilisées comme arguments pour cette fonction peuvent être des
références à une seule cellule ou à un intervalle de cellules.
 Dans le cas d’un ensemble qui ne comprend que des nombres, AVERAGEA renvoie
le même résultat que la fonction MOYENNE qui, elle, ignore les cellules qui ne
contiennent pas de nombres.
Exemples
=AVERAGEA(A1:A4) renvoie 2,5 si les cellules A1 à A4 contiennent 4, a, 6, b. Les valeurs texte sont
comptées en tant que zéro dans la somme de 10 et incluses dans le compte de valeurs (4). Faites la
comparaison avec =MOYENNE(A1:A4) qui ignore totalement les valeurs texte, auquel cas la somme
est 10, le nombre d’arguments 2 et la moyenne 5.
=AVERAGEA(A1:A4) renvoie 4 si les cellules A1 à A4 contiennent 5, a, VRAI, 10. La valeur texte compte
zéro et VRAI compte 1 pour une somme de 16 et un compte de 4.
=AVERAGEA(A1:A4) renvoie 0,25 si les cellules A1 à A4 contiennent FAUX, FAUX, FAUX, VRAI. Chaque
FAUX compte zéro et VRAI compte 1 pour une somme de 1 et un compte de 4.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« MOYENNE » à la page 289
« MOYENNE.SI » à la page 292
« MOYENNE.SIS » à la page 294
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
250 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 251
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
BETA.INVERSE
La fonction BETA.INVERSE renvoie l’inverse de la probabilité donnée de la fonction de
répartition de la distribution bêta.
BETA.INVERSE(probabilité; alpha; bêta; x-inf; x-sup)
 probabilité : probabilité associée à la distribution. probabilité correspond à un
nombre supérieur à 0 et inférieur à 1.
 alpha : l’un des paramètres de forme de la distribution. alpha correspond à un
nombre supérieur à 0.
 bêta : l’un des paramètres de forme de la distribution. bêta correspond à un
nombre supérieur à 0.
 x-inf : limite inférieure facultative pour la probabilité ou la valeur x indiquée. x-inf
correspond à un nombre inférieur ou égal à la probabilité ou à la valeur x même
indiquée. En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut est 0.
 x-sup : limite supérieure facultative pour la probabilité ou la valeur x indiquée.
x-sup correspond à un nombre supérieur ou égal à la probabilité ou à la valeur x
même indiquée. En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut est 1.
Exemples
=BETA.INVERSE(0,5; 1; 2; 0,3; 2) renvoie 0,797918471982869.
=BETA.INVERSE(0,99; 1; 2; 0; 1) renvoie 0,9.
=BETA.INVERSE(0,1; 2; 2; 0; 2) renvoie 0,391600211318183.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« LOI.BETA » à la page 270
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44CENTILE
La fonction CENTILE renvoie la valeur d’une collection, qui correspond à un centile en
particulier.
CENTILE(nbre-date-dur-collec; valeur-centile)
 nbre-date-dur-collec : collection de valeurs. nbre-date-dur-collec correspond à une
collection qui comprend des nombres, des valeurs de date/heure ou des durées.
Toutes les valeurs doivent être du même type.
 valeur-centile : centile à rechercher, entre 0 et 1. valeur-centile correspond à un
nombre et doit être saisi soit sous la forme d’un nombre décimal (par exemple 0,25),
soit d’un pourcentage (par exemple, 25 %). Le paramètre correspond à un nombre
supérieur ou égal à 0 et inférieur ou égal à 1.
Remarques d’usage
 Les valeurs de même taille incluses dans le tableau sont classées au même rang,
mais elles ont chacune une incidence sur le résultat.
Exemples
Supposons que le tableau suivant contienne les notes cumulées aux examens du trimestre actuel de
vos 20 élèves (sur un total de 100 points possibles). (Les données ont été organisées de cette manière
pour les besoins de l’exemple, mais il y a tout lieu de penser qu’elles seraient, au départ, réparties
entre 20 rangées distinctes.)
=CENTILE(A1:E4; 0,90) renvoie 92, c’est-à-dire la note cumulée minimale nécessaire pour faire partie
des meilleurs 10% de la classe (90
e
centile).
=CENTILE(A1:E4; 2/3) renvoie 85, c’est-à-dire la note cumulée minimale nécessaire pour faire partie du
tiers de la classe qui a obtenu les meilleurs notes (2/3, soit environ le 67
e
centile).
=CENTILE(A1:E4; 0,50) renvoie 83, c’est-à-dire la note cumulée minimale nécessaire pour faire partie
de la moitié de la classe qui a obtenu les meilleurs notes (50
e
centile).
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« FRÉQUENCE » à la page 264
« RANG.POURCENTAGE » à la page 314
« QUARTILE » à la page 311
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
252 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 253
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
CENTREE.REDUITE
La fonction CENTREE.REDUITE renvoie une valeur normalisée à partir d’une distribution
caractérisée par une moyenne donnée et un écart-type.
CENTREE.REDUITE(nbre; moyenne; écart-type)
 nbre : nombre à évaluer. nbre correspond à un nombre.
 moyenne : moyenne de la distribution. moyenne correspond à un nombre qui
représente la fréquence moyenne (moyenne arithmétique) connue à laquelle des
événements se produisent.
 écart-type : écart-type de la population. écart-type correspond à un nombre
supérieur à 0.
Exemple
=CENTREE.REDUITE(6; 15; 2,1) renvoie – 4,28571428571429.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« LOI.NORMALE » à la page 279
« LOI.NORMALE.INVERSE » à la page 280
« LOI.NORMALE.STANDARD » à la page 280
« LOI.NORMALE.STANDARD.INVERSE » à la page 281
« ZTEST » à la page 328
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44COEFFICIENT.CORRELATION
La fonction COEFFICIENT.CORRELATION renvoie le coefficient de corrélation entre deux
collections à l’aide de l’analyse de régression linéaire.
COEFFICIENT.CORRELATION(valeurs-y; valeurs-x)
 valeurs y : collection comprenant les valeurs y (dépendantes). valeurs-y correspond
à une collection qui peut comprendre des nombres, des valeurs de date/heure ou
des durées. Toutes les valeurs doivent être du même type.
 valeurs x : collection comprenant les valeurs x (indépendantes). valeurs-x
correspond à une collection qui peut comprendre des nombres, des valeurs de
date/heure ou des durées. Toutes les valeurs doivent être du même type.
Remarques d’usage
 valeurs-y et valeur-x doivent présenter les mêmes dimensions.
 Si ces collections comprennent du texte ou des valeurs booléennes, ceux-ci sont
ignorés.
Exemple
Dans cet exemple, la fonction COEFFICIENT.CORRELATION sert à déterminer l’étroitesse de la relation
entre le prix du fioul (colonne A) et la température réglée sur le thermostat du logement d’un
propriétaire.
=COEFFICIENT.CORRELATION(A2:A11; B2:B11) renvoie environ - 0,9076, ce qui indique une corrélation
étroite (à mesure que les prix montent, le thermostat est baissé).
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« COVARIANCE » à la page 255
« Exemple de résultats d’une étude » à la page 391
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
254 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 255
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
COVARIANCE
La fonction COVARIANCE renvoie la covariance de deux collections.
COVARIANCE(valeurs-échantillon-1; valeurs-échantillon-2)
 valeurs-échantillon-1 : collection comprenant la première collection de valeurs
empiriques. valeurs-échantillon-1 correspond à une collection qui comprend des
valeurs numériques.
 valeurs-échantillon-2 : collection comprenant la seconde collection de valeurs
empiriques. valeurs-échantillon-2 correspond à une collection qui comprend des
valeurs numériques.
Remarques d’usage
 Les deux tableaux doivent présenter les mêmes dimensions.
 Si ces tableaux contiennent du texte ou des valeurs booléennes, ceux-ci sont
ignorés.
 Si les deux collections sont identiques, la covariance est égale à la variance
théorique.
Exemple
Dans cet exemple, la fonction COVARIANCE sert à déterminer l’étroitesse de la relation entre le prix
du fioul (colonne A) et la température réglée sur le thermostat du logement d’un propriétaire.
=COVARIANCE(A2:A11; B2:B11) renvoie environ – 1,6202, ce qui indique une corrélation étroite (à
mesure que les prix montent, le thermostat est baissé).Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« COEFFICIENT.CORRELATION » à la page 254
« Exemple de résultats d’une étude » à la page 391
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
CRITERE.LOI.BINOMIALE
La fonction CRITERE.LOI.BINOMIALE renvoie la plus petite valeur pour laquelle la
distribution binomiale cumulée est supérieure ou égale à une valeur donnée.
CRITERE.LOI.BINOMIALE(essais; prob-succès; alpha)
 essais : nombre total d’essais ou tests. essais correspond à un nombre supérieur ou
égal à 0.
 prob-succès : probabilité de succès pour chaque essai ou test. prob-succès
correspond à un nombre compris entre 0 et 1 inclus.
 alpha : probabilité que la valeur réelle de la population se trouve en dehors de
l’intervalle. alpha correspond à un nombre inférieur ou égal à 1. La valeur alpha est
obtenue en soustrayant l’intervalle de confiance à 1.
Exemple
=CRITERE.LOI.BINOMIALE(97; 0,05; 0,05) renvoie 2 sur 97 essais, chaque essai ayant une probabilité de
succès de 5 % et un intervalle de confiance de 95 % (valeur alpha de 5 %).
=CRITERE.LOI.BINOMIALE(97; 0,25; 0,1) renvoie 19 sur 97 essais, chaque essai ayant une probabilité de
succès de 25 % et un intervalle de confiance de 90 % (valeur alpha de 10 %).
=CRITERE.LOI.BINOMIALE(97; 0,25; 0,05) renvoie 17 sur 97 essais, chaque essai ayant une probabilité
de succès de 25 % et un intervalle de confiance de 95 % (valeur alpha de 5 %).
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« LOI.BINOMIALE » à la page 271
« LOI.BINOMIALE.NEG » à la page 272
« PERMUTATION » à la page 306
256 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 257
« PROBABILITE » à la page 309
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
DROITEREG
La fonction DROITEREG renvoie un tableau des statistiques pour la droite de régression
des données indiquées en faisant appel à la méthode des moindres carrés.
DROITEREG(valeurs-y-connues; valeurs x connues; ordonnée-origine; statistiques-plus)
 valeurs-y-connues : collection comprenant les valeurs y connues. valeurs-y-connues
correspond à une collection incluant des nombres. S’il n’y a qu’une seule collection
de valeurs x connues, valeurs-y-connues peut adopter n’importe quelle taille. Si
plusieurs collections de valeurs x connues sont présentes, valeurs-y-connues peut
correspondre soit à une colonne, soit à une rangée comprenant les valeurs, mais pas
les deux à la fois.
 valeurs-x-connues : collection facultative comportant les valeurs x connues. valeursx-connues correspond à une collection incluant des nombres. En cas d’omission, la
fonction suppose que cette collection est l’ensemble {1; 2; 3…} de la même taille
que valeurs-y-connues. Si une seule collection de valeurs x connues est présente et
si la collection valeurs-x-connues est indiquée, cette dernière doit être de la même
taille que valeurs-y-connues. Si plusieurs collections de valeurs x connues sont
présentes, chaque rangée/colonne de valeurs-x-connues est considérée comme
une collection et la taille de chaque rangée/colonne doit être identique à celle de
valeurs-y-connues.
 ordonnée-origine : valeur facultative déterminant le mode de calcul de l’ordonnée
à l’origine (constante b).
normalement (1, VRAI ou omis): valeur de l’ordonnée à l’origine (constante b)
devant être calculée normalement.
forcer la valeur à 0 (0 ou FAUX): valeur de l’ordonnée à l’origine (constante b)
devant être forcée à zéro.
 statistiques-plus : valeur facultative indiquant si des informations statistiques
supplémentaires doivent être renvoyées.
aucune statistique supplémentaire (0, FAUX ou omis): ne pas renvoyer de
statistiques de régression supplémentaires dans le tableau renvoyé.statistiques supplémentaires (1 ou VRAI): renvoyer des statistiques de régression
supplémentaires dans le tableau renvoyé.
Remarques d’usage
 Les valeurs renvoyées par la fonction sont présentées dans un tableau. Pour lire les
valeurs du tableau, on peut se servir de la fonction INDEX. Vous pouvez insérer la
fonction DROITEREG dans la fonction INDEX : =INDEX(DROITEREG(valeurs-y-connues;
valeurs x connues; ordonnée-origine; statistiques-plus); y; x) où y et x sont les index de
colonne et de rangée de la valeur souhaitée.
Si aucune statistique supplémentaire n’est renvoyée (autrement dit, si la valeur de
statistiques-plus est FAUX), le tableau renvoyé ne contient qu’une seule rangée. Il
contient un nombre de colonnes égal au nombre de collections valeurs x connues
plus 1. Il indique aussi les pentes des droites (une valeur pour chaque rangée/
colonne de valeurs x), qui apparaissent en ordre inverse (la première valeur
correspond à la dernière rangée/colonne de valeurs x), et la valeur de la constante b,
c’est-à-dire l’ordonnée à l’origine.
Si des statistiques supplémentaires sont retournées (autrement dit, si la valeur de
statistiques-plus est VRAI), le tableau contient cinq rangées. Pour en savoir plus sur
le contenu du tableau, consultez « Statistiques supplémentaires » à la page 259.
Exemples
Supposons que le tableau suivant contienne les notes de 30 élèves qui ont récemment passé un
examen à votre charge. Supposons par ailleurs que cet examen soit noté sur 100 points, qu’il en faille
65 pour le réussir, que suivant le nombre de points obtenus les élèves se voient attribuer une note
sous la forme d’une lettre (allant de A à F, chaque lettre englobant une tranche de points obtenus)
et que le nombre minimal de points pour obtenir chaque note soit indiqué dans le tableau. Pour
simplifier l’élaboration des formules, la note « F » est représentée par un 1 et la note « A » correspond
à 5.
=INDEX(DROITEREG(A2:A6; C2:C6; 1; 0); 1) renvoie 0,752707581227437, qui est la pente de la droite de
régression.
=INDEX(DROITEREG(A2:A6; C2:C6; 1; 0); 2) renvoie 0,0342960288808646, soit b, l’ordonnée à l’origine.
258 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 259
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
Statistiques supplémentaires
Cette section traite des statistiques supplémentaires qui peuvent être renvoyées par la
fonction DROITEREG.
La fonction DROITEREG peut inclure des informations statistiques supplémentaires
dans le tableau retourné par la fonction. Pour les besoins de l’explication, prenons
cinq ensembles (ou collections) de valeurs x connues, en plus des valeurs y connues.
Supposons par ailleurs que les valeurs x connues soient réparties entre cinq rangées
ou entre cinq colonnes de tableau. Le tableau renvoyé par la fonction DROITEREG
suivant ces hypothèses doit alors avoir la forme suivante (le nombre qui apparaît
immédiatement après un x indique l’ensemble de valeurs x auquel se rapporte
l’élément) :
Rang/Colonne 1 2 3 4 5 6
1 pente x5 pente x4 pente x3 pente x2 pente x1 b (ordonnée à
l’origine)
2 err-std x1 err-std x2 err-std x3 err-std x4 err-std x5 err-std b
3 coef-dét err-std y
4 F-stat degrés-liberté
5 sc-rég sc-résiduel
Définitions des arguments
pente x : pente de la droite liée à cette collection de valeurs x connues. Les valeurs
sont renvoyées en ordre inverse, c’est-à-dire que cinq ensembles de valeurs x connues
sont présents, la valeur du cinquième ensemble apparaît en premier dans le tableau
renvoyé.
b : ordonnée à l’origine pour les valeurs x connues.err-std x : erreur standard pour le coefficient associé à cet ensemble de valeurs x
connues. Les valeurs sont renvoyées dans l’ordre, c’est-à-dire que cinq ensembles de
valeurs x connues sont présents, la valeur du premier ensemble est renvoyé en premier
dans le tableau. Cette présentation est donc le contraire de celle qui s’applique lorsque
les valeurs de pente sont renvoyées.
err-std b : erreur standard associée à la valeur de l’ordonnée origine (b).
coef-dét : coefficient de détermination. Cette statistique compare la valeur y estimée
et la valeur y réelle. Si le coefficient de détermination correspond à 1, aucune
différence entre ces deux valeurs n’est constatée. C’est ce que l’on appelle une
corrélation parfaite. Si le coefficient de détermination est 0, cela signifie qu’il n’existe
aucune corrélation et que l’équation de régression donnée ne permet pas de prédire
la valeur y.
err-std y : erreur standard associée à l’estimation de la valeur y.
F-stat : valeur F observée. La valeur F observée peut contribuer à déterminer si la
relation observée entre la variable dépendante et la variable indépendante est le fruit
du hasard.
degrés-liberté : degrés de liberté. Servez-vous de la statistique « degrés de liberté »
pour déterminer le niveau de confiance.
sc-rég : somme de régression des carrés.
sc-résiduel : somme résiduelle des carrés.
Remarques d’usage
 Peu importe que les valeurs x connues et les valeurs y connues se trouvent dans des
rangées ou dans des colonnes. Dans les deux cas, le tableau renvoyé est ordonné
par rangées comme on peut le voir dans l’exemple.
 Cet exemple repose sur l’hypothèse selon laquelle cinq ensembles de valeurs x
connues sont présents. S’il en existe plus de cinq ou moins, le nombre de colonnes
du tableau renvoyé s’en voit alors modifié (il est en effet toujours égal au nombre
des ensembles de valeurs x connues plus 1), mais le nombre de colonnes reste le
même.
 Si les arguments de la fonction DROITEREG ne spécifient pas que des statistiques
supplémentaires doivent être renvoyées, le tableau renvoyé ne contient que la
première rangée.
ECART.MOYEN
La fonction MOYENNE renvoie la moyenne (arithmétique) d’une collection de
nombres.
ECART.MOYEN(nbre-date-dur; nbre-date-dur…)
 nbre-date-dur : valeur quelconque. nbre-date-dur correspond à un nombre, une
valeur de date/heure ou une durée.
260 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 261
 nbre-date-dur : vous pouvez ajouter une ou plusieurs valeurs supplémentaires. Si
plusieurs valeurs nbre-date-dur sont précisées, elles doivent toutes être du même
type.
Remarques d’usage
 ECART.MOYEN divise la somme des nombres par le nombre de nombres pour
obtenir la moyenne. Les différences (valeurs absolues) entre la moyenne et chaque
nombre sont ajoutées, puis la somme obtenue est divisée par le nombre des
nombres.
 Si nbre-date-dur comprend des valeurs de date/heure, la fonction renvoie une durée.
Exemples
=ECART.MOYEN(2; 2; 2; 4; 4; 4) renvoie 1.
=ECART.MOYEN(2; 2; 2; 2; 3; 3; 3; 3; 4; 4; 4; 4) renvoie 0,6666667.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
ECARTYPE
La fonction ECARTYPE renvoie l’écart-type, c’est-à-dire une mesure de la dispersion,
d’une collection de valeurs en fonction de leur variance empirique (non biaisée).
ECARTYPE(nbre-date-dur; nbre-date-dur…)
 nbre-date-dur : valeur quelconque. nbre-date-dur correspond à un nombre, une
valeur de date/heure ou une durée.
 nbre-date-dur : valeurs supplémentaires (au moins deux valeurs). Toutes les valeurs
nbre-date-dur doivent être du même type.
Remarques d’usage
 L’utilisation de la fonction ECARTYPE est appropriée lorsque les valeurs indiquées
ne représentent qu’un échantillon d’une population plus importante. Si les valeurs
que vous analysez correspondent à l’intégralité de la collection ou de la population,
servez-vous de la fonction ECARTYPEP. Si vous souhaitez inclure des valeurs texte ou des valeurs booléennes dans le calcul,
utilisez la fonction STDEVA.
 L’écart-type est la racine carrée de la variance renvoyée par la fonction VAR.
Exemple
Supposons que vous ayez fait passer cinq examens à un groupe d’élèves. Vous avez choisi de façon
arbitraire cinq élèves pour représenter l’ensemble de ce groupe (remarquez que ceci n’est qu’un
exemple et que cette manière de procéder ne serait probablement pas valide sur le plan statistique).
Vous pouvez vous servir de la fonction ECARTYPE avec les données de l’échantillon pour déterminer
l’examen pour lequel la dispersion des notes a été la plus importante.
Les résultats renvoyés par les fonctions ECARTYPE sont environ 22,8035, 24,5357, 9,5026, 8,0747 et
3,3466. Ainsi, la dispersion a été la plus importante pour l’examen numéro 2, qui est suivi de près par
l’examen numéro 1. Pour les trois autres examens, la dispersion a été faible.
Examen 1 Examen 2 Examen 3 Examen 4 Examen 5
Élève 1 75 82 90 78 84
Élève 2 100 90 95 88 90
Élève 3 40 80 78 90 85
Élève 4 80 35 95 98 92
Élève 5 90 98 75 97 88
=ECARTYPE(B2:B6) =ECARTYPE(C2:C6) =ECARTYPE(D2:D6) =ECARTYPE(E2:E6) =ECARTYPE(F2:F6)
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« STDEVA » à la page 315
« ECARTYPEP » à la page 263
« STDEVPA » à la page 317
« VAR » à la page 321
« VARA » à la page 323
« VAR.P » à la page 325
« VARPA » à la page 326
« Exemple de résultats d’une étude » à la page 391
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
262 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 263
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
ECARTYPEP
La fonction ECARTYPEP renvoie l’écart-type, c’est-à-dire une mesure de la dispersion,
d’une collection de valeurs en fonction de la variance théorique (vraie).
ECARTYPEP(nbre-date-dur; nbre-date-dur…)
 nbre-date-dur : valeur quelconque. nbre-date-dur correspond à un nombre, une
valeur de date/heure ou une durée.
 nbre-date-dur : vous pouvez ajouter une ou plusieurs valeurs supplémentaires. Si
plusieurs valeurs nbre-date-dur sont précisées, elles doivent toutes être du même
type.
Remarques d’usage
 L’utilisation de la fonction ECARTYPEP est appropriée lorsque les valeurs indiquées
représentent l’intégralité de la collection ou de la population. Si les valeurs que
vous analysez ne représentent qu’un échantillon d’une population plus importante,
servez-vous de la fonction ECARTYPE.
 Si vous souhaitez inclure des valeurs texte ou des valeurs booléennes dans le calcul,
utilisez la fonction STDEVPA.
 L’écart-type est la racine carrée de la variance renvoyée par la fonction VAR.P.
Exemple
Supposons que vous ayez fait passer cinq examens à un groupe d’élèves. Votre classe est très réduite
et représente la population totale de vos élèves. Vous pouvez vous servir de la fonction ECARTYPEP
avec les données de cette population pour déterminer l’examen pour lequel la dispersion des notes a
été la plus importante.
Les résultats renvoyés par les fonctions ECARTYPEP sont environ 20,3961, 21,9454, 8,49994, 7,2222 et
2,9933. Ainsi, la dispersion a été la plus importante pour l’examen numéro 2, qui est suivi de près par
l’examen numéro 1. Pour les trois autres examens, la dispersion a été faible.
Examen 1 Examen 2 Examen 3 Examen 4 Examen 5
Élève 1 75 82 90 78 84
Élève 2 100 90 95 88 90
Élève 3 40 80 78 90 85
Élève 4 80 35 95 98 92
Élève 5 75 82 90 78 84
=ECARTYPEP(B2:B6) =ECARTYPEP(C2:C6) =ECARTYPEP(D2:D6) =ECARTYPEP(E2:E6) =ECARTYPEP(F2:F6)Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« ECARTYPE » à la page 261
« STDEVA » à la page 315
« STDEVPA » à la page 317
« VAR » à la page 321
« VARA » à la page 323
« VAR.P » à la page 325
« VARPA » à la page 326
« Exemple de résultats d’une étude » à la page 391
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
FRÉQUENCE
La fonction FRÉQUENCE renvoie un tableau indiquant la fréquence d’apparition de
valeurs de données dans une plage de valeurs d’intervalle.
FRÉQUENCE(données-valeurs; intervalle-valeurs)
 données-valeurs : collection comprenant les valeurs à évaluer. données-valeurs
correspond à une collection qui comprend des nombres ou des valeurs de date/
heure. Toutes les valeurs doivent être du même type.
 intervalle-valeurs : collection comprenant les valeurs de l’intervalle. intervallevaleurs correspond à une collection qui comprend des nombres ou des valeurs de
date/heure. Toutes les valeurs doivent être du même type que celles qui se trouvent
dans la collection données-valeurs.
264 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 265
Remarques d’usage
 FRÉQUENCE détermine le nombre de valeurs de la collection données-valeurs
qui tombent dans chaque intervalle. Le tableau d’intervalles est plus facile à
comprendre s’il est organisé en ordre ascendant. La première fréquence est le
nombre des valeurs qui sont inférieures ou égales à la plus petite valeur d’intervalle.
Toutes les autres valeurs de fréquence, excepté la dernière, indiquent le nombre des
valeurs qui sont supérieures à la valeur d’intervalle immédiatement inférieure et
inférieures ou égales à la valeur d’intervalle actuelle. La valeur de fréquence finale
correspond au nombre des valeurs de données qui sont supérieures à la valeur
d’intervalle la plus grande.
 Les valeurs renvoyées par la fonction sont présentées dans un tableau. Pour lire les
valeurs du tableau, on peut se servir de la fonction INDEX. Vous pouvez insérer la
fonction FRÉQUENCE dans la fonction INDEX : =INDEX(FRÉQUENCE(données-valeurs;
intervalle-valeurs); x) où x est l’intervalle souhaité. N’oubliez pas que le résultat
indique un intervalle de plus qu’il n’y a de collections intervalle-valeurs.
Exemple
Supposons que le tableau suivant contienne les notes de 30 élèves qui ont récemment passé un
examen à votre charge. Supposons par ailleurs que cet examen soit noté sur 100 points, qu’il en faille
65 pour le réussir, que suivant le nombre de points obtenus les élèves se voient attribuer une note
sous la forme d’une lettre (allant de A à F, chaque lettre englobant une tranche de points obtenus),
et que le nombre minimal de points pour obtenir chaque note soit indiqué dans le tableau. Pour
simplifier l’élaboration des formules, la note « F » est représentée par un 1 et la note « A » correspond
à 5.
=INDEX(FRÉQUENCE($A$1:$F$5; $B$8:$E$8); B9) renvoie 5, c’est-à-dire le nombre d’élèves qui ont
obtenu un « F » (65 points obtenus ou moins). Vous pouvez saisir cette formule dans la cellule B10,
puis l’étendre aux cellules de la rangée jusqu’à la cellule F10. Les valeurs obtenues qui sont renvoyées
par la fonction pour les notes allant de « D » à « A » sont respectivement 3, 8, 8 et 6. Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« INDEX » à la page 231
« CENTILE » à la page 252
« RANG.POURCENTAGE » à la page 314
« QUARTILE » à la page 311
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
GRANDE.VALEUR
La fonction GRANDE.VALEUR renvoie la énième plus grande valeur de la collection. La
plus grande valeur est classée en numéro 1.
GRANDE.VALEUR(nbre-date-dur-collec; classement)
 nbre-date-dur-collec : collection de valeurs. nbre-date-dur-collec correspond à une
collection qui comprend des nombres, des valeurs de date/heure ou des durées.
Toutes les valeurs doivent être du même type.
 classement : nombre représentant le classement par taille de la valeur à récupérer.
classement correspond à un nombre compris entre 1 et le nombre des valeurs
composant la collection.
Remarques d’usage
 Si la valeur du classement est 1, la fonction renvoie le nombre le plus grand de la
collection. Si la valeur du classement est 2, c’est le deuxième nombre le plus grand
qui est renvoyé, et ainsi de suite. Les valeurs de même taille incluses dans le tableau
sont classées au même rang, mais elles ont chacune une incidence sur le résultat.
266 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 267
Exemples
Supposons que le tableau suivant contienne les notes cumulées aux examens du trimestre actuel de
vos 20 élèves (sur un total de 100 points possibles). (Les données ont été organisées de cette manière
pour les besoins de l’exemple, mais il y a tout lieu de penser qu’elles seraient, au départ, réparties
entre 20 rangées distinctes.)
=GRANDE.VALEUR(A1:E4; 1) renvoie 100, c’est-à dire la plus haute note cumulée aux examens (cellule
B2).
=GRANDE.VALEUR(A1:E4; 2) renvoie 92, c’est-à dire la deuxième plus haute note cumulée aux
examens (cellule B2 ou cellule C2).
=GRANDE.VALEUR(A1:E4; 3) renvoie 92, c’est-à dire là aussi la troisième plus haute note cumulée aux
examens, puisqu’elle apparaît deux fois (cellules B2 et C2).
=GRANDE.VALEUR(A1:E4; 6) renvoie 86, la sixième plus haute note cumulée aux examens (l’ordre
étant 100, 92, 92, 91, 90 et enfin 86).
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« RANG » à la page 312
« PETITE.VALEUR » à la page 307
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
INTERVALLE.CONFIANCE
La fonction INTERVALLE.CONFIANCE renvoie une valeur permettant de créer un
intervalle de confiance statistique pour un échantillon de population dont l’écart-type
est connu.
INTERVALLE.CONFIANCE(alpha; écart-type; taille-échantillon)
 alpha : probabilité que la valeur réelle de la population se trouve en dehors de
l’intervalle. alpha correspond à un nombre supérieur ou égal à 1. La valeur alpha est
obtenue en soustrayant l’intervalle de confiance à 1. écart-type : écart-type de la population. écart-type correspond à un nombre
supérieur à 0.
 taille-échantillon : taille de l’échantillon. taille-échantillon correspond à un nombre
supérieur à 0.
Remarques d’usage
 Elle suppose que les valeurs sont réparties normalement dans l’échantillon.
Exemples
=INTERVALLE.CONFIANCE(0,05; 1; 10) renvoie 0,62. Si la moyenne des valeurs de l’échantillon est 100,
alors, la moyenne de la population tombe dans la plage 99,38–100,62 avec une confiance de 95 %.
=INTERVALLE.CONFIANCE(0,1; 1; 10) renvoie 0,52. Si la moyenne des valeurs de l’échantillon est 100,
alors, la moyenne de la population tombe dans la plage 99,48–100,52 avec une confiance de 90 %.
=INTERVALLE.CONFIANCE(0,05; 1; 20) renvoie 0,44.
=INTERVALLE.CONFIANCE(0,05; 1; 30) renvoie 0,36.
=INTERVALLE.CONFIANCE(0,05; 1; 40) renvoie 0,31.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« ECARTYPE » à la page 261
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
INVERSE.LOI.F
La fonction INVERSE.LOI.F renvoie l’inverse de la distribution de probabilité F.
INVERSE.LOI.F(prob; numérateur-d-l; dénominateur-d-l)
 prob : probabilité associée à la distribution. prob correspond à un nombre supérieur
à 0 et inférieur ou égal à 1.
 numérateur-d-l : degrés de liberté à inclure en tant que numérateur. numérateurd-l correspond à un nombre supérieur ou égal à 1. Si elle contient une fraction
décimale, celle-ci est ignorée.
 dénominateur-d-l : degrés de liberté à inclure en tant que dénominateur.
dénominateur-d-l correspond à un nombre supérieur ou égal à 1. Si elle contient une
fraction décimale, celle-ci est ignorée.
268 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 269
Exemples
=INVERSE.LOI.F(0,77; 1; 2) renvoie 0,111709428782599.
=INVERSE.LOI.F(0,77; 1; 1) renvoie 0,142784612191674.
=INVERSE.LOI.F(0,77; 2; 1) renvoie 0,34331253162422.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« LOI.F » à la page 274
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
KHIDEUX.INVERSE
La fonction KHIDEUX.INVERSE renvoie l’inverse de la probabilité unilatérale de la
distribution khi-deux.
KHIDEUX.INVERSE(probabilité; degrés-liberté)
 probabilité : probabilité associée à la distribution. probabilité correspond à un
nombre supérieur à 0 et inférieur à 1.
 degrés-liberté : degrés de liberté. degrés-liberté correspond à un nombre supérieur
ou égal à 1.
Exemples
=KHIDEUX.INVERSE(0,5; 2) renvoie 1,38629436111989.
=KHIDEUX.INVERSE(0,1; 10) renvoie 15,9871791721053.
=KHIDEUX.INVERSE(0,5; 1) renvoie 0,454936423119572.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« LOI.KHIDEUX » à la page 276
« TEST.KHIDEUX » à la page 319
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
LNGAMMA
La fonction LNGAMMA renvoie le logarithme népérien de la fonction gamma, G(x).
LNGAMMA(valeur-pos-x)
 valeur-pos-x : valeur x positive à laquelle vous cherchez à évaluer la fonction.
valeur-pos-x correspond à un nombre supérieur à 0.
Exemples
=LNGAMMA(0,92) renvoie 0,051658003497744.
=LNGAMMA(0,29) renvoie 1,13144836880416.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« LOI.GAMMA » à la page 275
« LOI.GAMMA.INVERSE » à la page 276
« LN » à la page 194
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
LOI.BETA
La fonction LOI.BETA renvoie la probabilité de la fonction de répartition de la
distribution bêta.
LOI.BETA(valeur-x; alpha; bêta; x-min; x-sup)
 valeur-x : valeur x à laquelle vous cherchez à évaluer la fonction. valeur-x
correspond à un nombre compris entre 0 et 1.
 alpha : l’un des paramètres de forme de la distribution. alpha correspond à un
nombre supérieur à 0.
270 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 271
 bêta : l’un des paramètres de forme de la distribution. bêta correspond à un
nombre supérieur à 0.
 x-inf : limite inférieure facultative pour la probabilité ou la valeur x indiquée. x-inf
correspond à un nombre inférieur ou égal à la probabilité ou à la valeur x même
indiquée. En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut est 0.
 x-sup : limite supérieure facultative pour la probabilité ou la valeur x indiquée.
x-sup correspond à un nombre supérieur ou égal à la probabilité ou à la valeur x
même indiquée. En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut est 1.
Exemples
=LOI.BETA(0,5; 1; 2; 0,3; 2) renvoie 0,221453287197232.
=LOI.BETA(1; 1; 2; 0; 1) renvoie 1.
=LOI.BETA(0,1; 2; 2; 0; 2) renvoie 0,00725.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« BETA.INVERSE » à la page 251
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
LOI.BINOMIALE
La fonction LOI.BINOMIALE renvoie la probabilité de la distribution binomiale de
chaque terme sous la forme indiquée.
LOI.BINOMIALE(nbre-succès; essais; prob-succès; type-forme)
 nbre-succès : nombre total d’essais ou de tests probants. nbre-succès correspond à
un nombre compris entre 1 et essais inclus.
 essais : nombre total d’essais ou tests. essais correspond à un nombre supérieur ou
égal à 0.
 prob-succès : probabilité de succès pour chaque essai ou test. prob-succès
correspond à un nombre compris entre 0 et 1 inclus.
 type-forme : valeur indiquant quelle forme de la fonction exponentielle fournir.forme de répartition (VRAI ou 1): renvoie la valeur sous la forme de la fonction
de répartition (si le nombre indiqué ou un nombre inférieur de succès ou
d’événements se produisent).
forme de probabilité de masse (FAUX ou 0): renvoie la valeur sous la forme de la
fonction de probabilité de masse (si le nombre de succès ou d’événements qui se
produisent est exactement égal au nombre indiqué).
Remarques d’usage
 La fonction LOI.BINOMIALE convient aux problèmes impliquant un nombre fixe
d’essais indépendants qui ont une probabilité de succès constante et pour lesquels
le résultat ne peut être qu’un succès ou un échec.
Exemples
=LOI.BINOMIALE(3; 98; 0,04; 1) renvoie 0,445507210083272 (forme de la fonction de répartition).
=LOI.BINOMIALE(3; 98; 0,04; 0) renvoie 0,201402522366024 (forme de probabilité de masse).
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« CRITERE.LOI.BINOMIALE » à la page 256
« LOI.BINOMIALE.NEG » à la page 272
« PERMUTATION » à la page 306
« PROBABILITE » à la page 309
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
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« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
LOI.BINOMIALE.NEG
La fonction LOI.BINOMIALE.NEG renvoie la distribution binomiale négative.
LOI.BINOMIALE.NEG(nbre-échecs; nbre-succès; prob-succès)
 nbre-échecs : nombre d’échecs. nbre-échecs correspond à un nombre supérieur ou
égal à 0.
 nbre-succès : nombre total d’essais ou de tests probants. nbre-succès correspond à
un nombre supérieur ou égal à 1.
272 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 273
 prob-succès : probabilité de succès pour chaque essai ou test. prob-succès
correspond à un nombre supérieur à 0 et inférieur à 1.
Remarques d’usage
 La fonction LOI.BINOMIALE.NEG renvoie la probabilité qu’un nombre indiqué
d’échecs, nbre-échecs, se produise avant que le nombre spécifié de succès, nbresuccès ne soit atteint. La probabilité constante d’un succès est prob-succès.
Exemple
=LOI.BINOMIALE.NEG(3; 68; 0,95) renvoie 0,20913174716192.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« LOI.BINOMIALE » à la page 271
« CRITERE.LOI.BINOMIALE » à la page 256
« PERMUTATION » à la page 306
« PROBABILITE » à la page 309
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LOI.EXPONENTIELLE
La fonction LOI.EXPONENTIELLE renvoie la distribution exponentielle sous la forme
indiquée.
LOI.EXPONENTIELLE(non-nég-valeur-x; lambda; type-forme)
 non-nég-valeur-x : valeur à laquelle vous cherchez à évaluer la fonction. non-négvaleur-x correspond à un nombre supérieur ou égal à 0.
 lambda : valeur du paramètre. lambda correspond à un nombre supérieur à 0.
 type-forme : valeur indiquant quelle forme de la fonction exponentielle fournir.
forme de répartition (VRAI ou 1): renvoie la valeur sous forme de fonction de
répartition.
forme de densité de probabilité (FAUX ou 0): renvoyer la valeur sous la forme de la
fonction de densité de probabilité.Exemples
=LOI.EXPONENTIELLE(4; 2; 1) renvoie 0,999664537372097 (sous forme de fonction de répartition).
=LOI.EXPONENTIELLE(4; 2; 0) renvoie 0,000670925255805024 (sous forme de densité de probabilité).
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« LOI.LOGNORMALE » à la page 277
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
LOI.F
La fonction LOI.F renvoie la distribution de probabilité F.
LOI.F(non-nég-valeur-x; numérateur-d-l; dénominateur-d-l)
 non-nég-valeur-x : valeur à laquelle vous cherchez à évaluer la fonction. non-négvaleur-x correspond à un nombre supérieur ou égal à 0.
 numérateur-d-l : degrés de liberté à inclure en tant que numérateur. numérateurd-l correspond à un nombre supérieur ou égal à 1. Si elle contient une fraction
décimale, celle-ci est ignorée.
 dénominateur-d-l : degrés de liberté à inclure en tant que dénominateur.
dénominateur-d-l correspond à un nombre supérieur ou égal à 1. Si elle contient une
fraction décimale, celle-ci est ignorée.
Remarques d’usage
 La distribution F est aussi appelée distribution F de Snedecor ou distribution de
Fisher-Snedecor.
Exemples
=LOI.F(0,77; 1; 2) renvoie 0,472763488223567.
=LOI.F(0,77; 1; 1) renvoie 0,541479597634413.
=LOI.F(0,77; 2; 1) renvoie 0,627455805138159.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
274 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 275
« INVERSE.LOI.F » à la page 268
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
LOI.GAMMA
La fonction LOI.GAMMA renvoie la distribution gamma sous la forme indiquée.
LOI.GAMMA(non-nég-valeur-x; alpha; bêta; type-forme)
 non-nég-valeur-x : valeur à laquelle vous cherchez à évaluer la fonction. non-négvaleur-x correspond à un nombre supérieur ou égal à 0.
 alpha : l’un des paramètres de forme de la distribution. alpha correspond à un
nombre supérieur à 0.
 bêta : l’un des paramètres de forme de la distribution. bêta correspond à un
nombre supérieur à 0.
 type-forme : valeur indiquant quelle forme de la fonction exponentielle fournir.
forme de répartition (VRAI ou 1): renvoie la valeur sous forme de fonction de
répartition.
forme de densité de probabilité (FAUX ou 0): renvoyer la valeur sous la forme de la
fonction de densité de probabilité.
Exemples
=LOI.GAMMA(0,8; 1; 2; 1) renvoie 0,329679953964361 (forme de la fonction de répartition).
=LOI.GAMMA(0,8; 1; 2; 0) renvoie 0,33516002301782 (forme de densité de probabilité).
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« LOI.GAMMA.INVERSE » à la page 276
« LNGAMMA » à la page 270
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
LOI.GAMMA.INVERSE
La fonction LOI.GAMMA.INVERSE renvoie la distribution gamma cumulée inverse.
LOI.GAMMA.INVERSE(probabilité; alpha; bêta)
 probabilité : probabilité associée à la distribution. probabilité correspond à un
nombre supérieur à 0 et inférieur à 1.
 alpha : l’un des paramètres de forme de la distribution. alpha correspond à un
nombre supérieur à 0.
 bêta : l’un des paramètres de forme de la distribution. bêta correspond à un
nombre supérieur à 0.
Exemples
=LOI.GAMMA.INVERSE(0,8; 1; 2) renvoie 3,2188758248682.
=LOI.GAMMA.INVERSE(0,8; 2; 1) renvoie 2,99430834700212.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« LOI.GAMMA » à la page 275
« LNGAMMA » à la page 270
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
LOI.KHIDEUX
La fonction LOI.KHIDEUX renvoie la probabilité unilatérale de la distribution khi-deux.
LOI.KHIDEUX(non-nég-valeur-x; degrés-liberté)
 non-nég-valeur-x : valeur à laquelle vous cherchez à évaluer la fonction. non-négvaleur-x correspond à un nombre supérieur ou égal à 0.
 degrés-liberté : degrés de liberté. degrés-liberté correspond à un nombre supérieur
ou égal à 1.
276 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 277
Exemples
=LOI.KHIDEUX(5; 2) renvoie 0,0820849986238988.
=LOI.KHIDEUX(10; 10) renvoie 0,440493285065212.
=LOI.KHIDEUX(5; 1) renvoie 0,0253473186774683.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« KHIDEUX.INVERSE » à la page 269
« TEST.KHIDEUX » à la page 319
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
LOI.LOGNORMALE
La fonction LOI.LOGNORMALE renvoie la distribution log-normale.
LOI.LOGNORMALE(valeur-pos-x; moyenne; écart-type)
 valeur-pos-x : valeur x positive à laquelle vous cherchez à évaluer la fonction.
valeur-pos-x correspond à un nombre supérieur à 0.
 moyenne : moyenne du logarithme népérien, c’est-à-dire, ln
(x)
. moyenne correspond
à un nombre égal à la moyenne (arithmétique) de ln
(x)
, le logarithme népérien de x.
 écart-type : écart-type de la population. écart-type correspond à un nombre
supérieur à 0.
Exemple
=LOI.LOGNORMALE(0,78; 1,7; 2,2) renvoie 0,187899237956868.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« LN » à la page 194
« LOI.LOGNORMALE.INVERSE » à la page 278
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
LOI.LOGNORMALE.INVERSE
La fonction LOI.LOGNORMALE.INVERSE renvoie l’inverse de la fonction de distribution
log-normale cumulée de x.
LOI.LOGNORMALE.INVERSE(probabilité; moyenne; écart-type)
 probabilité : probabilité associée à la distribution. probabilité correspond à un
nombre supérieur à 0 et inférieur à 1.
 moyenne : moyenne du logarithme népérien, c’est-à-dire, ln
(x)
. moyenne correspond
à un nombre égal à la moyenne (arithmétique) de ln
(x)
, le logarithme népérien de x.
 écart-type : écart-type de la population. écart-type correspond à un nombre
supérieur à 0.
Remarques d’usage
 La fonction LOI.LOGNORMALE.INVERSE est appropriée si la distribution du
logarithme de x est normale.
Exemple
=LOI.LOGNORMALE.INVERSE(0,78; 1,7; 2,2) renvoie 29,9289150377259.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« LN » à la page 194
« LOI.LOGNORMALE » à la page 277
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
278 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 279
LOI.NORMALE
La fonction LOI.NORMALE renvoie la distribution normale sous la forme de fonction
indiquée.
LOI.NORMALE(nbre; moyenne; écart-type; type-forme)
 nbre : nombre à évaluer. nbre correspond à un nombre.
 moyenne : moyenne de la distribution. moyenne correspond à un nombre qui
représente la fréquence moyenne (moyenne arithmétique) connue à laquelle des
événements se produisent.
 écart-type : écart-type de la population. écart-type correspond à un nombre
supérieur à 0.
 type-forme : valeur indiquant quelle forme de la fonction exponentielle fournir.
forme de répartition (VRAI ou 1): renvoie la valeur sous forme de fonction de
répartition.
forme de densité de probabilité (FAUX ou 0): renvoyer la valeur sous la forme de la
fonction de densité de probabilité.
Remarques d’usage
 Si moyenne est 0, écart-type 1 et type-forme VRAI, la fonction LOI.NORMALE renvoie
une valeur identique à la distribution normale standard cumulée renvoyée par la
fonction LOI.NORMALE.STANDARD.
Exemples
=LOI.NORMALE(22; 15; 2,5; 1) renvoie 0,997444869669572, c’est-à-dire la forme de la fonction de
répartition.
=LOI.NORMALE(22; 15; 2,5; 0) renvoie 0,00316618063319199, c’est-à-dire la forme de densité de
probabilité.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« LOI.NORMALE.INVERSE » à la page 280
« LOI.NORMALE.STANDARD » à la page 280
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44LOI.NORMALE.INVERSE
La fonction LOI.NORMALE.INVERSE renvoie l’inverse de la distribution normale
cumulée.
LOI.NORMALE.INVERSE(probabilité, moyenne, écart-type)
 probabilité : probabilité associée à la distribution. probabilité correspond à un
nombre supérieur à 0 et inférieur à 1.
 moyenne : moyenne de la distribution. moyenne correspond à un nombre qui
représente la fréquence moyenne (moyenne arithmétique) connue à laquelle des
événements se produisent.
 écart-type : écart-type de la population. écart-type correspond à un nombre
supérieur à 0.
Remarques d’usage
 Si moyenne est 0 et écart-type 1, la fonction LOI.NORMALE.INVERSE renvoie une
valeur identique à l’inverse de la distribution normale standard cumulée renvoyée
par la fonction LOI.NORMALE.STANDARD.INVERSE.
Exemple
=LOI.NORMALE.INVERSE(0,89; 15; 2,5) renvoie 18,0663203000915.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« LOI.NORMALE » à la page 279
« LOI.NORMALE.STANDARD.INVERSE » à la page 281
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
LOI.NORMALE.STANDARD
La fonction LOI.NORMALE.STANDARD renvoie la distribution normale standard.
LOI.NORMALE.STANDARD(nbre)
 nbre : valeur numérique. nbre correspond à un nombre.
280 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 281
Remarques d’usage
 Pour une distribution normale standard, la moyenne (arithmétique) correspond à 0
et l’écart-type 1.
Exemple
=LOI.NORMALE.STANDARD(4,3) renvoie 0,999991460094529.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« LOI.NORMALE » à la page 279
« LOI.NORMALE.STANDARD.INVERSE » à la page 281
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
LOI.NORMALE.STANDARD.INVERSE
La fonction LOI.NORMALE.STANDARD.INVERSE renvoie l’inverse de la distribution
normale standard cumulée.
LOI.NORMALE.STANDARD.INVERSE(probabilité)
 probabilité : probabilité associée à la distribution. probabilité correspond à un
nombre supérieur à 0 et inférieur à 1.
Remarques d’usage
 Pour une distribution normale standard, la moyenne (arithmétique) correspond à 0
et l’écart-type 1.
Exemple
=LOI.NORMALE.STANDARD.INVERSE(0,89) renvoie 1,22652812003661.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« LOI.NORMALE.INVERSE » à la page 280
« LOI.NORMALE.STANDARD » à la page 280« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
LOI.POISSON
La fonction LOI.POISSON renvoie la probabilité d’apparition d’un nombre particulier
d’événements, en s’appuyant sur la loi de répartition de Poisson.
LOI.POISSON(événements; moyenne; type-forme)
 événements : nombre d’événements pour lequel vous souhaitez calculer la
probabilité. événements correspond à un nombre.
 moyenne : moyenne de la distribution. moyenne correspond à un nombre qui
représente la fréquence moyenne (moyenne arithmétique) connue à laquelle des
événements se produisent.
 type-forme : valeur indiquant quelle forme de la fonction exponentielle fournir.
forme de répartition (VRAI ou 1): renvoie la valeur sous la forme de la fonction
de répartition (si le nombre indiqué ou un nombre inférieur de succès ou
d’événements se produisent).
forme de probabilité de masse (FAUX ou 0): renvoie la valeur sous la forme de la
fonction de probabilité de masse (si le nombre de succès ou d’événements qui se
produisent est exactement égal au nombre indiqué).
Exemple
Pour une moyenne de 10 et un taux des arrivées de 8 :
=LOI.POISSON(8; 10; FAUX) renvoie 0,112599.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« LOI.EXPONENTIELLE » à la page 273
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
282 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 283
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
LOI.STUDENT
La fonction LOI.STUDENT renvoie la probabilité à partir de la distribution T de Student.
LOI.STUDENT(non-nég-valeur-x; degrés-liberté; queues)
 non-nég-valeur-x : valeur à laquelle vous cherchez à évaluer la fonction. non-négvaleur-x correspond à un nombre supérieur ou égal à 0.
 degrés-liberté : degrés de liberté. degrés-liberté correspond à un nombre supérieur
ou égal à 1.
 queues : nombre de queues à renvoyer.
une queue (1): renvoie la valeur pour une distribution unilatérale.
deux queues (2): renvoie la valeur pour une distribution bilatérale.
Exemples
=LOI.STUDENT(4; 2; 1) renvoie 0,0285954792089682 pour la distribution unilatérale.
=LOI.STUDENT(4; 2; 2) renvoie 0,0571909584179364 pour la distribution bilatérale.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« LOI.STUDENT.INVERSE » à la page 283
« TEST.STUDENT » à la page 320
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
LOI.STUDENT.INVERSE
La fonction LOI.STUDENT.INVERSE renvoie la valeur T (qui est une fonction de la
probabilité et des degrés de liberté) à partir de la distribution T de Student.
LOI.STUDENT.INVERSE(probabilité; degrés-liberté)
 probabilité : probabilité associée à la distribution. probabilité correspond à un
nombre supérieur à 0 et inférieur à 1. degrés-liberté : degrés de liberté. degrés-liberté correspond à un nombre supérieur
ou égal à 1.
Exemple
=LOI.STUDENT.INVERSE(0,88; 2) renvoie 0,170940864689457.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« LOI.STUDENT » à la page 283
« TEST.STUDENT » à la page 320
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
MAX
La fonction MAX renvoie le plus grand nombre d’une collection.
MAX(valeur; valeur…)
 valeur : valeur quelconque. valeur peut correspondre à une valeur de n’importe
quel type.
 valeur… : vous pouvez ajouter une ou plusieurs valeurs supplémentaires.
Remarques d’usage
 Si l’argument valeur n’est ni une date ni un nombre, il n’est pas pris en compte dans
le résultat.
 Pour déterminer la plus grande de toutes les valeurs d’une collection, quel que soit
leur type, servez-vous de la fonction MAXA.
Exemples
=MAX(5; 5; 5; 5; 6) renvoie 6.
=MAX(1; 2; 3; 4; 5) renvoie 5.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« GRANDE.VALEUR » à la page 266
284 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 285
« MAXA » à la page 285
« MIN » à la page 287
« PETITE.VALEUR » à la page 307
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
MAXA
La fonction MAXA renvoie le plus grand nombre d’une collection de valeurs pouvant
comprendre du texte et des valeurs booléennes.
MAXA(valeur; valeur…)
 valeur : valeur quelconque. valeur peut correspondre à une valeur de n’importe
quel type.
 valeur… : vous pouvez ajouter une ou plusieurs valeurs supplémentaires. Toutes les
valeurs numériques doivent être du même type. Vous ne pouvez pas mélanger des
nombres, des dates et des valeurs de durée.
Remarques d’usage
 Les valeurs texte et la valeur logique FAUX se voient attribuer la valeur 0 et la valeur
logique VRAI se voit attribuer la valeur 1.
 Pour déterminer la plus grande des valeurs d’une collection qui ne comprend que
des nombres ou des dates, servez-vous de la fonction MAX.
Exemples
=MAXA(1; 2; 3; 4) renvoie 4.
=MAXA(A1:C1), si les cellules A1 à C1 contiennent « –1 », « –10 » et « bonjour », renvoie 0.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« MAX » à la page 284
« MINA » à la page 287
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
MEDIANE
La fonction MEDIANE renvoie la valeur médiane d’une collection de nombres. La
valeur médiane est la valeur à laquelle la moitié des nombres de l’ensemble (ou
« collection ») sont inférieurs et l’autre moitié, supérieurs.
MEDIANE(nbre-date-dur; nbre-date-dur…)
 nbre-date-dur : valeur quelconque. nbre-date-dur correspond à un nombre, une
valeur de date/heure ou une durée.
 nbre-date-dur : vous pouvez ajouter une ou plusieurs valeurs supplémentaires. Si
plusieurs valeurs nbre-date-dur sont précisées, elles doivent toutes être du même
type.
Remarques d’usage
 Si la série comporte un nombre pair de valeurs, la fonction MEDIANE renvoie la
moyenne des deux valeurs du milieu.
Exemples
=MEDIANE(1; 2; 3; 4; 5) renvoie 3.
=MEDIANE(1; 2; 3; 4; 5; 6) renvoie 3,5.
=MEDIANE(5; 5; 5; 5; 6) renvoie 5.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« MOYENNE » à la page 289
« MODE » à la page 288
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
286 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 287
MIN
La fonction MIN renvoie le plus petit nombre d’une collection.
MIN(valeur; valeur…)
 valeur : valeur quelconque. valeur peut correspondre à une valeur de n’importe
quel type.
 valeur… : vous pouvez ajouter une ou plusieurs valeurs supplémentaires.
Remarques d’usage
 Si l’argument valeur n’est ni une date ni un nombre, il n’est pas pris en compte dans
le résultat.
 Pour déterminer la plus petite de toutes les valeurs d’une collection, quel que soit
leur type, servez-vous de la fonction MINA.
Exemples
=MIN(5; 5; 5; 5; 6) renvoie 5.
=MIN(1; 2; 3; 4; 5) renvoie 1.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« GRANDE.VALEUR » à la page 266
« MAX » à la page 284
« MINA » à la page 287
« PETITE.VALEUR » à la page 307
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
MINA
La fonction MINA renvoie le plus petit nombre d’une collection de valeurs pouvant
comprendre du texte et des valeurs booléennes.
MINA(valeur; valeur…)
 valeur : valeur quelconque. valeur peut correspondre à une valeur de n’importe
quel type. valeur… : vous pouvez ajouter une ou plusieurs valeurs supplémentaires. Toutes les
valeurs numériques doivent être du même type. Vous ne pouvez pas mélanger des
nombres, des dates et des valeurs de durée.
Remarques d’usage
 Les valeurs texte et la valeur logique FAUX se voient attribuer la valeur 0 et la valeur
logique VRAI se voit attribuer la valeur 1.
 Pour déterminer la plus petite des valeurs d’une collection qui ne comprend que
des nombres ou des dates, servez-vous de la fonction MIN.
Exemples
=MINA(1; 2; 3; 4) renvoie 1.
=MINA(A1:C1), si les cellules A1 à C1 contiennent « –1 », « –10 » et « bonjour », renvoie « – 10 ».
=MINA(A1:C1), si les cellules A1 à C1 contiennent « 1 », « 10 » et « bonjour », renvoie 0.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« MAXA » à la page 285
« MIN » à la page 287
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
MODE
La fonction MODE renvoie la valeur qui apparaît le plus souvent dans une collection de
nombres.
MODE(nbre-date-dur; nbre-date-dur…)
 nbre-date-dur : valeur quelconque. nbre-date-dur correspond à un nombre, une
valeur de date/heure ou une durée.
 nbre-date-dur : vous pouvez ajouter une ou plusieurs valeurs supplémentaires. Si
plusieurs valeurs nbre-date-dur sont précisées, elles doivent toutes être du même
type.
288 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 289
Remarques d’usage
 Si plusieurs nombres ont la même fréquence maximale d’apparition dans les
arguments, la fonction MODE renvoie le premier de ces nombres.
 Si aucune valeur n’apparaît plusieurs fois, la fonction génère une erreur.
Exemples
=MODE(5; 5; 5; 5; 6) renvoie 5.
=MODE(1; 2; 3; 4; 5) génère une erreur.
=MODE(2; 2; 4; 6; 6) renvoie 2.
=MODE(6; 6; 4; 2; 2) renvoie 6.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« MOYENNE » à la page 289
« MEDIANE » à la page 286
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
MOYENNE
La fonction MOYENNE renvoie la moyenne (arithmétique) d’une collection de
nombres.
MOYENNE(nbre-date-dur; nbre-date-dur…)
 nbre-date-dur : valeur quelconque. nbre-date-dur correspond à un nombre, une
valeur de date/heure ou une durée.
 nbre-date-dur : vous pouvez ajouter une ou plusieurs valeurs supplémentaires. Si
plusieurs valeurs nbre-date-dur sont précisées, elles doivent toutes être du même
type.
Remarques d’usage
 MOYENNE divise la somme des valeurs numériques par le nombre de valeurs
numériques . Les chaînes ou les valeurs booléennes qui se trouvent dans la cellule référencée sont
ignorées. Si vous souhaitez inclure une chaîne et des valeurs booléennes dans la
moyenne, servez-vous de la fonction AVERAGEA.
 Les références utilisées comme arguments pour cette fonction peuvent être des
références à une seule cellule ou à un intervalle de cellules.
Exemples
=MOYENNE(4; 4; 4; 6; 6; 6) renvoie 5.
=MOYENNE(2; 2; 2; 2; 3; 3; 3; 3; 4; 4; 4; 4) renvoie 3.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« AVERAGEA » à la page 250
« MOYENNE.SI » à la page 292
« MOYENNE.SIS » à la page 294
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
MOYENNE.GEOMETRIQUE
La fonction MOYENNE.GEOMETRIQUE renvoie la moyenne géométrique.
MOYENNE.GEOMETRIQUE(nbre-pos; nbre-pos…)
 nbre-pos : nombre positif. nbre-pos correspond à un nombre supérieur à 0.
 nbre-pos… : vous pouvez ajouter un ou plusieurs nombres positifs
supplémentaires.
Remarques d’usage
 MOYENNE.GEOMETRIQUE multiplie les arguments pour parvenir à un produit, puis
prend la racine de ce produit qui est égale au nombre d’arguments.
Exemple
=MOYENNE.GEOMETRIQUE(5; 7; 3; 2; 6; 22) renvoie 5,50130264578853.
290 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 291
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« MOYENNE » à la page 289
« MOYENNE.HARMONIQUE » à la page 291
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
MOYENNE.HARMONIQUE
La fonction MOYENNE.HARMONIQUE renvoie la moyenne harmonique.
MOYENNE.HARMONIQUE(nbre-pos; nbre-pos…)
 nbre-pos : nombre positif. nbre-pos correspond à un nombre supérieur à 0.
 nbre-pos… : vous pouvez ajouter un ou plusieurs nombres positifs
supplémentaires.
Remarques d’usage
 La moyenne harmonique est l’inverse de la moyenne arithmétique des inverses.
Exemple
=MOYENNE.HARMONIQUE(5; 7; 3; 2; 6; 22) renvoie 4,32179607109448.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« MOYENNE » à la page 289
« MOYENNE.GEOMETRIQUE » à la page 290
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44MOYENNE.SI
La fonction MOYENNE.SI renvoie la moyenne (arithmétique) des cellules d’un intervalle
qui remplissent une condition donnée.
MOYENNE.SI(valeurs-test; condition; moyenne-valeurs)
 valeurs-test : collection comprenant les valeurs à tester. valeurs-test correspond à
une collection pouvant contenir tout type de valeur.
 condition : expression qui entraîne un résultat logique VRAI ou FAUX. condition est
une expression pouvant englober tout type de valeur pour autant que le résultat
de la comparaison de condition et d’une valeur incluse dans valeurs-test puisse
correspondre à une valeur booléenne (VRAI ou FAUX).
 moyenne-valeurs : collection facultative comprenant les valeurs dont on souhaite
établir la moyenne. moyenne-valeurs est une référence à un seul intervalle de
cellules ou à un tableau, qui ne peut contenir que des nombres, des expressions
numériques ou des valeurs booléennes.
Remarques d’usage
 Chaque valeur est comparée à la condition. Si la valeur satisfait au test conditionnel,
la valeur correspondante dans moyenne-valeurs est prise en compte dans la
moyenne.
 moyenne-valeurs et valeurs-test (si cet argument est indiqué) doivent présenter les
mêmes dimensions.
 En cas d’omission de moyenne-valeurs, valeurs-test est utilisée à sa place.
 Si moyenne-valeurs est omise ou identique à valeurs-test, valeurs-test ne peut
comprendre que des nombres, des expressions numériques ou des valeurs
booléennes.
292 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 293
Exemples
Prenons le tableau suivant :
=MOYENNE.SI(A2:A13; "<40"; D2:D13) renvoie environ « 57 429 », c’est-à-dire le revenu moyen des
personnes qui ont moins de 40 ans.
=MOYENNE.SI(B2:B13; "=F"; D2:D13) renvoie « 62 200 », c’est-à-dire le revenu moyen des personnes de
sexe féminin (celui-ci étant indiqué par un « F » dans la colonne B).
=MOYENNE.SI(C2:C13; "C"; D2:D13) renvoie « 55 800 », c’est-à-dire le revenu moyen des personnes
célibataires (indiqué par un « C » dans la colonne C).
=MOYENNE.SI(A2:A13; ">=40"; D2:D13) renvoie « 75 200 », c’est-à-dire le revenu moyen des personnes
qui ont 40 ans ou plus.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« MOYENNE » à la page 289
« AVERAGEA » à la page 250
« MOYENNE.SIS » à la page 294
« Usage de conditions et de jokers » à la page 389
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44MOYENNE.SIS
La fonction MOYENNE.SIS renvoie la moyenne (arithmétique) des cellules d’un
intervalle donné lorsqu’un ou plusieurs intervalles remplissent une ou plusieurs
conditions qui y sont liées.
MOYENNE.SIS(moyenne-valeurs; valeurs-test; condition; valeurs-test…; condition… )
 moyenne-valeurs : collection comprenant les valeurs dont on souhaite établir la
moyenne.. moyenne-valeurs est une référence à un seul intervalle de cellules ou à un
tableau, qui ne peut contenir que des nombres, des expressions numériques ou des
valeurs booléennes.
 valeurs-test : collection comprenant les valeurs à tester. valeurs-test correspond à
une collection pouvant contenir tout type de valeur.
 condition : expression qui entraîne un résultat logique VRAI ou FAUX. condition est
une expression pouvant englober tout type de valeur pour autant que le résultat
de la comparaison de condition et d’une valeur incluse dans valeurs-test puisse
correspondre à une valeur booléenne (VRAI ou FAUX).
 valeurs-test;… : vous pouvez également ajouter une ou plusieurs collections
contenant des valeurs à évaluer. Chaque collection de valeurs-test doit être
immédiatement suivie d’une expression de condition. Cette succession valeurs-test,
condition peut être répétée autant de fois que nécessaire.
 condition;… : expression logique VRAI ou FAUX, si la collection facultative de
valeurs-test est précisée. une condition doit obligatoirement être placée après
chaque argument valeurs-test ; par conséquent, cette fonction présente toujours un
nombre impair d’arguments.
Remarques d’usage
 Pour chacune des paires formées par valeurs-test et condition, la valeur
correspondante (même position à l’intérieur de l’intervalle ou du tableau) est
comparée au test conditionnel. Si tous les tests conditionnels sont satisfaits, la valeur
correspondante dans moyenne-valeurs est prise en compte dans la moyenne.
 Les collections moyenne-valeurs et toutes celles de valeurs-test doivent présenter les
mêmes dimensions.
294 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 295
Exemples
Prenons le tableau suivant :
=MOYENNE.SIS (D2:D13;A2:A13;"<40";B2:B13;"=M") renvoie « 56 000 », c’est-à-dire le revenu moyen
des personnes de sexe masculin (indiqué par un « M » dans la colonne B) qui ont moins de 40 ans.
=MOYENNE.SIS(D2:D13;A2:A13;"<40";B2:B13;"=M";C2:C13;"=C") renvoie « 57 000 », c’est-à-dire le
revenu moyen des personnes de sexe masculin célibataires (indiqué par un « C » dans la colonne C)
qui ont moins de 40 ans.
=MOYENNE.SIS(D2:D13;A2:A13;"<40";B2:B13;"=M";C2:C13;"=M") renvoie « 55 000 », c’est-à-dire le
revenu moyen des personnes de sexe masculin mariées (indiqué par un « M » dans la colonne C) qui
ont moins de 40 ans.
=MOYENNE.SIS(D2:D13;A2:A13;"<40";B2:B13;"=F") renvoie environ « 59 333 », c’est-à-dire le revenu
moyen des personnes de sexe féminin (indiqué par un « F » dans la colonne B) qui ont moins de 40
ans.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« MOYENNE » à la page 289
« AVERAGEA » à la page 250
« MOYENNE.SI » à la page 292
« Usage de conditions et de jokers » à la page 389
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44NB
La fonction NB renvoie le nombre de ses arguments qui contiennent des nombres, des
expressions numériques ou des dates.
NB(valeur; valeur…)
 valeur : valeur quelconque. valeur peut correspondre à une valeur de n’importe
quel type.
 valeur… : vous pouvez ajouter une ou plusieurs valeurs supplémentaires.
Remarques d’usage
 Pour compter toute cellule contenant n’importe quel type de valeur (c’est-à-dire
compter toute cellule non vide), utilisez la fonction NBVAL.
Exemples
Le tableau de cet exemple sert à illustrer toutes les variations de la fonction NB. Les informations qu’il
contient ne sont pas significatives, mais elles illustrent le type d’arguments que chaque variation de
NB inclut dans le résultat de la fonction.
=NB(A1:E1) renvoie 5 puisque tous les arguments correspondent à des valeurs numériques.
=NB(A2:E2) renvoie 0 puisqu’aucun des arguments ne correspond à un nombre.
=NB(A3:E3) renvoie 3 puisque les deux dernières cellules ne correspondent pas à des valeurs
numériques.
=NB(A4:E4) renvoie 0 puisque les arguments sont des valeurs logiques VRAI ou FAUX qui ne sont pas
comptées en tant que valeurs numériques.
=NB(A5:E5) renvoie 2 puisque trois cellules sont vides.
=NB(2; 3; A5:E5; SOMME(A1:E1); "A"; "b") renvoie 5 puisque les arguments 2 et 3 correspondent à des
nombres, que deux nombres se trouvent dans l’intervalle A5:E5, que la fonction SOMME renvoie
le nombre 1 et que les deux derniers arguments correspondent à du texte et non à des valeurs
numériques (cinq arguments numériques en tout).
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« NBVAL » à la page 301
« NB.VIDE » à la page 302
« NB.SI » à la page 297
« NB.SIS » à la page 299
296 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 297
« Exemple de résultats d’une étude » à la page 391
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
NB.SI
La fonction NB.SI renvoie le nombre de cellules d’un intervalle qui remplissent une
condition donnée.
NB.SI(tableau-test; condition)
 tableau-test : collection comprenant les valeurs à tester. tableau-test est une
collection qui peut correspondre à une valeur de n’importe quel type.
 condition : expression qui entraîne un résultat logique VRAI ou FAUX. condition est
une expression pouvant englober tout type de valeur pour autant que le résultat
de la comparaison de condition et d’une valeur incluse dans tableau-test puisse
correspondre à une valeur booléenne (VRAI ou FAUX).
Remarques d’usage
 Chaque valeur tableau-test est comparée à la condition. Si elle satisfait au test
conditionnel, la valeur est prise en compte pour la détermination du nombre
renvoyé par la fonction.Exemples
Le tableau de cet exemple sert à illustrer toutes les variations de la fonction NB, dont NB.SI. Les
informations qu’il contient ne sont pas significatives, mais elles illustrent le type d’arguments que
chaque variation de NB inclut dans le résultat de la fonction.
=NB.SI(A1:E1; ">0") renvoie 5 puisque toutes les cellules de l’intervalle ont une valeur supérieure à
zéro.
=NB.SI(A3:E3; ">=100") renvoie 3 puisque les trois nombres ont tous une valeur supérieure à 100 et
que les deux valeurs texte sont ignorées pour la comparaison.
=NB.SI(A1:E5; "=amet") renvoie 2 puisque la chaîne de test « amet » apparaît deux fois dans
l’intervalle.
=NB.SI(A1:E5; "=*t") renvoie 4 puisque quatre chaînes se terminent par la lettre « t » dans l’intervalle.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« NB » à la page 296
« NBVAL » à la page 301
« NB.VIDE » à la page 302
« NB.SIS » à la page 299
« Usage de conditions et de jokers » à la page 389
« Exemple de résultats d’une étude » à la page 391
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
298 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 299
NB.SIS
La fonction NB.SIS renvoie le nombre de cellules d’un ou plusieurs intervalles qui
remplissent des conditions données (une condition par intervalle).
NB.SIS(valeurs-test; condition; valeurs-test…; condition…)
 valeurs-test : collection comprenant les valeurs à tester. valeurs-test correspond à
une collection pouvant contenir tout type de valeur.
 condition : expression qui entraîne un résultat logique VRAI ou FAUX. condition est
une expression pouvant englober tout type de valeur pour autant que le résultat
de la comparaison de condition et d’une valeur incluse dans valeurs-test puisse
correspondre à une valeur booléenne (VRAI ou FAUX).
 valeurs-test;… : vous pouvez également ajouter une ou plusieurs collections
contenant des valeurs à évaluer. Chaque collection de valeurs-test doit être
immédiatement suivie d’une expression de condition. Cette succession valeurs-test,
condition peut être répétée autant de fois que nécessaire.
 condition;… : expression logique VRAI ou FAUX, si la collection facultative de
valeurs-test est précisée. une condition doit obligatoirement être placée après
chaque argument valeurs-test ; par conséquent, cette fonction présente toujours un
nombre impair d’arguments.
Remarques d’usage
 Chaque valeur de valeurs-test est comparée à la condition correspondante. Si les
valeurs correspondantes de chaque collection satisfont aux tests conditionnels
correspondants, le nombre est augmenté de 1.Exemples
Prenons le tableau suivant :
=NB.SIS(A2:A13;"<40";B2:B13;"=M") renvoie 4, c’est-à-dire le nombre de personnes de sexe masculin
(celui-ci étant indiqué par un « M » dans la colonne B) qui ont moins de 40 ans.
=NB.SIS(A2:A13;"<40";B2:B13;"=M";C2:C13;"=C") renvoie 2, c’est-à-dire le nombre de personnes de sexe
masculin qui sont célibataires (indiqué par un « C » dans la colonne C) et qui ont moins de 40 ans.
=NB.SIS(A2:A13;"<40";B2:B13;"=M";C2:C13;"=M") renvoie 2, c’est-à-dire le nombre de personnes de
sexe masculin qui sont mariées (indiqué par un « M » dans la colonne C) et qui ont moins de 40 ans.
=NB.SIS(A2:A13;"<40";B2:B13;"=F") renvoie 3, c’est-à-dire le nombre de personnes de sexe féminin
(indiqué par un « F » dans la colonne B) qui ont moins de 40 ans.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« NB » à la page 296
« NBVAL » à la page 301
« NB.VIDE » à la page 302
« NB.SI » à la page 297
« Usage de conditions et de jokers » à la page 389
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
300 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 301
NBVAL
La fonction NBVAL renvoie le nombre des arguments non vides de la fonction.
NBVAL(valeur; valeur…)
 valeur : valeur quelconque. valeur peut correspondre à une valeur de n’importe
quel type.
 valeur… : vous pouvez ajouter une ou plusieurs valeurs supplémentaires.
Remarques d’usage
 Pour compter uniquement les cellules ou les arguments comportant des nombres
ou des dates, utilisez la fonction NB.
Exemples
Le tableau de cet exemple sert à illustrer toutes les variations de la fonction NB, dont NBVAL. Les
informations qu’il contient ne sont pas significatives, mais elles illustrent le type d’arguments que
chaque variation de NB inclut dans le résultat de la fonction.
=NBVAL(A1:E1) renvoie 5 puisque toutes les cellules contiennent un argument (ces arguments sont
tous des valeurs numériques).
=NBVAL(A2:E2) renvoie 5 puisque toutes les cellules contiennent un argument (ces arguments
correspondent tous à du texte).
=NBVAL(A3:E3) renvoie 5 puisque toutes les cellules contiennent un argument (ces arguments
correspondant tous à un mélange de textes et des nombres).
=NBVAL(A4:E4) renvoie 5 puisque toutes les cellules contiennent un argument (VRAI ou FAUX).
=NBVAL(A5:E5) renvoie 2 puisque trois cellules sont vides.
=NBVAL(2; 3; A5:E5; SOMME(A1:E1); "A"; "b") renvoie 7 puisque les arguments 2 et 3 correspondent à
des nombres, que deux cellules non vides se trouvent dans l’intervalle A5:E5, que la fonction SOMME
renvoie le nombre 1 et que « A » et « b » correspondent à des expressions texte (soit sept arguments
en tout).
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« NB » à la page 296
« NB.VIDE » à la page 302
« NB.SI » à la page 297
« NB.SIS » à la page 299« Exemple de résultats d’une étude » à la page 391
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
NB.VIDE
La fonction NB.VIDE renvoie le nombre de cellules non vides d’un intervalle.
NB.VIDE(intervalle)
 intervalle : intervalle incluant les cellules. intervalle correspond à la référence à un
seul intervalle de cellules pouvant contenir des valeurs de n’importe quel type.
Exemples
Le tableau de cet exemple sert à illustrer toutes les variations de la fonction NB, dont NB.VIDE. Les
informations qu’il contient ne sont pas significatives, mais elles illustrent le type d’arguments que
chaque variation de NB inclut dans le résultat de la fonction.
=NB.VIDE(A1:E1) renvoie 0 puisqu’aucune cellule vide ne se trouve dans l’intervalle.
=NB.VIDE(A2:E2) renvoie 0 puisqu’aucune cellule vide ne se trouve dans l’intervalle.
=NB.VIDE(A5:E5) renvoie 3 puisque trois cellules vides se trouvent dans l’intervalle.
=NB.VIDE(A6:E6) renvoie 5 puisqu’il n’y a que des cellules vides dans l’intervalle.
=NB.VIDE(A1:E6) renvoie 8 puisque huit cellules vides se trouvent dans l’intervalle.
=NB.VIDE(A1:E1; A5:E5) génère une erreur puisque la fonction NB.VIDE n’accepte qu’un seul intervalle
comme argument.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« NB » à la page 296
« NBVAL » à la page 301
« NB.SI » à la page 297
302 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 303
« NB.SIS » à la page 299
« Exemple de résultats d’une étude » à la page 391
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
ORDONNEE.ORIGINE
La fonction ORDONNEE.ORIGINE renvoie l’ordonnée à l’origine de la droite de
régression correspondant à la collection en faisant appel à l’analyse de régression
linéaire.
ORDONNEE.ORIGINE(valeurs-y; nombres-x)
 valeurs y : collection comprenant les valeurs y (dépendantes). valeurs-y correspond
à une collection qui peut comprendre des nombres, des valeurs de date/heure ou
des durées. Toutes les valeurs doivent être du même type.
 nombres-x : collection comprenant les valeurs x (indépendantes). nombres-x
correspond à une collection incluant des nombres.
Remarques d’usage
 Les deux tableaux doivent présenter les mêmes dimensions.
 Pour trouver la pente de la droite de régression, utilisez la fonction PENTE.Exemple
Dans cet exemple, la fonction ORDONNEE.ORIGINE sert à déterminer l’ordonnée à l’origine de la
droite de régression pour la température (variable dépendante) qu’un propriétaire règle sur le
thermostat de son logement en fonction du prix du fioul (variable indépendante).
=ORDONNEE.ORIGINE(B2:B11; A2:A11) renvoie environ 78, c’est-à-dire une valeur supérieure à la valeur
hypothétique la plus élevée puisque la pente de la droite de régression est descendante (à mesure
que les prix montent, le thermostat est baissé).
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« PENTE » à la page 304
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
PENTE
La fonction PENTE renvoie la pente de la droite de régression correspondant à la
collection en faisant appel à l’analyse de régression linéaire.
PENTE(valeurs-y; valeurs-x)
 valeurs y : collection comprenant les valeurs y (dépendantes). valeurs-y correspond
à une collection qui peut comprendre des nombres, des valeurs de date/heure ou
des durées. Toutes les valeurs doivent être du même type.
 valeurs x : collection comprenant les valeurs x (indépendantes). valeurs-x
correspond à une collection qui peut comprendre des nombres, des valeurs de
date/heure ou des durées. Toutes les valeurs doivent être du même type.
304 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 305
Remarques d’usage
 Les deux collections doivent avoir la même taille. Dans le cas contraire, la fonction
génère une erreur.
 Si, par exemple, vous disposez de données sur les différentes vitesses de conduite
d’un véhicule et sur l’efficacité du carburant pour chaque vitesse, l’efficacité du
carburant correspond à la variable dépendante, et la vitesse correspond à la variable
indépendante.
 Pour trouver l’ordonnée d’origine y de la droite de régression, utilisez la fonction
ORDONNEE.ORIGINE.
Exemple
Dans cet exemple, la fonction PENTE sert à déterminer la pente de la droite de régression pour la
température (variable dépendante) qu’un propriétaire règle sur le thermostat de son logement en
fonction du prix du fioul (variable indépendante).
=PENTE(B2:B11; A2:A11) renvoie environ – 3,2337, ce qui indique que la pente de la droite de
régression descend (à mesure que les prix montent, le thermostat est baissé).
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« ORDONNEE.ORIGINE » à la page 303
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44PERMUTATION
La fonction PERMUTATION renvoie le nombre de permutations pour un nombre donné
d’objets pouvant être sélectionnés parmi un nombre total d’objets.
PERMUTATION(nbre-objets; nbre-éléments)
 nbre-objets : nombre d’objets. nbre-objets correspond à un nombre supérieur ou
égal à 0.
 nbre-éléments : nombre d’objets à sélectionner parmi tous les objets pour chaque
permutation. nbre-éléments correspond à un nombre supérieur ou égal à 0.
Exemples
=PERMUTATION(25; 5) renvoie 6 375 600.
=PERMUTATION(10; 3) renvoie 720.
=PERMUTATION(5; 2) renvoie 20.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« LOI.BINOMIALE » à la page 271
« CRITERE.LOI.BINOMIALE » à la page 256
« LOI.BINOMIALE.NEG » à la page 272
« PROBABILITE » à la page 309
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
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306 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 307
PETITE.VALEUR
La fonction PETITE.VALEUR renvoie la énième plus petite valeur d’un intervalle. La plus
faible valeur est classée en numéro 1.
PETITE.VALEUR(nbre-date-dur-collec; classement)
 nbre-date-dur-collec : collection de valeurs. nbre-date-dur-collec correspond à une
collection qui comprend des nombres, des valeurs de date/heure ou des durées.
Toutes les valeurs doivent être du même type.
 classement : nombre représentant le classement par taille de la valeur à récupérer.
classement correspond à un nombre compris entre 1 et le nombre des valeurs
composant la collection.
Remarques d’usage
 Un classement de 1 renvoie le plus petit nombre de la collection, un classement
de 2 renvoie le deuxième plus petit nombre de la collection, et ainsi de suite. Les
valeurs de même taille à l’intérieur de la collection sont classées au même rang,
mais elles ont chacune une incidence sur le résultat.
Exemples
Supposons que le tableau suivant contienne les notes cumulées aux examens du trimestre actuel de
vos 20 élèves (sur un total de 100 points possibles). (Les données ont été organisées de cette manière
pour les besoins de l’exemple, mais il y a tout lieu de penser qu’elles seraient, au départ, réparties
entre 20 rangées distinctes.)
=PETITE.VALEUR(A1:E4; 1) renvoie 30, c’est-à-dire la note cumulée la plus basse (cellule A1).
=PETITE.VALEUR(A1:E4; 2) renvoie 51, c’est-à-dire la deuxième note cumulée la plus basse (cellule E1).
=PETITE.VALEUR(A1:E4; 6) renvoie 75, c’est-à-dire la sixième note cumulée la plus basse (l’ordre est 30,
51, 68, 70, 75 puis à nouveau 75, de sorte que 75 est à la fois la cinquième et la sixième note cumulée
la plus basse).
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« GRANDE.VALEUR » à la page 266
« RANG » à la page 312
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
PREVISION
La fonction PREVISION renvoie la valeur y prévisionnelle pour une valeur x donnée en
s’appuyant sur des valeurs empiriques, par le biais de l’analyse de régression linéaire.
PREVISION(nbre-date-dur-x; valeurs-y; valeur-x)
 nbre-date-dur-x : valeur x pour laquelle la fonction doit renvoyer une valeur y
prévue. nbre-date-dur-x correspond à un nombre, une valeur de date/heure ou une
durée.
 valeurs y : collection comprenant les valeurs y (dépendantes). valeurs-y correspond
à une collection qui peut comprendre des nombres, des valeurs de date/heure ou
des durées. Toutes les valeurs doivent être du même type.
 valeurs x : collection comprenant les valeurs x (indépendantes). valeurs-x
correspond à une collection qui peut comprendre des nombres, des valeurs de
date/heure ou des durées. Toutes les valeurs doivent être du même type.
Remarques d’usage
 Tous les arguments doivent être du même type.
 Les deux tableaux doivent présenter les mêmes dimensions.
 Si, par exemple, vous disposez de données sur les différentes vitesses de conduite
d’un véhicule et sur l’efficacité du carburant pour chaque vitesse, l’efficacité du
carburant correspond à la variable (y) dépendante, et la vitesse correspond à la
variable (x) indépendante.
 Les fonctions PENTE et ORDONNÉE.ORIGINE permettent de trouver l’équation
utilisée pour le calcul des valeurs de prévision.
Exemple
Prenons le tableau suivant :
=PREVISION(9; A3:F3; A2:F2) renvoie 19.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
308 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 309
« COEFFICIENT.CORRELATION » à la page 254
« COVARIANCE » à la page 255
« ORDONNEE.ORIGINE » à la page 303
« PENTE » à la page 304
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
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PROBABILITE
La fonction PROBABILITE renvoie la probabilité d’un intervalle de valeurs si la
probabilité de chaque valeur est connue.
PROBABILITE(nbre-collec; probabilité-valeurs; inférieur; supérieur)
 nbre-collec : collection de nombres. nbre-collec correspond à une collection
incluant des nombres.
 probabilité-valeurs : collection comprenant les valeurs de probabilité. valeursprobabilité correspond à une collection incluant des nombres. La somme des
probabilités doit donner 1 au maximum. Toutes les valeurs qui sont des chaînes de
caractères sont ignorées.
 inférieur : limite inférieure. inférieur correspond à un nombre.
 supérieur : limite supérieure facultative. supérieur correspond à un nombre
supérieur ou égal à la valeur d’inférieur.
Remarques d’usage
 La fonction PROBABILITE établit la somme des probabilités associées à toutes
les valeurs de la collection qui sont supérieures ou égales à la valeur indiquée
pour la limite inférieure et inférieures ou égales à la valeur spécifiée pour la limite
supérieure. Si l’argument supérieur est omis, la fonction PROBABILITE renvoie la
probabilité du seul nombre égal à la limite inférieure indiquée.
 Les deux tableaux doivent présenter les mêmes dimensions. Si un tableau contient
du texte, ce dernier est ignoré.Exemples
Supposons que vous deviez penser à un nombre compris entre 1 et 10 et qu’une autre personne
doive le deviner. La plupart des gens seraient prêts à affirmer que la probabilité que vous pensiez à
un nombre donné est de 0,1 (10 %), soit la valeur répertoriée dans la colonne C, puisque dix choix
sont possibles. Toutefois, des études ont montré que les gens ne choisissent pas les nombres au
hasard.
Supposons qu’une étude ait montré que certaines personnes comme vous ont davantage de
possibilités de choisir certains nombres plutôt que d’autres. Ces probabilités révisées figurent dans la
colonne E.
=PROBABILITE(A1:A10; C1:C10; 4; 6) renvoie 0,30, c’est-à-dire la probabilité que la valeur soit 4, 5 ou 6,
si on suppose que les choix sont complètement aléatoires.
=PROBABILITE(A1:A10; E1:E10; 7) renvoie 0,28, c’est-à-dire la probabilité que la valeur soit 4, 5 ou 6, si
on se fie à l’étude qui montre que les nombres ne sont pas choisis au hasard.
=PROBABILITE(A1:A10; E1:E10; 4; 6) renvoie 0,20, c’est-à-dire la probabilité que la valeur soit 7, si on se
fie à l’étude qui montre que les nombres ne sont pas choisis au hasard.
=PROBABILITE(A1:A10; C1:C10; 6; 10) renvoie 0,50, c’est-à-dire la probabilité que la valeur soit
supérieure à 5 (de 6 à 10), si on suppose que les choix sont complètement aléatoires.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« LOI.BINOMIALE » à la page 271
« CRITERE.LOI.BINOMIALE » à la page 256
« LOI.BINOMIALE.NEG » à la page 272
« PERMUTATION » à la page 306
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
310 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 311
QUARTILE
La fonction QUARTILE renvoie la valeur correspondant au quartile indiqué d’une
collection donnée.
QUARTILE(nbre-collec; quartile-nbre)
 nbre-collec : collection de nombres. nbre-collec correspond à une collection
incluant des nombres.
 quartile-nbre : indique le quartile souhaité.
plus petit (0): renvoie la valeur la plus petite.
premier (1): renvoie le premier quartile (25
e
centile).
seconde (2): renvoie le deuxième quartile (50
e
centile).
troisième (3): renvoie le troisième quartile (75
e
centile).
plus grande valeur (4): renvoie la valeur la plus grande.
Remarques d’usage
 Les fonctions MIN, MEDIANE et MAX renvoient la même valeur que la fonction
QUARTILE lorsque quartile-nbre est égal à 0, 2 et 4, respectivement.
Exemples
=QUARTILE({5; 6; 9; 3; 7; 11; 8; 2; 14}; 0) renvoie 2, c’est-à-dire la plus petite valeur.
=QUARTILE({5; 6; 9; 3; 7; 11; 8; 2; 14}; 1) renvoie 5, c’est-à-dire le 25
e
centile ou premier quartile.
=QUARTILE({5; 6; 9; 3; 7; 11; 8; 2; 14}; 2) renvoie 7, c’est-à-dire le 50
e
centile ou deuxième quartile.
=QUARTILE({5; 6; 9; 3; 7; 11; 8; 2; 14}; 3) renvoie 9, c’est-à-dire le 75
e
centile ou troisième quartile.
=QUARTILE({5; 6; 9; 3; 7; 11; 8; 2; 14}; 0) renvoie 14, c’est-à-dire la plus grande valeur value.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« FRÉQUENCE » à la page 264
« MAX » à la page 284
« MEDIANE » à la page 286
« MIN » à la page 287
« CENTILE » à la page 252
« RANG.POURCENTAGE » à la page 314
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
RANG
La fonction RANG renvoie le rang d’un nombre dans un intervalle de nombres.
RANG(nbre-date-dur; nbre-date-dur-collec; plus-grande-valeur-supérieure)
 nbre-date-dur : valeur quelconque. nbre-date-dur correspond à un nombre, une
valeur de date/heure ou une durée.
 nbre-date-dur-collec : collection de valeurs. nbre-date-dur-collec correspond à une
collection qui comprend des nombres, des valeurs de date/heure ou des durées.
Toutes les valeurs doivent être du même type.
 plus-grande-valeur-supérieure : valeur facultative indiquant si le rang 1 est attribué
à la valeur la plus petite de la collection ou à la plus grande.
plus grande valeur inférieure (0, FAUX ou omis): attribue le rang 1 à la plus grande
valeur de la collection.
plus grande valeur supérieure (1 ou VRAI): attribue le rang 1 à la plus petite valeur
de la collection.
Remarques d’usage
 Les valeurs identiques à l’intérieur de la collection se voient attribuer le même rang,
mais elles ont chacune une incidence sur le résultat.
 Si la valeur indiquée ne correspond à aucune des valeurs de la collection, la fonction
génère une erreur.
312 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 313
Exemples
Supposons que le tableau suivant contienne les notes cumulées aux examens du trimestre actuel de
vos 20 élèves (sur un total de 100 points possibles). (Les données ont été organisées de cette manière
pour les besoins de l’exemple, mais il y a tout lieu de penser qu’elles seraient, au départ, réparties
entre 20 rangées distinctes.)
=RANG(30; A1:E4; 1) renvoie 1 puisque 30 correspond à la note cumulée la plus basse et que nous
avons choisi d’attribuer le rang numéro 1 à la plus petite valeur.
=RANG(92; A1:E4; 0) renvoie 2 puisque 92 est la deuxième note cumulée la plus haute et que nous
avons choisi d’attribuer le rang numéro 1 à la plus grande valeur.
=RANG(91; A1:E4; 1) renvoie 4 puisque deux élèves ont obtenu ex-æquo la deuxième meilleure note.
L’ordre est 100, 92, 92 et 91 et les rangs, 1, 2, 2 et 4.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« GRANDE.VALEUR » à la page 266
« PETITE.VALEUR » à la page 307
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44RANG.POURCENTAGE
La fonction RANG.POURCENTAGE renvoie le rang d’une valeur dans une collection
sous la forme d’un pourcentage de la collection.
RANG.POURCENTAGE(nbre-date-dur-collec; nbre-date-dur; significatif)
 nbre-date-dur-collec : collection de valeurs. nbre-date-dur-collec correspond à une
collection qui comprend des nombres, des valeurs de date/heure ou des durées.
Toutes les valeurs doivent être du même type.
 nbre-date-dur : valeur quelconque. nbre-date-dur correspond à un nombre, une
valeur de date/heure ou une durée.
 significatif : valeur facultative indiquant le nombre de chiffres après la virgule.
significatif correspond à un nombre supérieur ou égal à 1. En cas d’omission, la
valeur 3 est utilisée par défaut (x,xxx %).
Remarques d’usage
 La fonction RANG.POURCENTAGE peut être utilisée pour évaluer le rang d’une
valeur au sein de la collection par rapport aux autres valeurs. Elle est calculée en
déterminant la position d’un nombre indiqué dans la collection. Par exemple, si
une collection donnée contient dix valeurs inférieures à un nombre indiqué et dix
valeurs qui lui sont supérieures, la fonction RANG.POURCENTAGE de ce nombre est
50%.
Exemple
=RANG.POURCENTAGE({5; 6; 9; 3; 7; 11; 8; 2; 14}; 10) renvoie 0,813, puisque sept valeurs s’avèrent plus
petites que 10 et seulement deux sont plus grandes.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« FRÉQUENCE » à la page 264
« CENTILE » à la page 252
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
314 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 315
SOMME.CARRES.ECARTS
La fonction SOMME.CARRES.ECARTS renvoie la somme des carrés des écarts d’une
collection de nombres par rapport à leur moyenne (arithmétique).
SOMME.CARRES.ECARTS(valeur-nbre; valeur-nbre; …)
 valeur-nbre : valeur numérique. valeur-nbre correspond à un nombre.
 valeur-nbre; … : vous pouvez ajouter un ou plusieurs nombres.
Remarques d’usage
 SOMME.CARRES.ECARTS divise la somme des nombres par le nombre de nombres
pour obtenir la moyenne (arithmétique). Les différences (valeurs absolues) entre
la moyenne et chaque nombre sont élevées au carré puis ajoutées, et la fonction
renvoie la somme totale.
Exemple
=SOMME.CARRES.ECARTS(1; 7; 19; 8; 3; 9) renvoie 196,833333333333.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« ECARTYPE »
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
STDEVA
La fonction STDEVA renvoie l’écart-type, c’est-à-dire une mesure de la dispersion, d’une
collection de valeurs pouvant comprendre du texte et des valeurs booléennes, en
fonction de la variance empirique (non biaisée).
STDEVA(valeur; valeur…)
 valeur : valeur quelconque. valeur peut correspondre à une valeur de n’importe
quel type. Toutes les valeurs numériques doivent être du même type. Vous ne
pouvez pas mélanger des nombres, des dates et des valeurs de durée.
 valeur… : valeurs supplémentaires (au moins deux valeurs). Toutes les valeurs
numériques doivent être du même type. Vous ne pouvez pas mélanger des
nombres, des dates et des valeurs de durée.Remarques d’usage
 L’utilisation de la fonction STDEVA est appropriée lorsque les valeurs indiquées ne
représentent qu’un échantillon d’une population plus importante. Si les valeurs que
vous analysez correspondent à l’intégralité de la collection ou de la population,
servez-vous de la fonction STDEVPA.
 La fonction STDEVA attribue une valeur de 0 à toute valeur texte, une valeur de 0 à
la valeur booléenne FAUX et une valeur de 1 à la valeur booléenne VRAI, et elle en
tient compte dans le calcul. Les cellules vides sont ignorées. Si vous ne souhaitez pas
inclure de valeurs texte ou de valeurs booléennes dans le calcul, servez-vous de la
fonction ECARTYPE.
 L’écart-type est la racine carrée de la variance renvoyée par la fonction VARA.
Exemple
Supposons que vous ayez installé un capteur de température à Cupertino en Californie. Ce capteur
enregistre la température maximale et la température minimale de chaque journée. Par ailleurs, vous
avez noté tous les jours au cours desquels vous avez allumé la climatisation de votre appartement.
Les données correspondant aux premiers jours figurent dans le tableau ci-dessous et sont utilisées
comme échantillon de la population formée par les températures extrêmes (remarquez que ceci n’est
qu’un exemple et que cette façon de procéder ne serait pas valide sur le plan statistique).
=STDEVA(B2:B13) renvoie 24,8271, c’est-à-dire la dispersion, telle qu’elle est mesurée par la fonction
STDEVA, de l’échantillon de températures quotidiennes les plus hautes.
Elle dépasse de 15 degrés l’intervalle réel des températures les plus hautes parce que la température
« non disponible » se voit attribuer une valeur de zéro.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« ECARTYPE » à la page 261
« ECARTYPEP » à la page 263
« STDEVPA » à la page 317
« VAR » à la page 321
316 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 317
« VARA » à la page 323
« VAR.P » à la page 325
« VARPA » à la page 326
« Exemple de résultats d’une étude » à la page 391
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
STDEVPA
La fonction STDEVPA renvoie l’écart-type, c’est-à-dire une mesure de la dispersion,
d’une collection de valeurs pouvant comprendre du texte et des valeurs booléennes,
en fonction de la variance théorique (vraie).
STDEVPA(valeur; valeur…)
 valeur : valeur quelconque. valeur peut correspondre à une valeur de n’importe
quel type.
 valeur… : vous pouvez ajouter une ou plusieurs valeurs supplémentaires. Toutes les
valeurs numériques doivent être du même type. Vous ne pouvez pas mélanger des
nombres, des dates et des valeurs de durée.
Remarques d’usage
 L’utilisation de la fonction STDEVPA est appropriée lorsque les valeurs indiquées
représentent l’intégralité de la collection ou de la population. Si les valeurs que
vous analysez ne représentent qu’un échantillon d’une population plus importante,
servez-vous de la fonction STDEVA.
 La fonction STDEVPA attribue une valeur de 0 à toute valeur texte, une valeur de 0
à la valeur booléenne FAUX et une valeur de 1 à la valeur booléenne VRAI, et elle en
tient compte dans le calcul. Les cellules vides sont ignorées. Si vous ne souhaitez pas
inclure de valeurs texte ou de valeurs booléennes dans le calcul, servez-vous de la
fonction ECARTYPEP.
 L’écart-type est la racine carrée de la variance renvoyée par la fonction VARPA.Exemple
Supposons que vous ayez installé un capteur de température à Cupertino en Californie. Ce capteur
enregistre la température maximale et la température minimale de chaque journée. Par ailleurs, vous
avez noté tous les jours au cours desquels vous avez allumé la climatisation de votre appartement. Le
capteur a cessé de fonctionner après quelques jours, de sorte que le tableau ci-dessous contient la
population des températures les plus hautes et les plus basses.
=STDEVPA(B2:B13) renvoie 23,7702, c’est-à-dire la dispersion, telle qu’elle est mesurée par la fonction
STDEVPA, de l’échantillon de températures quotidiennes les plus hautes.
Elle dépasse de 15 degrés l’intervalle réel des températures les plus hautes parce que la température
« non disponible » se voit attribuer une valeur de zéro.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« ECARTYPE » à la page 261
« STDEVA » à la page 315
« ECARTYPEP » à la page 263
« VAR » à la page 321
« VARA » à la page 323
« VAR.P » à la page 325
« VARPA » à la page 326
« Exemple de résultats d’une étude » à la page 391
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
318 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 319
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
TEST.KHIDEUX
La fonction TEST.KHIDEUX renvoie la valeur à partir de la distribution khi-deux pour la
valeur donnée.
TEST.KHIDEUX(valeurs-réelles; valeurs-attendues)
 valeurs-réelles : collection comprenant les valeurs déterminées. valeurs-réelles
correspond à une collection incluant des nombres.
 valeurs-attendues : collection comprenant les valeurs attendues. valeurs-attendues
correspond à une collection incluant des nombres.
Remarques d’usage
 Les degrés de liberté correspondant à la valeur renvoyée sont le nombre de rangs
de valeurs-réelles moins 1.
 Chaque valeur attendue est calculée en multipliant la somme du rang par la somme
de la colonne, puis en divisant le résultat obtenu par le total général.
Exemple
Prenons le tableau suivant :
=TEST.KHIDEUX(A2:B6;A9:B13) renvoie 5,91020074984668E–236.
Chaque valeur attendue est calculée en multipliant la somme du rang par la somme de la colonne,
puis en divisant le résultat obtenu par le total général. La formule pour la première valeur attendue
(cellule A9) est =SOMME(A$2:B$2)*SOMME($A2:$A6)/SOMME($A$2:$B$6). Il est possible d’étendre
cette formule à la cellule B9, puis A9:B9 à A13:B13 pour compléter les valeurs attendues. La formule
ainsi obtenue pour la valeur attendue finale (cellule B13) est =SOMME(B$2:C$2)*SOMME($A6:$A11)/
SOMME($A$2:$B$6).Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« LOI.KHIDEUX » à la page 276
« KHIDEUX.INVERSE » à la page 269
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
TEST.STUDENT
La fonction TEST.STUDENT renvoie la probabilité associée à un test T de Student selon
la fonction de distribution T.
TEST.STUDENT(valeurs-échantillon-1; valeurs-échantillon-2; queues; type-test)
 valeurs-échantillon-1 : collection comprenant la première collection de valeurs
empiriques. valeurs-échantillon-1 correspond à une collection qui comprend des
nombres.
 valeurs-échantillon-2 : collection comprenant la seconde collection de valeurs
empiriques. valeurs-échantillon-2 correspond à une collection qui comprend des
valeurs numériques.
 queues : nombre de queues à renvoyer.
une queue (1): renvoie la valeur pour une distribution unilatérale.
deux queues (2): renvoie la valeur pour une distribution bilatérale.
 type-test : type de test T de Student à effectuer.
apparié (1): effectue un test apparié.
deux échantillons de variance égale (2): effectue un test sur deux échantillons de
variance égale (homoscédastique).
deux échantillons de variance différente (3): effectue un test sur deux échantillons
de variance différente (hétéroscédastique).
320 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 321
Exemples
=TEST.STUDENT({57; 75; 66; 98; 92; 80}; {87; 65; 45; 95; 88; 79}; 1; 1) renvoie 0,418946725989974 pour le
test unilatéral apparié.
=TEST.STUDENT({57; 75; 66; 98; 92; 80}; {87; 65; 45; 95; 88; 79}; 2; 1) renvoie 0,837893451979947 pour le
test bilatéral apparié.
=TEST.STUDENT({57; 75; 66; 98; 92; 80}; {87; 65; 45; 95; 88; 79}; 1; 2) renvoie 0,440983897602811 pour le
test unilatéral sur deux échantillons de variance égale.
=TEST.STUDENT({57; 75; 66; 98; 92; 80}; {87; 65; 45; 95; 88; 79}; 2; 2) renvoie 0,881967795205622 pour le
test bilatéral sur deux échantillons de variance égale.
=TEST.STUDENT({57; 75; 66; 98; 92; 80}; {87; 65; 45; 95; 88; 79}; 1; 3) renvoie 0,441031763311189 pour le
test unilatéral sur deux échantillons de variance différente.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« LOI.STUDENT » à la page 283
« LOI.STUDENT.INVERSE » à la page 283
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
VAR
La fonction VAR renvoie la variance empirique (non biaisée), c’est-à-dire une mesure de
la dispersion, d’une collection de valeurs.
VAR(nbre-date; nbre-date-dur…)
 nbre-date : valeur quelconque. nbre-date correspond à un nombre ou à une valeur
de date/heure.
 nbre-date-dur… : vous pouvez ajouter une ou plusieurs valeurs supplémentaires.
Si plusieurs valeurs nbre-date-dur sont précisées, elles doivent toutes être du même
type.
Remarques d’usage
 La fonction VAR trouve la variance empirique (non biaisée) en divisant la somme des
carrés des écarts des points de données par le nombre des valeurs moins 1. L’utilisation de la fonction VAR est appropriée lorsque les valeurs indiquées ne
représentent qu’un échantillon d’une population plus importante. Si les valeurs que
vous analysez correspondent à l’intégralité de la collection ou de la population,
servez-vous de la fonction VAR.P.
 Si vous souhaitez inclure des valeurs texte ou des valeurs booléennes dans le calcul,
utilisez la fonction VARA.
 La racine carrée de la variance renvoyée par la fonction VAR est renvoyée par la
fonction ECARTYPE.
Exemples
Supposons que vous ayez fait passer cinq examens à un groupe d’élèves. Vous avez choisi de façon
arbitraire cinq élèves pour représenter l’ensemble de ce groupe (remarquez que ceci n’est qu’un
exemple et que cette manière de procéder ne serait probablement pas valide sur le plan statistique).
Vous pouvez vous servir de la fonction VAR avec les données de l’échantillon pour déterminer
l’examen pour lequel la dispersion des notes a été la plus importante.
Les résultats renvoyés par les fonctions VAR sont environ 520,00, 602,00, 90,30, 65,20 et 11,20. Ainsi,
la dispersion a été la plus importante pour l’examen numéro 2, qui est suivi de près par l’examen
numéro 1. Pour les trois autres examens, la dispersion a été faible.
Examen 1 Examen 2 Examen 3 Examen 4 Examen 5
Élève 1 75 82 90 78 84
Élève 2 100 90 95 88 90
Élève 3 40 80 78 90 85
Élève 4 80 35 95 98 92
Élève 5 75 82 90 78 84
=VAR(B2:B6) =VAR(C2:C6) =VAR(D2:D6) =VAR(E2:E6) =VAR(F2:F6)
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« ECARTYPE » à la page 261
« STDEVA » à la page 315
« ECARTYPEP » à la page 263
« STDEVPA » à la page 317
« VARA » à la page 323
« VAR.P » à la page 325
« VARPA » à la page 326
« Exemple de résultats d’une étude » à la page 391
322 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 323
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
VARA
La fonction VARA renvoie la variance empirique (non biaisée), c’est-à-dire une mesure
de la dispersion, d’une collection de valeurs en incluant les valeurs texte et les valeurs
booléennes.
VARA(valeur; valeur…)
 valeur : valeur quelconque. valeur peut correspondre à une valeur de n’importe
quel type.
 valeur… : vous pouvez ajouter une ou plusieurs valeurs supplémentaires. Toutes les
valeurs numériques doivent être du même type. Vous ne pouvez pas mélanger des
nombres, des dates et des valeurs de durée.
Remarques d’usage
 La fonction VARA trouve la variance empirique (non biaisée) en divisant la somme
des carrés des écarts des points de données par le nombre des valeurs moins 1.
 L’utilisation de la fonction VARA est appropriée lorsque les valeurs indiquées ne
représentent qu’un échantillon d’une population plus importante. Si les valeurs que
vous analysez correspondent à l’intégralité de la collection ou de la population,
servez-vous de la fonction VARPA.
 La fonction VARA attribue une valeur de 0 à toute valeur texte, une valeur de 0 à
la valeur booléenne FAUX et une valeur de 1 à la valeur booléenne VRAI, et elle en
tient compte dans le calcul. Les cellules vides sont ignorées. Si vous ne souhaitez pas
inclure de valeurs texte ou de valeurs booléennes dans le calcul, servez-vous de la
fonction VAR.
 La racine carrée de la variance renvoyée par la fonction VARA est renvoyée par la
fonction STDEVA.Exemple
Supposons que vous ayez installé un capteur de température à Cupertino en Californie. Ce capteur
enregistre la température maximale et la température minimale de chaque journée. Par ailleurs, vous
avez noté tous les jours au cours desquels vous avez allumé la climatisation de votre appartement.
Les données correspondant aux premiers jours figurent dans le tableau ci-dessous et sont utilisées
comme échantillon de la population formée par les températures extrêmes (remarquez que ceci n’est
qu’un exemple et que cette façon de procéder ne serait pas valide sur le plan statistique).
=VARA(B2:B13) renvoie 616,3864, c’est-à-dire la dispersion, telle qu’elle est mesurée par la fonction
VARA, de l’échantillon de températures quotidiennes les plus hautes.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« ECARTYPE » à la page 261
« STDEVA » à la page 315
« ECARTYPEP » à la page 263
« STDEVPA » à la page 317
« VAR » à la page 321
« VAR.P » à la page 325
« VARPA » à la page 326
« Exemple de résultats d’une étude » à la page 391
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
324 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 325
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
VAR.P
La fonction VAR.P renvoie la variance théorique (vraie), c’est-à-dire une mesure de la
dispersion, d’une collection de valeurs.
VAR.P(nbre-date; nbre-date-dur…)
 nbre-date : valeur quelconque. nbre-date correspond à un nombre ou à une valeur
de date/heure.
 nbre-date-dur… : vous pouvez ajouter une ou plusieurs valeurs supplémentaires. Si
plusieurs valeurs nbre-date sont précisées, elles doivent toutes être du même type.
Remarques d’usage
 La fonction VAR.P trouve la variance théorique, aussi appelée variance vraie, (par
opposition à la variance empirique, aussi appelée variance non biaisée) en divisant
la somme des carrés des écarts des points de données par le nombre des valeurs.
 L’utilisation de la fonction VAR.P est appropriée lorsque les valeurs indiquées
représentent l’intégralité de la collection ou de la population. Si les valeurs que
vous analysez ne représentent qu’un échantillon d’une population plus importante,
servez-vous de la fonction VAR.
 Si vous souhaitez inclure des valeurs texte ou des valeurs booléennes dans le calcul,
utilisez la fonction VARPA.
 La racine carrée de la variance renvoyée par la fonction VAR.P est renvoyée par la
fonction ECARTYPEP.
Exemple
Supposons que vous ayez fait passer cinq examens à un groupe d’élèves. Votre classe est très réduite
et représente la population totale de vos élèves. Vous pouvez vous servir de la fonction VAR.P avec les
données de cette population pour déterminer l’examen pour lequel la dispersion des notes a été la
plus importante.
Les résultats renvoyés par les fonctions VAR.P sont environ 416,00, 481;60, 72;24, 52,16 et 8;96. Ainsi,
la dispersion a été la plus importante pour l’examen numéro 2, qui est suivi de près par l’examen
numéro 1. Pour les trois autres examens, la dispersion a été faible.
Examen 1 Examen 2 Examen 3 Examen 4 Examen 5
Élève 1 75 82 90 78 84
Élève 2 100 90 95 88 90
Élève 3 40 80 78 90 85
Élève 4 80 35 95 98 92
Élève 5 75 82 90 78 84
=VAR.P(B2:B6) =VAR.P(C2:C6) =VAR.P(D2:D6) =VAR.P(E2:E6) =VAR.P(F2:F6)Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« ECARTYPE » à la page 261
« STDEVA » à la page 315
« ECARTYPEP » à la page 263
« STDEVPA » à la page 317
« VAR » à la page 321
« VARA » à la page 323
« VARPA » à la page 326
« Exemple de résultats d’une étude » à la page 391
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
VARPA
La fonction VARPA renvoie la variance empirique (non biaisée), c’est-à-dire une mesure
de la dispersion, d’une collection de valeurs en incluant les valeurs texte et les valeurs
booléennes.
VARPA(valeur; valeur…)
 valeur : valeur quelconque. valeur peut correspondre à une valeur de n’importe
quel type.
 valeur… : vous pouvez ajouter une ou plusieurs valeurs supplémentaires. Toutes les
valeurs numériques doivent être du même type. Vous ne pouvez pas mélanger des
nombres, des dates et des valeurs de durée.
Remarques d’usage
 La fonction VARPA trouve la variance théorique, aussi appelée variance vraie, (par
opposition à la variance empirique, aussi appelée variance non biaisée) en divisant
la somme des carrés des écarts des points de données.
326 Chapitre 10 Fonctions statistiquesChapitre 10 Fonctions statistiques 327
 L’utilisation de la fonction VARPA est appropriée lorsque les valeurs indiquées
représentent l’intégralité de la collection ou de la population. Si les valeurs que
vous analysez ne représentent qu’un échantillon d’une population plus importante,
servez-vous de la fonction VARA.
 La fonction VARPA attribue une valeur de 0 à toute valeur texte, une valeur de 0 à
la valeur booléenne FAUX et une valeur de 1 à la valeur booléenne VRAI, et elle en
tient compte dans le calcul. Les cellules vides sont ignorées. Si vous ne souhaitez pas
inclure de valeurs texte ou de valeurs booléennes dans le calcul, servez-vous de la
fonction VAR.
 La racine carrée de la variance renvoyée par la fonction VARPA est renvoyée par la
fonction STDEVPA.
Exemple
Supposons que vous ayez installé un capteur de température à Cupertino en Californie. Ce capteur
enregistre la température maximale et la température minimale de chaque journée. Par ailleurs, vous
avez noté tous les jours au cours desquels vous avez allumé la climatisation de votre appartement. Le
capteur a cessé de fonctionner après quelques jours, de sorte que le tableau ci-dessous contient la
population des températures les plus hautes et les plus basses.
=VARPA(B2:B13) renvoie 565,0208, c’est-à-dire la dispersion, telle qu’elle est mesurée par la fonction
VARPA, de l’échantillon de températures quotidiennes les plus hautes.
Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« ECARTYPE » à la page 261
« STDEVA » à la page 315
« ECARTYPEP » à la page 263
« STDEVPA » à la page 317
« VAR » à la page 321328 Chapitre 10 Fonctions statistiques
« VARA » à la page 323
« VAR.P » à la page 325
« Exemple de résultats d’une étude » à la page 391
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
ZTEST
La fonction ZTEST renvoie la probabilité unilatérale du test Z.
ZTEST(nbre-date-dur-collec; nbre-date-dur; écart-type)
 nbre-date-dur-collec : collection de valeurs. nbre-date-dur-collec correspond à une
collection qui comprend des nombres, des valeurs de date/heure ou des durées.
Toutes les valeurs doivent être du même type.
 nbre-date-dur : valeur quelconque. nbre-date-dur correspond à un nombre, une
valeur de date/heure ou une durée.nbre-date-dur correspond à la valeur à tester.
 écart-type : valeur facultative relative à l’écart-type de la population. écart-type
correspond à un nombre supérieur à 0.
Remarques d’usage
 Le test Z est un test statistique qui permet de déterminer si la différence entre une
moyenne empirique et la moyenne théorique est suffisamment importante pour
être significative sur le plan statistique. Le test Z est principalement utilisé avec les
tests normalisés.
 Si l’argument écart-type est omis, l’écart-type supposé de l’échantillon est utilisé.
Exemple
=ZTEST({57; 75; 66; 98; 92; 80}; 70; 9) renvoie 0,0147281928162857.Rubriques associées :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« CENTREE.REDUITE » à la page 253
« Liste des fonctions statistiques » à la page 244
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
Chapitre 10 Fonctions statistiques 329330
Les fonctions de texte permettent d’utiliser des chaînes de
caractères.
Liste des fonctions de texte
Ces fonctions de manipulation de texte ont été intégrées à iWork pour que vous
puissiez les utiliser dans des tableaux.
Fonction Description
« CAR » (page 332) La fonction CAR renvoie le caractère qui
correspond à un code de caractère Unicode
décimal.
« CHERCHE » (page 333) La fonction CHERCHE renvoie la position de
départ d’une chaîne à l’intérieur d’une autre
sans tenir compte de la casse et en autorisant les
jokers.
« CNUM » (page 334) La fonction CNUM renvoie une valeur numérique
même si l’argument se présente sous la forme de
texte.
« CODE » (page 335) La fonction CODE renvoie le code numérique
Unicode décimal du premier caractère d’une
chaîne indiquée.
« CONCATENER » (page 336) La fonction CONCATENER réunit (l’on dit qu’elle
« concatène ») des chaînes.
« CTXT » (page 337) La fonction CTXT arrondit un nombre
conformément au nombre indiqué de chiffres
après la virgule, puis renvoie le résultat sous
forme de chaîne.
11
Fonctions de texteChapitre 11 Fonctions de texte 331
Fonction Description
« DEVISE » (page 338) La fonction DEVISE renvoie une chaîne qui a
la forme d’une somme en euros à partir d’un
nombre donné.
« DROITE » (page 339) La fonction DROITE renvoie une chaîne qui
comprend un nombre indiqué de caractères à
partir de l’extrémité droite d’une chaîne donnée.
« EPURAGE » (page 340) La fonction EPURAGE supprime du texte la
plupart des caractères non imprimables les plus
courants (codes caractères Unicode allant de 0
à 31).
« EXACT » (page 341) La fonction EXACT renvoie VRAI si les chaînes
d’arguments sont identiques du point de vue de
leur casse et de leur contenu.
« GAUCHE » (page 341) La fonction GAUCHE renvoie une chaîne qui
comprend un nombre indiqué de caractères
à partir de l’extrémité gauche d’une chaîne
donnée.
« MAJUSCULE » (page 342) La fonction MAJUSCULE renvoie une chaîne qui
est entièrement en majuscules, quelle que soit la
casse des caractères de la chaîne indiquée.
« MINUSCULE » (page 343) La fonction MINUSCULE renvoie une chaîne qui
est entièrement en minuscules, quelle que soit la
casse des caractères de la chaîne indiquée.
« NBCAR » (page 343) La fonction NBCAR renvoie le nombre de
caractères d’une chaîne.
« NOMPROPRE » (page 344) La fonction NOMPROPRE renvoie une chaîne
dans laquelle la première lettre de chaque mot
est en majuscules et tous les autres caractères
en minuscules, quelle que soit la casse des
caractères de la chaîne indiquée.
« REMPLACER » (page 345) La fonction REMPLACER renvoie une chaîne
dans laquelle un nombre indiqué de caractères
dans une chaîne donnée a été remplacé par une
nouvelle chaîne.
« REPT » (page 346) La fonction REPT renvoie une chaîne qui contient
une chaîne donnée répétée un nombre indiqué
de fois.
« STXT » (page 346) La fonction STXT renvoie une chaîne qui
comprend un nombre donné de caractères d’une
chaîne à partir d’une position indiquée.Fonction Description
« SUBSTITUE » (page 347) La fonction SUBSTITUE renvoie une chaîne dans
laquelle les caractères indiqués d’une chaîne
donnée ont été remplacés par une autre chaîne.
« SUPPRESPACE » (page 348) La fonction SUPPRESPACE renvoie une chaîne
donnée dont les espaces supplémentaires ont été
supprimés.
« T » (page 349) La fonction T renvoie le texte qui se trouve
dans une cellule. Cette fonction a été incluse
afin d’assurer la compatibilité avec les tableaux
importés d’autres tableurs.
« TROUVE » (page 349) La fonction RECHERCHER renvoie la position de
départ d’une chaîne à l’intérieur d’une autre.
CAR
La fonction CAR renvoie le caractère qui correspond à un code de caractère Unicode
décimal.
CAR(code-du-nombre)
 code-du-nombre : nombre pour lequel vous souhaitez renvoyer le caractère
Unicode correspondant. code-du-nombre correspond à un nombre supérieur ou
égal à 32, inférieur ou égal à 65 535 et différent de 127. Si elle contient une fraction
décimale, celle-ci est ignorée. Remarquez que le caractère 32 est le caractère
correspondant à l’espace.
Remarques d’usage
 Les codes numériques Unicode ne sont pas tous associés à un caractère imprimable.
 La fenêtre Caractères spéciaux, accessible depuis le menu Édition, vous permet
d’afficher des jeux de caractères complets et les codes qui correspondent à ces
derniers.
 La fonction CODE renvoie le code numérique correspondant à un caractère indiqué.
Exemples
=CAR(98,6) renvoie « b » qui est représenté par le code 98. La fraction décimale du nombre est
ignorée.
=CODE("b") renvoie 98.
332 Chapitre 11 Fonctions de texteChapitre 11 Fonctions de texte 333
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« CODE » à la page 335
« Liste des fonctions de texte » à la page 330
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
CHERCHE
La fonction CHERCHE renvoie la position de départ d’une chaîne à l’intérieur d’une
autre sans tenir compte de la casse et en autorisant les jokers.
CHERCHE(rechercher-chaîne; chaîne-source; position-départ)
 rechercher-chaîne : chaîne à retrouver. rechercher-chaîne est une valeur exprimée
sous forme de chaîne.
 chaîne-source : chaîne quelconque. chaîne-source est une valeur exprimée sous
forme de chaîne.
 position-départ : argument facultatif représentant la position, dans la chaîne
indiquée, à laquelle l’action doit commencer. position-départ correspond à un
nombre supérieur ou égal à 1 et inférieur ou égal au nombre de caractères présents
dans la valeur chaîne-source.
Remarques d’usage
 Les jokers sont autorisés dans rechercher-chaîne. Vous pouvez utiliser un astérisque
(*) dans rechercher-chaîne pour indiquer que ce caractère peut correspondre à
plusieurs caractères ou bien vous pouvez vous servir d’un point d’interrogation (?)
pour indiquer que ce caractère peut correspondre à un seul caractère quelconque
de la chaîne-source, au moment de la recherche.
 Indiquer position-départ permet de commencer la recherche de la chaîne à
rechercher ( rechercher-chaîne) à l’intérieur plutôt qu’au début de la chaîne-source.
Cela s’avère particulièrement utile si la chaîne-source peut contenir plusieurs fois la
chaîne à rechercher et que vous souhaitez déterminer la position de départ d’une
occurrence autre que la première. Si le paramètre position-départ est omis, la valeur
supposée par défaut correspond à 1.
 Pour que la recherche tienne compte de la casse, utilisez la fonction RECHERCHER.Exemples
=CHERCHE("ra"; "abracadabra") renvoie 3 ; la première occurrence de la chaîne « ra » commence au
troisième caractère de « abracadabra ».
=CHERCHE("ra"; "abracadabra"; 5) renvoie 10, c’est-à-dire la position de la première occurrence de la
chaîne « ra » à partir de la position 5.
=CHERCHE("*placement"; "Remplacement") renvoie 1 puisque l’astérisque au début de la chaîne à
rechercher correspond à tous les caractères qui précèdent « placement ».
=CHERCHE("*placement"; "joker") génère une erreur puisque la chaîne « placement » n’existe pas.
=CHERCHE("?placement"; "Remplacement") renvoie 3 puisque le point d’interrogation correspond
uniquement au caractère qui se trouve juste avant « placement ».
=CHERCHE("p*t"; "Remplacement") renvoie 4 puisque l’astérisque correspond à tous les caractères
qui se trouvent entre « p » et « t ».
=CHERCHE("~?"; "Remplacement ? Non.") renvoie 14 puisque le tilde signifie que le caractère qui le
suit (le point d’interrogation dans le cas présent) doit être interprété littéralement, c’est-à-dire non
pas comme un joker, et le point d’interrogation étant le 14
e
caractère.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« EXACT » à la page 341
« TROUVE » à la page 349
« Usage de conditions et de jokers » à la page 389
« Liste des fonctions de texte » à la page 330
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
CNUM
La fonction CNUM renvoie une valeur numérique même si l’argument se présente sous
la forme de texte. Cette fonction a été incluse afin d’assurer la compatibilité avec les
tableaux importés d’autres tableurs.
CNUM(chaîne-source)
 chaîne-source : chaîne quelconque. chaîne-source est une valeur exprimée sous
forme de chaîne.
334 Chapitre 11 Fonctions de texteChapitre 11 Fonctions de texte 335
Remarques d’usage
 Vous n’aurez jamais à utiliser la fonction CNUM dans un nouveau tableau puisque
les nombres qui apparaissent dans du texte sont automatiquement convertis.
 Seul le texte formaté est converti. Par exemple, si vous saisissez la chaîne
« 100,001 € » dans une cellule, le format par défaut affiche uniquement deux chiffres
(100,00 €). Si elle utilise cette cellule comme référence, la fonction CNUM renvoie
100, c’est-à-dire la valeur du texte formaté, et non pas 100,001.
 S’il n’est pas possible de renvoyer l’argument sous la forme d’une valeur numérique
(parce qu’il ne contient aucun nombre), la fonction génère une erreur.
Exemples
=CNUM("22") renvoie le nombre 22.
=CNUM(DROITE("L’année 1953"; 2)) renvoie le nombre 53.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« Liste des fonctions de texte » à la page 330
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
CODE
La fonction CODE renvoie le code numérique Unicode décimal du premier caractère
d’une chaîne indiquée.
CODE(code-de-chaîne)
 code-de-chaîne : chaîne de caractères pour laquelle il faut renvoyer la valeur
Unicode. code-de-chaîne est une valeur exprimée sous forme de chaîne. Seul le
premier caractère est utilisé.
Remarques d’usage
 La fenêtre Caractères spéciaux, accessible depuis le menu Édition, vous permet
d’afficher des jeux de caractères complets et les codes qui correspondent à ces
derniers.
 Vous pouvez utiliser la fonction CAR pour faire l’inverse de la fonction CODE, c’est-à-
dire convertir un code numérique en caractère texte.Exemples
=CODE("A") renvoie 65, c’est-à-dire le code de caractère pour la lettre « A » majuscule.
=CODE("abc") renvoie 97, qui correspond à la lettre « a » minuscule.
=CAR(97) renvoie « a ».
=CODE(A3) renvoie 102, qui correspond à la lettre « f » minuscule.
=CODE("???") renvoie « 19 977 », c’est-à-dire la valeur Unicode décimale du premier caractère .
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« CAR » à la page 332
« Liste des fonctions de texte » à la page 330
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
CONCATENER
La fonction CONCATENER réunit (concatène) des chaînes.
CONCATENER(chaîne; chaîne…)
 chaîne : chaîne quelconque. chaîne est une valeur exprimée sous forme de chaîne.
 chaîne… : vous pouvez ajouter une ou plusieurs chaînes supplémentaires.
Remarques d’usage
 Pour concaténer des chaînes, vous pouvez aussi vous servir de l’opérateur de chaîne
& à la place de la fonction CONCATENER.
Exemples
Si la cellule A1 contient Lorem et que la cellule B1 contient Ipsum, =CONCATENER(B1; " "; A1) renvoie
« Ipsum Lorem ».
=CONCATENER("a"; "b"; "c") renvoie « abc ».
="a"&"b"&"c" renvoie « abc ».
Rubriques connexes :
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336 Chapitre 11 Fonctions de texteChapitre 11 Fonctions de texte 337
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
CTXT
La fonction CTXT arrondit un nombre conformément au nombre indiqué de chiffres
après la virgule, puis renvoie le résultat sous forme de chaîne.
CTXT(nbre; chiffres; aucune-virgule)
 nbre : nombre à utiliser. nbre correspond à un nombre.
 chiffres : argument facultatif représentant le nombre de chiffres après, ou avant,
la virgule auquel il faut arrondir. décimales correspond à un nombre. Au moment
du calcul, les nombres à mi-unités sont arrondis à l’unité supérieure. Ainsi, si 0,5
doit être arrondi à l’entier, le résultat donne 1. De même, si le nombre 10,005 doit
être arrondi au centième le plus proche, le résultat 10,01 est renvoyé. Un nombre
négatif indique qu’il faut arrondir à gauche de la virgule (par exemple, arrondir aux
centaines ou aux milliers).
 aucune-virgule : argument facultatif indiquant si des séparateurs de positions
doivent être utilisés à gauche de la virgule dans le nombre obtenu.
utilise des virgules (FAUX, 0 ou omis): inclut des séparateurs de positions dans le
résultat.
aucune-virgule (VRAI ou 1): n’inclut pas de séparateurs de positions dans le
résultat.
Exemples
=CTXT(6789,123; 2) renvoie « 6 789,12 ».
=CTXT(6789,123; 1; 1) renvoie « 6789,1 ».
=CTXT(6789,123; –2) renvoie « 6 800 ».
=CTXT(12,4; 0) renvoie « 12 ».
=CTXT(12,5; 0) renvoie « 13 ».
=CTXT(4; –1) renvoie « 0 ».
=CTXT(5; –1) renvoie « 10 ».
Rubriques connexes :
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« DEVISE » à la page 338« Liste des fonctions de texte » à la page 330
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DEVISE
La fonction DEVISE renvoie une chaîne qui a la forme d’une somme en euros à partir
d’un nombre donné.
DEVISE(nbre; chiffres)
 nbre : nombre à utiliser. nbre correspond à un nombre.
 chiffres : argument facultatif représentant le nombre de chiffres après, ou avant, la
virgule auquel il faut arrondir. décimales correspond à un nombre. Lorsqu’on arrondit
au nombre indiqué de chiffres avant ou après la virgule, les règles standard de
l’arithmétique s’appliquent, à savoir : si le chiffre supprimé le plus important est 5
ou un chiffre plus élevé, le résultat doit être arrondi au chiffre supérieur. Un nombre
négatif indique qu’il faut arrondir à gauche de la virgule (par exemple, arrondir aux
centaines ou aux milliers).
Exemples
=DEVISE(2323;124) renvoie « 2 323,12 € ».
=DEVISE(2323;125) renvoie « 2 323,13 € ».
=DEVISE(99,554; 0) renvoie « 100 € ».
=DEVISE(12; 3) renvoie « 12 000 € ».
=DEVISE(–12; 3) renvoie « (12 000 €) », les parenthèses indiquant qu’il s’agit d’une somme négative .
=DEVISE(123; –1) renvoie « 120 € ».
Rubriques connexes :
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« CTXT » à la page 337
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338 Chapitre 11 Fonctions de texteChapitre 11 Fonctions de texte 339
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
DROITE
La fonction DROITE renvoie une chaîne qui comprend un nombre indiqué de
caractères à partir de l’extrémité droite d’une chaîne donnée.
DROITE(chaîne-source; longueur-chaîne)
 chaîne-source : chaîne quelconque. chaîne-source est une valeur exprimée sous
forme de chaîne.
 longueur-chaîne : argument facultatif représentant la longueur voulue de la chaîne
renvoyée. longueur-chaîne correspond à un nombre supérieur ou égal à 1.
Remarques d’usage
 Si la valeur longueur-chaîne est supérieure ou égale à la longueur de chaîne-source,
la chaîne renvoyée est égale à chaîne-source.
Exemples
=DROITE("un deux trois"; 2) renvoie « is ».
=DROITE("abc") renvoie « c ».
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« GAUCHE » à la page 341
« STXT » à la page 346
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« Éléments des formules » à la page 15
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« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44EPURAGE
La fonction EPURAGE supprime du texte la plupart des caractères non imprimables les
plus courants (codes caractères Unicode allant de 0 à 31).
EPURAGE(texte)
 texte : texte duquel vous souhaitez supprimer des caractères qui ne s’impriment
pas. texte peut correspondre à une valeur de n’importe quel type.
Remarques d’usage
 Elle peut être utile si vous collez du texte à partir d’une autre application contenant
des points d’interrogation, espaces, carrés et autres caractères indésirables ou
inattendus.
 Il existe certains caractères non imprimables moins courants qui ne peuvent être
supprimés à l’aide de la fonction EPURAGE (il s’agit des codes caractère 127, 129,
141, 143, 144 et 157). Pour les supprimer, vous pour utiliser la fonction SUBSTITUE
afin de les remplacer par un code compris entre 0 et 31 avant d’exécuter la fonction
EPURAGE.
 Vous pouvez utiliser la fonction SUPPRESPACE pour supprimer les espaces en trop
dans du texte.
Exemple
Imaginons que vous copiez ce que vous pensez être le texte « a b c d e f » dans une autre application
et que vous le colliez dans la cellule A1, mais que le texte qui apparaît à l’écran correspond à « a b c ?
?d e f ». Vous pouvez tenter d’utiliser la fonction EPURAGE pour supprimer les caractères non voulus :
=EPURAGE(A1) renvoie « a b c d e f ».
Rubriques connexes :
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« SUBSTITUE » à la page 347
« SUPPRESPACE » à la page 348
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340 Chapitre 11 Fonctions de texteChapitre 11 Fonctions de texte 341
EXACT
La fonction EXACT renvoie VRAI si les chaînes d’arguments sont identiques du point de
vue de leur casse et de leur contenu.
EXACT(chaîne-1; chaîne-2)
 chaîne-1 : première chaîne. chaîne-1 est une valeur exprimée sous forme de chaîne.
 chaîne-2 : seconde chaîne. chaîne-2 est une valeur exprimée sous forme de chaîne.
Exemples
=EXACT("toledo"; "toledo") renvoie VRAI puisque tous les caractères et les majuscules sont identiques.
=EXACT("Toledo"; "toledo") renvoie FAUX puisque les majuscules des deux chaînes ne sont pas
identiques.
Rubriques connexes :
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« TROUVE » à la page 349
« CHERCHE » à la page 333
« Liste des fonctions de texte » à la page 330
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« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
GAUCHE
La fonction GAUCHE renvoie une chaîne qui comprend un nombre indiqué de
caractères à partir de l’extrémité gauche d’une chaîne donnée.
GAUCHE(chaîne-source; longueur-chaîne)
 chaîne-source : chaîne quelconque. chaîne-source est une valeur exprimée sous
forme de chaîne.
 longueur-chaîne : argument facultatif représentant la longueur voulue de la chaîne
renvoyée. longueur-chaîne correspond à un nombre supérieur ou égal à 1.
Remarques d’usage
 Si la valeur longueur-chaîne est supérieure ou égale à la longueur de chaîne-source,
la chaîne renvoyée est égale à chaîne-source.Exemples
=GAUCHE("trois quatre cinq"; 2) renvoie « tr ».
=GAUCHE("abc") renvoie « a ».
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« STXT » à la page 346
« DROITE » à la page 339
« Liste des fonctions de texte » à la page 330
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« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
MAJUSCULE
La fonction MAJUSCULE renvoie une chaîne qui est entièrement en majuscules, quelle
que soit la casse des caractères de la chaîne indiquée.
MAJUSCULE(chaîne-source)
 chaîne-source : chaîne quelconque. chaîne-source est une valeur exprimée sous
forme de chaîne.
Exemples
=MAJUSCULE("a b c") renvoie « A B C ».
=MAJUSCULE("Premier") renvoie « PREMIER ».
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« MINUSCULE » à la page 343
« NOMPROPRE » à la page 344
« Liste des fonctions de texte » à la page 330
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« Éléments des formules » à la page 15
342 Chapitre 11 Fonctions de texteChapitre 11 Fonctions de texte 343
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« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
MINUSCULE
La fonction MINUSCULE renvoie une chaîne qui est entièrement en minuscules, quelle
que soit la casse des caractères de la chaîne indiquée.
MINUSCULE(chaîne-source)
 chaîne-source : chaîne quelconque. chaîne-source est une valeur exprimée sous
forme de chaîne.
Exemples
=MINUSCULE("MAJUSCULE") renvoie « majuscule ».
=MINUSCULE("Minuscule") renvoie « minuscule ».
=MINUSCULE("MIXtE") renvoie « mixte ».
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« NOMPROPRE » à la page 344
« MAJUSCULE » à la page 342
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« Éléments des formules » à la page 15
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NBCAR
La fonction NBCAR renvoie le nombre de caractères d’une chaîne.
NBCAR(chaîne-source)
 chaîne-source : chaîne quelconque. chaîne-source est une valeur exprimée sous
forme de chaîne.
Remarques d’usage
 L’opération inclut tous les espaces, nombres et caractères.Exemples
=NBCAR("12345") renvoie 5.
=NBCAR(" abc def ") renvoie 9, la somme des six lettres plus les espaces avant, après et séparant les
caractères indiqués.
Rubriques connexes :
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« Liste des fonctions de texte » à la page 330
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
NOMPROPRE
La fonction NOMPROPRE renvoie une chaîne dans laquelle la première lettre de
chaque mot est en majuscules et tous les autres caractères en minuscules, quelle que
soit la casse des caractères de la chaîne indiquée.
NOMPROPRE(chaîne-source)
 chaîne-source : chaîne quelconque. chaîne-source est une valeur exprimée sous
forme de chaîne.
Remarques d’usage
 Tout caractère venant juste après un caractère non alphabétique, excepté
l’apostrophe (’), est traité comme la première lettre d’un mot. Par exemple, tout
caractère figurant après un trait d’union est converti en majuscules.
Exemples
=NOMPROPRE("lorem ipsum") renvoie « Lorem Ipsum ».
=NOMPROPRE("lorem’s ip-sum") renvoie « Lorem’s Ip-Sum ».
=NOMPROPRE("1a23 b456") renvoie « 1A23 B456 ».
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« MINUSCULE » à la page 343
« MAJUSCULE » à la page 342
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344 Chapitre 11 Fonctions de texteChapitre 11 Fonctions de texte 345
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
REMPLACER
La fonction REMPLACER renvoie une chaîne dans laquelle un nombre indiqué de
caractères dans une chaîne donnée a été remplacé par une nouvelle chaîne.
REMPLACER(chaîne-source; position-départ; remplacer-longeur; nouvelle-chaîne)
 chaîne-source : chaîne quelconque. chaîne-source est une valeur exprimée sous
forme de chaîne.
 position-départ : position dans la chaîne indiquée à laquelle l’action doit
commencer. position-départ correspond à un nombre supérieur ou égal à 1. Si
l’argument position-départ est supérieur au nombre de caractères de chaîne-source,
nouvelle-chaîne est ajouté à la fin de chaîne-source.
 remplacer-longeur : nombre de caractères à remplacer. remplacer-longeur
correspond à un nombre supérieur ou égal à 1. Si la valeur remplacer-longeur est
supérieure ou égale à la longueur de chaîne-source, la chaîne renvoyée est égale à
nouvelle-chaîne.
 nouvelle-chaîne : texte qui se substitue à la partie à remplacer de la chaîne donnée.
nouvelle-chaîne est une valeur exprimée sous forme de chaîne. Elle ne doit pas
obligatoirement être de la même longueur que le texte remplacé.
Exemple
=REMPLACER("formulaires de candidat reçus"; 16; 8; "François") renvoie « formulaires de François
reçus ».
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« SUBSTITUE » à la page 347
« Liste des fonctions de texte » à la page 330
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
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« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44REPT
La fonction REPT renvoie une chaîne qui contient une chaîne donnée répétée un
nombre indiqué de fois.
REPT(chaîne-source; répétition-nbre)
 chaîne-source : chaîne quelconque. chaîne-source est une valeur exprimée sous
forme de chaîne.
 répétition-nbre : nombre de répétitions de la chaîne donnée. répétition-nbre
correspond à un nombre supérieur ou égal à 0.
Exemples
=REPT("*"; 5) renvoie « ***** ».
=REPT("ah"; 3) renvoie « ahahah ».
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« Liste des fonctions de texte » à la page 330
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
STXT
La fonction STXT renvoie une chaîne qui comprend un nombre donné de caractères
d’une chaîne à partir d’une position indiquée.
STXT(chaîne-source; position-départ; longueur-chaîne)
 chaîne-source : chaîne quelconque. chaîne-source est une valeur exprimée sous
forme de chaîne.
 position-départ : position dans la chaîne indiquée à laquelle l’action doit
commencer. position-départ correspond à un nombre supérieur ou égal à 1 et
inférieur ou égal au nombre de caractères présents dans la valeur chaîne-source.
 longueur-chaîne : longueur de la chaîne de caractères renvoyée. longueur-chaîne
correspond à un nombre supérieur ou égal à 1.
Remarques d’usage
 Si la valeur longueur-chaîne est supérieure ou égale à la longueur de chaîne-source,
la chaîne renvoyée est égale à chaîne-source, à partir de position-départ.
346 Chapitre 11 Fonctions de texteChapitre 11 Fonctions de texte 347
Exemples
=STXT("lorem ipsum dolor sit amet"; 7; 5) renvoie « ipsum ».
=STXT("1234567890"; 4; 3) renvoie « 456 ».
=STXT("raccourcir"; 5; 20) renvoie « ourcir ».
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« GAUCHE » à la page 341
« DROITE » à la page 339
« Liste des fonctions de texte » à la page 330
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
SUBSTITUE
La fonction SUBSTITUE renvoie une chaîne dans laquelle les caractères indiqués d’une
chaîne donnée ont été remplacés par une autre chaîne.
SUBSTITUE(chaîne-source; chaîne-existante; nouvelle-chaîne; occurrence)
 chaîne-source : chaîne quelconque. chaîne-source est une valeur exprimée sous
forme de chaîne.
 chaîne-existante : chaîne à remplacer à l’intérieur de la chaîne indiquée. chaîneexistante est une valeur exprimée sous forme de chaîne.
 nouvelle-chaîne : texte qui se substitue à la partie à remplacer de la chaîne donnée.
nouvelle-chaîne est une valeur exprimée sous forme de chaîne. Elle ne doit pas
obligatoirement être de la même longueur que le texte remplacé.
 occurrence : valeur facultative indiquant l’occurrence à remplacer. occurrence
correspond à un nombre facultatif, supérieur ou égal à 1. Si cette valeur est
supérieure au nombre de fois où la chaîne-existante apparaît dans la chaîne-source,
aucun remplacement n’a lieu. Si elle est omise, toutes les occurrences de la chaîneexistante à l’intérieur de la chaîne-source sont alors remplacées par la nouvelle-chaîne.
Remarques d’usage
 Vous pouvez remplacer des caractères individuels, des mots entiers ou des chaînes
de caractères à l’intérieur de mots.Exemples
=SUBSTITUE("a b c d e f"; "b"; "B") renvoie « a B c d e f ».
=SUBSTITUE("a a b b b c"; "a"; "A"; 2) renvoie « a A b b b c ».
=SUBSTITUE("a a b b b c"; "b"; "B") renvoie « a a B B B c ».
=SUBSTITUE("aaabbccc"; "bc"; "BC"; 2) renvoie « aaabbccc ».
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« REMPLACER » à la page 345
« Liste des fonctions de texte » à la page 330
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
SUPPRESPACE
La fonction SUPPRESPACE renvoie une chaîne donnée dont les espaces
supplémentaires ont été supprimés.
SUPPRESPACE(chaîne-source)
 chaîne-source : chaîne quelconque. chaîne-source est une valeur exprimée sous
forme de chaîne.
Remarques d’usage
 Elle supprime tous les espaces avant le premier caractère, tous les espaces après
le dernier caractère et tous les espaces en double entre les caractères pour ne
conserver que des espaces simples entre les mots.
Exemple
=SUPPRESPACE(" espaces espaces espaces ") renvoie “espaces espaces espaces” (les espaces de début
et de fin ont été supprimés).
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« Liste des fonctions de texte » à la page 330
« Types de valeur » à la page 39
348 Chapitre 11 Fonctions de texteChapitre 11 Fonctions de texte 349
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
T
La fonction T renvoie le texte qui se trouve dans une cellule. Cette fonction a été
incluse afin d’assurer la compatibilité avec les tableaux importés d’autres tableurs.
T(cellule)
 cellule : référence à une seule cellule de tableau. cellule est une valeur de référence
à une seule cellule pouvant contenir n’importe quelle valeur ou être vide.
Remarques d’usage
 Si la cellule ne contient aucune chaîne de caractères, T renvoie une chaîne vide.
Exemples
Si la cellule A1 contient « texte » alors que la cellule B1 est vide :
=T(A1) renvoie « texte »
=T(B1) ne renvoie rien.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« Liste des fonctions de texte » à la page 330
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
TROUVE
La fonction TROUVE renvoie la position de départ d’une chaîne à l’intérieur d’une
autre.
TROUVE(rechercher-chaîne; chaîne-source; position-départ)
 rechercher-chaîne : chaîne à retrouver. rechercher-chaîne est une valeur exprimée
sous forme de chaîne.
 chaîne-source : chaîne quelconque. chaîne-source est une valeur exprimée sous
forme de chaîne. position-départ : argument facultatif représentant la position, dans la chaîne
indiquée, à laquelle l’action doit commencer. position-départ correspond à un
nombre supérieur ou égal à 1 et inférieur ou égal au nombre de caractères présents
dans la valeur chaîne-source.
Remarques
 La casse est différenciée et les espaces sont comptés lors de la recherche. Les
jokers ne sont pas autorisés. Pour utiliser des jokers ou ignorer la casse dans votre
recherche, servez-vous de la fonction CHERCHE.
 Indiquer position-départ permet de commencer la recherche de la chaîne à
rechercher ( rechercher-chaîne) à l’intérieur plutôt qu’au début de la chaîne-source.
Cela s’avère particulièrement utile si la chaîne-source peut contenir plusieurs fois la
chaîne à rechercher et que vous souhaitez déterminer la position de départ d’une
occurrence autre que la première. Si le paramètre position-départ est omis, la valeur
supposée par défaut correspond à 1.
Exemples
=TROUVE("e"; "bien sûr que oui") renvoie 3 (« e » est le troisième caractère de la chaîne « bien sûr que
oui »).
=TROUVE("e"; "bien sûr que oui"; 8) renvoie 12 (le « e » de « que » est le premier « e » trouvé à partir
du caractère 8, qui est le « r » de « sûr »).
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« EXACT » à la page 341
« CHERCHE » à la page 333
« Liste des fonctions de texte » à la page 330
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
350 Chapitre 11 Fonctions de texte351
Les fonctions trigonométriques vous aident à travailler avec
des angles et leurs composants.
Liste des fonctions trigonométriques
Ces fonctions trigonométriques ont été intégrées à iWork pour que vous puissiez les
utiliser dans des tableaux.
Fonction Description
« ACOS » (page 352) La fonction ACOS renvoie le cosinus inverse (l’arccosinus) d’un nombre.
« ACOSH » (page 353) La fonction ACOSH renvoie le cosinus
hyperbolique inverse (l’arc-cosinus hyperbolique)
d’un nombre.
« ASIN » (page 354) La fonction ASIN renvoie l’arc-sinus (le sinus
inversé) d’un nombre.
« ASINH » (page 355) La fonction ASINH renvoie le sinus hyperbolique
inverse d’un nombre.
« ATAN » (page 355) La fonction ATAN renvoie la tangente inverse
(l’arc-tangente) d’un nombre.
« ATAN2 » (page 356) La fonction ATAN2 renvoie l’angle, par rapport
à l’axe des x positifs, de la ligne passant par
l’origine et le point indiqué.
« ATANH » (page 357) La fonction ATANH renvoie la tangente
hyperbolique inverse d’un nombre.
« COS » (page 358) La fonction COS renvoie le cosinus d’un angle
exprimé en radians.
« COSH » (page 359) La fonction COSH renvoie le cosinus
hyperbolique d’un nombre.
12
Fonctions trigonométriquesFonction Description
« DEGRES » (page 359) La fonction DEGRES renvoie le nombre de degrés
dans un angle exprimé en radians.
« RADIANS » (page 360) La fonction RADIANS renvoie le nombre de
radians dans un angle exprimé en degrés.
« SIN » (page 361) La fonction SIN renvoie le sinus d’un angle
exprimé en radians.
« SINH » (page 362) La fonction SINH renvoie le sinus hyperbolique
d’un nombre.
« TAN » (page 363) La fonction TAN renvoie la tangente d’un angle
exprimé en radians.
« TANH » (page 364) La fonction TANH renvoie la tangente
hyperbolique d’un nombre.
ACOS
La fonction ACOS renvoie le cosinus inverse (l’arc-cosinus) d’un nombre.
ACOS(nbre)
 nbre : valeur numérique. nbre correspond à un nombre compris entre – 1 et 1.
Remarques d’usage
 La fonction ACOS nécessite une valeur de cosinus et renvoie l’angle correspondant.
L’angle résultant est une valeur en radians comprise entre 0 et p (pi). Pour voir
l’angle résultant en degrés plutôt qu’en radians, enveloppez cette fonction dans la
fonction DEGRES comme ceci =DEGRES(ACOS(nbre)).
Exemples
=ACOS(RACINE(2)/2) renvoie 0,785398163397448, qui est approximativement égal à p/4.
=ACOS(0,54030230586814) renvoie 1.
=DEGRES(ACOS(,5)) renvoie 60, la mesure en degrés d’un angle ayant un cosinus de 0,5.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« ACOSH » à la page 353
« COS » à la page 358
« COSH » à la page 359
« DEGRES » à la page 359
« Liste des fonctions trigonométriques » à la page 351
352 Chapitre 12 Fonctions trigonométriquesChapitre 12 Fonctions trigonométriques 353
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ACOSH
La fonction ACOSH renvoie le cosinus hyperbolique inverse (l’arc-cosinus
hyperbolique) d’un nombre.
ACOSH(nbre)
 nbre : valeur numérique. nbre correspond à un nombre supérieur ou égal à 1.
Exemples
=ACOSH(10,0676619957778) renvoie 3.
=ACOSH(COSH(5)) renvoie 5.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« ACOS » à la page 352
« COS » à la page 358
« COSH » à la page 359
« Liste des fonctions trigonométriques » à la page 351
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44ASIN
La fonction ASIN renvoie l’arc-cosinus (cosinus inversé) d’un nombre.
ASIN(nbre)
 nbre : valeur numérique. nbre correspond à un nombre supérieur ou égal à 1.
Remarques d’usage
 La fonction ASIN nécessite un sinus et renvoie l’angle correspondant. Le résultat
est exprimé en radians, dans la plage de – pi/2 à + pi/2. Pour voir l’angle résultant
en degrés plutôt qu’en radians, enveloppez cette fonction dans la fonction DEGRES
comme ceci =DEGRES(ASIN(nbre)).
Exemples
=ASIN(0,841470985) renvoie 1, la mesure en radians (approximativement 57,3 degrés) de l’angle ayant
un sinus de 0,8411470984807897.
=DEGRES(ASIN(0,5)) renvoie 30, la mesure en degrés de l’angle ayant un sinus de 0,5.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« ASINH » à la page 355
« DEGRES » à la page 359
« SIN » à la page 361
« SINH » à la page 362
« Liste des fonctions trigonométriques » à la page 351
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
354 Chapitre 12 Fonctions trigonométriquesChapitre 12 Fonctions trigonométriques 355
ASINH
La fonction ASINH renvoie le sinus hyperbolique inverse d’un nombre.
ASINH(nbre)
 nbre : valeur numérique. nbre correspond à un nombre.
Exemples
=ASINH(27,2899171971277) renvoie 4.
=ASINH(SINH(1)) renvoie 1.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« ASIN » à la page 354
« SIN » à la page 361
« SINH » à la page 362
« Liste des fonctions trigonométriques » à la page 351
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
ATAN
La fonction ATAN renvoie la tangente inverse (l’arc-tangente) d’un nombre.
ATAN(nbre)
 nbre : valeur numérique. nbre correspond à un nombre.
Remarques d’usage
 La fonction ATAN nécessite une tangente et renvoie l’angle correspondant, exprimé
en radians dans la plage de -pi/2 à +pi/2. Pour voir l’angle résultant en degrés plutôt
qu’en radians, enveloppez cette fonction dans la fonction DEGRES comme ceci
=DEGRES(ATAN(nbre)).
Exemples
=ATAN(1) renvoie la mesure d’angle 0,785398163 radians (45 degrés), qui a une tangente de 1.
=DEGRES(ATAN(1)) renvoie 45.Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« ATAN2 » à la page 356
« ATANH » à la page 357
« DEGRES » à la page 359
« TAN » à la page 363
« TANH » à la page 364
« Liste des fonctions trigonométriques » à la page 351
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
ATAN2
La fonction ATAN2 renvoie l’angle, par rapport à l’axe des x positifs, de la ligne passant
par l’origine et le point indiqué.
ATAN2(point-x; point-y)
 point-x : coordonnée x du point passant par la ligne. point-x correspond à un
nombre.
 point-y : coordonnée y du point passant par la ligne. point-y correspond à un
nombre.
Remarques d’usage
 L’angle représente une valeur exprimée en radians comprise entre – pi et + pi. Pour
voir l’angle résultant en degrés plutôt qu’en radians, enveloppez cette fonction dans
la fonction DEGRES comme ceci =DEGRES(ATAN2(point-x; point-y)).
Exemples
=ATAN2(1; 1) renvoie 0,78539816 radians (45 degrés), l’angle du segment de ligne de l’origine au
point (1, 1).
=DEGRES(ATAN2(5; 5)) renvoie 45.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« ATAN » à la page 355
356 Chapitre 12 Fonctions trigonométriquesChapitre 12 Fonctions trigonométriques 357
« ATANH » à la page 357
« DEGRES » à la page 359
« TAN » à la page 363
« TANH » à la page 364
« Liste des fonctions trigonométriques » à la page 351
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
ATANH
La fonction ATANH renvoie la tangente hyperbolique inverse d’un nombre.
ATANH(nbre)
 nbre : valeur numérique. nbre correspond à un nombre supérieur à – 1 et inférieur
à 1.
Exemples
=ATANH(0,995054753686731) renvoie 3.
=ATANH(TANH(2)) renvoie 2.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« ATAN » à la page 355
« ATAN2 » à la page 356
« TAN » à la page 363
« TANH » à la page 364
« Liste des fonctions trigonométriques » à la page 351
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44COS
La fonction COS renvoie le cosinus d’un angle exprimé en radians.
COS(radian-angle)
 radian-angle : angle exprimé en radians. radian-angle correspond à un nombre.
Bien qu’il puisse s’agir de n’importe quelle valeur, cette valeur se situe généralement
dans la plage de – p à + p.
Remarques d’usage
 Pour renvoyer un angle en degrés, utilisez la fonction DEGRES (pour convertir les
radians en degrés) avec cette fonction, comme ceci =DEGRES(COS(radian-angle)).
Exemples
=COS(1) renvoie 0,540302306, le cosinus d’1 radian (approximativement 57,3 degrés).
=COS(RADIANS(60)) renvoie 0,5, le cosinus de 60 degrés.
=COS(PI()/3) renvoie 0,5, p/3 radians (60 degrés).
=COS(PI()) renvoie – 1, le cosinus de p radians (180 degrés).
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« ACOS » à la page 352
« ACOSH » à la page 353
« COSH » à la page 359
« DEGRES » à la page 359
« SIN » à la page 361
« TAN » à la page 363
« Liste des fonctions trigonométriques » à la page 351
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
358 Chapitre 12 Fonctions trigonométriquesChapitre 12 Fonctions trigonométriques 359
COSH
La fonction COSH renvoie le cosinus hyperbolique d’un nombre.
COSH(nbre)
 nbre : valeur numérique. nbre correspond à un nombre.
Exemples
=COSH(0) renvoie 1.
=COSH(1) renvoie 1,543.
=COSH(5) renvoie 74,21.
=COSH(10) renvoie 11 013,233.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« ACOS » à la page 352
« ACOSH » à la page 353
« COS » à la page 358
« Liste des fonctions trigonométriques » à la page 351
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
DEGRES
La fonction DEGRES renvoie le nombre de degrés dans un angle exprimé en radians.
DEGRES(radian-angle)
 radian-angle : angle exprimé en radians. radian-angle correspond à un nombre.
Bien qu’il puisse s’agir de n’importe quelle valeur, cette valeur se situe généralement
dans la plage de – 2 p à + 2 p.
Exemples
=DEGRES(PI()) renvoie 180 (p radians = 180 degrés).
=DEGRES(1) renvoie 57,2957795130823, qui est approximativement le nombre de degrés par radian.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’« ACOS » à la page 352
« ASIN » à la page 354
« ATAN » à la page 355
« ATAN2 » à la page 356
« COS » à la page 358
« SIN » à la page 361
« TAN » à la page 363
« Liste des fonctions trigonométriques » à la page 351
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
RADIANS
La fonction RADIANS renvoie le nombre de radians dans un angle exprimé en degrés.
RADIANS(degré-angle)
 degré-angle : angle exprimé en degrés. degré-angle correspond à un nombre. Bien
qu’il puisse s’agir de n’importe quelle valeur, cette valeur se situe généralement
dans la plage de – 360 à + 360.
Remarques d’usage
 Cette fonction est pratique si vous voulez utiliser un angle exprimé en degrés avec
l’une des fonctions géométriques standard car ces dernières attendent un angle
exprimé en radians. Enveloppez l’argument, exprimé en degrés, dans cette fonction,
comme ceci, par exemple, =COS(RADIANS(degré-angle).
Exemples
=RADIANS(90) renvoie 1,5708 (90 degrés est approximativement égal à 1,5708 radians).
=RADIANS(57,2957795130823) renvoie 1 (1 radian est approximativement égal à 57,296 degrés).
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« ACOS » à la page 352
360 Chapitre 12 Fonctions trigonométriquesChapitre 12 Fonctions trigonométriques 361
« ASIN » à la page 354
« ATAN » à la page 355
« ATAN2 » à la page 356
« COS » à la page 358
« SIN » à la page 361
« TAN » à la page 363
« Liste des fonctions trigonométriques » à la page 351
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
SIN
La fonction SIN renvoie le sinus d’un angle exprimé en radians.
SIN(radian-angle)
 radian-angle : angle exprimé en radians. radian-angle correspond à un nombre.
Bien qu’il puisse s’agir de n’importe quelle valeur, cette valeur se situe généralement
dans la plage de – p à + p.
Remarques d’usage
 Pour renvoyer un angle en degrés, utilisez la fonction DEGRES (pour convertir les
radians en degrés) avec cette fonction, comme ceci =DEGRES(SIN(radian-angle)).
Exemples
=SIN(1) renvoie 0,841470985, le sinus de 1 radian (approximativement 57,3 degrés).
=SIN(RADIANS(30)) renvoie 0,5, le sinus de 30 degrés.
=SIN(PI()/2) renvoie 1, le sinus de p/2 radians (90 degrés).
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« ASIN » à la page 354
« ASINH » à la page 355
« COS » à la page 358« DEGRES » à la page 359
« SINH » à la page 362
« TAN » à la page 363
« Liste des fonctions trigonométriques » à la page 351
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
SINH
La fonction SINH renvoie le sinus hyperbolique d’un nombre.
SINH(nbre)
 nbre : valeur numérique. nbre correspond à un nombre.
Exemples
=SINH(0) renvoie 0.
=SINH(1) renvoie 1,175.
=SINH(5) renvoie 74,203.
=SINH(10) renvoie 11 013,233.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« ASIN » à la page 354
« ASINH » à la page 355
« SIN » à la page 361
« Liste des fonctions trigonométriques » à la page 351
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
362 Chapitre 12 Fonctions trigonométriquesChapitre 12 Fonctions trigonométriques 363
TAN
La fonction TAN renvoie la tangente d’un angle exprimé en radians.
TAN(radian-angle)
 radian-angle : angle exprimé en radians. radian-angle correspond à un nombre.
Bien qu’il puisse s’agir de n’importe quelle valeur, cette valeur se situe généralement
dans la plage de –pi à +pi.
Remarques d’usage
 La tangente est le rapport entre le sinus et le cosinus.
 Pour renvoyer un angle en degrés, utilisez la fonction DEGRES (pour convertir les
radians en degrés) avec cette fonction, comme ceci =DEGRES(TAN(radian-angle)).
Exemples
=TAN(1) renvoie 1,557407725, la tangente de 1 radian (approximativement 57,3 degrés).
=TAN(RADIANS(45)) renvoie 1, la tangente d’un angle de 45 degrés.
=TAN(3*PI()/4) renvoie –1.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« ATAN » à la page 355
« ATAN2 » à la page 356
« ATANH » à la page 357
« COS » à la page 358
« DEGRES » à la page 359
« SIN » à la page 361
« TANH » à la page 364
« Liste des fonctions trigonométriques » à la page 351
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44TANH
La fonction TANH renvoie la tangente hyperbolique d’un nombre.
TANH(nbre)
 nbre : valeur numérique. nbre correspond à un nombre.
Exemples
=TANH(0) renvoie 0.
=TANH(1) renvoie 0,762.
=TANH(5) renvoie 0,999909.
=TANH(10) renvoie 0,999999996.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« ATAN » à la page 355
« ATAN2 » à la page 356
« ATANH » à la page 357
« TAN » à la page 363
« Liste des fonctions trigonométriques » à la page 351
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
« Collage d’exemples de l’aide » à la page 44
364 Chapitre 12 Fonctions trigonométriques365
Exemples détaillés et rubriques complémentaires illustrant
l’utilisation de certaines fonctions parmi les plus complexes.
Exemples et rubriques supplémentaires inclus
Le tableau suivant vous indique où retrouver les exemples détaillés et des rubriques
complémentaires illustrant certaines fonctions parmi les plus complexes en s’appuyant
sur des exemples concrets.
Si vous désirez consulter un exemple ou en
savoir plus sur
Consultez cette rubrique
Les définitions et les détails des arguments
s’illustrant dans les fonctions financières
« Arguments communs utilisés dans les fonctions
financières » à la page 366
Les fonctions sur les valeurs temporelles
monétaires (VTM)
« Choix de la valeur temporelle à utiliser pour une
fonction monétaire » à la page 375
Les fonctions VTM s’articulant autour de flux de
trésorerie périodiques fixés et de taux d’intérêt
fixés
« Flux de trésorerie et durées réguliers » à la
page 376
Les fonctions VTM pouvant calculer des valeurs
relatives à des flux de trésorerie irréguliers
(périodiques variables)
« Flux de trésorerie et durées irréguliers » à la
page 377
La fonction pouvant être la plus utile pour
répondre à des doutes sur le plan financier
courant
« Choix d’une fonction pour résoudre des
questions courantes d’ordre financier » à la
page 379
L’utilisation de fonctions financières pour créer
un tableau d’amortissement d’un prêt
« Exemple de tableau d’amortissement pour un
prêt » à la page 381
13
Exemples et rubriques
supplémentairesSi vous désirez consulter un exemple ou en
savoir plus sur
Consultez cette rubrique
Les différentes fonctions pour arrondir des
nombres
« En savoir plus sur les arrondis » à la page 383
L’association de fonctions logiques et manipulant
des informations pour élaborer une formule plus
puissante
« Association de fonctions logiques et de
fonctions d’information » à la page 386
Mécanisme des conditions et usage de jokers
avec les conditions
« Usage de conditions et de jokers » à la page 389
L’utilisation de fonctions statistiques pour
analyser les résultats d’une étude
« Exemple de résultats d’une étude » à la
page 391
Arguments communs utilisés dans les fonctions financières
De nombreux arguments sont communs entre les fonctions financières apparentées.
Cette rubrique fournit des informations concernant ces arguments. Les arguments
de date (tels que l’émission, l’échéance et le règlement) ne sont pas inclus. Ceux ne
s’illustrant que dans une seule fonction financière ne sont également pas inclus.
366 Chapitre 13 Exemples et rubriques supplémentairesChapitre 13 Exemples et rubriques supplémentaires 367
taux-annuel
Les bons et autres titres de créance à taux fixe et générant des intérêts, présentent un coupon fixé ou
un taux d’intérêt annuel servant à déterminer les versements des intérêts périodiques. taux-annuel
sert à représenter le taux d’intérêt annuel, qu’il soit appelé taux d’intérêt nominal ou taux d’intérêt
annuel.
taux-intérêt-nominal est indiqué en tant que nombre décimal représentant le taux d’intérêt nominal
annuel. Dans certaines fonctions, taux-intérêt-nominal peut adopter la valeur 0 (si le titre ne verse
aucun intérêt périodique), mais taux-intérêt-nominal ne peut pas être négatif.
Supposons que vous possédez un titre dont la valeur nominale est de 1 000 000 € et qu’il vous
rapporte un intérêt annuel de 4,5 % de sa valeur nominale. taux-intérêt-nominal correspond alors à
0,045. La fréquence de versement n’importe pas.
rendement-annuel
Les bons et autres titres de créance à l’escompte et générant des d’intérêts présentent un rendement
calculé sur le taux d’intérêt du coupon et sur le cours du bon.
rendement-annuel est indiqué en tant que nombre décimal représentant le rendement annuel du
titre, généralement fixé en pourcentage. rendement-annuel doit être supérieur à 0.
Supposons que vous étudiez la possibilité d’acheter un bon donné. Lorsque le cours d’un bon
descend, son rendement augmente. À l’inverse, lorsque son cours monte, son rendement décroît.
Votre courtier vérifie l’état du cours et vous informe que le bon qui vous intéresse présente d’après
son cours un taux d’intérêt nominal de 3,25 % et un rendement annuel de 4,5 % (le bon se négocie à
un prix réduit). La valeur de l’argument rendement-annuel correspond alors à 0,045.
flux-trésorerie
Les annuités, les prêts et les investissements présentent des flux de trésorerie. Un des flux de
trésorerie constitue la somme de départ versée ou reçue, le cas échéant. D’autres flux de trésorerie
correspondent aux autres encaissements ou paiements réalisés à un moment donné.
L’argument flux-de-trésorerie est indiqué sous forme de nombre, adoptant généralement le format
d’une devise. Les montants perçus s’expriment sous forme de nombres positifs, alors que les
montants payés, de nombres négatifs.
Supposons que vous envisagiez d’acquérir une maison en ville, la louer pour un certain temps, puis la
revendre. Le versement de départ pour l’achat (lequel peut consister en un acompte et au paiement
des frais), les remboursements du prêt, les frais de réparation et de maintenance, la publication
des annonces et autres frais associés, constituent des paiements (c’est-à-dire des flux de trésorerie
négatifs). Le montant des locations perçus des occupants, les crédits de taxes et d’impôts variés et
le montant perçu au moment de la revente, constituent des encaissements (c’est-à-dire des flux de
trésorerie positifs).
montant
Le coût de départ de l’actif à amortir correspond habituellement au prix d’achat, taxes, livraison et
mise en service comprises. Il se peut que certains crédits d’impôt puissent venir en déduction de ce
montant.
L’argument montant est indiqué sous forme de nombre, généralement formaté en tant que devise.
montant doit être supérieur à 0.
Supposons que vous achetiez une nouvelle photocopieuse numérique pour votre office. Le prix
d’achat de la photocopieuse s’élève à 2 625 €, taxes comprises. Le vendeur vous facture 100 € pour la
livrer et la mettre en service. La photocopieuse est prévue de fonctionner pour une période de 4 ans,
à l’issue de laquelle sa valeur résiduelle est estimée à 400 €. Le paramètre montant correspond alors
à 2 725 €.échéance
Voir rubrique abordée sur échéance. La seule différence réside dans le fait que les fonctions utilisant
échéance nécessitent l’indication de l’argument et ne considèrent aucune valeur par défaut s’il n’est
pas renseigné.
base-journalière
Plusieurs usages permettent de compter le nombre de jours dans un mois et dans une année servant
de base au calcul d’un intérêt sur un prêt ou un investissement. L’argument base-journalière sert à
indiquer le mode de décompte des jours pour un investissement ou un prêt donné. base-journalière
est souvent influencé par les usages sur le marché auquel l’investissement ou le prêt se rapporte et le
type de ce dernier. En outre, base-journalière peut être indiqué dans des documents faisant référence
à un prêt.
base-journalière correspond à un argument modal. Il s’exprime sous la forme du chiffre 0, 1, 2, 3 ou 4.
 La valeur 0 indique que, pour les besoins du calcul de l’intérêt, chaque mois complet compte
30 jours et que chaque année pleine compte 360 jours, en s’appuyant sur la méthode NASD pour
les mois comptant un 31
e
jour. Cette méthode est communément appelée convention 30/360. 0
(selon la convention 30/360) constitue la valeur par défaut.
Selon la méthode NASD, si la date de départ (par exemple, la date de règlement) tombe le 31, elle est alors considérée
comme si elle tombait le 30. Si la date en question tombe le dernier jour de février, elle n’est alors pas ajustée puisque le
mois de février compte moins de 30 jours. Si la date de fin (par exemple, l’échéance) tombe le 31 et que la date de départ
est antérieure au 30 du même mois, cette première est alors vue comme le premier jour du mois suivant. Dans le cas
contraire, elle est considérée comme étant le 30 du même mois, entraînant une base de calcul de 0 jour.
 La valeur 1 indique que le nombre de jours réels sert de base à chaque mois complet et chaque
année. Cette méthode est généralement connue sous le nom de convention réels/réels.
 La valeur 2 stipule que le nombre de jours réels sert de base à chaque mois complet mais que
chaque année compte 360 jours. Cette méthode est communément appelée convention réels/360.
 La valeur 3 spécifie que le nombre de jours réels sert de base à chaque mois complet et que
chaque année compte 365 jours. Cette méthode est généralement connue sous le nom de
convention réels/365.
 Enfin, la valeur 4 indique que chaque mois complet compte 30 jours et que chaque année pleine
compte 360 jours, en s’appuyant sur la méthode européenne pour les mois comptant un 31
e
jour.
Cette méthode est communément appelée convention 30E/360.
Dans le cadre de la méthode européenne, le 31 du mois est toujours vu comme étant le 30 du mois en question. Février
compte toujours 30 jours de sorte que si le dernier jour de février tombe vraiment le 28, il est néanmoins pris en compte
comme le 30 du mois.
Supposons que vous cherchiez à déterminer l’intérêt d’un bon émis par une société américaine. La
plupart des bons de ce type s’appuient sur la méthode des 30/360 pour calculer les intérêts, de sorte
que l’argument base-journalière correspond à la valeur 0, à savoir la valeur par défaut. Supposons
à présent que vous vouliez calculer l’intérêt d’un bon du trésor américain. Ces bons versent
généralement un intérêt d’après le nombre de jours naturels de chaque mois et de chaque année ;
l’argument base-journalière prend alors la valeur de 1.
facteur-amort
Pour certaines formules, vous pouvez indiquer le taux d’amortissement accéléré (en plus de
l’amortissement linéaire). Le paramètre facteur-amort est alors utilisé pour préciser le taux annuel
voulu d’amortissement.
facteur-amort s’exprime sous forme de nombre décimal ou de pourcentage (à l’aide du signe
pourcentage).
Supposons que vous achetiez un nouvel ordinateur. Votre fiscaliste vous apprend qu’il est possible
de l’amortir selon le mode de calcul accéléré. Vous décidez par conséquent de faire appel au taux
d’amortissement de 150 % en amortissement linéaire ; l’argument facteur-amort équivaut donc à 1,5.
368 Chapitre 13 Exemples et rubriques supplémentairesChapitre 13 Exemples et rubriques supplémentaires 369
période-amort
Certaines fonctions renvoient le montant de l’amortissement sur une période précise. C’est
l’argument période-amort qui permet d’indiquer cette période.
période-amort s’exprime sous forme de nombre représentant la période d’amortissement voulue
en s’appuyant sur la même périodicité (par exemple, mensuelle, trimestrielle ou annuelle) pour
l’argument vie.
Supposons que vous achetiez une nouvelle photocopieuse numérique pour votre office. Le prix
d’achat de la photocopieuse s’élève à 2 625 €, taxes comprises. Le vendeur vous facture 100 € pour
la livrer et la mettre en service. La photocopieuse est prévue de fonctionner pour une période de
4 ans, à l’issue de laquelle sa valeur résiduelle est estimée à 400 €. Si vous cherchez à déterminer
l’amortissement relatif à la troisième année, vous devez indiquer la valeur 3 pour l’argument périodeamort.
taux-int-effectif
Les annuités et les investissements présentent un taux d’intérêt effectif, lequel se calcule à partir du
taux nominal (fixe ou coupon) et le nombre de paiements des intérêts par an.
taux-int-effectif s’exprime sous forme de nombre décimal supérieur à 0.
Supposons que vous possédiez un titre dont la valeur nominale est de 1,000,000 € et qu’il vous
rapporte un intérêt annuel de 4,5 % de sa valeur nominale, tous les trimestres, soit un taux effectif
d’environ 4,58 %. L’argument taux-int-effectif correspond alors à 0,0458. Voir aussi la description de
taux-nominal et de nbre-périodes-année.
pér-fin
Certaines fonctions renvoient le principal ou l’intérêt pour une série de paiements donnée. C’est dans
ce cas l’argument pér-fin qui permet d’indiquer le dernier versement à inclure à la valeur renvoyée.
Voir aussi la rubrique traitant de pér-début.
pér-fin s’exprime sous forme de nombre supérieur à 0.
Supposons que vous achetiez une maison. L’hypothécaire vous propose un prêt sur 10 ans dont
le solde de départ est de 200 000 €, un taux d’intérêt annuel de 6,0 %, des versements mensuels
fixés à 1 070,45 € et un solde à refinancer à l’échéance de 100 000 €. Si vous cherchez à connaître le
montant total des intérêts versés la troisième année, vous devez indiquer la valeur 25 pour pér-début
et 36 pour pér-fin.
estimation
Il est nécessaire d’indiquer une estimation du résultat attendu dans le cas de certaines fonctions
financières.
Pour cela, l’argument estimation s’exprime sous forme de nombre décimal. Par exemple, 13 %
s’indique sous la forme 0,13. Si une perte est prévue, estimation peut prendre une valeur négative. Au
cas où estimation est omis, la valeur par défaut correspond à 0,10.
Si vous n’êtes pas en mesure d’évaluer le résultat attendu et que la valeur par défaut n’entraîne pas
de résultat probant, retentez avec une estimation positive supérieure. Si cela ne donne toujours rien,
réessayez avec une estimation négative inférieure.fréquence
Un investissement peut verser parfois un intérêt périodique. L’argument fréquence permet dans ce
cas d’indiquer la périodicité du paiement de l’intérêt.
fréquence correspond au nombre 1, 2 ou 4.
 La valeur 1 indique que l’investissement verse un intérêt annuel.
 La valeur 2 indique que l’investissement verse un intérêt semestriel.
 Enfin, la valeur 4 indique que l’investissement verse un intérêt trimestriel.
Si vous évaluez un bon d’une entreprise privée et qui verse un intérêt trimestriel, vous devez indiquer
la valeur 4 pour l’argument fréquence. Si vous évaluez un bon du Trésor et qui verse un intérêt
semestriel, l’argument fréquence doit alors correspondre à 2.
valeur-future
Une valeur capitalisée constitue un flux de trésorerie versé à la fin de la période d’investissement ou
du prêt ou correspondant au montant résiduel à l’issue du dernier versement.
L’argument valeur-future est indiqué sous forme de nombre, adoptant généralement le format d’une
devise. valeur-future correspondant à un flux de trésorerie, les sommes perçues s’expriment sous
forme de nombres positifs et celles payées, des nombres négatifs.
Supposons que vous envisagiez d’acquérir une maison en ville, la louer pour un certain temps, puis
la revendre. Le prix de vente estimé constitue une valeur-future positive. Dans le cas d’une location à
bail d’un véhicule, prévoyant l’option de l’acquérir à un prix indiqué au terme du bail, le montant du
paiement correspond à une valeur-future négative. Enfin, en ce qui concerne un prêt sur 10 ans à la
fin duquel un versement résiduel reste dû, ce paiement résiduel correspond également à une valeurfuture négative.
montant-investissements
Le montant de départ investi dans un bon s’exprime à l’aide d’montant-investissements.
L’argument montant-investissements est indiqué sous forme de nombre, généralement formaté en
tant que devise. montant-investissements doit être supérieur à 0.
Supposons que vous achetiez un bon d’un montant de 800 €. La valeur d’montant-investissements
correspond alors à 800 €.
370 Chapitre 13 Exemples et rubriques supplémentairesChapitre 13 Exemples et rubriques supplémentaires 371
vie
Les ressources s’amortissent sur une période donnée, connue sous le nom de « durée
d’amortissement » ou de « durée de vie utile attendue ». Dans un but purement comptable, la durée
de vie utile attendue d’un actif est généralement celle utilisée pour l’amortissement, alors que, pour
d’autres fins (telles que le calcul d’un crédit d’impôt), la durée d’amortissement peut être dictée par
des règles ou des pratiques.
vie s’exprime sous forme de nombre supérieur à 0.
Supposons que vous achetiez une nouvelle photocopieuse numérique pour votre office. Le prix
d’achat de la photocopieuse s’élève à 2 625 €, taxes comprises. Le vendeur vous facture 100 € pour la
livrer et la mettre en service. La photocopieuse est prévue de fonctionner pour une période de 4 ans,
à l’issue de laquelle sa valeur résiduelle est estimée à 400 €. Le paramètre vie correspond alors à 4.
taux-nominal
Les annuités et les investissements présentent un taux d’intérêt, lequel se calcule à partir du taux
nominal effectif et le nombre de périodes par an pour le calcul de l’intérêt composé.
taux-nominal s’exprime sous forme de nombre décimal supérieur à 0.
Supposons que vous possédiez un titre dont la valeur nominale est de 1,000,000 € et qu’il vous
rapporte un intérêt annuel de 4,5 % de sa valeur nominale, tous les trimestres, soit un taux effectif
d’environ 4,58 %. La valeur de l’argument taux-nominal correspond alors à 0,045. Voir aussi la
description de taux-int-effectif et de nbre-périodes-année.
nbre-périodes
Le nombre de période (à savoir, l’argument nbre-périodes) correspond aux périodes totales pour un
flux de trésorerie répétitif ou la durée d’un prêt ou de la période d’investissement.
nbre-périodes s’exprime sous forme de nombre en s’appuyant sur la même périodicité (par exemple,
mensuelle, trimestrielle ou annuelle) que celle des arguments associés utilisés par la fonction.
Supposons que vous achetiez une maison. L’hypothécaire vous propose un prêt sur 10 ans dont le
solde de départ est de 200 000 €, un taux d’intérêt annuel de 6,0 %, des versements mensuels fixes
et un solde à refinancer à l’échéance de 100 000 €. nbre-périodes revient alors à 120 (soit 12 paiements
mensuels sur 10 ans). Si vous investissez à présent vos économies dans un certificat de dépôt dont
le terme est à 5 ans et dont les intérêts sont composés tous les trimestres, indiquez la valeur 20 pour
l’argument nbre-périodes (en d’autres termes, 4 périodes trimestrielles composées pendant 5 ans).nbre-périodes-année
Le calcul des taux d’intérêt effectif et nominal dépend du nombre de périodes composées par an.
L’argument nbre-périodes-année permet d’indiquer ce nombre de périodes.
nbre-périodes-année correspond à un nombre supérieur à 0.
Supposons que vous ayez acheté un certificat de dépôt, versant un intérêt composé trimestriel tous
les ans. Si vous cherchez à déterminer le taux d’intérêt effectif, vous devez indiquer la valeur 4 pour
l’argument nbre-périodes-année. Voir aussi la description de taux-int-effectif et de taux-nominal.
valeur-nominale
La valeur nominale d’un titre constitue habituellement sa valeur faciale ou à échéance.
L’argument valeur-nominale est indiqué sous forme de nombre, adoptant généralement le format
d’une devise.
valeur-nominale correspond souvent à un nombre tel que 100, 1 000 ou 1 000 000.
Supposons que vous étudiez la possibilité d’acheter un bon d’une entreprise privée. La brochure du
bon mentionne que chaque bon émis présente une valeur faciale à l’échéance de 1 000 €. Ce sont
ces 1 000 € qui correspondent donc à la valeur nominale du bon.
paiement
Un paiement constitue un flux de trésorerie périodique fixe, perçu ou payé, sur la durée d’un
investissement ou d’un prêt.
L’argument paiement est indiqué sous forme de nombre, adoptant généralement le format d’une
devise. paiement correspondant à un flux de trésorerie, les sommes perçues s’expriment sous forme
de nombres positifs et celles payées, des nombres négatifs.
paiement comprend souvent les éléments appelés principal et intérêt, mais n’inclut généralement
pas d’autres montants.
Supposons que vous envisagiez d’acquérir une maison en ville, la louer pour un certain temps, puis
la revendre. Le montant du paiement mensuel d’une hypothèque correspond à un paiement négatif.
Le montant d’une rente versée chaque mois correspond également à un paiement mais de valeur
positive.
période
Certaines fonctions renvoient la valeur d’un principal ou d’un intérêt sur une période précise. C’est
l’argument période qui permet d’indiquer la période voulue.
période s’exprime sous forme de nombre supérieur à 0.
Supposons que vous achetiez une maison. L’hypothécaire vous propose un prêt sur 10 ans dont le
solde de départ est de 200 000 €, un taux d’intérêt annuel de 6,0 %, des versements mensuels fixés à
1 070,45 € et un solde à refinancer à l’échéance de 100 000 €. Si vous désirez connaître le montant de
l’intérêt du premier paiement la troisième année, vous devez passer la valeur 25 à l’argument période,
les versements s’effectuant tous les mois.
372 Chapitre 13 Exemples et rubriques supplémentairesChapitre 13 Exemples et rubriques supplémentaires 373
taux-actualisation-périodique
Le taux d’escompte constitue le taux d’intérêt représentant le rendement recherché pour déterminer
la valeur (ou l’escompte) d’une série de flux de trésorerie.
taux-actualisation-périodique correspond à un nombre et doit être saisi soit sous la forme d’un
nombre décimal (par exemple 0,08), soit d’un pourcentage (par exemple, 8 %). Il doit être indiqué
en s’appuyant sur la même périodicité que pour les flux de trésorerie. Par exemple, si les flux de
trésorerie sont mensuels et le taux d’escompte annuel souhaité est de 8 %, taux-actualisationpériodique doit être indiqué sous la forme de 0,00667 ou 0,667 % (0,08 divisé par 12).
Supposons que vous étudiez la possibilité d’acquérir une activité commerciale. Dans le cadre de
votre évaluation, vous cherchez à déterminer les flux de trésorerie attendus tous les mois par
l’activité commerciale ainsi que le prix d’achat demandé et le prix de revente futur estimé. Vous
décidez, en comparant l’étude à d’autres options d’opportunités d’investissement et de prises de
risques, que vous n’investirez que si le rendement annuel des flux de trésorerie nets s’élève au moins
à 18 %. Vous devez dans ce cas informer l’argument taux-actualisation-périodique par la valeur 0,015
(c’est-à-dire 0,18/12, puisque les flux de trésorerie sont mensuels).
taux-périodique
Dans certains cas, en étudiant une série de flux de trésorerie, un investissement ou un prêt, il peut
s’avérer nécessaire de connaître le taux d’intérêt de chaque période. Ce taux correspond au tauxpériodique.
taux-périodique s’exprime sous forme de nombre décimal en s’appuyant sur la même périodicité (par
exemple, mensuelle, trimestrielle ou annuelle) que d’autres arguments (nbre-périodes ou paiement).
Supposons que vous achetiez une maison. L’hypothécaire vous propose un prêt sur 10 ans dont le
solde de départ est de 200 000 €, un taux d’intérêt annuel de 6,0 %, des versements mensuels fixes
et un solde à refinancer à l’échéance de 100 000 €. taux-périodique revient alors à 0,005 (soit le taux
annuel divisé par 12 paiements mensuels). Si vous investissez à présent vos économies dans un
certificat de dépôt dont le terme est à 5 ans, dont le taux d’intérêt annuel nominal est de 4,5 % et
dont les intérêts sont composés tous les trimestres, indiquez la valeur 0,0125 pour l’argument tauxpériodique (en d’autres termes le taux annuel divisé par 4 périodes trimestrielles composées).
valeur-actualisée
Une valeur actualisée constitue un flux de trésorerie perçu ou payé en début de période
d’investissement ou de prêt.
L’argument valeur-actualisée est indiqué sous forme de nombre, adoptant généralement le format
d’une devise. valeur-actualisée correspondant à un flux de trésorerie, les sommes perçues s’expriment
sous forme de nombres positifs et celles payées, des nombres négatifs.
Supposons que vous envisagiez d’acquérir une maison en ville, la louer pour un certain temps,
puis la revendre. Le versement de départ pour l’achat (lequel peut consister en un acompte et en
l’acquittement de frais) constitue une valeur-actualisée de valeur négative. Le montant principal de
départ d’un prêt hypothécaire sur une maison représente également une valeur-actualisée mais cette
fois positive.prix
Le prix d’achat constitue le montant réglé pour acquérir un bon ou tout autre titre productif
d’intérêts ou titre de créance. Le prix d’achat n’inclut pas les intérêts courus achetés avec le titre.
L’argument prix s’exprime sous forme de nombre représentant le montant payé pour 100 € de valeur
nominale (prix d’achat/valeur nominale x 100). prix doit être supérieur à 0.
Supposons que vous possédiez un titre possédant une valeur nominale de 1 000 000 €. Si vous
versez 965 000 € au moment de l’achat du titre, à l’exception des intérêts courus le cas échéant, vous
devez indiquer la valeur 96,50 pour l’argument prix (c’est-à-dire 965 000 €/1 000 000 € x 100).
remboursement
Les bons et autres titres de créance productifs d’intérêts présentent généralement un prix de
remboursement fixé. Ce prix correspond au montant à recevoir à l’échéance du titre de créance.
L’argument remboursement s’exprime sous forme de nombre représentant le montant à recevoir pour
100 € de valeur nominale (prix de remboursement/valeur nominale x 100). Souvent, remboursement
correspond à 100, c’est-à-dire que le prix de remboursement du titre est égal à sa valeur nominale.
valeur doit être supérieur à 0.
Supposons que vous possédiez un titre présentant une valeur nominale de 1 000 000 € et pour
lequel vous devez recevoir 1 000 000 € à l’échéance. remboursement doit donc prendre la valeur
100 (à savoir, 1 000 000 €/1 000 000 x 100) car la valeur nominale et le prix de remboursement sont
identiques, lequel cas s’avère courant. Supposons en outre que l’émetteur de ce titre propose de vous
rembourser le titre avant qu’il arrive à échéance et vous offre 1 025 000 € en cas de remboursement
anticipé d’un an. vous devez alors indiquer la valeur 102,50 à l’argument remboursement (c’est-à-dire
1 025 000 €/1 000 000 € x 100).
amortissement comptable
Les actifs possèdent souvent une valeur résiduelle à la fin de leur durée d’amortissement ou de leur
durée de vie utile attendue. C’est la valeur de l’amortissement comptable.
L’argument amortissement comptable est indiqué sous forme de nombre, généralement formaté en
tant que devise. amortissement comptable peut avoir une valeur nulle, mais jamais négative.
Supposons que vous achetiez une nouvelle photocopieuse numérique pour votre office. Le prix
d’achat de la photocopieuse s’élève à 2 625 €, taxes comprises. Le vendeur vous facture 100 € pour la
livrer et la mettre en service. La photocopieuse est prévue de fonctionner pour une période de 4 ans,
à l’issue de laquelle sa valeur résiduelle est estimée à 400 €. Le paramètre amortissement comptable
correspond alors à 400 €.
374 Chapitre 13 Exemples et rubriques supplémentairesChapitre 13 Exemples et rubriques supplémentaires 375
pér-début
Certaines fonctions renvoient le principal ou l’intérêt pour une série de paiements donnée. C’est
dans ce cas l’argument pér-début qui permet d’indiquer le premier versement à inclure à la valeur
renvoyée. Voir aussi la rubrique traitant de pér-fin.
pér-début s’exprime sous forme de nombre supérieur à 0.
Supposons que vous achetiez une maison. L’hypothécaire vous propose un prêt sur 10 ans dont
le solde de départ est de 200 000 €, un taux d’intérêt annuel de 6,0 %, des versements mensuels
fixés à 1 070,45 € et un solde à refinancer à l’échéance de 100 000 €. Si vous cherchez à connaître le
montant total des intérêts versés la troisième année, vous devez indiquer la valeur 25 pour pér-début
et 36 pour pér-fin.
échéance
Les paiements peuvent être planifiés pour tous se réaliser en début ou en fin de période. C’est
l’argument échéance qui indique le moment du versement au cours de la période.
échéance correspond à un argument modal. Il peut prendre la valeur numérique 0 ou 1.
 La valeur 0 précise que le règlement est considéré comme étant effectué en fin de chaque
période. 0 constitue d’ailleurs la valeur par défaut.
 La valeur 1 indique pour sa part que le règlement est considéré comme étant réalisé en début de
période.
Supposons que vous achetiez une maison. L’hypothécaire vous propose un prêt sur 10 ans dont le
solde de départ est de 200,000 €, un taux d’intérêt annuel de 6,0 %, des versements mensuels fixes et
un solde à refinancer à l’échéance de 100,000 €. échéance revient alors à 0 (soit la valeur par défaut)
puisque les règlements sont effectués à la fin de chaque mois. Si vous possédez un appartement que
vous louez et que le loyer est versé le premier de chaque mois, la valeur d’échéance correspond alors
à 1, indiquant ainsi un paiement en début de période mensuelle.
Choix de la valeur temporelle à utiliser pour une fonction
monétaire
Cette rubrique compile des informations complémentaires concernant les fonctions
utilisées pour résoudre les problèmes de valeurs temporelles monétaires. Les
problèmes de valeurs temporelles monétaires, ou de VTM, impliquent des flux de
trésorerie en plus de la durée et des taux d’intérêt. Cette rubrique contient plusieurs
parties.
« Flux de trésorerie et durées réguliers » à la page 376 aborde les fonctions VTM
utilisées en association avec des flux de trésorerie réguliers, des durées et des taux
d’intérêt fixes.
« Flux de trésorerie et durées irréguliers » à la page 377 concerne les fonctions VTM
faisant appel à des flux de trésorerie irréguliers ou des intervalles de temps non
linéaires, ou encore les deux.« Choix d’une fonction pour résoudre des questions courantes d’ordre financier » à la
page 379 traite d’un certain nombre de problèmes de VTM courants (tels que le choix
de la fonction à utiliser pour le calcul d’un intérêt sur un compte d’épargne) ainsi que
les fonctions en œuvre pour résoudre le problème.
Flux de trésorerie et durées réguliers
Les fonctions principales en œuvre avec des flux de trésorerie périodiques réguliers
(tels que les paiements d’un montant fixe et les flux de trésorerie à intervalles
constants) et les taux d’intérêt fixes sont interconnectés.
Fonction et objectif Arguments utilisés par la fonction
La fonction « VC » (page 159) vous permet de
déterminer la valeur capitalisée (c’est-à-dire la
valeur d’un élément dans le futur) qu’une série
de flux de trésorerie aura, en prenant en compte
certains autres facteurs tels que le taux d’intérêt.
La fonction résout la valeur de l’argument valeurfuture.
taux-périodique; nbre-périodes; paiement; valeuractualisée; échéance
La fonction « NPM » (page 129) est prévue pour
calculer le nombre de périodes nécessaires pour
rembourser un prêt ou pour recevoir une annuité,
en tenant compte d’autres facteurs tels que le
taux d’intérêt. La fonction résout la valeur de
l’argument nbre-périodes.
taux-périodique; paiement; valeur-actualisée;
valeur-future; échéance
La fonction « VPM » (page 163) sert à déterminer
le montant nécessaire pour le paiement d’un prêt
ou le versement d’une annuité, en tenant compte
d’autres facteurs tels que le taux d’intérêt. La
fonction résout la valeur de l’argument paiement.
taux-périodique, nbre-périodes, valeur-actualisée,
valeur-future, échéance
La fonction « VA » (page 152) vous permet de
déterminer la valeur actualisée (c’est-à-dire la
valeur actuelle) qu’une série de flux de trésorerie
représente, en prenant en compte certains autres
facteurs tels que le taux d’intérêt. La fonction
résout la valeur de l’argument valeur-actualisée.
taux-périodique; nbre-périodes; paiement; valeurfuture; échéance
La fonction « TAUX » (page 141) sert à déterminer
le taux d’intérêt périodique d’un prêt ou d’une
annuité, en s’appuyant sur d’autres facteurs tels
que le nombre de périodes composant le prêt
ou l’annuité. La fonction résout la valeur de
l’argument taux-périodique.
nbre-périodes; paiement; valeur-actualisée; valeurfuture; échéance; estimation
376 Chapitre 13 Exemples et rubriques supplémentairesChapitre 13 Exemples et rubriques supplémentaires 377
Tel qu’il est illustré dans le présent tableau, ces fonctions VTM résolvent chacune,
et renvoient la valeur de, l’un des cinq principaux arguments lorsque le problème à
résoudre implique des flux de trésorerie périodiques réguliers et des taux d’intérêt
fixes. En outre, les fonctions « INTPER » (page 121) et « PRINCPER » (page 131)
permettent de résoudre les composants des intérêts et principal relatifs au
paiement d’un prêt donné ou d’une annuité indiquée, et les fonctions « CUMUL.
INTER » (page 107) et « CUMUL.PRINCPER » (page 109) servent à déterminer l’intérêt et
le principal d’une série de paiements consécutifs pour un prêt ou une annuité.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« Flux de trésorerie et durées irréguliers » à la page 377
« Arguments communs utilisés dans les fonctions financières » à la page 366
« Liste des fonctions financières » à la page 102
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
Flux de trésorerie et durées irréguliers
Certains problèmes de VTM font état de flux de trésorerie périodiques irréguliers, où
ces flux se constatent régulièrement mais dont le montant varie. D’autres problèmes
impliquent néanmoins des flux de trésorerie irréguliers dans leur fréquence.Fonction et objectif Arguments utilisés par la fonction
La fonction « TRI » (page 148) permet de
déterminer un taux périodique de sorte que la
valeur actualisée nette d’une série de flux de
trésorerie potentiellement irréguliers, réalisés à
des intervalles de temps réguliers, est égale à 0.
Cet élément de calcul est communément appelé
le taux de retour interne (TRI). Le TRI résout la
valeur de l’argument taux-périodique.
flux-intervalle; estimation
flux-intervalle correspond à un ensemble
indiqué de flux de trésorerie pouvant inclure
implicitement un paiement, une valeur-actualisée
et une valeur-future.
La fonction « TRIM » (page 150) permet de
déterminer un taux périodique de sorte que la
valeur actualisée nette d’une série de flux de
trésorerie potentiellement irréguliers, réalisés
à des intervalles de temps réguliers, est égale
à 0. TRIM diffère de TRI dans le sens qu’elle
autorise des flux de trésorerie positifs et négatifs
à s’escompter à un taux différent. Cet élément
de calcul est communément appelé le taux de
retour interne modifié (TRIM). TRIM résout la
valeur de l’argument taux-périodique.
flux-intervalle, taux-finance, taux-réinvestissement
flux-intervalle correspond à un ensemble
indiqué de flux de trésorerie pouvant inclure
implicitement un paiement, une valeur-actualisée
et une valeur-future.
taux-finance et taux-réinvestissement sont des cas
spécifiques à taux-périodique.
La fonction « VAN » permet de déterminer la
valeur actualisée d’une série de flux de trésorerie
pouvant être irréguliers mais réalisés à intervalles
réguliers. Celle-ci est communément appelée la
valeur actualisée nette. VAN résout la valeur de
l’argument valeur-actualisée.
taux-périodique; flux-trésorerie; flux-trésorerie;…
flux-trésorerie, flux-trésorerie… correspond à
une série donnée d’une ou de plusieurs flux
de trésorerie pouvant inclure implicitement un
paiement, une valeur-actualisée et une valeurfuture.
Rubriques connexes :
Pour connaître les fonctions connexes et pour en savoir plus, reportez-vous à l’
« Flux de trésorerie et durées réguliers » à la page 376
« Arguments communs utilisés dans les fonctions financières » à la page 366
« Liste des fonctions financières » à la page 102
« Types de valeur » à la page 39
« Éléments des formules » à la page 15
« Utilisation du clavier et de la souris pour créer et modifier des formules » à la page 28
378 Chapitre 13 Exemples et rubriques supplémentairesChapitre 13 Exemples et rubriques supplémentaires 379
Choix d’une fonction pour résoudre des questions courantes d’ordre
financier
Cette rubrique décrit certaines des questions courantes qu’il peut être intéressant
de se poser. Elle répertorie en outre les différentes fonctions financières qui peuvent
s’avérer utiles. Voici donc les questions d’ordre financier que vous pouvez vous poser
et les fonctions prévues pour y répondre. Des usages plus complexes des fonctions
financières sont décrits dans les rubriques « Flux de trésorerie et durées réguliers » à
la page 376, « Flux de trésorerie et durées irréguliers » à la page 377 et « Exemple de
tableau d’amortissement pour un prêt » à la page 381.
Si vous voulez savoir Cette fonction peut vous être utile
Épargne
Le taux d’intérêt effectif d’un investissement
ou d’un compte d’épargne versant un intérêt
régulièrement
« TAUX.EFFECTIF » (page 144)
Combien un CD peut valoir à l’échéance « VC » (page 159). Notez que le paiement prend
la valeur 0.
Le taux d’intérêt nominal d’un CD où l’émetteur
aura indiqué le « taux effectif »
« TAUX.NOMINAL » (page 147)
Combien d’années sont nécessaires pour
économiser un montant donné, en connaissant
les dépôts mensuels effectués sur un compte
d’épargne
« NPM » (page 129). Notez que la valeur-actualisée
correspond alors au montant déposé au début et
qu’elle peut être 0.
Quel montant est nécessaire chaque mois pour
atteindre un objectif d’épargne à l’issue d’un
nombre d’années donné
« VPM » (page 163). Notez que la valeur-actualisée
correspond alors au montant déposé au début et
qu’elle peut être 0.
Prêts
L’intérêt payé sur un prêt pendant la troisième
année
« CUMUL.INTER » (page 107)
Le principal payé sur un prêt pendant la troisième
année
« CUMUL.PRINCPER » (page 109)
L’intérêt inclus dans le 36
e
remboursement d’un
prêt
« INTPER » (page 121)
Le principal inclus dans le 36
e
remboursement « PRINCPER » (page 131)
Investissement sur des bons Si vous voulez savoir Cette fonction peut vous être utile
Le montant de l’intérêt à ajouter au prix d’achat
d’un bon
« INTERET.ACC » (page 118) ou « INTERET.ACC.
MAT » (page 120)
Le nombre de coupons payés entre l’achat d’un
bon et son échéance
« NB.COUPONS » (page 124)
Le taux d’escompte annuel d’un bon vendu
avec un escompte par rapport à son prix de
remboursement et qui ne verse aucun intérêt
(souvent connu sous le nom de « bon à coupon
zéro »
« TAUX.ESCOMPTE » (page 145)
Le taux d’intérêt effectif annuel d’un bon qui ne
verse d’intérêts qu’à échéance (pas de paiement
périodique, mais le bon présente bel et bien un
taux d’intérêt nominal)
« TAUX.INTERET » (page 146)
Le prix d’achat attendu d’un bon versant un
intérêt périodique, un bon vendu à un prix réduit
et qui ne verse aucun intérêt ou un bon qui ne
verse d’intérêts qu’à l’échéance
« PRIX.TITRE » (page 133), « VALEUR.
ENCAISSEMENT » (page 154) et « PRIX.TITRE.
ECHEANCE » (page 134)
Le montant reçu sur un bon qui ne verse
d’intérêts qu’à échéance (aucun paiement
périodique mais présentant bel et bien un taux
d’intérêt nominal), intérêts compris
« VALEUR.NOMINALE » (page 156)
Le taux d’intérêt effectif annuel d’un bon versant
un intérêt périodique, un bon vendu à un prix
réduit et qui ne verse aucun intérêt ou un bon
qui ne verse d’intérêts qu’à l’échéance
« RENDEMENT.TITRE » (page 137), « RENDEMENT.
SIMPLE » (page 136) et « RENDEMENT.TITRE.
ECHEANCE » (page 139)
Amortissement
Le montant d’amortissement périodique d’un
actif en faisant appel à la méthode du solde
dégressif linéaire
« DB » (page 111)
L’amortissement périodique d’un actif à l’aide de
la méthode du solde dégressif, telle que celle du
« double solde dégressif »
« DDB » (page 113)
L’amortissement périodique d’un actif par le biais
de la méthode linéaire
« AMORLIN » (page 106)
Le montant d’amortissement périodique
d’un actif en s’appuyant sur la méthode
de l’amortissement proportionnel à l’ordre
numérique inversé des années
« SYD » (page 140)
L’amortissement total sur une période donnée
pour un actif amorti à l’aide de la méthode du
solde dégressif
« VDB » (page 161)
380 Chapitre 13 Exemples et rubriques supplémentairesChapitre 13 Exemples et rubriques supplémentaires 381
Exemple de tableau d’amortissement pour un prêt
L’exemple présent utilise les fonctions INTPER, PRINCPER et VPM pour établir un
tableau d’amortissement d’un prêt. Les informations renvoyées par INTPER, PRINCPER
et VPM s’apparentent. Elles sont illustrées dans l’exemple.Élaboration du tableau d’amortissement
Supposons que vous cherchiez à établir un tableau d’amortissement retraçant toutes les périodes
d’un prêt dont le montant principal de départ est de 50 000 €, sa durée de 2 ans, un taux d’intérêt
annuel de 7 % et un solde dû à la fin du terme de 30 000 €. La première partie de votre tableau
d’amortissement (dont les formules sont reprises ici) peut se présenter comme suit :
Explications du contenu des cellules
La cellule B6 utilise la fonction VPM pour calculer le montant de chaque paiement mensuel. Notez
que son résultat correspond alors au total de l’intérêt et du principal pour chaque mois (par exemple,
C9 + D9) tel qu’illustré pour la cellule F9.
Les cellules C9 et D9 s’appuient sur INTPER et PRINCPER pour calculer la part de chaque paiement
mensuel correspondant respectivement à l’intérêt et au principal. Notez qu’INTPER revient à
soustraire PRINCPER de VPM et que, à l’inverse, PRINCPER revient à soustraire INTPER de VPM.
382 Chapitre 13 Exemples et rubriques supplémentairesChapitre 13 Exemples et rubriques supplémentaires 383
Tableau d’amortissement rempli
Pour achever l’élaboration du tableau, il suffit de sélectionner les cellules A10:A11 et d’étendre la
sélection à A32 pour inclure les 24 périodes constituant la simulation du prêt. Sélectionnez C9:F9 puis
étendez la sélection à C32:F32 pour terminer l’établissement des formules. Voici le tableau complet
reprenant l’intégralité de l’amortissement avec les formules indiquées dans le tableau précédent.
Commentaires finaux
Notez que les valeurs renvoyées par INTPER (en colonne C) et de PRINCPER (en colonne D) s’ajoute
tous les mois au VPM calculé dans la cellule B6 (tel qu’indiqué dans la colonne F). Il est également
important de noter que le principal final résiduel, repris dans la cellule E32, correspond à 30 000 €, tel
qu’il est indiqué par l’argument résiduel de la cellule B4.
En savoir plus sur les arrondis
iWork prend en charge de nombreuses fonctions différentes servant à arrondir les
nombres. Cette rubrique compare ces fonctions.Pour Utilisez cette fonction Commentaires
Arrondir un nombre en
s’éloignant de zéro, au multiple
le plus proche
« PLAFOND » (page 201) L’arrondi s’effectue par pas,
par exemple l’arrondi à un
multiple de 10 le plus proche.
Ces arrondis se font en
« s’éloignant » de zéro, c’est-
à-dire que =PLAFOND(0,4; 1)
donne 1 et =PLAFOND(–0,4; –1)
renvoie – 1.
Arrondir un nombre en
s’éloignant de zéro, au nombre
pair le plus proche
« PAIR » (page 199) L’arrondi correspond au nombre
le plus proche, de sorte que le
résultat est divisible par deux
sans obtenir de reste. L’arrondi
se fait en « s’éloignant » de zéro,
de sorte que =PAIR(0,4) renvoie
2 et =PAIR(–0,4) renvoie – 2.
Arrondir un nombre vers zéro,
au multiple le plus proche
« PLANCHER » (page 202) L’arrondi s’effectue par pas, par
exemple l’arrondi à un multiple
de 10 le plus proche. L’arrondi
se fait vers zéro, c’est-à-dire que
=PLANCHER(0,4; 1) donne 0 et
=PLANCHER(–0,4; –1) renvoie 0.
Arrondir un nombre à l’entier
inférieur ou égal le plus proche
« ENT » (page 190) L’arrondi se calcule au nombre
entier inférieur ou égal le
plus proche. Par conséquent,
=INT(0,4) renvoie 0 et =INT(–0,4)
renvoie – 1.
Arrondir un nombre au multiple
le plus proche
« ARRONDI.
AU.MULTIPLE » (page 185)
L’arrondi correspond au multiple
le plus proche . PLAFOND,
laquelle arrondit au multiple le
plus proche. Par conséquent,
=ARRONDI.AU.MULTIPLE(4, 3)
renvoie 3, 4 étant plus
proche de 3 que du multiple
de 3 suivant, à savoir 6.
=PLAFOND(4, 3) renvoie 6, c’est-
à-dire le multiple de 3 le plus
proche en arrondissant.
Arrondir un nombre en
s’éloignant de zéro, au nombre
impair le plus proche
« IMPAIR » (page 193) L’arrondi correspond au
nombre le plus proche, de
sorte que le résultat n’est pas
divisible par deux sans obtenir
de reste. L’arrondi se fait en
« s’éloignant » de zéro, de sorte
que =IMPAIR(1,4) renvoie 3 et
=IMPAIR(–1,4) renvoie – 3.
384 Chapitre 13 Exemples et rubriques supplémentairesChapitre 13 Exemples et rubriques supplémentaires 385
Pour Utilisez cette fonction Commentaires
Arrondir un nombre au nombre
de décimales indiqué
« ARRONDI » (page 184) Un nombre positif représente
le nombre de chiffres à droite
du séparateur décimal (c’est-à-
dire le nombre de décimales)
à inclure dans le nombre
arrondi. Un nombre négatif
indique le nombre de chiffres à
gauche du séparateur décimal
à remplacer par des zéros (le
nombre de zéro à la fin du
nombre). Le nombre est arrondi
d’après ce schéma. Ainsi,
=ARRONDI(1125; –2) renvoie
« 1 100 » et =ARRONDI(1155; –2)
renvoie « 1 200 ». Le calcul
de l’arrondi se fait en
« s’éloignant » de zéro, c’est-à-
dire que =ARRONDI(–1125; –2)
renvoie « – 1 100 » et
=ARRONDI(–1155; –2) renvoie
« – 1 200 ».
Arrondir un nombre vers zéro au
nombre de décimales indiqué
« ARRONDI.INF » (page 186) Un nombre positif représente
le nombre de chiffres à droite
du séparateur décimal (c’est-à-
dire le nombre de décimales)
à inclure dans le nombre
arrondi. Un nombre négatif
indique le nombre de chiffres à
gauche du séparateur décimal
à remplacer par des zéros (le
nombre de zéro à la fin du
nombre). Le nombre est arrondi
d’après ce schéma. Ainsi,
=ARRONDI(–1125; –2) renvoie
« 1 100 » et =ARRONDI(–1155; –2)
renvoie « 1 100 ». Dans
le même ordre d’esprit,
=ARRONDI(–1125; –2)
renvoie « –1 100 » et
=ARRONDI(–1155; –2) renvoie
également « –1 100 ».Pour Utilisez cette fonction Commentaires
Arrondir un nombre en
s’éloignant de zéro au nombre
de décimales indiqué
« ARRONDI.SUP » (page 187) Un nombre positif représente
le nombre de chiffres à droite
du séparateur décimal (c’est-à-
dire le nombre de décimales)
à inclure dans le nombre
arrondi. Un nombre négatif
indique le nombre de chiffres à
gauche du séparateur décimal
à remplacer par des zéros (le
nombre de zéro à la fin du
nombre). Le nombre est arrondi
d’après ce schéma. Ainsi,
=ARRONDI(1125; –2) renvoie
« 1 200 » et =ARRONDI(–1155; –2)
renvoie « 1 200 ». Dans
le même ordre d’esprit,
=ARRONDI(–1125; –2)
renvoie « – 1 200 » et
=ARRONDI(–1155; –2) renvoie
également « – 1 200 ».
Tronquer un nombre au nombre
de décimales indiqué
« TRONQUE » (page 220) Un nombre positif représente
le nombre de chiffres à droite
du séparateur décimal (c’est-à-
dire le nombre de décimales)
à inclure dans le nombre. Un
nombre négatif indique le
nombre de chiffres à gauche du
séparateur décimal à remplacer
par des zéros (le nombre de
zéro à la fin du nombre). Les
chiffres en trop sont retirés
du nombre de départ. Ainsi,
=TRONQUE(1125; –2) renvoie
« 1 100 » et =TRONQUE(1155; –2)
renvoie également « 1 100 ».
Association de fonctions logiques et de fonctions
d’information
Les fonctions logiques et les fonctions d’information sont souvent utilisées ensemble
dans une formule. Bien que les fonctions logiques sont utilisées seules, cela reste rare
pour une fonction d’information. Cette rubrique inclut des exemples plus complexes
pour illustrer l’utilisation de plusieurs fonctions logiques et d’information dans une
même formule, lesquels cas peuvent s’avérer très efficaces.
386 Chapitre 13 Exemples et rubriques supplémentairesChapitre 13 Exemples et rubriques supplémentaires 387
Ajout de commentaires d’après le contenu de cellules
L’exemple présent s’appuie sur les fonctions SI, ET, OU et ESTVIDE pour ajouter des
commentaires à un tableau d’après le contenu de cellules. La fonction SI s’avère
puissante, particulièrement lorsqu’elle est associée à d’autres fonctions logiques telles
que OU et ET.
Supposons que vous soyez un professeur de lycée et que l’un des assistants gradués
vous ait rendu un tableau contenant le nom des étudiants et leurs résultats au dernier
examen. Vous cherchez à identifier rapidement les cas suivants :
 L’étudiant a la moyenne, mais est invité à un cours particulier de maintien (notes
entre 61 et 75).
 L’évaluation est impossible (par exemple, une note négative à l’examen, supérieure
à 100 ou pas de note).
 L’élève a échoué à l’examen (note de 60 ou inférieure).
En scindant les notes en parties, les fonctions ci-dessous déterminent chacun des
éléments que vous voulez connaître. Une fois réunis, vous êtes en mesure de parcourir
rapidement le tableau et consulter les renseignements voulus. Dans le cadre des
expressions ci-dessous, partons du principe que le nom du premier étudiant se trouve
en cellule A2, et que la première note se situe dans la cellule B2.
Expression 1
=ET(B2>60; B2<=75) évalue l’éventualité d’une note faible. Si la note se situe entre 61 et 75, la
fonction ET renvoie VRAI, c’est-à-dire que l’étudiant doit venir au cours particulier de soutien. Dans le
cas contraire, elle renvoie FAUX.
Expression 2
=OU(ESTVIDE(B2); B2<0; B2>100) évalue si les données ne sont pas valides. La première expression
dans la fonction OU, « NONVIDE(B2) », donne la valeur VRAI si aucune note n’est indiquée. Le
deuxième argument renvoie VRAI si la note est négative. Quant à la troisième expression, elle renvoie
VRAI si la note dépasse 100. OU renvoie ainsi VRAI si n’importe laquelle des conditions évaluées
correspond à VRAI, indiquant que les données ne sont pas valides d’une façon ou d’une autre. La
fonction OU renvoie FAUX si aucune des conditions n’est VRAIE ; les données sont donc valides.
Expression 3
=B2<=60 évalue si la note n’atteint pas la moyenne. Cette expression renvoie VRAI si la note se
trouve à 60 ou en-dessous, une note entraînant le recalage de l’étudiant. Dans le cas contraire, elle
renvoie FAUX.Association au sein d’une fonction SI
=SI(ET(B2>60; B2<=75); "Cours de soutien"; SI(OU(ESTVIDE(B2); B2<0; B2>100); "Données non valides";
SI(B2<=60; "Examen échoué"; "")))
Si l’expression de test (identique à l’expression 1 citée ci-dessus) dans la première fonction SI renvoie
la valeur VRAI, la fonction globale renvoie « Cours de soutien ». Dans le cas contraire, elle passe à
l’argument FAUX, à savoir la deuxième fonction SI.
Si l’expression de test (identique à l’expression 2 ci-dessus) de la seconde fonction SI renvoie la
valeur VRAI, la fonction globale renvoie « Données non valides ». Dans le cas contraire, elle passe à
l’argument FAUX, à savoir la troisième fonction SI.
Enfin, si l’expression de test (identique à l’expression 3) de la troisième fonction SI renvoie la valeur
VRAI, la fonction globale renvoie « Examen échoué ». Dans le cas contraire, l’expression renvoie une
valeur vide ("").
Le résultat peut ressembler au tableau suivant.
Interception de division par zéro
Il n’est pas toujours possible d’élaborer un tableau de sorte à éviter une opération de
division par zéro. Cependant, si le cas se présente, le résultat renvoie alors une valeur
d’erreur dans la cellule, ce qui s’avère généralement peu désirable. L’exemple suivant
propose trois méthodes pour éviter ce type d’erreur.
Exemples
Supposons que les cellules D2 et E2 contiennent chacune un nombre. E2 peut éventuellement
contenir 0. Vous pouvez chercher à diviser D2 par E2, mais voulez éviter une erreur de division par
zéro. Chacune des trois méthodes suivantes renvoient 0 si la cellule E2 est égale à zéro ; dans le cas
contraire, chacune d’entre elles renvoie le résultat de D2/E2.
=SI(E2=0; 0; D2/E2) fonctionne en testant directement la cellule E2 pour savoir si elle correspond à 0.
=SI.ERREUR(D2/E2; 0) permet de renvoyer 0 si une erreur survient. Une division par zéro constitue
une erreur.
=SI(SI.ERREUR(D2/E2); 0; D2/E2) sert à effectuer un test logique sur l’opération D2/E2 pour savoir si le
résultat renvoie VRAI.
388 Chapitre 13 Exemples et rubriques supplémentairesChapitre 13 Exemples et rubriques supplémentaires 389
Usage de conditions et de jokers
Certaines fonctions, telles que SOMME, s’appliquent à des intervalles entiers. D’autres
fonctions, telles que SOMME.SI, ne s’appliquent qu’à des cellules de l’intervalle
répondant à une condition. Il peut s’avérer judicieux d’additionner, entre autres, tous
les nombres inférieurs à 5 de la colonne B. Pour ce faire, utilisez par exemple =SOMME.
SI(B; "<5"). Le second argument de SOMME.SI correspond à une condition car elle dicte
à la fonction s’il convient d’ignorer des cellules ne répondant pas aux critères indiqués.
Il existe deux types de fonctions qui acceptent des conditions. Le premier type
englobe les fonctions dont le nom se termine par .SI ou .SIS (sauf la fonction SI qui ne
reçoit pas de condition mais une expression à évaluer par la valeur VRAI ou FAUX). Ces
fonctions peuvent réaliser des comparaisons de nombres au sein de leurs conditions,
par exemple « >5 », « <=7 » ou « <>2 ». Elles acceptent également des jokers dans
leurs conditions. Par exemple, pour compter le nombre de cellules de la colonne B,
commençant par la lettre « a », vous pouvez utiliser =SOMME.SI(B; "a*").
Le second groupe de fonctions acceptent les conditions, telles que RECHERCHEH, mais
ne peuvent pas évaluer les conditions incluant les nombres. Ces fonctions autorisent
parfois l’usage de jokers.
Fonction Autorise les comparaisons de
nombres
Accepte les jokers
MOYENNE.SI Oui Oui
MOYENNE.SIS Oui Oui
NB.SI Oui Oui
NB.SIS Oui Oui
SOMME.SI Oui Oui
SOMME.SIS Oui Oui
RECHERCHEH Non Si la correspondance exacte est
précisée
EQUIV Non Si la correspondance exacte est
précisée
RECHERCHEV Non Si la correspondance exacte est
précisée
Des exemples de conditions, avec ou sans joker, sont illustrés dans la présente
rubrique.Expression Exemple
">4" désigne toute valeur correspondant à tout
nombre supérieur à 4.
=NB.SI(B2:E7; “>4") renvoie le nombre de valeurs,
issues des cellules incluses dans l’intervalle B2:E7,
supérieures à 4.
">7" désigne toute valeur correspondant à tout
nombre supérieur ou égal à 7.
=SOMME.SI(B; ">=7") additionne les cellules
de la colonne B et qui contiennent une valeur
supérieure ou égale à 7.
"<=5" en association avec ">=15" se rapporte à
l’équivalence à tout nombre inférieur ou égal à 5
ou supérieur ou égal à 15. Les nombres de 6 à 14
inclus ne sont alors pas pris en compte.
=SOMME.SI(A3:B12; "<=5")+SOMME.SI(A3:B12;
">=15") additionne les cellules incluses dans
l’intervalle A3:B12 contenant une valeur inférieure
ou égale à 5 ou supérieure ou égale à 15.
"*it" désigne toute valeur se terminant par « it ».
L’astérisque (*) correspond à n’importe quelle
séquence de caractères.
=NB.SI(B2:E7; "*it") renvoie le nombre de valeurs,
issues des cellules incluses dans l’intervalle
B2:E7, terminant par « it » telles que « bit » ou
« cockpit ». Elle ne renvoie pas de valeur telle que
« termite ».
"~*" se rapporte à l’astérisque en tant que tel
(*). Le caractère tilde (~) indique à l’application
de prendre le caractère suivant dans sa forme
littérale plutôt que de l’utiliser en tant que joker.
=NB.SI(E; "~*") renvoie le nombre de valeurs,
issues des cellules de la colonne E, et qui
contiennent le caractère astérisque.
B2 & ", " & E2 renvoie le contenu des cellules B2 et
E2 séparé par une virgule et un espace.
=B2&", "&E2 renvoie « Dernier, Premier » si B2
contient « Dernier » et si E2 reprend « Premier ».
« ?ip » signifie toute valeur commençant par un
seul caractère suivi de « ip ».
=NB.SI(B2:E7; "?ip") renvoie le nombre de valeurs,
issues des cellules incluses dans l’intervalle B2:E7,
commençant par un caractère suivi de « ip »
telles que « bip » ou « VIP ». Elle ne renvoie pas de
valeur telle que « VOIP » ou « fripe ».
"~?" se rapporte au point d’interrogation en
tant que tel (?). Le caractère tilde (~) indique à
l’application de prendre le caractère suivant dans
sa forme littérale plutôt que de l’utiliser en tant
que joker.
=CHERCHE("~?"; B2) renvoie 19 si la cellule B2
contient « Quelle question poser ? Celle-ci, tout
simplement. », puisque le point d’interrogation
correspond au 23
e
caractère dans la chaîne.
"*in?" revient à indiquer toute valeur
commençant par n’importe quel nombre de
caractères suivis de « in » puis un seul caractère
final.
=NB.SI(B2:E7; "*in?") renvoie le nombre de valeurs,
issues des cellules incluses dans l’intervalle B2:E7,
commençant par n’importe quel nombre de
caractères (y compris aucun) suivis de « in » puis
d’un seul caractère final. Cela peut correspondre à
des mots tels que « usine », « opina » ou « peint ».
En seraient exclus des mots tels que « teinte »
(ayant deux caractères après « in ») ou « loin » (ne
possédant aucun caractère après « in »).
390 Chapitre 13 Exemples et rubriques supplémentairesChapitre 13 Exemples et rubriques supplémentaires 391
Exemple de résultats d’une étude
Cet exemple compile les illustrations utilisées dans les fonctions statistiques. Il s’appuie
sur une étude fictive. Cette étude est courte (seulement cinq questions) et prévoit un
nombre très limité de sondés (10). Chaque question peut être répondue d’après une
échelle de 1 à 5 (pouvant se présenter sous la forme de réponses allant de « jamais »
à « toujours ») ou peuvent être laissées sans réponse. Chaque copie se voit attribuée
un numéro avant leur envoi par courrier. Le tableau suivant reprend les résultats. Les
questions dont la réponse n’est pas prévue à l’avance (incorrecte) ou non répondues
sont indiquées d’une cellule vide dans le tableau.
Pour illustrer des fonctions précises, supposons que le numéro de contrôle de l’étude
inclut un préfixe alphabétique allant de A à E au lieu de 1 à 5. Le tableau ressemble
alors à ce qui suit :
À l’aide du présent tableau de données et de quelques unes des fonctions statistiques
proposées dans iWork, vous pouvez rassembler des informations relatives aux résultats
de l’étude. Gardez simplement à l’esprit que l’exemple reste volontairement réduit
et les résultats peuvent paraître évidents. Cependant, si vous disposez de 50 sondés,
100 ou plus encore, et de plus de questions, les résultats peuvent alors ne plus être
aussi évidents.Fonction et arguments Description du résultat
=COEFFICIENT.CORRELATION(B2:B11; C2:C11) Détermine la corrélation de la question 1 et de
la question 2 à l’aide de l’analyse par régression
linéaire. La corrélation constitue une mesure
du degré de changement simultané de deux
variables (dans notre cas, les réponses aux
questions de l’étude). Plus précisément, cela
revient à se poser la question suivante : si un
sondé répond à la question 1 dont la valeur est
supérieure (ou inférieure) à la moyenne de cette
question, le sondé répond-il aussi à la question
2 avec une valeur supérieure (ou inférieure) à la
moyenne de la question 2 ? Dans le cas présent,
les réponses ne sont pas particulièrement
corrélées (–0,1732)
=NB(A2:A11) ou =NBVAL(A2:A11) Détermine le nombre total de questionnaires
renvoyés (10). Notez que si l’identifiant de
contrôle de l’étude ne correspond pas à un
nombre, vous devez faire appel à NBVAL plutôt
qu’à NB.
=NB(B2:B11) ou =NBVAL(B2:B11) Détermine le nombre total de réponses à la
première question (9). En étendant cette formule
sur la rangée, vous pouvez déterminer le nombre
total de réponses à chaque question. Dans la
mesure où toutes les données sont des nombres,
NBVAL renvoie les mêmes résultats. Cependant,
si l’étude utilise des réponses de A à E plutôt que
de 1 à 5, vous devez faire appel à NBVAL pour
additionner les résultats.
392 Chapitre 13 Exemples et rubriques supplémentairesChapitre 13 Exemples et rubriques supplémentaires 393
Fonction et arguments Description du résultat
=NB.VIDE(B2:B11) Détermine le nombre de cellules vides,
représentant des réponses non valides ou aucune
réponse du tout. Si vous étendez cette formule
à toute la rangée, vous pouvez remarquer que la
question 3 (colonne D) présente 3 réponses non
valides ou sans réponse. Cela peut vous obliger
à regarder de plus près la question dans l’étude
pour savoir si sa formulation s’avère controversée
ou imprécise, si d’autres questions ne dépassent
pas 1 seule réponse incorrecte ou aucune
réponse.
=NB.SI(B2:B11; "=5") Détermine le nombre de sondés ayant attribué
un 5 à une question donnée (dans notre cas, la
question 1). Si vous étendez cette formule à toute
la rangée, vous pouvez remarquer que seules les
questions 3 et 4 ont vu un nombre quelconque
de sondés leur attribuer un 5. En cas d’utilisation
des notes de A à E pour la plage de données,
vous devez alors utiliser =NB.SI(B2:B11; "=E")
=COVARIANCE(B2:B11; C2:C11) Détermine la covariance des questions 1 et 2.
La covariance constitue une mesure du degré
de changement simultané de deux variables
(dans notre cas, les réponses aux questions de
l’étude). Plus précisément, cela revient à se poser
la question suivante : si un sondé répond à la
question 1 dont la valeur est supérieure (ou
inférieure) à la moyenne de cette question, le
sondé répond-il aussi à la question 2 avec une
valeur supérieure (ou inférieure) à la moyenne de
la question 2 ?
Remarque : COVARIANCE ne fonctionne pas
si le tableau fait appel à une échelle de A à E,
puisqu’elle impose l’usage d’arguments exprimés
sous forme de nombres.Fonction et arguments Description du résultat
=ECARTYPE(B2:B11) ou =ECARTYPEP(B2:B11) Détermine l’écart-type, à savoir une mesure
de dispersion, des réponses à la question 1. Si
vous étendez cette formule à toute la rangée,
vous pouvez remarquer que les réponses à
la question 3 présentent l’écart-type le plus
élevé. Si les résultats représentent les réponses
de l’intégralité de la population étudiée, par
opposition à un simple échantillon représentatif,
la fonction ECARTYPEP est alors à utiliser plutôt
qu’ECARTYPE. Notez qu’ECARTYPE correspond à
la racine carrée de VAR.
=VAR(B2:B11) ou =VARP(B2:B11) Détermine la variance, à savoir une mesure de
dispersion, des réponses à la question 1. Si vous
étendez cette formule à toute la rangée, vous
pouvez remarquer que les réponses à la question
5 présentent la variance la plus faible. Si les
résultats représentent les réponses de l’intégralité
de la population étudiée, par opposition à un
simple échantillon représentatif, la fonction VAR.P
est alors à utiliser plutôt que VAR. Notez que VAR
correspond au carré de ECARTYPE.
394 Chapitre 13 Exemples et rubriques supplémentaires
iPod shuffle
Guide de
l’utilisateur2
Table des matières
3 Premiers contacts
4 Configuration requise
6 Quatre étapes pour écouter de la musique sur votre iPod shuffle
9 Transfert et lecture de votre musique
9 Utilisation d’iTunes pour organiser votre musique sur votre ordinateur
10 Transfert de musique vers l’iPod shuffle
15 Utilisation des commandes de l’iPod shuffle
18 Recharge de la batterie
20 Stockage de fichiers sur l’iPod shuffle
23 Accessoires de l’iPod shuffle
25 Astuces et dépannage
29 En savoir plus, service et assistance
31 Sécurité et entretien3
1 Premiers contacts
Apple vous félicite pour l’acquisition de votre
iPod shuffle. Lisez cette rubrique afin de vous
familiariser rapidement avec l’iPod shuffle.
L’iPod shuffle fonctionne avec votre ordinateur. Importez des morceaux à partir de
votre collection de musique sur CD ou de l’iTunes Music Store (disponible dans certains
pays uniquement) vers votre ordinateur, puis connectez l’iPod shuffle pour transférer
des morceaux choisis à écouter partout où vous allez.4 Premiers contacts
Configuration requise
Pour utiliser l’iPod shuffle avec un Macintosh, vous devez disposer des éléments
suivants :
• Un Macintosh avec port USB intégré. Pour recharger l’iPod shuffle, connectez-le à un
port USB à forte alimentation. Pour optimiser la rapidité des transferts, connectez-le
à un port USB 2.0.
• Mac OS X 10.2.8, Mac OS X 10.3.4 ou ultérieur.
Pour utiliser des ports USB à faible alimentation, vous devez disposer de Mac OS X
10.3.6 ou ultérieur.
• iTunes 4.7.1 ou ultérieur (iTunes étant disponible sur le CD de l’iPod).
Pour vérifier que vous disposez de la dernière version d’iTunes, allez à l’adresse
www.apple.com/fr/itunes.
• Le logiciel de l’iPod (inclus sur le CD de l’iPod).
Pour utiliser l’iPod shuffle avec un PC sous Windows, vous devez disposer des
éléments suivants :
• Un PC sous Windows avec un port USB intégré ou une carte USB. Pour recharger
l’iPod shuffle, connectez-le à un port USB à forte alimentation. Pour effectuer des
transferts rapides, connectez-le à un port USB 2.0.
• Windows 2000 avec le Service Pack 4 ou ultérieur ; Windows XP Édition Familiale
ou Professionnel avec le Service Pack 2 ou ultérieur
• iTunes 4.7.1 ou ultérieur (iTunes étant disponible sur le CD de l’iPod).
Pour vérifier que vous disposez de la dernière version d’iTunes, allez à l’adresse
www.apple.com/fr/itunes.
• Le logiciel de l’iPod (inclus sur le CD de l’iPod).Premiers contacts 5
Important : si l’iPod shuffle ne s’adapte pas aux ports USB de votre ordinateur, vous
pouvez utiliser un socle iPod shuffle Dock ou un câble d’extension USB. Ces accessoires
sont disponibles sur www.apple.com/francestore.
Votre iPod shuffle comprend les éléments suivants :
iPod shuffle
Capuchon USB
Cordon
Écouteurs Apple Earphones6 Premiers contacts
Quatre étapes pour écouter de la musique sur votre
iPod shuffle
Pour configurer l’iPod shuffle, installez le logiciel se trouvant sur le CD de l’iPod et
importez des morceaux à partir de votre collection de musique sur CD ou de l’iTunes
Music Store (disponible dans certains pays uniquement). Transférez ensuite les
morceaux vers l’iPod shuffle pour les écouter partout où vous allez.
Étape 1 : Installation du logiciel
Insérez le CD de l’iPod dans votre ordinateur, puis installez iTunes et le logiciel de l’iPod.
Étape 2 : Importation de musique sur votre ordinateur
Terminez cette étape si vous n’avez pas encore transféré de la musique sur votre
ordinateur. Vous pouvez soit importer de la musique provenant de vos CD audio, soit
(si vous disposez d’une connexion à Internet) acheter de la musique en ligne et la
télécharger sur votre ordinateur via la boutique iTunes Music Store. Vous pouvez faire
votre choix parmi un million de morceaux et écouter un extrait de 30 secondes de
n’importe quelle chanson.
Pour importer la musique de vos CD audio dans votre ordinateur :
1 Insérez un CD dans votre ordinateur. iTunes s’ouvre automatiquement et le CD est
sélectionné dans la liste Source d’iTunes.
2 Désélectionnez les morceaux que vous ne souhaitez pas transférer puis cliquez sur
Importer.
3 Répétez l’opération pour tout autre CD avec des morceaux que vous voulez importer.
Pour acheter de la musique en ligne :
1 Ouvrez iTunes, puis cliquez sur Music Store dans la liste Source.Premiers contacts 7
2 Cliquez sur le bouton Compte puis suivez les instructions à l’écran pour créer un
compte ou saisir les informations de votre compte Apple ou AOL (America Online) ;
cette option est disponible dans certains pays uniquement.
Étape 3 : Connectez l’iPod shuffle pour recharger la batterie et transférer de la
musique
Retirez le cache USB de l’iPod shuffle et connectez l’iPod shuffle à un port USB à forte
alimentation sur votre ordinateur. Pour optimiser la rapidité des transferts, connectez
l’iPod shuffle à un port USB 2.0.
Important : si l’iPod shuffle ne s’adapte pas aux ports USB de votre ordinateur, vous
pouvez utiliser un socle iPod shuffle Dock ou un câble d’extension USB, disponibles sur
www.apple.com/francestore.
Insérez l’iPod shuffle
dans un port
USB 2.0 à forte
alimentation de
votre ordinateur8 Premiers contacts
Pour recharger la batterie de l’iPod shuffle :
Lorsque l’iPod shuffle est connecté à un port USB à forte alimentation sur votre
ordinateur, la batterie se recharge. Le voyant d’état de la batterie, au dos de
l’iPod shuffle (voir la page 15), s’allume en jaune lorsque la batterie se recharge et en
vert lorsqu’elle est complètement rechargée. Si le voyant ne s’allume pas, connectez
l’iPod shuffle à un autre port USB.
La première fois que vous connectez l’iPod shuffle, laissez-le branché pendant environ
une heure afin de charger complètement la batterie.
Pour transférer des morceaux sur l’iPod shuffle :
Lorsque vous connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur, iTunes s’ouvre
automatiquement et transfère les morceaux sélectionnés vers l’iPod shuffle. Au terme
du transfert des morceaux, un message d’iTunes apparaît indiquant que l’iPod est à
jour et que la déconnexion est autorisée.
Étape 4 : Écoute de morceaux
Une fois que vous avez rechargé la batterie de l’iPod shuffle et transféré des morceaux,
vous pouvez écouter votre musique.
Déconnectez l’iPod shuffle de votre ordinateur et réglez le bouton (au dos de
l’iPod shuffle) pour écouter les morceaux dans l’ordre ( ) ou bien dans un ordre
aléatoire (¡).
Connectez ensuite les écouteurs Apple Earphones, appuyez sur le bouton Lire de
l’iPod shuffle et profitez de votre musique !9
1 Transfert et lecture de votre
musique
Lisez cette rubrique pour en savoir plus sur le
transfert de musique vers l’iPod shuffle et la lecture
de vos morceaux.
Une fois que vous possédez de la musique sur votre ordinateur (voir la page 6), vous
pouvez connecter l’iPod shuffle et configurer iTunes pour transférer de la musique vers
l’iPod shuffle comme vous le souhaitez. Puis, chaque fois que vous connectez l’iPod shuffle,
iTunes transfère de la musique en fonction des réglages que vous avez effectués.
Utilisation d’iTunes pour organiser votre musique sur votre
ordinateur
En utilisant iTunes, vous pouvez rechercher, lire et organiser la musique qui se trouve
sur votre ordinateur. Vous pouvez organiser votre musique par listes de morceaux,
appelées listes de lecture. Vous pouvez configurer iTunes pour transférer de la musique
à partir d’une de ces listes de lecture vers l’iPod shuffle.10 Transfert et lecture de votre musique
Pour créer une liste de lecture dans iTunes :
n Dans iTunes, cliquez sur le bouton plus Ajouter (+) et attribuez un nom à la liste de
lecture, puis faites glisser les morceaux depuis la bibliothèque ou une autre liste de
lecture vers la nouvelle liste de lecture.
Remarque : iTunes dispose de nombreuses autres fonctionnalités. Vous pouvez créer
des CD pouvant être lus par des lecteurs de CD standard (si votre ordinateur dispose
d’un graveur de CD), créer des listes de lecture actualisées de manière dynamique,
appelées Listes de lecture intelligentes, écouter la radio via Internet, coter des
morceaux selon vos préférences et bien plus encore.
Ce manuel contient des informationssur le transfert de musique vers l’iPod shuffle via
iTunes. Pour plus d’informations sur l’utilisation des fonctionnalités d’iTunes, ouvrez
iTunes et choisissez Aide > Aide iTunes et Music Store.
Transfert de musique vers l’iPod shuffle
Vous pouvez connecter l’iPod shuffle à n’importe quel port USB de votre ordinateur
afin de transférer des morceaux provenant d’iTunes. Pour effectuer des transferts
encore plus rapides, connectez l’ iPod shuffle à un port USB 2.0.
Vous pouvez transférer des morceaux automatiquement ou manuellement.Transfert et lecture de votre musique 11
Pour transférer des morceaux automatiquement vers l’iPod shuffle :
n Retirez simplement le cache USB et connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur. iTunes
s’ouvre et transfère de la musique vers l’iPod shuffle en fonction des réglages que vous
avez effectués dans iTunes (voir la page 12).
n Si l’iPod shuffle est déjà connecté et si vous avez modifié les réglages, cliquez sur
Remplissage auto pour sélectionner et transférer les nouveaux morceaux suivant les
nouveaux réglages.
Remarque : avec les versions de Mac OS X antérieures à Mac OS X 10.3.6, un port USB à
forte alimentation est nécessaire.
Pour transférer manuellement des morceaux vers l’iPod shuffle :
n Connectez l’iPod shuffle et faites-y glisser les morceaux dans la liste Source.
Pour supprimer manuellement des morceaux de l’iPod shuffle :
1 Connectez l’iPod shuffle et sélectionnez-le dans la liste Source.
2 Choisissez un morceau et appuyez sur la touche Suppr. du clavier.
Pour configurer iTunes de telle sorte que l’iPod shuffle soit maintenu dans la liste
Source lorsqu’il n’est pas connecté :
Vous pouvez configurer iTunes de manière à maintenir l’iPod shuffle dans la liste
Source même lorsqu’il est déconnecté. Vous avez également la possiblité de modifier
les réglages ou d’ajouter et de supprimer des morceaux dans la liste de l’iPod shuffle.
Si vous connectez à nouveau l’iPod shuffle, les morceaux sont transférés suivant vos
modifications.
1 Dans iTunes, selectionnez iPod shuffle dans la liste Source puis cliquez sur le bouton
Options.12 Transfert et lecture de votre musique
2 Sélectionnez l’option “Conserver cet iPod dans la liste Source.”
Configuration d’iTunes pour transférer de la musique vers
l’iPod shuffle
Vous pouvez configurer iTunes pour transférer des morceaux choisis dans toute votre
bibliothèque musicale ou dans une liste de lecture d’iTunes en particulier. Vous pouvez
configurer l’application pour choisir des morceaux dans l’ordre ou de manière aléatoire.
Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur et sélectionnez iPod shuffle dans la liste
Source d’iTunes. Suivez ensuite les instructions ci-dessous.
Pour sélectionner la source à partir de laquelle iTunes transfère des morceaux vers
l’iPod shuffle :
n Sélectionnez une liste de lecture dans le menu local “Remplissage auto depuis”. Pour
transférer des morceaux à partir de votre bibliothèque tout entière, sélectionnez
Bibliothèque.
Pour configurer iTunes pour sélectionner des morceaux au hasard à partir de la
source sélectionnée :
n Choisissez “Sélectionner les morceaux de manière aléatoire.”
Si cette option n’est pas sélectionnée, iTunes transférera les morceaux dans l’ordre où
ils apparaissent dans la liste de lecture sélectionnée ou dans la Bibliothèque.
Bouton OptionsTransfert et lecture de votre musique 13
Pour configurer iTunes de sorte à sélectionner plus souvent les morceaux les mieux
cotés pour le transfert :
n Sélectionnez “Choisir plus souvent les morceaux les mieux classés.”
Pour configurer iTunes de sorte à laisser des morceaux déjà sélectionnés sur
l’iPod shuffle lorsque vous cliquez sur Remplissage auto :
n Désélectionnez l’option “Remplacer tous les morceaux lors du remplissage auto.”
En cliquant sur Remplissage auto, les morceaux que vous avez déjà sélectionnés ne
sont pas effacés et iTunes sélectionne de nouveaux morceaux pour remplir l’espace
disponible sur l’iPod shuffle.
Conversion de morceaux pour économiser de l’espace sur
l’iPod shuffle
Les morceaux encodés n’utilisant pas le format AAC peuvent occuper plus d’espace.
Vous pouvez configurer iTunes pour convertir les morceaux à débit supérieur lors de
leur transfert, afin qu’ils occupent moins d’espace sur l’iPod shuffle.
Pour configurer iTunes afin de convertir au format AAC à 128 kbps les morceaux
à débit supérieur lors de leur transfert :
1 Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur.
2 Dans iTunes, sélectionnez iPod shuffle dans la liste Source et cliquez sur le bouton
Options.
Bouton Options14 Transfert et lecture de votre musique
3 Sélectionnez “Convertir en AAC de 128 kbps les morceaux à débit supérieur”.
Remarque : en sélectionnant cette option, les morceaux encodés aux formats AIFF ou
Apple Lossless sont convertis à 128 kbps lors de leur transfert vers l’iPod shuffle (les
fichiers des morceaux dans iTunes ne sont pas affectés). Dans le cas contraire,
iPod shuffle ne lit pas les morceaux dans ces formats d’encodage.
Formats de fichiers audio pris en charge par l’iPod shuffle
• AAC (M4A, M4B, M4P) (jusqu’à 320 Kb/s)
• MP3 (jusqu’à 320 Kb/s)
• MP3 Variable Bit Rate (VBR)
• WAV
• AA (texte lu audible.com, formats 2, 3 et 4)
Un morceau encodé au format AAC ou MP3 possède la même qualité qu’un CD tout en
occupant deux fois moins d’espace qu’un morceau encodé au format AIFF ou WAV.
Quand vous importez de la musique depuis un CD à l’aide d’iTunes, elle est convertie
par défaut au format AAC.
Si vous utilisez iTunes pour Windows, vous pouvez convertir les fichiers WMA non
protégés au format AAC ou MP3. Cela peut être utile si vous disposez d’une
bibliothèque de musique encodée au format WMA. Pour plus d’informations, ouvrez
iTunes et choisissez Aide > Aide iTunes et Music Store.
L’iPod shuffle ne prend pas en charge les fichiers audio AIFF, Apple Lossless, MPEG
Layer 1, MPEG Layer 2, WMA ni le format 1 d’audible.com. Transfert et lecture de votre musique 15
Utilisation des commandes de l’iPod shuffle
Utilisez les commandes de l’iPod shuffle pour lire et interrompre des morceaux mais
aussi modifier le volume. Utilisez le bouton situé au dos de l’iPod shuffle pour
configurer l’iPod shuffle afin de lire les morceaux dans l’ordre ou dans le désordre.
Réglage du volume (+)
Voyant d’état Port pour les écouteurs
Bouton
Lecture/Pause
Précédent/Rembobiner
Réglage du volume (-)
Suivant/Avance rapide
Position Éteint
Lecture dans l'ordre
Lecture aléatoire
Voyant/bouton d’état
de la batterie
Connecteur USB16 Transfert et lecture de votre musique
Commandes de l’iPod shuffle
Configurer l’iPod shuffle pour lire les
morceaux dans l’ordre
Réglez le bouton pour lire les morceaux dans
l’ordre(/).
ConfigureriPod shuffle pour mélanger les
morceaux
Réglez le bouton pour mélanger (¡).
Aller au début de la liste de lecture Appuyez trios fois rapidement sur les boutons
Lecture/Pause (’).
Éteindre l’iPod shuffle Réglez le bouton sur Off.
Lire ou interrompre un morceau Appuyez sur le bouton Lecture/Pause (’).
Lorsque l'iPod shuffle est mis sur pause, le voyant
d'état est vert et clignote pendant une minute.
Réglage du volume Appuyez sur le bouton (?) pour augmenter le
volume ou (D) pour le baisser.
Saut au morceau suivant Appuyez sur le bouton Suivant/Avance rapide (‘).Transfert et lecture de votre musique 17
Réécouter le morceau ou lire le morceau
précédent
Appuyez une fois sur le bouton Précédent/
Rembobiner (]) pour réécouter un morceau.
Appuyez deux fois dessus pour lire le morceau
précédent.
Avance rapide ou rembobiner Maintenez enfoncé le bouton Suivant/Avance
rapide (‘) ou Précédent/Rembobiner (]).
Désactivation des boutons de l’iPod shuffle
(Pour ne pas les utiliser accidentellement)
Maintenez enfoncé le bouton Lecture/Pause (’)
pendant 3 secondes environ. Le voyant d'état est
orange et clignote trois fois. Maintenez à nouveau
le bouton Lecture/Pause enfoncé pour activer les
boutons.
Vérification du niveau de la batterie Appuyez sur le bouton d’état de la batterie.
Voir page 19.
Commandes de l’iPod shuffle18
1 Recharge de la batterie
Lisez cette rubrique pour en savoir plus sur la
recharge de la batterie de l’iPod shuffle.
L’iPod shuffle possède une batterie rechargeable, interne et que vous ne pouvez pas
remplacer vous-même.
Pour recharger la batterie de l’iPod shuffle :
Retirez le cache USB et connectez l’iPod shuffle à un port USB à forte alimentation sur
votre ordinateur. Le voyant d’état de la batterie qui se trouve sur le dos de l’iPod shuffle
s’allume.
Il faut environ 2 heures pour recharger la batterie de l’iPod shuffle à 80 % et 4 heures
pour la recharger complètement.
Lorsque la batterie se recharge, son voyant d’état de l’iPod shuffle s’allume en jaune.
Une fois la batterie complètement rechargée, le voyant devient vert jusqu’à ce que
vous déconnectiez l’iPod shuffle. Si le voyant d'état ne s'allume pas, essayez d’utiliser
un autre port USB de votre ordinateur.
Remarque : si l'iPod shuffle est utilisé en tant que disque (voir page 20), le voyant
d'état clignote de couleur jaune de façon continue.Recharge de la batterie 19
Remarque : les batteries rechargeables ont un nombre limité de cycles de recharge. La
durée de vie de la batterie et le nombre de cycles de recharge varient en fonction de
l’utilisation et des réglages de l’iPod. Pour plus d’informations, rendez-vous sur
www.apple.com/fr/batteries.
Pour vérifier l’état de la batterie :
Appuyez sur le bouton d’état de la batterie, au dos de l’iPod shuffle. Le voyant d’état de
la batterie indique le niveau de la recharge.
Si le voyant d'état de la batterie et vert lorsque vous appuyez sur le bouton d'état de la
batterie, l'iPod shuffle est suffisamment rechargé. Si le voyant est jaune, l'iPod shuffle
est faiblement rechargé ; s'il est rouge, l'iPod shuffle est pratiquement déchargé et
vous devez le recharger rapidement. Si aucun voyant ne s'allume, la batterie est
complètement déchargée : rechargez l'iPod shuffle pour pouvoir l'utiliser.
Bouton d’état
de la batterie
Voyant d’état
de la batterie20
1 Stockage de fichiers sur
l’iPod shuffle
Lisez cette rubrique pour en savoir plus
sur l’utilisation de l’iPod shuffle comme
disque dur externe.
Vous pouvez stocker des données sur l’iPod shuffle, et connecter celui-ci à un autre
ordinateur pour transférer ces données.
Pour utiliser l’iPod shuffle comme disque dur :
1 Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur.
2 Dans iTunes, selectionnez iPod shuffle dans la liste Source puis cliquez sur le bouton
Options.
3 Sélectionnez Activer l’utilisation du disque.
4 Si vous souhaitez réserver une certaine quantité d’espace au stockage de vos fichiers,
utilisez le curseur d’allocation de stockage.
Bouton OptionsStockage de fichiers sur l’iPod shuffle 21
Remarque : pour faire de la place aux morceaux, vous devez supprimer des fichiers
de l’iPod shuffle.
Lorsque vous utilisez l’iPod shuffle comme disque dur, le voyant d'état sur la face avant
de l'iPod est orange et clignote de façon continue et l’icône du disque dur de
l’iPod shuffle apparaît sur le bureau si vous utilisez un Mac, ou bien la lettre de lecteur
suivante disponible dans l’Explorateur Windows si vous utilisez un PC sous Windows.
Faites glisser des fichiers à partir de et en direction de l’iPod shuffle afin de les copier.
Éjection de l’iPod shuffle
Important : si le voyant d'état de l'ipod shuffle est orange et clignote, éjectez l'iPod
shuffle avant de le déconnecter de l'ordinateur. Si vous n’éjectez pas l’iPod shuffle
avant de le déconnecter, vous risquez d’endommager les fichiers qui s’y trouvent.
Pour éjecter l’iPod shuffle :
n Cliquez sur le bouton d’éjection (C) à côté de l’iPod shuffle dans la liste Source d’iTunes.
Si vous utilisez un Mac, vous pouvez également éjecter l’iPod shuffle en faisant glisser
son icône sur le bureau jusque dans la Corbeille.
Si vous utilisez un PC sous Windows, vous pouvez éjecter l’iPod shuffle en cliquant sur
l’icône Supprimer le périphérique en toute sécurité de la barre des tâches Windows
puis en le sélectionnant.
Prévention de l’ouverture automatique d’iTunes
Si vous utilisez l’iPod shuffle principalement comme disque dur, il est recommandé
d’empêcher l’ouverture automatique d’iTunes lorsque vous connectez l’iPod shuffle
à votre ordinateur.22 Stockage de fichiers sur l’iPod shuffle
Pour empêcher iTunes de s’ouvrir automatiquement quand vous connectez
l’iPod shuffle à votre ordinateur :
1 Dans iTunes, selectionnez iPod shuffle dans la liste Source puis cliquez sur le bouton
Options.
2 Désélectionnez l’option “Ouvrir iTunes à la connexion de cet iPod”.23
1 Accessoires de l’iPod shuffle
L’iPod shuffle est accompagné d’un certain nombre
d’accessoires mais bien d’autres sont disponibles sur
www.apple.com/francestore.
Écouteurs Apple Earphones
L’iPod shuffle est livré avec une paire d’écouteurs de grande qualité.
Pour utiliser ces écouteurs :
n Branchez-les écouteurs sur le port correspondant, puis placez-les dans vos oreilles
comme illustré.
Le cordon des écouteurs est réglable24 Accessoires de l’iPod shuffle
Cordon de l’iPod shuffle
Retirez le cache USB de l’iPod shuffle, puis attachez fermement l’iPod shuffle au cordon.
Pour détacher l’iPod shuffle, retirez simplement le cordon.
Accessoires disponibles
Vous pouvez acheter des accessoires de l’iPod shuffle sur www.apple.com/francestore.
Parmi les accessoires disponibles, citons :
• Le socle iPod shuffle Dock
• Le brassard de l’iPod shuffle
• L’adaptateur secteur USB iPod Power Adapter
• Des accessoires supplémentaires comme par exemple haut-parleurs, casques
d’écoute, adaptateurs stéréo pour votre voiture et bien d’autres encore
Avertissement : faites attention lorsque vous transportez l’iPod shuffle avec le cordon.
Certaines activités peuvent comporter un risque de blessure, surtout si le cordon se
coince quelque part (par exemple si vous courez, si vous faites du vélo ou bien si vous
travaillez avec des machines).
Enclenchez l’iPod shuffle
au cordon.25
1 Astuces et dépannage
La plupart des problèmes de l’iPod shuffle peuvent
être rapidement résolus en suivant les conseils de ce
chapitre.
Votre iPod shuffle ne s’allume pas ou ne répond plus
• Si le voyant d'état est orange et clignote lorsque vous appuyez sur un bouton, cela
signifie que les boutons de l'iPod shuffle sont désactivés. Maintenez le bouton
Lecture/Pause enfoncé pendant environ trois secondes, jusqu'à ce que le voyant
d'état vert clignote.
• Si vous n'obtenez aucun résultat, connectez l'iPod shuffle à un port USB à forte
alimentation sur votre ordinateur. Votre iPod shuffle a peut-être besoin d'être
rechargé.
• Éteignez l'iPod shuffle, patientez cinq secondes puis rallumez-le.
• Si le problème persiste, il se peut que vous deviez restaurer le logiciel de l’iPod shuffle.
Consultez “Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod shuffle” à la page 27.
Votre iPod shuffle ne lit plus la musique
• Assurez-vous que les écouteurs sont correctement connectés.
• Assurez-vous que le volume est correctement réglé. 26 Astuces et dépannage
• Si le problème persiste, appuyez sur le bouton Lecture/Pause. Votre iPod shuffle est
peut-être en mode pause.
Rien ne se produit si vous connectez l’iPod shuffle à votre
ordinateur
• Connectez l’iPod shuffle à un port USB à forte alimentation de votre ordinateur.
Il a peut-être besoin d’être rechargé.
Remarque : avec les versions de Mac OS X antérieures à Mac OS X 10.3.6, vous ne
pouvez utiliser l’iPod shuffle qu’avec un port USB à forte alimentation.
• Assurez-vous que l’iPod shuffle est bien connecté à votre ordinateur. Assurez-vous
que le connecteur est orienté correctement. Il ne peut être inséré que dans un sens.
• Éteignez l’iPod shuffle, patientez cinq secondes puis rallumez-le.
• Assurez-vous que vous avez installé le logiciel situé sur le CD de l’iPod.
• Assurez-vous que vous disposez de l’ordinateur et du logiciel requis. Consultez
“Configuration requise” à la page 4.
• Si le problème persiste, il se peut que vous deviez restaurer le logiciel de
l’iPod shuffle. Consultez la rubrique “Mise à jour et restauration du logiciel de
l’iPod shuffle” ci-dessous.
Si l’iPod shuffle s’adapte pas au port USB
• Vous pouvez le connecter à l’aide d’un socle iPod shuffle Dock ou d’un câble
d’extension USB, disponibles sur www.apple.com/francestore.
Si le transfert des morceaux est lent
• Connectez l’iPod shuffle à un port USB 2.0 de votre ordinateur pour réaliser des
transferts plus rapides. Une connexion USB 2.0 permet de transférer des morceaux et
des données beaucoup vite qu’une connexion USB 1.1.Astuces et dépannage 27
Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod shuffle
Apple met régulièrement à jour le logiciel de l’iPod shuffle pour améliorer ses
performances ou lui ajouter des fonctionnalités. Il vous est recommandé de mettre
à jour votre iPod shuffle pour utiliser le logiciel le plus récent.
Vous pouvez soit mettre à jour, soit restaurer le logiciel de l’iPod shuffle
• Si vous choisissez de mettre à jour, le logiciel sera mis à jour, mais vos réglages et
morceaux seront conservés.
• Si vous choisissez de restaurer, tous les morceaux et données seront effacés de votre
iPod shuffle. Tous les réglages d’origine de l’iPod shuffle seront rétablis.
Pour mettre à jour ou restaurer l’iPod shuffle avec le logiciel le plus récent :
1 Allez à l’adresse www.apple.com/fr/support/ipod et téléchargez la dernière mise à jour
de l’iPod. La mise à jour comprend le logiciel le plus récent pour tous les modèles
d’iPod.
2 Double-cliquez sur le fichier d’installation du logiciel et suivez les instructions à l’écran
pour installer la mise à jour de l’iPod shuffle.
3 Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur et ouvrez iTunes. L’application de mise à
jour de l’iPod s’ouvre.
Si vous utilisez un PC sous Windows et que l’application de mise à jour de l’iPod ne
s’ouvre pas automatiquement, vous pouvez la lancer en sélectionnant Démarrer >
Programmes > iPod.
4 Suivez les instructions à l’écran pour mettre à jour ou restaurer le logiciel de
l’iPod shuffle.
Si vous utilisez l’application de mise à jour de l’iPod et qu’elle ne détecte pas que
l’iPod shuffle est connecté à votre ordinateur, réinitialisez l’iPod shuffle.28 Astuces et dépannage
Si vous souhaitez restaurer le logiciel de l’iPod shuffle et que vous ne disposez pas
d’une connexion à Internet, vous pouvez utiliser l’application de mise à jour de l’iPod
installée sur votre ordinateur en même temps que le logiciel à partir du CD de l’iPod.
Pour restaurer le logiciel de l’iPod shuffle à l’aide du programme de mise à jour de
l’iPod fourni sur le CD de l’iPod :
• Si vous possédez un Mac, vous pouvez trouver le programme de mise à jour de l’iPod
dans Applications/Utilitaires/Logiciel iPod.
• Si vous possédez un PC sous Windows, vous pouvez le trouver en sélectionnant
Démarrer > Programmes > iPod.29
1 En savoir plus, service et
assistance
Vous trouverez plus d’informations sur l’utilisation
de l’iPod shuffle dans l’aide à l’écran et sur le Web.
Aide à l’écran
Pour en savoir plus sur l’utilisation d’iTunes, ouvrez iTunes et choisissez
Aide > Aide iTunes et Music Store.
Ressources en ligne
Pour obtenir les toutes dernières informations sur l’iPod shuffle, consultez le site Web
www.apple.com/fr/ipod.
Pour consulter l’initiation en ligne de l’iPod shuffle, les informations sur les services et
l’assistance concernant l’iPod shuffle, ainsi que les téléchargements de logiciels Apple
les plus récents, rendez-vous sur www.apple.com/fr/support/ipod.
Pour enregistrer l’iPod shuffle, rendez-vous sur www.apple.com/register.30 En savoir plus, service et assistance
Obtention du service assuré par garantie
Si, malgré tout, le périphérique continue à ne pas fonctionner, rendez-vous sur
www.apple.com/fr/support pour en savoir sur la manière d'obtenir un service
dans le cadre de la garantie.
Emplacement du numéro de série de votre iPod shuffle
Le numéro de série est imprimé au dos de votre iPod shuffle, à côté du connecteur USB.31
1 Sécurité et entretien
Lisez cette rubrique pour en savoir plus sur la
sécurité d’utilisation et l’entretien de l’iPod shuffle.
Nettoyage
Respectez les règles générales suivantes lorsque vous nettoyez l’extérieur de votre
iPod shuffle et ses composants :
• Assurez-vous que votre iPod shuffle est débranché.
• Utilisez un chiffon doux, humide et non pelucheux. Évitez toute pénétration
d’humidité dans les orifices de l’appareil.
• N’utilisez ni vaporisateur aérosol, ni dissolvant, ni alcool, ni abrasif.
À propos de la manipulation
Une manipulation ou un rangement inappropriés peuvent endommager votre
iPod shuffle. Veillez à ne pas faire tomber votre iPod shuffle lorsque vous l’utilisez
ou le transportez. Remettez le cache USB sur l’iPod shuffle lorsque celui-ci n’est pas
connecté à votre ordinateur.32 Sécurité et entretien
Instructions de sécurité importantes
Lorsque vous installez et utilisez votre iPod shuffle, ne perdez pas de vue les points
suivants :
• Respectez toutes les instructions et les avertissements concernant votre iPod shuffle.
• Conservez ces instructions à portée de main pour que vous ou d’autres personnes
puissiez vous y reporter.
Connecteurs et Ports
N’essayez jamais de brancher un connecteur dans un port. Si le connecteur et le port
ne s’assemblent pas avec une relative facilité, c’est probablement parce qu’ils ne sont
pas compatibles. Assurez-vous que le connecteur est compatible avec le port et que
vous l’avez positionné correctement par rapport à ce dernier.
Avertissement : les appareils électriques peuvent s’avérer dangereux s’ils ne sont pas
utilisés correctement. L’utilisation de ce produit ou de produits analogues doit
toujours être supervisée par un adulte. Ne laissez jamais les enfants accéder à la partie
interne de tout produit électrique ni manipuler aucun câble.Sécurité et entretien 33
N’utilisez jamais les écouteurs au volant
Important : l’utilisation des écouteurs n’est pas recommandée lorsque vous conduisez
et constitue d’ailleurs une infraction au code de la route dans certains endroits. Soyez
prudent et attentif au volant. Cessez d’utiliser votre iPod shuffle si vous vous rendez
compte que cela vous distrait ou vous dérange lorsque vous conduisez un véhicule ou
lorsque vous réalisez quelque autre activité nécessitant toute votre attention.
À propos des températures d’utilisation et de stockage
• Utilisez votre iPod shuffle dans un endroit où la température est toujours comprise
entre 0 et 35 ºC.
• Rangez votre iPod shuffle dans un endroit où la température est toujours comprise
entre -20º et 45 ºC. Ne laissez pas l’iPod shuffle dans votre voiture car la température
dans les voitures en stationnement peut dépasser cette fourchette.
• L’autonomie de l’iPod shuffle peut diminuer temporairement dans des conditions de
basses températures.
Avertissement : vous risquez une perte d’audition irréparable si vous écoutez de
la musique à très haut volume avec un casque ou des écouteurs. Vous pouvez vous
habituer petit à petit à un volume de son plus élevé qui peut vous paraître normal
mais entraîner une détérioration de votre audition. Pour vous éviter ce risque, réglez
le volume de votre iPod shuffle à un niveau raisonnable. Si vous entendez un
sifflement, diminuez le volume ou pensez à interrompre régulièrement l’utilisation
de votre iPod shuffle.34 Sécurité et entretien
Éviter les endroits humides
• Gardez votre iPod shuffle à l’écart de toute source de liquide telle que boissons,
lavabos, baignoires, cabines de douche, pluie, etc.
S’il vous arrive de renverser un liquide sur votre iPod, il se peut que vous deviez le
renvoyer à Apple pour une réparation. Reportez-vous à la section “En savoir plus,
service et assistance” à la page 29.
N’effectuez aucune réparation vous-même
Pour toute réparation, reportez-vous à la section “En savoir plus, service et assistance” à
la page 29.
Avertissement : pour réduire les risques d’électrocution ou d’accident, n’utilisez pas
votre iPod shuffle dans l’eau, près de l’eau ou dans des endroits humides.
Avertissement : n’essayez pas d’ouvrir votre iPod shuffle, de le démonter ou de retirer
la batterie. Vous courez le risque de recevoir une décharge électrique et d’annuler la
garantie limitée. L’appareil ne contient pas de pièces qui puissent être réparées par
l’utilisateur.35
Communications Regulation Information
FCC Compliance Statement
This device complies with part 15 of the FCC
rules. Operation is subject to the following two
conditions: (1) This device may not cause
harmful interference, and (2) this device must
accept any interference received, including
interference that may cause undesired
operation. See instructions if interference to
radio or television reception is suspected.
Radio and Television Interference
This computer equipment generates, uses, and
can radiate radio-frequency energy. If it is not
installed and used properly—that is, in strict
accordance with Apple’s instructions—it may
cause interference with radio and television
reception.
This equipment has been tested and found to
comply with the limits for a Class B digital
device in accordance with the specifications in
Part 15 of FCC rules. These specifications are
designed to provide reasonable protection
against such interference in a residential
installation. However, there is no guarantee that
interference will not occur in a particular
installation.
You can determine whether your computer
system is causing interference by turning it off.
If the interference stops, it was probably caused
by the computer or one of the peripheral
devices.
If your computer system does cause
interference to radio or television reception, try
to correct the interference by using one or more
of the following measures:
• Turn the television or radio antenna until the
interference stops.
• Move the computer to one side or the other
of the television or radio.
• Move the computer farther away from the
television or radio.
• Plug the computer in to an outlet that is on a
different circuit from the television or radio.
(That is, make certain the computer and the
television or radio are on circuits controlled by
different circuit breakers or fuses.)
If necessary, consult an Apple Authorized
Service Provider or Apple. See the service and
support information that came with your Apple
product. Or, consult an experienced radio/
television technician for additional suggestions.36
Important: Changes or modifications to this
product not authorized by Apple Computer, Inc.
could void the EMC compliance and negate
your authority to operate the product.
This product was tested for EMC compliance
under conditions that included the use of Apple
peripheral devices and Apple shielded cables
and connectors between system components.
It is important that you use Apple peripheral
devices and shielded cables and connectors
between system components to reduce the
possibility of causing interference to radios,
television sets, and other electronic devices. You
can obtain Apple peripheral devices and the
proper shielded cables and connectors through
an Apple Authorized Reseller. For non-Apple
peripheral devices, contact the manufacturer or
dealer for assistance. Responsible party (contact
for FCC matters only): Apple Computer, Inc.
Product Compliance, 1 Infinite Loop M/S 26-A,
Cupertino, CA 95014-2084, 408-974-2000.
Industry Canada Statement
This Class B device meets all requirements of the
Canadian interference-causing equipment
regulations.
Cet appareil numérique de classe B respecte
toutes les exigences du Règlement sur le
matériel brouilleur du Canada.
VCCI Class B Statement
Caractéristiques électriques
5 V C.C. 1 A maximum
Batterie
Votre iPod shuffle renferme une batterie. Si vous
rencontrez des problèmes avec celle-ci, assurezvous d’actualiser l’iPod shuffle avec le logiciel le
plus récent. Si les problèmes persistent, vous
trouverez plus d’informations sur
www.apple.com/fr/support/ipod. Débarrassezvous de l’iPod shuffle en respectant les lois et les
directives environnementales locales.37
Taïwan :
Nederlands: Gebruikte batterijen kunnen
worden ingeleverd bij de chemokar of in een
speciale batterijcontainer voor klein chemisch
afval (kca) worden gedeponeerd.
Communauté Européenne
Conforme aux directives européennes 72/23/
EEC et 89/336/EEC.
Apple et l’environnement
Chez Apple, nous sommes conscients de la
responsabilité qui nous incombe de réduire les
impacts écologiques de nos activités et de nos
produits.
Pour plus d’informations, rendez-vous sur
www.apple.com/environment/summary.html.
© 2005 Apple Computer, Inc. Tous droits réservés.
Apple, le logo Apple, iPod, iTunes, Mac, Macintosh et
Mac OS sont des marques d’Apple Computer, Inc.
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Finder est une marque d’Apple Computer, Inc.
Apple Store et iTunes Music Store sont des marques de
service d’Apple Computer, Inc., déposées aux États-Unis
et dans d’autres pays.www.apple.com/fr/ipod
www.apple.com/fr/support/ipod
F019-0342-A
MacBook
Guide de
l’utilisateur
Contient des informations
sur la configuration,
l’extension et le dépannage
de votre MacBook
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sentées dans ce manuel soient exactes. Apple n’est pas
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F3626M42.book Page 3 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMF3626M42.book Page 4 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM5
Table des matières
9 Chapitre 1 : Premiers contacts
10 Configuration de votre MacBook
18 Composants de base de votre MacBook
20 Fonctionnalités du clavier de votre MacBook
22 Composants supplémentaires de votre MacBook
24 Extinction ou suspension d’activité de votre MacBook
26 Étalonnage de la batterie
27 Informations supplémentaires
28 Obtention de réponses grâce à l’Aide Mac
29 Chapitre 2 : Familiarisation avec votre MacBook
30 Réglage de l’écran
32 Utilisation de l’adaptateur secteur
34 Utilisation du trackpad
35 Utilisation du clavier
36 Utilisation d’une souris
37 Utilisation de la télécommande Apple Remote et de Front Row
43 Utilisation de la caméra vidéo iSight intégrée
F3626M42.book Page 5 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM6 Table des matières
48 À propos de Mac OS X
49 Personnalisation du bureau et réglage des préférences
50 Utilisation des applications
51 Lorsqu’une application ne répond plus
51 Maintien à jour de vos logiciels
52 Connexion à une imprimante
53 Lecture d’un CD et connexion d’un casque d’écoute
54 Connexion d’un appareil photo ou de tout autre périphérique FireWire ou USB
54 Transfert de fichiers depuis ou vers un autre ordinateur
57 Chapitre 3 : Utilisation de votre MacBook
58 Utilisation de périphériques USB (Universal Serial Bus)
62 Connexion via FireWire
66 Fonctionnement de l’accès sans fil à Internet via AirPort
67 Utilisation de la technologie sans fil Bluetooth
69 Connexion via Ethernet
71 Gestion de la vidéo externe
75 Connexion de haut-parleurs et autres périphériques audio
76 Utilisation du lecteur optique
81 Technologie Sudden Motion Sensor
81 Utilisation de la batterie
87 Protection de votre MacBook
F3626M42.book Page 6 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMTable des matières 7
89 Chapitre 4 : Ajout de mémoire à votre MacBook
90 Installation de mémoire supplémentaire
97 Reconnaissance de la nouvelle mémoire par votre MacBook
99 Chapitre 5 : Dépannage
100 Problèmes vous empêchant d’utiliser votre ordinateur
103 Autres problèmes
106 Réinstallation des logiciels fournis avec votre ordinateur
108 Utilisation d’Apple Hardware Test
109 Localisation du numéro de série de votre produit
111 Annexe A : Caractéristiques
113 Annexe B : Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien
113 Consignes générales de sécurité
115 Configuration de votre MacBook et de l’adaptateur secteur
116 Utilisation de votre MacBook
118 Comment éviter les problèmes auditifs
120 Ergonomie
122 À propos d’Apple et de l’environnement
123 Annexe C : Connexion à Internet
125 Regroupement des informations nécessaires
127 Saisie de vos informations
F3626M42.book Page 7 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM8 Table des matières
129 Dépannage de votre connexion
133 Annexe D : Les dix questions principales
139 Communications Regulation Information
F3626M42.book Page 8 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM9
1
1 Premiers contacts
Votre MacBook comprend les composants suivants :
Important : lisez attentivement toutes les instructions d’installation (et les consignes
de sécurité de l’annexe B, «Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien», à la
page 113) avant de brancher votre ordinateur sur une prise secteur.
Câble secteur
Télécommande Apple Remote
Fiche
secteur
Adaptateur secteur MagSafe de 60 W
MENU
F3626M42.book Page 9 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM10 Chapitre 1 Premiers contacts
Configuration de votre MacBook
Votre MacBook est conçu pour être configuré rapidement et utilisé immédiatement.
Les pages suivantes contiennent des informations qui vous guident tout au long du
processus de configuration, notamment :
 branchement de l’adaptateur secteur Apple MagSafe de 60 W ;
 connexion des câbles ;
 mise sous tension de votre MacBook ;
 configuration d’un compte d’utilisateur et d’autres paramètres via Assistant réglages.
Étape 1 : branchez l’adaptateur secteur Apple MagSafe de 60 W
Si l’adaptateur secteur est entouré d’un film protecteur, retirez ce dernier avant de
configurer votre MacBook.
m Branchez la fiche secteur de votre adaptateur sur une prise secteur. Branchez ensuite
la fiche de l’adaptateur secteur sur le port d’adaptateur secteur du MacBook. Lorsque
vous rapprochez la fiche du port, vous ressentirez la force d’un aimant attirant la fiche
de l’adaptateur secteur.
Fiche
secteur
F3626M42.book Page 10 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 1 Premiers contacts 11
Pour étendre la portée de votre adaptateur, vous pouvez y connecter le câble d’alimentation secteur. Tirez d’abord sur la fiche secteur pour la retirer de l’adaptateur, puis
connectez-y le câble d’alimentation secteur inclus. Branchez l’autre extrémité sur une
prise secteur. Une illustration de cette opération se trouve à la page 33.
Étape 2 : connectez vos câbles
Pour obtenir une connexion Internet, connectez votre MacBook à un modem DSL,
un modem câble, un modem externe ou un réseau Ethernet. Si vous vous connectez
à un réseau sans fil tel qu’AirPort Extreme, vous n’avez pas besoin de câbles.
Pour obtenir des informations sur les types de connexions, consultez l’annexe C,
«Connexion à Internet», à la page 123.
Avertissement : assurez-vous que la fiche secteur est complètement insérée dans
l’adaptateur et que les broches de votre fiche secteur sont complètement déployées
avant de brancher l’adaptateur sur la prise secteur.
¯
Câble secteur
Fiche
secteur
Fiche de l’adaptateur Port de l’adaptateur secteur
secteur
F3626M42.book Page 11 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM12 Chapitre 1 Premiers contacts
Remarque : pour une connexion par ligne téléphonique, vous aurez besoin
du modem USB externe d’Apple, disponible sur l’Apple Store en ligne à l’adresse
www.apple.com/francestore ou auprès des revendeurs agréés Apple. Branchez
le modem USB d’Apple dans un port USB du MacBook, puis connectez un câble
téléphonique (non inclus) entre le modem et une prise téléphonique.
Pour se connecter à un modem DSL ou câble ou à un réseau Ethernet :
m Connectez le câble à votre modem DSL ou modem câble comme indiqué dans les instructions du modem ou bien connectez le câble Ethernet à un concentrateur ou une prise
Ethernet. Branchez ensuite l’autre extrémité du câble au port Ethernet de l’ordinateur.
Remarque : si vous souhaitez utiliser AirPort pour vous connecter sans fil, les réseaux
sans fil disponibles sont détectés lorsque vous allumez votre ordinateur. Si nécessaire,
choisissez «Activer AirPort» dans le menu d’état AirPort (Z) de la barre des menus,
puis choisissez votre réseau.
G
Câble
Ethernet
Port Ethernet Gigabit
(10/100/1000Base-T)
F3626M42.book Page 12 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 1 Premiers contacts 13
Étape 3 : allumez votre MacBook
1 Pour allumer votre MacBook, appuyez rapidement (jusqu’à une seconde) sur le bouton
d’alimentation (®).
Votre ordinateur émet un signal sonore lorsque vous l’allumez. Après avoir entendu
ce signal, n’appuyez pas sur le bouton d’alimentation, car vous risqueriez d’éteindre
l’ordinateur.
Sa mise en route prend quelques instants. Après le démarrage, Assistant réglages
s’ouvre automatiquement.
® Bouton d’alimentation
Lampe témoin de
suspension d’activité
F3626M42.book Page 13 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM14 Chapitre 1 Premiers contacts
2 Le trackpad de votre MacBook permet de sélectionner et de déplacer des éléments à
l’écran de la même façon que la souris d’un ordinateur de bureau.
 Pour déplacer le pointeur à l’écran, glissez votre index sur le trackpad.
Important : n’utilisez qu’un seul doigt sur le trackpad pour déplacer le pointeur.
Le trackpad vous permet de faire défiler en déplaçant deux doigts. Cette fonction
est activée par défaut. Pour toute information supplémentaire, consultez la section
«Utilisation du trackpad» à la page 34.
 Utilisez le bouton du trackpad pour sélectionner un élément, cliquer ou faire un
double-clic.
Trackpad Bouton du trackpad
F3626M42.book Page 14 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 1 Premiers contacts 15
Étape 4 : configurez votre MacBook à l’aide d’Assistant réglages
La première fois que vous démarrez votre ordinateur, Assistant réglages se met en
route. Il vous aide à saisir les informations concernant la configuration Internet et
le courrier électronique et à configurer un compte d’utilisateur sur votre ordinateur.
Si vous possédez déjà un ordinateur Macintosh, l’Assistant réglages peut vous aider
à transférer automatiquement les fichiers, les applications et d’autres informations
depuis votre ancien ordinateur vers votre nouveau MacBook.
Problèmes de mise sous tension de l’ordinateur
Rien ne se produit lorsque vous appuyez sur le bouton d’alimentation (®).
 La batterie est peut-être déchargée. Assurez-vous que l’adaptateur secteur est fermement connecté à l’ordinateur et relié à une prise secteur. La prise de l’adaptateur
secteur doit s’éclairer lorsque que vous la branchez sur l’ordinateur.
 Si l’ordinateur ne démarre toujours pas, consultez la section «Problèmes vous empê-
chant d’utiliser votre ordinateur» à la page 100.
Un point d’interrogation clignotant sur une icône de disque ou de dossier apparaît
à l’écran.
Cette icône signifie généralement que l’ordinateur ne parvient pas à localiser le logiciel
système sur le disque dur interne ou sur tout disque externe relié à l’ordinateur. Déconnectez tous les périphériques externes puis essayez de redémarrer. Maintenez enfoncé
le bouton d’alimentation (®) de 8 à 10 secondes jusqu’à l’arrêt de l’ordinateur. Appuyez
ensuite de nouveau sur le bouton d’alimentation. Si le problème persiste, vous devrez
peut-être réinstaller le logiciel système. Voir «Réinstallation des logiciels fournis avec
votre ordinateur» à la page 106.
F3626M42.book Page 15 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM16 Chapitre 1 Premiers contacts
Pour transférer des informations, vérifiez les éléments suivants :
 Votre autre ordinateur Mac dispose d’un port FireWire intégré et prend en charge
le mode disque cible FireWire.
 Votre autre ordinateur Mac fonctionne sous Mac OS X version 10.1 ou ultérieure.
 Vous disposez d’un câble FireWire standard 6 broches vers 6 broches.
Assistant réglages vous guide tout au long du processus de transfert d’informations ;
il vous suffit de suivre les instructions à l’écran. Le transfert des informations vers votre
MacBook n’a aucune conséquence sur les informations qui se trouvent sur l’autre Mac
(si vous avez partitionné le disque dur du nouveau MacBook, toutes les informations
présentes sur l’autre Mac seront transférées vers une seule partition).
Assistant réglages vous permet de transférer :
 les comptes d’utilisateur, y compris les préférences et le courrier électronique ;
 les réglages de réseau, pour que votre nouveau MacBook soit automatiquement
configuré avec les mêmes réglages de réseau que votre autre Mac ;
 les fichiers et dossiers qui se trouvent sur votre disque dur et sur vos partitions.
Cela vous permet d’accéder facilement aux fichiers et dossiers que vous utilisiez
sur votre autre Mac ;
 le dossier Applications, pour que la plupart des applications que vous utilisiez sur
votre autre Mac soient installées sur votre nouveau MacBook (vous devrez peut-être
réinstaller certaines applications transférées).
Important : veillez à ne pas écraser des versions plus récentes d’applications déjà
installées sur votre MacBook lors du transfert de ces applications.
F3626M42.book Page 16 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 1 Premiers contacts 17
Si vous ne comptez pas conserver ou utiliser votre autre Mac, il est préférable de lui
retirer son autorisation de lecture de musique, de clips vidéo ou de livres audio achetés sur le magasin de musique en ligne iTunes Music Store. Le retrait d’autorisation
d’accès à un ordinateur empêche toute autre personne de lire la musique, les clips
vidéo et les livres audio que vous avez achetés et permet de libérer une autre autorisation (un compte iTunes vous permet d’autoriser jusqu’à cinq ordinateurs seulement).
Pour plus d’informations sur le retrait d’autorisation, ouvrez iTunes et choisissez Aide >
Aide iTunes et Music Store.
Si vous n’utilisez pas l’Assistant réglages pour transférer vos informations lors du démarrage initial de votre MacBook, vous pouvez le faire ultérieurement. Allez dans le dossier
Applications, ouvrez le dossier Utilitaires, puis double-cliquez sur Assistant migration.
Remarque : si vous avez utilisé Assistant réglages pour transférer vos informations à
partir de votre autre Macintosh et que vous souhaitez utiliser l’Assistant migration pour
transférer à nouveau des informations, assurez-vous que FileVault est désactivé sur l’autre
Macintosh. Pour désactiver FileVault, ouvrez la fenêtre Sécurité des Préférences Système
et cliquez sur Désactiver FileVault. Suivez les instructions à l’écran.
Assistant réglages peut également vous aider à configurer la connexion à Internet de
votre ordinateur. Pour les particuliers, l’accès à Internet requiert généralement l’ouverture d’un compte auprès d’un fournisseur d’accès à Internet (éventuellement payant).
Si vous disposez déjà d’un compte Internet, consultez l’annexe C, «Connexion à Internet», à la page 123 pour savoir quelles sont les informations à saisir.
Félicitations, votre ordinateur est prêt !
F3626M42.book Page 17 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM18 Chapitre 1 Premiers contacts
Composants de base de votre MacBook
®?
® Bouton d’alimentation
Lampe témoin
de la caméra
Caméra iSight
Microphone
Haut-parleurs stéréo
Lampe témoin de
suspension d’activité
Récepteur à infrarouge
Trackpad
Bouton du trackpad
Lecteur optique à
chargement par fente
F3626M42.book Page 18 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 1 Premiers contacts 19
Microphone
Permet de capturer des sons directement avec ce microphone intégré (situé à gauche de
la caméra iSight).
Caméra iSight intégrée et lampe témoin de la caméra
Participez à une vidéoconférence avec d’autres via l’application iChat AV incluse. La lampe
témoin de la caméra brille lorsque la caméra capture et affiche des données vidéo.
Haut-parleurs stéréo intégrés (3)
Permettent d’écouter de la musique, des films, des jeux et d’autres types de données
multimédia.
Trackpad
Permet de déplacer le pointeur sur l’écran du MacBook en utilisant un doigt ; inclut
également une fonction de défilement en utilisant deux doigts sur le trackpad.
Lampe témoin de suspension d’activité
Une lumière blanche clignote lorsque le MacBook est en suspension d’activité.
Récepteur à infrarouge intégré
Utilisez votre télécommande Apple Remote et le récepteur infrarouge intégré pour
contrôler votre MacBook à distance.
Lecteur de disque optique à chargement par fente
Votre disque optique peut lire des disques CD et DVD et écrire sur des CD. Si vous disposez
d’un lecteur SuperDrive, vous pouvez également écrire sur des disques DVD. Consultez
«Utilisation du lecteur optique» à la page 76 pour obtenir plus de détails.
® Bouton d’alimentation
Permet d’allumer ou d’éteindre votre MacBook ou d’en suspendre l’activité.
F3626M42.book Page 19 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM20 Chapitre 1 Premiers contacts
Fonctionnalités du clavier de votre MacBook
esc
num
F1 F2 F3 F4 F5 F6 F7 F8 F9 F10 F11 F12
lock
— i
C
-
Touche
de fonction (Fn)
Touches de
réglage du
volume
Touches de
réglage de la
luminosité
Touche de
verrouillage
numérique
Touche
d’éjection
de disques
Touche
Silence
Touches de
fonction
standard
Touche de bascule
du mode vidéo
F3626M42.book Page 20 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 1 Premiers contacts 21
Touche de fonction (Fn)
Maintenez cette touche enfoncée pour activer les actions personnalisées affectées aux
touches de fonction (F1 à F12). Pour apprendre comment personnaliser les touches de
fonction, choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des menus, puis recherchez «touches
de fonction».
Touches de réglage de la luminosité
Permettent d’augmenter ( ) ou de diminuer ( ) la luminosité de l’écran de votre
MacBook.
— Commande Silence
Permet de désactiver le son provenant des haut-parleurs intégrés et du port de sortie
casque.
- Touches de réglage du volume
Permettent d’augmenter (-) ou de diminuer (–) le volume du son provenant des
haut-parleurs intégrés et du port de sortie casque.
Touche de verrouillage numérique
Permet d’activer et de désactiver le pavé numérique intégré au clavier du MacBook. Lorsque
le pavé numérique est activé, une lumière verte brille sur la touche de verouillage numérique.
i Touche de bascule du mode vidéo
Permet de passer du mode double-écran (affichage de votre bureau sur l’écran intégré et
sur un écran externe) au mode de recopie vidéo (affichage des mêmes informations sur
les deux écrans) et vice versa.
F11, F12
Par défaut, la touche F11 ouvre Exposé et la touche F12 ouvre Dashboard.
C Touche d’éjection de disque
Maintenez cette touche enfoncée pour éjecter un disque. Il est également possible
d’éjecter un disque en faisant glisser son icône dans la Corbeille.
F3626M42.book Page 21 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM22 Chapitre 1 Premiers contacts
Composants supplémentaires de votre MacBook
¯
Port Ethernet
Gigabit (10/100/
1000 Base-T)
G
Logement
de sécurité
Port de sortie
casque/audio
numérique
optique
f
Port d’entrée
de ligne audio/
audio numérique
optique
,
Port
Mini-DVI
£ Port
FireWire
400
H Ports
USB 2.0
Port d
d’adaptateur
secteur
MagSafe
F3626M42.book Page 22 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 1 Premiers contacts 23
¯ Port de l’adaptateur secteur Apple MagSafe
Branchez-y l’adaptateur secteur Apple MagSafe 60 W fourni pour recharger la batterie de
votre MacBook.
G Port Ethernet Gigabit (10/100/1000Base-T)
Permet de se connecter soit à un réseau Ethernet haute vitesse, soit à un autre ordinateur
et de transférer des fichiers. La fonction de détection automatique du port Ethernet détecte
d’autres périphériques Ethernet sans avoir besoin de câble croisé Ethernet pour établir
la connexion.
£ Port Mini-DVI (sortie vidéo)
Permet de se connecter à un affichage externe ou à un appareil de projection utilisant un
connecteur DVI, VGA, composite ou S-Vidéo. Selon le type de périphérique externe auquel
vous connectez votre ordinateur, utilisez un adaptateur Mini-DVI vers DVI, Mini-DVI vers VGA
ou Mini-DVI vers Vidéo, tous vendus séparément à l’adresse www.apple.com/francestore.
H Port FireWire 400
Permettent de connecter des périphériques à haute vitesse tels que des caméras vidéo
numériques et des périphériques de stockage externes.
d Deux ports haute vitesse USB 2.0 (Universal Serial Bus)
Permettent de connecter des périphériques supplémentaires à votre MacBook, notamment
imprimantes, unités de stockage externes, appareils photo numériques, modems, claviers ou
manettes de jeu.
, Port d’entrée de ligne audio/audio numérique optique
Permet de connecter un micro ou un appareil audio numérique à votre MacBook.
f Port de sortie casque/audio numérique optique
Il permet de connecter des haut-parleurs externes, un casque ou des appareils audio
numériques.
Logement de sécurité
Permet de protéger votre MacBook contre le vol en l’attachant à l’aide d’un câble de
sécurité (vendu séparément).
F3626M42.book Page 23 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM24 Chapitre 1 Premiers contacts
Pour des informations supplémentaires sur ces fonctionnalités, consultez le chapitre 3,
«Utilisation de votre MacBook», à la page 57.
Extinction ou suspension d’activité de votre MacBook
Une fois que vous avez fini d’utiliser votre MacBook, vous pouvez suspendre son
activité ou l’éteindre.
Suspension de l’activité de votre MacBook
Suspendez l’activité de votre MacBook si vous ne comptez vous en éloigner que
quelques instants. Vous pourrez ensuite le réactiver sans avoir à le redémarrer.
Pour suspendre l’activité de votre ordinateur, procédez de l’une des manières
suivantes :
 Rabattez l’écran.
 Choisissez Pomme (?) > Suspendre l’activité, dans la barre des menus.
 Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) et cliquez sur Suspendre l’activité dans
la zone de dialogue qui apparaît.
 Choisissez le menu Pomme (?) > Préférences Système, cliquez sur
Économiseur d’énergie et définissez un délai pour la minuterie de mise en veille.
F3626M42.book Page 24 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 1 Premiers contacts 25
 Maintenez enfoncé le bouton Lecture/Pause (’) de la télécommande Apple Remote
pendant 3 secondes.
Pour réactiver l’ordinateur :
 Si l’écran est fermé, il suffit de l’ouvrir pour réactiver votre MacBook.
 Si l’écran est déjà ouvert, appuyez sur le bouton d’alimentation (®), sur l’une des
touches du clavier ou sur un bouton de la télécommande Apple Remote.
Extinction de votre MacBook
Si vous ne comptez pas utiliser votre MacBook pendant un jour ou deux, il est préférable
de l’éteindre. La lampe témoin de suspension d’activité reste allumée quelques instants
au moment de l’extinction.
Pour éteindre votre ordinateur, procédez de l’une des manières suivantes :
 Choisissez Pomme (?) > Éteindre, dans la barre des menus.
 Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) et cliquez sur Éteindre dans la zone de
dialogue qui apparaît.
Si vous comptez ranger votre MacBook pour une durée prolongée, consultez la section
«Rangement de votre MacBook» à la page 117 afin d’obtenir des informations sur les
mesures à prendre pour éviter que votre batterie ne se décharge complètement.
Avertissement : patientez quelques secondes jusqu’à ce que la lampe témoin de suspension d’activité clignote (signalant que l’activité de l’ordinateur est suspendue et que
le disque dur a cessé de tourner) avant de déplacer votre MacBook. Tout déplacement
de votre ordinateur lorsque le disque dur est en train de tourner risque d’endommager
ce dernier et d’entraîner une perte de données ou l’impossibilité de démarrer à partir
du disque dur.
F3626M42.book Page 25 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM26 Chapitre 1 Premiers contacts
Étalonnage de la batterie
Pour obtenir une autonomie optimale de votre batterie, effectuez son étalonnage
durant la première semaine d’utilisation de votre MacBook et répétez régulièrement
cette procédure afin que votre batterie fonctionne à pleine capacité.
Pour étalonner votre batterie :
1 Branchez votre adaptateur secteur et chargez complètement la batterie de votre MacBook
jusqu’à ce que le témoin lumineux de l’adaptateur passe au vert et que l’icône de la batterie dans la barre des menus indique que la batterie est complètement chargée.
2 Laissez la batterie complètement rechargée pendant deux heures ou plus. Vous pouvez
utiliser votre ordinateur durant cette période à condition de brancher l’adaptateur secteur.
3 Débranchez l’adaptateur secteur en gardant le MacBook allumé et commencez à l’utiliser
avec la batterie. Vous pouvez utiliser votre ordinateur durant cette période.
Lorsque votre batterie est presque déchargée, un message d’avertissement apparaît
à l’écran.
4 Gardez votre ordinateur allumé jusqu’à ce qu’il suspende son activité. Enregistrez votre
travail et fermez toutes les applications lorsque la batterie est presque déchargée et
avant que le système ne suspende son activité.
5 Éteignez l’ordinateur ou mettez-le en mode de suspension d’activité pendant cinq heures
ou plus.
6 Connectez l’adaptateur secteur jusqu’à ce que la batterie soit complètement rechargée.
Important : recommencez la procédure d’étalonnage environ tous les deux mois afin
de maintenir votre batterie dans un état optimal. Si vous n’utilisez pas fréquemment
votre MacBook, il est préférable d’étalonner à nouveau la batterie au moins une fois
par mois.
F3626M42.book Page 26 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 1 Premiers contacts 27
Si vous avez acheté des batteries supplémentaires, appliquez-leur également la procédure
d’étalonnage. Pour plus d’informations, consultez la section «Utilisation de la batterie» à la
page 81.
Informations supplémentaires
Pour en savoir plus sur votre MacBook, consultez les ressources suivantes :
 Consultez le chapitre 2, «Familiarisation avec votre MacBook», à la page 29, pour
découvrir les notions importantes élémentaires.
 Si vous n’êtes pas familiarisé avec Mac OS X, lisez le fascicule Bienvenue sur Tiger livré
avec votre ordinateur et ouvrez l’Aide Mac pour y explorer les informations disponibles.
Pour plus d’informations, consultez la section «Obtention de réponses grâce à l’Aide
Mac» à la page 28.
 Si un problème vous empêche d’utiliser votre ordinateur, consultez le chapitre 5,
«Dépannage», à la page 99.
 Consultez les questions les plus fréquemment posées dans «Les dix questions principales» à la page 133 .
 Pour plus d’information sur l’assistance, les groupes de discussion et les dernières
nouveautés logicielles Apple à télécharger, visitez le site www.apple.com/fr/support.
 Si vous ne trouvez pas de réponse à votre problème, consultez le Guide de service et
support AppleCare qui accompagne votre ordinateur pour savoir comment joindre
Apple.
F3626M42.book Page 27 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM28 Chapitre 1 Premiers contacts
Obtention de réponses grâce à l’Aide Mac
La plupart des informations sur l’utilisation de votre Macintosh sont disponibles
directement sur votre ordinateur, dans l’Aide Mac.
Pour faire apparaître l’Aide Mac :
1 Cliquez sur l’icône Finder dans le Dock (barre d’icônes située au bas de l’écran).
2 Choisissez Aide > Aide Mac (cliquez sur le menu Aide dans la barre des menus puis
sélectionnez Aide Mac).
3 Cliquez dans le champ Rechercher, tapez votre question et appuyez sur la touche
Retour du clavier.
Champ Rechercher
F3626M42.book Page 28 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM29
2
2 Familiarisation avec
votre MacBook
Ce chapitre présente des notions élémentaires
importantes concernant votre MacBook.
Lorsque vous cessez d’utiliser votre MacBook, patientez quelques instants avant de
transporter l’ordinateur afin de laisser le temps au disque dur ou à tout disque optique
situé dans votre lecteur (CD ou DVD) d’arrêter de tourner. Évitez de bousculer ou de
heurter votre MacBook pendant que des disques sont en train de tourner.
Remarque : votre MacBook utilise la technologie Sudden Motion Sensor qui contribue
à protéger le disque dur en cas de chute ou de vibrations subies par l’ordinateur. Pour
plus de détails, consultez la section «Technologie Sudden Motion Sensor» à la page 81.
Lorsque vous utilisez votre MacBook ou que vous rechargez sa batterie, il est normal
de constater une augmentation de la température de la partie inférieure du boîtier.
En cas d’utilisation prolongée, placez votre MacBook sur une surface plane et stable.
Le dessous du boîtier est légèrement surélevé pour permettre la circulation d’air et
assurer ainsi à l’équipement une température de fonctionnement normale.
F3626M42.book Page 29 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM30 Chapitre 2 Familiarisation avec votre MacBook
Vous entendrez parfois de petits bruits émis par le système au démarrage ou lorsque
le lecteur de disque dur et le lecteur optique sont utilisés. De même, il arrive qu’après
une certaine période de fonctionnement du MacBook, un petit ventilateur se mette en
marche pour refroidir le système, ce qui peut produire un léger bruit. Ce genre de sons,
qu’émet le système, font partie du fonctionnement normal de votre ordinateur.
Pour obtenir plus de consignes de sécurité sur la manipulation et l’utilisation de votre
MacBook dans différents lieux, veuillez consulter l’annexe B, «Consignes de sécurité,
d’utilisation et d’entretien», à la page 113.
Le reste du présent chapitre comprend des sections concernant l’utilisation des composants de votre MacBook, notamment l’affichage, l’adaptateur secteur, le trackpad,
le clavier, la caméra iSight intégrée et la télécommande Apple Remote. Vous trouverez
également des informations sur Mac OS X, l’Aide Mac, les applications et la connexion
de périphériques.
Réglage de l’écran
Après avoir commencé à travailler sur votre nouvel MacBook, réglez si nécessaire
la luminosité de l’écran pour un meilleur confort visuel. Utilisez les touches F1 et F2
portant l’icône de luminosité (¤) pour régler la luminosité de l’écran.
Pour régler les préférences de votre écran dans le but d’optimiser la durée de vie de
la batterie :
1 Ouvrez Préférences Système puis cliquez sur Économiseur d’énergie.
2 Dans le menu local «Réglages de», choisissez Batterie puis cliquez sur Options.
F3626M42.book Page 30 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 2 Familiarisation avec votre MacBook 31
3 Décochez la case «Réduire la luminosité de l’écran lors de l’utilisation de cette source
d’énergie» si vous ne souhaitez pas que votre écran s’assombrisse pour réduire la
consommation de la batterie.
Lorsque cette fonction est activée, votre écran s’assombrit légèrement lorsque vous passez de l’utilisation de l’adaptateur secteur à celle de la batterie. Lorsque vous branchez à
nouveau l’adaptateur secteur, votre écran revient à son niveau précédent de luminosité.
Décochez la case «Réduire automatiquement la luminosité de l’écran avant sa mise
en veille» si vous ne souhaitez pas que l’écran s’assombrisse avant que le MacBook
ne suspende son activité.
Modification de la taille des images à l’écran
Votre MacBook est équipé d’un écran large de 13,3 pouces doté d’une résolution par
défaut de 1280 x 800. Vous pouvez modifier la taille des images affichées en réglant
la résolution de l’écran.
Vous pouvez choisir une résolution inférieure dans la fenêtre Moniteurs des
Préférences Système. Lorsque vous diminuez la résolution, les éléments apparaissent plus
grands à l’écran et sont par conséquent plus faciles à visualiser. Les résolutions réduites
ne sont cependant pas toujours aussi nettes que la résolution d’écran par défaut.
Lorsque vous employez certaines résolutions, deux bandes noires apparaissent des deux
côtés de l’écran. Si vous souhaitez supprimer ces bandes, vous pouvez choisir une version
«étirée» de la résolution, afin que l’image couvre l’ensemble de l’écran et les bandes.
Pour changer la résolution de votre écran :
m Choisissez le menu Pomme (?) > Préférences Système dans la barre des menus.
Ouvrez la fenêtre Moniteurs des Préférences Système.
F3626M42.book Page 31 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM32 Chapitre 2 Familiarisation avec votre MacBook
Pour changer la résolution de votre écran via le menu d’état Moniteurs de la barre des
menus, cliquez sur l’option «Ouvrir Moniteurs dans la barre des menus».
Utilisation de l’adaptateur secteur
Le branchement de l’adaptateur secteur alimente le MacBook et recharge sa batterie.
Important : pour des performances optimales, n’utilisez que l’adaptateur secteur livré
avec votre ordinateur ou procurez-vous un adaptateur secteur MagSafe Apple de 60 W
supplémentaire.
La première fois que vous connectez l’adaptateur secteur à votre ordinateur, une lampe
témoin placée sur la fiche de l’adaptateur s’illumine. Une lumière orange indique que
la batterie est alimentée. Une lumière verte indique que la batterie n’est pas alimentée,
ce qui peut signifier que la batterie est complètement rechargée, n’est pas installée ou
présente un problème. Si vous ne voyez pas de lampe témoin, votre fiche n’est probablement pas branchée correctement. Si des débris sont présents, enlevez-les. Vous
pouvez contrôler le niveau de la batterie soit à l’aide du menu d’état Batterie de la
barre des menus, soit en vérifiant les lampes témoins de niveau de la batterie situés
sur la partie inférieure de la batterie (voir la page 81).
Avertissement : le port d’adaptateur secteur du MacBook contient un aimant qui peut
effacer les données d’une carte de crédit, d’un iPod ou d’autres périphériques. Pour
préserver vos données, maintenez-les, ainsi que les autres supports magnétiques, à
distance du port d’adaptateur secteur.
F3626M42.book Page 32 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 2 Familiarisation avec votre MacBook 33
Pour rallonger le câble de l’adaptateur secteur, tirez d’abord sur la fiche secteur pour la
retirer de l’adaptateur. Connectez le câble secteur inclus à l’adaptateur, en vous assurant
qu’il est fermement connecté. Branchez l’autre extrémité sur une prise secteur. Le câble
d’alimentation secteur fournit une connexion avec mise à la terre.
Utilisez le câble d’alimentation secteur et connectez-le à une prise secteur de terre
chaque fois que cela est possible. Utilisez uniquement le câble d’alimentation secteur
fourni avec votre adaptateur secteur. Veillez à ce que le connecteur soit fermement
engagé dans le port de l’adaptateur secteur de l’ordinateur afin de garantir l’arrivée
de courant à l’ordinateur. Si le câble est correctement branché, une lampe témoin
s’allume à l’extrémité du câble branché sur votre MacBook .
Lorsque vous déconnectez l’adaptateur secteur d’une prise de courant ou de l’ordinateur, débranchez la prise et non le câble. Pour obtenir des consignes de sécurité concernant l’utilisation de votre adaptateur secteur, consultez la section «Configuration de
votre MacBook et de l’adaptateur secteur» à la page 115.
Câble secteur Fiche secteur
F3626M42.book Page 33 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM34 Chapitre 2 Familiarisation avec votre MacBook
Utilisation du trackpad
La distance de déplacement du pointeur à l’écran dépend de la vitesse à laquelle vous
déplacez votre doigt sur le trackpad. Pour déplacer le pointeur sur une courte distance
à l’écran, faites glisser l’index lentement sur le trackpad ; plus le déplacement du doigt
est rapide, plus la distance parcourue par le pointeur à l’écran est grande. Vous pouvez
également régler la vitesse de déplacement dans la fenêtre Clavier et souris des
Préférences Système.
Vous pouvez faire défiler verticalement ou horizontalement une fenêtre munie de
barres de défilement en déplaçant deux doigts sur le trackpad. Vous pouvez activer
ou désactiver cette option dans la fenêtre Clavier et souris des Préférences Système.
Conseils d’utilisation du trackpad
Pour optimiser votre utilisation du trackpad :
 N’utilisez qu’un seul doigt, sauf si la fonction de défilement est activée et que vous
souhaitez l’utiliser.
 N’utilisez pas de stylo ou tout autre objet.
 Veillez à ce que votre doigt et le trackpad soient secs. Si l’humidité ou la condensation
provoque une accumulation de buée sur le trackpad, essuyez-le avec un chiffon propre
avant de l’utiliser.
 N’utilisez jamais de produit nettoyant sur le trackpad.
Pour en savoir plus sur l’utilisation du trackpad, choisissez Aide > Aide Mac dans
la barre des menus, en haut de l’écran.
F3626M42.book Page 34 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 2 Familiarisation avec votre MacBook 35
En plus d’utiliser le bouton du trackpad, vous pouvez utiliser votre doigt pour cliquer
ou double-cliquer directement sur le trackpad. Les options du trackpad peuvent être
activées via la fenêtre Clavier et souris des Préférences Système.
Remarque : s’il vous arrive souvent que le pointeur bouge lorsque vous tapez parce que
vous effleurez le trackpad par inadvertance, sélectionnez l’option «Ignorer les utilisations
accidentelles du trackpad» dans la fenêtre Clavier et souris des Préférences Système.
Utilisation du clavier
Votre MacBook est équipé d’un pavé numérique intégré au sein des touches normales
du clavier. Les touches utilisées par le pavé numérique sont pourvues d’une indication
secondaire.
Touche de
verrouillage
numérique
Pavé numérique
F3626M42.book Page 35 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM36 Chapitre 2 Familiarisation avec votre MacBook
Pour utiliser le pavé numérique, appuyez sur la touche de verrouillage numérique.
Lorsque le pavé numérique est actif, l’indicateur de la touche de verrouillage numérique
brille. Lorsque vous avez fini de l’utiliser, appuyez à nouveau sur la touche de verrouillage
numérique pour le désactiver.
Important : si votre clavier ne semble pas fonctionner correctement, vérifiez la touche
de verrouillage numérique. Lorsque le pavé numérique est activé, les autres touches
et raccourcis clavier correspondant à des commandes de menu (comme x + Q pour
quitter l’application en cours) sont désactivées.
Vous pouvez utiliser votre clavier ou la télécommande Apple Remote pour contrôler
l’application Front Row. (Voir «Utilisation du clavier pour contrôler Front Row» à la
page 42.)
Si vous souhaitez utiliser les raccourcis clavier pour travailler de manière plus efficace,
ouvrez l’Aide Mac et recherchez «raccourcis de clavier». Vous y trouverez une liste complète
de raccourcis clavier pour un grand nombre de procédures et d’applications courantes.
Utilisation d’une souris
Si vous disposez d’une souris Apple dotée d’un connecteur USB, insérez celui-ci dans le port
USB 2.0 pour l’utiliser immédiatement. Si vous possédez une souris Apple Wireless Mouse,
consultez la section «Utilisation de la technologie sans fil Bluetooth» à la page 67 pour
obtenir des informations sur son utilisation. Vous pouvez vous procurer une souris sans
fil ou USB sur l’Apple Store en ligne à l’adresse www.apple.com/francestore ou chez un
revendeur agréé Apple.
F3626M42.book Page 36 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 2 Familiarisation avec votre MacBook 37
Utilisation de la télécommande Apple Remote et de Front Row
Votre télécommande Apple Remote fonctionne avec l’interface de Front Row et le
récepteur infrarouge intégré, situé en bas et à droit de la face avant de votre MacBook.
Utilisez la télécommande Apple Remote pour ouvrir Front Row et interagir à distance
avec entre autres iTunes, iPhoto, iMovie et Lecteur DVD.
Utilisez votre télécommande Apple Remote pour :
 ouvrir Front Row et parcourir les menus Musique, Photos, Clips vidéo et DVD ;
 régler le volume d’un morceau, lire ou mettre en pause un morceau ou passer à
la piste suivante ou précédente dans iTunes ;
 visualiser un diaporama à partir d’un album photo dans iPhoto ;
 lire des séquences dans votre dossier Séquences ou regarder des bandes-annonces
QuickTime en ligne ;
 lire un disque DVD dans votre lecteur optique avec Lecteur DVD ;
 parcourir les présentations Keynote ;
 suspendre l’activité de votre MacBook ou le réactiver.
Pour utiliser votre télécommande Apple Remote avec Front Row, dirigez-la vers
l’avant du MacBook et :
 appuyez sur le bouton Menu (») pour ouvrir ou fermer Front Row ou pour revenir
au menu précédent lorsque vous explorez Front Row ;
 appuyez sur le bouton Suivant/Avance rapide (‘) ou sur le bouton Précédent/
Retour rapide (]) pour passer d’une application à l’autre dans Front Row ;
 appuyez sur les boutons Augmenter le volume/Élément de menu précédent (?) et
Baisser le volume/Élément de menu suivant (D) pour vous déplacer parmi les options
d’un menu ou régler le volume ;
F3626M42.book Page 37 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM38 Chapitre 2 Familiarisation avec votre MacBook
 appuyez sur le bouton Sélection/Lecture/Pause (’) pour sélectionner un élément de
menu ou pour lire ou mettre en pause un morceau, un diaporama ou un DVD ;
 appuyez sur le bouton Suivant/Avance rapide (‘) ou sur le bouton Précédent/Retour
rapide (]) pour explorer votre contenu multimédia (maintenez les boutons enfoncés
pour accélérer le défilement) ;
 maintenez le bouton Sélection/Lecture/Pause (’) enfoncé pendant 3 secondes pour
suspendre l’activité de votre MacBook.
Bouton Suivant/Avance rapide
Bouton Sélection/Lecture/Pause
Compartiment de la pile
Bouton Augmenter
le volume/Élément
de menu précédent
Fenêtre infrarouge
Bouton Baisser le volume/
Élément de menu suivant
Bouton Précédent/
Retour rapide
Bouton Menu
F3626M42.book Page 38 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 2 Familiarisation avec votre MacBook 39
Utilisation de la télécommande Apple Remote avec Keynote
Si Keynote est installé sur votre ordinateur, vous pouvez contrôler vos présentations
avec la télécommande Apple Remote. Une fois Keynote ouvert, appuyez sur le bouton
Sélection/Lecture/Pause (’) pour lancer une présentation. Ensuite, selon l’endroit de
l’application où vous souhaitez travailler (dans une présentation ou dans le classeur de
diapositives), dirigez la télécommande Apple Remote vers votre MacBook et appuyez
sur ses boutons pour contrôler Keynote suivant les indications du tableau suivant.
Appuyez sur le bouton... dans une présentation dans le classeur de diapositives
’ (Sélection/Lecture/Pause) pour interrompre/reprendre
la présentation
pour passer à la diapositive
sélectionnée
» (Menu) pour lancer le classeur de
diapositives
pour quitter le classeur de
diapositives
» et maintenez-le enfoncé pour quitter l’application pour quitter la présentation
] (Précédent/Retour rapide) pour passer à la diapositive
précédente
pour sélectionner la diapositive
précédente
] et maintenez-le enfoncé pour passer à la première
diapositive
‘ (Suivant/avance rapide) pour passer à la diapositive
suivante
pour sélectionner la diapositive
suivante
‘ et maintenez-le enfoncé pour passer à la dernière
diapositive
? (Augmenter le volume/
Élément de menu précédent)
pour augmenter le volume pour augmenter le volume
D (Baisser le volume/
Élément de menu suivant)
pour baisser le volume pour baisser le volume
F3626M42.book Page 39 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM40 Chapitre 2 Familiarisation avec votre MacBook
Jumelage de votre télécommande Apple Remote
Si vous possédez dans une pièce plusieurs ordinateurs ou autres appareils dotés de
récepteurs à infrarouge intégrés (par exemple, plusieurs MacBook ou iMac dans un
bureau personnel ou un laboratoire), vous avez la possibilité de «jumeler» votre télé-
commande Apple Remote avec un ordinateur ou un appareil précis. Le jumelage
permet de configurer l’ordinateur ou l’appareil récepteur de façon à ce qu’il ne soit
contrôlé que par une télécommande Apple Remote spécifique.
Pour jumeler votre télécommande Apple Remote avec votre MacBook :
1 Mettez la télécommande Apple Remote à 8 à 10 centimètres du récepteur infrarouge
de votre MacBook.
2 Maintenez simultanément enfoncés les boutons Menu (») et Suivant/Avance rapide (‘)
de votre télécommande Apple Remote pendant 5 secondes.
Lorsque vous avez correctement jumelé votre télécommande Apple Remote avec votre
MacBook, le symbole d’un maillon de chaîne ( ) apparaît à l’écran.
Pour annuler le jumelage de la télécommande Apple Remote et du MacBook :
1 Choisissez le menu Pomme (?) > Préférences Système dans la barre des menus.
2 Cliquez sur Sécurité puis sur Désactiver le jumelage.
F3626M42.book Page 40 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 2 Familiarisation avec votre MacBook 41
Remplacement de la batterie
La télécommande Apple Remote inclut une pile non rechargeable. Si nécessaire,
remplacez la pile par une pile CR 2032. N’essayez pas de recharger la pile.
Pour remettre la pile en place :
1 Ouvrez le logement de la pile en appuyant sur le bouton (illustré ci-dessus) avec un
petit objet, tel que l’extrémité d’un trombone.
2 Ôtez le compartiment de la pile et retirez-la.
3 Insérez la nouvelle pile, son côté positif (+) tourné vers le haut.
4 Refermez le logement de la pile.
Appuyez sur ce bouton à l’aide d’un petit objet arrondi
pour éjecter partiellement le logement de la pile.
Face positive (+) vers le haut.
Tirez afin de libérer le
logement de la pile.
MENU
F3626M42.book Page 41 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM42 Chapitre 2 Familiarisation avec votre MacBook
Désactivation de la réception infrarouge
Vous pouvez utiliser les préférences Sécurité pour activer ou désactiver la réception
infrarouge sur votre MacBook.
Pour désactiver la réception infrarouge :
 Choisissez le menu Pomme (?) > Préférences Système dans la barre des menus et
cliquez sur Sécurité.
 Cochez la case «Désactiver le récepteur à infrarouge de la télécommande».
Utilisation du clavier pour contrôler Front Row
Vous pouvez utiliser votre clavier au lieu de la télécommande Apple Remote pour
contrôler Front Row. Les touches suivantes correspondent aux boutons de la télécommande Apple Remote :
Équivalent clavier Bouton de la télécommande Apple Remote
Commande (x) - Échap Ouvrir menu (»)
Échap Quitter menu (»)
Espace ou Retour Sélection/Lecture/Pause (’)
Flèche vers le haut (Ò) Augmenter le volume/Élément de menu précédent (?)
Flèche vers la bas (¬) Baisser le volume/Élément de menu suivant (D)
Flèche vers la droite (°) Suivant/avance rapide (‘)
Flèche vers la gauche (k) Précédent/Retour rapide (])
F3626M42.book Page 42 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 2 Familiarisation avec votre MacBook 43
En savoir plus sur la télécommande Apple Remote
L’Aide Mac fournit des informations supplémentaires sur la télécommande Apple Remote.
Choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des menus, puis recherchez «Apple Remote».
Utilisation de la caméra vidéo iSight intégrée
À l’aide de la caméra iSight intégrée, vous pouvez prendre des photos avec
Photo Booth ou participer à des conférences vidéo avec d’autres utilisateurs d’iChat AV.
Prise de photos avec Photo Booth
Utilisez Photo Booth pour prendre des photos et ajouter des effets visuels amusants
tels que sépia, noir et blanc, éclat, crayon de couleur et plus encore.
Caméra iSight
Lampe témoin
de la caméra
Microphone
F3626M42.book Page 43 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM44 Chapitre 2 Familiarisation avec votre MacBook
Pour prendre une photo avec Photo Booth :
1 Cliquez sur l’icône de Photo Booth dans le Dock pour ouvrir Photo Booth, puis allumez
la caméra iSight intégrée.
La lampe témoin située à côté de la caméra brille lorsque celle-ci est allumée.
2 Vous pouvez sélectionner un effet à appliquer à votre photo.
3 Cliquez sur l’icône de caméra sous l’image pour prendre une photo.
Enregistrez l’image comme photo de contact iChat, envoyez-la par courrier électronique
à vos amis ou enregistrez-la dans votre photothèque iPhoto.
Pour utiliser une photo comme photo de contact ou de compte :
1 Ouvrez Photo Booth et prenez une photo.
2 Sélectionnez la photo que vous souhaitez utiliser comme photo de contact ou photo
de compte.
3 Cliquez sur l’icône de photo de contact ou de compte pour automatiquement mettre
à jour votre photo.
Pour plus d’informations sur Photo Booth, choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des
menus, puis sélectionnez Centre d’aide > Aide Photo Booth.
Utilisation de votre caméra iSight avec iMovie HD
Vous pouvez capturer de la vidéo en direct de votre caméra iSight, directement dans
iMovie HD.
Pour capturer de la vidéo en direct :
1 Ouvrez iMovie HD en cliquant sur son icône dans le Dock.
F3626M42.book Page 44 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 2 Familiarisation avec votre MacBook 45
2 Cliquez sur l’option de changement de mode pour régler iMovie HD sur le mode
caméra intégrée.
3 Cliquez sur l’icône de caméra à gauche de l’option de changement de mode puis
choisissez iSight intégrée dans le menu local.
4 Cliquez sur le bouton «Enregistrer avec iSight» dans le moniteur iMovie pour commencer
à enregistrer. La vidéo que vous voyez dans le moniteur iMovie est enregistrée comme
clip dans le panneau des clips iMovie.
5 Cliquez à nouveau sur le bouton «Enregistrer avec iSight» pour arrêter l’enregistrement.
Vous pouvez enregistrer de la vidéo tant que votre MacBook possède suffisamment
d’espace libre.
L’Aide Mac fournit des informations supplémentaires sur iMovie HD. Choisissez Aide >
Aide Mac dans la barre de menus, puis choisissez Centre d’aide > Aide iMovie HD.
Vidéoconférences avec iChat AV
Lorsque vous ouvrez iChat AV, la lampe témoin de la caméra s’allume. Cliquez sur
l’icône vidéo d’un contact pour participer avec lui à une vidéoconférence iChat AV,
en temps réel avec animation vidéo intégrale. Votre MacBook est également doté d’un
micro intégré, ce qui vous permet de profiter à la fois du son et de l’image durant vos
vidéoconférences iChat AV.
Option de changement de mode
F3626M42.book Page 45 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM46 Chapitre 2 Familiarisation avec votre MacBook
Pour utiliser la caméra iSight intégrée en vue de lancer une vidéoconférence, vous avez
besoin des éléments suivants :
 un compte .Mac, America Online (AOL) ou AOL Instant Messenger (AIM) (requis pour
iChat AV) ;
 une connexion à Internet à haut débit via câble modem ou DSL ou un réseau local (LAN).
Veuillez notez que les vidéoconférences ne sont pas possibles sous une connexion à
Internet par ligne commutée.
Pour débuter une vidéoconférence :
1 Ouvrez iChat AV.
2 Cliquez sur le bouton représentant une caméra situé à côté d’un contact dans votre
liste de contacts.
Pour en savoir plus sur l’ajout de contacts à votre liste, choisissez Aide > Aide iChat AV.
Lorsque vous cliquez sur un bouton représentant une caméra dans la liste des contacts,
la lampe témoin de la caméra brille pour indiquer que vous affichez de la vidéo. Cela
enverra également une invitation à votre contact et vous permettra de voir de quoi vous
avez l’air à la caméra. Lorsqu’un contact accepte votre invitation, vous pouvez le voir
apparaître sur votre écran, ainsi que vous-même.
F3626M42.book Page 46 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 2 Familiarisation avec votre MacBook 47
Vidéoconférence avec plusieurs contacts
Il est possible de réaliser des vidéoconférences en compagnie de deux, et jusqu’à trois,
contacts à la fois. Un des contacts accueille la vidéoconférence et les autres y participent.
Pour débuter une vidéoconférence avec plusieurs contacts :
1 Ouvrez iChat AV.
2 Maintenez enfoncée la touche Commande tout en sélectionnant les contacts que vous
souhaitez inviter.
3 Cliquez sur le bouton représentant une caméra situé au bas de votre liste de contacts.
Extinction de la caméra iSight
Pour éteindre la caméra iSight, fermez la fenêtre active iChat. La lampe témoin de la
caméra s’éteint, ce qui indique que la caméra iSight est éteinte et que l’enregistrement
a été interrompu.
Utilisation de votre photo en tant qu’image de contact
Vous avez la possibilité de vous prendre en photo à l’aide de la caméra iSight et d’utiliser
cette photo comme image de contact. Elle apparaîtra dans la liste de contacts des autres
utilisateurs, si vous en faites partie.
Pour définir votre image de contact :
1 Ouvrez iChat AV.
2 Choisissez Contacts > Changer ma photo.
3 Cliquez sur le bouton représentant une caméra.
F3626M42.book Page 47 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM48 Chapitre 2 Familiarisation avec votre MacBook
À propos de Mac OS X
Votre ordinateur est doté de Mac OS X version 10.4 Tiger qui comprend entre autres
Spotlight (un moteur de recherche qui répertorie automatiquement l’ensemble de vos
fichiers), Dashboard (qui vous permet de garder à portée de mains des «widgets», ou
mini-applications, très pratiques) et Exposé (qui dispose et affiche de manière élégante
toutes les fenêtres des applications ouvertes).
Lorsque vous serez prêt à en apprendre davantage sur Mac OS X et les applications iLife
maintes fois primées qui accompagnent votre ordinateur, consultez le livret Bienvenue
sur Tiger fourni avec votre MacBook ou consultez les informations dans l’Aide Mac. En
cas de problèmes lors de l’utilisation de Mac OS X, consultez le chapitre 5, «Dépannage», ou l’Aide Mac.
Pour obtenir des informations sur les applications qui sont compatibles avec Mac OS X
ou pour en savoir plus sur Mac OS X en général, consultez le site web d’Apple à l’adresse
www.apple.com/fr/macosx.
F3626M42.book Page 48 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 2 Familiarisation avec votre MacBook 49
Personnalisation du bureau et réglage des préférences
Grâce aux Préférences Système, vous pouvez donner à votre bureau l’apparence
souhaitée sans perdre de temps. Choisissez le menu Pomme (?) > Préférences Système
dans la barre des menus.
N’hésitez pas à expérimenter avec les réglages apparaissant dans les fenêtres suivantes :
 Apparence : sélectionnez cette fenêtre de préférences pour changer entre autres
la couleur des boutons, menus et fenêtres, ainsi que celle de mise en surbrillance.
 Dashboard et Exposé : sélectionnez cette fenêtre des Préférences pour définir les
coins d’écran actifs et les raccourcis de Dashboard, de votre bureau, des fenêtres
de l’application ainsi que de toutes les fenêtres.
F3626M42.book Page 49 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM50 Chapitre 2 Familiarisation avec votre MacBook
 Bureau et économiseur d’écran : sélectionnez cette fenêtre de préférences pour changer
la couleur et le motif du bureau ou pour le remplacer par la photo ou l’image de votre
choix. Vous pouvez également choisir un effet d’écran accrocheur qui apparaîtra lorsque
l’ordinateur reste inactif.
 Dock : sélectionnez cette fenêtre de préférences pour modifier la taille, l’emplacement
et le comportement de votre Dock (c’est-à-dire, la barre d’icônes au bas de votre écran).
Tout en vous familiarisant avec votre ordinateur, découvrez progressivement les autres
Préférences Système. Préférences Système constitue le poste de commande qui vous
permet d’effectuer la plupart des réglages de votre MacBook. Pour en savoir plus,
ouvrez l’Aide Mac et recherchez «Préférences Système» ou la fenêtre de préférences
spécifique que vous souhaitez modifier.
Remarque : Apple publiant régulièrement de nouvelles versions et mises à jour de son
logiciel système, ses applications et ses sites Internet, il est possible que les illustrations
figurant dans ce manuel diffèrent légèrement de celles qui apparaissent sur votre écran.
Utilisation des applications
Votre MacBook est accompagné d’applications logicielles vous permettant d’envoyer
des messages électroniques, de naviguer sur Internet et de bavarder en ligne. Il inclut
également la suite d’applications iLife, utile par exemple pour l’organisation de votre
musique et de vos photos numériques, la création de séquences et de sites web. Pour
en savoir plus sur ces applications, consultez le livret Bienvenue sur Tiger fourni avec
votre ordinateur.
F3626M42.book Page 50 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 2 Familiarisation avec votre MacBook 51
Lorsqu’une application ne répond plus
Il peut arriver, très rarement, qu’une application se «fige» à l’écran. Mac OS X permet
de quitter une application figée sans redémarrer votre ordinateur. Vous pouvez ainsi
enregistrer le travail effectué dans d’autres applications ouvertes.
Pour forcer une application à se fermer :
1 Appuyez sur les touches Commande (x) + Option + Échap ou choisissez Pomme (?) >
Forcer à quitter dans la barre des menus.
La boîte de dialogue Forcer à quitter des applications apparaît. L’application est
sélectionnée.
2 Dans la zone de confirmation, cliquez sur Forcer à quitter.
L’application se ferme, en laissant toutes les autres applications ouvertes.
Si nécessaire, vous pouvez également redémarrer le Finder à partir de cette zone de
dialogue.
Si vous rencontrez d’autres difficultés avec une application, consultez le chapitre 5,
«Dépannage», à la page 99.
Maintien à jour de vos logiciels
Vous pouvez vous connecter à Internet pour télécharger et installer automatiquement les
dernières versions de logiciels, gestionnaires et autres améliorations fournies par Apple.
Chaque fois que vous vous connectez à Internet, «Mise à jour de logiciels» consulte
les serveurs Internet d’Apple pour rechercher les mises à jour disponibles pour votre
ordinateur. Vous pouvez configurer votre Mac pour qu’il recherche régulièrement dans
les serveurs Apple des mises à jour de logiciels, puis les télécharge et les installe.
F3626M42.book Page 51 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM52 Chapitre 2 Familiarisation avec votre MacBook
Pour rechercher des logiciels mis à jour :
1 Ouvrez les Préférences Système.
2 Cliquez sur l’icône «Mise à jour de logiciels» et suivez les instructions à l’écran.
 Pour plus d’informations, recherchez «Mise à jour de logiciels» dans l’Aide Mac.
 Pour obtenir les toutes dernières informations concernant Mac OS X, accédez au site
web Mac OS X à l’adresse www.apple.com/fr/macosx.
Connexion à une imprimante
Suivez les instructions fournies avec votre imprimante pour installer les logiciels requis
et connecter l’imprimante. Mac OS X intègre la plupart des gestionnaires d’imprimantes.
Vous pouvez connecter la plupart des imprimantes au moyen d’un câble USB ; d’autres
peuvent requérir une connexion en réseau, par exemple via Ethernet. Si vous possédez
une borne d’accès AirPort Express ou AirPort Extreme, vous pouvez connecter une
imprimante USB à la borne d’accès (plutôt qu’à l’ordinateur) pour effectuer des tâches
d’impression sans fil. Pour en savoir plus sur les ports USB, consultez la section «Utilisation de périphériques USB (Universal Serial Bus)» à la page 58. Pour en savoir plus sur
les connexions réseau ou sans fil, consultez la section «Fonctionnement de l’accès sans
fil à Internet via AirPort» à la page 66 et «Connexion via Ethernet» à la page 69.
Lorsque vous connectez une imprimante USB, elle est normalement automatiquement
détectée par votre ordinateur qui l’ajoute alors à la liste des imprimantes disponibles.
Il se peut que vous ayez besoin du nom réseau ou de l’adresse des imprimantes connectées à un réseau pour pouvoir imprimer. Utilisez la fenêtre Imprimantes et fax des
Préférences Système pour sélectionner votre imprimante.
F3626M42.book Page 52 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 2 Familiarisation avec votre MacBook 53
Remarque : si votre imprimante ne fonctionne pas, il sera peut-être nécessaire de consulter le site web de son fabricant pour obtenir le logiciel de gestionnaire d’imprimante
compatible à installer.
Pour configurer une imprimante :
1 Ouvrez Préférences Système et cliquez sur l’icône Imprimantes et fax.
2 Cliquez sur Impression puis sur le bouton Ajouter (+) pour ajouter une imprimante.
3 Sélectionnez l’imprimante que vous souhaitez utiliser, puis cliquez sur Ajouter.
4 Utilisez les boutons Ajouter (+) et Supprimer (–) pour choisir les imprimantes que vous
souhaitez voir apparaître dans la liste des imprimantes.
Contrôle de l’impression
Après avoir envoyé un document à une imprimante, vous pouvez contrôler l’impression,
interrompre votre tâche d’impression ou la placer temporairement en attente. Cliquez
sur l’icône Imprimante dans le Dock pour ouvrir la fenêtre Imprimante. Pour plus d’informations, choisissez Aide > Aide Mac et recherchez «impression».
Lecture d’un CD et connexion d’un casque d’écoute
Vous pouvez utiliser iTunes, un juke-box numérique et magasin facile à utiliser, d’où vous
pouvez télécharger de la musique, des clips vidéos, des podcasts et des livres audio et
écouter votre musique iTunes et des CD tout en utilisant votre ordinateur. Insérez un CD
de musique dans votre lecteur optique et iTunes apparaîtra automatiquement à l’écran.
Vous pouvez écouter de la musique soit via les haut-parleurs internes du MacBook, soit
en branchant un casque d’écoute sur le port de sortie casque de votre MacBook.
Pour en savoir plus sur iTunes :
m Ouvrez iTunes et choisissez Aide > Aide iTunes et Music Store.
F3626M42.book Page 53 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM54 Chapitre 2 Familiarisation avec votre MacBook
Connexion d’un appareil photo ou de tout autre périphérique
FireWire ou USB
Vous pouvez connecter un iPod, un appareil photo numérique, une caméra vidéo, un
scanneur ou tout autre appareil doté d’un connecteur FireWire ou USB à votre MacBook.
Suivez les instructions d’installation fournies avec votre appareil. Pour obtenir des informations sur FireWire, consultez la section «Connexion via FireWire» à la page 62. Pour
obtenir des informations sur les connexions USB, consultez la section «Utilisation de périphériques USB (Universal Serial Bus)» à la page 58.
Transfert de fichiers depuis ou vers un autre ordinateur
Si vous souhaitez transférer des fichiers ou des documents depuis ou vers un autre
ordinateur, vous pouvez procéder de différentes manières.
 Vous pouvez facilement transférer tous vos fichiers à l’aide d’Assistant migration
et d’un câble FireWire (vendu séparément).
 Vous pouvez également vous connecter à un autre Mac à l’aide d’un câble FireWire
et démarrer votre MacBook en mode disque cible FireWire. Votre MacBook apparaît
alors en tant que disque dur sur l’autre ordinateur et vous pouvez y faire glisser
des fichiers. Pour plus d’informations sur l’utilisation de FireWire pour transférer des
fichiers, consultez la section «Connexion de votre MacBook à un autre ordinateur via
FireWire» à la page 64.
 Si vous possédez un lecteur de disque dur externe, un iPod, un lecteur flash ou tout
autre périphérique de stockage de données qui se connecte via un câble USB ou
FireWire, vous pouvez l’utiliser pour transférer des fichiers.
 Si vous disposez d’un compte de messagerie, vous pouvez envoyer vos fichiers par
courrier électronique vers un autre ordinateur.
F3626M42.book Page 54 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 2 Familiarisation avec votre MacBook 55
 Si vous souscrivez un compte .Mac (payant) auprès d’Apple, vous pouvez l’utiliser
pour transférer des fichiers. Avec un compte .Mac, vous obtenez un iDisk qui vous
fournit un espace Internet pour la sauvegarde et le stockage de fichiers, afin que
d’autres ordinateurs puissent accéder aux fichiers que vous y transférez.
 À l’aide d’un lecteur optique enregistrable, vous pouvez enregistrer des fichiers pour
les transférer sur CD ou DVD.
 Si vous connectez votre ordinateur à un réseau via Ethernet, vous pouvez échanger
des fichiers avec d’autres ordinateurs du réseau. Vous pouvez accéder à un serveur
ou à un autre ordinateur en cliquant sur Réseau dans la barre latérale du Finder ou
en choisissant Aller > «Se connecter au serveur» dans la barre des menus du Finder.
 Vous pouvez créer un petit réseau Ethernet en connectant un câble Ethernet depuis
votre MacBook jusqu’au port Ethernet d’un autre ordinateur. Après vous être connecté
à l’autre ordinateur, vous pouvez transférer des fichiers directement d’un ordinateur à
l’autre. Pour plus d’informations, ouvrez l’Aide Mac et recherchez «Connexion de deux
ordinateurs».
 Vous pouvez vous connecter à un réseau sans fil AirPort Extreme pour transférer des
fichiers. Pour plus d’informations, consultez la section «Fonctionnement de l’accès
sans fil à Internet via AirPort» à la page 66.
 Si vous avez accès à des appareils qui communiquent via la technologie sans fil
Bluetooth®, vous pouvez transférer des fichiers vers d’autres appareils équipés de
cette technologie. Pour plus d’informations, consultez la section «Utilisation de la
technologie sans fil Bluetooth» à la page 67.
Pour obtenir des informations générales sur le transfert de fichiers et de documents,
ouvrez l’Aide Mac et recherchez «transfert» ou le type de connexion dont vous avez besoin.
F3626M42.book Page 55 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMF3626M42.book Page 56 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM57
3
3 Utilisation de votre MacBook
Votre MacBook comporte de nombreuses fonctions
et capacités de connexion intégrées.
En voici la liste :
 des ports USB 2.0 (Universal Serial Bus) pour la connexion d’appareils, notamment
iPod, imprimantes ou scanneurs (voir «Utilisation de périphériques USB (Universal
Serial Bus)» à la page 58) ;
 un port FireWire 400 pour connecter des périphériques à haute vitesse, tels que
caméras vidéo numériques et disques durs externes (voir «Connexion via FireWire» à
la page 62) ;
 la connectivité sans fil Bluetooth, la capacité réseau sans fil AirPort Extreme et la capacité réseau Ethernet Gigabit. (voir «Fonctionnement de l’accès sans fil à Internet via
AirPort» à la page 66 et «Connexion via Ethernet» à la page 69) ;
 un port d’entrée de ligne audio/audio numérique optique et un port de sortie casque/
audio numérique optique pour connecter un casque, des haut-parleurs et des appareils
audio numériques (voir «Connexion de haut-parleurs et autres périphériques audio» à la
page 75) ;
F3626M42.book Page 57 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM58 Chapitre 3 Utilisation de votre MacBook
 un port vidéo mini-DVI pour connecter votre MacBook à un moniteur externe via un
adaptateur Mini-DVI vers DVI ou Mini-DVI vers VGA : utilisez un adaptateur Mini-DVI
vers Vidéo pour connecter tout appareil vidéo nécessitant une connexion composite
ou S-Vidéo ; tous les adaptateurs sont vendus séparément (voir «Gestion de la vidéo
externe» à la page 71) ;
 un lecteur optique à chargement par fente pour la lecture de CD et de DVD et pour
la gravure de CD ; si vous disposez d’un lecteur SuperDrive, vous pouvez également
graver des DVD (voir «Utilisation du lecteur optique» à la page 76) ;
 la technologie Sudden Motion Sensor qui contribue à protéger le disque dur en cas
de chute ou de vibrations subies par votre MacBook (voir «Technologie
Sudden Motion Sensor» à la page 81) ;
 une batterie MacBook dont vous pouvez facilement consulter l’état de charge
(voir «Utilisation de la batterie» à la page 81) ;
 un logement de sécurité pour éviter que votre MacBook ne disparaisse (voir «Protection
de votre MacBook» à la page 87).
Utilisation de périphériques USB (Universal Serial Bus)
Votre MacBook est livré avec deux ports USB 2.0 (d), ou ports USB haute vitesse, à utiliser
pour connecter de nombreux périphériques externes, notamment iPod, imprimantes, scanneurs, appareils photo numériques, manettes de jeu, claviers ou lecteurs de disquette.
Ces ports USB 2.0 sont compatibles avec les anciens modèles de périphériques USB. Vous
pouvez, dans la plupart des cas connecter et déconnecter un périphérique USB pendant
que l’ordinateur est allumé. Vous pouvez utiliser les périphériques dès leur branchement.
Il n’est pas nécessaire de redémarrer ni de reconfigurer votre ordinateur.
F3626M42.book Page 58 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 3 Utilisation de votre MacBook 59
Pour utiliser un périphérique USB avec votre ordinateur, connectez-le. Votre ordinateur
détecte automatiquement tout nouveau périphérique connecté et ouvre le logiciel
adéquat.
Remarque : si vous avez connecté un périphérique USB et que votre MacBook ne
trouve pas le gestionnaire approprié, vous pouvez installer le gestionnaire fourni avec
le périphérique ou consulter le site web du fabricant du périphérique afin de trouver
et installer le gestionnaire approprié.
Périphériques USB et énergie de la batterie
Vous pouvez utiliser des périphériques USB, tels qu’une manette de jeu ou un clavier, qui
sont alimentés via le port USB de votre MacBook plutôt que via un adaptateur secteur
distinct. Ce type de périphérique USB peut toutefois provoquer un déchargement plus
rapide de la batterie du MacBook. Si vous comptez connecter le périphérique pendant
une longue période, il est recommandé de brancher le MacBook à son adaptateur secteur.
F3626M42.book Page 59 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM60 Chapitre 3 Utilisation de votre MacBook
Utilisation simultanée de plusieurs périphériques USB
Vous pouvez vous procurer un concentrateur USB pour connecter plusieurs périphériques USB à votre ordinateur. Vous pouvez connecter le concentrateur à un port USB
disponible de votre ordinateur pour disposer de ports USB supplémentaires (en général
quatre ou sept). Les concentrateurs haute vitesse prennent en charge les périphériques
USB 2.0 haute vitesse, ainsi que les périphériques compatibles USB 1.1. Les concentrateurs
USB 1.1 ne permettent pas aux périphériques USB haute vitesse de fonctionner à leur
vitesse maximale. La plupart des concentrateurs USB disposent d’un adaptateur secteur
et doivent être branchés sur une prise secteur.
Remarque : si vous utilisez une chaîne de périphériques et de concentrateurs USB, certains d’entre eux risquent de ne pas fonctionner s’ils sont connectés via une combinaison
de concentrateurs USB 2.0 haute vitesse et de concentrateurs USB 1.1 à vitesse normale
ou faible. Il se peut, par exemple, qu’aucun disque dur externe USB ne s’affiche sur votre
bureau. Pour éviter ce problème, ne connectez pas ensemble des périphériques USB pré-
sentant des vitesses différentes. Connectez directement votre concentrateur à haut débit à
votre ordinateur, puis connectez-y des périphériques à haut débit. Connectez directement
un concentrateur à vitesse normale ou faible à votre ordinateur, puis connectez-y des
périphériques de vitesse similaire.
F3626M42.book Page 60 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 3 Utilisation de votre MacBook 61
Pour en savoir plus à propos de la technologie USB
L’Aide Mac contient des informations supplémentaires sur la technologie USB. Choisissez
Aide > Aide Mac dans la barre des menus et recherchez «USB». Vous trouverez d’autres
informations sur le site web USB d’Apple, à l’adresse www.apple.com/fr/usb. Pour obtenir
des informations sur les périphériques USB disponibles pour votre ordinateur, consultez
le Guide des Produits Macintosh à l’adresse www.apple.com/fr/guide.
Concentrateur USB
F3626M42.book Page 61 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM62 Chapitre 3 Utilisation de votre MacBook
Connexion via FireWire
Votre ordinateur est équipé d’un port FireWire 400 (H). La technologie FireWire vous
permet de connecter et de déconnecter aisément des périphériques haute vitesse,
tels que des caméras haute définition HDV ou numériques DV et des disques durs,
sans redémarrer votre ordinateur.
Vous pouvez connecter un périphérique FireWire standard à 6 broches directement
au port FireWire 400 (H). Le port fournit en alimentation les périphériques connectés
(ces derniers n’ont donc pas besoin de prise d’alimentation séparée).
F3626M42.book Page 62 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 3 Utilisation de votre MacBook 63
La technologie FireWire vous permet notamment de :
 connecter une caméra HDV ou DV pour capturer, transférer et faire des montages
vidéo de grande qualité directement sur votre ordinateur au moyen de logiciels
de montage vidéo tels qu’iMovie HD, Final Cut Express ou Final Cut Studio (vendus
séparément) ;
 connecter un disque dur FireWire externe et l’utiliser pour sauvegarder des données
ou transférer des fichiers ;
 démarrer à partir d’un disque dur externe FireWire : connectez un disque dur FireWire
externe (doté de Mac OS X version 10.4.6 ou ultérieure), ouvrez la fenêtre Démarrage
des Préférences Système, puis cliquez sur l’icône de disque dur FireWire et redémarrez
votre ordinateur) ;
 transférer des fichiers entre votre MacBook et un autre ordinateur FireWire via le mode
disque cible FireWire : pour toute information supplémentaire, consultez la section
«Connexion de votre MacBook à un autre ordinateur via FireWire» à la page 64.
Utilisation de périphériques FireWire
Pour utiliser un périphérique FireWire avec votre ordinateur, connectez-le à l’ordinateur
et installez tout logiciel fourni avec le périphérique en question. Votre ordinateur détecte
automatiquement les nouveaux périphériques connectés.
Remarque : si vous avez connecté un périphérique FireWire et que votre MacBook ne
trouve pas le gestionnaire approprié, vous pouvez installer le gestionnaire fourni avec
le périphérique ou consulter le site web du fabricant du périphérique afin de trouver
et installer le gestionnaire approprié.
F3626M42.book Page 63 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM64 Chapitre 3 Utilisation de votre MacBook
Périphériques FireWire et énergie de la batterie
Vous pouvez utiliser des périphériques FireWire (comme certains disques durs externes)
alimentés par la connexion FireWire du MacBook plutôt que par un adaptateur secteur
séparé. Ce type de périphérique FireWire peut toutefois provoquer un déchargement
plus rapide de la batterie du MacBook. Si vous comptez connecter un périphérique
pendant une longue période, il est recommandé de brancher le MacBook sur son adaptateur secteur.
Remarque : le port FireWire (H) est conçu pour prendre en charge l’alimentation des
périphériques FireWire (7 watts maximum). Il est possible de connecter plusieurs périphériques entre eux, puis de connecter cette chaîne de périphériques au port FireWire
de votre ordinateur, à condition que seul l’un d’eux soit alimenté directement par
l’ordinateur. Les autres périphériques de la chaîne doivent alors être alimentés par
des adaptateurs secteur distincts. La connexion de plusieurs périphériques FireWire
alimentés par le port peut poser des problèmes. En cas de problème, éteignez l’ordinateur, déconnectez les périphériques FireWire, puis redémarrez l’ordinateur.
Connexion de votre MacBook à un autre ordinateur via FireWire
Si vous souhaitez transférer des fichiers de votre MacBook à un autre ordinateur Macintosh
équipé de la technologie FireWire ou que vous êtes confronté à un problème qui empêche
le démarrage de votre ordinateur, utilisez le mode disque cible FireWire pour vous connecter à l’autre ordinateur. Lorsque vous démarrez votre ordinateur en mode disque cible
FireWire, l’autre ordinateur peut accéder à votre MacBook comme s’il s’agissait d’un disque
dur externe.
Remarque : lorsque vous utilisez le mode disque cible FireWire, il est conseillé de
connecter l’adaptateur secteur à votre MacBook.
F3626M42.book Page 64 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 3 Utilisation de votre MacBook 65
Pour connecter votre MacBook avec un autre ordinateur en mode disque cible
FireWire :
1 Assurez-vous que votre MacBook est éteint.
2 Utilisez un câble FireWire pour connecter votre MacBook à un autre ordinateur équipé
de FireWire.
3 Démarrez votre MacBook, puis maintenez immédiatement la touche T enfoncée.
L’écran de votre MacBook affiche alors le logo FireWire. L’écran de l’autre ordinateur
affiche l’icône du disque dur interne de votre MacBook. Vous pouvez maintenant
glisser-déposer des fichiers entre les deux ordinateurs.
4 Une fois que vous avez terminé de transférer les fichiers, faites glissez l’icône du disque
dur du MacBook dans la corbeille (icône d’éjection).
5 Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) de votre MacBook pour l’éteindre, puis
débranchez le câble FireWire.
Pour en savoir plus à propos de FireWire
L’Aide Mac fournit des informations supplémentaires sur FireWire. Choisissez Aide >
Aide Mac dans la barre des menus du Finder et cherchez «FireWire». Vous
trouverez d’autres informations sur le site web FireWire d’Apple, à l’adresse
www.apple.com/fr/firewire.
F3626M42.book Page 65 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM66 Chapitre 3 Utilisation de votre MacBook
Fonctionnement de l’accès sans fil à Internet via AirPort
Grâce à la technologie AirPort Extreme, votre MacBook établit une connexion sans fil
à une borne d’accès AirPort Express ou AirPort Extreme ou à tout produit compatible
802.11b ou 802.11g, qui est connecté à Internet via une ligne téléphonique, un modem
DSL ou câble ou un réseau local (LAN).
Pour en savoir plus sur AirPort Extreme
Pour acheter une borne d’accès AirPort Extreme ou AirPort Express, accédez à
l’Apple Store en ligne, à l’adresse www.apple.com/francestore ou adressez-vous
à votre revendeur agréé Apple.
Connexion
à Internet
AirPort Express Prise secteur
Modem câble ou DSL
F3626M42.book Page 66 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 3 Utilisation de votre MacBook 67
Des informations complémentaires sur AirPort Extreme et AirPort Express sont disponibles
dans l’Aide AirPort. Sélectionnez Aide > Aide Mac, puis Centre d’aide > Aide AirPort. Des
informations supplémentaires sont disponibles sur le site AirPort d’Apple aux pages
www.apple.com/fr/airportexpress et www.apple.com/fr/airportextreme.
Utilisation de la technologie sans fil Bluetooth
La technologie sans fil Bluetooth est intégrée à votre MacBook. Elle vous permet d’établir des connexions sans fil de faible portée entre ordinateurs de bureau ou portables,
assistants personnels (PDA), téléphones portables, téléphones appareils photo, imprimantes, appareils photo numériques et périphériques sans fil tels que le clavier
Apple Wireless Keyboard ou la souris Apple Wireless Mouse (disponibles sur l’Apple Store
en ligne à l’adresse www.apple.com/francestore).
La technologie sans fil Bluetooth permet d’éliminer les câbles reliant normalement
les périphériques. Les périphériques équipés de la technologie Bluetooth peuvent
se connecter l’un à l’autre sans besoin de liaison physique, dans la mesure où ils sont
séparés d’une distance égale ou inférieure à 10 mètres.
Grâce à la technologie sans fil Bluetooth, vous pouvez :
 utiliser votre MacBook pour communiquer avec un téléphone portable compatible
Bluetooth : votre téléphone peut servir de modem pour vous connecter à un fournisseur d’accès sans fil, à un débit égal ou inférieur à 56 kilobits par seconde (kbps),
suffisant pour vous connecter à Internet ;
F3626M42.book Page 67 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM68 Chapitre 3 Utilisation de votre MacBook
 synchroniser votre ordinateur avec votre organiseur de poche équipé de la technologie
Bluetooth : à l’aide d’iSync, vous pouvez exécuter une opération HotSync sans fil ou
transmettre votre carte de visite ou encore des événements de calendrier directement
sur le PDA d’un collègue ;
 échanger des fichiers entre ordinateurs et périphériques équipés de la technologie
Bluetooth, même entre Mac et PC ;
 utiliser une imprimante, un clavier, une souris ou un casque d’écoute sans fil Bluetooth.
Configuration d’un périphérique Bluetooth
Avant de pouvoir utiliser un périphérique Bluetooth avec votre MacBook, vous devez
configurer le périphérique de manière à ce qu’il puisse fonctionner avec votre ordinateur. Une fois que vous avez configuré le périphérique, celui-ci est jumelé avec votre
ordinateur et apparaît dans la fenêtre Périphériques des Préférences Bluetooth. Le
jumelage du périphérique avec votre ordinateur ne doit être effectué qu’une seule fois.
Il demeure activé aussi longtemps que vous ne le supprimer pas de manière explicite.
Pour configurer un périphérique Bluetooth :
1 Choisissez Configurer l’appareil Bluetooth dans le menu d’état Bluetooth (?).
2 Suivez les instructions affichées à l’écran pour le type de périphérique que vous
souhaitez configurer.
Si le menu d’état Bluetooth (?) n’apparaît pas dans la barre des menus, ouvrez
Préférences Système et cliquez sur Bluetooth. Cliquez sur Réglages, puis sélectionnez
«Afficher l’état Bluetooth dans la barre des menus».
Pour supprimer un jumelage avec un autre périphérique :
1 Ouvrez Préférences Système, puis cliquez sur Bluetooth.
F3626M42.book Page 68 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 3 Utilisation de votre MacBook 69
2 Cliquez sur Périphériques et choisissez le périphérique dans la liste.
3 Cliquez sur Supprimer.
Pour en savoir plus sur la technologie sans fil Bluetooth
Pour plus d’informations sur Bluetooth, ouvrez l’application Échange de fichiers Bluetooth
(dans le dossier Utilitaires du dossier Applications) et sélectionnez Aide > Aide Bluetooth.
Vous trouverez d’autres informations sur le site web Bluetooth d’Apple, à l’adresse
www.apple.com/fr/bluetooth.
Connexion via Ethernet
Votre ordinateur est fourni avec des capacités de mise en réseau Ethernet Gigabit (G)
intégrées, qui permettent de vous connecter à un réseau, à un modem DSL ou à un
modem câble.
F3626M42.book Page 69 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM70 Chapitre 3 Utilisation de votre MacBook
La connexion à un réseau permet d’accéder à d’autres ordinateurs et potentiellement
à des imprimantes réseau, des modems, le courrier électronique et Internet. Vous pouvez utiliser Ethernet pour partager des fichiers entre deux ordinateurs ou établir un
petit réseau. Le port Ethernet de votre MacBook détecte automatiquement les autres
périphériques Ethernet. Pour établir des connexions à d’autres périphériques Ethernet,
il est inutile d’utiliser un câble croisé Ethernet.
Pour en savoir plus sur l’utilisation d’Ethernet
Des informations supplémentaires, y compris sur la configuration d’un réseau Ethernet et
le transfert de fichiers via Ethernet, sont disponibles dans l’Aide Mac. Choisissez Aide >
Aide Mac, puis recherchez «Ethernet» ou «réseau».
Pour obtenir des informations sur les produits de mise en réseau que vous pouvez
utiliser avec votre MacBook, consultez le Guide des produits Macintosh à l’adresse
www.apple.com/fr/guide/.
F3626M42.book Page 70 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 3 Utilisation de votre MacBook 71
Gestion de la vidéo externe
Votre ordinateur est équipé d’un port de moniteur externe (mini DVI) permettant une connexion directe à un écran ou à un projecteur muni d’un port DVI ou VGA. Utilisez l’adaptateur Mini-DVI vers DVI d’Apple (vendu séparément) pour connecter votre MacBook à un
moniteur ou projecteur DVI. Utilisez l’adaptateur Mini-DVI vers VGA d’Apple (vendu séparément) pour connecter votre MacBook à un moniteur ou projecteur VGA.
Vous pouvez également afficher des images sur un téléviseur, enregistrer des images
numériques sur un magnétoscope ou lire des DVD sur votre téléviseur à l’aide d’un adaptateur Mini-DVI vers Vidéo d’Apple à utiliser avec des connecteurs composite ou S-Vidéo.
Vous pouvez vous procurer les adaptateurs chez un revendeur agréé Apple, dans un
magasin Apple Store ou sur l’Apple Store en ligne à l’adresse www.apple.com/francestore.
F3626M42.book Page 71 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM72 Chapitre 3 Utilisation de votre MacBook
Lorsqu’un moniteur externe ou un téléviseur est connecté, vous pouvez soit faire en
sorte que la même image s’affiche sur l’écran intégré et le moniteur externe (c’est ce
que l’on appelle la recopie vidéo), soit utiliser le moniteur externe pour étendre la taille
du bureau Mac OS (on parle dans ce cas de mode double-écran ou de bureau étendu).
Par défaut, votre MacBook démarre en mode double-écran. Appuyez sur la touche F7 (i)
pour alterner entre les modes double-écran et recopie vidéo.
Si vous souhaitez que le son soit émis par un écran externe (un projecteur ou un téléviseur, par exemple), vous devez relier le port de sortie casque (f) de l’ordinateur à ce
périphérique via un câble audio (non inclus).
Remarque : en raison des limites d’affichage de la plupart des téléviseurs, les images
apparaissent avec une qualité inférieure à celle de l’écran intégré ou du moniteur externe.
Connexion d’un écran externe ou d’un projecteur
Pour connecter à votre ordinateur un écran externe ou un projecteur via un
connecteur DVI ou VGA :
1 Allumez l’écran externe ou le projecteur.
2 Vérifiez que le câble de l’écran est bien relié au projecteur ou à l’écran externe.
3 Connectez le câble de l’écran à votre MacBook à l’aide de l’adaptateur adéquat
(adaptateur Mini-DVI vers DVI ou Mini-DVI vers VGA d’Apple). Votre MacBook détecte
automatiquement l’écran externe ou le projecteur.
4 Réglez la résolution d’un écran externe via la fenêtre Moniteurs des
Préférences Système ou l’icône Moniteurs de la barre de menus.
Remarque : votre MacBook gère les résolutions de moniteurs externes jusqu’à
1920 x 1200 (moniteurs DVI d’Apple) ou 1600 x 1200 (moniteurs VGA).
F3626M42.book Page 72 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 3 Utilisation de votre MacBook 73
Utilisation de votre MacBook écran rabattu
Vous pouvez utiliser votre MacBook en gardant l’écran rabattu si l’ordinateur est
connecté à un moniteur, un clavier et une souris externes.
Important : pour utiliser votre MacBook écran rabattu, branchez-le sur une prise secteur.
Pour utiliser votre ordinateur écran rabattu avec un moniteur externe connecté :
1 Connectez un clavier et une souris USB à votre MacBook.
2 Connectez l’adaptateur secteur à votre MacBook et à une prise secteur. Vérifiez que
la lampe de l’adaptateur secteur est allumée.
3 Rabattez l’écran du MacBook afin d’en suspendre l’activité.
4 Connectez votre MacBook à un écran externe en suivant les étapes décrites dans
la section précédente.
5 Attendez quelques secondes, puis appuyez sur n’importe quelle touche du clavier
externe pour réactiver le MacBook.
F3626M42.book Page 73 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM74 Chapitre 3 Utilisation de votre MacBook
Connexion d’un téléviseur, d’un magnétoscope ou de tout autre
appareil vidéo
Pour connecter un téléviseur ou tout autre appareil vidéo nécessitant une connexion
composite ou S-Vidéo :
1 Connectez l’adaptateur Mini-DVI vers vidéo d’Apple (vendu séparément) au port
Mini-DVI de votre MacBook.
2 Connectez le périphérique à l’adaptateur.
3 Si vous souhaitez que le son de votre MacBook soit restitué sur le périphérique,
connectez le port de sortie casque (f) de votre MacBook aux ports d’entrée audio
du périphérique via un câble mini-jack vers RCA (non inclus).
4 Allumez l’appareil.
5 Pour détecter le téléviseur ou tout autre périphérique externe, maintenez la touche
Commande (x) enfoncée et appuyez sur la touche F2. Vous pouvez également ouvrir
la fenêtre Moniteurs des Préférences Système et cliquez sur le bouton Détecter les
moniteurs.
6 Pour régler l’apparence de l’image affichée à l’écran, ouvrez la fenêtre Moniteurs des
Préférences Système.
Pour en savoir plus sur l’utilisation d’un moniteur externe ou d’un
téléviseur
Vous pourrez trouver des informations supplémentaires sur la configuration et l’utilisation
d’un moniteur externe dans l’Aide Mac. Choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des
menus, puis recherchez «moniteur externe».
F3626M42.book Page 74 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 3 Utilisation de votre MacBook 75
Connexion de haut-parleurs et autres périphériques audio
Votre MacBook est équipé de trois haut-parleurs intégrés, d’un microphone intégré,
d’un port d’entrée ligne audio/audio numérique optique et d’un port de sortie casque/
audio numérique optique (f).
Vous pouvez connecter des haut-parleurs externes, des écouteurs et d’autres périphériques de sortie audio au port de sortie casque (f). Ce port de sortie constitue également
une prise mini-phono stéréo S/PDIF de 3,5 mm. Les haut-parleurs intégrés n’émettent
aucun son lorsque des périphériques sont branchés sur l’ordinateur. Pour que le son soit
émis de ces haut-parleurs, débranchez le casque ou les haut-parleurs externes éventuellement connectés à l’ordinateur.
Vous pouvez enregistrer des sons sur votre disque dur à l’aide du micro intégré situé à
côté de la caméra iSight intégrée. Vous avez également la possibilité de connecter des
micros externes ou tout autre appareil audio sur le port d’entrée de ligne audio. Le port
d’entrée de ligne audio constitue également une prise mini-phono stéréo S/PDIF de
3,5 mm. Étant donné que cette prise ne permet pas d’alimenter les périphériques
connectés, ces derniers doivent être auto-alimentés. Si vous disposez d’un adaptateur
Toslink prise vers mini-jack, vous pouvez utiliser un câble Toslink pour connecter un
lecteur Digital Audio Tape (DAT) ou des instruments numériques afin d’enregistrer et
de mixer votre propre musique.
Pour les applications capables d’enregistrement audio, telles qu’iMovie HD, utilisez
la fenêtre Son des Préférences Système pour sélectionner le périphérique d’entrée
audio à utiliser (y compris des micros connectés via USB).
F3626M42.book Page 75 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM76 Chapitre 3 Utilisation de votre MacBook
Les commandes de volume de votre clavier vous permettent de régler facilement le
volume de sortie. Vous pouvez également régler le volume d’entrée et de sortie dans
la fenêtre Son des Préférences Système.
Pour plus d’informations sur l’utilisation ou le dépannage du son de votre ordinateur,
choisissez Aide > Aide Mac, puis effectuez une recherche à l’aide du mot son.
Utilisation du lecteur optique
Votre MacBook comprend un lecteur optique, Combo ou SuperDrive.
Avec votre lecteur optique, vous pouvez :
 installer ou utiliser des logiciels à partir de CD et de DVD ;
 lire de la musique et des fichiers multimédia à partir de CD ;
 écrire des fichiers musicaux, des documents et d’autres fichiers numériques sur CD-R
ou CD-RW ;
 lire des films DVD ainsi que la plupart des disques DVD.
Si vous disposez d’un lecteur SuperDrive, vous pouvez également enregistrer des
données sur des disques DVD±R ou DVD±RW vierges.
Important : le lecteur optique de votre MacBook gère les disques standard circulaires de
12 cm de diamètre. Les disques de forme irrégulière et les disques de moins de 12 cm ne
peuvent pas être lus. Les disques de ce type risquent de se bloquer dans le lecteur.
F3626M42.book Page 76 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 3 Utilisation de votre MacBook 77
Insertion d’un CD ou DVD
Pour installer ou utiliser des logiciels à partir d’un CD ou d’un DVD :
1 L’ordinateur étant allumé, introduisez le disque (étiquette vers le haut) dans la fente du
lecteur jusqu’à ce que le lecteur le saisisse.
Il se peut qu’il faille insérer le disque presque entièrement avant que cela ne se produise.
Cela est normal.
2 Dès que son icône apparaît sur le bureau, le disque peut être utilisé.
Éjection d’un disque
Pour éjecter un disque, procédez comme suit :
 Glissez l’icône du disque dans la Corbeille (icône d’éjection).
 Maintenez enfoncée la touche d’éjection de disque (C) du clavier jusqu’à ce que
le disque soit éjecté.
Attendez que le disque soit complètement éjecté avant de le retirer ou de le réinsérer.
®?
F3626M42.book Page 77 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM78 Chapitre 3 Utilisation de votre MacBook
Si vous ne parvenez pas à éjecter le disque, fermez toutes les applications susceptibles
d’utiliser le disque et réessayez. Si cela ne donne pas de résultats, redémarrez l’ordinateur tout en maintenant le bouton du trackpad enfoncé.
Lecture de DVD
Pour lire un disque vidéo DVD sur votre MacBook, insérez le DVD. Lecteur DVD s’ouvre
automatiquement. Vous pouvez constater que Lecteur DVD offre des commandes
simples d’utilisation pour lancer, interrompre et visionner les DVD.
Si vous avez connecté votre MacBook à un téléviseur afin de pouvoir regarder le DVD
sur l’écran du téléviseur, sélectionnez 720 x 480 NTSC (aux États-Unis) ou 720 x 576 PAL
(en Europe et dans d’autres régions) dans la fenêtre Moniteurs des Préférences Système.
Il est très facile de connecter votre MacBook à une chaîne stéréo. Utilisez un câble
mini-jack vers RCA (non inclus) pour relier le port de sortie casque (f) de votre
MacBook aux ports d’entrée audio de votre chaîne stéréo.
Enregistrement de disques CD-R ou CD-RW
Votre MacBook peut enregistrer des données sur des disques CD-R ou CD-RW. Si vous
disposez d’un lecteur SuperDrive, vous pouvez également enregistrer vos propres films
numériques sur des disques DVD±R ou DVD±RW enregistrables vierges. Vous pouvez
également enregistrer d’autres types de données numériques, telles que des sauvegardes
de fichiers, sur un DVD enregistrable.
F3626M42.book Page 78 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 3 Utilisation de votre MacBook 79
Pour enregistrer des données sur des disques CD-R, CD-RW, DVD±R ou DVD+RW :
1 Insérez un disque CD ou DVD (SuperDrive seulement) enregistrable vierge dans
le lecteur optique.
2 Dans la zone de dialogue qui apparaît, attribuez un nom au disque et sélectionnez
le format que vous souhaitez utiliser.
3 Double-cliquez sur l’icône du disque qui apparaît sur votre bureau, puis faites-y glisser
des fichiers et des dossiers.
4 Cliquez sur l’icône Graver le disque située à côté du nom du disque dans la barre latérale
du Finder.
Vous pouvez également enregistrer de la musique sur des disques CD ou DVD
directement à partir de votre bibliothèque iTunes.
Pour enregistrer de la musique depuis votre bibliothèque iTunes :
1 Cliquez sur l’icône iTunes dans le Dock.
2 Sélectionnez la liste de lecture ou les morceaux à enregistrer.
3 Insérez un disque CD ou DVD (SuperDrive seulement) vierge.
4 En haut de la fenêtre iTunes, cliquez sur l’option Graver le CD.
Important : si votre batterie se décharge lors de la gravure d’un CD, il se peut que
la gravure échoue et que le CD devienne inutilisable. Pour éviter cela, utilisez toujours
votre adaptateur secteur lorsque vous gravez un CD.
F3626M42.book Page 79 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM80 Chapitre 3 Utilisation de votre MacBook
Si vous disposez d’un lecteur SuperDrive, vous pouvez enregistrer vos films numériques sur des disques DVD enregistrables vierges. Vous pouvez également enregistrer
d’autres types de données numériques. Vous pouvez, par exemple, sauvegarder des
fichiers sur des DVD enregistrables. Les applications telles qu’iDVD vous permettent de
créer vos propres projets multimédias numériques, de les graver sur des disques DVD
enregistrables vierges, puis de les lire sur la plupart des lecteurs DVD standard.
Pour graver un projet iDVD sur un disque vierge DVD±R ou DVD±RW :
1 Ouvrez iDVD puis votre projet iDVD.
2 Cliquez sur le bouton Graver.
3 À l’invite, insérez un disque DVD enregistrable vierge dans le lecteur.
4 Cliquez de nouveau sur le bouton Graver.
Pour en savoir plus, ouvrez iDVD puis choisissez Aide > Aide iDVD.
Important : si votre batterie se décharge lors de la gravure d’un DVD, il se peut que la
gravure échoue et que le DVD devienne inutilisable. Pour éviter cela, utilisez toujours
votre adaptateur secteur lorsque vous gravez un DVD.
Pour en savoir plus
Pour obtenir davantage d’informations sur Lecteur DVD et iTunes, consultez les sources
suivantes :
 Pour plus d’informations sur l’utilisation de l’application Lecteur DVD, choisissez
Aide > Aide Lecteur DVD au sein de Lecteur DVD.
 Pour obtenir des informations sur la manière d’utiliser iTunes afin d’enregistrer des
fichiers de musique sur disque CD ou DVD, choisissez Aide > «Aide iTunes et Music Store»
dans l’application iTunes.
F3626M42.book Page 80 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 3 Utilisation de votre MacBook 81
Technologie Sudden Motion Sensor
Votre MacBook utilise la technologie Sudden Motion Sensor qui contribue à protéger le
disque dur contre tout dommage en cas de chute ou de vibrations subies par l’ordinateur.
En règle générale, la protection Sudden Motion Sensor ne modifie en rien les performances du disque dur au cours du fonctionnement normal du MacBook. Il peut arriver
que des vibrations anormalement fortes activent le capteur Sudden Motion Sensor
pendant que votre MacBook est en cours d’écriture ou de lecture intense (comme lors
de la lecture ou de l’enregistrement vidéo ou audio). Si vous constatez des pertes
d’images ou d’éléments sonores, assurez-vous que votre MacBook se trouve dans un
environnement stable protégé contre les vibrations et les mouvements brusques.
Utilisation de la batterie
Lorsque l’adaptateur secteur externe n’est pas connecté, votre ordinateur est alimenté
par sa batterie. L’autonomie de votre MacBook varie en fonction des applications utilisées et des périphériques externes connectés. La désactivation de fonctions telles
qu’AirPort Extreme ou Bluetooth contribue à économiser l’énergie de votre batterie.
Pour plus d’informations sur l’utilisation de la batterie, lisez la section «Conseils pour
économiser la batterie» à la page 85.
Pour connaître le niveau de charge de votre batterie, vous pouvez observer les lampes
témoins de niveau de charge dont elle est dotée. Appuyez sur le bouton situé en regard
des témoin lumineux afin que ces derniers brillent brièvement pour indiquer le niveau
de charge de la batterie. Vous pouvez vérifier le niveau de charge, que la batterie soit ou
non insérée dans votre MacBook.
F3626M42.book Page 81 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM82 Chapitre 3 Utilisation de votre MacBook
Si votre batterie faiblit pendant que vous travaillez, branchez l’adaptateur secteur et
laissez la batterie se recharger. Pour remplacer une batterie presque déchargée par une
batterie chargée lorsque votre ordinateur n’est pas connecté à un adaptateur secteur,
éteignez l’ordinateur.
Important : si un seul témoin est allumé, le niveau restant est très faible. Si aucun témoin
n’est allumé, c’est que la batterie est complètement vide et que l’ordinateur ne pourra
démarrer sans l’adaptateur secteur. Branchez l’adaptateur secteur et laissez la batterie
se recharger ou remplacez la batterie à plat par une batterie complètement rechargée
(voir «retrait de la batterie» à la page 90).
Batterie
Témoins LED
de la batterie
Bouton
¥
Á
F3626M42.book Page 82 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 3 Utilisation de votre MacBook 83
Si l’icône de la batterie (dans la barre des menus du Finder) est réglée pour afficher
le pourcentage de charge, vous constaterez parfois que la batterie n’indique pas un
niveau de charge de 100 pour cent alors que l’adaptateur secteur est branché. Cela
est tout à fait normal : le niveau de la batterie est maximisé lorsque le chargement n’est
pas continu, et cette fonction est désactivée lorsque la capacité de charge de la batterie
est située entre 95 et 100 pour cent. Dès que le niveau de la batterie passe en dessous
de 95 pour cent, elle est automatiquement rechargée jusqu’à 100 pour cent.
Retrait et remise en place de la batterie
Pour obtenir des instructions sur le retrait et la remise en place de la batterie, consultez
les sections «retrait de la batterie» à la page 90 et «remplacement de la batterie» à la
page 96.
Remarque : jetez vos batteries usagées en respectant les lois et les consignes environnementales locales. Pour plus d’informations, consultez la section «Informations sur l’enlèvement de la batterie» à la page 142.
F3626M42.book Page 83 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM84 Chapitre 3 Utilisation de votre MacBook
Recharge d’une batterie
Lorsque l’adaptateur secteur est connecté à votre ordinateur, la batterie se recharge,
que l’ordinateur soit éteint, allumé ou en mode de suspension d’activité. La recharge
sera toutefois plus rapide si l’ordinateur est éteint ou en mode de suspension d’activité. Lorsque l’ordinateur est allumé, vous pouvez contrôler le niveau de charge de
la batterie au moyen de l’icône d’état Batterie dans la barre des menus.
Le niveau affiché dépend de la quantité d’énergie restant dans la batterie, mais aussi
des applications et des périphériques en cours d’utilisation, ainsi que des réglages de
votre système (luminosité de l’écran, réglages d’Économiseur d’énergie, etc.). Pour
disposer de plus d’énergie, fermez des applications, déconnectez les périphériques
non utilisés et réglez Économiseur d’énergie (voir section suivante).
F3626M42.book Page 84 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 3 Utilisation de votre MacBook 85
Conseils pour économiser la batterie
L’autonomie assurée par la batterie de votre MacBook avant qu’il soit nécessaire de la
recharger dépend des applications et des périphériques utilisés, ainsi que des mesures
prises pour économiser l’énergie.
Pour économiser l’énergie de la batterie, procédez comme suit :
 Déconnectez les périphériques USB ou FireWire alimentés par bus lorsqu’ils ne sont
pas utilisés.
 Quittez les applications ouvertes non utilisées.
 Désactivez AirPort et Bluetooth quand vous ne les utilisez pas : utilisez les icônes
d’état AirPort et Bluetooth dans la barre des menus. Si ces icônes n’apparaissent
pas dans la barre des menus, vous pouvez les activer dans les fenêtres Réseau et
Bluetooth des Préférences Système.
 Éjectez les CD ou DVD non utilisés.
 Réduisez la luminosité de l’écran à l’aide des boutons de réglage de luminosité situés
sur le clavier du MacBook.
 Réglez le disque dur afin qu’il réduise sa vitesse de rotation après un bref délai.
Dans la fenêtre Économiseur d’énergie des Préférences Système, sélectionnez
l’option «Suspendre l’activité du/des disque(s) dur(s) chaque fois que possible».
 Réglez votre MacBook afin qu’il suspende son activité après un maximum de
cinq minutes.
F3626M42.book Page 85 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM86 Chapitre 3 Utilisation de votre MacBook
 Votre MacBook est préréglé pour réduire automatiquement sa vitesse de traitement
durant les périodes de faible activité, lorsqu’il est alimenté via la batterie, afin d’économiser de l’énergie. Vous pouvez déterminez cela via l’option Normal du menu local
Optimisation des réglages (situé dans la fenêtre Économiseur d’énergie des
Préférences Système). Pendant les périodes de grande activité, votre ordinateur passera automatiquement à une vitesse de traitement plus élevée. Pour prolonger au
maximum la durée de vie de la batterie, choisissez «Meilleure autonomie de la batterie»
dans le menu local Optimisation des réglages. Cette option risque toutefois de diminuer les performances de votre ordinateur. Pour régler votre ordinateur afin qu’il utilise
sa vitesse de traitement maximale en permanence, choisissez Meilleures performances.
Informations supplémentaires concernant la batterie de
votre MacBook
De plus amples informations sont disponibles dans l’Aide Mac. Choisissez Aide > Aide Mac,
puis effectuez une recherche sur le terme «batterie». Vous trouverez également des
informations sur la manière de prolonger la durée de vie de votre batterie sur le site
www.apple.com/fr/batteries/notebooks.html.
F3626M42.book Page 86 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 3 Utilisation de votre MacBook 87
Protection de votre MacBook
Vous pouvez vous procurer un câble de sécurité pour protéger votre MacBook.
Ce câble vous permet d’attacher votre ordinateur à un bureau ou une table.
Pour en savoir plus sur les options de sécurité
L’Aide Mac contient des informations supplémentaires concernant les fonctions de
sécurité logicielles de votre MacBook, y compris les mots de passe pour plusieurs
utilisateurs et le chiffrement de fichiers. Choisissez Aide > Aide Mac, puis effectuez
une recherche sur les termes «sécurité» ou «utilisateurs multiples».
Dispositif de
verrouillage
avec câble
de sécurité
Logement
de sécurité
F3626M42.book Page 87 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMF3626M42.book Page 88 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM89
4
4 Ajout de mémoire à
votre MacBook
Ce chapitre fournit des informations et des instructions pour installer de la mémoire supplémentaire
et pour retirer et remettre en place la batterie de
votre MacBook.
Votre ordinateur est doté de deux logements de mémoire auxquels vous pouvez accéder
en retirant sa batterie. Votre MacBook est fourni avec un minimum de 512 mégaoctets
(Mo) de mémoire DDR2 (Double Data Rate) 667 MHz SDRAM (Synchronous Dynamic
Random-Access Memory). Les deux logements de mémoire peuvent accueillir un module
SDRAM conforme aux spécifications suivantes :
 format DDR2 SO-DIMM (Double Data Rate Small Outline Dual Inline Memory Module) ;
 taille inférieure à 3,8 cm ;
 256 Mo, 512 Mo ou 1 Go ;
Avertissement : Apple vous recommande de confier l’installation de mémoire à un
technicien agréé Apple. Consultez les informations sur l’assistance technique fournies
avec l’ordinateur pour savoir comment joindre la société Apple. Tout dommage causé
à votre matériel en tentant d’installer vous-même de la mémoire n’est pas couvert par
la garantie limitée de votre ordinateur.
F3626M42.book Page 89 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM90 Chapitre 4 Ajout de mémoire à votre MacBook
 200 broches ;
 mémoire RAM de type PC2-5300 DDR2 667 MHz.
Pour optimiser les performances, installez des modules mémoire de même type dans
chaque logement. La quantité maximale de mémoire que vous pouvez installer sur votre
MacBook est de 2 Go, en insérant une barrette DIMM de 1 Go dans chaque logement.
Installation de mémoire supplémentaire
Pour installer de la mémoire, il faut enlever et remettre en place la batterie. La procédure
suivante inclut des instructions sur l’ajout de mémoire et la remise en place de la batterie.
Étape 1 : retrait de la batterie
1 Éteignez votre MacBook. Débranchez l’adaptateur secteur, le câble Ethernet et tous
les autres câbles connectés au MacBook afin d’éviter toute détérioration.
F3626M42.book Page 90 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 4 Ajout de mémoire à votre MacBook 91
2 Retournez le MacBook et repérez l’emplacement du verrou de la batterie. Utilisez une
pièce de monnaie pour faire tourner le verrou d’un quart de tour vers la droite afin de
débloquer la batterie, puis retirez cette dernière avec précaution.
Avertissement : les composants internes de votre MacBook risquent d’être chauds.
Si vous venez d’utiliser votre MacBook, attendez 10 minutes après l’extinction, afin de
laisser aux composants internes le temps de se refroidir.
¥
Á
¥
Á
F3626M42.book Page 91 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM92 Chapitre 4 Ajout de mémoire à votre MacBook
Étape 2 : installation de mémoire
1 Desserrez les trois vis imperdables maintenant le support en L, tirez sur la barre la plus
longue pour retirer le support et écartez celui-ci.
Les leviers situés dans les logements de mémoire se soulèvent automatiquement
lorsque vous retirez le support.
2 Touchez la surface métallique de l’intérieur de l’ordinateur afin de décharger toute
électricité statique que vous pouvez avoir emmagasinée.
Desserrez les trois vis
Tirez sur cette barre
¥
Á
F3626M42.book Page 92 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 4 Ajout de mémoire à votre MacBook 93
3 Pour retirer un module de mémoire installé dans un logement, placez le levier correspondant complètement vers la gauche jusqu’à ce que le bord du module de mémoire
se soulève. Retirez le module de mémoire. Répétez l’opération avec l’autre module de
mémoire.
Leviers
¥
Á
F3626M42.book Page 93 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM94 Chapitre 4 Ajout de mémoire à votre MacBook
4 Insérez les nouveaux modules de mémoire dans les logements :
a Commencez par insérer le bord doré, avec l’encoche sur le côté gauche.
b Poussez fermement avec deux doigts sur les modules de mémoire pour les mettre en
place. Vous devriez entendre un clic lorsque la mémoire s’enclenche.
c Si les leviers ne reviennent pas en position fermée, déplacez-les vers la droite pour
les fermer.
Encoches
¥
Á
F3626M42.book Page 94 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 4 Ajout de mémoire à votre MacBook 95
5 Replacez le support en L en insérant d’abord le bras le plus court, puis resserrez les vis.
Insérez Resserrez les trois vis
d’abord
ce bras
¥
Á
F3626M42.book Page 95 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM96 Chapitre 4 Ajout de mémoire à votre MacBook
Étape 3 : remplacement de la batterie
1 Placez le bord droit de la batterie dans son compartiment. Appuyez doucement sur
le bord gauche de la batterie jusqu’à ce que le loquet soit bloqué.
2 Reconnectez l’adaptateur secteur et tout autre câble connecté auparavant à l’ordinateur.
¥
Á
¥
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F3626M42.book Page 96 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 4 Ajout de mémoire à votre MacBook 97
Reconnaissance de la nouvelle mémoire par votre MacBook
Après avoir ajouté de la mémoire dans votre MacBook, vérifiez si elle est reconnue.
Pour vérifier la mémoire de votre ordinateur :
1 Démarrez votre MacBook.
2 Lorsque le bureau Mac OS s’affiche, choisissez le menu Pomme (?) > À propos de ce Mac.
Pour plus de détails sur la mémoire installée sur votre ordinateur, ouvrez
Informations Système en cliquant sur Plus d’infos puis sur Mémoire.
Si votre ordinateur ne reconnaît pas la mémoire ou qu’il ne démarre pas correctement,
éteignez-le et relisez les instructions afin de vous assurer que la mémoire est correctement installée et compatible avec votre MacBook. Si les problèmes persistent, retirez la
mémoire et consultez les informations d’assistance technique fournies avec la mémoire
ou contactez le fournisseur de la mémoire.
Mémoire totale installée
sur votre MacBook
F3626M42.book Page 97 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMF3626M42.book Page 98 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM99
5
5 Dépannage
Si vous rencontrez un problème avec votre MacBook,
commencez par rechercher ici des solutions et des
conseils.
Il existe généralement une solution simple et rapide aux problèmes que vous pourriez
rencontrer au cours de l’utilisation de votre MacBook. Réfléchissez aux conditions qui
ont entraîné l’apparition de ce problème. Ce récapitulatif de la totalité des opérations
effectuées avant que le problème ne survienne permet de restreindre les causes possible
et de trouver la solution.
Notez les choses suivantes :
 les applications que vous étiez en train d’utiliser quand le problème est apparu ; les
problèmes qui n’apparaissent qu’avec une application spécifique peuvent indiquer
que cette application n’est pas compatible avec la version de Mac OS installée sur
votre ordinateur ;
 les logiciels que vous avez installés récemment, notamment ceux qui ont ajouté des
éléments à votre Dossier Système ;
 tout composant matériel installé (mémoire supplémentaire ou périphérique,
par exemple).
F3626M42.book Page 99 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM100 Chapitre 5 Dépannage
Vous trouverez des informations supplémentaires concernant le dépannage dans
l’Aide Mac et sur le site web de service et d’assistance Apple à l’adresse
www.apple.com/fr/support.
Problèmes vous empêchant d’utiliser votre ordinateur
Si l’ordinateur ne répond plus ou que le pointeur se fige
 Appuyez sur Commande (x) + Option + Échap pour forcer la fermeture d’une application figée. Sélectionnez l’application que vous souhaitez quitter dans le zone de
dialogue qui apparaît, puis cliquez sur Forcer à quitter.
Enregistrez ensuite votre travail dans les applications ouvertes, puis redémarrez
l’ordinateur afin de vous assurer que le problème est entièrement réglé.
 Si vous ne parvenez pas à forcer la fermeture d’une application, maintenez enfoncé
le bouton d’alimentation (®) durant quelques secondes pour éteindre l’ordinateur.
 Si l’ordinateur ne répond toujours pas, essayez de le redémarrer en appuyant simultanément sur le bouton d’alimentation (®) et les touches Commande (x) et Contrôle.
Si le problème survient fréquemment, choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des menus
en haut de l’écran. Recherchez le mot «bloquer» pour obtenir de l’aide en cas de blocage
de l’ordinateur ou s’il ne répond pas.
Si le problème ne survient que lorsque vous utilisez une application particulière, vérifiez
auprès de son éditeur si elle est compatible avec votre ordinateur. Si vous savez qu’une
application est compatible, vous devrez peut-être réinstaller le logiciel système de
votre ordinateur.
F3626M42.book Page 100 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 5 Dépannage 101
Si l’ordinateur se bloque au démarrage, un point d’interrogation clignotant apparaît
ou l’écran est éteint et la lampe témoin de suspension d’activité reste allumée (pas
en mode de suspension d’activité)
 Patientez quelques secondes. Si l’ordinateur ne démarre pas après un court instant,
éteignez-le en maintenant le bouton d’alimentation (®) enfoncé pendant 5 secondes
environ, jusqu’à ce qu’il s’éteigne complètement. Maintenez ensuite la touche Option
enfoncée puis appuyez à nouveau sur le bouton d’alimentation (®) pour démarrer votre
ordinateur. Lorsque votre ordinateur démarre, cliquez sur l’icône du disque dur, puis
sur la flèche droite. Une fois que l’ordinateur a démarré, ouvrez Préférences Système et
cliquez sur Démarrage. Sélectionnez un dossier Système Mac OS X.
 Si cela ne donne pas de résultats, essayez d’utiliser Utilitaire de disque pour réparer
le disque. Insérez le disque 1 d’installation de Mac OS X dans votre ordinateur. Redé-
marrez ensuite votre ordinateur en maintenant la touche C enfoncée lors du démarrage. Choisissez Installation > Ouvrir Utilitaire de disque. Lorsque Utilitaire de disque
s’ouvre, suivez les instructions dans la fenêtre S.O.S pour tenter de le réparer.
Si Utilitaire de disque ne résout pas le problème, vous devrez peut-être réinstaller
le logiciel système de votre ordinateur. Pour obtenir des instructions, consultez la
section «Réinstallation des logiciels fournis avec votre ordinateur» à la page 106.
Si l’ordinateur ne s’allume ou ne démarre pas
 Assurez-vous que l’adaptateur secteur est connecté à l’ordinateur et branché sur une
prise secteur en état de marche. Veillez à utiliser l’adaptateur secteur fourni avec votre
ordinateur. Si l’adaptateur secteur ne recharge plus l’ordinateur et que la lampe témoin
de l’adaptateur secteur ne s’allume pas lorsque vous branchez le câble d’alimentation,
essayez de le débrancher puis de le brancher à nouveau afin de le réinitialiser.
F3626M42.book Page 101 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM102 Chapitre 5 Dépannage
 Vérifiez si votre batterie à besoin d’être rechargée. Appuyez sur le petit bouton situé
sur la batterie. Vous devriez voir apparaître un à quatre voyants indiquant le niveau
de charge de la batterie. Si une seule lampe témoin de niveau de la batterie clignote,
branchez l’adaptateur secteur pour charger la batterie jusqu’à ce qu’au moins une
lampe témoin reste allumée en permanence.
 Si vous avez suivi les deux premiers conseils sans succès, rétablissez les réglages par
défaut de l’ordinateur en débranchant l’adaptateur secteur, en retirant la batterie et
en maintenant le bouton d’alimentation (®) enfoncé pendant au moins 5 secondes.
 Si vous avez récemment ajouté de la mémoire, assurez-vous qu’elle est correctement
installée et compatible avec votre ordinateur. Vérifiez si son retrait permet à l’ordinateur de démarrer (voir «installation de mémoire» à la page 92).
 Si cela ne fonctionne pas, appuyez sur le bouton d’alimentation (®) et maintenez
immédiatement les touches Commande (x), Option, P et R enfoncées jusqu’à ce
que vous entendiez une deuxième fois le signal sonore de démarrage.
 Si vous ne parvenez toujours pas à démarrer votre MacBook, consultez les informations
sur service après-vente fournies avec votre MacBook pour savoir comment contacter
Apple.
Si l’écran devient soudainement noir ou que votre système se bloque
Essayez de redémarrer votre ordinateur.
1 Débranchez tout périphérique connecté à votre MacBook excepté l’adaptateur secteur.
2 Maintenez les touches Commande (x) et Contrôle enfoncées, puis appuyez sur le bouton
d’alimentation (®) pour redémarrer le système.
3 Le niveau de charge de la batterie doit atteindre au moins 10 pour cent avant
la connexion d’un périphérique et la reprise du travail.
F3626M42.book Page 102 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 5 Dépannage 103
Pour vérifier le niveau de charge de la batterie, observez le menu d’état Batterie dans
la barre des menus.
Votre écran pourrait également s’assombrir si les fonctions d’économie d’énergie sont
réglées pour l’utilisation de la batterie. Pour plus d’informations, consultez la section
«Réglage de l’écran» à la page 30.
Autres problèmes
Si vous avez oublié votre mot de passe
Vous pouvez réinitialiser votre mot de passe d’administrateur et les mots de passe de
tous les autres comptes.
1 Insérez le CD «Mac OS X Install Disc 1». Ensuite, redémarrez votre ordinateur et maintenez la touche C enfoncée pendant le démarrage.
2 Choisissez Installation > Réinitialiser le mot de passe dans la barre des menus. Suivez
les instructions à l’écran.
En cas de problème avec une application
 Pour les problèmes liés aux logiciels provenant d’éditeurs tiers, contactez l’éditeur
concerné. Les éditeurs de logiciels fournissent souvent des mises à jour logicielles
sur leurs sites web.
 Vous pouvez configurer votre MacBook pour qu’il cherche et installe automatiquement les dernières mises à jour Apple via la fenêtre Mise à jour de logiciels des
Préférences Système. Pour plus d’informations, choisissez Aide > Aide Mac, puis
recherchez «mise à jour de logiciels».
Remarque : les applications Classic (ou Mac OS 9) ne sont pas compatibles avec votre
ordinateur et ne s’ouvriront pas.
F3626M42.book Page 103 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM104 Chapitre 5 Dépannage
En cas de problèmes avec les communications sans fil AirPort Extreme
 Vérifiez que l’ordinateur ou le réseau auquel vous souhaitez vous connecter est activé
et dispose d’un point d’accès sans fil.
 Assurez-vous que vous êtes bien dans la zone de couverture de l’antenne de l’autre
ordinateur ou du point d’accès du réseau en vérifiant le menu d’état AirPort (Z)
dans la barre des menus. Jusqu’à quatre barres de mesure apparaissent pour indiquer
la puissance du signal.
Des appareils électroniques ou des structures métalliques se trouvant à proximité
peuvent interférer avec les communications sans fil et réduire la portée de votre
antenne. Vous pouvez éventuellement améliorer la réception en tournant et en
réorientant l’ordinateur.
 Assurez-vous que le logiciel est correctement configuré conformément aux instructions
incluses avec votre borne d’accès ou point d‘accès.
 Pour plus d’informations, consultez l’Aide AirPort (choisissez Aide > Aide Mac, puis
Bibliothèque > Aide AirPort dans la barre des menus), ainsi que les instructions
fournies avec votre appareil sans fil.
Si le disque dur de votre ordinateur n’enregistre pas les données correctement
 Il peut arriver, dans certains cas très rares, qu’en raison de vibrations anormalement
fortes subies par le disque dur, le capteur Sudden Motion Sensor s’active et provoque des pertes d’images ou des portions de son ou de données non enregistrées
lorsque le disque est en train d’enregistrer de manière intensive. Si cela se produit,
assurez-vous que votre MacBook est dans un environnement stable sans vibrations
ni mouvements brusques.
 Si les vibrations ne sont pas la source du problème, ouvrez Utilitaire de disque
(dans /Applications/Utilitaires) pour vérifier le lecteur.
F3626M42.book Page 104 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 5 Dépannage 105
En cas de problème à l’éjection d’un disque
m Fermez toutes les applications susceptibles d’utiliser le disque et essayez à nouveau.
Si cela ne donne pas de résultats, redémarrez l’ordinateur tout en maintenant le bouton
du trackpad enfoncé.
Si vous suspectez un problème matériel
 Vous pouvez utiliser l’application «Apple Hardware Test» pour déterminer s’il existe
un problème dû à l’un des composants de votre ordinateur, tels que la mémoire ou
le processeur.
Pour plus d’informations sur Apple Hardware Test, consultez la section «Utilisation
d’Apple Hardware Test» à la page 108.
En cas de problèmes de connexion à Internet
 Assurez-vous que votre ligne téléphonique ou que votre câble réseau est connecté
et qu’il fonctionne correctement.
 Si vous utilisez une connexion à Internet par ligne commutée, veillez à ce que votre
câble téléphonique soit bien branché sur le modem USB d’Apple (vendu séparément)
et non au port Ethernet (G) de l’ordinateur.
 Ouvrez la fenêtre Réseau des Préférences Système et vérifiez auprès de votre Fournisseur
d’Accès Internet (FAI) ou de votre administrateur réseau les informations qui y sont saisies.
En cas de problèmes de fonctionnement de votre ordinateur ou de Mac OS
 Si les réponses à vos questions ne figurent pas dans ce manuel, choisissez Aide >
Aide Mac dans la barre des menus et recherchez des instructions et des informations
sur le dépannage.
 Pour obtenir les dernières informations de dépannage et des mises à jour de logiciels,
consultez le site web d’assistance Apple, à l’adresse www.apple.com/fr/support.
F3626M42.book Page 105 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM106 Chapitre 5 Dépannage
Réinstallation des logiciels fournis avec votre ordinateur
Les disques d’installation de logiciels fournis avec votre ordinateur permettent de
réinstaller Mac OS X et les applications livrées avec votre ordinateur.
Important : Apple vous recommande de sauvegarder les données de votre disque dur
avant de procéder à la restauration du logiciel. Apple décline toute responsabilité en
cas de perte de données.
Installation de Mac OS X et des applications
Pour installer Mac OS X et les applications qui accompagnent votre ordinateur :
1 Sauvegardez vos fichiers essentiels.
Nous vous conseillons de sauvegarder vos fichiers essentiels avant d’installer Mac OS X
et d’autres applications car l’option Effacer et installer efface votre disque de destination.
2 Assurez-vous que l’adaptateur secteur est correctement branché.
3 Insérez le disque 1 d’installation de Mac OS X livré avec votre ordinateur.
4 Double-cliquez sur «Install Mac OS X and Bundled Software».
5 Suivez les instructions à l’écran.
6 Après avoir sélectionné le disque de destination pour l’installation, suivez les instructions
à l’écran. Il se peut que votre ordinateur redémarre et vous invite à insérer le disque
d’installation Mac OS X suivant.
Remarque : pour rétablir les réglages d’origine de Mac OS X sur votre ordinateur,
cliquez sur Options dans la fenêtre Sélectionner une destination du programme
d’installation, puis choisissez Effacer et installer.
F3626M42.book Page 106 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 5 Dépannage 107
Après avoir sélectionné le disque de destination de l’installation, continuez à suivre les
instructions à l’écran pour effectuer une installation de base de Mac OS X. Pour personnaliser l’installation des applications, cliquez sur Personnaliser, cliquez sur le triangle en
regard de l’application et sélectionnez la version que vous souhaitez installer.
Installation des applications
Pour installer uniquement les applications fournies avec votre ordinateur, veuillez
procéder comme suit. Mac OS X doit déjà être installé sur votre ordinateur.
1 Sauvegardez vos fichiers essentiels.
2 Assurez-vous que l’adaptateur secteur est correctement branché.
3 Insérez le disque 1 d’installation de Mac OS X livré avec votre ordinateur.
4 Double-cliquez sur «Install Bundled Software Only».
5 Suivez les instructions à l’écran.
6 Après avoir sélectionné le disque de destination pour l’installation, suivez les instructions
à l’écran. Il se peut que votre ordinateur redémarre et vous invite à insérer le disque
d’installation Mac OS X suivant.
Remarque : pour installer iCal, iChat AV, iSync, Safari et les applications iLife, suivez les
instructions exposées dans «Installation de Mac OS X et des applications» à la page 106.
Il est possible que vous deviez insérer le disque 2 d’installation de Mac OS X, selon les
applications que vous souhaitez installer.
F3626M42.book Page 107 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM108 Chapitre 5 Dépannage
Utilisation d’Apple Hardware Test
Apple Hardware Test vous aide à déterminer s’il existe un problème matériel sur votre
ordinateur.
Pour utiliser Apple Hardware Test :
1 Déconnectez tous les périphériques externes de votre ordinateur, sauf l’adaptateur
secteur. Si un câble Ethernet est connecté, déconnectez-le.
2 Insérez le disque 1 d’installation de Mac OS X livré avec votre ordinateur.
3 Redémarrez ensuite votre ordinateur en maintenant la touche D enfoncée lors du
démarrage.
4 Lorsque l’écran principal d’Apple Hardware Test s’affiche, suivez les instructions à l’écran.
5 En cas de détection d’un problème, Apple Hardware Test affiche un code d’erreur. Notez
le code d’erreur avant d’entreprendre les démarches d’assistance. Si Apple Hardware Test
ne détecte pas de panne matérielle, il est probable que le problème soit lié aux logiciels.
Pour en savoir plus sur Apple Hardware Test, consultez le fichier «À propos d’AHT» sur
le disque «Mac OS X Install Disc 1».
F3626M42.book Page 108 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMChapitre 5 Dépannage 109
Localisation du numéro de série de votre produit
Utilisez l’une des méthodes suivantes pour trouver le numéro de série de votre
ordinateur :
 Choisissez Apple (?) > À propos de ce Mac puis cliquez sur le numéro de version
au-dessous des mots «Mac OS X». Cliquez pour afficher l’un après l’autre la version
de Mac OS X, le numéro de sous-version et le numéro de série.
 Ouvrez Informations Système (dans /Applications/Utilitaires/), et cliquez sur Matériel.
Vous pouvez également ouvrir Informations Système en cliquant sur le bouton Plus
d’infos dans la zone de dialogue À propos de ce Mac.
 Retirez la batterie. Le numéro de série de votre MacBook se trouve dans la baie de la
batterie. Pour en savoir plus sur l’extraction de la batterie, consultez la section «retrait
de la batterie» à la page 90 .
F3626M42.book Page 109 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMF3626M42.book Page 110 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM111
A Annexe
A Caractéristiques
Vous pouvez utiliser Informations Système pour
obtenir des informations détaillées sur votre MacBook.
Vous y trouverez entre autres la quantité de mémoire vive, la taille du disque dur, les
périphériques connectés et le numéro de série du produit. Pour accéder au contenu
des Informations Système, sélectionnez le menu Pomme (?) > À propos de ce Mac
dans la barre des menus, puis cliquez sur Plus d’infos ou ouvrez Informations Système,
situé dans /Applications/Utilitaires.
Dans la fenêtre qui s’ouvre, cliquez sur
les triangles pour afficher ou cacher
le contenu des différentes catégories.
F3626M42.book Page 111 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM112 Annexe A Caractéristiques
Conditions de fonctionnement
 Température de fonctionnement : 10° C à 35° C
 Altitude : 3 048 m maximum
 Humidité relative : de 0 % à 90 % sans condensation
Adaptateur secteur
 Entrée : 100 à 240 Volts (V), 50/60 Hertz (Hz)
 Sortie : 16,5 V à 3,65 A
Batterie
 Sortie : 10,8 V
 Capacité : 55 Wh
Des informations supplémentaires sont disponibles sur le site d’Apple aux pages
www.apple.com/fr/macbook et www.apple.com/fr/support.
F3626M42.book Page 112 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM113
B Annexe
B Consignes de sécurité,
d’utilisation et d’entretien
Veuillez lire attentivement les consignes de sécurité
et d’entretien suivantes concernant votre MacBook.
Les produits Apple sont conçus et évalués selon les standards de sécurité les plus
récents de l’équipement des technologies de l’information. Cependant, pour assurer
une utilisation sûre, il est important de suivre les consignes de sécurité indiquées sur
le produit et dans la documentation.
Consignes générales de sécurité
Lisez et suivez toutes les consignes indiquées sur le produit et dans ce manuel avant
d’utiliser votre MacBook. Gardez ces instructions dans un endroit facile d’accès pour
vous et pour les utilisateurs éventuels.
 Installez votre MacBook sur un plan de travail stable.
 Évitez de placer votre ordinateur à proximité d’un évier, d’un lavabo, d’une baignoire
ou d’une douche, par exemple.
 Protégez votre ordinateur de l’humidité et des intempéries (neige, pluie, brouillard
par exemple).
F3626M42.book Page 113 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM114 Annexe B Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien
 Pour votre propre sécurité et celle de votre matériel, veillez à toujours prendre les
précautions ci-après. Débranchez le cordon d’alimentation (en tirant sur la prise
plutôt que sur le cordon), retirez la batterie et débranchez tous les autres câbles si
l’un des cas suivants se présente :
 Vous souhaitez installer de la mémoire.
 Vous voulez retirer un ou plusieurs composants.
 La prise ou le câble d’alimentation est endommagé.
 Un liquide a été renversé dans le boîtier.
 Votre ordinateur est exposé à la pluie ou à une humidité excessive.
 Votre ordinateur a subi une chute ou le boîtier a été endommagé de quelque autre
façon.
 Vous pensez que votre ordinateur a besoin d’être inspecté ou réparé.
 Vous souhaitez nettoyer le boîtier (pour ce faire, suivez à la lettre les instructions
fournies plus bas).
 Le port d’adaptateur secteur du MacBook contient un aimant. Ne mettez pas des
matériaux ou des appareils à sensibilité magnétique à 25 mm ou moins de ce port.
 N’introduisez jamais d’objets d’aucune sorte dans les ouvertures de ventilation de
le MacBook.
 La batterie du MacBook peut présenter un risque d’incendie ou de brûlure en cas de
mauvais traitement. Ne la désassemblez pas, ne la chauffez pas au-delà de 100 º C
et ne l’incinérez pas. Ne remplacez la batterie que par une batterie certifiée par Apple
pour ce produit. L’utilisation de toute autre batterie peut présenter un risque d’incendie
ou d’explosion. Éliminez rapidement les batteries usagées conformément aux directives
d’environnement locales en vigueur.
F3626M42.book Page 114 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMAnnexe B Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien 115
Configuration de votre MacBook et de l’adaptateur secteur
Assurez-vous que la fiche ou le câble d’alimentation CA est complètement inséré dans
l’adaptateur secteur avant de brancher l’adaptateur sur la prise secteur. Pour un fonctionnement optimal, veillez à connecter l’adaptateur via le câble d’alimentation CA et
à utiliser une prise secteur de terre.
Utilisez uniquement l’adaptateur secteur fourni avec votre MacBook. Les adaptateurs destinés à d’autres appareils électroniques (y compris à d’autres modèles de MacBook Pro et
d’ordinateurs portables) peuvent sembler similaires, mais risquent d’avoir une incidence
négative sur les performances de votre ordinateur, voire de l’endommager.
L’adaptateur secteur peut chauffer pendant l’utilisation normale de votre MacBook.
Faites toujours en sorte que l’adaptateur soit correctement ventilé et soyez prudent
lorsque vous le manipulez pendant ou immédiatement après l’avoir utilisé. Si possible,
placez l’adaptateur secteur sur une surface plane et dure pour dissiper la chaleur.
Ne forcez jamais l’insertion d’un connecteur dans un port. Vérifiez la présence d’obstructions sur le port. Si le connecteur ne se raccorde pas facilement au port, c’est qu’ils
sont probablement incompatibles. Assurez-vous que le connecteur correspond bien au
port et que vous l’avez correctement positionné par rapport à ce dernier.
La présence de débris dans le port d’adaptateur secteur peut empêcher l’adaptateur
secteur de se brancher correctement. Nettoyez doucement les débris avec une tige
de coton ouaté.
F3626M42.book Page 115 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM116 Annexe B Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien
Utilisation de votre MacBook
Lorsque vous utilisez votre MacBook ou que vous rechargez la batterie, il est normal
que la température du dessous du boîtier s’élève. En cas d’utilisation prolongée, placez
votre MacBook sur une surface plane et stable.
Ne laissez pas la partie inférieure de votre MacBook au contact de vos genoux ou de
toute autre surface de votre corps de manière prolongée. Un contact étendu avec votre
corps pourrait provoquer des douleurs et éventuellement des brûlures.
Cette partie du boîtier du MacBook sert de surface de refroidissement et permet d’évacuer la chaleur de l’ordinateur vers l’extérieur. Le dessous du boîtier est légèrement suré-
levé pour permettre la circulation d’air et assurer ainsi à l’équipement une température
de fonctionnement normale. De plus, l’ordinateur dégage de l’air chaud des logements
à l’arrière du boîtier.
Avertissement : ne posez pas votre MacBook allumé sur un oreiller ou toute autre surface dans laquelle il pourrait s’enfoncer, car cela pourrait bloquer les conduites d’aération, en particulier les conduites arrière, et entraîner une surchauffe de l’ordinateur.
Évitez également de placer des objets sur le clavier lors de l’utilisation avec écran
rabattu. Cela risque de provoquer une succession d’arrêts et de mises en marche de
votre ordinateur, entraînant une surchauffe et la décharge de la batterie. N’allumez
jamais l’ordinateur tant que tous ses composants internes ou externes ne sont pas
en place. L’utilisation de l’ordinateur lorsque son boîtier est ouvert ou que certains
composants ont été démontés peut s’avérer dangereuse et risque de l’endommager.
F3626M42.book Page 116 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMAnnexe B Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien 117
Transport de votre MacBook
Si vous transportez votre MacBook dans un sac ou dans un attaché-case, assurez-vous que
ce dernier ne contient pas d’objets non attachés (tels que des trombones ou des pièces
de monnaie) qui pourraient pénétrer accidentellement dans l’ordinateur par une ouverture telle que la fente du lecteur optique ou se coincer à l’intérieur d’un port. Maintenez
également à l’écart du port de l’adaptateur secteur tout objet magnétiquement sensible.
Rangement de votre MacBook
Si vous décidez de ranger votre MacBook pendant une période de temps prolongée,
placez-le dans un endroit frais (idéalement à 22 ° C) et prenez l’une des mesures
suivantes afin de préserver la durée de vie de la batterie :
 Déchargez la batterie à 50 pour cent avant de ranger votre MacBook.
 Avant de ranger votre ordinateur pour une période de temps supérieure à cinq mois,
déchargez la batterie jusqu’à environ 50 pour cent, puis retirez-la du MacBook. Si vous
décidez de ranger votre ordinateur pour une période prolongée, pensez à recharger la
batterie de 50 pour cent tous les six mois environ.
Nettoyage de votre MacBook
Respectez les consignes suivantes lors du nettoyage de votre ordinateur et de ses
accessoires :
 Éteignez votre MacBook, débranchez l’adaptateur secteur et retirez la batterie.
 Pour nettoyer le boîtier de l’ordinateur, utilisez un chiffon doux, humide et non
pelucheux. Évitez les infiltrations d’humidité par quelque ouverture que ce soit.
Ne vaporisez jamais de liquide directement sur l’ordinateur.
 N’utilisez ni aérosols, ni dissolvants, ni abrasifs qui pourraient endommager le fini.
F3626M42.book Page 117 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM118 Annexe B Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien
Nettoyage de l’écran de votre MacBook
Pour nettoyer l’écran de votre MacBook, procédez comme suit :
 Éteignez votre MacBook, débranchez l’adaptateur secteur et retirez la batterie.
 Humidifiez, à l’eau seulement, un chiffon propre, doux et non pelucheux et essuyez
l’écran. Ne vaporisez jamais de liquide directement sur l’écran.
Comment éviter les problèmes auditifs
Informations se rapportant au laser
Avertissement : l’utilisation d’écouteurs ou d’un casque d’écoute à un niveau de
volume trop élevé peut provoquer une perte d’acuité auditive permanente. L’oreille
peut s’adapter petit à petit à des volumes sonores de plus en plus élevés qui peuvent
sembler normaux, mais qui risquent à la longue d’endommager votre système auditif.
En cas de sifflements ou de perte d’acuité auditive, arrêtez d’utiliser le casque ou les
écouteurs et consultez un médecin. Plus le volume est élevé, plus votre audition risque d’être affectée rapidement. Pour protéger votre système auditif, les spécialistes
conseillent de prendre les mesures suivantes :
 Limitez la durée d’utilisation à volume élevé de vos écouteurs ou de votre casque
d’écoute.
 Évitez d’augmenter le volume afin de bloquer les bruits environnants.
 Baissez le volume si vous ne parvenez pas à entendre une personne qui parle à côté
de vous.
Avertissement : l’exécution de réglages ou d’opérations qui ne sont pas spécifiés dans
la manuel de votre équipement risque de vous exposer à des rayonnements dangereux.
F3626M42.book Page 118 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMAnnexe B Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien 119
N’essayez pas de démonter le boîtier qui contient le laser. Le faisceau laser utilisé dans
ce produit est nocif pour les yeux. L’utilisation d’instruments optiques, tels que les loupes grossissantes, avec ce produit augmente les risques potentiels pour vos yeux. Afin
d’assurer votre sécurité, cet équipement ne doit être réparé que par un fournisseur de
services agréé Apple.
Votre ordinateur est classé comme produit laser de Catégorie 1 à cause de son lecteur
optique. L’étiquette de Catégorie 1, située dans un emplacement accessible à l’utilisateur, indique que le lecteur obéit aux exigences minimales de sécurité. Une étiquette
de mise en garde destinée au réparateur est située dans un emplacement qui lui est
accessible. Les étiquettes placées sur votre produit peuvent être légèrement différentes
de celles qui sont affichées ici.
Avertissement relatif aux activités à haut risque
Cet ordinateur n’est pas conçu pour être utilisé dans des installations nucléaires, pour
la navigation ou la communication aérienne, pour le contrôle du trafic aérien, ni dans
aucune autre situation où une panne du système informatique pourrait entraîner la
mort, des blessures ou de graves dommages écologiques.
Étiquette
«Catégorie 1»
Étiquette de mise en garde
destinée au réparateur
F3626M42.book Page 119 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM120 Annexe B Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien
Ergonomie
Voici quelques conseils sur la mise en place d’un environnement de travail sain.
Clavier et trackpad
Lorsque vous tapez au clavier ou que vous vous servez du trackpad, vos épaules
doivent être détendues. Le bras et l’avant-bras doivent former un angle droit, la main
étant placée dans le prolongement du poignet.
Vous devez avoir les mains et les doigts détendus lorsque vous tapez au clavier ou
que vous utilisez le trackpad. Évitez de replier les pouces à l’intérieur des paumes.
Position
à éviter
Position
recommandée
F3626M42.book Page 120 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMAnnexe B Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien 121
Modifiez fréquemment la position de vos mains pour éviter la fatigue. Après un travail
continu et intensif sur ordinateur, certains utilisateurs peuvent ressentir des douleurs
aux mains, aux poignets ou aux bras. Si ces douleurs persistent, consultez un spécialiste.
Siège
Optez pour un siège de bureau réglable et offrant un dossier et une assise confortables. Réglez la hauteur du siège de telle sorte que vos cuisses reposent à l’horizontale
et vos pieds à plat sur le sol. Le dossier du siège doit soutenir votre région lombaire,
c’est-à-dire la partie inférieure de votre dos. Suivez les instructions du fabricant de
sorte que le réglage du dossier soit parfaitement adapté à votre morphologie.
Au besoin, relevez le siège de manière à ce que vos avant-bras et vos mains soient
placés correctement par rapport au clavier. Si, dans ce cas, vos pieds ne reposent plus
à plat sur le sol, utilisez un repose-pied inclinable et réglable en hauteur. Si vous disposez d’un bureau modulaire, vous pouvez abaisser le niveau du plan de travail pour
éviter l’emploi d’un repose-pied. Une troisième solution consiste à utiliser un bureau
dont le clavier est situé plus bas que le plan de travail.
Position
à éviter
Position
recommandée
F3626M42.book Page 121 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM122 Annexe B Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien
Souris externe
Si vous utilisez une souris externe, veillez à ce qu’elle se trouve à hauteur du clavier.
Ménagez un espace suffisant pour la manipuler avec aisance.
Écran intégré
Orientez l’écran de manière à réduire le plus possible les reflets de l’éclairage électrique
et de la lumière du jour. Ne forcez pas l’écran si vous rencontrez une résistance. L’angle
d’ouverture maximal de l’écran ne peut dépasser 130 degrés.
Réglez la luminosité et le contraste de l’écran chaque fois que vous déplacez l’ordinateur
ou que l’éclairage ambiant change.
Pour en savoir plus
Accédez au site web www.apple.com/about/ergonomics.
À propos d’Apple et de l’environnement
Apple Computer, Inc. reconnaît sa responsabilité en matière de réduction de l’impact
de ses produits et de ses activités sur l’environnement. Pour en savoir plus, consultez
la page www.apple.com/environment/summary.html.
F3626M42.book Page 122 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM123
C Annexe
C Connexion à Internet
Votre ordinateur vous permet de naviguer sur le
Web, d’échanger du courrier électronique avec vos
amis et votre famille ou de dialoguer en temps réel
via Internet. Utilisez ces informations pour vous
aider à vous connecter à Internet.
Lors du premier démarrage de Mac OS X, Assistant réglages vous aide à saisir vos informations concernant la configuration Internet. Si vous n’avez pas utiliser Assistant réglages pour configurer votre connexion à Internet, vous pouvez utiliser Assistant réglages
de Réseau plus tard (consultez «Utilisation d’Assistant réglages de réseau pour se connecter» à la page 127 ). Si vous choisissez de ne pas utiliser Assistant réglages de réseau,
vous pouvez utiliser les informations figurant dans cette annexe pour configurer votre
connexion manuellement.
Il existe quatre types de connexion à Internet :
 connexion via un modem câble ou DSL à haut débit : l’ordinateur est relié via
un câble Ethernet à un modem spécial fourni par un FAI ;
 connexion sans fil : l’ordinateur est connecté sans fil via une borne d’accès
AirPort Extreme, AirPort Express ou un autre point d’accès 802.11ou 802.11 ;
F3626M42.book Page 123 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM124 Annexe C Connexion à Internet
 réseau local (LAN) : l’ordinateur est connecté à un réseau local via un câble Ethernet.
C’est le type de connexion habituellement utilisé dans les entreprises.
 connexion par ligne téléphonique : l’ordinateur est connecté à un modem externe
branché sur une prise téléphonique murale via un câble téléphonique.
Avant de vous connecter à Internet :
1 Ouvrez un compte auprès d’un fournisseur d’accès à Internet (FAI).
2 Procurez-vous les informations concernant la connexion auprès de votre fournisseur
d’accès à Internet ou de votre administrateur réseau. Consultez la section suivante
«Regroupement des informations nécessaires», pour savoir quelles sont les informations dont vous avez besoin pour chaque type de connexion. Vous pouvez écrire ces
informations directement sur les pages suivantes, puis les saisir dans Assistant réglages.
Si un autre ordinateur se trouvant au même emplacement est déjà connecté à Internet,
vous pouvez probablement utiliser ses réglages.
Pour accéder aux réglages sur un ordinateur Mac OS X :
 Ouvrez la fenêtre Réseau des Préférences Système.
 Dans le menu local Afficher, sélectionnez votre mode de connexion.
 Copiez les informations concernant votre connexion.
Pour accéder aux réglages d’un ordinateur Windows :
Les informations d’un PC Windows concernant la connexion se trouvent à deux endroits.
 Pour rechercher l’adresse IP et le masque de sous-réseau, ouvrez le tableau de bord
«Connexions Réseau et Internet».
 Pour accéder aux informations relatives aux comptes d’utilisateurs, ouvrez le tableau de
bord Comptes d’utilisateurs.
F3626M42.book Page 124 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMAnnexe C Connexion à Internet 125
3 Si vous utilisez un modem externe, tel que le modem USB d’Apple (vendu séparément),
branchez-le dans un port USB de votre MacBook, puis utilisez un câble téléphonique (non
inclus) pour connecter le modem à une prise téléphonique murale. Si vous disposez d’un
modem DSL ou câble, connectez-le à votre ordinateur en suivant les instructions incluses.
4 Allumez votre ordinateur et saisissez les informations dans Assistant réglages pour
configurer votre connexion à Internet.
Remarque : si vous avez déjà démarré votre ordinateur sans utiliser Assistant réglages
pour configurer votre connexion à Internet, consultez «Utilisation d’Assistant réglages
de réseau pour se connecter» à la page 127 .
Regroupement des informations nécessaires
Vous pouvez noter sur ces pages les informations obtenues auprès de votre FAI, de
votre administrateur réseau ou récupérées sur un autre ordinateur, puis les saisir dans
Assistant réglages de réseau.
Pour configurer une connexion téléphonique classique, procurez-vous les informations
suivantes :
 nom du fournisseur d’accès ;
 nom d’utilisateur ou de compte ;
 mot de passe ;
 numéro de téléphone du FAI ;
 autre numéro de téléphone ;
 préfixe pour obtenir la ligne externe.
F3626M42.book Page 125 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM126 Annexe C Connexion à Internet
Pour configurer un modem DSL, un modem câble, un réseau local (LAN) ou une
connexion AirPort Extreme sans fil, choisissez votre méthode de connexion (en cas
de doute, adressez-vous à votre administrateur système ou à votre FAI) :
 manuellement ;
 utilisation de DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol, protocole de configuration
dynamique d’hôte) avec une adresse manuelle ;
 via DHCP ;
 via BootP ;
 PPP (Point-to-Point Protocol, protocole point à point).
En cas de doute sur la méthode à utiliser, l’option «Via DHCP» peut s’avérer un bon
choix car le réseau fournit automatiquement la plupart des informations requises.
Si vous sélectionnez «Manuellement» ou «Via DHCP avec une adresse manuelle»,
rassemblez les informations suivantes :
 adresse IP ;
 masque de sous-réseau ;
 adresse du routeur.
Remarque : si vous sélectionnez «Utilisation de DHCP avec une adresse manuelle»,
vous n’avez pas besoin d’un masque de sous-réseau ou d’une adresse de routeur.
Si vous sélectionnez «Via DHCP», rassemblez les informations facultatives suivantes
(demandez à votre FAI si c’est nécessaire) :
 numéro de client DHCP ;
 serveurs DNS.
F3626M42.book Page 126 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMAnnexe C Connexion à Internet 127
Si vous sélectionnez «PPPoE» (pour les connexions via PPP sur Ethernet ), rassemblez
les informations suivantes :
 fournisseur d’accès ;
 nom de compte ;
 mot de passe ;
 nom de service PPPoE.
Les informations ci-dessous sont facultatives. Demandez à votre fournisseur d’accès à
Internet ou à votre administrateur système si elles sont requises.
 serveurs DNS ;
 nom de domaine ;
 serveur proxy.
Saisie de vos informations
Après vous être procuré les informations spécifiques concernant la configuration auprès
de votre FAI ou de votre administrateur réseau, vous pouvez utiliser Assistant réglages
de réseau pour vous connecter ou pour saisir les informations manuellement.
Utilisation d’Assistant réglages de réseau pour se connecter
Si vous n’avez pas utilisé l’Assistant réglages pour configurer vos réglages Internet
au premier démarrage de votre MacBook, vous pouvez utiliser l’Assistant réglages de
réseau à tout moment pour configurer votre connexion à Internet ou pour modifier
vos réglages.
F3626M42.book Page 127 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM128 Annexe C Connexion à Internet
Pour utiliser Assistant réglages de réseau :
1 Choisissez le menu Pomme (?) > Préférences Système.
2 Cliquez sur Réseau puis cliquez sur «Assistant».
3 Cliquez sur Assistant pour lancer Assistant réglages de réseau.
4 Suivez les instructions à l’écran.
Pour plus d’informations sur la configuration d’une connexion à Internet, consultez
l’Aide Mac. Choisissez Aide > Aide Mac puis recherchez «connexion à Internet».
Saisie manuelle de vos informations
Pour saisir vos informations manuellement :
1 Ouvrez Préférences Système > Réseau.
2 Faites votre sélection dans le menu local Afficher et réglez les options selon le type de
connexion souhaité :
 connexion par modem câble, modem DSL ou LAN en utilisant l’une de ces
configurations :
 manuellement : dans le cas d’une configuration manuelle, votre FAI ou administrateur réseau vous indique une adresse IP statique et d’autres informations que vous
devez saisir dans les Préférences réseau ;
 utilisation du protocole DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol) : avec
une configuration DHCP, le serveur DHCP saisit automatiquement les informations
à votre place ;
 utilisation du protocole PPPoE (Point-to-Point Protocol over Ethernet) : si vous
utilisez un modem DSL et que vous avez besoin d’un nom d’utilisateur et d’un mot
de passe pour vous connecter à Internet, contactez votre FAI pour savoir si vous
devez vous connecter via PPPoE ;
F3626M42.book Page 128 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMAnnexe C Connexion à Internet 129
 modem téléphonique externe avec connexion PPP (Point-to-Point Protocol) : saisissez
le nom et le mot de passe de votre compte, votre numéro de téléphone et les autres
informations requises ;
 connexion sans fil AirPort Extreme : vous pouvez configurer votre réseau AirPort
Extreme et votre connexion Internet via Assistant réglages AirPort, situé dans le
dossier /Applications/Utilitaires.
3 Cliquez sur «Assistant» pour obtenir une assistance supplémentaire.
Dépannage de votre connexion
En cas de problèmes avec votre connexion à Internet, vous pouvez essayer les méthodes
de cette section pour votre type de connexion ou vous pouvez utiliser Diagnostic réseau.
Pour utiliser Diagnostic réseau :
1 Choisissez le menu Pomme (?) > Préférences Système.
2 Cliquez sur Réseau puis cliquez sur «Assistant».
3 Cliquez sur Diagnostic pour lancer Diagnostic réseau.
4 Suivez les instructions à l’écran.
Si Diagnostic réseau n’est pas en mesure de résoudre le problème, celui-ci se situe
peut-être au niveau du fournisseur d’accès à Internet auquel vous essayez de vous
connecter, du périphérique externe utilisé pour la connexion au fournisseur d’accès à
Internet ou du serveur auquel vous essayez d’accéder. Vous pouvez également essayer
les méthodes suivantes.
F3626M42.book Page 129 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM130 Annexe C Connexion à Internet
Connexions à Internet par modem câble, modem DSL ou réseau
local (LAN)
Si vous ne parvenez pas à vous connecter à Internet à l’aide de votre modem câble
ou DSL ou via votre réseau local (LAN), suivez les instructions ci-après.
Important : les instructions relatives aux modems ne concernent pas les utilisateurs
de réseau LAN. Contrairement aux utilisateurs de modems câble et de modems DSL,
les utilisateurs de réseau LAN peuvent disposer de concentrateurs, commutateurs,
routeurs et autres dispositifs de connexion. Ils doivent faire appel à leur administrateur
réseau plutôt qu’à un FAI.
Vérifiez les câbles et les sources d’alimentation
Assurez-vous que tous les câbles du modem sont correctement branchés, y compris
le câble d’alimentation du modem, le câble reliant le modem à l’ordinateur et le câble
raccordant le modem à la prise murale. Vérifiez les câbles et l’alimentation des routeurs
et des concentrateurs Ethernet.
Éteignez puis rallumez le modem et réinitialisez les composants matériels du modem.
Éteignez votre modem DSL ou votre modem câble pendant quelques minutes, puis
rallumez-le. Certains fournisseurs d’accès à Internet conseillent de débrancher le câble
d’alimentation du modem. Si votre modem dispose d’un bouton de réinitialisation,
vous pouvez l’actionner avant ou après avoir éteint puis rallumé le modem.
F3626M42.book Page 130 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMAnnexe C Connexion à Internet 131
Connexions PPPoE
Si vous n’arrivez pas à vous connecter à votre fournisseur d’accès à Internet via PPPoE,
commencez par vérifier les câbles et l’alimentation, puis éteignez le modem et rallumez-le et réinitialisez le matériel modem. Vérifiez ensuite vos réglages dans la fenêtre
Réseau des Préférences Système.
Pour vérifier les réglages des Préférences Système :
1 Choisissez le menu Pomme (?) > Préférences Système dans la barre des menus.
2 Cliquez sur Réseau.
3 Dans le menu local Afficher, sélectionnez Configurations de ports réseau.
4 Sélectionnez Ethernet intégré, puis faites glisser cette configuration en haut de la liste
des configurations de ports.
5 Dans le menu local Afficher, sélectionnez Ethernet intégré.
6 Cliquez sur PPPoE.
7 Sélectionnez Se connecter via PPPoE.
8 Vérifiez le champ Nom de compte pour vous assurer d’avoir tapé les informations
correctes fournies par votre fournisseur d’accès à Internet.
9 Si vous avez choisi d’enregistrer votre mot de passe, saisissez-le à nouveau afin d’être
sûr qu’il est correct.
10 Cliquez sur TCP/IP. Assurez-vous d’avoir saisi dans cette fenêtre les informations correctes
fournies par votre fournisseur d’accès à Internet.
11 Cliquez sur Appliquer.
F3626M42.book Page 131 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM132 Annexe C Connexion à Internet
Connexions au réseau
Si vous disposez de plusieurs ordinateurs tentant de partager une connexion à Internet,
assurez-vous que votre réseau est correctement configuré. Vous devez savoir si votre
fournisseur d’accès à Internet fournit une adresse IP ou plusieurs (une pour chaque
ordinateur).
Si une seule adresse IP est utilisée, vous devez disposer d’un routeur capable de partager la connexion (on parle alors de conversion d’adresse réseau (NAT) ou de masquage
d’adresses IP). Pour obtenir des informations sur la configuration, consultez la documentation fournie avec votre routeur ou contactez la personne qui a configuré votre
réseau. La borne d’accès AirPort Extreme peut être utilisée pour que plusieurs ordinateurs partagent une adresse IP. Pour obtenir plus d’informations sur l’utilisation de
la borne d’accès AirPort Extreme, consultez l’aide à l’écran ou le site web AirPort, à
l’adresse www.apple.com/fr/airportextreme.
Si ces instructions s’avèrent insuffisantes pour résoudre les problèmes rencontrés,
contactez votre fournisseur d’accès à Internet.
F3626M42.book Page 132 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM133
D Annexe
D Les dix questions principales
Une question ? Les dix questions les plus
fréquemment posées par les nouveaux
utilisateurs du MacBook sont les suivantes :
Ma connexion Internet ne semble pas fonctionner. Comment la configurer ?
Il y a différents types de connexions Internet. Vous pouvez, par exemple, vous connecter via un modem, une connexion DSL, une connexion sans fil AirPort ou un réseau
Ethernet. Vous devez saisir sous Mac OS X des informations spécifiques sur votre type
de connexion, votre fournisseur d’accès Internet ou votre réseau. La première étape de
configuration de votre connexion consiste à regrouper les informations requises pour
votre type de connexion. Pour connaître les informations requises et savoir comment
configurer votre type de connexion, consultez l’annexe C, «Connexion à Internet», à la
page 123 . Votre ordinateur dispose également de l’application Assistant réglages pour
vous aider à configurer votre connexion Internet. Ouvrez Préférences Système, puis
cliquez sur Réseau. Cliquez sur le bouton d’assistance pour ouvrir Assistant réglages
de réseau.
F3626M42.book Page 133 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM134 Annexe D Les dix questions principales
Comment configurer mon imprimante ? Est-elle compatible avec mon MacBook ?
Commencez par connecter votre imprimante et installer tous les logiciels en suivant les
instructions incluses avec l’imprimante. Ensuite, ouvrez les Préférences Système, puis
cliquez sur l’icône Imprimantes et fax. Utilisez la fenêtre Imprimantes et fax pour configurer votre MacBook de façon qu’il puisse utiliser l’imprimante. Vous trouverez de plus
amples informations sur la configuration des imprimantes dans l’Aide Mac (choisissez
Aide > Aide Mac dans la barre des menus, puis recherchez «imprimante»). Consultez
également «Connexion à une imprimante» à la page 52.
Si votre imprimante ne fonctionne pas comme prévu, consultez le site web du fabricant
pour obtenir les gestionnaires d’imprimante mis à jour. La dernière version du logiciel
d’imprimante est souvent disponible en téléchargement.
Si vous envoyez une tâche à votre imprimante et que celle-ci n’imprime pas, cliquez sur
l’icône de l’imprimante dans le Dock pour vérifier si l’impression est interrompue ou
si la tâche est en pause. (Si aucune icône n’apparaît dans le Dock, ouvrez Configuration
d’imprimante dans le dossier /Applications/Utilitaires et double-cliquez sur le nom de
l’imprimante.) Si la fenêtre de l’imprimante annonce «Tâche suspendue», cliquez sur
le bouton Démarrer tâches. Si «Pause» apparaît à côté du nom de la tâche, reprenez
l’impression en sélectionnant le nom de la tâche, puis en cliquant sur Reprendre. Si
l’impression d’une tâche a été interrompue à la suite d’une erreur technique, effacez
la tâche défectueuse en la sélectionnant et en cliquant sur Effacer. Essayer ensuite
d’imprimer à nouveau la tâche.
F3626M42.book Page 134 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMAnnexe D Les dix questions principales 135
Comment fonctionne l’interface Mac OS X ?
Les utilisateurs qui découvrent Mac OS X se demandent souvent comment exécuter
certaines tâches. L’ Aide Mac constitue la meilleure source d’informations sur Mac OS X.
Elle comprend des explications préliminaires destinées aux nouveaux utilisateurs, aux
utilisateurs Windows s’initiant à Mac OS X, ainsi qu’aux utilisateurs ayant effectué une
mise à niveau de Mac OS 9. Ouvrez l’Aide Mac en choisissant Aide > Aide Mac dans la
barre des menus du Finder, en haut de votre écran. Explorez les informations destinées
aux nouveaux utilisateurs Mac OS X. La plupart des tâches élémentaires recherchées
par l’utilisateur impliquent le Finder, essayez donc de rechercher «Finder» également.
Comment prolonger la longévité de la batterie de mon MacBook ?
N’oubliez pas d’étalonner votre batterie lors de la première utilisation (voir «Étalonnage
de la batterie» à la page 26). Vous pouvez économiser l’énergie de la batterie en utilisant les options de la fenêtre des préférences Économiseur d’énergie pour spécifier
quand l’ordinateur doit suspendre son activité et quand l’écran doit s’éteindre. Ouvrez
Préférences Système et cliquez sur l’icône Économiseur d’énergie. Choisissez les réglages les mieux adaptés à votre mode d’utilisation. L’utilisation de périphériques, tels que
les disques durs, qui tirent leur énergie de votre ordinateur, peut aussi contribuer à diminuer l’autonomie de votre batterie. Vous pouvez économiser l’énergie de la batterie
en déconnectant ces appareils. Vous pouvez également vous procurer une batterie
supplémentaire et la brancher sur votre ordinateur lorsque la batterie est faible. Pour
obtenir plus d’informations sur les moyens d’économiser l’énergie de la batterie,
consultez la section «Conseils pour économiser la batterie» à la page 85.
F3626M42.book Page 135 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM136 Annexe D Les dix questions principales
J’ai inséré un disque dans le lecteur optique, mais rien ne se passe. Comment savoir
si le disque est compatible avec mon lecteur optique ?
Appuyez sur la touche d’éjection de disque (C) pour éjecter le disque. Les lecteurs optiques
à chargement par fente Apple ne prennent en charge que des disques circulaires de 12 cm.
Les disques non standard et les disques n’ayant pas une forme circulaire ne fonctionnent
pas avec le lecteur optique. Pour plus d’informations sur les disques non standard, accédez
au site d’assistance et de service Apple à l’adresse www.apple.com/fr/support, puis recherchez «disques non standard».
Comment connecter un moniteur externe, un téléviseur ou un projecteur à mon
MacBook ?
1 Allumez l’écran externe ou le projecteur.
2 Vérifiez que le câble de l’écran est bien relié au projecteur ou à l’écran externe.
3 Connectez le câble du moniteur à votre MacBook à l’aide du câble adéquat.
a Si vous connectez un périphérique externe via une connexion DVI, utilisez l’adaptateur
Mini-DVI vers DVI d’Apple (vendu séparément).
b Si vous connectez un périphérique externe via une connexion VGA, utilisez l’adaptateur
Mini-DVI vers VGA d’Apple (vendu séparément).
c Si vous connectez un périphérique externe via une connexion S-vidéo, utilisez
l’adaptateur Mini-DVI vers Vidéo Apple (vendu séparément).
Votre MacBook détecte automatiquement le moniteur externe, le téléviseur ou
le projecteur.
Avertissement : l’insertion d’un disque non standard peut endommager le lecteur.
F3626M42.book Page 136 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PMAnnexe D Les dix questions principales 137
4 Réglez la résolution de l’écran externe via la fenêtre Moniteurs des Préférences Système
ou le menu d’état Moniteurs de la barre de menus.
Pour obtenir plus d’informations sur la connexion d’écrans et autres périphériques,
consultez «Gestion de la vidéo externe» à la page 71.
J’ai oublié mon mot de passe. Comment le réinitialiser ?
Pour réinitialiser votre mot de passe, démarrez à partir du disque d’installation de logiciels fourni avec votre ordinateur. Une fois le programme d’installation ouvert, sélectionnez Installation > «Réinitialiser le mot de passe» dans la barre des menus. Suivez
les instructions à l’écran.
J’entends un ventilateur se déclencher et la température de mon MacBook semble
augmenter. Est-ce normal ?
Votre MacBook est conçu pour fonctionner dans le cadre de limites thermiques sûres. Le
ventilateur se déclenche et fonctionne pour maintenir le MacBook à des températures
normales lorsqu’il est en activité. La partie inférieure de votre MacBook peut s’échauffer
car elle sert à évacuer la chaleur du boîtier. Il s’agit d’un comportement tout à fait normal.
Pour plus d’informations, consultez la section «Utilisation de votre MacBook» à la page 116.
F3626M42.book Page 137 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM138 Annexe D Les dix questions principales
Une application ou Mac OS X semble ne pas fonctionner correctement. Dois-je
réinstaller Mac OS X ?
Le processus de dépannage d’un problème demande que vous répondiez à plusieurs
questions, notamment si le problème survient toujours avec une application spécifique,
s’il est lié au système d’exploitation ou s’il est dû à un matériel défectueux. Avant de
réinstaller, consultez la section «Dépannage» à la page 99 pour vous aider à analyser le
problème. Apple fournit également de nombreuses explications et des conseils techniques de résolution de problèmes sur le site d’assistance et de service Apple, à l’adresse
www.apple.com/fr/support. Si vous constatez qu’une réinstallation de Mac OS X
s’impose, vous trouverez toutes les instructions nécessaires dans la section «Réinstallation
des logiciels fournis avec votre ordinateur» à la page 106.
J’ai installé une application sur mon MacBook, mais elle ne semble pas fonctionner.
Où trouver de l’aide ?
Vérifiez la documentation fournie avec l’application pour savoir comment obtenir de
l’assistance. Les fabricants sont souvent conscients des problèmes courants susceptibles
de survenir avec leurs applications et fournissent des solutions et des mises à jours à
usage immédiat. Si votre application n’est pas un produit Apple, contactez directement
l’éditeur concerné afin d’obtenir une assistance adaptée.
F3626M42.book Page 138 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM139
Communications Regulation Information
FCC Compliance Statement
This device complies with part 15 of the FCC rules.
Operation is subject to the following two conditions: (1)
This device may not cause harmful interference, and (2)
this device must accept any interference received,
including interference that may cause undesired
operation. See instructions if interference to radio or
television reception is suspected.
L’utilisation de ce dispositif est autorisée seulement aux
conditions suivantes : (1) il ne doit pas produire de
brouillage et (2) l’utilisateur du dispositif doit étre prêt à
accepter tout brouillage radioélectrique reçu, même si
ce brouillage est susceptible de compromettre le
fonctionnement du dispositif.
Radio and Television Interference
This computer equipment generates, uses, and can
radiate radio-frequency energy. If it is not installed and
used properly—that is, in strict accordance with Apple’s
instructions—it may cause interference with radio and
television reception.
This equipment has been tested and found to comply
with the limits for a Class B digital device in accordance
with the specifications in Part 15 of FCC rules. These
specifications are designed to provide reasonable
protection against such interference in a residential
installation. However, there is no guarantee that
interference will not occur in a particular installation.
You can determine whether your computer system is
causing interference by turning it off. If the interference
stops, it was probably caused by the computer or one of
the peripheral devices.
If your computer system does cause interference to
radio or television reception, try to correct the
interference by using one or more of the following
measures:
 Turn the television or radio antenna until the
interference stops.
 Move the computer to one side or the other of the
television or radio.
 Move the computer farther away from the television or
radio.
 Plug the computer in to an outlet that is on a different
circuit from the television or radio. (That is, make
certain the computer and the television or radio are on
circuits controlled by different circuit breakers or
fuses.)
If necessary, consult an Apple-authorized service
provider or Apple. See the service and support
information that came with your Apple product. Or,
consult an experienced radio/television technician for
additional suggestions.
Important: Changes or modifications to this product
not authorized by Apple Computer, Inc., could void the
EMC compliance and negate your authority to operate
the product.
This product has demonstrated EMC compliance under
conditions that included the use of compliant peripheral
devices and shielded cables between system
components. It is important that you use compliant
peripheral devices and shielded cables between system
components to reduce the possibility of causing
interference to radios, television sets, and other
electronic devices.
F3626M42.book Page 139 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM140
Responsible party (contact for FCC matters only):
Apple Computer, Inc. Product Compliance,
1 Infinite Loop M/S 26-A, Cupertino, CA 95014-2084,
408-974-2000.
Wireless Radio Use
This device is restricted to indoor use due to its
operation in the 5.15 to 5.25 GHz frequency range to
reduce the potential for harmful interference to cochannel Mobile Satellite systems.
Cet appareil doit être utilisé à l’intérieur.
Exposure to Radio Frequency Energy
The radiated output power of the AirPort Extreme
technology is below the FCC radio frequency exposure
limits. Nevertheless, it is advised to use the wireless
equipment in such a manner that the potential for
human contact during normal operation is minimized.
FCC Bluetooth Wireless Compliance
The antenna used with this transmitter must not be
collocated or operated in conjunction with any other
antenna or transmitter subject to the conditions of the
FCC Grant.
Bluetooth Industry Canada Statement
This Class B device meets all requirements of the
Canadian interference-causing equipment regulations.
Cet appareil numérique de la Classe B respecte toutes
les exigences du Règlement sur le matériel brouilleur
du Canada.
Industry Canada Statement
Complies with the Canadian ICES-003 Class B
specifications. Cet appareil numérique de la classe B est
conforme à la norme NMB-003 du Canada. This device
complies with RSS 210 of Industry Canada.
Bluetooth Europe–EU Declaration of Conformity
This wireless device complies with the specifications
EN 300 328, EN 301-489, and EN 60950 following the
provisions of the R&TTE Directive.
Europe - EU Declaration of Conformity
The equipment complies with the RF Exposure
Requirement 1999/519/EC, Council Recommendation of
12 July 1999 on the limitation of exposure of the general
public to electromagnetic fields (0 Hz to 300 GHz). This
equipment meets the following conformance standards:
EN300 328, EN301 893, EN301 489-17, EN60950
Par la présente Apple Computer, Inc. déclare que
l’appareil 802.11a/b/g Mini-PCIe card est conforme aux
exigences essentielles et aux autres dispositions
pertinentes de la directive 1999/5/CE.
Complies with European Directives
72/23/EEC, 89/336/EEC, 1999/5/EC
See http://www.apple.com/euro/compliance
F3626M42.book Page 140 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM141
Korea Statements
Singapore Wireless Certification
Taiwan Wireless Statements
Taiwan Class B Statement
VCCI Class B Statement
Informations sur les modems USB externes
Si vous connectez votre MacBook à une ligne
téléphonique par le biais d’un modem USB externe,
veuillez vous reporter aux informations fournies par
l’agence de télécommunications mentionnées dans
la documentation livrée avec votre modem.
ENERGY STAR®
Compliance
As an ENERGY STAR®
partner, Apple has determined that
standard configurations of this product meet the
ENERGY STAR®
guidelines for energy efficiency. The
ENERGY STAR®
program is a partnership with office
product equipment manufacturers to promote energyefficiency. Reducing energy consumption of office
products saves money and reduces pollution by
eliminating wasted energy.
F3626M42.book Page 141 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM142
Informations sur l’élimination et le recyclage
La lampe du rétro-éclairage interne à ce produit
contient du mercure. Elle doit être recyclée ou traitée
conformément à la législation locale, nationale
et fédérale. Pour vous informer sur le programme
de recyclage d’Apple, rendez-vous sur le site
www.apple.com/environment/summary.html
Informations sur l’enlèvement de la batterie
Disposez des batteries conformément aux directives
d’environnement locales en vigueur.
Deutschland: Das Gerät enthält Batterien. Diese gehören
nicht in den Hausmüll. Sie können verbrauchte Batterien
beim Handel oder bei den Kommunen unentgeltlich
abgeben. Um Kurzschlüsse zu vermeiden, kleben Sie die
Pole der Batterien vorsorglich mit einem Klebestreifen
ab.
Nederlands:Gebruikte batterijen kunnen worden
ingeleverd bij de chemokar of in een speciale
batterijcontainer voor klein chemisch afval (kca) worden
gedeponeerd.
Taïwan:
Union européenne—instructions concernant
l’élimination des déchets :
Le symbole ci-dessus signifie que vous devez vous
débarrasser de votre produit sans le mélanger avec les
ordures ménagères, selon les normes et la législation
de votre pays. Lorsque ce produit n’est plus utilisable,
portez-le dans un centre de traitement des déchets
agréé par les autorités locales. Certains centres
acceptent les produits gratuitement. Le traitement
et le recyclage séparé de votre produit lors de son
élimination aideront à préserver les ressources naturelles
et à protéger l’environnement et la santé des êtres
humains.
F3626M42.book Page 142 Wednesday, April 5, 2006 2:17 PM
File Name:
Job Number:
Description:
F034-4989-A_N82REV_inbox_sm_alt_v3.indd
PKG-09-0194
N82REV In-box alternate template
Trim: Version:
Live:
Bleed:
Scale:
Fonts:
630mm x 116mm flat
n/a
n/a
1:1 (output at 100%)
Myriad Set
NOTES: •keylines/fold marks do NOT print
•built at 100%
•cyan type: 100% Cyan
•red rings: 100% Magenta and 100% Yellow
•black type: 100K
•art: 4/c; hires 3
Inks: 4/0 CMYK
Studio Designer:
Buddy Check (QC):
Graphic Designer:
GD Editor:
Writer:
Dan Talbert
Leslie Brugal
Yoo Lee
Teri Thomas
Project Manager:
Traffic Manager:
Production Manager:
Creative Director:
Caelan Stack
Dan Cohen
Kay Maston
Jamie Roberts
Project Manager:
Product Manager:
Marcom Editor:
Legal:
Evelyn Seto
Teri Thomas
Printout Scale: 100%
Apple Computer 1 In?nite Loop Cupertino, CA 95014 phone: 408 974-1361 Date: 4/10/9
Marcom
Date Initials OK ’s Date Initials OK ’s Date Initials OK ’s
Apple Con?dential
Deux doigts
d’astuces
Démarrage
Bienvenue dans l’univers iPhone. Ce guide de
démarrage rapide vous présente comment
con?gurer votre iPhone et utiliser ses
fonctionnalités principales. Une fois prêt à
pro?ter de votre iPhone, vous pouvez obtenir
plus d’informations à son sujet en visitant la page
web www.apple.com/fr/iphone.
À vos marques, configurez, partez !
1. Téléchargement d’iTunes.
Rendez-vous sur
www.apple.com/fr/itunes/download et
téléchargez la dernière version d’iTunes à
installer sur votre Mac ou PC.
2. Connexion à votre ordinateur.
Connectez votre iPhone au port USB de votre
ordinateur.
3. Synchronisation.
Lorsque l’iPhone est connecté, iTunes s’ouvre et
vous guide dans l’installation. Sélectionnez les
contacts, les calendriers, la musique, les vidéos
et les photos que vous souhaitez synchroniser,
puis cliquez sur Appliquer dans l’angle droit
inférieur. Si vous n’avez jamais utilisé iTunes
ou que vous souhaitez vous informer sur
la synchronisation, vous pouvez consulter
un guide d’initiation rapide disponible sur
www.apple.com/fr/itunes/tutorials.
Effectuer un appel.
Pour effectuer un appel, touchez un numéro de
téléphone dans Contacts, Favoris, une adresse
électronique, un message écrit ou tapotez sur
n’importe quelle zone de l’iPhone. Ou touchez
le bouton du clavier numérique pour marquer
un numéro manuellement. Pour répondre à un
appel alors que vous utilisez les écouteurs de
l’iPhone, appuyez une fois sur le bouton central.
Appuyez à nouveau dessus pour mettre ?n à
l’appel.
Agrandir pour modifier le texte.
Touchez le texte que vous voulez modi?er. Pour
replacer le point d’insertion, touchez le mot et
maintenez votre doigt dessus pour afficher la
loupe. Faites glisser votre doigt pour déplacer
le point d’insertion puis modi?ez ce dernier en
utilisant le clavier.
Envoi de messages.
Touchez l’icône Messages. Écrivez un nom ou
un numéro de téléphone dans le champ À ou
sélectionnez une personne dans vos contacts.
Écrivez votre message puis tapotez sur Envoyer.
Pour envoyer des photos, touchez le bouton
Appareil photo. Pour effacer ou réexpédier
l’ensemble ou une partie d’un message, touchez
Modi?er. Pour supprimer une conversation
entière dans votre liste de messages, tapotez
dessus avec votre doigt puis touchez Supprimer.
Configuration d’un compte de messagerie.
Pour con?gurer un compte de messagerie
directement depuis votre iPhone, touchez
Ajouter un compte dans les réglages de
messagerie. Puis, tapotez sur le type de
compte que vous souhaitez ou touchez Autre
pour procéder à la con?guration de la plupart
des comptes POP3 ou IMAP. Les réglages de
compte de messagerie peuvent aussi être
synchronisés avec votre Mac ou PC par le biais
d’iTunes.
Bouton Marche/Veille.
Pour allumer l’iPhone, appuyez fermement sur
le bouton Marche/Veille. Pour éteindre ou
redémarrer l’iPhone, maintenez le bouton
Marche/Veille enfoncé, puis faites glisser pour
con?rmer. Pour mettre l’iPhone en mode veille,
appuyez une fois sur le bouton Marche/Veille.
Cela a pour effet d’éteindre l’écran tout en
permettant à l’iPhone de recevoir des appels.
Pour mettre en silence un appel entrant,
appuyez une fois. Pour renvoyer un appel vers
la messagerie vocale, appuyez deux fois.
Accueil.
Lorsque vous utilisez une application, appuyez
sur le bouton principal pour fermer celle-ci et
revenir à l’écran d’accueil. Appuyez à nouveau
sur le bouton principal pour revenir à votre écran
d’accueil principal. Durant un appel, vous pouvez
accéder à votre courrier électronique, votre
calendrier ou aux autres applications et même
naviguer sur le web, dans la mesure où vous êtes
connecté via Wi-Fi ou 3G. Double-cliquez sur le
bouton principal chaque fois que vous voulez
accéder à vos Favoris. Double-cliquez sur le
mode veille pour afficher les contrôles de l’iPod.
Clavier intelligent.
L’iPhone corrige et suggère des mots
automatiquement au fur et à mesure que vous
écrivez. Donc, si vous saisissez une lettre erronée,
continuez à écrire. Pour accepter le mot suggéré,
touchez la barre d’espace. Touchez le « x » pour
refuser le mot suggéré. Le clavier apprend les
mots que vous écrivez. Il insère également les
apostrophes dans les contractions à votre place.
Pour activer le clavier numérique et celui des
symboles, tapotez la touche « .?123 ». Touchez
deux fois la barre d’espace pour ajouter un point.
Couper, copier et coller.
Lors de la saisie, tapotez deux fois sur un mot
pour le sélectionner. Faites glisser les points de
capture pour sélectionner plus ou moins de texte,
puis tapotez sur couper, copier ou coller. Pour
copier un texte depuis des pages web, courriers
électroniques ou messages de texte, touchez et
maintenez votre doigt sur le texte sélectionné.
Pour annuler une modi?cation, remuez l’iPhone
puis tapotez sur le bouton Annuler.
Sonnerie/
Silencieux
Volume
Augmenter/
Diminuer
Marche/
Veille
Suspendre/
Réactiver
Barre d’état
Accueil
182321 Apple C_xx034-4989 04.10.09 HW 1
DIE
INDESIGN CS3
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630mm x 116mm flat
n/a
n/a
1:1 (output at 100%)
Myriad Set
NOTES: •keylines/fold marks do NOT print
•built at 100%
•cyan type: 100% Cyan
•red rings: 100% Magenta and 100% Yellow
•black type: 100K
•art: 4/c; hires 3
Inks: 4/0 CMYK
Studio Designer:
Buddy Check (QC):
Graphic Designer:
GD Editor:
Writer:
Dan Talbert
Leslie Brugal
Yoo Lee
Teri Thomas
Project Manager:
Traffic Manager:
Production Manager:
Creative Director:
Caelan Stack
Dan Cohen
Kay Maston
Jamie Roberts
Project Manager:
Product Manager:
Marcom Editor:
Legal:
Evelyn Seto
Teri Thomas
Printout Scale: 100%
Apple Computer 1 In?nite Loop Cupertino, CA 95014 phone: 408 974-1361 Date: 4/10/9
Marcom
Date Initials OK ’s Date Initials OK ’s Date Initials OK ’s
Apple Con?dential
Google, le logo Google et Google Maps sont des marques de Google Inc. Lovers in Japan de Coldplay est disponible sur iTunes.
Tele Atlas® Map data © 2009. Tous droits réservés.
Google, le logo Google et Google Maps sont des marques de Google Inc.
Tele Atlas® Map data © 2009. Tous droits réservés.
L’App Store est disponible dans certains pays.
*La messagerie vocale visuelle et les MMS peuvent ne pas être
disponibles dans toutes les régions. Pour en savoir plus, contactez
votre fournisseur de service sans ?l.
Certaines fonctionnalités peuvent ne pas être disponibles dans toutes
les régions.
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iPod, iTunes, Mac et Safari sont des marques d’Apple Inc. déposées aux
États-Unis et dans d’autres pays. iPhone et Spotlight sont des marques
déposées d’Apple Inc. App Store est une marque de service d’Apple Inc.
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être des marques de leurs détenteurs respectifs. Conçu par Apple en
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web (image ou texte) pour l’agrandir. Tapotez
à nouveau deux fois pour revenir à la taille
normale. Touchez le bouton Multi-page pour
feuilleter plusieurs pages web ou en ouvrir une
nouvelle. Faites pivoter l’iPhone pour visualiser
la page web au format grand écran.
Rechercher un lieu. Effectuer des recherches
dans les environs.
Pour situer où vous vous trouvez sur une carte,
touchez le bouton Localisation. Un cercle bleu
ou un point apparaît, signalant votre position à
cet instant. Recherchez des lieux précis dans les
alentours en écrivant des mots comme
« Starbucks » ou « pizza » dans le champ de
recherche. Tapotez deux fois pour activer le
zoom. Tapotez une fois avec deux doigts pour
désactiver le zoom.
Contrôles de vidéo et de morceaux.
Touchez l’écran pour afficher les contrôles à
l’écran. Touchez-le à nouveau pour les masquer.
Le fait de tapoter deux fois sur une vidéo
permet de passer d’un affichage grand écran
à un affichage plein écran. Lors de l’écoute de
morceaux de musique avec les écouteurs sans
?l, appuyez sur le bouton central une fois pour
mettre en pause ou en lecture, et appuyez
rapidement deux fois pour passer au morceau
suivant.
Perfectionner ses connaissances.
Vous pouvez regarder des démonstrations
et perfectionner vos connaissances sur les
fonctionnalités de l’iPhone en vous rendant
sur la page web www.apple.com/fr/iphone.
Pour lire le Guide de l’utilisateur de
l’iPhone sur votre iPhone, rendez-vous
sur help.apple.com/iphone ou dans les
signets de Safari. Pour obtenir des versions
téléchargeables du Guide de l’utilisateur
de l’iPhone et du Guide d’informations
importantes sur le produit, visitez
www.apple.com/fr/support/iphone.
Obtenir de l’assistance.
Contactez votre fournisseur de service sans ?l
pour obtenir une assistance sur les services
liés au réseau, y compris la messagerie vocale
visuelle et la facturation.*
Rendez-vous sur
www.apple.com/fr/support/iphone pour
obtenir une assistance technique sur l’iPhone
et iTunes.
Parcours de votre musique dans Cover Flow.
Faites pivoter votre iPhone pour faire dé?ler vos
pochettes d'albums dans Cover Flow. Tapotez
sur n’importe quel album pour visualiser sa liste
de pistes, puis touchez-en une pour l’écouter.
Tapotez à l’extérieur de la liste de pistes pour
revenir à la pochette de l’album.
Recherche avec Spotlight.
Pour utiliser la recherche Spotlight, allez à l’écran
d’accueil et appuyez sur le bouton Accueil ou
passez le doigt sur l’écran de gauche à droite.
Écrivez ce que vous voulez rechercher (un
nom, un mot clé, une chanson, un artiste ou
le titre d’un ?lm). L’iPhone vous propose des
suggestions au fur et à mesure que vous écrivez
pour accélerer encore plus votre recherche. Pour
lancer des recherches depuis une application
comme Mail, Contacts ou iPod, touchez la barre
d’état.
Obtenir des itinéraires.
Dans Plans, tapotez sur Itinéraires puis saisissez
les points de départ et d’arrivée. Vous pouvez
utiliser votre lieu actuel, saisir une adresse ou
en sélectionner une depuis vos contacts ou
des emplacements placés dans les signets.
Touchez Itinéraire pour afficher les itinéraires
de conduite. Touchez le bouton Marche pour
obtenir les itinéraires à pied, ou Bus pour afficher
les itinéraires et horaires des bus. L’iPhone peut
suivre et afficher votre progression le long de
n’importe quel itinéraire que vous suivez.
Voir des photos.
Chargez vos photos favorites dans l’iPhone
depuis votre ordinateur en utilisant iTunes, ou
utilisez l’appareil photo intégré pour prendre
des photos. Passez le doigt sur l’écran vers la
droite ou la gauche pour vous déplacer entre les
images. Tapotez deux fois pour activer le zoom.
Tapotez une fois pour afficher les contrôles
à l’écran. Tapotez sur le bouton Action pour
envoyer une photo dans un MMS ou un courrier
électronique, pour l'utiliser comme fond d’écran
ou pour l’assigner à un contact.
Accéder à l’App Store.
Tapotez sur l’icône App Store pour naviguer sans
?l parmi des dizaines de milliers d’applications
pouvant être regroupées sous les catégories
jeux, travail, voyage, réseaux sociaux, etc.
Parcourez-les par Sélection, Genres ou Top 25,
ou lancez une recherche par nom. Pour acheter
et télécharger une application directement
sur votre iPhone, touchez Acheter. Beaucoup
d’applications sont gratuites.
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iPad
Manual do Usuário
Para o Software iOS 4.39 Capítulo 1: Visão Geral
9 Visão Geral do
10 Botões
12 Bandeja do cartão Micro-SIM
12 Tela de Início
17 Tela Multi-Touch
18 Teclado da Tela
24 Capítulo 2: Introdução
24 Requisitos
24 Como Configurar o iPad
25 Como Sincronizar com o iTunes
30 Como Conectar-se à Internet
32 Como adicionar Mail, Contatos e Contas do Calendário
34 Como desconectar o iPad de seu computador
34 Como visualizar o Manual do Usuário do iPad
34 Bateria
36 Utilização e Limpeza do iPad
38 Capítulo 3: Noções básicas
38 Como Utilizar os Apps
42 Impressão
45 Como fazer uma busca
46 Como usar os dispositivos Bluetooth
47 Compartilhamento de Arquivos
48 Como usar o AirPlay
48 Recursos de segurança
50 Capítulo 4: Safari
50 Sobre o Safari
50 Como Visualizar Páginas Web
54 Como Buscar na Web
54 Favoritos
55 Web Clips
2
ConteúdoConteúdo 3
56 Capítulo 5: Mail
56 Sobre o Mail
56 Como Configurar Contas de E-mail
57 Como Enviar um e-mail
58 Como Verificar e Ler E-mails
62 Como Buscar E-mails
62 Para imprimir mensagens e anexos
63 Como Organizar os E-mails
64 Capítulo 6: Câmera
64 Sobre a Câmera
65 Como tirar fotos e gravar vídeos
66 Como visualizar e compartilhar fotos e vídeos
66 Como recortar vídeos
67 Para carregar fotos e vídeos em seu computador
68 Capítulo 7: FaceTime
68 Sobre o FaceTime
69 Como iniciar a sessão
70 Como realizar uma videoconferência do FaceTime
70 Enquanto você está falando
71 Capítulo 8: Photo Booth
71 Sobre o Photo Booth
71 Como selecionar um efeito
72 Como tirar uma foto
73 Como visualizar e compartilhar fotos
73 Como carregar fotos para o seu computador
74 Capítulo 9: Fotos
74 Sobre as fotos
74 Como sincronizar fotos e vídeos com o seu computador
75 Como importar fotos e vídeos do iPhone ou de uma câmera digital
76 Como visualizar fotos e vídeos
78 Compartilhamento de Fotos
80 Como Atribuir uma Foto a um Contato
81 Como imprimir fotos
81 Fotos de Imagem de Fundo e da Tela de Bloqueio
81 Utilização de Porta-Retrato
83 Capítulo 10: Vídeos
83 Sobre Vídeos
84 Como Reproduzir Vídeos
85 Como Controlar a Reprodução do Vídeo4 Conteúdo
86 Sincronização de Vídeos
86 Como Assistir a Filmes Alugados
87 Como Assistir Vídeos em uma TV
87 Como apagar vídeos do iPad
88 Capítulo 11: YouTube
88 Como Buscar e Visualizar Vídeos
89 Como Controlar a Reprodução do Vídeo
91 Como gerenciar os vídeos
91 Como Assistir o YouTube em uma TV
92 Capítulo 12: Calendário
92 Sobre o Calendário
92 Como Sincronizar Calendários
93 Como adicionar, editar e apagar eventos do calendário
93 Como Visualizar seus Calendários
95 Como buscar nos calendários
95 Como Assinar Calendários
96 Como Responder a Convites de Reuniões
97 Como importar arquivos do Calendário a partir do Mail
97 Alertas
98 Capítulo 13: Contatos
98 Sobre os Contatos
99 Como Sincronizar e Adicionar Contatos
99 Como Buscar Contatos
100 Como gerenciar contatos
100 Como Utilizar as Informações de um Contato
101 Contatos Unificados
102 Capítulo 14: Notas
102 Como Escrever e Ler Notas
103 Como buscar notas
103 Como Enviar Notas por E-Mail
103 Para sincronizar as notas
104 Capítulo 15: Mapas
104 Sobre os Mapas
105 Como Buscar e Visualizar Localizações
110 Como Obter Itinerários
111 Como Mostrar as Condições de Tráfego
111 Como Buscar e Contatar Empresas
113 Como Compartilhar Informações de LocalizaçãoConteúdo 5
114 Capítulo 16: iPod
114 Como adicionar música e mais ao iPad
114 Reprodução de Música e Outros Áudios
119 Utilização de Listas
121 Compartilhamento Familiar
122 Transferência de Conteúdo
123 Capítulo 17: iTunes Store
123 Sobre a iTunes Store
123 Transferência de Conteúdo
124 Como buscar músicas, vídeos e muito mais
124 Como Seguir Artistas e Amigos
126 Como comprar música ou audiolivros
127 Como comprar e alugar vídeos
127 Como Ouvir ou Assistir Podcasts
128 Como verificar o estado de uma transferência
128 Sincronização de Conteúdo
129 Como verificar as informações do ID da Apple
129 Como Verificar suas Compras
130 Capítulo 18: App Store
130 Sobre a App Store
130 Como Navegar e Buscar
131 Como Obter Mais Informações
131 Como comprar aplicativos
132 Como Utilizar os Apps
133 Como Atualizar Apps
133 Como escrever opiniões
134 Como Apagar Apps
134 Como Sincronizar Compras
135 Capítulo 19: iBooks
135 Sobre o iBooks
136 Como Sincronizar Livros e PDFs
137 Como Utilizar a iBookstore
137 Como Ler Livros
138 Como ler PDFs
139 Como Alterar a Aparência de um Livro
139 Como sincronizar livros e PDFs
140 Como Procurar a Definição de uma Palavra
140 Como fazer para que o livro seja lido
140 Como imprimir ou enviar um PDF por e-mail
140 Para organizar a estante de livros6 Conteúdo
142 Capítulo 20: Game Center
142 Sobre o Game Center
142 Como configurar o Game Center
144 Jogos
147 Amigos
148 Seu estado e as informações da conta
149 Controles Parentais
150 Capítulo 21: Acessibilidade
150 Recursos de Acesso Universal
151 VoiceOver
162 Zoom
163 Texto Grande
163 Branco sobre Preto
164 Áudio Mono
164 Falar texto automático
164 Clique Triplo em Início
164 Legendas Ocultas e Outros Recursos Úteis
166 Capítulo 22: Ajustes
166 Sobre os Ajustes
166 Modo Avião
167 VPN
167 Wi-Fi
168 Notificações
169 Serviços de Localização
169 Operadora
170 Dados do Celular
170 Brilho e Imagem de Fundo
170 Porta-retrato
171 Geral
179 Mail, Contatos, Calendários
183 Safari
184 iPod
185 Vídeo
186 Fotos
186 FaceTime
186 Notas
187 Loja
188 Apêndice A: O iPad na Empresa
188 O iPad no Trabalho
188 Utilização de Perfis de ConfiguraçãoConteúdo 7
189 Como Configurar Contas do Microsoft Exchange
189 Acesso VPN
190 Contas LDAP e CardDAV
191 Apêndice B: Teclados Internacionais
191 Como adicionar teclados
191 Como alternar teclados
192 Chinês
194 Japonês
194 Coreano
195 Vietnamita
195 Como criar dicionários
196 Apêndice C: Dicas e Solução de Problemas
196 Dicas e Solução de Problemas
198 iTunes e Sincronização
198 Backup do iPad
199 Como atualizar e restaurar o software do iPad
201 Safari, Mail e Contatos
203 Som, Música e Vídeo
205 FaceTime
205 iTunes Store e App Store
206 Como reiniciar e redefinir o iPad
206 Se o iPad não responder mesmo depois de ser reiniciado
207 Informações Sobre Segurança, Serviços e Softwares
207 Informações sobre descarte e reciclagem
208 A Apple e o meio ambiente 9
Leia este capítulo para obter informações sobre os recursos do iPad, sobre como usar
os controles e outros temas.
Visão Geral do
Tela Multi-Touch
Barra de estado
Início
Câmera frontal
Ícones de
aplicativos
Alto-falante
Bandeja Micro-SIM
(em alguns modelos)
Microfone Tomada do fone
de ouvido
Botões
de volume
Interruptor
Lateral
Repouso/
Despertar
Conector Dock
Câmera
posterior
1
Visão Geral Acessórios
Adaptador de alimentação Cabo de Conector Dock a USB
USB de 10 W
Item O que você pode fazer com ele
Adaptador de alimentação USB de 10 W Use o adaptador de alimentação USB de 10 W
para ligar o iPad à corrente elétrica e carregar a
bateria.
Cabo de Conector Dock a USB Use este cabo para conectar o iPad ao seu computador para sincronizar, ou ao adaptador de
alimentação USB de 10 W para carregá-lo. Use o
cabo com o Dock opcional do iPad ou conecte-o
diretamente ao iPad.
Botões
Alguns botões simples facilitam a ativação e desativação do iPad e o ajuste do volume.
Botão Repousar/Despertar
Você pode bloquear o iPad colocando-o no modo de repouso quando não o estiver
usando. Quando você bloqueia o iPad, não acontece nada ao tocar a tela, mas a música continua tocando e você pode usar os botões de volume.
Botão Repousar/
Despertar
Bloquear a tela do iPad Pressione o botão Repousar/Despertar.
Para desbloquear o iPad Pressione o botão Início ou o botão Repousar/
Despertar e depois arraste o controle deslizante.
Para desligar o iPad Mantenha pressionado o botão Repousar/
Despertar por alguns segundos até que o controle deslizante vermelho apareça, depois arraste o
controle.
Ligar o iPad Mantenha pressionado o botão Repousar/
Despertar até que o logotipo da Apple apareça.
10 Capítulo 1 Visão GeralCapítulo 1 Visão Geral 11
Se você não tocar na tela por um minuto, o iPad se bloqueia automaticamente. Para alterar este ajuste, consulte “Bloqueio Automático” na página 173. Se você deseja utilizar
uma senha para desbloquear o iPad, consulte “Bloqueio por Código” na página 173.
Você pode usar o Smart Cover do iPad, disponível separadamente, para desbloquear
automaticamente o iPad 2 quando abrir a capa e bloquear o iPad 2 quando fechá-la.
Consulte “Bloqueio/Desbloqueio da capa do iPad” na página 174.
Botões de Volume
Use os botões de volume para ajustar o volume de áudio das músicas e de outras mí-
dias, e dos avisos e efeitos sonoros.
Botões de
volume
Interruptor
Lateral
Para aumentar o volume Pressione o botão Aumentar Volume. Para definir
um limite de volume para música e outras mídias,
escolha iPod > Limite de Volume.
Para diminuir o volume Pressione o botão Diminuir Volume.
Para silenciar o som Mantenha pressionado o botão Diminuir Volume
para silenciar o áudio ou a reprodução de vídeo.
Suprimir notificações e efeitos sonoros Deslize o interruptor lateral para baixo para
silenciar as notificações e efeitos sonoros. Este
interruptor não silencia o áudio ou a reprodução
de vídeo. Consulte “Sons” na página 171.
Você também pode usar o interruptor lateral para bloquear a rotação da tela. Em
Ajustes, escolha Geral > Usar Interruptor Lateral… e, em seguida, toque em Bloquear
Rotação. Consulte “Interruptor Lateral” na página 176.
ADVERTÊNCIA: Para obter informações importantes sobre como evitar a perda
de audição, consulte o Manual de Informações Importantes do Produto iPad no site
support.apple.com/pt_BR/manuals/ipad. Bandeja do cartão Micro-SIM
O cartão micro-SIM em alguns modelos do iPad Wi-Fi + 3G é usado para dados de
celular. Também é conhecido como um SIM 3FF (third form factor). Se o seu cartão
micro-SIM não tiver sido pré-instalado ou se você mudar de provedor de dados de celular, talvez tenha que instalar ou substituir o cartão micro-SIM.
Ferramenta
de ejeção
do SIM
Cartão Micro-SIM
Bandeja
SIM
Para abrir a bandeja do SIM:
1 Introduza a ponta da ferramenta de ejeção do SIM no orifício da bandeja do SIM.
Pressione com firmeza, empurrando para dentro até que a bandeja salte para fora. Se
você não tiver uma ferramenta de ejeção do SIM, use a ponta de um clipe de papel.
2 Puxe a bandeja do SIM para instalar ou substituir o cartão micro-SIM.
Para obter mais informações, consulte “Como conectar-se a uma Rede de Dados de
Celular ” na página 31.
Tela de Início
Pressione o botão Início a qualquer momento para ir para a tela Início, que contém
os aplicativos do seu iPad. Toque em qualquer ícone para abrir o aplicativo.
Ícones de Estado
Os ícones da barra de estado situada na parte superior da tela fornecem informações
sobre o iPad:
12 Capítulo 1 Visão GeralCapítulo 1 Visão Geral 13
Ícone de estado O que significa
Modo Avião Mostra que o modo avião está ativado—você
não pode acessar a Internet, ou utilizar dispositivos Bluetooth®. Os recursos que não utilizam uma conexão sem fio estão disponíveis.
Consulte “Modo Avião” na página 166.
3G Mostra que a rede 3G da sua operadora (iPad
Wi-Fi + 3G) está disponível e que você pode
conectar-se à Internet via 3G. Consulte “Como
Conectar-se à Internet” na página 30.
EDGE Mostra que a rede EDGE da sua operadora
(em alguns modelos do iPad Wi-Fi + 3G) está
disponível e que você pode conectar-se à
Internet via EDGE. Consulte “Como Conectar-se
à Internet” na página 30.
GPRS Mostra que a rede GPRS da sua operadora
(em alguns modelos do iPad Wi-Fi + 3G) está
disponível e que você pode conectar-se à
Internet via GPRS. Consulte “Como Conectar-se
à Internet” na página 30.
Wi-Fi Mostra que o iPad possui uma conexão à
Internet Wi-Fi. Quanto mais barras, melhor
a conexão. Consulte “Como Conectar-se à
Internet” na página 30.
Atividade Mostra a rede e outras atividades. Talvez alguns
aplicativos de outros fabricantes também utilizem este ícone para indicar um processo ativo.
VPN Mostra que você está conectado a uma rede
usando VPN. Consulte “VPN” na página 167.
Cadeado Mostra que o iPad está bloqueado. Consulte
“Botão Repousar/Despertar” na página 10.
Bloqueio de orientação da tela Mostra que a orientação da tela está bloqueada. Consulte “Visualização na Vertical ou
Horizontal” na página 16.
Reproduzir Mostra que uma música, audiolivro ou podcast
está sendo reproduzido. Consulte “Reprodução
de Músicas” na página 115.
Bluetooth Ícone branco: o Bluetooth está ativado e há um
dispositivo, como um headset ou um teclado,
conectado. Ícone cinza: o Bluetooth está ativado, mas nenhum dispositivo está conectado.
Sem ícone: o Bluetooth está desativado.
Bateria Mostra o nível da bateria ou o estado da
carga. Consulte “Como Carregar a Bateria” na
página 35.Aplicativos do iPad
Os seguintes aplicativos estão incluídos no iPad:
Safari
Navegue por sites na Internet. Gire o iPad de lado para visualizar em formato panorâ-
mico. Toque duas vezes para ampliar ou reduzir—o Safari ajusta automaticamente a
coluna da página web na tela. Abra várias páginas. Sincronize favoritos com o Safari ou
com o Microsoft Internet Explorer em seu computador. Adicione web clipes do Safari à
tela Início para acesso rápido aos sites favoritos. Salve imagens de sites na sua Fototeca.
Imprima as páginas web usando o AirPrint. Consulte Capítulo 4,“Safari,” na página 50.
Mail
Envie e receba o correio usando vários dos serviços de e-mails mais populares,
Microsoft Exchange ou serviços de correio POP3 e IMAP padrão da indústria. Envie
e salve fotos. Visualize arquivos PDF e outros anexos, ou abra-os em outros aplicativos. Imprima mensagens e anexos usando o AirPrint. Consulte Capítulo 5,“Mail,” na
página 56.
Fotos
Organize as suas fotos e vídeos favoritos em álbuns. Assista uma apresentação de slides. Amplie para obter uma visão mais de perto. Compartilhe fotos e vídeos usando o
correio ou o MobileMe (vendido separadamente), ou imprima fotos usando o AirPrint.
Consulte Capítulo 9,“Fotos,” na página 74.
iPod
Sincronize com a biblioteca do seu iTunes e ouça suas músicas, audiolivros e podcasts no iPad. Crie e gerencie listas ou use o Genius para criar listas para você. Escute
Seleções do Genius a partir de músicas da sua biblioteca. Use o Compartilhamento
Familiar para reproduzir música do seu computador. Transmita a sua música ou vídeos
sem fio para um Apple TV ou sistema de áudio compatível usando o AirPlay. Consulte
Capítulo 16,“iPod,” na página 114.
Calendário
Mantenha o seu calendário atual no iPad ou sincronize-o com o seu Mac OS X
ou calendário do Windows. Inscreva-se em calendários de terceiros. Sincronize
pela Internet com os servidores do Microsoft Exchange ou CalDAV. Consulte
Capítulo 12,“Calendário,” na página 92.
Contatos
Organize a sua agenda e mantenha-a atualizada no iPad, ou sincronize-a com o seu
Mac OS X ou agenda do Windows. Sincronize sem fio com o MobileMe (vendido separadamente), Contatos do Google, Yahoo! Agenda e Microsoft Exchange. Consulte
Capítulo 13,“Contatos,” na página 98.
Notas
Faça notas breves—lembretes, lista de compras, ideias brilhantes. Envie-as por e-mail.
Sincronize as notas com o Mail, com o Microsoft Outlook ou com o Outlook Express.
Consulte Capítulo 14,“Notas,” na página 102.
Mapas
Consulte uma visualização clássica, de satélite, de terreno ou híbrida de locais ao
redor do mundo. Amplie para dar uma olhada mais de perto ou verifique o Google
Street View. Encontre a sua localização atual. Obtenha itinerários detalhados para
dirigir, itinerários para ir a pé, informações sobre transporte público e veja as condições atuais de tráfego nas autoestradas. Para buscar empresas na área: Consulte
Capítulo 15,“Mapas,” na página 104.
14 Capítulo 1 Visão GeralCapítulo 1 Visão Geral 15
Vídeos
Reproduza filmes, programas de TV, podcasts e vídeos da biblioteca do seu iTunes
ou da sua coleção de filme. Compre ou alugue filmes no iPad usando a iTunes Store.
Transfira podcasts de vídeo. Consulte Capítulo 10,“Vídeos,” na página 83.
YouTube
Reproduza vídeos da coleção on-line do YouTube. Procure qualquer vídeo ou navegue
pelos vídeos mais visualizados, mais recentemente atualizados e melhor classificados.
Configure e inicie a sessão na sua conta do YouTube e depois classifique vídeos, sincronize seus favoritos, mostre assinaturas e muito mais. Consulte Capítulo 11,“YouTube,” na
página 88.
iTunes
Busque músicas, audiolivros, programas de TV, vídeos de música e filmes na iTunes
Store. Explore, visualize, compre e transfira novos lançamentos, itens mais vendidos e
muito mais. Compre ou alugue filmes e programas de TV para assistir no iPad. Transfira
podcasts. Leia opiniões ou escreva suas próprias opiniões sobre seus itens favoritos da
loja. Consulte Capítulo 17,“iTunes Store,” na página 123.
App Store
Busque na App Store aplicativos para comprar ou transferir. Leia ou escreva suas pró-
prias opiniões sobre seus aplicativos favoritos. Transfira e instale o aplicativo na sua tela
de Início. Consulte Capítulo 18,“App Store,” na página 130.
Game
Center
Descubra novos jogos e compartilhe suas experiências com eles com seus amigos.
Convide um amigo ou comece uma partida com outro oponente. Consulte os rankings
do jogador nos quadros de classificação. Ganhe pontos extras para cada proeza do
jogo. Consulte Capítulo 20,“Game Center,” na página 142.
FaceTime
Realize videoconferências para outros usuários do FaceTime através de Wi-Fi. Use a
câmera frontal para conversar cara a cara ou a câmera posterior para compartilhar o
que você está vendo. Consulte Capítulo 7,“FaceTime,” na página 68.
Câmera
Tire fotos e grave vídeos. Veja-os no iPad, envie-os por e-mail ou carregue-os no seu
computador, ou Internet. Toque para definir a exposição. Recorte e salve videoclipes.
Envie vídeos diretamente ao YouTube ou MobileMe. Consulte Capítulo 6,“Câmera,” na
página 64.
Photo
Booth
Use a câmera frontal ou posterior para tirar uma instantânea. Adicione um efeito especial, como um giro ou estiramento, antes de tirar uma instantânea. As instantâneas
são salvas em um álbum no aplicativo de Fotos. Consulte Capítulo 8,“Photo Booth,” na
página 71.
Ajustes
Personalize os ajustes do iPad em um lugar prático — rede, correio, web, música, vídeo,
fotos e outros. Configure a moldura, contas de correio, contatos e calendários. Gerencie
a sua conta de dados celular (iPad Wi-Fi + 3G). Defina um bloqueio automático e um
código de segurança. Consulte Capítulo 22,“Ajustes,” na página 166.
Adicionalmente, você pode obter os seguintes aplicativos da App Store no iPad:iBooks
Transfira o aplicativo iBooks gratuito da App Store. Toque no botão da loja e navegue por milhares de livros ePub e PDF—muitos deles grátis. Imprima PDFs usando o
AirPrint. Use favoritos e destaques para salvar o seu lugar e anotar suas passagens favoritas. Consulte Capítulo 19,“iBooks,” na página 135.
Pages
Use os gestos Multi-Touch para criar e compartilhar documentos no iPad. Crie cartas,
folhetos, brochuras, relatórios e muito mais. Inicie um documento no iPad e termine-o
no seu computador. Você pode comprar o aplicativo Pages na App Store.
Numbers
Crie planilhas com tabelas, gráficos, fotos e texto. Com poucos toques, você pode organizar dados, executar cálculos e gerenciar listas. O Numbers oferece modelos ou você
pode escolher o modelo em branco para criar uma planilha única. Você pode comprar
o aplicativo Numbers na App Store.
Keynote
Escolha os temas do Keynote para criar uma apresentação. Adicione fotos e vídeos do
aplicativo Photos; organize dados com tabelas e gráficos; e quando a sua apresentação
estiver pronta, use a visualização em tela cheia para reproduzi-la no iPad. Importe as
apresentações do Keynote que você criar no seu computador. Você pode comprar o
aplicativo Keynote na App Store.
Nota: A funcionalidade e disponibilidade dos aplicativos pode variar dependendo de
onde você comprou e vai utilizar o iPad.
Visualização na Vertical ou Horizontal
Você pode visualizar os aplicativos integrados ao iPad tanto na orientação vertical
como na horizontal. Gire o iPad e a tela gira também, ajustando-se automaticamente
para se encaixar na nova orientação.
Talvez você prefira a orientação paisagem para visualizar as páginas da web no Safari,
por exemplo, ou ao digitar texto. As páginas da web são automaticamente dimensionadas para a tela maior, deixando o texto e as imagens maiores. O teclado na tela
também se torna maior, o que pode ajudar a aumentar sua velocidade e precisão de
digitação. Bloqueie a orientação da tela se desejar impedir que ela gire.
Para bloquear a tela do na orientação vertical ou horizontal: Clique duas vezes no
botão Início para visualizar a barra de estado do multi-tarefas e, em seguida, passe o
dedo da esquerda para a direita. Toque no para bloquear a orientação da tela.
16 Capítulo 1 Visão GeralCapítulo 1 Visão Geral 17
Você também pode configurar o Interruptor Lateral para bloquear a orientação da tela
em vez de silenciar os efeitos sonoros e notificações. Vá para Ajustes > Geral.
Tela Multi-Touch
Os controles da tela Multi-Touch mudam dinamicamente dependendo da tarefa que
você está executando. Para controlar o iPad, use os seus dedos executar o toque,
toque-duplo e deslizar.
Como ajustar o brilho
Para ajustar o brilho da tela, clique duas vezes no botão Início para visualizar a barra
de estado de multi-tarefas. Passe o dedo da esquerda para a direita e, em seguida, arraste o controle de brilho.
Brilho
Você pode usar a opção Brilho Automático para ajustar automaticamente o brilho da
tela. Nos Ajustes, escolha Brilho e Imagem de Fundo e, sem seguida, ative ou desative a
opção Brilho Automático. Consulte “Brilho e Imagem de Fundo” na página 170.
Como usar listas
Algumas listas possuem um índice na parte lateral, o qual ajuda você a navegar
rapidamente.
ÍndicePara buscar itens em uma lista indexada: Toque em uma letra para ir para os itens
que começam por essa letra. Arraste o seu dedo ao longo do índice para rolar rapidamente pela lista.
Para escolher um item: Toque em um item da lista.
Dependendo da lista, ao tocar em um item você pode realizar coisas diferentes—por
exemplo, pode abrir uma nova lista, reproduzir uma música, abrir uma mensagem de
e-mail ou mostrar a informação de contato de alguém para que você possa ligar para
aquela pessoa.
Para retornar para uma lista anterior: Toque no botão Voltar no canto superior
esquerdo.
Como Ampliar ou Reduzir
Ao visualizar fotos, páginas web, e-mail ou mapas, você pode usar o zoom para ampliar ou reduzir. Toque a tela com dois dedos e separe-os ou aproxime-os. Para fotos e
páginas web, você pode realizar um toque duplo (tocar duas vezes rapidamente) para
ampliar e depois dar novamente um toque duplo para reduzir. Para mapas, realize um
toque duplo para ampliar e toque uma vez com dois dedos para reduzir.
O zoom também é um recurso de acessibilidade que permite ampliar a tela de
qualquer aplicativo que você estiver utilizando e o ajuda a ver o que há nessa tela.
Consulte “Zoom” na página 162.
Teclado da Tela
O teclado na tela aparece automaticamente sempre que você precise digitar. Use o
teclado para digitar textos, como informações de contato, e-mail e endereços da web.
O teclado corrige erros de digitação, antecipa o que você está digitando e aprende a
medida em que você o usa.
18 Capítulo 1 Visão GeralCapítulo 1 Visão Geral 19
Você também pode usar um teclado Apple Wireless Keyboard para digitar. Quando
você utiliza um teclado externo, o teclado na tela não aparece. Consulte “Como Utilizar
um Teclado Apple Wireless Keyboard” na página 20.
Como Digitar
Dependendo do app que você estiver usando, o teclado inteligente pode sugerir automaticamente correções enquanto você digita para ajudá-lo a evitar palavras com erro
de digitação.
Para digitar texto:
1 Toque em um campo de texto, como em uma nota ou um novo contato, para mostrar
o teclado.
2 Toque nas teclas do teclado.
Se tocar na tecla errada, você pode deslizar seu dedo para a tecla certa. A letra não é
digitada até que você retire o dedo da tecla.
Para usar a tecla Retroceder para apagar o caractere anterior
Toque na .
Digitar rapidamente um ponto final e espaço Toque duas vezes na barra de espaço.
Você pode ativar ou desativar esse recurso em
Configurações > Geral > Teclado.
Digitar em letras maiúsculas Toque na tecla Maiúsculas antes de tocar uma
letra. Ou toque e mantenha a tecla Maiúsculas
pressionada e deslize para uma letra.Ativar o comando fixar maiúsculas Toque duas vezes na tecla Maiúsculas . A
tecla Maiúsculas fica azul e todas as letras que
digitar ficarão em letras maiúsculas. Toque a
tecla Maiúsculas para desativar o comando fixar
maiúsculas.
Você pode ativar ou desativar esse recurso em
Configurações > Geral > Teclado.
Mostrar números, sinais de pontuação ou
símbolos
Toque na tecla de Números . Toque na tecla
Symbol para visualizar pontuação e símbolos
adicionais.
Para usar um teclado internacional Mantenha o toque sobre a tecla Próximo Teclado
para exibir um menu de idiomas e depois
toque no idioma. Consulte Apêndice B,“Teclados
Internacionais,” na página 191.
Você pode adicionar ou remover teclados internacionais em Ajustes > Geral > Teclado.
Digite letras ou símbolos que não estão no
teclado
Toque e mantenha pressionada a letra ou símbolo relacionado, depois deslize para escolher uma
variação.
Para ocultar o teclado na tela Toque na tecla Teclado para ocultar o teclado
na tela.
Como Utilizar um Teclado Apple Wireless Keyboard
Para facilitar a digitação, você pode utilizar o Apple Wireless Keyboard com o iPad.
O teclado Apple Wireless Keyboard conecta-se através do Bluetooth e, para isso, você
deverá emparelhar o teclado com o iPad. Consulte “Como Emparelhar Dispositivos
Bluetooth” na página 46.
Uma vez que o teclado esteja emparelhado com o iPad, ele se conecta sempre que o
teclado estiver no raio de alcance (até 10 metros). Você poderá saber que o teclado
está conectado se o teclado da tela não aparecer quando você tocar em um campo de
texto.
Para alternar o idioma ao utilizar um teclado de hardware:Mantenha pressionada
a tecla Comando e, em seguida, toque na barra de espaços para exibir uma lista de
idiomas disponíveis. Toque na barra de espaço novamente para selecionar um idioma
diferente.
Para desconectar um teclado sem fio do iPad: Mantenha pressionado o botão de for-
ça do teclado até que a luz verde se apague.
O iPad desconecta o teclado quando ele estiver fora de alcance.
Para desemparelhar um teclado sem fio do iPad: Em Ajustes, selecione Geral
> Bluetooth, toque ao lado do nome do dispositivo e, em seguida, toque em
"Esquecer este Dispositivo".
20 Capítulo 1 Visão GeralCapítulo 1 Visão Geral 21
É possível aplicar leiautes diferentes a um teclado sem fio. Consulte
Apêndice B,“Teclados Internacionais,” na página 191 e “Leiautes de Teclado” na
página 23.
Dicionário
Para vários idiomas, o iPad possui dicionários que podem ajudá-lo a digitar. O dicionário adequado é ativado automaticamente quando você seleciona um teclado
compatível.
Para ver uma lista de idiomas compatíveis, nos Ajustes, escolha Geral > Internacional >
Teclados.
O iPad usa o dicionário ativo para sugerir correções ou para completar a palavra que
você está digitando. Você não precisa interromper a digitação para aceitar a palavra
sugerida.
Para aceitar ou rejeitar as sugestões do dicionário:
m Para rejeitar a palavra sugerida, termine a digitação da palavra como desejar e depois
toque na sugestão para descartá-la antes de digitar qualquer outra coisa. Cada vez que
você rejeitar uma sugestão para a mesma palavra, o iPad fica mais propenso a aceitar a
sua palavra.
m Para usar a palavra sugerida, digite um espaço, um sinal de pontuação ou a tecla
retorno.
Para redefinir sugestões do dicionário: Nos Ajustes, escolha Geral > Redefinir >
Redefinir Dicionário do Teclado. Isso redefine todas as sugestões que você tenha feito
ao dicionário.
Para ativar ou desativar a Correção Automática: Nos Ajustes, escolha Geral > Teclado
e depois ative ou desative a opção Correção Automática. Normalmente, a Correção
Automática está ativada.Para ativar ou desativar o recurso “Falar texto automático”: Nos Ajustes, escolha
Geral > Acessibilidade e depois ative ou desative a opção Falar Texto Automático. A
opção Falar Texto Automático fala as sugestões de texto.
Nota: Se você estiver digitando caracteres em Chinês ou Japonês, toque em uma das
alternativas que o dicionário sugere.
Como Editar—Cortar, Copiar e Colar
A tela Multi-Touch facilita a alteração do texto digitado. Uma lente de aumento na tela
ajuda a posicionar o ponto de inserção exatamente onde você necessita. Os pontos de
captura do texto selecionado permitem selecionar rapidamente mais ou menos textos.
Também é possível cortar, copiar e colar textos e fotos com aplicativos, ou em múltiplos aplicativos.
Para posicionar o ponto de inserção: Toque e mantenha o dedo na tela para fazer a
lente de aumento aparecer e então arraste para posicionar o ponto de inserção.
Para selecionar texto: Toque no ponto de inserção para exibir os botões de seleção.
Toque em Selecionar para selecionar a palavra adjacente ou toque em Selecionar Tudo
para selecionar o texto inteiro. Você também pode tocar duas vezes em uma palavra
para selecioná-la. Em documentos somente para leitura tais como páginas web, mantenha o toque sobre a palavra para selecioná-la.
Arraste os pontos de seleção para selecionar mais ou menos texto.
Para cortar ou copiar texto: Selecione o texto e toque em Cortar ou Copiar.
Para colar texto: Toque no ponto de inserção depois toque em Colar para inserir o
último texto que você cortou ou copiou. Ou, selecione o texto, depois toque em Colar
para substituir o texto.
Para desfazer a última edição: Agite o iPad ou toque em Desfazer no teclado.
22 Capítulo 1 Visão GeralCapítulo 1 Visão Geral 23
Leiautes de Teclado
Você pode utilizar os Ajustes para definir os leiautes do teclado de software da tela e
para quaisquer teclados de hardware. Os leiautes disponíveis dependem do idioma do
teclado.
Para selecionar um leiaute de teclado: Em Ajustes, escolha Geral > Teclado > Teclados
Internacionais e, em seguida, selecione um teclado. Para cada idioma é possível fazer
seleções separadas tanto para os teclados de software na tela quanto para os teclados
de hardware externos.
O leiaute do teclado do software determina o leiaute do teclado da tela do iPad . O
leiaute do teclado do hardware determina o leiaute de um Teclado Apple Wireless
Keyboard conectado ao iPad.24
Conecte o iPad ao seu computador e use o iTunes para configurar, registrar e sincronizar conteúdo.
Requisitos
· ADVERTÊNCIA: Para evitar danos, leia todas as instruções de funcionamento deste
manual e as informações de segurança do iPad Manual de Informações Importantes
do Produto no site support.apple.com/pt_BR/manuals/ipad antes de usar o iPad.
Para usar o iPad, você precisa de:
 Um Mac ou PC com uma porta USB 2.0 e um dos seguintes sistemas operacionais:
 Mac OS X versão 10.5.8 ou posterior
 Windows 7, Windows Vista, ou Windows XP Home ou Profissional com Service Pack
3 ou posterior
 iTunes 10.2 ou posterior, disponível no site www.itunes.com/br/download/
 Um ID Apple
 Acesso de Internet de banda larga
Como Configurar o iPad
Antes de poder usar o iPad, você deve usar o iTunes para configurá-lo. Você também
pode registrar o iPad e criar um ID Apple (não disponível em alguns países) se ainda
não tiver um.
Para configurar o iPad:
1 Transfira e instale a última versão do iTunes do site www.itunes.com/br/download/.
2
IntroduçãoCapítulo 2 Introdução 25
2 Conecte o iPad à uma porta USB 2.0 do seu Mac ou PC usando o cabo que acompanha
o iPad.
3 Siga as instruções do iTunes na tela para registrar o iPad e sincronizar o iPad com mú-
sica, vídeo e outros conteúdos da biblioteca do seu iTunes, e com os contatos, calendá-
rios e favoritos no seu computador.
Na tela Como Configurar Seu iPad, selecione “Sincronizar automaticamente contatos,
calendários e favoritos” para sincronizar estes itens automaticamente quando conectar
o iPad ao seu computador.
Como Sincronizar com o iTunes
Use o iTunes para sincronizar sua música, vídeos, aplicativos transferidos e outros conteúdos da sua biblioteca do iTunes do seu computador. Você também pode sincronizar
os seus contatos, calendários e favoritos do navegador. O iTunes permite que você escolha as informações e conteúdo que você deseja sincronizar com o iPad. Por padrão,
o iTunes sincroniza-se automaticamente sempre que você conecta o iPad ao seu computador. Quando você sincroniza, você também pode transferir informações criadas ou
compradas no seu iPad para o seu computador.
Como configurar a sincronização
Você pode configurar o iTunes para sincronizar o seguinte:
 Música
 Filmes
 Programas de TV
 Jogos e aplicativos transferidos da App Store
 Vídeos musicais
 Podcasts
 Livros e audiolivros
 Coleções do iTunes U
 Fotos e vídeos (na pasta ou app de fotos do seu computador)
 Contatos—nomes, números de telefone, endereços, endereços de e-mail e mais Calendários—compromissos e eventos
 Notas
 Ajustes da conta de e-mail
 Favoritos de página web
Você pode configurar os ajustes de sincronização sempre que conectar o iPad ao seu
computador.
Sincronize suas músicas, audiolivros, podcasts, coleções do iTunes U, vídeos, livros e
aplicativos da sua biblioteca do iTunes. Se você ainda não tem conteúdo no iTunes, vá
para a iTunes Store (disponível em alguns países) para pré-visualizar e transferir conte-
údo para o iTunes. Você também pode adicionar as músicas dos seus CDs à sua biblioteca do iTunes. Para saber mais sobre o iTunes e a iTunes Store, abra o iTunes e escolha
Ajuda > Ajuda iTunes.
Os contatos, calendários, notas e páginas web favoritas são sincronizados com aplicativos no seu computador. Novas entradas ou modificações que você fizer no iPad serão
sincronizadas em seu computador e vice-versa.
O iTunes também permite que você sincronize fotos e vídeos de um aplicativo ou de
uma pasta.
Os ajustes das contas de e-mail são sincronizados apenas em uma direção, do app de
e-mail do seu computador para o iPad. Isso permite personalizar suas contas de e-mail
no iPad sem afetar os ajustes de contas de e-mail do seu computador.
Nota: Você pode também configurar contas de e-mail diretamente no iPad. Consulte
“Como adicionar Mail, Contatos e Contas do Calendário” na página 32.
As compras da iTunes Store e da App Store que você faz com o iPad são sincronizadas
com a biblioteca do iTunes no seu computador quando você conecta. Você também
pode comprar ou transferir conteúdo e aplicativos da iTunes Store para o seu computador e depois sincronizá-los no iPad.
26 Capítulo 2 IntroduçãoCapítulo 2 Introdução 27
Também é possível ajustar o iPad para sincronizar uma parte do que está em seu computador. Por exemplo, talvez você queira sincronizar somente algumas listas musicais
ou somente podcasts de vídeo que não foram vistos ainda.
Importante: Você deve iniciar a sessão com sua própria conta de usuário em seu computador antes de conectar o iPad.
Para configurar a sincronização do iTunes:
1 Conecte o iPad ao seu computador e abra o iTunes (se ele não abrir automaticamente).
2 No iTunes, selecione iPad na barra lateral.
3 Configure os ajustes de sincronização em cada um dos painéis de ajuste.
Consulte a seguinte seção para obter uma descrição de cada painel.
4 Clique em Aplicar no canto inferior direito da tela.
Por padrão, a opção “Abrir o iTunes quando este iPad estiver conectado" está
selecionada.
Painéis de ajuste do iPad no iTunes
As seguintes seções fornecem uma visão geral de cada um dos painéis de ajuste do
iPad. Para obter mais informações, abra o iTunes e escolha Ajuda > Ajuda iTunes.
Painel Resumo
Selecione “Abrir iTunes quando este iPad é conectado” para que o iTunes seja aberto
e sincronize o iPad automaticamente sempre que for conectado ao seu computador.
Desmarque esta opção se deseja sincronizar somente ao clicar no botão Sincronizar
do iTunes. Para obter mais informações sobre como evitar a sincronização automática,
consulte “Como Impedir a Sincronização Automática” na página 30.Selecione “Sincronizar somente músicas e vídeos selecionados” se deseja que o iTunes
ignore os itens desmarcados da sua biblioteca do iTunes ao sincronizar.
Selecione “Gerenciar músicas e vídeos manualmente” para desativar a sincronização
automática dos painéis de ajustes Música e Vídeo.
Selecione “Criptografar backup do iPad>" se quiser criptografar as informações armazenadas em seu computador quando o iTunes fizer um backup. Backups criptografados são mostrados com um ícone de cadeado , e requerem uma senha para restaurar as informações do iPad. Consulte “Como atualizar e restaurar o software do iPad” na
página 199.
Para ativar os recursos de acessibilidade, clique em Configurar Acesso Universal Para
obter mais informações, consulte “Recursos de Acesso Universal” na página 150.
Painel Informações
O painel Informações permite configurar os ajustes de sincronização para seus contatos, calendários, contas de e-mail e navegador.
 Contatos
Você pode sincronizar contatos com aplicativos como a Agenda do Mac OS X, o
"Yahoo! Listas de Endereços" e Contatos do Google em um Mac, ou com a Agenda
do Yahoo! Agenda, os Contatos do Google, o Catálogo de Endereços do Windows
(Microsoft Outlook Express), o Catálogo de Endereços do Windows Vista ou do
Microsoft Outlook 2003, 2007 ou 2010 em um PC. (No Mac, você pode sincronizar
contatos com vários aplicativos. Em um PC, você pode sincronizar contatos somente
com um aplicativo de cada vez.)
Se você sincronizar com Agenda do Yahoo! você só precisa clicar em Configurar para
digitar a sua nova informação de início de sessão quando alterar o seu Identificador
ou senha do Yahoo! após configurar a sincronização.
 Calendários
Você pode sincronizar os calendários de aplicativos como o iCal no Mac ou do
Microsoft Outlook 2003, 2007 ou 2010 no PC. (No Mac, você pode sincronizar calendários com vários aplicativos. No PC, você pode sincronizar os calendários com apenas um aplicativo de cada vez.)
 Contas do Mail
Você pode sincronizar os ajustes das contas de e-mail do Mail em um Mac e do
Microsoft Outlook 2003, 2007, 2010 ou do Microsoft Outlook Express em um PC. Os
ajustes das contas são transferidos somente do seu computador para o iPad. As
alterações realizadas em uma conta de e-mail no iPad não afetam a conta no seu
computador.
Nota: A senha da sua conta de e-mail do Yahoo! não é salva no seu computador,
por isso não pode ser sincronizada e deve ser digitada no iPad. Em Ajustes, escolha
“Mail, Contatos, Calendários”, toque em sua conta Yahoo! e digite a senha.
28 Capítulo 2 IntroduçãoCapítulo 2 Introdução 29
 Outra
Sincronize favoritos do Safari em um Mac, ou do Safari ou Microsoft Internet
Explorer em um PC.
Sincronize notas do aplicativo Notas do iPad com notas do Mail em um Mac ou com
o Microsoft Outlook 2003 ou 2007 em um PC.
 Avançado
Selecione uma ou mais destas opções se deseja substituir as informações do iPad
pelas informações do seu computador durante a próxima sincronização.
Painel Apps
Utilize o Painel Apps para sincronizar aplicativos da App Store, organizar aplicativos na
tela Início do iPad ou copiar documentos entre o iPad e seu computador.
Selecione "Sincronizar automaticamente novos aplicativos" para sincronizar novos
aplicativos para o iPad que foram transferidos ou sincronizados de outro dispositivo.
Se você apagar um app do iPad, poderá reinstalá-lo a partir do painel Apps, se ele tiver
sido previamente sincronizado.
Você pode criar documentos no iPad e, em seguida, copiá-los no seu computador.
Você também pode copiar documentos do seu computador para o iPad e utilizá-los
com aplicativos compatíveis com o compartilhamento de arquivos. Os aplicativos
compatíveis com o compartilhamento de arquivo são mostrados na lista Aplicativos de
Compartilhamento de Arquivos Para obter mais informações sobre o compartilhamento de arquivos, consulte “Compartilhamento de Arquivos” na página 47.
Painéis Música, Filmes, Programas de TV, Podcasts e iTunes U
Utilize estes painéis para especificar a mídia que deseja sincronizar. Você pode sincronizar todas as coleções de músicas, filmes, programas de TV, podcasts, iTunes U ou
então selecionar o conteúdo que deseja no iPad.
Para assistir a filmes alugados na sua biblioteca do iTunes no iPad, transfira-os para o
iPad usando o painel Filmes do iTunes.
Painel Livros
Você pode sincronizar livros transferidos da iBookstore, e muitos livros ePub grátis de
outras fontes. Você também pode sincronizar audiolivros e se o livro tiver mais de uma
parte, sincronizar somente a parte que desejar.
Painel Fotos
Você pode sincronizar fotos e vídeos com o iPhoto 6.0.6 ou superior, ou com o
Aperture 3.0.2 ou superior no Mac; ou com o Adobe Photoshop Elements 8.0 ou posterior em um PC. Você também pode sincronizar fotos e vídeos em qualquer pasta do
seu computador que contenha imagens ou vídeos.Como Impedir a Sincronização Automática
Você pode impedir que o iPad sincronize automaticamente quando conectar o iPad a
um computador diferente.
Para evitar a sincronização automática para todos os iPad s: No iTunes escolha iTunes > Preferências (em um Mac) ou Editar > Preferências (em um PC), clique em Dispositivos e selecione “Impedir que iPods, iPhones e iPad sincronizem
automaticamente”.
Se esta opção estiver selecionada, o iPad não sincroniza automaticamente, mesmo se
a opção “Abrir o iTunes quando este iPad é conectado” estiver selecionada no painel
Resumo.
Para evitar a sincronização automática uma vez, sem alterar os ajustes: Abra o iTunes, conecte o iPad ao seu computador, mantenha pressionadas as teclas ComandoOpção (em um Mac) ou Maiúsculas-Controle (em um PC) até que iPad apareça na
barra lateral.
Para sincronizar manualmente: No iTunes, selecione iPad na barra lateral e clique em
Sincronizar no canto inferior direito da janela. Ou, se você alterou algum ajuste de sincronização, clique em Aplicar.
Como Conectar-se à Internet
O iPad pode unir-se à AirPort e outras redes Wi-Fi em casa, no trabalho ou em pontos de acesso Wi-Fi pelo mundo. Ao unir-se a uma rede Wi-Fi que está conectada à
Internet, o iPad se conecta à Internet automaticamente sempre que você usar o Mail,
Safari, YouTube, a App Store ou a iTunes Store. o iPad se conecta à Internet usando
uma rede Wi-Fi. O iPad Wi-Fi + 3G também pode se conectar à Internet usando uma
rede de dados celular. O serviço de dados é vendido separadamente.
Como conectar-se a uma Rede Wi-Fi
Use os ajustes Wi-Fi para ativar a Wi-Fi e conectar a redes Wi-Fi.
Para ativar a Wi-Fi: Escolha Ajustes > Wi-Fi e ative a opção Wi-Fi.
Para conectar-se a uma rede Wi-Fi: Escolha Ajustes > Wi-Fi, espere um momento enquanto o iPad detecta as redes que estão no raio de alcance e depois selecione uma
rede (talvez o acesso a algumas redes Wi-Fi não seja gratuito). Se necessário, digite
uma senha e toque em Conectar (as redes que requerem uma senha aparecem com
um ícone de cadeado).
Uma vez que você tenha se conectado a uma rede Wi-Fi, o iPad se conecta a ela
automaticamente sempre que a rede estiver no raio de alcance. Se houver mais de
uma rede usada anteriormente dentro do raio de alcance, o iPad se conecta à última
utilizada.
30 Capítulo 2 IntroduçãoCapítulo 2 Introdução 31
Quando o iPad se conecta a uma rede Wi-Fi, o ícone Wi-Fi situado na barra de estado mostra a intensidade do sinal. Quanto mais barras você vir, melhor a conexão.
Para obter mais informações sobre como ajustar as configurações Wi-Fi, consulte “WiFi” na página 167.
Como conectar-se a uma Rede de Dados de Celular
Antes de que você possa unir-se a uma rede de dados celular no iPad Wi-Fi + 3G, você
deve inscrever-se em um plano de dados celular com um provedor de serviços do iPad
na sua área. Com alguns provedores, você pode escolher um plano de dados, controlar
o uso de seus dados e alterar ou cancelar o seu plano no iPad.
Em alguns modelos, 3G, EDGE e GPRS permitem conectividade à Internet através da
rede celular disponível mediante o serviço sem fio da sua operadora. Verifique a cobertura da rede da operadora na sua área para ver a disponibilidade.
Se o iPad estiver conectado à Internet usando uma rede de dados celular, você vê o
ícone de estado do 3G ( ), EDGE ( ) ou GPRS ( ) na barra de estado.
Para ativar o Roaming de Dados: Se você estiver fora da rede da sua operadora, talvez
você possa usar uma rede de dados de celular de outra operadora. Em Ajustes, escolha
Dados de Celular e ative o Roaming de Dados.
Importante: Podem ser aplicadas taxas sobre o Roaming. Para evitar taxas de roaming
de dados, certifique-se de que o Roaming de Dados esteja desativado.
Para monitorar o uso da sua rede de dados celular: Em Ajustes, escolha Dados de
Celular > Ver Conta.
Para configurar um plano de dados de celular no iPad: Na tela de Início do iPad, toque em Ajustes e escolha Dados de Celular. Toque em Visualizar Conta e depois siga as
instruções na tela.
Os ajustes de dados de celular podem variar dependendo da operadora.
O iPad está desbloqueado, então você pode escolher sua operadora preferida. Os ajustes de dados de celular variam dependendo da operadora. Se o seu iPad Wi-Fi + 3G
não veio fornecido com um cartão micro-SIM, entre em contato com o seu provedor
para configurar uma conta e obter um cartão micro-SIM compatível. Nem todos os
provedores fornecem planos de dados 3G.
Acesso à Internet em um Avião
O modo avião no iPad Wi-Fi + 3G desativa os transmissores de rádio do iPad para cumprir com as normas das empresas aéreas. Em algumas regiões - quando permitido pelo
piloto da aeronave e pelas leis e normas aplicáveis - você pode ativar a Wi-Fi enquanto
o modo avião está ativado, para:
 Enviar e receber e-mail
 Navegar na Internet Sincronizar seus contatos e calendários com a tecnologia over the air
 Transmitir vídeos do YouTube em tempo real
 Comprar músicas e aplicativos
Para obter mais informações, consulte “Modo Avião” na página 166.
Como adicionar Mail, Contatos e Contas do Calendário
O iPad funciona com MobileMe, Microsoft Exchange e com muitos dos e-mails, contatos e servidores de serviço calendários mais conhecidos baseados em Internet. Se você
ainda não tem uma conta de e-mail, pode obter uma conta gratuita on-line no site
br.yahoo.com/, www.google.com.br/ ou www.aol.com. Para experimentar um período
de teste grátis do MobileMe, vá para www.apple.com/br/mobileme.
Para obter mais informações sobre como configurar uma conta Microsoft Exchange
em um ambiente empresarial, consulte “Como Configurar Contas do Microsoft
Exchange” na página 189.
Como Configurar Contas MobileMe
Para usar o MobileMe no iPad, você pode configurar uma conta gratuita do MobileMe
ou uma assinatura paga do MobileMe.
Uma conta gratuita do MobileMe permite que você use o Buscar Meu iPad; um recurso
que o ajuda a localizar o iPad caso for perdido ou roubado, e proteger as informações
nele contidas (não disponível em todos os países ou regiões). Consulte “Recursos de
segurança” na página 48.
Uma conta gratuita do MobileMe está disponível para qualquer cliente que possua um
iPad com o iOS 4.2 ou posterior. Se você já criou um ID da Apple para a App Store ou
para o Game Center, pode usar o mesmo ID da Apple para configurar a sua conta do
MobileMe. Crie uma nova conta se você ainda não tiver uma.
Para configurar uma conta gratuita do MobileMe:
1 Em Ajustes, toque em “Mail, Contatos, Calendários”.
2 Toque em Adicionar Conta e, em seguida, toque MobileMe.
3 Insira o seu ID e senha da Apple ou toque em Criar ID Apple Gratuito.
4 Siga as instruções da tela.
Verifique o seu endereço de e-mail, se necessário.
5 Certifique-se de que Buscar Meu iPad está ativado.
Para configurar uma Assinatura paga do MobileMe:
1 Em Ajustes, toque em “Mail, Contatos, Calendários”.
2 Toque em Adicionar Conta e, em seguida, toque MobileMe.
32 Capítulo 2 IntroduçãoCapítulo 2 Introdução 33
3 Insira o seu ID Apple e senha, ou escolha criar uma nova conta.
4 Ative os serviços que deseja usar no iPad.
Uma assinatura paga do MobileMe permite que você use Buscar Meu iPad, mais os
seguintes recursos:
 Conta do Mail em me.com
 Sincronização over-the-air para os contatos, calendários, favoritos e notas
 Galeria do MobileMe para o compartilhamento de fotos e vídeos
 O MobileMe iDisk para armazenamento e compartilhamento de arquivos
Você pode experimentar esses recursos com uma avaliação grátis de 60 dias em www.
apple.com/br/mobileme.
Os serviços que ativar são sincronizados automaticamente através da tecnologia over
the air, sem ter que conectar o iPad ao seu computador. Consulte “Como Sincronizar
com o iTunes” na página 25.
Você pode definir múltiplas contas MobileMe; no entanto, apenas uma conta
MobileMe poderá ser utilizada de cada vez para o Buscar Meu iPad e para contatos de
sincronização, calendários, favoritos e notas.
Para usar Galeria, iDisk e Buscar Meu iPad em iPad, transfira os aplicativos gratuitos
Galeria do MobileMe, MobileMe iDisk e Buscar Meu iPhone a partir da App Store.
Como Configurar Contas do Google, Yahoo! e AOL
Para diversas contas conhecidas (Google, Yahoo!, AOL), o iPad digita a maioria dos ajustes para você. Ao configurar a conta, você pode escolher quais serviços de conta deseja utilizar com o iPad. Os serviços ativados são sincronizados automaticamente com o
sistema over the air. Consulte “Como Sincronizar com o iTunes” na página 25.
Para configurar uma conta:
1 Em Ajustes, toque em “Mail, Contatos, Calendários”.
2 Toque em Adicionar Conta e, em seguida, toque Google, Yahoo! ou AOL
3 Digite seu nome, endereço de e-mail, senha e uma descrição.
4 Toque nos itens que deseja utilizar no iPad. Os itens disponíveis dependem do
servidor.
Como Configurar Outras Contas
Selecione Outras Contas para configurar outras contas para e-mail (como POP), contatos (como LDAP ou CardDAV), ou calendários (como CalDAV). Contate seu servidor ou
administrador de sistema para obter os ajustes de conta que necessita.
Para configurar uma conta:
1 Em Ajustes, toque em “Mail, Contatos, Calendários”.2 Toque em Adicionar Conta e, em seguida, toque em Outras.
3 Selecione o tipo de conta que deseja adicionar (Mail, Contatos ou Calendários).
4 Digite as informações da sua conta e toque em Salvar.
Como desconectar o iPad de seu computador
A menos que o iPad esteja sincronizando com o computador, você pode desconectá-
lo a qualquer momento.
Quando o iPad está sincronizando com seu computador, a tela de Início do iPad mostra a mensagem “Sincronização em andamento.” Se você desconectar o iPad antes de
finalizar a sincronização, alguns dados podem não ser transferidos. Quando o iPad terminar a sincronização, o iTunes mostra “A sincronização do iPad está concluída”.
Para cancelar uma sincronização: Arraste o controle deslizante do iPad.
Como visualizar o Manual do Usuário do iPad
O Manual do Usuário do iPad pode ser visto iPad no Safari, ou através da instalação do
aplicativo gratuito iBooks e de sua transferência a partir da iBookstore.
Para visualizar o Manual do Usuário no Safari: No Safari, toque no , em seguida toque no favorito Manual do Usuário do iPad. Ou vá para http://help.apple.com/br/ipad.
Para adicionar um ícone para o manual do usuário na tela Início: Toque no e toque em “Adicionar à Tela Início.”
Visualize o Manual do Usuário no iBooks
1 Se você não tiver instalado o iBooks, abra a App Store, procure por “iBooks” e, em
seguida, toque nele na lista de resultados. Toque em Grátis e, em seguida, toque em
Instalar.
2 Abra o iBooks e toque em Loja.
3 Procure pelo “iPad Manual do Usuário” e toque no manual do usuário na lista de
resultados.
4 Toque em Grátis e, em seguida, toque em Obter Livro.
Para obter mais informações sobre o iBooks, consulte Capítulo 19,“iBooks,” na
página 135.
Bateria
O iPad possui uma bateria interna recarregável. A bateria do não pode ser acessada
pelo usuário e deve ser substituída por um Fornecedor de Serviço Autorizado Apple.
Para obter mais informações sobre as baterias do iPad, visite o site www.apple.com/br/
batteries/ipad.html.
34 Capítulo 2 IntroduçãoCapítulo 2 Introdução 35
Como Carregar a Bateria
ADVERTÊNCIA: Para obter informações de segurança importantes sobre o carregamento do iPad, consulte o Manual de Informações Importantes do Produto iPad no site
support.apple.com/pt_BR/manuals/ipad.
O ícone da bateria no canto superior direito da barra de estado mostra o nível de bateria ou o estado do carregamento.
Carregando Carregado
Para carregar a bateria: A melhor maneira de carregar a bateria do iPad é conectar o
iPad a uma tomada elétrica usando o Cabo Conector Dock para USB e o adaptador de
alimentação USB de 10 W. Quando você conecta o iPad a uma porta USB 2.0 em um
Mac com o Cabo Conector Dock para USB, o iPad pode carregar lentamente enquanto
sincroniza.
Importante: A bateria do iPad pode gastar em lugar de carregar se o iPad for conectado a um PC, a um computador desligado ou em modo Repouso ou Espera, a um hub
USB, ou à porta USB em um teclado.
Se o seu Mac ou PC não fornecerem energia suficiente para carregar o seu iPad,
uma mensagem Não está carregando aparecerá na barra de estado. Para carregar o
iPad, desconecte-o do seu computador e conecte-o em uma tomada usando o Cabo
Conector Dock para USB e o Adaptador de Alimentação USB de 10W.Importante: Se a carga da bateria do iPad estiver muito baixa, ele pode exibir uma das
seguintes imagens, indicando que o iPad precisa ser carregado por pelo menos dez
minutos antes de você poder usá-lo. Se a carga da bateria do iPad estiver extremamente baixa, a tela poderá ficar em branco por até dois minutos antes que uma das
imagens indicando pouca bateria apareça.
ou
Como Maximizar a Autonomia da Bateria
O iPad usa uma bateria de lítio-íon. Para obter informações sobre como maximizar a
vida útil da bateria do seu iPad, visite o site www.apple.com/br/batteries/ipad.html.
Como Trocar a Bateria
As baterias recarregáveis possuem um número limitado de ciclos de carregamento e
talvez necessitem ser trocadas com o passar do tempo. A bateria do iPad não pode
ser substituída pelo usuário; ela só pode ser substituída por um Fornecedor de Serviço
Autorizado Apple (AASP). Os AASPs também reciclam as baterias do iPad de acordo
com leis e normas locais. Para obter mais informações, visite www.apple.com/br/
batteries/replacements.html.
Utilização e Limpeza do iPad
Manipule o seu iPad com cuidado para conservar seu aspecto. Se estiver preocupado
com arranhões ou desgaste da tela, você pode usar um estojo ou uma capa, vendidos
separadamente.
Como usar o iPad confortavelmente
É importante encontrar uma postura confortável para usar o iPad e fazer intervalos
frequentes. Use o seu colo, uma mesa, um estojo ou o acessório dock para sustentar o
iPad durante o uso.
36 Capítulo 2 IntroduçãoCapítulo 2 Introdução 37
Como limpar o iPad
Para limpar o iPad, desconecte todos os cabos e desligue o iPad (mantenha pressionado o botão Repousar/Despertar e depois deslize o controle da tela). Use um pano macio, levemente umedecido e sem fiapos. Evite que entre umidade nas aberturas. Não
utilize limpadores de vidro, produtos de limpeza caseiros, aerossóis, solventes, álcool,
amônia ou abrasivos para limpar o iPad. A tela do iPad possui um revestimento oleofó-
bico; limpe a tela simplesmente com um pano macio que não solte fiapos para remover o óleo deixado pelas suas mãos. A capacidade deste revestimento de repelir óleo
diminui com o uso ao longo do tempo; esfregar a tela com material abrasivo diminuirá
ainda mais o seu efeito e poderá arranhar sua tela.
Para obter mais informações sobre como utilizar o iPad, consulte o Manual de
Informações Importantes do Produto do iPad em support.apple.com/pt_BR/manuals/
ipad.38
Leia este capítulo para informar-se como usar os aplicativos no iPad, e para buscar, imprimir, compartilhar arquivos e mais.
Como Utilizar os Apps
A tela de alta resolução Multi-Touch e os simples gestos dos seus dedos facilitam a
utilização dos aplicativos do iPad. Abra um aplicativo tocando no seu ícone. Você pode
alternar entre aplicativos, reorganizar aplicativos e organizá-los em pastas.
Como Abrir e Alternar Apps
Para abrir um app: Toque no seu ícone na tela de Início.
Para voltar à tela Início:Pressione o botão Início .
O multi-tarefas permite que certos aplicativos sejam executados no fundo, para que
você possa alternar rapidamente entre os aplicativos que estiver usando.
Para visualizar os aplicativos utilizados mais recentemente:Clique duas vezes no botão Início.
Os aplicativos usados mais recentemente aparecem na lista de "recentes" na parte inferior da tela. Passe o dedo para a esquerda para ver mais aplicativos.
3
Noções básicasCapítulo 3 Noções básicas 39
Para remover um aplicativo da lista de aplicativos recentes:Toque e mantenha pressionado o ícone do aplicativo até que ele comece a tremular; em seguida, toque em
.
O aplicativo será adicionado à lista de recentes novamente da próxima vez que for
aberto.
Para bloquear a orientação da tela ou usar os controles do iPod: Clique duas vezes
do botão Início e, em seguida, passe o dedo na parte inferior da tela da esquerda para
a direita.
O bloqueio de orientação da tela, o controle de brilho e os controles do iPod
aparecem.
Bloqueio de
orientação de tela
Controles iPod
Brilho
Para apagar um aplicativo da tela de Início: Toque e mantenha o ícone até que ele
fique trêmulo e um apareça. Toque em para apagar o aplicativo.
Importante: Apagar um aplicativo do iPad também apaga os documentos e os dados
criados pelo aplicativo.
Rolagem
Arraste para cima ou para baixo para rolar. Você também pode rolar para as laterais
nos aplicativos como o Safari, Fotos e Mapas.
Arrastando o seu dedo para rolar não irá selecionar ou ativar nada na tela.Passe o dedo para rolar rapidamente.
Você pode esperar até que a rolagem pare ou tocar em qualquer lugar da tela para
para-la imediatamente. Tocar a tela para parar a rolagem não irá selecionar ou ativar
nada na tela.
Para rapidamente rolar para o início de uma lista, página web ou mensagem de e-mail,
toque na barra de estado na parte superior da tela.
Como reorganizar os ícones dos aplicativos
Você pode personalizar o leiaute dos ícones dos aplicativos na tela de Início—
incluindo os ícones no Dock junto aos botões da tela. Se desejar, organize-os em várias
telas de Início.
Para reorganizar os ícones:
1 Mantenha o toque qualquer ícone até que ele comece a tremular.
2 Organize os ícones, arrastando-os.
3 Pressione o botão Início para salvar sua ordenação.
Você também pode organizar os ícones dos aplicativos na tela Início, assim como a
ordem das telas, quando conectar o iPad ao seu computador. Selecione iPad na barra
lateral do iTunes e depois clique na aba Apps.
40 Capítulo 3 Noções básicasCapítulo 3 Noções básicas 41
Para criar telas de Início adicionais: Enquanto você organiza os ícones, arraste um
ícone para o canto direito da tela até que apareça uma nova tela. Você pode retornar à
tela anterior e arrastar mais ícones para a nova tela.
Você pode ter até onze telas. O pontos acima do Dock mostram o número de telas que
você possui e indica qual tela você está visualizando.
Para ir para uma tela de Início diferente: Passe o dedo para a direita ou esquerda, ou
toque à esquerda ou à direita da linha de pontos.
Para ir para a primeira tela de Início: Pressione o botão Início .
Redefina a sua tela de Início para o leiaute original: Escolha Ajustes > Geral >
Redefinir e depois toque em Redefinir Leiaute de Tela de Início.
Como Organizar com Pastas
As pastas permitem organizar os ícones na tela Início. Você pode colocar até 20 ícones
em uma pasta. O iPad nomeia automaticamente uma pasta quando ela é criada, com
base nos ícones que você usou para criá-la. Entretanto, você pode alterar o nome.
Reorganize as pastas arrastando-as na tela de Início ou movendo-as para uma nova
tela de Início ou para o Dock.
Para criar uma pasta:Toque e mantenha pressionado um ícone até que os ícones da
tela Início comecem a tremular e, em seguida, arraste o ícone para dentro de outro
ícone.
O iPad cria uma nova pasta incluindo os dois ícones e mostra o nome da pasta. Você
pode tocar no campo do nome para digitar um nome diferente.
Você pode também criar pastas do iPad usando o iTunes.
Para criar uma pasta usando o iTunes:Com o iPad conectado ao seu computador, selecione o ícone do iPad na lista Dispositivos do iTunes. Clique em Aplicativos na parte
superior da tela e, na tela Início próxima a parte superior da janela, arraste um aplicativo sobre outro.Adicionar um ícone à uma pasta Enquanto ordena ícones, arraste o ícone para
dentro de uma pasta.
Remover um ícone de uma pasta Enquanto ordena ícones, toque para abrir a pasta
e, em seguida, arraste o ícone para fora da pasta.
Abrir uma pasta Toque em uma pasta. Você pode tocar no ícone
de um app para abrir o app.
Fechar uma pasta Toque fora da pasta ou pressione o botão Início.
Apagar uma pasta Remova todos os ícones da pasta.
A pasta é apagada automaticamente quando
vazia.
Renomear uma pasta Enquanto ordena ícones, toque para abrir a
pasta e, em seguida, toque no nome da parte
superior e utilize o teclado para digitar um novo
nome. Pressione o botão Início para salvar suas
alterações.
Ao terminar a organização da sua tela de Início, pressione o botão Início para salvar
suas alterações.
Vários aplicativos, como o Mail e a App Store, exibem um indicador no seu ícone da
tela de Início com um número (para indicar os itens recebidos) ou um ponto de exclamação (para indicar um problema). Se o aplicativo estiver em uma pasta, o símbolo
também aparece na pasta. Um indicador numerado mostra o número total de itens
não atendidos, como mensagens de e-mail recebidas e aplicativos atualizados para
transferir. Um símbolo de alerta indica um problema com o aplicativo.
Impressão
O AirPrint permite que você imprima sem fio para impressoras com compatibilidade
para AirPrint. Você pode imprimir a partir dos seguintes aplicativos do iPad:
 Mail—mensagens de e-mail e anexos visíveis
 Fotos—fotos
 Safari—páginas web, arquivos PDF e anexos visíveis
 iBooks—arquivos PDF
Outros aplicativos disponíveis da App Store também podem ser compatíveis com o
AirPrint.
42 Capítulo 3 Noções básicasCapítulo 3 Noções básicas 43
As impressoras compatíveis com o AirPrint não necessitam um software de impressão; elas apenas precisam estar conectadas à mesma rede Wi-Fi que o iPad. Se você
não tem certeza de que sua impressora é compatível com o AirPrint, consulte sua
documentação.
Para obter informações adicionais, visite o site support.apple.com/kb/
HT4356?viewlocale=pt_BR.
Como imprimir um documento
O AirPrint usa a sua rede Wi-Fi para enviar trabalhos de impressão sem fio para a sua
impressora. O iPad deve estar conectado à mesma rede sem fio que a impressora
AirPrint.
Para imprimir um documento:
1 Toque no ou no (dependendo do aplicativo que estiver usando) e, em seguida,
toque em Imprimir.
2 Toque em Selecionar Impressora para selecionar uma impressora.
3 Defina as opções da impressora como a quantidade de cópias e saída frente e verso
(se for compatível com a impressora). Alguns aplicativos também permitem que você
defina um intervalo de páginas a serem impressas.
4 Toque em Imprimir.Se você clicar duas vezes no botão de Início durante a impressão de um documento, o
aplicativo Impressão aparece como o aplicativo mais recente. Um símbolo com o ícone
mostra quantos documentos estão prontos para impressão, incluindo o documento
sendo impresso no momento.
Para obter o estado de um trabalho de impressão: Clique duas vezes no botão de
Início, toque no ícone Impressão e, em seguida, selecione um trabalho de impressão.
Para cancelar um trabalho de impressão: Clique duas vezes no botão de Início, toque no ícone Impressão, selecione o trabalho de impressão e, em seguida, toque em
Cancelar Impressão.
44 Capítulo 3 Noções básicasCapítulo 3 Noções básicas 45
Como fazer uma busca
Você pode fazer buscas em muitos aplicativos integrados do iPad incluindo o Mail, o
Calendário, o iPod, o Vídeo, o Notas e os Contatos. Faça buscas em um aplicativo individual ou em todos os aplicativos de uma só vez utilizando o Spotlight.
Para abrir o Spotlight: Na página principal da tela de Início, passe o dedo para a direita ou pressione no botão de Início. Na página do Spotlight, você pode pressionar o
botão Início para voltar à página principal da tela Início.
Como buscar no iPad: Na página do Spotlight, digite o texto no campo de busca. Os
resultados da busca aparecem automaticamente à medida que você digita. Toque em
Buscar para que o teclado desapareça e você possa ver mais resultados.
Toque em um item na lista de resultados para abri-lo. Os ícones à esquerda dos resultados da busca permitem saber de qual app os resultados vieram.
No topo da lista, o iPad mostra os seus resultados mais relevantes baseado em buscas
anteriores. Na parte inferior da lista, os resultados de pesquisa também incluem op-
ções de busca na web ou na Wikipedia.
App O que está sendo buscado
Contatos Nome, sobrenome e nomes de empresas
Mail Campos Para, De e Assunto de todas as contas (o
texto das mensagens não é buscado)
Calendário Títulos de eventos, convidados e locaisApp O que está sendo buscado
iPod Música (nomes de músicas, artistas e álbuns) e os
títulos de podcasts e audiolivros
Notas Texto das notas
O Spotlight também busca os nomes de aplicativos integrados e instalados no iPad. Se
você tiver muitos aplicativos, você pode usar o Spotlight para localizá-los e abri-los.
Para abrir um aplicativo do Spotlight: Digite o nome do aplicativo e depois toque
para abri-lo.
Você pode escolher em quais aplicativos é realizada a busca e a ordem na qual eles
são buscados. Em Ajustes, selecione Geral > Busca do Spotlight.
Como usar os dispositivos Bluetooth
Você pode usar o iPad com o teclado Apple Wireless Keyboard e com outros dispositivos Bluetooth, como fones de ouvido Bluetooth. Para os perfis compatíveis Bluetooth,
consulte o site support.apple.com/kb/HT3647?viewlocale=pt_BR.
Como Emparelhar Dispositivos Bluetooth
Primeiro você deve emparelhar os dispositivos Bluethooth (como o teclado ou os fones de ouvido) com o iPad, antes de poder usá-los.
Como emparelhar um dispositivo Bluetooth com o iPad:
1 Siga as instruções fornecidas com o dispositivo para torná-lo visível.
2 Nos Ajustes, escolha Geral > Bluetooth e ative a opção Bluetooth.
3 Selecione o dispositivo e, caso solicitado, digite o código de acesso ou o número
PIN. Consulte as instruções sobre o código de acesso ou PIN que acompanham o
dispositivo.
Nota: Antes de emparelhar um teclado Apple Wireless Keyboard, pressione o botão
de alimentação para ligar o teclado. Você apenas pode emparelhar um teclado Apple
Wireless Keyboard de cada vez com o iPad. Para emparelhar um teclado diferente, primeiro você deve desemparelhar o atual.
Depois de emparelhar seu teclado com o iPad, o nome do produto e um ícone
Bluetooth aparecem na tela.
Depois de emparelhar seus fones de ouvido com o iPad, o nome do produto e um
ícone de áudio Bluetooth aparecem na tela quando você estiver visualizando os
controles de reprodução de áudio ou vídeo. Toque no para mudar para uma saída
de áudio diferente, como o alto-falante interno.
Para usar o teclado na tela novamente, desative o Bluetooth (Ajustes > Geral >
Bluetooth), ou pressione a tecla Ejetar no teclado Bluetooth.
46 Capítulo 3 Noções básicasCapítulo 3 Noções básicas 47
Estado do Bluetooth
O ícone do Bluetooth aparece na barra de estado do iPad, que está situada na parte
superior da tela:
 (branco): O Bluetooth está ativado e o dispositivo está conectado ao iPad.
 (cinza): O Bluetooth está ativado mas não há nenhum dispositivo conectado. Se
você emparelhou um dispositivo com o iPad, talvez ele esteja fora do raio de alcance ou desligado.
 Nenhum ícone Bluetooth: O Bluetooth está desativado.
Como Desemparelhar um Dispositivo do iPad
Se você emparelhar o iPad com um dispositivo Bluetooth e depois quiser usar outro
dispositivo do mesmo tipo no lugar, você deve desemparelhar o primeiro dispositivo.
Para desemparelhar um dispositivo Bluetooth:
1 Nos Ajustes, escolha Geral > Bluetooth e depois ative a opção Bluetooth.
2 Escolha o dispositivo, depois toque em “Esquecer este Dispositivo”.
Compartilhamento de Arquivos
O Compartilhamento de Arquivos permite transferir arquivos entre o iPad e o seu computador. É possível compartilhar arquivos criados com um aplicativo compatível salvo
no formato compatível.
Os aplicativos compatíveis com o compartilhamento de arquivos aparecem na lista
Apps de Compartilhamento de Arquivos no iTunes. Para cada app, a lista exibe os
documentos que estão no iPad. Consulte a documentação do aplicativo para saber
como ele compartilha os arquivos; nem todos os aplicativos são compatíveis com este
recurso.
Para transferir um arquivo do iPad ao seu computador:
1 Conecte o iPad ao seu computador.
2 No iTunes, selecione o iPad na lista Dispositivos e clique em Aplicativos, na parte superior da tela.
3 Na seção Compartilhamento de Arquivos, selecione um aplicativo da lista à esquerda.
4 À direita, selecione o arquivo que deseja transferir e, em seguida, clique em "Salvar
para" e selecione um destino do seu computador.
Para transferir um arquivo do seu computador ao iPad:
1 Conecte o iPad ao seu computador.
2 No iTunes, selecione o iPad na lista Dispositivos e clique em Aplicativos, na parte superior da tela.
3 Na seção Compartilhamento de Arquivos, clique em Adicionar.4 Selecione um arquivo e, em seguida, clique em Selecionar (Mac) ou OK (PC).
O arquivo é transferido para seu dispositivo e pode ser aberto utilizando um aplicativo
compatível com o tipo de arquivo. Para transferir mais de um arquivo, selecione cada
arquivo adicional.
Para apagar um arquivo do iPad: Selecione o arquivo na lista Arquivos e, em seguida,
toque em Apagar.
Como usar o AirPlay
Você pode transmitir música, fotos e vídeo sem fio para a sua HDTV e alto-falantes
usando o AirPlay e o Apple TV.
Você também pode usar o AirPlay para transmitir áudio para uma estação base Airport
Express ou AirPort Extreme. Outros receptores compatíveis com o AirPlay estão disponíveis através de terceiros, consulte a Apple Store para obter mais detalhes.
Para iniciar a transmissão para um dispositivo compatível com o AirPlay:
1 Certifique-se de que o iPad e o dispositivo (como um Apple TV) estão conectados à
mesma rede Wi-Fi.
2 Inicie o vídeo, apresentação de slides ou música e, em seguida toque no e escolha
o dispositivo AirPlay que deseja usar. Alguns dispositivos podem solicitar um código
de acesso.
Uma vez que a transmissão é iniciada, você pode sair do aplicativo.
Para parar a transmissão para um dispositivo compatível com o AirPlay:
1 Abra o aplicativo (como Vídeos) a partir do qual está transmitindo.
2 Toque em e escolha iPad da lista.
Para solução de problemas, consulte “Sem vídeo ou som ao utilizar o AirPlay” na
página 204.
Recursos de segurança
Os recursos de segurança ajudam a proteger as informações do iPad, impedindo que
sejam acessadas por outras pessoas.
Códigos de acesso e Proteção de Dados
Por segurança, você pode configurar um código que precisará ser digitado sempre
que você ativar ou interromper o repouso do iPad.
Para definir um código: Escolha Ajustes > Geral > Bloqueio por Código > Ativar
Código. Insira um código de 4 dígitos e, em seguida, insira-o novamente para comprová-lo. O iPad solicitará que você insira o código para desbloqueá-lo ou para exibir os
ajustes de bloqueio do código.
48 Capítulo 3 Noções básicasCapítulo 3 Noções básicas 49
A configuração de um código ativa a proteção de dados, a qual utiliza o código de
acesso como chave para criptografar mensagens de e-mail e seus anexos armazenados
no iPad. (Talvez a proteção de dados também possa ser utilizada por alguns aplicativos
disponíveis na App Store). Um aviso na parte inferior da tela Bloqueio por Código, em
Ajustes, mostra quando a proteção de dados está ativada.
Para aumentar a segurança, desative o Código Simples (um número de quatro dígitos)
e utilize um código mais complexo que contenha uma combinação de números, letras,
pontuação e caracteres especiais. Para obter mais informações, consulte “Bloqueio por
Código” na página 173.
Buscar Meu iPad
Buscar Meu iPad ajuda a localizar um iPad perdido ou mal posicionado usando um
outro iPhone, iPad ou iPod touch com o aplicativo gratuito Buscar Meu iPhone, ou um
Mac ou PC com um navegador da web. O recurso Buscar Meu iPad inclui:
 Buscar:Localiza seu iPad em um mapa em tela cheia do seu computador
 Exibir uma Mensagem ou Reproduzir um Som:Permite que você especifique uma
mensagem a ser exibida ou um som a ser reproduzido no seu iPad
 Bloqueio de Código Remoto:Permite bloquear remotamente seu iPad e criar um
código de acesso de 4 dígitos, se você não tiver definido um anteriormente
 Limpeza Remota:Elimina todas as informações e mídia no seu iPad e restaura-o iPad
para os seus ajustes originais de fábrica
Para usar o recurso Buscar Meu iPad: Ative Buscar Meu iPad nos seus ajustes de conta
MobileMe. Consulte “Como Configurar Contas MobileMe” na página 32.
Localize o seu iPad perdido: Transfira e use o aplicativo Buscar Meu iPhone a partir
da App Store em um dispositivo iOS diferente, ou inscreva-se ao www.me.com em um
navegador web em um Mac ou PC.
Nota: O recurso Buscar Meu iPad requer uma conta do MobileMe. O MobileMe é um
serviço on-line que fornece Buscar Meu iPad gratuitamente para clientes de 4ª geração
do iPad, iPhone e iPod touch. O MobileMe fornece recursos adicionais com uma assinatura paga. O MobileMe pode não estar disponível em todos os países ou regiões. Para
obter mais informações, visite o site www.apple.com/br/mobileme.50
Sobre o Safari
Use o Safari no iPad para navegar pela web e visitar os seus sites favoritos. Use o
AirPrint para imprimir as páginas web e PDFs. Abra múltiplas páginas e adicione web
clips à tela de Início para acesso rápido. Crie favoritos no iPad e sincronize-os com seu
computador.
Para usar o Safari, o iPad deve ter uma conexão à Internet. Consulte “Como Conectar-se
à Internet” na página 30.
Como Visualizar Páginas Web
Você pode visualizar páginas web na vertical ou na horizontal. Gire o iPad e a página
web girará, ajustando-se automaticamente para ajustar-se à página.
4
SafariCapítulo 4 Safari 51
Como Abrir Páginas Web
Para abrir uma página web: Toque no campo de endereço (na barra de título) para
que apareça o teclado na tela, digite o endereço web e depois toque em Ir. Se o campo de endereço não estiver visível, toque na barra de estado situada na parte superior
da tela para rolar rapidamente para o campo de endereço.
À medida que você digita, aparecem os endereços web que começam com aquela
letra. São as suas páginas favoritas ou as que você abriu recentemente. Toque em um
endereço para ir para aquela página. Continue digitando se deseja inserir um endere-
ço web que não está na lista.
Para apagar o texto no campo de endereço: Toque no campo endereço e, em seguida, toque em .
Como Realizar o Zoom e a Rolagem
Para ampliar e reduzir: Toque duas vezes em uma coluna de uma página web para
ampliá-la. Toque duas vezes novamente para reduzi-la..
Você pode também separar ou juntar os dedos para ampliar ou reduzir.
Para rolar por uma página web Arraste para cima, para baixo ou para os lados.
Ao rolar, você pode tocar e arrastar em qualquer
lugar da página sem ativar nenhum link.
Para rolar dentro de um quadro em uma página
web
Use dois dedos para rolar dentro de um quadro
de uma página web. Use um dedo para rolar a
página web inteira.
Para rolar rapidamente para o topo de uma
página web
Toque na barra de estado na parte superior da
tela do iPad.
Como Navegar por Páginas Web
Os links de uma página web normalmente o levam a um lugar diferente na web.
Para seguir um link em uma página web: Toque no link.Links no iPad também podem exibir uma localização nos Mapas ou criar uma mensagem do Mail com endereço predefinido. Para voltar ao Safari após um link abrir outro
aplicativo, clique duas vezes no botão Início e toque em Safari.
Para ver o endereço de destino de um link Mantenha pressionado o link. O endereço aparece em uma janela próxima ao seu dedo. Você
pode abrir o link na página ativa, em uma nova
página ou copiar o endereço.
Para interromper o carregamento de uma pá-
gina web
Toque .
Para recarregar uma página web
Toque no .
Para ir para a página anterior ou seguinte Toque na ou na parte superior da tela.
Como colocar uma página nos favoritos
Toque no e, em seguida, toque em Favorito.
Como adicionar um clipe de uma página web à
tela Início
Toque no e toque em “Adicionar à Tela Início.”
Para retornar a uma página visualizada
recentemente
Toque no e toque em Histórico. Para limpar a
lista do histórico, toque em Limpar.
Como enviar um endereço de página web em
um e-mail
Toque no e toque em “Enviar Link por e-mail".
Como salvar uma imagem ou foto na sua
Fototeca
Mantenha pressionada a imagem e, em seguida,
toque em Salvar Imagem.
Como Abrir Várias Páginas
Você pode abrir até nove páginas ao mesmo tempo. Alguns links abrem automaticamente uma nova página ao invés de substituir a página atual.
Para abrir uma nova página: Toque no e toque em Nova Página.
Para ir para uma página diferente:Toque no e, em seguida, toque na página que
deseja visualizar.
Para fechar uma página: Toque no e toque no .
52 Capítulo 4 SafariCapítulo 4 Safari 53
Como Digitar Texto e Preencher Formulários
Algumas páginas web possuem campos de texto e formulários para preencher. Você
pode configurar o Safari para que memorize nomes e senhas de sites que visitar e para
preencher campos de texto automaticamente com as informações dos Contatos.
Como fazer o teclado aparecer Toque dentro de um campo de texto.
Para mover para outro campo de texto Toque em outro campo de texto ou nos botões
Próximo ou Anterior acima do teclado na tela.
Para enviar um formulário Depois de preencher o formulário, toque em Ir
ou Buscar. A maioria das páginas também possuem um link que você pode tocar para enviar o
formulário.
Para fechar o teclado sem enviar o formulário Toque na tecla Teclado para ocultar o teclado
na tela.
Para ativar o Preenchimento Automático para ajudá-lo a preencher formulários da
web: Em Ajustes, escolha Safari > Preenchimento Automático e, em seguida, siga um
destes procedimentos:
 Para utilizar as informações dos contatos, ative Dados de Contato; em seguida, escolha Meus Dados e selecione o contato que deseja utilizar.
O Safari utiliza as informações dos Contatos para preencher os campos de contato
nos formulários da web.
 Para utilizar as informações dos nomes e senhas, ative Nomes e Senhas.
Quando esse recurso está ativado, o Safari se lembra dos nomes e senhas dos sites
que você visitou e automaticamente preenche as informações quando você visita o
site novamente.
 Para remover todas as informações do Preenchimento Automático, toque em Limpar
Tudo.
Como imprimir páginas web e arquivos PDF
Use o AirPrint para imprimir as páginas web e PDFs do Safari.
Para imprimir uma página web ou PDF: Toque em na parte superior da tela e, em
seguida, toque em Imprimir. Toque em Selecionar Impressora para selecionar uma impressora e definir as opções da impressora. Em seguida, toque em Imprimir.
Para obter mais informações sobre impressão a partir do iPad, consulte “Impressão” na
página 42.Como Buscar na Web
Insira palavras ou frases no campo de busca para pesquisar pela web e página web
atual. Conforme você digita, aparecem buscas recentes e sugeridas.
Para buscar na web:
1 Toque no campo de busca (do lado direito da barra de título).
2 Digite uma palavra ou frase que descreva o que você está procurando, depois toque
em Buscar.
3 Toque em um link da lista de resultados da busca para abrir uma página web.
Para obter dicas sobre como buscar na Internet efetivamente, visite o site www.google.
com/help/features.html ou help.yahoo.com/us/yahoo/search/basics.
Para procurar uma palavra ou frase na página web atual: No final da lista de resultados, toque na entrada embaixo de Nesta Página para localizar a primeira ocorrência de
uma palavra ou frase. Para localizar ocorrências subsequentes, toque em Seguinte na
parte inferior da tela.
Por padrão, o Safari realiza buscas utilizando o Google. Para alterar o padrão para um
mecanismo de pesquisa diferente, em Ajustes, escolha Safari > Motor de Busca e escolha um motor de busca.
Favoritos
Você pode marcar uma página web que deseja ver mais tarde como favorita.
Como marcar uma página web como favorito: Abra a página e toque em . Depois
toque em Adicionar Favorito.
Quando você salva um favorito, pode editar o seu título. Por padrão, os favoritos são
salvos na parte superior dos Favoritos. Toque em Favoritos para escolher uma pasta
diferente.
Se você usa o Safari em um Mac, ou o Safari ou o Microsoft Internet Explorer em um
PC, você pode sincronizar os favoritos com o navegador do seu computador.
Para sincronizar os favoritos com o seu computador:
1 Conecte o iPad ao seu computador.
2 No iTunes, selecione iPad na barra lateral.
3 Clique na aba de Informações, selecione “Sincronizar favoritos do Safari" em Outros e
depois clique em Aplicar.
Para obter mais informações, consulte “Como Sincronizar com o iTunes” na página 25.
Para sincronizar os favoritos com o MobileMe: Nos Ajustes do iPad, selecione
Favoritos em sua conta do MobileMe. Consulte “Como Configurar Contas MobileMe” na
página 32.
54 Capítulo 4 SafariCapítulo 4 Safari 55
Para abrir uma página web guardada como favorito: Toque no ; depois, escolha
um favorito ou toque em uma pasta para ver os favoritos dentro dela.
Para editar um favorito ou uma pasta de favoritos:Toque no , escolha a pasta que
possui o favorito ou a pasta que deseja editar e toque em Editar. Em seguida, realize
uma das seguintes ações:
 Para criar uma nova pasta, toque em Nova Pasta.
 Para apagar um favorito ou pasta, toque no e, em seguida, toque em Apagar.
 Para reposicionar um favorito ou pasta, arraste .
 Para editar o nome ou endereço, ou para colocá-lo em uma pasta diferente, toque no
favorito ou na pasta.
Quando acabar, pressione OK.
Web Clips
Adicione web clips à tela de Início para obter acesso rápido as suas páginas web marcadas como favoritas. Os web clips aparecem como ícones na tela de Início, e você
pode organizá-los junto com os outros ícones de aplicativos. Consulte “Como reorganizar os ícones dos aplicativos” na página 40.
Para adicionar um clip da web: Abra a página web e toque em . Em seguida, toque
em “Adicionar à Tela Início”.
Ao abrir um web clip, o Safari amplia e rola automaticamente para a área da página
web que foi exibida quando você salvou o web clip. A área exibida é também usada
para criar o ícone do web clip na sua tela de Início, a menos que a página web tenha o
seu próprio ícone personalizado.
Quando você adiciona um web clip, você pode editar o nome dele. Se o nome for muito longo (mais de 10 caracteres), ele pode aparecer abreviado na tela de Início.
Os web clips não são sincronizados pelo MobileMe ou iTunes, mas são copiados como
backup pelo iTunes.
Para apagar um clip da web:
1 Mantenha pressionado qualquer ícone na tela de Início até que os ícones comecem a
tremular.
2 Toque no no canto do web clip que deseja apagar.
3 Toque em Apagar; depois, pressione o botão Início para salvar sua ordenação.56
Sobre o Mail
Leia este capítulo para aprender como usar o Mail para ler suas mensagens de e-mail e
compor novas mensagens.
Você pode visualizar as mensagens de todas as suas contas de e-mail de uma vez, e o
Mail exibe os encadeamentos de mensagens para que seja fácil seguir uma conversa.
Você pode enviar ou receber fotos e gráficos integrados e visualizar PDFs e outros anexos. Use o AirPrint para imprimir mensagens e seus anexos.
O Mail funciona com o MobileMe, Microsoft Exchange e com muitos dos serviços de
correio mais populares, incluindo o Yahoo! Mail, o e-mail do Google e AOL—assim
como com outros serviços de e-mail padrão POP3 e IMAPs.
Para enviar ou receber mensagens no Mail, o iPad deve possuir uma conexão à
Internet. Consulte “Como Conectar-se à Internet” na página 30.
Como Configurar Contas de E-mail
Você pode configurar contas de e-mail no iPad de uma das seguintes formas:
 Configure suma conta diretamente no iPad. Consulte “Como adicionar Mail, Contatos
e Contas do Calendário” na página 32.
 No iTunes, utilize os painéis de ajustes do iPad para sincronizar ajustes de contas de
e-mail a partir do seu computador. Consulte “Como Sincronizar com o iTunes” na
página 25.
5 MailCapítulo 5 Mail 57
Como Enviar um e-mail
Você pode enviar uma mensagem de e-mail a qualquer pessoa que possua um endereço de e-mail.
Para escrever e enviar uma mensagem:
1 Toque no na parte superior da tela.
2 Digite um nome ou um endereço de e-mail no campo Para ou toque no para adicionar um nome dos seus contatos.
À medida em que você digita um endereço de e-mail, os endereços de e-mail coincidentes da sua lista de contatos vão aparecendo. Toque em um endereço para adicioná-lo. Para adicionar mais nomes, toque no .
Nota: Se você estiver redigindo uma mensagem da sua conta Microsoft Exchange e
possuir acesso à lista GAL (Global Address List) da sua empresa, os endereços coincidentes dos contatos do iPad aparecerão primeiro e depois aparecerão os endereços
GAL coincidentes.
3 Toque em Cc/Cco/De se você deseja enviar a mensagem com cópia ou com cópia
oculta a outras pessoas, ou se deseja alterar a conta a partir da qual você envia a mensagem. Se tiver mais de uma conta de e-mail, você pode tocar no campo De para alterar a conta de onde a está enviando.
4 Digite um assunto e depois digite sua mensagem.
Você pode tocar em Retornar para mover-se do campo Título para o corpo da
mensagem.
5 Toque em Enviar.
Como enviar uma foto em uma mensagem de
e-mail
Em Fotos, escolha uma foto, toque em , depois
toque em Enviar Foto por E-mail. Para enviar
várias fotos na mesma mensagem, toque em
quando estiver visualizando miniaturas em um
álbum. Você também pode copiar e colar fotos.
A foto é enviada usando a sua conta de e-mail
padrão. Para alterar a conta de envio padrão, consulte “Mail, Contatos, Calendários” na página 179.
Como salvar um rascunho de uma mensagem
para completá-la mais tarde
Toque em Cancelar e depois toque em Salvar. A
mensagem é salva na caixa Rascunhos. Para abrir
rapidamente o rascunho salvo mais recentemente, toque e mantenha o .
Para responder uma mensagem Abra uma mensagem e toque em . Toque em
Responder para responder somente ao remetente ou em Responder a Todos para responder ao
remetente e a todos os destinatários. Digite a sua
resposta e depois toque em Enviar.
As imagens ou arquivos anexos da mensagem
original não são incluídos na resposta.Para encaminhar uma mensagem Abra uma mensagem e toque em e, em seguida, toque em Encaminhar. Adicione um ou
mais endereços de e-mail, digite a sua mensagem
e depois toque em Enviar.
Ao encaminhar uma mensagem, você pode
incluir as imagens ou arquivos anexos da mensagem original.
Para compartilhar informações de contatos Nos Contatos, escolha um contato, depois toque
em Compartilhar. Adicione um ou mais endere-
ços de e-mail, digite a sua mensagem e depois
toque em Enviar.
Como Verificar e Ler E-mails
O ícone do Mail mostra o número total de mensagens que ainda não foram lidas em
todas as suas caixas de entrada. Você pode ter outras mensagens não lidas em outras
caixas de correio.
Quantidade de mensagens
não lidas nas suas caixas
de entrada
Para verificar se há novas mensagens: Escolha uma caixa de correio, toque em Caixa
de Entrada ou em .
Na tela de cada conta, você pode ver o número de mensagens não lidas em cada caixa
de correio. Toque em uma caixa de correio para ver as mensagens. As mensagens não
lidas possuem um ponto azul ao lado delas.
Se você tiver mais de uma conta de correio, toque em Caixas de Correio para alternar
entre contas. Para visualizar todas as suas mensagens em uma caixa de entrada unificada, toque em Todas as Caixas de Correio.
Quantidade de
mensagens não lidas
Mensagens
não lidas
58 Capítulo 5 MailCapítulo 5 Mail 59
As mensagens relacionadas são agrupadas em um encadeamento. Somente a primeira
mensagem é exibida na caixa de entrada e a quantidade de mensagens relacionadas
é indicada. Para visualizar o encadeamento, toque-o. Para desativar o encadeamento
de mensagens, vá para Ajustes > “Mail, Contatos, Calendários” e desative “Organizar Por
Encadeamento”.
Ao abrir uma caixa de correio, o Mail carrega a quantidade de mensagens especificadas nas configurações do Mail, caso as mensagens ainda não tenham sido carregadas
automaticamente. Consulte “Mail, Contatos, Calendários” na página 179.
Para carregar mensagens adicionais: Role para o final da lista de mensagens e toque
em Carregar Mais Mensagens.
Para ler uma mensagem: Toque em uma caixa de correio e depois toque em uma
mensagem. Dentro de uma mensagem, toque na ou para ver a próxima mensagem ou a mensagem anterior.Girar o iPad entre as orientações vertical e horizontal permite que você enfoque em
uma única mensagem, ou veja todas as mensagens para que possa rapidamente verificar e visualizar aquelas que lhe interessam mais.
Como ampliar uma parte de uma mensagem Toque duas vezes na área para ampliá-la. Toque
duas vezes novamente para reduzi-la.
Como redimensionar qualquer coluna de texto
para que se ajuste à tela
Toque duas vezes no texto.
Para redimensionar uma mensagem Toque a mensagem com dois dedos e separe-os
ou aproxime-os para ampliar ou reduzir.
Como abrir um link Toque no link.
Os textos dos links normalmente aparecem sublinhados em azul. Muitas imagens também são
links. Um link pode levá-lo uma página web, abrir
um mapa, ou abrir uma mensagem de e-mail
com o campo de endereço já preenchido.
Os links de web e mapas abrem o Safari ou o
Mapas no iPad. Para voltar ao Mail, pressione o
botão Início e pressione Mail.
Para ver o endereço de destino de um link Mantenha pressionado o link. Você pode abrir o
link no Safari ou copiar o endereço do link para a
área de transferência.
O iPad mostra os anexos de imagem nos formatos usados mais frequentemente (JPEG,
GIF e TIFF) alinhados com o texto das mensagens de e-mail. O iPad pode reproduzir
vários anexos de áudio, como MP3, AAC, WAV e AIFF. Você pode transferir e visualizar
arquivos (como PDF, páginas web, textos, arquivos do Pages, Keynote, Numbers e documentos do Microsoft Word, Excel e PowerPoint) que estejam anexos às mensagens
que receber.
Para abrir um arquivo anexo: Toque no anexo para transferi-lo para o iPad e, em seguida, abra-o. Se o iPad não for compatível com o formato de uma arquivo em anexo,
você pode ver o nome do arquivo, mas não pode abri-lo.
60 Capítulo 5 MailCapítulo 5 Mail 61
Para abrir um arquivo anexo com um aplicativo diferente: Toque e mantenha pressionado o anexo e, em seguida, escolha um aplicativo. Se você não tiver nenhum
aplicativo que possa abrir o anexo, você pode vê-lo, desde que seja um tipo de arquivo
que compatível com o iPad.
Para obter uma lista de formatos de documento compatíveis, consulte “Se os anexos
do e-mail não abrirem” na página 202.
Para salvar uma foto anexa no seu álbum Fotos Salvas: Toque na foto e depois toque
em Salvar Imagem.
Como ver todos os destinatários de uma
mensagem
Toque em Detalhes na parte superior da tela.
Pressione o nome ou o endereço de e-mail para
ver as informações de contato do destinatário.
Toque no endereço de e-mail para contatar
a pessoa. Toque em Ocultar para ocultar os
destinatários.
Para adicionar um destinatário de e-mail a sua
lista de contatos
Toque na mensagem e toque em Detalhes para
ver os destinatários. Depois toque em um nome
ou endereço de e-mail e toque em Criar Novo
Contato ou "Adicionar a Contato”.
Para marcar uma mensagem como não lida Abra a mensagem e toque em “Marcar como Não
Lida” próximo à linha do título.
Um ponto azul aparecerá ao lado da mensagem na lista de caixas de correio até que você a
abra novamente.
Para abrir um convite de uma reunião: Toque no convite.
Você pode obter as informações de contato do organizador e dos convidados, definir
um alerta, adicionar notas ao evento e adicionar comentários que serão incluídos na
sua resposta e enviados por e-mail ao organizador. Você pode aceitar, aceitar provisoriamente ou recusar o convite. Consulte “Como Responder a Convites de Reuniões” na
página 96.
Para salvar uma foto anexada no Fotos: Toque na foto e depois toque em Salvar
Imagem. Como Buscar E-mails
Você pode buscar nos campos Para, De e Assunto das mensagens de e-mail. O Mail
busca as mensagens transferidas na caixa de correio aberta no momento. Para o
MobileMe, Exchange e algumas contas de e-mail IMAP, você pode também buscar
mensagens do servidor.
Para buscar mensagens de e-mail: Abra uma caixa de correio, role até o topo e digite
o texto no campo Buscar. Toque em De, Para, Assunto ou Tudo (De, Para e Assunto)
para escolher os campos nos quais deseja buscar. (Toque na barra de estado para rolar
rapidamente para o topo da lista e revelar o campo de busca.)
Os resultados da busca nas mensagens já transferidas para o iPad aparecem automaticamente conforme você digita. Toque em Buscar para que o teclado desapareça e
você possa ver mais resultados.
Para apagar ou mover mensagens encontradas: Após concluir a pesquisa, toque em
Editar e, em seguida, selecione as mensagens que deseja apagar ou mover. Uma marca
aparece ao lado de cada mensagem selecionada. Para apagar as mensagens, toque
em Apagar. Para mover as mensagens, toque em Mover e, em seguida, toque em uma
pasta de destino.
Para buscar mensagens no servidor: Toque em “Continuar Busca no Servidor” no final
dos resultados da busca.
Nota: Os resultados de pesquisa de mensagens nos servidores podem variar porque
alguns servidores procuram somente palavras completas.
Para imprimir mensagens e anexos
Você pode usar o AirPrint para imprimir as mensagens de e-mail e anexos que o iPad
pode visualizar.
Para imprimir Receber uma mensagem de e-mail:Toque no e, em seguida, toque
em Imprimir. Selecione as opções de impressão que deseja e, em seguida, toque em
Imprimir.
Para imprimir uma imagem sem o restante da mensagem de e-mail, salve a imagem
(toque na imagem e toque em Salvar Imagem) e, em seguida, abra Fotos e imprima a
imagem do seu álbum Fotos Salvas.
Para imprimir um anexo: Toque no anexo para visualizá-lo e, em seguida, toque em
e toque em Imprimir. Selecione as opções que deseja e, em seguida, toque em
Imprimir.
62 Capítulo 5 MailCapítulo 5 Mail 63
Para obter mais informações sobre a utilização de impressoras AirPrinter, consulte
“Impressão” na página 42.
Como Organizar os E-mails
Você pode apagar mensagens uma de cada vez ou selecionar um grupo para apagar
todas de uma vez. Você também pode mover mensagens de uma caixa de correio ou
pasta para outra.
Para apagar uma mensagem: Abra a mensagem e toque em . Ou, passe o dedo para
a esquerda ou para a direita sobre o título da mensagem na lista de mensagens e depois toque em Apagar.
Para apagar várias mensagens: Ao visualizar uma lista de mensagens, toque em
Editar, selecione as mensagens que você deseja apagar e depois toque em Apagar.
Você também pode pesquisar as mensagens e escolher aquelas que deseja apagar.
Consulte “Como Buscar E-mails” na página 62.
Para mover uma mensagem para outra caixa de correio ou pasta: Ao visualizar uma
mensagem, toque no e depois escolha uma caixa de correio ou pasta.
Para mover várias mensagens: Quando visualizar uma lista de mensagens, pressione
Editar, selecione as mensagens que deseja mover, toque em Mover e selecione uma
caixa de correio ou pasta. Você também pode pesquisar as mensagens e escolher
aquelas que deseja mover. Consulte “Como Buscar E-mails” na página 62.64
Sobre a Câmera
Com o iPad, você tem uma ótima câmera fotográfica e uma câmera de vídeo para levar
a qualquer lugar. O iPad possui uma câmera posterior que tira fotos e realiza vídeos de
alta definição. Além disso, possui uma câmera frontal que permite que você faça liga-
ções de vídeo do FaceTime e que você realize fotos e vídeos próprios.
Use a tela para controlar a câmera posterior e para ver a foto ou o vídeo que está realizando. Você pode tocar em qualquer lugar da tela para selecionar um objeto ou área
especifica, e ajustar automaticamente a exposição baseada naquela parte da imagem.
O recurso de autofoco (máximo de 10 cm) e um zoom digital de 5x permitem tirar ótimos close-ups.
Se você possui uma conexão de Internet e os serviços de localização estão ativados, as
fotos e vídeos são etiquetados com dados de localização. Você pode usar os dados de
localização com alguns aplicativos e sites de compartilhamento de fotos para controlar
e publicar onde você tirou as fotos. Por exemplo, o aplicativo Fotos organiza fotos de
acordo com lugares.
Nota: Se os serviços de localização estiverem desativados quando abrir a Câmera pela
primeira vez, talvez seja solicitado que você ative estes serviços. Se você não quiser
incluir os dados da localização em suas fotos e vídeos, poderá utilizar a Câmera sem
ativar os serviços de localização. Consulte “Serviços de Localização” na página 169.
6
CâmeraCapítulo 6 Câmera 65
Como tirar fotos e gravar vídeos
Tirar fotos e gravar vídeos com o iPad é tão fácil como apontar e tocar. Certifique-se de
que o botão Câmera/Vídeo esteja ajustado para .
Para tirar uma foto: Direcione o iPad e toque .
Ao tirar uma foto ou iniciar uma gravação de vídeo, o iPad emite um som de obturador. Você pode usar os botões de volume para controlar o volume do som do obturador. O som não será emitido se você ajustar o botão Interruptor Lateral para silencioso.
Consulte “Botões” na página 10.
Nota: Em algumas regiões, os efeitos de som da Câmera são reproduzidos, mesmo se
o botão Interruptor Lateral estiver ajustado para o modo silencioso.
Para gravar um vídeo: Deslize o interruptor Câmera/Vídeo para , depois toque em
para iniciar a gravação. O botão de gravação pisca enquanto você grava. Toque
em novamente para parar a gravação.
Para alterar a área de foco e ajustar a exposição: Toque no local onde deseja definir a
exposição. A câmera ajusta a exposição para a área selecionada da imagem.
Para ampliar e reduzir: Toque na tela e, em seguida, arraste o controle deslizante da
parte inferior da tela para ampliar ou reduzir (câmera principal, somente no modo
câmera).
Para alternar entre as câmeras frontal e posterior:Toque em no canto superior
direito da tela.
Para rever uma foto ou vídeo que você acabou de fazer: Toque na miniatura de sua
última foto, no canto inferior esquerdo da tela.
Utilize as flechas esquerda e direita na parte inferior da tela para rever outras fotos e
vídeos no Rolo da Câmera, ou apenas passe o dedo para a esquerda ou para a direita.
Toque OK para voltar ao modo câmera ou vídeo. Se você não estiver visualizando os
controles, toque na tela para exibi-los.Para apagar uma foto ou vídeo: Toque em . Se não estiver visualizando o , toque
na tela para exibir os controles.
Para tirar uma foto: Pressione e solte rapidamente os botões Repousar/Despertar e
o botão Início. A tela pisca quando uma captura de tela é tirada e a captura de tela é
adicionada ao álbum Rolo da Câmera.
Como visualizar e compartilhar fotos e vídeos
As fotos e vídeos criados com a câmera são salvos no álbum Rolo da Câmera do iPad.
Você pode visualizar o álbum Rolo da Câmera tanto em Câmera como em Fotos.
Para visualizar fotos e vídeos do álbum Rolo da Câmera: Na Câmera, toque na imagem em miniatura do canto inferior esquerdo da tela. Em Fotos, toque no álbum Rolo
da Câmera. Toque no botão esquerdo ou direito ou passe o dedo para a esquerda ou
para a direita para navegar pelas fotos e vídeos.
Ao visualizar uma foto ou vídeo no álbum Rolo da Câmera, toque na tela para exibir os
controles.
Para obter mais informações sobre visualização e compartilhamento de fotos e vídeos,
consulte:
 “Como visualizar fotos e vídeos” na página 76
 “Compartilhamento de Fotos” na página 78
Como recortar vídeos
É possível recortar os fotogramas do começo e fim de um vídeo que acabou de gravar
ou de qualquer outro vídeo no álbum Rolo de Câmera. Você pode substituir o vídeo
original ou salvar a versão recortada como um novo videoclipe.
Para recortar um vídeo:
1 Enquanto visualiza um vídeo, toque na tela para exibir os controles.
2 Arraste as duas extremidades do visualizador de fotogramas que fica na parte superior
do vídeo e toque em Recortar.
3 Toque em Recortar Original ou em "Salvar como Novo Clipe”.
Importante: Se selecionou Recortar Original, os fotogramas recortados são apagados
permanentemente do vídeo original. Se selecionou "Salvar como Novo Clipe", um
novo videoclipe recortado é salvo no álbum Rolo da Câmera e o vídeo original fica
inalterado.
66 Capítulo 6 CâmeraCapítulo 6 Câmera 67
Para carregar fotos e vídeos em seu computador
Você pode carregar as fotos e vídeos criados com sua câmera para os aplicativos de
fotos de seu computador, como o iPhoto em um Mac.
Para carregar fotos e vídeos em seu computador:Conecte o iPad ao seu computador.
 Mac: Selecione as fotos e vídeos desejados e clique no botão Importar ou Transferir
do iPhoto ou em outro aplicativo de foto compatível do seu computador.
 PC: Siga as instruções fornecidas com seu aplicativo de foto.
Se apagar as fotos e os vídeos do iPad quando transferi-los para o seu computador,
eles serão removidos do álbum Rolo de Câmera. Você pode utilizar o painel de ajustes
Fotos do iTunes para sincronizar fotos e vídeos (os vídeos apenas podem ser sincronizados com Macs) com o aplicativo Fotos do iPad. 68
Sobre o FaceTime
O FaceTime permite que você faça videoconferências através de Wi-Fi. Use a câmera
frontal para conversar cara a cara ou a câmera posterior para compartilhar o que você
está vendo ao redor.
Para usar o FaceTime, você precisa de um iPad 2 e uma conexão Wi-Fi com a Internet.
A pessoa para a qual você ligar também deve ter um dispositivo ou computador
que funcione com o FaceTime. Para obter mais informações, consulte “FaceTime” na
página 186.
Nota: Talvez o FaceTime não esteja disponível em todos os países ou regiões.
7
FaceTimeCapítulo 7 FaceTime 69
Como iniciar a sessão
Para usar o FaceTime, você necessita um ID da Apple. Se você possui uma conta da
iTunes Store, da MobileMe ou outra conta da Apple, você pode usar esse ID da Apple
com o FaceTime. Se você não tiver um ID da Apple, poderá criar um quando abrir o
FaceTime.
Você não precisa iniciar ou finalizar a sessão cada vez que utilizar o FaceTime. Uma
vez que iniciar a sessão, você pode iniciar uma videoconferência do FaceTime
imediatamente.
Para iniciar a sessão no FaceTime:
1 Abra o FaceTime, digite o seu ID e senha da Apple e depois toque em Iniciar a Sessão.
Caso você ainda não tenha uma conta da Apple, você pode tocar em Criar Nova Conta
e configurar uma nesse momento.
2 Na tela FaceTime, digite o e-mail que outras pessoas utilizarão para ligar para você no
FaceTime e toque em Seguinte. Se é a primeira vez que você usou este e-mail para o
FaceTime, talvez você tenha que verificar se recebeu novos e-mails nesta conta e responder a mensagem de confirmação da Apple. (Se você já adicionou a conta ao Mail
no seu iPad, a verificação é automática.)
Agora você pode escolher um contato para iniciar uma ligação do FaceTime e outras
pessoas podem ligar para você utilizando o e-mail que você forneceu. Caso utilize mais
de um e-mail, você pode adicionar outros, como descrito abaixo.
Para criar uma nova conta:
1 Abra o FaceTime e digite Criar Nova Conta.
2 Siga as instruções da tela. O e-mail que você digitar será o ID da Apple da nova conta.
3 Na tela FaceTime, digite o e-mail que você deseja que as pessoas utilizem para conectar com você. Este endereço não necessita ser o mesmo que você digitou para o ID da
Apple, mas deve ser um e-mail que funcione.
4 Responda o e-mail de confirmação enviado da Apple ao e-mail que você digitou no
passo anterior.
Caso possua mais de um endereço de e-mail, você pode permitir que as pessoas liguem para você usando qualquer um deles.
Para adicionar e-mails:Escolha Ajustes > FaceTime e depois clique em Adic. Outro
E-mail.
Para finalizar a sessão:Normalmente não é necessário finalizar a sessão do FaceTime—
basta apenas iniciar a sessão uma vez e abrir o FaceTime posteriormente, sem receber
nenhuma solicitação de início de sessão novamente. Você não pode receber ligações
do FaceTime quando a sessão não está iniciada. Mas, se precisar finalizar a sessão, escolha Ajustes > FaceTime e, em seguida, toque em Conta. Para desativar o FaceTime: Se você não desejar receber ligações do FaceTime, escolha
Ajustes > FaceTime e desative o FaceTime.
Como realizar uma videoconferência do FaceTime
Para realizar uma ligação do FaceTime, escolha o aplicativo FaceTime e, em seguida,
alguém dos seus contatos, favoritos ou da lista de ligações recentes.
Para ligar para um contato:Toque em Contatos, escolha um nome e, em seguida, toque no endereço de e-mail ou número de telefone usado com o FaceTime.
Para adicionar um contato: Toque em Contatos, toque em e depois digite o nome
da pessoa e seu e-mail ou número de telefone. Para um contato fora da sua região,
certifique-se de inserir o número completo, incluindo o código do país e o código de
área—por exemplo, +1 (408) 555-1234 nos Estados Unidos.
Para reiniciar uma ligação recente:Toque em Recentes e escolha o nome ou número.
Para ligar para um favorito:Toque em Favoritos e, em seguida, toque em um nome ou
número da lista.
Enquanto você está falando
Enquanto você está falando com alguém no FaceTime, você pode alternar entre as câ-
meras, mudar a orientação da câmera, silenciar o microfone, mover sua tela imagem a
imagem, abrir outro aplicativo e finalmente, finalizar a sua ligação.
Para alternar entre as câmeras frontal e posterior:Toque em .
Para alterar a orientação da câmera:Gire o iPad. A imagem que seu amigo vê se altera
para coincidir com a tela.
Para evitar a rotação da tela quando você mover a câmera, ative o bloqueio de orienta-
ção. Consulte “Visualização na Vertical ou Horizontal” na página 16.
Para silenciar o microfone:Toque em . Seu amigo poderá apenas vê-lo e você poderá ver e ouvir seu amigo.
Para mover sua tela imagem a imagem:Arraste a janela pequena para qualquer canto.
Para usar outros aplicativos durante uma ligação: Pressione o botão Início , depois
toque no ícone de um aplicativo. Você ainda poderá falar com o seu amigo, mas vocês
não estarão visíveis. Para retornar ao vídeo, toque na barra verde da parte superior da
tela.
Para finalizar a ligação: Toque em .
70 Capítulo 7 FaceTime71
Sobre o Photo Booth
É fácil tirar uma foto usando o Photo Booth. Torne a sua foto mais interessante aplicando um efeito ao tirá-la. O Photo Booth funciona com ambas as câmeras frontal e
posterior.
Como selecionar um efeito
Antes de tirar uma foto, você pode selecionar um efeito a ser aplicado na imagem.
Para selecionar um efeito:Toque no e, em seguida, toque no efeito que deseja usar.
8
Photo BoothPara distorcer uma imagem: Se você selecionar um efeito de distorção, arraste o seu
dedo pela tela para alterar a distorção. Você também pode juntar, passar ou girar os
dedos na imagem para alterar a distorção.
Como tirar uma foto
Para tirar uma foto no Photo Booth, simplesmente direcione o iPad e toque.
Para tirar uma foto: Direcione o iPad e toque .
Quando você tira uma foto, o iPad reproduz o som de um obturador. Você pode utilizar
os botões de volume da lateral do iPad para controlar o volume do som do obturador.
O som não será emitido se você ajustar o botão Interruptor Lateral para silencioso.
Consulte “Botões” na página 10.
Nota: Em algumas regiões, os efeitos de som são reproduzidos mesmo se o botão
Interruptor Lateral estiver ajustado para o modo silencioso.
Para alternar entre as câmeras frontal e posterior: Toque no na parte inferior da
tela.
Para rever a foto que acabou de tirar: Toque na miniatura da sua última captura. Passe
os dedos para a esquerda ou para a direita para visualizar mais miniaturas.
Se você não estiver visualizando os controles, toque na tela para exibi-los.
Para apagar uma foto: Selecione uma miniatura e, em seguida, toque no .
Para gerenciar fotos:Toque na miniatura da foto—você pode selecionar mais que
uma. Toque no e, em seguida, toque em E-mail, Copiar ou Apagar.
72 Capítulo 8 Photo BoothCapítulo 8 Photo Booth 73
Como visualizar e compartilhar fotos
As fotos tiradas com o Photo Booth são salvas no álbum Rolo da Câmera no iPad. Você
pode visualizar o álbum Rolo da Câmera no aplicativos Fotos.
Para visualizar fotos no álbum Rolo da Câmera: Em Fotos, toque no álbum Rolo da
Câmera. Para navegar pelas fotos, toque no botão esquerdo ou direito, ou passe os dedos para a esquerda ou para a direita.
Você pode usar o Mail para enviar um foto do Photo Booth em uma mensagem de
e-mail.
Para enviar uma foto: Toque em uma miniatura para selecionar a foto ou toque novamente para selecionar mais de uma foto. Toque no e, em seguida toque no botão
E-mail na parte inferior da tela.
O Mail é aberto e cria ma nova mensagem com a foto anexada.
Como carregar fotos para o seu computador
Carregue as fotos tiradas com o Photo Booth para os aplicativos de fotos de seu computador, como o iPhoto em um Mac.
Para carregar as fotos para o seu computador: Conecte o iPad ao seu computador.
 Mac: Selecione as fotos que deseja carregar e clique no botão Importar ou Transferir
no iPhoto ou em outro aplicativo de fotos compatível do seu computador.
 PC: Siga as instruções fornecidas com seu aplicativo de foto.
Se você apagar as fotos do iPad quando transferi-las para o seu computador, elas serão
removidas do álbum Rolo de Câmera. Você pode usar o painel de ajustes de Fotos no
iTunes para sincronizar fotos para o aplicativo Fotos em iPad.74
Sobre as fotos
O iPad permite que você carregue fotos e vídeo com você para que possa usufruí-los
onde estiver. Você pode compartilhá-los facilmente com amigos e familiares, diretamente no iPad ou em um HDTV usando o AirPlay e o Apple TV. Você pode até imprimir
fotos do iPad usando o AirPrint. Se o seu iPad possuir uma câmera, você poderá visualizar fotos e vídeos à medida que os vai criando. Você pode sincronizar fotos e vídeos
no seu computador, importá-las de uma câmera digital ou do iPhone, ou salvá-las de
um e-mail ou da web. Use-os em aplicativos, envie-os em mensagens de e-mail ou
transfira-os para a sua Galeria do MobileMe. Você pode usar o iPad como porta-retrato
que exibe uma apresentação de slides animada das suas fotos.
Como sincronizar fotos e vídeos com o seu computador
O iPad é compatível com formatos de foto padrão como JPEG, TIFF, GIF e PNG. Use o
iTunes para sincronizar fotos para iPad. Ao sincronizar fotos para o iPad, o iTunes automaticamente cria um tamanho otimizado para o iPad, se necessário. Consulte “Como
configurar a sincronização” na página 25.
O iPad é compatível com os formatos de vídeo H.264 e MPEG-4, com áudio AAC. Você
usa o iTunes para sincronizar vídeos gravados com uma câmera digital, iPhone ou iPod
touch (4ª geração) para iPad.
9
FotosCapítulo 9 Fotos 75
Como importar fotos e vídeos do iPhone ou de uma câmera
digital
Com o Kit de Conexão de Câmera para iPad (vendido separadamente), você pode importar fotos e vídeos diretamente de uma câmera digital ou iPhone, ou de um cartão
de memória SD.
Para importar fotos:
1 Insira o Leitor de Cartão SD ou o Conector de Câmera, incluídos com o Kit de Conexão
de Câmera para iPad, no conector de dock do iPad.
 Para conectar uma câmera ou iPhone, use o cabo USB que acompanha a câmera
ou o iPhone, e conecte-o à porta USB do Conector da Câmera. Se estiver usando o
iPhone, certifique-se de que esteja ligado e desbloqueado. Para conectar uma câ-
mera, certifique-se de que a câmera esteja ligada e no modo de transferência. Para
obter ajuda, consulte a documentação que acompanha a câmera.
 Para usar um cartão de memória SD, insira-o no slot do Leitor de Cartões SD. Não
force o cartão no slot; ele se encaixa somente de uma maneira.
Para obter mais informações sobre os conectores, consulte a documentação do Kit de
Conexão de Câmera para iPad.
2 Desbloqueie o iPad.
3 O aplicativo Fotos se abre e exibe as fotos e vídeos que estão disponíveis para
importação.
4 Selecione as fotos e vídeos que deseja importar.
 Para importar todos itens, toque em Importar Tudo.
 Para importar somente alguns itens, toque naqueles que deseja incluir (deve aparecer um sinal em cada uma deles), depois toque em Importar e selecione Importar
Selecionado.
5 Depois que as fotos foram importadas, você pode escolher manter ou apagar as fotos
e vídeos do cartão, da câmera ou do iPhone.
6 Desconecte o Leitor de Cartão SD ou o Conector de Câmera.
Para visualizar as fotos, procure no álbum Última Importação. Um novo Evento contém
todas as fotos que foram selecionadas para importar.
Para transferir as fotos do iPad para o seu computador, conecte o iPad ao seu computador e importe as imagens com um aplicativo de fotos como o iPhoto ou o Adobe
Elements.Como visualizar fotos e vídeos
O aplicativo Fotos permite que você visualize fotos sincronizadas do aplicativo de fotos
do seu computador, importadas de uma câmera digital ou iPhone, ou salvas de uma
mensagem de e-mail ou página web.
O aplicativo Fotos organiza coleções por Álbuns, Eventos, Faces e Lugares. O Lugares
usa as informações de local codificadas nas fotos, mas pode ser que nem todas as
fotos tenham essas informações—é necessário uma câmera compatível com "geotagging". Os Eventos e Rostos devem primeiro ser configurados no iPhoto ou no Aperture
em um Mac, depois sincronizados para o iPad.
Para visualizar fotos:
1 No Fotos, toque em Álbuns de Fotos, Eventos, Rostos ou Lugares.
Para abrir uma coleção, toque nela. Ou toque a coleção com dois dedos e afaste-os
para obter uma pré-visualização das fotos, depois tire os dedos para abri-la. As fotos
são ordenadas pela data de criação.
76 Capítulo 9 FotosCapítulo 9 Fotos 77
Quando você está visualizando Lugares, toque em um pino no mapa para exibir a
localização, depois toque com dois dedos e afaste-os para ampliar e mostrar todas as
fotos tiradas nesta localização.
2 Toque em uma miniatura para visualizar a foto em tela cheia.
Você também pode unir ou afastar os dedos para ampliar ou reduzir a foto.
Para mostrar ou ocultar os controles: Toque na foto para mostrar os controles. Toque
novamente para ocultar os controles.
Para visualizar uma foto na orientação horizontal: Vire o iPad de lado. A foto ou o
vídeo são redimensionados automaticamente para se ajustar à tela.Para ampliar uma parte de uma foto: Toque duas vezes onde desejar para ampliar.
Toque novamente duas vezes para reduzir. Você também pode separar ou aproximar
dois dedos para ampliar ou reduzir.
Para girar uma foto: Arraste a foto.
Para ver a foto anterior ou a próxima foto: Passe o dedo para a esquerda ou para a
direita Ou toque na tela para mostrar a miniatura na parte inferior e depois toque ou
arraste para visualizar uma foto diferente.
Para apagar uma foto: Você pode apagar fotos do álbum Fotos Salvas, que contém
fotos salvas de e-mails ou da web. Para fotos sincronizadas do seu computador, você
necessita apagar a foto do álbum no seu computador e depois sincronizar o iPad
novamente.
Para girar uma foto: Toque no . Para girá-la mais, toque novamente.
Para visualizar as fotos ou vídeos em um televisor usando o AirPlay e o Apple
TV: Certifique-se de que o iPad está na mesma rede sem fio que o Apple TV e, em seguida, toque no e escolha o Apple TV da lista. Quando você passa os dedos pelas
fotos no seu iPad, o vídeo no televisor é atualizado enquanto você pausa. Consulte o
“Como usar o AirPlay” na página 48 para obter mais informações.
Compartilhamento de Fotos
Você pode compartilhar suas fotos como apresentação de slides, completar com música e transições. Com o AirPlay e o Apple TV, você pode transmitir sem fio as suas fotos
para um televisor. Você pode enviar fotos e vídeos em mensagens de e-mail, e adicionar fotos a sua Galeria MobileMe. Você também pode copiar e colar fotos, salvar fotos
de e-mails nas Fotos e salvar imagens de páginas web em um álbum.
78 Capítulo 9 FotosCapítulo 9 Fotos 79
Apresentação de Slides
Você pode criar e visualizar uma apresentação de slides que mostre suas fotos com
transições e música. Você pode visualizar uma apresentação de slides no iPad, ou
transmiti-la sem fio para um Apple TV. Você também pode usar o iPad para visualizar
uma apresentação de slides em um exibidor externo, como um projetor.
Para visualizar uma apresentação de slides:
1 Toque em um álbum para abri-lo.
Você pode selecionar um álbum que contém fotos, vídeos, ou ambos. Se o seu iPad
possuir uma câmera, as fotos ou vídeos criados aparecerão no álbum Rolo da Câmera.
2 Toque no botão apresentação de slides e, na lista que aparecer, selecione as opções da
apresentação. Você pode:
 Selecionar uma música da sua biblioteca de música durante uma apresentação de
slides.
 Selecionar um efeito de transição que seja reproduzido entre uma foto e outra.
Para definir por quanto tempo cada foto deve ser exibida, abra Geral > Ajustes >
Fotos. Você também pode definir se a apresentação de slides deve ser repetida, ou
deve ocorrer seguindo uma sequência aleatória.
As transições disponíveis são determinadas pela forma que você visualiza a apresentação de slides. Se você estiver conectado a um Apple TV, escolha uma das transi-
ções disponíveis. Se você conectar o iPad a uma TV ou projetor usando um cabo de
vídeo, escolha a transição Dissolver. Para obter informações sobre a conexão a um
monitor externo, consulte Capítulo 10,“Vídeos,” na página 83.
3 Toque em Iniciar Apresentação de Slides.
Para parar a apresentação de slides, toque na tela.
Se você estiver usando o AirPlay para transmitir fotos para um Apple TV, toque no e
selecione o Apple TV da lista. Consulte o “Como usar o AirPlay” na página 48 para obter
mais informações.
Como enviar uma foto ou vídeo em uma mensagem de e-mail
Para enviar uma foto ou vídeo: Toque em uma foto ou vídeo e toque no , depois
toque em Enviar Foto por E-mail.
Se você não vir , toque na tela para mostrar os controles.
Para enviar várias fotos ou vídeos: Toque em um álbum e depois toque no . Toque
em cada foto ou vídeo que deseja enviar (aparece uma marca em cada miniatura), depois toque em E-mail. Se o botão E-mail não estiver disponível, selecione menos itens.
Para copiar uma foto ou vídeo:
1 Toque em .
2 Toque para selecionar a foto ou vídeo que você deseja copiar.3 Toque em Copiar.
Para colar uma foto ou vídeo: Toque para colocar o ponto de inserção onde você deseja colar a foto ou o vídeo; em seguida, toque no ponto de inserção e em Colar.
Como adicionar uma foto ou vídeo a uma Galeria do MobileMe
Se você é um assinante do MobileMe, você pode adicionar fotos e vídeos do seu iPad
para a sua Galeria MobileMe. Você também pode adicionar itens para as Galerias
MobileMe de outras pessoas se eles permitirem contribuições por e-mail.
Antes de poder adicionar fotos a uma galeria de sua conta MobileMe, você precisa:
 Configure a sua conta MobileMe no iPad Se você não possui uma conta MobileMe,
vá ao site www.apple.com/br/mobileme/setup/ipad.html.
 Publique uma galeria MobileMe e permita a adição de fotos via e-mail ou iPad
Para adicionar uma foto ou vídeo à sua galeria: Escolha uma foto ou vídeo e toque
em ; em seguida, toque em “Enviar ao MobileMe”. Digite um título e uma descrição,
se desejar; selecione o álbum ao qual adicionar a foto e em seguida, toque em Publicar.
Se você não vir , toque na tela para mostrar os controles.
O iPad diz a você quando a foto foi publicada e dá opções para visualizá-los no
MobileMe ou para enviar um link a um amigo por e-mail.
Para adicionar uma foto à galeria de outra pessoa: Escolha uma foto e toque em
e, em seguida, toque em Enviar Foto por E-mail. Digite o endereço de e-mail do álbum
e clique em Enviar.
Como Salvar Fotos de Mensagens de E-mail ou Páginas Web
Para salvar uma foto de uma mensagem de e-mail no seu álbum Fotos Salvas:
Toque na foto e depois toque em Salvar Imagem. Se a foto não tiver sido transferida,
toque no ícone transferência primeiro.
Para salvar uma foto de uma página web no seu álbum Fotos Salvas: Toque na foto
e mantenha-a pressionada; depois, toque em Salvar a Imagem.
Para copiar fotos do álbum Fotos Salvas para seu computador: Conecte o iPad à
porta USB do seu computador e depois use um aplicativo de foto, como o iPhoto em
um Mac, para copiar as imagens.
Como Atribuir uma Foto a um Contato
Você pode atribuir uma foto a um contato.
Para atribuir uma foto a um contato:
1 Escolha uma foto no iPad, em seguida toque em .
2 Toque em “Atribuir a Contato” e depois escolha um contato.
80 Capítulo 9 FotosCapítulo 9 Fotos 81
3 Arraste a foto para girá-la e una ou afaste os dedos na foto para ampliá-la ou reduzi-la,
até que fique do jeito que deseja.
4 Toque em Definir Foto.
Nos Contatos, você pode atribuir uma foto a um contato tocando em Editar e depois
tocando no ícone da foto.
Como imprimir fotos
Você pode usar o AirPrint para imprimir fotos do iPad.
Para imprimir uma foto: Toque no e, em seguida, toque em Imprimir. Toque em
Selecionar Impressora para selecionar uma impressora e defina as opções de impressão, como a quantidade de cópias e, em seguida toque em Imprimir. Se a sua impressora tiver uma bandeja para papel de foto, pode ser que ela alterne automaticamente
para essa bandeja quando você imprime uma foto.
Para obter mais informações, consulte “Impressão” na página 42.
Fotos de Imagem de Fundo e da Tela de Bloqueio
Você pode mostrar uma foto como imagem de fundo da tela de Bloqueio e da tela de
Início. Você pode escolher de várias fotos de imagem de fundo incluídas com o iPad,
ou pode usar uma foto sua.
Para definir uma foto como imagem de fundo:
1 Escolha qualquer foto e toque em , depois, toque em Imagem de Fundo
2 Arraste para girar a foto ou una ou afaste os dedos na foto para ampliá-la ou reduzi-la,
até que fique do jeito que deseja. Uma foto que tem pelo menos 1024 x 1024 pixels
preenche a tela quando o iPad é girado.
3 Toque em Definir Imagem de Fundo. Depois toque para usar a imagem como imagem
de fundo da tela Início, da tela Bloqueio, ou ambas.
Para escolher entre várias fotos de imagem de fundo incluídas com o iPad, vá para
Ajustes > Brilho e Imagem de Fundo.
Utilização de Porta-Retrato
Quando o iPad está bloqueado, você pode exibir um álbum de fotos. Esta é uma excelente maneira de aproveitar o iPad enquanto o carrega em um Dock para iPad.
Para alterar os ajustes de Porta-Retrato, vá para Ajustes > Porta-Retrato e depois ajuste
qualquer uma das seguintes opções:
 A transição selecionada é reproduzida entre fotos. A duração da apresentação de
slides não pode ser alterada. O Porta-Retrato pode ampliar a imagem para focar nos rostos que estão nas imagens. Ele também pode selecionar aleatoriamente um dos rostos como o centro do
foco, se houver mais de um rosto. O Porta-Retrato usa as informações de identifica-
ção de rostos em fotos importadas do iPhoto ou do Aperture em um Mac. Ampliar
os rostos não é uma opção com a transição Origami.
 O Porta-Retrato pode exibir todas as fotos, ou apenas aquelas em uma categoria do
Álbum, Rostos ou Evento. Selecione uma opção, depois refine sua seleção na lista
que aparece. As seleções de Rostos, Álbuns e Eventos são as mesmas que as do aplicativo Fotos.
Para iniciar ou parar o Porta-Retrato:
1 Pressione o botão Repousar/Despertar para bloquear o iPad.
2 Na tela de Bloqueio, toque no .
3 Toque na tela para parar a apresentação de slides, depois toque no para retornar à
tela de Bloqueio ou deslize o controle para desbloquear o iPad.
Para desativar o recurso Moldura, vá para Ajustes > Geral > Bloqueio por Código.
82 Capítulo 9 Fotos83
Sobre Vídeos
Você pode usar o iPad para visualizar filmes, vídeos musicais, podcasts de vídeo e, se
houver disponibilidade na sua área, programas de TV. O iPad também suporta recursos
especiais tais como capítulos, legendas, áudio alternado e legendas ocultas.
Você pode alugar ou comprar vídeos da iTunes Store e você pode usar um cabo de
adaptador de vídeo para assistir vídeos em uma TV ou projetor. Se você tiver um Apple
TV, você pode usar o AirPlay para assistir vídeos em um televisor.
10
VídeosComo Reproduzir Vídeos
Para reproduzir um vídeo: Toque em Vídeos e depois toque em uma categoria de
vídeos, tal como Filmes. Toque no vídeo que deseja visualizar. Se o vídeo possui capítulos, toque no título de um capítulo ou simplesmente toque no .
Para exibir os controles de reprodução: Enquanto um vídeo está sendo reproduzido,
toque na tela para mostrar os controles. Toque novamente para ocultá-los.
84 Capítulo 10 VídeosCapítulo 10 Vídeos 85
Como Controlar a Reprodução do Vídeo
Gire o iPad para reproduzir vídeos em formato panorâmico e aproveitar ao máximo a
tela.
Arraste o cursor de reprodução pela barra de progressão para saltar para qualquer
ponto do vídeo. Para ajustar a velocidade da progressão de rápido a lento, deslize o
dedo para baixo à medida que arrasta o cursor de reprodução ao longo da barra de
progressão.
Pausar um vídeo Toque no ou pressione o botão central (ou botão equivalente) em um headset compatível.
Retomar reprodução Toque no ou pressione o botão central (ou
botão equivalente) em um headset compatível.
Aumentar ou diminuir o volume Arraste o controle de volume ou use os botões
de volume do iPad ou os botões em um headset
compatível.
Reiniciar um vídeo Arraste o cursor de reprodução da barra de progressão totalmente para a esquerda, ou toque em
se o vídeo não contiver capítulos.
Passar para o próximo capítulo (se disponível) Toque no ou pressione duas vezes rapidamente o botão central (ou botão equivalente) em um
headset compatível.
Voltar ao capítulo anterior (se disponível) Toque no ou pressione três vezes rapidamente o botão central (ou botão equivalente) em um
headset compatível.
Começar a reproduzir a partir de um capítulo
específico (se disponível)
Toque em e depois escolha um capítulo da
lista.
Avançar ou retroceder Toque e mantenha o toque ou no .Saltar para qualquer ponto de um vídeo Arraste o cursor de reprodução pela barra de progressão. Deslize seu dedo para baixo para ajustar
a velocidade de progressão de rápido para lento.
Interromper a visualização de um vídeo antes
que a reprodução termine
Toque em OK ou pressione o botão Início .
Como redimensionar um vídeo para preencher
ou ajustar à tela
Toque no para que o vídeo preencha a tela
ou toque no para que ele se ajuste à tela.
Você também pode tocar duas vezes no vídeo
para alternar visualizações.
Quando você redimensiona um vídeo para que
ele preencha a tela, talvez as laterais ou a parte
superior sejam recortadas. Quando você redimensiona o vídeo para que ele se ajuste à tela,
talvez você veja barras negras nas laterais ou
acima e abaixo do vídeo.
Reproduzir um vídeo no Apple TV usando
AirPlay
Toque em e escolha um Apple TV. Consulte
“Como Assistir Vídeos em uma TV” na página 87.
Como selecionar um idioma de áudio diferente
(se disponível)
Toque no e, em seguida, selecione um idioma
da lista de Áudio.
Mostrar ou ocultar as legendas (se disponível)
Toque no e, em seguida selecione um idioma,
ou Desative a partir da lista Legendas.
Como mostrar ou ocultar legendas ocultas (se
disponível)
Toque no para mostrar ou ocultar as legendas,
se houver.
Sincronização de Vídeos
Use o iTunes para sincronizar vídeos para o iPad. Com o iPad conectado ao seu computador, use os painéis Filmes, Programas de TV, Podcasts e iTunes U para selecionar
quais vídeos sincronizar.
Como Assistir a Filmes Alugados
Você pode alugar filmes em formato de definição padrão ou alta definição na iTunes
Store e assisti-los no iPad. Também é possível transferir filmes alugados ao iPad ou
transferi-los do iTunes de seu computador para o iPad. (Os filmes alugados não estão
disponíveis em todas as regiões.)
Os filmes devem ter sido completamente transferidos antes de que você possa assistilos. Você pode fazer uma pausa na transferência e continuar mais tarde. Os filmes alugados vencem após um certo número de dias e, uma vez que você comece a assisti-lo,
terá um tempo limitado para terminar de assistir. Os filmes são automaticamente apagados quando expiram. Antes de alugar um filme, verifique na iTunes Store o prazo do
vencimento.
86 Capítulo 10 VídeosCapítulo 10 Vídeos 87
Para ver um filme alugado: Escolha Vídeos, toque na categoria Filmes e depois toque
no filme que deseja assistir. Selecione um capítulo ou simplesmente toque no .
Para transferir filmes alugados para o iPad: Conecte o iPad ao seu computador. Em
seguida, selecione iPad na barra lateral do iTunes, clique em Filmes, e selecione os
filmes alugados que você deseja transferir. O seu computador deve estar conectado à
Internet. Filmes alugados no iPad não podem ser transferidos a um computador.
Como Assistir Vídeos em uma TV
Para assistir vídeos em uma TV, você pode conectar o iPad usando o AirPlay e o Apple
TV, ou usar um cabo para conectar o iPad diretamente a seu televisor ou receptor AV.
Para obter informações sobre como conectar o iPad com um televisor ou projetor, consulte “Vídeo” na página 185.
Para conectar usando o AirPlay: Inicie a reprodução de vídeo e, em seguida, toque
em e escolha o seu Apple TV da lista de dispositivos AirPlay. Consulte o “Como usar
o AirPlay” na página 48 para obter mais informações.
Enquanto o vídeo está sendo reproduzido, você pode sair do Vídeo e usar outros
aplicativos.
Para retornar a reprodução para o iPad: Abra Vídeos e, em seguida toque em e
escolha o seu iPad da lista.
Como apagar vídeos do iPad
Para economizar espaço, você pode apagar vídeos do iPad.
Para apagar um vídeo: Na lista de vídeos , mantenha o toque em um filme até aparecer o botão apagar e depois toque no . Toque em Cancelar ou Início quando terminar de apagar vídeos.
Quando você apaga um vídeo (que não sejam filmes alugados) do iPad, ele não é
eliminado da sua biblioteca do iTunes no seu computador e você pode sincronizar o
vídeo de volta para o iPad mais tarde. Se você não quiser sincronizar o vídeo de volta para o iPad, ajuste o iTunes para que ele não sincronize o vídeo. Consulte “Como
Sincronizar com o iTunes” na página 25.
Importante: Se você apagar um filme alugado do iPad, ele será apagado permanentemente e não poderá ser transferido de volta para o seu computador.88
Como Buscar e Visualizar Vídeos
O YouTube apresenta vídeos curtos enviados por pessoas do mundo inteiro. Você pode
assistir os últimos e mais populares vídeos, buscar por vídeos pelos temas de interesse, marcar seus favoritos e rapidamente acessar vídeos que você transferiu para o
YouTube do seu computador.
Para usar certos recursos no iPad, é preciso iniciar sessão em uma conta do YouTube
quando solicitado. Para obter mais informações sobre os requisitos e sobre como obter
uma conta do YouTube, visite o site www.youtube.com.
Nota: O YouTube não está disponível em todos os idiomas e localizações.
Para usar o YouTube, o iPad deve ter uma conexão à Internet. Consulte “Como
Conectar-se à Internet” na página 30.
Para navegar pelos vídeos: Toque em um botão na barra de ferramentas para selecionar uma categoria.
 Em Destaque: Vídeos revisados e destacados pela equipe do YouTube.
 Melhores: Vídeos melhor avaliados pelos usuários do YouTube. Você pode classificar
vídeos no iPad se possuir uma conta no YouTube.
 Mais Vistos: Vídeos mais vistos pelos usuários do YouTube. Toque em Tudo para ver
Todos para os vídeos mais vistos de todos os tempos ou em Hoje ou Esta Semana
para os vídeos mais vistos do dia ou da semana.
 Favoritos: Vídeos que você adicionou aos Favoritos. Quando você inicia sessão com
uma conta do YouTube, aparece os favoritos da conta.
 Mais Recentes: Vídeos enviados recentemente ao YouTube.
 Assinaturas: Vídeos de contas do YouTube que você assina. Para usar este recurso, é
preciso iniciar sessão em uma conta do YouTube.
11
YouTubeCapítulo 11 YouTube 89
 Listas: Vídeos que você adiciona às listas. Para usar este recurso, é preciso iniciar sessão em uma conta do YouTube.
 Meus Vídeos: Vídeos que você transferiu para o YouTube. Para usar este recurso, é
preciso iniciar sessão em uma conta do YouTube.
 Histórico: Vídeos que você viu recentemente.
Para buscar um vídeo:
1 Toque no campo de busca do YouTube.
2 Digite uma palavra ou frase e depois toque em Buscar.
O YouTube mostra os resultados baseado na busca de títulos de vídeo, descrições,
etiquetas e nomes de usuário. Cada resultado de busca mostra o título, a classificação,
o número de visualizações, o comprimento e o nome da conta de onde o vídeo foi
colocado.
Para reproduzir um vídeo: Toque no vídeo.
O vídeo começa a ser transferido para o iPad e aparece uma barra de progresso.
Quando tiver sido transferida uma parte suficiente do vídeo, ele começa a ser reproduzido. Você também pode tocar no para iniciar o vídeo.
Como Controlar a Reprodução do Vídeo
Gire o iPad para orientação horizontal para visualizar o vídeo no seu tamanho máximo.
Quando um vídeo está sendo reproduzido, os controles desaparecem para não ficarem
na frente do vídeo.
Para mostrar ou ocultar os controles de vídeo: Toque na tela.Reproduzir ou Colocar um Vídeo em Pausa Toque no ou no . Você também pode pressionar o botão central (ou botão equivalente) em
um headset compatível.
Ajustar o volume Arraste o controle de volume ou use os botões
de volume do iPad ou os botões de volume de
um headset compatível.
Reiniciar um vídeo Toque em .
Para passar para o próximo vídeo ou para o
vídeo anterior de uma lista
Toque em duas vezes para saltar para o vídeo
anterior. Toque no para saltar para o próximo
vídeo.
Avançar ou retroceder Toque e mantenha o toque ou no .
Saltar para qualquer ponto de um vídeo Arraste o cursor de reprodução pela barra de
progressão.
Para parar de assistir um vídeo Toque em OK ou pressione o botão Início .
Alternar entre os modos padrão e tela cheia Toque duas vezes no vídeo. Você também pode
tocar no para que o vídeo preencha a tela ou
tocar no para que ele se ajuste à tela.
Para adicionar um vídeo aos Favoritos Comece a reproduzir um vídeo e toque no .
Enviar um link do vídeo por e-mail Comece a reproduzir um vídeo e toque no .
Reproduzir um vídeo no Apple TV usando
AirPlay
Toque em e escolha um Apple TV. Para obter
informações, consulte “Como usar o AirPlay” na
página 48.
Para visualizar informação sobre um vídeo Toque em para sair do modo tela cheia e
visualizar vídeos, comentários e outros controles
relacionados.
90 Capítulo 11 YouTubeCapítulo 11 YouTube 91
Como gerenciar os vídeos
Quando estiver assistindo um vídeo em tela cheia, toque para mostrar o controlador e
depois toque no para ver vídeos relacionados e opções para gerenciar vídeos.
Para classificar ou adicionar um comentário a
um vídeo
Toque no vídeo para exibir a barra de ferramentas e depois toque em Classificar e selecione uma
classificação.. Você deve ter iniciado sessão em
uma conta do YouTube.
Para ver mais vídeos deste usuário do YouTube Na barra lateral, toque em “Mais De”. Você deve ter
iniciado sessão em uma conta do YouTube.
Para ver vídeos similares a este Na barra lateral, toque em “Relacionado(a)”.
Para assinar vídeos deste usuário do YouTube Na tela Mais Informações, toque em Mais Vídeos;
em seguida, toque em “Assinar ” no final
da lista de vídeos. Você deve ter iniciado sessão
em uma conta do YouTube.
Para adicionar um vídeo aos Favoritos ou a uma
lista
Toque em Adicionar e depois selecione Favoritos
ou uma lista.
Para enviar um link de um vídeo por e-mail Toque em Compartilhar.
Para marcar um vídeo Toque no filme para exibir a barra de ferramentas
e depois toque no .
Como Assistir o YouTube em uma TV
Se você tiver um Apple TV, você pode usar o AirPlay para assistir vídeos do YouTube
em um televisor. Consulte “Como Controlar a Reprodução do Vídeo” na página 89.
Você pode conectar o iPad diretamente a sua TV ou a um projetor e assistir o YouTube
na tela grande. Para obter mais informações sobre como usar o iPad com uma TV ou
projetor, consulte “Vídeo” na página 185.92
Sobre o Calendário
O iPad facilita seguir uma agenda de horários. Você pode visualizar calendários individualmente ou vários calendários ao mesmo tempo. Você pode visualizar seus eventos
por dia, semana ou mês, ou em uma lista. Você também pode buscar eventos por título, convidados ou localização.
Também é possível sincronizar o iPad com os calendários do seu computador. Você
pode também criar, editar ou cancelar eventos no iPad e sincronizá-los com o seu
computador. Também é possível assinar calendários do Google, Yahoo! ou iCal.
Também é possível assinar calendários iCalendar (.ics) somente para leitura ou importar arquivos .ics do e-mail. Se possuir uma conta Microsoft Exchange ou uma conta
CaIDAV compatível, você poderá receber e responder aos convites de reuniões de outras pessoas e convidar pessoas para eventos que agendou.
Como Sincronizar Calendários
Você pode sincronizar seus calendários das seguintes formas:
 No iTunes, use o painel Ajustes do iPad para sincronizar com o iCal ou Microsoft
Entourage no Mac, ou com Microsoft Outlook em um PC ao conectar o iPad ao seu
computador. Consulte “Como Sincronizar com o iTunes” na página 25.
 Nos Ajustes do iPad, ative a opção Calendários na sua conta MobileMe, Google,
Yahoo! ou Microsoft Exchange para sincronizar sem fios as informações de seu calendário. Se a sua empresa ou organização for compatível com ele, você também
pode configurar uma conta CalDAV. Consulte “Como adicionar Mail, Contatos e
Contas do Calendário” na página 32. Para sincronizar os calendários com o método
over the air, o iPad deve estar conectado à Internet.
12
CalendárioCapítulo 12 Calendário 93
Como adicionar, editar e apagar eventos do calendário
Você pode criar e editar eventos do calendário diretamente no iPad.
Se você possui uma conta Microsoft Exchange com os calendários ativados ou uma
conta CaIDAV compatível, poderá convidar outras pessoas para o seu evento ou
reunião.
Para adicionar um evento: Toque no e digite uma informação de evento e, em seguida, toque em OK.
Você pode digitar o seguinte:
 Título
 Local
 Hora de início e finalização (ou ativar Dia inteiro se for um evento que dura o dia
inteiro)
 Repetições—nenhuma, ou a cada dia, a cada semana, a cada duas semanas, a cada
mês ou a cada ano
 Hora do Alerta—de cinco minutos até dois dias antes do evento
Quando você define um alerta, aparece a opção para definir um segundo alerta.
Quando ocorre um alerta, o iPad exibe uma mensagem. Para ajustar o iPad para reproduzir um som, consulte “Alertas” na página 97.
Importante: Quando você viaja, o iPad pode não alertar você na hora local correta.
Para ajustar a hora correta manualmente, consulte “Data e Hora” na página 176. Para
obter informações sobre como ajustar o fuso horário do calendário, consulte “Como
Visualizar seus Calendários” na página 93.
 Notas
Se você tiver mais de um calendário, você pode selecionar em qual calendário adicionar o evento. Calendários apenas para leitura não aparecem na lista.
Como editar um evento Toque em o evento e depois em Editar.
Como apagar um evento Toque no evento, toque em Editar, depois role
para baixo e toque em Apagar Evento.
Como Visualizar seus Calendários
Você pode visualizar um único calendário, calendários selecionados, ou todos os calendários de uma vez. Isso facilita o gerenciamento dos calendários de trabalho e da
família ao mesmo tempo.
Para visualizar um calendário diferente: Toque em Calendários e, em seguida, selecione os calendários que deseja visualizar. Para visualizar os aniversários dos seus contatos, como definido em Contatos, selecione o calendários de Aniversários.Você pode visualizar calendários em uma lista, ou por dia, semana ou mês. Os eventos
de todos os calendários selecionados aparecem no iPad.
Para alternar visualizações: Toque em Lista, Dia, Semana ou Mês.
 Visualização em lista: Todos os seus compromissos e eventos aparecem em uma lista navegável, próxima ao dia selecionado. Para visualizar outro dia, toque em ou
ou selecione um dia no controle de tempo abaixo do calendário.
 Visualização por Dia: Role para cima e para baixo para ver os eventos daquele dia.
Toque em ou para ver os eventos do dia anterior ou do próximo dia, ou selecionar um dia no controle de tempo abaixo do calendário.
 Visualização por semana: Role para cima ou para baixo para ver os eventos da semana. Toque em ou para ver a semana anterior ou próxima, ou selecionar uma
semana no controle de tempo abaixo do calendário.
94 Capítulo 12 CalendárioCapítulo 12 Calendário 95
 Visualização mensal: Toque num dia para visualizar seus eventos. Toque em ou
para ver o mês anterior ou próximo, ou selecionar um mês no controle de tempo
abaixo do calendário.
Para ver os detalhes de um evento: Toque no evento.
Para ver os eventos ajustados para um fuso horário: Em Ajustes, vá para “Mail,
Contatos, Calendários”. Em Calendários, toque em Gestão Fuso Horário. Ative a Gestão
Fuso Horário e selecione uma cidade principal para o fuso horário que deseja usar.
Quando a Gestão Fuso Horário está desativada, o iPad Wi-Fi + 3G exibe os eventos no
fuso horário da sua localização atual, conforme determinada pela hora da rede celular.
Como buscar nos calendários
Em seus calendários, você pode buscar por títulos, convidados, notas e localizações
dos eventos. O Calendário busca apenas o calendário ou calendários que você está
visualizando no momento.
Para buscar eventos: Digite texto no campo de busca.
Os resultados da busca aparecem à medida que você digita. Toque em um resultado
para visualizar o evento. Toque no calendário para fechar a lista dos resultados da
busca.
Como Assinar Calendários
Você pode assinar calendários que utilizem formato iCalendar (.ics). Muitos serviços
com base no calendário, incluindo Yahoo!, Google e iCal no Mac, são compatíveis com
as inscrições de calendários.
Os calendários assinados são somente para leitura. Você pode ler os eventos dos calendários assinados no iPad, mas não pode editá-los nem criar novos eventos. Para assinar um calendário CalDAV ou .ics:
1 Em Ajustes, escolha “Mail, Contatos, Calendários” e toque em Adicionar Conta.
2 Selecione Outros e, em seguida, selecione Adicionar Calendário Assinado.
3 Digite as informações da conta e toque em Próximo para verificar a inscrição.
4 Toque em Salvar.
A Apple fornece links a vários calendários iCal gratuitos—para feriados nacionais ou
eventos esportivos, por exemplo—os quais talvez você queira assinar.
Você também pode assinar um calendário iCal (ou outro calendário .ics) publicado na
web tocando em um link do calendário que você tenha recebido por uma mensagem
de e-mail no iPad.
Como Responder a Convites de Reuniões
Se você possui uma conta do Microsoft Exchange no iPad com os calendários ativados,
ou uma conta CalDAV compatível, ou um calendário MobileMe, você pode receber e
responder aos convites de reuniões de pessoas da sua empresa.
Quando você recebe um convite, a reunião aparece no seu calendário com uma linha
pontilhada ao seu redor. O ícone no canto inferior direito da tela mostra a quantidade de novos convites que você possui. Para receber e responder aos convites de
reuniões, o iPad deve possuir uma conexão à Internet.
Para responder a um convite do Calendário:
1 Toque em um convite de reunião do calendário, ou toque em para exibir a tela
Evento e toque em convite.
 Toque em "Convite de” para obter as informações de contato do organizador da reunião. Toque no endereço de e-mail para enviar uma mensagem ao organizador.
 Toque em Convidados para ver quem foi convidado para a reunião. Toque em um
nome para ver as informações de contato dos participantes. Toque em um endereço
de e-mail para enviar uma mensagem ao participante.
 Toque em Alerta para que o iPad reproduza um alerta sonoro antes da reunião.
 Toque em Adicionar Comentários para adicionar comentários para o organizador da
reunião. Seus comentários também aparecerão na tela Informações da reunião
As notas são criadas pelo organizador da reunião.
2 Toque em Aceitar, Talvez ou Recusar.
Quando você toca nas opções aceitar, talvez ou recusar o convite, um e-mail de resposta que inclui todos os comentários que você adicionou é enviado ao organizador.
Você pode alterar sua resposta depois, a não ser qu